ous semble convenir à de tels cas. L'importance du sujet auquel nos
observations
et notre critique se rap- portent n'échappera p
Ovide qui juste et profond a laissé dans«ces vers la preuve de son
observation
parfaite : laires sanguines. Paris, 1860). Il f
Avant de développer le programme ci-dessus, nous rapporterons les
observations
qui suivent, choisies parmi les plus démonstrativ
ans les communica- tions que nous y avons faites depuis 1913. Ces
observations
justifient le premier point sur lequel nous désir
ra MCMXV, Liber quartuus, vers 78, 79. 4 . SOUZA ET DE CASTRO -
OBSERVATIONS
De propos délibéré, nous nous en tiendrons, dan
- OBSERVATIONS De propos délibéré, nous nous en tiendrons, dans les
observations
présentes, à ce qui touche directement à la mat
ons présentes, à ce qui touche directement à la matière en étude.
Observation
I (Pl. 1 et II) (Asylo S. Francisco de Assis).
ratoire, digestif et urinaire. Réaction de Wassermann : négative.
Observation
II (PL I et II) (Asylo S. Francisco de Assis).
e mérite ici d'être mentionné. Réaction de Wassermann : négative.
Observation
III (Policlinica gérai do Rio de Janeiro). A.
cique et la destruction des apophyses clinoïdes postérieures (1).
Observation
IV (Pl. III et IV) , (Policlinica geral do Rio
Que va a campo comigo (t) On trouvera l'étude plus étendue de nos
observations
au point de vue radiolo- gique dans la thèse du
l'hypophyse, destruction des apo. physes clinoïdes postérieures.
Observation
V (PI. III et IV) (Hospital da Bonericencia Por
en tant qu'aux douleurs des membres et aux altérations osseuses.
Observation
VII (PI. V) , (Hospital da Misericordia). J.
Obs. VIII Obs. IX Obs. X DYSTROPHIE GÉN1T0-GLANDULAIRE H 1
Observation
VIII (Pl. V et VI) (Policlinica geral do Rio de
normale, grande augmentation des sinus frontaux et sphénoïdaux. '
Observation
IX (PI. VI) (Hospital da Misericordia). I. A.
montre une ignorance complète des fonctions génitales. (1) Cette
observation
a été publiée par le D' Carlos Werneck, sous le t
ement positive. Examen radiographique : selle turcique normale. .
Observation
X (PI. VI) (Policlinica geral do Rio de Janeiro
xuelles. Intelligence normale. Réaction de Wassermann négative.
Observation
XI (PI. VII) (Policlinica geral do Rio de Janei
me celui d'un garçon de 8 ans. Réaction de Wassermann positive.
Observation
XIV (PI. VIII). J. F., 14 ans, blanc, brésilien
degré d'adipose dans la région abdominale. Intelligence normale.
Observation
XV (PI. VIII). M. J., 14 ans, noir, brésilien.
isme de cette affection. C'est aussi le point le plus frappant de l'
observation
qui suit. La lésion du nerf optique, qui consti
libre de pression entre les cavités crânienne et rachidienne (3).
Observation
. Mme B..., 34 ans, entre à l'asile le 22 novemb
es phénomènes de pression permanente qui l'accompagnent. Dans notre
observation
il y a certainement un fac- teur héréditaire :
ctro et mécanothérapie, etc.). C) 32 R1SAN01 F-S.II,oII' " .. Nos
observations
n'ont été prises que plusieurs mois après le trau
blier en 1912, dans la Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, l'
observation
d'un malade de notre service à la Policlinique
linghausen. r , . 1 . Très récemment, à propos d'une intéressante
observation
deneurofibro- matose avec chiromégalie unilatér
stion de cette association clinique particu- lière et en citant les
observations
publiées, mirent en doute l'atteinte de . ' ? '
éformations du type acromégatique. Voici le passage « Même dans les
observations
où semblent coexister neurolibromatose et acrom
rosses et courtes, mais la radiographie manque ». La lecture de l'
observation
et la photographie publiée dans notre tra- .( '
omégalie. Nouvelle Iconographie de la Silpêtrière, 1912, p. 41. Cette
observation
a été reproduite dans la thèse dé Bosquet, Etud
.»>,, 1 , Nous sommes heureux d'ailleurs de pouvoir répondre aux
observations
de Roubinovi,tch et Regnault de la Soudière en
vements de préhension) sont constatées. Après quel- ques semaines d'
observation
, la malade succombé dans' un étal de cachexie e
ls ne survenaient pas toujours des convulsions comme il ressort des
observations
ci-dessous, était suivie immédiatement chez les
d'accès. Chez ces neuf malades, comme il ressort de l'étude de leur
observation
, il est établi qu'il ne survenait rien d'autre
urvenait rien d'autre comme équivalent épileptique. De toutes mes
observations
, je n'en cite que quelques-unes avec les résult
mentations, assez intéressants à mon avis. Egale- ment je cite deux
observations
(nos 9 et 10) de malades souffrant de grands ac
ontanés surviennent de la même manière que chez ces deux malades.
Observation
I (octobre 1911). J. 5..., originaire de Volo,
ffirme sentir exactement la même chose après les accès spontanés.
Observation
II (août 1912). J. K..., originaire d'Aspropyrg
dant deux heures encore durant lesquelles je l'ai gardé chez moi.
Observation
III (août 1912). K. M., originaire de Epidavros
des mots. Elle se plaint aussi de lourdeur de tète et de fatigue.
Observation
IV (octobre 1912). K. B..., originaire de Naspa
lourdeur de tête et vertige, tout comme après l'accès spontané. -
Observation
V (mai 1913). G. K..., originaire de Béotie, âg
z LA COMPRESSION DES CAROTIDES DANS L'ÉPILEPSIE ET L'HYSTÉRIE 59
Observation
VI (juin 1913). G. K..., originaire de Kynouria
ent de la moitié gauche du corps se dissipaut en 5 minutes environ.
Observation
VII (juillet 1913). K. S., originaire de Céphal
me chose, mais moindre, après les accès spontanés. 60 TSIMINASKIS
Observation
VIII (novembre 1913). E. S..., originaire de Al
ience de l'accès. Elle sent la même chose après l'accès spontané.
Observation
IX (avril 1915). G. X..., originaire du Pirée,
é. LA COMPRESSION DES CAROTIDES DANS L'ÉPILEPSIE ET L'HYSTERIE 61
Observation
X (avril 1914). M. X..., originaire du Pirée, â
plaignant de lourdeur de tête, de vertige et de fatigue générale.
Observation
XI (mai 1914). X. K..., originaire de Egion, âg
e pas d'autres symptômes, se plaint seulement d'un léger vertige.
Observation
XII (octobre 1914). E. S..., 1 ? ;gion, âgé de
ements et le vertige se sont complètement dissipés en 15 minutes.
OBSERVATION
XIII (novembre 1914). Z. 1..., originaire de Sm
il a eu des éblouissements tout comme au début des accès spontanés.
Observations
XIV (novembre 1914). - S. M..., du Pirée, célib
cès et après celui-ci. Nous n'avons pas cru nécessaire de citer les
observations
des hystéri- ques qui nous ont servi pour nos e
et nommés par Sicard acromyolonies. Nous retiendrons seize de ces
observations
. Leur lien est grossièrement clinique et morpho
our faciliter la comparaison de tous les cas, nous avons résumé les
observations
sur un mode uniforme inspiré du rapport de M. B
s neuro-psy- chiatrique militaire du 2 mars 1916. Voici ces seize
observations
: (1) dlaioe et Mme A. BÉNISTY, Mlle Lévy, Soci
SSURES DE GUERRE SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 83 0.
Observation
I. Main DU lanceur DE COUTEAU. Paralysie de l'add
onnées les cicatrices de ses orifices d'entrée et de sortie. ? 0.
Observation
II. Main DU faiseur D'OMBRES CHINOISES par hype
de l'extension de l'avant-bras et l'hyperto- nie du biceps. , 0.
Observation
III. - Main EN ciseaux par hypotonie dans le médi
ui se surajouta aux autres troubles s'est améliorée. ° , R -1- P.
Observation
X. Main d'écrivain par contractures réflexes et
e secondaire des extenseurs n'eut au début qu'un but utilitaire. P.
Observation
XI. - Main DE MEA CULPA par contracture fonctio
s premières phalanges et exten- sion de leurs deux dernières). P.
Observation
XII. Main DU PRÊTEUR DE serment par contracture
11. Pression : SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 107 P.
Observation
XIII. - PSEUDO-PARALYSIE radiale par inactivité
uivit et date de treize mois est une légère décal- cification. P.
Observation
XIV. Pseudo-paralts'ie radiale par inactivité f
abduction et rotation en dehors) s'explique, comme dans le cas de l'
Observation
V, par une hy- pertonie du premier interosseux
* .. >1- Envisageons maintenant, dans leur ensemble, ces seize
observations
; nous remarquons qu'elles sont constituées par
èvent entièrement les troubles moteurs des IV et V, partiellement l'
observation
publiée par l'un de nous à la Société de neuro-
est l'ex- ception. Nous n'en avons relevé que deux exemples sur 17
observations
. Au contraire, leur association à des troubles
nt. sur cette hyperexcitabilité des muscles. Les résultats de nos
observations
ne nous permettent pas de tirer une conclusion
Les résultats sont trop peu précis pour que l'on puisse d'après nos
observations
affirmer la valeur sémiologique de l'excitabilité
fibres musculaires et de leurs lendons. Et précisément, d'après nos
observations
, il y a une certaine concordance topographique
onflée et contracturée en flexion. '* 124 . LÉRI 1 Ces diverses
observations
ont un caractère commun : l'oedème de la main e
simplement d'oedème par striction. En effet, chez le malade de l'
observation
I, surpris à l'improviste, nous pûmes constater
ridèrent profondément comme une outre qui se vide. Le malade de l'
observation
IV, dont la plaie de la main et l'altitude en c
n des deux lésions, vasculaire et nerveuse, qui l'a déterminée. Ces
observations
ne sont pas les seules où nous avons noté de gros
l en soit de l'interprétation, nous avons recueilli un bon nombre d'
observations
où des blessures des nerfs avaient pris la forme
ius et l'index de la main gauche. L'intérêt iconographique de cette
observation
se double, en temps de guerre, d'une discussion p
itales avec photographies et radiographies. Depuis, aucune nouvelle
observation
ne paraît avoir été publiée, au moins en France
es renseignements anatomiques concernant notre sujet et son père.
Observation
(PI. XXXVI, XXXVII, XXVIII). Ponc... Petrus est
étacarpien, et rappelle absolument le doigt le mieux développé de l'
observation
précédente. A la main droite on constate d'abor
outé. La radioscopie, au contraire, nous montre, à l'in- verse de l'
observation
précédente, que le 6" orteil y est parfaitement d
la radiographie. Une première conclusion qui découle de ces deux
observations
, c'est d'abord la nécessité qu'il y a à étudier
es,sans en excepter un seul, se trouvent repro- duits dans nos deux
observations
; qu'on suive l'énumération ci-dessus, radiograp
qui serait indispensable pour étayer la théorie. Ce ne sont pas nos
observations
qui pourront davantage y apporter un appui, car
s de Lyon ; tumeur hypophysaire avec syndromeadiposo-génita) dans l'
observation
de Rozabal ; tératome hypophysaire dans l'article
itants. (2) M. le Maire d'Izeaux, à qui nous avons communiqué cette
observation
, nous a répondu, qu'au moins' l'heure actuelle,
bien comme un caractère dominant. Mais ce n'est pas tout, et notre
observation
présente encore plusieurs particularités intére
ne faut pas se hâter de tirer des conclusions générales d'une seule
observation
. Il serait à désirer que d'autres observations ve
générales d'une seule observation. Il serait à désirer que d'autres
observations
ve- nant s'ajouter à la nôtre, on vit si elles
oppés que leurs congénères du côté normal. Nous ne publions cette
observation
qu'à titre documentaire iconogra- phique. Elle
ragement à persévérer dans les efforts physiques de rééducation.
Observation
(PI. XL, XLI). Lucca..., cinquante-deux ans. Bles
voir, mais regardent mal. Ils ont une bonne vue, mais une médiocre
observation
. Mémoire. Leur mémoire,comme celle de tous les
de l'hypophyse que nous allons exposer a un intérêt exceptionnel.
Observation
I. Un jeune garçon de 13 ans, de Martos (Jean),
deux autres récemment observés, que nous indiquerons brièvement.
Observation
II. Dans le-premier cas, il s'agissait d'un gar
à la Faculté de médecine de Lisbonne. ; Nous avons publié trois
observations
de tumeurs de l'angle ponto- cérébelleux dans l
bon, a tout de suite été acceptée sous l'imminence de la cécité.
Observation
. J. C., 27 ans, cordonnier, a vu augmenter son
ces derniers temps. Une partie de son histoire est racontée dans l'
observation
III de l'article que nous avons publié. Pour év
itions dans lesquelles elles ont été recueillies, l'ensemble de ces
observations
est cependant intéressant au point de vue épidé
nature de la maladie. Je leur dois donc les débuts d'une partie des
observations
. Voici d'abord les observations cliniques. Obse
is donc les débuts d'une partie des observations. Voici d'abord les
observations
cliniques. Observation I. Lav... Paul, 37 ans
partie des observations. Voici d'abord les observations cliniques.
Observation
I. Lav... Paul, 37 ans, infirmier, hôpital mili
ucléaires, pas de microbes apparents. 4 juin. Wassermann négatif.
Observation
II. Richel. Henri-Adrien, 36 ans, dut7* régimen
aperçoivent que le malade râle sans plainte. Mort 2 heures après.
Observation
III. ' 1 Bon... Georges-Jean, soldat au X5e rég
r ses jambes. Examen bactériologique. 4 juin. Wassermann négatif.
Observation
IV. Coût. Jules, soldat au Xe régiment d'infant
er. MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMll £ S MILITAIRES 205
Observation
V. Mor... Henri, du Ze régiment d'infanterie, 2
rche nuance de raideur, surtout dans le membre inférieur droit. -
Observation
VI. Roui..., soldat au X7e régiment d'Infanteri
eils en flexion. 30. - Pas de clonus des pieds. Réflexes normaux.
Observation
VII. Jour..., du X7* régiment d'Infanterie, CHR
atigué par une marche de 600 mètres, fléchit sur la jambe gauche.
Observation
VIII. Boy... Oscar-Ernest, 36 ans, de la compag
ore sur les genoux en descendant l'escalier. Guérison complète. ,
Observation
IX. Bras... Désiré-Louis-Joseph, X5e régiment d
l'escalier. Marche normale au moment du départ en convalescence.
Observation
X. Galm... Henri-Auguste, soldat au X7e régimen
re sur les genoux, en descendant l'escalier. Sensibilité normale.
Observation
XI. Oge Célestin, du 2° bataillon de Chasseurs,
exion. Séro-agglutination. Négative, sauf par le Para A à 1/20...
Observation
XII. Roll... Isidore, 21 ans, soldat au ...e ba
oude. Sensibilités normales. Evacuation. Les douze cas dont les
observations
sont rapportées ici appartiennent, ainsi que je
sont entrés au Bon- Pasteur du 15 au 31 mai 1916 ; l'infirmier de l'
observation
1 le 1er mai. Les deux chasseurs à pied de la d
rés le 3 et le 21 août 1915. La maladie a débuté : Le 28 avril,
observation
V du Ze régiment d'infanterie. Le l°r mai, obse
Le 28 avril, observation V du Ze régiment d'infanterie. Le l°r mai,
observation
III du X5e régiment d'infanterie. Le 2 mai, obs
Le l°r mai, observation III du X5e régiment d'infanterie. Le 2 mai,
observation
VIII de la compagnie du génie. Le 2 mai, observ
e. Le 2 mai, observation VIII de la compagnie du génie. Le 2 mai,
observation
IX dus5<= régiment d'infanterie. Le 7 mai, o
Le 2 mai, observation IX dus5<= régiment d'infanterie. Le 7 mai,
observation
VI du X7e régiment d'infanterie. Le 8 mai, obse
Le 7 mai, observation VI du X7e régiment d'infanterie. Le 8 mai,
observation
IV et X du X2e et du X7* régiments d'infanterie.
rvation IV et X du X2e et du X7* régiments d'infanterie. Le 10 mai,
observation
VII du X7e régiment d'infanterie. Le 16 mai, ob
Le 10 mai, observation VII du X7e régiment d'infanterie. Le 16 mai,
observation
II du X70 régiment d'infanterie. Chez l'infirmi
até dans la brigade co-endivisionnée le 28 avril et le 8 mai. Les
observations
XI et XII ont été observées simultanément en août
et, pas plus d'ailleurs qu'avec le virus des centres ner- veux de l'
observation
IL La symptomatologie est à étudier à la phase
e malaise, de courbature, de troubles digestifs, de fatigue. Dans l'
observation
I, le malade est arrivé à l'hôpital du Bon-Pasteu
de fatigue, de courbature, de diarrhée depuis quelques jours dans l'
observation
XI. Dans un cas (obs. IX), une angine à suites
ique, de durée variable, peut manquer presque complètement : dans l'
observation
V, presque en plein travail, apparition subite
s dans les deux jambes avec impossibilité subite de marcher; dans l'
observation
VI, le 7 mai, apparition brusque de fièvre et d
douleurs très vives dans les jambes empêchant le mouvement ; dans l'
observation
VIII, le mai, douleur et faiblesse dans les jambe
III, le mai, douleur et faiblesse dans les jambes (de même dans les
observations
IV, II, III) ; crises douloureuses dans les os
Elle est parfois d'une brutalité d'allure foudroyante, comme dans l'
observation
I, où elle évolua entièrement sous nos yeux, me
nocturne (obs. IV, V, VII). La douleur est parfois extrême. Dans l'
observation
I, une douleur de côté simule celle de la coliq
atteinte méningée dont la fréquence est notée par M. Netter; dans l'
observation
I, elle ne paraît cependant pas provoquée par l'h
sition avec une très forte élévation thermique, j'ai observé dans l'
observation
I un paradoxal abaissement du pouls, à 54. La p
par l'impotence plus ou moins complète (obs. III, VI, VIII). Dans l'
observation
IV, des douleurs spontanées, lan- cinantes, à e
'emblée de raideur des jambes et de difficulté de la marche. Dans l'
observation
VIII, dès le premier jour, le mai, le malade ne p
e jour de la maladie. L'apparition est souvent plus tardive. Dans l'
observation
XI, elle se révèle le 6e jour seulement par de
nférieurs. La distinction est nettement établie, par exemple dans l'
observation
VI, dans laquelle la maladie a évolué en deux p
la paralysie flasque peut être absolue, complète et totale : dans l'
observation
I, le malade ne peut faire le plus petit mouvemen
teil ou d'un doigt. La paralysie peut n'être que partielle ; dans l'
observation
XI, le malade ne peut élever la jambe au-dessus
ore : ils se sont limités à une sensation de fatigue extrême dans l'
observation
X, à de la faiblesse dans les jambes (obs. VIII
servation X, à de la faiblesse dans les jambes (obs. VIII) ; dans l'
observation
VII, Jour.... a pu pendant plusieurs jours cont
difications des réflexes et un cerlain degré de contracture. Dans l'
observation
XII notamment, l'évolution se faisant sous nos
membres inférieurs : nous trouvons le type paraplégique net dans l'
observation
III : l'élévation des membres infé- rieurs est
complète, la paralysie peut se compléter et se généraliser : dans l'
observation
II, nous avons vu sous nos yeux l'évolu- tion p
pasmodique. De même, la démarche est tout à fait spasmodique dans l'
observation
XI dès que le malade peut se lever ; il ne peut
; ils sont restés normaux au cours de toute l'évo. - lution dans l'
observation
I. Totalement abolis déjà au 8e jour dans l'obs
tion dans l'observation I. Totalement abolis déjà au 8e jour dans l'
observation
II, ils le sont restés jusqu'à la mort. L'aboli
L'abolition des réflexes existe au lie et au 6' jour dans les deux
observations
du récent mémoire de M. Netter et dans les cas
vés exagérés, souvent il est vrai à une phase assez tardive. Dans l'
observation
XI, normaux en- core au 6° jour, ils se sont ma
tés. Le clonus du pied a été observé dans tous ces cas, sauf dans l'
observation
VI ; son intensité est variable, depuis le clon
cas; le gros orteil, encore en flexion après trois semaines dans l'
observation
IV, était en extension vers le 35e jour. Dans l
dans l'observation IV, était en extension vers le 35e jour. Dans l'
observation
VI, le réflexe des orteils est resté normal.
rqué. Les réflexes des membres supérieurs ont été intéressés dans l'
observation
XII. Il est à noter que le seul cas dans lequel
ttes ont été observées dans l'obser- vation III au 12- jour. Dans l'
observation
XI, vers le20ejour, nous avons très nettement n
x membres supérieurs. Mouvements contro-latéraux également dans l'
observation
III, encore MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX É
our. Un état de contracture musculaire permanente a été noté dans l'
observation
IV. Du côté de la motilité viscérale, nous avon
motilité viscérale, nous avons observé la rétention d'urine dans l'
observation
III. Au 4° jour, jour de l'entrée au service, l
ions spontanées se sont réta- blies trois jours plus tard. Dans l'
observation
II, le relâchement des sphincters avec selles inv
ez tous les malades; elle a été particulièrement manifeste dans les
observations
I, II, III et V, et très précoce dans les deux pr
9e jour avec le début de phénomènes parétiques envahissants dans l'
observation
IL Dans l'observation I, des douleurs, intoléra
de phénomènes parétiques envahissants dans l'observation IL Dans l'
observation
I, des douleurs, intolérables d'abord, sont encor
lysie totale et complète ; elles ont disparu dès le 4° jour. Dans l'
observation
XI, elles commencent à s'atténuer vers le 10° j
jour, une ponction rachidienne est totale- ment indolore. Dans l'
observation
VI, l'hypoesthésie est nette. Hyperesthésie, au
muscles ou de l'os. ' Les viscéralgies extrêmement violentes dans l'
observation
I, signalées à la phase d'invasion, simulant le
our, disparue au 21e. Elle a persisté pendant près d'un mois dans l'
observation
VIII. La céphalée a été absente dans les observ
un mois dans l'observation VIII. La céphalée a été absente dans les
observations
IV et VI. Cette céphalée ne paraît pas en rappo
liquide céphalo-rachidien, en effet, a été observé notamment dans l'
observation
I. Au cours du 4e jour de la période d'état, le l
liquide clair comme de l'eau de roche au 20° et au 22° jour dans l'
observation
IV. Par contre, dans l'observation II, le liquide
che au 20° et au 22° jour dans l'observation IV. Par contre, dans l'
observation
II, le liquide, clair comme de l'eau de roche,
98 jour ; pas d'hypertension non plus au 8° jour, ni au 9e, dans l'
observation
XI, ni au 32e jour dans l'observation V. Il e
au 8° jour, ni au 9e, dans l'observation XI, ni au 32e jour dans l'
observation
V. Il est à noter cependant que dans des cas an
vasion ascendante s'ac- centuait ; elle s'établit au 7° jour dans l'
observation
XII, au 12e dans l'observation XI. - Dans ces
t ; elle s'établit au 7° jour dans l'observation XII, au 12e dans l'
observation
XI. - Dans ces deux derniers cas (obs. XI el XI
de courbature fé- brile. La température tombe au 13° jour dans l'
observation
IX, puis la phase pyrétique s'est prolongée jus
e s'établit en plateau vers 38° le soir j usqu : au). t jour dans t'
observation
VII, jusqu'au 33e jour dans l'observation V ; e
usqu : au). t jour dans t'observation VII, jusqu'au 33e jour dans l'
observation
V ; en plateau sub-fébrile vers 373 jusqu'au 22"
vation V ; en plateau sub-fébrile vers 373 jusqu'au 22" jour dans l'
observation
VI, au 29e dans l'observation VIII. Dans l'observ
ile vers 373 jusqu'au 22" jour dans l'observation VI, au 29e dans l'
observation
VIII. Dans l'observation VI, deux périodes pyré
jour dans l'observation VI, au 29e dans l'observation VIII. Dans l'
observation
VI, deux périodes pyrétiques dans les environs
s définitive ; et sou- vent des ascensions se reproduisent : dans l'
observation
XI, aux 15°, 16e, 26', 27e, 30°, 31e, 32', 39e
ssée rémittente à 39°, séparée par des périodes d'apyrexie ; dans l'
observation
XII, poussée à 37°6 le 21'jour après 15 jours d
our après 15 jours d'apyrexie ; puis aux 23e, 24e, 3o jours. Dans l'
observation
V, au 6e jour de l'apyrexie, une réascension se p
puis poussées à 37°3 répétées, après une dou- zaine de jours dans l'
observation
IV, dans laquelle la poussée thermique initiale
rexie ; poussée à 37°3 au 21e jour après 10 jours d'apyrexie dans l'
observation
VII. J'ai signalé déjà l'abaissement paradoxal
54 accompa- gnant l'élévation thermique énorme à l'invasion dans l'
observation
I. A la phase d'état, le pouls s'est maintenu a
d'assez notables oscillations. Le pouls a été bas également dans l'
observation
XI, mais seulement à la phase d'état, entre le
48 le 141, et le 18' jour ; il reste ensuite très instable. Dans l'
observation
XII, nous le 222 ETIENNE trouvons à 54 les 10
léchit légèrement sur les genoux en descendant l'es- calier. Dans l'
observation
VII, au 22e jour, le malade peut esquisser quel-
x paraissant les plus longs à rentrer en ordre. Par exemple, dans l'
observation
V, le 8 juin, environ au 40e jour, des ré- flex
es réflexes est souvent assez .tardive ; de même au 370 jour dans l'
observation
V ; les réflexes patellaires et achilléen sont
es orteils en extension à gauche et clonus du pied à gauche. Dans l'
observation
III, au 39*'jour, les réflexes patellaires sont
signe encéphalique autre que la céphalée, atroce au dé- but dans l'
observation
I ; sans signe méningé précis ; sans modification
démie, un grand polymorphisme neurologique : Myélite diffuse dans l'
observation
I. Myélite ascendante du type Landry dans l'obs
fuse dans l'observation I. Myélite ascendante du type Landry dans l'
observation
JI. Myélite transverse. En tous cas, le type
r leur intensité, depuis le cas de l'ohservation 1 jusqu'au cas des
observations
IX, X, et aussi leur mélange et leur groupement.
celui d'une jeune fille paralysée 13 mois aupara- vant ; que dans l'
observation
II, le sérum (Truchon) venait d'un grand infirm
SUR LA QUESTION DE LA POLYNÉVRITE SYPIIILITIQUE OU MERCURIELLE (
observation
D'UN cas mortel) PAR Karl PETREN Professeur
oupar intoxication mercurielle, pendant unecer- taine période de l'
observation
, m'a beaucoup troublé, comme d'ailleurs aussi c
publierai en un autre endroit); en conséquence je suis revenu à mon
observation
déjà un peu ancienne avec le tableau clinique d
discutée maintes fois déjà par les auteurs, je traiterai aussi des
observations
antérieures paraissant valables pour juger cette
ns antérieures paraissant valables pour juger cette question et les
observations
nouvelles publiées dans ces dernières années, c
ouvelles publiées dans ces dernières années, car plus le nombre des
observations
sera grand, mieux nous pourrons fonder notre op
fonder notre opinion sur la question. Je vais d'abord donner mon
observation
; ensuite je traiterai très briè- vement des ca
omme polynévrite syphi- litique ou comme polynévrite mercurielle.
Observation
. N. F..., homme de 23 ans. Entré à la clinique
la polynévrite, mais je me contenterai de citer très brièvement les
observations
cliniques qui peuvent contribuer à mettre en lu
e deux mala- dies est grande, plus il faut exiger un grand nombre d'
observations
où on a établi la coïncidence de deux maladies
e parésie. Progression des symptômes pendant l'année et demie que l'
observation
comprend. D'après mon opinion, il n'y a pas de
nt un traitement antisyphilitique. Des cas de cette espèce sont les
observations
de Nonne (obs. 382, 2. édition) et d'Aguglia (cit
'une polynévrite du type ordinaire. On trouve un certain nombre d'
observations
de cette espèce publiées où il est établi que l
e les malades avaient contracté la syphilis. Je fais suivre ici les
observations
que j'ai trouvées, où plus d'une année s'était pa
e l'infection de la syphilis et le développement de la polynévrite.
Observations
. Temps écoulé entre l'infection syphilitique et
rez ci-dessous) ne forme- raient qu'une petite partie du nombre des
observations
qui auraient été nécessaires pour permettre une
été contractée depuis plus d'une année. Il nous reste à traiter des
observations
où la polynévrite est apparue moins d'un an apr
fection syphilitique. Les cas suivent, tous briève- ment cités. .
Observations
. Temps écoulé entre l'infection syphilitique et
nte après traitement mercuriel. Je ne prends pas en considération l'
observation
ancienne de Rodet, parce que je ne la connais q
nature de l'affection semble incertaine. Ainsi nous avons trouvé 14
observations
où l'infection syphilitique n'a pas un an d'âge
de ces cas apparaît au moins incertaine. Pour ce qui est des deux
observations
citées ci-dessus, avec des symp- tômes aussi du
mbres en ces cas est due à une méningite (spinale). Pour les autres
observations
, il y en a où on retrouve un trait corres- pond
ance me semble rendre douteuse la façon dont il faut regarder cette
observation
. Encore pour le cas de Fry, la polyné- DE LA PO
philitique. Il me semble bien évident que nous pouvons, grâce à ces
observations
, conclure que la syphilis peut être la cause d'un
blement diminuée, quand elle est examinée par le compas de Weber. L'
observation
comprend un mois, pas de guérison pendant ce temp
- cure, sans qu'ils aient été atteints de syphilis, il faut citer l'
observation
1 de Spillmann et Etienne. Un homme qui était s
la polynévrite saturnine. Cepen- dant, je n'ai pas trouvé d'autres
observations
qui parlent en faveur d'une telle possibilité q
is ils n'ont pas été atteints par la syphilis, et par l'analyse des
observations
de cette espèce, nous sommes venus au résultat
anche et Ménard, probablement encore Brauer). Après cette revue des
observations
antérieures, nous revenons à mon cas publié ici
arue et a empiré pendant le traitement par le mercure. La revue des
observations
antérieures nous a appris que nous ne pouvons nie
e du diagnostic nous a causé des difficultés très grandes pendant l'
observation
de ce malade, et comme j'espère que nous pourro
iser des leçons pour le diagnostic de tels cas par l'étude de cette
observation
, je m'en occuperai en quelques mots. Le malade
toutes raisons de croire qu'il ne comportera aucune conséquence. L'
observation
suivante en est au moins une preuve : Observa
conséquence. L'observation suivante en est au moins une preuve :
Observation
(PI. XLVI). P..., 37 ans, artilleur, est un hom
près UNE FRACTURE MÉCONNUE DE la clavicule. Nous avons rapporté l'
observation
d'un malade chez qui survint une atrophie muscu
t du plexus brachial, à savoir un simple tiraillement pas- sager. L'
observation
suivante s'en rapproche en ce sens que l'amyotro-
umatisme, puisque les premiers symptômes survinrent 14 ans après.
Observation
(PI. XLVII). B..., 31 ans, homme assez vigoureu
ie a pu révéler la nature. C'est à ces deux points de vue que cette
observation
nous a paru mériter d'être rapportée. 260 - L
its'analogues ont encore'été publiés depuis lors, entre autres deux
observations
rapportées par Souques, Baudouin et Lantuéjoul
tits muscles de la main signalées par Pierre Marie et Foix (1). L'
observation
suivante montre que, pas plus au niveau des corne
philis. Il n'existe guère jusqu'ici, à notre connaissanee, que deux
observations
où une poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte
out à fait analogues à celles de la paralysie infantile, à savoir l'
observation
de Van Gehuchten et celle que nous avons publiée
la première. Le malade que nous avons observé en est une preuve :
Observation
I. L..., 32 ans, vigneron, homme fort et vigour
orté, sous le nom d' « atro- phie musculaire à type péronier », des
observations
probables d'amyo- trophie Charcot-Marie restant
encore de résultat thérapeutique. Le fait nouveau qu'apporte cette
observation
, c'est la possibilité pour une myélite syphilit
être ce fait n'est-il si exceptionnel qu'en apparence, et certaines
observations
publiées sous le nom d'atrophie musculaire type C
être révisées (1) ; rappelons seulement que le (t) Par exemple, une
observation
de la thèse de Sainton concerne un malade, sans
herches bibliographiques qui seraient nécessaires pour recourir aux
observations
originales (1). trophie type Charcot-Marie (mem
ROPHIQUE A TYPE SCAPULAIRE (1), PAR E. CARATI (de Bologne).
Observation
I (PI. XLIX). Notre première malade est une fem
rofesseur Déjerine à la Société de Neurologie le 1er juin 1911. .
Observation
II. o Notre second malade est un jeune homme de
ois. Dans ces conditions, il nous a paru intéressant de rapporter l'
observation
suivante : Observation (Pt. L). D... Achille,
s, il nous a paru intéressant de rapporter l'observation suivante :
Observation
(Pt. L). D... Achille, commerçant, 30 ans, sold
ons touchant la trophicité, il nous a semblé utile de relater ici l'
observation
de ce cas avec les considérations qu'elle nous
ation de ce cas avec les considérations qu'elle nous suggère. / `
Observation
Pl. LI). Il s'agit d'une jeune fille âgée de 13
ue . neurologique, de la Faculté de Médecine de Rio-de-Janeiro.
Observation
(PL LU). Eliza B..., 48 ans, blanche, domestiqu
enu impossible et la marche difficile. Tels sont les détails de l'
observation
. A notre avis, ils ne sauraient lais- ser subsi
e turcique. Deux symptômes importants retiennent l'attention dans l'
observation
que nous avons faite : un grand développement d
NTE-SERRA laire adipeux à l'occasion des grands efforts génitaux. L'
observation
quo- tidienne nous présente, en effet, fréquemm
u syndrome furent observés à une époque de ménopause précoce. Notre
observation
est encore-la confirmation de la doctrine qui éta
ns une catégorie morbide aussi vaste que celle des monstruosités, l'
observation
sagement conduite a réussi à séparer et à class
taines d'entre elles de l'autre, engagent à l'étude méticuleuse des
observations
qui se présentent, sinon par la dis- section an
pas inopportun de contribuer à la documenta- tion du sujet par les
observations
qui suivent. On verra par la descrip- tion qu'i
Iconogr. de la Salpêtrière, 1901, p. 128. 294 . ALOYSIO DE CASTRO
Observation
1 (PI. LUI et LIV). Le premier de nos cas (Poli
s indépendants, formés de trois phalanges chacun et munis d'ongles.
Observation
II (PI. LIII). Un cas d'espèce analogue à celui
e analogue à celui que nous venons de décrire s'est offert à' notre
observation
, il y a un an, dahs l'infirmerie de notre maître,
ex et le médius, ces deux derniers soudés sur toute leur extension.
Observation
III (Pl. LUI et LIV). L'observation qui suit se
dés sur toute leur extension. Observation III (Pl. LUI et LIV). L'
observation
qui suit se rapporte à un individu de 35 ans, men
. L'articulation du genou est déformée et en état de subluxation.
Observation
IV. Nous rapporterons enfin un dernier cas, ren
he était également réduit à une petite masse osseuse; mais dans son
observation
, on trouvait en même temps des anomalies bilaté
t-Dizier (Haute-Marne). APHASIE ET DYSARTHRIE, APROPOS DE DEUX- "
OBSERVATIONS
DE DIPLÉGIE INFANTILE, 1 - PAK N . le Prof. A
rvation du langage volontaire, ainsi que de l'écriture spontanée.
Observation
L Aphasie motrice. Diplégie spasmodique (PI. LV).
cas d'aphasie avec hémiplégie gauche. 11 ray- pelle à ce propos une
observation
de Taylor d'hémiplégie droite sans aphasie chez
ie infantile, soutient le même point de vue que Gaudard. Dans notre
observation
, le pronostic est beaucoup plus réservé. Malgré
éanmoins, peut-être pourra-t-elle apprendre à écrire à l'école. F
Observation
II. Dysarthrie spasmodique. Diplégie cérébrale -
Freud (S), par Déjerine(6). Op- penheim (7) a publié, en 1895, deux
observations
de dysarthrie, qu'il décrit sous le nom de para
paralysie pseudo-bulbaire infantile. Son élève l'eritz(8) réuni à 8
observations
d'Oppenheim 26 observations emprun- téesà diver
fantile. Son élève l'eritz(8) réuni à 8 observations d'Oppenheim 26
observations
emprun- téesà divers auteurs ! Il distingue deu
une l'autre par des formes de transition. C'était le cas dans notre
observation
11, qui est un exemple typique de cette forme m
ngue) appartiennent à la variété paralytique. En résumé, les deux
observations
que nous venons de relater sont des preuves viv
un cas heureux d'extirpation d'une tumeur solide du centre ovale.
OBSERVATION
. Une dame de 38 ans, L. M., que j'ai vue le 3 f
t : « Il n'existe pas dans la science plus d'environ une centaine d'
observations
d'hémorragies intrarachidiennes, et si l'on ajout
intrarachidiennes, et si l'on ajoute que la presque totalité de ces
observations
a dû être publiée, on-sera immédiatement frappé
voulu nous sou- mettre, viennent compléter la collection. . 1'0
Observation
I. Diagnostic clinique : Néphrite interstitiell
upture de vaisseau n'a été trouvée. Mais ce fait est compensé par l'
observation
faite dans l'artère cérébrale moyenne droite de
n aperçu des accidents pathogéniques que dans le cas en question.
Observation
IL ' Rut V..., employée de commerce, H5 ans.
cela n'est pas le cas, puisqu'il a été démontré que l'endroit où l'
observation
de la' veine rupturée fut faite correspondait à
e, l'encéphale et son système ventriculaire sont sans altération. -
Observation
IV. E. L..., employé de chemin de fer, âgé de 3
ies. Non plus d'épanche- ment sanguin dans d'autres endroits. Les
observations
III et IV sont ici reproduites comme exemples d'a
rébraux, donnant par leur rupture des hémorragies méningées. Dans l'
observation
III, il s'agit d'un grand anévrisme de )'artère
aires. SUR LES HÉlIlORIlAGmS MÉNINGÉES { 329"\'¡ , '4 J i ? l i
Observation
V. z E. H..., tailleur, âgé de 24 ans. Le pat
et lisse. La rate, les reins, le foie-sans rien à signaler. Cette
observation
présente beaucoup d'intérêt. La maladie, que le p
occupés. Comme nous l'avons déjà relevé dans la discussion de notre
observation
II, une certaine période latente peut s'écouler
renberg n'a trouvé de la syphilis indubitable que dans un seul cas (
observation
personnelle). Dans aucune de nos 5 observations n
ue dans un seul cas (observation personnelle). Dans aucune de nos 5
observations
nousn'avons pu trouver de traces de cette malad
iosclérose comme cause étiologique. Dans son tableau, comprenant 31
observations
, Ehrenberg fait ressortir que 61 0/0 des cas so
l'autopsié. Dans la grande statis- tique de Gowers, comprenant 653
observations
de l'hémorragie cérébrale, on en trouve. 22. 0/
is trop minces. Une trouvaille semblable se présenta aussi dans mon
observation
V. Dans la littérature, je n'ai trouvé un tel cas
chercher dans ces cas les hémorragies dites spontanées. Dans mon
observation
I, chez une femme de 34 ans, on a trouvé à l'au-
assez inattendue à t'age de la patiente, 34 ans. A cause de cette
observation
et vu l'analogie de ce qu'on connaît sur le rôl
l cas a été cité par Froin. A ce sujet, il faut mentionner dans mon
observation
1 l'hémorragie léthale coïncidant avec le début
rouve d'autre issue que de percer dans la pulpe. Cependant mes deux
observations
1 et III, qui sont toutes les deux des hémorrag
montrent que le jet de sang peut même ici déchirer la pulpe. Dans l'
observation
I, il y avait dans l'es- pace perforé antérieur
nner en premier lieu une hémorragie méningée. Cependant ma dernière
observation
démontre que ce n'est pas toujours le cas. Quan
nées d'une exagéra- tion de la température, comme le démontrent mes
observations
1 et V. La fièvre peut survenir très vite, comm
ns 1 et V. La fièvre peut survenir très vite, comme il ressort de l'
observation
V. Ce patient avait peu de temps après le début
le allongée. Une telle explication ne se laisse pas appli- quer à l'
observation
I, où il faut la regarder comme une pure fièvre d
obules blancs dépassant proportionnellement de beaucoup les rouges (
observations
1 et IV). Ce phénomène se manifeste surtout quel-
xposé ci-dessus, je ne puis pas me ranger de son côté. Dans cette
observation
de Bittorf, on a trouvé, à la première ponction
n certain droit d'en faire abstraction. Alors la description de son
observation
s'impose comme une pure hémorragie méningée, réci
courte note, à la Société de Neurologie le 7 juin 1917. Voici son
observation
complète accompagnée de radio et de photogra- p
observation complète accompagnée de radio et de photogra- phies.
Observation
(PI. LVlll et LIX). L... Georges, soldat de la
es dans le cours de névrites irritatives du médian. Mais dans leurs
observations
, il s'agissait de vraies causalgies. On ne saur
ue un autre de leurs caractères. Ils sont fixes et persistants. Les
observations
que nous avons réunies ont été prises respectiv
a variation des deux seuils ou seulement de l'un des deux. Dans l'
observation
IV, par exemple, nous trouvons pour l'adducteur d
entent la chronaxie et le temps utile. Nous avons trouvé dans notre
observation
II un muscle plus malade que les autres, le del
no 525. LES SYNDROMES frustes d'ihrltation du plexus brachial 359
Observation
. 1. - De P... Jean. Tiraillement du membre supé
ésent, des réactions normales. 360 CHIRAY, BOURGUIGNON ET ROGER .
Observation
IL V ? Pierre Marie. Lésion par balle dans la r
ffirmer l'existence d'un syndrome d'irritation pour C VIII et DI. ,
Observation
IV (PL. LXI), F... Ernest. - Contusion du membr
ctro-diagnostic..La mesure de la chronaxie n'a pu être faite, cette
observation
étant antérieure l'époque où le procédé a été déc
d'une lésion mi- irritative, mi-dégénérative du plexus brachial.
Observation
V (PI. LXII). J... Joseph. Traumatisme violent
nostic. Mais il est vraisemblable que, comme dans les pré- cédentes
observations
, on aurait trouvé une altération de la chronaxie,
xe oculo- cardiaque est un réflxe ti-ijumeau-yago-sympatlilque. ,
Observation
I. Blessure du pneumogastrique gauche. V... Ant
consistant dans un ralentissement de 15 à 20 pulsations par minute.
Observation
IL Blessure du pneumogastrique gauche. Min....
xe est inversé, il y a une accélération de quelques pulsations. .
Observation
III. - Blessure du pneumogastrique droit. Ch. C
issement de quelques pulsations n'est donc pas pour surprendre. -
Observation
IV. - Blessure du pneumogastrique droit. Ch...
l'oeil droit montre quelques pulsations d'un rythme plus rapide.
Observation
V. Blessure du pneumogastrique gauche. Ch... Je
blessé est toujours passablement enroué. Comme on le voit dans ces
observations
, il s'agit de sujets portant, des blessures de
une preuve absolue de la lésion de ce nerf. En effet, dans ces cinq
observations
, le réflexe ocu- locardiaque, normal du côté op
ion du diagnostic de déduire quelques consi- dérations générales.
Observation
. A... Martial, de la classe 1893, soldat de 2e
conjugale, encore que cette étiologie n'ait jamais figuré dans les
observations
publiées de névrite hypertrophique. Le début de
alées. , Nous observons le début à l'âge adulte, alors que dans les
observations
relatées, c'est dans l'enfance que le syndrome
spécia- lement aux articutations'métacarpo-phatangiennes, est d'une
observation
exceptionnelle. Dans la thèse de Fouquet (1) no
vons une photographie d'arthropathies de la main offrant avec notre
observation
certaine ressemblance ; toutefois notre cas dif
lations, T. XXXIX, 1912. RHUMATISME SYPHILITIQUE TERTIAIRE eiôâ
Observation
(PI. LXIII). M. Ch..., 64 ans, gantier. Père mo
thie tertiaire, mais aucun symptôme d'ostéite. De la a sorte, cette
observation
vient à l'appui de la description de l'hydarthros
sous une forme polyarticulaire qui puisse être rapprochée de cette
observation
. Par son début tardif, par son évolution indolo
de médecine de Rio-de-Janeiro Faculté de médecine de Rio-de-Janeiro
Observation
XVI (Policlinique générale de Rio-de-Janeiro).
en qu'on n'ait pu préciser l'examen, à cause du refus du sujet. .
Observation
XVII (PI. LXIV). F... F., blanc, brésilien, 20
: selle'turcique normale. , Réaction de Wassermann : positive.. -
Observation
XVIII (Hôpital de la « Misericordia ») (PI. LXIV)
tic immédiat, à la seule inspection des - formes extérieures. Notre
observation
nous a cependant permis de véri- fier que l'ins
génitaux, dont le développement se trouve compromis. (1) Voir les
observations
X, XI, XII et XIV (Nouvelle Iconographie'de la Sa
e en quelques cas une pré- dominance du système lymphatique. Dans l'
observation
XII, exemple formel du type simple de la dystro
co-lymphatique de Paltauf. C'est ici le lieu de citer les curieuses
observations
de Bartel et Her- mann, sur la coexistence de l
rissement des organes génitaux, avec absence de carac- (1) Voir les
observations
XII et XV (Nouvelle Iconographie de la Salpêtrièr
(1). » Souques, justifiant sa restriction finale, fait allusion à l'
observation
de Widal et Lutier, atrophie congénitale et com
fut décrite par Ancel et Bouin en 1906. Nous rapporterons encore l'
observation
d'Aubry, Jeandelize et Richon, cas typique d'in
ion de l'infanti- lisme testiculaire nous est encore fourni par les
observations
que nous a fait connaître notre docte collègue
idence. C'est là au moins ce qui résulte des analyses de toutes les
observations
, surtout de celles de Cordier et Rebattu. Ainsi a
orchidie qui lui reste subordonnée. Mais il est un certain nombre d'
observations
dans lesquelles l'atteinte primitive du testicu
ssif : Congrès français de médecine, Lyon, 1911, p. 469-410. Voir les
observations
de Gandy dans les thèses de L. RoL, Contributio
sont très rarement observés dans le sexe féminin. Nous (1) Voir les
observations
I et Il. (2) Voir les .observations III, V, VI,
aravant servi de l'expression géromor- phisme cutané, à propos de l'
observation
d'une fillette, dont la peau avait pris l'aspec
excessivement rare, sans modi- fication de volume, comme dans notre
observation
V, dont nous ne con- naissons aucun exemple sim
ême l'érection avec possibilité de copulation ; et l'on connaît des
observations
de transmission héréditaire de la dystrophie gé
rvico-dorsale serait commune dans ces cas, ce dont d'ailleurs notre
observation
discorde; raison pour laquelle nous ne faisons
es sont communes chez ces individus, comme en on peut juger par nos
observations
où elles sont signalées dans deux cas (obs. III
dans la formation et le déve- loppement du système dentaire. Des
observations
nombreuses montrent des défauts de développement,
s'est rencontrée normale. Nous ferons remarquer surtout que dans l'
observation
III, cas formel de type eunu- choïde, l'examen
out à fait insoutenable et doit être rejetée. Effectivement, ni nos
observations
personnelles, ni celles d'autres auteurs que no
intenant mérite une analyse attentive. Il résulte de la plupart des
observations
que les fonctions intellectuelles se révèlent c
ns le cas d'un ingénieur qui est une des lumières de sa classe. Les
observations
d'une infériorité intellectuelle évidente, ou s
ême refusent l'inspection des organes génitaux (obs. XVI). Dans nos
observations
III et XVIII il fut très difficile d'obte- nir
examen direct. - Il faut encore signaler que dans un petit nombre d'
observations
on rencontre même une tendance à la simulation
l n'est pas rare d'en voir se marier et plus d'une fois. Quelques
observations
plus rares révèlent de patents exemples de psy-
glandulaire figurent la polyurie et le diabète insipide, ce que nos
observations
n'ont pas confirmé. Pour l'état de sang, sans e
'eunuchoï- disme prépubère. - Chez le malade auquel se rapporte l'
observation
VI, après l'atrophie des testicules qui ont pri
sur le testicule. . 1 L'action du traumatisme a été prouvée par des
observations
faites en certaines régions du Mexique, sur des
/ me semble que l'idée d'une relation de cause à effel (1) Voir les
observations
IV et XVII I. J (2) J. Babinski, Tumeur du corp
nules superficielles visibles sur la peau, rapportées dans diverses
observations
du syndrome de Frôhlich, se retrouvent dans le
ôhlich, se retrouvent dans le type eunuchoïde repré- senté en notre
observation
XVII. - On connaît des différences symptomatiqu
l'hypothèse du syndrome de Frôhlich de début précoce, de nombreuses
observations
assurent la possibilité d'une taille élevée ; à
t distinctif ne pourra pas servir dans la généralité des cas. Notre
observation
III, où nous avons trouvé toutes les caractéris
curvation du tronc est déterminée par la dou- leur. C'est un fait d'
observation
banale que, pour calmer la douleur dor- so-lomb
uments persuasifs et probants. Voici, sans commentaires, quelques
observations
de camptocormie traitée et guérie par l'électro
r le corset est, en effet, long et relativement incertain. Dans les
observations
rappor- tées ci-dessus, on peut voir que, chez
AULT D'ALLON- NES, 162. Aphasie et dysarthrie, à propos de deux
observations
de diplégie infantile, par d'Espine, 301. Aph
on qu'il a représentée sur un dessin que l'on trouvera annexé à l'
OBSERVATION
IV. Peu de temps après se présentait à la Salpê
la sciatique que grâce à la connaissance de ce carac- tère. Les
observations
que nous publions sont au nombre de 5, dont 2 n
lpêtrière. Nous commencerons par exposer une à une chacune de ces
observations
en cherchant à établir qu'il s'agit réelle- men
fondues avec elle et qui sont sous la dépendance d'autres causes.
Observation
I. (Voir l'caacue I, fig. 1 et 2.) R..., tren
car les caractères positifs et négatifs relevés dans le cours de l'
observation
sont, nous semble-t-il, tout à fait concluants
le qu'elle doive être mise sur le compte de cette affection. ..
Observation
II. (Voir Planche II, fig. 1 et 2.) L..., tre
ion des dou- leurs et elle est liée manifestement à la sciatique.
Observation
111. (Voir Planche III, fig. 1 et 2.) M..., t
ut, mais elle existe encore. Nous ne pourrions, à propos de cette
observation
, que répéter ce que nous avons dit au sujet des
observation, que répéter ce que nous avons dit au sujet des deux
observations
précédentes. Pour des motifs analogues à ceux q
ostic de sciatique s'impose, et il suffit de lire attentivement l'
observation
pour ne conserver aucun doute à cet égard. La d
dents, manifestement sous la dépendance de la sciatique. Les deux
observations
succinctes qui suivent se rap- portent à deux m
les caractères essentiels de la déformation qu'ils présentaient.
Observation
IV. Malade examiné le 3 septembre 1886. Sciat
du côté gauche. Léger amaigrissement du membre inférieur gauche,
Observation
V. ' Malade âgé de quarante-sept ans et demi, e
légère amyotrophie du membre inférieur gauche. Ces deux dernières
observations
sont évidemment trop brèves pour qu'il soit pos
if, ne peut être mis en doute ? Nous croyons avoir établi que les
observations
pré- citées ont bien trait à l'affection connue
us devons cher- cher actuellement, par l'étude comparative de ces
observations
, à voir si l'attitude anormale que nous avons s
rieurs. Occupons-nous d'abord de la situation des épaules. Dans t'
OBSERVATioN
I (sciatique gauche), l'épaule droite est situé
DE LA DÉFORMATION DU TRONC. 1e'7 Ainsi donc, ce n'est que dans t'
OBSERVATioN
1 que se trouve indiquée la situation d'une épa
ion. Eludions maintenant l'attitude du tronc et du bassin. Dans l'
OBSERVATION
1 (sciatique gauche) le tronc est incliné à dro
jours la même dans ses principaux traits. En effet, dans toutes les
observations
, on note que le tronc est incliné du côté oppos
impossible de voir sur les croquis se rapporlant aux deux dernières
observations
s'il y existe la même disposition. Pour ce moti
ive des deux crêtes iliaques n'est pas mention- née dans les autres
observations
; il est vraisemblable qu'elle était semblable
l nous reste à considérer l'attitude des membres inférieurs. Dans l'
OBSERVATiON
I (sciatique gauche) la jambe droite est légère
porte à terre de deux côtés mais appuie davantage à droite. Dans l'
OBSERVATiON
II il est noté que la plante des pieds repose d
té que la plante des pieds repose des deux côtés sur le sol. Dans l'
OBSERVATION
III on remarque que le malade repose presque ex
la pointe du pied droit (il s'agit d'une sciatique droite). Dans l'
OBSERVATION
V les deux pieds portent à terre dans toute leu
ntion de l'état du pied. En somme, comme on le voit dans toutes les
observations
où l'attention a été dirigée de ce côté, on a c
core l'étudier à d'autres points de vue. Dans les trois premières
observations
il est noté qu'il est impossible de modifier l'
ous ne pouvons pas, par conséquent, répondre à ces questions. Nos
observations
ne peuvent nous donner des no- tions complètes
s quelques renseignements qu'elles nous donnent à cet égard. Dans l'
OBSERVATION
I la déforma- tion du tronc commença à se dével
se développer un an environ après l'apparition des douleurs. Dans l'
OBSERVATION
II, deux mois après le début de la sciatique al
ances devenaient plus fortes, la déformation ap- paraissait. Dans l'
OBSERVATION
III il est noté que le lendemain du jour où l'a
la malade tient le tronc fortement incliné du côté gauche. Dans l'
OBSERVATION
V la déformation ne s'est déve- loppée que neuf
emarquer en effet, de la façon la plus nette, que dans trois de nos
observations
l'attitude vicieuse a apparu en même temps que
tensité aux divers moments de la journée. C'est ainsi que dans l'
OBSERVATION
III la malade est moins inclinée le matin à son
ation un peu moins accentuée. Chez la malade qui fait le sujet de l'
OBSERVATION
III, il en a été de même ; quinze jours après l
moins accentuée que chez les malades dont nous avons rapporté les
observations
. Or, il est indispensable, pour percevoir nette
st pas tout simplement l'apanage des sciatiques in- tenses, car nos
observations
se rapportent à des cas de sciatique de cette c
que, même dans la position horizon- tale, comme on l'a vu dans nos
observations
, les ma- lades ne peuvent modifier leur attitud
otti, à propos de la malade Gom..., dont nous donnons plus loin l'
observation
. Il établit le diagnostic différentiel de ce ca
troubles analogues et appuie sa description sur un certain nombre d'
observations
cli- niques très intéressantes dans ses Leçons
. On peut aussi faire rentrer dans le cadre que nous esquissons l'
observation
que nous rapportons plus loin, publiée par Erle
e titre « Para- plégie infantile du seul acte de la marche », une
observation
que nous reproduisons et la rapproche des faits
orme à la description contenue dans les leçons de cet auteur. Cette
observation
n'est publiée qu'à titre de document et n'est a
superflu de les analyser à cette place. II. Exposé des faits. Les
observations
que nous avons rassemblées, et qui forment la b
t ressortir leur groupement. Les différences qui existent entre ces
observations
représentent en quelque sorte les divers degrés
n de la station et de la marche. Ainsi, dans les quatre premières
observations
, la fonction est complètement absolue; dans l'o
absolue; dans l'observa- tion V, elle n'est qu'affaiblie; dans les
observations
VI, VII, VIII, IX et X elle est troublée; enfin
VI, VII, VIII, IX et X elle est troublée; enfin, dans la dernière
observation
, l'astasie et l'abasie n'intervien- nent qu'à t
vers troubles de coordination jusqu'ici décrits et caté- gorisés.
Observation
1. (Rédigée d'après les notes communiquées par
huit jours, la situation et la marche étaient redevenues faciles.
Observation
II. (Rédigée d'après les notes communiquées par
s après, le malade n'avait plus eu aucun accident nerveux depuis.
Observation
III. (Personnelle.) Henri Gob..., âgé de quin
enue depuis, et qui n'a soutfert d'aucun autre trouble ner- veux.
Observation
IV. (Dr Serafeno ROME.) Antoine D. M..., jeun
agéré ni diminué. ' DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 39 De toutes ces
observations
je ne pouvais conclure qu'à une ano- malie cons
r pied on constatait une impuis- sance motrice qui faisait pitié.
Observation
V. WEIR-IITCHEI.L. (Résumée.) Mm0 B..., âgée
es efforts qui dépassent le but, et la rejettent de l'autre côté.
Observation
VI. (Rédigée d'après les notes communiquées par
mps. L'état général est bon : aucun trouble des autres appareils.
Observation
VII. (Rédigée d'après les notes communiquées pa
tion, à l'aide de béquilles les membres fléchis restent en l'air.
Observation
VIII. Erlenmeyer. (Résumée.) A... T..., vingt
cé d'une chute. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité cutanée.
Observation
IX. (Rédigée d'après les notes de I. le ]).. B,
de balancement entre les attaques et la difficulté de la marche.
Observation
X. (Communiquée par mon ami le Dr BABINSKI, che
com- plètement guérie : les crises elles-mêmes n'ont pas reparu.
Observation
XI. (Personnelle.) 111°e Ch..., couturière, â
e française qui, en s'appuyant sur les bases tra- ditionnelles de l'
observation
unie à l'expérimentation, ont su tirer du-chaos
s qui surgissent lorsque l'on cherche à interpréter les différentes
observations
publiées. Ces observations d'hypersécrétion sud
on cherche à interpréter les différentes observations publiées. Ces
observations
d'hypersécrétion sudorale limitée à la face ne
s que nous avons personnellement recueillis. Lorsqu'on étudie ces
observations
, on peut remar- quer que dans toutes, le systèm
revue. Nous nous proposons donc ici, après avoir relaté les deux
observations
qui ont été le point de départ de ces recherche
ie d'origine cérébrale la fonction est égale des deux côtés. Ir
OBSERVATION
. - Ephidrose faciale droite. Mydriase du côté
système nerveux cérébro-spinal. A cette catégorie appartiennent les
observations
suivantes : Bichat cite le fait d'un malade att
d'éphidrose faciale chez des paralytiques généraux. Bazire relate l'
observation
d'un ataxique chez qui, au moment des paroxysme
'un côté de la face lorsqu'il marchait vite. Meschede signale une
observation
d'hémidrose, sur- tout prononcée au visage et d
nt la tempe et le front. Morselli(de Flo- rence) a publié en 1870 l'
observation
que nous don- nons en résumé : Femme de cinqu
égénérescence graisseuse des ganglions. Nous avons rapporté cette
observation
avec quelques déve- loppements. C'est en effet
ement du myosis du côté de l'éphidrose. Weir Dlitchell rapporte une
observation
dans laquelle deux ans après une blessure du co
ner l'explication de ce symptôme. M. Riehl a publié, en 1884, une
observation
dont voici le résumé : Femme atteinte depuis
n'étaient altérées ni au-dessus ni au-dessous du ganglion. Cette
observation
nous paraît être la seule dans laquelle, avec l
de paralysie du sympathique cervical. On trouve encore dans cette
observation
, sur laquelle nous insistons à dessein, une lés
res, dilatation des vais- seaux. M. Riehl cite dans son travail une
observation
due à M. Guttmann et qui se rapproche par beauc
e gauche dit Guttmann est un peu douloureuse. Dans cette deuxième
observation
il y a paralysie des fibres vaso-motrices, comm
observation il y a paralysie des fibres vaso-motrices, comme dans l'
observation
de M. Riehl, et, comme dans celle-ci, on se tro
t également dans cette classe que l'on doit ranger notre deuxième
observation
. Le nommé Emile S..., commissionnaire, âgé de t
u'elle avait. A cette classe appartiennent aussi la plupart des
observations
d'éphidrose parotidienne. Le plus sou- vent, en
s celle de M. Bouveret, dans un travail de M. Bergou- nhioux, des
observations
semblables de malades trai- tés dans le service
ons semblables de malades trai- tés dans le service de Nélaton. Ces
observations
ne sont pas très rares. Comme le fait remarqu
u'il prenait des aliments salés ou de haut goût. Barthez a publié l'
observation
d'un homme qui suait d'un seul côté de la face,
gue qui 72 CLINIQUE NERVEUSE. était excoriée. Hartmann rappelle l'
observation
d'un homme qui suait du côté gauche de la face
s gastriques, suait d'un côté de la face. Il rapporte également une
observation
intéres- sante où une éphidrose latérale de la
les sujets sont seulement des neurasthéniques. Tuke rapporte une
observation
de Gratiolet, dans la- quelle une excitation ém
t suivie d'une éphidrose unilatérale de la tête. Bartholow cite l'
observation
d'une femme qui pré- sentait par instants des a
santé. M. Leudet (de Rouen) a rapporté au congrès de Bor- deaux l'
observation
d'une femme nerveuse atteinte d'éphidrose latér
illaires, mais amblyopie du même côté. En résumé, dans toutes les
observations
d'éphidrose de la face, il est possible de note
probablement parmi les faits de ce genre que l'on doit classer les
observations
où l'on n'a noté aucune lésion apparente dans l
et P. BRICON IV. VERTIGES PROCURSIFS. Nous avons déjà vu dans les
observations
précé- dentes des malades présenter concurremme
épendant de l'accès, Tel est le cas du malade qui fait l'objet de l'
observation
sui- vante : Observation XXV. -Père, mort pht
le cas du malade qui fait l'objet de l'observation sui- vante :
Observation
XXV. -Père, mort phthisique. Mère migrai- neuse
1886. Janvier. 48 kil. - Août. 45 kil. Taille. - 1 m. 59. Cette
observation
est intéressante à bien des points de vue. Nous
es derniers temps '. Comme nous l'avons mentionné dans nos diverses
observations
que nous avons publiées, la migraine semble jou
sans une grande perte pour la république '. » La lecture de cette
observation
, dans laquelle l'illustre Am- broise Paré prend
jusqu'au xix° siècle, suivirent A. Paré, pu- blièrent la vérité des
observations
de sommeil hystérique, mais nul mieux que lui n
peut se terminer par l'extinction totale de la vie. » Suivent des
observations
personnelles caractéristiques aux- quelles nous
- tus dont Louyer-Villermay est le continuateur3. Les précédentes
observations
sont soigneusement relevées par Landouzy qui, d
stériques avec sommeil sont peu communes et ont très peu ' Quelques
observations
pour servir H l'histoire de la léthargie. Paris,
aux autres, créa pour ainsi dire une nouvelle entité morbide dont l'
observation
et l'interprétation en ce qui regarde les sympt
phie la plus complète que nous possédions encore sur la question. L'
observation
XI, dont la malade qui en est le sujet est enco
e et les considérations dont l'auteur la fait suivre, ainsi que les
observations
IX et X, nous seront d'un grand secours dans la
orner, nous n'en rapporterons qu'un seul absolument typique, dont l'
observation
a été rédigée sur les notes qui nous ont été ob
. ' Avant d'aller plus loin, il nous sera permis de rapporter ' l'
observation
de la dormeuse de Thenelles (près Origny), qui a
s clichés. 100 REVUE CRITIQUE. M. B... qui fait le sujet de celte
observation
, bien que délicate pendant son enfance, n'avait
rde spécialement les attaques de sommeil, la lecture des nombreuses
observations
rapportées par les auteurs nous montre que les
l sur la nature hystérique des phénomènes actuellement soumis à son
observation
. Son diagnostic trouve donc dans les anamnestiq
résulte, pour nous tant de la lecture d'un nombre consi- dérable d'
observations
que des opinions émises par les divers auteurs
ui avait fait écrire « qu'on n'en trouve pas d'exemple dans les 350
observations
analysées par M. Landouzy » alors que, sous le
de mort apparente, cet auteur (p. 67) ne rapporte pas moins de 27
observations
tant personnelles qu'empruntées à ses prédé- ce
spéciaux dans les condi- tions que nous venons d'énumérer. Quatorze
observations
à l'appui. On les rencontre plutôt, il est vrai
ce para- LYTIQUE ; par PEHZOEUS. (Neurol. CenGralbl., 1886.) Deux
observations
: l'une d' hypercrinie salivaire avec douleurs
et décédée tout à coup le dix- septième jour de sa.... guérison. L'
observation
a déjà été pré- sentée à l'Académie, mais ce qu
la mémoire. La vivacité du souvenir est très nette dans la nouvelle
observation
qu'il communique. Elle nous explique la répétit
uveau livre sur la suggestion mentale. Il se sert du texte de leurs
observations
pour prouver que les sujets sur lesquels ils on
. En terminant, M. Voisin tire une déduction thérapeutique de son
observation
: c'est la suppression momentanée (six mois) des
organes des sens. Mais il n'y a là qu'une apparence. Discutant son
observation
, M. Ballet montre que son malade était un nerve
ommes de terre comme nécessaires en l'espèce. Sous le mérite de ces
observations
, le mémoire de M. WulIF est adopté. Seconde séa
e- ment scolaire municipal de Gera, communique le résultat de ses
observations
et de l'expérience qu'il a faite des classes dest
ues analytiques. 121(7 SOCIÉTÉS SAVANTES.. L'immense majorité des
observations
dans lesquelles il y avait dégénérescence limit
t indemnes, les cordons postérieurs. M. luerstnereu communique deux
observations
. Evolution très rapide; deux ans au maximum ; é
M. le professeur Thomas (de Fribourg). S1tI'Wl cas de polynévrite.
Observations
d'un homme de trente-deux ans, grand buveur de
omplexus clinique observé. Or Kast a observé les faits suivants :
Observation
I. Enfant de six mois pris soudain pendant la nui
le des réactions colorées différentes même à l'état nurmal. -Courte
observation
de tubercule dans la moelle épinière et le bulb
lonnes de Clarke. M. le professeur Berlin (de Stutlgarl). Nouvelles
observations
de dyslexie avec autopsie. Le terme de dyslexic
Berlin n'a pas examiné à ce point de vue ses malades, c'est que ses
observations
sont anté- rieures au schéma de Lichlheim. D'ai
on doit résider dans l'hémisphère gauche, si l'on s'en rapporte à l'
observation
quasi simultanée d'accidents paralytiques, conv
ainsi qu'à quatre des nécropsies qu'a vues M. Berlin. Sur les deux
observations
qui lui sont personnelles il a vu, en un cas, a
de leur localisation clinique dans le présent ou dans l'avenir, les
observations
cliniques actuelles relatives à la dyslexie con
oba- tion sur un grand nombre de bancs.) M. Bardoux. J'adhère aux
observations
qui viennent d'être pré- sentées par l'honorabl
cuper seul de ces fonctions-là. Je lis dans un document sérieux ces
observations
aussi vraies que pro- fondes : « Les biens de
ces deux agents. Messieurs, je désire m'expliquer également sur une
observation
qui a été présentée par mon honorable collègue
s'applique à l'administrateur provisoire. sénat. 143 Quant aux
observations
qui vous étaient présentées tout à l'heure par
s me les approprier ; mais, je dois le dire, je compte tirer de ces
observations
, sur lesquelles j'aurai l'honneur de revenir plus
me permettre, monsieur le' président, de présenter de ma place une
observation
? Il me parait nécessaire de retrancher de l'ar
dent. M. Paris. Le Sénat me permettra de lui soumettre encore une
observation
. Vous savez que, d'après l'article 7, les aliénés
ux asiles pri- vés ; la commission tiendra certainement compte de l'
observation
. Il est évident que le préfet ne peut pas être
qui seuls sont soumis à la visite du préfet. M. Paris. Ma dernière
observation
est motivée par le désir que j'ai d'améliorer l
Cela est dans l'article. M. LE Rapporteur. Il sera tenu compte des
observations
de M. Paris lors de la deuxième délibération.
çon souveraine par 11. le ministre de l'intérieur, je retirerai mes
observations
; mais si vous déterminez le choix par un examen
e Gavardie. Messieurs, après avoir accueilli autour de moi bien des
observations
, je pensais que cet article ne serait accepté p
sons. En ce qui concerne les points suivants : sélection des cas;
observations
de la maladie et de la mort des aliénés; logement
ts DIVERS. 157 mentaire; état du couchage, des vêtements, etc., des
observations
défavorables ont été faites maintes fois. 1tlal
ications nous citerons : Des tumeurs sanguines de l'oreille (1859);
Observation
de syphilis constitution avec zona et ictère (Gaz
fOlI1T00GLQÛE DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE1 j Par WLADIMIR ROTH.
Observation
II. Homme de vingt-deux ans. - A onze ans panar
en par le compas de Weber, on observe un phénomène qui, d'après mes
observations
, n'est pas rare : l'épaule supérieure, par exem
de la moelle épinière, ayant une symptomato- iogie semblable. «
Observation
III. Homme de cinquante-quatre ans. Theermo-ane
ui, chez notre malade, s'était manifestée à un degré très marqué.
Observation
IV. Demoiselle âgée de vingt-sept ans. - Des do
ux, ce qui explique leur sensibilité douloureuse à la pression.
Observation
V. Homme de trente ans. Thermanesthésie partiel
manesthésie isolée, occupant un espace considérable dans d'autres
observations
également. L'atrophie musculaire associée à l'a
fondamentaux de la maladie, contribue au tableau clinique de notre
observation
en lui prêtant ses traits caractéristiques. (,t
PAUL BLOCQ, interne des hôpitaux. III. Description du syndrome. Les
observations
qui précèdent nous permettront de tracer l'esqu
à cloche-pied , la marche à quatre pattes. Nous n'avons pu faire d'
observations
concernant d'autres combinaisons musculaires co
n'est possible qu'avec des aides. » Assez fréquemment (5/11 de nos
observations
), les désordres du mouvement sont accompagnés d
et l'état général reste bon. 192 pathologie NERVEUSE. D'après nos
observations
et la description que nous en avons tirée, il e
de fait, ce diagnostic a été porté au sujet de la ma- lade de notre
observation
I), mais ce n'est pas l'ataxie tabétique. Dans
tement qui a été institué et suivi de succès dans la plupart de nos
observations
n'est autre que celui que M. Charcot applique d
, t. I, p. 150 (traduction française de D. Nolen). Paris, 1877. 2
Observation
in Th. Michaux. DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 20
corticale; mais il semble, par contre, que dans l'une au moins des
observations
(la dixième), l'affection aurait été primitivem
ation purement dynamique sans lésion matérielle appréciable, et nos
observations
montrent suffisamment qu'elle peut se trouver a
ui ne man- quera pas d'être résolue sans doute bientôt à l'aide d'
observations
appropriées. CLINIQUE NERVEUSE DES ÉPHIDROS1
emander la solution du pro- blème. Lorsqu'on examine les diverses
observations
d'éphi- drose de la face, on en trouve plusieur
on du tronc du sympathique cervical. Toutefois, dans les nombreuses
observations
où une phase d'excitation a précédé une paralys
trices paraissent donc nette- ment séparées. De même., il y a des
observations
où les filets sudo- raux sont seuls excités (ép
cités (éphidrose), les filets irido-dila- tateurs restant indemnes (
observation
de 0. Berger, notre observation H, par exemple,
o-dila- tateurs restant indemnes (observation de 0. Berger, notre
observation
H, par exemple, la plupart des observations de
on de 0. Berger, notre observation H, par exemple, la plupart des
observations
de notre quatrième classe), nouvelle raison enc
utre que, comme nous l'avons dit, on ne voit pas signalées dans les
observations
d'excitation du sympathique, la mydriase et l'é
SJc. physiol., Berlin, septembre 1819. 3 Thèse citée. . Voir l'
observation
de Raymond et (Iieviie de 22zé(leciiie, 18S4.)
signe fait défaut : quant aux autres symptômes du tabes moteur, l'
observation
a montré qu'il n'en existait aucun. Il n'est
uels on constate une altération des ganglions sympathiques (notre
observation
II) et dans lesquels on observe, suivant les ca
a solution du problème à de nouvelles expériences, à de nouvelles
observations
. Quant aux altérations des ganglions du grand s
on ne trouve qu'intégrité absolue du système nerveux. M. dans les
observations
qu'il rapporte d'é- phidrose faciale survenant
hl, Mickle; nous nous croyons donc autorisé à réunir notre deuxième
observation
aux faits précédents et à nous rallier à l'opin
tion sur deux ordres de faits que l'on trouve dans notre première
observation
, comme d'ailleurs dans plusieurs des cas ci-des
ue encore une des formes les plus communes de l'épilepsie larvée.
Observation
XXXVI. Grand'mère paternelle morte d'apoplexie.
l'autre correspondant à la période mél71ll- gilique terminale. '
Observation
XXXVII. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle,
it, parcourt la salle, puis va se coucher dans le premier lit venu.
Observation
XXXVIII. - Pas d'antécédents héréditaires. - Inco
ève parfois, va embrasser son père inconsciemment et se recouche.
Observation
.T1RI\. - Père mort d'un cancer de la langue. -
e sous les tables, les armoires, de prétendus rats et des souris.
Observation
XL. Père douteux. Mère débauchée. - Début des a
es accès, Lacro... déchire régulièrement ses draps et ses effets.
Observation
-Epilepsie. Légère déchéance intellectuelle.- A
mp, comme si c'élait un véri- table lit. 246 CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
XLIII. -Père, mort plzllhisique. Un frère, mort d
PI... cherchait à sortir, il fallait le maintenir, le surveiller.
Observation
XLIV. - Père mort phthisique. Un oncle paternel
s qu'il s'en doute. Au bout de quelques minutes, il revint à lui.
Observation
XLV. Mère, nerveuse, inconduite, migraineuse, m
ce malade l'automatisme à la suite d'un accès le 8 février 1882.
Observation
XLVI. - Père diabétique. Grand'mère paternelle
édents, mais leur importance en médecine légale est bien moindre.
Observation
XLVII - Mère, morte d'un cancer au sein. Début
l'accès il fait semblant de coudre au moins pendant dix minutes.
Observation
X).VU ? P'euCOOMe, céplaulcclqique, rhumatisant,
onnait avec les mains, faisait mouvoir sa langue entre les dents.
Observation
XLIX. - A ! <M. Diminution des facultés inte
s les suivants, observés chez des malades du service de Bicêtre :
Observation
L. - Père alcoolique. - Mère phthisique. - Soeurs
ille) et y est décédé le 15 avril 188. 250 CLINIQUE NERVEUSE. L'
observation
de ce malade a déjà été publié par l'un de nous*.
la langue, mais urine quelquefois sous lui; enfin il se rendort.
Observation
LI ! . -Mère hystérique, intelligence peu dévelop
uve disséminées dans les journaux et les recueils de médecine des
observations
de malades atteints d'épilepsie accompa- gnée d
ileptoïdes, 0. Berger - établit un rapprochement entre une de ses
observations
et celle publiée antérieurement par Sem- mola,
èrement, laissant au lecteur le soin de juger eu dernier ressort.
Observation
LUI. Mère morte maniaque. Signes légers de dégé
n'aurait 1 Nous n'avons pas la prétention de relater ici toutes les
observations
d'automatisme publiés par les auteurs; il nous
eut-être à Herpin que nous sommes redevables du plus grand nombre d'
observations
de ce genre. (Loc. cit., p. Hi, 153, 154, 155,
8, 159, 186, 193, 195. 199). - Voir encore pour l'auto- matisme les
observations
de Stevens et C. H. Hughes (The A/iellisl and l
'abord. IIeclcer' rapporte, à l'appui des idées de Kahlbaum, deux
observations
de Catatonie, passibles cependant de sérieuses
ssif (mélancolie), pathétique (Catatonie). Neuendorff rapporte deux
observations
qui lui ont été com- muniquées, présentant d'ai
complir un acte donné. Il rapporte d'ail- leurs un certain nombre d'
observations
intéressantes qui le mènent à conclure que ce n
it. Or ici, il n'en est plus de même et en analysant les nombreuses
observations
publiées par les auteurs, nous pou- vons dire q
. Si même la résolution muscu- laire semble complète au moment de l'
observation
, on sera presque certain de voir apparaître une
onnellement il atteint 128 bat- tements (OBs. VIII, Achard). Dans l'
observation
de Pfendler, où la léthargie dura 18 mois, le p
vement ces chiffres qui ont été notés par le Dr Charlier dans notre
observation
, pendant près de quatre années consécutives,
nous le verrons ultérieurement. Il ressort clairement de toutes les
observations
que si la température centrale est le plus sou-
ner) préfèrent avoir recours à la sonde oesophagienne. Dans notre
observation
, la sonde qui ne pouvait être introduite que pa
de pareils sujets sans ali- mentation. Il faut donc se reporter aux
observations
anciennes et celles-ci sont bien insuffisantes
urage. Pfendler (p. 13) emprunte au Journal des savants de 1846 l'
observation
d'une dame anglaise qui resta pendant 7 jours d
et partant ne dut pas manger; cependant elle revint à la santé. L'
observation
suivante, que nous empruntons au Diction- naire
llis. M. Keser nous écrivait à la date du 25 mai z1887 : «... Mon
observation
a été rendue difficile et incomplète par le ref
ar M. Woodland, fellow de la Société des chimistes. ' Voy. pour l'
observation
de ce malade, le nommé Chauffât, qui a été surt
ine, néant. Sucre : traces. Ce qui nous frappe le plus dans cette
observation
, c'est la différence entre les analyses du sept
00 gram- ' Depuis l'époque où il nous écrivait, M. Keser a publié l'
observation
complète de Chauffât dans « The journal of ment
attaques de sommeil'. Nous venons de voir, par la lecture même de l'
observation
de M. Keser, que, dans certains cas tout au moi
hésiques. C'est ce qu'a très bien noté M. Keser (Sein, méd.) dans l'
observation
deCh... « A la jambe, ' L'hypnotisme et les éta
eil par M. Charcot, ainsi qu'on en pourra juger par la lecture de l'
observation
X rapportée par Bourne- ville et Regnard. Nous
rôle d'un agent esthésiogèue. C'est ce qu'a noté M. Charlier dans l'
observation
que nous avons rédigée sur ses notes : « L'anes
ont eu des rêves agréables et des cauchemars. » Enfin, comme dans l'
observation
de Pitres et dans celle de Keser, on peut voir
enir. » Nous ne pouvons à ce sujet nous empêcher de rapporter une
observation
de Pfedler (loc. cil., p. 11), qui nous semble
sommeil au point de vue médico-légal. 28 ? . REVUE CRITIQUE. . L'
observation
de Pfendler concerne plus particulièrement la c
ue, nous pouvons dire qu'à plusieurs reprises, elle fut, dans notre
observation
, de deux mois et plus. Quant à sa durée relativ
, Ons. 1); -, quatre ans, trois mois et onze jours-(id., mais cette
observation
est peu concluante). De plus, les récidives s
a dernière malade en avait eu un nombre qui n'a pas été noté. » L'
observation
XI de MM. Bourneville et Regnard est surtout in
produit un véritable délire de parole. » M. Landouzy a publié une
observation
dans laquelle le réveil, ainsi que le sommeil d
spinal. Quoi qu'il en soit, on lira avec intérêt le complément de l'
observation
de M. Martinenq : Autopsie (vingt-quatre heur
rapprocherons du fait de Martinenq et du cas de Ler... la première
observation
de Pfendler. Elle est relative à un hystérique
à fournir quelques renseignements et Briquet, relatant (p. 416) une
observation
d'apoplexie hystérique, disait : « Marie B... n
hémianesthésique par lésion du cerveau. Il résulterait même d'une
observation
inédite de M. Charcot relative au malade précéd
être obtenue à l'aide de ce procédé de recherches. L'analyse des
observations
publiées par les auteurs qui ont eu à traiter d
tre spontané, ainsi que M. Vizioli en a rapporté une si remarquable
observation
3. Dans ce cas, le diagnostic différentiel sera
t tout est fini jusqu'à la prochaine invasion. Les frag- ments de l'
observation
suivante, que nous devons à l'obligeance de not
'étais taxé de paresse et de fainéantise... » La lecture de cette
observation
permet de comprendre que le diagnostic différen
éressant sur ce sujet encore à l'étude aujourd'hui. Il rapportait l'
observation
d'un individu âgé de trente-deux ans, chez lequ
ans les auteurs précités. Qu'on en juge, du reste, par la troisième
observation
de Pfendler : Racliel N..., ââée de vingt-huit
ndant longtemps. Que dire cependant encore de cette trente-deuxième
observation
de Pfendler que nous rapportons comme étant la
. Ajoutons cependant que Briquet (p. 427) considère lui aussi cette
observation
comme un exemple de léthargie réelle et non sim
Toutefois, il nous sera permis de dire qu'il résulte de di- verses
observations
, particulièrement de celle rapportée par l41abi
r le Dl J. Couturier. (Loire méd., 1886.) Ce travail contient les
observations
de plusieurs malades qui ont été guéris d'accid
çonnés de fragilité, notamment à des alcooliques. L'auteur cite une
observation
d'éruption scarlatiniforme due à l'inges- tion
ntiel; cependant on a pu s'y tromper. Il rapporte, à ce propos, une
observation
concluante : il s'agit d'un malade âgé de quara
nts que l'on a invoqués contre le délire chronique reposent sur des
observations
analogues. Or, ces exemples, non seulement n'in
e, de la durée et de la terminaison. M. CAMUSE communique plusieurs
observations
de délire am- bitieux survenu après une longue
tue des cas très nets de délire chronique. M. DOUTn6BENTE. - Dans l'
observation
qui vient de nous être communiquée par M. Saury
ais ce qu'il sait, c'est que MM. Da- gonnet et Ball ont produit des
observations
absolument sembla- bles pour démontrer la mégal
mble pas être aussi absolue et à ce propos, M. Séglas rapporte huit
observations
de délire chronique diagnostiqué par MAI. Magna
iers aux états inférieurs. Du côté psychique on a pu noter dans les
observations
le retard de développement dans l'enfance, la p
I. Boucher, qui rapporte d'ailleurs (Arch. de Neurologie, 1884) une
observation
de délire chronique reconnue par AI. Magnan, ch
se en évidente dans la thèse de àl. Respaut(1883) qui rapporte deux
observations
de coexistence du délire chronique avec des man
riand) que leur lon- gueur. M. Séglas rappelle que, dans une de ses
observations
, le délire chronique est arrivé en moins d'un a
omme le véritable délire chronique. En résumé, pour AI. Séglas, les
observations
qu'il rapporte et es opinions des auteurs qu'il
CHTER (de Dalldorff). Démence paralytique ou tumeur céré- brale ? L'
observation
concerne un homme de quaranteet un ans, entré à
e reviendrai plus tard sur ce sujet en commu- niquant à l'appui des
observations
frappantes. Ai. RICHTER. Ce n'était pas une emb
RDIE. Calmez-vous ? Ohl je suis bien calme ! C'est toujours la même
observation
. Je voudrais que vous fussiez aussi calmes que
Il faut donc absolument réserver cet article. Lui. le Président. L'
observation
de M. de Gavardie a quelque chose de fondé. Nou
dent. Permettez-moi, monsieur de Gavardie, de vous faire une simple
observation
. Pour le moment, vous ne de- vriez discuter que
ste dans ces cas malaisés. C'est sur un nombre assez considérable d'
observations
choi- sies et groupées avec ordre que l'auteur
partie il s'occupe des zones hystérogènes de ces mu- queuses. Onze
observations
, à la vérité soigneusement prises, forment la b
re était, il faut bien le reconnaître, conforme à la majorité des
observations
anatomo-cliniques. Cependant elle était en cont
e nom caractéristique de Tabes cloî,sualis illusoria une curieuse
observation
de faux tabes développé à la suite 1 Dejérine.
èse à l'étude du pseudo-tabes des névropathes. Il rap- porte quatre
observations
inédites de malades se plai- gnant de douleurs
us après quelques semaines ou quelques mois de traitement. Dans l'
observation
dont je vais rapporter les détails, les symptôm
amen histologique des centres nerveux et des nerfs périphériques.
Observation
. Homme de quarante-quatre ans. Pas d'hérédité n
y eut cinq ou six crises gastralgiques. En 1885, le protocole de l'
observation
signale que la sensibilité cutanée est plus obt
rielle de tous les phénomènes morbides. On possède déjà plusieurs
observations
dans lesquelles des méde- cins expérimentés, ay
; néan- moins nous ne croyons pas devoir passer sous silence les
observations
nouvelles que nous avons pu recueil- lir ; loin
l'ancienneté et la tradition, est en contradiction flagrante avec l'
observation
clinique. Si cette doctrine, qui consiste à met
dents de chaque sujet se complète peu à peu et le dépouillement des
observations
apprend au médecin qu'il y a dans la famille de
gagent pour nous des documents cliniques dont l'exposé va suivre.
Observation
I. L... (Catherine), quarante-huit ans, blanchis-
t qualificatives soit quantitatives de la contraction galvanique.
Observation
II. G... (Louise), couturière, âée de trente ans,
ne légère diminution de la contractilité faradique. Dans les deux
observations
qui précèdent, nos recherches sur les antécéden
instructive. Les névralgies faciales dont la malade de la première
observation
a souffert à diverses reprises, la sciatique do
s en faveur de l'existence d'une tare familiale. Dans la deuxième
observation
, le terrain nerveux apparaît plus manifestement
ves abondent en faveur de la prédisposition nerveuse héréditaire.
Observation
III. F... (Pauline), sans profession, quarante-un
r l'orbiculaire des paupières, qui est manifestement contracturé.
Observation
IV. D... (Jeanne), quarante-deux ans, employée
cles du côté gauche de la face; contractilité galvanique normale.
Observation
V. S... (Françoise), cinquante-cinq ans, cuisi-
égéné- rescence très nette dans les muscles frappés de paralysie.
Observation
VI. C... (Louis-François), employé de commerce,
uscles innervés par le facial droit. DE LA PARALYSIE FACIALE. 361
Observation
VII. B... (Désirée), quarante ans, marchande de
prédominance de l'anode (réaction de dégénérescence com- plète).
Observation
VIII. B... (Eugénie), couturière, vingt-sept ans,
rticipent à 1 hémiplégie ; réaction de dégénérescence com- plète.
Observation
IX. L... (Eugénie), âgée de vingt ans, employée
La paralysie est totale avec réaction de dégénérescence complète.
Observation
X. P... (Marrien), trente-trois, ans, cocher, se
nervés par le facial droit. Réaction de dégénérescence partielle.
Observation
XI. H... (Julien), se présente à la consultation
ascendants et des collatéraux. Il en est encore ainsi dans les deux
observations
suivantes, mais nous y trouvons de plus l'ataxi
es psychoses sont aujourd'hui bien connues et nettement établies.
Observation
XII. - D... (Marie), trente ans, employée dans
gauche sont para- lysés; la contractilité électrique est normale.
Observation
XIII. R... (Mariette), soixante ans, vient nous
ue les antécédents hérédi- taires du sujet donnent à cette dernière
observation
, il convient de signaler une autre particularit
de ce genre (Cel2lîalbl. f. Nerven7aeilk., 1886). Dans l'une de ces
observations
, il est question d'un homme de cinquante-huit a
atteint deux fois de paralysie faciale. Voici le résumé de cette
observation
dont M. le professeur Charcot a bien voulu nous
M. le professeur Charcot a bien voulu nous donner connaissance :
Observation
XIV. David F..., rabbin, âge de trente-six ans,
rares qu'on l'avait cru jusqu'à présent. Chez les deux malades des
Observations
XII et XIII, nous avons relevé l'ataxie locomot
locomotrice parmi les affec- tions nerveuses des ascendants; dans l'
observation
suivante, nous verrons encore figurer la scléro
retrou- vons le tabes. Voici le résumé de cette très intéressante
observation
prise dans le service de M. le professeur Charc
rne des hôpitaux, qui a bien voulu nous en donner communication :
Observation
XV.P... (Joseph-Bertrand), â-é de trente-sept a
la face est complète, les réactions électriques sont normales. L'
observation
qui précède est instructive sous tous les rappo
stérie, l'ataxie locomotrice, la paralysie générale et la folie :
Observation
XVI. D... (Adrienne), âgée de quatorze ans, a é
binaison avec les névropathies n'est pas rare, on le sait. Les deux
observations
qui vont suivre en sont des exemples frappants
eux observations qui vont suivre en sont des exemples frappants :
Observation
XVII. Th... (Louis), charcutier, âgé de dix-sept
s révèle l'existence de la réac- tion de dégénérescence complète.
Observation
XVIII. M... (Louise), vingt-huit ans, vient nous
d'affection familiale et nous avons rapporté, à l'appui, une triple
observation
concernant une jeune fille et ses deux frères q
plégie de la septième paire. Voici encore un fait du même genre :
Observation
XIX. -D... (Alexandre), vingt-cinq ans, papetier,
voués pour ainsi dire à la paralysie faciale. Cette remarqua- ble
observation
, dont nous sommes redevable à M. le professeur
essives. Pour mieux faire ressortir les points saillants de cette
observation
, nous avons préféré la reproduire sous forme de
mplètement de côté l'influence de l'âge et du sexe; le nombre des
observations
que nous avons pu recueillir n'est, du reste, p
plus marquée et l'ensemble des faits qui se sont offerts à notre
observation
tendrait à prouver que la maladie est plus fréq
iphériques, toutes les hémiplégies de la face qui s'offrent à notre
observation
à l'état de paralysies isolées ? Nous ne le pen
ions rencontrées à l'autopsie de malades dont nous avons rapporté l'
observation
; voici maintenant un cas d'épilepsie procursive
e de rattacher les phénomènes procursifs observés pendant la vie.
Observation
L1V. Tante paternelle scrofuleuse. Mère migrai-
été phréniatrique de Sienne, en septembre 1886, a rapporté quelques
observations
de catatonie et de mélancolie atto- nita avec p
e une opinion quelconque sur la catatonie, rapportent cependant des
observations
ana- logues mais sous des étiquettes différente
des variétés de différentes maladies. - M. Cullerre 2 publié une
observation
de catalepsie chez un hypochondriaque persécuté
s trouvons mentionnée par les auteurs allemands, ainsi qu'une autre
observation
de Lagardelle3 d'un cas de catalepsie consécuti
gardelle3 d'un cas de catalepsie consécutive à nne manie aiguë. Ces
observations
à notre avis ne rappellent que de bien loin la
e trouvent exprimées dans le livre récent de Kroepelin 5. Parmi les
observations
de mélancolie avec stu- - peur et phénomènes ca
taleptiques dans la période I mélancolique; il en rapporte quelques
observations
., Plusieurs \ sont empruntées à Krafft-Ebing, d
ans le service de notre excellent collègue M. Ch. Féré à Bicôtre.
Observation
I. - L..., vingt-ans; a été élevé dans le service
ans cet état les muscles présentent seulement une légère raideur.
Observation
II. - F..., vingt-six ans. Epileptique depuis l'â
euse. L'un de nous a pu recueillir un cas de ce genre et bien que l'
observation
soit fort incomplète, il nous semble intéressan
les publiées par Kalhbaum dans le mémoire que nous avons analysé.
Observation
III. - In1-0 C..., trente-quatre ans, soumise à n
Observation III. - In1-0 C..., trente-quatre ans, soumise à notre
observation
le lor septembre, est en proie depuis quinze jour
ntion du malade, inconscients et pouvant, comme dans notre dernière
observation
, s'expli- quer par des altérations du sens musc
ccession. On peut s'en convaincre en lisant les descriptions et les
observations
de Kalhbaum qui, pour retrouver les mêmes phéno
début, des symptômes et de la marche de la maladie dans nos deux
observations
. 1° Les phénomènes d'athétose auraient été rema
(t. I, p. 695), Gowers (t. IV, p. 90), Hammond (t. V, p. 117), et l'
observation
de M. P. Blocq (t. XIII, p. 217); le mémoire tr
RALE terminale; par W. Sommer. [AU. Zeitsch. f. Psych., XLII, 4.)
Observation
très intéressante. Tabes suivi de folie systémati
nsoriel qui nous occupe, quoique l'étude analytique et critique des
observations
442 Gaz) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. n'en pe
FOfIlLES; par J. Thomsen. (Arch, f. Psych., XVII, 2.) Revue, sans
observation
, des accidents somatiques ou psychi- ques suiva
ngestives apoplecti- formes et aux accès d'épilepsie. P. K. XVII.
Observations
sur l'ivrognerie ET SON hérédité ; par J. Thoms
stématique; par P. VÉJAS, (Arch. f. Psychiat, XVII, 1.) .) Quatre
observations
d'épilepsie compliquée de folie systéma- tique.
nce et non corrélation de deux affections différentes. La troisième
observation
concerne une femme de vingt-deux ans : tare hér
thologie DE la mémoire ; par A. P¡CK. (Arch. f. Psych., XVII, 1.)
Observation
très détaillée permettant d'établir les lois de r
onne contaminée, l'infecte pour ainsi dire. M. Graf communique sept
observations
de contagion chez des époux ou sur le personnel
HIQUES ; par G. Leiimann. (Allg, Zcilsclv. f. Psy ch., XL111, 3.)
Observation
I. Mélancolie guérie par un érysipèle de la face.
) Observation I. Mélancolie guérie par un érysipèle de la face. -
Observation
II. Mélancolie guérie par une hématémèse. P. K.
nerveuses, à l'examen histologique. Le Dr Ohmann-Dumesnil cite deux
observations
, recueillies par lui, d'individus nerveux, chez
uvements choréiques du côté gauche à l'âge de seize ans. La seconde
observation
est celle d'un nègre âgé de cinquante- six ans,
vrier 1888. - PRf : SIDENCE de M. Cotard. M. ROUILLARD communique l'
observation
d'un cas de glycosurie chez un paralytique géné
terrain, celui de la clinique, et il nous donne- le résultat de son
observation
. J'ai voulu naturellement revoir les huit malad
, \I11. ralret et A. Voisin, une seule, celle qui fait l'objet de l'
Observation
VII, a été transférée en province. Je l'ai regr
res multiples qui se produisent. Je ne reviendrai donc pas à chaque
observation
sur cette ques- tion d'hérédité, puisque pour l
ouze ans et non à seize ans. Si nous résumons nous voyons d'après l'
observation
de M. Séglas : Débilité mentale, troubles de la
un mot, l'etat mental d'une délirante chronique. Dans la deuxième
observation
, il s'agit d'une domestique âgée aujourd'hui de
tion nettement systématisées ; aujourd'hui, elle commence d'après l'
observation
de M. Séglas à présenter quelques idées ambitie
aire, intelligente, sans stigmate d'aucune sorte. Pour la quatrième
observation
, M. Séglas fait la réflexion sui- vante : « Je
es d'arrêt des dégénérés. L'aliénée qui fait l'objet de la septième
observation
a été transfé- rée en province ; je ne m'y arrê
à très profondes ? Voilà, ce que dit la clinique et conséquemment l'
observation
VIII ainsi complétée reste un délire chronique
atique tel que nous le comprenons. Après avoir passé en revue les
observations
, M. Séglas, en bon calculateur, additionne les
- tions. SOCIÉTÉS SAVANTES. zizi M. Séglas rappelle, enfin, une
observation
que j'ai citée de délire chronique chez un épil
emple contradictoire de sa marche lente, progressive, méthodique, l'
observation
VIII sur laquelle je me suis déjà arrêté et où
élire à évolution chro- nique des dégénérés, d'autant mieux que les
observations
données par M. Leb : am montrent surabondamment
e qui vaut mieux que les théories et les raisonnements, ce sont les
observations
elles-mêmes et certai- nement vous avez été fra
n'y reviendrai pas. SOCIÉTÉS SAVANTES. 459 En ce qui concerne mes
observations
, l'enquête particulière à laquelle M. Magnan a
iques de détail adressées à des points différents de chacune de mes
observations
, on verra que souvent M. Magnan, développant le
à mon grand étonnement, des faits que je n'ai même pas signalés ; l'
observation
1 en est un exemple, surtout en ce qui concerne
quer que je n'ai fait à ce sjjet aucune réflexion spéciale dans mes
observations
, ni mis en relief un symptôme plutôt qu'un autr
celle à laquelle je tiens le plus, puisque j'ai dit considérer mes
observations
comme « supcdlues », M. Magnan n'y répond guère
observés dans son ser- service, passe complètement sous silence les
observations
sem- blables aux miennes de MM. Boucher et Déri
d'où vient que cet exposé qui répond d'une manière si complète à l'
observation
a trouvé des contradicteurs ? Assurément les
distinct du délire de persécution. Le mémoire se termine par quinze
observations
très écourlées sans doute, mais dont la leclure
ans Je cadre du délire chronique. M. Magnan donne lecture de deux
observations
que Morel con- sidère comme des exemples types
évo- lution de la maladie. Foville étage la mégalomanie sur douze
observations
; dans les quatre premières, il s'agit manifeste
e notre collègue M. Séglas qui, du reste, a choisi plusieurs de ces
observations
, dans le service même de M. Falret. ' Magnan, D
communication de M. Bail ; notre honorable collègue a rapporté deux
observations
intéressantes de délire ambitieux systématisé c
. Thousen. Contribution à la névrite alcoolique multiloculaire. Six
observations
dont trois avec autopsie. En voici un type magn
t le plus inférieur du renflement cervical, ainsi que dans les deux
observations
de traumatisme avec hématomyélie hémilatérale d
u nécessaire de le modifier sur ce point. Mais il est certain que l'
observation
de M. Paris est juste. Une maladie, à son début
ie, c'est là précisément le sens du mot « marche ». Je trouve que l'
observation
de M. Paris est parfaitement juste. Le mot « ma
ar- faitement le droit de monter à la tribune pour répondre à des
observations
de M. le rapporteur. Par conséquent, vous n'aurez
la société. Le Dr R... fit alors paraître une brochure intitulée :
Observations
sur la manie raisonnante, dans laquelle Mme X..
ages. Rio-de-Janeiro, 1888. Imprunsa nacional. Stewart (R.-S.). -
Observations
on the spinal cord in the Insane. - Brochure in
r son caractère objectif le plus remarquable et le plus saillant.
Observation
. - ANlliCI3DE\ ? S héréditaires : Incomplets et p
d'abord en rouge, puis avec un relief de un ou deux millimètres. L'
observation
la plus com- plète que nous possédions à cet ég
us sont donc inconnues et nous pouvons seulement inférer de notre
observation
que les excitations mécaniques de la peau, même
enons de citer que d'aborder, en ce moment, à propos d'une simple
observation
, une question complexe et diffi- cile. Nous fer
est au contraire représenté d'une manière constante dans toutes les
observations
; par cela même, il devient un des caractères ma
ermes, il reste presque stationnaire. Mais il - n'y a pas une seule
observation
, de quelque ancienne date qu'elle soit, dont le
lement remarquer que ce syndrome n'a jamais fait défaut dans aucune
observation
. En raison de sa constance, il devient lui auss
x douleurs en ceinture, elles n'ont existé que chez les malades des
Observations
XIV et XVI. p). Troubles du sens musculaire.
z nos malades : 1° au signe de Romberg qui a existé dans toutes les
observations
; en consé- quence, c'est un symptôme constant;
de notion de position des membres présentée par les ma- Jades des
OBSERVATIONS
XV, XVI, XVII, XVIII. - ). Symptômes sensitifs.
. Crises gastriques. Elles ont existé seulement chez le malade de l'
OBSERVATION
XVI et avaient tous les caractères de crises ga
nt et plusieurs fois ils disparaissent; c'est ce qui est arrivé aux
Observations
XVI, XVII et XVIII. Les symptômes vésicaux qui
onsistent en difficulté d'uriner survenant de temps en temps pour l'
OBSERVATION
XVI; en fré- quence d'uriner, venant par interv
a). Les symptômes myatrophiques, qui n'ont jamais existé dans nos
observations
, ce qui prouve une fois de plus cette loi négat
u système nerveux central. C. FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE.
Observation
XX (M. P. Marie). Gromillet, trente-huit ans, mé-
es plus fortes, parfois même elles deviennent intolérables. A cette
observation
était attachée une note de notre excellent conf
e malade le 4 1 juin 1883, a noté : « Pas de lésions oculaires. »
Observation
XXI. Accident provoqué le 13 mars 1886 à la pre
traitement ; malheureusement, nous avons perdu le malade de vue.
Observation
XXII. Accident survenu le 13 juin 1883. Première
ateur de la clinique du système nerveux à la Salpêtrière. Par son
observation
, il nous a grandement secondé dans l'étude de c
C. Symptômes respiratoires. a). Dyspnée. Ce symptôme a figuré à l'
OBSERVATION
XXII, et semble avoir une double origine aux or
isie. Ce symptôme accompagnait chaque quinte de toux du malade de t'
OBSERVATiON
XXII. Tout ce qui précède démontre évidemment
I. Tout ce qui précède démontre évidemment, et ce n'est que trois
observations
que nous avons rappor- tées, combien est grande
u'on veuille bien jeter un coup d'oeil rétrospectif sur les trois
observations
qui forment la base de cette forme spinale, qu'
surdité psychique et en lourdeur de tête. Enfin chez le troisième,
Observation
XXII, la mise en scène a été signalée par les d
but, en d'autres termes durant cette période. Chez le malade de l'
OBSERVATION
XXI, l'apparition de la paraplégie est arrivée
de membres supérieurs. Il n'en est pas de même pour le malade de l'
OBSERVATION
XX, qui avait en même temps que la paralysie de
s voyons figurer chez nos trois malades ont consisté, chez ceux des
Observations
XX et XXI en incontinence d'urines, tandis que
. Symptômes rectaux. Les troubles du rectum figurées dans les trois
observations
ont revêtu la même forme que ceux de la vessie,
i de ! 'observation 1111, de trois mois à peine, et chez celui de l'
OBSERVATION
XXI, d'un mois et demi. 3. Période de sraniso
ait chaque fois un temps variable, généralement chez le malade de l'
OBSERVATiON
XX, de e cinq à dix minutes, chez celui de l'OB
alade de l'OBSERVATiON XX, de e cinq à dix minutes, chez celui de l'
OBSERVATION
XXI, de dix minutes à quatre heures. Quelquefoi
tôme a été re- marqué deux fois ; tout d'un coup, les malades des
OBSERVATIONS
XX et XXI, sans écart de régime et sans dyspeps
crises survenaient par intervalles irréguliers chez le malade de l'
OBSERVATION
XXI. Celles de l'autre (Obs. XX), étant au comm
développe- ment différents. Par exemple, l'ataxie des malades des
Observations
XX et XXI est tout à fait typique : projection
s avons re- marqué l'existence de ce symptôme chez le malade de l'
OBSERVATION
XXII, qui très souvent était tourmenté d'engour
évolution, l'ataxie étant avortée, ébauchée, et tel est le cas de l'
OBSERVATION
XXII; tantôt, au contraire, il poursuit sou évo
ste stationnaire, mais il ne progresse pas ; tel est le malade de l'
OBSERVATION
XX qui est resté ataxique pendant huit ans, san
2° l'incontinence d'urines. L'incontinence d'urines des malades des
Observations
XX et XXI paraît de nature paralytique, survena
ut sous l'influence delà fatigue. Celle au contraire du malade de l'
OBSERVATION
XXII paraît de nature spasmodique, ayant lieu d
lade de l'OcsERVATtONXX n'a plus de troubles géni- taux. Celui de l'
OBSERVATION
XXI avait des érections incomplètes suivies d'é
l n'y avait pas un seul symptôme céphalique. Ceux des malades des
Observations
XX et XXI immédiatement après la dis- parition
postérieure un cachet de spécialité. Après le long exposé des trois
observations
qui nous ont servi à établir les grandes lignes
gnaler l'existence de cette forme, n'ayant à rapporter qu'une seule
observation
qui est la suivante : Observation XXIII. Acci
'ayant à rapporter qu'une seule observation qui est la suivante :
Observation
XXIII. Accident survenu le 10 août 1884. Quatre
'accidents spi- naux provenant de l'emploi des scaphandres, car l'
observation
que nous venons de rapporter est là pour le dém
loin d'y suffire. Nous nous bornerons donc à analyser brièvement l'
observation
rapportée. On a remarqué qu'une heure s'est éco
t qui nous paraît essentiellement clinique, nous rapporterons les
observations
cliniques, et puis, appuyé sur elles, nous étab
établirons la pathologie de cette forme dans ses grandes lignes.
Observation
XXIV. - Accident provoqzcé le 2fi aocït 1882. Qua
e la monoplégie spasmodique est l'exaltation du réflexe rotulien.
Observation
XXVI. Accident provoqué le 20 août 1883, ci 0 heu
guer l'attention de notre lecteur, nous n'avons publié que quatre
observations
que nous avons cru suffisantes, afin d'esquisse
pression et l'invasion des symptômes du début : cinq minutes pour l'
OBSERVATION
XXVI, une heure et demie pour l'OBSER1'ATIOY XX
p- tômes céphaliques. Ces symptômes présentés par les malades des
Observations
XXIV et XXV étaient les suivants : ' a). Pert
orces. Il suffit de rappeler que la symptomatologie du début de l'
OBSERVATION
XXIV a été représentée par la perte de connaiss
gauche et suivie de douleurs aux diverses articulations; celle de l'
OBSERVATION
XXV par l'aphasie motrice, la surdité psychique
s engourdissements et l'anéantissement des forces; enfin celle de l'
OBSERVATION
XXVII par les douleurs violentes à l'estomac s'
de monoflégique. L'invasion de cette pé- riode chez les malades des
OBSERVATIONS
XXIV, XXVI et XXVII a eu lieu immédiatement apr
e, soit le droit, survient presque toujours brusquement. Deux fois,
Observations
XXV et XXVI, la monoplégie était complète dès l
tain temps, toutefois assez court, deux heures, pour le malade de l'
OBSERVATION
XXIV et plus de six heures pour l'OBSERVATION X
, pour le malade de l'OBSERVATION XXIV et plus de six heures pour l'
OBSERVATION
XXVI afin d'arriver à son maximum d'intensité.
ltération de la sensibilité. Elle n'a jamais manqué dans ces quatre
observations
. Deux fois elle a consisté en une diminution no
observations. Deux fois elle a consisté en une diminution notable,
Observation
XXV etXXVII et deux fois en une abolition compl
élitique unilatérale, n'a été rencontrée altérée qu'une seule fois,
Observation
XXVI et encore incom- 72 CLINIQUE NERVEUSE. p
r pour uriner. c). Marche. -Appuyé non seulement sur les quatre
observations
rapportées, mais sur bien d'autres encore que j
ore que j'ai omises à dessein pour ne pas encom- brer nos travaux d'
observations
plus ou moins ana- logues entre elles et qui n'
temps varie considérablement, c'est ainsi que chez le malade de l'
OBSERVATiON
XXV il a été de deux jours, chez celui de IOI3S
malade de l'OBSGRVATIONXXV, il a suffi de onze jours, à celui de l'
OBSERVATION
XXIV de treize jours, à celui de l'OBSERVATION
jours, à celui de l'OBSERVATION XXIV de treize jours, à celui de l'
OBSERVATION
XXVI de douze jours et enfin à celui de l'OBSER
à celui de l'OBSERVATION XXVI de douze jours et enfin à celui de l'
OBSERVATION
XXVII de dix jours pour pouvoir marcher sans ap
° Exaltation des réflexes. Ce signe n'a man- qué dans aucune de nos
observations
. Il est d'une intensité variable, suivall t l'e
e symptôme presque constant que l'on voit figurer dans les quatre
observations
. Elles surviennent surtout la nuit. 4° Contract
4° Contractures passagères. Ce symptôme a existé chez deux malades,
Observation
XXVI et XXVII, le membre paralytique se raidit
iquer des mouvements passifs au membre paraly- tique du malade de t'
OBSERVATiON
XXVII, on sent une résistance notable, sans que
eut avorter; pour ainsi dire, comme cela est arrivé aux malades des
Observations
XXIV et XXV. Il arrive parfois que le syndrome
t XXVI), et parfois disparaît complè- tement, ce qui est arrivé à l'
OBSERVATION
XXV; il n'est resté qu'un certain degré d'exalt
e et la démarche spasmodique, ce qui est arrivé chez le malade de l'
OBSERVATION
XXVII chez qui, une fois arrivé à ce point de d
(Cas. XXVII). c). Symptômes vaso-moteurs. Excepté le malade de l'
OBSERVATION
XXVI, qui avait une sensation de froid au membr
I, qui avait une sensation de froid au membre paralytique, ceux des
Observations
XXIV, XXV et XXVII n'en ont pas du tout présent
r plus d'une DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 79 seule
observation
. En raison de l'intérêt extrême qui s'attache à
e observation. En raison de l'intérêt extrême qui s'attache à cette
observation
, nous la donnerons aussi détaillée que possible
ette observation, nous la donnerons aussi détaillée que possible.
Observation
XXVIII. Accident provoqué le 18 septembre 1883,
s avons toutes rencontrées chez l'idiote qui fait le sujet de cette
observation
. Cette idiote n'est pas hospi- talisée, elle ha
que nous puissions, sous ce rapport, présenter les résultats d'une
observation
sérieuse. Marche. La malade ne peut marcher san
S DU CAS PRÉCÉDENT; Pal' BOUTIVGVILLIs, Nous avons pu ajouter à l'
observation
très intéressante de M. le Dr Camuset la fiy. 1
mains est toujours le môme. 1 Une étude attentive de ces nouvelles
observations
montre aussi que les malades offrent tous les m
décrits. Chez aucun des malades vivants dont nous avons publié l'
observation
, ainsi- que chez une autre, Wau...., dont nous
mbres. C'est ainsi que jusqu'à présent on n'a jamais pu fournir une
observation
pro- bante de paralysie flasque de la face dans
piratoires. Or, chez le cataleptique, pen- dant toute la durée de l'
observation
, la plume qui correspond au membre étendu trace
s cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de mes
observations
se rapportent à des hommes que j'ai choisis à d
ence des phénomènes somatiques pouvant tomber sous le contrôle de l'
observation
. Une hallucination, un rêve, un délire, un phén
sincérité de ces sujets, et il est dès lors impossible de tirer des
observations
faites sur eux aucune conclusion définitive.
e infantile cérébrale; par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.)
Observation
de paralysie cérébrale infantile, suite d'endocar
ce DU cerveau; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f. Psych., VIII, 3.) Deux
observations
. Observation I. Jeune dément de trente- quatre
u; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f. Psych., VIII, 3.) Deux observations.
Observation
I. Jeune dément de trente- quatre ans ayant pré
bres de l'écorce out dis- paru ; intégrité de la substance blanche.
Observation
Il. Epilep- sie corticale. Tumeur du cerveau. P
lee Journal of àlent(il science, avril 188 ? ) L'auteur relate sept
observations
dans lesquelles on constate une alternance bien
tion saine d'esprit résidant au voisinage de l'asile où est faite l'
observation
. 3° Les affections cardiaques sont plus fréquen
0 chez les derniers et de 9,3G chez les premiers. 60 Il résulte des
observations
que j'ai recueillies à l'asile, que les affecti
lievue de l'hypnotisme a publié dans un de ses derniers numéros une
observation
analogue recueillie par mon interne AL Lewolf.
ment différentes. 1 18 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. J. Séglas présente l'
observation
tombée en état de mal hys- térique à la suite d
ion brusque du poison. M. Christian communique la très intéressante
observation
d'un morphinomane qui en était arrivé à s'injec
tions et n'a qu'àse louer des résultats obtenus. M. Riu cite deux
observations
: une première malade, de qua- rante ans, entré
ndant un an. Le malade a guéri au bout de quinze mois. La seconde
observation
est relative à une jeune hystérique de vingt-tr
fois, mais franchement et exclusivement simulateurs à l'époque de l'
observation
. En somme les tentatives de simulation se montr
ion, ni de l'existence de la folie. Le rapport doitse baser sur une
observation
suffisamment prolongée (surtout à l'asile en comm
Influence de la maladie sur- l'aliénation mentale. On en relève 13
observations
jusqu'en 1882; 38 de 1883-1887 ; dans la plural
cune influence sur la majorité des psychoses chroniques. Sur les 38
observations
dernières, deux cas dans lesquels l'aliénation
s troubles des processus de la pensée. M. l\L1DL1'sR (d'llleuau).
Observations
et remarques sur le délire de jalousie. Depuis
cinatoire aigu, et finissent à la dé- mence. La forme secondaire (7
observations
de M. radier) arrive au cours du délire des per
mitive, outre l'alcoolisme, des inci- dents- occasionnels divers (2
observations
) ; dans la forme secon- - daine, la séquestrati
ons) ; dans la forme secon- - daine, la séquestration antérieure (3
observations
), des altérations du côté de l'appareil sexuel
e (3 observations), des altérations du côté de l'appareil sexuel (4
observations
), telles qu'un rétrécisse- ment consécutif à la
es femmes après la ménopause, et chez les veuves ? M. NADLER. Les
observations
chez la femme sont trop peu nombreuses et de tr
Zaciier (deStephausfeld). Surdeuxcas de paralysie progressive. Deux
observations
dans lesquelles il y eut complication d'un foyer
, en arrière, à peu près jusqu'au genou de la capsule. La seconde
observation
concerne un foyer apoplectique dans la partie pos
tuant au contraire un épiphénomène accessoire. Il en résulte qu'une
observation
attentive permet assez souvent de trouver, avec
apporteur. Nous savons bien que des directeurs d'asile ont fait des
observations
critiques sur ce point; de même sur quelques au
ation. M. LE Rapporteur. Si M. de Gavardie voulait développer ses
observations
, il pourrait lui être fait une réponse. M. le P
lui être fait une réponse. M. le Président. Ce n'est qu'une simple
observation
. Personne ne demande la parole sur l'article 31
des articles 29 et 30 est tenu d'établir et d'approprier un local d'
observation
et de dé- pût destiné à receyoir provisoirement
el des malades aliénés peuvent être gardés sous prétexte de mise en
observation
dans des lieux de passage et même dans les hôpi
r si elle pouvait proposer de consacrer en principe cette « mise en
observation
des aliénés » dans des locaux quelconques autre
ui s'est trop généralisé de placer dans les hôpitaux les aliénés en
observation
, se maintient avec tous ses inconvénients... »
limite à quinze jours au plus la durée de cette période de mise en
observation
. » SÉNAT. 143 La disposition du projet du Gou
tion n'ajoute rien ni pour l'installation des locaux, le dépôt ou l'
observation
des aliénés, ni pour les soins dont les malades
rité qui ont réclamé l'interdiction de tout dépôt, de toute mise en
observation
en dehors des établissements spéciaux. Il falla
ent disposés, tant pour le dépôt des aliénés de passage que, pour l'
observation
de l'état mental des prévenus ou des accusés pr
rement les aliénés est tenu d'établir et d'approprier un local d'
observation
et de dépôt pour recevoir provisoirement les alié
M. le Président. c Art. 37. Les aliénés ne doivent être retenus en
observation
dans les hôpitaux et hospices civils ordi- nair
epsie, on pourra le prendre au moment d'être libéré et le mettre en
observation
pendant un temps plus ou moins long dans un asi
rs à passer en prison, dans un quartier spécial d'aliénés. Si cette
observation
est fondée, ne pensez-vous pas que dans l'artic
inel. 11 me parait donc nécessaire de présenter au Sénat quelques
observations
sur les principales conséquences de cet article.
pu étudier une importante question, celle du noeud vital, puis les
observations
de décapitation, prises au pied de la guillotine
extes que le médecin raisonnant d'ha- bitude sur des faits, sur des
observations
. Qu'on lise en effet les lignes qui suivent la
alade a été reconnue par les médecins, grâce à une longue série d'
observations
consciencieuses et importantes et 184 ' PATHOLO
ernières années, soit dans ma clientèle privée, soit à l'hôpital.
Observation
I. Mm0 A. S..., cinquante ans. Tomba malade à l
e qu'on puisse rattacher à une infection syphilitique antérieure.
Observation
II. A. S..., trente ans, femme de chambre, céli
nt où se déclara l'affection dont elle est actuellement atteinte.
Observation
II1. A. J..., paysanne, trente-cinq ans, enviro
re minutieux, le sujet ne peut indiquer aucune cause héréditaire.
Observation
IV. H. P..., cuisinière, quarante ans. Mariée d
es; la malade nie tout abus de spiritueux, refroidissements, etc.
Observation
V. C. J..., trente-cinq ans, dévideuse dans une
soignée à l'hôpital de la Mianitzskaïa (pour les syphilitiques).
Observation
VI. Mm0 ? Juive, cinquante ans, ressentit il y
epuis ce moment jusqu'à la maladie actuelle, rien de particulier.
Observation
VII. Nilne iN.... Russe, cinquante-sept ans, da
a tiraillantes dans les jambes, la malade ne se plaignit de rien.
Observation
VIII. 111 ? Z..., Juive, trente-six ans. En 188
ières années. Outre ces cas, je n'en ai observé qu'un seul autre,
observation
suivie d'autopsie ; dans ce cas aussi l'infecti
ultat de ces recherches est éloquent, malgré le petit nombre de ces
observations
. Tandis que dans aucun cas il n'a été trouvé ni
'ai le droit d'affirmer aussi catégoriquement, en me basant sur mes
observations
, que l'hérédité ne joue aucun rôle dans le déve
rôle de l'hérédité dans le tabes. Comme nous l'avons fait voir, nos
observations
ne parlent pas du tout en faveur de ce rôle; il
e paralysie. Cette dernière conclu- sion confirme entièrement notre
observation
sur la rareté relative du tabès et de la paraly
s de la surdité verbale, et un surcroît d'intérêt s'attache à cette
observation
parce qu'elle a été com- plétée par un soigneux
nomène important, elle lit très facilement l'en-tête des feuilles d'
observations
, ainsi que les questions qu'on lui adresse par éc
leçons professées à la Salpê- trière ; et comme le malade était en
observation
depuis un temps considérable, les symptômes cli
le froissement d'un journal. Quelques-uns d'entre eux restèrent en
observation
pendant plu-. 220 PATHOLOGIE NERVEUSE. sieurs
lésion produisant la cécité ver- bale est encore à établir par les
observations
cliniques et par les examens post-mortem. A u
x lobes occipitaux 2. Dans le même ar- ticle, parmi diverses autres
observations
semblables, M. Chauffard cite le cas suivant ra
r rapport au centre visuel lui- même, les résultats obtenus par les
observations
sur les animaux peuvent à peine être considérée
ser la localisation peuvent seulement être mises d'accord par des
observations
cliniques et anatomo-pathologiques plus considé
transitoires sont très fréquentes; je me bornerai à rapporter trois
observations
, qui suffi- sent amplement pour donner une idée
s, qui suffi- sent amplement pour donner une idée de cette forme.
Observation
XXIX. Antoine Sorocos, âgé de trente ans, pas d
bout duquel elle a dis- paru d'une façon complète et définitive.
Observation
XXX. Georges Stavros, âgé de vingt-deux ans, sa
ers 1 heure du soir, le membre a récupéré in integro sa motilité.
Observation
XXXI. DémeLrès Compotis, âgé de vingt-cinq ans,
formes simples et fondamentales. Les cas qui sont tombés sous notre
observation
nous permettent de distinguer les formes simple
ale et (y), l'aphasie complexe. , ' a). Aphasie MOTRICE.- Les trois
observations
qui suivent sont des cas d'aphasie motrice simp
et pure dégagée de toute autre espèce de trouble du langage. ,
Observation
XXXII. ` Nicolas Tsarlampas, âgé de trente-cinq
rée totale de l'aphasie n'avait pas été de plus de deux heures. '
Observation
XXXIII. Accident provoqué le 10 octobre, à la pré
état a duré 2 heures au bout desquelles il a disparu tout à coup.
Observation
XXXIV. Accident survenu le 2 juillet, à la cinqui
e ou DES MOTS (VORTTAUBHEIT). Nous n'avons à relater qu'une seule
observation
de cette aphasie sensorielle qui est. la sui- v
TION XXI. Nous allons maintenant la voir à titre de forme à part.
Observation
XXXV. Accident survenu le 3 avril, il la suite de
n'avons à relater qu'un seul cas que nous avons observé de visu.
Observation
XXXVI. Accident survenu le 10 Octobre. Première
rivait tout aussi bien qu'a- vant l'invasion de son accident. Les
observations
qui précèdent montrent à l'évi- dence que la fa
altéré, et complètement aboli. C'est ainsi que, chez les hommes des
Observations
XXXII, XXXIII et XXXIV, cette faculté n'a été m
onnés qu'il faut faire pour articuler les .mots. Les malades de ces
observations
étaient absolument incapables de proférer un se
t tout et compre- naient tout. En ce qui concerne les malades des
Observations
XXXIII et XXXIV, la mémoire visuelle des mots e
faculté du langage peuvent être altérés. Ainsi, chez le malade de l'
OBSERVATION
XXXVI, le langage a été modifié sous plusieurs
s de l'OBSERVATIO-,f XVII, la cécité de plus de six semaines de l'
OBSERVATION
XX, et enfin les bourdonnements d'oreilles avec
ents d'oreilles avec un certain degré de confusion de l'ouïe de l'
OBSERVATION
X. Tous . ces'troubles sensoriels ont figuré co
et le deuxième de quatre semaines. En voici les ob- servations :
Observation
XXXVII. Paul Rhodios, até de vingL-cinq ans, pa
r des conjonctives, qui aurait persisté jusqu'au lendemain matin.
Observation
XXXVIII. Basile Matzis, âgé de trente-deux ans;
t constitué par les troubles oculaires. -- Etat actuel. Rien. Les
observations
qui précèdent, aussi bien que dans celles du ta
durée est très courte et parfois instantanée ; six semaines pour l'
OBSERVATION
XX, quatre semaines pour l'OBSERVATION XXXVIII
anée ; six semaines pour l'OBSERVATION XX, quatre semaines pour l'
OBSERVATION
XXXVIII ; une demi-heure pour ]'OBSERVATION XXX
heure pour ]'OBSERVATION XXXVII; et cinq minutes seulement pour l'
OBSERVATION
V; 4° leur rapide disparition, Observations XX
nutes seulement pour l'OBSERVATION V; 4° leur rapide disparition,
Observations
XX et XXXV111, et parfois soudaine, Observation
ide disparition, Observations XX et XXXV111, et parfois soudaine,
Observations
V et XXXVII. B. Variété auriculaire. Les troubl
etc.). On sait déjà que les troubles auditifs ont figuré une fois
Observation
X (bourdonnements survenant par inter- valles r
ubles auditifs. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 243
Observation
XXXIX. Stylianos Cosmas, âgé de vingt-cinq ans.
aussi bien qu'avant son accident. Etat actuel, 2 août 1886. Rien.
Observation
XL. Le nommé Constantin Jannoulis, âgé de trent
de l'ouïe cet homme ne présente rien d'anormal. Ce court exposé des
observations
si pleines d'in- térêt aura certes révélé au le
deux heures et quart pour 1OBSEe- VATION XL, et cinq heures pour l'
OBSERVATION
XLI, parfois incomplète, lentement et graduelle
I, parfois incomplète, lentement et graduellement rétro- gressée,
Observation
XLII. Ce n'est qu'une seule fois que nous avons
e qui a nécessairement suivi la rup- ture du tympan gauche. Voici l'
observation
: Observation L111. " Le nommé JeanCalomyris,
rement suivi la rup- ture du tympan gauche. Voici l'observation :
Observation
L111. " Le nommé JeanCalomyris, âgé de vingt-de
rare pour que nous ne soyons en mesure 'de rapporter qu'une seule
observation
qui, au point de vue symp- tomatotogique, est u
s beau spécimen d'épilepsie jaksonnienne ou partielle. La voici :
Observation
XLIV. Sotiris Galaphas, âgé de trente ans. L'hé
ysie partielle. A). Type d'hémiplégie. De ce type nous avons deux
observations
que voici : Observation XLV. Le 10 juillet 1873
d'hémiplégie. De ce type nous avons deux observations que voici :
Observation
XLV. Le 10 juillet 1873, hémiplégie gauche, une
86.) Rien. Tous les organes paraissent fonctionner régulièrement.
Observation
XLVI. Cosmas Cosmitis, âgé de vingt-six ans, sa
Rien. B). Type de paralysie partielle. De ce type nous avons deux
observations
intéressantes dont l'une est un exemple de para
la face et du membre supérieur gauche. a). Paralysie faciale. '
Observation
XLVII. Aggelis Couroupis, âgé de vingt-trois an
CAPHANDRES. b). Paralsie de la face et du membre supérieur droit.
Observation
XLVIII. Le nommé Jean Coussatakis, âgé de vingt
ment sans laisser la moindre trace. Malheureusement, il a perdu ses
observations
. (A suivre.) . REVUE CRITIQUE GRAND ET PETI
ro-musculaire ou n'importe quel autre stig- mate hystérique, caries
observations
des auteurs précités ont démontré que l'on peut
les objections de M. Bernheim sont loin d'être démonstratives; ses
observations
font ressortir tout au plus le rôle important q
eut-être M. Bernheim, comment affirmer que réellement l'individu en
observation
n'a jamais été présent à des expé- riences sur
notisme nous invoquerons des arguments du même ordre. Les premières
observations
de M. Charcot ont évidem- ment une valeur pour
ais parce que ces trois états se sont présentés naturellement à son
observation
. Depuis, de nouveaux cas analogues ont pu être
é soumis à de nombreuses manipulations. Nous rappelons à ce sujet l'
observation
de C. G., citée plus haut. Cette observation, l
rappelons à ce sujet l'observation de C. G., citée plus haut. Cette
observation
, loin d'être défavo- rable à notre thèse, nous
produit ce que la suggestion avait été incapable de faire, et cette
observation
fait voir l'importance que peut avoir le mode d
rimenta- teurs absolument indépendants de la Salpêtrière dont les
observations
ont été recueillies non seulement en dehors de la
i. v. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 2(>fi i n'ai pas publié cette
observation
, parce que je considérais ce fait comme banal e
Ladame, de Genève, a bien voulu nous communiquer, qui résume une
observation
qu'il a publiée en 188,12. Cette observation nous
niquer, qui résume une observation qu'il a publiée en 188,12. Cette
observation
nous parait capitale. Il s'agit d'un jeune ga
question; mais la netteté de GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 265 cette
observation
, en ce qui concerne l'absence de suggestion dan
ion qui ait quelque valeur, il ne faut pas se contenter de quelques
observations
isolées, il est nécessaire de multiplier les ex
s que l'on aurait enregistrés jusqu'alors. Il faut donc répéter les
observations
, et cette con- dition aurait dû surtout être re
absolument cette objection qui ne serait pas fondée; en effet, nos
observations
nous ont montré que les grands hypnotiques et l
es cerveaux faibles, des hystériques, des femmes; la plupart de mes
observations
se rapportent à des hommes que j'ai choisis à d
endrons jusqu'à plus ample informer; et rien n'y contredit dans les
observations
qu'on nous offre nous soutiendrons, dis-je, que
ssifs des mêmes muscles. Le Di- Rosenbach a publié sur ce sujet une
observation
qui a été déjà analysée dans le présent recueil
ralysie spinale périodique. Sous ce titre M. Greydenberg a publié l'
observation
suivante : 282 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
plication de l'aimant et des courants galva- niques minuscules (une
observation
), même dans ces maladies à lésions. P. K. IV.
LUCHE; par Il. J. MOEBtus (Centrulbl. f. Nercenheilh., 1887.) Une
observation
. Après la coqueluche, il se développa une paré-
utefois elle est chez l'enfant moins marquée, moins typique. Quatre
observations
. Diagnostic possible par les stigmates et la ma
AL de POTT; par J. ÂLTUAUS (CenlnalLl. f. \'ertenleeilfi., 1887).
Observation
. Carie des corps, des cartilages et des ligaments
3.icH (C'e/ ! ()'f ! <6<. f. Nerven- /t6< ? 1887). Trois
observations
prouvant que, même dans les formes légères de p
T03E bilatérale; par KURELLA (Celahwlbl. f. Nerueaheilh., 1887)..
Observation
avec autopsie. Athétose progressive et généralisé
NS; par P.-J. MOEmus (Centralbl. f. 11 erLenleeilfi., 1887). Cinq
observations
, dont une avec nécropsie. Elles ont ceci de com
furent lentement affectés, sans autres symptômes essentiels. Dans l'
observation
IV, il s'y ajouta, en sus, des symptômes de lés
cérébrale. Diagnostic, confirmé par l'autopsie précisément de cette
observation
IV : lé- sions de la base, siégeant principalem
sixième, septième et même dixième, onzième, douzième paires. Dans l'
observation
V, t'ractute de la base. Syphilis supposable av
par M. 13ERVHaRDT (Centrulbl. t. y6)'KCHA.eifA, 1887). ' Suite de l'
observation
relatée dans son mémoire de 1879 (3lns- kclstei
DE L\ MASTI- CATION', par ZIEU(Central6l. f. Neruenheilk., 1887).
Observation
complète avec discussion du diagnostic. Affection
début du tabès dorsal; par A. DE VATTRYIL1.E (iYeu ? ,ol. Cen- Une
observation
de paralysie isolée de la convergence avec en-
du genou dans le tabès; par L. Minor (Neurol. CentanlLl., 1887).
Observation
dans laquelle le signe de Westphal fut le seul sy
omicide commis par un paralytique général. M. Caoucsrt communique l'
observation
d'un paralytique général qui a assassiné sa mèr
ents héréditaires nerveux. M. MARANDON DE Momtiiyel voit dans cette
observation
la confir- mation d'une idée qu'il émettait dan
u, surtout chez les personnes nerveuses. L'orateur com- munique une
observation
de psychopathie guériechez un individu de plus
els l'efficacité favorable des saignées locales se montra évidente.
Observation
I. Mégalomanie avec manie aiguë furibonde, état
bié à doses réfractées. Persistance de la guérison après 15 années.
Observation
Il. Même complexus ; même traitement; guérison
du délire des grandeurs, retour de la connaissance et du jugement.
Observation
IV. A la suite de phénomènes congestifs, dus à
es quelques cas ne forment qu'une petite proportion sur un bagage d'
observations
datant aujourd'hui de 30 ans, niais ils montren
t Balié, éditeurs. SOCIÉTÉS SAVANTES. 309 ques mois. La troisième
observation
est relative à un délire insi- dieux un peu pro
ts postérieurs à l'ictus. Il en est de même à l'égard de la seconde
observation
. Ici il s'agit d'une tabétique, de 52 ans; hépa
Quelques cas mitoyens entre l'aphasie et la cécité psychique. Huit
observations
avec autopsie. On est d'après ces faits autoris
e). Le terme d'aphasie optique serait le plus rationnel. Les autres
observations
peuvent être divisées en trois groupes : 1° aph
duire la paranoïa (folie systématique) périodique. A l'appui, trois
observations
de paranoia hallucinatoire qui puise' ses éléme
de l'intermit- tence et exclut l'idée d'une récidive. La quatrième
observation
présente du reste les particularités suivantes
rable dans les affections mentales périodiques, mérite plus ample.
observation
, plus ample comparaison entre les autres folies e
diverses personnalités. M. LIEBE. Du diabète en aliénation mentale.
Observation
d'une dame de cinquante-trois ans, atteinte de
hésitons pas à la proposer à votre sanction. Messieurs; une seule
observation
nous a été faite sur l'article 39 par M. le dir
procédé au jury qui vient de rendre son verdict d'acquittement. Ces
observations
, messieurs, ont paru justes à votre commission,
sieurs, sous l'empire de ces idées que, voulant donner un corps aux
observations
que je viens d'avoir l'honneur de développer, j
é dans cette étude de nombreux faits, détaillés dans plus de trente
observations
. C'est avec grand plaisir que nous avons vu dan
le vigilance étaient recueillies toutes les tares héréditaires. Ces
observations
sont accompagnées de tableaux généalogiques qui
tral. Mais cette déduction peut être tirée d'un grand nombre des
observations
qu'il a relatées, et il nous semble qu'il aurait
on voit à chaque instant la démonstration, quand on com- pulse les
observations
d'un service d'aliénés ou d'épilepliques et d'i
ale souvent anticipée. 11 était intéressant, en résumant toutes ces
observations
, de savoir s'il fallait admettre avec M. Magnan
e fondement de l'anatomie, delà phy- siologie expérimentale et de l'
observation
clini- que. Quoique la pathologie cérébrale ait
Charcot écrivait, en 1876 : « En présence des expériences et des
observations
qui démontrent la réalité des locali- sations c
e biologie, 1876, `31 suic. Cf. 1875, 425, ce qu'il faut penser des
observations
tirées d'observations anciennes, et en particulie
suic. Cf. 1875, 425, ce qu'il faut penser des observations tirées d'
observations
anciennes, et en particulier de celles que mett
z l'homme ne saurait être uniquement édifiée sur les données de l'
observation
clinique. Seppilli, qui paraît prendre ici la p
tal sur lequel repose toute la biologie moderne... L'importance des
observations
cliniques n'est pas diminuée' pour cela. Elles
rse, pour arriver à déterminer un centre cortical, Exner réunit les
observations
clini- ques dans lesquelles la fonction du cent
ah- sations motrices, p. M, ôo, 1., p. 20. 35H physiologie. 167
observations
cliniques dont s'est servi Exner pour construir
mieux rechercher et comparer, sur le plus grand nombre possible d'
observations
régulières, le siège et l'extension des lésions
pour la détermination, au moins approximative, de ces centres, les
observations
cli- niques auraient moins de valeur que les ex
isolent les différents éléments physiologi- ques d'une fonction. L'
observation
exclusive des animaux en expérience est incapab
us facile à rétablir que chez les Russes. Comme le prou- vent les
observations
, il arrive souvent que ces derniers ne connaiss
ment tibolib dans les deux membres inférieurs à ce que prouvent les
observations
répétées et diverses. Les sphincters delà vessi
ladie. Les symptômes relevés chez le malade pendant le cours de nos
observations
ont progressé d'une manière sensible ; peu à pe
e parler et par conséquent, nous n'avons à notre disposition aucune
observation
sur laquelle nous puissions directement nous ba
il n'y avait ni myose, ni symptôme d'Argyl-Robertson, et dans les
Observations
XX, XXII (ce dernier cas très curieux), XXIV, X
ver de visu un malade déséquilibré héréditaire. Voici cette belle
observation
: Observation L1R. Accident provoqué le 25 juil
malade déséquilibré héréditaire. Voici cette belle observation :
Observation
L1R. Accident provoqué le 25 juillet ci 10 heures
s études. Ce que nous désirons mettre en relief, c'est : 1° que l'
observation
relatée est un très beau type de manie transito
e symptôme principal, fondamental. Il se trouve dans mes notes deux
observations
de ce genre, qui représentent deux beaux exempl
qui représentent deux beaux exemples du syndrome de Ménière. '
Observation
L. Le nommé Georges Myris, âgé de vingt-cinq an
Etat actuel (15 août 1884). Rien. Il entend parfaitement bien. -
Observation
LI. · Le nommé Montasses, âgé de vingt-sept ans
l'exposé des DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 3U9 deux
observations
qui précèdent, de reconnaître que nous avons là
bleau du syndrome de Ménière, les vertiges du malade de la première
observation
considérés en eux-mêmes, nous offrent tous ces
tenant, que le lecteur veuille bien jeter un coup d'oeil sur nos
observations
et on aura certes remarqué la différence extrêm
syndrome chez ces deux malades. C'est ainsi que chez le malade de l'
OBSERVATION
I, son accident de vertige dé Ménière, toutes l
survenait, ne durait que quelques heures seulement. Chez l'autre
Observation
II, la disparition se faisait lentement, mais p
, à elle seule, le tableau clinique de l'accident. Voici ces deux
observations
: Observation LU. Alexandre Microgeorgis, âge
e tableau clinique de l'accident. Voici ces deux observations :
Observation
LU. Alexandre Microgeorgis, âge de vingt-deux a
rend son travail. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 403
Observation
LUI. Stephanos Marinidès, âgé de vingt-sept ans
o-spinale ne parait pas fréquente, nous avons à rapporter une belle
observation
intéres- saute à plus d'un titre et que nous de
st si bien connu que nous croyons au moins inutile de rapporter des
observations
où l'élément douleur ne figure plus à titre de
foie. Il s'agissait d'un malade dont j'ai malheureusement perdu l'
observation
très détaillée et si intéressante qui, après la
us avons alors l'emphysème sous- cutané dont voici une intéressante
observation
: B. EMPHYSÈME SOUS-CUTANÉ GÉNÉRALISÉ. Observ
e intéressante observation : B. EMPHYSÈME SOUS-CUTANÉ GÉNÉRALISÉ.
Observation
LV. Jean Paloyanuos, âgé de trente-sept ans; le
plexe, composé, comme on le voit dans l'obser- vatioii suivante :
Observation
LVI. Histoire. Nilcitas Pagonis, âgé de trente
ur constituer l'accident complexe, composé du malade dont voici l'
observation
: OBSERVAT ! ONLVIL Le nommé R. Chais, frère
au cours de son travail, nous allons relater un certain nombre d'
observations
. Observation LVIII. Le 10 juin 1878, « la suite
on travail, nous allons relater un certain nombre d'observations.
Observation
LVIII. Le 10 juin 1878, « la suite de la première
es quatre membres. Tous les trois étaient fugitifs, transitoires.
Observation
LIX. Plusieurs accidents douloureux à différentes
3° Un accident spinal appartenant à la forme cen- trale latérale.
Observation
LX. le, accident. 29 septembre 1873. (Septième
spécialement à la variété intramyélitique de cette forme. De ces
observations
, on peut voir combien est grande la multiplicit
ctions spinales de toute autre origine. On a pu remarquer parmi les
observations
rapportées déjà des cas de ce genre Eschares sa
marasme se prononce et le malade meurt. A preuve par exemple deux
observations
dont la première est due à l'excellente thèse d
s d'eschares à développement rapide. Je reproduis intégralement ces
observations
. Le 1 ? juillet 1869, sur la côte de Rhodes, le
ès, amena la mort le 21 juin. Voici maintenant, entre autres, une
observation
empruntée aux mêmes auteurs, qui est relative à
a pu remarquer que je ne suis pas, tant s'en faut, autorisé par mes
observations
de souligner les paroles suivantes de Paul Bert
em- bres inférieurs sont persistantes, et nous avons rapporté des
observations
nombreuses qui font un la- mentable tableau de
t en 430 CLINIQUE NERVEUSE. quittant le travail sous-marin. Pas d'
observations
. La lettre de M. de Nayrouse donne sur ce point
heures. » .Dans la thèse de M. Alphonse Gal, on trouve les trois
observations
suivantes, fort succintes et incomplètes : I. L
stée complète. , Le travail de M. Lampadarios' contient une seule
observation
, fort succinte, du reste la voici : Pendant l'é
rs momeuls, la face bouffie, bleuâtre, comme mort d'asphyxie. Les
observations
les plus intéressantes en raison de leur descri
lément dont la rareté lui crée une place spéciale à la fin de cette
observation
avec l'explication plus ou moins exacte de sa p
alade présentait avec la tendance au sommeil signalée dans quelques
observations
de la polyurie en rapport avec la loca- lisatio
nous avons donné des exemples dans cette statis- tique. ' Dans l'
Observation
137 l'abolition totale de la sensibilité généra
tion. Névrite multiple consécutive à la fièvre typhoïde. Dans une
observation
de Mi Roudoff, un malade, à la suite d'une REVU
f a discuté la question des paralysies diphtéritiques à propos de l'
observation
sui- vante : . Vingt jours après le début d'u
OGIE NERVEUSE. 467 Un cas de paralysie ascendante aiguë ( ? ). De l'
observation
précédente, on peut rapprocher l'histoire du ma
avec dimziru- - lion de la sensibilité générale du même côté. Une
observation
qui nous a beaucoup intéressé a été celle - d'u
après leur lecture qu'il a pu porter un diagnostic exact. Voici son
observation
: Observation. Père., éléphantiasis de la jambe
re qu'il a pu porter un diagnostic exact. Voici son observation :
Observation
. Père., éléphantiasis de la jambe gauche. Sceur
uvre être pour la première fois. Bourneville et Bricon rapportent l'
observation
dû « crétin des Batitiolles » et celle d'un idi
à tous les caractères que nous avons rele- vés dans nos précédentes
observations
, et en particulier dans les n0* 48 (p. 43J ) et
ètement. Nous avons en effet publié la traduction complète de leurs
observations
en 1886, dans les Archives de Neurologie et dan
erse est ;Lit coii- trahe la vérité. Il suffit de se reporter à nos
observations
personnelles et à celles que nous avons reprodu
rer dans ce groupe, si elle ne présentait pas quelques lacunes, une
observation
communiquée par M. Baillarger à la Société nzéd
is cas intéressants de cocaïnisme chronique, dont il détaille les
observations
, il résume dans les propositions suivantes, les c
(i l'empoisonnement par l'oxyde de carbone. M. RAFFKGEAU rapporte l'
observation
d'un mari et de sa femme tombés dans un état de
rtunes de suggestions hynoptiques. M. Livof qui a déjà publié une
observation
analogue a pu suivre à Villejuif, dans le service
ignent de l'activité constante et féconde de cette école clinique d'
observations
à laquelle la science psychiatrique française d
centres d'inhibi- tion calorique. M. le Dl Fisiifr (de New-York).
Observations
d'épilepsie consécu- tives à l'hémiplégie céréb
à 20 millimètres de diamètre. M. le Dr James J. Putnam (de Boslon).
Observations
et expériences itpropos de la pathologie de la
in-8, 1888, F. Alcan, édit.) L'étude de l'activité psychique par l'
observation
et par l'analyse de phénomènes palpables qui en
dans la phthisie), t65; - dans la lèpre, 465, Neuropathologie (
observations
de), par Bernhardt, 292. Neurologie (résumé d
'OLOGIQUE DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE1; Par Wladimiu IIOTH. i
Observation
VI. \. Thermanesthésie stationnaire limitée dat
et anesthésiées du thorax par la ligne moyenne. De même que dans l'
observation
précédente, il faut remarquer l'existence d'une
e peut atteindre les enveloppes de la moelle, comme le prouve une
observation
de Schultze. On peut supposer que tel était not
mais les abcès ont été cités dans les antécé- dents de la malade.
Observation
VII. Homme de vingt-sept ans. - Anesthésie part
, j'ai eu l'occa- sion d'observer encore les trois cas suivants :
Observation
VIII. Jean Gavriloff, suisse, âgé de vingt-cinq
rques sur le siège de la faculté du langage articulé, suivies d'une
observation
d'aphémie. (Brcll. de la Soc. anat., 1861, 2e s
e. (Brcll. de la Soc. anat., 1861, 2e série, t. VI, p. 330) ; Nouv.
observations
d'aphémie pro- duite par une lésion de la moiti
es de Marcé(l8o6, Société de 131ologie) et de Ole (1567), d'après l'
observation
d'agraphie puredont il est.question dans les le
e tout d'abord par Kussmaul, dont les recherches postérieures à des
observations
déjà anciennes de Gendrin7 et de Trousseau', de
cit. - Ballet, th. agrég. 1886. Loc. cit., p. 41. 1 Pitres. Autre
observation
d'agraphie pure, in Rev. de AM., 188t. P. Marie
ie en particulier, d'après l'enseignement de ,11. le Prof. Charcot (
Observation
d'agraphie pure), in l'tog. illéd. 4 fév. 1888.
s élèves M"° Skwort- zoff 1. Dans le travail de MUe Skwortzoff, une
observation
de Déjerine est accompagnée d'autopsie. Depuis
Déjerine est accompagnée d'autopsie. Depuis cette thèse, d'au- tres
observations
ont été publiées : deux avec autopsies, celles
eux sans autopsie, celles de M. Armaignael et de M. Bertholle'. L'
observation
avec autopsie de Déjerine, les deux observations
de M. Bertholle'. L'observation avec autopsie de Déjerine, les deux
observations
avec autopsies de M. Chauffard et de MM. d'Heil
mière circonvolution temporale8. » C'est d'après les travaux et les
observations
de SI. Wernicke9, qui le premier paraît avoir é
t de la surdité des mots dans l'aphasie. Thèse, Paris, 1881. (Douze
observations
, dont une de l'auteur et deux de M. Magnan.)
te ce qui explique la coïncidence répétée, dans quelques-unes des
observations
ci-dessus, de la cécité verbale et de l'hémia-
, 1882, p. 173. 2 NothnageL Maladies de l'encéphale, 1885. Lire les
observations
réunies p. 346 et suivantes. 1 Grasset. In Pr
s n'avons pas rencontré d'altération des vaisseaux du pied. Notre
observation
paraît plutôt se rapprocher de celles que M.J.C
tendent à assigner au mal perforant une origine nerveuse, car les
observations
qu'ils ont recueillies appartenaient à des mala
appartenaient à des malades atteints d'ataxie locomotrice. Notre
observation
vient donc à l'appui de cette manière de voir,
émoire nous montre, si déjà la lecture de la symptomatologie et des
observations
ne nous avait pas convaincus combien variable é
s poétiques ou théâtrales ou mystiques que l'on retrouve dans les
observations
de Kalhbaum et assez fréquemment observés t pou
té (Maudsley1). D'ailleurs la plupart des causes signalées dans les
observations
de catatonie n'agissent guère d'ordinaire que c
tion, l'alcoolisme sur lequel insiste Kiernan. Enfin la lecture des
observations
nous montre plus d'un malade, la / majorité mêm
et la plasticité musculaire à l'état de veille. Or, jamais dans les
observations
de catatonie que nous avons lues l'hysté- rie n
iques. Et cela d'autant / mieux que l'on rencontre à la lecture des
observations
des phénomènes assez fréquents dans l'hystérie,
ée par Kroepelin, négligée par Neisser (Obs. IX) ; dans deux autres
observations
du même auteur, nous trouvons du somnambulisme
it comblé en partie ces lacunes dans l'examen de ses malades et ses
observations
l'ont en somme amené à décrire une forme de cat
u provoquées que présentent les catatoniques. Nous rapportons ici l'
observation
d'une malade hystérique dont l'affection présen
ons constaté, bien que légers, des troubles du sens mus- culaire.
Observation
IV. 111'1 L. Ch..., âgée de vingt-quatre ans, en-
Septembre.- Réapparition des règles. Guérison complète. Sortie. L'
observation
suivante que l'un de nous avait pu recueillir à
et là encore on trouve de l'hérédité et de l'hystérie bien avérée.
Observation
V. Allie N..., âgée dedix-neuf ans. Antécédents
blé découler de l'examen des descriptions de cette maladie et des
observations
données à l'appui. La tentative de Kalhbaum a é
us semble être une singulière exagération. La grande majorité des
observations
publiées de mélancolie avec stupeur ne pré- sen
d'eau à diverses températures. Le présent mémoire contient : trois
observations
du retard de la sensibilité à l'égard de la cha
ervations du retard de la sensibilité à l'égard de la chaleur trois
observations
de sensibilité double dans le domaine de la zon
ibilité double dans le domaine de la zone soumise à la douleur sept
observations
prouvant des erreurs du jugement des tabétiques
roient éprouver des sensations n'ayant pas de raison d'être trois
observations
dans lesquelles le simple contact de l'aiguille e
es le simple contact de l'aiguille est perçu comme une douleur deux
observations
d'épuisement rapide de la sensibilité thermique
observations d'épuisement rapide de la sensibilité thermique trois
observations
de rémission du trouble de la sensibilité une o
ue trois observations de rémission du trouble de la sensibilité une
observation
de répartition toute spéciale du trouble de la
ns d'ataxie résidant sur le système moteur et non sensitif - quatre
observations
de mouvements associés chez des ataxiques, prou
prouvant que l'incoordination est d'origine purement motrice une
observation
montrant que les mouvements spontanés peuvent j
et celle de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 67 douzième paire. L'
observation
qu'il décrit concerne un jeune homme de seize a
n'ayant rien à voir avec la disparition du phénomène du genou. Deux
observations
à l'appui. L'auteur insiste encore sur les alté
it à des cas de compression lente des nerfs. M. Rendu rapporte deux
observations
qui prouvent que la névrite radiculaire du plex
EN plaques ; par le Dr H. RICH.1BDIÉRE. (Rev. de méd., 1886.) Des
observations
publiées dans ce travail il ressort : 1° que la
NTE; par R. Lépine. (Rec. de med., 1880.) La première de ces deux
observations
est un exemple d'hémi- plégie réflexe, la voici
issu nerveux de cet hémisphère. » Voici le sommaire de la seconde
observation
: pneumonie droite datant de plusieurs jours ;
tions MOTRICES; par R. Lépine et L. BLANC. Voici le résumé de cette
observation
: diabète, hémiplégie droite progressive ; cris
'adulte ; par MM. Leclerc ET BLANC. (Lyon 7 ? 2éd., 1886, t. 52.)
Observation
d'un malade âgé de dix-neuf ans, qui fut pris sub
Revue critique fort intéressante et très complète, avec quelques
observations
propres à l'auteur. Nous signalerons particulière
mides. De l'étude critique du fait en lui-même, rapprochée d'autres
observations
similaires ou analogues , M. Struempell conclut
éminée; par B. KuESSIER et F. BROSIN. (Arch. f. Psych., XVII, 1.)
Observation
clinique très détaillée. Un homme bien portant,
f Mental Science , avril 1885.) L'auteur rapporte brièvement neuf
observations
dans les- quelles une altération scléreuse ou d
scendante consécutive n'intéressait qu'une colonne latérale; dans l'
observation
IV, elle intéressait les deux, ainsi que dans l
dans l'observation IV, elle intéressait les deux, ainsi que dans l'
observation
VI. Règle générale l'entre-croisement t des pyr
'en a plus en- tendu parler. L'auteur fournit encore deux nouvelles
observations
de paralysie générale à guérison apparente. Q
au morphinisme; par H. SiIDT. (Arch. f. Psych., XVII, 1.) Quatre
observations
. Ici le déliré fut, d'après l'auteur, absolu- m
hez la mère qui'peu- vent agir sur la conformation de l'enfant. Une
observation
per- sonnelle de l'auteur en est un exemple. Un
semblables, dont ils peuvent être témoins. La réunion de toutes ces
observations
pourra servir à établir une classification comp
E Johnstone. (T7te Journal of ;4lezztal Science, juillet 1885.) L'
observation
que l'auteur relate avec détail, porte sur unefem
tion de l'imbécillité ; et si l'auteur a cru devoir rapporter cette
observation
c'est qu'il a pu dans ce cas retrouver - les tr
ItE. (The Journal of Mental Science.) L'auteur rapporte plusieurs
observations
très intéressantes, et termine son travail parl
s sa thèse ces divers modes de transformation. M. BRIAND rappelle l'
observation
d'un persécuté qu'il a suivi et qui brusquement
tout d'abord les titres nobiliaires que lui attribuent des voix.
Observations
de délire chronique. M. LvoLF communique une ob
s voix. Observations de délire chronique. M. LvoLF communique une
observation
de délire chronique chez une femme qu'il a observ
e se manifestent. Il semble, dit en terminant M. Lvolf, que cette
observation
ré- pond en tous points au groupe morbide que M
x à sang chaud et froid avant d'être administré à l'homme. Soixante
observations
. Deux centcinquante administrations. Notammentc
dues à. l'obligeance de M. Friedmann, empruntées à l'autopsie de l'
observation
Lehrer publiée dans la 1\eurol. centrait, de 18
titre provisoire et sont en conséquence placées dans un quartier d'
observation
. Elles y sont maintenues autant que les exigenc
lités plus lon- gues que celles delà loi de 1838 dans un quartier d'
observation
où il recevra les premiers soins. Mais la liber
ouvions pas admettre, par exemple, qu'il ne fût pas tenu compte des
observations
présentées au nom de l'académie de médecine sur
dmises à titre provisoire doivent être placées dans des quartiers d'
observation
séparés des autres parties de l'établissement».
tre apporté à la maintenue des malades entrant dans ces quartiers d'
observation
, pendant la période légalement considérée comme
où il ne faut pas le placer dans ce que vous appelez un quartier d'
observation
! Il faut au contraire le laisser mêlé dans ce
-là ! Cette pauvre femme, si vous l'aviez placée dans un quartier d'
observation
, si vous l'aviez isolée, vous l'auriez rendue a
rdée par l'ancienne loi ? Vous placerez les aliénés dans un poste d'
observation
, s'il y a lieu, vous ne les y placerez pas, s'i
en médecine et surtout en médecine mentale, elles ne suppléent ni l'
observation
des faits ni la connaissance des lois pathologi
it, dis-je de ce procureur de la Ré- publique insistant, malgré les
observations
expresses, formelles, du dnecteurde l'établisse
dans l'établissement, le nouveau venu est soumis à l'examen et à l'
observation
du médecin de l'asile, qui est tenu aussi de rédi
très spéciale de la physiologie où un des leurs s'est répandu en
observations
pleines de finesse, je ne ferai pas l'injure de p
ogique est un des bons cha- pitres et il renferme un tableau de 109
observations
d'épilepsie Jacksonmenne où les lésions sont mi
conscience et dont l'histoire a fait beaucoup de bruit autrefois. L'
observation
de Félida X... le sujet en question a été prise
stence. On ne peut regretter qu'une chose dans cette consciencieuse
observation
, c'est que l'état soma- tique dans les deux éta
l'auteur a su au contraire se tenir constamment sur le terrain de l'
observation
scientifique, sans chercher à don- ner à tout p
rs rapports avec notre organisme. Il procède avec la même méthode d'
observation
rigou- reuse dans l'étude de l'hallucination et
à éclairer ou à résoudre quelque punit encore obscur pour lequel l'
observation
de soi-même dans un but de recherches déterminé
ve a disparu alors que ses conséquences sont encore manifestes. Les
observations
indiquent la coexistence de lésions médullaires
ociation, qui n'a rien qui doive éton- ner. L'auteur donne avec ces
observations
un résumé des formes frustes dont les éléments
s été invoqués à l'appui de la première opinion. Oc la majorité des
observations
relatent que l'épilepsie s'est déclarée après u
sale n'a pas été un simple BIBLIOGRAPHIE. 138 effet ; de plus les
observations
dans lesquelles le mal comitial est apparu long
uma sont aussi peu concluantes. il ne reste plus dès lors que peu d'
observations
, et dans quelques- unes le rôle de la prédispos
eur a groupé avec assez de clarté les déductions qui ressortent des
observations
et des travaux des auteurs. Quoi- que aucune id
aucune idée originale et nouvelle ne rehausse ce travail, dont les
observations
même sont empruntées presque toutes, sauf trois
mesures prises dans certains cas à l'égard des malades pla- cés en
observation
dans les hospices. Je me réserve de vous adres-
ut ex- ceptionnelles. , . « La question de la durée de la mise en
observation
est digne aussi de toute votre sollicitude. -Il
itions d'installation des cellules » et de la « durée de la mise en
observation
» ne parais- pas avoir été suivies. Voici, en e
initiateur de ces études. Dans son travail, qui ne con- tient pas d'
observations
médicales ni d'autopsies, les DES ACCIDENTS PAR
émorr7aagie nasale. Comme ac- cidents graves, l'auteur rapporte une
observation
im- portante qui consiste en une paraplégie pré
il y a eu un intervalle de vingt-quatre heures. Il relate aussi les
observations
de trois ma- lades paraplégiques, dont l'un est
es deux autres sont incomplètement guéris. Enfin, une série de neuf
observations
termine la description de ces maladies à début
s termine la description de ces maladies à début brusque : de ces
observations
, malheureusement très brièvement exposées, deux
et l'autre au bout de trois mois par le fait de sa paraplégie. Cinq
observations
sont relatives à des plongeurs qui ont guéri ou
s le numéro du 14 août 1883, de Y Union médicale, sous le titre : «
Observation
d'ataxie locomotrice, consécutive à des acciden
a commis l'erreur de considérer le malade qui fait le sujet de son
observation
comme atteint d'ataxie locomotrice : nous y rev
cérébrales, et C), Formes cérébro-spinales. A. Formes spinales. Nos
observations
nous autorisent à distinguer différentes formes
me centrale spinale latérale. A. FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE.
Observation
I. Premier accident le 18 octobre 1875. Descente
es fonctions de l'organisme paraissent s'effectuer régulièrement.
Observation
II. - Accident survenu le 20 juillet 1879 ; deuxi
ptôme céphalique. Les autres organes paraissent bien fonctionner.
OBSERVATION
III. Accident produit le 98 octobre 1883, à la qu
céphaliques. Les autres appa- reils paraissent bien fonctionner.
Observation
IV. Accident occasionné par lu jroisiènte immersi
xcès alcooliques. Les autres organes paraissent bien fonctionner.
Observation
V. Accident provoqué par la huitième immersion le
yen, et après une immersion, rarement deux, le prurit dis- parut.
Observation
VI. Accident survenu à la cinquième immersion f
état maladif. Etat actuel. Exaltation considérable des réflexes.
Observation
VU. Accident provoqué le 24 mai 1883 à la sixième
ent et surtout dans les conditions que nous avons déjà exposées aux
observations
qui précèdent. La nuit, le malade est tourmenté
t une petite exaltation des réflexes rotuliens, surtout à droite.
Observation
VIII. Accident provoqué le 27 septembre 1873, à
ce externe du méat a été supprimée. Pas de symptômes céphaliques.
Observation
IX. Accident provoqué le 15 juillet 1872, à la de
céphaliques. Les autres appareils paraissent bien fonc- tionner.
Observation
X. Accident provoqué le 26 juillet 18S3 par la
que. Les fonctions des autres organes ne laissent rien à désirer.
Observation
XI. Accident provoqué le 15 mai 1874 à la cinquiè
t pour ainsi dire l'existence antérieure du syndrome spasmodique.
Observation
XII. Accident occasionné le 22 avril 1886 par la
a pas de symptômes céphaliques. Rien du côté des autres organes.
Observation
XIII. Accident provoqué le 25 mai 1886, première
ait tout le tableau clinique. 186 CLINIQUE NERVEUSE. Les treize
observations
qui viennent d'être rappor- tées suffisent ampl
ôt quelque temps après la décom- pression, comme cela a eu lieu aux
Observations
1, III, V, IX, XII. Ce temps a varié entre deux
rmi les symptômes du début. En effet, ils figurent dans sept de nos
observations
; ils font au contraire absolument défaut dans
six autres cas. Les symptômes céphaliques qui ont existé dans nos
observations
sont les suivants. «). Perte de connaissance. C
connexion avec d'autres symptômes céphaliques ; chez le malade de l'
OBSERVATION
I, la perte de connaissance était précédée de v
mi les symptômes céphaliques, les vertiges ont figuré deux fois aux
observations
pré- cédentes. Les vertiges qui ont été présent
ux malades sont d'un aspect clinique différent. Chez le malade de l'
OBSERVATION
I, le vertige avait les carac- tères de ce qu'o
tourdissements. Ce symptôme a existé une seule fois. Le malade de l'
OBSERVATION
XI revenu de sa perte de connaissance a une inc
deux fois un des symptômes du groupe cépha- lique. Les malades des
Observations
V et VII avaient perdu tout à fait la mémoire d
er, car ils ne pouvaient pas même articuler un seul mot; celui de l'
OBSERVATioN
V pouvait émettre seulement quelques sons inart
marche a été si rapidement rétrogressive que chez le malade de l'
OBSERVATION
V, l'aphasie motrice dans vingt-quatre heures a
rétrogressive de l'aphasie devient surprenante chez le malade de l'
OBSERVATION
VU ; en effet, l'impossibilité absolue d'articu
mptômes oculaires. Ces symptômes qui ont figuré deux fois parmi nos
observations
consistent en des troubles de la vue, qui ont v
ent des yeux, toutefois assez prononcé, comme chez le malade de l'
OBSERVATION
X jusqu'à la cécité complète présentée par le m
t définitive dans un espace de temps excessivement court; à notre
observation
, cinq minutes à peu près ont suffi- pour la gué
V la cécité était associée à l'aphasie motrice et chez l'autre de l'
OBSERVATION
X le trouble oculaire coexistait avec des bourd
uent, car elle a figuré six fois 192 CLINIQUE NERVEUSE. parmi nos
observations
; tantôt ce sont les douleurs épigastriques qui
rendre la respiration encore plus gênée. Enfin, pour le malade de l'
Observation
XII les mouvements respiratoires sont gênés par
es respiratoires n'ont existé qu'une seule fois chez le malade de l'
Observation
X, et ont consisté eu une dyspnée intense avec
toires des deux catégories susmentionnées comme chez le malade de l'
Observation
I qui, à côté de sa gêne respiratoire occasionn
, on ne les voit figurer que sept fois ; car, dans les six autres
observations
, ils font complètement défaut. Pas- sons rapide
, parfois intolérables; elles sont caractérisées par le malade de l'
Observation
VIII comme poignantes. Leur durée totale a été
le maximum de trois heures (Cas. I et VIII). Pour cette dernière
observation
, il faut signaler cette particularité que la do
uent , parce que nous ne l'avons rencontré que deux fois sur treize
observations
, de sorte que le développement de gaz au moins
un autre fait : le gonflement gazeux de l'estomac du malade de l'
Observation
VIII, qui, ayant commencé environ vers 6 heures
Soif. Ce symptôme paraît souvent tourmenter les malades. Parmi nos
observations
, il figure quatre fois; il était associé à d'au
1R ROTH, Privat-docent de l'Université de Moscou. Les deux autres
observations
sont résumées. - Observation IX Nikita Ivanof
iversité de Moscou. Les deux autres observations sont résumées. -
Observation
IX Nikita Ivanof, menuisier, âgé de trente-sept
telle manière, qu'il y a trois ans le malade cessa de travailler.
Observation
X. Georges W., paysan âgé de trente-cinq ans, e
e de, l'anesthésie thermique seule et, sous ce rapport, nos trois
observations
sont actuellement uniques dans la science. Cela
ilité. Dans sept cas décrits par les auteurs allemands et dans deux
observations
de Dreschfeld, il y a eu analgésie partielle en
la peau, où la sensibilité tactile était aussi affaiblie. Dans l'
observation
d'Oppenheim, la sensibilité était diminuée dans
deux dernières espèces de sensibilité était plus accusé. Dans ses
observations
nombreuses, Morvan parait ne pas avoir prêté un
orps peut 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. être atteinte. Dans la sixième
observation
, nous avons pu suivre l'extension graduelle de
que la mu- queuse de la cavité buccale soit aussi atteinte ; les
Observations
II et III ne donnent pas d'anesthésie marquée d
nts thora- ciques adjacents, mais il est très probable que dans l'
OBSERVATION
IV, la marche ultérieure de la maladie présente
le début de la maladie (OBs. IV). Enfin, dans .la troisième série d'
observations
, il peut exister une analgésie partielle dans l
lée sans ther- anesthésie. M. Morvan, qui signale dans toutes ses
observations
de l'analgésie et, dans quelques cas excep- tio
l'anesthésie générale de notre neuvième cas. A juger d'après notre
Observation
III, il faut croire qu'une certaine diminution
és les « hommes autographiques » (Schultze, Fûrstner et Zacher, nos
Observations
II et III), faisant le pendant de la femme auto
pendant de la femme autographique de Dujardin- Beaumetz. Dans les
observations
de Zacher et de Fürstner, cette paralysie réfle
n- contrent dans plus de la moitié des cas, même sans compter les
observations
de Morvan, qui avait ras- semblé ses cas, en se
us-cutané, dans le genre de celles que nous avons observées dans 1'
Observation
V est men- tionnée par d'autres auteurs égaleme
et accompagnés parfois de douleur (Cas. III, cas de Remak). Dans l'
OBSERVATION
X existaient des épaississements considérables
autres irritations, d'autant plus que, comme le démontrent nos deux
observations
, les altérations pathologiques citées plus haut
développe, probablement dans une succession différente. D après nos
observations
, la thermanesthésie est habituellement le premi
RIC0N. VI. Anatomie pathologique (Suite). Nous rapprocherons de l'
observation
précédente une autre observation suivie égaleme
(Suite). Nous rapprocherons de l'observation précédente une autre
observation
suivie également d'autopsie; le malade n'avait
psie étaient l'atrophie cérébrale et la méninge - en cépha Vite .
Observation
XLIV. - Atrophie cérébrale. e/n/ë ? <' gauche.
de compte à propos des troubles de la sensibilité ». En outre, des
observations
de lésions corticales du côté des circonvolutio
ntale et pariétale ascendantes sont exclusivement sensitives. Les
observations
anatomiques que nous signalons plus haut et d'a
ploration des régions corticale, centre ovalaire et capsulaire, les
observations
expérimentales aussi des dégénérations secondai
posée par M. le professeur Charcot, comme démonstra- tives, que les
observations
dans lesquelles les symptômes observés pendant
ent détruite dans sa totalité, ou même monoplégie, d'après quelques
observations
, presque exclusivement expéri- mentales, bien q
du r(UI3 ? N' de REIL; par P. MEYER. (Arch. f. Psych., XVII, '2.)
Observation
unique, particulièrement intéressante à ce titre.
ILOCUL.\llll ? parla. RoSE'UEtM. (r7'(')t61. f. Psych. xviii, 3.)
Observation
d'une affection desnersspériphériques éclose chez
re de Wernicke) ; par R. TuomsrN. IAz·clc. . Psych. XIX. 1.) Deux
observations
avec nécropsies, de paralysie aiguë des muscles
respondants, dans les conditions que voici. C'est, dans la première
observation
, surtout le plancher du quatrième ventricule qu
ar E. SIE.)irRLI.IG. (Arch, f. Psch., xix, 2.) Longue et complète
observation
. Le néoplasme avait totalement englobé et trans
hez les sujets sains comme chez les aliénés et pre- nons beaucoup d'
observations
. C'est un- procédé d'analyse physio- logique in
rès la loi actuelle amener à l'asile n'importe qui, mais, dès que l'
observation
a montré que le sujet en question n'et pas fou,
ocK. D'une forme rare de névrose vasculaire de la peau. La première
observation
concerne un érythème noueux chez une femme de t
lle de SOCIÉTÉS SAVANTES. 295 mais, pas plus que dans la première
observation
, on ne constata de rhumatisme articulaire, ni d
hés à leur profession chercher par des asiles privés les éléments d'
observation
qu'il leur faut; si assistés par les fonctionna
n; mais, si le malade de- meure dans l'établissement, il faut que l'
observation
journalière soit aussi exactement prise que pos
, de même que tout autre hôpital, et déconsigner ses remarques, ses
observations
, en ce qui concerne la nécessité de la séquestr
as em- prunté au travail de M. Euphrat, l'orateur communique unie
observation
de folie induite qu'il a vue dans ces derniers te
e cours de cette étude ce qu'il faut en penser réelle- ment. Huit
observations
de délire communiqué que nous avons recueillies
et réduisons à deux le nombre de ses variétés cli- niques. Les
observations
de délire partagé se rangent, en effet, dans de
province, qui le tire de sa propre clientèle ; il a la valeur d'une
observation
. Trois paysans rentraient du marché dans un éta
e juste idée de ce qu'ont dû être les épi- démies de convulsions.
Observation
1. Délire communiqué. Mère débile. Fils débile.
e sorte noyées. C'est ici que nous devons placer deux autres de nos
observations
. Observation II. Délire communiqué. - Mère dé
C'est ici que nous devons placer deux autres de nos observations.
Observation
II. Délire communiqué. - Mère délirante chroniq
ue. Fille débile. Les deux malades qui font le sujet de la présente
observation
sont la mère et la fille. Elles sont entrées le
La mère et la fille sont alors arrêtées et dirigées sur le Dépôt.
Observation
III. Délire communiqué. Soeur aînée, délirante
ion exacte de l'acte qu'elle accomplit. 342 PATHOLOGIE MENTALE.
Observation
IV. Délire à trois. Père et mère mélancoliques.
articulation, comme par exemple, les douleurs que le malade de l'
OBSERVATION
III avait à l'articulation de l'épaule; il ne s
t avoir pour siège plusieurs parties du corps; ainsi le malade de l'
OBSERVATION
III avait une pression douloureuse constrictive
t XIII avaient les douleurs entre les omoplates et enfin celui de l'
OBSERVATION
IV les avait aux lombes. Les douleurs musculair
parmi les symptômes du début. Tels sont le frisson généralisé de l'
OBSERVATION
IX et les four- millements très forts du malade
l toute la symp- tomatologie du début, comme par exemple, à notre
Observation
VI il n'y a parmi les symptômes cépha- liques q
immé- diatement après de l'explosion de la paraplégie : de même à
observation
XIII, la douleur interscapu- laire est le seul
ous les autres, peuvent constituer le début comme par exemple à l'
OBSERVATION
V l'accident a débuté par la cécité fugitive et
et l'aphasie motrice, symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'
OBSERVATION
III, la pression douloureuse constrictive à la
eut préciser la durée exacte de cet intervalle chez les malades des
Observations
VIII et XI, car tous les deux se sont endormis,
e après quelques minutes) et quelques heures (trois heures pour l'
OBSERVATION
II, plus de douze pour l'OB- SERVATION XII).
Il), soit gauche (OBs. III et X). La mono- plégie de ces dernières
observations
est complète dès le moment de son invasion, com
ntaire d'uriner. Une seule fois, l'incontinence chez le malade de l'
OBSERVATION
VI, a eu lieu d'emblée pendant la durée de la p
les troubles vésicaux, il faut mentionner le catarrhe vésical de l'
OBSERVATioN
VIII avec les douleurs de l'orifice externe.
aplégie, ce qui fait au total seize jours. Chez l'autre malade de l'
OBSERVATION
XI, il y avait par contre une impuissance compl
existé chez deux de nos malades (OBS. I etX); celui de la dernière
observation
comparait ses douleurs à des coups de poignard,
n a pas une seule qui soit flaccide. Exception faite du malade de l'
OBSERVATION
VI qui, le troisième jour de son accident, étai
éflexes roluliens. C'est un signe qui n'a manqué dans aucune de nos
observations
. Son intensité varie sans doute suivant le degr
s'ils sont presque ou tout à fait guéris. Pour ne parler que des
observations
rapportées, on voit l'épilepsie spinale figurer
examen; mais si l'on jette un coup d'oeil sur l'historique de cette
observation
, on lira « ses pieds « tremblent surtout au rév
lexibilité. La même chose, mais vice versa, arrivait au malade de l'
OBSERVATION
X qui avait une prédomi- nance des phénomènes p
a même jusqu'à disparaître; ce qui est arrivé chez le malade de l'
OBSERVATION
XT, qui, un mois après l'invasion de sa paraplé
smodique s'atténue de plus en plus : c'est ainsi que le malade de l'
OBSERVATION
1, le'15 février 1876, marchait en s'appuyant s
re gauche. La rétrogression et l'atténuation chez les malades des
Observations
V et VII vont jusqu'à la disparition com- plète
que très peu (OBs. Il, III, VIII). On ne doit pas tenir compte de J'
OBSERVATION
XII; car il I s'agit d'un cas de trois mois. Ce
qui enraye son état, en voie d'amélioration. Chez le malade de l'
OBSERVATION
I, dont l'état se trouvait en rétrogression for
re, l'état du malade s'aggrave, par exemple l'état du malade de l'
OBSERVATION
VIII, qui était resté stationnaire pendant trei
rieure de cette forme. En effet, à cette époque, la moitié de nos
observations
ne présentait plus d'alté- ration de la sensibi
d'alté- ration de la sensibilité; par contre, dans les six autres
observations
, elle a été trouvée altérée. L'altération de la
si l'on piquait ou si l'on touchait le membre gauche du malade de l'
OBSERVATION
X, celui-ci éprou- vait une sensation désagréab
is troublé. Les troubles vaso-moteurs figurent trois fois sur douze
observations
a). le malade de t'OBSERVATiON I avait le pied
urs figurent trois fois sur douze observations a). le malade de t'
OBSERVATiON
I avait le pied droit froid en même temps que s
siège de prédilection des troubles sensitifs. Quant aux neuf autres
observations
, on voit qu'il n'y avait pas le moindre trouble
ie aussi bien de la motilité que de la sensibilité, car, sur treize
observations
, ils n'ont fait défaut qu'une seule fois Observ
r, sur treize observations, ils n'ont fait défaut qu'une seule fois
Observation
XI, s'atténuent, se frustrent, au sur et à mesu
mmencement, nous constatons au moment de notre examen, que les sept
Observations
II, III, IV, V, X, XI, XII, sont tout à fait né
plètement guéri. Il en est exacte- ment de même pour le malade de l'
OBSERVATION
XIII qui, le 20 juillet, présentait encore de t
s de la vessie persistent, bien qu'atténués. Ainsi le malade de l'
OBSERVATION
IX, le 10 juillet 1884, c'est- à-dire douze ans
e temps eu temps un peu de difficulté pour uriner. Le malade de l'
OBSERVATION
I, le 15 février 1885, c'est- à-dire neuf ans e
e seule fois, atténués, et même presque guéris. Chez le malade de l'
OBSERVATION
I qui, au moment de l'invasion de son accident,
énuer, voir même à disparaître. C'est ainsi que chez le malade de l'
OBSERVATION
VII, le 15 mai 1884, jour de notre premier exam
ux ne va pas jusqu'à la disparition. C'est ainsi que le malade de l'
OBSERVATION
I avait encore des troubles génitaux consistant
ilement remarquer que la myatro- phie n'a figuré dans aucune de nos
observations
. Nous croyons pouvoir annoncer que dans l'immen
céphaliques. Depuis ce moment, nous avons perdu de vue le malade.
Observation
XVI. Accident provoqué le 20 janvier 1884 à la
ômes céphaliques. Les fonctions des autres organes sont normales.
Observation
XVII. Accident provoqué le 8 novembre 1882, qita-
s fonctions des autres organes paraissent se faire régulièrement.
Observation
XVIII. Accident survenu le 20 mai 1879, après l
n'y a aucun symptôme céphalique. Rien du côté des autres organes.
Observation
XIX. Accidents du 5 mars 1873, première inznacn-
)IPLOI DES SCAPHANDRES. 387 PATHOLOGIE. En s'appuyant sur ces six
observations
, que nous venons de relater, nous allous essaye
ur importance clinique; en effet, nous les voyons figurer dans cinq
observations
. Ces symptômes sont : - a). Perte de connaiss
naissance était précédée d'étourdissements. Certes, en lisant cette
observation
, on a dû être frappé des allures cliniques très
gage. - Nous n'avons rencontré ces troubles que chez le malade de l'
OBSERVATION
XIX. Nous ferons la même remarque qui a déjà an
me que nous décrivons, car nous le rencontrons trois fois sur six
observations
. Encore ici, il faut diviser les symp- tômes de
ent se combiner à un symptôme d'un autre syndrome; c'est le cas de ]
OBSERVATION
XV où les illusions visuelles, la perte de conn
plégie d'un membre supérieur quelconque; c'est le droit pour les
Observations
XV et XIX. La monoplégie de ce cas a été brusqu
res et disparaissent' après avoir duré quelques jours, (huit pour l'
OBSERVATiON
XIX et vingt-cinq pour l'OB- servation XVI.) Da
e qui concerne lemode de l'invasion de la paraplégie du malade de l'
OBSERVATION
XV. En effet, après l'intervalle de bien-être d
uite de cette rétention, qui a duré dixyjours chez le malade de l'
observation
, la vessie a été énormément distendue et elle a
gliome de la moelle épinière, tantôt celui de syringo- myélie. Les
observations
de ces maladies avaient été examinées par nous
es tumeurs à syringomyélie n'ont pas de relation directe avec nos
observations
. 3). L'épendyme du canal central normal s'hyper
morphologiques. Le même fait se trouve cou- firme par les récentes
observations
de Schultze20, qui, à l'aide de la méthode de W
source des sypmptômes patholo- giques fondamentaux dans le groupe d'
observations
que nous étudions. Il est regrettable que nos
rvés au milieu des parties les plus altérées, comme le démontre mon
observation
mentionnée plus haut20. Il est certain que les
ut expliquer l'analgésie et la thermanes- thésie partielle dans mes
observations
et leurs ana- logues que par des troubles nutri
ns la partie inférieure du renflement cervical, serait celle de l'
OBSERVATION
V à anesthésie générale de la moitié externe de
e avait probablement déjà existé à l'age de onze ans. Et dans les
observations
des auteurs, où le début de la maladie est sign
la gliomatose cérébro-spinale. D'un autre côté, comme le démontre l'
observation
de 1-P C... (Observ. IV), les douleurs locales
tégrité du toucher. 11 est regrettable qu'il ne donne pas une seule
observation
détaillée pour élucider ce fait et nous ne savo
) qui existe dans les cas à paralysie de sensibilité partielle. Mon
observation
citée plus haut peut servir d'anneau reliant le
fois côte à côte avec les produits spécifiques (notre cas et les
observations
deZacher-Fùrstner) l'infiltration lymphoïde, l'
HEVILLE et P. BRICOX. VI. - Anatomie pathologique (Fin). Des deux
observations
qui précèdent, relatives à des malades atteints
t l'autre d'ac- cidents procursifs tardifs nous rapprocherons une
observation
de M. i)lescliede«2 . Toutefois nous devons fai
M. i)lescliede«2 . Toutefois nous devons faire remarquer que cette
observation
diffère un peu des nôtres au point de vue clini
et ne semblent pas avoir constitué à proprement parler des accès.
Observation
LVI. Epilepsie avec idées religieuses extatiques,
blir une comparaison exacte entre ce cas et les nôtres. Parmi les
observations
anciennes que nous avons publiées dans notre hi
organes environnants ne permettent pas de discuter avec fruit ces
observations
. DE L'l'·PILEPSIE PROCURSV'1 : , 423 Anatomiq
qui concerne l'anatomie pathologique, les détails contenus dans les
observations
anciennes sont loin d'être suffisants. Il est à
mémoire sur le tournis, lu à l'Académie de médecine en 1833, cite l'
observation
d'une demoiselle qui, à l'âge de quarante-sept
ntourées d'une très grande obscu- rité. Nous ne croyons pas que nos
observations
soient à l'abri de toute critique sous ces dive
ce, etc.) avec lesquels cet organe a des connexions si intimes. Des
observations
ulté- rieures peuvent seules confirmer ou infir
naissons rien de l'étiologie de l'épilepsie procursive. D'après nos
observations
, nous pouvons seulement dire que la lésion encé
u'il ne nous ait été possible de prendre que des notes sommaires.
OBSERVATION
I. Vas... (Georges), cinq ans, habitant la com-
usin germain est faible ' Nous espérons pouvoir publier plus tard l'
observation
de cette malade. » 4M RECUEIL DE FAITS. d'esp
au mouvement et aime beaucoup le lit. La peau est pâle, cireuse.
Observation
II. Pih... (Pauline), vingt-sept ans, réside dans
cliez iiii ilitre enfant (tout iiotis ptil)lierons prochainement l'
observation
dans le Progrès médical. Même chose chez un mal
e Journal of Mental Science. Juillet 188.) Voici le résumé de cette
observation
: Garçon de onze ans§ antérieurement bien porta
dans le texte précisent les lieux et les territoires nerveux. Sept
observations
cliniques sont données comme exemples d'applica
XVIII, 3, XIX, 1.) Analyse critique à propos de quelques nouvelles
observations
de sclérose en plaques. Dans une première parti
el à l'existence de foyers scléreux dans ces diverses zones. Une 2°
observation
person- nelle : étude critique des cas et des o
OCULAIBI : ; par A. WITIIOWSKI. (,12,ch. f. Psych., XVIII, 3.) Deux
observations
importantes à cause de l'intensité et de la loc
e l'intensité et de la localisation des lésions. Et à propos de ces
observations
, idées originales. D'après l'auteur, la névrite
isations Cérébrales par Siemerling. (.4och. f. Psych., XVIII, 3.)
Observation
. Femme de soixante-quatre ans. Ictus apoplec- t
; par M. LUNZ. (A7'CIt. f. Psych., XVIII, 3.) Après avoir donné une
observation
personnelle d'ataxie suite de diphlhérie, qui n
les nerveux consécutifs à la fièvre typhoïde. Nous relevons : trois
observations
à l'appui de la théorie anémique et consomplive
e à une aphasie sans paralysie (sorte de faux pas du coeur). Deux
observations
propres à appuyer la théorie fonctionnelle, mais
ensuite les troubles nerveux par inllam- malion infectieuse (quatre
observations
) et par altérations vascu- laires du système ne
RAMYOCLONUS multiple ; par BECHTEREW. (A2-eh. f. Psych., XIX, 1.)
Observation
personnelle caractérisée par des contractions spa
omatiques, attribuez leur le terme de Myoclonus. Voici une curieuse
observation
relative à un épileptique de dix-huit ans prése
nerveux central ; par A. Hoche. (rh·c7t. f. Psyciv., XIX, 1.) Deux
observations
de méningite tuberculeuse cérébro-spinale avec
n de la substance blanche de la moelle (phéno- mènes paralytiques).
Observation
I. Lepto-méningite et myélite aiguë, avec nombr
ues et possèdent chacune plusieurs noyaux irrégulièrement répartis.
Observation
IL Nombreux foyers constitués chacun par une so
vêtement de la fosse moyenne gauche du crâne. Pas d'autopsie. Trois
observations
de paralysie nucléaire. V. diagnostic, étude cr
d'origine centrale ; par C. Eisenlohr. (Arch. f. Psych., XIX, 2.)
Observation
. Aiiestliésie de la branche maxillaire inférieure
BES DORSAL ; par NONNE. (i9'C%t. f. Psych., XIX, 2.) Une première
observation
de névrite avec atrophie musculaire 4'l4 REVUE
phie, examen électrique) et, longtemps après, tabès ! Deux autres
observations
de névrites passfts'ë ? '6, isolées, dans le cour
e traduisent pendant la %ic par des modifications électriques (deux
observations
nouvelles). Néan- moins, il faut plus que jamai
eux extrémités (ceinture de gymnastique. bande d'Gsmarch.) C. une
observation
de crampe par excès de fatigue et de travail da
a moelle cervicale; par 15. S : 1CI1S. (Neurol. Celttrcclbl, 1887.)
Observation
ayant son intérêt en ce que : 1° la tumeur occupa
TABES DORSAL; par J. HOPP3f.\\N. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Cinq
observations
purement cliniques : Elles concernent surtout l
ecrétoires et vaso-moteurs, c'est d'elle que partent ces accidents.
Observation
de légère paralysie du radial droit tout acciden-
. GOTTLON. Des affections mentales chez les montagnards. Qua- rante
observations
caractérisées, à l'exception dcsixpsychopathies
que souvent l'on ne puisse se tromper, car M. IIebold mentionne une
observation
dans laquelle l'aspect cli- nique décelait une
M. SNELL parle de la simulation de l'aliénation mentale. A ses cinq
observations
relatives à la simulation d'affaiblissemeut intel
des cartes àjouer. Un autre individu de cinquante-sept ans, mis en
observation
à la suite d'une banqueroute frauduleuse avec f
ur le président. Il est évident, messieurs, qu'il faut répondre aux
observations
présen- tées par l'honorable commissaire du Gou
Mais, j'eslime que la rédaction de l'article 21 appelle quelques
observations
, et je crois utile de les soumettre à la commissi
changement, elle donnera satisfaction, d'une manière complète, aux
observations
que je viens de pré- senter. M. DELSOL, membr
édaction aucune modification, et de ne pas accueillir sur- tout les
observations
qui ont été présentés, il y a un instant, par l
elles sur l'épilepsie partielle. Il s'y trouve ce- pendant quelques
observations
assez intéressantes. Je note à ce point de vue
rande place que le titre ne permettrait de l'espérer. De nombreuses
observations
sont intercalées dans le texte, mais empruntées
t en atrophiant les testicules elles ovaires. L'auteur rappelle une
observation
de dément dont le père était alcoolique, et en
es, pied bot, lésions des organes génitaux uri- naires. Il cite des
observations
de ces différents états, montre que l'alcoolism
arties les plus intéressantes de ce travail. L'au- teur y donne des
observations
d'idiotie, d'anomalie des facultés de l'âme; vo
2). Nous avons donc pensé qu'il y avait quelque intérêt à publier l'
observation
suivante, malgré les lacunes qu'elle présente,
suffisamment les symptômes encéphaliques observés pendant la vie.
Observation
. J. M..., rentier, âgé de 68 ans, éprouve, depu
orps restiforme, qui en constitue la partie latérale, d'après cette
observation
(voyez PI. I, B). Si l'on étudie la série des c
larités qui se rapportent au diagnostic. Si nous résumons d'abord l'
observation
que nous venons de décrire, nous voyons que 'd'
he lente et tout à fait latente. Edinger (2) vient d'en publier une
observation
très détaillée. Mais dans les cas de ce (1) Lad
inhold le syndrome ataxique était exactement le même que dans notre
observation
. Les voies conductrices qui étaient également l
uban de Reil et la formation réticulée. En tenant compte d'autres
observations
publiées, dans lesquelles le ruban de Reil étai
. Cette opinion demande toutefois à être confirmée par de nouvelles
observations
. La première flèche indique la région du soi-di
son cas. Mais il y a toutefois une différence à signaler entre son
observation
et la nôtre. Dans notre cas la substance grise ét
tefois pourquoi l'a- trophie n'était pas du même côté dans les deux
observations
. Peut-être est-ce le fait de la compression dir
que nous avons constaté dans nos préparations. En effet, dans notre
observation
le pédoncule cérébelleux supérieur gauche était
. Or, cette thèse de Mingazzini ne parait pas confirmée par r notre
observation
, dans laquelle nous n'avons pas constaté de dégén
e nom de neuro-fibromatose génémlisée. Notre but est de présenter l'
observation
complète du malade que nous avons pu suivre de
nnus ou nouveaux qu'il nous a été donné d'étudier chez ce malade.
Observation
clinique. Antécédents héréditaires. - Père mort
coupe nous n'avons constaté de neurofibromes. L'intérêt de cette
observation
ne réside pas seulement dans ce fait qu'elle ré
t une déforma- tion du tibia droit en lame de sabre. Dans une autre
observation
clinique de JGANSGL111G (2), il s'agissait d'un
les membres infé- rieurs figuraient une parenthèse.Dans toutes ces
observations
le rapport de causalité entre la neuro-fibromat
s. Ces lésions nous ne les avons trouvées signalées dans aucune , 1
observation
. Il faut dire qu'on ne les a jamais recherchées.
einte de neurofibromatose; RECKLIXGIIAUSENJ dans la première de ses
observations
(2), en a trouvé des nodosités semblables sur l
n certain nombre d'auteurs dans ces dernières années ont dans leurs
observations
reproduit religieusement les descriptions et les
toujours semblables à elles- mêmes. Nous avons pu recueillir cinq
observations
inédites ; nos recherches bibliographiques nous
la question se trouve exposée dans ces publications. Deux nouvelles
observations
ont été rapportées dans la thèse de Lucien Tapie
rêle par rapport à ces man- chons graisseux. ' Dans de nombreuses
observations
, le malade est porteur de mamelles comme une fe
elques tiraillements, à quelques douleurs passagères. Dans nombre d'
observations
, on trouve signalés des accidents dus il la com
faiblissement et de fatigue se trouve signa- lée dans plusieurs des
observations
. Chez notre malade, l'asthénie élail très marqu
ne ou leur ordre chronologique, mais d'après leurs similitudes. '
Observations
résumées. Ors. I (Pl. VII, A). Launois et Bensa
., 1889, t. IV, p. 362.. Le mémoire d'Eh1'Jllann contient plusieurs
observations
indiscutables d'adéno-lipomatose symétrique, ma
a gracilité de ses formes et la jeunesse de son allure (PI. XII).
Observation
. Béiti-ice Gill ? âgée de 16 ans, sans professi
, est aujourd'hui de 80 livres passées. , Je veux ajouter à cette
observation
la lettre que j'ai reçue de cette jeune fille l
iraculeuse dont je parlais tout à l'heure et qui se retrouve dans l'
observation
qui fait le sujet de ce travail. ÉCOLE DU SER
Médecins majors répétiteurs à l'École du service de Santé de Lyon.
Observation
. S... (hélix'), canonnier de 2e classe au 110 B
n d'Artillerie à pied, est envoyé il l'hôpital le 14 mars 1899 « en
observation
». Il se plaint de douleurs diverses, abdominal
avons pas trouvé d'aussi net que le nôtre. C'est ainsi que dans une
observation
de Cadet (2) (obs. VIII, p. 14) « souvent l'abd
ire. Or notre cas ne rentre dans aucune ces catégories. Voici cette
observation
. Il s'agit d'une fillette de 14 ans 1/2, R... Cla
and nombre de fois et très complètement. Pour ne pas allonger cette
observation
inutilement je place ici l'examen pratiqué le 9
I gnostic sérieux et solide. Si on avait toujours essayé dans les
observations
ce travail d'analyse clinique, ce sujet serait
sur ces questions : consulter les auteurs classiques, consulter les
observations
. Les auteurs classiques s'expliquent peu sur le
et indécis, à mon avis insuffisant. J'ai donc tâché d'examiner les
observations
. Je n'ai pu lire toutes celles qui sont publiée
ions eussent un certain poids. J'ai parcouru personnellement 5ai0
observations
françaises et anglaises et j'ai fait dépouiller
i0 observations françaises et anglaises et j'ai fait dépouiller 336
observations
allemandes, c'est-à-dire en tout près de 900 ob
iller 336 observations allemandes, c'est-à-dire en tout près de 900
observations
. Il faudrait peut-être pour rester dans la réalit
e série a 400 ou moins encore, car un nombre assez considérable des
observations
qu'elle comprend tiennent dans quel- ques ligne
sont des documents d'une valeur douteuse. La 2" série comprend des
observations
plus étendues mais bien souvent insuffisantes à
iologique, un luxe de détails utiles qu'on trouve rarement dans les
observations
. De là une extrême difficulté pour arriver à un
on n'arrive pas à sa- voir d'une façon certaine si les auteurs des
observations
ont voulu parler de coma, de sommeil, de somnol
ence, voire même de simple abrutissement. Il y a cependant quelques
observations
assez nettes. En se basant sur ces dernières on
dans lequel la durée du coma aurait atteint plusieurs mois; mais l'
observation
clinique est si résumée qu'on ne sait pas au ju
rmont due je résume plus loin. On trouve aussi quelquefois dans les
observations
cette indication : Le malade s'endort facilemen
avec des documents si discutables. Je me borne à résumer certaines
observations
qui dans leur ensemble montrent bien les allure
les allures du symptôme sommeil dans la maladie qui nous occupe.
Observation
(résumée). - DEVIC et COURMONT, Revue de médecine
de la maladie après laquelle, il a disparu pour ne plus revenir.
Observation
(résumée) : - Mensinga, Thèse de Kiel, 1897. Fe
eaux. L'aqueduc de Sylvius est comprimé par la tumeur. Dans cette
observation
le sommeil est aussi et pendant lontemps inter-
dit dans l'exposé antérieur que 4 jours avant tecommen- cement de l'
observation
la malade pouvait encore faire son ménage. Mais
meur ressemblaient singulièrement à celles constatées dansmoncas.
Observation
(résumée). - D S'rAnNEnS, Medicillische Zei6zcny,
as de simple somnolence. Je ne crois pas devoir reproduire d'autres
observations
. Toutes celles dont je disposa ressemblent de p
ment jusqu'à la fin de leur maladie.Je n'ai pas encore retrouvé ces
observations
il moins que celle du D Stanniens n'en soit une
vertèbres sem- blaient résister à la nouvelle ostéo-arthropathie. L'
observation
de, emit de jour en jour plus minutieuse, l'att
pas tarder. En 1884, un médecin allemand, G. Kroenig, publiait une
observation
intitulée « Spondylolisthèse chez un tabétique
es et Vaillard, à la Société de biologie de Paris, la même année. L'
observation
du malade est rapportée in extenso dans les bulle
soixante-six ans et atteinte elle aussi arthropathie vertébrale. L'
observation
est consignée dans les btiiE&md cette Socié
des nevriLes périphériques chez les tabétiques » (6). Entre autres
observations
, resalI- teurs utilisent les deux précédentes :
e Medicin, 1888, p. 51-SO. . xiii S 118 JEAN ABADIE nouvelles
observations
à peu près identiques. Il s'agit de deux hommes,
te environnant. Des images photographi- ques accompagnent ces trois
observations
et représentent les malades dans les attitudes
889, publient, dans les Archives de mé- decine expérimentale (1), l'
observation
d'un malade atteint d'une déforma- tion considé
l'alaxie deux faits analogues (2) : parmi le nombre considérable d'
observations
d'ataxiques rapportées dans cet ouvrage, deux seu
justifiables des mêmes arguments, ne sont pas plus cer- tains que l'
observation
de Gombault et Malle ! . En 1891, paraît la thè
onne aucune preuve. Il cite seulement les trois cas de Kroenig et l'
observation
deB. Au- ché : il rapporte même in extenso l'an
bes, fIallion rapporte les deux cas de Pitres etvaillard, les trois
observations
de Kroenig et les décrit sous le nom de « arthr
otique remarquable. Il reproduit ce dessin, mais n'a pu retrouver l'
observation
de la malade. Il s'est livré enfin à une enquêt
ans lequel il place les cinq cas déjà connus ; il n'y ajoute aucune
observation
personnelle. Il examine le second groupe, celui
e monographies, de thèses relevant pour des usa- ges différents des
observations
de tabétiques, sans jamais y rencontrer la trac
sans jamais y rencontrer la trace de perturbations vertébrales. Une
observation
de Vulpian fait excep- tion (1). Ii s'agissait
'ostéo- arthropathies de la colonne vertébrale dans le tabes : deux
observations
cliniques avec autopsie, de Pitres el Vaillard,
tre, M. le professeur'Pitres, nous avons entrepris de reprendre les
observations
déjà connues d'ostéo-arthropathies vertébrales
des. Grâce à son extrême obligeance, nous pouvons donc ajouter deux
observations
nouvel- les à la série précédente, Nous avons
ivisé ces divers documents en deux séries. La première comprend les
observations
avec autopsie, c'est-à-dire les deux casdePitres
avec autopsie, c'est-à-dire les deux casdePitres et Vaillard et une
observation
personnelle : nous y ajoutons la description de
ABADIE cond groupe se rangent les trois malades de Kroenig, quatre
observations
personnelles, deux inédites. Nous avons placé d
tres. II A. - Observations cliniques avec autopsie. La première
observation
que nous donnons ici est celle publiée pour la
vue de méde- cine de 1886. Nous avons eu en mains le protocole de l'
observation
et les noies qui y furent successivement ajouté
ails et c'est la réunion de tous ses documents qui constifuentnotre
observation
I. Nousy ajoutons deux reproductions pho- togra
rale et le bassin, l'autre quelques vertèbres, les plus altérées.
Observation
I. - (Pitres et Vaillard.) SOMMAtHE. Homme, 56
tion, tant ils sont déchiquetés, légers et poreux. / Notre deuxième
observation
est celle publiée par B. Auché, en 1886, dans l
bassin, l'autre, de quelques vertèbres les plus altérées encore.
Observation
IL - (Pitres et Vaillard.) SOMMAIRE. Femme 66 a
t vraisemblablement à l'extrême porosité de leur tissu spongieux. L'
observation
III n'est autre que la description des pièces du
. A. Londe, nous pouvons en donner deux ima- ges photographiques.
Observation
111. - (Musée de la Salpêtrière.) - SOMMAIRE. S
e forme quadrangulaire, garnie de dépressions et d'aspé- rités. L'
observation
précédente manque totalement de détails cliniques
le suivant. LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 135
Observation
IV. - (Personnelle). SOMMAIRE. Femme, SI ans. P
tion (1). Cette note a pour but d'exposer, à la lumière de quelques
observations
personnelles illustrées de radiographies, certa
é marque du même coup le dé- but et la fin des accidents nerveux.
Observation
I. Racariés, berger, 48 ans, entre le 8 octobre
s environ. Nouv. Iconographie de la SALPÉTRIL`RL T. XIII. PI. XXI
Observation
I. R... Ostéo-arthrop,nl.il : de la hanche droite
de 5 à 6 centimètres : sa largeur est d'un centimètre environ. '
Observation
II. Le 23 avril 1899 entre à la salle Achar'd-E
art et entre la face antérieure du fémur et la rotule d'autre part.
Observation
III. C... Françoise, 40 ans, cuisinière, entrée
re maladie Nouv. Iconographie DE la Salpétricrt T. XIII. PI. XXII
Observation
11. - Ostéo-arthropathie du genou droit vu par la
Ostéo-arthropathie du genou droit vu par la face latérale externe.
Observation
IL - Les deux genoux vus par leur face postérieur
sin, se trouve une masse osseuse irré- gulière d'opacité normale.
Observation
IV. D... Fulcrand, 50 ans, entré le 25 mai 1899
s osseu- Nous. ICONOGNAPHI1' DE la Salpêtrilrf T. XIII. PI. XXIII
Observation
IV. - D. F Ostéo-artliropatliie du genou gauche.
non encore décrit du processus anatomi- que. Il est relatif à notre
observation
IV. Ce n'est plus par accroissement progressif
xte aurait eu facilement raison. Cependant M. Gaucher a apporté des
observations
de névrite cubitale qui ne paraissent pas expli-
ubital resterait doncencore inconnu. Au surplus, ne possédant pas d'
observations
personnelles pour aborder son étude avec fruit,
nous renvoyons à la thèse de M. Champenier oic l'on trou- vera les
observations
publiées comme exemple de névrite cubitale. Nous
nt peu nombreux ; si. plu- ssieurs auteurs ont publié deci-delà des
observations
de polynévrite sy- philitique, il n'existait pa
r à aborder son étude, ayant la possibilité d'y contribuer par deux
observations
très intéressantes, dont une due à l'obligeance
tes syphilitiques publiées jusqu'à ce jour. Nous allons exposer les
observations
que nous avons réunies et essayer ensuite d'en
nous peut-être autorisé à metlre dans un cadre à part plusieurs des
observations
précédentes. On a pu en effet ranger dans le gr
la méthode de Nissl. Nous ferons d'ail- leurs remarquer que dans l'
observation
I de Spillmann et Etienne, ces auteurs n'ont pa
stantes. Nous voilà ainsi obligés de considérer comme douteuses ces
observations
de polynévrite syphilitique dont l'apparition a
une polynévrite. » Est-ce à dire que nous ne possédons donc pas une
observation
probante de polynévrite syphilitique ? Nous ne
mais indispensable, nous a permis tle diviser en trois groupes les
observations
de polynévrites syphilitiques résumées précédem
et l'oblité- ration n'est pas complète (PI. XVII, D). Telle est l'
observation
anatomo-clinique. L'interprétation des lésions
ion ovarienne gauche est sensible à la pression. Les détails de l'
observation
qu'on vient de lire ne laissent pas le moin- dr
io (Paris, 1895), sur i'adéno-tym- phocèle, le sujet de la première
observation
n'est autre que le malade présenté par M. Ilaye
donc pas aussi rare qu'on pourrait le supposer (1). bre 1898) une
observation
fort intéressante de lipome sus-claviculaire surv
entaient sans aucun doute des ganglions lymphatiques altérés. Cette
observation
ne rentre pas, à notre avis, dans le cadre de l'a
me ceux que présentent nos malades. On a critiqué à propos de cette
observation
la dénomination d'« adéno-lipome ». Nous ne vou
tre première communication, nous avons pu examiner 4 malades dont l'
observation
n'avait pas été publiée. En dehors des cas qui
extenso. M. Bouvet nous a très obligeamment communiqué une nouvelle
observation
inédite recueillie dans le service de M. Remy à
service de M. Remy à l'infirmerie de la maison de Nanterre. (1) Les
observations
de Ilolgmann et de Blizard Curling, résumées dans
orps thyroïde (Curling), ou même avec la maladie de Basedow. Dans l'
observation
de Bourneville et d'Ollier on trouve même signa
cles sous-jacents. Il est vrai qu'à l'abdomen par exemple, nombre d'
observations
relèvent une infiltration de graisse exactement
esnos, Mathieu. Iïaetlnitz, qui a rassemblé un assez grand nombre d'
observations
de lipomes multiples, les divise en deux catégo
; mais, fait curieux à constater, plusieurs sont emprun- tées à des
observations
qui n'entrent nullement dans le cadre de l'adéno-
ntiel paraît presque impossible (voir au chapitre du diagnostic les
observations
de Bessio et deReverdin). Chipaulttrouvechez un
ivit un prolongement qui s'enfonçait dans le canal inguinal. Dans l'
observation
de Reverdin se trouve relaté que « de chaque tume
ede Mathieu), doivent-ils être groupés en une même série morbide.
Observations
(Suite). Uss. XIII (P1.1V ? III, S). - CLUTTON
ail MAI. Béclère et Tissier nous ont gracieusement com- muniqué une
observation
publiée dans la thèse de Rehns avec examen anatom
aveur ; mais il n'est pas superflu de mettre en valeur la finesse d'
observation
et l'amour de la vérité natu- raliste qui furen
que. Non qu'il soit une nouveauté : ainsi qu'on pourra le voir, les
observations
déjà nombreuses de cette affection remontent de
'exécution est d'un apprenti. Nous n'avons pu réunir en tout que 47
observations
bien nettes quelques-unes un peu sèches cependa
re de cas cités dont il ne nous a pas été possible de découvrir les
observations
, ce qui porterait le nombre de ces cas à une so
édico-légale. Nous citerons dans le courant même de celle étude les
observations
les plus intéressantes et les plus probantes su
exemple. Historique. C'est en 1844 que nous trouvons la première
observation
de paralysie traumatique. Elle est due à un méd
tain nombre d'autres à la fin de notre travail). En 1863 paraît une
observation
, discutable d'ailleurs, de Sonrier, puis peu à
Kraft-Ebing, Ca- paccini. Personnellement nous en possédons quatre
observations
con- cluantes. Les observations ont d'autant pl
nnellement nous en possédons quatre observations con- cluantes. Les
observations
ont d'autant plus de tendance à se multiplier q
enfant. Considérés au point de vue de l'intervention d'autrui, ces
observations
peuvent encore être divisées en deux groupes :
u bout de quelques jours ap- paraissait l'hémiplégie (ce cas dont l'
observation
appartient à M. le pro- fesseur Marie sera cité
ans blesser d'ailleurs le globe oculaire. Nous comptons parmi les
observations
que nous avons prises à l'hospice de l31cétre u
me, et en entier afin de ne pas la rendre obscure en la scindant.
Observation
I. G..... Jacques, plombier, âgé de 46 ans, est
malgré lui. Une autre étiologie fort curieuse est signalée dans une
observation
due à Il. A. Abel et W. S. Colmann. On y voit u
ur éviter le choc. Ces considérations nous ramènent précisément à l'
observation
clinique. On peut en effet constater que de nombr
hâtres. Cette perte de substance est expressément signalée dans une
observation
de M. le pro- fesseur Berger et une de Schlôffe
certains traumatismes frappent le crâne. Nous avons déjà vu dans l'
observation
I que le malade n'a pas eu de perte de connaiss
e de fleuret par la cavité orbitaire) qu'il a subi. Voici une autre
observation
non moins intéressante à cet égard. Elle est du
ns intéressante à cet égard. Elle est due à Schl5ffer, de Prague.
Observation
II. )Q Charles Spirck, ouvrier de chemins de fe
ite malade observée par M. Pierre Marie et par son interne M. Joly.
Observation
III. Le 11 juillet 1895, une fillette, âgée alo
lle paraissait se développer dans des conditions normales. Dans les
observations
de Wernicke, de Manquât et Grasset, l'hémianop-
présent, aussi typique. Elle l'est peut-être moins dans les autres
observations
, mais il n'en demeure pas moins acquis que ce s
miplégie traumatique : c'est la dilatation de la pupille. Parmi les
observations
prises avec soin, nous l'avons trouvée fois, 4
ois très accentuée, disparaissant sans laisser de traces. Parmi les
observations
que nous avons pu réunir, nous avons trouvé 10
voici deux dus à M. le Dr Maurice Bour- lier. Ã Observation IV. *
OBSERVATION
IV. Uiï homme reçoit deux coups de matraque sur
es mots. Deux jours plus tard il cause et marche sans difficulté.
Observation
V. Un jardinier, âgé de 42 ans, reçoit un coup
ncore prononcés avec peine. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 225 Cette
observation
est un exemple remarquable de la suppléance fonct
avec un traitement purement pal- liatif et expectatif. En voici une
observation
due à M. le professeur Berger. Observation 'I.
expectatif. En voici une observation due à M. le professeur Berger.
Observation
'I. X La fille R. fut amenée dans mon service,
ension des doigts, lents. Nous les trouverons bien décrits dans une
observation
de Mathieu en 1888 que nous allons citer à prop
a encore des mouvements associés, comme celui qui est décrit dans l'
observation
III. La clinique offre naturellement toutes les
enseignements ultérieurs sur la petite malade qui fait l'objet de l'
observation
III. Heureusement nous pouvons rapporter une au
de l'observation III. Heureusement nous pouvons rapporter une autre
observation
prise par M. le Dr Mathieu en 1888 et où le dével
le d'origine trauma- tique est soigneusement relevé. La voici : ,
Observation
VII. )CI Le jeune P. C. est figé de 6 ans. Il y
ée les doigts fortement étendus et écartés. (La ressemblance avec l'
observation
III est vrai- ment remarquable en cet endroit.)
chienne. Malheureusement, il n'en est pas toujours ainsi et voici l'
observation
d'un cas étudié par B. Bramwell, qui le prouve.
ici l'observation d'un cas étudié par B. Bramwell, qui le prouve.
Observation
VIIf. « J. T..., Age de 9 mois, m'a été envoyé
passivement. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 231 Nous avons vu dans l'
observation
II des troubles de l'intelligence très accentué
n'apprend qu'avec peine et lenteur ce qu'on lui enseigne. Dans une
observation
de Browning il s'agit d'un adulte qui ne pouvait
bles ont été bien étudiés par MM. H. A. Abel et W. Colmann dans une
observation
que voici : Observation IX. Le malade G. T...
par MM. H. A. Abel et W. Colmann dans une observation que voici :
Observation
IX. Le malade G. T..... chauffeur sur un tramwa
forces, la jambe était plus' vigoureuse que le bras. Un l'a tenu en
observation
..... aucun changement n'est apparu, sauf les prog
provocations et était aussi prêt à faire l'un ou l'autre pour toute
observation
. Cette agitation émotive ne semble pas être l'e
a été effacé comme avec une éponge, ainsi que dans ce cas. Dans l'
observation
rapportée par Mathieu nous avons vu que le déve-
facilement des haines contre différentes personnes. Dans nos quatre
observations
personnelles, nous avons noté que ces malades a
choffer en donne un curieux exemple dans son obser- vation n° 16.
Observation
X. « B. Franz, 26 ans, étudiant en médecine, il
tre et se développer tardivement et progressivement la paralysie.
Observation
XI. Le 11 septembre 1897 un jeune homme de 21 a
ention opératoire ne nous paraît indi- quée » Dans cette dernière
observation
on assiste bien réellement à la nais- sance de
ralysie tardive se complique d'hémicranie. En voici le résumé : ,
Observation
XII. Le sujet du professeur von KrafTt-Ebing ét
r dans aucun de nos cas personnels. Il n'était pas signalé dans les
observations
que nous avons recueillies. Mais, signalé, les
Faculté, Chef de laboratoire de la médecin des hôpitaux. Faculté.
Observations
. Obs. XXI (PI. XXXV). Péan, Tribune médicale, 1
la moitié droite du collier. OBS. XXII (inédite) (PI. XXXVI a). L'
observation
et la photographie sont dues à l'obligeance du
s a été prise par M. Bouvet 20 heures après la mort. OBS. XXIII.-
Observation
inédite due à l'extrême obligeance de M. le pro
) '" PAR JEAN ABADIE Interne des hôpitaux de Bordeaux. II
OBSERVATIONS
CLINIQUES SANS AUTOPSIES. En tête de cette deux
isclie 1lledicin. Nous rap- portons in extenso la traduction de ces
observations
; nous donnons aussi la reproduction des planch
des planches photographiques qui accompagnent le texte allemand.
OBSERVATION
V. (KnOENIG, obs. I.) SOMMAIRE. lloecke, 35 ans
malades atteints de paralysie des muscles extérieurs des lombes.
Observation
VI. - (InOCNIG, obs. IL) SOMMAIRE. De Planque,
cation intéressante dans leur situation ou leur fonc- tionnement.
Observation
VIL (KROENIG, obs. 111.) SOMMAIRE. Ilezzz·i, 52
des organes thoraciques et abdominaux ne révèle rien d'anor- mal.
Observation
VIII. - (Musée de la Salpêtrière.) SOMMAIRE. Fe
ue correspondante. Inclinaison latérale du bassin. Notre huitième
observation
n'est autre que la reproduction d'une esquisse
, nommée Cottr..., vue de dos. Nous avons inu- tilement recherché l'
observation
dans les thèses élaborées avec les matériaux de
est remontée la hauteur des dernières côtes du côté gauche. Les six
observations
suivantes sont toutes inédites, elles comprennent
omprennent deux cas observés par M. le professeur Pitres, et quatre
observations
per- sonnelles. Nous avons joint à l'histoire c
ives. au 18 Fig. 7 ? Obs. VIII (Salpètrière). 274 JEAN ABADIE
Observation
IX. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Femme, 45 ans. P
I OSTEO-AR'rHROPATHIES VERTEBRALES DANS LE TABES ' (1. Abtidie)
Observation
IX. Nsson & G°, l : doeurs , LES OSTÉO-AR
reproduction photographique des pièces os- seuses intéressantes.
Observation
X. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme, 51 ans. Sy
ite ainsi, par crainte pour la solidité de sa colonne vertébrale.
Observation
XI. (Inédite.) SOMMAIRE. Homme, 54 ans. Pas de
é faite. LES OSTÉO-1RTHROPATIIIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 285
Observation
XII. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme 59 ans. P
nne vertébrale, on ne peut percevoir de craquements articulaires.
Observation
XIII. - (Inédite.) SOMMAIRE. Homme, 57 ans. Pas
ude générale et un aspect qui rappellent ceux des gibbeux. - ..
Observation
XIV. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme, 58 ans.
LII i OSTEO-ARTHROPATHIES VERTEBRALES DANS LE TABES (J. Abadie)
Observation
XIV. Masson & Oe, Jditeurs Ti : ' v i ? t
nt j'aurai bientôt à parler. M. Marinesco ne se contente pas de l'
observation
visuelle directe : il fixe les attitudes de ses
ble tentative. L'effet esthétique n'en est pas très heureux; mais l'
observation
est intéressante. Si l'on regarde en pro- fil p
médicale (2) entre MM. Van Gehuchten et Marinesco. L'exposé de ces
observations
et leur analyse font l'objet du présent tra- va
ue les déductions tirées des comparaisons faites entre les diverses
observations
! 'esistellung der A'et-ve717elIeîi. Centralblatt
elle agit cependant d'une façon si discrète sur les premières que l'
observation
des cellules nerveuses n'en est nullement gênée
ofesseur de Louvain a mo- difié son opinion à la suite de nouvelles
observations
et qu'il admet actuellement aussi la « réparati
r très exac- tement les multiples conditions des expériences et des
observations
. Nous n'insisterons pas plus longuement ici sur
s mesurées sur 2 coupes. 318 CHARLES LADAME donc pas, d'après nos
observations
, de turgescence véritable, mais bien plutôt une
THOMAS. Il existe dans la littérature médicale un certain nombre d'
observations
d'atrophie du cervelet qui présentent les plus
tenter un essai de classification de ces atrophies à propos de deux
observations
personnelles, dont l'une suivie d'autopsie, et
sie, et de mettre en relief un lype anatomique particulier dont une
observation
a déjà été produite par l'un de nous dans sa thès
rvation a déjà été produite par l'un de nous dans sa thèse (l). Ces
observations
nous permettront également d'étudier la symptomat
elet, et sur la physiologie pathologique du syndrome cérébelleux.
Observation
I D... V..., âgée de 53 ans, marchande de journ
ontinence des matières fécales et la malade est plutôt constipée.
Observation
prise le 7 mai 1896. Quand on observe la malade a
trois organes, établis de par la physiologie expéri- mentale et les
observations
antérieures. Les fibres du corps restiforme qui
nérescence, sont absolument opposés, à cette ma- nière de voir. 1
Observation
II. P... Albert, âgé de 44 ans, cultivateur, ha
ile d'insister sur les analogies cliniques qui rapprochent ces deux
observations
; le diagnostic avait été fait avec d'autant plus
'occasion d'observer un malade atteint de la même affection, dont l'
observation
clinique et l'examen anatomique ont été rapport
té rapportés par l'un de nous. Le diagnostic s'appuie dans les deux
observations
sur les troubles de l'équilibre dans la station e
et de prolifération névroglique permet de l'affirmer. L'examen des
observations
d'atrophie cérébelleuse, qui ont été pu- bliées
n davantage : il n'existe dans la littérature médicale qu'une seule
observation
qui lui soit comparable. Elle a été publiée par
ntielles sont exacte- ment superposables à celles de notre nouvelle
observation
; en dehors de la lésion des cornes antérieures
ces nous semblent trop peu sensibles pour ne pas envisager ces deux
observations
comme appartenant au même type anatomo-clinique :
idus ne comptant aucune tare nerveuse dans leurs antécédents. Les
observations
de Pierre ! (1), Menzel (2), Rojet et Collet (3),
présentent de grandes analogies cliniques et anato- miques avec les
observations
précédentes ; elles s'appuient sur le syn- drom
e : elle vomissait fréquemment. La malade que concerne la cinquième
observation
de Thomas était en môme temps hystérique et par
plus ou moins intense (Pierret, Menzel , Rojet et Collet, Arndt). L'
observation
de Rojet et Collet a été considérée par différe
urs partiellement dégénérés (Menzel, Arndt, Thomas, obs. V). Dans l'
observation
V de Thomas l'atrophie des olives et de la prot
bérance n'a rien de comparable avec le degré qu'elle atteint dans l'
observation
IV et dans l'observation qui fait le su- jet de
rable avec le degré qu'elle atteint dans l'observation IV et dans l'
observation
qui fait le su- jet de ce travail. L'observat
ion IV et dans l'observation qui fait le su- jet de ce travail. L'
observation
de Pierret se distingue encore plus particulièrem
es (chute sur la tête) qui l'ont accompagné. Dans toutes les autres
observations
le début a eu lieu après 30 ans. L'hérédité n
ut a eu lieu après 30 ans. L'hérédité nerveuse est relevée dans l'
observation
de Menzel et dans celle de Thomas (obs. V). Le
té similaire et familiale ne semblent pas faire défaut. Parmi ces
observations
, l'observation de Menzel et celle de Thomas ont
t familiale ne semblent pas faire défaut. Parmi ces observations, l'
observation
de Menzel et celle de Thomas ont de grandes res
on de Menzel et celle de Thomas ont de grandes ressemblances avec l'
observation
l'de ce travail, mais les 354 J. DEJERINE ET A.
nous empêchent de les ranger sans hésitation dans le même groupe. L'
observation
de Rojel, et Collet s'en distingue nettement -
ologique, le cas de Pierret diffère notablement des nôtres; reste l'
observation
de Max Arndt qui présente le plus d'analogie av
phie ; alors malgré quelques nuances anatomiques et cliniques cette
observation
se placerait à côté des nôtres, auxquelles elle
s on ne saurait se prononcer à ce sujet d'une façon définitive. Les
observations
qui ont été citées précédemment ont seules retenu
omme dans le cas de Schullze (1), ne sauraient être comparées à nos
observations
dont la systématisation anatomique est si parti
e cérébelleuse et qui a fait le sujet de la thèse de Londe (3). Les
observations
fondamentales sur lesquelles Marie s'est appuyé p
s intellectuelles. L'atrophie papillaire est signalée dans quelques
observations
et s'accom- pagne de rétrécissement du champ vi
des malades, les paralysies oculaires existent assez souvent. Aux
observations
fondamentales du mémoire de Marie, Londe a ajouté
fondamentales du mémoire de Marie, Londe a ajouté dans sa thèse les
observations
de Brissaud et Londe (1), deux observations per
jouté dans sa thèse les observations de Brissaud et Londe (1), deux
observations
personnelles (2) qu'il a recueillies dans le se
personnelles (2) qu'il a recueillies dans le service de Robin; les
observations
de Seeligmiiller (3,), de Erb (li.), d'llervoue
iendraient d'après le même auteur à l'hérédo-ataxie cérébelleuse. L'
observation
de Mendel seraitune observation tout,'t la fois
r à l'hérédo-ataxie cérébelleuse. L'observation de Mendel seraitune
observation
tout,'t la fois à l'hérédo-atasie cérébelleuse
phériques. Malgré les restrictions qu'il est prudent de faire sur l'
observation
de Fraser, à cause de l'insuffisance de la desc
onfirmer les résultats précédents, le type édifié par Marie sur ces
observations
et sur celles de Fraser et de Nonne était défin
ct; les cellules des colonnes de Clarl,e sont peu nombreuses. Les
observations
de Sanger Brown ne doivent par conséquent pas êtr
; il s'agit vraisemblablement d'une affection différente ; pour les
observations
de Klippel et Durante il est impossible de se pro
prononcer, sans le contrôle d'une autopsie. Spiller a publié deux
observations
d'atrophie du cervelet chez le frère et la soeu
davantage d'une affection aussi nettement systématisée que dans nos
observations
, la distribution des lésions en aires sclérotique
ire clinique et les lésions anatomiques comprises dans ces diverses
observations
ont été reproduites et analysées dans la thèse
se de l'un de nous. Nous devons à Miura (1) la connaissance de deux
observations
très inté- ressantes d'hérédo-ataxie cérébelleu
s, et la maladie a débuté chez lui à de 33 ans. Son histoire et son
observation
ne seraient que la reproduction de celle de son
n altérations du fond de l'oeil. 360 J. DEJERINE ET A. THOMAS L'
observation
de Miura peut être rapprochée de celle de Nonne :
érébelleuse; le terme d'hérédo-atrophie cérébelleuse, réservé à ces
observations
, serait bien pré- férable. Remarquons toutefois
ome cérébelleux ne suffiraient pas à assimiler entre elles ces deux
observations
et que la véritable base de leur identification e
ndamentale entre nos malades et ceux de Nonne et de Miura. Dans nos
observations
, le syndrome cérébelleux s'est développé dans t
'hypothèse d'une maladie familiale ou héréditaire. Enfin dans notre
observation
la petitesse du cer- velet est due à des altéra
; le cervelet de l'hérédo-ataxie cérébel- leuse serait (d'après les
observations
de Nonne et Miura) un cervelet petit mais sain
o-ataxiques; l'asymétrie dans l'incoordination fait défaut dans nos
observations
, en tout cas elle est un symptôme très inconstant
confusion, sclérose du cervelet ou atrophies scléreuses » ; or,nos
observations
en font foi, la sclérose du cervelet peut faire a
urions établir un rapprochement absolu entre l'observa- tion I et l'
observation
II : cependant en raison des grandes analogies
scoliose est, en effet, très rare dans l'atrophie cérébelleuse ; l'
observation
de Botl;in et celles de Londe dans lesquelles on
'aurait rencontrée chez trois; elle est mentionnée également dans l'
observation
de Nonne et Miura, mais chez tous ces malades c
qu'un léger degré de cyphose ou scoliose. Dans un certain nombre d'
observations
d'hérédo-ataxie céré- belleuse, Marie relève de
de lever toute espèce de doute à cet égard. , En se fondant sur l'
observation
de Menzel, où l'atrophie cérébelleuse est assoc
es précédents n'existent pas au complet et Egger (5) a rapporté une
observation
intéressante de dissocia- tion pathologique de
suggestion, elle paraît parfois plus affectée que naturelle. Nos
observations
concordent avec les résultats obtenus par la phys
a porté le coup. M. le docteur Gosset vient de nous communiquer une
observation
d'hé- miplégie d'origine traumatique manifestem
de magma de sang et de substance cérébrale. Mais, en s'aidant de l'
observation
clinique et des rayons X on peut déduire le traje
à la polyclinique royale de Breslau, pour les maladies nerveuses, l'
observation
suivante : Observation XIII (résumée). , Augu
de Breslau, pour les maladies nerveuses, l'observation suivante :
Observation
XIII (résumée). , Auguste Griimert, ouvrier, âg
intra-orbitaire : le cas du prévôt d'armes dont nous avons donné l'
observation
en entier au chapitre étiologie et que nous a c
psie. Mais la longueur de la tige est très grande. Cependant dans l'
observation
III (cas du prévôt d'escrime) au moins une long
diagnostic de la localisation de la lé- sion posé par C. Wernicke (
observation
XIII) par exemple. Elles sont l'ex- plication d
rnicke (observation XIII) par exemple. Elles sont l'ex- plication d'
observations
semblables à celles de M. le professeur Marie, de
hémianopsie et quelquefois les deux ensemble, ce qui correspond à l'
observation
cli- nique. ' Ayant fait ces expériences, il
é deux cas de pénétration par la joue. Nous en avons déjà donné une
observation
complète (n° IX) due à MM. Abel et Colmann et u
tteindre la partie motrice de la capsule. Pour les auteurs anglais (
observation
IX) le tube perforant a dû passer de l'os malai
aumatique de Duplaix (1882) dont nous reproduisons ici la relation.
Observation
XIV. Le nommé Arbon Jean, cocher de fiacre, âgé
es pour nous arrêter plus longtemps. Rappelons cependant que dans l'
observation
de Vignaud la paralysie ne survint que 3 ans et
ction qui a une grande tendance à la guérison. Nous avons vu quatre
observations
dans lesquelles elle a eu lieu même après perte
r consé- quence un arrêt de développement. Mais nous avons cité une
observation
- d'un auteur anglais dans laquelle on voit l'e
survient de l'épilepsie jacksonnienne il la place de la paralysie.
Observation
XV. Il s'agit d'une enfant de 3 ans, Matbilde D
ultats sont en effet séduisants et nous avons reproduit plus haut l'
observation
d'un cas due à M. le professeur Berger dans laq
oncerne les accidents du travail, on pourra constater en lisant les
observations
groupées à la fin de cette thèse, qu'ils sont suf
de des rapports du gigantisme avec l'acromégalie. Nous y joignons l'
observation
correspondante. Observation. Ko..., âgé de 34
avec l'acromégalie. Nous y joignons l'observation correspondante.
Observation
. Ko..., âgé de 34 ans, charpentier, entre le 14
vée aussi dans le gigantisme. ' Dana (2) a rapporté notamment les
observations
de deux géants présen- tant quelques symptômes
ques qui étaient atteints d'une tumeur de l'hypophyse. Si, dans l'
observation
que nous rapportons, les symptômes d'acromégalie
diabétique (3), ou simplement la glycosurie alimentaire (4). Notre
observation
montre que la même coexistence peut se présenter
HROPA'l'HlE PAR GEORGES GASNE. Le malade dont je rapporte ici l'
observation
présente un type clinique qui me paraît unique
-être ja- mais eu l'idée de le faire photographiera nu, si quelques
observations
an- térieures ne m'avaient prouvé que les enfan
e malade, dont l'ob- servation suit, semble devoir prendre place.
Observation
. C... Louis, âgé de Il ans, entre à la clinique
erne des hôpitaux de Bordeaux. III. SYMPTOMATOLOGIE. Ces quatorze
observations
, les seules qui aient été publiées sur ce su- j
oupes. Dans le premier, il range les trois cas de Kroenig, les deux
observations
de Pitres et Vaillard et il les décrit sous le
elle. L'erreur en effet ne porte pas sur les faits, ils sont tous d'
observations
rigoureusement exacte, elle est d'ordre puremen
nu à ce stade d'évolution de son ostéo-arthropathie. Les quatorze
observations
qui précèdent peuvent donc se diviser en deux g
iode des déviations simples, il comprend la presque totalité de nos
observations
personnelles (obs. IX, X, XI, XII, XIII,XIV) ;
bs. 1 et II), les trois malades de Kroenig (obs. V, VI, VII), notre
observation
personnelle avec autopsie (obs. V) en font par-
e déviation de la colonne est souvent une trouvaille au cours d'une
observation
de tabétique. Mais quelquefois l'attitude du ma
région dorsale. Elle crée aussi une cyphose dorsale comme dans les
observations
XII et XIII. Elle est seule dans l'observation
sale comme dans les observations XII et XIII. Elle est seule dans l'
observation
XIII, elle se complique de scoliose dorsale légèr
servation XIII, elle se complique de scoliose dorsale légère dans l'
observation
XII. D'habitude la cyphose ainsi réalisée, est pe
nt les trois formes de gibbosité que nous avons pu relever dans nos
observations
. Elles ne sont pas logiquement les seules : on pe
ment dans les deux sens : la deuxième lombaire, chez le malade de l'
observation
I, atteignait onze centimètres de largeur. Les
ues accompagnent presque uniquement les gibbosités supérieures. Nos
observations
, en effet, n't'n offrent pas trace. ' Les déf
eignoir. Ce sont là deux types schématiques, pour ainsi dire, que l'
observation
ren- contre rarement. Car la scoliose dorso-lom
lonne vertébrale nous ne pouvons le dire à cette période. Une seule
observation
fait mention de ces mouvements : ils étaient, dan
s craquements sont cependant exceptionnels, s'il faut en croire nos
observations
. Une seule, la précédente, signale leur existence
série de symptômes fonction- nels, qui ont été peu étudiés dans les
observations
: nous voulons parler de troubles de compressio
nt très aigu de la vé- rité réaliste servi par un don merveilleux d'
observation
philosophique et spirituelle. Nous sommes dan
omplica- tion, - ni avec l'apparition unilatérale des paralysies.
Observation
. Esther S..., âgée de dix-sept ans, servante, a
à cet égard que le cas actuel m'a paru présenter quelqu'intérêt.
Observation
. Hystérie à stigmates et à symptômes prédominan
éjà riche de documents anatomiques et cliniques de tout genre. Si l'
observation
suivante nous a paru digne d'être publiée, c'est
bétiques. Notre cas vient à point, pour continuer la série. Voici l'
observation
résumée : * . " Albert T..., tapissier, 54
aires. M. Gibert a publié, dans le travail que nous avons cité, une
observation
analogue à (observ. II), dans laquelle l'examen
able que le progrès des éludes radiographiques en multipliant t les
observations
analogues à ces deux cas, permettront de distingu
chez lui non pas de l'ataxie mais de l'impotence articulaire. Notre
observation
vient donc à l'appui de la thèse défendue par B
ives, trophiques et mixtes, supérieures et inférieures, etc., notre
observation
a trait à un tabès infé- i-ieui-,sensi tivo- t
ères et des parties molles juxta- vertébrales. Il est noté dans les
observations
une intégrité apparente des premiers; quant aux
de leurs moyens d'union, est pour nous suffisamment démontrée par l'
observation
clinique : ces modifications précoces sont assu
rales ne peut nous fournir que de vagues renseignements. Sur treize
observations
utilisables nous avons rencontré neuf hommes et
l'état des réflexes ou les complications trophiques. Cependant nos
observations
ont trait à des cas de tabes plutôt moteurs que
est le même pour les deux noyaux dor- saux, autant du moins, qu'une
observation
sommaire de toutes les coupes per- met de l'aff
E L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE PAR RENÉ MARTIAL, (Suite et fin) .
Observation
XVI. Fouliiioux. - Hémiplégie survenue à la sui
ouver à la fois des signes iudiquant deux modifications opposées.
Observation
XVII. POUILLET (A). Hémiplégie et anesthésie tr
lexion de la tête du tronc d'inclinaison vers la gauche.... » \
Observation
XVIH (Grasset). Le 12 janvier 1887 est entré au
uche près de la médiane dans la direction de l'apophyse basilaire
Observation
XIX. D' A. Manquât et Eu. Grasset. Progrès médi
l pour regar- der, et c'est toujours le droit qui est sacrifié. »
Observation
XX. TAYLOR (C.-H.), Quart. M. J. Scheffield, 18
trémité du membre supérieur gauche à la moitié gauche de la face.
Observation
XXI. EULENBURG, Deutsche Med. TVocltensclll ? 1
ieur est sérieusement atteinte. Le réflexe rotulien est augmenté.
Observation
XXII. Browning, The normal and pathological cir
e soit retardée. Elle siffle et aime la musique. 540 RENÉ MARTIAL
Observation
XXIII. Browning. Un monsieur âgé de 42 ans, m
la, il y a peu de changement.... la santé générale est assez bonne.
Observation
XXIV. Browning. Le patient était un paveur de
a une fracture de la base du crâne qui dataitdu jour de l'accident.
Observation
XXV. HILTON, Repos et douleur, New-York-, 1877,
use, se plaignant seulement d'un mal de tête et d'un peu de fièvre.
Observation
XXVI. E. LENOBLE et A. ÏERMET, Archives géz. de
s notable pas de sueurs locales troubles trophiques peu accusés , .
Observation
XXVII. H. SCIILOEFFER, Zur aStl2Sl%î der Schæde
, le côté droit un peu affaibli au point de vue de la motilité. .
Observation
XXVIII. , H. SCHLOEFFER. Herarth Jean, 24 ans
roubles de la motilité sont surtout accentués à la jambe droite .
Observation
XXIX. H. SCHLOEFFIOE. Florian Peschl, 24 ans,
Au 3 juillet de l'année suivante la paralysie n'a pas changé, mort.
Observation
XXX. H. SCHLOEFFER. . Antoine Kekstein, 15
les exercices de sa profession. DE l'hémiplégie traumatique 547
Observation
XXXI. H. SCHLOEFFER. Ptomésil Jean, 27 ans, m
et sensible à la pression. Pas de frac- ture du crâne Guérison. -
Observation
XXXII. H. SCHLOEFFER. Ploden Jean,58 ans, can
pparition de ces attaques est favoriséè par des pensées tristes....
Observation
XXXIII. A. SCHLOEFFER.. Trojan Charles, 22 an
eure droite, entre la pie et la dure-mère un caillot déjà ancien.
Observation
XXXIV. Ficher, Deutsche medicinische Wochenschr
ellect, d'une manière général s'était affaibli. La recherche et l'
observation
cliniques confirmèrent ces dires. La faiblesse
ysie, les accès épileptiformes seraient revenus quelques mois après
Observation
XXXV. VIGNARD, 1899. Il s'agit d'une femme de
intra-crânien devient pour moi probable. Opération amélioration.
Observation
XXXVI. Personnelle (service de M. le professeur
e être embarrassé pour les replacer à leur date exacte dans pasé.
Observation
XXXVII. Personnelle (Service de M.leD1' Marie).
normal. En somme, surtout étant donné son âge, guérison complète.
Observation
XXXVIII. Personnelle (service de M. le D' Touch
core possible, mais il les exécute moins rapidement qu'autrefois.
Observation
XXXIX Communiquée par M. le Dr GossET, assistan
ril, la malade sort guérie. ' BIBLIOGRAPHIE 1801. SAUTEMOUCEOE. -
Observation
sur une paralysie des jambes, survenue à la suite
intoxication venue du dedans ou du dehors. Avec son grand talent d'
observation
, Marie a reconnu que dans la queslion des myélite
Bruns et d'autres ont ad- 'mis pleinement les vues de P. Marie. Les
observations
que j'ai publiées avec Pierre Marie et OEttinge
uë avec oreillons (1). A l'autopsie (1) Je dois les pièces de cette
observation
à l'obligeance de mon collègue le D' Jur- bure.
n première ligne, le professeur Babès. Dans les derniers temps, les
observations
de ce genre se sont multipliées, de sorte que le
is pourtant ajouter que lorsqu'on compare les données cliniques des
observations
de. myélite aiguë avec l'examen anatomo-patholo
que et bactériologique, on éprouve une certaine désillusion. Si les
observations
de myélite aiguë sont assez nombreuses, les cas
s un cas de paralysie infantile. Ainsi qu'on le voit, le nombre des
observations
démonstratives de myélite aiguë est très restre
question mérite de nouvelles recher- ches. Bien entendu, il y a des
observations
de myélite aiguë où l'examen détaillé n'a pas p
Citons quelques exemples : pour la peau, nous connaissons quelques
observations
de myélite consécutive à la variole, parmi lesq
cas de troubles ressortissant à la myélite, ainsi qu'il résulte des
observations
de Laveran, Leyden, Evan, Babès et Varnaly; enfin
averan, Leyden, Evan, Babès et Varnaly; enfin Hochhaus a publié une
observation
de myélite, suite de cystite et pyélo- néphrite
suite par Pollak et Kepmner. On trouve souvent incriminés dans les
observations
cliniques, surtout dans la phase prébactérienne
s allons avoir à nous arrêter. Mais d'abord nous rapporterons une
observation
typique, qui par sa netteté nous permettra de r
rmettra de résoudre certains points litigieux de la ques- tion. .
Observation
. ' Rose Viol... âgée de huit ans 1/2, nous est
aircit si l'on se donne la peine de préciser ce qui, dans (1) Cette
observation
et les considérations qui suivent ont fait l'obje
caractères en miroir, à la petite fille dont nous avons rapporté l'
observation
, ou à Léo- nard de Vinci. A quoi tiennent de se
n'est pas trop faible, il est cer- tain que, dans les conditions d'
observation
courante, l'écriture droite de la main gauche e
rire, sont des gauchers. La petite fille dont nous avons rapporté l'
observation
en est la preuve; le sujet, dont Mari- nesco (1
oplé- gie congénitale tout en relatant au cours de notre exposé une
observation
des plus typiques de cette curieuse affection (
les détails consulter la thèse de l'un de nous) (1). La première
observation
authentique et vraiment complète d'ophtalmo- pl
destinées au sphincter de la pupille. Steinheim (1877) signala une
observation
nouvelleoù leptosis très pro- noncé tenait à un
intellectuelles étaient incomplètement développées. Puis vient une
observation
de Raehlmann (1878). Heuck (1878) fait paraître
s par Uthoff (1881), Rampoldi (1884). Hirschberg (1885) relate deux
observations
d'ophtalmoplégie congéni- tale et familiale, av
munique une série de cas familiaux d'ophtalmo- plégie complète. Les
observations
de Mauthner, Gast, Grauer, Lagrange, Recken (18
actère familial des oph- talmoplégies congénitales et rapproche ses
observations
des cas d'amyo- trophie étudiés pour des muscle
isés et des plus complets chez une enfant de deux ans. En voici l'
observation
: Alice N ? âgée actuellement de 28 mois, se pr
pas. La mère de cet enfant et de celle qui fait le sujet de notre-
observation
618 CABANNES ET BARNEFF et dont il sera quest
me ou d'ophtalmoplégie. La petite malade qui fait le sujet de notre
observation
est née à terme, sans phénomènes asphyxiques, a
a chute des paupières supérieures; le ptosis existe dans toutes les
observations
; il est bilatéral, généralement aussi marqué d
pière tombante n'est ordinai- rement pas indiqué ; dans la première
observation
de Heuck, la peau était lisse et portait une ci
linéaire, vestige d'une opération faite antérieurement ; dans notre
observation
(Cabannes) la peau était lisse, mais des poils
ugmenter l'étendue verticale de la fente palpébrale ; dans quelques
observations
(Schenkl, Schruder, Heuck, 1 ? cas, Cabannes, c
s sourcilières étaient aplaties dans toute leur longueur dans les 5
observations
de Gourfein, dans leurs 2/3 internes dans notre
les 5 observations de Gourfein, dans leurs 2/3 internes dans notre
observation
; lesapophyses orbitaire externe et malaire ain
trusion des deux globes oculaires est observée par Schenkl dans son
observation
; elle était aussi bilatérale mais extrêmement mar
ns un cas de Heuck. L'oeil droit présentait un volume énorme dans l'
observation
de Baumgarten. Habituellement cette exophtal- m
r, Raehlmam, Uthoff, Rampoldi, ils étaient divergents. Enfin dans l'
observation
de Mauthner, l'oeil gauche était convergent, l'
tiers épargnés d'une façon plus ou moins complète. Ainsi sur les 17
observations
que nous avons soigneu- sement analysées, nous
ck, Uthoff, Lucanus, Lawford, Recken, Cabannes). Cepen- dant dans l'
observation
de Mauthner le regard à droite était le seul poss
. Le vrai nystagmus est assez rare ; il existe cependant dans les 5
observations
de Gourfein et dans le 2e cas de Hirschberg. Le
permis de se rendre compte du réflexe de l'accommodation. Dans deux
observations
(Schenkl, Cabannes) les pupilles se dilataient
), au-dessus de la papille en forme de cône à sommet en haut dans l'
observation
de Lucanus ; enveloppant tout le contour de la
st atrophiée dans le cas de Schrôder, excavée bilatéralement dans 1
observation
de Raehlmann. Les vaisseaux centraux naissent du
gmentaires. L'acuité visuelle recherchée à peu près dans toutes les
observations
est presque toujours représentée par un chiffre
'étude de la réfraction montre de l'hypermétropie peu élevée dans 3
observations
(Schenkl. Mauthner et Gast, Lawford, Schenkl). Da
ntre assez rarement ; il est cependant noté dans les deux premières
observations
de Gourfein. Le plus souvent, c'est de l'astigm
oculaires. L'état de la vision des couleurs recherché dans quelques
observations
est normal (Schenkl, 1er et 3e cas de Gourfein)
et qu'il existe un certain degré d'ouverture palpébrale. Dans notre
observation
, le ptosis était complet à la naissance, et la
gnements qui concernent l'état du sys- tème nerveux : dans la seule
observation
qui fut suivie d'autopsie (Heuck), les nerfs de
sa physionomie clinique bien spé- ciale et vraiment curieuse. UNE
OBSERVATION
DE il TROPHOEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE PAR
ns qui est maigre et tousse l'hiver, c'est le père de l'enfant de l'
Observation
VI ; une soeur âgée de 19 ans, chloro-anémique (O
RONIQUE HÉRÉDITAIRE (Lainwis ) Masson & Cie, 1-ditctj,, UNE
OBSERVATION
DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 633 A 18 a
lus probable parût être le myxoe- dème, il est bien spécifié dans l'
observation
que ni la parole ni l'état mental ne ressemblen
ONIQUE HÉRÉDITAIRE (LI/ lillOis) Masson & CI-, Editeurs UNE
OBSERVATION
DE TROPUOËDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 635 sulfur
lièrement à la consultation est exactement le même qu'au début de l'
observation
, il y a trois ans. Les deux malades suivantes
contenterai donc d'indiquer les traits les plus saillants de cette
observation
familiale. Et d'abord la question' de diagnosti
nt. Mais l'échec complet de la médication thyroïdienne, la con- UNE
OBSERVATION
DE TR0PH0EDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 637 servat
thique de ses descendants. On pourrait faire une objection à ma IV.
observation
où il s'agit d'une enfant de trois ans ; je n'a
installer définitivement avec tous ses caractè- res. La-malade de l'
observation
1 affirme qu'à l'âge de dix ans, elle eut assez
'une bronchite et s'accentua nettement pendant la grossesse. Dans l'
observation
II, c'est seulement à vingt et un ans, pendant la
t la première grossesse, que l'oedème apparut incidemment. Dans l'
observation
III, la scarlatine parait avoir joué un rôle asse
Je ne serais donc pas étonné que l'oedème de ma petite malade de l'
observation
IV ne fût que passager et le premier indice d'u
quelquefois qu'après bien des hésitations. La preuve en est dans l'
observation
que nous apportons ici, où, après avoir cru avo
ose. Au titre d'une localisation spinale de la fibro- matose, cette
observation
nous a paru mériter d'être rapportée. Observati
- matose, cette observation nous a paru mériter d'être rapportée.
Observation
. F. M... est vu par nous pour la première fois en
Etienne, Zinna, Feindel et Froussard est bien connue; et par leurs
observations
nous savons quelle variété, suivant la localisa
s complexe de la neuro-dermo-fibromatose, comme en té- moignent les
observations
de Lotzbech, P. Marie, Moisnard ; cette scoliose
ernum, ou du crâne notés dans quelques cas, en particulier dans une
observation
fort intéressante de P. Marie et Couvelaire (1)
S LADAME ' « Il semble résulter » dit van Gehuchten « de toutes les
observations
faites jusqu'à présent que la chromatolyse surg
t de plus en plus le domaine de ces deux dernières causes. Mais les
observations
sont loin d'être coordonnées et ne permettent p
le cas dans les expériences que nous venons de citer. En outre nos
observations
ont démontré aussi que la lésion d'un nerf périph
echerches sont déjà plus en accord avec la réalité. De nombreuses
observations
ont permis de préciser les notions concer- nant
ation plus ou moins hâtive des cellules. En se basant sur une seule
observation
(1) il pense que la soudure n'a d'influence que
udure n'a d'influence que sur le sort ultérieur des éléments. Les
observations
des auteurs précédents concernent essentiellement
u- laire et périnucléaire. Ces faits concordent avec les diverses
observations
publiées. Les blocs restent le plus souvent iso
ogique si important que joue le noyau dans la vie cellulaire. Les
observations
ont presque exclusivement porté sur les modificat
s. Nous n'y reviendrons donc pas ici. Rappelons cependant que nos
observations
concernant le phénomène de la réparation ont ét
es revenir insensible- ment à l'état normal. Marinesco a fait des
observations
semblables, seulement, il voit dans la réparati
S LADAME Les divers auteurs que nous venons de citer ont fait leurs
observations
sur des éléments nerveux fixés par des réactifs
sujet, ne se prononce pas entre les deux opinions. D'après lui, les
observations
ne sont pas encore assez nombreuses, ni les fai
rale gauche suivi d'autop- sie (1 photocollogr.), 1. LANNOIS. Une
observation
de trophoedème chronique héréditaire (2 photoco
ément cette antériorité qu'il fait ressortir de l'étude de ses cinq
observations
. Il constate que pendant un an on n'a remarqué
rifié à l'autopsie. Nous ferons remarquer à ce propos, que les cinq
observations
qui consti- tuent le mémoire de z1 sont des obs
e les cinq observations qui consti- tuent le mémoire de z1 sont des
observations
sans autopsie et qu'il serait difficile, d'aprè
r ici, pour ce qui a trait seulement aux maladies de la moelle, l'
observation
si curieuse publiée par Renault du Motey, deux
lle, l'observation si curieuse publiée par Renault du Motey, deux
observations
de Westphall et deux autres de Plaxton. Bien qu
naires de la périencéphalite chro- nique » et, faisant allusion à l'
observation
qu'il vient de rap- porter, il ajoute : « dans
' Ibidem, p. 191. 1 4 z CLINIQUE MENTALE. quelques-unes de ses
observations
Cé soit ce diagnostic qu'il aurait dû porter. Q
question en 1894 au Congrès de Clermont- Ferrand ' et publiait une
observation
très démonstrative à ce point de vue ; à l'heur
emière vue pour celles d'un tabes classique. Mais la lec- ture de l'
observation
, si écourtée que soit cette dernière, montre qu
permettent de s'arrêter au diagnostic de tabes spinal postérieur.
Observation
. Asile clinique (Sainte-Anne). , , Service du p
le : On ne pourra arriver à résoudre cette question « qu'au moyen d'
observations
nou- velles et de recherches anatomiques minuti
nicité. Dès ses premiers tra- vaux, Colard l'avait indiqué, par des
observations
person- nelles jointes à celles de différents a
rentes formes que nous avons eu l'occasion de les noter dans les
observations
suivantes : dans l'un des cas, il s'agit d'idée
certain temps dans le tableau morbide d'un délire poly- morphe '.
Observation
I. Sommaire : Mélancolie, tentative de suicide pa
peut-être développé avec plus d'ampleur. L'unique intérêt de cette
observation
serait donc de donner quelques indications élém
ou- vait le besoin d'aller vérifier ce qu'il en était en réalité.
Observation
II. Sommaire : Folie périodique à marche irrégu-
la malade est calme et travaille régulièrement. Dans cette deuxième
observation
comme dans la précé- dente les idées de négatio
épi- sodique, c'est là d'ailleurs la seule ressemblance des deux
observations
. Dans la première, en effet, nous avons affaire
açon passagère; toutefois les phrases qui ont été soulignées dans l'
observation
n'en sont pas moins caractéristiques; il n'est
e la malade elle-même, préexis- tait aux accès proprement dits. '
Observation
III. - Sommaire : Ménopause ; opération pour mé-
avec les idées de damnation, de possession et de grandeur. Cette
observation
rentre dans la catégorie des faits où l'apparit
t là au milieu du délire le mieux systématisé en apparence (telle l'
observation
que M. Séglas donne ajuste titre comme rentrant
inter- nationale de médecine et de chirurgie : 10 décembre 1897.)
Observation
d'un cas d'ophlalmoplégie nucléaire, remarquable
n cas de paralysie infantile développée au cours d'une varicelle; l'
observation
a été conteslée, dil-il; mais elle n'en demeure p
. L. QUEYRAT et E. Chrétien. (Presse médicale, 21 décembre 1897.)
Observation
très détaillée d'un cas de syringomyélie remar-
r les auteurs , a été confirmé par 11. Déjerine. S'appuyant sur l'
observation
qu'ils rapportent, MM. Queyrat et Chrétien pens
s l'évolution des organes sexuels. L'auteur en rap- porte plusieurs
observations
, et fait remarquer que, dans ces cas, il s'agit
te sucré; par le professeur E. Bonardi. (Il Morgagni, n°8, 1807.)
Observation
et discussion cliniques intéressantes parle côté
J.-B. CHARCOT. (Not(v. Ie0)zOg)·. de la Salpétrière, n° 1, 1898.)
Observation
très intéressante au point de vue pathogénique et
n : par G.1SNE. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 1898.) Deux
observations
d'hystériques chez lesquels on constate, dans u
ontaire ? La phy- siologie ni la pathologie ne peuvent le dire. Les
observations
pré- cédentes prouvent seulement « que le sens
ue internationale de médecine et de chirurgie, 10 mars 1897.) ) L'
observation
d'une malade de quarante-deux ans, chez qui se
lée sur les hémor- rhagies survenant au cours de cette maladie. Les
observations
ap- portées par l'auteur se rapportent à des hé
calleux; par Dévie et P.VIOT. (Revue de médecine, décembre 1897.)
Observation
d'un malade mort d'un gliome du corps calleux ave
assagère, parésie accompagnant l'acte sexuel. L'auteur apporte deux
observations
, l'une d'un épileptique chez qui les attaques é
s troubles analogues à la suite d'un rapprochement sexuel ; l'autre
observation
est d'un neurasthénique qui éprouvait dans les
rite périphérique; par GOUJET. (Revue de médecine, juillet 1897.)
Observation
d'une malade morte de cirrhose hypertrophique g
ités et des divers degrés des lésions des centres Irophiques, que l'
observation
clinique permet de placer dans la substance gri
L. d'Astros (de Marseille). (Presse médicale, 20 janvier 1898.) L'
observation
rapportée dans ce travail diffère, par les caract
SIE par MM. E. DuPRÉ et RABI. (Presse médicale, 22 janvier 1898.)
Observations
de deux malades qui ont présenté une association
que cette hypothèse a besoin d'être vérifiée. A. Fenayrou. XXIII.
Observation
d'encéphalite aiguë primitive IIÉIfORRHAGIQUE;
Etiologie inconnue. P. ICERAYAL. 56 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1V.
Observation
DE PARAlIYOCLOXUS multiple A LASUITED'U : UCCIDEN
au et les maladies par ralentissement de la nutrition, de nouvelles
observations
devront être produites pour en fixer défini- ti
r MM. CERKEZ et E. Ju- VARA. (Presse médicale, Sa décembre 1891.)
Observation
d'une jeuue fille de vingt et un ans, atteinte d'
justiciables de compresses chaudes sur la têle. P. KEHAVAL. VII.
Observation
d'un nain \LY1(EDÉUATEU\ traité par LES prépara-
e D1' P. Jaunis. (Rev. 1)1C(l. de la Suisse romande, 189G, n° 1.)
Observation
d'un enfant dont la taille, il l'âge de seize ans
R. (Zeitschrift fiii, hypizotisiiiiis, V, fasc. 5.) XV. ETUDES ET
observations
sur la SUGGESTION; par W.13RUGELMAN ; i (Zeitsc
ION sur la valeur des LÉSONS thyroïdiennes; par le De SOUPAULT. L'
observation
rapportée en détail par l'auteur a déjà fait l'ob
et se défendent d'avoir commis aucune erreur de diagnostic dans les
observations
qu'ils ont publiées. ' M. Ballet. MM. Mairet et
océder par affirmation, nous démontrer que leurs quatre premières
observations
de paralysie générale arthritique, s'appliquent
on et Arnaud : leur divergence provient de ce qu'ils prennent leurs
observations
dans des milieux différents. Dans les familles
artielle et troubles trophiques). Ce qui est intéressant dans cette
observation
, c'est d'abord l'absence d'amyotrophies du côté d
épreuses dans les autres organes internes. L'auteur pense que son
observation
confirme l'opinion d'après laquelle les névrite
e partie de leur livre, MM. Mairet et Vires ana- lysent pour chaque
observation
le facteur considéré comme étiologique, se dema
e causes difficiles à séparer comme effets; cependant dans quelques
observations
il n'y a qu'un seul facteur étiologique; dans l
présence de l'un des facteurs étiologiques rencontrés dans d'autres
observations
à l'état isolé, permet de présager l'impor- tan
présager l'impor- tance du rôle de ce facteur. · , Dans plusieurs
observations
, l'hérédité arthritique a produit la paralysie
à la paralysie générale, mais les auteurs ne possèdent qu'une seule
observation
de paralysie générale héréditairement transmise
le observation de paralysie générale héréditairement transmise; les
observations
sont plus nombreuses d'hérédité cérébrale par r
ne prédisposition à l'égard de la paralysie géné- rale ; enfin, des
observations
plus nombreuses encore montrent que la cérébral
ie, t. VI. 6 82 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. tenant compte que de nos
observations
. En tout cas, par son importance, elle s'impose
central et le système nerveux périphérique. Nous avons dit que nos
observations
nous autoriseraient à affirmer la constance des
grand asile comme le nôtre. Quoi qu'il en soit, ce sont ces vingt
observations
consignées avec le détail des examens microscop
cours d'évolution; celui, par exemple, dont il s'agit dans une des
observations
de la thèse de Sou- cail. La paralysie générale
e, et la question est plus complexe qu'on ne le penserait après une
observation
superficielle. Tout à l'heure, nous émettrons n
d'ouvrir ici un débat sur l'étiologie de la paralysie générale. Nos
observations
sont trop mal documentées à cet égard, parce qu
lésions des cordons postérieurs sont notées dans un grand nombre d'
observations
de névrites périphériques. Pal a observé en out
t pour- ront se manifester. Nous avons noté fréquemment, dans nos
observations
, des troubles de la réflectivité; mais ces trou
t sur ce sujet et de rechercher si la dothiénenterie a eu, dans ces
observations
, une influence salutaire sur les troubles psych
ttribuée à la dothiénenterie. L'autre se rap- proche beaucoup d'une
observation
longuement publiée dans ' les Archives de Neuro
ur revient bientôt suivi d'une amélioration progressive. Dans notre
observation
, c'est une forme de manie qui a bénéficié égale
durée presque toujours. ( Mais la curabilité de la manie ôte à ces
observations
beau- / CAS DE FIÈVRES TYPHOÏDES CHEZ DES A
ût sans que son état mental ait jamais changé. Ainsi donc, dans l'
observation
de M. Charron, la dothiénen- terie paraît avoir
rivation passagère ; cette dérivation a été plus durable dans notre
observation
de M"10 Br... (bien que nous ayons perdu la mal
n'y a pas eu de dérivation du tout. Nous ne résumerons qu'une autre
observation
person- nelle dans laquelle il est difficile d'
la rive gauche (arcs. d'électr. méd. 15 sep- tembre 1897). Des neuf
observations
présentées, nous avons pu conclure : 1° que le
l'oeil droit, de la loupe professionnelle. P. KERAYAL. XXVII. Deux
observations
DE POLIOENCÉPIIALITE hémorrhagique SUPÉ- RIEURE
NICKE); par W. MOURAwIEFF. (Neurolog. Cen- tralbl., XVI, 1897.) .
Observation
I. Femme de quarante-six ans. Céphalalgies opin
rapport intime, très probable, avec le noyau de la sixième paire.
Observation
II. Absence de mouvements conjugués conseil-
névritique ; névrite multiloculaire. Guérison. P. Keraval. XXVIII.
Observation
DE paralysie DE l'oculomoteur commun A réci- DI
n qu'on ne le suspende pas. C'est une névrite. P. KERAVAL.. XXXI.
Observation
d'athétose avec autopsie ; par 111. SANDER. (Ne
opsie ; par 111. SANDER. (Neurolog, Ceitralbl. XVI, 1897.) Longue
observation
clinique. Démence paralytique compliquée à plus
té opposé, surtout dans le voisinage de la capsule in- terne. Trois
observations
concernent une affection corticale, mais sans q
d (Archiv. f. Psychiat., VIII, 1878), très semblables à la présente
observation
; ces auteurs n'ont rencontré que les lésions co
par le Dr BERDEZ. (Itev. méd. de la Suisse romande, 1896, n° 6.)
Observation
d'un enfant de quatorze ans qui présentait tous l
TTE. (NOUV. Icouogr. de la Salpêll'ière, nos 4 et 5, 1897.) Viugt
observations
recueillies simultanément dans le même service
ysé. Absence d'arthrites et d'atrophies musculaires, 3 malades. Les
observations
montrent que l'amyofrophie se superpose tou- jo
ui fut guéri complètement après 12 séances. Après avoir rappelé les
observations
intéressantes de névrose pulmonaire, de fièvre
ouv. Iconogr. de la Satpétrière, n° 6, 1897.) L'analyse de ces deux
observations
, renforcées de celles qui ont été déjà publiées
ar le Dl BRUTO Sorgoni.(5uM. delle scienze mediche. F. 12, 1897.)
Observation
suivie d'une discussion diagnostique et pathogé-
ente-deux malades après leur sortie de l'hô- pital, il en donne les
observations
résumées d'où résulte lëtabteau suivant : 1
. CIIIPAULT. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 2, 1897.) Deux
observations
de mal de Pott, compliqué « d'un symptôme peu c
et A. Souques. (Nouv. Iconogr. de la Svlpé- t1'¡ère, n° 2, 1897.)
Observation
. Jeune homme, vingt-huit ans, robuste, sans hér
; par KNAUER (Centralbl. f. Ncrvcnhcilk, XX, N. F., vm, 1897.) .)
Observations
. Homme de soixante ans, entaché de toutes les f
cHTSGHENKO (Cei ? 12,albl. f. Ne1'venhe'ilk., XX., vm, 1897.) Trois
observations
; hémiplégie consécutive à l'infection syphili-
inversement. Tous les auteurs croient à des lésions vasculaires; l'
observation
de Brault (1878) est caractéristique ; il y ava
nt par suite indépendants l'un de l'autre. L'étude critique de onze
observations
correspondantes n'en laisse qu'une debout, les
philis. P. IEnA vAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 131 XLVIV.
Observation
DE diabète sucré grave avec réaction ÉLEC- triq
qu'ils unissent à leurs fonctions normales ? P. 11ER : 1VAL. XLV.
Observation
insolite D'11 £ Mi ? TI(OPIIIE progressive, myosc
, Thibierge, Lagrange). Ce qui fait la particularité de la présente
observation
, c'est qu'à une cer- taine époque il y avait un
dans l'atrophie faciale progressive, dans l'hémiatrophie faciale. L'
observation
offre, en effet, de grandes ressemblances avec
symptômes ou lésions de la base. , La marche ultérieure de notre
observation
dira si l'on est vérita- blement én présence d'
res suivants qui seuls ont de la valeur pour le chercheur. - . 1.
Observation
de paralysie de Erb-Klumpke, consécutive à l'infl
d'un an et demi). Absence de tout trouble de la sensibililé, mais l'
observation
montre qu'il a dû y en avoir, la dégénérescence
c une monoplégie brachiale corticale - avec la syringomyélie. II.
Observation
d'encéphalite hémorrhagique dans le cours de l'in
plement de la parésie de l'extré- mité supérieure droite. C'est une
observation
à rapprocher des cas avec autopsie de Strümpell
dant jusqu'aux premières lombaires. L'auteur rapporte une série d'
observations
dans lesquelles cette méthode a été employée av
passagère, d'autres fois durable, des symptômes morbides. (Une des
observations
rappor- tées dans ce travail concerne une malad
auditif; par AD. 13RONNER. (British medical Journal, août 1897.)
Observation
d'un homme de vingt-huit ans. La méthode opéra-
sur les psychoses ]Jost-opémtoi1'es; par le D1' Picqué, de Paris. -
Observation
de paranoïaque p1'OceS- sive, type du délire ra
dant cet axiome ne fait guère diminuer la va- leur scientifique des
observations
où plusieurs processus morbides se trouvent com
affections. Tels sont les motifs qui nous encouragent à pu- blier l'
observation
suivante, intéressante tant par sa com- plexité
t de vue anatomo-pathologique le processus qui prédomine dans notre
observation
, c'est la sarcomatose dif- fuse des méninges sp
Elles doivent donc être d'une rareté extrême, si depuis la première
observation
analogue, publiée encore en 1837, par Ollivier
i- nique de cette affection, étant donné le nombre si restreint d'
observations
et la variété infinie de symptômes. Car quelle
douleurs rachidiennes ou irradiées, etc. Néan- moins, dans maintes
observations
les douleurs manquaient complètement ou n'étaie
nôtre. La paralysie n'est pas plus constante ; cependant dans les
observations
de Schultze et de Bruns 3, ily avait une paraplé-
une inférieure; l'évolution de la maladie était analogue dans notre
observation
, seulement en sens inverse : la paralysie s'éte
à la terminaison fatale il s'est écoulé plus d'une année, et dans l'
observation
de llippel3 même sept ans. Dans des conditions
it aussi hérissé de difficultés presque in- surmontables dans notre
observation
. Au début de la maladie on supposa une spondyli
come. En ce qui concerne les données anatomo-pathologiques, notre
observation
offre bien peu d'analogie avec celles des auteu
ominait la prolifération du périthélium vasculaire. Dans les autres
observations
la structure de la néoplasie différait un peu :
s le tissu (pie-mère) où prend naissance la néo- plasie. Dans notre
observation
la quantité de vaisseaux dans la tumeur était c
r un tissu caverneux. Mais en ce qui concerne les vaisseaux notre
observation
reste isolée : les auteurs décrivent les parois
oir que les alté- rations vasculaires régressives eurent dans notre
observation
un lien intime avec le tissu nerveux. Ainsi dan
e rapport de la néoformation avec le tissu ner- veux est dans notre
observation
d'un genre tout particulier, et ne ressemble gu
, de Scl1ataloO', de Westphal, de Busch). Dans quelques-unes de ces
observations
la néoplasie n'épargnait guère le tissu nerveux
ison avec toute l'étendue de la néoformation méningée. Dans notre
observation
nous voyons le contraire. La néo- formation a n
les hauteurs bien éloigné de la place physiologique du canal. Notre
observation
est donc en désaccord avec l'opi- nion de IIofm
te d'une anomalie embryolo- gique du canal central. Dans toutes ses
observations
anato- miques de gliose, Schlesinger a pu const
constater une connexion entre la cavité et le canal central. Notre
observation
prouve qu'une pareille connexion peut faire déf
estion a été mise en lumière par ICronthal4 quia a aussi publié une
observation
analogue. Dans son cas la moelle cervicale étai
ant dans la fosse crânienne posté- rieure ; Langhans a publié trois
observations
analogues : c'est lui qui a émis le premier l'h
s international de médecine de Moscou (1897). En appliquant à notre
observation
tout ce que nous venons de dire, nous y trouvon
uée par le développement des tumeurs sarcomateuses, sert dans notre
observation
de lien entre deux processus morbides si différ
ose d'une part et la gliose avec la syringomyélie de l'autre. Notre
observation
plaide donc en faveur de la théorie (Kronthal e
raies (type discontinu polycyclique) comme le montrent les quelques
observations
suivantes, ainsi que les tracés qui y correspon
ensemble de graves problèmes, mettre en commun les fruits de leurs
observations
, essayer d'adoucir la plus grande des infortune
ne un aliéné appartenantà un type nettement dé- fini, aura dans une
observation
sévère, analysé les symptômes d'un trouble ment
. 14 210 SOCIÉTÉS SAVANTES. I En 1865, Court publie la première
observation
de folie consé- cutive à une opération gynécolo
ynéco- logiques qui y prédisposent le plus. A noter également des
observations
de Polaillon de ilafaélo Gucci. Des troubles ps
M. Debove communique, la même année, à la Société des hôpi- taux l'
observation
d'une femme sans antécédents morbides qui à la
ni en Italie, Jacobs de Bruxelles, Martin de Bordeaux, publient des
observations
de délires consécutifs à des opérations gynécol
mann, de Prand, de Marlior, en France, l'article de Luzzati sur une
observation
de délire transitoire à la suite d'une opératio
les membres de la Société ont pris part à la discus- sion et leurs
observations
viennent appuyer les conclusions de MM. Picqué
de MM. Picqué et Briand. Symptomatologie. - Si l'on parcourt les
observations
destinées à mettre en relief les troubles psych
ois après, accès de mélancolie profonde et suicide. Dent rapporte l'
observation
d'une femme de quarante-huit ans qui, après une
seule responsable. Aussi, comme le fait observer le Dr Picqué, une
observation
de folie post- opératoire dans laquelle on n'a
de l'autre d'une femme hystérique. Enfin, la malade citée dans l'
observation
de M. Régis comptait des aliénés dans ses antécé-
tte prédisposition héréditaire ou acquise. Aussi dans la deuxième
observation
que nous avons tirée de la thèse de Seeligmann et
y, Marlier, Picqué, Broca et Barette ont relevé également plusieurs
observations
de ce genre. Mais tous les aliénistes savent co
ologiques qui tiendraient le premier rang. Un nombre considérable d'
observations
ont été publiées dans ce sens tant en France qu
à la pratique des chirurgiens civils, et il n'est point question d'
observations
recueillies par des chirurgiens militaires. Ce
Régis n'est pas seulement le délire toxique déjà connu ; il cite l'
observation
d'une fille d'alcoolique qui subit trois opérat
TÉS SAVANTES. Séance du 2 août (matin). - PRÉSIDENCE de M. Motet.
Observation
de paranoïaque processive. Type du délire raisonn
dame. Au Congrès de Bordeaux, M. le D1' Pailhas communiquait les
observations
de trois malades atteints de troubles mentaux, li
ux, le 16 juillet 1897. On trouve dans cette thèse le résumé de six
observations
de cette forme spéciale du délire processif. L'
ap- port médico-légal communiqué au Congrès. ' L'auteur donne une
observation
détaillée du cas et met en relief les particula
exuel mort paralytique général. M. JoFFROY présente au [Congrès une
observation
démontrant une fois de plus les rapports de la
traité pendant plus d'un an dans le service de M. Magnan et dont l'
observation
a été publiée par ce dernier comme une observat
Magnan et dont l'observation a été publiée par ce dernier comme une
observation
typique d'inversion sexuelle. Le sujet est en
M. Régis rappelle les cas publiés par M. Christian, et en outre les
observations
de paralysie générale relevées chez les imbéciles
ui-ci est typique, mais il pourrait lui adjoindre un grand nombre d'
observations
presque analogues. M. Charpentier fait observ
r du corps calleux. MM. Ssr.as et P. LoivoF (de Paris) rapportent l'
observation
sui- vante : Mlle B..., âgée de vingt-un ans, p
montre que l'on ne doit accepter qu'avec beaucoup de réserves les
observations
publiées par divers auteurs, entre autres par MM.
elle et des nerfs du sujet dont AI. Brissaud vient de communiquer l'
observation
, et je ne puis que me joindre à lui pour affirm
vait été considérée comme à peu près purement spinale. Un jour, une
observation
du professeur,Kojevnikov vint montrer que, chez
, au point de vue psychique, dans un état de déchéance notable. Les
observations
de tabes moteur sont aujourd'hui nom- breuses.
rement la raison. M. Ballet partage l'avis du rapporteur, il cite l'
observation
inté- ressante d'un jeune homme qui au réveil t
omicide chez une femme adonnée à l'ivrognerie. M. KERAVAL donne l'
observation
d'un déséquilibré qui commit un acte délictueux
ieure comme cause de tous leurs malheurs. M. LALANNE apporte deux
observations
de délire transitoire, dont un concernait un vi
aine. Si dans des cas du même genre, il n'y a pas, comme dans notre
observation
anatomique, un oedème blanc hypertrophique auss
nc hypertrophique aussi caractérisé, cela tient à ce que dans notre
observation
les faits étaient de date récente. De l'état
minution de la tonicité du moteur oculaire commun. Quatre nouvelles
observations
d'hémiplégie présentent la participation du fac
ques - consécutifs. M. IALLY (de Paris) communique l'intéressante
observation
d'un ouvrier de vingt-six ans, qui eut l'artère
de deux mois. OEdème monoplégique. M. 1>EicE expose ensuite l'
observation
d'un cas d'oedème monoplé- gigue avec hérédité
'une attaque de ramollissement cérébral. En résumé, dans les quatre
observations
présentées, cette forme tardive du délire de re
de tomber. Un traitement psychique améliore ces phénomènes. Cette
observation
est absolument identique à celle déjà publiée par
n'ont pas reparu. En dehors de la longue durée de la maladie, cette
observation
est intéressante en ce qu'elle montre que la gu
connaître les résultats éloignés de leur intervention, rapporte six
observations
d'épileptiques, trépanés depuis plusieurs années
e. Troubles réflexes concomitants. M. Mally (de Paris) rapporte l'
observation
d'une malade de soixante-quatre ans, chez laque
itement électrique des paralysies faciales. M. 11lALLY rapporte l'
observation
d'un malade de soixante-sept ans qui, à la suit
IE et VIGOUROUX (de Dun-sur-Auron) communiquent un certain nombre d'
observations
cliniques concernant des malades ayant présenté
l'opération et le délire ; mais l'examen clinique de la malade, son
observation
complète révèlent d'abord des antécé- dents hér
elation entre l'ablation des ovaires et la genèse de l'hystérie ? L'
observation
nous montre combien il est difficile de se pron
isère et probablement fait quelques excès alcooliques. La troisième
observation
concerne une mélan- colique qui, dans un accès
e, etc. Un cas de maladie de Liltlc. M. Poix (du Mans) rapporte l'
observation
d'une petite fille âgée de deux ans et demi, né
es bosses fron- tales et une saillie de la région occipitale. Cette
observation
montre que la maladie de Little peut être due s
A. HISPAL (de Toulouse) et D. ANGLADE (de Toulouse), rap- portent l'
observation
d'un sujet mort en état de mal épileptique, apr
était chargé de tenir les cahiers de visite, m'aidait à rédiger les
observations
médicales, à faire les bulletins médicaux, les
écessaire d'établir des pièces d'admission, de rédiger de nouvelles
observations
et que la thérapeutique à leur égard aura dû êt
née. Les anciens malades demandent beaucoup moins de travail; leurs
observations
n'ont besoin d'être complétées que par quelques
ur éviter les suicides de placer les infirmeries et les quartiers d'
observations
au rez-de- chaussée. Les asiles de Niort, de Li
. Il ne s'est présenté chez le patient qui a été l'objet de cette
observation
aucun des symptômes de la première période de l
pre anesthésique. En comparant la ligure 1, qui se rapporte à cette
observation
, avec la planche V du livre de Hansen et Lool't
ons d'analyser ici. Ils montrent une fois de plus l'importance de l'
observation
clinique, l'utilité de l'étude complète de tout
dulte; par M. le professeurDEBOVE. (Presse médicale, 4 mai 1898.)
Observation
d'une malade de trente-trois ans, blanchisseuse,
ux et J. l'AVIOT (de Lyon). (Presse médicale, 23 février 1898.) L'
observation
relatée dans ce travail concerne une femme âgée
; par B. 13H,vnrNELL. (British medicaL Journal, avril 1898.) Deux
observations
: l'une d'affection médullaire traumatique au n
ropho- ! 1évrose, soit une manifestation microbienne. D'une revue d'
observations
nombreuses (les unes personnelles, les autres p
intérêt tout particulier par les radiographies qui accompagnent les
observations
et mettent en lumière les différences caractéri
pseudotabesalcoo lique; par A. Luppi. (Il Morgagni, n° 3, 1898.)
Observation
clinique non suivie d'autopsie. Il s'agit d'un ho
lphal présente des exceptions fréquentes, comme en témoi- gnent les
observations
publiées depuis plusieurs années. Les . REVUE
t d'Hypnologie, 1898, n° 10.) La malade, qui fait le sujet de cette
observation
, présentait au niveau de la main droite une atr
. (Zeitsclarift fiii, hypnotismus, t. VI, fasc. 2.) A. propos d'une
observation
publiée par le Dr Brugelman, l'au- teur se décl
IiENZIE. (Brit. med. Journal, janvier 1898.) L'auteur signale une
observation
de courtes et fréquentes attaques de parésie et
sénile; par C. Lewis ALLEt\. (Médical News, - mars 1898.) Quatre
observations
d'épilepsie tardive que l'auteur rapporte à la
bral; par J. ltosson. (Occidental medical Journal, février 1898.)
Observation
d'un homme de trente-neuf ans ayant succombé, m
nutrition des cellules nerveuses par l'intoxication. De nombreuses
observations
accompagnent le texte A. V. LXXIV. Paralysie ré
e s'accompagne de laxité articulaire. L'auteur s'appuyant sur six
observations
personnelles et sur les six cas rapportés par M
itish médical journal, janvier f89 .) Ces réflexions à propos d'une
observation
inédite portent sur deux points particulièremen
; par IL THOMSON. (British médical Journal, août 1897.) C'est une
observation
type d'hysteria major, conforme à la des- cript
rigines traumatique ou infectieuse locales, pelviennes. Il cite une
observation
personnelle de névrite périphérique de cette de
.-N. D'ËSTERRE. (British médical Journal, décembre 1897.) C'est l'
observation
d'un homme de trente ans soumis au traite- ment
les traités de neuro- logie que dans les ouvrages d'obstétrique, d'
observation
de paraly- sies dues à des modifications inflam
moyenne; par Alnasa. (l3ristih medical Journal, avril 1898.) Cinq
observations
d'abcès mastoïdien opérés par la méthode de Per
r l'origine commune des traces qu'on y rencontre à l'état normal. L'
observation
em- bryologique permet à bon droit de les ratta
rouvera des renseignements sur cette question dans les nom- breuses
observations
d'hémiplégie infantile que nous avons publiées so
diagnostique fort intéressante à l'occa- . sion d'un malade dont l'
observation
et'l'autopsie sont détaillées. Garçon jeune, ro
; par R. CESTAN. (Nouv. Iconogr. de la Salpêll'ière, n° 6, 1897.)
Observation
d'un jeune homme de vingt-quatre ans : Hérédité
V. Hypospadias ; par Green. (Quarterly med. Journal, 1898.) C'est l'
observation
d'un homme de vingt-quatre ans, jusqu'alors pri
par M. le professeur Joffroy. (Presse médicale, 19 mars 1898. Les
observations
de trois malades de son service ont fourni à M.
errifiantes. Ces troubles persis- tent encore. S'appuyant sur ces
observations
, M. Joffroy pense qu'une prédis- position héréd
un phénomène cardio-vascu- laire, ils exposent le résultat de leurs
observations
cliniques. Chez certains malades neurasthénique
leptiques extrêmement fréquents ; en voici deux autres : Première
OBSERVATION
. - Jules D..., trente-deux ans, terrassier, mar
e que chez lui le sang se porte violemment vers la tête. Deuxième
observation
. - Pierre B..., cinquante-cinq ans à son arrivé
ce est toujours animée, rouge, parfois vultueuse, violacée. Cette
observation
nous paraît intéressante; elle est un exemple f
sujets, c'est indéniable. Calmeill et Parchappe 2 en ont donné des
observations
. M. Péon rapporte deux observations; nous ne re
et Parchappe 2 en ont donné des observations. M. Péon rapporte deux
observations
; nous ne relatons que la seconde. Quatrième o
rte deux observations; nous ne relatons que la seconde. Quatrième
observation
. Sommaire : Epileptique aliéné; sept azs à Bicê
emarque qu'il est gâteux en dehors des accès. Enfin R..., d'après l'
observation
, serait atteint de manie intermit- tente à inte
lisée de la substance blanche du cerveau. Il Post mortes. Outre nos
observations
III et IV, les suivantes recueillies par nous à
'encéphale et ses membranes. Nous laisserons de côté les VIe et IX-
observations
. Cinquième observation. Sommaire : Folie épilep
s. Nous laisserons de côté les VIe et IX- observations. Cinquième
observation
. Sommaire : Folie épileptique; mort du ' Au moy
e annulaire, le cervelet et le bulbe rachidien sont sains. Septième
observation
. - Sommaire : Manie épileptique ; mort ci la la
tres. Les membranes du cervelet s'enlèvent tacitement'. i. Huitième
observation
. - Sommaire : Folie épileptique ; mort à la sui
be 7 grammes, cervelet 99 grammes, encéphale 951 grammes. Dixième
observation
. - Sommaire : Epilepsie, manie intermittente ;
colonne vertébrale. L'auteur présente trois malades dont voici les
observations
succinctes : Il Ouvrier d'une usine, âgé de vin
OR,41LOFF fait remarquer que l'atrophie musculaire dans la première
observation
de M. Schatalofr peut être misesurle compte de
tomo-pathologique. Discussion. M. W. MOURATOw, en se basant sur ses
observations
personnelles, croit que la syringomyélie et l'h
Discussion. - M. le professeur Goaewrrlrow montre l'intérêt de l'
observation
des auteurs, mais il ajoute qu'il faudrait des pr
logiques où l'exécution artistique ne le cède qu'à la justesse de l'
observation
médicale. Il était à craindre que ce médecin de
.000. Les chiffres donnés ci-dessus ont été obtenus par une série d'
observations
faites dans tous les établissements d'aliénés de
vons songé à en donner ici la relation. Nous y joindrons quelques
observations
destinées à étudier l'influence d'une lésion hépa
ans la production des troubles mentaux. Nous citerons plus loin une
observation
de folie liée à une affection calculeuse du ,fo
oins de spécifique. Et l'on ne peut pas même faire, à propos de ces
observations
, la remarque que nous faisions à propos de la f
s, et nous aurons occasion de le signaler plus loin à propos de nos
observations
. De même que les tendances stuporeuses accompag
aux, janvier 1896. 358 CLINIQUE MENTALE. - II. Notre première
observation
concerne un individu qui, buveur sans être ivro
ns d'une infection accompagnée d'accès fébriles intermittents. I.
Observation
. P..., quarante cinq ans, marié, sans enfants,
acquisition quelques sous étran- gers, il reçut de la marchande une
observation
désobligeante dont il demeura très troublé. Dep
Ce fait n'est pas pour surprendre. Il en est de même dans la seule
observation
jusqu'ici expressément qualifiée de folie hépat
n syndrome psychopathique banal et en particulier, comme dans notre
observation
précédente, par la mélancolie. La dépression
s les 362 CLINIQUE MENTALE. ' Archives générales de médecine, l'
observation
d'une dame de trente ans, sujette depuis quelqu
mes boivent du vin ? La clinique nous offre de temps en temps cette
observation
singulièrement intéressante d'un ancien alcooli
des intoxica- tions d'origine interne. III. Dans notre seconde
observation
, nous avons affaire à un cas de folie aiguë écl
cours d'une crise hépatique provo- quée par la lithiase biliaire.
Observation
II. -l\1me R..., quarante ans, religieuse, est ad
urs extrêmement prononcée. Sortie guérie le 2 aoilt. Dans cette
observation
si différente de la précédente au point de vue
s des cadres de la pathologie mentale. Dans la pathologie du foie l'
observation
d'actions réflexes morbides n'est pas exception
de la sensibilité, pour colorer le délire d'une teinte spéciale.
Observation
III. - Virginie iII..., femme D..., quarante-deux
xi-infections graves. Et ce fait est habituel. Parmi les nombreuses
observations
que nous pourrions fournir à l'appui de cette p
nt trois se rattachant à des affec- tions hépatiques différentes.
Observation
IV. - Joseph C..., soixante-treize ans, cultivate
s'est passé dans les cas publiés sous le nom de folie hépatique.
Observation
V. - Elisabeth B..., née en 1822, est admise le
c l'isthme et le bulbe 185 grammes. L'hépatite suppurée, dans cette
observation
, n'a eu'd'autre effet que de reléguer au second
effacer sous l'influence d'une affection hépatique intercurrente.
Observation
VI. La veuve D..., née en 1805, admise le 20 no
teurs supposés de ses maux. Antécédents alcooliques certains. Mon
observation
directe à l'égard de cette malade ne date que d
venir aliénés plus tard. HÉPATISME ET PSYCHOSES. 315 S V. Les
observations
que nous avons rapportées au cours de cette étu
de la nature des faits décrits sous le nom de folie- hépatique. Ces
observations
, en effet, de l'aveu même des auteurs qui les o
larger et Brierre de Boismont est assez contesté, peut-être faute d'
observations
précises. M. Auguste Voisin n'en parait pas con
. Spillmann. (nous. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 3, 1898.) .) ,
Observation
d'un cas de sclérodermie en coup de sabre, remar-
de la parésie faciale ; l'oeil reste constamment ent'rouvert. Cette
observation
est intéressante par le réveil, après trente ans,
sée est en réalité très fréquente ; il suf- fit de la rechercher. L'
observation
relatée par l'auteur en est un exemple au cours
ome est indéniable, étant donnée la disposition du schéma joint à l'
observation
. (Revue neurologique, juin 1898.) E. B. LA para
s trocarts étant en pareil cas mani- festement insuffisantes. Cette
observation
est un nouvel exemple de la nécessité d'opérer
'appuyer sur les caractères différentiels établis par Brissaud. L'
observation
relatée par les auteurs peut servir d'exemple à c
logues à celles que produit l'absinthe et qui sont démontrées par l'
observation
clinique et l'expérimentation sur les animaux.
récise un trouble mental bien défini, que le médecin le maintint en
observation
. Bien lui en prit, car huit jours après sa conf
sence d'un cas de simulation, i ! est donc prudent de pro- longer l'
observation
aussi longtemps que possible, de peser soi- gne
épileptique; par le Dr CODELUPPI. (L'Anomalo, no, 3 et 4, 1897.)
Observation
et résumé d'un rapport d'expertise concernant un
A l'appui de cette manière de voir, M. de Boeck rappoi te plusieurs
observations
dans lesquelles l'emploi des injections de séru
clinique et statistique qui renferme de nombreux documents dus à l'
observation
personnelle de l'au- teur, médecin super-intend
son état psychologique, de ses parti- cularités mentales et tenu en
observation
régulière par le médecin : il est probable qu'e
iquesen voie de proliféra- tion. Et pour fournir la preuve de notre
observation
, nous n'avons qu'à poursuivre ce qu'elles devie
à l'étude expérimentale de l'encéphalite. On y a été conduit qar l'
observation
de ce qui se passe dans les plaies non suppurée
ur établir sa forme, Friedmann se base sur des expériences, sur les
observations
auatomo-cliiiiques de différents auteurs et enf
tions auatomo-cliiiiques de différents auteurs et enfin sur trois
observations
personnelles. II avance que l'encéphalite expé-
tres reproches qu'on pourrait faire à cette méthode de cueillir des
observations
de différentes époques et à des auteurs antérie
us nous bornons à en signaler un important : dans la plupart de ces
observations
la mort est survenue à la suite de pyémie, frac
iques cérébraux purs; les méninges nageaient dans du pus. Ces trois
observations
per- sonnelles n'ont donc guère plus de valeur
e région de l'encéphale. Depuis les travaux de ces deux auteurs les
observations
se sont multipliées; chaque année apporte quelq
és ; par l\-. MUII,TO%7. (Neuroloil. Ccnlral0l., XVI, 1897.) Deux
observations
d'accidents de ce genre chroniques pendant des
a musique, mais aussi chez des musiciens ordinaires, comme dans l'
observation
qui précède. Les thèmes sont quelconques, de vale
aient plus évidentes que celles des facultés intellectuelles mais l'
observation
clinique montre que ce n'est qu'une question de
té DES névroses et DES PSYCHOSES ; par le D1' SBRIiIG\1. Les deux
observations
relatées par l'auteur ont trait à deux malades,
gations délirantes très temporaires rappelant l'épilepsie. Ces deux
observations
montrent que la ligne de démarcation assignée a
e l'épilepsie en général. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 479 Deux
observations
d'épilepsie survenue après soixante ans. Conclu-
et diététique correspondant, mais, à cet égard, il faut encore des
observations
plus étendues. P. KEIUVAL, XVIII. POREKCËPIIA
EKER et 0. ,TULIUSBERGER (Neurolog. Centralbl., XVI, 1897.) Trois
observations
. La première observation témoigne d'une exagéra
(Neurolog. Centralbl., XVI, 1897.) Trois observations. La première
observation
témoigne d'une exagération du processus dégénér
à la lésion corticale d'ailleurs généralisée. Dans les deux autres
observations
, il y a bien des dif- férences locales, mais el
ions sont indissolublement unies. P. KERA VAL. XXI. Analyse d'une
observation
DE mélancolie avec verbigération; par BRESLER.
aroles, et le tremblement des lèvres. P. KERAYAL. XXII. Nouvelles
observations
SUR L'ÉltEUTIIOPHO]311,, anxieuse ; par W. DE B
xieuse ; par W. DE BECHTEREw. (Neurolog. Centrcalbl., XVI, 1897.)
Observation
I. Jeune homme de vingt-six ans, d'assez bonne
ce malade s'est amélioré ; il a refusé la suggestion hypnotique.
Observation
II. - C'est une consultation par lettre d'un homm
FLATAU. (Ccnt1'lLlbl. f. Nervenheilk, XX, N. F., vm, 1897.) Trois
observations
. Dans les observations 1 et III, la mère des ma
. Nervenheilk, XX, N. F., vm, 1897.) Trois observations. Dans les
observations
1 et III, la mère des malades était atteinte d'
teinte d'obsession tandis que les malades étaient impulsifs. Dans l'
observation
II, les ascendants (soeur de la mère et son fil
remplaçant peu à peu les tics disparus depuis. P. IiERAVat. XXVI.
Observations
CLINIQUES ET anatomiques SUR LES DÉMENCES POST-
bondage mystique ; par DONATI. (Riv. sp. di fren. 1897, fasc. 1 )
Observation
d'un individu qui dans les premiers temps de l'èr
sions EN foyer DE l'encéphale ; par le D1' DURANTE. Dans les quatre
observations
rapportées par l'auteur, il s'agit d'altération
ieurs de la substance grise et constituées de fibres courtes. Or, l'
observation
récente de A. Bruce (Revue neurologique, 189G,
ports avec les localisations anatomiques, l'auteur communique une
observation
dans laquelle, à la suite d'une chute de 4 à 5 mè
ral sur la ligne médiane et épargnent les régions latérales; dans l'
observation
en question, en outre, il y avait une dissociat
OEAU pyramidal ; par A. Hoche. (Neu1'olog. Ccntmlúl., lVl, 1891.)
Observation
de dégénérescence descendante d'un faisceau pyra-
te comme dans ses autres études, généralement bien documentées, des
observations
person- nelles intéressantes. Il s'y abandonne
t sont bien capables d'altérer la confiance que peuvent mériter ses
observations
. Nous admettons bien volontiers avec lui que le
nnelle. Le démontre-t-il ? Il me semble au contraire que toutes les
observations
qu'il fait va- loir en faveur de sa thèse, dans
ossible de discuter un fait aussi miracu- leux. Je citerai encore l'
observation
suivante, que Gall emprunte à Haller : « Haller
sée dans le travail publié par Skae. Cet au- teur, se basant sur 10
observations
seulement (dont 4 suile d'insolation), conclut
rs rapports réciproques, Paris 1882); puis un très grand nombre d'
observations
isolées, éparses dans les journaux de médecine
imaires. Ils apparaissent dès l'instant du choc, et beaucoup sont d'
observation
vul- gaire : douleur plus ou moins vive, étince
ment ébranlé, c'est l'amnésie traumatique. On a souvent cité une
observation
de Félix Plater se rapportant à un savant, qui
ps plus ou moins long, antérieur à l'ac- cident. ,- De toutes les
observations
d'amnésie traumatique, l'une des plus célèbres
l m'eût été facile de multiplier, je n'ajouterai que le suivant :
Observation
I. D... reçoit on 187 : i, à l'âge de vingt-trois
e de cas de guérison des accidents secondaires, mais à toutes ces
observations
, je serais obligé de faire la même objection ;
fréquentes consiste dans les adhérences de la dure-mère au crâne.
Observation
Il. - 1... commis-greffier au tribunal de commerc
dure-mère au crâne dans toute la longueur de la faux du cerveau.
Observation
III. M..., soixante-huit ans. Manie chronique.
rritation, et c'est alors une pachyméningite que nous constatons.
Observation
IV. F..., capitaine de dragons, trente-sept ans.
ganisée, avec foyers hémor- rhagiques nombreux d'âges différents.
Observation
V. R..., cinquante-deux ans, capitaine d'infanter
épaisse recouvrant la convexité des deux hémisphères cérébraux. .
Observation
VJ. M..., lieutenant d'infanterie, quarante-huit
déré comme l'une des causes de la pachyméningite : dans les.trois
observations
qui précèdent, cette étiologie m'a paru évident
z nombreux, où jai trouvé ces lésions à l'au- topsie ; et, dans mes
observations
actuelles, le hasard a fait que je n'en ai poin
rf a été coupé, que le coup a atteint l'organe de la vision, etc.
Observation
VII. G..., architecte, quarante-huit ans. Para-
qua- rante-six ans perte de connaissance, puis délire ambitieux.
Observation
VIII. L..., capitaine de cuirassiers, quarante-
s paralysie générale qui nécessite son place- ment dans un asile.
Observation
IX. V..., marchand de" vins, soixante et un ans.
tre considéré comme incurable. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 27 -1
Observation
X. Ve..., quarante ans, officier retraité. Pendan
u vol, actes incons- cients ; dut être placé à Maréville en 1876.
Observation
XI. F..., chef d'escadron, quarante-neuf ans. A
lus souvent, on ne rencontre que de simples sillons cicatriciels.
Observation
XII. S..., vingt-sept ans, arpenteur. Persécuté
t coup de sabre, dont la cica- trice était restée très apparente.
Observation
XIV. V..., vingt-neuf ans, épileptique. Entré e
amée : la table interne est restée indemne. En voici un exemple :
Observation
XV. M..., soixante-neuf ans, mécanicien de chemin
lésion localisée qui pût être attribuée au choc extérieur. Dans l'
observation
suivante, le résultat du coup a été le développ
vante, le résultat du coup a été le développement d'une exostose.
Observation
XVI. - F..., journalier, trente-cinq ans. A l'âge
em- pêcher de trouver, avec Hitzig, d'assez mauvais goût. ° Cf. l'
observation
de la chienne W., p. 117 et suiv. des Localizzazi
siège anatomique de ces lésions rendent, on le sait, les anciennes
observations
à peu près inu- tiles pour l'étude scientifique
IOLOGIE. furent donc aussi amenés à conclure, sur le terrain de l'
observation
clinique et de l'examen anatomo-patho- logique,
nerfs optiques, comme nous l'avons noté chez les chiens. Biais l'
observation
clinique n'appuie en rien ce mode d'explication
a réalité de ces troubles unilatéraux et croisés de la vision ? Ces
observations
sont en bien petit nombre au regard des cas d'h
or- tical de la vision est due à Bartolomeo Panizza, et que cette
observation
d'anophthalmie congénitale, où les lobes occipi
s premiers jours après la naissance. Monakow témoigne, dans cette
observation
, contre Meynert et Huguenin, que les centres op
portée de ces expériences, d'ailleurs en si profond accord avec les
observations
cliniques. C'est grâce à ces recherches des phy
abolit également ces deux formes de réactions ner- veuses. Les
observations
cliniques et anatomo-patholo- giques établissai
ope. Pas plus que Ferrier ou Nothnagel, Seppilli n'a pu trouver une
observation
clinique décisive de surdité par lésion cortica
Charcot, « qui a traité ce sujet, dit Seppilli, avec sa finesse d'
observation
ordinaire, avec cette pénétration que l'on renc
vant médecin du manicome d'lmola présenté les résultats des vingt
observations
de surdité verbale qu'il rapporte : LES FONCTIO
intellectuel, hypothèse que contredit suffisamment, en effet, et l'
observation
des cas de surdité verbale sans altération nota
ais la T était ' Cattani a publié une étude comprenant vingt-quatre
observations
rassemblées dans la littérature, sur les locali
t de la rareté et de l'insi- gnifiance des matériaux. « Un groupe d'
observations
permet toutefois d'admettre, écrit Seppilli, qu
ès des médecins italiens de Pavie, de 1887, Frigerio a rapporté une
observation
d'atrophie de la corne d'Ammon gauche dans un c
UE NERVEUSE. cette théorie : on a certes été frappé en lisant nos
observations
d'un fait d'une importance capitale que tous le
estions ? `I DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 83 « Les
observations
de M. Andral ne contredisent point cette opinio
deux importantes raisons; il suffit de jeter un coup d'oeil sur nos
observations
pour remarquer que les développements de gaz in
103 pas oublié que le tableau clinique d'un certain nombre de mes
observations
contient, il est vrai, des phéno- mènes cardiaq
tomanie, onanisme, sodomie, syphilis); Par BOURNEVILLE et KAOULT.
Observation
. - Grand-père paternel alcoolique. - Cousine pate
rs. Partout il se montrait maladroit et ne pouvait supporter aucune
observation
, croyant qu'on se moquait de lui. Dans l'interv
'il ne peut faire autrement. Il est insolent, grossier à la moindre
observation
. 0 Il porte quelques ganglions indurés dans les
apprécier, mais que nous avons soin de toujours mentionner dans nos
observations
, espérant pouvoir plus tard faire la part de la
e ayant acheté un appareil et n'ayant plus été revu à la clinique
Observation
I. - Model, cinquante-un ans. - A ntécédcnts héré
l a été institué, n'a été accom- pagné d'aucune autre médication.
Observation
IL - Hag. Stephen, quarante-neuf ans. - Antè-'
es fonctions sexuelles. M. le Pl' Charcot a cité dans sa leçon cinq
observations
. Chez le premier malade dont l'ataxie remonte à
us durables. L'amélioration se fait de même dans les deux dernières
observations
. Depuis sa leçon du 18 janvier, M. Charcot a do
es troubles visuels. Les remarques de M. Desnos concordent avec ces
observations
de M. Abadie. Les observa- tions de M. Lespinas
jour- naux américains, nous avons pu récolter un certain nombre d'
observations
du mode de traitement dont il s'agit. M. le D''
(200 suspensions en tout) et obtenu de bons résultats; il donne l'
observation
d'un malade, chez lequel l'incoordinatian a beau-
'amélioration est-elle durable ? On ne pos- sède pas encore assez d'
observations
pour pouvoir se prononcer sur ce point. Toutefo
fonctions du tout. Ce sont là aussi les résultats de Luciani. Leurs
observations
corroborent les assertions de Munie que la lési
s, simulant à s'y méprendre une folie à double forme. La deuxième
observation
est-celle d'une autre dégénérée ayant t présent
dans la dernière séance par M. Bernhardt, M. OPPENIIEIM décrit une
observation
accompagnée de pièces microscopiques à l'appui,
nal sacré chez une femme syphilitique dont M. Westphal a pu- blié l'
observation
. On trouvait une incontinence de l'urine et des
plexus honteux et coccy- gien exactement répartie comme celle de l'
observation
précé- dente. La tumeur englobait les filets ém
maine du trijumeau, d'origine centrale ou périphérique. M. REMAK.
Observation
d'athétose post-hémiplégique avéc convul- . sio
omique des muscles des yeux dans l'ophthalmoplégie. Il s'agit d'une
observation
caractérisée par - de l'hypertrophie musculaire
es qui tiennent aux campagnes militaires. L'orateur en décrit trois
observations
caractérisées par plusieurs années de symptômes
il génital, constituent autant de chapitres distincts contenant une
observation
puisée chez les auteurs anciens, antérieure à c
les auteurs anciens, antérieure à chaque sujet en discussion et des
observations
soit inédites, soit empruntées à la clinique du
ées à la clinique du professeur Charcot ou à ses élèves. Toutes ces
observations
prouvent que l'agent provocateur n'a jamais que
'enseignement que ce Traité de psychiatrie. Grâce aux cent dix-huit
observations
à l'appui des descriptions du savant professeur
dans son travail « De l'hypocondrie et du suicide », en a donné une
observation
très démonstrative. Cepen- dant, cette inlluenc
ts criminels. L'étude consciencieuse à laquelle il s'est livré, les
observations
nombreuses qu'il présente dans cette publi- cat
s recherches antérieures l'avaient familiarisé, et, au cours de ses
observations
il a été amené à découvrir des zones hystérogèn
ifique réel 1\1. le- CORRESPONDANCE. 1611 iD Charcot. De quelques
observations
personnelles ayant trait à des guérisons surven
métallothéiMpie externe. Quant aux derniers chapitres consacrés aux
observations
en particulier et à un parallèle entre le magné
d'isolement et de surveillance réservée d'habitude aux criminels en
observation
. Enfin, deux autres chambres d'isole- ment se t
» la relation d'un cas parfai- tement typique de cette maladie. L'
observation
du malade est accompagnée de figures que l'on c
ons à indiquer sommairement le diagnostic du malade et son âge. Les
observations
conservées à Bicêtre seront facilement retrouvé
s examens qui suivent ont, d'ailleurs, été publiés à la suite des
observations
cliniques correspondantes dans les Bul- letins
t facilement, et présentent toujours la même image. Les premières
observations
que nous rapportons sont relatives à des idiots
deux états est d'ailleurs fréquente. Enfin nous rap- porterons une
observation
de sclérose à petits foyers miliaires, chez un
e. Fabrice de Hilden (cent. III, obs. XXI, édit. 1641) rapporte l'
observation
d'un enfant, qui jusqu'à l'âge de dix ans, avai
'à quarante ans. 1 Voir le 11- 52, p. 1. 88 PATHOLOGIE MENTALE.
Observation
XVII. - B..., trente-quatre ans, commis au minis-
rande catégorie des cérébraux de Lasègue. Ces cas sont fréquents.
Observation
XVIII. C..., jeune homme de la campagne, sans a
de quatorze ans ce malade avait fait une grave chute sur la tête.
Observation
XIX. - V..., vingt-neuf ans, entré à Charenton en
travagances de toutes 'sortes. Il arriva rapidement à la démence.
Observation
XX. -1L ? soixante ans, berger. A l'âge de quatre
le sorte que l'on peut supposer que celui-ci doit être incriminé.
Observation
XXI. - II..., quarante-sept ans, était peintre en
ême de son entrée : hémorrhagie sous-méningée, coeur grais- seux.
Observation
XXII. T..., cultivateur, quarante-cinq ans. Jus-
boire ; il a eu déjà plusieurs atteintes de délire al- coolique.
Observation
XXIII. - B..., trente-six ans, cultivateur. Un co
peuvent rester paralysés et s'atrophier consécutive- ment. Dans les
observations
qui précèdent, il y a des exemples de toutes ce
une chute sur l'occiput, perdit le sens du goût et de l'odorat 2.
Observation
XXIV. - J'ai vu mourir à Charenton un persécuté,
du crâne, dans le lieu où le coup avait porté, était aminci par '
Observations
semblables dans Fabrice de Hilden, cent. 3, On5.
ption, au point d'être transparent dans l'étendue d'un écu. Cette
observation
est tirée d'Abercrombie (p. 264), qui l'emprunt
révéla aucune particularité pouvant se rapporter à l'accident.
Observation
XXV. Un ancien sous-officier, qui avait fait la
ement l'épi- lepsie ou du moins l'attaque épileptiforme. Dans les
observations
qui précèdent (Cas. XIV, XV) je l'ai notée plus
quée sur l'orifice et forme un tampon membraneux. Dans la fameuse
observation
de Quesnay (J.11ém. de l'Acad. royale de chirur
mouvements épilep- tiques, mais l'esprit se rétablit entièrement.
Observation
XXVI. L..., journalier, vingt ans. A dix ans coup
af- faiblît graduellement, la parole devint difficile et pénible.
Observation
XXVII. Th..., dix-huit ans, sans profession. A
s après, première attaque d'épilepsie, puis démence. VI. Dans les
observations
que j'ai recueillies, je me suis appliqué à rel
tenu Il cent des plus probants, et c'est de l'analyse de ces cent
observations
que je vais essayer de tirer quelques données g
ure. « N'est-il pas' évident, dit Foville, à qui j'em- prunte cette
observation
, que la chute, au lieu d'être la cause, a été l
cavaliers, et ceux-ci n'avaient passé que sur un ca- davre. Cette
observation
, quoique s'éloignant un peu de mon sujet, m'a p
u moins, une importance vraiment incom- parable, est la clinique, l'
observation
chez l'homme, et l'autre qui contribue à son to
de toutes les données étiologiques qui doivent être tirées de nos
observations
, nous avons fait le tableau ci-contre. L'étude
entive des conditions étiologiques des accidents des malades de nos
observations
nous rué- vèle trois catégories de causes. La p
ccidents survenant par l'emploi des scaphandres. L'intérêt de cette
observation
con- siste dans l'action causale de la profonde
nte c'est que le plongeur à scaphandre qui fait le sujet de cette
observation
avait déjà antérieurement fait un grand nombre
té nullement entravé; il est expressément noté dans l'histoire de l'
observation
de cet homme qu'il n'y a eu ni refroidissement,
A la profondeur de 17 brasses a eu lieu l'accident cérébral de l'
OBSERVATION
XXXVII sous la forme sen- sorielle (variété ocu
séjour. A la profondeur de 18 brasses est arrivé l'accident de l'
OBSERVATION
XXV présenté cliniquement sous la forme spinale
oujours la même chose, nous dirons que tous les au- tres accidents,
Observations
XIX, XXI, XXII, XXVI, XXVIII, XXX, XLI et LVIII
pture soudaine de la colerette du scaphandre. y). Les accidents des
Observations
XLIV et XLIX ne peuvent être attribués ni à la
brusquement. Comme il est formellement noté dans l'histoire de ces
observations
que les plongeurs n'étaient pas refroidis, qu'i
se faire instantanément re- monter. 3). L'accident cérébral de l'
OBSERVATION
LUI pour les mêmes raisons que les précédents,
XI, XIV, XVI, XVIII, XXXIV, XL, XLII et XLV), deux au plongeur de l'
OBSERVATION
XV et quatre à celui de l'OI35ERVATION LX. 11
dû au nombre des immersions, car le plongeur à scaphandre de cette
observation
ayant déjà fait quatre immersions précédentes d
ersions successives, car le scaphandrier qui fait le sujet de cette
observation
avait fait quatre immersions antérieures dans l
nce de ces éléments a été parfaitement niée par l'histoire de cette
observation
. Il est donc clair que c'est uniquement au nomb
ts de /'Observation XV. Les accidents dont le scaphandrier de cette
observation
a été vic- time à différentes époques au cours
L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ? 2ú d'une part le scaphandrier de cette
observation
étant descendu quatre fois avant l'immersion du
trois causes dans la production de cet accident. L'histoire de son
observation
d'autre part nous faisant remarquer nettement q
aussi par le nombre des immersions; en effet le plongeur de cette
observation
, après avoir fait six immersions successives à
de la fatigue, étant expressément signalée dans l'histoire de cette
observation
, il n'est certes pas possible de rapporter cet
xe son attention sur les conditions de travail du plongeur de cette
observation
, on ne tarde pas à se convaincre que cet accide
t de /'Observation LX. Le scaphan- drier qui fait le sujet de cette
observation
a été atteint à différentes époques au cours de
cette cause. Mais ayant demandé» aux plongeurs qui font l'objet des
observations
pré- cédentes, s'ils avaient été fatigués, ils
n causale de cet élément étiologique. Ce sont les acci- dents des
Observations
XXXI et XLIII. a). Accident de /'Observation XX
on comme causes possibles de cet accident, car le plongeur de cette
observation
serait descendu un grand nombre de fois dans le
de 1 minute. Un coup d'oeil en effet, jeté sur l'histoire de cette
observation
suffit à prouver ce fait. Voici ce que nous lis
étiologique soit l'affection pulmonaire; ce sont les accidents des
Observations
XXIX et LXI. 234 CLINIQUE NERVEUSE. a). Accid
on,-1 mètre environ, pour la simple raison que le plongeur de cette
observation
avait fait déjà antérieurement un grand nombre
uction de cet accident, parce que le plongeur à scaphandre de cette
observation
était bien des fois descendu à la même profonde
gique. Il n'en est pas de même en ce qui concerne l'accident de l'
OBSERVATION
LXII. Cet accident ne peut être consi- déré com
ique élé- ment étiologique, la fatigue, ce sont les accidents des
Observations
XXXV et XXXVIII. En ce qui concerne l'étiologie
s XXXV et XXXVIII. En ce qui concerne l'étiologie des accidents des
OBSERVATIONS
LVI et LVI I, la fatigue est à coup sûr pour be
lée et dégagée de tout autre élément étiolo- gique. Accidents des
Observations
XXXV et XXXVIII. Il est certes illogique d'attr
rsions successives, car les scaphandriers qui l'ont le sujet de ces
observations
étaient déjà anté- rieurement descendus un gran
ontribution simultanée de plusieurs causes. Ainsi les accidents des
Observations
VIII, XVI, XXIII, XXXII, XLVI et LI, ont été ca
séjour. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 239 Ceux des
Observations
XVII, XXIV sont dus à l'ac- tion causale de la
u- rée du séjour qu'on doit incriminer; enfin les acci- dents des
Observations
LVI et LVII ont été provoqués par le nombre des
e preuve plus palpable de ce fait, je rapporterai les accidents des
Observations
XLVII et LII. : : 1.) Accident de /'Observation
emptoire la puissance de ce fait clinique, il suffit de rapporter l'
observation
suivante : Georges N. Tsirigotachis, âgé de vin
t les somnambules. S'il y a lieu, nous compléterons plus tard cette
observation
. REVUE CRITIQUE MYXOEDÈME OU CACHEXIE PACHYDE
ance et en Amérique. La littérature allemande ne donna que quelques
observations
et recherches durant cette dernière année. La R
s maladies internes, traitant le myxoedème même, donnale fruitdeses
observations
; les chirur- giens y ajoutèrent nombre des leur
é un cas classique chez une femme. Depuis lors parut une quantité d'
observations
cliniques du myxoedème, que nous tàcherons de r
die dans une lésion du système nerveux central. Goodhart publia l'
observation
d'un cas de myxoedème chez un enfant ; il émit
PACHYDERMIQUE. '2 li IJ De même que Savage le D'' Ballet' publia l'
observation
d'un cas de myxoedème chez un homme. 1 la même
et de neurotoni- ques. Ensuite Inglis et Duckworth " publièrent l'
observation
de leurs cas; celui d'Inglis présente en fait d
glande thyroïde était parfaitement intacte. lin 1887, Erb publia l'
observation
de deux cas de myxoe- dème, qui présentaient le
némie générale, cachexie. Ensuite Senator et Landau publièrent deux
observations
du myxoedème ; le dernier de ces auteurs, Landa
e développement du myxoedème. Peu après, Kocher fit part de la même
observation
, ainsi que J. et A. Reverdin 3. De cette manièr
S. W. CUBBOLU. (The Journal of mental Science, avril 1886). Cetle
observation
est relative à un malade qui mourut à la suite
ur les avaler en même temps que ses aliments. A la suite de cette
observation
,- l'auteur en rapporte une autre, assez analogu
Journal of mental Science, juillet 1886.) L'auteur rapporte deux
observations
dont la seconde surtout est intéressante : 'en
nal of mental Science, octobre 1885). L'auteur rapporte avec soin l'
observation
d'un homme qui 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
i ( Jnhrüi(Ch. f. Psych., VIII, 1-2). Sur deux cents individus en
observation
médico-légale, l'auteur n'a, pendanthuit années
éciale qui rend l'appréciation délicate (V. l'OBS. 1). En tout onze
observations
, dont dix numérotées, à l'appui de l'étude clin
ut en conservant leurs caractères propres. M. Camuset présente DEUX
observations
, chez DEUX dégénérés, d'impulsions conscientes
èse sur les aliénés voyageurs. M. Ladame (de Genève) présente une
observation
d'INVERSIONS sexuelle chez UN dégénéré, guérie
d'être paralytiques généraux. M. Tissié (de Bordeaux) présente une
observation
d'obsession INTELLECTUELLE ET ÉMOTIVE GUÉRIE PA
la suppression de la cocaïne. M, LAURENT présente, au sujet d'une
observation
de paralysie générale, quelques considérations
a santé et examiner même des malades, quitte à noter en regard de l'
observation
la maladie dont ils sont atteints, Ces deux pro
sivement, comme son indication, dévolue au médecin. M. Fort lit une
observation
d'ABLATION DE LOUPE DU cuir CHE- velu pendant L
chez une hystérique. - zani. J. Voisin communique une intéressante
observation
de fugue inconsciente chez une hystérique, laqu
s hystériques ou de dédoublement de la personnalité. Et termine son
observation
en attirant l'attention sur l'efficacité du tra
(séance du 27 février dernier). Discussion : M. MENDEL résume, l'
observation
d'un homme qui, à la suite d'une glycosurie per
es, il faut l'administrer tard dans l'après-midi. M. J. JENSEN. -
Observation
de trois lacunes dans la substance céré- brale
g. Zeitsch. f. Psych. XLV, 4.) P. KEHAVAL. VARIA Les CELLULES d'
observation
des aliénés dans LES hospices ; par M. Monos, d
s étaient souvent placés les indigents présumés aliénés et mis en
observation
dans les hospices. Une circulaire ministérielle d
s hôpitaux, à recevoir les aliénés de passage ou les malades mis en
observation
; elle rappelait celle du 1er août 1887; enfin, en
ment et d'arrondissement et constateraient le nombre des aliénés en
observation
, la date de leur entrée à l'hôpital, et les con
ête offrirait quelque intérêt pour le congrès. Sur 121 aliénés en
observation
dans les hospices à la date du 19 février : 4
a moitié, étaient à l'hospice depuis plus d'un mois. La période d'
observation
est parfois très longue encore. C'est ce qui ar
arrive à l'hospice de T ? où le préfet a décidé de faire placer en
observation
tous les aliénés du département. Dans le rappor
tte mesure ne doit être prise dans le but de prolonger la période d'
observation
contrairement aux instructions de la circulaire d
août 1887. Or il a été placé à cet hospice, en 1888, 40 aliénés en
observation
et un tableau joint au rapport de M. le conseil-
rt de M. le conseil- ler R... montre que dix-neuf fois la période d'
observation
a dé- passé 15 jours et que dix fois elle a été
et que dix fois elle a été de plus de 30 : un aliéné a été gardé en
observation
30 jours, un 32, un 35, un 34, un 36, un 39, un
c'était dans l'intérêt même des aliénés qui pouvaient être mis en
observation
; qu'il en avait toujours été ainsi, pour éviter q
r aucun objet mobilier à leur portée, n'ont que faire d'être mis en
observation
, et doivent être immédiatement dirigés sur un a
ice de M..., rapporte que : « Les cellules affectées aux aliénés en
observation
sont dans une arrière-cour; elles forment le pre-
sus de la porte. Rien n'est prévu pour le chauffage. Les aliénés en
observation
ont comme couchage de la paille et des couvertu
ans le département de ..., il n'y a de cellules pour les aliénés en
observation
qu'à l'hospice du chef-lieu. « Ces cellules, dit
e quelques-unes d'entre elles ne tiennent pas volontiers compte des
observations
qui leur sont faites soit par l'administration
de R... dit dans son rapport : « Le quartier affecté aux aliénés en
observation
ne comprend que quatre cabanons hu- mides, mals
ouva un rapport du secré- taire général qui, parlant des cellules d'
observation
de l'hospice de P..., les qualifiait de tristes
ns un local loué à cet effet. » Cela ne veut pas dire qu'une longue
observation
de ces malades sera faite avant de les transpor
er dans l'établissement spécial des- tiné à les recevoir. Une telle
observation
n'est pas possible dans une « hôtellerie » et i
t spécial peut s'effectuer sans retard et c'est là seulement qu'une
observation
peut être pour- suivie dans de bonnes condition
diat dans l'établissement spécial le plus voi- sin où un quartier d'
observation
serait installé à cet effet cons- tituerait don
nnel expérimenté, que des mesures soient prises pour que le temps d'
observation
ne dé- passe pas les limites indispensables. Le
chose nécessaire, urgente, c'est d'em- pêcher que, sous prétexte d'
observation
, les aliénés soient détenus 10, 15, 20 jours et
x : 5 fr. - Pour nos abonnés, i fr. 0 RADZISZE\VSKI (St.). Quelques
observations
cliniques. (Anoplitalniie, pustule maligne et g
ation arthritique ou névropathique, quand ultérieurement, certaines
observations
où elle appa- raissait dans le tableau de la pa
roposons ici de tirer parti de la réu- nion de quelques-unes de ces
observations
, non pas seulement pour établir cette démonstra
rencontré cinq à six exemples, nous n'avons plus trouvé eu fait d'
observations
de ce genre que la rela- tion de M. Parinaud. C
lmique est apparue non pas comme signe de début, ainsi que dans les
observations
précédentes, maiscomme accident survenu dans le
Salpêtrière, 1887-1888. - Vf° Leçon. : 324 PATHOLOGIE NERVEUSE. L'
observation
qu'a tout d'abord rapportée M. - Charcot est pa
l'imminence, encore que rare, de cette : issue fâcheuse. Voici cette
observation
: Observation I. Depuis deux ans, M. L... est i
core que rare, de cette : issue fâcheuse. Voici cette observation :
Observation
I. Depuis deux ans, M. L... est irritable, méti-
convergence 1. Le professeur faisait remarquer au sujet de cette-
observation
que la plupart des accès congestifs par- lesque
s sous- lesquels se cachait le début de celle affection grave.. L'
observation
suivante qu'a publiée M. Parinaud. n'est pas mo
uivante qu'a publiée M. Parinaud. n'est pas moins intéressante. -
Observation
II. Troubles visuels à forme hémianopsique,. re
fréquente chez les personnes qui ne sont pas habituées à ce genre d'
observation
. Le trouble visuel a duré un quart d'heure envi
1883, p. 57.) MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 327 -i
observation
, au contraire, la migraine n'est survenue qu'au
ine n'est survenue qu'au cours de la méningo-encéphalite diffuse.
Observation
III. - Paralysie générale. Accès, incidents d'hém
arquer en passant l'intérêt étiologique que présente cette dernière
observation
. Il est rarement donné, en effet, de pouvoir ét
vis de paralysie générale, et leur nombre joint aux précé- dentes
observations
suffit à établir définitivement l'existence de
de l'écorce, quand on a constaté des adhérences assez nombreuses.
Observation
II. L'enfant Enderl., 1881-1886 présentait ce fai
ez un sujet Je quatre ans. On pourra se reporter aux détails de son
observation
clinique, qui a été publiée. Il était atteint d
e pré- sentait des accidents à leur début; ce qui concorde avec l'
observation
clinique. On peut donc ainsi saisir le stade de
'avons vu et fait dessiner nous paraît en grande partie néoforme.
Observation
III. - Voici maintenant un cas d'idiotie avec -
e du Dl' Hutinel, élève de Parrot, qui ' plaide aussi en ce sens.
Observation
IV. Chez un autre idiot de cinq ans : Faur... (
de l'âge peu avancé du sujet; de même que dans le cas suivant :
Observation
V. - Paugno... (Charles), 1880-1883; grand'père
nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise :
Observation
VI. - Assas..., 1876-1884. Idiotie congénitale
trophie et l'état chagriné des circonvolutions se retrouvent dans l'
observation
suivante : Observation VII. - Beno..., né le 3
é des circonvolutions se retrouvent dans l'observation suivante :
Observation
VII. - Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 févr
e blanche sont irréguliers. De ' là l'aspect chagriné du cerveau.
Observation
VIII. Schad..., 1864-1886, est un idiot épilep-
il n'y a pas de corps granuleux.. 1 346 anatomie pathologique.
Observation
IX. Le malade suivant nous présente la coexis-
ltration de corps granuleux que nous avons si souvent mentionnée.
Observation
X. - Gouell..., dix-huit ans, mort eu 1884, attei
assez marquée. Les cellules pyramidales sont pourtant nombreuses.
Observation
XI. Le malade suivant était aussi un épileptique,
e circonvolutions d'épileptiques où rien de semblable n'existait.
Observations
1LI-fII. - Les deux observations suivantes ont
où rien de semblable n'existait. Observations 1LI-fII. - Les deux
observations
suivantes ont trait à des épileptiques aliénés
CONCLUSIONS. On voit que les lésions qui ont été décrites dans les
observations
qui précèdent portent sur les vaisseaux, qui so
u corps strié, faits bien démontrés depuis les expériences et les
observations
cliniques d'Aronsohn et de Sachs, de Girard, d'
mie unilatérale observés dans un cas d'hémiplégie motrice droite, l'
observation
clinique et anatomo-pathologique qu'ils rapport
d'être encore vérifié au point de vue clinique. V. Horsley, Clinwat
observations
during the yast seven ylears on the value of di
soit pour rien '. » (A suivre.) RECUEIL DE FAITS TROIS NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE CHEZ LES JEUNES GARÇONS;
OLLIER Bien que, aujourd'hui, il ait été publié un grand nombre d'
observations
sur l'hystérie des enfants mâles, et que ce cha-
es du cerveau, XXVIII' leçon.) DE L'HYSTéRO-ÉPILEPSIE. 1'1 velles
observations
surtout parce que les malades ont pu être suivi
parce que les malades ont pu être suivis durant plusieurs années.
Observation
I. - Père ne1've'IX, sujets ci des névralgies de
es. R. M. C. III. Affections cérébrales d'origine traumatique; DEUX
observations
; par Julius Mickle. (The Journal of Mental scie
WIGLESWORTII. (The Journal of Mental Science, octobre 1885.) . L'
observation
de ces deux cas est rapportée avec détail et pré-
aître avec précision la cause de la mort ; dans ce cas, en effet, l'
observation
clinique conduisait naturellement à admettre la
X. Hysiérie chez un homme; par M. Cil. Audry. L'intérêt de cette
observation
réside dans ce fait qu'on trouvait associés che
; par M. F. Leclerc. (Lyon méd. 1888, t. LV). L'intérêt de cette
observation
réside dans ce fait qu'une lésion limitée à la
et du saturnisme, par M. A. DuTtL. (Gaz. méd. de Paris, 1887.) L'
observation
qui fait l'objet de ce travail est celle d'un hom
oison saturnin, à l'occasion de sa première colique de plomb. Cette
observation
semble donc favorable à l'interprétation pathog
égitime de conclure des particularités les plus saillantes de cette
observation
a la réalité d'une parenté morbide entre l'arlh
es douloureux, aneslhésiques, para- lytiques en peu de jours. Trois
observations
choisies à l'appui. ,P. K. ill. A QUEL moment
sache le doser, en localiser les doses et les séances. Telle cette
observations
de poliomyélite aiguë. Chaque séance se compose
e, par M. G. LEJIOINE. (Gaz. méd. de Paris, 1887.) Il résulte des
observations
contenues dans ce travail que si l'antipyrine e
ulsions cloniques du muscle ciliaire. On en rapprochera une seconde
observation
relative à des accès de cécité subite durant pe
ictions mercurielles ont guéri un tabès spasmodique; mais une seule
observation
permet-elle des conclusions générales ? Les aut
istantes par le traitement antisyphilitique. Sur quatre-vint-treize
observations
qui lui sont personnelles, M. Nau- nyn n'a enre
tabes dorsal paralytique et de paralysie générale, il nous reste 33
observations
dont 290 empruntées à la bibliographie et45 pro
ire spinale et l'atrophie muscu- laire myopathique, à l'exemple des
observations
de Eulenburg, Eichhorst, Ormerod, Schultze, Cha
erveau (avec présentation de malades et de pièces anatomiques). - L'
Observation
1 concerne un cas de paralysie bulbaire aiguë.
rite syphilitique avec thrombose et ramollissement consécutifs. -
Observation
II. Paralysie bulbaire chronique compliquée de pa
rieurs. Cas semblable à ceux de Struempell, Kahler et Pick, Hoss.
Observation
III. Ataxie, suite de scarlatine. Tout en réserva
le droit de diagnostiquer une ataxie bulbaire postscarlatineuse.
Observation
IV. Gliome de la protubérance . La tumeur s'est m
injections hypodermiques de mor- phine. Voici maintenant d'autres
observations
qui prouventque l'opium. et la morphine associé
ent la résultante d'une ? 'éS011na11ce hallucinatoire. - La seconde
observation
est également relative à une femme, mais à une fe
ar exemple, il pourra s'appuyer sur toute l'histoire et la complète
observation
anlérieute du malade pour émettre un avis d'incur
psychopathiques. Sur la proposition de M. Mendel et à la suite des
observations
présentées par MM. SCHUELE, LOEIJR, Jeun, Mesci
CHT. La neurasthénie est bien voisine des psychoses vraies. Voici l'
observation
d'un cas qui a exactement suivi l'évo- lution d
ts avec la question de la responsabilité soli- daire. - Il s'agit d'
observations
relatives à des blessés examinés par des médeci
des membres, les accès d'albuminurie purement fonctionnelle (une
observation
avec invalidité parfaite et épilepsie nocturne pr
ion. C'est du reste au point de vue mental un sujet qui demande une
observation
exacte 'et la publication de tous les cas que l
Des affections symétriques desmembres chez les aliénés. La première
observation
concerne un buveur amélioré pour la seronde foi
ayant débuté au moment où la mala- die mentale empirait. La seconde
observation
a trait à un dément (à la suite de mélancolie a
d'une revue bibliographique très utile, 1\1. Brie communique quatre
observations
personnelles. Il s'agit de malades atteints de di
es vasculaires et cardiaques chez les aliénés. Les deux pre- mières
observations
constituent des exemples de ces dégénérescen- c
Mono. 88 ; (les - devant la loi), par Men- del,302; -(cellules d'
observation
des) dans les hospices par Mo- nod, 304 ; -(i
smveillance con- tinue dans les) - par Scholz, 270; (inculpés en
observation
dans les)-par Guttstadt, 302 ; (hygiè- ne des
st TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 13 certain d'après les
observations
recueillies dans le service. Fréquemment, on ob
lgu- rantes ; ataxie, etc.), tel qu'il a été décrit dans quelques
observations
, d'ailleurs assez rares. ' Tel est, Messieurs,
oniques. Après cette petite revue littéraire je peux passer à mes
observations
personnelles : On-rrsVATioON I. -vu. M. F..., d
» (Histoire de maladie écrite par le Dr S. S. Protopopoff). Noire
observation
personnelle du malade commença au mois de juin
ion. ; - ETUDE DE LA DEMENCE CATATONIQUE. 27 4 . Notre deuxième
observation
présente un cas pur de la forme qui nous occupe
i à présent sur un cas de ce genre, un cas de démence compliquée.
Observation
III. La malade, A. M., de vingt et un ans, entra
des phénomènes de mutisme et s'obstinait à l'examen actif. Notre
observation
de la malade date de juin 1900. Le premier fait q
recommença à manger. · Je veux citer en abrégé les résultats de mon
observation
de la maladie au mois de juin et juillet, sans
ctuelle avec grand trouble d'attention. Vu la courte durée de notre
observation
personnelle de ce cas, nous ne pouvons pas inst
iqués ici par des illusions seulement. Pendant tout le temps de l'
observation
on n'a jamais constaté chez la malade d'explosi
'explosion hallucinatoire typique. Quoique, vu la courte durée de l'
observation
, on ne pouvait pas établir de diagnostic précis
ement, nous partageons aussi cette opinion. Dans nos deux premières
observations
le ter- rain dégénératif était indubitable. Mai
ant soit peu définies concernant la question de la catatonie. Les
observations
de Kahlbaum sont trop indétellll i liées et tro
nce occasionnelle ? Nous pensom -1111, non. Dans les deux premières
observations
citées 1 ? ! uni, un certain groupe de troubles
Sur ce fait insiste surtout le Dr Serbsky, citant à ce sujet des
observations
analoges de Kandinsky. Nous ne sommes pas contr
ressive d'un alphabet slave, comme cela a eu lieu dans l'une de nos
observations
, ou la pronon- ciation des lettres a, b, c, d,
néral de l'activité psycho-motrice. Mais nous savons d'après les
observations
des autres auteurs, que le négativisme peut exi
eloppent à la fin de la démence catatonique. Chez notre malade (lre
observation
) nous avons noté une exagéra- tion stable de ré
pas accompagnés de trouble stable du sens musculaire (voir notre 3e
observation
). Ainsi donc tout le syndrome catatoïde peut êt
ffée de délire épisodique passe sans suites, comme dans deux de nos
observations
, et dans l'une des observations du professeur F
ns suites, comme dans deux de nos observations, et dans l'une des
observations
du professeur Fehige. Puis survient une réci- d
t les résultats généraux des travaux de diffé- rents auteurs et nos
observations
personnelles, nous som- mes portés à croire qu'
e manière de voir s'ac- cumulent tous les jours. En tout cas dans l'
observation
actuelle comme dans la précédente, le traumatis
VII, 1902). REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55
Observation
complète avec autopsie et examen histologique che
s'orienter dans l'espace et dans le temps, elc. P. Keraval. XIII.
Observation
de calvitie congénitale partielle dans ses rap-
et Paviot (Nouv. Iconogr. de la Salpé- trière, n° 6, 1902). Trois
observations
: 1. Syndrome cérébelleux, atrophie du cerve- l
Ico- nogr. de la Salpétrière, n° 6, 1902). La revue critique des
observations
publiées sur les géants et les infantiles, et l
et A. DELILLE (Nouv. Iconoqr. de la Salpétrière, n° 3. 1902). Ces
observations
accompagnées de la présentation des cerveaux et
1,ANNOIS et Boy (Nouv. lcono,qr. delà Salpêtrière, nO' 4. 1902).
Observation
d'un malade de 31 ans, porteur d'exostoses mul-
a lèpre, la tuberculose. L'étude des détails de ce cas et celle des
observations
antérieures conduisent les auteurs aux conclusi
ues au cours de la paralysie agitante. Les auteurs ont rassemblé 17
observations
de cette affection compre- nant 11 cas de défor
Sanglé (Journ. de Neurologie, 1903, n°45). Ce travail contient cinq
observations
qui font suite à celles que l'auteur a déjà pub
od- zewitsch. (Obozrénié p.,ichiat1'ii. VII, 1902). , La première
observation
concerne un homme de 49 ans. Trou- bles du lang
la première temporale près de laquelle siégeait déjà le foyer. L'
observation
2 a trait à un homme de 45 ans. Il présente . d
sipow et 1OISCHEWS6Y. (Obozrénié psichiatrii, VI, 1901.) Dix-neuf
observations
: (figures). L'atteinte de la sensibilité cutan
; par le Dot Glorieux (Journal de Neurologie, 1903, n° 11). Celte
observation
concerne un garçon de douze ans et demi qui est
faisceau optique à gauche et du tapetum à droite. Confirmation des
observations
antérieures de Pelnar et Skalicka. . R. C. .7
eut donner sujet à discussion. Aussi doit-on colliger avec soin les
observations
;de syringomyélie peu avancée, avec troubles lo
troubles sensitifs, et souvent aussi des troubles moteurs. Les deux
observations
rapportées par les auteurs, des plus inté- ress
pilepsie sénile; par le Dr P. 11lASOIN. D'après les recherches et
observations
de l'auteur, l'hérédité névropathique joue un r
'acromégalie aiguë; (British médical Journal, avril 1903). Ces deux
observations
sont accompagnées de figures, la pre- mière a é
ience. Juillet 1902). Très bon résumé de la question, suivi de huit
observations
. R. M.-C. VIII. Un cas d'empoisonnementpar le
e). La maladie a évolué chez un homme de cinquante-huit ans ; cette
observation
présente un double intérêt au point de vue clin
omène voici dans quelles conditions il faut se placer : le sujet en
observation
doit se cou- cher sur le dos, puis, après avoir
qu'il lui est absolument impossible de lire quoi que ce soit. Une
observation
anatomo-clinique de syringomyélie. MM. A. Thoma
omyélie. MM. A. Thomas, GEORGES HAUVER et TAYLER communiquent une
observation
de syringomyélie qui a surtout un intérêt histolo
M. DUFOUR présente au nom de MM. LENOBIE et ANDINEAU (de Brest) l'
observation
d'une enfant de huit mois ayant présenté pen- d
pproche de la dormeuse de Thénelles, la malade dont il a rapporté l'
observation
dans sa thèse de 1869 et à propos de laquelle i
e sont que de simples abouliques. M. Paul MAGNAN rapporte plusieurs
observations
d'aboulie essen- tielle sans folie du doute et
is, mais il aurait pu le montrer avec plus de précision. toutes mes
observations
per- sonnelles seraient aussi à l'appui de cett
associés le crétinisme pur et l'épilepsie franche ? Statistiques el
observations
franche- ment négatives de la plupart îles aute
se rattacher à la modifi- -cation d'un produit de sécrétion. Une
observation
surtout m'avait frappé, celle d'unejeune épilep
étudie le crétinisme, nulle part il ne fait la moindre allusion à l'
observation
d'une association du crétinisme et de l'épileps
ogressif de ces glandes. 111. Soualnr. Analyse de quelques faits ou
observations
. Epilepsie moins grave de sujets goitreux. Aggr
es indispensables. C'est ainsi que je suis arrivé il deman- der à l'
observation
les liens de l'épilepsie et du goitre, par exem
sé à l'Académie de méde- cine de Belgique, je montrais, d'après mes
observations
de Maréville, dont la population épileptique ét
orps thyroide sur l'épilepsie (nous reviendrons sur ce cas dans les
observations
données à la fin de ce travail). Celle qui vien
Jluence d'une glande à sécrétion interne (corps thyroïde). Mais l'
observation
clinique, qui accuse assez nettement cette infl
certain rôle que nons devons aussi chercher à déterminer. Il est d'
observation
courante que les troubles symptomatiques de l'é
eur. Tout le monde partage unanimement cette conviction basée sur l'
observation
journalière, c'est que l'épilepsie se manifeste
-l'épilepsie tend à s'amender à l'approche de l'âge critique et les
observations
analogues à celles que nous résumons ci-dessus
ves et même des vertiges. A rapprocher aussi de ces remarques cette
observation
faite par tous les spécialistes, que l'épilepsi
es lecteurs spécialistes fassent appel à leurs souve- nirs, à leurs
observations
, ils arriveront à remarquer que c'est à l'époqu
irmer les déductions que nous tirons de la très grande majorité des
observations
, ils peuvent s'expliquer par ce fait que la mén
qui précède.le déclin de la vie. Il me reste enfin à répondre par l'
observation
clinique à une dernière objection qui pourrait
ènes d'hypnose et de suggestion, phéno- mènes qui appartiennent à l'
observation
expérimentale, ne vien- nent pas l'infirmer.
ie de l'auteur acquerraient une large part de pro- babilité. Mais l'
observation
des sujets hypnotisés, leur psycholo- gie, amèn
admetre sans critique la realité de phénomènes en désaccord avec l'
observation
scientifique. Maintenant, si Grasset nous deman
ion (et la persuasion) a domaine que l'expérience seule, armée de l'
observation
criti peut délimiter. Nous ne nous étendrons
et du bulbe : inhibition d'un côté, dyna- mogénie de l'autre. Ces
observations
inexactes proviennent de cette même concep- tio
A priori, en effet, on pouvait concevoir qu'il en fut ainsi. Mais l'
observation
scrupuleuse des faits vient infirmer cette hypo
une irritation de la voie pyramidale. Cette assertion fondée sur l'
observation
et l'expérience, Babinski l'émettait pour la prem
ntre-indications et le mode d'emploi ; il rapporte en terminant une
observation
propre à démontrer que le myxoe- dème après s'ê
nce, mais aussi dans l'âge adulte (le malade qui fait le sujet de l'
observation
avait vingt-sept ans). 1 H . DE ilUSGRAVE-CL9Y.
erçues si on ne les recherche pas avec soin. L'auleur relate deux
observations
tendantà prouverqueles délu- sions des mélancol
olies réunies. Les troubles moteurs de l'iris se constatent par des
observations
por- tant sur les points suivants : 1° dimensio
x périodiques, par ENNEN. (Neurolog. Centralbl. XXI, 1902). Trois
observations
intéressantes. Dans la première, il s'agit d'un
e lésions organi- ques circonscrises ou diffuses du cerveau. Deux
observations
servent à illustrer ces considérations : l'une
enir du point correspondant du côté opposé. L'auteur en donne trois
observations
des plus intéressantes. La première, par exempl
s des passes magnétiques, du miroir, etc., etc. De l'étude de ces
observations
et des travaux des auteurs, M. Trapieznikow tir
VI, 1901. Cei2li,alblait f. Veru6K/ ! M</{,N. F., XII, 1901).
Observation
d'une fillette de dix-neuf ans se rapprochaut de
des membres, une certaine rigidité, de la débilité mentale. Cette
observation
diffère des cas de 0. Giese en ce que les réfle
ments solides ou aliments liquides, de préférence ou simultanément.
Observations
de deux espèces à l'appui. ' Il s'agit toujou
Guillain lui avaient acquis. - Chez le malade dont l'intéressante
observation
est rapportée par M. Scherb, l'effet de la ponc
té est même un des symptômes capitaux de la glycosurie. La présente
observation
fait 154 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. excepti
guë ; par les D'g Serge, Soo6H ? vorF et TCHELTXOFF. Intéressante
observation
d'une malade de quarante-neuf ans qui entre à l
ains signes physiques rappelant ceux de la ménin- go-encéphalite. L'
observation
suivante est intéressante à ce propos. Un homme
reste la coexistence de la paralysie générale et de l'épilepsie. L'
observation
prolongée du malade a seule permis d'arriver à
té Méd. des Hôpitaux de Lyon, 30 mai 1902). M. Lannois rapporte l'
observation
d'un malade qui présente des accidents épilepti
gite cérébrale et de gomme du cervelet. 11. DOIJTREBENTE rapporte l'
observation
d'un ancien alcoolique atteint de débilité ment
euvent faire de la folie à double forme. M. TOULOUSE a relevé des
observations
où la paralysie générale - SOCIÉTÉS SAVANTES. 1
c insuffisance hépatique. MM. Juquelier et PERPÈRE communiquent une
observation
ayant trait à une malade qui présenta simultané
Paralysies générales à longue durée. M. Brunet rapporte quelques
observations
de paralytiques géné- raux dont la maladie mit
Ballet. Syphilis cérébrale et démence. M. \TCCOUnoUx communique l'
observation
d'un homme mort de syphilis cérébrale et dont l
très atténuée. M. BRIAND insiste sur le côté médico-légal de cette
observation
, qui est des plus instructives. La femme qui en
servi de vecteur aux éléments globo-cellulaires. L'intérêt de cette
observation
réside dans son extrême rareté. M. Lereboullet
IHlsculail'e chez une hystérique. M. BERNARD (de Cannes) rapporte l'
observation
d'une hystérique qui avait jusqu'à douze crises
on indique combien la question a été traitée à fond : de nombreuses
observations
viennent compléter chaque description. Une thès
e dont le rapprochement s'impose natu- - rellement avec les faits d'
observation
clinique que la réunion de deux agents, l'un in
par action toxique, générale et à distance du bacille de Ioch.-Une
observation
personnelle de Tuberculose avec tétanie chez un
de Menière, chorée de Sydenham, chorée molle, épilepsie, etc. Trois
observations
personnelles : tuberculose avec épilepsie. avec
gérant les conseils thérapeutiques; érotisme, normal ou perverti. d'
observation
fréquente dans les sanatoria, mais toujours éphé-
rt assez étroit avec l'infec- tion bacillaire : l'auteur résume une
observation
personnelle d'un jeune tuberculeux de vingt et
ès maniaques ou hystériformes. Ainsi Morselli peut-il rapporter six
observations
personnelles très diverses de tuberculose avec ma
linique, thérapeutique et anatomie pathologique, fait connaître les
observations
des faits et recherches les plus importants, ob
lle ont puissamment con- tribué à faire connaître. Tout d'abord une
observation
typique, très détaillée, avec examen anatomique
erveaux d'idiots mongoliens, due à MM. Philippe et Ober- thur : une
observation
d'imbécillité mongolienne, avec nanisme relatif
été surveillé dans cet hospice pendant douze ans constitue une des
observations
les plus com-. Fia. 5. - \lain butte 186 BIBL
BLIOGRAPHIE. plètes et les plus importantes qui aient été publiées.
Observation
clinique minutieusement prise ; examen histolog
e la mucine, étude du squelette, rien n'y manque, et en font un des
observations
capitales publiées sur le sujet'. - Contraireme
scoliose chez les myxoedéma- teux en nous basant uniquement sur les
observations
de notre Maître, à qui revient tout le mérite d
n par un traitement institué dès le début de la maladie. -Plusieurs
observations
d'hémorrhagies de la peau et des muqueuses (hém
lus souvent incurable : aussi est-elle d'autant plus intéressante l'
observation
de maladie des tics suivie de guérison. Celle-c
ions familiales, déjà si complexe, s'enrichit d'une très importante
observation
de diplégie spasmodique infan- 1 Cette observat
très importante observation de diplégie spasmodique infan- 1 Cette
observation
avec de nombreuses figures et planches a été pu
ie a fait,aussi découvrir une atrophie cérébelleuse. Relevons uue
observation
très intéressante de canitie partielle (mèche b
oeil et de la papille, ni à droite ni à gauche. Nous en donnons les
observations
résu- mées et quant à l'état mental et quant à
s et quant à l'état mental et quant à l'état ophthalmos- copique.
Observation
I. - Vauder..., femme S..., trente-sept ans, entr
alade n'est pas gâteuse. Les papilles sont ab- solument normales.
Observation
II. - Hil'..., femme B..., 31 ans, entrée le 29 j
Gâtisme très prononcé. Les papilles sont tout à fait nor- males.
Observation
III. - Mail..., femme Trou..., trente-cinq ans,
e. A l'ophtalmos- cope les papilles ne présentent pas d'anomalie.
Observation
IV. K..., femme Laz..., trente-un ans; entrée l
en et le relevé correspondant de l'ap- parence du fond de l'oeil.
Observation
V. - L..., veuve Mir..., 55 ans ; entrée le 21
mais la coloration rosée ne parait pas d'une nuance de bon aloi.
Observation
VI. Il..., femme B..., trente-six ans, entrée le
anc, tandis que le segment externe en est rosé (imagé renversée).
Observation
VII. - in.... femme Gro..., 45 ans, entrée le 1
t interne de chacune d'elles tire sur le blanc (image renversée).
Observation
VIII. Lo..., femme Gàt..., trente-huit ans, en-
erne (image renversée) de la papille droite un peu imprécis. ZD r
Observation
IX. Ri..., femme 13ou. , ., quarante ans; entrée
les papilles ont un aspect normal, mais elles sont un peu pâles.
Observation
XI. - Fo..., femme Can..., quarante-deux ans; e
lmoscopique révèle des papilles normales quoi- qu'un peu pâles. '
Observation
XII. - Duv..., veuve Hé..., quarante-trois ans,
ne, près la dépression centrale de chaque côté (image renversée).
Observation
XIII. -Chantel..., femme Arn..., quarante et un
laires étaient imprécis, soit d'un côté, soit des deux côtés. Trois
observations
. Observation XIV. Schw..., femme Schw..., quara
mprécis, soit d'un côté, soit des deux côtés. Trois observations.
Observation
XIV. Schw..., femme Schw..., quarante-trois ans
ale. La papille gauche présente un bord inférieur imprécis. \ ,
Observation
XV. Fri... Octavie, trente-cinq ans; entrée le
ds imprécis, surtout le segment inféro-interne (image renversée).
Observation
1VI.- Lél...., femme Pi..., trente-neuf ans, en-
ques générales à papilles floues, unilatérales cu bilatérales. Sept
observations
. Observation XVII. L'Az ? veuve P..., femme P..
papilles floues, unilatérales cu bilatérales. Sept observations.
Observation
XVII. L'Az ? veuve P..., femme P..., quarante a
l'ophthalmoscope : papille gauche floue; papille droite normale.
Observation
XVIII. -Schl..., Eugénie, trente-huit ans; entrée
che généralement floue et mal dessinée en même temps que pâlotte.
Observation
XIX.-Tav..., femme Pei..., soixante-trois ans,ent
droite floue et, en sus, bord externe (image renversée) imprécis.
Observation
XX. Pi..., femme Guy.... cinquante et un ans ;
s bords nets précis, mais irréguliers, est plus pâle qu'à droite.
Observation
XXI. Pet..., femme Leg..., cinquante-six anr,; i
moscope les deux papilles sont uniformément floues et pâlottes. ,
Observation
XXII. Thép..., femme Can..., quarante-trois ans :
cependant perdre de leur visibilité aux diverses mises au point.
Observation
XXIII. - Dev..., femme Pr..., quarante-huit : ! n
pillaire en voie d'évolution des deux côtés ou d'un seul côté. Onze
observations
. Observation 1XIV. - Dal..., femme Meil..., tre
d'évolution des deux côtés ou d'un seul côté. Onze observations.
Observation
1XIV. - Dal..., femme Meil..., trente-deux ans,
aralytique. LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 201
Observation
XXV. Ros..., femme B ? trente-cinq ans, entrée
, la papille gauche tend à ressembler à un pain à cacheter blanc.
Observation
\\VI. Cl..., femme Bu..., cinquante et un ans,
ans; le bord externe (image renversée) est dépourvu de netteté. ,
Observation
XXV ! I.Werk..., femme Ga..., quarante-deux ans,
les signes certains de l'atrophie blanche en voie d'évolution. te
Observation
XXVIII. Pi..., femme Ge..., trente-cinq ans, en
e la papille gauche dont les bords sont moinsvoi- lés mais flous.
Observation
XXIX. - Let... Camille, quarante-cinq ans, entrée
roite floue et blanche; la papille gauche et encore plus blanche.
Observation
XXX. Tsch ? Anne, quarante-cinq ans, entrée le
ille gauche blanchâtre à bords imprécis, déchiquetés, polygonaux.
Observation
XXXI. Lar..., femme Ma..., quarante-cinq ans, e
gauche, la papille droite étant d'un flou qui tire sur le blanc.
Observation
XXXII. - From..., femme Dels..., trente-huit ans,
s sont floues et pâles; la pâleur paraît plus accentuée à gauche.
Observation
11YIII. - Rohr ? femme Gai..., trente ans, entrée
nd à l'atrophie blanche et le bord inférieur en est im- précis. ,
OBSERVATION
11XIV. - Cloq..., femme Ed..., trente-huit ans,
dépendantes de la maladie cérébrale dont elles étaient affectées.
Observation
XXXV. -Tru... Victorine, quarante-cinq ans, entré
floues, mais cette appré- ciation n'a pas de valeur en l'espèce.
Observation
XXXVI. - Gib..., femme Di..., quarante-six ans,
s des deux papilles; coloboma choroïdien énorme surtout à gauche.
Observation
XXXVII. Fag..., femmme P..., trente-trois ans,
ions de rétinochoroïclite ancienne, papilles floues et nuageuses.
Observation
XXXVIII. Br..., femme Ga..., trente-six ans, en
yopie extrême; un staphylome postérieur étendu, surtout à gauche.
OBSERVATION
X1111. - Pav..., femme Lois..., trente-sept ans,
perçoit difficilement la papille qui naturellement paraît vague.
Observation
XL. Marg... Augustine, soixante-déux ans; entré
s vaisseaux est normal. Nous croyons à une disposition normale. -
Observation
XLI. Thi..., femme Guil..., soixante-deux ans,
antérieurement publiées. 3. En éliminant, comme de juste, les sept
observations
de lésions du fond de l'oeil ou d'aspects du fo
aurait fait pendant une attaque, au paroxysme de l'at- taque. Trois
observations
sur quatre sont particulièrement intéressantes
plètement notre manière de voir. On interprète facilement maintes
observations
à l'aide de ces connaissances : l'amélioration
son cours, mais les traces de la suspension persistent 1. » » Ces
observations
de M. Féré confirment bien celles dont ' CI]. F
ne petite région méningo-corticale du cerveau, par exemple, et de l'
observation
facile de troubles psychiques avant la grande a
loppement ou accumulations accidentels de toxines, etc..... - Nos
observations
cliniques montreront que. nous avons utilisé as
que spécifique pour la thyroïde et les parathyroïdes, avec quelques
observations
sur la physiologie et la pathologie des glandes
ns le métabolisme pro- téique ; et à l'appui de cette idée venait l'
observation
que la téta- nie consécutive à la parathyroïdec
que du cerveau ; par M. Fedorow. (Obozrénié psichiulü, VI, 1901).
Observation
d'hémiplégie droite à développement lent, avec
Cavités médullaires et mal de Pott; par les Drs Thomas et HausER.
Observation
clinique et anatomique d'altérations médullaires
glique, qui, elle-même, tend à se propager excentriquement. Cette
observation
tend donc à montrer qu'un processus tuber- cule
ysie générale de l'adoles- cence. Ce travail est accompagné de huit
observations
. R. DE 111USGRVE-CLY. ASILES D'ALIÉNÉS. I.
énié 11sichiall'ii : VII, 1902). - Résumé de la question suivi de 4
observations
personnelles avec deux figures. - Conclusions :
aux différentes périodes de la paralysie générale, appuyée sur des
observations
personnelles. (Aucun mémoire n'a été déposé).
erveux, les auteurs insistent sur certaines particularités de cette
observation
. La para- lysie, contrairement à ce que l'on co
'empâtement du bas de la jambe s'observe dans plus de la moitié des
observations
, et il est douloureux (Bessière) chez 26 malade
hier en copiant un texte manuscrit ou imprimé, communique une autre
observation
d'un imbécile (du service de M. Pierre Marie) a
milieu environ de l'ère chrétienne. - Les auteurs rapportent deux
observations
qui sont la base deleur étude. Elles ont trait
rentes pério- des de la paralysie générale, appuyée surtout sur des
observations
personnelles. Prix Esquirol. Ce prix, d'une val
la paraplégie douloureuse, à la thèse fondamentale de Tripier, aux
observations
de Lépine... J'ai moi-même consacré à ce sujet
servations de Lépine... J'ai moi-même consacré à ce sujet plusieurs
observations
que vous trouverez dans mes cliniques. Je vou
es lésions multiples des terminaisons nerveuses les plus fines. L'
observation
anatomique et clinique, la première en date et
ires les plus variées et les plus intéressantes se pré- sentent à l'
observation
. Le système nerveux central et ses enveloppes s
trouver la loi pathogénique de ces lésions. Plus récemment, deux
observations
très curieuses ont pré- cisé ce mode d'envahiss
is l'exactitude de la théorie. pathogénique découlant de semblables
observations
. Archives, 2' série, t. XVII. 20 l'ig. 15. Ra
hat. ' r Nous n'avons d'autre prétention que de rapporter ici une
observation
, qui, pour n'être pas unique en son genre, n'en
forme aussi rare, puisse éprouver quelque hésitation. Dans notre
observation
, seuls l'éminence thénar et les interos- seux o
, dans la thèse classique de Tanquerel des Plan- ches on trouve une
observation
(obs. VIII) intitulée « Para- lysie incomplète
t abducteur du pouce et le premier interosseux. » Elle rapporte des
observations
de paralysies partielles du 'type Aran-Duchenne
pour son propre compte; il cite enfin Ber- nhardt qui a publié deux
observations
où, .sans paralysie des extenseurs l'éminence t
tendance à se diffuser des paralysies post-typhiques et il cite des
observations
de différents cliniciens à l'appui de cette opi
observations de différents cliniciens à l'appui de cette opinion.
Observation
. - Le nommé T..., âgé de trente-cinq ans, manu-
ir par ce qui précède, l'enquête nous a permis de porter dans cette
observation
le diagnostic ferme de paralysie saturnine. Si
sseux dorsal : ce sont là des points que l'on relève dans plusieurs
observations
. Remarquons aussi que la guérison de notre suje
roduit deux mois après, avec un chevauchement très marqué.. ' Les
observations
de fractures spontanées dans la syringomyélie s
es faits, MM. Fruhinsholz et Jeandelize rappor- tent l'intéressante
observation
d'une femme de dix-huit ans, myxoedémateuse qui
e autorisé à essayer la médication thyroïdienne. 11. LEROY. XXIV.
Observation
d'ataxie cérébelleuse aiguë d'origine orga- niq
OGIE NERVEUSE. Il s'agit d'une malade de cinquante-deux ans, dans l'
observation
de laquelle on relève les principaux symptômes
y compris le signe de Kernig ainsi que tendent à le démontrer deux
observations
de Klippel et W. Thyne. Quant à la méningite br
M. Lecleuc (Lyon médical, 1901, n° 42, p. 533). M. Leclerc publie l'
observation
d'un malade ayant présenté les principaux sympt
dicale des hôpitaux de Lyon, 28 février 1002). ' 31. Weill résume l'
observation
d'une fille de quatorze ans qui a présenté une
de MM. Arloing et Chantre et de Goltz et Ewald en rapport avec son
observation
, qui ont montré l'indépendance relative des sph
nvulsive, une comateuse, une délirante. M. Roque, se basant sur six
observations
personnèlles, étudie à un point de vue purement
cation générale et qu'il n'a pas de valeur pro- nostique. Des six
observations
rapportées par l'auteur les deux premières ont
s malades n'ont présenté ni intoxication, ni uré- mie. La troisième
observation
est celle d'un vieillard artério-sclé- reux qui
de terminale a eu une origine toxique. La quatrième et la cinquième
observation
visent deux jeunes femmes, prédisposées par une
délire à physionomie ancestrale bien typique. Enfin dans la sixième
observation
il s'agit d'une brigh- tique ancienne, ayant eu
P. Grange. (Lyon mèd., n° 21, 1901, p.7G3). M. Grange rapporte deux
observations
de malades atteints de maladie de Parkinson à f
de malades atteints de maladie de Parkinson à forme hémiplégique.
Observation
I. Maladie de Parkinson. Hémitremblement gauche
êt d'un tremblement parkinsonien nettement hémi- plégique, ces deux
observations
présentent d'autres faits intéres- sants. Au po
ence de parésie presque totale pendant longtemps dans la pre- mière
observation
et durant toute la durée de la maladie pour l'o
- mière observation et durant toute la durée de la maladie pour l'
observation
II, ce qui a rendu le diagnostic facile avec le t
médical, juillet 1901, na 29, p. 66). MM. Barjon et Cade publient l'
observation
d'un malade atteint d'accidents de tétanie mani
en effet remarquer que, depuis le travail initial de Kussmaul, les
observations
publiées n'ont pas dépassé cin- quante. Rappela
M1110 W.-S. Iakowenko. (Obozaérzié psi- ettiatiii. VII, 1902). L'
observation
est intéressante à raison de l'origine atropiniqu
e autre. La discussion développée par 1 au- teur, à propos de trois
observations
cliniques de démence précoce avec catatonie, co
écoce, dont il constituerait une variété particulière. il. C. LU.
Observations
cliniques et expérimentales sur la katatonie; p
ale et à plus de crimes. II. DE IOSGIi.IVE-CL : 1Y. LV. Nouvelles
observations
cliniques sur la manie aiguë et parti- culièrem
L'auteur, après un résumé de la littérature du sujet, publie douze
observations
de cette maladie, qu'il fait suivre de quelques
amen des pupilles n'a rien donné de caractéristique, non plus que l'
observation
du langage. Plusieurs auteurs trouvent une conn
nectif qui entoure les reins. L'auteur termine son travail par l'
observation
d'un cas analogue qui lui a été communiqué parle
par Robert Pucn. (The Journal of - Mental Science, juillet 1903.)
Observation
curieuse d'un homme de trente-sept ans, atteint d
syphilis cérébrale. M,l", TISSOT, interne à Villejuif, communique l'
observation
d'une femme de trente-trois ans, syphilisée à v
. Délire consécutif à des pratiques spirites. M. DUHEM rapporte l'
observation
d'un cas de délire consécutif à des pratiques s
un aflinement de la sensibilité générale comme chez l'aveugle. Ces
observations
rendent probable l'idée que les nerfs de la sen
ité hystérique, de verrues, etc., etc. L'auteur rapporte quelques
observations
marquantes de mutisme, de paralysie et de choré
maladies organiques. M. PENNITZ6Y (de Saint-Pétersbourg) rapporte l'
observation
de sept malades de la clinique de Bechterew et
meck à la rechercher systématiquement et, dans nos 125 dernières
observations
de paralytiques généraux, nous avons;trouvé 93
ut d'un certain temps disparaître complètement. En voici quelques
observations
: 1° G..., 37 ans, paralytique général (Examen
'entrer dans une période de rémission de leur affection. En voici l'
observation
résumée : l'un est un malade du service, l'autr
es ont été faits par MM. Sauvi- neau et Schrameck, et d'après leurs
observations
, vous voyez que les altérations du fond de l'oe
nos recherches sont nombreux. Et si nous voulions donner toutes les
observations
que nous avons prises, nous aurions de longues
étude. 366 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Au lieu de donner toutes les
observations
in extenso, nous nous contenterons, afin de fix
ar une diminution dans l'intensité des pressions dynamométriques. L'
observation
courante directe et grossière de l'état muscula
au moment même du passage du repos à l'activité. » Nous donnons l'
observation
suivante, véritable recherche expérimentale, '
rler souvent de N... dont l'amitié lui tenait au coeur. Pendant l'
observation
, nous essayâmes de réaliser un ensemble de cond
t encore à formuler une conclusion, ressortant nettement de celte
observation
, à savoir que les grandes émotions sexuelles pa
e une distinction afin de bien préciser le sens et la portée de nos
observations
. Entre l'image motrice propre- ment dite et l'i
rs `VATS01. (The Journal of Mental Science, juil- let 4003 ) Deux
observations
très intéressantes, suivies d'autopsie : ce tra-
tal Journal, 3 janvier 1903.) bans ce travail, accompagné de deux
observations
, l'auteur s'attache à démontrer que le bromhydr
avril 1902, p. G35, 677). Historique (Bibliographie). Technique. S6
observations
person- nelles. Le travail parait avoir été l'a
(Lyon médical, 1901, n° 12, p. 434). M. Duplant, se basant sur sept
observations
, étudie l'excitabilité idiomusculaire chez les
rapport parait n'exister aucunement. - R. de Musgrave-Chï. LVII.
Observations
bactériologiques et cliniques sur le sang dans
379 Les conclusions de ce travail sont les suivantes : i° Si les
observations
hématologiques consignées dans ce travail sont
, juillet 1903.) De ses propres recherches et de plusieurs séries d'
observations
recueillies par d'autres auteurs, M. Blachford
e avec ou sans éliminations de croûtes. En mars 1902, époque de l'
observation
, les plaques érythémateuses sont apparues aux deu
adressèrent à un animal très sensible au tétanos, le cheval. Dans l'
observation
qu'ils publient, ils trouvèrent, le système nerve
KELIN BARRATT. (The Journal of Mental Science, juillet 1903.) , L'
observation
du malade est suivie d'une autopsie très bien f
. , R. DE Musgrave-Clay. XXXVIII. Pseudo-tabes syphilitique : une
observation
; diagnostic différentiel du tabès; par Joseph C
New-York Médical Journal, 28 mars et 4 avril 1903.) Intéressante
observation
, avec autopsie instructive, mais qu'il faut se
ien moins souvent incriminées. M. Gallavardin publie, à ce titre, l'
observation
d'un malade de vingt-deux ans qui entre à l'hôp
. (Lyon médical, p. ï8, 7 décembre 1902). M. Lannois communique l'
Observation
d'un homme de qua- rante-trois ans qui depuis t
e et à la der- nière ponction met eu relief ce fait qui ressort des
observations
cytologiques des pleurésies en particulier, que
quantité extraordinaire dans le liquide céphalo-rachidien. Cette
observation
est très intéressante : 1° Par la concordance d
ationale de médecine de Lyon, 2 février 1902). M. Vallas publie une
observation
intéressante au point de vue médico-légal. Il
paracentral et méningite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 395 Cette
observation
est intéressante : 1° par la longue tolérance J
(Lyon médical, n° 24, p. 893, 16 juin 1902). )1. Lannois publie l'
observation
de deux nains achondroplasi- ques, âgés l'un de
ques, âgés l'un de vingt-cinq ans et l'autre de vingt-six ans. Ces
observations
auraient été déjà présentées, croit l'auteur, à l
ement de l'estomac, 1 du ceeur et du poumon. , L'auteur cite deux
observations
dans lesquelles l'aérophagie provoque un vomiss
Les mouvements choréiques n'étant survenus chez le malade, dont l'
observation
fait l'objet de cette note, qu'à la suite d'un ic
rikves. (The Journal of Mental Science. Octobre 1903). Intéressante
observation
d'une femme atteinte de maladie de Graves chron
nal of Mental Science. Avtil 1903.) Relation intéressante de deux
observations
de grande chirurgie abdominale chez des aliénés
W.-Il. Dawson. (Tite Journal of Mental Science. Octobre 1903.) Deux
observations
intéressantes, suivies de remarques à l'appui d
par Robert Joues. (Tlc Journal of Mental Science, juillet 1903.)
Observation
intéressante suivie de remarques judicieuses. I
nal of Mental Science. Avril 1903). Ce travail se compose de quatre
observations
intéressantes : la première concerne un homme q
vessie, de la prostate et de l'épididyme, mort. Dans la troi- sième
observation
,*il s'agit d'une femme atteinte de mélancolie a
auteur rapporte ici, très longuement et avec beaucoup de détails, l'
observation
de son malade, qui parait incontestable- ment ê
vril et juillet 1903). La première partie de ce mémoire contient 13
observations
fort intéressantes, et pour la plupart rapporté
cette brève et insuffisante mention. R. DE i\IUSGRAVE-CLr. LXXIV.
Observation
d'un cas de tétanos consécutif à la vaccina- ti
épileptique ; par le Prof. A. PicK (de Prague). L'auteur rapporte l'
observation
d'un malade étudié par lui. Il y fait remarquer
n ; par le j)1' II. MAILLE. Dans cet article sont rapportées quatre
observations
de sujets i 12 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. a
et des états patholo- giques dans lesquels on l'observe, grossie d'
observations
nombreu- ses. Le pronostic et le traitement de
Azémar, interne de la maison de santé de Picpus. Deux intéressantes
observations
: chez l'un des malades prédo- mine le délire d
ose d'angoisse; par le ' D1' Capghas. . Cet article renferme deux
observations
de névrose d'angoisse. "Avec Ballet, l'auteur p
re comme premier symptôme dans des cas de chorée dont il rapporte l'
observation
. Il l'a observé éga- lement au début de lésions
ctions hypodermiques étaient de dix centimètre cubes. Dans les deux
observations
, ce n'est qu'après les premières injec- tions d
. ' Un cas d'écriture automatique. M. BERILLON. Le sujet de cette
observation
n'avait jamais pré- senté de troubles névropaih
atalepsie guérie par l'hypnotisme. M. Viviani (d'Arezzo) rapporte l'
observation
d'une jeune fille de seize ans avec laquelle il
à la psychologie du rêve. M. Il. BEAUNIS expose un certain nombre d'
observations
et de considérations desquelles il tire les con
e l'individu. Un sommeil de dix-sept ans. M. Paul FAMz rapporte l'
observation
d'une femme âgée de qua- rante-quatre, laquelle
. L'auteur ne s'est pas borné à des affirmations : elle donne des
observations
consciemment rédigées qui viennent à l'appui de s
Médecin-adjoint à l'asile de Pau. Le malade dont je publie ici l'
observation
intéresse à la fois le médecin et le- psycholog
mence précoce; les circonstances ordinaires de la vie, la simple
observation
ne m'ont pas permis d'étudier chez lui d'émotion-
c une forme morbide dans' laquelle, à la suite ' J'ai au cours de l'
observation
émis un doute au sujet de la dispari- tion des
tait surtout l'activité spon- tanée qui était le plus troublée; son
observation
éclaire même, à ce point de vue, la psychologie
d'une intelligence plus développée, et c'est le cas de M. N... Ces
observations
prouvent d'ail- leurs qu'il serait bon de suivr
onné la rareté du fait, nous avons crn intéressant de publier leurs
observations
. Observation I. C. Pierre, menuisier, marié, âg
u fait, nous avons crn intéressant de publier leurs observations.
Observation
I. C. Pierre, menuisier, marié, âgé de quarante-
té physique est bonne. Sa figure est ordinairement congestionnée.
Observation
Il. -I ? Jean, boulanger, marié, âgé de trente-
e l'intensité lorsque le malade s'excite. - Avril. ? l\Iême état.
Observation
III. C... Marie, cultivatrice, mariée, âgée de tr
e état ; est taciturne et s'isole des autres malades. En résumé les
observations
ci-dessus montrent l'existence de paralytiques
on trouve dans les Annales ntédico psc7 ? n° Sept.- Oct. 1902, une
observation
des deux premiers auteurs qui est très intéress
bservation des deux premiers auteurs qui est très intéressante. L'
observation
est suivie de l'autopsie qui en révélant des lé
tout auditives avec idées de persécution et de jalousie. Dans nos
observations
, les hallucinations ne sont pas aussi typiques
s psychoses éthyliques proprement dites, classification basée sur l'
observation
clinique : In Revue médicale de la Suisse roman
orisé sa publication. La malade dont nous rapportons ci-dessous l'
observation
in extenso, huit mois après un délire tremens,
st passé pendant celui-ci, soit du 23 à l'après-midi du 25. Notre
observation
, dans sa première partie, est celle d'une hallu
égénérescence tabétique des colonnes postérieures chez l'homme. Les
observations
de l'auteur qui portent sur un grand nombre de
brièvement les travaux de Hill et de Held, l'auteur ajoute que ses
observations
tendent toutes à démonlrer que la conception ri
e des unités cellulaires). Quanta l'interprétation de celles de ces
observation
qui sont discutables, M. Turner est d'avis que le
n cranienne en raison d'une hémiplégie survenue après des crises. L'
observation
peut se résu- mer ainsi : 488 REVUE DE THÉRAP
es et l'intervention a plus de chance de réussir. C'est le cas de l'
observation
présentée par M. Lannois. L'opération semble de
, n° 29, 19 juillet 1903). M. le professeur R. Tripier rapporte six
observations
de ménin- gite tuberculeuse à le période prodro
lt; ? CHCc, oct. 1902). Intéressant travail accompagné de plusieurs
observations
détail- lées. R. AI. C. XXI. Soins et traitem
ent 23 cas qui ont été modifiés, améliorés ou transformés. Ces 23
observations
sont divisées en quatre groupes : 111 groupe : At
iques, amendement très incomplet des troubles intellectuels : trois
observations
. 2e groupe : Intelligence reste affaiblie mais
ais atténuation ou disparition com- plète des signes somatiques : 5
observations
. 3e groupe : Intelli- gence redevient complète
tion, mémoire.) Mais persistance de quelques troubles physiques : 5
observations
. 4" groupe : Disparition absolue des symptômes
, rechutes cédant sous l'influence de la reprise du traitement : 10
observations
. Le traitement consistait en injections de calome
s de calomel avec l'iodure de potassium à haute dose. Dans ces 23
observations
de paralytiques généraux modifiés, améliorés ou
r,LE et CRouzoN rappellent qu'ils ont présenté au Congrès de 1900 l'
observation
de deux frères atteints d'idiotie et de diplégi
caractère au cours d'une évolution dentaire. M. DEHOSCHY rapporte l'
observation
d'un enfant qui présente de l'agitation, des cr
a aussi été très net chex M. Gésine, dont je rapportais récemment l'
observation
. Elle est sortie d'un sommeil hystérique qui du
indique, en illustrant son rapport- par la description de quelques
observations
, que dans la démence pré- coce a été constatée
les des accès ; enfin, elle insère dans l'étude sur l'épilepsie une
observation
, expliquée injustement. L.-S. MINOR trouve que
amen du sang des épileptiques, ils ont pensé le moins à réfuter les
observations
de BnA ; le cours de leur travail lui- t même l
et d'autant plus intéressante que, sur ce point, presque toutes les
observations
concordent, sinon dans les chiffres, au moins d
des variations, nous sommes là aussi bien ignorants : cependant l'
observation
et l'expérimentation mettent lentement au jour r
nt chaque unité ne donne pas tout ce qu'elle peut : c'est un fait d'
observation
que l'organisme humain ne met en jeu toute sa p
les moyens, chez l'homme, chez les animaux, chez les plantes, par l'
observation
et par l'expé- rimentation, la recherche des lo
r l'initiative de Régis d'un service à l'hôpital Saint-André pour l'
observation
et le traitement de certaines psychoses dites d
se d'une crise hystérique qui détermina le parquet à la met- tre en
observation
à l'asile de llarémlle. Là, elle tit la connaissa
ASYMETRIE Dolorifique, par Ioteyko et Stefauowslca, 63. Ataxie.
Observation
d'-cérébelleuse aiguë d'origine organique compl
elques , par Féré (fin.), 75. Brûlures. Voir Mutisme. Calvitie.
Observation
de - congé- nitale partielle dans ses rapports
atonie. Histoire de la -, par Arndt, 333. Voir Démence pré- coce.
Observations
cliniques et expérimentales sur la -, par Bru
n- clature ries mentales, par Ur- quhart, 401. Manie. Nouvelles
observations
cli- niques sur la - aiguë et parttcu- lièrem
scientifiques, 192. ! {nu;.Lefouprudromique.nar Feront. le, Sang.
Observations
bactériologiques et cliniques sur le - dans les
e spécifique pour la thyroïde et lespaiathyroïries. avec quelques
observations
siii@ là 1)11y- siologie et la pathologie des g
s semilif, et des trou- bles moteurs, par Cestan et Huet. 70. Une
observation
anatomo-cli- nique de - par Thomas, Ilau- ver
e - expérimental du cheval. par Cuurmont. Uoyon et l'amot, 380.
Observation
d'un cas de - con- séetitit à la vaccination, p
lie; 328, Véronal. Emploi du par Cons- tensoux, '172, Vertige.
Observation
de de la locomotion traitée, avec succès par
ans la pratique privée de notre maître, M. le professeur Charcot.
Observation
I. - T..., quatorze ans. Vertiges épileptiques
nsécutifs à une chute sur la tête d'un lieu élevé, - Père aliéné.
Observation
II. - M"° C..., huit ans et demi. Cyanose con-
t pulmonaire; épilepsie, crises psy- chiques. - Soeur somnambule.
Observation
III. MmoB... devient épileptique à cinquante- q
s. Atrente-quatre ans, elle avait été mélancolique pendant un an.
Observation
IV. H..., épileptique. Mère, tic de la bouche.
an. Observation IV. H..., épileptique. Mère, tic de la bouche.
Observation
V. - Mm° V... Épilepsie (Grandes crises et vert
sans cause connue à quarante-huit ans. Frère paralytique général.
Observation
VI. 1\ple B..., épileptique. - Mère gout- teuse
out- teuse. Soeur, a eu une attaque de chorée et a.un tic facial.
Observation
VII. - Mm0 Lev..., quarante-six ans. Chorée à s
er ailleurs : ce n'est qu'une combinaison de deux états morbides.
Observation
VIII. - \I ? X..., de T..., dix-neuf ans, hys-
, de T..., dix-neuf ans, hys- térique. - Père et mère migraineux.
Observation
IX. Mlle E. 8..., treize ans. - Un frère et une
eur ont eu des convulsions. - Oncle paternel, mort fou ù Bicêtre.
Observation
X. NI'ne J..., hystérique. - Père bizarre, déli
vulsions. Une soeur et deux autres frères ont eu des convulsions.
Observation
XI. M"° D..., douze ans. Contracture hysté- riq
hysté- rique. Père original. - Mère hystérique. - Frère imbécile.
Observation
XII. M"0 P..., dix-huit ans. Paraplégie hys- té
dix-huit ans. Paraplégie hys- térique. Mère rhumatisante, chorée.
Observation
XIII. - M"0 F..., dix-neuf ans. Contracture hys
. Le père a été atteint plus tard de mélancolie pendant six mois.
Observation
XIV. ? V..., quinze ans, hystérique. - Grand'mo
s mâles, l'hérédité névropa- thique parait encore plus accentuée.
Observation
XV. - M. X..., dix-huit ans, hystérique. - Gran
hystérique. - Grand-père paternel, esprit faible. Oncle maniaque.
Observation
XVI. - M. W..., neuf ans, hystérique. Grand-pèr
ère névralgique. Père, crises nerveuses ( ? ) jusqu'à treize ans.
Observation
XVIL- M. M..., dix-huit ans. Paraplégie hys- té
eu une contracture du membre inférieur qui a duré plusieurs mois.
Observation
XVIII. - M. de C..., douze ans, hystérique à cr
nels (The journ. of mental science, 1873, 1874, 1875.) 0 Coindet.
Observation
sur l'hygiène des condamnés détenus dans la pri
la maladie de Parkinson coïncidait avec une folie circulaire; celte
observation
nous confirme dans l'opinion qu'il ne s'agit qu
'épilepsie, l'hystérie ', l'aliénation mentale 2. (OBs. VI, XII.)
Observation
XIX. - L..., huit ans, est à son septième accès
hémiplégie hystérique ; tante maternelle, migraine et sciatique.
Observation
XX. M110 P..., dix-huit ans. Chorée de- puis se
rée de- puis sept ans. - A un cousin qui danse depuis quatre ans.
Observation
XXI. - 111"° A..., dix-sept ans. Folie du doute.
e de Parkinson- (Thèse lu Pans, ISS3.) 2 ? PATHOLOGIE GÉNÉRALE.
Observation
XXII. - mye P... Paralysie agitante. Fille alié
P... Paralysie agitante. Fille aliénée (atteinte avant sa mère).
Observation
XXIII. Dr X..., paralytique général.- Père atte
r X..., paralytique général.- Père atteint de paralysie agitante.
Observation
XXIV.-I..., quarante-sept ans. Paralysie agitan
s épileptiformes, de l'hystérie et de la chorée (Gaguon, Jacobi).
Observation
XXV. - Mme de P..., goitre ophthalmique à dix-h
ique. Mère mélancolique. Deux fils d'un oncle ma- ternel aliénés.
Observation
XXVI. - J... Tachycardie, tremblement des mains
avec l'épi- lepsie, la folie, l'hystérie, etc. (OBS. VIII, XIX.)
Observation
XXVII. - M. D... Migraine ophthalmique; terreur
428. 3 li.-II. Saltcr. - On astluna, 1800, p. 'ci. 1 Marie. Deux
observations
d'angine de poitrine dans l'Itttstcrie. (Revue
sait, souvent liés à l'épilepsie, en particulier ceux de la face.
Observation
XXVIII. - M. X..., quarante-neuf ans, atteint,
et Blache en a observé un chez trois enfants de la même famille.
Observation
XXIX. M. B... offre un tic non doulou- reux de
es crampes musculaires re- vinrent et durèrent plusieurs années'.
Observation
XXX. - Dr N... Tic facial indolore se mon- tran
excitation périphérique ne joue qu'un rôle de cause déterminante.
Observation
XXXI. --Le Dr V..., trente-neuf ans. -Père rhum
tiques à l'occasion de toutes les ma- ladies dont il fut affecté.
Observation
XXXII. - M. H.... trente-quatre ans, paraly- ti
u'à seize ans; a été hypocondriaque, a eu une hémiplégie faciale.
Observation
XXXIII. - Milo L..., dix-neuf ans, épileptique
La sclérodermie peut aussi être rattachée à la famille nerveuse :
Observation
XXXIV. Une des sclérodermiques de la Salpêtrièr
se très inquiétante et qui a nécessité son entrée à l'hô- pital \
Observation
XXX ? - IVIm° G..., soixante ans, était à la fo
ntermittence explique la discontinuité du délire. La lecture de ces
observations
ne nous laisse pas con- vaincu du rapport qui e
Landouzy confirment cette opinion par une importante statistique.
Observation
XXXVI. M. T..., trente-huit ans, Grec d'origine
re est mort de paralysie générale, un autre a été hypocondriaque.
Observation
111'I(. - M. de L..., ataxique. Un oncle matern
ne tante maternelle était épi- leptique, et est morte en démence.
Observation
XXXVIII. Trima S..., ataxique. - Frère mort à t
., ataxique. - Frère mort à trente-six ans de paralysie générale.
Observation
XXXIX. M. X... de .\I...) paralytique général.
XXIX. M. X... de .\I...) paralytique général. - Frère ataxique. '
Observation
XL. 11 ? A..., ataxique; début à trente- cinq a
11 ? A..., ataxique; début à trente- cinq ans. Mère épileptique.
Observation
XLI. Dr P..., trente-neuf ans, ataxique depuis
aliéné, un suicidé parmi ses collatéraux de la ligne maternelle.
OBSERVATION
XLII. M. G ? ataxique original. - Soeur imbécil
. OBSERVATION XLII. M. G ? ataxique original. - Soeur imbécile.
Observation
XLIII. M. A.... ataxique. Crises épilepti- form
Crises épilepti- formes dans l'enfance ; puis, tic des paupières.
Observation
XLIV. -- M. G..., ataxique. - Mère lypéma- niaq
.., ataxique. - Mère lypéma- niaque. Oncle maternel gâteux ( ? ).
Observation
XLV. M. M..., ataxique. Père encore vivant à qu
épileptique, deux soeurs hystériques, deux frères - \ ataxiques.
Observation
XL VI. - fil. C..., ataxique. - Mère méhlll. co
orte à la suite de refus d'aliments. Frère paraly- tique général.
Observation
XLVII. Mmo B.... ataxique depuis quatre ans. Fi
epuis quatre ans. Fille de vingt ans épileptique depuis deux ans.
Observation
XLVIII. - il. D..., trente-neuf ans, ataxique.
lacier). - Oncle maternel suicidé. - Frère paralytique gé- néral.
Observation
XLIX. - M. M..., ataxique. Oncle et soeur alién
Observation XLIX. - M. M..., ataxique. Oncle et soeur aliénés.
Observation
L. - M. M..., peintre, ataxique. Père atteint d
t d'une affection de la moelle épinière ( ? ). - Oncle sui- cidé.
Observation
tI. M. B..., ataxique. Oncle paraly- tique géné
Observation tI. M. B..., ataxique. Oncle paraly- tique général.
Observation
LU. M. G... de M..., ataxique. Mère et soeur hy
rvation LU. M. G... de M..., ataxique. Mère et soeur hystériques.
Observation
LUI. - M. de L..., ataxique, avait eu, avant le
, avait eu, avant le début de sa maladie, un accès de mélancolie.
Observation
LIV. M. de M..., ataxique. Oncle aliéné. Une so
aliéné. Une soeur a eu un accès de mélancolie, suite de couches.
Observation
LV. M. G..., ataxique. Oncle maternel épileptiq
V. M. G..., ataxique. Oncle maternel épileptique est mort dément.
Observation
LVI. M. P..., cinquante-trois ans. Mère lypéman
. M. P..., cinquante-trois ans. Mère lypémaniaque s'est suicidée.
Observation
LVII. Miss C ? quarante-trois ans, ataxi- que.
rante-trois ans, ataxi- que. - Deux frères paralytiques généraux.
Observation
LVIII. - M. 117..., trente-deux ans Inconti- ne
famille °, et elle pourrait s'associer à des troubles mentaux 6.
Observation
LIX. - M. D... Paralysie infantile à dix-huit a
nfantile à dix-huit ans. Père aliéné. Grand-père maternel aliéné.
Observation
LX. M. X... a deux fils atteints de para- lysie
d. psych., 6" série, t. II, 1879, p. iS.) 38 PATHOLOGIE GÉNÉRALE.
Observation
LX1. M. D... Paralysie spinale de l'adulte. - M
, comme l'ataxie. - On peut en dire autant des affections aiguës.
Observation
LXII. - Les deux enfants de M. F.... sont attei
dique : l'un a été pris à quatre ans, l'autre à deux ans et demi.
Observation
L111L-\I. M..., trente-huit ans, a été pris, il
nerveuse est peut-être moins exceptionnelle qu'elle ne le paraît.
Observation
LXIV. D..., vingt ans, paralysie pseudo- hypert
sie labio-glosso-laryngée peut être aussi rattachée à la famille.
Observation
L1V. - 111. X..., atteint de paralysie labio- g
ec les autres affections nerveuses ne saurait être mise en doute.
Observation
LXVI. - D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaqu
iener medizinischc Zeilung, 1S3, p. 370.) 40 pathologie générale.
Observation
LXVII. - mye X... Sclérose en plaques. - Père e
Père et deux tantes maternelles aliénés. - Fils, tic de la face.
Observation
LXVIII. - Mme B... Sclérose en plaques. Fille a
bservation LXVIII. - Mme B... Sclérose en plaques. Fille aliénée.
Observation
LXIX. - M"° C..., vingt-cinq ans. Sclérose eu p
és. A eu, à quatre ou cinq ans, une affection méningitique ( ? ).
Observation
LXX. D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques.
liéné à la suite d'un coup. Plusieurs migraineux dans la famille.
Observation
LXXI. - Mme R..., quarante-sept ans. Para- lysi
yotrophique dont la famille est largement entachée de nervosisme.
Observation
LXXII. V... Sclérose latérale amyotrophique . -
réunies chez le même sujet ? telle est la question à laquelle des
observations
récentes ont donné quelque actualité. Divers au
us a semblé de nature à jeter quelque jour sur la question. II.
Observation
. - Paralysie spasmodique des quatre membres. -
Ranvier, à qui nous avons soumis nos préparations, a confirmé cette
observation
. Il est à noter que les nerfs ne pa- raissaient
d'une bonne nosographie, ce qui enlève beaucoup de valeur à leurs
observations
. Or, que voyons-nous dans notre cas ? La scléro
es faisceaux de Türck et de la substance grise; mais de ces trois
observations
deux au moins sont récusables. La pre- mière en
tutives de la sclérose latérale systé- matique. Reste une troisième
observation
due à M. Morgan 3, avec examen microscopique de
antérieures, on n'a pour étayer son opinion d'autre fait que cette
observation
de Morgan. Si tant est donc qu'une pareille scl
atrophie existait aussi chez le malade dont M. Babesiu a rapporté l'
observation
. Dans le cas de M. Babesiu, nous le verrons, le
le, compliquée d'atrophie des nerfs optiques. Un certain nombre d'
observations
, plus ou moins semblables à la nôtre, ont été,
st un exemple de ce troisième type D'une part, nous relevons dans l'
observation
de M. Prévost les lésions suivantes de l'ataxie
point de vue de la symptomatologie. Nous nous demandons aussi si l'
Observation
III du 1 Haymond. Sclérose des cordons postérie
. 45) présente quelque analogie avec le pré- cédent. La quatrième
observation
de Westphal ' nous paraît aussi pouvoir être ra
égion cervicale, en effet, ' Nous Mgnalerons simplement en note les
observations
I, II et V du mémoire de Westphal, qui sont d'u
sible d'assigner une place dans le cours de notre travail. Ces vois
observations
présentent entre elles quelque analogie, en ce
te de relever, c'est que ni dans les unes ni dans les autres de ces
observations
, les lésions des faisceaux latéraux n'affectaient
dons postérieurs ; d'autre part, le faisceau pyramidal. Parmi les
observations
que nous avons fait pres- sentir, il s'en trouv
assez nettement limitée au faisceau pyramidal de cha- que côté. L'
observation
de ce cas, encore inédite, sera publiée prochai
eloppé, si bien que la lésion des cordons, d'après les auteurs de l'
observation
, pourrait être envisagée comme la conséquence d
de l'opinion que nous sou- tenons. Rappelons en passant que, dans l'
observation
de M. Babesiu, fort analogue à la nôtre, on l'a
eux, quoiqu'on en ait dit, contre cette doc- trine. Et en effet les
observations
nous enseignent que dans les cas de myélite spé
M. Babesiu. En effet, chez le malade, dont il est ques- tion dans l'
observation
de cet auteur, l'affection avait débuté à l'âge
érés. Abchivks, t. VII. 6 82 PATHOLOGIE NERVEUSE. Enfin, dans l'
observation
de M. Raymond, à laquelle nous avons déjà fait
hé- rique et de minime importance. Il n'en est point de même de l'
observation
de MM. Kahler et Pick; ici la sclérose est auss
rtrophie. 6,Tubenerveuxdi)ateet\'K)e. RECUEIL DE FAITS NOUVELLE
OBSERVATION
D'IIYSTL : RO-1 ? PILEPSIE CHEZ UN JEUNE GARÇON
e plus, les recueils périodiques ont enregistré un certain nombre d'
observations
curieuses à plus d'un titre. Personnellement, n
iers à établir, entre l'hystérie de la femme et celle de l'homme.
Observation
. - Père alcoolique. - Deux soeurs mortes de convu
e le plaisir qui l'accompagne. Ce point est signalé dans toutes nos
observations
, sauf une seule. (Ons. XII.) Il est encore une
ile à comprendre et nous avons vu quelque chose de semblable dans l'
OBsERvATION
Xll, où la majeure partie des bouchées qui remo
lé, d'un autre côté, des faits de mérycisme partiel, par exemple, l'
OBSERVATioN
VII, où le vin, la bière, le cidre, le jus des
iquides sans qu'il soit besoin de les prendre en grande quantité.
Observation
XXXIII. - Idiotie, épilepsie. Tics, tournoiement,
cil., p. 113). Nous en extrayons le passage qui nous intéresse :
Observation
IXaIV.- Idiotie : premiers indices de l'absence d
enseignements anatomo-pathologiques que nous pouvons déduire de ces
observations
, ils nous apprennent seulement que l'appareil d
ut que le mérycisme ne reparaisse pas après la maladie comme dans l'
observation
de Cliq . , mais nous ferons remarquer, à ce pr
te autre cause : le coït. (Ois.. XIII, XIV.) Enfin, nous citerons l'
observation
suivante où le mérycisme disparut spontanément.
en son segment antérieur ; l'arrêt de développement portait, en une
observation
, sur le même côté que celui de la destruction;
ntérêt et les enseignements qui résultent du rapprochement de cette
observation
et de quelques autres, à certains égards ana- l
ns un mémoire ' 1 présenté l'an dernier à l'Académie de médecine; l'
observation
de M. Legrand du Saulle et celle que je viens d
ire couronné par l'Académie. (Prix Civiieux, 1882. (Inédit; 1 Les
observations
auxquelles M. G. Ballet a fait allusion dans cett
uit par ces idées théoriques, et aussi, il faut bien le dire, par l'
observation
de quelques faits cliniques, à étendre à l'insu
à l'insula le territoire du langage. Il a rapporté, en 1868, quinze
observations
d'aphasie avec lésions de l'insula. Depuis, que
la question, je crois qu'il ne serait pas inutile de publier les
observations
démontrant la possibilité de l'aphasie avec une
il n'y a eu de paralysés que les muscles arti- culateurs. Dans l'
observation
de Rosenthal, la langue était complètement para
cendante et l'extrémité postérieure de la troi- sième frontale. L'
observation
de Barlow, rapportée par Ferrier, est d'un très
irconvolution frontale ascen- dante. D'après l'expérimentation et l'
observation
cli- nique, le tiers inférieur de cette circonv
ables d'Ivry. Nous donnons ci-après le résumé de tous ces faits :
Observation
1 (recueillie par M. Oulmont). - Paralysie glos
du lobe supérieur. Un peu de con- gestion des bords postérieurs.
Observation
II (recueillie par M'. Oulmont). - Paralysie gl
parfaitement arrondi, enkysté, et contient un liquide lactescent.
Observation
III (déjà citée). - Paralysie glosso-labiée corti
et à l'extrémité postérieure des frontales moyenne et inférieure.
Observation
IV. - Paralysie glosso-labiée ; lésion superficie
oyen de hémisphère droit. (Magnus, Milliers. Archiv, 1817, p. 258.)
Observation
extraite du mémoire de M. Lépine et résumée.
tite noix; la face interne était tapissée par une membrane jaune.
Observation
V ? Paralysie Inbi()-gloss()-phaJ',1/lIgée d'orig
s()-phaJ',1/lIgée d'origine cérébrale; foyer unilatéral. (Résumée.)
Observation
pu- 1 Observation rapportée par M. le professeu
origine cérébrale; foyer unilatéral. (Résumée.) Observation pu- 1
Observation
rapportée par M. le professeur Lépine dans la Rev
e de Schiefferdecker a prouvé l'intégrité absolue de ces parties.
Observation
VI. - Paralysie pseudo-bulbaire par lésion cÙé-
aspect celluleux dans sa moitié externe el sur toute sa longueur.
Observation
VII. Paralysie glosso-labiée à forme pseudo- bu
cidence de la scrofule et de la phthisie; il ne cite que quelques
observations
de cancer et d'arthritisme. M. Baillarger avait
il faut citer la combinaison des deux maladies dans les familles.
Observation
L ? IIII. -NI.114..., agé de vingt ans, ade grand
ncle goutteux et une grand'mère atteinte de gravelle et d'eczéma.
Observation
LXXIV. - Mn'e A..., cinquante ans. - Mère nerve
ces avec mâchonnement. Aurait eu un accès de goutte il y a un an.
Observation
LXXV. 111 ? V..., trente-trois ans. Mère gravel
paru bien que, depuis un an, elle n'ait plus pris de médicaments.
Observation
LXXVI. - M. D..., cinquante et un ans. Con- vul
ez le même individu de la goutte et de la paralysie agi- tante.
Observation
LXXVII. M. J. G..., quarante-six ans, héré- dit
fu- gaces, avec céphalalgie, vertige, perte de connaissance. Les
observations
d'apoplexie goutteuse rapportées par Scudamore,
lequel la goutte paraît avoir fait place à la paralysie générale.
Observation
LXXVIII. - M. A..., cinquante-deux ans. - Synda
sur les amyotrophies des tabétiques, qui avaient échappé au génie d'
observation
de Duchenne; il a été l'un des premiers à mettr
iologie un nouvel ataxique atteint d'hémia- trophie de la langue. L'
observation
ne fut pas publiée; mais M. Vidal, qui la conse
itaux, le 9 juillet 1875. DE L'HEM1A'rlWPHII, : DE LA LANGUE. 195
Observation
I. Atrophie musculaire de la moitié gauche de l
e à gauche. Anesthésie et parésie des membres du côté gaurlee. - (
Observation
rédigée sur les notes recueillies par M. Plan-
t, dans l'espèce, d'un cas d'ataxie à symptomatologie anormale. Les
observations
nombreuses analogues à la précédente, recueilli
inutile, ce nous semble, de présenter, chemin faisant, ces quelques
observations
, bien qu'elles n'aient pas trait directement à
e Leisier, était atteinte d'arthropathies tabétiques multiples. Son
observation
a été publiée en détail dans la thèse de M. Blu
ous de rappeler les particu- larités du cas qui nous intéressent.
Observation
II. - La malade, âgée de cinquante et un ans, f
celui de Leisier, est relatif à un malade ac- tuellement en cours d'
observation
. Observation III. Ataxie locomotrice,- Antécéde
r, est relatif à un malade ac- tuellement en cours d'observation.
Observation
III. Ataxie locomotrice,- Antécédents nerveux ,
s membres de la famille de Grossor... ont des dispositions 1 Dans l'
observation
de Leisier, telle qu'elle est 1 apportée dans la
unilatérale de la langue, et Clarke rapporte à cet égard plusieurs
observations
intéressantes, l'une personnelle, les autres em
arrêter un instant : « >» i-Uii trait' commun à la plupart des
observations
dans lesquelles ce symptôme a été noté, c'est l
de la moelle et du bulbe. D'une part, on relève dans plusieurs des
observations
d'hémiatro- phie linguale que nous possédons, l
E CYSTICERQUES CELLULEUX DE 1,'I,'NCI,PflALE; Par D. BERNARD. L'
observation
suivante de cysticerques celluleux de l'encé- p
thogé- nique. Ajoutons que MM. Raymond et Oulmont4 ont publié une
observation
dans laquelle le pissement du sang était consé-
vons pas partager cet avis. M. Gef- frier ne cite d'ailleurs aucune
observation
dans laquelle ce dia- gnostic ait été fait en l
r le diagnostic, et, d'autre part, il n'est pas faitmention, dans l'
observation
. de l'état de somnambulisme provoqué. Quant aux
; par M. Carafi. (France médicale, t. I, 88.) Il s'agit, dans cette
observation
, d'une jeune fille de dix-huit ans, qui, entre
ION locale ; par M. rRÉI(O`7T. (France médicale, t. I, 1882.) Cette
observation
est intéressante en raison de la cause qui a dé
uérison; par M. CHANTEMESSE. (France médicale, t. I, 1882.) Cette
observation
est intéressante, parce que les troubles intel-
onnent la description détaillée d'un cas qui s'est trouvé sous leur
observation
pendant ingt-trois mois. Il s'agit d'une femme,
ffort, un excès de fatigue que survient cet accident ultime. Et les
observations
de Frerichs confirment pleinement la remarque s
r relativement au danger des marches forcées ou des voyages. Dans l'
observation
, le sujet déjà fatigué marche néan- moins : il
et meurt dans le collapsus en six heures. De même dans la quatrième
observation
le coma se produit après un voyage en Orient.
établir que tel a bien été le mécanisme de la mort et le relevé des
observations
analogues qu'il a pu trouver dans la litté- rat
ande en interdiction. M. Mesnet et moi lui remettons bénévolement l'
observation
de l'individu auquel le juge fait subir un curi
lus grand nombre possible d'obser- vations de tabès, à fouiller ces
observations
sans parti pris et sans aucune idée préconçue a
et, Gowers, qu'il n'y avait rien de bien démonstratif à inférer des
observations
anciennes, nous avons systématiquement laissé d
ure médicale, et nous avons résolu de ne produire au procès que des
observations
iné- dites. Secondés par les circonstances, nou
que l'hérédité ne se peut, au contraire dépister que par les seules
observations
qu'on nous livre, on n'hésitera pas à admettre
tatistique. Il existe en effet, dans la litté- rature médicale, des
observations
qui, par elles-mêmes, et prises isolément, sont
locomotrice. Nous vous rappellerons seulement quelques-unes de ces
observations
. Trousseau, par exemple, a rapporté la suivante
ues. Dans une thèse récente, M. Gruet a réuni un certain nombre d'
observations
dans lesquelles, au cours de l'alaxie, s'est mont
propos de cette catégorie d'aliénés dits inoffensifs, il est une
observation
qui a été certainement faite par plusieurs d'entr
hardiesse, c'est que je trouve un point d'appui dans la remarquable
observation
due à notre savant maître, M. le professeur Cha
Les faits de ce genre sont très rares et nous n'avons à citer que l'
observation
suivante de Hermann Weber et Altdaerfer emprunt
Altdaerfer empruntée au British medical Journal (6 janvier 1877).
Observation
I. Homme de trente-cinq ans. Perte de connaissa
de la protubérance avec glossoplégie. Ces cas sont les suivants :
Observation
II. Embarras de la parole, sans aphasie. Foyer
de l'hypoglosse. Pas de dégénérescence secon- daire de la moelle.
Observation
III. Embarras de la parole. Foyers de ramolliss
au py- ramidal croisé, à droite, et du cordon de Türck, à gauche.
Observation
IV. Embarras de la parole par glossoplégie. Par
mide motrice gauche de la protubérance. (7 ? 11.) Dans ces trois
observations
se trouve signalée une paralysie de la langue,
ie de la langue, avec troubles dans l'articulation des mots; dans l'
Observation
II, cette glossoplégie s'accompagne de gêne de
celui de la paralysie glossolabiée. Les symptômes rele- vés dans l'
Observation
III rappellent encore plus ceux de cette derniè
ni siffler ». Les lésions trouvées à l'autopsie ont été : dans l'
Observation
II, un foyer de ramollissement situé à la parti
rtie pastérieure et interne de la pyramide motrice droite; -'dans l'
Observation
III, un foyer de ramollisse- ment situé dans la
manifestation secondaire. Voilà pourquoi j'ai cru devoir publier l'
observation
sui- vante, malgré l'insuffisance du tableau cl
l'imitation, nous avions cru devoir rester sur la réserve. Or, l'
observation
suivante vient lever tous les doutes. Elle est du
ner, auquel elle a été communiquée par le pro- fesseur A. Freund.
Observation
IV bis. Hystérie et rumination chez une gou- ve
ter..., doué d'un grand talent d'imitation, se met quelque- fois en
observation
devant l'enfant Gren..., dont nous avons parlé
aire et qu'elle succédait parfois à des troubles de la digestion. L'
observation
suivante due à M. Otto Koerner en fournit une n
Koerner en fournit une nouvelle preuve. 3 r4 le REVUE CRITIQUE.
Observation
XVII bis. Père ruminant. Développement tar- dif
déré. Si, en suivant une diète sévère, il attache son attention à l'
observation
des règles prescrites, la maladie augmente de s
e la volonté. Peu après, le malade quitta Strasbourg. La suite de l'
observation
est prise dans les nombreuses lettres qu'il m'a
on. A ce moment (fin novembre) je lui proposai, me basant sur une
observation
(Observation XXXVI) faite sur un autre ruminant,
ment (fin novembre) je lui proposai, me basant sur une observation (
Observation
XXXVI) faite sur un autre ruminant, d'agir dire
ent, lorsque le catarrhe eut été amélioré par le sel de Carlsbad.
Observation
XXXVI. Catarrhe gastro-intestinal chronique dans
a rumination, après avoir été internzit- tente, devint constante.
Observation
XXII bis. Abus des fruits verts et entérite duran
é communiqué à M. Koerner parleDLucae (de Francfort-sur-le-Mein).
Observation
XXXVII. Début du mérycisme à trente ans. Ses sy
. Psych., u. Nervenk., XII, 3.) M. Westphal rapporte d'abord deux
observations
d'affection de la moelle, caractérisées par une
n; on frappait en vain sur le muscle lui-même. Or, dans la première
observation
, la sensibilité cutanée avait totalement dispar
; par HEUBNER (de Leipzig). (Arch. f. Psych. u. Nervenk., xn, 3.)
Observation
. I. Un gros tubercule occupe la moitié gauche d
es pédoncules cérébraux qui, pour Flechsig, seraient centripètes.
Observation
II. Elle concerne plusieurs petits tubercules net
ions symptomatiques sont complètement trai- tées dans le mémoire.
Observation
III. Un garçon de deux ans et demi présente suc-
es ordinaire et le tabes du syphilitique; l'homologie de toutes les
observations
prouverait, il est vrai, simplement la sélectio
n en foyer, l'autopsie ne révèle rien de semblable. Telles les deux
observations
suivantes : Observation I. Femme de cinquante-c
évèle rien de semblable. Telles les deux observations suivantes :
Observation
I. Femme de cinquante-cinq ans, souffrant depuis
hyperémiée. Pneumonie hypostatique, ma- rasme sénile, coeur gras.
Observation
n. Il s'agit également ici d'une femme de même
par Oswald VIERORDT. (Neurolog. Centralbl., 1882.) Dans les deux
observations
, la discussion des symptômes conduit l'auteur à
le réflexe. La grand'mère est la soeur du bisaïeul de l'enfant de l'
observation
I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 335 Deux des
BER,-4111tDT. (Arch. f. Pych. u. Ne1'venk., XII, 21). La première
observation
a trait à une h,émiathétose du côté droit. Les
série de faits concerne l'asphyxie locale des extrémités. L'une des
observations
est remarquable par l'unilatéralité des phénomè
u cerveau; par INECHT. (Arch. f. Psych. u. Nervenk., XII, 2.) Trois
observations
avec autopsie finement détaillées : Observation
, XII, 2.) Trois observations avec autopsie finement détaillées :
Observation
I. Paralysie des extrémités du côté droit avec
lanches nuit à la détermination fonctionnelle exacte de l'écorce.
Observation
II. Affaissement et démence graduelle. Plus tard,
oit sont en rapport avec le ramollissement du noyau lenticulaire.
Observation
III. Céphalalgie. Vomissements. Convulsions (em
(Archiv f. Psych. u. Ner- venlc., XII, 2.) Ce titre concerne deux
observations
: Dans la première, qui a trait à une femme de
es régimes et médications indiqués par l'élude clinique. Les quatre
observations
rapportées témoignent de résultats heureux. Pou
r quand on a repris les séances d'une façon continue. P. K. XXXV.
Observation
d'atrophie musculaire, articulaire ET osseuse,
rences qui existent au point de vue de la localisation entre son
observation
et celle de Prévost et David. (Arch. de physiol.,
.) D'après ce mémoire basé sur l'étude et la discussion de quinze
observations
, les divers centres réflexes spéciaux sont en rap
aits d'épilepsie corticale, rapprochée de celle d'un grand nombre d'
observations
d'hémiplégie cérébrale, amène l'auteur à conclu
Les considérations qui précèdent permettenldecomprendreque si les
observations
démontrant l'influence de la profession sur le
d'amandes amères. M. P. Moreau (de Tours) (l8î5), a rapporté quinze
observations
d'aliénation par in- SOCIÉTÉS SAVANTES. 347 t
pos de la même influence sur les autres folies ! Ellis rapporte une
observation
(Obs. 40) où l'aliéna- tion mentale due au froi
sur les embolies cérébrales et leur origine car- diaque, grâce aux
observations
nombreuses de folies liées à des maladies de l'
us venons de vous soumettre et que nous avons appuyées soit sur des
observations
prises par d'autres que par nous, soit sur des
M. Taguet, membre correspondant de la Société, pour la lecture de l'
observation
d'une hystéro-épileptique présentant des phénom
fois décrits à la Salpêtrière. Si j'avais, dit-il, à publier cette
observation
, je l'aurais intitulée : IlysLéro-épilepsie à cri
. lais les Belges n'ont pas souscrit pour Pinel ! Après échange d'
observations
, on décide que la France donnera un nouvel exem
unication lue par M. Charpentier à la précédente séance, rapporte l'
observation
de quelques ouvriers employés dans une fabrique
it chargé de collecter les documents et d'y joindre le fruit de ses
observations
personnelles. En conséquence, les travailleurs
es de suicide ba- roques. Pendant la durée de la dernière période d'
observation
, ma- nie légère. Tous les muscles des yeux sont
comitantes sont bien SOCIÉTÉS SAVANTES. 367 Î connues. Les seules
observations
qui se rapprochent de celle-ci émanent de Baill
fût primitive et que l'encéphalite serait secondaire ? Les propres
observations
de Tuczek prouveraient le contraire de celte ma
aralysie générale. L'inflammation doit être écartée dans toutes les
observations
; ce sont des altérations d'un genre particulier
ge en un calme moral, agréable, dépourvu d'excitabilité. Les neuf
observations
recueillies par l'auteur ne l'autorisent pas à se
oncomitante; elle diminua du reste chez elles pendant le temps de l'
observation
. Chez 12 p. 100 des paralysées générales, atrop
à employer pour leur venir en aide à l'occasion ? A la suite des
observations
présentées par le président et M. Zinn, la Soci
é à la forme tabétique de la paralysie générale progressive (voy. l'
observation
dans les 380 SOCIÉTÉS SAVANTES. Archiv von Vi
ser à tous les asiles de France la création de nouveaux quartiers d'
observation
appropriés à chaque catégorie de malades ? Si o
absolument la création dans les asiles de nouveaux quartiers dits d'
observation
. Abordant ensuite la question des sorties, l'or
és, à titre provisoire, soient placés, non pas dans des quartiers d'
observation
isolés, mais ré- partis dans les différentes se
es planches facilitent l'intelligence du texte. Un certain nombre d'
observations
per- sonnelles intéressantes ajoutent une note
demie. Celle du soir a lieu à une heure indéterminée. On ne prend d'
observations
régulières que dans le quartier des psy- choses
de la femme Voisard à l'hospice de Bellevaux pour y être placée en
observation
; 3° Que dans la lettre susmentionnée, le maire
invités à venir l'y chercher. Dans la journée, la gamine, restée en
observation
chez M. Bour- geot, tenta de s'affranchir de ce
été suffisamment fixées dans leurs grandes lignes par ces nouvelles
observations
. En France, vers cetle époque, on voyait dans l
uelle de- vait coïncider une atrophie de la moelle et du bulbe. Les
observations
de Nonne et de Nlenzel, dans lesquelles les aut
firmation a morgani, et l'étude criti- que, dont il fait suivre son
observation
, concernant les formes frustes ou anomales de l
senter et quel intérêt rétrospectif j'ai pu trouver à reprendre une
observation
, qui par ses données pathogéniques, par son évolu
lleux, dans les tumeurs de ce gros ganglion. Je résumerai d'abord l'
observation
du malade de M. Jaccoud. Un homme de 45 ans, co
ant étudier les symptômes de mon malade, et vous verrez combien son
observation
dans ses grandes lignes, dans ses si- gnes capi
détente brusque, asthénie précoce, rappelle celle de M. Jaccoud.
Observation
. Agé de 40 ans aujourd'hui, D.... fut un grand
'employer couramment les autres langues. Nous avons recueilli une
observation
d'aphasie amnésique correspon- dant à la lie va
le. Ce cas peut prendre place, comme nous le verrons,à côté des dix
observations
résumées par Pitres dans ses leçons. Elle prése
ans ses leçons. Elle présente également de grandes analogies avec l'
observation
publiée plus récemment par Trenel. Observation.
s analogies avec l'observation publiée plus récemment par Trenel.
Observation
. Aphasie amnésique (antGoztomasie). - Paraphémi
avant-mur (PI. V, B). Au point de vue clinique nous relevons dans l'
observation
les points sui- vantes : . Notre malade compr
ment la lésion du pli courbe et des fais- ceaux sous-jacents. Notre
observation
se trouve ainsi très comparable aux cas rapport
u'à la corne postérieure du ventricule latéral. Rappelons aussi l'
observation
publiée par Trenel (1) en 1899 et qui est ainsi
érieur de la capsule interne. Ainsi les lésions relevées dans notre
observation
montrent bien qu'il s'agit d'un cas tout à fait
ésique et ses variétés clini- ques, loc. cit. 48 HALIPRÉ Dans l'
observation
de Trénel, la lésion exclusivement sous- cortical
amnésique considérée comme aphasie de conductibilité. Dans notre
observation
la lésion est à la fois corticale (pli courbe, ci
e. Quoi qu'il en soit, il est un point intéressant à relever dans l'
observation
clinique, c'est la di- minution progressive et
arche. J'ai fait part à mon maître et ami M. P. Richer des quelques
observations
que (1) Une courte note sur ce travail a été pr
sante pour me pro- noncer. Je crois cependant, d'après les quelques
observations
que j'ai pu faire incidemment chez les malades,
es de la nuque pendant la marche. On peut en faire aisément aussi l'
observation
sur soi-même, en appliquant la pulpe des doigts
nous n'oserions généraliser cette donnée d'après l'ensemble de nos
observations
. En somme, semble-t-il ressortir autant de l'ét
die décrite par sir James Paget, ainsi qu'il résulte d'ailleurs des
observations
ultérieures, le début se fait vers l'âge de 50 an
des vieillards (4). A l'appui de cette opinion Richard rapporte une
observation
prise dans le service de Proust. Il s'agit d'un
ment semblables à ceux dont j'ai entrepris l'étude détaillée. Ces
observations
historiques (2) sont intéressantes à rapprocher d
es observations historiques (2) sont intéressantes à rapprocher des
observations
modernes, parce qu'on peut ainsi se convaincre de
aliénistes et neurologistes de Bruxelles (1903) et de Paul (1904).
Observations
de puérilisme mental, en collaboration avec P. Ga
chologie normale et morbide. Le témoignage des anciens auteurs et l'
observation
clinique s'accordent donc pour démontrer l'exis
qui rattache entre eux des moments étiologiques si différents. L'
observation
des faits permet cependant de distinguer deux gra
des faits permet cependant de distinguer deux grandes catégories d'
observations
. Dans une première série de faits, le syndrome,
s'évanouit après une évolution passagère ; dans une seconde série d'
observations
, le syndrome se dessine en une évolution lente,
correspondent les nombreux cas de puérilisme chronique qu'offre à l'
observation
des aliénistes, dans les asiles, la popu- latio
l'amabi- lité avec laquelle il m'a signalé l'intérêt et abandonné l'
observation
de cette malade, que j'ai étudiée dans son serv
jugée digne de figurer dans cette Revue d'art et de médecine, où l'
observation
clinique trouve dans le document plastique la v
oupe, sous le nom d'hérédo-ataxie cérébelleuse, un certain nombre d'
observations
reliées par leurs analogies cliniques, et devant
ils de la tante maternelle du malade. En quelques mots, voici son
observation
: sans aucun antécédent per- sonnel, il s'est a
cérébelleuse, Londe signale la scoliose, Erb le pied-bot dans deux
observations
; un des malades de Klippel et Durante, Françoi
faiblir ; il en est ainsi chez François Haud..., de même que dans l'
observation
de Menzel, et, l'on doit admettre que le type c
venus corroborer cette anatomie pathologique. Il n'est guère que l'
observation
de Miura qui puisse être rapprochée de celle de
omique de l'atrophie simple du cervelet et de la moelle. Déjà les
observations
de Spiller diffèrent par la nature des lésions. M
i les autopsies des malades de Sanger-Brown, de Klippel et Durante,
observations
fondamentales, étaient venues s'adapter à celles
de cette dernière par la nature his- tologique de ses lésions ? Les
observations
primi tives de Nonne et de Fraser mettaient en
ient exercé leur action. Nous ne toucherons le côté clinique de nos
observations
qu'en tant qu'il présente un intérêt particu- l
rd'hui, ce qui explique pourquoi ces séries sont incomplètes. Nos
observations
se subdivisent en deux catégories. 1° La tumeur
ÊTRIERE T. XVIII. Pl. XXIV TUMEUR CÉRÉBRALE (Weber et Papadaki)
Observation
III Masson & CI., Editeurs Phototypie Ber
t-fai). - vous y constatons (les pneno- mènes analogues à ceux de l'
observation
II. Elle est criblée de petites vacuoles sans m
firent penser d'abord à l'existence d'une spondylite. Au cours de l'
observation
se développèrent une paralysie des muscles droi
réagissent lentement à la lumière et à l'accommodation. Après une
observation
de quelque durée nous pensâmes avoir affaire à un
éalité dû à un accès épilep- tiforme. Ce qui distingue encore cette
observation
des précédentes, c'est la mar- che très rapide
ans la corne frontale. Nous rap- pelons ce qui a été dit pour notre
observation
2. Cependant il y a, surtout dans les lobes fro
t plus perdu en surface que ceux de projection. Dans cette dernière
observation
la rapidité de croissance de la tumeur et comme
rculation ? Comment com- prendre d'autre part que le néoplasme de l'
observation
3 n'ait pas eu un retentissement général et trè
ie de l'hôpital qui se fait le lendemain. 08s. II. Nous donnons l'
observation
suivante avec plus de détails, le ma- lade en q
ouvons donner une solution personnelle à ce problème. Dans nos deux
observations
on pouvait constater un syndrome absolu- ment i
us des fibres motrices, aussi des fibres trophiques. Dans notre IIe
observation
, en plus de l'athétose constatée sans lésion et
ment anatomo-clinique nouveau. C'est à ce titre que nous publions l'
observation
suivante. Observation Résumé CL1NIQUE.-F2v9·e
uveau. C'est à ce titre que nous publions l'observation suivante.
Observation
Résumé CL1NIQUE.-F2v9·e typhoïde,ménopause, cyp
ésente une sclérose considérable des espaces périvasculaites. Celle
observation
nous paraît intéressante à plusieurs points de vu
hiques (5), etc..... , De ce qu'on pourrait citer encore d'autres
observations
où des lésions nerveuses existent chez des acro
vem- bre 1901, p. 1031. UN cas d'acromégalie 189 que toutes les
observations
publiées, elle ne peut rendre compte du fait su
tion de Schupfer et Cestan si celle-ci n'était en défaut dans notre
observation
même où les premiers signes d'acromégalie n'ont
e du syndrome osseux que Marie a le premier complètement décrit les
observations
précédentes ne concernent pas des acromégalique
éviation fonctionnelle, rien ne la démontre. De même, expliquer les
observations
précédentes par des perturbations des fonctions a
ituitaire. Cette théorie classique s'appuie d'une part sur quelques
observations
cracromégaliques améliorés par le traitement op
ernière sur la cyanose de la rétine. Nous reproduisons ici nos deux
observations
. Observation 1 (1). Le jeune D..., âgé de 10
yanose de la rétine. Nous reproduisons ici nos deux observations.
Observation
1 (1). Le jeune D..., âgé de 10 ans, est amené
ée liée à une malformation congénitale du coeur avec hyperglobulie.
Observation
II (1). V..., âgé de 35 ans, marchand au panier
de la rétine » aux cas accompagnés de cyanose généralisée. La 2e
observation
de cyanose des rétines appartient à Knapp qui en
culaire. En 1877, Leber cite le cas de Knapp et ajoute une nouvelle
observation
avec vaisseaux rétiniens très dilatés et sinueu
sie montre une oblitération de l'artère pulmonaire. Plaçons ici l'
observation
de M. le Docteur Galezowski citée par Gowers, m
ne est dû à Goldzieher, 1904 (1). Communication interven- (1) Cette
observation
nous a été communiquée par M. le Dr Morax. 200
ans la circulation du système nerveux central. Rappelons en effet l'
observation
de Cabot (1) dans laquelle on a constaté, dans
DE Wecker. Traité complet d'ophtalmologie, t. IV, p. 57. (1) Cette
observation
nous a été communiquée par M. le Dr Vaquez. R°
a été admise sans contestation dans la pa- thologie, de nombreuses
observations
ayant confirmé son existence. Mais, dans ces de
l'exposition théorique par la relation des plus saillan- tes de mes
observations
: Cas. I. Abbate Eugenio, 17 ans, cuisinier de
la Faculté médicale de Turin, juif. Il m'a donné lui-môme sa propre
observation
. Il raconte qu'il y a plusieurs années il avait
V. C... Ernestina, 25 ans, couturière de son état. Il s'agit d'une
observation
très difficile à étudier. Elle fut envoyée avec l
gnes d'hystérie, notre diagnostic n'est pas douteux. Notre première
observation
se pré- sente comme un cas de dothiénentérie av
ogéniques ? Est-ce que le trophoedème de la main de notre quatrième
observation
, et le trophoe- dème de la jambe de notre sixiè
rième observation, et le trophoe- dème de la jambe de notre sixième
observation
étaient dus à des lésions nouvelles ou bien pré
RE T. XVIII. PI. XXVIII TROPHOED : Ë : ME CHRONIQUE (Valobra)
Observation
VI Masson & Cie, Éditeurs LES OEDÈMES CIR
ention du malade, le jour même où il se leva pour la première fois.
Observation
(PI. XXIX). B...., 23 ans, 14e régiment d'artil
eurs dans le côté droit. Pas de signes de tuberculose. Dans cette
observation
, quelques particularités sont intéressantes à r
xier, Lamy, Souques, Hallion, etc..., ont publié successivement des
observations
intéressantes (2). (1) Brissaud, Des scolioses
nts réciproques de plusieurs seg- ments du corps. Voici d'abord l'
observation
résumée de ce cas recueillie par M. André é Bru
de lumbago. Dans le cas présent comme dans un assez grand, nombre d'
observations
où la scoliose est rattachée à la névralgie sci
tude documentée sur la scoliose sciatique, a rapporté également une
observation
de scoliose alternante accompagnée de photographi
ns l'interprétation à des différences, passées ina- perçues, dans l'
observation
, et recourir à un supplément d'enquêtes. C'est
éroses com- binées des paralytiques généraux, nous donnerons 12 des
observations
de paralytiques généraux recueillies dans un se
le raréfaction des fibres, se rapproche des cas précédents. Cette
observation
est comparable à deux cas publiés par Soukhanofi
ions lombaires, dorsale et cervicale. III Si nous rapprochons nos
observations
de celles déjà publiées, nous SCLÉROSES COMBINÉ
sales put être fait très exactement; l'autopsie fut confirmative.
Observation
. Chien âgé de 2 ans 1/2 ; maladie du jeune âge
de con- tractures précoces et permanentes. - Nous avons joint à l'
observation
que l'on va lire, des photographies de sa main
peut voir nettement les déformations que présentait notre malade.
Observation
. La nommée MélanieS..., âgée de 63 ans, entre à
circonvolution frontale. Il est permis de rapprocher de notre cas l'
observation
de M. Dejerine, à la page 483 de l'ouvrage déjà
rhagie comme cause de l'hémiplégie. Il est quelques points de cette
observation
qui méritent d'être mis en lumière. / C'est d
vité nous échappent encore, malgré le nombre relativement grand des
observations
jusqu'ici publiées. Nous avons eu l'occasion d'
progrès de son affection ; nous avons pu faire sa nécropsie et son
observation
fait le sujet de notre travail. Les observati
nécropsie et son observation fait le sujet de notre travail. Les
observations
jusqu'ici publiées de myasthénie, dans ses différ
que des accidents. Or,non seulement l'étude soigneuse de la malade (
observation
clinique, essais thérapeutiques infruc- tueux,
res est venue lui apporter la con- firmation la plus péremptoire.
Observation
(PI. XXXVI). L..., âgée de 32, ans est entrée l
traction du biceps, mais celle-ci ne dure (1) Voir une intéressante
observation
de Londe et ·feige" et comparer en particulier
sions de dégénérescence fasciculaire récente ou an- cienne. Cette
observation
présente un grand intérêt par les analogies étroi
e étude critique très consciencieuse de la maladie à propos de deux
observations
personnelles et noz tamment une étude de l'exam
diagnostique (Mya R). MYASTÉNIE HYPOTONIQUE MORTELLE 253 3 autres
observations
de myasthénie bulbaire la possibilité, puis la pr
on appréciable de la réflectivité. Au point de vue anatomique,notre
observation
obéit à la loi à peu près générale de l'histoir
s des intoxications, je désire attirer l'attention sur ma quatrième
observation
. Nous allons voir que les auteurs qui séparent l'
(13) qui a fait une splendide monographie sur l'argument doute de l'
observation
d'Higier (14) dans laquelle on trouva la réaction
et où le malade guérit avec la désinfection intestinale : Dans mon
observation
les désordres intestinaux et les réactions de l'i
a pneumonie franche déterminer les mêmes phénomènes. Notre première
observation
prouve que le b. tiphique peut aussi produire l
les fermentations intestinales qui n'étaient pas très graves. Notre
observation
est confirmée par le cas récent ieHarns (21) :
la couleur des oedèmes, elle est souvent pâle, mais dans nombreuses
observations
, elle était rosée, et parfois rouge, très rouge
ai dans l'autre forme. Nous avons vu cependant dans notre quatrième
observation
un lien indiscutable entre les oedèmes et l'int
tion intestinale. Higier (14) et Le Calvé (33) ont aussi relaté des
observations
du même ordre,avec les mêmes résultats dans l'e
l'idée d'une différence profonde dans la cause des phénomènes. Les
observations
d'urticaire idiopathique associée aux oedèmes d
ire et d'oedème circonscrit. C'est une donnée clas- sique après les
observations
de Mannaberg et D01Wth (36) que les accès d'hém
nurie s'accompagnent très souvent d'urticaire. Dans notre cinquième
observation
les accès étaient accompagnés d'oedèmes de Quinke
d'une infection aiguë, /7choc/ ! (39), Couty (40)... ont relaté des
observations
d'oedèmes circonscrits, tandis que c'est une no
son asso- ciation avec l'urticaire. Très intéressante à ce propos l'
observation
toute récente de MM. Monro et Gregor (41) suivi
rcons- crits et passagers des épileptiques. Rad (46) a confirmé ces
observations
. Nous verrons plus tard des observations analog
s. Rad (46) a confirmé ces observations. Nous verrons plus tard des
observations
analogues dans la syringo- myélie dans laquelle
me chronique : je désire seulement faire ici la remarque que dans l'
observation
de Cassirer (13) l'oedème chronique a été précédé
ire dans les cas dont nous ne savons pas trouver la cause),dans les
observations
bien connues elles offrent une étio- logie comm
dème peut durer pendant des journées entières Nous avons encore des
observations
dans lesquelles la durée des oedèmes peut se mo
quelques mois, soudainement il disparaît. ' Nous relatons ici une
observation
de Cassirer, laquelle reproduit par- faitement
e présente plus de phénomèmes de ce genre (loc. cit. p. 459). Une
observation
, d'une analogie frappante avec l'observation de C
loc. cit. p. 459). Une observation, d'une analogie frappante avec l'
observation
de Cassirer, a été relatée par Lôwelt (65). U
plus et qui a les caractères du trophoedème chronique. Ma quatrième
observation
fournit un exemple très démonstratif de cette var
hoe- dème avait été précédé par des tuméfactions passagères. Dans l'
observation
très intéressante de M. Testi (56) le trophoedè
t du doigt [Meige (57), Vigouroux (58), Lannois (59)], et selon une
observation
peu nette de Calderai (60), il semble pos- sibl
sse (Lannois), fatigue]. A cette dernière variété appartiennent les
observations
de Debove (61), de Vigouroux (58), de Raynie (6
le trophoedème, par cette exposition, laquelle comprend toutes les
observations
connues, nous sont démontrés de manière qu'on n
caractère de la durée. Cet auteur ne veut pas seulement séparer les
observations
de la dernière variété établie par nous, mais enc
ais encore LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 263 par l'
observation
que les deux formes peuvent se présenter simultan
mes peuvent se présenter simultanément sur le même sujet (troisième
observation
d'llertoglae). Et pour les observations où les
sur le même sujet (troisième observation d'llertoglae). Et pour les
observations
où les formes sont indépendantes, nous devons n
nous avons étudiée dans la maladie deQuinke, pour la rapporter aux
observations
de trophoedème familial de Mil1'oy (68) (6 obs.
tion de Rapin (62), par une maladie d'infection avec fièvre; dans l'
observation
de Debove (61), par une angine ; dans l'observati
fièvre; dans l'observation de Debove (61), par une angine ; dans l'
observation
d'Her- toghe (63), par la rougeole. Enfin nou
la rougeole. Enfin nous ne devons pas oublier que dans la première
observation
de Rapin (62) et dans l'observation de Cassirer
as oublier que dans la première observation de Rapin (62) et dans l'
observation
de Cassirer dont nous avons rappelé l'his- toir
de Quinke, de ce dernier au trophoedème de Meige, toute une série d'
observations
lesquelles forment une échelle de passage entre l
nt aussi démonstratifs. Chez le professeur dont nous avons relaté l'
observation
, quelques bouffées de fumée avec du tabac d'une q
toire cutané de ce nerf (Lesser) (80). Schlesinger (81 ) dans une
observation
de tumeur de la colonne vertébrale qui avait pr
rès une durée de quelques heures. Mathieu et Weil (82) ont fait une
observation
du même genre dans un cas de tumeur métastatique
rconstances de la même nature. Cooper (31) confirma ces faits par l'
observation
d'un cas de paraplégie par compression de la mo
ation d'un cas de paraplégie par compression de la moelle. Dans ces
observations
les oedèmes s'accompa- gnaient de douleurs radi
nt lieu à des phénomènes peu durables. Si nous trouvons parfois des
observations
de trophoedème sans lésion démontrable du système
sans lésion démontrable du système nerveux,' nous avons une série d'
observations
dans lesquelles les lésions anatomi- ques de la
r à une localisation pathogénique identique. Et, puisque dans notre
observation
la main succulente a été précédée par des oedèmes
d'une vraie hypertrophie du tissu conjonctif. Très démonstrative l'
observation
de syringomyélie de Remack (50) dans laquelle l
bilatérale, tandis que l'amyotrophie était cantonnée à gauche, et l'
observation
de main succulente de Lo2caNell (87) qui ne pré
térations de la circulation. Enfin pour finir ce chapitre dédié aux
observations
dans lesquelles les phénomènes cutanés que nous
es d'une affection bien connue du système nerveux, nous rappelons l'
observation
de Bonnier (89) : « Ramollissement bulbaire int
ème aigu, et les éruptions d'urticaire. Meige enfin (54) a relaté l'
observation
d'une migraineuse, la- quelle présenta des oedè
de la figure : hémifacies succulenta ». A présent, avec ce bagage d'
observations
cliniques et anatomiques, nous pouvons aborder
non un nouveau fait ajouté. Nous devons nous souvenir que dans les
observations
les plus communes d'ur- ticaire nous voyons des
ions trophiques ou sécrétoires ». Nous désirons encore de faire une
observation
capitale. Elle est néces- saire après les trava
ur la rétention des chlorures dans les oedèmes néphritiques). Notre
observation
clinique expérimentale que l'introduction, même
es des vaisseaux. Nous rappelons ici comme très démonstratives, les
observations
de Borner (98) et de Laudon (109), et ma Ve obs
tives, les observations de Borner (98) et de Laudon (109), et ma Ve
observation
dans laquelle les oedèmes circonscrits s'accomp
accompagnaient de crises de larmes et de salivation, et ma deuxième
observation
où les oedèmes s'ac- compagnaient de crises de
tique par suite d'un trouble de la sécrétion de la lymphe. Dans les
observations
du trophoedème non précédées par des oedèmes pa
à une lésion anatomique ou bien fonctionnelle bulbo-médullaire. Les
observations
citées dans les- quelles' les phénomènes cutané
le siège des oedèmes circonscrits dans le bulbe à la suite de trois
observations
avec exa- men au microscope, nous avons relaté
ois observations avec exa- men au microscope, nous avons relaté les
observations
de Schlesinger, de Mathieu et Veil... ? dans le
de Paris, Médecin de l'Etablissement hydrothérapique de Divonne.
Observation
. La malade, soeur M. 1 ? âgée de 50 ans, d'asp
« l'ostéite déformante » (1876), on n'a publié qu'un petit nombre d'
observations
, une centaine à peu près, de cette affection. I
certaine, la pathogénie de cette curieuse maladie. Nous apportons l'
observation
clinique de trois cas nouveaux. Nos trois malad
été donnés, laissant à chacun le soin d'en juger. Le malade de l'
observation
1, celui qui a les déformations les plus marquées
les derniers temps ce qu'est la mienne maintenant. » Le malade de l'
observation
2 nous a dit : « Mon père avait une tête aussi
elle était trop petite. » Il nous semble que rien ne manque à cette
observation
, et que des détails si précis confirment le dia
s de la vie. 296 OETTINGER ET AGASSE-LAFONT Telles sont nos trois
observations
de maladie osseuse de Paget. La troi- sième peu
7) dit que le père de son malade avait les jambes arquées. Dans les
observations
de Robinson (1886- 1889), deux membres d'une mê
. Dans la même séance de l'Académie de médecine, M. Berger résume l'
observation
de deux malades, la mère et le fils. Enfin les de
, dans The .Lancer (190.), concernent le frère et la soeur. Ainsi l'
observation
que nous publions ici vient grossir le nombre des
affection familiale et héréditaire, en apparence du moins. Cette
observation
apporte-t-elle en même temps un argument de quel-
rofession, les cas publiés jusqu'ici. Nous avons laissé de côté les
observations
parues à l'étranger, de peur que quelques-unes
médicale, 29 mai 1903. 35-36. Fréchou. Thèse Paris, juillet 1903 [L'
observation
IX est celle publiée in Thèse Hillereau, 1901].
énital d'après lui. Il se re- fuse énergiquement à tout examen. L'
observation
de la mère est plus intéressante, nous la donnons
més. Puis elle eut les trois enfants dont nous allons rapporter les
observations
et entre les deux premiers, une fausse couche d
nous a rien montré d'anormal. OBS. V (Couvelaire). A côté de cette
observation
familiale que nous avons tenu à donner en détai
onne fortune de pouvoir reproduire in extenso une très intéressante
observation
personnelle iné- dite que 11. le Dr Couvelaire
uvera la ques- tion mise au point ; nous ne ferons qu'y ajouter les
observations
plus ré- centes que nous avons pu compulser et
cependant de réunir dans un même tableau d'ensemble les différentes
observations
déjà parues. Comme le montre ce tableau, ce s
m- prend la mère et la fille. Avant eux toutefois on retrouve des
observations
plus ou moins nettes de l'affection. Guzzoni de
les 5 cas très nets de Hultkrantz, dont 4 dans la même famille, les
observations
de Shorstbeinet de Carpenter, cette dernière la p
qu'une inté- ressante radiographie de ses clavicules empruntée à l'
observation
de ces au- teurs. C'est à la même époque et à p
e 49 ans (voir PI. XLIII) ; nous retrouvons dans cette intéressante
observation
l'aplasie claviculaire double, le crâne spécial,
hez le frère et la soeur, et Shermann (de San Francisco) publie une
observation
semblable. Le dernier cas paru semble être celu
en comptant celui de Couvelaire et le nôtre ; ces cas comportent45
observations
dont plusieurs accompagnées de radiogra- phies
ndaient certains auteurs (Polaillon). En parcourant ces différentes
observations
, on peut en dégager la des- cription suivante (
nt de vue des renseignements très exacts, complétés par plu- sieurs
observations
cliniques. 1° Le peaucier est intact. 2" Les
ma ! ades sont ie p)us sou- vent de leur aplasie claviculaire ; nos
observations
ainsi que celles de notre tableau montrent que
en avant est l'attitude le plus souvent reproduite dans toutes les
observations
(Carpenter, Shorstein, Gibert, Pierre Marie et
ue normaux. » 2° L'aspect spécial du crâne est omis dans beaucoup d'
observations
et peut manquer en réalité; mais le plus souven
alité (Rappeler, Carpenter). Depuis cette description les nouvelles
observations
ont d'ailleurs toujours mentionné les anomalies
anomalies crâniennes. Couvelaire avait déjà basé son travail sur 23
observations
; actuellement nous pouvons en réunir 38 où ces
pendant, et dont les su- tures se fermèrent vers 10 ans. Dans notre
observation
la soudure des fontanelles s'est faite à 10 ans
chez notre petite fille la dysostose est fruste de même que dans l'
observation
de Pi- nard et Varnier. Scheuthauer enfin sig
rqué(P.NIarie et Sainton et notre cas familial). Presque toutes les
observations
signalent l'irrégularité de la dentition ; elle
IENNE HÉRÉDITAIRE 321 17; il s'agissait de plus dans cette dernière
observation
d'une fillette de 13 ans dont plus tard les enf
638. (2) APERT, Quelques remarques sur l'achondroplasie (avec deux
observations
nou- velles d'achondroplasies adultes). Nouvell
sont de petite taille ; il suffit de parcourir notre tableau et nos
observations
pour s'en convaincre. Ils peuvent présenter des
: 1 M. VILLARET ET FRANCOZ de plusieurs côtes (Hirtz et Louste). L'
observation
de Gibertt est très inté- ressante à ce point d
tion nié par certains auteurs est par- ticùli8rement net dans notre
observation
dont les quatre cas sont à mettre en parallèle
dysostose cléido-crânienne hérédi- taire. TABLEAU COMPARATIF DES
OBSERVATIONS
DÉJÀ' PUBLIÉES DE DYSOSTOSE CLÉI DO-CRAN I EN
Paris, 1822, p. 140. (2) Philosophie analomique, p.' 149. (3) Les
observations
de ce genre sont nombreuses. Voir en particulier
. Vaschide et Vurpas ont tirées de l'individu dont ils ont publié l'
observation
et qu'ils ont bien voulu m'abandonner. C'est
mis à mon examen appartenaient au sexe léminin. Je ne sais si cette
observation
a une importance quelconque. I. Morphologie EXT
avec les espèces animales. C'est du moins ce que permet de croire l'
observation
de Joly et Lavocat (6). Ce qui frappe,dès l'a
t un autre caractère non moins constant et relevé dans tou- tes les
observations
publiées. La tête est engoncée dans les épaules,
riété de pseudo-encéphalie). Thèse de Toulouse, 189S. (4) Belhomme,
Observation
d'ectrogéuie asymétrique. Bulletin de la Société
e cyphose, tantôt une lordose. Le plus souvent, d'après mes propres
observations
et celles que j'ai pu relever dans les publicat
pagnée de mo- difications articulaires. Sur les sujets soumis à mon
observation
, j'ai constaté quelques cas de pied-bot varus o
cette recherche ; les notions que j'ai acquises dès le début de mes
observations
m'avaient convaincu qu'une dissec- tion attenti
e profonde des faits observés. Sabrazès et Ulry (1), en effet, de l'
observation
d'un chien pseudencéphale, chez lequel existait d
jamais l'importance qu'elle acquiert dans la pie-mère. D'après mes
observations
, la dure-mère résiste ; on la retrouve constamm
i nous ramènent aux temps primitifs de l'embryologie. J'ai fait des
observations
analogues : l'oeil est constamment en bon état. M
aires qui conduisent insensiblement d'un tableau morbide à l'autre.
OBSERVATIONS
Famille H..... Aucune tare du côté maternel.
ot de la maladie de Friedreich et qui se retrouve dans bon nombre d'
observations
(Kojev- nikoff, Naef, Krafft-Ebing, Spiller, Je
bres, rappelons (fait que nous n'avons re- trouvé dans aucune autre
observation
), que la démarche du malade fut d'abord très ne
statique (Sanger-Brown), que l'on trouve signalée également dans l'
observation
d'ataxie cérébelleuse de Baumlin, et par Miura.
ellement dans les ma- ladies familiales spasmodiques, même dans des
observations
rangées dans la pseudo-sclérose en plaques ou d
ux cas publiés sous ce nom, n'est pas toujours exacte. S'il est des
observations
,.où toute la symptomatologie se résume dans une s
troubles de l'intelligence ou du caractère. Mais dans aucune autre
observation
on ne trouve des signes bulbo-protubérantiels o
érébro-spinal, macroscopique ou microscopique. ' Giese a publié l'
observation
de deux malades, frère et soeur, chez les- quel
ue doit être maintenue. 1 Il est certain que dans quelques-unes des
observations
rassemblées par Tam. Cestan et Guillain, et en
la sclérose en plaques vraie constituent une rareté. Dans d'autres
observations
le tableau n'est plus aussi voisin de celui de
ussi voisin de celui de la sclérose multiple. Ainsi dans la fameuse
observation
de Pelizoeus, AFFECTION SPASTIQUE BULBO-SPINALE
parole est lente, monotone, sans scansion. Il en est de même dans l'
observation
de Pauly y et Bonne. Le tremblement intentionne
Pauly y et Bonne. Le tremblement intentionnel qui est noté dans les
observations
de Cestan et Guillain, de Pauly et Bonne, y est
re sujet, atteint de la même affection, que j'ai pu soumettre à une
observation
de nuit, la réalité de ce phénomène a été nette
ils ont, je crois, de l'importance parce que, si j'en juge par mes
observations
, ils semblent constants dans cette affection (P
us il ne me semble pas prouvé qu'en pathologie humaine il y ait des
observations
rigoureuses établissant ce fait ; en effet jusqu'
al non douloureux ; mais, quoique persuadé de l'exactitude de cette
observation
, je ne crois pas devoir m'incliner devant elle, c
nt plutôt du type Leyden-Mbbius. On trouvera dans l'exposé de leurs
observations
, plusieurs particularités dignes de retenir l'a
des douleurs à la pression dans les masses musculaires. Dans une
observation
publiée par Paul Londe et Henry Meige, les au-
telimon. On a lu ses antécédents héréditaires et collatéraux dans l'
observation
de son frère cadet. Antécédents personnels. A
ont soumis el nous rappellerons que Grancher a rapporté en 1888 une
observation
d'hystérie chez un nourrisson de 18 mois. Nou
ur siège, des manifestations extérieures très différentes, dont nos
observations
personnelles vont, dans un instant, fournir quelq
matiques sont les plus fréquentes, mais le fait commun aux diverses
observations
, aux nôtres en particulier, est qu'il n'existe au
rer par immobilisation complète à une douleur vive. Un autre fait d'
observation
banale, est l'exagération de la contracture pen
'est un fait rare, que nous avons eu l'occasion de constater dans l'
observation
II. La mère fut très explicite à ce sujet; la t
ture se produit brusquement ou tout au moins, qu'il y ait eu ou non
observation
insuffisante au début, l'attitude vicieuse pa-
. Et le fait capital est la fixité de cette douleur : en lisant nos
observations
, on verra que tous nos malades semblaient souff
que cas, on ne peut s'en rendre compte par l'étude individuelle des
observations
. Cas. I. Contracture hystéro-traumatigue du pie
ptembre. Les motifs de notre diagnostic sont faciles à déduire de l'
observation
ci-dessus.Quand nous vîmes l'enfant déchaussée,
troublent le plus le clinicien. Nous allons en trouver un parmi les
observations
de torticolis qui vont suivre, et où les trois
naissance ? Le début brusque suivant immédiatement le trauma dans l'
observation
II, apparaissait le lendemain dans l'observa- t
pharyngienne, toute adénite cervicale. Pouvait-on penser dans la 1"
observation
, à cause de la brusquerie du début, qui suivit
TUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 457 Nos
observations
concernent une des formes du torticolis hystériqu
ont nous n'avons voulu publier l'histoire qu'après plusieurs mois d'
observation
, ce qui rend le diagnostic certain. Ol3s. V. Sc
ié que la cure se maintenait. Les motifs pour lesquels dans cette
observation
le diagnostic de scoliose hystérique est fait s
ment passager, il survint une scoliose droite. Dans quelques autres
observations
est noté un sem- blable passage d'un côté à l'a
quatre ans, il était cloué par un prétendu mal de Pott. Mais notre
observation
prouve que cette brusque- rie initiale et termi
rie initiale et terminale n'est pas constante. D'assez nombreuses
observations
mentionnent des douleurs spontanées ou à la pre
ous la main gros et durs du côté où le rachis est concave. Dans une
observation
de Mendel, par exemple, où la scoliose se corri
us pensons pour la fausse paraplégie dont il nous reste à relater l'
observation
. OBs. VI. Paraplégie hystérique. Alice L...,
ubles sensitifs, l'état psychique que nous avons décrits dans notre
observation
sont plus caractéristiques que chez nos malades p
opération capable de la guérir, et tout cessa. Elle resta encore en
observation
dans la salle pendant dix jours et sortit march
nt nous sommes arrivés au diagnostic. De l'étude de ces différentes
observations
, tant au point de vue diagnos- ATTITUDES VICIEU
ra la clef du pro- blème : c'est en raison de ces résultats que nos
observations
sont incontes- tables, ces manifestations muscu
suédoise une rééducation attentive de la volonté. Donc, toutes ces
observations
confirment l'aphorisme de Charcot : l'hys- téri
soit que nous ayons à craindre une récidive in situ, dont plusieurs
observations
font mention, soit que plus ou moins tard, se p
dans un mémoire où, en apportant de nouveaux faits, il discute les
observations
antérieures. Il adopte le terme d'achondroplasi
solue de cette affection d'avec le rachitisme vrai. Depuis lors les
observations
se multiplient rapidement et confirment l'exis-
us importants, signalons le mémoire de Kaufmann (1893), basé sur 11
observations
, qui cherche à établir trois formes distinctes en
ns un certain nombre de cas publiés ; celui de Salvetti (1893); les
observations
de Lugeol (1892), de Thomson (1893) ; la revue
l'occasion de publier, sous le titre d'ostéogénèse anor- male, une
observation
qui, quoique rentrant dans la grande famille des
e et deux filles auraient été achon- droplasiques, et dans les deux
observations
de Poncet et Leriche, le père et le grand-père
nts n'est pas absolument constante. Elle se réalise dans une de nos
observations
, mais ne se vérifie pas, par exemple, chez l'en
pres- que la longueur d'un segment. C'est ainsi que dans une de nos
observations
(inédite ; enfant Darr...) la longueur totale d
1/2 cent. pour la cuisse et de 3 1/2 pour la jambe. Dans une autre
observation
(1902) la longueur du bras était de 2 centimètres
ns rachitiques. L'hydrocéphalie est rare et n'existait que dans les
observations
de Scbarlau, M. Smith, Bode, Maygrier. L'exagér
olume céphalique est parfois très notable. C'est ainsi que dans une
observation
de Bouchacourt les diamètres sont les suivants :
t fréquemment plus apparente que réelle. Les mensurations, dans les
observations
de Porak, Apert, Lugeol, ont donné en moyenne l
mélique ; toutefois cette règle n'est pas absolue et dans plusieurs
observations
le fémur et l'humérus conservent une certaine p
ogique de la moelle épi- nière. On en retrouvera le détail dans les
observations
concernant ces malades. Les lésions que nous y
nfondues sous la même appellation. Kaufmann, Klinger en donnent des
observations
sous le nom de chondrodystrophia nyperplastica, S
trophia nyperplastica, Scholz sous le terme de rachitisme foetal. L'
observation
fondamentale du travail de S. Mül- ler sur l'ac
rstein (1903), reprenant l'ensemble des faits publiés, groupent les
observations
, distinguent ces deux formes de dystrophies oss
urvenues à des foetus encore contenus dans la matrice) a rapporté l'
observation
d'un enfant à l'aspect achondroplasique, qui do
n peut opposer des formes partielles et in- complètes. 1 Dans les
observations
de Franqué, Lampe, Salvetti, la synostose crânien
qué, Lampe, Salvetti, la synostose crânienne faisait défaut. Dans l'
observation
de Variot la micromélie est limitée aux mem- br
fruste ou incomplète. 4° Formes complexes. Il est un petit nombre d'
observations
où les lésions cartilagineuses achondroplasique
xceptionnellement se combiner. Ces cas, rares du reste, et dont les
observations
sont peu explicites, ne suffisent pas, croyons-
e peut donc pas, à elle seule, caractériser l'achondroplasie. Cette
observation
est surtout importante lorsqu'il s'agit de compar
irmés par des vérifications mi- croscopiques. Un certain nombre d'
observations
intitulées achondroplasie doivent rentrer dans
ues avec dia- physes courtes, massives, renflées aux extrémités ; l'
observation
III au con- 4 traire paraît être un rachitique
ysplasie périostale et conclut au rachitisme. D'après cet auteur, l'
observation
de Geldern-Egmont devrait être également rappor
Spiegelherg, Cestan et récemment Charrin et Le Play, à propos d'une
observation
histolo- giquement trop peu explicite pour que
es faits considérés comme du ra- chitisme changent d'étiquette. Les
observations
de rachitisme congénital de- viennent d'autant
relevé parfois chez la mère. La syphilis a été notée dans quelques
observations
. Dans deux cas que nous avons ^publiés antérieu
la fois soulevée et réfutée par G. Durante (1900 et 1902). Dans deux
observations
étudiées spécialement à ce point de vue « les l
a- chondroplasie, a incriminé le corps thyroïde en s'appuyant sur l'
observation
de Collmann, dont le petit malade avait un corp
nt)piu IlcrlhRud, P.Ir ! " PLANCHE LVII. Le malade de la première
observation
vu de face. Remarquer surtout le raccourcisseme
n'avons pas non plus trouvé dans la littérature médicale plus de 42
observations
d'achondroplasiques vivants adultes ou enfants.
on pénible. Il est peut-être adénoïdien. Ainsi qu'il résulte de son
observation
, notre malade représente un cas typique d'achon
ormal, Joachimsthal dit de son malade qu'il a un nez normal. Dans l'
observation
de la malade de Variot il est dit qu'elle a la tê
tête et le crâne normaux. Le malade dont nous venons de donner l'
observation
est aussi un ma- crocéphale (circonférence de l
avec des caractères infantiles. De 16 achondroplasiques dans les
observations
desquels nous trouvons des ilidications sur ce
oppement du sens génésique, fait qui d'ailleurs n'a pas échappé à l'
observation
des accoucheurs (Porak, etc.), qui nous ont lai
'observation des accoucheurs (Porak, etc.), qui nous ont laissé des
observations
de femmes achondroplasiques avec des gestations
urcissement des membres inférieurs. Mais si l'on passe en revue les
observations
, on voit que la conformation normale du tronc n
un attribut constant dans cette dystrophie, parce que dans quelques
observations
nous trouvons notées certaines défor- mations t
e lombaire caractéristique qui est très prononcée. De l'étude des
observations
il résulte un autre fait important qui mérite d
u'il prête peut-être à discus- sion. Nous allons reproduire cette
observation
(très résumée), en priant M. le professeur Obre
emandés. Il parle facilement. La per- FM. 5.- Malade de la deuxième
observation
. On remarque parfaitement le raccourcis- sement
marcher que vers l'âge de 4 ans. L'hérédité signalée dans quelques
observations
manque dans la nôtre, d'après le dire du malade
seur Obregia qui a vu avec l'un de nous le malade de notre première
observation
il y a un an. M. Obregia en comparant les cas de
bles de la croissance, on voit tout de suite la jus- tesse de cette
observation
. En effet, dans l'un comme dans l'autre il s'ag
sme ainsi qu'on peut s'en con- vaincre facilement en consultant les
observations
et les figures que Lau- nois et Roy (30) nous d
let 1900. 2. ApERT. - Quelques remarques sur l'achondroplasie. Deux
observations
nouvelles d'achondroplases adultes. Nouvelle Ic
val il n'existe pas de monstruosités mais plutôt des monstres. L'
observation
dont nous poursuivons l'étude, nous confirme dans
ra plus tard aisé d'arriver à de nouvelles conclusions générales.
Observation
. R. T..., âgé de 27 ans, mendiant ambulant de son
ffrait à l'époque de notre examen d'une blennorragie chronique. Mon
observation
dura seulement une journée. Il devait partir pour
dans mon service. Cette résistance expliquera quelques défauts de l'
observation
, et particulièrement le manque de certaines rad
l'avait accueillie tout d'abord. On ne peut pas nier que dans les
observations
d'arrêt de développement des membres on observe
rit des exemples très frappants. Particulièrement intéressantes les
observations
de Davida (6) et d'Ediuger (7). Dans la première
ologie pathologique aurait ici une valeur notable, parce que dans l'
observation
de Troisiel' (5) et dans celle de Edingen (7) i
onnaire amènerait une transformation des quatre membres. Dans notre
observation
il faudrait être doué d'une forte dose d'imagin
de déviation du rachis, etc.. [Charrin et Le Play (24)]. Dans notre
observation
le rachitisme ne nous expliquerait jamais la po
sera plus facile de nous orienter pour l'interpréta- tion de notre
observation
. Voyons rapidement les idées dominantes et les
anomalie s'arrête au niveau du métacarpe et du méta- tarse. Sur 194
observations
de syndactylie, Gruber observa seulement six fo
s qui jouissent pour un temps très long de cette faculté. z Cette
observation
ne nous explique pas encore la polydactylie. Ma
ugmente le nombre de ses pro- duits M (7'arK). Nous connaissons des
observations
qui nous démon- trent l'existence de cette facu
olydactylie acquise. Coroisai,t (57), Blwnenbak (58) ont décrit des
observations
semblables. Le fait que la polydactylie congéni
ritation avec l'hyperproduction. Nous verrons bientôt comment notre
observation
peut se prévaloir de ces arguments pour son inter
mais aussi les doigts normaux entre eux. Nous pouvons trouver des
observations
innombrables dans tous les traités de tératolog
u'aucun des partisans de la théorie ata- viquen'a pas songé à cette
observation
fréquente pour s'en prévaloir comme d'un argume
nt dans les altérations par excès que dans celles par défaut. Cette
observation
démontre avant tout que la séparation normale d
s du membre inférieur. On ne peut non plus comparer notre sujet à l'
observation
de Jameson (62) qui présentait une atrophie dans
ution chétive du fémur et du bassin est un fait cons- tant dans les
observations
de défaut congénital du tibia [39otta (94)]. Il
s l'interprétation. Maints tératologistes pensent que même dans les
observations
d'absence totale du tibia (1), l'os a existé da
d'une dyscrasie spéciale qui n'existe certainement t pas dans notre
observation
. L'hypothèse de Billroth (68) des fractures int
n os avant la naissance. D'autre part dans le plus grand nombre des
observations
, il n'y a pas eu d'accidents traumatiques penda
ents plus ou moins complets des divers segments. Nous connaissons l'
observation
d'Ehrlich (71) qui dans un cas d'absence partie
eux conséquences d'un procédé pathogénique unique. La fréquence des
observations
avec absence partielle d'un côté, associée à l'
TALE DES MEMBRES ' 577 portance des altérations amniotiques. Dans l'
observation
cl'Horrochs (i3; il y avait une contemporaine a
plus grand nombre de faits qui plaident en sa faveur. Dans notre
observation
nous n'observons pas de cicatrices sur la peau
rmation des doigts surnuméraires du côté irrité. Vraiment, dans les
observations
d'absence totale ou partielle des os de la jamb
néal [Nélaton (87)]. Lannois et IÚtss dans leur statis- tique de 40
observations
d'absence congénitale du tibia, ont observé 10 ca
t observé 10 cas d'ectrodactylie et six cas de polydactylie. Sur 76
observations
d'agénésie du péroné recueillies par Busachi et
taldo (88), 37 présentaient l'ab- sence de quelque doigt. Ce fait d'
observation
, à savoir que dans les cir- constances de même
ique et de l'oligamnios qui l'accompagne toujours. L'étude de mon
observation
, qui présente unies à la syndactylie et à la po
mes tératologiques. Nous pouvons ob- server avant tout que dans les
observations
d'absence congénitale du tibia les parents étai
tiologiques produise parfois les mêmes effets. Car, s'il existe des
observations
de transmission similaire, dans le plus grand n
servations de transmission similaire, dans le plus grand nombre des
observations
on peut noter dans les fils la reproduction de
den- tique à celle du progéniteur [Polaillon (90)]. A ce propos l'
observation
de Nylander (91) est très démonstrative. Il a p
ogénie de ces anomalies congénitales. Il est cer- tain que dans les
observations
de difformités tératologiques des mem- 582 VALO
elles agissent. Cela ne diminue pas l'intérêt scientifique de notre
observation
à la quelle il me semble difficile de nier l'in
TÉMATIQUE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE, PAR G. CATOLA de Florence.
Observation
. Marc, 38 ans. Les antécédents héréditaires du
question encore à l'élude.. Graves (1) a rapporté, d'après Cooke, l'
observation
d'un officier qui, en 9 79, vit se développer u
'arrêter et rester stationnaire. Niepce (2) a publié l'intéressante
observation
d'un médecin qui s'était traité par les moyens
vec au- topsie, sur une communication orale de Fournier et sur deux
observations
qu'il avait recueillies antérieurement pour Vul
nthique d'origine syphilitique non douteuse. Pendant qu'il était en
observation
il accusa assez brusquement des douleurs dans l
recueillir le plus grand nombre des cas. M. A. Léri se base sur six
observations
personnelles dont deux avec autopsie. On voit e
ouveau cas très typique qu'il m'a été donné d'observer récemment.
Observation
. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'or
se basant sur les résultats anatomo-pathologiques et surtout sur l'
observation
de Raymond où il s'agissait d'une méningo-myélite
laires. Léri dit avoir trouvé dans la lit- térature une trentaine d'
observations
: il n'est pas douteux que ce chiffre ATROPHIE
intra-utérine, c'est-à-dire dès le début même de la méningite. Les
observations
cliniques nous appren- nent, en effet, que dans
céphalie. J'ai retrouvé une indication du même ordre dans l'une des
observations
que M. Paul Bar a bien voulu me communiquer; da
bservations que M. Paul Bar a bien voulu me communiquer; dans cette
observation
, il est noté que l' « enfant remuait beaucoup,
être perceptibles. Il n'y a donc là rien de contradictoire avec les
observations
positives précédentes. Au surplus, les phé- nom
ux contractions musculaires tout leur effort utile. Sur le crâne, l'
observation
la plus superficielle fait reconnaître l'hémicéph
ventualité de luxations ou de déviations. Jules Guérin rapporte une
observation
de luxation du maxillaire inférieur qui est tout
de la méningite foetale. Or, d'a- près la très grande majorité des
observations
, la déviation du pied se fait en dedans. Il sem
bel exemple.des absurdités où peut conduire la transformation d'une
observation
juste en une idée préconçue généralisée sans crit
possibles aussi dans les hôpitaux d'adultes, ainsi qu'en témoigne l'
observation
suivante que nous avons recueilli l'an dernier
que nous avons recueilli l'an dernier dans notre service de Tenon,
observation
dans laquelle les malfor- mations remontaient à
remarquer tout autant par leur multiplicité que par leur volume.
OBSERVATION
Exostoses datant de l'enfance, remarquables par
inspec- tion nous permet en effet de reconnaître le malade, dont l'
observation
, publiée par E. Albert-Weil (3), avait été util
nous avons pour notre part suffi- samment insisté. « Comme dans les
observations
antérieures, les exostoses siégeaient, chez not
métrie en sont des caractères constants ». Multiples déjà sont les
observations
où le nombre des exostoses était (1) A. Pic, No
je me décide néanmoins, vu l'intérêt, la rareté, la singularité des
observations
, à publier quelques cas d'exostoses ostéogéni-
un processus d'exostose endo-crânienne. Après A. Cooper, quelques
observations
similaires furent publiées ; l'affection conser
ologie de l'af- fection, toutes deux étant matière à controverse.
Observation
1 (PI. LXXIII et LXXIV). R... Joseph, 25 ans, f
voit près du bord interne du tiers supérieur de l'humérus gauche.
Observation
II (PL. LXXII). F... Raphaël, frère du précéden
en un point symétrique,sous le condyle in- terne de tibia gauche.
Observation
III (PL. LXXII). S... Antoine de Mare, 39 ans.
NT ,SlI1101111t1 . EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES DE DÉVELOPPEMENT 639
Observation
IV (Pl. LXXII). S... Esthérine d'Antoine, fille
oite. La 32e, grosse comme une noisette, sur le corps du même os.
Observation
V (PI. LXXII). S... Aldina, soeur de la précéde
u cubit gauche. Toutes deux ont atteint le volume d'une noisette.
Observation
VI. S... Rino, frère de la précédente, 2 ans et
sez précocement ; il est vif et montre une intelligence éveillée.
Observation
VII. lli... Alphonsine, épouse de feu Gaétan, 3
, se trouve sur l'épine du scapulum homonyme à son tiers interne.
Observation
VIII. S... R., fils de la précédente, 11 ans.
Pl. LXXIII EXOSTOSES OSTEOGENIQUES DE DEVELOPPEMENT (Simonini).
Observation
I. F. Giuseppe. Masson & Ci-, Editeurs NO
cutable dans deux des trois familles qui m'ont fourni le matériel d'
observation
. Du reste, tous les auteurs sont d'accord pour
tous les signes d'une pression exagérée. C'est sans doute de cette
observation
que la nôtre se rapproche le plus. César L...
ême de pareils cas nous justifie am- plement. - z En effet sauf l'
observation
de Pichler nous n'avons rien trouvé de pa- reil
c'est près de l'obstacle qu'en premier lieu il déborde. Dans notre
observation
c'est sans doute le 3e ventricule qui d'abord s
e de l'ophtalmoplégie congénitale est aujourd'hui bien fixé par des
observations
relativement nombreuses. L'origine héré- ditair
luche n'avait point de malformations. Le sixième est le malade de l'
observation
III. Le septième OPHTALMOPLÉGIE EXTERNE BILATÉR
uivie d'un accouchement à terme, d'une fille qui fait le sujet de l'
observation
IV. La malade donne dès l'abord l'impression d'
ement aplati dans le sens transversal comme celui de la malade de l'
observation
I mais à un degré sensiblement moindre. Exame
CONGÉNITALE ET HÉRÉDITAIRE 665 redite similairetératoloâique, notre
observation
met en lumière plusieurs points curieux. C'es
édents ou actuellement. Nous rappellerons de plus que l'enfant de l'
observation
IV est actuellement en pleine période secondair
est à remarquer que les paralysies oculai- res chez les malades des
observations
I et II s'accompagnent de formation crânienne p
euxième génération et il est encore moins marqué chez l'enfant de l'
observation
IV. On peut faire la même observation pour les
ins marqué chez l'enfant de l'observation IV. On peut faire la même
observation
pour les mouvements de latéralité, qui à peu pr
PAGNIEZ lésions qui déterminent une ophtalmoplégie. Aujourd'hui des
observations
, anatomiques qu'on trouvera réunies dans un trè
s'en tenir qu'aux arguments d'ordre clinique en ce qui concerne nos
observations
, le carac- tère nettement héréditaire, la bilat
AR F. RUDLER et A. RONDOT, Médecins du 11° régiment de Dragons.
Observation
. M..., 25 ans, brigadier-prévôt rengagé au 41e
vrier 1905), la disposition morphologique qui fait l'objet de cette
observation
. Description DE l'anomalie FONCTIONNELLE (PI. L
s semble, les différentes hypothèses à examiner. La lon- gueur de l'
observation
qui, pas à pas, souligne l'absence de tel ou tel
e genre, la déformation est beaucoup moins accentuée que dans notre
observation
. Nous avons interrogé et examiné des prévôts d'
'ils sont assis dans leur lit » (1). Tout, d'ailleurs, dans notre
observation
, élimine l'hypothèse de myo- pathie primitive p
ée au trapèze ou à une seule portion de ce muscle. Les détails de l'
observation
font justice de cette hypothèse contre laquelle
ms attachés à cette classification, comme un schéma provisoire. L'
observation
permet d'éliminer sans discussion l'idée d'une ab
s des foetus anencéphaliens seraient singulièrement réduites. Leurs
observations
portent sur trois cas seulement ; mais elles co
ite et l'autre rester relativement indemne, ainsi que le mon- tre l'
observation
de Viannay (2), malgré l'existence d'un placenta
pseudencéphales, soit à la fois chez l'un et chez l'autre. Diverses
observations
publiées par Edm. Four- nier sont probantes à c
Hilaire qui avait précisément tiré sa conception tératogénique de l'
observation
d'anen- céphales nés avec un placenta adhéreat.
s ou tels tissus. A cet égard, il n'est pas sans intérêt de citer l'
observation
publiée par B. Fleischer (2) relative à un foet
on consécutive à l'inflammation. -Nous avons signalé précédemment l'
observation
de Fleischer, de laquelle il ressort que l'ab-
sur la moelle que sur le bulbe et, jusqu'à plus ample informé, les
observations
de Bender et Léri (1) d'où il résulte que deux
pré- caire sans doute - mais une vie de quelques jours. D'après une
observation
très ancienne citée par Breschet (1), Hull aura
éphales. Bulletin de la Faculté de médecine, 1817. B1 : LHOMME. -
Observation
d'ectrogénie asymétrique. Bulletin de la Société
e principal fait occa- 700 ! RABAUD sionnel de la monstruosité et
observations
nouvelles à l'appui de cette théorie. Ar- chive
ten- tion et qui jusqu'à ce jour avait échappé, croyons-nous, à l'
observation
des médecins français. Ce trouble fonctionnel,
ter M. Charcot. Voici, dans ses détails, le fait dont il s'agit :
OBSERVATION
. - M. S..., né au Caire, d'une famille juive ét
professeur Charcot, qui, en nous confiant le soin de prendre cette
observation
, nous a indiqué un article de Seeligmùller sur
rnhardt, (Arch. v. VzcIaoZU, t. LXXV, p. 515) a publié une nouvelle
observation
très analogue a la notre : Etudiant en droit
(Bivisla ;sherinz. di freniatria, 1881, t. VIII, p. 301) a publié l'
observation
SPASME MUSCULAIRE. 15 suivante : garçon de qu
31 cent. Un faisceau musculaire du biceps fémoral, enlevé pour l'
observation
microscopique, a montré des fibres musculaires
'est encore à Pétrone que nous empruntons une ra- pide aualye d'une
observation
publiée par Peters dans la Deirtsclae ozilit. A
avait pas d'hypertrophie musculaire. Nous arrivons maintenant à l'
observation
du Dr Thom- sen ; logiquement nous aurions dû l
entionner qu'en dernier lieu, parce qu'elle est comme un résumé des
observations
précédentes et qu'elle contient des documents p
membres de cette famille, ce sont ceux que nous avons vus dans les
observations
précédentes : rai- deurs des muscles des extrém
aintenant un coup d'oeil d'ensemble sur les faits contenus dans les
observations
que nous venons de rapporter, il nous semble qu
oint de vue de étiologie, notons l'influence de Y hérédité. Après l'
observation
si instruc- tive de Thomsen. nous la retrouvons
t en résulter, renvoyant aux détails qui ont été rapportés dans les
observations
citées plus haut. Ces raideurs siègent non se
. Il est un autre signe que nous trouvons rapporté dans plusieurs
observations
: V hypertrophie des muscles. Il en est fait me
de mollet). Leyden, qui n'est pas prévenu sur ce sujet, puisque son
observation
est 20 CLINIQUE NERVEUSE. une des premières s
ure. Mais le fait capital, celui que nous retrouvons dans les trois
observations
de Seelig- inüller, dans celle de Bernhardt et
moins dans le cas que nous avons exami- né ; mais, en présence des
observations
de Seeligmùl- ler et de Bernhardt, qui prétende
fection. Quant à la dénomination sous laquelle ont été publiées les
observations
de Thomsen et de Erb : Spasmes toniques dans le
ît la valeur de l'épreuve dernière. , On verra, par le détail des
observations
, que j'ai mis à la fois en oeuvre toutes les au
as l'accès est subit, c'est le vertige de Ménière apoplectiforme.
Observation
I. H..., trente-cinq ans; bonne santé, pha- ryn
bservateur; mais il ne se produit ni bour- donnement, ni vertige.
Observation
II (résumée). H..., cinquante-deux ans. Le 10 d
e par la voie crânienne. DU 1'R'rlfl : D>J \I>;\IECt.);. 29
Observation
III (résumée). - Dame, ménopause; bronchite art
parition des règles après trois mois de suspension des menstrues.
Observation
IV (résumée). Dame, cinquante-cinq ans ; abcès
ppuration : la perforation per- siste. Le vertige n'a pas reparu.
OBSERVATION
V (résumée). Dame, cinquante-neuf ans. Vertiges
al au premier choc. Montre non perçue ni par les os ni par l'air.
Observation
VI (résumée). Pharyngite chronique ; obs- truct
e osseuse, et montre l'étrier isolé, seul, en place ? 2 Voici une
observation
où l'on trouve que le vertige a existé spontané
ir de la poire à insuffler. (Obs. VII.) DU VERTIGE DE MÉNIÈRH. 31
Observation
VII (résumée). H..., otorrfiée dans la jeu- nes
rinthe, qui se trouve à la merci du moindre trouble circulatoire.
Observation
VIII (résumée). IL ? coiffeur, quarante- neuf a
'oreille gauche, mais moins clairement qu'à droite cependant. Cette
observation
VIII, si intéressante à tous égards, nous montr
it bien minime entre l'aspect du tympan au début et à la fin de l'
observation
. Pour le diagnostic et le pronostic, les épreuv
s épreuves par les pressions ont une supériorité in- contestable.
Observation
IX (résumée).- Pharyngite rhumatismale à ré- pé
ason frontal, sans choc, sans vertige. On suit également dans cette
observation
l'évolution du signe qui se modifie suivant la
nfluence de l'émotion causée par des bruits violents ou agaçants. L'
observation
suivante en est un type : « Le vertige n'arrive
e, dit la malade, que s'il est pro- voqué par le bruit. (Obs. X.)
OBSERVATION
X (résumée). Dame; période de la méno- pause ;
il y a extinction nette du son pour l'observateur. Le malade de l'
observation
5,905 du registre sentait aussi son vertige red
me de la dame de ^'observation 5,843 ter...; de même du malade de l'
observation
5,941, et que je ne puis qu'indiquer. Une sen
ns les en- droits chauds (spectacles, fourneaux, etc.). Exemple :
Observation
XI (résumée). Pharyngite chronique ; vieilles o
de chaleur agit de même; de même, les fluxions de la ménopause. L'
observation
suivante [montre avec quelle délica- tsese, au
s à l'organe de l'audition, on peut l'explorer, les conditions de l'
observation
DU VERTIGE DE MENIÉRE. 35 objective étant cep
malade, et je fus consulté mal- gré l'excellence de son audition.
Observation
XII. Demoiselle, seize ans.bienréglée; sujette
se passagère terminée, les intermittences sont revenues normales.
Observation
XIII. Homme, trente ans ; sec, brun, maigre, en
ésions des fenêtres ou de l'étrier. DU VERTIGE DE MINIÈRE. 39 L'
observation
suivante est démonstrative à ce point de vue :
39 L'observation suivante est démonstrative à ce point de vue :
Observation
XIV (résumée). Choc d'une balle à jouer sur l'o
x-là j'en ai réuni trente-quatre. Je rapporterai d'abord les quatre
observations
aux- quelles je viens de faire allusion. Obse
les quatre observations aux- quelles je viens de faire allusion.
Observation
IV. Alcoolisme des parents. Ménopause. Ily,poch
elle était guérie, guérison qui s'est maintenue jusqu'à ce jour.
Observation
V. C7</o ? 'ose. Mère hystérique, père suicidé
est chlorotiqtic et sujette à de très abondantes pertes blanches.
Observation
VI. Pas d'hérédité au dire de la malade. -~ Mén
t suffi à rétablir l'équilibre cérébral, du moins pour le moment.
Observation
VII. Hérédité paternelle. Ménopause. Impulsion,
aladie. En dehors de la paralysie générale et de l'épilepsie, mes
observations
prouveraient que la conscience peut être un élé
trerait de pré- férence à la demi-conscience et cela, d'après mes
observations
, dans la proportion de 24 p. 10, soit 70 p. 100
de conceptions délirantes systématisées. Les indigents, dans mes
observations
, ne fournissent de contingent qu'au délire géné
psie confirma pleinement cette prévision. 52 RECUEIL DE FAITES.
OBSERVATION
.Pe)'<e de la mémoire, troubles de la parole, a
ont d'ailleurs été rencontrés en maintes cir- constances. Trois des
observations
publiées dans le mémoire de CAS DE SCLEROSE EN
mple de cette associa- tion symptomatique. 58 RECUEIL DE FAITS.
Observation
. Troubles visuels « forme hémiunopsiquc, revenant
fréquente chez les personnes qui ne sont pas habituées à ce genre d'
observation
. Le trouble visuel a duré un quart d'heure envi
de la localisation, a considéré nos réserves comme justifiées. Les
observations
publiées depuis ne sont pas plus probantes. D'a
des fibres nerveuses pouvait remonter jusque dans le cerveau ; les
observations
de M. Pitres ont été négatives, et nous n'avons
he studien an verbrecher-gehinentn, (Wiens 1879.) 1 Hanot. Quatre
observations
de dédoublement de la deuxième cir- convolution
ns très importantes. Le fait suivant nous a paru digne d'intérêt.
Observation
. Atuxlyuc; excitation génitale; lesbisme; Anoma-
13. S 0 F. Scissure occipitale externe. REVUE CRITIQUE NOTES ET
OBSERVATIONS
POUR SERVIR A L'HISTOIRE DE L'IIYSTÉRO-ÉPILEPSI
rande attaque d'llystéro-épilopsie ou hysteria major, de nombreuses
observations
sont venues de tous côtés confirmer la descript
un important travail dans lequel nous avons pu réunir vingt-deux
observations
inédites, toutes prises en dehors de l'hospice de
s que les hommes ; mais ces derniers n'en sont pas exempts. « Les
observations
de M. Drzewiecki sont d'autant plus inté- ressa
exemple d'hystéro-épilepsie ou grande hystérie, une intéres- sante
observation
qui offre avec les cas que nous avons sous nos
ugmenté la pression au lieu de la suspendre. » Dans la suite de l'
observation
, l'hcmiancsthésie signalée du côté gauche vient
che vient compléter le tableau. DE l'hystéro-épilepsie. 75 B. Les
observations
que rapporte le Dr Hamilton au chapitre hystéro
hystérique, qu'au point de vue de la régu- larité du type décrit. L'
observation
If", la plus intéressante, se rapporte à un cas
ou quatre jours d'un peu d'hémianes- thésie du côté droit. Dans l'
observation
n° II, les signes manquentpour rattacher les at
e, telle que l'ont décrite les auteurs français. D'ailleurs cette
observation
est assez importante pour que nous la donnions
itent le secours de plusieurs aides pour la maintenir sur le lit. L'
observation
est accompagnée d'une figure qui représente la
OGIE NERVEUSE. du ganglion sphéno-palatin dans l'olfaction; telle l'
observation
recueillie par lui en 1868 d'anesthésie complèt
311\S1VA1\GER. (/1C ? f. Psych. il. ll'cnuctl ? TI. 3.) Les trois
observations
recueillies par l'auteur le mènent à cette conc
ennent exclusivement aux zones mo- trices. En voici le sommaire :
Observation
L-Il s'agit d'un gliome à petites cellules occu-
e interne et de la moelle : absence de dégénérescence secondaire.
Observation
II. Généralisation d'un cancer médullaire à gra
ngée, du faisceau pyra- midal. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 97
Observation
III. - Foyer de ramollissement au point de réun
s tandis qu'en revanche l'aphasie constatée dans les deux dernières
observations
témoigne de l'action conductrice des faisceaux
, entre les cordons postérieurs. Au point de vue topographique, ces
observations
répondent aux cas que l'on a décrits sous le no
fisent pas à empêcher une stase croissante. Voici les principales
observations
de l'auteur : Les cavernes siègent dans la régi
processus atrophiques). L'auteur termine enfin par la critique des
observations
de guérison du tabes publiées par Schüssler (Ce
OL1. (lrClc. f. Psych. te. Nervènk ; XI, 3.) Voici le résumé de l'
observation
: Chute grave d'une hauteur de trois étages sur
at mental des enfants et s'engage à développer lui-même plusieurs
observations
de sa propre pratique. De la médication par l'a
ttirer quelques conseils. M. Magnan. D'après les détails de cette
observation
, il paraît évi- dent que la guérison n'a jamais
tion à l'étude de la myélite centrale, par M. PUTNAM. Le sujet de l'
observation
était une femme de vingt-deux ans entrée à l'hô
ce héréditaire. L'auteur cherche d'abord à démontrer que toutes les
observations
publiées sur ce point d'é- tiologie par Friedrc
myélite arsenicale, par AI. Seguin. Ce tra- vail est basé sur trois
observations
où les malades ayant pris du vert de Paris, on
ent était peut-être produit par le cuivre, et il cite à l'appui une
observation
d'empoisonnement par le sulfate de cuivre ammon
les cas récents ; à l'appui de cette opinion le Dr Weber cite sept
observations
dont une surtout semble intéressante, carie début
sur les tumeurs cérébrales, par M. Mills. Ce travail contient douze
observations
et étudie surtout la question du dia- gnostic.
riode, à une inflammation du nerf optique. M. Rockwell rapporte une
observation
où, pendant la vie, tous les symptômes des tume
puis est venue celle de Hammond dont le malade est le sujet de l'
observation
publiée antérieurement dans le Traité des mala-
iSte Ollivier, de Paris, et Mierzejewski, membres correspondants.
Observation
de myélite des cornes grises (paralysie spinale),
de dormir invincible. Mais il ignore quelle a été la terminaison.
Observation
de cancer vertébral avec paraplégie, par M. Segui
fait de la psychiatrie ses plus chères études. Outre les nombreuses
observations
qui, recueillies par lui tant dans son service
s dans les hauts établissements d'instruction. S'appuyant sur trois
observations
d'aliénation mentale développée chez de jeunes
sous la direction de M. Bourneville. Il contient un grand nombre d'
observations
, la plupart inédites et très com- plètes ; à ch
d'observations, la plupart inédites et très com- plètes ; à chaque
observation
est annexé un tableau dans lequel est relevé, m
ydrothérapiques du service de M. Bourneville, M. Bricon rapporte 54
observations
d'épileptiques, enfants ou adultes, parmi eux 45
s signalerons ici un historique infères- * sant contenant plusieurs
observations
curieuses empruntées au rapport lu, en 1780, pa
re, et doivent, en consé- quence, être placées dans les quartiers d'
observation
, séparés des autres parties de l'établissement.
l'établissement qui con- firmera ou rectifiera, s'il y a lieu, les
observations
contenues dans VARIA. 1 33 le certificat de v
les appose- ront sur le registre leur visa, leur signature et leurs
observations
s'il y a lieu. Art. 18. -Toute personne placé
le destiné à les recevoir. Jamais ils ne pourront être conservés en
observation
dans un établissement qui n'est pas spécialement
YSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces travaux a été dans l'
observation
clinique. En 1858, la paralysie conjuguée latér
, soupçonna que la lésion devait sié- ger dans la protubérance. Une
observation
avec autop- sie de M. Féréol, bientôt suivie de
ce. Outre ceux qui ont été publiés à l'étranger, je signalerai deux
observations
récentes, avec autopsie, recueillies à Lyon, l'
ue j'aurai l'occasion de rappeler en les rapprochant de mes propres
observations
. Les' mouvements associés des yeux sont de plus
fiés dans les paralysies musculaires. Je les signalerai dans les
observations
sans trop y insister, désirant surtout montrer
e. 152 CLINIQUE NERVEUSE. A. Mouvements parallèles horizontaux.
Observation
I. - Paralysie conjuguée latérale gauche. Parésie
10 août. L'au- topsie n'a pu être faite. Je signalerai dans cette
observation
les particularités suivantes : pendant plusieur
lésion cérébrale, tandis que l'hémiplégie occupe le côté opposé. L'
observation
que je viens de rapporter fait exception à cett
u du côté de la déviation des yeux et du côté opposé à la lésion.
Observation
II. Paralysie conjuguée congénitale droite. Nys
prononcé, qui rend la fixation impossible dans aucune direction.
Observation
III. Sclérose en plaques. Paralysie conjuguée l
t rare que la lésion soit aussi pro- noncée que chez la malade de l'
observation
précédente.. Elles passent d'autant plus facile
s la retrouvons non seulement dans l'Observa- tion 111, mais dans l'
Observation
II, où la paralysie conjuguée et le nystagmus s
es exis- tent dans la direction opposée du regard, comme dans les
Observations
II et 111, elles sont plus siginificatives. Enf
r la para- lysie conjuguée. B. Mouvements parallèles verticaux.
Observation
IV. Paralysie de l'élévation et de l'abaissement
joints à l'usage de l'iodure de potassium. Je relèverai dans cette
observation
les particularités suivantes : La polyurie reve
sion bulbo-protubérantielle. Nous avons retrouvé ce symptôme dans l'
Observation
I, où la lésion occupait manifestement ce siège
ence) sur lesquels 11111T. Duval, Laborde et Graux ont insisté. L'
observation
suivante nous offre le même type de paralysie m
tion suivante nous offre le même type de paralysie moins complet.
Observation
V. Paralysie du mouvement de convergence et d'é
ire. Nous avons signalé des troubles analogues des membres dans les
Observations
I et IV. Si nous rapprochons des deux faits pré
ations I et IV. Si nous rapprochons des deux faits précédents une
observation
de Priestl6î Schmidt (loco citato), nous aurons
t l'effort accommodatif se pro- duisent d'une manière synergique. L'
observation
pré- cédente nous montre cette double action ab
ressivement et lorsqu'elle est ancienne. C'est ce qui a lieu dans l'
observation
suivante. Observation VII. Sclérose en plaques.
le est ancienne. C'est ce qui a lieu dans l'observation suivante.
Observation
VII. Sclérose en plaques. Paralysie du mouvemen
on porte la bougie, dans le sens du mouvement qui est intéressé.
OBSERVATION
VIII. M. Tenth., cinquante-huit ans. Depuis deu
e cinq mois, sans que les résultats soient sensiblement modifiés.
Observation
IX. -i4lm° Pied..., cinquante ans. Pas de syphi
es égales réagissent faiblement par la lumière et la convergence.
Observation
X. M"0 Woid..., vingt-trois ans, atteinte de sc
mise, ainsi que j'ai pu m'en convaincre en consul- tant d'anciennes
observations
. Dans la paralysie conjuguée latérale, double e
accident se produire dans l'otite traumatique décrite plus haut.
Observation
XV. H..., trente-quatre ans, ouvrier en ins- tr
e, dit-il, dans l'oreille ; et aussitôt soulagement dans la tète.
Observation
XVI (résumée).-Dame 1..., trente-sept ans, amai
tres ovale et ronde sont phénomènes solidaires. Dans ces diverses
observations
qui montrent la paroi labyrinthique à nu, et da
ânienne n'existait plus, et la fenêtre ronde était in- trouvable.
Observation
XVII (résumée). H..., quarante ans, vertige sub
résultat expérimental récent, à ceux qu'on a obtenus au début de l'
observation
du malade, alors que la moindre poussée d'air p
aussi l'absolue disparition de l'ouïe, ce phénomène concomitant.
OBSERVATION
XVIII (résumée). H..., instituteur, surdité ext
s et raideur scléreuse des fenêtres. DU VERTIGE DE MÉNIHRN. 181 I
Observation
XIX. Dame X..., vingt ans, scrofuleuse, taies s
byrin- thique naissent à chaque poussée et font cesser l'épreuve.
Observation
XX. H..., cinquante-trois ans, à la suite d'un
lus sûre, et son rôle mieux précisé. On a pu voir signalés dans les
observations
, trois élé- ments anatomo-pathologiques dont la
ale et ronde, et de la base de l'étrier dans la grande majorité des
observations
. Dans quelques-uns de ces cas, unehyperesthésie
En défalquant les cinquante-trois cas de vertige des cent vingt-six
observations
où les épreuves des pressions ont été employées
as de vertige, celles qu'on a pu constater par les mêmes moyens d'
observation
, alors que cet élément symptomatique faisait dé
existe à la vérité, dans la science, un nombre déjà considérable d'
observations
isolées, de documents épars, dont plusieurs ont
recueillir dans le courant de l'année dernière un certain, nombre d'
observations
de névrites périphériques non traumatiques, nou
fastidieuses, nous indiquerons, avant de donner les détails de nos
observations
, les différents types d'altération des tubes ne
dans les cas de névrite dont nous allons main- tenant rapporter les
observations
. II Observation I. Hémiplégie gauche. Eschare
te dont nous allons main- tenant rapporter les observations. II
Observation
I. Hémiplégie gauche. Eschare fessière gauche a
au voisinage des eschares n'ont pas été examinés. Réflexions. Cette
observation
est intéressante à divers points de vue. Elle
occipitaux, puisque ces lobes étaient intacts chez notre malade.
Observation
II. Hémiplégie gauche. Eschare fessiers gauche
pas été examinés. Réflexions. Mêmes remarques à faire que pour l'
observation
précédente. Des altérations des nerfs cu- tanés
tement atrophiées après 31 jours. Ou peut encore noter dans cette
observation
l'inté- grité des lobes occipitaux malgré le dé
es lobes occipitaux malgré le développement d'une eschare rapide.
Observation
III. Fracture du crâne; épanchement sanguin abo
continue et à seg- ments courts. Réflexions. Tandis que dans les
observations
précédentes, il s'agissait de névritesàmarche s
également les provoquer. Il convient de signaler encore dans cette
observation
cette particularité intéressante, à savoir qu'u
ux fesses simultanément et à peu près avec la même intensité '. »
Observation
IV. - Zona double occupant le sixième et le onz
ains. RÉFLEXIONS. - Il existe dans la science un certain nombre d'
observations
de zona dans lesquelles on a trouvé à l'autopsi
vé à l'autopsie des altérations nerveuses périphé- riques. Mais ces
observations
sont loin d'être précises, complètes et concord
iorrhagique ; par M. Philippe REY, interne à l'asile Sainte-Anne.
Observation
. Homme 2 1 ans ; antécédents inconnus ; affai-
lication que l'autopsie nous a révélée. REVUE CRITIQUE NOTES ET
OBSERVATIONS
POUR SERVIR A L'HISTOIRE DE L'HI'S'fLRO-1 : 1'1
IIE11. III. L'lastéo-épilepsie en province. J'ai déjà publié°-une
observation
fort remarquable de grande hystérie développée
failles(Seine-et-Oise), a été adressée depuis à M. Charcotune autre
observation
de grande hystérie non moins remarquable et que
pas ici, me réservant de revenir ailleurs sur cette si intéressante
observation
. Observation du Dr Luu·enl-1'uitcort, de Chauff
ervant de revenir ailleurs sur cette si intéressante observation.
Observation
du Dr Luu·enl-1'uitcort, de Chauffâmes.Ju ! ia B.
outes les trois ou quatre semaines, pour aborder la partie de cette
observation
qui nous intéresse plus particulièrement.) Vers
ntaires pour faire ressortir les analogies qui existent entre cette
observation
et .revue DE PHYSIOLOGIE. 231 cellesquel'on p
continuité, la fonction avait reparu, bien qu'imparfaitement. Cette
observation
rappelle l'expérience de Paul Bert relative à l
étour qu'elles faisaient par le brachial cutané interne. De cette
observation
ressort ce fait remarquable, que le lieu anatom
mptômes indépendants de tout état coma- teux, l'auteur rapporte une
observation
qu'on peut ainsi résumer. Femme'de 46 ans, depu
comba brusquement. pendant que sa garde le levait ; la lecture de l'
observation
fait constater que, cinq mois auparavant, les m
isparu également, mais sans l'emploi des courants. Ciurpentier. XX.
Observation
d'un cas d'hémiplégie avec intégrité des MOUYE-
emeure plus faible que les autres doigts. Ce fait vient 1 l'appui d'
observations
analogues du professeu Lépine qui croit à l'ind
nantes, et s'accompagne constamment de méningite. Voici résumée l'
observation
qui sert de base à ce travail : Après une chute
ons sollicitant la malade à se jeter par la fenêtre. Dans plusieurs
observations
, aliénation mentale avec hallucinations de la v
t des hallucinations du sens de l'odorat (voir la très intéressante
observation
de M. Biaise dans nos Archives, vol. ni, n«$7 7
\Ill0\D et Brodeur. [Revue de Méde- cine, 1 û ? , n° 7). De trois
observations
, l'une de ramollissement, les deux autres d'lié
parole. Contrairement aux conclusions de ce mémoire, cette dernière
observation
et la seconde portent que les traits étaient dé
Q. (Reuuc de llédeeine, 1853, n 6.) Dans ce long travail, riche d'
observations
et de citations exactes, l'auteur a voulu montr
. Foville de l'appui qu'il apporte à la thèse que je soutiens : ses
observations
prouvent implicitement qu'il reconnaît connue m
le ruban de Reil, et les pédoncules cérébelleux supérieurs. Deux
observations
servent de base à la communication de M. FÙRSTN
e et des percep- tions sensorielles, et des conceptions. La seconde
observation
vient à l'appui de celte conclusion. Elle conce
système renferme des fibres en rapport avec le sciatique. Dans une
observation
d'atrophie complète de la moelle cervicale infé
la question de la latence de la syphilis. Il rapporte à ce propos l'
observation
d'un homme ayant eu la syphilis vingt-cinq ans
ports des excès alcooliques avec la paralysie générale provoque les
observations
de M. Grurr. Les faits qu'il a recueillis l'ent
ne la mit en liberté, bien que guérie, qu'après plusieurs années d'
observation
; et encore ne la rendit-on à sa famille qu'aprè
; et encore ne la rendit-on à sa famille qu'après l'avoir placée en
observation
continue dans un milieu étranger. Bien des anné
les familles qui puissent t consacrer leur temps au traitement, à l'
observation
, au bien-être des aliénés et qui soient en mesu
ionalités y sont admis ; 2° Ces mémoires doivent être basés sur des
observations
originales et sur des expériences faites sur l'
géométriquement circons- crits, il n'en est' pas''moins'vrai que l'
observation
anatomo-clinique ,vient, de, jour en jour vérif
e nécropsie, sont précieux à re- cueillir et à analyser. Les deux
observations
fondamentales qui font l'objet de cette note, o
e des lésions constatées à l'autopsie, rappellent les nôtres. 7 .
Observation
I.-11102101)légiC du membre aü fére'etc' gauclze.
relever accessoirement et en passant l'une destparticularités de l'
observation
, qui mérite de fixer l'attention. Il s'agit de
uestion. Mais 1 on nous permettra de remarquer que les détails de l'
observation
qui précède viennent à l'appui de, l'opinion fo
et R. Tripier-. v et, - ·ry, (J ·1'r 1 rr i 1r ' 1 1 ' La deuxième
observation
qui, -comme on va le voir, est calquée sur la p
;$<* ..it''41r v.t'ino -ih - ef) )t.lt> itil 1, -1 Il vil ' .
Observation
11. Monpplégie^ du membre-inférieur gauche. l : ,
u poing, dans le ligament large droit. , ., ;t M i . r . -li. ? ,
Observation
III. Monoplégie gauche, puis hémiplégie du même
a pas@de lésions'méningitiques. ' , ' . J -'17, Jl» <'l r i' 1
Observation
IV. Ce quatrième fait a, été communiqué à la So
i- * '««1 rnin4ul s'fiiu . )19trq 41 ! «* bioiu t- mf un ^f . P Les
observations
qui- précècleiit"p-rés'etntënt'e'ntreelle ? ' ,
, , r.t 'U J. w7 w ? '" J . ' une loi rigoureusement conforme aux
observations
, . p.. Oui'. j ^. j-* -i - ' ' la proposition
ES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 287 droit ! ' a relaté, une i
observation
qui, bien' ! qùé"non 'suivie" d'autopsie1,'1 n'
78), Ferrier (Baiii, 1880), dont nous devons rapprocher l'une des
observations
de Loelïler (Loc. cil.) : Il est question dans
ée quelques jours après dans la Gazette médicale, une très curieuse
observation
due à \1\I. Baynoml et Dérignae. Il s'agit dans
d'une .certaine défiance.l ? ";tl i. il - tilt t#l 4' t,DanS(].es
observations
, relativement anciennes de Boerensprung et de M
' que celle des ganglions -rachidiens : A ce point de vuespéeial, l'
observation
^ que nous ve- nons de rapporter présente un cer
.i Jaa 1193 tnii'J - (l9ÿjdvt p.) 91·i3.t. ? '1 ? % uw 1 '`· -t.i
Observation
V ? eMCoevMe ? ? ;ie, aHMMps<e </o ! </O
i , z '')'< ? a' ni MM t..tJt'th-i)-/) ? ttr( îr 0 ? 1'))...))
OBSERVATioN
.yi.t ? jd/a.y/e peo;Ho ? eeM'oyt'eM6 ? 6SWp ? ? !
gements de température, ni par le retour, dosrègles : -Presquc ',
Observation
communiquée par l'un de nous 1 la Société d'anato
nt'aux car'actèresferaux1 val- riations dulréllexe'rotulien; cette'
observation
clinique1 a par elle-même peii'd'intérèt.>lI
y )m' ? ;)))'). f. ^ ii.ii;i'iu.«'- JUii ti uj A ".» - - > ..s ?
observations
contradictoires, furent r publiées s -1; te t i ?
" no ? ob 9bLIBlit ni 1JJJn·f·f·Jy loJ-iooqri J 9( sb snonav raun
Observation
? , j1 s'a«it d'uup fP 11t ylAe ,,âgée, de,, quar
-. ",Ce,ne,sont,point là les seules particularités que présente l'
observation
que nous .venons, de signaler : la paralysie faci
? y ? iriy,t ? REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVII. RECHERCHES ET
observations
SUR l'hystérie ET LE transfert ; par M. ROSENTH
scientifique des malades que M. Rosenthal a examinés. Il résume les
observations
et communications déjà publiées par lui, avec t
es nerfs vaso-moteurs du côté du corps stimulé. Il cite à l'appui l'
observation
de Déje- rine {Progrès médical, 1880, nO 41), c
- claow's Archiv, t. LXVIII) et expérimentale (Brown-Sequard) les
observations
de Dastre et Morat (Laborat. de Marey, IV, 1878
larienne (hyperémie avec oedème cérébro-spinal de Bergmann). En une
observation
de méningite chronique consécutive à une double
ch. d ol) li'th( 't'iiii 0 in'g · 1882, 110 5.) rappelle >les,
observations
de lartnes sau`lauteslrdli- portées jusqu'au tr
ation intracellulaire des noyaux. L'auteur confirme à cet égard les
observations
de Jolly et de Leyden. Dans deux cas de myélite
zc. psych. gerichtl. Medicin. XXXVIII, 1.) Basé sur deux séries d'
observations
, ce mémoire envisage : , 1° les néphrites englo
nciens. Jusqu'ici, l'auteur n'a pas 'd'autopsies. 'Il fournit une '
observation
détaillée à l'appui; en faisant remarquer en ce c
région dorsale et une petite éten- due de la région lombaire dans l'
observation
I (parésie et rigi- dité des extrémités supérie
rieures, malgré l'intégrité du segment cervical) ; bien que, dans l'
observation
II, les deux cordons de Türclc, le faisceau pyr
v. f. l'srll. ît. 11'crvenl ? \llf, f.) ,Io ° L'auteur relate une
observation
complète de paralysie générale ayant en oliti e
l'auteur inaugure son mémoire, pour.ne nous occuper que des trois
observations
qui en constituent l'essence. I. Un garçon de q
e nom de morbus Ilypnoticus. Il fournit à l'appui de sa thèse trois
observations
. La première, décrile sous le litre de : Morbus
n. - Les phénomènes généraux furent moins accentués dans la seconde
observation
intitulée : Morbus h2uzotie2rs avec aphasie. Il
s la dilatation pupillairo pendant l'état de sommeil dans ces trois
observations
. L'auteur résume dans les conclusions suivantes
'ESTrIIAL.I(.lrclv. f. Psych. M. vlerueulc ? aII, 3.) .. , Les deux
observations
publiées ont ceci de particulier que seule des
- raux dans la région-cervicaleet,tliôraique : , , ,,P. K. XVin :
Observations
DE démence paralytique A marche atypique, compl
s à la sensation sexuelle inverse ', dont il apporte deux nouvelles
observations
. La première ressemble à toutes celles publiées
1 1 , , 1 1 K l'titis I L'aliénation sympathique paraît dans cette,
observation
. sue- céder à une plaie sus-surcilière. De la c
" ' h ? l> Ir, , ? II.. t,f. · 1 ' Ce'sont les' résultats- d'une
observation
.de deux années à la prison de Fribourg. Cet éta
ns la;r4bion,lomloairç.,L`adescriptiônet l'âlia- lyse.des dix.neuf,
observations
,qui, forment la,base du travail confirme,én,som
éance du z février 1883. Présidente de M. Motet. Après un échange d'
observations
entre 11\f. Dar,r,r, Motet et LEGRAND du SAULLE
, et, suivant l'expression du malade qui a pris lui- même sa propre
observation
, il attend aujourd'hui sa trentième attaque. On
ionnaire de liasse. Mille idées surgissent ; faut- il se servir des
observations
antérieures ou non ? faut-il adopter les titres
à cette époque des documents nosographiques et statistiques que les
observations
recueillies d'ici là prépareront, en s'occupant s
dans les cas de psychopathie succédant aux blessures de la lêle. L'
observation
clinique permet seule d'établir des groupes. M.
ÉTÉS SAVANTES. L'orateur fait remarquer que si la prolongation de l'
observation
est indispensable pour la démonstration du succ
e l'opération chirurgicale, des médicaments et du régime. Quant aux
observations
en elles-mêmes, elles méritent l'attention des
oit corroboré, puisque l'amélioration ne date en définitive, pour l'
observation
première de M. Furstner, que du mois de mai, et
uées aux membres de la Société. Le président rappelle que semblable
observation
fut faite à la réunion de Munich, mais que MM.
oiARD. Des accès épileptiformes dans les affections de l'estomac. L'
observation
, par laquelle l'au Leur commence sa communication
er sur ces établissements les criminels aliénés on les soumet à une
observation
continue à la maison de correction de llillhanl
la rive gauche de la Tamise. 17 hommes peuvent y être maintenus en
observation
. Les dispositions ne dif- fèrent pas de celles
que l'on connaît être les meilleures pour assurer l'isolement et l'
observation
constante. Des salles communes peuvent être, da
uvent être, dans l'infirmerie, affectées aux malades tranquilles. L'
observation
dure de trois à six mois, pendant lesquels le mal
de M. L.run. M. Edel, sous le titre de : Cas 31e),Iozv, décrit une
observation
de démence sénile sur laquelle, de par des hall
rquer dans les derniers temps. M. Gock communique à l'assemblée une
observation
de : Corps étranger dans l'intestin chez un ali
du même genre, si- gnalés dans la bibliographie et notamment sur l'
observation
de van Andel (Zeitsch. f. Psych., 1866) et sur
ouve en tête de l'ouvrage et du sommaire analytique qui précède les
observations
aussi nombreuses qu'intéressantes suffit pour m
igée. Les deux cents premières pages sont consacrées, y compris les
observations
pour chaque cas particulier, à l'étude des caus
ont pu se trouver réunies sur un même sujet. Ici prennent place des
observations
intéressantes sur l'inter- diction, la séquestr
troisième degré comprend l'hystérie grave; ici sont consignées les
observations
toujours si intéressantes d'attaques de sommeil
n douter. Ce chapitre ne s'analyse pas; il contient soixante- seize
observations
détaillées, consacrées aux actes insolites, délic
opinion de l'auteur, c'est la multiplicité et le choix réfléchi des
observations
que contient l'ouvrage que nous venons d'essaye
années. Il n'a été publié jusqu'à présent qu'un très petit nombre d'
observations
sur ce sujet; aussi est-il permis de faire quel
aires cérébraux, foyers de ramollissement jaune). Il fournit neuf
observations
tendant à faire admettre une forme particulière
'autopsie, on constaterait les lésions ci-dessus mentionnées. Les
observations
à l'appui, -neuf observations, dont quatre sans
lésions ci-dessus mentionnées. Les observations à l'appui, -neuf
observations
, dont quatre sans autopsie (observations 3, 4,
ervations à l'appui, -neuf observations, dont quatre sans autopsie (
observations
3, 4, 'li, 6), et sur les cinq autres, trois (obs
la présence de lésions artérielles athé- romateuses ; mais les cinq
observations
, qui sont suivies d'autopsie, ', sontjahsolumen
rons brièvement l'étude cli- nique qui repose sur un grand nombre d'
observations
, dont une bonne partie sontpersonnelles à l'aut
stingue l'aura motrice, sensitive, sensorielle et intellectuelle. L'
observation
attentive de ce phénomène est des plus importan
e (Charcot et Bournc- ville) comme moyen adjuvant. Les nombreuses
observations
rapportées dansle coursde ce travail contribuen
emps l'usage du bracelet. Nussbaum ne donne pas, malheureusement, d'
observations
indi- Arciiives, t. V. 27 41S j BIBLIOGRAPHIE
us les cas, mais à un plus grand nombre qu'on ne l'a fait. Dans nos
observations
, dit-il, le goitre parait être primitif, les au
paraissent après l'intervention chirurgicale. Un bref relevé de ces
observations
montrera combien peu elles remplissent ces trois
cause de l'exci- tation du sujet. A chaque chapitre est annexée une
observation
à l'appui. « Enfin, dans le cours de sa thèse
perfection- nements sont étudiés dans un chapitre spécial. « Une
observation
complète et minutieuse d'un cas de délire aigu,
ations cérébrales du rhuma- tisme articulaire aigu. Il rapporte six
observations
dans lesquelles on trouve notés, à des degrés d
délire, et enfin du coma. Le malade qui fait l'objet de sa sixième
observation
fut même, durant sa convalescence, atteint de m
raphie, parésie et incoordina-. tion des membres inférieurs. Dans l'
observation
sui- vante, rapportée sans grands détails d'ail
de précision, ! L'aphasie est le symptôme le plus frappant dans une
observation
rapportée récemment par 11Z. Sorel', et c'est à
es pas appuyé sur une canne. Pour ne pas allonger inutilement cette
observation
, nous ajouterons seulement qu'au moment où le m
esquels la lésion cérébrale siège du côté opposé à l'oreillon, ou d'
observations
dans lesquelles on voit les troubles cérébraux
er la mort. Il nous semble aussi qu'un enseignement se dégage des
observations
que nous avons rapportées : chez le malade de J
rite en France, et nous ne croyons pas qu'il .en ait été publié d'
observation
, du moins dans les principaux recueils que nous
nt rapportés un cas qu'il a étudié personnelle- ment et deux autres
observations
analogues de v. Hasner et de Saundby; depuis ce
analogues de v. Hasner et de Saundby; depuis ce travail, d'autres
observations
ont été publiées par Thomsen, Remak, Saundby et
pu le penser tout d'abord; ajoutons que de l'analyse de toutes ces
observations
, eu égard à l'analogie vraiment frappante des s
d'étudier la malade dont nous publions ci-après l'ob- servation.
Observation
I (Personnelle) 11m° Marie Per..., vingt- six a
Vers l'âge de quinze ans, au moment de l'établissement des 1 Celte
observation
a été communiquée par nous au^Congrès de la So-
st dans tous les cas montrée sous un aspect toujours semblable. .
Observation
II (Résumée) '. Fille de six ans, dès l'âge de
paupière avait eu lieu, les douleurs dispa- raissaient aussitôt.
Observation
III, de von Hasner 1 (résumée).- Fille de dix-
de l'accommodation étaient encore peu modifiées le huitième jour.
Observation
IV, de R. Saundby (résumée). Fille de dix-neuf
du droit inférieur du sphincter de l'iris et du muscle ciliaire.
Observation
V, de Thomsen2 (résumée). Le malade, actuel- le
ov. 1884, d'après le compte rendu du Neurol. Cbl. 1884 no 23. Cette
observation
a croyons-nous été publiée dans les Chartté-.4m
ns. A la suite de la communication de Thomsen, Remak rapporta :
Observation
VI. Avoir soigné, il y a environ deux ans, un b
visuel de son malade. Il pense que Môbius a tort de considérer son
observation
comme un cas de tumeur, et qu'il est plus proba
rapprochée de la migraine. névralgie ET paralysie oculaire. 21
Observation
VII (résumée)'. Jeune négociant malade de- puis
é du bulbe oculaire avait un peu augmenté, surtout du côté nasal.
Observation
VIII. (R. Saundby). Un cas de migraine avec par
té dans cet hôpital pour une affection semblable ; sur le livre des
observations
on trouve qu'en novembre 83, il avait été admis
du fond de l'oeil. Saundby considère ce cas malgré les lacunes de l'
observation
(lacunes dues à ce qu'il n'a pu étudier le mala
la paralysie de la 3° paire dans la migraine mais sans citer aucune
observation
; Horner, d'autre part, a décrit une forme de pt
s l'orbiculaire des paupières. En somme, on le voit dans toutes ces
observations
1, on retrouve les mêmes symptômes se montrant
uant au rétrécissement du champ visuel, il n'est signalé que dans l'
observation
de Thomsen, peut-être n'a-t-il pas été exploré
ait une prédominance bien marquée pour un des sexes, le nombre des
observations
étant encore trop restreint pour qu'il soit pos
pour qu'il soit possible de se prononcer à cet égard, sur nos huit
observations
, quatre concernent des femmes, les quatre autre
'une lésion organique grossière, comme tendrait à le faire penser l'
observation
suivante de Weiss ? OBSERVATIONIX, de Weiss' (r
nfluence directe de la tuberculose dont elle est morte. Quant à l'
observation
de Gubler, citée par Weiss, et dans laquelle on
'affection spéciale dont il est ici question. PATHOLOGIE NERVEUSE
OBSERVATIONS
POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES ZONES CÉRÉBR
re enregistrés et être le point de départ de quelques déductions.
Observation
I (Personnelle). Pêriencéphalite chronique. Foyea
s contractures. Quant au réflexe du tendon rotulien, on a vu dans l'
observation
qu'il a toujours existé et qu'il s'est manifest
a marche régulière qui les caractérisent dans l'hémorrhagie; or l'
observation
décrit, pour la première attaque, un ictus apo-
ts plus instruc- tifs ; ainsi Malinverni, cité par Gavoy rapporte l'
observation
d'un cas d'absence congénitale du corps calleux
tres et d'en déterminer exactement les limites. Dans notre deuxième
observation
, la lésion destructive d'une portion du noyau c
i les lésions n'ont pu être constatées à l'oeil nu dans la première
observation
, nous avons été plus heureux dans la seconde, q
Citons, à ce sujet, pour mémoire, les expériences de l'iourens et l'
observation
de Bastian. DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. il
usieurs mois (cinq, six mois) après l'accident initial : dans notre
OBSERVATION
11, tout au moins, nous les avons consta- tées
umer en ces quelques conclusions, l'ensei- gnement à retirer de nos
observations
: 1- Que des lésions destructives des couches c
raphiques nécessaires pour guider le lecteur dans ses recherches.
Observation
. Le nommé G..., âgé de trente-cinq ans, est ent
, sur un terrain débile, mais elle conserve son indépendance. Notre
observation
montre donc en outre un cas de coexistence de d
e, ni albuminurie, ni anurie, et c'est le cas dans la plupart des
observations
de coma diabétique, de quel droit conclure à. l
Mais si le collapsus car- diaque peut expliquer un certain nombre d'
observations
de mort rapide dans le diabète, il ne saurait c
embolies graisseuses des vaisseaux rétiniens. Mais, d'une part, ces
observations
sont trop peu nombreuses pour entraîner la conv
plique, si l'on songe que chacun, jugeant d'après un petit nombre d'
observations
, édifiait une hypothèse, qui ne s'adaptait qu'a
ntrent dans cette catégorie de faits ; mais, d'après la lecture des
observations
, il est assez difficile d'en faire la distincti
ile d'en faire la distinction avec le vrai coma acétoné- mique, les
observations
étant, d'ordinaire, fort incomplètes, et l'aspe
ule raison que l'odeur et la réaction de l'acétone font défaut, ces
observations
de collapsus nous semblent devoir être absolume
ulsations du coeur, et de mort en quelques heures. Dans une autre
observation
toutefois, le collapsus parait TROUBLES NERVEUX
ou gastro-intestinaux, sans qu'on soit en droit de catégoriser les
observations
de ce genre dans une classe à part, distincte d
que, il faut tenir compte de l'idiosyncrasie individuelle; mais les
observations
faites dans cet ordre d'idées font défaut. Ce q
îner la mort en quel- ques heures; mais nous avons déjà dit que les
observations
de ce genre nous paraissaient sujettes.à cautio
élai la terminaison fatale. C'est ainsi que chez le malade de notre
Observation
XXXVII l'acétonémie se traduisit d'abord par de
ade succombe dans le coma à une intoxication plus complète. Notre
Observation
XLVII nous offre un exemple de cette variété d'
n exemple d'acétonémie avortée le fait curieux signalé dans notre
Observation
XLIX. La malade était une femme de quatre-vingt
n qu'elles puissent s'observer chez l'adulte, comme le prouve notre
observation
citée plus haut. Mais nous n'avons pas recherch
marche de l'acétonémie. En a-t-il une sur sa fréquence ? Sur les 32
observations
réunies par J. Cyr dans son intéressant travail
idents acétonémiques chez la femme que chez l'homme. Pour nous, nos
observations
nous donnent une fréquence égale dans les deux
gue course ou un voyage. Cette cause est indiquée dès les premières
observations
de Prout ; elle a frappé depuis tous ceux qui o
currente ou d'une complication qui épuise le diabétique. Dans notre
Observation
LXXV, les accidents se sont dévelop- pés dans l
s accidents disparaissaient après la suppression du régime. La même
observation
a été faite par Ebstein ; d'après ce dernier, l
LOGIQUE DU TABES dorsal; par Th. RuMpF. (Arch. f. Psych., XV, 2.)
Observation
relative à un homme de cinquante-huit ans. Atax
es avec ataxie; par L. Loewenfeld. (Arch. f. Psych., XV, 2.) Deux
observations
très intéressantes au point de vue clinique, av
onne vertébrale; rien dans les muscles abdominaux ou thoraciques. L'
Observation
I con- cerne une femme de trente-deux ans adonn
ès marqué de la mémoire avec désordre dans les idées ; apa- thie. L'
Observation
II est celle d'un homme de quarante- quatre ans
alysie ascendante aiguë; parJ. HOFFMANN (Arch. f. Psych., XV, 1).
Observation
accompagnée - à' autopsie et d'analyse histolo-
rès ce mémoire qui renferme sept 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
observations
personnelles et une relation d'autopsies plus dét
bles, il lésion, du système nerveux central ; elle n'a, d'après nos
observations
, pas l'importance d'un symptôme de lésion en foye
nsorielle de l'épilepsie. A. Passagère. B. Sta- tionnaire. Dix-neuf
observations
. Elle s'y rencontre a, sous la forme passagère
e). A. Neurasthénie (faiblesse irritable) et nervosisnte. Voyez les
Observations
XXX, XXXI, XXXII, qui, d'après les auteurs, les
qui, d'après les auteurs, les dispensent de donner les nombreuses
observations
recueillies par eux, toutes semblables à celles-c
solément, une fois, un rétrécissement modéré du champ visuel. Pas d'
observations
. Névrose professionnelle (crampe des écrivains)
ltant de la cessation d'action de la moitié du cerveau. P. K. VIII.
Observation
de myxoedème ; par M. H. HARTMANN. (France méd.
rigine 6ul- baire. A l'appui de cette hypothèse, M. Lëpine cite l'
observation
d'un malade atteint de pouls lent (trente-quatr
physiologie pathologique du ramollissement cérébral terminent cette
observation
. G. D. XI. Noie SUR UN cas DE pied tabétique av
ar les béquilles; par M. C. VINAY. (Lyon i ? îéd., 188, t. XLVI.)
Observation
d'un malade qui, deux mois après l'usage de béq
compris le triceps, étaient paralysés. L'auteur fait suivre cette
observation
de quelques considéra- tions sur l'impotence fo
Joseph YIGLES1VURTH. (Journal Of Mental Science, juillet 1883.) L'
observation
de cette malade, recueillie avec le plus grand
son fatale chez les deux malades. Voici le lésumé sommaire des deux
observations
: la première a trait à un cas de paralysie gén
se des deux poumons; l'aorte, à son origine, était athéromateuse.
Observation
Il. Homme de vingt-sept ans, sobre, actif, ayant
M. LEGRAND du Saule, au contraire, ne voit d'hypothétique dans l'
observation
que le traumatisme. Marcel 13matn. .VU* CONGRÈS
tamment dans le voi- sinage immédiat du ganglion atrophié ; la même
observation
peut être faite à propos du ganglion médian. Po
anes sexuels de la femme aveu les troubles psychiques. D'abord deux
observations
. Une femme, grosse de huit mois, est prise succ
n. Quelle est l'influence de l'ozone sur le sommeil ? Près de 2,000
observations
individuelles (neurasthénie, hystérie, hypochon
tiques si faibles qu'ils échappent à SOCIETES SAVANTES. 115 notre
observation
; il n'apparaît que l'action 'irritative du foyer
pendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux. Cette remarquable
observation
avait été précédée d'une autre communication de
aliénés ; ces examens ont été absolument négatifs. En outre, les
observations
que l'on a invoquées pour démontrer cette altér
les on rattacherait comme variétés les autres formes morbides que l'
observation
clinique ne révèle. En conséquence, M. Lefebvre
ntale ? C'étaient là tout autant de questions que soulevait cette
observation
, questions intéressantes, on le voit, toutes d'
ute, aussi garde-t-on pendant près de deux mois encore le malade en
observation
; à ce mo- ment, la guérison est entière et com
Cette exposition descriptive terminée, envisageons de plus près l'
observation
de B..., cherchons à nous rendre compte de la n
er point, où il aboutit à un abcès. Ainsi se trouve démontré, par l'
observation
directe et d'une manière qui me paraît absolume
sont les faits qui se DE L'ALIÉNATION MENTALE. 143 dégagent de l'
observation
de B.... Ces faits, que nous connaissons mainte
- lysies générales, ce sont des cas de folie paraly- tique. . L'
observation
de B..., dans laquelle nous avons pu établir, d
té clinique d'un abcès sous-piriostfque de la région temporale. L'
observation
de B... me parait, au point de vue des lésions
7,)). 357.) Archives, t. XI. 10 o 146 PATHOLOGIE MENTALE. nière
observation
, on retrouve, comme chez notre malade, associés
e par deux points secondaires, par l'intensité plus grande dans l'
observation
rapportée par notre confrère anglais et parce f
ous, n'atteint que secondairement l'appareil auditif, cependant les
observations
de B... et de D. C... peuvent se prêter à l'étu
s dernières années, se sont occupés de ces rap- ports, rappellent l'
observation
recueillie par le D'Rliys- William, et s'appuie
ntrer l'existence de ces derniers. Envi- sagée à ce point de vue, l'
observation
de B... se prête à d'intéressantes considératio
par accès, à des intervalles plus ou moins éloignés, comme dans les
observations
rapportées par Gellé, Bouchut, Menière, etc. Ai
i- lepsie dans ses rapports avec les maladies de l'oreille. Or, l'
observation
deB..., en nous montrant que, chez notre malade
ne peuvent-ils pas reconnaître une même cause ? Par suite, cette
observation
nous fait envisager le problème des rapports en
ous avons voulu seulement le mettre en relief, en le basant sur une
observation
absolument démonstrative. C. L'aliénation men
gique qu'ils tendent à établir. Pour fixer le lecteur à ce sujet, l'
observation
sui- vante' suffira. Je traitai, il y a trois
e développement de l'aliénation mentale; en présence de l'absence d'
observations
cliniques, suffisamment précises, démontrant la
a longtemps que les méningites catar- rhales sont connues et que l'
observation
clinique affirme leur existence; il y a longtem
apoplexies ont pu être mises en doute pendant un certain temps, des
observations
récentes et précises, telles que celles publiée
re ma- lade, le point de départ de la folie ainsi que le prouve l'
observation
suivante prise au hasard parmi d'autres l'influ
'ac- cideutel. Tels sont les enseignements qui se dégagent de l'
observation
de B... Ces enseignements sont de plusieurs ord
ion de B... Ces enseignements sont de plusieurs ordres : 1° Cette
observation
nous montre une méningo- encéphalite évoluant v
e s'il est fait avec pru- dence et basé sur les seules données de l'
observation
clinique. L'heure nous paraît venue de commen
ut allemands, et nous pourrons y ajouter le résumé de deux ou trois
observations
personnelles. Mais, si les documents paraissent
VEUSE. Nous serons même obligé, après analyse et discus- sion des
observations
, de proposer une manière de voir qui, par certa
ui appartiennent aussi à la maladie que nous étudions. Puis vient l'
observation
de Pierret (1871-72)3, n° 6 de nos tableaux.
160 PATHOLOGIE NERVEUSE. rieurs et des cordons latéraux, mais les
observations
de cette coïncidence sont encore trop rares pou
ostic différentiel entre les deux tabes. Nous trouvons encore une
observation
dans un tra- vail de Westphal' (1875), consacré
vail capital dans l'his- toire de la maladie que nous étudions. L'
observation
de Kahler et Pick2 (n° 10) est de la même époqu
u' (n° 16), la deuxième autopsie de Kah- ler et Pick-2 (n° 20) sans
observation
, et les cas de Slrûmpell3 (ti" 21, 22 et 23).
ar l'ensemble des obser- vations réunies dans nos tableaux. ' Les
observations
continuent à se multiplier en Alle- magne. Dans
ue. Ces auteurs rapprochent d'un nouveau fait personnel (n° 2G) les
observations
déjà publiées; ils combattent la manière de voi
e qu'il s'agit là de tabes combiné. Mais il n'en est rien. Seule, l'
observation
II du 1 Ballet et Minor. Etude d'un cas de faus
de plein droit le récent travail deDéjerine ', qui contient deux
observations
nouvelles (n°s 32 et 33) et sur lequel nous dev
combiné n'est pas neuve, mais qu'elle n'est pas faite non plus. Les
observations
sont déjà assez nombreuses; mais les interpréta
tion sur cet important sujet. II. étiologie. Le dépouillement des
observations
, dont on trou- vera le résumé plus loin, ne don
nt et pourront donner d'autres résultats. Sous le bénéfice de ces
observations
, disons cepen- dant, à titre de documents que s
levé au point de vue étiologique, chez les deux dont nous avons l'
observation
: chez l'un, hérédité arthritique et né- vropat
résumer l'histoire d'un malade, que j'ai vu récemment' et dont l'
observation
a été précisément l'occasion du présent travail
rante. J'ajouterai que j'ai essayé de me procurer pour chaque cas l'
observation
originale, dans laquelle j'ai fait moi-même ave
niques et pathologiques de mon travail, qui s'appuient sur quarante
observations
avec autopsies et cinq cas traumatiques sans au
centre visuel cortical chez l'homme. Pour abréger, j'ai réuni les
observations
sous forme de tableaux correspondant à la divis
core assez distincte pour permettre l'étude de la localisa- tion.
Observation
111. (Keen et Thomson). - P. Il..., soldat, âgé
ser le faisceau optique dans son trajet vers le coin (fig. 1). ).
Observation
28. (Haab). Homme de soixante-huit ans. En févr
rtère irriguant la partie postérieure delà couche optique droite.
Observation
29. (Huguenin). Fille de huit ans. Pendant t'au-
a base du lobe occipital n'était pas atteinte. Tumeurs caséeuses.
Observation
41. (P'éré). - Femme de cinquante-deux ans. En
nopsie latérale droite. Obs. 41. (Féré.) 202 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
z. (Séguin). M. J. W. D., âgé de quarante-six ans
i de cette dernière affirmation, j'appellerai l'at- tention sur les
observations
28, 29, il et 45. J'ai essayé de fondre ensembl
pliquent facilement et que quelques-uns des cas de mon 6° groupe (
observations
26 et 32 ) peuvent se concilier avec les autres
de mon illustre maître n'a pas été confirmée parles résultats de l'
observation
clinique et de l'examen anatomo-pathologique. J
psie résultats qui concordent entièrement avec quelques unes de nos
observations
sur l'homme. De ses dernières recherches pathol
enfin, ce qui n'est pas le moins important, avec les résultats des
observations
ana- tomo-patliolouiques po2,t inoî-lems aujour
tère cérébrale moyenne. On devra s'attendre à trouver (comme dans l'
observation
2fi, de West- phal) un ramollissement de la zon
est due, si j'en crois les preuves convaincantes apportées par les
observations
28, 29, 41 et 45, à la lésion du coin seul, ou
abord ou après convalescence, dans cette catégorie ou dans le n° 6 (
observation
3). Dans tous les cas compris dans les paragrap
hode et d'une manière plus analytique. . Nous allons rapporter deux
observations
où l'on verra la combinaison des manifestations
ne dépasse pas les limites du mouvement protoplasmique. Une longue
observation
ou la com- pression d'une cellule entraine la d
liée ? L'expérimenta- « tion ne peut répondre à cette question ; l'
observation
seule peut nous guider; mais elle nous guide sû
s soient, '< eux aussi, accompagnés de désorganisation... Mais l'
observation
« démontre : que si, d'une part, les actes qui
la condition d'être éclairée par l'indispensable con- « trôle de l'
observation
intérieure; c'est pourquoi la majorité des « ob
trôle de l'observation intérieure; c'est pourquoi la majorité des «
observations
de cet ordre doit être faite sur l'homme, et l'on
sions de la dé- « sorganisation fonctionnelle. Malheureusement, les
observations
« sur ce point ne peuvent être faites sur l'hom
ois réunis, les résultats partiels qui nous ont « été fournis par l'
observation
et l'expérience constituent ce que « j'ai appel
uche et des muscles innervés par le facial gauche. Ce malade fut en
observation
pendant plus d'un an, et l'on prenait son tracé
n'ayant pas eu de matériel sous la main, je n'ai pu poursuivre mes
observations
. Je me borne à montrer une courbe de tremblemen
pris les caractères qu'elle avait avant sa maladie (fig. 10). Cette
observation
s'ajoute à celles qui ont été rapportées par le
ées ; parfois cette sensibilité douloureuse est dimi- nuée. 2° Même
observation
, mulatis, nautandis, en ce qui regarde la cryal
chez LES tabétiques ; par G. Rossolymmo (Arch. f. PSJCh., XV, 3).
Observation
concernant un homme de quarante et un ans. La f
t l'air d'un délirant chronique marchant vers la dé- mence ; mais l'
observation
m'amène plutôt à penser que nous avons affaire
Voisin rapporte, sur la demande de M. Legrand du Saulle, plusieurs
observations
d'aliénées qu'il aurait guéries par l'hypno- ti
des deux ovaires. Analogie remar- quable de ce fait avec les trois
observations
de L. Meyer, décrites sous le nom d'hystérie ai
- sements privés sont bien plus fournis que les asiles publics en
observations
de toutes nuances. Le cas de Lévy rappelle non un
'acétone'et l'odeur de l'haleine ou de l'urine des sitiophobes. Nos
observations
ne nous ont pas permis d'établir avec certitude
u cours de la sitiophobie prolongée, où elles disparaissent (voy. l'
observation
de Siemens ; disparition de l'acétone au douziè
itiophobe. Neurol. Centralbl. 1884) '. M. Loehr donne cependant une
observation
qui plaide en faveur de la disparition graduell
ons en question firent constamment défaut. Eliminons cette dernière
observation
tout à fait isolée ; il ne reste, pour l'acéton
n mentale ne t''<iceomp<M/Ke) ! ('pas cl'ucéto- nurie. Et ses
observations
démontrent combien de semaines l'acé- tonuri.e
éth\Idiacétique, car, chez la femme que nous avons rapprochée de l'
observation
de Siemens, cette réaction se rencontra pendant
seul en état d'apprécier avec le soin et la compé- tence voulus.
Observation
I. Homme de quarante-quatre ans, père de trois
être incriminé plus spécialement (recherches de Munk et f;oltz).
Observation
II. Homme de vingt-sept ans, célibataire. Héré-
ité de la virilité. Excitabilité neuro-musculaire normale. De cette
observation
, M. Nicol rapproche l'histoire d'un confrère da
ne l'empêcha pas d'atteindre l'âge de soixante-cinq ans. Les trois
observations
de tabes sus-mentionnées portent : 10 sur un se
e Castebar lui écrivait pour obtenir des détails plus précissur son
observation
et l'histoire decas sem- en ajoutant qu'il avai
On insanity alternuling with spas- znodic czslhnza, comprenant ses
observations
et celle de Kelp. . Voici celle de lielp : -.
il avait recommencées. M. Kelp rapprocha de ce fait quatre des sept
observations
de Norman qui établissent le rapport entre le c
que, ajoute M. Kelp, les sept cas de Norman ne représentent pas des
observations
détaillées, on doit accepter qu'il s'agit bien
e à la périphérie postérieure. Au point de vue clinique, dans trois
observations
, on constate de l'hérédité : l'enfant avait pré
rôler les préparations soumises aux deux espèces de méthodes; cette
observation
s'applique sur- tout aux pièces de l'embryon. A
dans quelques faits de folie systématique ainsi que dans certaines
observations
de psychose épileptique concernant dans leur en
des préparations aptes à la conserva- tion. Il est certain que ses
observations
de folie systématique et de folie épileptique c
thymies convulsives épileptiques, voire des attaques nocturnes. Les
observations
de Tuczek se rapportent a des affections épilep
igner entre le sopor et le sommeil normal, jugées à la lumière de l'
observation
sui- vante. Un épileptique de vingt-quatre ans
davres, rattachée par lui à des excès récents, constatation que ses
observations
sont loin de toutes confirmer, ne prouve rien,
péri-axile. Aussi croyons- nous devoir le rapporter avec détails.
Observation
. 7'M'CMOM pulmonaire. Diphthérie cu- tanée cons
rs expériences et aient constaté maintes fois l'exactitude de leurs
observations
. Quant à moi, je suis convaincu que ce n'est pa
des productions de Hansen; M. Charcot, avec sa pénétrante faculté d'
observation
et sa sagacité, a classifié les névroses en éle
e professeur GRASSET (de Montpellier). Voici maintenant une seconde
observation
moins complète que la précédente, dans laquelle
in j'ai vu un troisième malade dont je n'ai mal- heureusement pas l'
observation
. Il avait de la trépidation épileptoïde, des co
du diagnostic posé. J'ai donc dû réunir dans les auteurs toutes les
observations
analo- gues, suivies d'autopsie, que j'ai pu tr
dans les tableaux qui sui- vent les traits principaux de toutes ces
observations
. C'est sur la comparaison de ces trente-trois f
per l'histoire symptomatique du tabes combiné, pressentie par nos
observations
personnelles. I 1 1 i TABLEAUX i e i TA.BLE
IE NERVEUSE. Pour relever et étudier les symptômes notés dans ces
observations
de nos tableaux, nous les grouperons en deux ca
sont notés sous des formes diverses, dans 19 des 33 cas. Dans 10
observations
(nos 1, 2, 14, 16, 19, 23, 25, 26, 32 et 33), o
7, 28, 30 et 31), aucun phénomène douloureux n'a été inscrit dans l'
observation
. En rapprochant les 11 cas négatifs pour l'inco
noté ni incoordination motrice ni douleur. b. Ce dernier groupe d'
observations
négatives est encore bien plus réduit quand on
plus réduit quand on ajoute la considération des auesthésies. Sept
observations
seulement (il.. 4, 5, 10, 15,20, 25 et 31) sont
liste négative de la précédente, nous ne trouvons plus qu'une seule
observation
qui ne présente aucun symptôme de tabes postéri
autopsie intéressante faite par Kahler et Pick, mais sans aucune
observation
clinique. Nous pouvons donc dire, en somme, que
cas seulement (11" 20, 23 et 31), dont celui de Kahler et Pick sans
observation
, on n'a pas noté d'affaiblissement moteur. Da
aiblissement musculaire bien constaté et spé- cialement noté dans l'
observation
. 2. Les symptômes d'excitation- motrice sont pl
, dont nous allons relever maintenant les renseignements. Dans 14
observations
, l'état des réflexes rotuliens n'est pas expres
ttacher une trop grande importance à cette statistique. Comme les
observations
résumées dans nos tableaux sont toutes accompag
roblème ne 404 MÉDECINE LÉGALE. puisse être résolu à l'aide d'une
observation
sérieusement con- duite. Pour nous, il n'y a
notre attention et qui, jusqu'à ce jour, n'a pas été notée dans les
observations
nécroscopiques faites sur des épileptiques. L
tion de l'intéressant problème de la pathogénie de l'épi- lepsie.
Observation
1. Mlle D..., vingt ans. H;/sM<'0-ëpt<ep4'M
ois les convulsions eussent été plus fortes à gauche qu'à droite.
Observation
11. -Alile L. D..., dix-huit cens.- Epilepsie ess
èse 49 gr. Réflexions. Deux faits principaux se dégagent de cette
observation
: -Premièrement l'accentuation des convulsions du
e la corne occipitale et les convulsions épileptiques. A ces deux
observations
nous allons en ajouter deux autres dues à l'obl
ous allons retrouver la même détermination anatomo- pathologique.
Observation
III. 31.... âgé de soixante-seie, boulanger. Hé
nchiques indurés. Nombreuses plaques de sclérose sur les plèvres.
Observation
IV. C..., âgé de quarante ans. Tailleur. Onanis
s. En résumé, voici deux nouveaux faits qui, joints à nos premières
observations
, nous démontrent à n'en pas douter l'existence
l'excitation répétée peut provoquer l'attaque épileptique. Dans nos
observations
, ces points, plus vulnérables sont naturellemen
'auteur parce qu'elles reproduisent tous les points importants de l'
observation
clinique. La congestion cérébrale idiopathique,
athologique; et cependant chez le malade qui fait le sujet de cette
observation
, et qui a succombé à l'âge de trente-cinq ans,
caillot était ramollie. . Dans lesréllfxions qui accompagnent cette
observation
, l'au- teur fait remarquer que les troubles mot
era pas de réaction dégé- nérative partielle. Passant ensuite à ses
observations
person- nelles sur les paralysies légères (Cas.
Contrôle critique du mémoire d'Engelskjoen, à la lumière -de sept
observations
(hystéro-épilepsie, hémi-cranie, épilepsie) et
Berlilt. E7j ? IVocheîischi ? no 49, 1884). Tout l'intérêt de cette
observation
git précisément dans l'habi- tude du malade de
26 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. théorie déjà exposée en détail (22
observations
). Le fonds de : la doctrine est à peu près le'
. ; SAVAGE. (The Journal o/'J7Mht< Science, octobre 1884.) ' L'
observation
peut se résumer ainsi : Homme de vingt-huit ans
démence aiguë qui se sont terminés par la mort, et dont il relate l'
observation
détaillée et suivie d'autopsie, l'auteur a été
ur qu'il ait cru intéressant de relater, sans plus tarder, ces deux
observations
suivies de mort et d'au- topsie, et pour tenter
tirer lesconclusions qu'elles paraissent comporter. R. M. C. XXI.
Observations
cliniques sur LE sang des aliénés ; par S. Ru-
RD Macphail. (The Journal of Mental Science, janvier 1885.) Cette
observation
rapportée avec détail, est celle d'un aliéné de
of Mental Science, avril 1884.) L'auteur rapporte dans ce travail l'
observation
de deux jumelles qui présentent une ressemblanc
s de vivre et ont une tendance très marquée au suicide. La double
observation
des deux soeurs est relatée avec détail. R. M. C.
egment. Les résultats sont remarquables avec le temps. P. h. XXX.
Observation
DE déviation DU rhythme cardiaque avec POULS LE
Dr GUINAND (de Rive-de-Gier). (Lyon méd., 1884, t. XLVII.) Cette
observation
offre une grande analogie avec les faits relaté
afin d'éviter le transfert assez fréquent des points doulou- reux (
observation
à l'appui). C. Méthode électrolytique. Appli- c
seule séance a guéri une patiente de douleurs datant de quinze ans.
Observation
. D. Névralgies hystériques, a.) Celles d'origine
cas de lésion organique (cathode dans la région précitée). - Trois
observations
. Distinction entre leshypochondriaques vrais -e
ciée à une nour- riture réconfortante et à des vins généreux. Trois
observations
. . II. Traitement galvanique de l'atrophie musc
n des muscles et des nerfs jusqu'à leur entrée dans la moelle). Une
observation
. III. Traitement électrique de la crampe des éc
t électrique de la crampe des écrivains et des pia- reisles. Quatre
observations
prouvant que le meilleur procédé consiste en l'
' Dans quatre cas del'auteur, dont le présent mémoire contient une
observation
complète, l'élongation ne détermina que temporair
s ou épileptiformes. En effet, le malade qui fait le sujet de cette
observation
n'était point entré à l'asile comme épileptique,
ptosis faible), mais gare aux phénomènes excessivement graves (une
observation
à l'appui). A l'intérieur, 0,02 à 0,05 entraînè
qué ni ergotisme, ni troubles de la menstruation. Les matériaux d'
observation
sont encore insuffisants, dit l'auteur. A continu
terne des hôpitaux (Lyon méd., 1884, t. XLVII.) L'auteur rapporte l'
observation
d'une malade, âgée de vingt ans, nerveuse, qui
1884, t. XLYII.) Il ressort de ce travail, basé seulement sur trois
observations
, que le chlorhydrate d'apomorphine en injection
pe visuel est le plus fréquent après le type indifférent. Une belle
observation
relatée dans la thèse de M. Bernard montre bien
folie héréditaire, qu'il a été conduit à recueillir soixante-quinze
observations
'd'aliénés à anté- cédents héréditaires et à dé
liénés hérédi- taires. Nous avons été frappé par la lecture d'une
observation
d'un aliéné manifestement héréditaire avec sign
hysiques, mais sans aucun trouble intellectuel antérieur. Une telle
observation
fait apprécier la réserve de l'auteur et compre
aussi préjudiciables à la société. D'ailleurs, parmi ses nombreuses
observations
, l'auteur ne cite aucun cas de suicide accompli
prendre une discussion de ces conclusions ne s'appuyant que sur des
observations
mal prises ou très vagues qui ne sont souvent q
ne sont souvent que des « faits divers ». En tout cas les quelques
observations
détaillées qu'on trouve dans ce travail ne font
résumé brièvement l'état des connaissances actuelles, relate douze
observations
qui sont la base de son travail; six d'entre el
nt et exactement compte du siège des plaques de sclé- rose dans les
observations
personnelles de M. Babinski. Dans les chapitres
lètement à nos moyens d'investigation. M. Babinski en a réuni trois
observations
et conclut avec M. West- phal qu'il existe une
, mais on aurait pu s'attendre à trouver dans la thèse au moins une
observation
dans laquellelesulfate de quinine (eut été empl
ne, et PEfEL, chirurgien en chef de l'hospice général de Rouen. L'
observation
des traumatismes de la colonne verté- brale a r
frappante encore que ceux qui ont été publiés jusqu'à ce jour. -
Observation
. Marquct (Jean-Baptiste), âgé de soixante ans,
utes deux de bien minime importance. En 1825, Itard' publiait une
observation
qui était intégralement rapportée par Roth en 1
ralement rapportée par Roth en 1850, et par Sandras en 1851'. Cette
observation
que l'on trouvera 1 Bouteille. - Traité de la c
formes. Et même, Sandras, le dernier des trois, qui considère cette
observation
comme un cas de chorée, embrouille encore la qu
ription qui, nous le verrons, est exacte sur bien des points. Les
observations
de Trousseau passèrent inaperçues; elles furent
ière, bien que la sanction d'un travail d'ensemble fasse défaut aux
observations
éparses qu'elle comprend. Les auteurs qu'on y r
ntitulé : ci Les sauteurs du Maine », dans lequel il rapportait des
observations
concernant des individus qui bien évidemment ét
t, d'après le témoignage d'officiers de la flotte américaine, une
observation
concluante quoiqu'incomplète de cette affection
e base solide pour l'étude d'une maladie dont on a pu rapporter des
observations
, mais que l'on n'a pas encore songé à décrire'.
ononçait et qui étaient en particulier « merde et foutu cochon ».
Observation
II (Personnelle). (La première partie a été rec
de sensibilité : le coeur est sain ; le champ visuel est normal.
Observation
III (Personnelle). G. D..., quinze ans, se prés
ononce encore le mot merde. Etat stationnaire, fin novembre 1884.
Observation
IV (Personnelle), Ch..., vingt-quatre ans, nati
ébriles, ces mouvements se seraient amendés pen- dant leur durée.
Observation
V (Personnelle). Ch...,quatorze ans, né en août
articulier ; la sensibilité générale et spéciale est con- servée.
Observation
VI (Personnelle). J. L..., onze ans, né en 1873
s intellectuelles sans fatigue. DE L INCOORDINATION MOTRICE. 39
Observation
VII (Personnelle). M. E..., vingt et un ans, de
, il en joint un de tout spécial et qui nous a incité à prendre son
observation
. En entrant dans la salle d'électrisation, nous
user d'un stratagème pour être pris lors du conseil de révision.
Observation
VIII (Inédite). Communiquée par M. le professeu
r l'effet et non sur la cause de l'épilepsie. Nous connaissions les
observations
anciennes et leur lecture ne nous avait pas ins
ous sommes décidés à l'expérimenter qu'après avoir lu les nouvelles
observations
publiées récemment par plu- sieurs médecins étr
re. · I. HISTORIQUE. Thiercelin ' aurait, le premier, publié deux
observations
d'épileptiques traités par le curare {méthode e
t été soumis auparavant à diverses médications sans aucun succès.
Observation
1.- Epilepsie congénitale héréditaire. Jeune homm
des vertiges, et les autres, en plus grand nombre de haut mal. -
Observation
Il. Epilepsie; début à neuf uns par des vertiges;
fut sous la dépen- dance de l'administration de ce médicament. Ces
observations
sont, du reste, incomplètes, et l'absence de ta
correspondantes des années précédentes. M. Seliivardi rapporte des
observations
inédites du D Pe- rini (de Milan) ; celui-ci a
n en 1864, deux en 1865, un en 1866). Nous en donnons le résumé :
Observation
111. - Jeune homme de vingt-cinq ans. Accès fré
année sui- vante de tuberculose pulmonaire. Pas d'autopsie. Cette
observation
est incomplète et peu concluante en ce sens que
: deux mois. - Amélioration lente et progressive, puis guérison.
Observation
V. Jeune fille de dix-huit ans, accidents convul-
e. Même traitement que pour la précédente. Guérison en deux mois.
Observation
VI. Enfant de douze ans. Antécédents épilep- ti
curare. Traitement de quatre mois. Guérison. Ces trois dernières
observations
sont encore moins con- cluantes que la première
es quatre cas que M. Bene- dikt a relatés avec quelques détails :
Observation
VII. Le premier concerne un enfant de douze ans
x mois de traitement par le curare, les accès ne reparurent plus.
Observation
VIII. Dans un autre cas, les accès se répétaient
ent l'habitude d'éclater, par des frissons, de l'abattement, etc.
Observation
IX. Dans un troisième cas où les accès venaient
raitement que une à trois fois par mois ; ils étaient plus faibles.
Observation
X. Dans un quatrième cas où l'on notait des ver
à défaut, quoiqu'ils aient été aupa- ravant des plus prononcés. »
Observation
XII. Steinschutz (Johann), douze ans, fils de p
Il en eut sept jusqu'au 19 août l 863 : alors le malade fut mis en
observation
, l'accès durait un quart d'heure, précédé (un q
on trouva du sucre dans l'urine. DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. 49
Observation
XIH.Sehro]Ienberger(Joseph), dix-sept ans, hor-
es semaines. Les accès cessèrent de suite et ne reparurent plus'.
Observation
XIV. - Altar (Isak), épileptique depuis quatre an
lade est, jusqu'à présent, celui qui est resté le plus longtemps en
observation
; il fut soumis au traitement du 8 août au 26 déc
- ment, diminua passagèrement pendant la durée de celui-ci. « Ces
observations
montrent indubitablement, dit M. Bene- dikt, qu
ses avantages réels, il nous semble qu'on est en droit d'exiger des
observations
de plus longue durée (deux, trois, quatre ans m
trois semaines tous les cinq jours. Edlessen', encouragé par ces
observations
, a essayé le curare dans un certain nombre de c
nce descendante à la suite de po- rencéphtilie, l'auteur complète l'
observation
anatomique dont il a déjà parlé '. Consécutivem
ue de la forme anatomo-pathologique en question, à la lumière d'une
observation
personnelle et des autres cas publiés du même g
naecliccc CQtn,lcG7aa 1882.) Après avoir rapporté et analysé une
observation
personnelle et quelques autres empruntées à dit
et s'accompagnent d'autres symptômes qu'il indique rapidement. Cinq
observations
sont jointes à ce tra- vail. P. M. VI. Contri
laires intermittentes); par H. STATOR. (Arch. f. Psych, XIII, 3.) L'
observation
concerne un homme de trente-neuf ans ayant subi
énie de la kératite neuro-paralytiqne en général, à la lumière de l'
observation
clinique. Or, la clinique montre que la théorie d
ons de Gasser. L'intégrité du facial et du glosso-pharyngien dans l'
observation
précédente, rapprochée de la perte du goût cons
rvenkeilkunde, Psychiatrie und QïneHc/te Psychopathologie, 1883.)
Observation
très complète, caractérisée par une paralysie ave
Giornale di Neuropatologia. Novembre-décembre 1883.) L'intéressante
observation
qui fait l'objet de ce travail concerne une fem
onnés aux trois meilleures compositions sur les hallucina- tions, l'
observation
de trois malades servant de base à chacune des
fébriles; par L. Kirn. (Allg. Zeitsch. f. Psych.. XXXIX, 6.) Sept
observations
sont consignées. Elles n'apportent aucune modif
nvulsive est considérable. On est auto- risé par divers points de l'
observation
, à dire que s'il y a une alté- ration cérébrale
des faits recueillis par l'auteur dans la bibliographie (une seule
observation
lui est personnelle) montre que la satura- tion
rayonne vivement sur ces ré- gions. M. Victor en a recueilli quinze
observations
à l'asile d'E- berswalde. Tous les sujets étaie
essantes relations entre le sommeil et les psychoses ; 23° Quelques
observations
nous apprennent que la destruction de la région
thode des inhalations, deux à trois heures de sommeil. P. K. 111.
Observation
sur une action remarquable de l'électricité sta
t;;)'C(i. %. rC)'UG)LLCtih., 1883 -) 11 s'agit d'une malade, dont l'
observation
est relatée en détail, qui fut successivement t
(Arch. ? Psych., XV 1.) Chez un tahétique souffrant depuis six ans(
observation
très com- plète), on pratique, en une seule séa
modèle de tableaux pouvant permettre de représenter graphiquement l'
observation
des aliénés atteints de manie, lypétiianie ou f
iques d'une méthode assez simple pour comparer nutte elles diverses
observations
. Elections. Aprèsles élections, la commission,
is rentrer dans l'atelier sans se douter un instant que S... est en
observation
; mais lui, traduit ce geste ainsi : « Si S .. ve
La forme ressor- tissant à l'interruption de AM dépend de l'insula (
observation
de l'auteur). Les voies MB et AB se composant d
. Sur un cas de dyspepsie nerveuse (neuras- thétaie dyspeptique). L'
observation
concerne une dame de vingt- huit ans présentant
le corps du délit ? (faits de Hiaschko, Jurgen.) Les deux dernières
observations
de Sassak recueillies dans le service de Kussma
er la plupart des faits de paralysie pseudo-bulbaire, y compris les
observations
toutes récentes de Bercer. L'auteur vient d'en
chronique main à la paralysie bulbaire aiguë. 11 en communique une
observation
; la mort eut licueii seize jours, les symptômes
e, tantôt (rarement) acquise. Au point de vue clinique, d'après les
observations
connues jusqu'ici, on a presque exclusive- ment
esquelles apparaissent les altérations vasculaires bien connues. (L'
observation
sera publiée en détail '.) M. llamos (de Leipzi
d'indican, d'acétone, contenus dans celte humeur. Dans la première
observation
, le malade s'abstint de nourriture pendant ving
vroglie porteur de fibres nerveuses est jeté sur cette fente. Autre
observation
. Celle-ci provient d'un adulte jeune, bien port
bien des cas rappellent la paralysie générale. On trouva, dans une
observation
, le type de l'hystérie mortelle aiguë de L. Mey
r combien les rapports défectueux sont fréquents. Il communique une
observation
de son crû. M. Loehr rappelle, par rapport aux
ite d'un état d'o6tattLilution psy- chique de nature épileptiquc. L'
observation
porte sur un homme de trente-six ans libre de t
lorsque la série de recherches se sera grossie des bénéfices d'une
observation
régulière ultérieure, il fera connaître les rés
er. Elles sont parfois l'origine réelle d'un délire systé- matique (
observation
à l'appui). En agissant vivement sur le mo- ral
je répudierais mon titre de médecin aliéniste. A l'appui, quatorze
observations
tirées de son ba- gage : 1874, 1875, 4876. mala
tout d'abord toutes les fois que cela sera possible ». Voici cette
observation
, en partie traduite littéralement, en partie ré
ce- ment la physiologie dans l'étude de la vision. Les nombreuses
observations
que renferme ce travail n'en cons- tituent pas
s trois modes de sensibilité. Il combat les idées de Schneller. Une
observation
d'hémiopie latérale droite, avec , trouble de la
. IX, p. l. Archives, t. IX. 10 0 t 16 6 pathologie nerveuse. l'
observation
clinique établit l'analogie avec les faits de l
scientifique. Il n'y a pas plus de motifs pour rejeter de pareilles
observations
que les faits sem- blables de commotion cérébra
tion cérébrale. Ces faits me paraissent trouver confirmation dans l'
observation
que je viens de rapporter, ou l'examen histolog
une dégénérescence très étendue de la moelle épi- nière. Dans une
observation
de Bastian2, une chute d'une L lieale's Arch. o
tence d'une hématomyélie primitive. Nous devons noter .dans cette
observation
l'existence précoce de larges escharres de décu
k - C'est évidemment à cette catégorie de faits qu'appar- tient l'
observation
que nous-avons rapportée. Nous ne'citerbns que
otion DE la moelle épinière. 153 ..... ..i.rJll allt 1 gique. Ces
observations
sont aujourd'hui assez nom- breuses; je ne cite
ettent une espèce traumatique de tabes dorsalis ; il rappelle les
observations
X et XI de l'ouvrage d'Erichsen où la commotion
xie quelques mois après une chute de cheval sur le dos, enfin une
observation
de Lockhart Clarke, relative à un homme de quar
ques ne sont pas fatalement vouées à l'immobilité, les progiès de l'
observation
peuvent les modifier. N'est-il pas possible que
(Jumping, L\T.%11, llSmn.cHir)'; Par GILLES DE LA 'l'OURI's1"l'E.
Observation
IX (Inédite) 2. CommuniIuée yar 11. le D1 Foré,
sans attaques; 3" un fils marin, V. le 25, janvier 1885. 2 Cette
observation
ne se trouve pas indiquée dans la première partie
. Nous serions très reconnaissant aux confrères qui pos- sèdent des
observations
analogues de les publier ou de. nous les faire
raisons. Aussi, désireux de ne rien préju- ger sur la nature de ces
observations
, ne leur emprunt- terons-nous que les symptômes
ter cet exposé au moment où nous comparerons entre elles toutes ces
observations
. L'affection que nous allons décrire débute gén
e quatre à sept ans qui étaient atteints du Jumping. Elle dé- 1 L'
observation
VIII appattient à M. le professeur Pitres (de Bor
e mot merde à plusieurs reprises. M. le Dr Fére nous a communiqué l'
observation
IX. Nous tenons a leur témoigner ici même toute
te aliénée. Obs. IX. Néant ( ? )- Nous voyons donc que, dans cinq
observations
, cette hérédité nerveuse est des plus manifeste
nouvelle confirmation. Parmi les sujets qui ont été soumis à notre
observation
, il en est trois qui, à partir du début de leur
e toute DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 171 I V affection. (Dans les
observations
I, IX, les symptômes autres que ceux fournis pa
vement que quatre ou cinq ans après le début de l'affection; dans l'
observation
II, cinq mois après; dans l'observation III, si
ébut de l'affection; dans l'observation II, cinq mois après; dans l'
observation
III, six ans; dans l'observation IV, seize ans;
tion II, cinq mois après; dans l'observation III, six ans; dans l'
observation
IV, seize ans; l'observation VI n'est pas très
ans l'observation III, six ans; dans l'observation IV, seize ans; l'
observation
VI n'est pas très concluante à ce sujet; l'obse
seize ans; l'observation VI n'est pas très concluante à ce sujet; l'
observation
VIII semble se rapprocher de l'observation II;
concluante à ce sujet; l'observation VIII semble se rapprocher de l'
observation
II; enfin ils n'étaient pas encore apparus aprè
sculaires qui peuvent être fort préjudiciables. Chez le malade de l'
observation
IV, la langue était vi- vement projetée au deho
obligé d'abandonner son mé- tier. Le malade qui fait le sujet de l'
observation
VII, passa récemment le conseil de révision : i
r, nous avons déjà dit que, pendant une période com- prise dans nos
observations
entre quelques mois et seize années, l'incoordi
sagrément : il ne peut y parvenir. Le malade qui fait le sujet de l'
observation
IV, garçon fort intelligent et âgé de vingt-qua
S... » Ce symptôme, nous le retrouvons porté à son summun dans les
observations
des auteurs étrangers. Un des malades de Beard,
e fût mise complètement à nu si je ne m'étais interposé ». Dans l'
observation
recueillie par les officiers améri- cains, et r
ontreuse et se blesser; c'est ce que nous voyons également dans les
observations
de Beard, d'O'Brien et de Hammond. « Un jeune
II, III) ; ils sont expressément notés comme nous l'avons vu dans l'
observation
d'Itard, complétée par M. Charcot, et Pitres et
dit que M. le D1' G. Laurent (de Sawic), nous avait com- muniqué l'
observation
, malheureusement trop incomplète pour être pu-
tout au moins n'existait pas chez tous nos malades au moment de l'
observation
. Sur les neuf, dont nous pos- sédons l'histoire
sseau, cité par M. Laurent, 184 clinique nerveuse. et deux autres
observations
, ce qui nous donnerait une proportion de 8 p. 1
Beard et llammond, - ce dernier dans son unique et très incomplète
observation
, ne la mentionnent pas, serions-nous tentés de
date de son début. S'il nous était permis de nous servir des cinq
observations
dans lesquelles la coprolalie exis- tait, nous
s dans lesquelles la coprolalie exis- tait, nous dirions que dans l'
observation
I, elleapparut plusieurs armées après le commen
arut plusieurs armées après le commencement de la maladie; dans l'
observation
II, trois ans après; dans les obser- vations II
ois ans après; dans les obser- vations III et IX, cinq ans après; l'
observation
VIII n'est pas assez précise à ce sujet. L'époq
ffirma- tion, mais s'il nous était permis de conclure d'après nos
observations
, nous dirions que, pour notre part, nous ne l'a
peut bien n'être que le prélude d'une nouvelle exacerbation. Dans l'
Observation
I, nous voyons qu'elle a duré soixante-dix-huit
sté jusqu'à la mort de la malade; dans les autres cas, en cours d'
observation
, elle dure depuis quatre ans, Obs. II; Obs. III
us engage à conclure dans le sens même qui se dégage de nos propres
observations
. DE l'incoordination MOTRICE. 187 Beard cepen
se rappelle qu'au début de cette étude nous avons supposé que les
observations
dont nous allons désormais parler 1 V. Archives
gne pen- dant toute leur existence. Nous passons sous silence les
observations
de Trous- seau, qui ne constituent pas un ensem
donner que des extraits. Enfin, en troisième lieu, nous citerons l'
observation
que M. Hammond ' (de New-York) a récemment pu-
avail : « Nouvelle ma- ladie du système nerveux ». Bien que cette
observation
soit très incomplète et qu'elle ait été recueil
récisément delà même manière et de la même façon. » En lisant celte
observation
sans idée préconçue, il est évident qu'elle rép
ement froids qu'on y observe ». Nous même, nous avons recueilli les
observations
de malades habitant en France à de grandes dist
étape peut ne pas être franchie, ainsi que nous le voyons dans l'
observation
VIII, qui a trait à une jeune fille dont le pèr
ent radical est encore à instituer. On peut, en effet, en lisantnos
observations
, remarquer combien de procédés curatifs ont été
t simple. » IV. EXPOSE DES FAITS. Nous présenterons d'abord trois
observations
qui nous ont paru intéressantes au divers titre
intéressantes au divers titres, puis nous donnerons un ré- sumé des
observations
des dix-huit autres malades soumis au traitemen
soumis au traitement par les injections hypodermiques de curare.
Observation
XV. Grand'père paternel alcoolique et cancéreux.
' 'hémiplégie droite transitoire notée à la fin de l'année 188'N.
Observation
XVI. Père alcoolique mort de paralysie générale.
or- nons à celles qui précèdent et nous reprenons l'exposé de nos
observations
. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS TROIS AUTOPSIES
aussi, avons-nous cru in- téressant de rapporter quelques nouvelles
observations
avec autopsie. La partie clinique de la premièr
aquelle il faudra faire remonter la cause de la grande névrose.
Observation
Il. -- Cécité verbale incomplète, cécité musicale
. ps;/cA., Bd. XV, H. 2. 2 La partie clinique est résumée d'après l'
observation
de AI. Bernard (De l'aphasie, thèse 1885, p. 11
lorée et fibroide à la périphérie. DES Troubles DE LA VISION. 229
Observation
II1. Hémiplégie droite transitoire ; hémianopsie
cinquante-deux ans, admise salle Du- 1 La partie clinique de cette
observation
est résumée d'après îles noies communiquées par
volution temporo-occipitale. DES TROUBLES DE LA VISION. 231 Cette
observation
nous offre à relever deux points intéres- sants
s idées sur les faits que je vicnsd'indiquer.je prendrai, parmi les
observations
que j'ai rapportées à ce sujet (loc. ca't., p.
hez la femme; dans le présent travail qui contient treize nouvelles
observations
, il arrive aux conclusions suivantes : 1) Dan
ÉNÉRATIVE multiple; par 0. Vierordt. (Arch. f. Psych., XIV, 3.) L'
observation
principale de ce mémoire concerne une jeune fil
s à né- gliger. II. La seconde partie de ce travail a trait à des
observations
anatomo-pathologiques et cliniques, pris chez l
le plus de compte possible DES essais entrepris chez l'homme ET DES
observations
pathologiques ; par Ch. Rosenheim. (Arch. f. Ps
e paralysie spinale spasmodique (terme consa- cré) avec nécropsie ;
observation
suivie de quelques remarques relatives à la lés
ral des pyramides; par C. WESTPHAL. (Arch. f. Psych., XV, 1 1.) L'
observation
, très complète, se résume parfaitement dans l'é
a sclérose cérébelleuse; par W. Sommer. (Arch. f. Psych., XV, 1.)
Observation
très incomplète concernant un idiot de trente ans
cK (Arc7a. f. Psych., XV 1). L'auteur a examiné, à la lumière d'une
observation
de folie épileptique, très minutieusement prise
'un autre ordre, voire dans le délire de la fièvre traumatique (une
observation
à l'appui). 'i. P. K. XIV. LA RESPONSABILITÉ
E MENTAL; par L. GOLDSTEIN. (Central6l. f. Ne·verrlteilk., 1883.)
Observation
d'ataxie suivie de lypémanie anxieuse avec idées
ome; par R. Neuendorff. (Centrnl6l. f. Ner- venlceillc., 1883.) L'
observation
dont il s'agit met en relief des idées fixes d'em
J'.Ncrvcnlteilk., 1883'). A la suite de l'exposé détaillé de deux
observations
d'aliénation mentale, l'auteur passe à la discu
nous possédions jusqu'ici se trouvent complétés par huit nouvelles
observations
. De ce matériel il conviendrait de déduire que
is de5S1l1S$la plume); par D. L.11DL. (Arch. f. Psych., XV, 1.) L'
observation
concerne une fillette de douze ans dressée par sa
iologie de la poreucéplialie en général, à la lumière de toutes les
observations
connues actuellement 1. P. K. XXI11. Sur les tr
T. Travail d'ensemble fondé sur des recherches bibliographiques :
observations
empruntées les unes aux sources littéraires citée
on génésique. Le travail du professeur Tarnowsky est très 1 elle en
observations
cliniques, les unes personnelles d'autres em- p
récents il est permis de douter de l'existence de ce groupe et des
observations
minu- tieuses prouveraient sans doute à l'auteu
s habitudes de pédérastie invétérées : ce sont les dégénérés. Les
observations
que Tarnowsky donne à l'appui de ses subdi- vis
ttaques se répétaient deux fois par an. M. Tarnowsky range ces deux
observations
dans la subdivision de « l'aberration génitale
'il ne s'agit ni d'impulsious ni d'obsessions. Malheureusement, ces
observations
sont incomplètes et il est très vraisemblable q
ique. Il cite à l'appui les faits cliniques suivants : Le premier(
observation
de Tarnowsky) jeune homme de vingt- six ans, av
été ivre la veille et croit avoir eu un coït. Dans un second cas (
observation
d'Erlitzlcy), il s'agit d'un jeune homme qui, a
garde qu'un souvenir vague de ce qui s'est passé. Une troisième (
observation
de Kowalewsky) concerne un homme de quarante an
alée incidemment par les méde- cins aliénistes dans nombre de leurs
observations
, la sénilité pré- coce ne nous semble pas avoir
avez, cette gravité du traumatisme en faisant intervenir à l'aide d'
observations
fondées et incontestables d'autres éléments éti
ées ne peuvent pas suivre, mais elles se trou- blent. Au reste, une
observation
résumée montre mieux ce dont il s'agit : M""=
des troubles mentaux associés à la sénililité prématurée; mais nos
observations
sont incom- plètes à cet égard; nous n'avons fa
ndre un repos définitif, faisant en cela acte de prudence. Si nos
observations
ne nous trompent pas, tous ces sujets ont porté
n'est-elle pas là pour montrer, que, parmi le nombre considérable d'
observations
cli- niques qu'on compte par centaines, on en t
à tirer de notre étude expérimentale. Pour faciliter l'aperçu des
observations
antérieures, nous les divisons en quatre groupe
ut thérapeutique. Groupe II : Elongations de nerfs suivies de mort.
Observations
avec autopsie. Groupe III : Recherches purement
nerfs dans un but thérapeutique. Voici en deux mots l'exposé de son
observation
: Un soldat, âgé de vingt-trois ans, reçut un c
e pour que j'aie à les exposer ici. Ranke (1882) commu- nique une
observation
sur une contracture congéni- tale qu'il entrepr
cas de mort à la suite de l'élongation du nerf médian. Sa première
observation
se rapporte à un jeune homme de vingt-trois ans
après l'élongation du nerf médian, le malade mourut, La deuxième
observation
concerne un homme de qua- rante-huit ans auquel
dian. Pour en finir avec le membre supérieur citons encore quelques
observations
sur l'élongation du nerf radial. Paget6, en 187
ce. Bernhardt3 (1882, à Berlin) fait part dans son article de dix
observations
sur l'élongation du nerf facial et en tire une
onclusion favorable à cette opération. Carter Grayl communique deux
observations
person- nelles sur l'élongation du nerf facial.
e accompagnée d'accès épileptoïdes. Czerny 3 (1878) communique deux
observations
sur l'élongation du nerf sus-orbitaire; la prem
, nous présenterons d'abord un aperçu, aussi bref que possible, des
observations
sur la névralgie traitée par les tractions nerv
pagnée de troubles de la motilité et de la sensibilité. Une seconde
observation
du même auteur se rapporte à un garçon de douze
agement de courte durée. Struchemann Maag' (1878) fait part de deux
observations
concernant deux jeunes femmes atteintes de névr
de la Société de chirurgie, isso. 304 . PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE.
observation
, M. Blum constata un amendement. Hut- chinson'
gation du nerf sciatique. Pooleye (1880) rapporte quarante quatre
observations
de tractions nerveuses pratiquées dans diverses
cadavre ne put être faite. Morton Williams (1882) fait part de deux
observations
sur l'élongation du sciatique pour une paralysi
ès les accès gagnèrent en durée. Leisrink2, dans le nombre de ses
observations
sur l'élongation des nerfs, fait part de trois
rtébrale est rare, mais il en existe des exemples incontestables. L'
observation
quatre du mé- moire de Savory que nous avons ci
ément propre à les faire distinguer de la commotion simple. Notre
observation
, en montrant, dès le troisième jour, une sécrét
retrouvons d'ailleurs cette particularité dans un certain nombre d'
observations
. La distribution des troubles sensitifs ne répo
maladie, lorsque le ramollissement de la moelle est complet. Notre
observation
est en contradiction avec cette manière de voir
e, dans l'état d'intégrité parfaite des os et de la dure-mère ? Une
observation
de Chalvet', et la cinquante-sixième observatio
la dure-mère ? Une observation de Chalvet', et la cinquante-sixième
observation
d'Oli- vier d'Angers, mettent la chose hors de
ll,111. Idonnel, mérite d'être mentionné avant d'aller plus loin.
Observation
. X..., âgé de dix-neuf ans, employé de commerce
La critique qui s'est attachée à contester la significa- tion des
observations
ne repose que sur quelques objec- tions facile
t autorisé à attribuer aux épanchements sanguins. Page critique l'
observation
d'ataxie locomotrice d'o- rigine traumatique ra
des lésions systématiques provenant d'une violence extérieure. L'
observation
que j'ai rapportée réfute péremptoire- ment cet
s ne nous arrêterons qu'aux phéno- mènes qui se sont montrés dans l'
observation
qui nous appartient. Nous chercherons ensuite,
rie notable et persistante. Nous devons dire cependant ici, que l'
observation
ne mentionnant pas l'état antérieur de la contr
OSÉ DES FAITS Stl2le. Nous allons terminer aujourd'hui l'exposé des
observations
de nos malades épileptiques traités par le cura
s brièvement les particularités cliniques les plus intéressantes.
Observation
XVIL Epilepsie s ? /mptot ? M< ! <jfMe.Père
curare, nous devons relever les particularités principales de cette
observation
très curieuse au point de vue clinique et au po
exposé succinct des autres cas d'épilepsie traités par le curare.
Observation
XVIII. Epilepsie symptomatique. Deux soeiii-s et
et enfant, tous les nombreux traitements mis en usage ont échoué.
Observation
XX. Epilepsie idiopathique. Idiotie. Gâtisme. M
17) première année de la période décroissante signalée plus haut.
Observation
XXI. Epilepsieidiopathique. Phimosis. - Bromure
u'au 18 novembre 1880 ; hydrothérapie etc.) est abso- lument nul.
Observation
XX. Epilepsie. Soeur épileptique. Premières con
maniaque et une déchéance intellectuelle de plus en plus accusée.
Observation
XXII. Atrophie cérébrale. Epilepsie symptoma- t
883 (5 mois = 144 jours). TOTAUX DU CURARE DANS l'ÉPILEPSIE. 3H
Observation
X1111. Instabilité mentale ; épilcpsic idiopathiq
u d'accès (de mai 1883 à février 1884); 13 accès en janvier 1885.
Observation
XXIV. Epilepsie symptomatique. - Père mort hletle
avée par le traitement : en résumé le résultat est peu concluant.
Observation
XXV. Epilepsie idiopathique. Coqueluche. Convul
ans qu'il soit possible de se rendre compte de ces irrégularités.
Observation
XXXI. E4pilepsie idiopathique. Cousine germaine
, elle quitte l'hôpital comme convalescente. Nous voyons dans cette
observation
, un abaissement no- table de la température cen
actif qui a été mis en usage. Différents auteurs ont rapporté des
observations
analogues dans lesquelles un abaissement consid
s lequel la température au début s'était abaissée à 34°, 8 C. (1110
observation
); chez une autre malade également mélan- coliqu
°, 6 c. ; dans les deux cas, la terminaison a été favorable. Dans l'
observation
XXI, il s'agit encore d'un mélancolique dont la
ce mémoire, qui ne renferme rien de nouveau, il n'y a que la Xillle
observation
qui présente quelque intérêt. En effet, après u
ure peut baisser dell°C., sans entraîner la mort, comme le prouve l'
observation
rapportée par Magnan.Il s'agissait d'une femme
au froid. Elle se rétablit'promptement'. Il est regrettable que les
observations
de ce genre ne soient pas plus nombreuses 2 pou
me. (Gazette des hôpitaux, 10, 17 et 24 juillet 1869.) 2 Voir une
observation
de M. Bourneville. (Société de biologie, 1871,
ndiquer les résultats généraux que nous ont fournis nos différentes
observations
. V. J... est un malade entré déjà plusieurs foi
uni aux terres, 0,46; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,23. L'
observation
de V. J... nous montre que la manie exerce une
U SYSTÈME NERVEUX. 373 Telles sont les données qui se dégagent de l'
observation
de V. J... Ces données, nous les retrouvons les
. Aussi, généralisant les conclusions auxquelles nous a conduit l'
observation
de ce malade, dirons-nous : La manie influence
aux terres, 0,75 ; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,73. Les
observations
qui précèdent nous ayant donné des résul- tats
rts, sontconfirmatifs de ceux que nous avons obtenus. Certaines des
observations
rapportées par ces auteurs complètent même cell
acide phosphorique uni aux alcalis sous l'influence des attaques. L'
observation
de Es... est la seule dans laquelle nous ayons
des convulsions hystériques. M. Legrand du SAULLE communique huit
observations
d'enfants devenus épileptiques après avoir vu l
paralytiques d'origine saturnine, il est rare qu'on ait publié des
observations
dans lesquelles la démence paraly- tique de par
e sur les aliénés; la colonie bénéficia des dispositions d'ordre, d'
observation
scientifique, d'examen médical, de traitement s
du malade à installer dans la famille n'a lieu qu'après une longue
observation
préalable permettant d'affirmer l'état 1 Voy. A
des travaux de chaque séance, qui n'est pas praticable. D'après les
observations
de lllll. Jastrowitz et Ullrich, vu l'activité
circonstances qui ne se répéteront pas souvent. Premier cas. Celte
observation
, dans laquelle sont consignés des rapports mult
, d'après lui, s'était développé avant et non pendant le temps de l'
observation
. Présentation de malade par M. REMAK. Myoclonus
n'existe pas d'hyperexcitabilité réflexe du côté de la peau. Cette
observation
rentrerait, au contraire, parfaitement dans les
, parfaitement dans les faits de paramyoclonus de Friedreich dont l'
observation
concernait un homme de cinquante ans ayant été,
ependant il importe de tenir compte des cas qui se présentaient à l'
observation
; à cet égard, M. Uhthoff pense que, parmi les m
ments, de fausses couches,' et la mort précoce d'enfants. Dans neuf
observations
, l'infection primitive se traduisit par des acc
vre l'étude de l'étio- logie de la sclérose multiloculaire, car ses
observations
lui ont laissé l'impression, que, dans cette ma
uec quelques re7na7·yues relatives aux conceptions irrésistibles. L'
observation
est destinée à la Deuts- che medicinische Woche
'il retrousse les manches de sa chemise. M. JASTRONITZ. D'après ses
observations
, il y aurait lieu d'établir que, chez un homme
s de Neurologie, nous nous bornons à la signaler. Vient ensuite une
observation
d'h3,stéro-épilepsie, chez un jeune garçon de t
'h3,stéro-épilepsie, chez un jeune garçon de treize ans. Puis trois
observations
d'idiotie, l'une avec méningo-encéphalite chron
ues, à l'état normal et à l'état pathologique, d'après la méthode d'
observation
et d'expérimentation. Elle se compose : 1° de 3
gretté confrère, nous citerons spécialement les suivants : Quelques
observations
pour servir ci l'histoire de la folie pénitenti
ECINE, 23 . 1893 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DEUX
OBSERVATIONS
, POUR SERVIR AU DIAGNOSTIC DES PARAPLEGIES S
appeler l'atten- tion sur les deux suivants qui nous ont fourni des
observations
intéres- santes à plus d'un titre au point de v
presque fatalement progressive comme le tabes. II . La deuxième
observation
que nous publions est intéressante à d'autres p
rapidement aggravée. M. le professeur Fournier nous a communiqué l'
observation
d'un malade de cet ordre chez lequel la paralys
sous l'influence du traitement spécifique. La majeure partie de ces
observations
appartiennent à des individus jeu- nes dans la
la physionomie méritaient vu leur fréquence et étant donné nos deux
observations
d'être mis en relief, car ils sont fré- quemmen
rie et moi reprenions la même question et, avec un certain nombre d'
observations
à l'appui, rap- pelions les conclusions de notr
ois à sa très grande obli- geance de pouvoir rapporter in extenso l'
observation
de son malade, qu'il a bien voulu me communique
ies du système nerveux ; leçons du pro- fesseur, mémoires, notes et
observations
, publiés. par Georges Guinon, Paris 1892, t. I,
qu'il s'agissait là de véritable pseudo-hypertrophie musculaire. L'
observation
ci-dessus pourrait à la rigueur, aux yeux d'un cr
surtout dit deltoïde droit et du triceps de la cuisse gnztcltc. L'
observation
de ce malade a été publiée en 189U dans la Revue
t exercé la profession de facteur , (1) P. Le Noir et Il. Bezançon.
Observation
de myopathie progressive primitive, type facio-
abandonné, il vient se faire soigner à l'hôpital. Soumis alors à l'
observation
de MM. Le Noir et Bezançon, il se présentait dans
e caractère tout particulier, qui a été noté avec soin au cours des
observations
, à sa- voir la disproportion entre le volume et
RICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS (1).
Observation
II (inédite), due à l'obligeance de M. le Dr Valm
tème d'argumentation qui nous a servi il tirer les conclusions de l'
observation
I, voyons pour quels motifs on pouvait aussi, d
bservation I, voyons pour quels motifs on pouvait aussi, dans notre
observation
II, penser à une lésion cérébrale affectant le ty
it avec une force indiscutable et la suite le prouva bien. Les deux
observations
qui précèdent nous ont fourni chacune un syn- (
odique infantile. A l'hémiplégie du mouve- ment s'ajoutaient dans l'
observation
I l'hémichorée et la pseudo-athétose, et dans l
dans l'observation I l'hémichorée et la pseudo-athétose, et dans l'
observation
II la contracture avec atrophie musculaire. Mai
ouvons fournir, croyons- nous, un second exemple de ce genre dans l'
observation
suivante. - Observation III. (Bouchut, rapporté
nous, un second exemple de ce genre dans l'observation suivante. -
Observation
III. (Bouchut, rapportée par M. Raymond. Thèse Pa
1875.) Hémichorée. Hémiplégie consécutive au traumatisme. Dans l'
observation
que nous venons de rapporter, nous sommes loin év
? Voilà toute la question. Nous ne pourrions l'affirmer, puisque l'
observation
est incomplète et que les stigmates hystériques
ant elle aussi a l'étal isolé ? C'est ce que semblerait démontrer l'
observation
suivante, si incomplète qu'elle soit. M. Oulmon
Mmiathétose hystérique, surtout si l'on a égard au mode de début.
Observation
IV. - IIélllialhétose primitive. - Gairdner, 1'It
impossi- ble de trouver pour l'hémiplégie spasmodique infantile des
observations
analogues à celles que M. Babinski a rapportées
s, avait pu en imposer également pour une lésion intra-crânienne.
Observation
V. Période épileptoïde faisant croire à une tum
lepsie. Charcot (Leçons sur les mal. du syst. nerv. T. III, p. 90).
Observation
VI. Cas de petite hystérie avec céphalée persis
syst. nerf. T. III, p. 62). Nous retrouvons, en note, après cette
observation
, que l'enfant guérit, comme M. le professeur Ch
rtielle ». Son premier mémoire sur cette question coïncida avec une
observation
rap- portée par Legrand du Saulle devant la Soc
rébrale et vitale. Nous regrettons de ne pouvoir reproduire ici les
observations
de M. G. (1) ITAnD, Archives gén. de médecine (
rnant les enfants (1). l'ourlant, dans les trois qui vont suivre, l'
observation
VII permet d'affirmer que l'hystérie était la s
stérie était la seule cause des attaques d'épilepsie partielle, les
observations
VIII et IX sont au contraire des exemples assez
de faire la part exacte de la névrose et de la lésion organique.
Observation
VII. Attaques hémiplégiques arec aura, sans per
- tion. Duvoisin (de Bâte), in Jahrb. f. liinder. Leipzig (1889).
Observation
VIII (inédite). Rédigée d'après les noies recue
ous renvoyons à ce travail très consciencieux pouf les détails de l'
observation
. ' MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES
s et enfin, l'état de l'intelligence et des fonctions organiques.
Observation
IX. Hémiplégie ancienne. Accès épileptiformes d
haut, que se (1) Notre collègue et ami Souques nous a signalé cette
observation
de sa thèse sur- tout au point de vue de l'épil
graves dans l'his- toire des hystériques. Aussi n'avons-nous pas d'
observations
particulières à présenter qui concerneraient un
peut simuler la paralysie du côté opposé, ainsi qu'en témoigne une
observation
de Bourneville et Voulet (2), et que cet hémispas
ique de la suggestion achèveraient de dis- siper tous les doutes.
Observation
X Monoplégie hystérique du bras droit avec réci
idives. (1ul : nsTrn, in JahrL. f. Kind" 1880, XV, p. 297). Cette
observation
peut en effet se passer de longs commentaires et
s ne pouvons fournir à l'appui de notre dire un plus grand nombre d'
observations
. Notre tâche serait bien plus facile s'il s'agi
LE CHEZ LES ENFANTS 41 de l'aphasie hystérique. On lira plus loin l'
observation
d'un syndrome hystérique qui simulait chez un e
r une bonne description clinique du bégaiement hystérique (2) ; ses
observations
sont relatives à des sujets incontestablement h
ulté d'écrire à son aphonie qui est absolue ; il n'y a pas encore d'
observation
où l'on ait constaté chez lui de la surdité ou de
pris la peine de réunir dans une assez longue étude (4) toutes les
observations
de mutisme hystérique publiées jusqu'à ce jour ;
iser, croyons-nous, en trois catégories. La première comprend les
observations
d'un diagnostic facile, dans les- quelles l'app
on, en dehors de toute syphilis. La deuxième catégorie renferme les
observations
dont le diagnostic est rendu difficile par l'ig
ésion organique, ce qui complique infiniment le problème. Parmi les
observations
qui vont suivre, l'observ. XI rentre évidemment
prèle trop à la discussion pour que nous tentions de la classer.
Observation
XI. Aphasie motrice hystérique citez une enfant
de 11 rois. Attaques convulsives (In thèse Peugniez, Paris 1885).
Observation
XII (personnelle). Mutisme hystérique suite de
encore très intelligible pour ceux qui ne vivent pas près d'elle.
Observation
XIII. Empruntée au travail de M. Natier qui l'a
er, cité par Kussmaul). Mutisme hystérique d'origine traumatique.
Observation
XIV. Commotion cérébrale. Mutisme hystérique. G
rison instantanée (de Closmadeuc, in Gaz. hebdomad. 1878, n° 18).
Observation
XV (personnelle). Mutisme à début brusque. Atta
MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 45 Dans cette
observation
, bien des signes sont en faveur de l'hystérie, le
ndrome de Weber. En lisant celle discussion vraiment admirable et l'
observation
des phénomènes qui en font l'objet, on est frappé
Dr G. Tournant, puisqu'il ne s'agit plus d'un enfant comme dans les
observations
de M. le professeur Charcot. Observation XVI.
n enfant comme dans les observations de M. le professeur Charcot.
Observation
XVI. Syndrome hystérique simulateur du syndrome
rt à ce sujet, car l'intérêt qui s'y rattache est considérable. Une
observation
fut faite dans le service de mon collègue L. Joko
e pâlit tout d'un coup au moment du passage du courant. Une autre
observation
fut faite sur une femme dont le foie était tuméfi
séance j'ai constaté avec mon collègue M. Teck. à qui je dois cette
observation
, une diminution du volume du foie assez considé
observation, une diminution du volume du foie assez considérable. L'
observation
fut répétée plusieurs fois avec le même résul-
était le siège de plusieurs carcinomes. Nous avons conclu de celte
observation
que le foie était hyperémié pendant la vie et q
tion de volume seule qui était due à l'hyper- hémie. La troisième
observation
fut faite sur un enfant qui souffrait d'une cox
courant induit trop fort me fut parfaitement démontrée par quelques
observations
que j'ai faites avec mon collègue P. Do- ' brot
s avons nous-même, ainsi que des centaines de personnes, fait cette
observation
: à savoir que cet enfant montrait dans l'église
utive aux sections in- complètes des nerfs est bien démontrée par l'
observation
clinique et par l'expérimentation sur les anima
raire perte absolue et complète dans la maladie de Morvan. Mais les
observations
cliniques ont montré depuis que la dissociation
squ'au jour où je l'ai opéré : il me reste donc, pour compléter son
observation
, à vous exposer le manuel opératoire et les sui
l'Université de Genève. TROIS CAS D'ARTHROPATHIES MYÉLOPATIIIQUES
Observation
I. Tabès dorsal. Troubles de la station, de la
ues mois journellement à la sus- pension, sans effet appréciable.
Observation
II. Tabès dorsal chez un syphilitique. Ataxie.
traitement par la suspension n'a pas donné de résultat appréciable.
Observation
III. Maladie de Friedreich. Forme fruste. Défor
cusée. Ce pied est tout à fait semblable à ceux de son frère dont l'
observation
suit. Le pied gauche est normal. Le réflexe pat
n mé- moire qui met à profil les travaux antérieurs et contient des
observations
personnelles, MM. Gilbert et Lion (7) ont résum
Rumpf, Jurgens, Greif, Schmaus, Oppenheim, Siemerling etc. dont les
observations
seront mises à contribution au cours de ce travai
constituent des lésions d'une extrême rareté : on peut compter les
observations
qui en ont été publiées, et ce sont les mêmes f
calisation initiales. 90 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Observation
I. (Due il l'obligeance de M. le Dr Merklen). H
yperesthésie rétinienne, et des spasmes de l'iris ou des paupières.
Observation
XVI. Amaurose hystérique monolatérale ayant dur
s traitement. - AllàIAIGNAC (de Bordeaux), Congr. d'ophtalm., 1887.
Observation
XVII. Cécité hystérique. - Amélioration par les
oiqu'il en soit, on n'a pu fournir encore dans l'hystérie une seule
observation
précise de paralysie isolée des muscles oculo-mot
premier exemple de faux ptosis a été donné plus haut au cours -de l'
observation
d'hystérie simula- trice du syndrome de Weber.
er. Les deux exemples qui suivent ne sont pas moins intéressants.
Observation
XVIII. Hystérie chez une enfant de 13 ans. Ptos
lépharos- passez Guérison spontanée. (In thèse de Peugniez 1885).
Observation
XIX (inédite). , Communiquée par M. le D K.1LT,
'hystérie peut simuler chacun de ces symptômes en particulier ; les
observations
démon- (1) CIIANTIOEI : SSF.. Tht'se Paris, 188
de phénomènes de pseudo-méningite. Nous signalerons à ce sujet les
observations
rapportées chez des adultes par Vulpian et par
hantemesse (3) et de M. Macé (4). En ce qui concerne les enfants, l'
observation
XXII de notre thèse, empruntée il M. Reynaud, n'e
est d'une grande valeur pour le diagnostic, ainsi qu'en témoigne l'
observation
XX rapportée dans notre thèse. M. le professeur
roxystique (Gilles de la Tourette et Cathelineau). La plupart des
observations
de pseudo-méningite hystérique qui ont été (1)
ard a voulu que nous puis- sions ajouter à ce nombre si restreint d'
observations
chez les enfants deux autres qui nous sont pers
rvations chez les enfants deux autres qui nous sont personnelles.
Observation
XX. Accidents hystériques et choréiques ayant s
ulé la méningite aiguë. (CIIARCOT. Leçons du mardi, n° 14, 1888).
Observation
XXI Syndrome hystérique ( ? ) simulant la ménin
grès de Marseille pour l'avancement des sciences (19 sept. 1891).
Observation
XXII Rapportée par le Dl' Reynaud, dans la Loir
avec fièvre, simulant une méningite tuberculeuse. L'auteur de cette
observation
intéressante affirme que la marche des ac- cide
ut-être manqué; nous aurions néanmoins le jugement plus tranquille.
Observation
XXIII (inédite). Rédigée d'après les notes de M
lgie droite signalées précédemment. Peut-être y a-t-il dans celte
observation
une certaine part a faire à la si- mulation vol
de la névrose. vi 8 H4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Observation
XXIV (inédite). Recueillie dans le service de M
jugeons tout commen- taire inutile soit avant, soit après les deux
observations
qui vont suivre. Observation XXV. Enfant de s
utile soit avant, soit après les deux observations qui vont suivre.
Observation
XXV. Enfant de souche névropatlcique. Pseudo-mé
rison com- plète. (111EDEL, in Berlin. Klin. Loch. 2 avril 1884).
Observation
XXVI. Accidents hystériques simulant une méning
ous avons pensé qu'il ne serait pas inutile de publier in extenso l'
observation
de ce malade et de la faire suivre de quelques
l de la lè- pre systématisée nerveuse et de la syringomyélie. I
OBSERVATION
. Homme 46 ans, né en France de parents français
. La sensibilité électro-musculaire est normale. II Telle était l'
observation
détaillée du malade au mois de juin 1892. Elle
VEUSE A FORME SYRIYG0111YÉLIQUE 135 III ' Le malade a été tenu en
observation
depuis le mois d'août 1892. Le 26 septembre, sa
ertain nombre d'autres, parmi lesquels il convient de signaler deux
observations
récentes qui sont dues l'une à M. Thihierge (1),
vince. Tenu pour lépreux à Lille, dans le service de M. Leloir, son
observation
, prise par M. Baude, figure sous cette rubrique
largeur de plusieurs centimètres. Pas de dévia- tion du rachis. L'
observation
de M. Chauffard est celle d'un homme de 4.1 ans q
on de la colonne vertébrale (du moins il n'en est, pas parlé dans l'
observation
). Ces faits démontrent, semble-t-il, que la sym
en ont également cité des exemples; nous même en fournis- sons une
observation
probante. Ces dissociations sensitives se retro
les pour asseoir un diagnostic différentiel. En comparant, avec les
observations
de syringomyélie franche, les faits de M. Thibi
érifié par l'au- topsie et dont M. Ghabanne a relaté brièvement les
observations
dans sa (1) Roth. Du diagnostic de la gliomatos
é recueillie et publiée par A. Dulil dans l'Iconographie de 18)2, l'
observation
d'un homme dont le tabes a débuté à t'age de 28
jour. » C'est à ce titre qu'il peut èlre intéressant de comparer l'
observation
qui suit à celles du même genre que l'on connait
nte. (1) 01uvî-es complètes de J. 11f. Charcot, L. If, p. 41. (2)
Observation
prise dans le service de M. Charcot et publiée da
jeter ici ce que M. Char- cot disait de Piq... dont il a rapporté l'
observation
dans sa leçon : « Le bassin est donc descendu d
ice affreux). Urines : ni albumine, ni sucre. Nous joignons à cette
observation
la note que M. le D'' Richer, chef de laboratoi
nous nous reportons aux données qui précèdent ». Au cours de cette
observation
nous avons signalé les quelques particula- rité
ue nous avons cités, 2 fois il y avait des crises gastriques dans l'
observation
d'Audibou et dans le cas publié par Bourneville e
s le cas publié par Bourneville et Fo- restier. En y joignant notre
observation
on aura dans la moitié des cas la coïncidence d
pas fréquents dans ces cas. Nous ne les avons rele- vés que dans l'
observation
de M. Raymond où il excitait une « anesthésie d
s ataxiques. Nous avons vu le rhu- matisme chronique signalé dans l'
observation
de M. Babinski (2) et dans l'observation V du m
e chronique signalé dans l'observation de M. Babinski (2) et dans l'
observation
V du mémoire de Truc, observation recueillie dans
tion de M. Babinski (2) et dans l'observation V du mémoire de Truc,
observation
recueillie dans le service de M. J. Renaut de L
é l'insuffisance aorti- que dont est atteinte J. Moneg. Or dans les
observations
d'insuffisance aortique chez les alaxiques, le
s objectifs qui permettent d'affirmer leur nature syphilitique. L'
observation
qui précède peut être considérée comme réalisant
les racines nerveuses qui en partent. Ilomolle en 1876 a publié une
observation
de syphilis spinale, avec examen anatomique, qu
initial des productions médul- laires syphilitiques. A propos d'une
observation
personnelle, ces auteurs décrivent avec détail
description, et qui présente des analogies remarquables avec notre
observation
I. Il s'agit d'une femme de 47 ans, frappée de
it être une thrombose ar- térielle dans les cas de ce genre ? Notre
observation
I qui fait mention d'o- blitérations veineuses
rétrocéder à un moment donné. Enfin le fait t de Siemerling, notre
observation
I nous paraissent de nature à donner une (1) LA
éservé dans ses conclusions : il fait remar- quer seulement que son
observation
n'est pas favorable à l'opinion de Baumgarten,
Quoi qu'il en soit, les détails anato- miques consignés dans notre
observation
personnelle (foyers gommeux mi- croscopiques de
ellules géantes) et que nous avons trouvés confirmés par d'au- tres
observations
, permettent d'affirmer que, dans certains cas au
s essentiels le processus méningo-vasculaire précédemment étudié. L'
observation
suivante en est une preuve. Observation IL Sy
re précédemment étudié. L'observation suivante en est une preuve.
Observation
IL Syphilis datant de 1 an. Paraplégie complète
uel ce malade a succombé a bien voulu nous permettre d'en publier l'
observation
, ainsi que l'examen anatomique de la moelle que
tout point semblable il celle que nous avons rencontrée clans notre
observation
I. En un point, cette infiltration est circonscri
que la littérature renferme, nous signale- rons tout spécialement l'
observation
de MM. Charcot et Gombault (1873), la première
émence peu- vent être différents, cependant on peut constater par l'
observation
, que les marques physionomiques de la démence s
les physiono- mies des fous sont rendues avec un si grand talent d'
observation
, nous mon- tre cet air de fatigue dans l'expres
ENCE APATHIQUE 181 pupille et en couvre la partie supérieure (1). L'
observation
est encore rendue plus facile par ce fait que l
ion de dégénérescence, comme on pourrait le croire à la lecture des
observations
mal fondées de Svietline et publiées par lui. Les
dégénéres- cence et même pour la paralysie générale progressive, l'
observation
a prouvé de la façon la plus évidente, que la r
eur voit faire. Ceux-ci sont d'abord profondément névropathes ; les
observations
en font foi. Et par surcroît, ils sont soumis i
DE DU JUIF-ERRANT Presque toutes les légendes tirent leur origine d'
observations
populaires portant sur des faits matériels. Le
essant de rapprocher les anciens récits dans toute leur naïveté des
observations
de nos malades, ainsi que les dessins primitifs d
n frappante de celle de nos malades, principale- ment de celui de l'
observation
III. Un portrait analogue (fig. 5) qui pourrait
r il cette étude iconographique, nous allons don- ner de suite- les
observations
de nos malades ; mais il importe de remarquer d
sant également de côté les tumeurs gommeuses des méninges (dont les
observations
ne sont pas moins rares) pour nous limiter aux
ffuses de la pachyménin- gite syphilitique. Tel est le cas dans l'
observation
suivante, qui nous a été communiquée par notre
s no' 2 et 3,. 1893; 206 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Observation
111. Syphilis 8 ans auparavant : K la suite, vi
nce bien : artilleur d'artillerie. (1) Il n'est pas spécifié dans l'
observation
si ces douleurs rachidiennes et les céplialées
en voit sur les coupes d'une artère saine. A plus d'un litre, cette
observation
diffère des deux précédentes. Au point de vue c
'indépendance que nous avons signalée à plusieurs reprises dans les
observations
précédentes. Enfin le microscope n'a pas montré
travail auquel nous venons de faire allusion, Jfir- gens rapporte 5
observations
qui justifient la description précédente. Un fa
cellules rondes et de corps granuleux. Nous signalerons encore une
observation
identique de Heuhner (1), une autre de Bruberge
s. Nous dé- crirons ces deux périodes en donnant à l'appui quelques
observations
nouvelles. PÉRIODE PRÉMONITOIRE Mentionnée
é, la douleur rachidienne se produit principalement la nuit. Dans l'
observation
V elle apparaît vers 10 heures du soir; d'autre
ialgie syphilitique. Toutes ces particularités se retrouvent dans l'
observation
suivante, qu'on peut considérer comme un bel ex
itique, au cours de laquelle s'est produite une hémiplégie spinale.
Observation
IV. (Due il l'obligeance de M. le ])1' Gilles d
s remercions vivement M. Gilles do la Tourette qui en a recueilli l'
observation
, et a bien voulu nous la communiquer). 1\1me il
à -1G ans. Une particularité également bien digne d'intérêt, dans l'
observation
qu'on va lire, c'est qu'il s'agit d'un névropat
ir été déterminée par un traumatisme moral, un revers de fortune.
Observation
V. (Communiquée par le M. le prof. Charcot ; le
é, à une affection exclusivement médullaire : tel est le cas dans l'
observation
précédente. Dans la suivante, où la mar- che de
oculo-moteur commun. 224 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE.
Observation
VI. (Communiquée par M. le professeur Charcot).
pécifique bien conduit peut prévenir des désordres irrémédiables. L'
observation
pré- cédente témoigne de cette heureuse influen
propre- ment parler ; et la guérison complète a été obtenue (1).
Observation
VII. Epoque de l'infection syphilitique 1'estée
es. Son père exerce encore le métier de marbrier, il (1) Dans cette
observation
, la méningite spinale a certainement intéressé le
ont exclusivement sous la dépendance de l'ischémie médullaire (voir
observation
II par exemple). Quoi qu'il en soit, un grand n
un processus analogue à celui que nous avons étudié précédemment. L'
observation
suivante en fait foi. La encore, la série des a
d'autant mieux que le malade a eu antérieurement de la diplopie.
Observation
VIII. Chancre induré, 2 ans avant les accidents
logie avec ce qui se produit dans le ramollissement cérébral. Notre
observation
I en est un exemple. Nous avons vu que, malgré
on spécifique. Nous pensons, en nous fondant principalement sur les
observations
qui précèdent, que le processus anato- (1) Icon
r à plusieurs reprises l'exactitude de sa des- cription. Toutes les
observations
de ce genre offrent une similitude com- plète e
eau de la paralysie spinale syphilitique telle que Erb la comprend.
Observation
IX. Chancre induré en avril 1891. Début des acc
r Erb, s'il se présente parfois bien isolé et sous sa forme pure (l'
observation
précédente en est un exem- ple),est fréquemment
'avoir pas il y revenir. Nous nous contenterons de prouver, par une
observation
nouvelle, que le tableau clinique de la paraplégi
ayant irrité légèrement les faisceaux mé- dullaires sous-jacents.
Observation
X. Chancre induré 8 ans avant les accidents ner
ace même de ces cicatrices. Nous pourrions également invoquer les
observations
V et VI comme exemples de paralysies spinales,
dans l'histoire de la maladie. Nous n'en voulons pour exemple que l'
observation
VIII rap- portée plus haut, dans laquelle les é
E. paralysies sont souvent incomplètes, partielles, transitoires. L'
observation
VIII est encore fort instructive à cet égard :
ail deGajkiewicz(l)sur la syphilis des centres nerveux accompagné d'
observations
personnelles, il est fait mention de troubles ocu
llaire, anomalies dans les mouvements réflexes de l'iris) dans cinq
observations
de paraplégie syphilitique qui se rappor- tent
en ont pas moins une grande signifi- cation à notre point de vue.
Observation
XI. Chancre induré de la verge en 1888 ; accide
réflexes de l'iris : nous nous contentons de relever ce fait. Celte
observation
est intéressante à un autre point de 262 NOUVEL
de la syphi- lis, qui ne sont pas sans analogie avec le suivant.
Observation
XII. Chancre induré 6 ans avant le début de la
nt méconnus en tant qu'indices d'une complication syphilitique, les
observations
de ce genre sont rares. Dans la majorité des
de soupçonner là autre chose qu'une coïncidence fortuite. Parmi les
observations
de syphilis médullaire précoce que MM. Gilbert et
férentes publications, on en trouve 10 sur 44 qui s'y rapportent. L'
observation
souvent reproduite de M. Déjerine (Re- vue de m
ît au sacrum, et le malade meurt le jour sui- vant. On trouve des
observations
analogues dans les thèses deBeaudouin (1), de l
16 premiers mois qui ont suivi l'ap- parition du chancre induré. L'
observation
suivante, en tout point compa- rable à celles q
igeamment com- muniquée par notre collègue et ami le D'' Souques.
Observation
XIII. Chancre induré 13 mois auparavant. Pas de
. Ou bien les accidents débutent par des troubles vésicaux : dans l'
observation
qui pré- cède, notre malade est atteint d'une r
servation XIII ou incomplète (Siemerling). Rappelons que dans notre
observation
I il est fait mention d'une anesthésie thermique
Rappelons que M. le professeur Hayem en 1874, à l'occasion des deux
observations
qu'il a publiées sous ce titre, fait allusion pou
Gilbert et Lion, en est encore un exemple. Dans une inté- ressante
observation
de Buttersack, accompagnée d'un examen anatomique
patlologique dans les méningo-myélites syphilitiques. En fait les
observations
publiées dans la dénomination de pseudo-tabes s
e, et même pendant les premiers mois. Il en fut ainsi dans sept des
observations
personnelles que nous avons rapportées. Dans un
ns des méningites diffuses que nous avons signalées (Ob- serv. III.
Observation
d'Oppenheim citée plus haut) (2). Depuis longtemp
ans relation avec l'état de prédisposition de celui-ci. Deux de nos
observations
sont spécia- lement instructives à ce sujet. No
alors et une paraplégie se déclare au bout de quelques mois. Dans l'
observation
VIII les accidents mé- dullaires sont précédés
distingue la méningite et l'arté- rite syphilitique du cerveau. Une
observation
attentive montre toutefois que cette distinctio
NÉVROPATHES VOYAGEURS (Suite ! ). LES NÉVROPATHES VOYAGEURS Les
observations
qui vont suivre ont toutes été recueillies à la S
; mais la proportion de ceux-ci est assurément con- sidérable. Les
observations
suivantes en font foi. Observation I. Klein,
ssurément con- sidérable. Les observations suivantes en font foi.
Observation
I. Klein, israélite hongrois, 23 ans. C'est le
pose aussitôt qu'il sera remis sur pied de partir pour le Brésil.
Observation
II (1). Moser B. dit Moïse, âgé de 38 ans, juif
l'Autriche, la Belgique, l'Angleterre etc. (1) Une partie de cette
observation
nous a été communiquée par notre ami M. le Dr D
on histoire misérable, cherchant toujours une introuvable guérison.
Observation
111 (personnelle). Gottlieb M., âgé de 42 ans,
. Puis il est parti promettant de revenir. On ne l'a jamais revu.
Observation
IV (1). Sigmund S... hystéro-neurastliénique, a
erçant. La dernière, mourut de la poitrine. (1) Une partie de cette
observation
nous a été obligeamment communiquée par notre e
e une hémicontracture gauche ; ce fait coïncide exactement avec les
observations
correspondantes de la moitié rétinienne. nasale d
al produit une hémi- contracture gauche ; ce fait coïncide avec les
observations
de la moitié tem- porale de la rétine de l'oeil
arche de la maladie jusqu'au ler février 1801, sonl fournies parles
observations
de l'hôpital pl'éo- bragencki où la malade a él
e nous nous arrêterons. Quoique ce cas continue à être soumis à mes
observations
, et que je ne considère pas celles-ci comme ent
m- munication, se basant sur des considérations théoriques et sur l'
observation
clinique de trois cas d'affection simultanée de
e, cette communication est trop incomplète et trop inexacte, et les
observations
elles-mêmes présentent trop de contradiction pour
ion de l'origine de l'otématome chez les aliénés; et cependant, les
observations
cliniques et anatol1lo-patho]ogi- ques récentes
1893, S. a reparu à la Salpêtrière, où nous avons pu continuer son
observation
. En quittant l'hôpital vers la fin de l'année 1
peu de celui des autres malades voyageurs dont nous avons donné les
observations
. C'est que S... n'est pas d'une origine aussi vul
bes. Les symptômes hystériques décrits dans la première partie de l'
observation
persistent pour la plupart. La raideur des me
les plus périlleuses et fournissait des courses surprenantes. A ces
observations
de Juifs névropathes errants, vient s'ajouter cel
vol. in-S". vi. 23 338 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Observation
V (personnelle). Rosa A..., Israélite, âgée de
ie pour la Russie confiante et rassérénée. Après lecture de leurs
observations
, on ne peut s'empêcher de recon- LE JUIF-ERRANT
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ments précis à cet égard dans quelques
observations
, soit que le malade n'ait conservé aucun souven
ariantes. Peut-être y a-t- il lieu de faire intervenir comme dans l'
observation
de S..., ce fait que les douleurs dont il souff
e du besoin de pérégriner. La chose mérite d'être contrôlée par des
observations
ulté- rieures. L'existence de ces pauvres hèr
reproduisent aussi exac- tement que possible celles des malades des
observations
Il et III, l'une frisant dans toute sa longueur
se limiter à ces symptômes purement neurasthéniques comme dans les
observations
II et III, il en est d'autres chez qui l'hystér
esque an complet les symplômes des deux névroses, tandis que dans l'
observation
I les phénomènes restent peu accusés pour l'une
opathes voya- geurs ; car ils échappent, par leur maladie même, aux
observations
com- plètes. On ne peut que répéter ce qui a ét
certain qu'on lui doitun livre, modeste d'apparence, mais riche en
observations
et en conseils précieux. « La Présence des Absens
E EN SÉMIOLOGIE moins souvent d'une fausse interprétation que d'une
observation
impar- faite des symptômes, qu'elles sont ordin
clusivement d'une disposition d'esprit, d'un état d'âme du sujet en
observation
; il peut être le résultat d'une auto- suggesti
ont la constatation nécessite l'intervention volontaire du sujet en
observation
, qui peut par des réponses mensongères induire
lative à un accident de travail s'il existe ou non chez le sujet en
observation
des désordres nerveux organiques ; elle est encor
se fonder afin d'établir le diagnostic ? Je vais vous rapporter une
observation
très ancienne, remontant à l'époque où j'étais
at d'âme assez commun, celui d'un homme n'ayant pas l'habitude de l'
observation
et de l'analyse des faits, émotif, doutant de l
journaux périodiques pour voir que dans la très grande majorité des
observations
d'hystérie (observations de troubles moteurs, a
voir que dans la très grande majorité des observations d'hystérie (
observations
de troubles moteurs, attaques, tremblements, et
seulement, faute de temps. Mais ils suffiront à vous édifier. i "
Observation
: Un enfant de 12 ans vient d'être atteint d'une
jouant, pour ainsi dire, le rôle de mandataire de son médecin. 2"
Observation
(extraite d'une conférence que j'ai faite il y a
tre reproduites volontairement par certains sujets. Toutefois, de l'
observation
de très nombreux hystériques que j'ai suivis s'
la recherche des troubles subjectifs peuvent être dues au sujet en
observation
. Toutefois, le rôle du médecin dans son enquête
ur les troubles subjectifs, en vous comportant auprès des sujets en
observation
et en les interrogeant conformément à la méthod
ratiquant superficielle- ment. Il y a encore une cause d'erreur d'
observation
que je veux vous signaler. Les orteils suivent
dont le système pyramidal fut sûre- ment en état d'intégrité. Mes
observations
montrent qus le phénomène des orteils peut être
S TENDINEUX ET DES REFLEXES OSSEUX. On est exposé à des erreurs d'
observation
nombreuses et lourdes si, dans la recherche des
emple, on recherche le réflexe rotulien, on demande à l'individu en
observation
de joindre les mains et de tirer très fortement
elle détermine géné- ralement des réactions musculaires entravant l'
observation
de la contrac- tion réflexe ; trop faible, elle
moins rarement défaut que celui du triceps brachial. D'après mes
observations
, parmi les réflexes du membre supérieur, il en
éen. Ce trouble a été autrefois signalé, il est vrai, dans quelques
observations
de tabes, mais on n'y avait attaché aucune vale
calisées, et de la névrite radiale, sur laquelle j'ai fait quelques
observations
nouvelles. Dans la névralgie sciatique, l'irréf
s réflexes mais qu'il n'avait jamais constaté leur disparition. Mes
observations
personnelles sont conformes à celles d'Erb. T
ian, en faveur de laquelle on invoque deux ordres de faits : 1° les
observations
anatomo-cliniques où une destruction transversa
re autres signes, par une abolition des réflexes tendineux ; 2" des
observations
cliniques où les réflexes tendineux et la sensi
ition des réflexes ten- dineux n'est pas non plus permanente. Une
observation
, qui a la valeur d'une expérience de laboratoire,
n 1885, dans les comptes rendus de la Société de biologie : . « L'
observation
fut commencée un peu plus d'une minute après l'ex
qui a persisté jusqu'à huit minutes après l'exécution. » . Cette
observation
, à première vue, semble décisive. Cependant on po
éflexes tendineux avaient subsisté jusqu'à la mort. Telles sont les
observations
de Kausch, de Joly et Lapinski, de Henneberg. S
s répondre par l'affirmative à la question posée. J'ai relaté (') l'
observation
d'un malade atteint d'une tumeur intra-crânienn
echerches anatomo-cliniques. Il est encore à remarquer que dans les
observations
étiquetées « hémiplégie infantile » il s'agit par
du cinquième segment, centre du réflexe de (') Si j'en juge par mes
observations
, la méningo-myélite syphilitique de la région cer
on étant aboli, celui de prona- tion fût exagéré. Il ressort de ces
observations
que le centre du réflexe de pronation se trouve
nsi (Revue neurologique, 1 ! l11, 2" semestre, p. t4t) ont publié l'
observation
d'un malade atteint d'une lésion traumatique de l
pparition du mouvement réflexe de flexion des orteils. Ces diverses
observations
montrent qu'en ce qui regarde les relations des
s être admise dans son ensemble. Je rappelle à ce propos que dans l'
observation
de MM. Dejerine et (') Sur la transformation du
acquièrent souvent une grande intensité, ainsi que l'ont montré mes
observations
. Dans les faits de cet ordre il y a souvent aus
cervicaux et la raideur qui en est la conséquence ne se mani- (') L'
observation
de cette règle, il est vrai, n'est essentielle qu
bien est très légère ; c'est, du moins, ce qui semble ressortir des
observations
anatomo- cliniques recueillies jusqu'à ce jour.
mais ils atteignent une très grande intensité. 84 SEMIOLOGIE Mes
observations
ont été confirmées sur tous les points par plusie
erez complètement dans vos tentatives. Ce sont, d'autre part, des
observations
nombreuses desquelles s'est dégagée cette notio
spasme glosso-labié une description magis- trale (') que toutes les
observations
recueillies depuis n'ont fait que confirmer (-»
ement qu'il doit faire défaut quand la paralysie est complète et, l'
observation
confirme cette vue de l'esprit. En effet, ce n'
quand on explore les réflexes rotuliens, on recommande au sujet en
observation
de fermer les yeux, de relâcher les muscles des
perturbation fait défaut dans l'hémiplégie hystérique. D'après mes
observations
, l'opinion de Rosenbach me paraît juste ; je ne
onté peut tout au plus, comme nous l'avons déjà indiqué, entraver l'
observation
des réflexes, mais ne peut en réalité ni les abol
endant subi une perturbation notable. A ce sujet, je rappelle une
observation
publiée par M. Barat et intitulée : « Substitut
si des illusions et peut-être des hallucinations auditives. » Les
observations
que je vais rapporter, tout en ayant des analogie
p. 52. 120 SÉMIOLOGIE Les recherches d'Oppenheim confirmèrent les
observations
précédentes. En effet, si dans 1' « Unterschenk
deux phénomènes sont donc en pareil cas nettement dissociés. Une
observation
anatomo-clinique relatée par Dejerine, Lévi-Valen
i, de Martel et Jumentié, Revue neurologique, 15 mai ioi 2 ; Barré,
Observations
VIII, XI et XVII de la Thèse de Gendron, in[3;
veau de la VIIe cervicale. Si je fais abstraction de ces diverses
observations
recueillies par moi et mes élèves, ie dois reco
e territoire des réflexes de défense. On est exposé à des erreurs d'
observation
et d'interprétation sur lesquelles je crois dev
déduire pour le diagnostic. Me plaçant d'abord sur le terrain de l'
observation
et écartant les inter- prétations pathogéniques
s heures d'intervalle. La description qui précède se rapporte à des
observations
faites sur des malades atteints d'affections or
s bien ce qu'il y a de mystique à se cantonner dans le domaine de l'
observation
clinique ; j'aurai plutôt mérité le reproche d'
osition inverse. J'ai cité autrefois, à l'appui de mon.opinion, une
Observation
anatomo- clinique relatée par Dejerine, Lévi-Va
dégénérescence dans les muscles de la jambe. M. Walshe récuse cette
Observation
à cause du passage suivant qu'on y trouve : « L
'est-à-dire comme à l'état physiolo- gique. » Je rappelle aussi l'
Observation
publiée par Pastine (') se rapportant à un suje
travail publié par moi en mars 1899 Q, basé en particulier sur une
observation
qui est un type de paraplégie en flexion, avec
ienne »....................... « Il est aisé de se convaincre par l'
observation
attentive que l'application de la bande d'Esmar
core en d'autres parties du membre inférieur. Comme on le voit, ces
observations
ont conduit à cette notion nouvelle, dont j'ai
le début, les réflexes tendineux sont amoindris. J'ai rapporté une
Observation
de ce genre dans une communication à la Société
ue théorique. Cette donnée est établie déjà sur un certain nombre d'
observations
où le diagnostic a été vérifié pendant l'opérat
e territoire des réflexes de défense. On est exposé à des erreurs d'
observation
et d'interprétation sur lesquelles je crois dev
du faisceau pyramidal font défaut ou sont peu prononcées. Plusieurs
observations
tendant à confirmer cette opinion ont été rapport
occuper dans la suite, manque ou est peu marquée. En tous cas, mes
observations
ont montré que l'intensité des réflexes de défe
depuis longtemps et j'ai précisément rapporté moi-même en 1899 une
observation
de ce genre que j'ai déjà rappelée. Mais il faut
l'appui de cette notion, je puis vous citer quelques extraits d'une
Observation
publiée par Jarkowski, Lecène et moi (Revue Neu
'avoir été l'ami, que je provoquerai de la surprise en rapportant l'
Observation
d'une paraplégie due à une tumeur comprimant la
e préalablement exagérés peut être un signe favorable, comme dans l'
observation
de tumeur que je viens de rapporter, elle peut
dée que de citer un passage du travail de MM. Marie et Foix('). Les
observations
qu'ils ont faites servent de base à leur concep
mais une règle souf- frant des exceptions si l'on s'en réfère à une
observation
de Lhermitte(') et dont voici le résumé : « Syn
t exclusivement par relâchement des fléchisseurs. Un passage de l'
observation
précédente de Lhermitte semble montrer qu'il n'
ils de cette question; je me contenterai de livrer comme document l'
observation
suivante recueillie avec un soin minutieux :
es troubles moteurs, la paraplégie spasmodique, la contracture. Mes
observations
m'ont conduit à assigner à chacune de ces deux fo
u bien est très légère ; c'est du moins ce qui semble ressortir des
observations
anatomo-cliniques recueillies jusqu'à ce jour.
ours présents. mais ils atteignent une très grande intensité. « Mes
observations
ont été confirmées sur tous les points par plusie
ion. Précédemment, j'en ai montré un bel exemple en vous relatant l'
Observation
d'une paraplégie due à une compression par tume
fait secondaire. Pour le fond de la question, M. Foix confirme mes
observations
. Au contraire, les neurologistes anglais, en pa
ndrome analogue. » Il faut s'attendre à la publication de nouvelles
observations
et à de nouvelles discussions. Le dernier mot s
hyperalgé- sique » ('), nous avons relaté, Jarkowski et moi, trois
Observations
de Syndrome de Brown-Séquard, dans lesquelles n
e fait que les réflexes de défense m'avaient paru dès mes premières
observations
particulièrement intenses dans les cas de compres
rteil s'étend quand le pied est excité sur son bord externe. De ces
observations
il semble permis d'inférer que, dans le cas où l'
nde principale- ment sur les renseignements fournis par le sujet en
observation
. Elle n'est pas pourtant impossible. Nous fai
plus grandes. Dans ces expériences l'effort d'attention du sujet en
observation
est identique à celui d'un simulateur qui cherc
stituent de véritables mouvements réflexes. Nous allons exposer les
observations
sur lesquelles ce travail est fondé ; elles se
rable à la mise en évidence des phénomènes que nous avons en vue.
OBSERVATION
I. Homme de 57 ans, probablement spécifique qui,
tre ici considérablement accrue pour que la réaction se produise.
Observation
II. Il s'agit d'un malade dont nous avons déjà ra
igi3, n° 12, p. 857)' .Il nous paraît inutile de transcrire ici cette
observation
; nous nous contenterons de noter que si les réa
n'ont pas été analysées là d'une manière aussi complète que dans l'
observation
I, quelques-uns des caractères essentiels dont
troubles sensitifs, nous n'avons plus noté alors d'hyperalgésie.
Observation
III. Homme de 53 ans. Après une période de malais
spira- tion bruyante. (Ce dernier caractère était très net dans nos
observations
I et III, et nous l'avons constaté encore dans
nt, il est vrai, on peut objecter, si l'on considère le malade de l'
observation
III, que l'absence de mouvement du côté de la lés
trêmement affaiblis ; mais cette objection n'est pas valable pour l'
observation
I, où SURRÉFLECTIVITÉ YPEALGES/()i7E 171 les
produite par l'excitation est plus vive et, comme on l'a vu dans l'
observation
II, la disparition de ces réactions spéciales s
s réflexes hyperalgé- 172 ' SÉMIOLOGIE siques et si, comme dans l'
observation
I. ces derniers existent parfois en l'absence d
est mieux, les faits le prouvent. C'est ce que l'on constate dans l'
observation
III. En ce qui concerne le mécanisme des réflex
aître le phénomène ? Nous ne pouvons pas l'affir- mer, car dans nos
observations
, la lésion n'atteint pas uniquement la voie sen
ntre l'oeil et la lumière, puis, après avoir recommandé au sujet en
observation
de fixer un objet éloigné, on retire brusquemen
teindre ce but, je fis pendant une dizaine de jours consécutifs des
observations
et des expériences qui m'ont renseigné, au moin
un troisième fait superposable aux deux précédents. Néanmoins, ces
observations
ne sont pas encore assez nombreuses pour qu'il
ditions qui permettent de mettre ce fait en évidence. L'individu en
observation
, après avoir eu un oeil hermétiquement clos, do
gie. Vol. 92, année 1902, p. 626.) SÉMIOLOGIE OCULAIRE 179 De ces
observations
et de ces expériences je puis tirer les conclusio
ace d'incoordination motrice. Chez la malade qui fait le sujet de l'
observation
I on constate que la pupille droite est plus pe
. Charpentier et moi, et notre opinion a déjà été confirmée par les
observations
de nombreux médecins^), que l'abolition du réfl
cette malade la lésion aortique aux troubles pupillaires. Dans l'
observation
II la pupille gauche est très dilatée, et l'on po
n du récurrent ? Pour résoudre cette question, il faut de nouvelles
observations
; j'in- vite donc mes collègues à examiner, che
o-myélite syphilitique avec signe d'Argyll Robertson. Les nouvelles
observations
que nous avons faites depuis la publication de
e, d'affection cérébel- leuse chez la malade qui fait le sujet de l'
observation
II... ' 186 SÉMIOLOGIE Pour bien comprendre l
usculaire étant normale, c'est à une perturbation dans la faculté d'
observation
, à l'asynergie, qu'il faut attribuer l'impossi-
es deux membres, le trouble du membre supérieur gauche s'impose à l'
observation
. On observe donc chez tous les- malades que je
dans certaines conditions, sont exécutés d'une manière démesurée. L'
observation
peut en être faite à l'occasion d'actes accomplis
tes rendus d'expériences. Nous n'avions pas eu connaissance d'une
observation
isolée de Hup- pert(') lorsque nous avons fait
hypermétrie. ASYNERGIE CÉRÉBELLEUSE. Nous avons été conduit par l'
observation
clinique à rassembler, sous la dénomination d'a
vi de type, nous rapportions un deuxième cas. Voici un extrait de l'
observation
: · La déambulation sans aide est impossible. Qua
me adiadococinésie proposé par Bruns et couramment employé dans les
observations
, il exprime par l'addition de l'a privatif la p
se utiliser pour résoudre cette question. En effet, dans beaucoup d'
observations
on trouve de simples mentions de ce genre : « a
e à la démarche ataxique. A ce propos, il est bon de rappeler les
observations
de O. Polimanti qui, chez le chien, après avoir
e pureté, sous un aspect saisissant. , A en juger par nos propres
observations
, la catalepsie pure, parfaite, est très rare ;
donc pas surpris que le phénomène soit beaucoup moins cité dans les
observations
des neurologistes que ceux que nous avons étudi
nt cette fonction. « Cela est incontestable, mais il résulte de mes
observations
que cette notion a besoin d'être précisée davan
plus attacher d'importance à la compensa- tion des troubles dans l'
observation
sur l'homme que le pouvoir de compensation du s
it porté le dia- gnostic de sclérose en plaques ». Dans certaines
observations
d'affections du cervelet, et surtout de tumeurs
en particu- lier du tremblement dans la sclérose en plaques. Des
observations
anatomo-cliniques précises permettront peut-être
aits nouveaux que j'ai constatés ressortiront du compte rendu des 2
observations
suivantes : Observation 1. Femme de 6h ans, n'a
tatés ressortiront du compte rendu des 2 observations suivantes :
Observation
1. Femme de 6h ans, n'ayant pas présenté pendant
. faible. Avec 33 volts et 4o milliampères, P. F. C. assez forte.
Observation
II. Femme de 28 ans, atteinte de névrite alcooliq
sement de la contractilité galvanique. Si nous comparons ces deux
observations
l'une à l'autre, nous voyons qu'en ce qui conce
pinion n'est pas exacte. Voici d'abord l'exposé de ces faits. .
Observation
I, Jeune homme de 27 ans, atteint depuis 1902 d'u
sont aussi hyperexcitables vis- à-vis des excitations mécaniques.
Observation
II. Jeune fille de 23 ans, atteinte depuis l'enfa
le que les troubles constatés chez le malade qui fait le sujet de l'
observation
I sont sous la dépendance d'une lésion occupant
ectrique du nerf facial qui constitue le trait intéressant de cette
observation
. Elle diffère absolument de l'hypoexcita- bilit
ue. Cette hypothèse me paraît d'autant plus accep- table que dans l'
observation
II, où la lésion occupe sûrement le tronc même
des secousses serait encore plus nette au pied qu'à la jambe, et l'
observation
confirme cette idée. Chez les malades de ce gen
ouvelle que nous avons appelée excitabilité faradique latente.- Nos
observations
ultérieures ont entièrement confirmé notre manièr
Babinski.] Publié dans la Revue Neurologique, n" de juin igoo. L'
observation
anatomo-clinique que je rapporte succinctement es
ils sembleraient appartenir à une fillette de 8 il 10 ans. Cette
observation
est intéressante à deux points de vue : d'une par
estion, ce qui tient sans doute à ce qu'on publie de préférence les
observations
où le diagnostic clinique a été vérifié par l'e
, elle se trouvait du côté opposé à celui où on l'avait cru située.
Observation
I. Homme de QI ans, commence au mois d'août igi8
come angiolithique né dans le tissu conjonctif des méninges molles.
Observation
II. Homme de 5 ans. En décembre 1908, il commence
avais pas été en mesure de pousser plus loin la précision. Dans l'
observation
I, je ne m'étais pas cru en état de déterminer le
le côté gauche et en définitive j'étais resté dans le doute. Dans l'
observation
II, je croyais que la tumeur se trouvait dans le
rs, qui étaient unilatérales, siégeaient du côté de l'hémiplégie.
Observation
. C..., àgé de 43 ans, garçon de magasin, entre le
ec celle de Pal ne décèle aucune dégénérescence. En résumé, cette
observation
vient à l'appui de cette idée, soutenue précéde
mpte à son actif des succès remarquables. Mais il ressort aussi des
observations
recueil- lies jusqu'à présent, que les guérison
es. Druault, Dupuis-Dutemps, de Lapersonne, Abadie ont rapporté des
observations
de ce genre. J'ai relaté avec Chaillous (') des f
été considéra- blement exagérés, on a publié, il est vrai, quelques
observations
où la mort a été consécutive à cette opération,
e membre inférieur est atteint. Mais l'intérêt principal de cette
observation
consiste en ce qu'elle peut contribuer à éclair
pyramidal. M. Destarac, dans un travail tout récente), rapporte une
observation
qui a quelque analogie avec la précédente. Il s
cette malade, M. Destarac a constaté le phénomène des orteils. L'
observation
de l'homme, que je soumets aujourd'hui à l'examen
n réflexe du gros orteil ou le signe de l'éventail. Ces nouvelles
observations
ont fortifié dans mon esprit l'opinion que j'ai
') Voir, pour l'énumération de ces exostoses, une note détaillée de l'
observation
publiée dans la Revue neurologique (N. d. 1. R.
ent aux phénomènes spasmodiques précédents. C'est là une nouvelle
observation
à ajouter à celles que l'un de nous a rapportée
trois ans. En ce moment, cette femme, que je soumets de nouveau à l'
observation
de la Société, peut tenir sa tête absolument im
ogie humaine des faits identiques. Cependant, en me fondant sur mes
observations
personnelles, je crois pouvoir dire que chez l'ho
des résultats de ces interventions, et il est incontestable que les
observations
sont d'autant plus instructives que la période
autre fait analogue au précédent. J'ai relaté aussi en 1910 C) l'
observation
d'un malade atteint de mouve- ments spasmodique
epuis 17 ans. Il me paraît impossible de ne voir dans cette série d'
observations
qu'une simple coïncidence entre la guérison ou
l'hypothèse de mutisme hystérique car, en pareil cas, comme dans l'
observation
de notre malade, l'intelligence est parfaitemen
ctères que Charcot assignait au mutisme hys- térique. Mais dans les
observations
de cet ordre qui ont été relatées, diverses par
ons hystériques, car il n'est pas du tout permis de conclure de nos
observations
qu'ils soient susceptibles de disparaître sous l'
CERVELET, DU BULBE ET DU LABYRINTHE AFFECTIONS DU CERVELET I
OBSERVATION
PRINCEPS [J. BABINSKI.] Publié dans les compt
n des yeux Fig. 10. Physionomie du malade au repos. Fig. 1 J.
OBSERVATION
PRINCEPS 287 n'accentue pas les troubles qui so
tude d'un sujet sain faisant effort pour se mettre sur son séant.
OBSERVATION
PRINCEPS 2 8 j arrière avant d'avoir fait att
; la pupille se contracte à la lumière. Le seul trouble que l'on y
OBSERVATION
PRINCEPS .<; 29 t constate est du nystagmus,
iques, en partie nou- veaux, qu'il nous a été donné de constater.
Observation
I. F. P..., âgé de 5o ans, entre le 5 octobre igo
ues dans le faisceau de Gowers. Il est à remarquer que comme dans l'
observation
d'hémiasynergie que l'un de nous a publiée autref
es i vaso-moteurs et thermiques à forme hémiplégique. Voici cette
observation
: B..., âgé de 35 ans, sommelier, entre le 9 ma
24 mars 18qq. E viens faire part à la Société médicale de quelques
observations
contracture des membres inférieurs, de paraplég
anatomiques. Voici d'abord l'exposé des faits que j'ai observés :
Observation
I. L. Michel, âgée de cinquante ans, entre le 18
pes dans toute sa hauteur, ne présente aucune trace d'altération.
Observation
II. Pillot, âgée de soixante-dix-sept ans, est ad
use légère telle qu'on l'observe fréquemment chez les vieillards.
Observation
III. E. Pradine, âgée de cinquante-six ans, est
fait, ainsi que sur l'absence de trépi- dation épileptoïde ; cette
observation
montre donc qu'une contracture très forte, d'or
e un degré exceptionnel d'intensité. Si maintenant on rapproche ces
observations
les unes des autres, on doit remarquer que les
provoque l'attitude de la flexion forcée. , A. FroenkelQ rapporte l'
observation
d'un malade atteint de tumeurs des méninges rac
e la moelle par le néoplasme. Si l'on considère que, dans mes trois
observations
, le renflement lom- baire ainsi que ses racines
ne pas être frappé par ce caractère anatomique com- mun à mes trois
observations
, à savoir que la dégénération secondaire des fa
énération secondaire des faisceaux pyramidaux fait défaut; dans les
observations
I et III elle manque complètement ; dans l'obse
t; dans les observations I et III elle manque complètement ; dans l'
observation
II : elle n'existe qu'à l'état de traces et n'a
ORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 325 Je rapprocherai de ces faits une
observation
de pseudo-sclérose en plaques que j'ai rapporté
tème nerveux ne présentait pas d'altérations organiques. Enfin, l'
observation
même de Fraenkel corrobore ma manière de voir,
s'appliquer aussi à la contracture des membres supérieurs ; dans l'
observation
I, la contracture de la main droite était extrême
e à une lésion organique et sans dégénération du système pyramidal.
Observation
. I. Société médicale des Hôpitaux de Paris, séanc
l'absence de névrite oedémateuse, de nausées et de céphalée. Cette
observation
montre que ces arguments sont loin d'être décisif
pas à une dégénération secondaire des faisceaux pyramidaux. .. L'
observation
de faits nouveaux me conduit à préciser davantage
en était ainsi, par exemple, chez la malade qui fait le sujet de l'
observation
I de mon premier travail, précédemment cité ; ell
commence- ment jusqu'à la fin ; je rappelle à ce propos que dans l'
observation
déjà citée deux fois, où la contracture en flex
ntié.] Publié dans la Revue Neurologique, n° 12, décembre 1921. L'
observation
clinique que nous rapportons est celle d'une mala
s n'ont observé les poussées rythmées que nous décrivons dans cette
observation
. Ce rythme a les caractères suivants : i" Cri
ucune lésion osseuse. En terminant, nous ferons remarquer que cette
observation
clinique met en évidence l'indépendance de la s
e à une contracture vraie ; cela ressort nettement des détails de l'
observation
. La contracture, à la vérité, est un phénomène
faiblissement ou l'abolition du réflexe du tendon d'Achille. Mais l'
observation
seule pouvait renseigner sur la fréquence de ce
sujet que je viens faire connaître aujourd'hui à la Société. Mes
observations
me conduisent à cette opinion que l'affaiblisseme
ilis peuvent être méconnus. Il est à remarquer que la malade de l'
Observation
I, sauf les ulcérations anales probablement syp
h. Cette coexistence a, du reste, été déjà notée dans plusieurs des
observations
antérieurement publiées. Le lien principal qui
e souvent méconnu s'il n'est pas systématiquement recherché. Dans l'
observation
II, il n'était pas venu à l'esprit du père, ni
oit de dire qu'il s'agissait de tabes hérédo-syphi- litique. Dans l'
observation
I, le père ne se doutait pas que sa fille fut a
n suppose que l'un des conjoints a été contaminé par l'autre. Mes
observations
m'ont appris que le plus ordinairement le tabes n
différant du pseudo-tabes vulgaire, d'origine alcoolique. Voici l'
observation
de celte malade : Femme de 28 ans, mariée depui
es troubles qui dépendent manifeste- ment de la syphilis. Voici les
observations
de ces deux malades : Observation I. Femme âgée
ment de la syphilis. Voici les observations de ces deux malades :
Observation
I. Femme âgée de 58 ans, ayant eu d'un premier ma
atteint de tabes et qu'il s'agisse là d'un cas de tabes conjugal.
Observation
II. - Homme âgé de 4 ! , ans, ayant eu un chancre
out l'évolution fatale de son atrophie. Il nous a semblé qu'à cette
observation
, il serait intéressant de joindre une étude des
ers. M. Morax a eu l'obligeance de nous autoriser à puiser dans les
observations
de son service de l'hôpi- tal Lariboisière. Nou
r qu'il y a intérêt à essayer de fixer, en réunissant de nombreuses
observations
, le type ou les types cliniques que peut revêti
même temps que se rétrécit le champ visuel. Dans la quarantaine d'
observations
qui forment notre matériel clinique, nous const
étrécissement prend parfois une forme concentrique. Dans toutes nos
observations
, il s'agissait de tabétiques avérés, présentant
étrécissement du champ visuel, diminution de l'acuité visuelle. Nos
observations
personnelles confirment cette donnée depuis lon
off, par Jacobson, par Morax. Nous en rapportons aujourd'hui quatre
observations
inédites, ce qui tendrait à prouver que cette f
ste des années. On peut, tout au moins, supposer que, dans deux des
observations
, le traitement hydrargyrique a contribué à main
-I1 : I. J. Gale- zowski et A. Lobel en ont rapporté récemment six
observations
. On doit regretter que la grande majorité de ce
éma du champ visuel, ou que les schémas ne soient pas accompagnés d'
observations
. D'après ces observations, la plupart des cas d
e les schémas ne soient pas accompagnés d'observations. D'après ces
observations
, la plupart des cas de scotome central consta-
central z 356 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE apparent. L'
observation
du malade que M. Morax nous envoya à l'hôpital
bser- vation suivante : , Le cas que nous rapportons est donc une
observation
typique de syn- drome de Brown-Séquard ayant su
aumatique de la moelle dorsale. L'intérêt tout particulier de cette
observation
tient à ce que nous avons pu l'observer à une é
de cette affection. Il nous a paru intéressant de rapprocher notre
observation
de celles déjà publiées et rapportées dans le t
de Petren et qu'il cadre bien avec les faits qu'il a établis. Notre
observation
présente encore certaines particularités sur lesq
ons à souligner ces faits qui, s'ils étaient constatés sur d'autres
observations
, tendraient à faire penser que sur le tronc, à cô
qui nous semblent dignes d'être rapportées. Chez un premier malade (
Observation
I), atteint de paraplégie avec anesthésie remon
la valeur ; mais, auparavant, nous donne- rons le résumé rapide des
observations
, avec, pour chacune, le schéma des troubles de
s schémas représentés ont été trouvés tels dès le premier examen.
Observation
I. D..., LI3 ans. Vers le milieu de février igo
olontaires des membres sont plus violents, et presque continus. '
Observation
IL Mme B..., 4g ans. Il y a ro ans des douleurs
ion peut nous servir à interpréter le cas de la troisième malade.
Observation
III. M"e F..., 32 ans. Cette malade est atteint
(sacrés, sacrés et lom- baires) et nous rapportions en même temps l'
observation
des trois malades chez qui nous avions observé
s observé cette particularité. M. André Thomas a publié depuis(=) l'
observation
de 3 malades atteints de lésion transverse de l
que, est absolument comparable à ceux dont nous avons déjà publié l'
observation
; le second, syringomyélique, est à beau- coup
quel nous avons attiré l'attention. Voici l'exposé de ces nouvelles
observations
: Premier malade (quatrième cas). - NI. E..., n
recherches bibliographiques viennent de nous faire découvrir quelques
observations
semblables aux nôtres dans un travail de IL Hea
ssion de la moelle. Tel est le résultat auquel nous ont conduit nos
observations
. Mais nous devons ajouter immédiatement que dan
gage des faits que nous avons relatés autrefois et que de nouvelles
observations
ont confirmée pourrait permettre au chirurgien
de la Société de Neurologie de Paris, séance de novembre J 9 JI.
Observation
. Mme T..., âgée de 62 ans, d'une bonne santé jusq
d'être revisées et à l'appui de cette allégation nous rela- tons l'
observation
complète d'un cas de méningite cervicale hypertro
tomique vient augmenter l'importance. Les pièces et coupes de cette
observation
ont du reste fait l'objet d'une com- munication
i gog à la Salpêtrière (2) : et qui ensuite fut remise à la Pitié.
observation
(1re période). 12 août 790 ? La nommée L ? âgée
ège des lésions qui les avait déterminés. Le rapprochement des deux
observations
prises à une année d'intervalle nous avait mont
la vérification anatomique de ce cas et elle vient compléter cette
observation
; aussi la rapportons-nous en détail ainsi que
NS DE LA MOELLE davantage de cavité médullaire comme dans certaines
observations
. Les lésions médullaires semblent dues beaucoup
n cellulaire, gomme, endartérite). Il est certains côtés de cette
observation
qui nous ont paru particulière- ment intéressan
isante pour servir de repère. Nous avons constaté en effet dans nos
observations
, que la zone d'hypoesthésie marquée est netteme
les notions dues aux travaux de Scherrington, sont fondées sur nos
observations
anatomo-cliniques. Nous pouvons dire qu'en nous
de résoudre. C'est bien moins par des vues de l'esprit que par des
observations
cli- niques soigneusement recueillies qu'on peu
er quelques faits qui constituent une contribution à cette étude.
Observation
I. Mme B..., 62 ans. Elle dit que l'affection don
r, actuellement, depuis 8 ans, la malade est complètement guérie.
Observation
II. Mlle B..., 23 ans, nous est adressée par le P
apparue une certaine gêne de la marche. Toutefois, d'après quelques
observations
faites par les siens, il semble que ces trouble
elle marche bien plus facilement qu'avant l'opération. Dans cette
observation
il y a plusieurs points qui nous paraissent parti
c Enriquez et Jumen- tié, a rapporté un cas de ce genre ('). Mais l'
observation
que nous venons de relater semble établir que l
chute brusque de la pression artérielle, expressément notée dans l'
observation
. L'intervention chirurgicale avait donc eu d'ab
descendra dans le cul-de-sac dure-mérien où, d'après les nombreuses
observations
recueillies par M. Sicard, la présence de l'hui
kowski. | Publié dans la Revue Neurologique, n" 6, juin l {J / q.
Observation
. Mme BI. M..., âgée de 53 ans, sage-femme. C'est
r un peu les jambes. (1) Nous avons eu l'occasion de signaler cette
observation
dans une communication 1. l'Académie de médecin
lité profonde. Voici les conclusions que l'on peut tirer de cette
observation
: 1° Une tumeur extra-dure-mérienne peut évolue
OWSKI. Publié dans la Revue neurologique, n° 12, décembre 1926. L'
observation
que nous allons relater est banale à certains éga
aleur localisatrice. » Comme nous l'avons dit dans la relation de l'
observation
même, du point de vue de l'épreuve de l'huile i
l'arrêt pouvait faire défaut en cas de néo- plasie ; mais, dans son
observation
, les signes de compression étaient encore très
forme, qui, à première vue, pouvait surprendre. En effet, dans des
observations
antérieurement publiées, il avait été noté que
t en dehors des mé- ninges ? C'est là une question que de nouvelles
observations
pourront seules résoudre. XVIII . MONOPLÉGI
à la séance du 15 décembre ig2 ('). Nous rapportons aujourd'hui l'
observation
clinique de cette malade et nous chercherons à
orme sur ce dernier point ce qui résulte incontestablement de cette
observation
, c'est qu'une lésion spinale lombo-sacrée peut,
umeur bien au-dessous de la région qu'elle occupait réellement. Nos
observations
nous ont amené à adopter la règle suivante : il f
e nous avons eu l'occasion d'observer jusqu'à présent. Voici deux
observations
de cet ordre, avec contrôle anatomique. Observa
. Voici deux observations de cet ordre, avec contrôle anatomique.
Observation
I. Femme de 49 ans. Après une phase de douleurs r
bant et comprimant la moelle entre la 5e et la 6e racine dorsale.
Observation
Il. Homme de 66 ans. Mal de Pott. Paraplégie pres
sez complexe, me paraît digne d'être rapportée. i Il y a dans cette
observation
quelques faits qui sont rigoureuse- ment établi
res. Si cette hypothèse était exacte, on pourrait conclure de cette
observation
que la thérapeutique a une action bien plus grand
ses hypothèses qui demandent à être vérifiées à l'aide de nouvelles
observations
. SEP TIÈME PARTIE AFFECTIONS DES NERFS 13AD
r mon maitre Charcot sur la scoliose sciatique. J'en ai relaté cinq
observations
; le caractère essentiel de la déformation décrit
96, avait été, il est vrai, mentionnée déjà par Sternberg dans deux
observations
mais il n'avait pas retenu l'attention des clin
re sujet, atteint de la même affection, que j'ai pu soumettre à une
observation
de nuit, la réalité de ce phénomène a été nette
ils ont, je crois, de l'importance parce que, si j'en juge par mes
observations
, ils semblent constants dans cette affection, et
us il ne me semble pas prouvé qu'en pathologie humaine il y ait des
observations
rigoureuses établissant ce fait ; en effet les ne
al non douloureux : mais, quoique persuadé de l'exactitude de cette
observation
, je ne crois pas devoir m'incliner devant elle, c
e et Landouzy déclarent que le fait leur parait inexplicable. Des
observations
faites sur plusieurs malades atteints de dystroph
ures conditions pour guérir sous l'influence de la persuasion. Or l'
observation
vient donner un démenti à ces vues préconçues ;
ères de la définition proposée; c'est tout bonnement une question d'
observation
et d'expérimentation cliniques. Je prévois une
d'une amyotrophie hystérique ; ce n'est qu'à la suite de nombreuses
observations
identiques que l'affirmation a été per- mise.
eur oculaire commun ou la paralysie du moteur oculaire externe. Les
observations
de ce genre qu'on a publiées et qui ont été ran
convenablement et dénommée d'une manière très expressive. Mais une
observation
plus rigoureuse des faits conduisit plus tard à
s, des ulcérations et même des gangrènes; on a publié de nombreuses
observations
d'oedème hystérique et en particulier d'oedème
a suggestion, car cette allégation est en désaccord flagrant avec l'
observation
; soutenir à un individu dont les muscles fonctio
à des paralysies limitées au territoire d'un nerf périphérique. Les
observations
sur lesquelles on s'est appuyé pour admettre ces
ue la notion de la « mydriase hystérique » repose sur des erreurs d'
observation
ou d'interprétation. Je prétends aussi que la r
rganique mal interprétés qui ont trompé certains médecins, dont les
observations
ont été acceptées sans contrôle suffisant, Je me
ndaires. La polyurie dite hystérique, dont j'ai moi-même publié une
observation
autrefois, me parait être simplement une émissi
existence n'est rien moins qu'établie. On a publié de nombreuses
observations
de fièvre hystérique, on en a relaté de nouvell
ne maladie infectieuse associée. Généra- lement, les auteurs de ces
observations
s'appuient dans leur diagnostic sur ces deux ar
inion sur cette question, qui mérite d'être posée et discutée. De l'
observation
de très nombreux hystériques que j'ai suivis s'es
ire dans un point préalablement détérioré, et c'est ce que montre l'
observation
. Quant à l'hémianesthésie, M. Bernheim a eu, il y
auprès du directeur d'un journal neurologique pour obtenir que son
observation
fut publiée ; lui ayant fait remarquer qu'elle
classiques, n'était pas mise en doute, et il m'avait semblé que mon
observation
n'avait pas besoin d'être approfondie davantage.
u'on est autorisé à légiférer et encore avec la restriction que des
observations
nouvelles pourraient conduire à la revision des
es ou dans les réflexes cutanés ; elle peut rendre plus difficile l'
observation
de ces phénomènes et l'entraver plus ou moins p
articulier à l'hémi- anesthésie sensitivo-sensorielle. De pareilles
observations
sont loin d'être démonstratives pour ceux qui s
sions d'absurdes et qu'ils ont le plus vif désir de guérir ; mais l'
observation
montre que leur volonté n'a sur ces troubles qu
cette étude que la conception ancienne de l'hystérie fondée sur des
observations
les unes insuffisantes, les autres erronées, ne
orte d'autant plus de chances d'exac- titude qu'elle repose sur des
observations
plus nombreuses et plus lon- gues. Aussi, n'y
e souvenir des événements accomplis pendant le sommeil ? Toutes mes
observations
infirment cette idée. Après une séance d'hypn
accidents hystériques en apparence spontanés n'a jamais été niée; l'
observation
clinique l'établit avec une telle évidence qu'u
on la considère comme une cause de l'accident produit. Ce sont des
observations
de cet ordre qui ont conduit à l'opinion classi
érique et rigidité décérébrée », ont relaté, avec grands détails, l'
observation
d'une malade sujette à des crises de cata- leps
ître sous l'influence de la persuasion (contre-suggestion) seule. L'
observation
long- temps poursuivie sur un grand nombre de s
ériques transitoires un cachet d'authenticité. Dans la majorité des
observations
relatives à des sujets considérés comme hystéri
ongue période de trente-quatre ans ! Cette malade est soumise à notre
observation
depuis quinze ans, et jamais l'hémianesthésie e
ruk et Lamache semblent en faire bien peu de cas puisque, dans leur
observation
qu'ils intitulent eux-mêmes « Catalepsie hystériq
re-suggestion) seule. Si cela est exact, et c'est là pure affaire d'
observation
, la définition que j'ai donnée du pithiatisme e
ôpitaux, beaucoup moins fréquentes qu'elles ne l'étaient jadis. Nos
observations
, celles de Chauffard, Brissaud, Chaslin et de b
ations sanitaires de l'ar- rière, ont cru pouvoir établir par leurs
observations
que l'émotion seule, jL ? y.S7'M/Ë' PENDANT LA
remarquer par son courage et son sang-froid, a fait d'intéressantes
observations
sur les effets de l'émotion. ' Nous extrayons d
tachypnée, la miction. A ces témoignages il faut joindre la série d'
observations
saisissantes que Jean Clunet, héros d'une énerg
période de retour à la vie normale) Comme le remarque Clunet, les
observations
faites à bord de la Pro- vence II, dans la prem
ccidents hystériques à l'occasion de l'émotion. Les résultats des
observations
sont tout différents dès qu'on s'éloigne de la
même constater cet état confu- sionnel intercalaire dans beaucoup d'
observations
publiées il y a longtemps et dans lesquelles le
venons de relater viennent confirmer ce fait qui résultait déjà des
observations
recueillies avant la guerre. Entre le choc émot
ublications de ces deux dernières années nous n'avons trouvé qu'une
observation
, recueillie par Chartier qui put sembler en oppos
centres ou des troncs nerveux. Aucun des caractères signalés dans l'
observation
ne permet d'écar- ter ce diagnostic qui n'a mêm
bles nerveux constatés. Le fait est nettement mis en évidence par l'
observation
suivante (Leriche et Froment) : Sous l'influenc
ant l'observateur, les sujets observés et les conditions mêmes de l'
observation
. Il est incontestable en tout cas qu'à l'heure
ystériques au moins persistent durant le sommeil normal. » D'autres
observations
du même ordre ont été rapportées par Sollier.
s enfin que l'on à eu affaire là, à des sujets traumatisés ; dans l'
observation
de G. Ballet, la contracture s'est développée con
ogie de Paris le 4 février IgI5, Déjerine présentait pourtant trois
observations
, empruntées à la neurologie de guerre, à l'appu
nir irréductibles. ' . 5 2 II YSTI`RIE-PITIII : 1TIS.lIL Quelques
observations
d'oedème hystérique ont été cependant publiées
, l'épreuve thérapeutique n'a donné de résultat positif. Si, dans l'
observation
de Lebar, l'oedème et la contracture s'atténuèren
bations du système sympathique, d'ordre réflexe. En dehors de ces
observations
très sujettes à caution, aucun cas de trou- ble
avons spéci- fiées se trouvent réalisées. C'est ce qui résulte des
observations
de plu- sieurs de nos collègues, en particulier
visuelle que Crouzon a guéri les trois commotionnés dont il donne l'
observation
. Tous nous avons obtenu semblables résultats de
UX D'ORDRE RÉFLEXE 553 Le discrédit dans lequel étaient tombées les
observations
anciennes de contracture et de paralysies amyot
. Charcot. Il en sera sans doute de même pour une grande partie des
observations
d'atrophie. » Cette manière de voir était la co
d'entre eux ne rapproche ces faits des descriptions anciennes. L'
observation
attentive d'un malade présentant un type de paral
es malades dont il a été question précédem- ment et chez lesquels l'
observation
pendant la narcose avait mis hors de doute l'ex
, décrite par nous dans ce groupe de faits, a été confirmée par les
observations
ulté- rieures de P. Marie et Foix et de Sicard.
. En outre, certains des phénomènes que nous avons mis en évidence (
observations
pendant la narcose, caractères des troubles vas
soit le degré d'inlensité rentre dans le cadre de la paralysie. Cette
observation
a pour but de mettre le lecteur en garde contre
par G. Roussy (Rev. lieur., avril-mai 1917, p. 255), à propos d'une
observation
sur l'interprétation de laquelle nous faisons d
our notre part entièrement cette dernière manière de voir que notre
observation
actuelle vient confirmer. Le réchauffement des
ue, mais affectait, ainsi que le montrent les schémas annexés à nos
observations
, un type nettement radiculaire. Nous avons élim
rétractions fibreuses, les doigts restaient immobiles. Ces diverses
observations
établissent entre les contractures dites réflexes
e peut s'associer à une hypertonie réflexe légère mais rebelle. L'
observation
que rapporte Clovis Vincent et dont nous faisons
ti avec un reliquat. Je pourrais, ajoute C. Vincent, multiplier les
observations
analogues. Elles se sché- matisent toutes de la
phique, ajoute encore Charcot, du moins à en juger par les quelques
observations
que je vous ai présen- tées, les conditions qui
ultats (') Il y a lieu de rapprocher de ces faits les intéressantes
observations
faites par Monier-Vinard sur des sujets qui ava
sang, février 1917. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5 (à de nos
observations
oscillométriques. Il s'agit donc d'une excitation
us avons présenté et dont, plus haut, nous mentionnons brièvement l'
observation
. Au cours de la discussion qui suivit cette pré
nt où le traitement par les injections de calomel a été institué.
Observation
II. Homme âgé de ll6 ans au moment où je le vois
de la vision n'a pas été assez mise en relief, si l'on excepte les
observations
publiées par l'un de nous en 1901 à la Société mé
ns cas d'affection du nerf optique. Nous voudrions montrer, par nos
observations
, tous les bénéfices que l'on peut retirer de la p
udemment, selon les règles d'une technique bien établie. Nos huit
observations
seront suivies de quelques réflexions qu'a fait
oxima- tivement d'après l'étiologie que nous leur supposons. Dans l'
observation
I, il s'agit nettement de troubles de compressi
aisemblablement dus à un épanche- ment intra-crânien. Dans les cinq
observations
suivantes, on retrouve des symptômes de méningi
ouble des nerfs crâniens, en dehors de la névrite opti- que. Dans l'
observation
VI, l'étiologie est douteuse. Il est vraisemblabl
un cas de méningite. C'est surtout l'étude clinique des malades des
observations
I, II, III, IV, V, qui nous a permis de suivre
de l'acuité et du champ visuel, comme on peut le constater dans les
observations
V et VI. Dans ces conditions, les troubles subj
une amélioration a été obtenue sont exceptionnels. L'analyse des
observations
que j'ai rapportées montre que les cas où le bi
voir amené aucune modification dans l'évolution de l'affection. Ces
observations
sont trop peu nombreuses pour qu'il soit permis
une paralégie spasmodique en flexion des plus caractérisées. Cette
observation
n'ayant pas encore été publiée et présentant, j
re malades, la guérison complète et définitive a été obtenue. Les
observations
de trois de ces malades, les plus anciens, ont dé
de Bergonié, et nous avons obtenu ainsi un résultat remarquable.
Observation
. - 1-1. C...., âgé de 52 ans, souffre depuis dix
ur à l'effet de toutes les autres opérations. Nous concluons de l'
observation
de ce fait que, même dans les cas les plus grav
elation de cause à effet ? C'est là que gît tout l'intérêt de cette
observation
, simple- ment curieuse dans la première hypothè
pas eu, là aussi, une action thérapeutique ? Il me semble que ces
observations
méritent au moins d'être le point de départ de
. séance du 1 el' mars igoy. Ai rapporté, en novembre dernier('), l'
observation
d'un enfant de t quinze ans atteint, consécutiv
X, il y a mieux qu'une coïncidence, un rapport de cause à effet.
Observation
I. - inti. Bl... exerce à Versailles la professio
achilléen. Un an plus tard, la guérison complète s'était maintenue.
Observation
II. Mme C..., caissière, 36 ans. La maladie déb
LA SCIATIQUE 61f) Celle-ci fut pratiquée de même manière que dans l'
observation
I. On fit tomber sur chaque région douloureuse,
atique-névrite, a un réflexe achilléen normal à droite et à gauche.
Observation
III. M. T..., âgé de 35 ans, a eu, au mois de jan
sans canne pendant 3 ou ft heures. Le réflexe est toujours aboli.
Observation
IV. M. M..., âgé de 4o ans, souffrait depuis long
5 décembre 19 10. La manière de procéder est la même que celle de l'
observation
III. La troisième série de séances se termine l
guéri, marche sans canne et très délibérément. De l'ensemble de ces
observations
, il résulte que les rayons X paraissent avoir u
iable et même une guérison définitive. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE i.
Observations
de rechutes pendant la convalescence de la fièvre
herniaire (Société de Neurologie, 18 mars i g r 5). 219. Quelques
observations
sur les lésions des nerfs (Société de Neurologie,
ERVELET, DU BULBE ET DU LABYRINTHE - Affections du cervelet. I. -
Observation
princeps 285 IL - Syndrome cérébelleux 293 ,
glandes sub¬linguales sont saines. — Nous pouvons noter dans cette
observation
deux symptômes importants : ce sont l'anesthôsie
e toujours de l'hypéresthésie delà peau, et à tel point que, dans une
observation
rapportée par Trousseau, on ne pouvait toucher le
IEN DE l'hÔPITAL SAINT-ANTOINE. Le malade dont nous allons donner l'
observation
est un homme de 58 ans. Sans antécédents maladifs
Nous croyons bien faire en mettant sous les yeux de nos lec¬teurs une
observation
de résection de l'épaule pratiquée avec suc¬cès p
iquer, au moins sommairement, les diverses variétés d'anencéphalie.
OBSERVATION
. Anencéphalie. — Absence complète Vencéphale. —
des concrétions polypiformes, ont amené la mort. L'auteur de cette
observation
, M. Habran, a pris matin et soir la température a
des râles muqueux dans le même point. Voici la note inscrite sur l'
observation
à la date du 6 août, visite du matin, et qui donn
t de la maladie. Voici la note inscrite ce jour-là sur la feuille d'
observation
: " De¬puis hier le malade a rejeté beaucoup de c
. Nous avons intention¬nellement fait une analyse très-sommaire d'une
observation
minu¬tieusement relatée chaque jour pendant un la
er pour une étude statistique à ce sujet qu'à l'intéressant recueil d'
observations
analogues dressé par M. Bourdillat, interne des h
e foie, les reins, ils ont subi la dégénérescence graisseuse. Cette
observation
présente certaines particularités ; au point de v
es d'oculistique, an¬née 1865.) M. Léon Tripier (de Lyon), dans une
observation
(portant la date de mai 1868), a reconnu, à l'oph
DU MAXILLAIRE INFÉRIEUR PAR M. E. DEMEULES, INTERNE DES HOPITAUX.
Observation
1. Le nommé B... J., âgé de 45 ans, charpentier
libert, sous le titre Polype du maxillaire inférieur (planche G), une
observation
intéressante qui offre avec la nôtre une grande r
offre avec la nôtre une grande ressemblance. Nous la reproduisons.
Observation
11. ODONTALGIE. - EXTRACTION D'UNE DENT. - TUME
de ses bords est dirigé presque vers la voûte palatine. — Ces deux
observations
méritent d'être rapprochées à cause de l'analogie
développer ainsi, la tumeur dont il rapporte l'histoire. D'après son
observation
, elle renfermait beaucoup de vaisseaux ; il y ava
ssible de désigner la na¬ture de la tumeur du malade d'Alibei t ; son
observation
ne fournit aucun renseignement à cet égard. MÉC
ous résumerons aussi briè¬vement que possible, après avoir relaté une
observation
qui nous est personnelle. Observation. ASCARI
sible, après avoir relaté une observation qui nous est personnelle.
Observation
. ASCARIDES LOMBRICOIDES (6 A 7 ANS).-ÉTOURDISSE
sur la pathogénie de l'hémiplégie puerpérale. L'auteur déduit de ses
observations
l'existence d'une forme latente d'insuffisance mi
ique et ne fournissant que très-peu de signes fonctionnels. Enfin les
observations
détaillées de sclérose en îlots par M. Liouville.
ge de la tête du chien est droite, elle devrait être renversée. Ces
observations
font donc, en dehors même de tous autres motifs,
es, à sa clinique ophthalmologique, il a soumis plusieurs malades à l'
observation
spéciale que je lui avais recommandée. Il a offer
sez rapide par les moyens dont il sera fait mention dans le cours des
observations
. Le premier fait est celui d'un jeune médecin a
e sa profession et fut guéri au bout de six semaines. Dans les deux
observations
que nous venons de rapporter, il est remarquable
..........Q. S. pour dissoudre le sublimé. Le fait capital de cette
observation
réside dans la présence d'un intertrigo déjà anci
p. 63.) Dans le dernier numéro de la Revue, nous avons rapporté une
observation
de taenia ayant donné lieu à des phénomènes épile
u à peu. M. Gaube a rapporté, dans laRevue médicale (1826, t. III), l'
observation
d'un homme atteint d'épilepsie depuis 17 ans, et
e MM. Rouillaud et Velpeau, des doutes assurément bien motivés '. L'
observation
publiée récemment par M. E. Maurin (Sud médical,
it le taenia, même en restant dans le champ des symptômes réflexes. L'
observation
suivante, due à M. Fauvelle (Bulletin de la Socié
t de la répugnance de l'enfant. " M'inspirant alors, dit Fauteur, des
observations
de Pommer, publiées dans le Journal de Hufeland (
cnia. Dans le journal l'Expérience (vol. VI, p. 47, 1840) on trouve l'
observation
d'une femme qui, pendant trois mois/fut paralysée
e des malades, une altération cérébrale d'origine syphilitique. Ces
observations
sont décrites avec beaucoup de soin, et dans tout
nés d'accidents manifestes d'une syphilis invétérée. Dans la première
observation
, des tumeurs et des exostoses ; dans la deuxième,
uemment affectés. Les signes anamnestiques rapportés dans ces trois
observations
démontrent la succession, la filiation des phénom
s syphilitiques. D'abord des ulcères primitifs (deuxième et troisième
observation
), puis toutes les formes de la syphilis tertiaire
les excitations motrices volontaires aux centres coordinateurs. (Une
observation
personnelle et dix autres, empruntées à MM. Bouch
t appuyer cette manière de voir.) La seconde catégorie se compose d'
observations
où l'aphasie était vraisemblablement produite par
vraisemblablement produite par la perte de la mémoire des mots. (Une
observation
personnelle et quatorze empruntées à l.adreit de
rme d'accès qui se dis¬sipaient rapidement. (Là, nous trouvons quatre
observations
, dues à John Isbell, Worms, Tungel et Fischer.)
tion des sons articulés, accompagnés d'une déglutition pénible. (Huit
observations
: Leiden, Passavent, Zimsen, Ebrard , Goadwin, B.
s sur la physiologie du mécanisme de la parole ; d'un autre côté, les
observations
pathologiques exactes et précises nous font encor
vons cependant lui savoir très-grand gré d'avoir exposé avec soin ses
observations
, ainsi que celles de beaucoup d'auteurs sur le mê
née. 4 MÉDECINE RHUMATISME CHRONIQUE; DIFFORMITÉS CONSIDÉRABLES
OBSERVATION
RECUEILLIE A L'HOSPICE DE BICÊTRE (SERVICE DE M.
elas d'eau et aux lits mécaniques. CHIRURGIE SYNOVITE CHRONIQUE
OBSERVATION
RECUEILLIE PAR M. BEAU, EXTERNE DU SERVICE DE M.
urs de la paume de la main. C'est cette pièce qui est annexée à cette
observation
et que M. de Montméja a fait photographier. M.
RAPHIE DE LA SYPHILIDE CROUTEUSE EN COQUILLAGES par bourneyillk
Observation
. —Scrofules dans l'enfance. — Double varioloïde.
intense à gauche, surtout à la pau- 1 Nous avons pu continuer cette
observation
en 1870 grâce à l'obligeance de M. Campenon, inte
len¬tille, de manière à déplacer les reflets nombreux qui nuisent aux
observations
ophthalmoscopiques. Une virole V porte une tige m
point de départ d'essais multipliés. Nous citerons en particulier les
observations
de MM. Brunet1, Cazin, Suquet (Revue méd. franc,
n belge, M. Bouvier, a rapporté dans les Archives médicales belges, l'
observation
d' " un petit Allemand âgé de 5 ans, qui, comme s
VImparziale (1866) un travail sur lo tamia. Ce tra¬vail renferme deux
observations
à'cpilepsie réflexe, due à la présence de l'hel¬m
aison de ses études spéciales que l'auteur a pensé, en réunissant Jes
observations
des différents chirurgiens aux siennes, pouvoir p
us préférons renvoyer le lecteur à l'ouvrage lui-même. D'ailleurs les
observations
rapportées par M. Bérenger-Féraud ne pourront man
Féraud le reconnaît le premier, tantôt se contentant de confirmer les
observations
de ses prédécesseurs, tantôt, comme il le dit, de
se prête à des considérations médico-légales du plus haut intérêt.
Observation
. —Vice de conformation des organes génitaux chez
l'extrémité inférieure du rein du même côté. En résume', dans cette
observation
, il s'agit bien d'une femme mal conformée, sans d
de conformation des organes génitaux, M. Gallard, en s'appuyant sur l'
observation
précédente, concluait que du moment où un individ
ennent à l'appui de cette manière de voir. Nous résumons ici quelques
observations
qui présentent la plus grande analogie avec celle
te médicale, 1861.) Dans le journal the Lancet de 1840, se trouve l'
observation
d'une femme de 22 ans, atteinte d'aménorrhée, mai
e et de la flatulence. Vient ensuite un chapitre contenant quelques
observations
à pro¬pos de l'examen anatomo-pathologique de l'e
jugé à propos de rapporter ici l'histoire abrégée de cette malade.
Observation
.—Ophthalmie double chronique. — Albugo.— Opacités
ain de l'existence d'un anévrysme. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PU
médecins d'outre-Rhin. A. Tout d'abord nous allons relever dans nos
observations
quelques détails relatifs à la température avant
à 80 ; enfin le len¬demain nous avions: T. V. 37°,4 ; P. 62. — Dans l'
observation
XI nous trouvons, six heures avant l'accouchement
e montrerait vingt-quatre heures après les couches. Sur ce point, nos
observations
, ainsi que le lecteur pourra en juger, sont, en g
ctée se sont opérées naturellement sans le moindre trouble morbide.
Observation
I. Multipare. — Pas de fièvre de lait. — Lionn...
pour éviter les erreurs, a été ici moins précis que la température.
Observation
IL — Multipare. —■ Pas de fièvre de lait. — Lochi
les faits dans lesquels elle s'est montrée d'une façon indubitable.
Observation
III. Multipare. — Fièvre de lait très-légère. — S
'ont offert ni une plus grande abondance, ni une plus longue durée.
Observation
IV. — Second accouchement. — Fièvre de lait légèr
x heures. P. 68; T. V. 57°,8. Ereat. — La figure qui accompagne cette
observation
prouve que la fièvre de lait s'est montrée, mais
lait » ne peut, à notre avis, en don¬ner une explication plausible.
Observation
V. — Primipare. —Accouchement normal. — Fièvre de
sta au-dessus de 58° et présenta cha¬que soir une légère élévation.
Observation
VI. — Primipare. — Frisson léger. — Fièvre de lai
in numéro. — Nota. — Dans le prochain numéro nous espérons donner l'
observation
du ma¬lade représenté dans les planches XX et XXI
s une brochure substantielle, vient déconsigner les résul¬tats de son
observation
et de ses recherches spéciales, résultats qui, di
CUL VOLUMINEUX DANS LE REIN DROIT. - NÉPHRITE ET ABCÈS CONSÉCUTIFS1
observation
recueillie a la pitié par m. villard, interne du
lques particularités cliniques qui nous paraissent ressortir de cette
observation
. — La fin au prochain numéro. — DERMATOLOGIE
endre cinq mois. A. de Montméja. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PU
ièvre de lait a existe'. — Nous avons précédemment rapporté plusieurs
observations
dans lesquelles la fièvre de lait a été légère, e
d'abord terminer l'exposition des faits de cette seconde catégorie.
Observation
VII. —Multipare.—Accouchement de deux jumeaux.
as été proportionnelle à l'augmentation de la température (fig. 3).
Observation
VIII. — Multipare. — Fièvre de lait le cinquième
nt, puisque le sixième jour la température était descendue à 56°,7.
Observation
IX. — Second accouchement. — Elévation temporaire
mpérature avant l'accouchement; 2° l'apparition tardive, comme dans l'
observation
VIII, de la fièvre de lait; 5° l'accroissement br
ttant, jusqu'à un certain point, de la comparer au type rémit¬tent.
Observation
X. Fausse couche. — Frisson : fièvre intense. — H
ou bien c'est une forme particulière de la fièvre de lait (fig. 6).
Observation
XI. Primipare. — Fièvre de lait le second jour (t
plus nette de l'efficacité de ce médicament. Nous commençons par une
observation
communiquée à la Société de chirurgie par M. Yern
ciété de chirurgie par M. Yerneuil, dans la séance du 23 mars 1870.
Observation
I. Tétanos traumatique à marche lente traité par
e sur¬venait et se prolongeait ainsi jusqu'après minuit. » De cette
observation
il résulterait pourM.Vernouil que le chloral, d'u
fique du tétanos? Évidemment non. Nous n'en voulons pour preuve que l'
observation
suivante, recueillie par M. Muron, et que M. Guyo
communiquât! la Société de chirurgie dans la séance du 4 mai 1870.
Observation
II. — Tétanos traumatique a marche lente. — Trai¬
ons qu'il est nécessaire de se poser. Sans pouvoir les résoudre par l'
observation
que nous venons de rapporter, on peut cependant a
complète, en notant, de plus, l'état actuel des malades. La première
observation
se rapporte à une femme que l'on peut voir encore
t chez laquelle nous avons suivi nous-même la marche de la maladie.
Observation
I. — Ataxie locomotrice. — Pertes utérines. — Vom
LCUL VOLUMINEUX DANS LE REIN DROIT. — NÉPHRITE ET ABCÈS CONSÉCUTIFS
OBSERVATION
RECUEILLIE A LA PITIÉ PAR m. VILLARD, INTERNE DU
VICE DE M. GALLARD. Dans le précédent numéro, nous avons relaté une
observation
de néphrite calculeuse : avant de chercher à fair
arité et les Bulletins de la Société anatomique contiennent plusieurs
observations
de néphrite calculeuse suppurée, dans lesquelles,
on a pu reconnaître la nature de l'affection, ainsi que le prouve une
observation
rapportée par M. Serraillier (Bullet. Sociét. ana
conséquence d'amener une désorganisation profonde du tissu du rein. L'
observation
que nous avons relatée en est un exemple remarqua
e dont nous venons de retracer l'histoire. Le fait capital de cette
observation
est le déversement du contenu du kyste dans la ca
urent communiqués à la Société de chirurgie (séance du 4 mai 1870).
Observation
III. — Tétanos traumatique à marche rapide. — Tra
ection des méninges et le piqueté de la sub¬stance blanche. Après l'
observation
du malade de M. Lefoi t, la Société de chi¬rurgie
la mort, avant que le chloral ait pu agir efficacement. La troisième
observation
, rapportée en détail, est relative à un tétanos à
te et qui a cédé à l'administration du chloral. En voici le résumé.
Observation
IV.-- Tétanos à marche lente.— Traitement par le
ues. Le malade regagne son pays le 26 avril. Nous voyons, par cette
observation
, que l'on peut donner des doses très-considérable
hloral cependant, comme l'a fait remarquer M. Verneuil, à propos de l'
observation
que nous avons relatée précédemment (Obs. III), a
la guérison complète à l'aide du chloral et des courants continus.
Observation
Y. — Tétanos traumatique. — Traitement par te chl
dans les premiers jours d'avril la guérison était définitive. Cette
observation
est intéressante à plusieurs points de vue; on vo
. Soubise dans un travail récent *, auquel nous emprunterons quelques
observations
, quelle a été l'influence du chloral, puisque la
rand pour un cas de tétanos traumatique dont il obtint la guérison.
Observation
VI. — Tétanos traumatique. — Traitement par le ch
ar l'hydrate de chloral. Thèse pour le doctorat. — 30 juillet 1870. -
Observation
communiquée à la Société de médecine d'Elbeuf.
icale. D. Calice. E. Bassinet. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PU
59°, 2 — 40°, 2 .40 _ 58",4 — 40° 5' - — 58°, 3 — 59°, 6 Cette
observation
n'est pas complète. La durée de la fièvre, ici, 1
é (Loc. cit., obs. LXIll). M. Ch. Billet rapporte dans sa thèse 1 l'
observation
d'une femme, âgée de 19 ans, qui accoucha normale
tte première partie de notre travail par un résumé succinct des trois
observations
consignées par M. C. Lefort, dans sa thèse. Kes
sion. Le tracé tliermométrique ressemble tout à fait à celui de notre
observation
Vil. Kunlz, E., 29 ans, accouche de son troisiè
tracé thermomé-trique offre la plus grande analogie avec ceux de nos
observations
III et IV. Avant de résumer les considérations
igen Carolidenbluts. ' C. Lefort, loe. cit., p. '26. constante. Les
observations
nous fournissent immédiatement la ré¬ponse : non,
gereux d'appliquer des cou¬rants d'induction. Par un grand nombre d'
observations
recueillies et discutées avec beaucoup de soin, l
emblables difformités. Le fait sui¬vant est instructif à cet égard.
Observation
. — Brûlure à 5 ans. — Cicatrices vicieuses du cou
les nombreuses particularités qu'il serait possible de relever dans l'
observation
précédente, laquelle nous offre le tableau presqu
x éléments à ceux que nous aurions pu déjà puiser dans notre première
observation
. En exposant ainsi l'une après l'autre l'histoire
s des ataxiques dont tous les traits seront connus de nos lecteurs.
Observation
II. — Âtaxie locomotrice progressive datant de hu
volumineux : le droit a 45 centimètres de 1 Toute cette partie de l'
observation
a été recueillie par M. Joffrot ; la suivante par
ations ne sont pas simplement une hypo¬thèse : elles reposent sur une
observation
rigoureuse des faits, continuée pendant cinq mois
ner, dans plusieurs cas, des résultats très-satisfaisants. Des quatre
observations
que nous allons résumer, deux sont empruntées à l
la thèse de M. Sou-bise, deux sont traduites du journal TheLancet.
Observation
VII. — Tétanos traumatique. — Traitement par la m
ée de l'hydrate de chloral et du bromure de potassium. — Guérison. — (
Observation
due à M. Edward B. Denton, Leicester.) G. B...
on put noter une amélioration qui ne se démentit pas dans la suite.
Observation
VIII. — Tétanos traumatique traité par l'hydrate
isement de la malade. — Mort dix jours après l'entrée à l'hôpital. — (
Observation
rapportée par M. Waren Tay, chirurgien assistant
'auteur, le lavement d'eau-de-vie a-t-il eu une influence fâcheuse.
Observation
IX. — Tétanos traumatique. — Traitement par le ch
mmes de chloral furent administrés à ce malade. A la suite de cette
observation
intéressante, nous pouvons placer la suivante que
ous pouvons placer la suivante que nous empruntons au même journal.
Observation
X. —Plaie du pouce; panaris; tétanos. —Chloral; a
sultats ont été si satis¬faisants, qu'on nous permette de résumer les
observations
de quatre malades qui sont morts assez rapidement
s assez rapidement malgré l'administration de l'hydrate de chloral.
Observation
XI. — Tétanos traumatique ayant duré trois jours
d'orteils.— Traitement par le chloral. —Mort 11-12* — Autopsie. (
Observation
recueillie par M. Chrétien, interne des hôpitaux.
eu au-dessous de l'ombilic. Pas d'altération musculaire à l'œil nu.
Observation
XII. — Tétanos traumatique. — Traitement par le c
tétaniques. — Dyspnée. — Mort par suite de complication pulmonaire? (
Observation
recueillie par M. Mollière, interne des hôpitaux
e laquelle plaide d'ailleurs l'élévation brusque de la température.
Observation
XIII. — Tétanos traumatique. — Traitement par le
grammes. —A midi, spasmes violents; mort à 1 heure de l'après-midi.
Observation
XIV. — Plaie du gros orteil. — Tétanos consécutif
nion médicale du 21 juin 1870. guérison complète; nous relatons les
observations
telles crue nous les trouvons consignées dans le
es crue nous les trouvons consignées dans le travail de M. Soubise.
Observation
XV. — Tétanos traumatique. — Traitement par le ch
r le chloral à hautes doses. — Amélioration progressive. — Guérison. (
Observation
communiquée par M. Hervey, interne des hôpitaux.)
let. Même état. 24 juillet. Les spasmes ont complètement disparu.
Observation
XVI. — Tétanos traumatique. — Traitement par le c
tement par le chloral à doses répétées. — Amélioration. — Guérison ? (
Observation
recueillie et publiée par M. Soubise.) Clar...,
ontracture des muscles adducteurs et abdominaux1. A la suite de ces
observations
, citons encore deux cas qui ont été signalés à la
e), et qui, malheureusement, sont relatés beaucoup trop brièvement.
Observation
XVII. — Tumeur fongueuse du mollet. — Extirpation
é à hautes doses ait produit la moindre modification dans son état.
Observation
XVIII. — Plaie à la jambe, — Tétanos. — Traitemen
lgré l'emploi du chloral en potion et en lavement. 1 Ici s'arrête l'
observation
dans la thèse de M. Soubise; le malade a-t-il gué
. — La fin au prochain numéro. — CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PU
es établissements. Cette explication donnée, nous allons relater deux
observations
de péritonite puerpérale, en insistant plus spéci
vienne ou pelvi-péritonite. 1° Péritonite partielle. Notre première
observation
rentre dans la catégorie des péritonites iliaques
puisque la plupart des symptômes qui la ca¬ractérisent y figurent.
Observation
XII. — Fausse couche de quatre mois.-— Péritonite
ue prédomine tel ou tel groupe de symp¬tômes. Chez la malade de notre
observation
XIII, les symptômes cé¬rébraux ont été plus accus
ômes cé¬rébraux ont été plus accusés que ceux des autres appareils.
Observation
XIII. — Accouchement normal. — Frisson léger. — P
claquement des dents, etc. Nous n'énumérerons pas, à propos de cette
observation
, les symptômes habituels de la péritonite; on les
néralisée. L'auteur aurait pu être plus précis si, en notant dans ses
observations
la température, il n'avait pas omis souvent d'ind
rend toute appréciation impossible. Dans une seule de ses nom¬breuses
observations
, recueillies, d'ailleurs, avec soin, nous voyons
fait des figures représentant le pouls et la température. Les deux
observations
que nous avons relatées n'autorisent pas des dédu
pérature s'abaisse de 0°,5 jusqu'au matin suivant1. » Notre seconde
observation
nous fait voir, de plus, que la tempé¬rature para
maxillaire inférieur, par E. Demeules, 49. Fièvre de lait (Notes et
observations
sur la), par Bourneville, 155,176, 216. Fistule
es. Sans doute toutes les littératures nous fournissent des types d'
observation
de ce genre ; mais il ne faut pas oublier que l
peu s'en faut. Serrons-en de près les aspects en nous basant sur l'
observation
des faits. Avant tout, un homme qui a une idée
de Krafft EIInc' et reproduit par Lau- RENT dans sa thèse (p. 8).
Observation
I. Idée {ire dans la neurasthénie. Guérison. M.
encore le mécanisme de l'épuisement du système nerveux. Voici une
observation
de délire de persécutés persécuteurs; cette obs
Voici une observation de délire de persécutés persécuteurs; cette
observation
est empruntée à M. Selle 1 ; il la considère co
e 1 ; il la considère comme un exemple de dégénérescence acquise.
Observation
IL - Idée fixe chez un homme affaibli matériellem
vation personnelle en rapport avec la migraine ophthalmique Cette
observation
montre jusqu'à un certain point les rela- tions
gemeine Zeitschrift (il Psychiatrie, LI, 1.) 30 CLINIQUE MENTALE.
Observation
III. Idée fixe dans la migraine ophtalmique. (P
uments positifs pour la solution de cette question : un seul fait d'
observation
pratique doit être regardé comme acquis, c'est
mégalie en gant; par 1. CRocQ. (Joum, de Neurologie, 1899, n" 9.)
Observation
d'une femme de quarante-cinq ans qui, à la suite
entre eux. L'auteur a eu la bonne fortune d'en recueillir plusieurs
observations
qui peuvent servir à éclairer cette difficile q
l ? A. Lop. (Presse médicale, 1 ? mars 1899.) L'auteur rapporte une
observation
de l'affection décrite en 1895 par Bernhardt so
par MM. Démange et Spillmann. (Presse médicale, 8 février 1899.)
Observation
d'une jeune fille de dix-sept ans, soeur de plusi
- - laire; par M. C. Bacaloglu. (Presse médicale, 1er mars 1899.)
Observation
d'un malade de trente-quatre ans, qui, trois ans
e oblitérante du tronc basilaire, sans nécrobiose du bulbe. Cette
observation
montre la bilatéralité des lésions et leur symé
i l'exclusion des arriérés. 11h18 Roi3lNOWlTCII communique quelques
observations
d'aliénés présentant des obsessions et diverses
particulier, ont disparu. A l'appui de ma thèse, je puis citer deux
observations
de malades qui ont guéri après avoir conservé p
r numéro, juin, p. 476-506.- ,60 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans mes deux
observations
, le vin était l'agent toxique; ainsi, chez ma p
ant plusieurs semaines, la perte de la mémoire subsiste. Ma seconde
observation
est identique à la première. Dans ces deux cas,
des femmes aliénées. Notre pratique hospitalière déjà longue et les
observations
que nous avons faites en commun, nous ont prouv
à l'intervention chirurgicale chez les aliénées. D'autre part, des
observations
ont été publiées. Terrillon a cité, il y a quel
ons ont été publiées. Terrillon a cité, il y a quelques années, une
observation
qui a trait à ce sujet. Le Dr Piéchaud, au co
Piéchaud, au congrès des médecins aliénistes de 1896, a relaté deux
observations
relatives à des interventions chirurgicales et
11 guérisons, 3 états stationnaires, 7 améliorations, 1 mort. Les
observations
de ces malades sont développées dans le tra- va
ons chirurgicales dans certaines formes d'aliénation mentale. Ces
observations
sont réparties en trois groupes : Le premier gr
français et anglais (Ireland, Teleford-Smith, etc.), il publie cinq
observations
personnelles, les premières qui ont été notées
sur l'étiologie de l'idiotie et de l'imbécillité se basant sur 539
observations
. Il a trouvé : 1° que l'hérédité mentale était
aut point atteinte, puisque la mélancolie même en est la maladie.
Observation
IV. Idée fixe dans la mélrl11colie hypochondriaqu
se disparait, l'amé- lioration persiste et tend vers la guérison.
Observation
V. Mélancolie avec idées de suicide. (SELLE, lo
lle se montre il l'origine du délire systématisé des dégénérés. ,
Observation
YI (LEGIl.HN), Dégénéié. Idée fixe ambitieuse d
as. La guérison se maintient et le malade est rendu à la liberté.
Observation
VII (LEGnAin). Débile. Idée fixe à forme mystique
de leur annoncer. » 11 est dirigé sur Vaucluse dans le même état.
Observation
VIII (Krafft-Ei>11ng). Dégénérée. Idée fixe «
ports illogiques, d'interprétations délirantes et d'illusions. ..
Observation
IX (Laurent). Dégénérée. Idée fixe constituant se
e et même diffus, ne vint à leur succéder. 92 CLINIQUE MENTALE.
Observation
X (Personnelle). Dégénéré. Idée fixe ci forme omG
ont modifié en aucune façon le délire. Voici maintenant un groupe d'
observations
analogues : Observation XI (Neisser. Allgemeine
le délire. Voici maintenant un groupe d'observations analogues :
Observation
XI (Neisser. Allgemeine Zeitschrift f. Psychiatri
homme a été il y peu de temps blessé à la tête; il est phtisique.
Observation
(SELLE, loco cilalo). Délire de chicane tournant
sonnalité s'altère, le Moi se transforme. A l'appui un beau type.
Observation
XIV (personnelle). Idée fixe installée dès le jeu
mes sentiments de profond respect. « IL.. dit de STEPIIENSON. »
Observation
XV. Autopsychose circonscrite. Wernicke, in G ? '
d'autres, et la police était inter- venue pour provoquer sa mise en
observation
et obtenir qu'il frit taxé d'aliénation mentale
Dostoïewsky est du reste un névropathe. Comme lui, il se dénonce.
Observation
XVI (personnelle). Idée fixe développée sans trou
prix savoir ce que l'on me veut. « L'appelé : Alphonse D... » L'
observation
suivante se rattache à celle des persécutés per-
le d'idée prévalente sexuelle aboutissant à la systéma- lisalion.
Observation
XVII. Délire des persécutés persécuteurs discret.
causes de l'idée prédomi- nante sexuelle. Nous terminerons par deux
observations
dans lesquelles les hallucinations ont joué bie
esquelles les hallucinations ont joué bientôt un rôle indéniable.
Observation
XVJII (Personnelle). Idée fixe développée avec de
es idées d'or- gueil, perdues au milieu des idées de persécution.
Observation
XIX (Personnelle). Idée fixe par interprétations
du hras gauche. Il est envoyé de Montmélian pour être soumis à une
observation
complète et présenté, s'il y a lieu, à la commi
diagnostic de sclérose cérébrale semble bien légitime. Au- reste, l'
observation
actuelle n'est pas absolument iso- lée. M. Féré
rébrales observées dans certaines monstruosités'; mais une simple
observation
clinique sans examen anatomique ne comporte pas
u'il a été crucifié et que des anges l'emportent vers Dieu. Cette
observation
ne saurait être concluante sur les résul- tats
de Marseille, M. le ]Y Maunier nous a montré le malade, sujet de l'
observation
qui précède et que son interne, .11. Jourdan, a
es dendrites se ramifient exclusivement dans ce plexus nerveux. L'
observation
toujours plus approfondie de cette zone a déjà pe
r M. G. Comar. (Presse médicale, 15 mars 1899.) L'auteur rapporte l'
observation
d'un homme de quarante-deux ans, sans aucune ta
par E. Jentsch. (Cenlranl. f. Nervenhcilk. XX. \. F., vin, 1897.)
Observation
I. Délit passionnel chez une hystérique de vingt-
huit ans qui a itriolé un prêtre, son amant. Faiblesse d'esprit.
Observation
Il. Dégénéré de dix-huit ans, illettré, puéril et
ire de la main gauche; l'indicateur n'a que la première phalange.
Observation
111. Jeune fille de vingt-quatre ans; grand nom
es et de simulation. Folie morale chez une héréditaire dégénérée.
Observation
IV. Homme de soixante-deux ans, très méritant,
ns l'épilepsie ; par le D'' H. 1.1BILLG. L'auteur rapporte quatre
observations
intéressantes qui démon- trent amplement l'infl
épileptiques sur la nature religieuse des hallucinations. Dans ces
observations
,* en effet, les hallucinations paraissent presq
sains d'esprit et chez les aliénés; par le De l'iLCZ. D'une série d'
observations
faites sur ses propres rêves depuis plus de cin
cas de maladie de Recklinghausen) ; par MM. FEINDEL et Froussard.
Observation
intéressante de paramyoclonus mulliplex chez un
dent grave), dans le cas actuel, a déterminé une myoclonie. Cette
observation
est un argument en faveur de cette opinion que
it pas adressé à l'hôpital pour des symptômes tabétiques. Voici son
observation
succincte. Georges L : ..., vingt-huit ans. bij
pays, un groupement SOCIÉTÉS SAVANTES. 149 par M. Jakowenko. Des
observations
ont été faites en outre par MM. Boutzke, Postow
phérique comme phénomène normal chez des pigeons bien portants. Des
observations
ont été faites en outre, par M. le professeur K
crânienne. Paralysie générale juvénile. M. TOULOUSE communique l'
observation
d'une jeune fille consi- dérée comme épileptiqu
en est faite. Le diagnostic, qui semble s'appliquer le mieux à l'
observation
présentée, est celui d'une démence précoce chez
e. Claudication intermittente douloureuse. M. Brissaud rapporte l'
observation
d'un homme de lettres, russe, âgé de soixante a
ulsions chez les aliénés. M. STADELIfAnN (de Wurtzbourg) rapporte l'
observation
d'un malade atteint de dégénérescence mentale e
et suggestion pendant le sommeil naturel. M. Paul FAREz rapporte l'
observation
d'un jeune garçon de cinq ans et demi atteint d
ale de l'aimant sur le système nerveux. M. Joire rapporte plusieurs
observations
de crises douloureuses, rebelles aux diverses m
cent de la « Ville-de- Saint-Nazaire ». A l'appui de ces faits, des
observations
rigou- reuses, en particulier la relation intér
elle des ouvrages théoriques. Le premier volume était le fruit de l'
observation
concentrée, étude longue et profonde d'un même
t à son importance. x Ce second volume, au contraire, a pour base l'
observation
dispersée, portant sur un grand nombre de malad
nt les obstacles avant de vouloir les franchir. Cent cinquante-deux
observations
touffues composent le livre de 1\i\i. Raymoud e
lisés, évolution que permet de suivre très clairement cette-série d'
observations
. C'est dans ce chapitre que se place la toujour
osyncrasie propre comme le prouvent les nombreuses et intéressantes
observations
de M. Chartier. Ce n'est qu'à une période avanc
s, placier en dentelles, rentrait ivre. Sa femme lui ayant fait des
observations
, il la tua d'un coup de revolver. Il a été arrê
nervation corticale oculo-motrice, et permet- taient de reviser les
observations
et doctrines anciennes il ce sujet. Nous étud
e, une série de mouvements des pau- pières destinés à l'expulser. L'
observation
et l'anatomie nor- male nous permettent de supp
mouvement, ou bien celle du spec- tacle que je m'attends à voir ? L'
observation
psychologique est impuissante à répondre. La pa
est inutile de rap- peler ces faits, ils sont très nombreux. Si les
observations
ne sont pas encore assez précises, les lésions
tent d'affirmer son existence, et confirment ainsi les données de l'
observation
de l'anatomie normale et de l'ex- périmentation
té des faits et leur an- cienneté, du inanque de précision dans les
observations
. ' Charcot et Pitres. Bibl. Charcol-Debove. L
semi-hémi- sphérique. très dure, de la grosseur d'un demi pois ».
Observation
II (Tiling, Petersb. med. Zeil, 18-il, s. 2set in
ondeur la lésion atteint à peine la substance blanche ». Ces deux
observations
sont extrêmement intéressantes et réalisent un
(V. plus haut : Mouvements volontaires) restaient inefficaces. L'
observation
de Tiling est calquée sur la précédente. Dans c
sont beaucoup moins concluants, quoique encore très intéressants.
Observation
III (Magnus, résumée d'après Lépine. Rev. de méd.
e noix ; la face interne était tapissée par une membrane jaune. »
Observation
IV (Grasset, in Leç. cliniques, 1898, p. 494).
res- terez dans la moitié obscure de son champ visuel. Ces quatre
observations
sont les seules vraiment probantes que nous ayo
ant. On doit très probablement ranger dans la même catégorie deux
observations
d'Oppenheim et Siemerling (Charité 11nna- ¡en,
incomplets à gauche. ' - - Nous préférons ne pas faire usage de ces
observations
, car dans les deux cas il y avait des lésions b
et présentant une impossibilité de porter le regard à gauche. Cette
observation
nous a paru trop incomplète. ' Wernicke, loe.
vement peut passer par le centre oculo-moteur antérieur. Les quatre
observations
que nous avons citées nous répondent qu'il n'en
Rev de méde- cine, 1896. p. 412). Nous rattachons aujourd'hui cette
observation
au svndrome d'Erb. ' 1 1 198 PHYSIOLOGIE. I
'Erb. ' 1 1 198 PHYSIOLOGIE. Il est inutile de renouveler ici les
observations
présentées plus haut sur cette localisation. No
haut sur cette localisation. Nous ferons simplement remarquer que l'
observation
principale (celle de Tiling), sur laquelle il s
moteur antérieur (pied de la deuxième frontale) était atteint. L'
observation
est donc beaucoup plus favorable à notre opinio
opinion. Conclusions. 1° L'anatomie normale, l'expérimentation, l'
observation
clinique et anatomo-pathologique, s'accordent à
E. Broadbent ' a repris cette étude en 1876 en se basant sur cinq
observations
personnelles. Cet auteur a voulu montrer que l'
89, M. Puech 2 et, peu de temps après, M. Mossé publient chacun une
observation
d'apoplexie progressive, avec hémor- ragie situ
i à l'appui des idées de Broadbent. Deux cas qui sont venus à notre
observation
et qui ont présenté quelques particularités, ta
iq1te de l'apoplexie progressive avait été déjà bien tracé dans les
observations
de William Gull et dans la description de Thoma
rapport avec la pénétration du sang dans le ventricule. Les trois
observations
nouvelles que nous apportons repro- duisent dan
ques parti- cularités qu'il nous a paru intéressant de relever. -
Observation
1 (M. Mossé) '. - Femme, soixante-dix-sept ans,
corps calleux et en arrière vient dilacérer la capsule externe. '
Observation
II (Vedel). C... Léon, cinquante-cinq ans, tail
orragique.. Dans les coupes postérieures, l'hémorragie a disparu.
Observation
III (Rose). X..., femme âgée de quarante-cinq a
capsule externe, en dedans de l'avant-mur. D'après l'ensemble des
observations
publiées, nous voyons que le début se marque pl
adbent fait 200 mètres ne se sentant pas très solide ; celui de son
observation
III est dans un état d'ivresse apparente. Nous
ns un état d'ivresse apparente. Nous retrouvons cet état dans notre
observation
1 : la malade marche devant elle, la physionomi
rimait en disant que le coma n'est jamais primitif. Cependant notre
observation
III nous montre que la période de début d'une a
comme dans les cas les plus typiques. Ce cas est à rapprocher de l'
observation
IV de Gull : en se promenant, la malade s'écrie
'après cette dernière ; elle n'est même pas signalée dans plusieurs
observations
. Les vomissements ne font pour ainsi dire jamai
des paralysies partielles successivement surajoutées. Ainsi dans l'
observation
V de Broadbent, il se produit un léger engourdi
sie pèut être précédée de phénomènes convul- sifs. Ainsi dans notre
observation
I la maladie présente, après du malaise et des
ù se fera la détermination paralytique ; il en fut ainsi dans notre
observation
III, dans l'observation IV de Broadbent, et sur
paralytique ; il en fut ainsi dans notre observation III, dans l'
observation
IV de Broadbent, et surtout dans l'observa- tio
ouvements convulsifs signalés dans le côté opposé. Cependant dans l'
observation
V de Gull, la rigidité persiste jusqu'à la fin
totale, sans toutefois arriver toujours à ce degré : ainsi-dans l'
observation
V de Broadbent on ne constate qu'une hémipa- re
es sensitifs prédominent au début sur les troubles moteurs : dans l'
observation
IV de Broadbent, la malade après quelques minut
ité, puis une hémianesthésie com- plète au bout d'une heure. Dans l'
observation
II de Broad- bent, alors que l'hémiplégie gauch
sement, la sensi- bilité qui paraissait abolie reparaît. Dans notre
observation
III la sensibilité abolie le premier jour, repa
. V de Broadbent, obs. I de Mossé). Il est remarquer que dans notre
observation
II en particulier, la déviation, qui coïncidait
rition paraît du reste marcher avec l'établissement du coma. Dans l'
observation
I, la déviation de la tète et des yeux qui s'ét
rver dans la suite des variations dans leur diamètre : ainsi dans l'
observation
IV de Gull, les deux pupilles sont d'abord cont
ière .de la somnolence au coma profond, il est noté dans quelques
observations
des alternatives de prostration (pendant laquelle
phé- nomènes prodromiques annoncent l'ictus. En outre, dans notre
observation
III, nous voyons que le caractère indiqué comme
ot plus ou moins volumineux faisant hernie sous la pie-mère. Dans l'
observation
I, il existait à la partie antérieure du lobe f
happer au niveau de la déchirure du sang coagulé et liquide. Dans l'
observation
II, il existait au niveau des pieds de la trois
mé par l'hémorragie dans sa partie externe (putamen). L'étude des
observations
mêmes de Broadbent, montre que l'hémorragie siè
isseraient l'hémorragie cheminer jusqu'au ventricule. L'étude des
observations
nous amène-L-elle il accepter les conclusions d
tion étroite indiquée par cet auteur ? % Dans un certain nombre d'
observations
, l'hémorragie est tellement volumineuse que tou
bs- tance blanche, à la partie, antérieure ou postérieure. Dans l'
observation
V de Broadbent, l'hémorragie aflleure à peine l
e progressive et la folme ordinaire de l'apoplexie. D'ailleurs, une
observation
de William Gull vient nous mon- trer qu'il n'es
=si symétriques (Siegmund, 9893. Andry, 1888.) Des deux nouvelles
observations
qu'il donne l'auteur tire ce qui suit : 1° Du c
otion de la position du corps. Voici les confirmations cliniques.
Observation
I. H..., de quarante-trois ans, totalement sourd,
r- vation des canaux semi-circulaires percepteurs des mouvements.
Observation
II. Femme atteinte de tabes bulbaire ; lésion d
quoi la fonction de la station et de la locomo- tion est indemne.
Observation
III. Femme atteinte d'une tumeur bulboprotubé-
la méthode d'Apostoli; par M. DECROLY. de Neurologie, mai 1899
Observation
d'une jeune hystérique, atteinte depuis cinq ans
ITER13\\'. (Cenlralbl. f. Nervenheilt, XXII, N. F. X, 1899.) Deux
observations
très intéressantes dont une autobiographie. Il
érison, comme le disait Séguin, on ne la peut affirmer qu'après une
observation
de cinq années passées sans crise avec la dimin
s, la technique opératoire de la trépanation, l'auteur donne quatre
observations
personnelles de fractures du pariétal et du fro
re de la même origine, probablement infectieuse (influenza ? ). L'
observation
présenterait une forme mixte Strümpell-1'er- ni
e post-infectieuse guérie put suggestion. At. Paul Parez rapporte l'
observation
d'une hystérique qui, à la suite d'une 238 SOCI
gnages récents de Percy Smith, de Myers, de Woods, d'Outterson. Les
observations
que l'on a rapportées et dans lesquelles l'hypno-
de brebis est aussi actif que le suc ovarien de truie. 2° De ses
observations
cliniques et de celles des auteurs. : les sympt
e, elle affecte le type des aberralions génitales. Suivent quelques
observations
dont l'une intéressante, d'onanisme irrésistibl
ix (Jean). Des paralysies posl- typhiques.- Fouqueau (Ernest-Paul).
Observations
d'accès d'éclamp- sie puerpérale et traitement.
ncher définitivement la question. Mais il est indispensable que les
observations
choisies comme base d'appréciation, soient auss
ns. C'est ce qui nous a décidé à rapporter ici le cas sui- vant :
Observation
. Sommaire : Ligature de l'artère axillaire chez u
oire, signalées plus haut, persistent sans aucune modification. L'
observation
que nous venons de rapporter est celle d'un cas
n très petit nombre seulement sont atteintes de folie. Dans notre
observation
, nous n'avons relevé l'intervention d'aucun fac
on évolution, le cas que nous venons de rapporter. On trouve dans l'
observation
de C... les caractères typiques de la confusion
es détails, ainsi qu'on peut s'en rendre compte par la lecture de l'
observation
. Le délire onirique a eu une évolution indépend
affaiblissement intellectuel appréciable. CLINIQUE NERVEUSE. DEUX
OBSERVATIONS
D'HÉMIPLÉGIE AVEC Ht : \IIANESTIIÉSIE; Par MM.
e professeur Pitres qui a pu vérifier l'exac- titude des schémas.
OBSERVATION
I. Hémiplégie gauche complète. TIémianesthésie du
mou- vement de flexion du minime amplitude. Pas de contractures.
OBSERVATIONS
D'HÉMIPLÉGIE AVEC HÉ\fl.ANESTHÉSIE. 279 sensati
ne remarque pas de vascularisation exagérée à la surface et aucun
OBSERVATIONS
D'HÉMIPLÉGIE AVEC HÉMIANESTHÉSIE. 281 point n'e
rs postérieur du segment lenticulo-optique de la capsule interne.
Observation
IL Hémiplégie droite complète. Hénzianesthésie
gauche donnent des résultats tout différents. Le malade localise
OBSERVATIONS
D'H1hIIPLÉGIE AVEC IiÉIL1\ESTHÉSIE. 283 3 très
R L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE NERVEUSE. 285 mêmes précautions que dans l'
observation
I. La coupe horizontale qui est ici représentée
fonctions vaso-motrices. Ces rapports ne sont pas douteux; il est d'
observation
cou- rante que toute modification psychique, mê
vons observés dans l'évolution des psychoses. Nous possédons cinq
observations
, que nous avons recueil- lies dans les formes s
énérée, la dernière l'est certainement. Nous citerons seu- lement l'
observation
de celle-ci, parce qu'elle en était à sa troisi
autres, noua y verrons bien établie la relation psycho-génitale.
Observation
. : V. L ? vingt-quatre ans, domestique, origi-
veineux mammaire est peu apparent; pas de tubercules de Mont- 1 L'
observation
de cette malade, due à M. Margouhès, interne du
rée à des voies de fait sur un garde- champêtre qui lui faisait des
observations
parce qu'elle faisait aller les oies qu'elle ét
à trente-trois ans. Peut-on ranger M..., qui fait l'objet de notre
observation
, dans la catégorie des hermaphrodites ? L'herma
. Baillière, 1891, Paris). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVI. Une
observation
de pseudo-tabes; par le De \'Aux. (Union médica
niversité de Montréal, avec présentation du malade guéri. Très fine
observation
clinique sur un cas diagnostiqué tubes par un p
Marinesco. (Presse médicale, 23 novembre 1898.) L'auteur rapporte l'
observation
d'une femme qui a été atteinte de névrite ascen
épilepsie; par SAUGER Unown. . [Médical Record, avril 1899.) Cinq
observations
... L'auteur signale entre autres les migrai- ne
(1'coua Riuislc clinico therccp., n° 3, 1899.) A l'occasion d'une
observation
de sclérose en plaques le maitre fait ressortir
atteinte, ni pour les récidives subséquentes; - 7° I.a plupart des
observations
témoi- gnent d'une seule récidive; plus raremen
ger trouble de la parole, 8° le pied de Friedreich. En outre dans l'
observation
1 il y a une lésion destruc- tive chronique des
ion 1 il y a une lésion destruc- tive chronique des poumons, dans l'
observation
Il il y a atrophie du nerf optique. L'ataxie et
ion patliolo- logique de la moelle. L'atrophie du nerf optique de l'
observation
Il bien que particulière, n'exclut pas l'idée d
e créateur du type morbide n'a pas eu connais- sance de la première
observation
de ce genre de Ch. Bell. Dans son livre The ner
of tlze lLtl))LCll2 body, Londres, 1830, on trouve sous le n° 42 :
observation
de trismus compliqué de para- lysie faciale. El
tudietx «60' Tetanus, Tubiugue, 1894). Bell l'ait remarquer que son
observation
ressemble à quelques obser- vations de paralysi
et A. WELSH (d'Edimbourg). (British med. Journal, avril 1899.) L'
observation
se rapporte aune enfant entrée à l'Asile à onze a
; c'est du moins ce qui paraît ressortir de son travail, bien que l'
observation
très complète présentée comme type de délire me
ruel ne soit pas tout à fait démonstrative. Il mentionne dans cette
observation
quatre accès de délire menstruel et convient d'
Erb, 50; Strumpell, 00; ;\Iobiu5, 80, et Fournier, 93. Depuis les
observations
de Morgagni ont été publiées de nom- breuses ob
epuis les observations de Morgagni ont été publiées de nom- breuses
observations
d'épilepsie vraie due à la syphilis. A côté de
cité quelques-unes l'auteur regarde comme démontrée, fondée sur des
observations
cliniques, l'existence d'une psycho- névrose sy
la thérapeutique. A l'appui de son opinion l'au- teur rapporte cinq
observations
de psycho-névroses syphilitiques dans lesquelle
isin communique, en son nom personnel et au nom de M. I.egros, cinq
observations
fort intéressantes de jeunes filles ou adultes
facilement prises pour des paralytiques géné- rales. Cependant une
observation
attentive ne permettait pas de confondre l'emba
pas découvert dans le cerveau de Vacher de lésions pathologiques.
Observation
d'acromégalie chez un dément épileptique. : \1. F
'acromégalie chez un dément épileptique. : \1. Farnarier communique l'
observation
d'un cas d'acromégalie chez un dément épileptiq
ralysie générale avec hallucination. M. Truelle donne lecture d'une
observation
de paralysie géné- rale accompagnée d'hallucina
sseur HOTH et D1' IvANOrr. Trois cas de cysticerques du cerveau :
Observation
I. Chaudronnier, âgé de trente-six ans. Malade
etit pois ou d'une noisette. Le malade est présenté à la Société.
Observation
II. - Gardien d'usine, âgé de quarante-huit ans,
ventricules sont dilatés. (Présentation des pièces anatomiques.)
Observation
III. - Ancien soldat, âgé de quarante-sept ans.
). En se basant sur quelques données de la littérature et sur ses
observations
personnelles, M... essaie de différencier un grou
re qu'il s'agit dans ce cas d'une lésion de la queue de cheval. \
Observation
II. Homme âgé de trente-deux ans. Chute d'une h
t à la hauteur de la première et de la deuxième racines sacrales.
Observation
111. - Homme âgé de trente-cinq ans. Chute de la
Hématomyélie centrale immédiatement au-dessus du cône médullaire.
Observation
tV. Homme âgé de dix-huit ans fait un faux pas
au de l'émergence de la première et de la deuxième racine sacrée.
Observation
V. Homme âgé de dix-neuf ans, tombé d'une haute
dullaires du même type à évolution chronique. M. LoUNTz relate deux
observations
personnelles analogues. M. KOJEVNIKOFF montre q
iiio71k la casuistique de la maladie de Duseclo2v. P... relate deux
observations
de goitre exophtalmique avec hémorragies de div
ensation de chaleur dans tout le corps. L'intérêt de cette dernière
observation
réside purement dans ce que le symptôme « hémor
et le goitre exophtalmique n'est pas suffisamment élucidé dans les
observations
de M. POPOFF. ' Secrétaires des séances : A. Be
rvice de M. Bourneville à l'hospice de Bicêtre. Sur le terrain de l'
observation
clinique, l'étiologie et les symp- tômes de la
t, d'ailleurs, renforcer cette con- clusion unicistc, basée sur les
observations
cliniques. L'auteur commence logiquement son ét
echerches. Ce travail est donc surtout un copieux recueil de bonnes
observations
habi- lement classées et précédées d'une revue
gane officiel de la Faculté de Méde- cine de Montréal, est riche en
observations
cliniques et en discus- sions casuistiques. Bie
titulée « Universités allemandes Bonn », qui ren- ferme surtout des
observations
et des critiques amicales dont a médecine franç
cendantes aigtil5-se, fasse plus complète de jour en jour grâce aux
observations
et aux travaux récents, il n'est pas sans intér
cieusement que possible ; c'est dans ce but que nous publions cette
observation
, recueillie à la clinique du professeur Bondet,
ée des considérations générales que ce cas nous a suggérées. , I.
Observation
clinique. Observation. - R... Guillaume, cinqua
nérales que ce cas nous a suggérées. , I. Observation clinique.
Observation
. - R... Guillaume, cinquante-huit ans, salle Sain
bulbe, de cerveau, de nerfs périphé- riques sont recueillis pour l'
observation
histologique. L'ensemen- cement du liquide rach
cranien. Pareil fait est également consigné dans presque toutes les
observations
de paralysie asceiipante où le bulbe a été exam
ndantes est aujourd'hui un fait hors de conteste. De plus, dans les
observations
récentes, bien étudiées, au point de vue bactér
s « pseudo-systématiques » (Marie). Tel n'est pas le cas dans notre
observation
. Enfin on peut soutenir que l'infection ou l'in
ls les cas si intéressants de Chante- messe et Ramond '. Dans notre
observation
le microbe causal était à l'état de pureté dans
colonne motrice antérieure. IV. Considérations générales. Cette
observation
nous semble intéressante surtout par la localis
s cas où l'examen par la méthode de Nissl n'avait pas été fait. Une
observation
de Giraudeau et Levai- est venu combler cette l
rnes antérieures, se rencontre aussi parfaite que dans notre cas. L'
observation
de Roger et JosuéJ peut seule en être rapproché
Tout récemment encore, Krewer2 a tenté d'établir, d'après quatre
observations
cliniques et anatomo-pathologiques que la malad
ocède à une généralisation inadmissible basée sur l'étude de quatre
observations
et fait table rase de toutes celles, publiées a
nt notée, avec ou sans altération des cellules médullaires. Notre
observation
vient s'ajouter à quelques autres pour montrer
pas sans intérêt (quitte il les classer plus tard) d'accumuler les
observations
présentant cet avan- tage de correspondre, comm
ous croyons que c'est à^de tels cas qu'il faut se reporter et notre
observation
nous semble repré- senter un des types les plus
antôt sont intérieures et silencieuses ». M. Ballet' rapporte une
observation
qui lui fut communi- quée par Charcot, d'un hom
. 64. 331(6 CLINIQUE MENTALE. MM. Séglas et Londe' ont publié des
observations
de mélan- coliques atteints d'hallucinations ps
re thèse 3 inaugurale. Nous sommes heureux d'y ajouter ici quatre
observations
d'alcooliques, ayant eu au moment de leur délir
, en l'espace d'une année, nous n'avons pu relever que trois cas.
Observation
I. - Dégénérescence mentale et hérédité : grand'm
voix intérieure est la sienne, et qu'elle parle automatiquement.
Observation
II (Service de M. le D' Magnan). - Dégénérescence
, nous notons ce fait sur lequel nous reviendrons au cours de cette
observation
. Depuis 1887, T... prenait chaque matin un verr
ligieuses ont apparu. Nous signa- lons simplement la coïncidence.
Observation
IV (Service de M. le Dr Magnan). - Dégénérescence
Plusieurs points demandent à être éclaircis dans les précé- dentes
observations
. Mais examinons d'abord ce que c'est que l'hall
ités intimes. Comme nous l'avons fait remarquer à propos de notre
observation
I, certains malades croient parler automatique-
rs de la région d'innervation des organes phonateurs comme dans l'
observation
IV. Le malade éprouve des élancements dans les
on ver- bale psycho-motrice : 1° Une prédisposition spéciale. Nos
observations
nous le démontrent. Nos quatre malades sont d'a
par K. Sciiafter. (Neurolog. Centrcalbl., XVII, 1898 ) Voici deux
observations
de lésion isolée des racines, très propres à éc
r la dégénérescence du champ ovale du cordon postérieur. Ces deux
observations
mettent en lumière la dégénérescence de Schultz
cendantes des racines posté- rieures ; il croit aujourd'hui que son
observation
eût plutôt pu servir d'appui à la thèse de la d
s'agit plutôt alors de la destruction de fibres commissurales. Une
observation
récente de destruction transverse de la moelle
e sont en dehors de la cloison paramédiane. Conclusions. - 10 Les
observations
relatives à la dégénérescence de la deuxième et
ellules nerveuses et des dendrites d'autre part. P. KERAV.4L. XX.
Observation
de sarcome de la dure-mère spinale. Contribution
Westphal, Lceweuthal, Auerbach, Quensel, Held, Monakow, Molt et les
observations
cliniques de Bruns, Pa- trick, Hoche, de Soelde
Letulle. (Presse médicale, 8 juillet 1899.) M. Letulle rapporte l'
observation
d'un malade atteint de delirium tremens, qu'il
Leroy. (Presse médicale, 14 juin 1899.) Les auteurs rapportent l'
observation
d'un homme de trente- sept ans, fils et frère d
ralbl. f. Nervenheilk., XXI, N. F., IX, 1898.) Etude à l'aide de 24
observations
. On commence à administrer 0,10 d'opium brut pa
e l'étude des accès et de leur nombre, M. Schroeder formule que les
observations
des divers observateurs ne sont pas compa- rabl
ts paralytiques en dehors des inoculations en question. La première
observation
est topique. 11 s'agit d'un individu en parfait
ytiques; point d'excès alcooliques , point de syphilis. Une seconde
observation
est celle de diplégie faciale ; on ne lui trouv
de la diplégie faciale. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. a'3 Dans les deux
observations
en question, il y avait polynévrite, donc les a
inoculations peuvent en être la cause unique, car, dans la seconde
observation
, le chien n'était pas notoirement enragé ; on n
s, par l'association de l'adonis vemalis aux bromures. Il donne une
observation
qui concerne un homme de vingt-quatre ans pour
quement dans la peau, en y faisant pénétrer ce même mélange. Sur 97
observations
relevées par M. Fouquet, les tatouages médicaux
ne place peu considérable et l'on y rencontre les opinions et les
observations
les plus contradictoires. Baillarger signale qu
ymptôme rare, qui n'a été mentionné que dans un très petit nombre d'
observations
; que « les troubles intellectuels qu'on observ
uvé du délire nettement accusé que dans un cas (obs. XIX). Or cette
observation
, d'ailleurs fort insuffisante, au point de vue
tation spéciale des facultés émotives. Grasset nous donne plusieurs
observations
complètes de ramollissement cérébral étendu (éc
ment. Au cours de ces dernières années, nous avons recueilli six
observations
complètes de ramollissement cérébral en foyer,
différents ramollissements et en restant sur le terrain clinique.
Observation
I. Femme de quarante ans, sans hérédité connue,
e artériel, particulièrement du système de l'hexagone de 1'illis.
Observation
II. - Femme de quarante-neuf ans. Hérédité vésa-
tion très violente, analogue à ceux que nous avons constatés dnns l'
observation
précédente, avec hyperthermie. Saburration et f
ésion a été constituée par des pous- sées successives d'ischémie.
Observation
III.Femme vingt-sept ans. Alcoolisme et débauche.
le foyer s'est établi à la suite d'une seule poussée d'ischémie.
Observation
IV. Femme de soixante-huit ans. Hérédité inconn
les éléments ner- veux ne sont pas encore dissociés complètement.
Observation
V. Femme de soixante-douze ans. Antécédents hér
la frontale ascendante, cortex cl substance blanche sons-jaccnle.
Observation
Vs - Femme de cinquante-six ans. Antécédents hé
re des deux premières circonvolutions frontales à gauche. IV. Les
observations
qui précèdent n'ajoutenl rien, sans doute, aux
des sur six étaient alcooliques reconnues. Le petit nombre de nos
observations
, l'extrême variété des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL
es oblitérations inflamma- toires des vaisseaux... et attendons des
observations
nou- velles. V. De ce qui précède découle une
à négliger, quand il s'agit d'aliénés. Toutes les malades dont les
observations
précèdent, sauf une qui était internée depuis p
pré- senta également des hallucinations psycho-motrices et dont l'
observation
nous a paru intéressante. Ce malade, dégénéré h
onvolution frontale gauche (siège du centre des images verbales).
Observation
. - PCtl'alysie générale survenue chez un labéliqu
ue peut trancher la difficulté. C'est ainsi que dans l'intéressante
observation
rapportée par MM. Lereboullet et Allard, relati
let 1899.) E. Uux. 480 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLIX. Quatre
observations
de tremblement; par le professeur BOINET. Dan
n 1899.) E. B. L. A propos de la chorée variable de Brissaud. Trois
observations
de chorée; par Couvelaihe et Croupon. En 1890
des stigmates de dégénérescence chez les sujets atteints. Les trois
observations
publiées qui présentent toutes le même caractèr
sibilité à la douleur, au froid et à la chaleur est abolie. Cette
observation
est particulièrement intéressante : d'une part,
; la quantité, au lieu de 2 p. 1000, n'atteint que 1,7 p. 1000 (4-
observations
). Inversement chez une hystérique atteinte de m
phosphorée; par S.-E. HExscuEa. (Neurolog. Cet'ft ? XVII, 1898.)
Observation
purement clinique. Homme de soixante-dix ans ay
que, la dégénérescence des faisceaux de Goll. P. IERA ? 1L. LVII.
Observation
de névrite optique avec cécité bilatérale, de q
ellement rare; et surtout la névrite aiguë bilatérale. En voici une
observation
caractérisée par la perte foudroyante de la vue
e, 1881; Friedmann, 1889 ; Struempell, 1891), l'auteur détaille une
observation
d'encéphalite hémorragique consé- cutive à une
es oblitérations de plus en plus complètes. \ P. IiEaavaL. LXIII.
Observation
de surdité verbale après fracture de la base ;
localisation; par L. Bruns. (.\-eurolog. Centrulbl., XVII, 1898.)
Observation
I. - Sarcome à cellules rondes dans le lobe front
nerfs et vaisseaux sous-jacents. Intégrité de la substance grise.
Observation
IL - Fongus de la dure-mère avec destruction du l
able. M. Uay- 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE mond a signalé des
observations
dans lesquelles le malade ne pouvait pisser qu'
loi sur les accidents. M. Francke vient par exemple de publier une
observation
de poliomyélite antérieure aiguë consécutive à
- citabilité électrique. En voici un nouvel exemple. Les quelques
observations
des auteurs et celles de M. Bernhardt (Cenlralbl.
les fonctions comme suppléants (Remak, Wundt). P. KE1\AVAL. LXIX.
Observation
de névrite du fémoro-cutané externe ; par W. V
nhardt survenues à la suite de fièvre typhoïde. P. KERA VAL. LXX.
Observation
de paralysie traumatique du plexus brachial (pa
xoedème ; par \\'. MURA TOW. (Seurolog. Ce ? )0-ft ? XVII, 1898.)
Observation
d'une fillette de six ans. Anatomie et histologie
thérapie reste impuissante chez le premier'. l'. IaFn.wAL. LXXIf.
Observation
de sciatique bilatérale dans la néphrite paren-
les, comme cela s'observe dans la pathophobie. P. Keraval. LXXIV.
Observation
d'hémiplégie hystérique; par GUT1'v.\n. (Xeurol
CUasTVEa. (Neurolog. Cet : <ra<6<., XVIII, 1899.) Figure.
Observation
probable de myélite infectieuse à mar- che part
de) ; par S. PEC11KI1 ? Z. (Neurolog.' · Centmlbl., XVIII, 1899.)
Observation
complète, presque depuis le début des accidents
r, à une lésion cérébelleuse. M. Robinson. Surdité verbale mentale.
Observation
détaillée concernant un homme de quarante ans,
IiLIPPEL. Abcès cérébral et méningite aiguë. L'auteur rap- porte l'
observation
et des photographies de pièces, concernant un h
mécontent des manières de Lagnel avec la jeune fille, lui en fit l'
observation
. Pour toute réponse, Lagnel prit un râteau et e
rée variable, par Brissaud, 54. a propos de la de Brissaud. Trois
observations
de la -, par Couvelaire et Crouzon, 480. Clas
de dédoublement de la personnalité, par Lauuts. 139. Dure-mère.
Observation
de sarcome de la spinale; contribution à la c
tique spasmo- (11(lU(' à l'époque de la puberté, par Voisin, 331.
Observation
d'a- acromégalie, chez un fument, par Farnane
he et para- lysie alterne de la sensibilité par Ballet, 159. Deux
observations
TABLE DES MATIERES. z35 il' - avec lvmiauet
uirol. Bétablissement du -, .)7. - Moreau, 58. PSr.LDO-T13FS. Une
observation
de - . par Valin, 30,5. PS1C110-I : STII1351E
cs similaires, par Ilrissaud et Feindel, 133. Tremblement. Quatre
observations
de -, par Boinet, 480. Trépidations. Les et l
entre du lan- gage articulé. Pour apprécier comme il convient les
observations
cliniques qui se rapportent aux faits anatomo-p
hologiqtes l'obligation de rechercher ce que deviennent, dans les
observations
relatives aux lésions situées sur la région que
une lésion de l'insula. A. Hémisphère gauche. Je me servirai des
observations
qui sont contenues dans les thèses de MM. Pitre
on, elle appartient à notre regretté maître et ami, Elie Gintrac.
Observation
I (résumé). Hémiplégie incomplète. Aphasie pers
nent quel- ques gouttes d'une sérosité un peu trouble. Dans cette
observation
, la lésion occupe sans doute plus que les faisc
e de pathologie interne et de thérapie médi- cale, t. VII, p. 124. (
Observation
XXI de la thèse de M. Pitres.) 12 i ANATOMIE PA
s connaissances anatomiques à l'époque où Gintrac a recueilli cette
observation
, ne lui ait pas per- mis d'en apprécier la vale
s situées loin du bord externe du ventricule latéral. A côté de l'
observation
d'Elie Gintrac, je place une observation de M.
e latéral. A côté de l'observation d'Elie Gintrac, je place une
observation
de M. Dieulafoy, dans laquelle la lésion, au li
audé, siégeait sur un point diamétralement opposé, sous l'écorce.
Observation
II (Dieulafoy). (Obs. XXVIII de la thèse de M.
centre ovale; ou bien, pour parler le langage de M. Pitres, dans l'
observation
de Gintrac, la lésion siégeait sur le sommet du
siégeait sur le sommet du faisceau de la troisième frontale; dans l'
observation
de M. Dieu- lafoy, elle se trouvait du côté de
dans l'interprétation des faits cliniques. Ainsi, pour nous, dans l'
observation
de M. Dieulafoy, la lé- sion n'était que sur un
mentetphysiologiquemeut, noussommes en droit d'affirmer que, dans l'
observation
deM. Dieu- lafoy, la lésion portant sur une par
édifice que cette base est destinée à supporter. En dehors des deux
observations
qui précèdent, tous les faits d'aphasie contenu
nous n'en citerons qu'un petit nombre. Nous commen- çons par une
observation
de M. Boinet, dans laquelle se trouvent synthét
es deux ob- servations précédentes de Gintrac et de M. Dieulafoy.
Observation
III (Boinet). (XXVII, thèse de M. Pitres) (résumé
la troisième frontale a été profonde, destructive. A ce sujet une
observation
se présente naturellement à l'esprit, celle de
rvation se présente naturellement à l'esprit, celle de Broca. Cette
observation
fait époque ; DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 17
qu'elle ne peut pas tromper. L'appréciation que je vais donner de l'
observation
de Broca exige que j'en expose au moins le résu
l'observation de Broca exige que j'en expose au moins le résumé.
Observation
IV (Broca). Leiong. Apoplexie à quatre-vingt-tr
tes qu'il présente Notons qu'à l'époque où Broca communiqua cette
observation
, l'attentiou des cérébrologistes était ab- sorb
moins une aphasie passagère, ainsi que nous l'avons constaté dans l'
observation
de Dieulafoy et comme nous le constaterons de n
signalée par Broca. Cette condition pathologique rap- proche son
observation
de celle de Gintrac. Il est à re- gretter que l
donnons pour preuve le fait suivant, qui appartient à M. Pitres.
Observation
V (Pitres) (résumé) '. Légal, soixante-six ans;
ramollies se dissocient assez difficilement sous un filet d'eau ; 1
Observation
XXXVIII de la thèse de M. Pitres. %-1 0 ANA.TOM
u pied de la troisième circonvolution frontale. Ainsi, dans cette
observation
d'aphasie, recueillie par M. Pitres, l'écorce é
a parole. C'était en un mot par rapport à la troisième frontale l'
observation
de Broca, moins le foyer hémorrhagique. On est
l'aphasie, à savoir : qu'il faut n'accep- ter qu'avec réserve toute
observation
dans laquelle la substance médullaire confinant
on tardive. La réalité des guérisons tardives s'impose. Parmi mes
observations
, figure un malade, sorti après huit ans de séjo
trois hommes. Le sexe féminin l'emporterait donc; mais sur les neuf
observations
rapportées par M. Gi- raud, il y a cinq hommes,
res qui se retrouvent dans le travail de M. Rousseau. De mes huit
observations
, je n'en rapporterai que quatre; je n'ai pu obt
n avis, une preuve de nulle valeur. DE L'ALIÉNATION MENTALE. 31
Observation
I. Neuf ans de séjour à l'asile. Guérison se ma
poux et excellent père de famille. Il prospère dans ses affaires.
Observation
II. -Douze ans de séjour à l'asile. Guérison se
a souvent l'occasion de le voir et de constater son état mental.
Observation
III. Sept ans et demi de séjour à l'asile. Guér
ités qui font une gouvernante modèle. DE L'ALIÉNATION MENTALE. 35
Observation
IV. Sept ans de séjour à [asile. Guérison se ma
peut contester, et qui est mis en évidence, en particulier, par les
observations
si détaillées publiées par M. Bourneville et se
ns les auteurs qui ont traité des maladies nerveuses, soit dans nos
observations
personnelles. III. Nous nous occuperons d'abord
III. Nous nous occuperons d'abord de l'éclampsie scarlatineuse.
Observation
I. Scarlatine; albuminurie ; éclampsie ; épilep
pour l'éclampsie; nous pourrons citer à ce propos le résumé d'une
observation
qui nous est communiquée par notre ami, le D' A
nous est communiquée par notre ami, le D' Alb. Mayor (de Genève).
Observation
Il ? Hérédité névrop(ithique, antécédents con-
, où on voit apparaître consécutivement l'action de la grossesse.
Observation
III. Hérédité névropathique. Scarlatine, attaqu
es d'ailleurs de dipsomanie. Nous pou- vons résumer à ce propos une
observation
qui nous est communiquée par notre ami, le Dr J
n qui nous est communiquée par notre ami, le Dr Jagot (d'Angers).
Observation
IV. Hérédité névropathique, antécédents convuls
gne toujours d'abaissement de température malgré les convulsions.
Observation
V. -Hé7,édité; nervosisme et longévité. Eclamps
epuis, mais elle a toujours des vertiges. (3 octobre 1883.) Cette
observation
offre à relever plusieurs circons- tances intér
accompagnée d'une recru- descence des manifestations convulsives.
Observation
VI. Eclampsie puerpérale ; épilepsie. (D'après
à partir de sept cuillerées à café jusqu'à douze (par quinzaine).
Observation
VII. Eclampsie puerpérale; vertiges, épilepsie.
le a été sept mois sans en avoir, mais les vertiges persis- tent.
Observation
VIII Hérédité névropathique ; antécédents convu
n conformé, mais nous ne l'avons pas examiné directement. VI. Les
observations
qui précédent nous permettent de répondre aux t
vons-nous pensé qu'il serait peut-être intéressant de publier cette
observation
que nous avons prise la plus complète possible.
cette observation que nous avons prise la plus complète possible.
Observation
. Hérédité. Convulsions dans l'enfance. Deux acc
érir. A quelle forme d'aliénation mentale doit-on rattacher cette
observation
? Il nous semble qu'on ne peut guère hésiter qu
les troubles de la sensibilité spéciale et générale, relatés dans l'
observation
ci-dessus, sont bien tels qu'on les observe dan
e pas être confondue avec des cas qui s'en rapprochent, mais qu'une
observation
attentive, unie à la connaissance des symptômes
d'Allemagne, nouspréférons apporternotre contingent à cette série d'
observations
connexes. Nous obser- vons en effet, en ce mome
nent la phrase que l'on vient d'articuler. Il y a là une source d'
observations
encore presque inexplo- rée, dont l'interprétat
nous avons eu la bonne fortune de rencontrer un deuxième sujet; son
observation
et trois autres qui appartiennent à M. Charcot,
U TABES; par 11. 13Elt\11.lRUl'. (rlrch. ? Payclz., RIV, 1.) Deux
observations
sont relatées. La première concerne uu homme de
lue. Répétition jusqu'à vingt-deux fois en vingt-quatre heures. - L'
observation
Il est celle d'un homme de quarante-quatre ans.
ditions. On n'en sait pas davantage sur leur pathogé- nie. Voir les
observations
de 111. \l. Vullian (Reuve de naédecine, 1882),
es longs extenseurs des doigts avec immunité du tibial antérieur. L'
observation
communiquée ici constitue précisément une excep
E chez l'adulte]; par C. Eisenlohr. (Neurol. Cetttrrll6l., 1882.)
Observation
u lire en entier. P. K. iI. L.f.1'l' .\NA'10110
; par Th. RUMPF. (Neurol. Centmvl6l., 188 ? ) L'auteur apporte deux
observations
de guérison par ce moyen. Une autre série de ca
pporte à l'appui de la doctrine des localisations céré- brales, ses
observations
intéressantes : Io Méningite tuberculeuse avec
an Journal of the médical sciences, juillet, 1882.) Le sujet de l'
observation
, jeune homme d'une vingtaine d'années, reçut pe
ilieu de l'hémisphère gauche, près de la scissure de Sylvius. Cette
observation
montre une fois de plus combien quelquefois le ce
nfluence, s'adressant généralement à des cas trop anciens. Quelques
observations
favorables doivent engager à recourir à cette m
urnies par le tact avec les conceptions du centre visuel.- Les deux
observations
anatomopathotogiques mettent en évidence dans l
17ch. f. Psych., XIV, 1.) .) L'origine des troubles psychiques et l'
observation
dans un asile pendant au moins six semaines, te
de qui permit à AI. Siemens de déceler la simulation dans les trois
observations
qu'il rapporte. Dans la première, il s'agit d'u
méthode dans leur enchaînement perdirent le simulateur. La seconde
observation
concerne un professeur, coupable de faux, qui,
entes chez les EP1LEPTIQUF.S Rn0)IURES; par I. P. LF : GEIDItE. L'
observation
qui fait l'objet de ce travail semble démontrer,
ie a deux) : par h. Lruo.\vv. (ncla. f. Psyc7v.,XlV, 1.) Les cinq
observations
de folie communiquée prises à l'asile de Sarreg
s'agit pas d'un travail cli- nique et que l'auteur ne fournit pas d'
observation
à l'appui de ses assertions, une analyse ne sau
crânienne augmente de capacité ; 11. Leidesdorf vient, grâce à deux
observations
, montrer que, dans certaines conditions, l'ampl
que la substance blanche ne subit point de changement T. KAHN. III.
Observations
cliniques sur l'emploi des injections hypodermiqu
ctions des centres nerveux les effets ont été trop variables et les
observations
sont trop peu nombreuses pour qu'il soit permis
ar lBcuri : u (dc Pankow). (Neurolog. Ccntrvlbl., 1882.) Première
observation
: manie t l'époque de la ménopause. Une injecti
f). En réalité, M. Fischer apporte à l'appui de cette thèse trois
observations
dans lesquelles il réalisa trois succès d'électro
alées aune certaine phase de cette grave affection, et m'opposait l'
observation
d'une paralytique générale dont le sang contena
ymptôme, les arthropathies, dans l'étudeduquel l'auteur apporte des
observations
et des opinions toutes person- nelles; sur un r
rhumatismales. Dans la leçon XVIII se trouvent consignées plusieurs
observations
de paralysie rapide et presque généralisée, sem
lysie agitante. Plusieurs figures jointes au texte, etde nombreuses
observations
inédites qui sont, elles aussi, comme autant d'
l'Assistance pu- blique publiant tous les ans la statistique et les
observations
des malades soignés dans son service pendant l'
nts idiots ou arriérés. C'est ainsi que, en 1881. nous trouvons une
observation
très in- téressante de maladie bleue avec autop
suite un relevé des cas analogues publiés par d'autres auteurs. Une
observation
de crétinisme avec myxoedèmr. Un cas d'hystérie
plus ou moins étendues et profondes. En 1882, nombreuses notes et
observations
sur l'idiotie et l'épi- lepsie avec résultats d
ns sur l'idiotie et l'épi- lepsie avec résultats divers d'autopsie.
Observation
d'hystéro-épi- lepsie chez un jeunegarçon où se
ants dans les premiers jours de janvier 1881. Eu 1883, en outre des
observations
d'épilepsie et d'idiotie, con- tingent ordinair
bien faits pour dérouter les cliniciens, si bien que dans plusieurs
observations
rapportées par M. Chantemesse, le diagnostic n'
ude basée sur l'examen clinique et anatomique d'un grand nombre d'
observations
(54) de méningites tuberculeuses anomales de l'a-
me l'appelle M. Charcot, qui, il y a longtemps déjà, à propos d'une
observation
curieuse dont nous parlons plus loin, a fait he
tention aura été dirigée de leur côté. Les malades soumises à notre
observation
ont pré- senté des attaques caractérisées tantô
dans le Progrès médical1, ressortiront d'une façon très ' nette des
observations
et des développe- ments qui vont suivre. La p
observations et des développe- ments qui vont suivre. La première
observation
qui constitue, pour ainsi dire, la clef de la d
nons, est celle d'une malade du service de M. Legrand du Saulle.
Observation
I 2. - Rosa G..., dix-sept ans, fille naturelle,
is cette époque jusqu'à jan- t Prorès médecal, 4885, n 5. 2 Cette
observation
a fait l'objet d'une communication de M. Legrand
' ', - - , > . a . ' ? ? r.7· : ? d 1 Nous ne connaissons pas d'
observation
dans laquelle on ait signalé jusqu'à présent un
dernières. Deux faits se dégagent nettement, tout 'd'abord, de l'
observation
qui précède : c'est, d'une part, l'analogie rem
la malade et la nature hystérique des accidents convulsifs. Cette
observation
suffirait donc, à elle seule, à établir le bien
ptionnelle et transitoire. » Et, de ce fait, M. Charcot rapproche l'
observation
d'une épileptique Cheval... chez laquelle la te
é de cette proposition était jugée insuffisamment démontrée par l'
observation
de Rosa G..., elle trouverait le com- plément d
leur de ce signe apparaîtra évidente si l'on veut bien comparer l'
observation
I avec l'observation II, qui se rapporte, on va
paraîtra évidente si l'on veut bien comparer l'observation I avec l'
observation
II, qui se rapporte, on va le voir, à un cas d'
plaçant en regard du 1 H CLINIQUE NERVEUSE. cas de Rosa G..., une
observation
d'épilepsie jackson- nienne typique'. Voici cet
, une observation d'épilepsie jackson- nienne typique'. Voici cette
observation
: Observation II. -Accès d'épilepsie partielle
n d'épilepsie jackson- nienne typique'. Voici cette observation :
Observation
II. -Accès d'épilepsie partielle datant de l'enfa
récédents, se sont groupés en 'La malade qui fait le sujet de cette
observation
a été suivie pendant pies de deux ans (188t et
c celle que nous soutenons. Nous rapportons, comme exemples, deux
observations
: l'une de Dussaussay, l'autre de Littré. Obs
es, deux observations : l'une de Dussaussay, l'autre de Littré.
Observation
VI (Dussaussay). Couturière, cinquante-sept ans
u du bord postérieur de la circonvolution pariétale as- cendante.
Observation
VII (Littré. (XXV). Thèse de M. Pitres.) Femme
s, rapport de nature à produire : la,perte de-la.parole. Dans son
observation
, Littré, privé des connaissan- , (r 1·'i ..1 ·r
ère. J'en donne pour exemples une obser- tion de M. Déjerine et les
observations
XXXIX et XL de la thèse de M. Pitres'. Observ
jerine et les observations XXXIX et XL de la thèse de M. Pitres'.
Observation
VIII (Déjerine). Aphasie; hémiplégie droite; au
ns qu'il présente, disparait devant notre théorie. En effet, dans l'
observation
de M. Déjerine, la lésion n'embrasse ni le noya
nente. Les réflexions qui précèdent s'appliquent absolu- ment à l'
observation
XXXIX de la thèse de M. Pitres, dans laquelle u
que la paralysie per- siste, la parole revient peu à peu. Dans l'
observation
XL du même travail recueillie, comme la précéde
ue l'a- phasie transitoire. L'examen attentif des cent vingt-sept
observations
d'hémorrhagie cérébrale colligées par Gintrac n
échec ou au moins un amoindrissement pour la thèse de Broca. De ces
observations
, nous ne connaissons que ce que dit Clozel de B
s quelques instants .cette,.façon de le comprendre. HOl'lIf , -
Observation
X. Attaques épileptiformes. Tubercule dans la ,
, troisième circonvolution frontale droite (Hughlings Jackson). 's (
Observation
XXIX de M. Pitres.) 2QUItIV. , « - fil; Le tu
ale droite, dans les conditions où s'est faite celle décrite dans l'
observation
de Dieu- ' '' , 1 t" "JU ' 3lï31n lafoy, n'am
dans l'ouvrage de-Gititrac. Nous avons dit que, sur cent vingt-sept
observations
d'hémorrhagies cérébrales, le lobe ;moyen, gauc
-sept fois. Tos · ? IyzIIL lit 91),WIU'lh Or, dans ce même nombre d'
observations
, l'hémor- rhagie a atteint soixante-deux fois l
leur tour, fournir un appui à notre manière devoir. Ces sortes d'
observations
sont très rares. J'allais terminer ce mémoire,
e titre : Lésions localisées à l'insula. En voici le résumé ' :
Observation
(II). Foyer hémorrhagique gros comme une noiset
taires ; face, rien ; parole facile; sensibilité générale obtuse.
Observation
(I). Foyer hémorrhagique gros comme une petite
roite tirée en haut ;parole difficile; sensibilité générale obtuse.
OBSERVATION
(111). Ramollissement complet des circonvo- lut
tû(217 : <3 tn'Tnovaf'm DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 1691 Ces
observations
sont doublement précieuses pour,/ nous, parce q
des circonvolutions' dans18 le N troisième cas. Isolée, la première
observation
auraitétc ' 4 ' t-i(JO défavorable à l'activi
Bouchard : i < 7. -* , t i, t i t's a ! ab gnouut - rrre >
Observation
XIII (Bouchard) ? w : l' l'i'iètiu . ) ) 1 . ni
our en avoir la preuve directe, irréfutable, il suturait de' deux
observations
précises. A savoir : la conservation r ·'il.lr,
172 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. IRRADIATIONS CAPSULAIRES. Au moment où l'
observation
de M. Charcot a été prise par M. Bourneville, i
ixait pas l'attention en 1874. Pour ces motifs, nous demandons si l'
observation
de M. Charcot ne doit pas être mise à l'avoir d
faire rentrer toutes les vésanies. Avant de rapporter les quelques
observations
prises à sa clinique, nous avons cru devoir ret
e rendre plus difficile à recon- naître.j Nous citons plus' bas une
observation
empruntée à l'excellente thèse de M.' Respaut e
es symptômes trop saillants pour qu'une erreur soit possible. Les
observations
qui suivent permettront de se rendre plus facil
ne idée particulière à ces expressions, ainsi que le prou- verait l'
observation
suivante : h , i f- j. ii . ' i , . Observati
prou- verait l'observation suivante : h , i f- j. ii . ' i , .
Observation
II. Clotilde D..., i^géc' de' cinquante-six ans,
v ." DU DÉLIRE CHRONIQUE. 179 Il semble inutile de multiplier les
observations
de ^délire chronique à la période de persécutio
ant un casj se rattachant à la troisième phase de la maladie. ? i
Observation
III. La nommée (Françoise), âgée de qua- rante-
n'r'^ ? ^ ^^b g ? ', ! 11 nous, semble inulile;lde,râpp,ortere ilne
observation
de dé- mence complète. après les,, trois ^stade
! états' et en-» particulier' de1 l'épilepsie. Voici le.résumé de l'
observation
XXIV de l'excellente thèse de llyRéspâut"`Il's'
nd de bonne foi ! Ces as- sertions ont un exemple à l'appui' dans l'
observation
de 1 2 3 1 1 ô Loc. citât. 192 ) REVUE CRITIQ
Sur les effets de H. fièvre typhoïde chez les aliénés; vingt- deux
observations
; par C.-M. C.1'JiPItFf.L. -(Journal of mental
j ? - r`' ,19 91w^ e^'ii ? 1 « r· 11(' "V^ ,")iw'\ ! 9n,\}'piiMfC
Observation
, -1`inmè de trente-six ans, avant etefillê, publi
? . iia J ? 1° Lé premier' pointià'noler/'c'esti que le, sujet de l'
observation
est une femme'de'trenle-deux ansplmère de trois
? fnr7rtmo,,<'uifotrtlnns`I 9h fiUon no ,"^r^^ ,11^ ? ^ ,,f"» zn
Observation
. Homme de trente-six ans ; pas d'hérédité nerveus
)Jpqf ')l 41uo : )àjfrj'k lflqffli-oa Voici -le résume de ces trois
observations
: , , . «xjiJlr'UUJ u.W, 11111ÿ11LC JIf'Jlil'fl
totlmn n 1) : 1... l ? ! 'n' 1(", , , li '1 ·n·1»i, »,> D/i., ,.
Observation
IU ? Femme,dont 1 âge n est, pas indiqué ;, une
p070Tq qija lioveb P°a1J37&q 9UluJq91`,1 ? igJÿ j 1 Résumé de l'
observation
. - Les principaux renseignements 1 i,cq cueilli
isniélîrô(i(qué, 1 ai(tétir établlt ûi parallèle critique entre ses
observations
et ses, recherches, qui ont porté sur soixante et
'souvent'très` difficile, parfois même impbssibie'quan'd le`temps d'
observation
est limité; '"6° Ce diagnostic repose avant tou
ral, elle n'a jamais 'été"1 décrite avânt'111 : 'ICiiw : ' Voici' l'
observation
. - Un^hoTrinie* do trente-cinq ans, indemne de
."JOLL ? se rallie cette manière de penser elle, est conforme à ses
observations
. particulières ? «i )uod ut, ïinst nu ? r rn 9JJc
j zzc'aritcdctrlériGrntivç mul- - liple). - En s'appuyant sur, une,
observation
de névrite degènera- tive multiple, récemmentpu
z un aliéné hanté par des conceptions gaies. En ce qui con- cerne l'
observation
d'une physionomie grave, imposante, chez un mal
t earactéris- tiqués : Af : ,·\1'éstplïaln'a'vu qu'une''fois en des
observations
sem- blables desi ! ésionstesticu)aires (atroph
sur cent cinquante faits ; mais elle existe. Il en communique trois
observations
relatives au sexe féminin, dans lesquelles il s
k. traite de la guérison d'une psychose durant depuis des années. L'
observation
rapportée par l'orateur prouve la nécessité d'ê
des lieux d'aisances et sont munies dédoubles portes, sans judas d'
observation
. Chauffage à l'eau chaude; les tuyaux parcouren
ical. On prend, comme dans les autres établissements suédois, les
observations
suivant le besoin. Les médicaments viennent de
celle de l'intérieur, on a installé un gui- chet valvulaire pour l'
observation
. Chaque cellule a ses latrines et son poêle en
cine en 4880 a mérité un prix son auteur. Il repose sur trente-cinq
observations
personnelles, bien détaillées, mais dont la lec
connaît qu'elle peut compliquer la paralysie générale (soixante-dix
observations
à l'appui). L'auteur en fait une vésanie spécia
éré.) · M. Féré a également communiqué à l'auteur de la thèse une
observation
d'amorp/tMtMmc dans le cours d'une grossesse ; le
et soit en France, soit en Espagne. On y trouve un certain nombre d'
observations
sur des poinls différents de la 1 Cil. Féré. No
en rap- portant quelques autres faits analogues à celui de notre
Observation
I. Au moment où nous observions Rosa G... dans
avions affaire a des accès d'hystérie. Voici le fait en question.
Observation
111 '. Ang... (Eudoxie), vingt-neuf ans, cou- t
lent dus à des hémoptysies, se sont reproduits 1 Le résumé de cette
observation
a été communiqué par l'un de nous à la Société
ouleur qu'ils déterminent au ni- veau de la jointure. Résumé de l'
observation
. a)H ! /)<<);HMM'maHe ? ! <s : Anes- t
attaques hystériques à forme d'épilepsie partielle. Dans les deux
observations
d'hystérie qui précèdent, les convulsions, on l
sans intéresser le membre inférieur corres- pondant. La première
observation
de cet ordre que nous ayions rencontrée est cel
yions rencontrée est celle d'une malade du service de M. Charcot.
Observation
IV. Fore... (Camille), dix-huit ans. Les rensei
ns à l'obligeance de notre ami E. Brissaud, médecin des hôpitaux.
Observation
V. (Communiquée par M. E. BRISSAUD, chef de cli
térique est indéniable. Qu'on remarque, en effet, ce passage de l'
Observation
: « La malade est prise d'une attaque qui comme
ns bon nombre de cas, le plus souvent, si nous en jugeons par nos
observations
, elles constituent toute l'attaque. De là la né
résulte, d'autre part, des faits rapportés dans ce mémoire (et les
observations
ultérieures démontre- ront probablement que les
intitulée : Contribution à l'étude des localisations céré- brales;
observation
d'hémiplégie cérébrale infantile spasmo- dique
le lobe occipital (L 0), sont normaux (PL. IX). Réflexions. Cette
observation
nous semble comporter les remarques suivantes :
res. Nous bornons là ces réflexions. Les détails consignés dans l'
observation
, la description des lésions notées à l'autopsie e
t les planches dessinées par M. Leuba, permettront d'utiliser notre
observation
à propos d'autres faits. REVUE CRITIQUE LA
s normale, au moins quelque temps après l'opé- ration. Toutes ces
observations
sont en faveur d'un entre-croisement in- comple
u ; par C.-W. Mueller. Arch. f. Psych., XIV, 2 et 3.) La première
observation
concerne l'atteinte de la portion sen- sitive d
de traitement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 327 Dans la seconde
observation
, toutes les branches du trijumeau gauche sont a
eiff. (Arch. Psych., XIV, 2.) Sous ce titre, l'auteur rapporte deux
observations
de formes associées de sclérose multiloculaire
me est d'ailleurs capable d'expliquertous les symptômes Deux autres
observations
sont relatées, mais elles sontincomplètes, puis
bès); par Schultze. (Arch. f. Psych. XIV, 2)'. Les quatre premières
observations
rapportées par Schultze con- cernent la série d
perfection plus ou moins complète de la dégénérescence. La dernière
observation
' Voy. Congrès de Bade du 11 juin 1882. Archive
H. Mol- lière. (Lyon médical, 1883, nos 43 et 44.) Le sujet de l'
observation
est une femme de cinquante-neuf ans, sans antéc
exceptionnelle, après avoir discuté et réduit encore le nombre des
observations
qui en sont rapportées, l'auteur n'admet comme
vité stomacale. - Tel est le thème à l'appui du- quel viennent deux
observations
. La distension suraigué soudaine, fut, dans l'e
même sujet; par VESTe71 : vL. (Nczs7'ol. Cenlralbl., 1883.) A. L'
observation
de M. Erb peut se résumer ainsi : deux mois apr
MOELLE allongée, par R. Schulz. (Alcui,nl. Centi-albl., 1883.) L'
observation
concerne un homme de trente-deux ans, indemne d
ère; par ZACHER. (Neu1·ol. Cent1·lllGl., 1883.) Tout l'intérêt de l'
observation
en question, qui concerne un homme de cinduante
de quelque sorte et de quelque variété qu'il Boit. Parmi les trois
observations
qui servent de base à cette détermination, la p
yme latérale ; par GNAUCK. (Nezvrol. Ceiiti-albl., 4883.) C'est l'
observation
détaillée du malade présenté à la Société de ps
rmiques contre l'entérite catarrhale prend sa source dans plusieurs
observations
qui témoignèrent à la suite de l'action calmant
iiémilvtérale ; par E. Mendel. (Neurol. CentrIl6l., 1883.) Cette
observation
, qui concerne une jeune fille de vingt-trois ans,
température, nous reproduirons simplement ses conclusions : Il l'
observation
clinique ne nous fournit que peu ou point de ra
e fait d'un maladie; 2" l'examen microscopique du tissu cérébral, l'
observation
des effets de l'alcool nous donnent la certitud
uences d'ordre différent. M. Mickie rapporte dans ce travail quatre
observations
dans les- quelles la paralysie générale a fait
HH'ëc/tMcsun ! ('Mes;parCnFFODDG;LL. On ne peut guère résumer cette
observation
, qui est extrême- ment longue et intéressante s
avant. Le cas dont il s'agit appar- tient à la seconde catégorie. L'
observation
peut se résumer ainsi : REVUE DE PATHOLOGIE M
ait été plus vo- lumineux que le lobe droit. Il résulte de cette
observation
, comme de celles qui ont été rapportées par Van
al of mental Science, janvier 1883, p. 532.) Voici le résumé de l'
observation
: Femme de trente-deux ans, épileptique et idio
et s'étant réunies. M. Herbert Major ajoute qu'il ne connaît aucune
observation
où l'on ait bistologiquement étudié cet état du
'on ait bistologiquement étudié cet état du cervelet, si ce n'est l'
observation
d'idiotie paralytique, qu'il a lui-même publiée,
'hypnotisme, une grande importance; car c'est le plus souvent par l'
observation
de ces symptômes, tout au moins de ceux qui ne
nt accélérées au début'. Les tracées du professeur Tamburini et les
observations
de Heidenhain confirment ce fait. Les recherche
r découvrir lasimulation. Muscles. L'auteur se borne à rappeler les
observations
faites sur ce sujet par M. Richer.. Action ré
r G. CANTARANO. (La Psychiatria, Naples, 4883.) L'auteur rapporte l'
observation
d'unejeune fille qui, dès son en- fance, se fai
s, somme toute, sur deux cent dix cas comprenant cent quarante-huit
observations
à doses vespérales et soixante-deux observation
cent quarante-huit observations à doses vespérales et soixante-deux
observations
à doses diurnes, l'auteur a obtenu : REVUE DE
sement du sens moral a nécessairement apparu à son tour. La seconde
observation
concerne un affaiblissement psychique congénita
s en leurs affir- mations, on se décide à transporter l'individu en
observation
dans un asile (20 février 1882). Le 6 avril, M.
n a peu fait attention jusqu'ici. M. Hirschberg en communique une
observation
accompagnée de mensurations périmétriques très
rents pour étendre selon les hasards de la clinique, leur étude à l'
observation
des délires com- plexes les plus variés; c'est
on de la rareté des faits de ce genre, il convient d'insister sur l'
observation
en ques- tion, l'ensemble des phénomènes morbid
u moment de la période de convalescence de l'alexie, tandis que les
observations
prises parlui concernaient un symptôme initial.
s décroissaient jusqu'à disparaître chez certains malades. Dans une
observation
, en pressant le ventre de certains muscles, on
s impressions, jamais de points douloureux à la pression. Dans deux
observations
, la conva- lescence fut marquée par le rétablis
s (ni oedème, ni hy- pertrophie cardiaque, etc.). Rapprochant cette
observation
des intéressantes communications de Kussmaul «
s que l'ataxie aurait continué sa marche. La discussion que cette
observation
comporte est ajournée. M. SCRUFTZ présente un a
Quand cela ne serait qu'en forçant les néophytes à serrer de près l'
observation
des malades. P. KeRAvAL. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE
e M. Charcot, in Prog. médical, 1886. DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 3
Observation
1 - Intoxication saturnine. Hystérie. Bégaye- m
ation saturnine. Hystérie. Bégaye- ment transitoire et récidivant. (
Observation
recueillie avec le concours de M. Marquez, inte
en tourné et débité sans difficulté appréciable de prononciation.
Observation
II. Hystérie. Monoplégie double à droite. Déviati
oubles de la parole, avait fait, songer à la sclérose en plaques.
Observation
III. - Intoxication saturnine. Hystérie. Bégaie
che la sensiblililé est normale (v. fig. 6). La lecture des trois
observations
qui précédent, et particulièrement des passages
observations qui précédent, et particulièrement des passages de ces
observations
rela- tifs aux troubles de la parole, donnera m
pour toutes les voyelles (Dr... OBS. Il), ou en les aspirant (même
observation
), ou bien encore en les répétant plusieurs fois
qu'on interroge brusquement le patient. Nous citerons à ce propos l'
observation
de Cab... « Si « on lui demande brusquement le
beaucoup en ligne de compte pour expliquer le bégaiement. Dans une
observation
rap- portée dans le mémoire de M. Cartraz, le m
aires. Ce signe encore est constant; il se retrouve dans toutes les
observations
. ]) Donc, notre malade n'est point atteinte de
près que ces Leçons ont été faites, et qui contient le résumé de 45
observations
, recueillies à la Salpêtrière. MALADIE DES TICS
maladie des tics convul- sifs. Pour cela, il faut reprendre, dans l'
observation
, l'évolu- tion et la succession des phénomènes,
onstitue évidemment la névrose des tics. - Certains traits de cette
observation
méritent d'être soulignés et rapprochés de ce q
des véritables tics convulsifs; mais dans d'autres cas, dont notre
observation
est un type, ces tics légers peuvent être sous
s ont été suffisamment multipliés. Je terminerai par cette dernière
observation
de Guinon qui ré- sume fort bien l'idée que l'o
ent des caractères peu ordinaires qui méritent d'être consignées.
Observation
I. - Elle concerne une femme, Thérèse R..., âgée
et leur disposition régulière, stratifiée, autour des vaisseaux.
Observation
II. Il s'agit d'un homme de soixante-deux ans,
des assez abondants. 1 On peut également rapprocher de ces cas, une
observation
de myélite aigué publiée par Gowers, A Manual o
nervous system., t. I, p. 220, il-. 20. Les figures jointes à cette
observation
repro- duisent très fidèlement ce que nous avon
actères anatomo-pathologiques spéciaux. Le sujet de la pre- mière
observation
est'tombé malade à la suite de fatigues excessi
ces derniers temps au moins, publié avec quelques détails aucune
observation
de tétanos survenu chez un épileptique. Quand i
ur les raisons susmentionnées, il est peut-être utile de relater.
Observation
. L... (Jean), quarante-huit ans, domestique de
drome tétanique. C'est là une particularité curieuse. Le reste de l'
observation
n'offre rien de remarquable'. La guérison survi
puisqu'ils restent dans la résolution com- plète. Or, dans notre
observation
, les conditions physiologiques du syndrome téta
RT. (Lyon méd., 1887, t. LVI.) Les particularités qui rendent cette
observation
intéressante sont : 1° la marche rapide de l'af
par M. CH. AUDRY. (Lyon méd., 1887, t. LVI.) Il résulte des deux
observations
relatées dans ce travail que le diagnostic du m
SmoN. (Rev. méd. de l'Est, 1887 ) De l'examen comparatif des quatre
observations
contenues dans ce travail, les auteurs croient
SCLE trapèze; par W. ERB. (Neurol. Centralbl., 1889.) Cas unique (
observation
très complète) avec examen microsco- pique de v
port qui existe entre la chorée et la folie, l'auteur analyse trois
observation
personnelles. Dans l'une (Obs. 1), la chorée et
LMOPLÉGIE PROGRESSIVE; par Struempell. (Neurol. Central6., 1886.)
Observation
de dégénérescence primitive de certaines zones du
t, avec AUTOPSIE, par R. TiioMsEN. (Arch. f. Psych., XVIII, 2.) L'
observation
était cliniquement intéressante par les particula
'chie f. Psych., XXI, 3.) Nous n'avons rien àajouterau titre de l'
observation
de M. Struem- pell. L'atteinte du facial des de
évroses; par B. Herzog. (Arch. f. Psych. XXI, 1.) Il s'agit de deux
observations
dans lesquelles les symptômes psychiques de l'h
les symptômes moteurs de la maladie se développassent. La première
observation
pourrait être intitulée, dysménorrhée mâle par
ssant par l'étude clinique, anatomo-pathologique, et critique d'une
observation
. Il s'agit d'une ophtalmopiégie nucléaire par l
mémoire en cours de publication contient actuellement vingt- trois
observations
bien prises et des plus intéressantes de gliomes,
HOLOGIE NERVEUSE. base et englobe les troncs nerveux périphériques.
Observation
avec autopsie, de tumeur d'un hémisphère cérébr
éactions électriques et aux altérations anato- miques décrites. Une
observation
. Fibres musculaires épaissies, très faciles à d
par suite plus anémié que le lobe droit.. CI P. K. XXIV. NOUVELLE
observation
d'aphasie sensorielle avec surdité verbale; par
DE la protubérance; par L. BRUNS. t11- : urol. Centralbl. 1886.)
Observation
. Paralysie de l'ocutomoteur externe gauche et par
ux. On trouve un gliome de la glande pinéale. Comme dans toutes les
observations
de ce genre, ni paralysie, ni troubles de la se
nets d'hystérie chez l'homme; nous les résumons ici sommairement.
Observation
I. -J. C..., vingt-sept an., facteur de la poste;
l s'est laissé aller à ses accès et s'est fermement cru paralysé.
Observation
II. - G. M..., trente-huit ans, sujet depuis neuf
, sous l'influence du traitement tonique, amélioration mar- quée.
Observation
III. - J. W..., soixante-trois ans, maigre, aspec
A la communication précédente; par F. Flechsig. (Ibid.) D'après une
observation
concernant une lésion (ramollissement) limitée
G. (Neurol. Centralbl., 1886.) L'auteur revendique la priorité de l'
observation
suivante : Le corps trapézoïde émane essentiell
on dorsale au renflement lombaire. M. Krauss , fournit une nouvelle
observation
à l'appui de cette localisation, REVUE D'ANATOM
DE CORPS CAL- LEUX ; par Onufrowicz. (Arch. f. Psych., XVIII, 2.)
Observation
relative à un idiot complet de trente-sept ans.
Turck gauche et le cordon latéral droit. L'intérêt principal de l'
observation
consiste en. ce que la dégénérescence descendante
a base du pédoncule cérébral. L'auteur annonce la publication d'une
observation
dans laquelle, à la suite d'une lésion des lobe
TIC CONVULSIF; par 0. Buss. (Neurol. Centralbl., 1886.) Nouvelle
observation
de tic convulsif de la face du côté gauche chez
vement faibles. Il en est de même chez les nouveau-nés normaux. Ces
observations
sont appli- cables aux courants continus. L'éle
isphère cérébral,* par L. Bruns. (Neurol. Centralbl., 1886.) zut,
Observation
conforme à l'indication d'Oppenheim. Quand sur
ril 1886.) Nous traduisons presque entièrement cette intéressante
observation
, qui est accompagnée d'une planche : Le sujet d
majorité des individus. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I.
Observations
faites avec le 8PIt1'GU0GR.1P111. SURQU>;LQUES
; par J. STEWART. (The Journal of Mental Science, avril 1887.) L'
observation
du malade peut se résumer ainsi : Père alcoo- ]
ptômes de sclérose pos- térieure. 11 faut remarquer toutefois que l'
observation
du malade entraînait au delà du diagnostic de s
pas ces cas, et nous nous bornerons à résumer les réflexions que l'
observation
de ces six malades a suggérés à M. Percy Smith.
n'est jamais le résultat de la réflexion. Le sujet de la cinquième
observation
a 20 ans; ses tentatives de suicide, anté- rieu
RART. (Thejou1'11al of lenlal5'cience, janvier 1887.) .) Ces deux
observations
peuvent se résumer de la façon sui- vante au po
gique des deux malades, dont nous venons derapporter sommairement l'
observation
, ne se présentait pas en effet à l'observateur,
ts les plus 108 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. saillants de cette
observation
qu'il a relatée dans tous ses détails : 1. Ex
épilepsie opiniâtre très difficile à guérir. L'auteur signale deux
observations
relatives à ce dernier fait; il connait huit ex
2-3.) En même temps qu'il procède à une revue des théories et des
observations
publiées, M. Euphrat décrit un exemple de deux
ence paralytique ; par P. Siemens. (Neuroloy. Centl'ulIJ ? 1887.)
Observation
. Un jeune homme de trente-trois ans, sans tare
pruntées à un sujet présenté par M. NrcoL a la session de 1887 3. L'
observation
a élé publiée sous le titre de Sclérose en plaq
vénile de Erb); par L. BOURGUET. Montpeilier, Boehm, édit., 1889.
Observation
complète, avec planches, d'un malade du service
cette question encore peu vulgarisée, en y jo : - gluant plusieurs
observations
personnelles. P. B. 1V. De l'anesthésie sous se
olo- gique, en s'éclairant pour cela des données fournies par des
observations
et des expériences d'hypnotisme. Le livre est div
is, mais toujours intéressants, bien fournis qu'ils sont de faits d'
observation
très souvent personnels; toutefois, nous signal
ui commence par être élective pour devenir héréditaire. Les faits d'
observation
forment la majeure partie de ce livre, et ils s
tion politique, et l'auteur nous y condense les conclusions que ses
observations
autorisent non seu- lement sur le passé, mais e
sur les névroses trauma- tiques. Le Dr T ! : ibel1;hien cite six
observations
de malades suspendus : 4° mal dePott, avec faib
ment ainsi que les membres supérieurs. L'auteur à propos de cette
observation
fait l'historique de la question, au point de vue
t aliéné aperçut le directeur, il le prit pour cible et, malgré les
observations
de ce dernier, tentant à l'amener au calme.il c
s aussi précoce. Mais si nous jetons les yeux sur les nombreuses-
observations
qui forment la base de son remarquable travail,
uperons exclusivement ici, en nous fon- dant principalement sur des
observations
que M. le professeur Charcot a présentées et an
ns le cas -suivant, que nous empruntons à la thèse de Lefebvre. -
OBSERVATION
II (résumée). Paralysie partielle de la jambe gau
out cela, est bien caractéristique et se passe de commentaires. L'
observation
qui suit est encore plus nette peut- être, en c
LA SCIATIQUE. 133- Le cas suivant est encore emprunté à Lefebvre.
Observation
IV (résumée). - Paralysie partielle du membre inf
es extenseurs étaient devenus absolument inexcitables. ' . Dans l'
observation
suivante, empruntée au même auteur, nous assist
ce n'est pas une des moins importantes. '154 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
V (résumée). - Accouchement laborieux suivi d'une
(extenseurs et péroniers). Chez la malade qui fait le sujet de l'
observation
sui- vante, les conditions de production des lé
ait été englobé dans la lésion du petit bassin. Nous possédons l'
observation
fort intéressante d'un homme qui eut, à la suit
uniquement pour appuyer les conclusions de M. Dorion au sujet de l'
observation
ci-dessous. Observation VI (résumée). Troisième
es conclusions de M. Dorion au sujet de l'observation ci-dessous.
Observation
VI (résumée). Troisième grossesse; accouchement
'espace de moins de quatre mois il s'est présenté cinq fois à notre
observation
. Ces cinq malades font tous partie soit du serv
daction de ce travail. SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. '161
Observation
VII (personnelle).Sc : a(Mgsepa ! 'as : e et atro
dans une étendue- ].'Ig. Il. - Zone d'analgésie chez le malade de l'
Observation
VII. Fi. 12. Anesthésie il la chaleur et au fro
Fi. 12. Anesthésie il la chaleur et au froid chez le malade de l'
observation
VII. SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 165
du nerf dans le bassin. C'est un point important à connaître ici. L'
observation
qui suit est presque calquée sur la précédente
t aux troubles Fiy. 13. - Anesthésie au contact chez le malade de l'
Observation
VII. 166 . PATHOLOGIE NERVEUSE. moteurs, elle
p moins accentuée. Le domaine du musculo-cutané est resté intact.
Observation
VIII (personnelle). Sciatique avec troubles de la
- Zone d'analgésie et d'hypoesthésie thermique chez la malade de l'
Observation
VIII. SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 169
moins accentués et moins étendus que dans le cas précédent. Dans l'
observation
qui suit, ils sont à peu près nuls. Seuls les t
cette fois d'une paralysie avec réaction de dégénération typique.
Observation
IX (personnelle). Sciatique droite. - Paralysie a
de ses branches, au moins en ce qui concerne l'analgésie. Dans l'
OBSERVATION
VIII, l'anesthésie est moins ré- gulière et d'u
ntes pour conclure à la lésion des di- verses branches nerveuses.
Observation
X (personnelle). -Sciatique ancienne avec atrophi
g. 17 et 18. Anesthésie au tact et 3 la douleur chez la malade de l'
Observation
X. (Les stries simples indiquent 1'liypoe-lhési
9 et 20. - Anesthésie pour le chaud et le froid chez la malade de l'
observation
X. SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. Il -1-
contrés à l'état d'isolement chez les malades qui font le sujet des
observations
précé- dentes. Examinons d'autre part les tro
en raison de la distribution différente des phénomènes morbides..
Observation
XL (Personnelle.) Sciatique avec troubles moteurs
és. Les Fig. 21 et 22. - Etat de la sensibilité chez le malade de l'
observation
XI (sciatique et hystérie). Les stries simple
en présence d'une anesthésie presque identique chez la femme de l'
OBSERVATION
X nous avons conclu à un trouble dépen- dant de
nterpréter les cas traumatiques déjà observés, tom- bent devant les
observations
de sciatique simple. Il semble pour le moment q
zarres et difficiles à analyser. Je dois d'a- bord vous rapporter l'
observation
même de la malade, prise avec beaucoup de soin
Il y a des familles entières de choréiques. Celles-ci, d'après les
observations
del'auteur et celles de son père et de son gran
e, pour conclure, des arguments à pro- duire. Certains recoins de l'
observation
n'ont pas encore été explorés. - Nous allons no
, surles diverses pathogénies du trem- blement. Parmi de nombreuses
observations
, recueillies dans le service de M. le professeu
t, malgré toutes ces recherches, elles sont encore mal connues. Les
observations
sont trop peu . nombreuses et trop incomplètes,
ue. Symptômes. - Nous avons relevé avec soin dans les auteurs les
observations
de paralysies succédant à l'empoisonnement par
us- cles fléchisseurs peuvent être atteints. Bourdon rapporte une
observation
empruntée à Tripier, où la paraly- sie des exte
: l'état du long supinateur n'est pas indiqué. Il y a encore trois
observations
de paralysie des extenseurs des doigts 1 : dans
s 1 : dans tous ces cas, la sen- sibilité était intacte. Dans une
observation
publiée par M. Rendu 2 sur laquelle nous aurons
droite (France : )Id., 1SS3). 216 6 CLINIQUE NERVEUSE. premières
observations
sont dues à Bourdon qui en a emprunté quelques-
pendant dans plus de la moitié des cas et en outre il y a plusieurs
observations
où l'état de la sensibilité 1 Bourru. Névralgie
esbericht. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 219 9 ques
observations
. Les auteurs se bornent à noter que la contract
suite d'une asphyxie par le charbon dont nous avons pu recueillir l'
observation
. Pas plus que la contractilité électrique, l'ét
, l'état des réflexes n'a été noté attentivement ; la plupart des
observations
sont muettes sur ce point . Dans un cas (Rendu)
) ' que sur des groupes musculaires isolés. Trop souvent enfin, les
observations
ne di- sent pas quelles ont été les suites de l
La mort ne s'observe que dans des cas très graves dès le début. (
Observations
de Bourdon, de Klebs ', de Poelchen2); elle est
corps, qui suit le coma et qui disparaît peu après. Il y en a deux
observations
très nettes. Dans l'une, due à M.Lancereaux3, l
ce d'un tissu morbide qui englobait tous les tubes nerveux. - Autre
observation
. Un ma- lade d'Alberti mourut de pyohémie après
x ou trois cas où il y eût des eschares sans troubles paralytiques (
observations
de Klebs, de Leudet, d'Ar- nozan et Dallidet2).
iée récemment par Poelchen qui résume les travaux de Simon 2, les
observations
et les recherches de Klebs. La congestion ' Poe
radique et, dans un fait, la réaction de dégénéres- cence. Dans les
observations
si nettes de Schachmann et de Bourdon qui ont t
les explique par une névrite multiple. Il rapproche de ce fait deux
observations
de Laroche, insuffisamment détaillées, où l'occ
ent-elles être d'origine cérébrale ? Le fait est démontré par les
observations
d'hémiplégie où l'autopsie a fait recon- naître
son mode d'action, on l'ignore. Mais, si nous mettons à part les
observations
d'hé- mipJé31e suivies de mort où se révèle bie
ies. Sur tous ces points, les hypothèses seules sont permises : les
observations
dans la plupart des cas ne sont pas assez expli
ors par des troubles paralytiques. Malheureu- sement la plupart des
observations
sont incomplètes, l'état de la sensibilité géné
e fois à la suite d'une asphyxie par le charbon. De même dans une
observation
publiée par Laroche, l'oxyde de car- bone déter
s avons cru utile d'appeler l'attention sur ce point pour que des
observations
plus détaillées viennent établir d'une 1 Charco
auplus hautdegré par un processus d'auto-suggestion (Char- cot). L'
observation
clinique et surtout l'expérimentation sur les s
- nesthésie que l'on pourrait constater en la cherchant ». Si les
observations
de paralysie hystéro-traumatique sont aujourd'h
squisse de para- lysie hystéro-traumatique dont parle M. Charcot.
Observation
. - S..., vingt-cinq ans, infirmière. Antécédent
as de rétrécissement du champ visuel ni d'achromatopsie. - Dans l'
observation
précédente, les troubles de la sensibilité ne p
? Par la durée des accidents (moins de quarante-huit heures), notre
observation
sert de transition en quelque sorte entre les c
du type que l'auteur présente comme nouveau; elle est basée sur 47
observations
recueillies la plupart chez lafemme (43 femmes,
à la pathologie des paralysies faciales périphé- riques. - Première
observation
. - Paralysie, probablement par contre-coup, due
cerveau; par L. GOLDSTEIN. (Centralbl. f. Neruenheilk 1888.) Deux
observations
d'hémiplégie avec aphasie consécutive à un trau
CHEZ L'HOMME; par J. POLLAK. (Centralbl. f. Nervenheilk., 1888.)
Observation
particulièrement originale en ce que les attaques
ur la SUGGESTION ; par E. JENDRASS16 , (Neurol. Centra. 1888) Une
observation
. Détail des expériences bien connues de la Salp
l'aphasie sensorielle ; par L. Laquer. (Vetcrol. Centralbl. 1888)
Observation
. Chez un individu bien portant jusque-là à tous
E dans LE tabès dorsal; par R. STIITZING. (Centr. f. Nerv. 1886.)
Observation
d'ataxique qui, à chaque secousse de toux, se voi
consacrée) DE la moelle; par TUISSEN, (Centr. f. Nerv., - 1886.)
Observation
. - Névrite du maxillaire inférieur droit (résecti
TENTE DU GENOU; par A. Rosenbach. (Centralbl. f. Nervenh., 1886.)
Observation
de Pierson. - Tous les huit jours, série de gon-
s disparaissent totalement. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 245
Observation
de Rosenbach. - Une hydropisie du même genre, r
langue ; pal' M. IERNH : 111DT. (Centralbl. f. Neruelzh., 1886.)
Observation
I. Guérison. - Un négociant de trente-un ans n'a
an- gue, fussent-ils exagérés à dessein, ne les provoquaient pas.
Observation
IL - Ici prédisposition nerveuse, excès bachiques
par E. A. HontÉN. (Centralbl. f. Nervenh., 1886.) Il s'agit d'une
observation
dans laquelle, quand l'accès d'épi- -lepsie doi
e A répétition ; par P. J. Moebius. (Centmtbl, f. Nervenh" 1886.)
Observation
. - En 1868, à la suite d'un refroidissement inten
nine ; - par P. J. 11OBBIUS. (Central, f. Neruezzh., 1886.) Trois
observations
^ La paralysie connue sous le nom de para- lysie
uente. L'auteur en fournit un résumé clinique qui est le fruit da l'
observation
de plusieurs années. - Excessivement fréalip-nt
ladie BRONZÉE, par H. KURELLA. (Centralbl. f. Nervenheilk. 1888.)
Observation
d'une jeune fille de seize ans atteinte d'un cert
me côté ; il se présentera dissem- blable et inégal en force (trois
observations
). Or, cette disparité précède la complète dispa
on entre l'état normal et la totale abolition du reflexe (voyez les
observations
IV et V : disparité à un stade précoce du tabès
qu'on croyait le phénomène du genou absolument absent d'un côté. (
Observation
VI). P. K. LXVI. UN cas DE CHORÉE héréditaire D
nier; par M. BERNHARDT, (Centralbl. f. Nervenheillc, 1888.) Trois
observations
. L'une de paralysie périphérique unilatérale pa
ns MÉDICOLÉG,\Llè : par MUER (Jahi,büch. f. Psychiat. VII, 1, 2.)
Observation
d'un héréditaire dégénéré. Famille de voleurs. Pè
(chloroforme, forceps, version, durée du tra- vail, etc.) dans nos
observations
de Bicêtre. L'influence des manoeuvres obstétri
E par P. J. KOW : 1LWVSE1'. (Centralbl. f. Nervett)ceilk., 1887.)
Observation
venant à l'appui des propositions suivantes : 1
lie; par E. MINDEL. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLIV, 1.) Trois
observations
ayant ceci de commun, que la maladie a débuté p
. HEBOLD. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIV, 1.) L'auteur relate deux
observations
. L'une, d'après lui, doit être considérée comme
uyante suivie de dé- pression avec excitation : guérison. - L'autre
observation
est une curiosité. Un homme de trente-quatre an
ue, seulement il est plus difficile de faire parler le premier. Six
observations
àl'ap- pui. La confusion des personnes provient
début de l'accès, de trois à cinq milli- grammes de cytisine (deux
observations
). La cytisine aggrave au contraire la migraine
hymateuse chronique bilatérale). Absence complète du corps calleux.
Observations
confirmant celle du microcéphale J[ofmann 1, Le
nomalies vasculaires. A titre de comparaison, M. Kaufmann donne une
observation
de ramollisse- ment total du corps calleux par
ations précédentes, dit qu'il ne possède dans sa statistique de 560
observations
de paralysie générale que 9 cas de syphilis cer
la Seine-inférieure que partout ailleurs. Il possède cependant une
observation
qui prouve la réalité d'une pseudo-paralysie gé
e sujet. Il trace un historique rapide de la question ; énumère les
observations
pu- bliées ici, rappelle sa communication du mo
suite d'une ovariotomie. MM. J. SÉGLAS et P. SoLLIER rapportent une
observation
intitulée : Folie puerpérale. Amnésie; Astusie
de plus facilement le souvenir de certains faits récents *. ' Cette
observation
sera publiée in extenso dans le prochain numéro.
DENY (de Paris) relate, au nom de M. Michel Dansac et au sien, une
observation
de pseudo-porencéphalie avec hémiplégie spasmod
plus rigoureux à l'entrée des détenus, et une plus longue période d'
observation
. Chaque fois que des troubles psychiques sont c
ardive dans un cas d'épilepsie Jacksonnienne. Il s'agit, dans cette
observation
, d'un malade âgé de trente-un ans, entré en 1889
urgicale suit immédiatement le traumatisme. M. Boucher communique l'
observation
d'une forme] spéciale d'obsession chez une héré
sidence DE M. Mordret. M. Doutrebente (de Blois) rapporte plusieurs
observations
de paralysies générales améliorées ou guéries p
Bartels) (Becker). M. Munter communique à la Société sept nouvelles
observations
prises à la clinique de Mendel ou empruntées à
ire maniaque aigu (Obs. VII). -- Il y a eu complète guérison dans l'
observation
II, amélioration dans les observations III à VI;
a eu complète guérison dans l'observation II, amélioration dans les
observations
III à VI; seule la malade de l'observation I n'
, amélioration dans les observations III à VI; seule la malade de l'
observation
I n'a pas encore présenté de mo- dification dan
de ce que ces faits se sont produits en ville ou ont été soumis à l'
observation
des médecins consultants (policlinique). Nous n
bourg). De la thérapeutique locale dans ses rapports avec la folie.
Observation
d'un malade ayant été éner- giquement traité pe
us les frais du délire, et il résume, à titre d'exemples, plusieurs
observations
caractéristiques. D'autres formes, au contraire
e difficile à soutenir. Toutefois, si on se reporte aux premières
observations
, si on se rappelle que le facies symptomatique
nsorielle.Est-onen droitd'affirmer alors, comme dans notre dernière
observation
de mutisme, que le trouble de la sensibilité re
es en deux groupes n'est peut-être pas absolument radicale et des
observations
ultérieures pourraient conduire à modi- fier la
tant à la même espèce morbide. Nous pourrions nous-même citer des
observations
de cet ordre ; nous mentionne- rons en particul
a paralysie générale, l'épilepsie, le tabes, ont été dans plusieurs
observations
mises en évidence. M. Charcot a fait voir que l
l'occasion de l'examen qu'il fit du malade qui fait le sujet de 1'
Observation
1 2. C'est cette thèse que je me propose de sou
propose de soutenir dans ce travail, en me fondant sur plusieurs
observations
recueillies dans le service de M. Charcot à la
ologie, 1889, p. 547. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 319
Observation
I. Malade âgé de vingt-un ans. - Accès de migrain
it vraisemblablement reparu, si son affection s'était renouvelée.
Observation
II. - Jeune fille âgée de seize ans. - Stigmates
récis sur les caractères de son scotome. 324 CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
III. - Jeune fille dgée de vingt-deux ans. - Stig
situation déclive. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 327 7
Observation
IV. -Jeune fille de vingt ans et demi. - Stigmcct
puis son enfance atteinte de myopathie pro- gressive primitive. Son
observation
à cet égard a été publiée dans les leçons de M.
mble inutile de chercher à démontrer par une analyse minutieuse des
observations
précédentes qu'il s'agit bien réellement de suj
u'elle est une manifestation de cette névrose. Etudions d'abord l'
OBSERVATION
I. En faveur de la thèse que nous soutenons, no
l doit en être de même de la mi- graine. - Passons maintenant à l'
OBSERVATION
II. Nous avons à faire valoir, dans ce cas, pou
t rflir¡raino- gène analogue aux points dits hystérogènes. Dans l'
OBSERVATION
III la relation entre l'hystérie et la migraine
or- tance, ne suffisent pas toutefois à ôter toute valeur à cette
observation
. Le diagnostic de migraine ophthal- mique hysté
surtout sur la présence d'un point migrai- nogène. Enfin, dans l'
OBSERVATION
IV, voici les arguments 332 CLINIQUE NERVEUSE.
tif que nous venons d'indiquer. Ainsi donc, dans les deux dernières
observations
, la relation qur unit la migraine ophthalmique
l'hémiopie. A ce point de vue, nous ne pouvons tirer parti que de l'
OBSERVATION
IV ; la malade prétend, en en'et,'qu'à un momen
l'apparition d'un scotome. Mais, ainsi que cela est noté dans cette
observation
, il résulte de l'examen méthodique pratiqué par
champ visuel est seulement plus rétréci qu'à l'état normal. Cette
observation
ne nous donne pas, il est vrai, le droit d'affi
r naissance. Le pronostic, si on s'en rapporte en particulier aux
Observations
1 et II paraîtrait bénin. En ce qui con- cerne
omure a été prescrit en même temps que l'hydrothérapie, et dans l'
OBSERVATION
III ce médicament a eu certainement une action
érique ? Il y a tout lieu de supposer que le siège est identique; l'
OBSERVATION
1 dans laquelle la migraine paraît être comme u
eurs. explication DE la planche Ces figures qui se rapportent à l'
observation
I de ce ce mémoire, ont été faites au pastel pa
craint de me laisser entraîner à vouloir retrouver chez l'homme les
observations
rele- , vées chez les autres animaux. Je dois d
compose, selon moi, l'appareil olfactif, pour- ront recueillir des
observations
à l'appui ou à l'encontre de ces idées. L'expér
erchée sur les cerveaux sains... » Comment expliquer cette erreur d'
observation
de la part de Broca ? Je ne le puis, car il s'a
ÉRENTIELLE DU sens DE la VUE chez l'homme sain ET MALADE ' . III.
Observations
et faits cliniques. Avant d'aborder la discussi
d'importance pour le travail présent. Ajoutons cepen- dant, que les
observations
détaillées de tous ces malades se trouvent dans
s de cette école, dont les thèses renferment un grand nombre de ces
observations
. Dans nos com- munications ultérieures, où nous
érogènes. Quelques-uns ont été atteints de paralysie motrice. Leurs
observations
sont consignées dans les leçons de M. Charcot e
blanche peut être absolument normale, comme nous l'ont appris deux
observations
faites sur des médecins, daltoniques à haut deg
les mouches qui volent autour de leur bocal. Il semble donc, si ces
observations
sont justes, que les prin- cipaux points de dis
mie et physiologie du système nerveux, 1842. =Vulpian. Op. cit. 3
Observations
and experiments on the Corpora strata and cérébra
udition, Schroedel' a vérifié chez quelques- uns de ces animaux les
observations
de Longet, que les sons écla- ' Ueberdie cental
s l'approché de cette con- dition est Gollz2 qui a fait une série d'
observations
attentives sur des chiens pendant une longue pé
se suivi strictement la méthode inductive et qu'il a fait plusieurs
observations
d'une valeur durable : cepen- dant sa synthèse
on frontale fut pour la première fois indiqué par Brocha(1861). Les
observations
de Broca ont été depuis amplement confirmées pa
optique et ne pénètrent pas dans les muscles. Voici par exemple une
observation
en faveur d'une lésion extracérébrale, en faveu
lie DE l'enfance ; par KELP. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIV. 6.)
Observation
d'un enfant de douze ans, tourmenté, à la suite d
lg. Zeitsch. f. Psych., XLIV, 4-5.) Ce mémoire est basé sur trois
observations
de mélancolie et de manie simples c'est-à-dire
ar 11RIESE. (Centmlbl. f. Neruenheilk, 1888.) Revue critique. Une
observation
. P. K. LI. Anthropologie CRIMINELLE ET DROIT pé
trique DE PRAGUE; par A. Pack. (Jah1'büch. f. Psych., VIII, 1,2.)
Observation
I. Hallucinations unilatérales de l'ouïe; leur lo
ssement- embolique, affection organique du coeur. Pas d'autopsie.
Observation
Il. Folie épileptique chez un enfant. Il s'agit d
garçon de quinze ans. Identité des accidents avec ceux de l'adulte.
Observation
III. -- Une observation de psychose réflexe avec
entité des accidents avec ceux de l'adulte. Observation III. -- Une
observation
de psychose réflexe avec remar- ques sur le dél
ène du tabes et de la méningo-péri- encéphalite. P. K. LVIII. UNE
observation
SUR la localisation des hallucinations hypnagog
sychiat., XX, 3.) D'après ce travail énorme, basé sur quatre-vingts
observations
personnelles de psychoses de toutes sortes, il
par J. DIN1'Elt. (Centralbl. f. NCl'vel1heilk, 1889.) La' première
observation
est une observation deguérison. Chez la seconde
entralbl. f. NCl'vel1heilk, 1889.) La' première observation est une
observation
deguérison. Chez la seconde malade, l'érysipèle
ur des canaux.veineux de systèmes différents. Il relate à l'appui l'
observation
suivante : Une jeune fille de trente-cinq ans,
- troïdien, chez une hystérique, par Bitot, 436. SPHYMOGRAPIIE,
observations
avec le - chez les aliénés, par Greenless, 10
254. EXPLICATION DE LA PLANCHE. Ces figures qui se rapportent à l'
observation
1 du mémoire due M. Babinski ont été faites au
Wilks (1868) n'avaient fait qu'en- trevoir (2), une centaine (3) d'
observations
de cette curieuse maladie ont été recueillies ;
ui de néoformation qui l'emporte. Voici, dans tous ses détails, l'
observation
de notre malade : Observation. C'est pour des p
te. Voici, dans tous ses détails, l'observation de notre malade :
Observation
. C'est pour des palpitations que Mme Baud... s'es
. M. Mé- nétrier a insisté sur cette étiologie, et a rapporté trois
observations
de maladie de Pagel survenue chez des syphiliti
vidence sera acquise » (A. Fournier). Non pas, croyons-nous ; celle
observation
idéale prouvera simplement que la maladie de Page
seul cas. Tout au plus, pourra-t-on préjuger d'un certain nombre d'
observations
de ce genre que la maladie osseuse de Paget a p
che de l'affection dans un cas de Lannelongue. Mais dans toutes ces
observations
il ne s'agit que d'un arrêt de la ma- ladie ou
ine spécifique de la maladie de Paget, il existe pourtant certaines
observations
où ce traitement semble avoir eu un tel résulta
par le trou nourricier de chaque os. Reclilinhausen (6) rapporte l'
observation
d'une pagétique de 66 ans à l'autopsie de laquell
ugenio Medea et Corrado de Fano (1) chez le leur. Rappelons enfin l'
observation
de Chartier et Descomps (2) d'une mala- die de
chez les pa- gétiques ; elle est notée dans un très grand nombre d'
observations
: le malade de Ménétrier et Gauckler avait des
teux et athéromateux ; Jules Vincent, dans sa thèse, rapporte trois
observations
personnelles de pagétiques : l'un a les artères
s si cela est possible, cela n'est pas certain ; et dans toutes les
observations
dont nous venons de parler l'examen microscopiq
rs de la maladie osseuse de Paget ; malheureusement dans toutes les
observations
publiées on n'a pas noté l'état du coeur et des
a pas noté l'état du coeur et des vaisseaux, et d'un grand nombre d'
observations
on ne peut rien préjuger dans un sens ou dans u
sonnels qui semblent ressortir de cette pa- Ihogénie, et, parmi les
observations
françaises publiées antérieurement à leur mémoi
bre de cas nous avons eu l'occasion de vérifier sur des malades les
observations
que nous avons faites sur des os secs. Parmi
nnois et dont l'histoire est très intéressante à ce point de vue.
Observation
(PI. IX). Femme M..., 57 ans, ménagère. Entre
e spontanée de la rotule est bien le point le plus intéressant de l'
observation
ci-dessus. ' Lorsque cette malade entra à l'hôp
type de fracture spon- tanée tabétique. D'ailleurs les deux autres
observations
que nous avons retrouvées nous présentent des c
ns les cas qui nous occupent. Nous ferons remarquer que, dans notre
observation
, l'autopsie permit t de constater, en outre, de
rches. C'est là la raison de ce travail. Nous donnerons d'abord l'
observation
pour discuter ensuite les points sur lesquels n
s en vue ici sur- tout le gigantisme. Le géant de Monlaslruc dont l'
observation
fut publiée par Brissaud et i\I11GE (32), le ma
antes questions de physiopathologie nerveuse qu'il peut soulever. .
Observation
(pal. XII). Le 15 octobre 1908, on nous envoya
elle façon que la plupart des physiologistes (1) ont établi sur des
observations
histolo- giques et embriologiques que tout le s
ches du plexus cervical. Le cas de Ferrio vient donc il l'appui des
observations
de Schlodtmann. Dans notre cas nous n'avons pu
quement par la branche externe de la XIe paire; il existe aussi une
observation
probante de MM. Brissaud et Bauer où à la suite d
bure du dos et produisant ensuite l'ensellure lombaire. Dans notre
observation
nous avons relevé un phénomène particulier dans
ses en effet sont chaque année, tant en France qu'à l'étranger, les
observations
publiées qui relatent soit des crampes professi
M. le D' Kouindjy; M. le D' de Ranse, qui ne m'ont ménagé ni leurs
observations
, ni leurs conseils. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFE
n 1879 étudie la crampe des photographes. Puis d'année en année les
observations
se multiplient de crampes affectant les profess
^prédisposition congénitale du sujet se retrouve dans toutes les
observations
si l'on recherche avec soin les antécédents du ma
e et démontrée par le traitement ; nous avons publié ailleurs cette
observation
(95). En recherchant dans la littérature étrang
s la littérature étrangère, nous avons retrouvé un certain nombre d'
observations
semblables. D'autre pari les constatations anato-
au membre atteint du trouble fonctionnel. Voici tout d'abord une
observation
, la première publiée en France, de claudication
re supérieur droit, se tradui- sant par une crampe des écrivains.
Observation
I (personnelle). M. B..., instituteur public, e
la dépendance d'une altération du système artériel. Voici une autre
observation
, résumée, de crampe des écrivains et ÉTUDE SUR
San Francisco) dans le Wiener klin. 1,Vocheîz. (8 octobre 1908).
Observation
Il, résumée (Kronenberg). Il s'agissait d'un ho
eU1', mars 1909). Mais nous ferons remarquer que dans aucune de ces
observations
, sauf celle de Kronenberg et nôtre, ne sont sur
gine de l'an- giospasme. Il citait, à l'appui de cette opinion, une
observation
de Mari- nesco (Sem. médic, 15 février 1896), o
llion et Meige en ont pu- blié un intéressant exemple ; voici cette
observation
résumée : Observation III (Brissaud, Hallion et
- blié un intéressant exemple ; voici cette observation résumée :
Observation
III (Brissaud, Hallion et Meige). Il s'agissait
'une névrose d'occupation. A côté de ces cas, encore peu décrits, l'
observation
de Brissaud, Hallion et Meige, nous montre que
atteint de crampe des écrivains, et dont voici l'obser- vation :
Observation
IV (personnelle). M. M..., comptable, est âgé d
rveuse : névralgies, névrites. De nombreux auteurs ont rapporté des
observations
de crampes pro- . fessionnelles avec troubles s
névrite du filet nerveux cor- respondant. Poore (109) rapporte l'
observation
d'un malade, ébéniste, qui, lors- qu'il voulait
ine névritique, dit-il, était non douteuse. Remak rapporte encore l'
observation
d'un plieur de journaux, qui à la suite de son
nt sur le terri- toire correspondant au muscle ou au nerf lésé. Les
observations
en sont très nombreuses : telles sont par exemp
ion de la profession. Nous en trouverons un exemple frappant dans l'
observation
suivante : Observation V (personnelle). M.
s en trouverons un exemple frappant dans l'observation suivante :
Observation
V (personnelle). M. G. Dr., musicien, âgé de 45
la Société de biologie ; voici le résumé de cette obser- vation.
Observation
VI (Féré). Il s'agissait d'un homme de 38 ans,
enfin de crampe des pianistes des deux mains. Voici d'autre part l'
observation
d'un malade atteint d'une crampe des écrivains
à droite, puis à gauche, puis d'une crampe des dactylographes. - r-
Observation
VII (personnelle). M. V., percepteur,est actuel
prise d'un spasme fonctionnel concomitant des muscles du larynx :
Observation
VIII. Madame de M., âgée de 60 ans, névropathe
ce spasme a en partie disparu. ' On peut, dans un certain nombre d'
observations
, noter ainsi l'exis- tence de différents spasme
ment où il écrivait, et en même temps que sa main se contractait.
Observation
IX (personnelle). M. Lef..., receveur des' post
tains détails de cette image ont été manifeste- ment inspirés par l'
observation
d'aliénés contemporains et sont d'un réa- lisme
r l'évidence des faits, par la néces- sité de s'incliner devant une
observation
plus rigoureuse. L'unanimité presque absolue av
, guidés par une analyse plus circonspecte, nous ap- puyant sur des
observations
plus rigoureuses, nous reconnaîtrions dans cett
les limites habituel- les comme cela se voit dans le cas suivant.
Observation
. Kira Basan, âgée de 31 ans, paysanne du distri
re cas constitue une forme à part de syndrome pédonculaire. TROIS
OBSERVATIONS
DE RIRE ET DE PLEURER SPASMO- D1QIJES CHEZ DES
ANGLADA, Interne des hôpitaux, de l'Université de Montpellier.
Observation
I. D..., âgé de soixante-six ans. Pas d'antécéd
dans un rictus qui n'est ni le pleurer ni le rire (PI. XVII, D).
Observation
II. B..., âgé de 53 ans. Aucun renseignement su
chez des hémiplégiques du côté droit. (Pires et AlIglada). TROIS
OBSERVATIONS
DE RIRE ET DE PLEURER SPASMODIQUES 121 crise fa
thérapeutique satisfaisant (hl. XVII, B). 122 VIRES ET ANGLADA
Observation
. III. S..., âgé de 66 ans, n'a jamais présenté
ui qui déclanche la provision des pleurs convulsifs. Alors ce TROIS
OBSERVATIONS
DE RIRE ET DE PLEURER SPASMODIQUES 123 sont des
uciance (PI. XVII, S). n Les trois malades dont nous présentons les
observations
sont affectés de rire ou pleurer spasmodiques,
es sur les maladies nerveuses, Paris, 1S95, leçon XXI. 1. , TROIS
OBSERVATIONS
DE RIRE ET DE PLEURER SPASMODIQUES 125 dre au t
à la Faculté J. ANGLADA, Interne des hôpitaux de Montpellier.
Observation
. Le nommé H... P..., 31 ans, mineur, entre dans
éliora- tion appréciable. En résumant les grandes lignes de cette
observation
, on voit qu'il s'agit ici en somme d'un spasme
e supérieure du tronc sont très rares ; nous ne retrouvons que deux
observations
, l'une de Du- chenne de Boulogne (1), l'autre d
stème nerveux, t. II, p. 554. 130 RIMBAUD ET ANGLADA Dans l'autre
observation
, le malade présente, par crises, des contrac- t
a ETTORE LEVI Assistant à la clinique médicale de Florence. Les
observations
d'achondroplasie chez l'adolescent et l'adulte qu
da etZalplachta en comptaient 42 cas. Depuis lors quelques autres
observations
ont été publiées dont on trou- vera la citation
on complète de ce nouveau cas non seulement parce que la rareté des
observations
de ce genre est encore très grande, mais aussi
re du genou et dépasse même le plateau tibial : cela correspond à l'
observation
primitive de M. Pierre Marie (PI. XXIII). Cette
de celle du radius. Ce fait n'est pas commun et ne résulte pas des
observations
que je connais. Le crâne est chez les achondrop
e en général rien de bien caractéristique; le plus grand nombre des
observations
parlent d'un état intellectuel normal ou légère
par d'autres auteurs ; nous pouvons ajouter à cette caté- gorie les
observations
récentes de Porter, Decroly et celle que Apert a
(Paris), 17 décembre 1907. arhon et lllnrsrss. Achondroplasie, deux
observations
d'achondroplasie chez l'adulte. Revista Sliinte
juin 1906. RANKIN MACKAY LuNNet CRANKIC. - Achondroplasie notes et
observations
. Britisch med. Journal, 5 janvier 1901. Regna
bjective de leur exis- tence. Le raisonnement basé uniquement sur l'
observation
des faits intellec- tuels a conduit directement
voir au préalable aucune idée directrice et en supposant même que l'
observation
microscopique puisse être poussée beaucoup plus
u fonctionnement intellectuel, puis chercher sa vérification dans l'
observation
des faits et, si possible, dans l'expérimentation
ndées sur l'induction et la déduction. La première n'a pour sujet d'
observation
que des os fossilisés et quelques empreintes ; la
lectuelle étant solidement établie sur des preuves objectives, si l'
observation
et l'expérience ne vérifiaient pas une première
rampe des écrivains à forme spasmodique, et dont voici l'histoire :
Observation
X (personnelle). M. Mal..., âgée de 23 ans, emp
intéressante, ainsi que le remarquait M. Pierre Marie à propos des
observations
d'Haskovec. En effet les mouvements associés ne p
l'origine périphérique des mouvements associés, il n'existe qu'une
observation
de Senator sur laquelle puisse s'appuyer cette
rapporté un intéressant exemple de celle coexistence : voici cette
observation
résumée : * 1 Observation XI (Bonnet). M. X
mple de celle coexistence : voici cette observation résumée : * 1
Observation
XI (Bonnet). M. X..., surnuméraire aux postes,
emblait manifestement sous la dépendance d'un brightisme méconnu.
Observation
XII (Pierre Bonnier). M. X..., 23 ans, télégrap
Billon (de Marseille) a bien voulu nous communiquer t'intéressante
observation
suivante qui montre l'apparition d'une crampe d
e l'apparition d'une crampe des écrivains chez un morphinomane. 1
Observation
XIII. M. M..., 49 ans, demande en juillet 1904,
Cette névrose survient le plus souvent entre 20 et 40 ans. Sur 198
observations
de Berger, Poore, Gowers, Remak, Bernhardt, on
de nos malades, soigné depuis deux mois à la Salpêtrière ; - - --
Observation
XIV (personnelle), M. Pet..., dessinateur, est
ous, présentait nettement cette association des deux phénomènes :
Observation
XV (personnelle). M. A. Br..., caissier, est âg
surprise, de l'escamoter en quelque sorte ». Cazenave publie six
observations
très documentées se rapportant toutes à ce trem
lement qui ne se manifestait que pour écrire, ou jouer du violon.
Observation
XVI (personnelle). M. A..., âgé de 48 ans, comp
préciser la maladie. Il en était ainsi 208 MACÉ DE LÉPINAY dans l'
observation
suivante rapportée par Féré (59) sous le titre de
e titre de « pseudo-crampe des écrivains de nature épileptique ».
Observation
XVII (Féré). M. D..., 33 ans, employé de banque
ampe des écrivains par chorée hys- térique limitée au bras droit.
Observation
XVIII (personnelle). Le jeune C..., âgé de 13 a
cas qu'a rapporté Féré sous le nom de dysgraphie émotionnelle (59).
Observation
XIX (Féré). M. R.... 41 ans, expéditionnaire à
comptable par exemple qui écrit sans discontinuer. En réalité, les
observations
de crampe des dactylographes se font de jour en
rite pour la première fois par Onimus (193) en 1875, qui rapporta l'
observation
suivante : Observation XX (Onimus). M. M ? 42
s par Onimus (193) en 1875, qui rapporta l'observation suivante :
Observation
XX (Onimus). M. M ? 42 ans; entra au télégraphe
es mêmes accidents réapparurent au bout de quelques semaines. Les
observations
de crampe des télégraphistes se sont multipliées
acte professionnel. Le Dide Hanse a bien voulu nous communiquer une
observation
de crampe des pianistes, à forme névralgique :
rampe des pianistes, à forme névralgique : 216 11f ACF DE LÉPINAY
Observation
XXI. Mlle du P..., âgée de 20 ans, a toujours é
e musculaire. Le docteur de Ranse a bien voulu nous faire part de l'
observation
suivante, où se manifestait une crampe analogue
e l'observation suivante, où se manifestait une crampe analogue :
Observation
XXII M. R..., maréchal- ferrant , remplissait d
rche notamment. Le docteur de Ranse a bien voulu nous communiquer l'
observation
suivante, qui se rapporte à cette dyskinésie.
iquer l'observation suivante, qui se rapporte à cette dyskinésie.
Observation
XXIII Mlle M..., danseuse à l'Opéra, devait fai
l'articulation et à une petite crête (1) Les numéros sont ceux des
observations
. 234 MERLE ET RAULOT de tissu compact ; cette
ôpital Général Interne des Hôpitaux de la Faculté de Montpellier.
Observation
(PI. XXIX et XXX). H. Dominique, figé de 16 ans
ique des maladies des enfants, le 11 février 1902. A cette époque l'
observation
complète fut prise par M. le Dr Orsaut, interne
ti, le réflexe crémastérien per- siste. Nous faisons suivre cette
observation
de deux tableaux : dans l'un sont les différent
ité des muscles atteints et leur degré variable d'altération. Cetle
observation
est intéressante en ce sens qu'elle constitue un
l et dans un deuxième publié en 1882 cet auteur rassembla plusieurs
observations
d'une nouvelle entité morbide qu'il dénomma ost
compte actuellement dans la littérature médicale une soixantaine d'
observations
delà maladie de Paget ; la plupart d'entr'elles o
r, même si l'affection n'est pas arrivée à ses dernières limites. L'
observation
qui va suivre en est un exemple : Observation.
ernières limites. L'observation qui va suivre en est un exemple :
Observation
. N. N..., actuellement âgé de 53 ans, israëlite
ITE DÉFORMANTE DE PAGET 261 262 PESCAROLO ET BERTOLOTTI Après les
observations
qui, dernièrement encore, ont paru sur l'ostéite
quelques points qui nous ont paru les plus intéressants dans cette
observation
en y relevant les traits les plus caractéristiq
core atteint ce degré avancé que l'on peut voir chez la plupart des
observations
relatées par les auteurs. Dans la généralité
de début dans l'os- téite déformante de Paget nous est donné par l'
observation
de Rusconi et Sconfietti (40) où il s'agissait
ps relativement court, c'est-à-dire en 5 ou G ans. Parmi toutes les
observations
que nous avons consultées, celle qui se rapproc
avons consultées, celle qui se rapproche le plus de notre cas est l'
observation
donnée par Ferrio (43) dans sa traduction itali
planche XXXII), rien n'y manque. Parmi les particularités de cette
observation
, il faut rappeler la pré- SUR UN CAS D'OSTÉITE
08, sur un cas de mala- die osseuse de Paget à forme unilatérale. L'
observation
des auteurs est la première faite jusqu'à prése
ointures, on peut dire qu'il fait absolument défaut dans toutes les
observations
des auteurs, qui au contraire,ont été frappés p
e près la radiographie de la main gauche de (1) Dans l'intéressante
observation
de MM. Klippel et Weil, comme il a été dit plus
relever c'est l'analogie remar- quable que notre cas montre avec l'
observation
déjà citée plus haut de : V1M. Klippel et Weil. I
éformante et du rhumatismechronique seraient t donc confirmés par l'
observation
de Klippel et Weil et aussi encore par notre ca
présent des troubles d'artériosclérose avec hypotension. Dans notre
observation
, on pourrait croire que les troubles cardio-vas
nuité de l'arc trophique, d'où contracture de Dupuy- tren. Dans les
observations
de Festi, la contracture de Dupuytren exis- tai
. Iconographie de la Salpêtrière, ne 6, p. 496, 1901. (6) MANLLE,
Observation
de trophtxdème. Nouv. Iconographie de la Salpêtri
un trouble dans les fonctions des glandes à sécrétion interne. L'
observation
suivante se rapporte à un cas de trophoedème dont
e classer dans les variétés de trophoedème actuellement décrites.
Observation
. M..., âgée de 56 ans, entre à l'asile de Blois
on ne s'est manifestée dans son état. On peut résumer ainsi notre
observation
; chez une femme ovarioto- misée apparaissent s
satrice momentanée de la sécrétion thyroïdienne. L'intérêt de notre
observation
repose également sur les caractères de l'oedème
la plus légère pression ; or, le trophoedème est indolore. Notre
observation
établit l'existence de variétés d'oedème dont les
out ; il existait une élévation delà température locale. Dans notre
observation
, l'oedème for- me également une variété bien sp
CERVICALE e PAR ' - Le Professeur A. STCHERBAK (de Varsovie).
Observation
. Il s'agit d'une malade âgée de 25 ans, d'une f
pas de rigueur, même si la côte cervicale eût existé. Kn ce sens, l'
observation
actuelle présente un certain intérêt pratique,
chirur. (en russe), 1905, v. II, l'auteur a réuni cin- quante-cinq
observations
cliniques). Bogoluboff (Med. Obosr. (en russe), 1
peut se dé- velopper dans ces circonstances, comme le montrent les
observations
de CoopER and IIODYTON (11), Russel (12)] et su
muscles contracturés. Sparling (Electrotherap. stud.) rapporte sept
observations
de névro- ses professionnelles améliorées par c
é satisfaisants. Voici le procédé auquel eut recours cet auteur :
Observation
XXIV (Vaschide). Il s'agissait d'un littérateur
nde droite. Il a obtenu par cette méthode d'excellents résultats. L'
observation
suivante qu'il a bien voulu nous communiquer, e
Fio. 13. - Ecriture ronde, grosse, droite. t 312 MACÉ DE LÉPINAY
Observation
XXV (Meige). M. H..., clerc de notaire, est âgé
nstante du facteur mental. Il existe en effet un certain nombre d'
observations
probantes dans les- quelles existait une lésion
m verwandten Bewegungstorungen. Berlin, 1904. i. - 214. CAZENAVE.
Observations
de tremblements oscillatoires de la main droite g
rtie postérieure et externe du lobe occipital droit. La troisième
observation
est un exemple de volumineux gliome pri- mitif
ome expliquent la complexité des symptômes observés pendant la vie.
Observation
I. Epilepsie jacksonnienne, à type brachial, due
'estomac, malgré le faible volume du cancer gastrique pri- mitif.
Observation
II. - Tumeur cancéreuse, du volume d'une noix, si
simulant un anévrisme extra-thoracique de l'aorte. Les détails de l'
observation
sont relatés dans une récente communication que n
et le type épithélioma à cellules claires disposées en tubes creux.
Observation
III. Syndrome de Weber, ophtalmoplégies multiples
re surtout dans la région de l'insula gauche (PI. XXXVIII). Cette
observation
est intéressante par la complexité symptomatique
iste très peu de fibres nerveuses reconnaissables. En résumé, cette
observation
peut être rapprochée d'un cas de glio-sar- come
ion n'est toutefois pas discutable en mamtes circons- tances et les
observations
de HUBER, de BOSSLIN attribuant l'apparition des
placentaire, à la macération du foetus ou à toute autre cause, ces
observations
, dis-je, reposent sur des bases objectives certai
modeste, à l'étude des poly- névrites gravidiques et puerpérales.
Observation
. Marie Ey...., ménagère, 30 ans. Pas d'antécéde
xtension très grande. Cette conclusion est appuyée, d'un côté par l'
observation
clinique qui nous apprend que l'extension des t
c'est le grand mérite .de Medin d'avoir publié un certain nombre d'
observations
qui prouvent que la poliomyélite légitime et cert
ur la poliomyélite aiguë, beaucoup de détails qui demanderaient des
observations
nouvelles et une étude approfondie. Nous croyon
môme jour et, dans l'autre, à 6 jours d'intervalle. Evidemment ces
observations
, comme un certain nombre d'autres du même genre d
nséquence d'une affection de la moelle et du bulbe. En outre, mes
observations
m'ont donné des raisons de me préoccuper du pro
ent pour des cas sporadiques, on a fait depuis long- temps déjà des
observations
indiquant qu'il a existé une méningite aiguë à
ition remarquable des problèmes cliniques. Nous trouvons encore des
observations
chez quelques autres auteurs qui nous montrent
ve des obser- vations publiées par Medin (de Suède),par exemple son
observation
19, et par Leegaard (51) (de Norvège), où la de
de d'invasion ; de même, un autre Suédois, Lundgren, qui a fait ses
observations
au foyer principal de l'épidémie (département (
ments que nous ont fournis les malades et leurs parents, ou sur les
observations
que nous avons faites nous-mêmes sur les premie
mplètement; bien au contraire, nous avons laissé de côté toutes nos
observations
détaillées sur l'extension de la parésie des mu
puis longtemps, si souvent et si soigneusement qu'un grand nombre d'
observations
nouvelles, même décrites avec beaucoup de dé- t
s abdominaux, seront rapportés dans des chapitres ultérieurs. Les
observations
sont réparties en groupes, d'après l'extension de
s été traités à la clinique ont été observés par moi seul (P.) I.
Observations
ou les troubles moieurs N'ONT jamais atteint PL
ou les troubles moieurs N'ONT jamais atteint PLUS D'UN MEMBRE. a)
Observations
avec symptômes de méningite. Observation I. D.E
PLUS D'UN MEMBRE. a) Observations avec symptômes de méningite.
Observation
I. D.E..., garçon, âgé de 4 ans, de Oesterby, ent
la clinique et la parésie ne s'est améliorée qu'assez faiblement.
Observation
II. L. F..., garçon, âgé de 18 ans, de Alunda, en
s des proportions considérables, mais la parésie n'a pas disparu.
Observation
III. J. J..., fille, 9 ans et demi, du départemen
binée d'atrophie du membre inférieur droit. Pas d'autres symptômes.
Observation
IV. G. L..., fille, 2 ans, de Oestra Noebbeloef.
un peu à droite. Il n'y a pas d'atrophie musculaire nette. . Il)
Observations
sans symptômes de méningite. Observation V. E.
musculaire nette. . Il) Observations sans symptômes de méningite.
Observation
V. E. A. E..., fille, âgée de 7 ans et demi, de B
let et la parésie s'est beaucoup améliorée, mais n'a pas disparu.
Observation
VI. - G. K..., fille, àgée de 2 ans et demi, de T
lexes tendineux des membres inférieurs sont égaux des deux côtés.
Observation
VIL S. 0..., fille, 4 ans, du département de Kron
uche qui s'étend à un assez grand nombre de mouvements du membre.
Observation
VIII. E. N..., fille, 18 ans, du département de K
n où elle demeure et aussi que quelques personnes en sont mortes.
Observation
IX. A. P..., fille, 2 ans et demi, de Oestra Noeb
il est un peu affai- hli à droite. 3M PETREN ET EIIREN13ERG II.
Observations
ou LES TROUBLES MOTEURS (au MOINS au DÉBUT DE la
tteint DEUX membres (dans TOUS LES cas, LES membres inférieurs), a)
Observations
avec symptômes de méningite. Observation X. - A
membres inférieurs), a) Observations avec symptômes de méningite.
Observation
X. - A. V. A..., fille, âgée de 7 ans, de Jaerlaa
seulement qu'on la soutienne très légèrement. A en juger par cette
observation
, on pourrait facilement conclure que la motilité
plancher. Pas de réflexes abdo- minaux. 388 PETREN ET EHRENBERG
Observation
XI. - J. L..., étudiant en médecine, âgé de 20 an
mais cette région est encore très restreinte. Comme on le voit, ces
observations
prouvent qu'il ne peut exister qu'une force trè
parties des muscles abdominaux nous n'avons vu aucune contraction.
Observation
XII. F. J..., fils d'un paysan, 18 ans, du départ
iminution de force pour les mouvements du membre inférieur droit.
Observation
XIII. - 1. M..., restauratrice, 36 ans, du départ
er juillet elle peut s'asseoir, presque sans s'aider des bras. b)
Observations
sans symptômes de méningite. Observation XIV. L
ns s'aider des bras. b) Observations sans symptômes de méningite.
Observation
XIV. L. E..., fille, âgée de 5 ans, d'Upsala, ent
nuque, ni de douleur si l'on presse sur la colonne verté- brale.
Observation
XV. A. J..., fille, 8 ans, du département de Kron
e la maladie) ONT atteint trois membres ou les quatre membres. a)
Observations
avec des symptômes de méningite. OBSERVATION XV
quatre membres. a) Observations avec des symptômes de méningite.
OBSERVATION
XVI. - H. L..., garçon, figé de 16 ans, d'Upsala,
de que la motilité a toujours (février 1909) été en s'améliorant.
Observation
XVII. - G. V. S..., garçon, âgé de 4 ans, d'Ultun
considérable dans le membre inférieur droit, combinée d'atrophie.
Observation
XVIII. L. K..., fille, âgée de 2 ans et demi, de
.., fille, âgée de 2 ans et demi, de Tuna (jumelle de la fille de l'
observation
VI), entre à la clinique le 22 août 1908. Le 7
mo- tilité des membres inférieurs n'est que très peu développée.
Observation
XIX. E. A. J..., fille, âgée de 16 ans, de Staby,
fièvre médiocre (entre 38° et 39°2), elle meurt au bout de 4 jours.
Observation
XX. J. L..., élève officier, 19 ans, de Vexia.
iner; il décla- re que l'épaule n'a pas encore une force normale.
Observation
XXI. - A, J..., ouvrier, âgé de 21 ans, du départ
l'épaule. Les muscles du tronc sont normaux,du moins à peu près. a)
Observations
sans symptômes de méningite. Observation XXII.
du moins à peu près. a) Observations sans symptômes de méningite.
Observation
XXII. M. M..., âgée de 2 ans 4 mois, fille de Gla
e a quatre frères et soeurs plus âgés qui n'ont pas été atteints.
OBSERVATION
XXIII. S. P..., paysan, 36 ans, de Werum. En oc
résie a en général la même extension, malgré qu'elle ait diminué.
Observation
XXIV. O.J..., polisseur de verre, 26 ans, du Mass
clinique, et nous lui en exprimons nos meilleurs remer- ciements.
Observation
XXV. - E. P..., étudiant en médecine, âgé de 21 a
oique le diagnostic soit restéjusclu'à, un certain point indécis, l'
observation
con- tinue de la malade a confirmé en tout cas
t s'agir d'une poliomyélite aiguë. Voici la des- cription du cas.
Observation
XXVI. I. G..., ouvrière à une fabrique de chaussu
sible tous les cas pu- bliés de maladies de la moelle étudiés par l'
observation
clinique et anato- mique où il me paraissait pr
utanées reste encore. Depuis la date où j'ai publié ce travail, les
observations
faites dans di- vers travaux n'ont nullement pa
e flasque devenait spasmodique. Du moins, nous ne connaissons pas d'
observations
analogues faites antérieu- rement qui aient été
vertèbres. Le signe de Kernig n'a pas été souvent remarqué dans les
observations
, pourtant nous l'avons constaté souvent, mais san
ut-être atteint les racines postérieures et qui y persiste. Notre
observation
XI nous fournit un exemple des difficultés qu'il
l'extension de la lésion anato- mique de la moelle. L'étude de nos
observations
nous apprend que sur les dix cas où la parésie
e une lym- phocytose nette sans aucun leucocyte. D'un autre côté, l'
observation
XI ajoute un nouvel exemple aux deux cas publié
ouver aussi des leucocytes dans le liquide céphalo-rachidien. Notre
observation
est remarquable en outre par le manque d'augmen
ombé pendant la phase aiguë de la maladie, nous trouvons, entre les
observations
anatomiques et cli- niques, l'accord qu'on pouv
Quant aux trois autres cas, voici les dates les plus importantes.
Observation
XXVII. -K.M. J..., garçon, âgé de ans, de Gryta,
portée à l'hôpital pour les maladies infectieuses le 18 novembre.
Observation
XXIX. 0. A..., fille, âgée de 13 ans, entre à la
ce, rien n'empêche la flexion de la tête en avant. Toutefois, cette
observation
prouve que la raideur de la colonne vertébrale
et des muscles du dos dans 20 cas sur 500. Si je me reporte à nos
observations
, je trouve, sur nos 29 cas, la avec troubles mo
pour les membres inférieurs et pour un bras au moins. Examinons nos
observations
pour voir si elles sont ou non en accord avec c
té des troubles moteurs des muscles abdominaux. En conséquence, nos
observations
parlent en faveur de l'opinion émise par Wickma
s noterons, dans les différents cas, l'âge de la paralysie, quand l'
observation
en a été faite. Une paralysie de tous les muscl
crite par Neurath (70) (un cas ancien) et par Medin (n" XXIX de ses
observations
), deux mois après le début de la maladie et (obs.
le que, dans ce dernier cas, la paralysie ait disparu au cours de l'
observation
postérieure du malade ; Bernheim rapporte un ca
égèrement atteint par la parésie. Un autre cas du même type que les
observations
de Ibrahim et Hermann a été publié par V. Baracz.
rsister dans 7 cas pendant tout le temps que nous avons poursuivi l'
observation
des malades : Dans l'un de ces cas (XI), le tem
s'agit de parésies encore très développées. Dans le cas XIX, notre
observation
porte sur cinq mois à peu près de- puis le débu
'une pneumo- nie lobaire). Dans tous les autres cas la durée de l'
observation
s'étend à plus d'une demi-année. Dans le cas XX
onctions des muscles abdominaux est assez probable pour ce cas. L'
observation
XIII nous donne une bonne raison de nous prononce
lioration assez considérable de la paralysie. En conséquence, cette
observation
nous montre que la restauration des fonctions m
é décrit plus haut, nous donnons ci-dessous l'histoire du malade.
Observation
XXX. F. B.. , fils d'un paysan, 20 ans, de Tolfta
our la contraction des parties inférieures. Comme on le voit, cette
observation
du maître dans le domaine des fonctions des mus
s le domaine des fonctions des muscles est en complet accord avec l'
observation
que nous a permis de faire la destruction seule
es paralysées des grands droits. Nous ne con- naissons pas d'autres
observations
pouvant nous renseigner sur l'effet qu'exerce u
tielle des grands droits sur un déplacement de l'ombilic. Une autre
observation
qui se rapporte à ce cas, c'est que le réflexe
blique droit était conservé). A un autre point de vue encore, cette
observation
est, autant que je peux en juger, unique : c'es
avons observé une parésie partielle des muscles abdominaux, c'est l'
observation
X. Dans ce cas, nous avons eu l'occasion d'exam
nous ayons constaté une motilité normale des muscles du dos : des l'
observation
X, où la malade pouvait se pencher en avant pou
EC AUTOPSIE PA li LAIGNEL-LAVASTINE et L. BOUDON. La rareté des
observations
anatomo-cliniques complètes de myasthénie grave
ions musculaires nous paraissent parti- culièrement remarquables.
Observation
. Ueb... Marie, 17 ans, sans profession, entre à
nne primitive. Nous n'insisterons pas sur le côté clinique de cette
observation
: on y retrouve en effet tant dans l'histoire d
CETTE MALADIE (1), PAR R ETTORE LEVI et GIUSEPPE FRANCHINI Les
observations
complètes de gigantisme sont encore relativement
demande, à la clinique médicale de Florence, pour être objet d'une
observation
systématique. Il tenait tellement à ses habitud
génitale qui est arrivée peut-être jusqu'à l'impuissance absolue. L'
observation
de ce nouveau géant est aussi une nouvelle preuve
agrandie. La littérature médicale récente nous offre en outre deux
observations
très intéressantes qui se complètent l'une l'au
contre les conclusions des dualistes. M. Claude a publié en 1897 l'
observation
d'une jeune fille de 19 ans présentant des symp
ont récemment publié dans )'/r;o; ! o ? a- phie de la Salpêtrière l'
observation
d'un cas très intéressant d'acromé- galie chez
ne fille est un acromégalique des plus classiques ; d'ailleurs, les
observations
de ce genre ne sont plus rares et nous en connais
éré, Sensations el mouvements, Paris, 1887. (3\ JACQUI'I, Mémoires.
Observations
sur les marques ou taches de naissance. Journal
pratique de BROC r.T Jacquet. Article Na;vi, t. III, p. 559. (2)
Observations
de Jadassoiix, Puit.tppsoN, Psrensov, llrit.Lr :
t de ces troncs nerveux et la topographie des troubles cutanés. Des
observations
de cette variété de naevi ont été publiées par Ba
raphie de la Salpêtrière, 1897, p. 263. (2) li.lnT(lÉLt3ltY, Deux
observations
de nxvus zoni/orme lisse. Annales de dermato- l
es radiculaires lui sont parallèles. Si nous voulions reprendre les
observations
des naevi publiées comme « naevi à distribution
ontraire à des naevi à topo- graphie radiculo-métamerique. Même les
observations
de naevi apparem- ment distribués suivant les t
ux et plus simplement en admettant une lésion radiculaire. Nombre d'
observations
cataloguées comme observations de naevi distrib
ant une lésion radiculaire. Nombre d'observations cataloguées comme
observations
de naevi distribués selon les trajets ner- veux
ion d'examiner. Nous ne rapporterons ici que quel- ques-unes de nos
observations
. OBSEIIVATION 1. Ch. Emile,âgé de 45 ans, exe
ne se trouvent pas sur le même plan horizontal (fig. 1, 2, 3, 4).
OBSERVATION
2. Mart..., âgée de 45 ans, passementière, entr
de sur le territoire de la 6° racine cervicale (fig. 5, 6, 7, 8).
Observation
3. Alb..., âgée de 16 ans, cartonnière, entre l
s longuement en arrière sur le territoire de, la 9e racine dorsale.
Observation
5. Loig..., âgée de 40ans, professeur de piano,
s taches roussâtres, qui varient entre la gros- FlG. Il Fig. 12
Observation
4. 48 1 KLIPPEL ET P1ERRK-AVEIL FIG, 13 1'1
re des 10e, Ile, 12e racines dorsales gauches (fig. 17,18,19,20).
OBSERVATION
6. Il s'agit d'un malade d'une vingtaine d'anné
xe longitudinal du médius. Ce trajet évidemment est complexe; cetle
observation
est, pour la thèse NOUVELLE Iconographie DE la
utopsie d'un de ces malades dont nous avons rapporté précédemment l'
observation
clinique (obs. 6, malade du Dr Launois), nous a
syphilis. Après la publication des cas de Bechterew, paraissent les
observations
de Strümpell et de Marie, dans lesquelles on no
r- tébrale avec la description des lésions anatomo-palhologiques.
Observation
(PI. L1V). Il s'agit d'un malade que nous avons
tres articulations sont res- tées sans modification. Ainsi, notre
observation
est celle d'un cas d'un type non encore décrit
tion clinique, s'ajoute une radiographie nettement démonstrative.
Observation
(pal. LV, LVI). Le malade est un certain C. Seb
ins de la Société anatomique de Bordeaux, 188G) ; Abadie ajoute une
observation
person- nelle. Nous ne tiendrons pas compte d'u
rvation person- nelle. Nous ne tiendrons pas compte d'une quatrième
observation
, rap- portée cependant par Abadie, car elle man
pongieux. » Et en dernier lieu, les données suivantes ont trait à l'
observation
per- sonnelle d'Abadie : « Sacrum très friabl
e der Wirbelsaùte. Deutsche med. Wochensch., UO 32, p. 992, 1903) :
observation
d'uuearthropathie de la colonne vertébrale, ave
es théories diverses sont en présence, de sorte que chaque nouvelle
observation
mérite d'être publiée et étudiée comparativement
que considéra- tion ; il représente, si je ne m'abuse, la cinquième
observation
de ce genre faite en Italie depuis 1877 (1) ; d
es osseuses. Je passe de suite à l'exposé de l'histoire clinique.
Observation
(PI. LVII, LVIII) Lippi Carlo, âgé de 58 ans, c
téris- tique histo-pathologique de la maladie de Pagel. Quant aux
observations
de Paget et de Packard (ans. Joui, of the med.
e poitrine vraie ? D'autre part pour ce qui concerne les très rares
observations
d'ostéite déformante au-dessous de 20 ans, il e
ssibilité de causes diverses ; l'étude complète et systéma- tique d'
observations
ultérieures pourra seule solutionner le problème.
s ont peut-être un rôle dans l'étiologie de ces accidents. Dans l'
observation
suivante, les troubles trophiques sont multiples
ade ne nous paraît pas dénuée d'intérêt au point de vue clinique.
Observation
(PI. LIX). Br..., âgé de 27 ans à son entrée à
té aucune forme typique de troubles respiratoires. En résumé, nos
observations
rapportées ici ne semblent pas parler contre l'
nne ici l'hisloire de trois cas de ce genre, que j'ai observés. -
OBSERVATION
XXXI. E. J..., garçon âgé de 15 ans, de Froetuna,
mort à 8,30 du suir. A la clinique il n'y avait jamais de fièvre.
Observation
XXXII,. - A. W..., caissier, âgé de 36 ans, d'Ups
jusqu'au dernier moment. La température était, le matin, de 38°6.
Observation
XXXIII. S. P..., âgé de 20 ans, étudiant à l'Univ
ostaux serait mieux supportée que la paralysie du diaphragme. Cette
observation
que nous avons faite 552 PETRÉN ET EHRENBERG
des paralysies spinales, je veux aussi attirer l'attention sur une
observation
que nous avons faite dans le cas XXVI publié ci
e cas XXXIII, j'ai vu ce qui est tout à fait en accord avec no- tre
observation
XXXII que le malade était tout près de mourir d'u
espiration artificielle, qui a été continuée pendant 27 heures. Mes
observations
dans ces deux cas me font considérer comme prob
de la respiration que du noyau du pneumogastrique). Il rapporte des
observations
où des troubles respiratoires ont apparu sous f
ue par cessation du fonctionnement du coeur. 5° J'ai fait une autre
observation
qui nous semble ne pas masquer d'intérêt pour c
ait alors très près de mourir par un arrêt de la respiration. Ces
observations
, quoique peu nombreuses, démontrent toutefois qu'
ue les 7 cas qui ont montré ce symptôme consti- tuent 24 0/0 de mes
observations
; mais, si nous ne regardons que les cas observ
peut être différente dans les différentes épidémies, néanmoins, mes
observations
nous apprennent qu'il n'est pas exact de consid
tre réservé » (en pensant au danger d'une issue fatale). Dans mes
observations
il faut exclure, pour juger de la mortalité, tous
20 0/0 ; cependant il faut remarquer qu'un frère de la malade de l'
observation
XIX est mort chez lui à la même époque d'une po
n un temps un peu plus long, Je ne m'en occuperai pas puisque mes
observations
n'apportent aucune contribution à l'étude de ces
cune contribution à l'étude de ces questions. Mais d'autre part mes
observations
m'ont donné raison d'examiner la question de sa
ntribution à la solution de cette question, car il n'a pas fait ses
observations
dans une clinique et n'a pu suivre le développe
tefois normale. Comme cas de cette espèce, je compte trois cas où l'
observation
de la maladie s'étend (dans le cas II) à 3 mois
Dans ces cas, l'amélioration a continué pendant toute la durée de l'
observation
. Sauf ces cas, y en a quatre autres où la resta
tion des mucles des membres semble être complète. Voici ces cas :
Observation
VI, enfant âgée de deux ans, d'abord parésie d'un
bre inférieur ; après un mois et demi, plus de parésie bien nette.
Observation
IV, enfant âgée d'un an, d'abord parésie d'un mem
arésie d'un membre inférieur ; après dix mois, à peu près guérie.
Observation
X, enfant âgée de 7 ans, d'abord paralysie complè
s il reste encore une paralysie partielle des muscles abdominaux.
Observation
XII, garçon âgé de 16 ans, d'abord paralysie comp
eur, parésie de l'autre; après deux ans, pas de symp- tômes nets.
Observation
XX, jeune homme âgé de 19 ans, d'abord parésie d'
y a plus que de petites traces de troubles moteurs de l'épaule. -
Observation
XIII, femme âgée de 33 ans, d'abord paralysie com
qui a suivi les premières phases de la maladie. Par conséquent ces
observations
nous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË
le traitement de la maladie a été continué avec persévérance. Ces
observations
parlent en outre en faveur de celte conclusion, q
intenses et n'ont pas eu une extension trop grande. Néanmoins, mes
observations
prouvent qu'on peut arriver à une guérison abso
a motilité des membres est depuis devenue presque nor- male.) Mes
observations
me semblent parler en faveur de la conclusion, qu
lui, il y en a 199 âgés de plus de 14 ans. Je groupe ci-dessous mes
observations
d'après l'âge où la maladie a commencé : 564
e preuve. Nous parlons de cela avec la plus grande réserve, car les
observations
de ce genre sont encore très rares ; il nous se
porté à une régression des symptômes acromégaliques ; la période d'
observation
des malades qui ont subi cette grave opération
argument nous renvoyons le lecteur aux travaux de Cagnetto). Les
observations
de ce genre sont déjà nombreuses, et quelques-une
oftalmologia, Anno 36°, f. z7-8. Blair BELL (au.) ET Hick Pantland.
Observations
on the Physiology oflhe female génital organs.
r monde qui étaient tatoués. Mais je crois à leur petit nombre. Mes
observations
ont porté sur des sujets détenus dans les ate-
orte du reste des hommes d'une manière permanente et visible. Les
observations
suivantes confirmen t pleinement cette manière de
en t pleinement cette manière devoir. (V. Planches LX, LXI, LXIL)
Observation
I. (Tatouage n° 1.) S..., 28 ans. Condamné troi
la paresse ou à l'inexécution des tâches qui lui étaient imposées.
Observation
II. (Tatouage n° 2.) L.... Aucun renseignement
ée des souf- frances qu'il endure à l'atelier de travaux publics.
Observation
III. - (Tatouage n° 3.) D..., ferblantier à. Pa
varient. Il en est de fort belles. Celle qui nous est offerte par l'
observation
IV est de tous points remarquable. , Observat
st offerte par l'observation IV est de tous points remarquable. ,
Observation
IV. (Tatouage n° 4.) F... Pupille de l'assistan
rare opulence. Il s'agit encore d'un pédéraste passif. 592 BOIGEY
Observation
V. (Tatouage n° 5.) E... Ce garçon est bachelie
» et il n'y a aucun doute possible sur ses ha- bitudes spéciales.
Observation
VI. -(Tatouage n° 6.) D... est un ancien soldat
moi, dit-il ; le pot d'eau, c'est l'atelier de travaux publics. »
Observation
VII. (Tatouage n° 7.) Le tatouage n° 7 est port
ntrelacement rappelle grossièrement une verge et deux testicules.
Observation
VIII. (Tatouage n° 8.) D... veut bien m'expliqu
vatées avec soin. On ne trouve aucun autre tatouage sur le corps.
Observation
IX. -(Tatouage. n° 9.) S... porte sur le dos un
n suivante couronue l'ensemble : « Souvenir d'Afrique. Bis- kra.n
Observation
X. - (Tatouage n° ! 0.) T... porte un certain n
scapulaire. Dans le cas présent, il s'agit d'un pédéraste passif.
Observation
XI. - (Tatouage n° fi.) V... professe publiquem
de ses camarades par sa brutalité, sa méchanceté et sa traîtrise.
OBSERVATION
.XII. - (Tatouage n° 12.) J..., pupille de l'ass
figurines : celle d'un ami et celles de deux amies. 594 B01GEY
Observation
XIII. (Tatouage n° 13.) D... Cet homme est déte
ui des signes indubitables de pédérastie passive. Dans toutes ces
observations
, un fait est; digne de remarque, c'est que la p
jamais après leur libération ou après l'achèvement de leur peine.
Observation
XIV. (Tatouages nos 14 et 15.) S..., sujet cors
en ce qui concerne le jugement qui est presque totalement aboli.
Observation
XV. (Tatouage n° 16.) B... Cet homme a été cond
Deux hirondelles volent vers les femmes tatouées sur la poitrine.
Observation
XVI. (Tatouage no 17.) D..., ancien élève de l'
s ca- marades qui affichaient au contraire des opinions opposées.
Observation
XVII. - (Tatouage n° 18.) P...,ivrogne invétéré
e de femme mal ébauchée occupe le centre de la région abdominale.
Observation
XVIII. (Tatouage n° 19.) C..., fils d'un confis
tatouée barre la poitrine au niveau des régions sous-claviculaires.
Observations
XIX et XX. (Tatouages n° 20 et 21.) J... et C..
utre figurine indistincte se devine à côté du tatouage principal.
Observation
XXI. (Tatouage ne 22.) C..., pupille de l'Assis
itiales du détenu sont tatouées au milieu d'un bouquet de fleurs.
Observation
XXII. (Tatouages nos 23 et 24.) Ces deux tatoua
et la mienne mendie La volupté qui monte autour de ton corps nu.
Observation
XXIII. - (Tatouage n° 25.) J..., typographe dét
bandit Bellacoscia que portait déjà le sujet qui fait l'objet de l'
observation
XIV. Je clorai ici la série de mes observations
ui fait l'objet de l'observation XIV. Je clorai ici la série de mes
observations
appuyées sur des photogra- phies. La pratique d
es cérébello-olivaires. Le cas que nous rapportons est analogue aux
observations
de ces auteurs en ce sens qu'il s'agit égalemen
insi conduits à pro- poser une classification de ces affections. `
OBSERVATION
(PI. LXIII à LXVIfI). Il s'agit d'une femme âgé
malade à l'existence d'une sclérose en plaques; l'insuffisance de l'
observation
clinique nous oblige il rester dans le doute ;
e progressive due à des lésions irrilalives ou vasculaires. Notre
observation
nepeut rentrer dans aucune de ces trois classes;
il l'attention du clinicien l'existence de tumeurs encéphaliques.
Observation
. I. - EVOLUTION clinique DE l'affection. Exam
ons sur le mécanisme de la production des troubles dystrophiques.
Observation
I. I. E. M. entré dans le service des malades n
un trouble plus ou moins spécial dans la nutrition des muscles, '
Observation
IL A. D..., âgée de 16 ans, entre dans le servi
e, nous rappellerons quelques cas de dys- trophies semblables à nos
observations
, et nous résumerons en quelques lignes les conn
su graisseux indique une altération de l'hypophyse. Depuis lors les
observations
de Berger, Goetel-Erdheim, Zack, A. Fuchs, Made-
t un simple trouble sécrétoire. On peut rapprocher près de ce cas l'
observation
de Babinski (2) com- muniquée à la Société de N
e, on constate un arrêt du développement des glandes génitales. Les
observations
qui démontrent ce fait deviennent plus nombreus
r rappelle à cette occasion un cas antérieur de von Eiselsberg et l'
observation
de la jeune - fille qui a fait le sujet d'une c
il sur l'influence des tumeurs céré- brales sur la menstruation, ai
observations
dont certaines ressemblent jusqu'à un certain p
mblent jusqu'à un certain point aux nôtres. Ainsi, dans sa deuxième
observation
, il s'agit d'une jeune fille de 16 ans avec le
s l'avons soumis pendant un certain temps. Comme on l'a vu dans l'
observation
détaillée du premier cas, nous lui avons fait t
ue qui, pour certaines particularités, mérite une mention spéciale.
Observation
(PI. LXIX). , S. P..., âgé de 22 ans, marié ave
dence, avec la poliomyélite antérieure qui avait précédé ; mais les
observations
ultérieures montrèrent qu'entre les deux maladies
épltromyélile antérieure aiguë. Thèse de Paris, 1888. Rémond. - Une
observation
d'atrophie musculaire myélopathique à type scapul
rents de la même famille ou chez le même malade pour considérer les
observations
comme des raisons de conclure à une analogie de
ontre que le cerveau a été atteint par le processus morbide. De ces
observations
nous pouvons conclure que les lésions légères des
des indi- vidus différents de la même famille. Pourtant toutes les
observations
qu'on a citées à ce propos ne me semblent pas é
omyélite une aphasie disparue en deux semaines ; en tout cas, cette
observation
ne peut démontrer qu'une lésion cérébrale tout
rale (qui avait d'ailleurs disparu). Cependant, la description de l'
observation
est si incomplète, qu'il est tout à fait im- po
de Calabrese et Négro, mais je ne les connais que par Rossi. Ces
observations
sont trop fréquentes pour qu'on puisse considérer
lyné- vrite qui ont été traités ces derniers temps à la clinique.
Observation
XXXIV. - B. M..., étudiant, d'Upsala, âgé de 24 a
e des pieds sont encore très faibles. e 668 PETREN ET EHRENBERG
Observation
XXXV. G. S ? cocher, âgé de 61 ans, de Skutskaer,
muscles du tronc sont normaux. Les réflexes abdominaux conservés.
Observation
XXXVI. -J. A. L..., ouvrier, de Villberga, âgé de
es. Comme exemple, je me permets d'attirer l'attention sur quelques
observations
pu- bliées par Brissaud, où le diagnostic diffé
n même temps une parésie des membres inférieurs. Medin explique ces
observations
avec ataxie comme des cas de polynévrite, mais je
ulbe (ou peut-être aussi dans la moelle ? ). En tout ers, comme les
observations
probantes d'une ataxie dans la poliomyélite ne
), ils consacrent quelques lignes aux formes partielles et citent l'
observation
de M. F. Regnault, publiée sous le nom d'achond
t les deux humérus présentaient un raccourcissement considérable. L'
observation
que nous rapportons aujourd'hui a trait à un suje
fait semblable, atteint de brièveté congénitale des deux humérus.
Observation
(Pl. LXX, LXXI). Il s'agit d'un homme de 18 ans
Dufour (Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1906, p. 133) a publié l'
observation
et la photographie d'une jeune fille qui se rat
f. N. POPOFF). UN CAS D'1 : CTNO,V11 : LI1J PA a G. MARKELOFF
Observation
(Pl. LXX11, LXXIJI) Th. W..., âgée de 50 ans, c
ilité d'exprimer par aucun autre mot existant. Le premier sujet d'
observation
sur lequel se soit porté son esprit en éveil a
nt repro- duits, mais le moyens employés sont différents. Ce fait d'
observation
nous autorise à conclure légitimement que la fo
ment privé de raison, de réflexion et l'anatomie confirme ce fait d'
observation
. Il est inutile de s'appesantir sur ce point. A
du cou et de la ceinture scapulaire (1 pl.), 1z7, et Vires. Trois
observations
de rire et de pleurer spasmodiques chez des hém
dement précoce catatonique tl pl.), 540. Vires et A\GL.1D1. Trois
observations
de rire et de pleurer spasmodiques chez des h
'hystérie chez l'homme dans les policliniques de cette ville. Les
observations
de M. Oppenheim sur la névrose trauma- tique ne
à douter de la légitimité cependant parfaitement indiscu- table des
observations
recueillies ailleurs. Ce qu'on n'a pas vu, ce q
sse, Al- thaus et plus récemment par Weir Mitchell, d'après leurs
observations
personnelles. J'ai embrassé la même cause et ad
ciale hystérique avec monoplégie brachiale, 1 Voir iL ce propos les
observations
de M. Feré démontrant que chez les hystériques
enant à l'autre point qu'il convient de mettre en relief dans notre
observation
. Il nous faut chez ce malade, dont nous ne conn
oupés par M. Baillarger sous le nom d'hallucinations psychiques'.
Observation
I. - La première observation est celle d'un homme
le nom d'hallucinations psychiques'. Observation I. - La première
observation
est celle d'un homme ace de trente-trois ans, q
ui est devenu une possession de l'individu hanté par les Esprits.
Observation
Il. - 111 ? L..., née R..., âgée de soixante-troi
ger sous le nom d'hallucination psychique. Or nous pouvons dans les
observations
qui pré- cèdent trouver la raison de ce fait,
angue sans prononcer rien ni haut, ni bas. » Je citerai aussi une
observation
deM. Régis (Encéphale, 1881, n" 1, p. 71) et un
té accompagnées chez M. X... de mouvements de la langue. » Les deux
observations
que je viens de vous lire me paraissent des plu
Ces différentes particularités que j'ai mises en relief dans les
observations
précédentes, sont également évidentes dans uno
moteurs et sensitifs : par ses symptômes les plus importants, notre
observation
était con- forme à la description des accidents
es fatigues et de douleurs dans les quatre membres. Dans toutes ces
observations
relativement CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRE
l'auto-suggestion apparaît en plus d'un cas. D'autre part, dans les
observations
d'hystéro-traumatisme pu- bliées jusqu'à ce jou
lexions. Nous passerons assez rapidement sur les traits communs à l'
observation
précédente et aux cas déjà pu- bliés d'hystéro-
P. Berbez a 19 ans); sa constitution robuste (fait noté dans mainte
observation
), et enfin l'émotion morale, le choc nerveux pr
lytiques. Examinons maintenant les particularités propres à notre
observation
. 1° Répartition de l'anesthésie. La paraplégie
Variations brusques dans la répartition de l'anesthésie.- Dans les
observations
publiées, on n'assiste pas à une méta- morphose
térique. Nous devons d'ail- leurs faire remarquer que dans d'autres
observations
dues à M. Charcot et à M. Berbez, il est noté q
s qu'il nous a été donné de cons- tater chez notre malade. Dans les
observations
de la Salpê- trière, il est toujours noté que «
et se montrant gé- néralement plusieurs fois par minute. Les trois
observations
qui ont servi à sa description se rapportent à
och 2 a étudié un des premiers la chorée électrique ; dans les deux
observations
qu'il cite, la cause des secousses a été comme
cousses a été comme chez D... une vive frayeur. ' Dans toutes les
observations
de chorée électrique comme dans' la nôtre, nous
al). Nous avons pensé qu'il était possible de retrouver, dans notre
observation
, tous les éléments nécessaires à l'élaboration
ire passagère en une paralysie complète. Si nous nous reportons à l'
observation
, nous voyons que la violence des convulsions et
oelle épinière; en vue de ce dernier cas, j'ai choisi comme objet d'
observation
le cobaye. ' Mais avant de commencer l'expérime
e question. Mais j'y reviendra plus tard. Je vais commencer par mes
observations
personnelles. Pour mes opérations d'hémisection
cobaye ne vécut que trente-six heures. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 55
Observation
I. 19 mars 1885. Un cobaye de taille moyenne. L
eviennent plus ou moins affai- blis. Je donne l'exemple suivant :
Observation
IL - 27 février 1885. Cobaye mâle. La moelle ép
droite de la moelle. Aussitôt après l'opération, on peut faire les
observations
suivantes : Mouvements ; une parésie très pro-
m'en occu- per de suite. Je choisis un exemple dans mon journal :
Observation
III.- 15 avril 188o. Un cobaye mâle, de grande
de la moelle épinière. Thèse, Helsingfors, 1885. 58 , ANATOMIE. 1
observations
qui donnèrent le résultat suivant : pendant le re
émité qui avait été paralysée. Enfin, il faut encore mentionner les
observations
expéri- mentales de P. Fraissel, qui eut la cha
mes pour les âges différents des animaux, ou celui d'une faute de l'
observation
clinique et de la recherche anatomique ? La pre
te, je trouve pourtant la possibilité d'admettre une faute dans les
observations
en m'appuyant sur les bases suivantes : .. Ce
ns en m'appuyant sur les bases suivantes : .. Ce qui concerne les
observations
sur la sensibilité et sur la motilité des extré
ablement oubliée par les auteurs qui se servaient pour de pareilles
observations
, d'animaux nouveau-nés, c'est que chez ces dern
est point de régénération d'éléments nerveux, d'autant plus que les
observations
de Piccolo et Santr-Sirena, de Wus'mine et surt
doute pour moi. L'analogie avec les origines des autres nerfs, les
observations
de Serres au sujet de cette origine médullaire
Serres au sujet de cette origine médullaire chez les poissons, les
observations
faites chez les anencé- phales, observations qu
ez les poissons, les observations faites chez les anencé- phales,
observations
que je relate plus loin plaident en faveur de c
ïdales par les renflements olfactifs. » Baron et Comte citaient des
observations
analogues. SERRES, d'après FRANK. « Chez quelqu
nde s'il ne faut pas chercher l'explica- tion de cette différence d'
observation
dans ce fait que je ne me suis servi à peu près
du tubercule antérieur optique, je n'ai à apporter à l'appui que l'
observation
de Hun- ter. Critiquée par les uns, elle est ce
is, et qu'il faut au moins les retenir jusqu'à plus ample recueil d'
observations
. V. CONNEXIONS DE LA COUCHE OPTIQUE (DU TUBERCU
e ferai remarquer l'importance du chiasma olfactif qui explique les
observations
d'anosmie croisée inex- plicables jusqu'à ce jo
cot, n'est probablement pas aussi rare qu'on l'a cru jusqu'ici. Les
observations
, sans être encore très nombreuses, se sont cepe
hystérique » ; enfin, la plupart des malades qui font le sujet des
observations
publiées par le D'' Blocq, sont des hystériques
nt la symptomatologie est cependant déjà si riche et si complexe.
Observation
l ? - Mlle V...., quatorze ans, nous est adressée
tôt l'état normal et la guérison s'est maintenue jusqu'à ce jour.
Observation
II. Mlle P..., dix-neuf ans. C'est une jeune fill
t des membres inférieurs dans lequel réside tout l'intérêt de cette
observation
. 96 DEUX NOUVEAUX CAS D'ASTASIE-ABASIE. De pr
tives d'impotence complète et de retours à l'état normal. Les deux
observations
qui précèdent, nous paraissent devoir être cons
ué (OBSERV. II). DE L'EPILEPSIE CORTICALE. 97 Chez la malade de l'
OBSERVATION
Ire, l'astasie-abasie parait être la manifestat
asion de l'établissement de la fonction menstruelle. La malade de l'
OBSERVATION
II, est une hystérique en pleine puissance de n
u'à titre de complication. Au point de vue de l'étiologie, ces deux
observations
vien- draient donc à l'appui de l'opinion émise
rempla- çant les pertes de substance, apportait un grand nombre d'
observations
de transmission héréditaire d'épilepsie corti-
les conseils mêmes de Mier- zejewski, ont été négatifs 2. Mais les
observations
de Knies, de Fribourg, sur l'état de la rétine
épilepsie cor- ticale, reparaissent, avec plus de netteté, dans les
observations
cliniques recueillies par Seppilli. Quant au si
eillies par Seppilli. Quant au siège des lésions, il résulte de ces
observations
que, souvent exclusivement locali- sées dans la
able de provoquer par soi l'accès d'épilepsie. » L'analyse de ces
observations
, au nombre de quarante-cinq, n'a pas permis à S
partielle et de l'épilepsie générale. Qu'enseignent maintenant les
observations
cliniques re- cueillies par Seppilli relativeme
smission des courants aux ganglions infra-cor- ticaux 2. Dans une
observation
clinique, suivie d'autopsie, Toma- ' Th. Ziehen
'excitation de la substance grise ou de la substance blanche. Cette
observation
est une brillante confir- mation de la théorie
liaft in Odessa, 1887. L'auteur appelle encore l'attention sur deux
observations
semblables de Macleod et de Noel- Paton (Brain,
LLENBERG. {Arch. f. Psychiat. XXI. 3). 11 s'agit en résumé de trois
observations
. Deux d'entre elles con- cernent une tumeur cér
ues : l'hémisphère cérébel- leux gauche était atteint. La troisième
observation
est celle d'une tumeur du lobe occipital droit
a formation DE cavités dans la MOELLE; par P. Kronthal. (Ibid.) L'
observation
de M. Rumpf est surtout intéressante par l'étude
ulo-h2cmdlal), par BIFLSCIIOWSKY. (Neu- rol. Centralbl., 1890.) L'
observation
de Bernhardt concerne un homme de quarante- six
- rique isolée avec atrophie des muscles sus et sous-épineux. Les
observations
de Sperling et Bielschowshy ont trait à des jeune
évrite ; par A. ERLENMEYER. (Centralbl. f. Nervenheilk., 1889.) L'
observation
I se résume ainsi : névrite infectieuse aiguë du
LÉE DE la glande pinéale; par E. KNY. (Neurol. Centralbl., 1889.)
Observation
avec autopsie. Elle ne révèle aucun autre symptôm
oewenfeld. Types cliniques divers de l'épi- lepsie partielle (douze
observations
) ; analyse minutieuse de ses éléments morbides
ime de quelques secondes, que les auras fugitives iso- lées. '* L'
observation
avec autopsie de Roller confirme cette propositio
este. P. K. XVI. Contribution a la physiologie du ruban DE REIL. (
Observation
de gliomatose d'une corne postérieure de la moe
sensibilité de la moitié opposée du corps, C'est du reste la seule
observation
de gliomatose rigoureusement limitée à la substan
ve deux cas de dégénérescence des faisceaux latéropyrami- daux, six
observations
de dégénérescence des cordons postérieurs, quat
MULTILOCULAIRE ; par R. '111OJISEY. (Arc/¡. f. Psych., XXI., 3.)
Observation
1. Homme de vingt-quatre ans; névrite aiguë avec'
ence des nerfs périphé- riques ; légère dégénérescence des muscles.
Observation
IL Allures cliniques de l'ataxie locomotrice pr
âniens, dégéné- rescence caractéristique des nerfs périphériques. -
Observation
III. Homme de quarante-quatre ans : névrite alc
nt anatomopathologique la cellule granu- leuse ordinaire. De treize
observations
empruntées aux auteurs (Hayem, Messner, Meyer e
c'est qu'on les enferme. LE secrétaire général donne lecture d'une
observation
de M. Brignier-Corbeau sur un cas de paralysie
gauche du corps quadrijumeau. Se basant sur ce cas et rappelant des
observations
anatomiques puisées dans la littérature médicale,
affecte un mécanisme différent de celui que nous acceptons pour nos
observations
personnelles. On remarquera d'autre part que l'
ieures dans les cliniques de Charcot et de Westphal et une nouvelle
observation
provenant de l'hôpital de Jaouse. Parmi les s
'application thérapeutique de l'hypnotisme ». En se fondant sur ses
observations
personnelles nombreuses, l'auteur se déclare conv
ls peuvent s'appliquer avec succès comme l'ont dé- montré plusieurs
observations
. M. KoRNiLorr voit un désaccord entre l'opinion
Thèse en doctorat. Paris, 1890.) Cette thèse contient l'étude de 54
observations
empruntées à divers auteurs; une observation pe
ontient l'étude de 54 observations empruntées à divers auteurs; une
observation
personnelle dans laquelle les symptômes ressemb
iques en dehors de leur délire épileptique, et il cite une curieuse
observation
de coexistence de [délires d'origine et de natu
rtants travaux ; on a appris à la reconnaître, et chaque jour des
observations
nouvelles viennent témoigner de son importance.
la chute d'un lieu élevé. C'est ainsi que le sujet mentionné dans l'
observation
XXIII de la thèse de Bruhl2, empruntée à Bernha
s auparavant. Un autre malade, dont Wichmann a rapporté l'histoire (
observation
XX de la thèse de Bruhl) 3 présente avec notre
chances d'erreur auxquelles on s'expose toutes les fois que dans l'
observation
et l'interprétation des faits l'on se laisse do
ieurs années, j'ai publié dans les Annales médico- psychologiques l'
observation
d'un cas de traumatisme chez un lypémaniaque, a
respondantes. J'étais loin de m'attendre à rencontrer plus tard une
observation
presque identique. Il s'agissait alors d'un ali
rsonnes habitant le fond d'une campagne, et très inexpérimentées.
Observation
. Le nommé P... (Isidore), soixante-deux ans, me
niveau de la plaie. Ce fait semble d'autant plus exact que, dans l'
observation
semblable que j'ai rapportée autre part, aucun
ROSSOLJ : \IO, Privât Docent à la Faculté de médecine de Moscou.
Observation
IV. 15 mai 1885.- Un cobaye de moyenne taille.
'opération. J'ai fait dans ce but les deux opérations suivantes :
Observation
V. 13 décembre 1885. Cobaye de grande taille. L
. Cette opération démontre que si la seconde hé- misection dans l'
observation
n° '1S est restée pour les mouvements rétablis
e la moelle épinière au niveau de- la quatrième vertèbre dorsale.
OBSERVATION
VI. 1er novembre 1885. - Un cobaye âgé. La quat
travers toute la moitié droite. Ainsi, me basant d'un côté sur les
observations
fondamen- tales, d'un autre sur les expérimenta
terai sur l'expérimentation correspondante et sur son résultat. '
OBSERVATION
VIf. 23 décembre 1885. - Cobaye femelle, de tai
ondement, parce qu'elle est suivie d'expérimentation de contrôle.
Observation
IY.-27 jctnvier 1896.-Un cobaye de taille moyenne
des mouvements volontaires dans les extrémités posté- rieures.
Observation
X. 2 février 1886. Chez un cobaye e de taille m
ar une partie quelconque de sa commissure. Pour cela, j'ai fait l'
observation
suivante : Observation XL A A un cobaye, on a f
e de sa commissure. Pour cela, j'ai fait l'observation suivante :
Observation
XL A A un cobaye, on a fait une hémi- section g
L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 21 J> En dehors de l'
observation
anatomique, laquelle sera confirmée ou infirmée
certes pas mon cas ! Elles ne valent pas dans le cas particulier l'
observation
anatomique, la physiologie expérimentale et l'a
rter bientôt l'épreuve de l'expérimen- tation et les résultats de l'
observation
de l'anatomie ; et sans vouloir me lancer dans
/t)-&ttC/t. f. Psych., VIII, 3.) Monographie à la lumière de 17
observations
empruntées à la bibliographie. La strangulati
dre dans les idées. Deux cas de psychose stupide assez longue. Deux
observations
dans lesquelles la mélancolie qui i avait provo
ant doit franchir plusieurs échelons ou divisions gradées d'après l'
observation
des malades (tendances volonté - discernement)
sont revenus volontairement; 45 ont récidivé; 111 sont encore en
observation
. 3G6 seulement ont été renvoyés parce que le ma
closion de la maladie incidente, sont exceptionnels. A ce titre l'
observation
citée par M. Szczypiorsld est intéressante : il
énérale comme absolument distincte de l'alcoolisme, une série de 22
observations
où le diagnostic reste en suspens, mais qui nou
ur servir à l'étude des causes de la paralysie générale. » De leurs
observations
sur 205 malades, les auteurs concluent à ce que
paralysie générale. M. CAMUSET lit un mémoire où il conclut de ses
observations
à ce que l'alcool influe puisamment sur le déve
'encéphalite interstitielle n'étant pas nécessaire. 11 a publié des
observations
avec autopsies dans ce sens, il s'appuie en out
t de la question de date de ces lésions. M. MORDRET lit ensuite une
observation
de méningo-encéphalite constatée à l'autopsie s
péciaux; 7° Tout aliéné persécuteur, guéri après un certain temps d'
observation
, ne devra pas être maintenu dans l'asile qui lui
M. Joffroy. Fièvre typhoïde et folie. Le travail porte sur quatre
observations
: pe observation. - Une vieille femme, délire s
typhoïde et folie. Le travail porte sur quatre observations : pe
observation
. - Une vieille femme, délire sénile, mais coor-
- gnostic : troubles vésaniques à la suite de fièvre typhoïde. 2°
observation
. - A. P., attaques d'hystérie antérieures, accide
de, depuis, répétition du délire dans les attaques d'hystérie. 3°
observation
. Syphilis antérieure, fièvre typhoïde, à la suite
hilis antérieure, fièvre typhoïde, à la suite démence précoce. 4°
observation
. - Paraplégie absolue des membres inférieurs, f
e au premier lundi d'août 1892. M. SAURY (de-Suresnes) communique l'
observation
d'une femme de quarante-deux ans, atteinte de t
nomalies de la sudation (liypeiliydrose). M. Saury conclut de celte
observation
que l'hystérie et l'hypochondrie sont unies par
, les conséquences pratiques qui découlent de la connaissance des
observations
de ce genre. Il est évident, par exemple, en ce q
tradictoires pour coups et blessures, M. Henry Contysk présente une
observation
avec photographie dans laquelle des altérations
le précoce avec l'alcoolisme ancestral. L'auteur n'apporte que deux
observations
à l'appui de sa façon de voir ; dans ces cas le
ancestral, il avait déjà apporté, à l'appui de cette opinion, deux
observations
recueillies à l'asile d'aliénés de Montpellier.
e chez certains mélancoliques soumis à ce médicament. Rappelant les
observations
de M. A. Voi- sin sur ce sujet, M. Cullerre n'a
l'amélioration inattendue survenue chez les malades dont je cite l'
observation
. » M. BOUBILA (de Marseille). - Des chlorures d
optiques, s'accompagnant d'hal- lucination interne de la vue. Cette
observation
présente plusieurs particularités intéressantes
sées, pré- sentent des troubles de circulation intra-oculaire. 2°
Observations
particulières. 1° Chez les paralytiques géné- 2
ers cellulaires ont été ensuite parcou- rus ainsi que le quartier d'
observation
et les infirmeries. Le cubage d'air largement c
Idées obsédantes. Ramollissement cérébral.- M. SÉGLAS communique l'
observation
d'un individu atteint de neu- rasthénie avec ob
a été suivie d'amélioration. M. Charpentier ne trouve pas dans les
observations
la preuve qu'il s'agisse bien de scarlatine. Ce
arlatine; la maladie régnait épidémiquement dans la garnison où les
observations
ont été recueillies par son correspondant qui e
ERNHARDT. - Des paralysies du péronier (sciatique poplité externe).
Observation
de paralysie par compression longtemps pro- lon
e occipital du cerveau, présentation des pièces. Les deux premières
observations
(porencéphalie et amoindrissement consi- dérabl
macroscopique, sur le nerf du côté opposé aux lésions. La troisième
observation
comporte une cécité toiale ( ? ), durant depuis
N DE BRESLAU. Séance du 25 novembre 1889 '. M. CI., NEissER lit l'
observation
d'un malade qui, après avoir été d'abord et pen
s malades traités pendant ce laps de temps à l'asile de Dorpal. Ces
observations
se décomposent, au point - de vue clinique, en
l"influenza. De son expé- rience en pareille matière et du champ d'
observation
des autres, M. Kirn tire les conclusions suivan
influenza apparaissent deux jours après le début de la maladie (une
observation
), trois à quatre jours après (une observa- tion
(une observa- tion), ou au moment de la défervescence fébrile (une
observation
). Voilà pour la période fébrile. Enfui, elles p
survenir huit à quatorze jours après la cessation de la fièvre (six
observations
). Quant à l'étiologie, sur mes neuf malades deu
EusEft. - Un cas de porencéphalie. L'anatomie pathologique de cette
observation
montre que le processus qui aboutit à la poren-
s. (The Lancet, 1890.) M. Iladden, dans une monographie basée sur l'
observation
de douze cas, décrit une affection caractérisée
eut être absolument précisée, la plupart des sujets étant encore en
observation
. Quelle est donc la nature' de cette affection
qui permet à tous les membres des conseils élus de présenter leurs
observations
. C'est la seule pratique compatible avec un sér
imprimerie H. Jouve. . BOURNEVILLE. - Recueil de mémoires, notes et
observations
sur l'idio- tie. Tome I. Volume in-8° de 416 pa
es. Boston, 1891. - Rockwell and Churchill. MORDRET (A.-E.). Deux
observations
d'atrophie cérébrale. Brochure in-8° de' 24 pag
ttiré l'attention sur ce sujet en rap- portant une très remarquable
observation
. Ce fait parut si nouveau que dans la discussio
nière de voir et nous pourrons du reste les appuyer sur une série d'
observations
cliniques. Dans un leçon récente', notre maitre
bète sucré chez les enfants (1877) rapporte une fort intéressante
observation
de Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 31
a été observée par M. le pro- fesseur Charcot,-tout récemment. .
Observation
I (personnelle). 111m° B..., quarante ans, nie
BÈTE SUCRÉ. 321 De ces quatre tableaux, nous pouvons rapprocher l'
observation
suivante que nous avons recueillie à la consult
avons recueillie à la consultation externe de la Salpêtrière : ,
OBSERVATION
II (personnelle). Rec..., trente-cinq ans, voya
t Briand, de tran- cher la question; que chacun de nous apporte des
observations
et nous arriverons à catégoriser, avec exactitu
ée préconçue ? Je me suis systématiquement borné à reproduire les
observations
des malades existant dans mon service au moment
e Persécution sous le nom de Lypémanie ambitieuse. On peut lire ses
observations
dans les Ann. méd. psychol., 1878, XX, p. 117,
n n'envisage que les idées de grandeur, on peut voir, d'après les
observations
que je vais rapporter, que : a). Tantôt elles d
ceptibles d'en avoir jamais. a). - MÉGALOMANIE (DÉLIRE CHRONIQUE)
Observation
1. - maris 0..., né en 1846, employé de commerce,
qu'il doit traverser, mais il trouve qu'elle dure trop longtemps.
Observation
II. - R..., médecin militaire, né en 1844. Ses
. Au fond, il n'a abandonné aucune de ses conceptions délirantes.
Observation
III. - 13..., lieutenant d'infanterie, né en 1851
des plus beaux noms de France,- il n'a jamais voulu dire lequel.
Observation
IV. - C... a eu pour père un homme exalté, anci
uiller dans mon pupitre; depuis j'ai compris pour- quoi, etc..» »
Observation
V. - M... est entré à Charenton en 1869; il avait
s illimitées, gratuites, des moteurs universels, etc., etc., etc. »
OBSERVATION
VI. - H... est d'une famille où il y a beaucoup
r les- quelles il a dessiné tous les détails de ce chef-d'oeuvre.
Observation
VII. - D..., industriel, dans un département de
estinées. Je ne veux pas continuer cette énumération : toutes ces
observations
se ressemblent; je me bornerai à résumer encore
ressemblent; je me bornerai à résumer encore les deux suivantes :
Observation
VIII. - 1\I..., ingénieur civil suisse, devenu al
n lui appartient, qu'il est le maître, que nous ne sommes rien. ,
Observation
IX. - S..., lieutenant d'infanterie, appartient à
es religieuses. J'en ai deux exemples remarquables sous les yeux.
Observation
X. C..., né en 1858, est le dernier né d'une fa
râce à lui, il y aura cinq cent millions de catholiques nouveaux.
Observation
XI. - La mère de L... est aliénée et internée d
héomanes, les idées de grandeur existaient comme dans les premières
observations
; les idées religieuses se sont déve- 344 CLINIQ
servées à l'observateur persévérant. En voici quelques exemples :
Observation
XII. - E... a aujourd'hui quatre-vingt-cinq ans.
e qui agis- sent sur sa vie); il ne demande rien à personne, etc.
Observation
XIII. - L..., ancien percepteur, légèrement contr
mpovallon, Champs- Elysées et Roi de la France paradisiaque, etc.
Observation
XIV. - Officier, appartenant à une vieille famill
son temps à lire et à dessiner, tout en étant resté très irritable.
Observation
XV. - Un exemple encore. C... étudiant en méde-
rte qu'elle déviait, au sortir de la bouche, du côté affecté. Cette
observation
est longtemps restée isolée jusqu'à Schilling\ !
e isolée jusqu'à Schilling\ ! et Romberg' qui signalèrent plusieurs
observations
où l'atro- phie progressive d'une moitié de la
détaillée, en énumère 70 cas publiés antérieurement ety ajoute une
observation
per- sonnelle. Cependant, la connaissance plu
Charcot et des deux cas de Jessop et Brown'. Par conséquent, son
observation
est la 76°. Récemment, la maladie en question a
écemment, la maladie en question a été l'objet d'assez fré- quentes
observations
, et je pus en recueillir, dans des sources qui
rofondir les autres. Or le plus instructif serait d'analyser chaque
observation
séparément et d'apprécier toutes les particular
tout d'abord, notre attention, c'est une. catégorie, assez vaste, d'
observations
où le processus atrophique s'est déclaré après
n point douloureux au niveau du trou sus-orbitaire. Dans d'autres
observations
, il y a non seulement des troubles trophiques,
onné : tous les trois symp- tômes consécutifs à un traumatisme. Les
observations
de Panas, de llitsig, de Bannister, de Berger,
des centres trophiques). Il y a quelques mois, Homen a publié une
observation
très intéressante et d'une portée d'autant plus
plus faibles dans les VIP, IIIe, IVe et VIe paires. A part ces deux
observations
, nous n'en n'avons pas d'autres qui soient conf
déterminer leur caractère avec une précision suffisante. Une de ces
observations
appartient à M. le professeur Miercvzejewski. I
dépendance d'af- fection du nerf sympathique. Sous ce rapport, les
observations
de Seeligmuller sont d'une haute portée. Il a e
ion exercée sur les ganglions cervicaux du sympathique droit. Les
observations
que nous venons de citer prouvent, d'une manièr
hique; en même temps, elles se rattachent étroitement à une série d'
observations
dans les- quelles, bien que la participation de
analogues dont l'un avec pâleur s'étendant jusqu'aux gencives. L'
observation
relatée par nous s'enchaîne à celles que nous v
nsidérées. Il se peut qu'une analyse plus approfondie de toutes les
observations
nous révèle encore d'autres causes provoquant c
prononcé quelques paroles qu'on retrouve à peu près dans toutes les
observations
du même genre : Où suis-je » et aus- sitôt : c
tc. Ce cas méritait donc d'être rapporté d'un côté, parce que les
observations
de paralysies radiculaires brachiales totales ne
oi la diminution de la sensibilité a été trouvée dans la moitie des
observations
et non dans l'autre, bien qu'une observation ré
ée dans la moitie des observations et non dans l'autre, bien qu'une
observation
récente tende à démontrer le contraire. Il s'ag
res serait nécessaire, c'est ce qui a lieu très probablement dans l'
observation
qui nous occupe. Cette rétraction du globe de
86. 362 RECUEIL DE faits. sent devoir être rapportés, d'après les
observations
et recherches expérimentales de 111"° Klumpke,
la première paire dorsale. - - RECUEIL DE FAITS DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE; Par BOURNEVILLE et P. SOLLIER;
ndice de maladies vénériennes, il il a la peau aussi DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 363 blanche que la neige. » Ca
e volait pas au dehors cependant pour satisfaire ses DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 365 goûts. - Sommeil bon, prol
ercle lequel persiste pendant une minute, une minute DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 367 et demie. Puis il a des ba
mbres. Un tremblement très fort secoue tous les mem- DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 369 bres. Il y a de l'écume à
inférieurs sont dans l'extension, puis présentent z DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 371 des secousses iétaniformes
A gardé encore la notion de toutes les cou- leurs. DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 373, 9 décembre. - Sous prétex
existaient déjà lors de la conception. III. Dans un grand nombre d'
observations
d'hystérie nous voyons des émotions vives être
elle cause il convient de la rattacher. L'hystérie , DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÙRIE MALE. 375 .1 i en tout cas n'a jou
une pièce, allait dans la chambre de ' Jean Wier. DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 377 î son père, effrayé et dis
t aucune aura qui l'avertisse. Fig. 32. Fig. 33. DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 379 En 1887, après une rémissi
nze mois, puis scarlatine qui le rendit très malade. DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
HYSTéRIE MALE. 381 Pas d'autres fièvres. Pas de
e, et tomberait si on ne le retenait pas. Il dit que DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 383 pendant son attaque il lui
t fixe, hagard. Il regarde devant lui et est bientôt DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 385 repris de nouvelles convul
son séant, tourne la tête à droite et à F'lq. 39. DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 387 gauche, puis retombe. Les
che en se traînant sur les genoux jusqu'au maître de DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRIE MALE. 389 musique. Il bat la mesure
alternatives de gaieté et de tristesse, idées vagues DEUX NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTHRIE MALE. 391 de suicide, instabilité me
e contre terre qu'elle sembloit morte. » Un point commun aux deux
observations
, c'est la forme épileptoïde qu'ont revêtu les a
e d'hystériques (p. 149). Enfin, le tome XI ren- ferme trois autres
observations
,avec Séglas). Ces renseigne- - ments pourront
t travail sur l'action du sultonal. chez les aliénés. Il a réuni 24
observations
très détaillées, en notant les variations de la
. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, 1890.) L'intérêt de cette
observation
réside principalement dans la longue durée de l
du cerveau, par C. Moeli. (.-11'Ch. f.Psych.,XXU,l.) 1.) . , Deux
observations
montrant que les lésions cérébrales du lobe occ
malades et, dans ce genre de recherches, il est nécessaire que les
observations
soient prises par la même per- 40t REVUE DE PAT
aractères tranchés ? Il semble qu'il en soit ainsi. D'une série d'
observations
, dont deux, particulièrement instruc- tives à c
cacement au développe- ment de la paralysie générale. E. B. VIII.
Observation
DE folie ÉROTIQUE avec autopsie; par le Dr HOSP
; XIII p.314 et VII, p. 393. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 d'
observation
) l'auteur a trouvé six ostéomalacies (5 F. 1 IL)
(Jahrbuech. f. Psycle., IX., 1 et 2.) , Tétanie de Corvisart. Trois
observations
. Après quoi aliénation' mentale; puis dispariti
stématisation, la cristallisation' d'idées délirantes fixes. Quatre
observations
raisonnées. P. K.. XIII. Des psychoses consécut
E Frankl-Hochwart. {Jahrbuech. f. Psych. IX, 1 et 2.) Trente et une
observations
empruntées à la clinique psychiatri- que de Vie
lg. Zeitschr. f. Psychiat. XLVII, 1.) En somme, plus de trente-cinq
observations
. L'influenza pro- 1 Comparez dans les Archives
; l'écorce subit une dénutrition, de là la mélancolie. Voici deux
observations
: qui révèlent l'existence de processus vaso-pa
nd l'analyse comparative des deux espèces de tracés. P. K. XXIII.
Observations
sur LE suicide; par J. THOMsoN. Archiv. f. Psyc
as d'aliénation mentale dans la névrite multilocu- laire. C'est une
observation
à l'appui de la thèse de Iiorsahow=.. M. ScumTZ
fut que très lente et, presque toujours, il 3·eut des rechutes. Ces
observations
ont été consignées dans le travail de ! lIispelha
externe à verroux. Les vides de la porte intérieure permettent l'
observation
continue; la porte extérieure assure l'isolement
. M. ZACFIER. - Deux cas de paralysie générale aiguë. La première
observation
concerne un malade qui, après un stade de mélanco
t avec un homme; cinq ans plus tard, l'occasion la ramenait à son
observation
, elle était mariée; elle avait avorté, la syphili
t l'abus de la cocaïne. 11 n'est en effet nullement question dans l'
observation
d'hypéridrose intense, d'émaciation extraordina
tueux. Il ne s'agit pas davantage d'épilepsie cocaïnique. Les trois
observations
que nous possédons de cette névrose montrent qu
, mes très chers confrères, vous avez mille fois raison, toutes ces
observations
sont très fondées; aussi de cette division des
e dans quelques cas pathologiques, ainsi qu'il appert d'excellentes
observations
rap- portées par MM. Charcot et Magnan. Alors,
, la plus importante de l'ouvrage de M. Binet, l'auteur a réuni les
observations
déjà nombreuses qu'ont fait les naturalistes su
E. (Th., Paris, 1891.) Très courte monographie appuyée sur quatorze
observations
, et d'après laquelle l'auteur conclut que lesvi
est-ce que l'hystérie nerveuse périphérique, surtout à propos d'une
observation
de M. Déjerine, ayant trait à une paralysie par
première vue, n'était qu'un honnête alcoolique à renvoyer après une
observation
sommaire est, en réalité, un homme dangereux, d
mais encore chez les individus de haute stature. » Dans quelques
observations
, comme celles que nous allons rapporter, l'asso
pour, à notre tour, aborder ces questions avec les documents que l'
observation
personnelle nous a donnés sur le début, excepti
ngénitalité du gigantisme et de l'acromégalie. Ce sera toujours une
observation
de plus sur le gigantisme, et les documents pos
ries pas- sent. Seuls les faits bien observés demeurent éternels.
Observation
(PI. 1 et II). José Lopes, âgé de bientôt 21 an
vraie, en revanche, la seconde sem- ble être encore à démontrer. L'
observation
du géant José Lopes lui est oppo- sée. José L
elle Iconographie de la Salpêtrière (no 1, janvier- février 1906) l'
observation
d'un infantile de noire service alors âgé de 37
hez tous les géants, est mystérieuse. Il existe un certain nombre d'
observations
dans lesquelles on a relevé la grande taille, p
hez José Lopes ; en définitive, elle reste assez mystérieuse. Cette
observation
confirme l'existence de rapports très étroits que
autre glande s'en mêle. D'autre part, Babinski, s'appuyant sur l'
observation
d'une jeune fille, communiquée à la Société de
du corps pituitaire. « Il est vrai, dit-il, en se rapportant à son
observation
, que l'examen du corps thyroïde n'ayant pu être
sience de l'acromé- galie avec le myxoedème, signalée dans quelques
observations
; par l'ex- trême fréquence (sinon constance) de
nous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les faits relevés dans l'
observation
du géant portugais, me semble que nous pouvons
tion à la pathogénie de ce syndrome. Nous commencerons par donner l'
observation
de nos cas pour discuter ensuite la valeur des
és et les conclusions gé- né)'a)es qui nous semblent en découler.
Observation
I (PI. V et VI). Dans le premier cas il s'agit
l'os, il ne nous a pas été possible de trouver des clasmatocytes.
Observation
II (PI. VII et VIII). Nous avons connu une deux
fait le même diagnostic. . Nous ne possédons malheureusement pas l'
observation
de cette femme, la malade étant dans un autre s
vation de cette femme, la malade étant dans un autre service et son
observation
n'ayant pas été prise. Mais on sait que son poi
des canaux de Hawers et l'amincissement de la substance compacte.
Observation
III (PI. VII et VIII). Enfin nous avons eu l'oc
la plus probable. C'est ainsi que deux d'entre nous ont publié les
observations
de deux cas d'ostéomalacie sénile et dans les d
le métabolisme phosphore altéré dans le syndrome de Basedow. Dans l'
observation
de Ilfimi; (5),à la nérropsie d'une femme basedow
e. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 47 Moebius (6) cite l'
observation
clinique d'une femme de 48 ans ayant eu 4 gross
sissements osseux. Tolot et Sarvouat (11) ont publié l'intéressante
observation
d'une femme de B2 ans présentant une tuméfactio
thyroïde en hypersécrétion. Von Jaksch et Rothy (12) ont rapporté l'
observation
d'une jeune fille de 20 ans atteinte du syndrom
istait des phénomènes de tétanie et que la malade de notre première
observation
présentait une tétanie, latente il est vrai, ma
ans les recherches de ce genre on voudra bien tenir compte de celle
observation
et on devra étu- dier histologiquement (et même
cette forme particulière de subluxation spontanée du poi- gnet, les
observations
sur cette maladie se multiplièrent si bien que pa
doit aujourd'hui joindre les cas publiés en 1908 c'est-ir- dire les
observations
rapportées el décrites par Frauke (1908), Gangèle
nfin d'après les résultats de l'examen radiographique des dernières
observations
, on peut aflirmer que les faits que l'on rencon
ELUNG 73 parition de la maladie est très variable dans les diverses
observations
; d'habitude la difformité se manifeste évident
i désire être plus amplement informé. Jacoulet de même relaie une
observation
de la maladie de Dupuytren- Madelung, comme il
r plus tard sur Pédologie et sur la pathogénie de celte affection
Observation
(PI. IX). M. A..., âgé de 28 ans, agriculteur-d
st congénitale (et à ce propos je rappellerai qu'il existe d'autres
observations
également) (plus haut). b) Par sou mécanisme pa
haque main et à chaque pied ; Johnson (4.) rapporte égale- ment une
observation
de dix doigts à chaque main et à chaque pied ;
se continuer jusqu'à la 6° génération (2) : Wliilcher rapporte une
observation
dans laquelle l'hexadactylie bilaté- rale des m
sungen etc. Jahrh. von Schmidt, t. CXII, 1861, p. 159. (9) Luc,s,
Observation
curieuse de tendance héréditaire à la production
.Arch. di psichiatria, vol. XXII, 19U1,p. 603. (3) DEVAY, Nouvelles
observations
sur les dangers des mariages entre consanguins
'elip. etc. The Lancet, 1899, t. II, p. 739. (3) Darier, Quelques
observations
de rétinile pigmentaire avec anomalies intére-
de est aujourd'hui en convalescence. « Comme le montrent ces deux
observations
, où la réunion de lésions somati- ques et de mo
s qu'elle avait oublié, après quelques instants, les visites et les
observations
qu'on lui avait faites. Les malades ne savent p
, l'évolution et l'absence de signes de polynévrite. La plupart des
observations
de presbyophrénie sont muettes sur l'état des n
(1901 ) (4 ), Leri (5), Mijake (6), Alzlieimer (7) ont rapporté des
observations
anatomi- ~ques analogues. Pour certains d'entre
s signes de polynévrite, comme il arrive souvent dans les premières
observations
allemandes de Presbyophrénie, et par conséquent
le, d'après les quelques cas dont nous allons résumer l'histoire.
OBSERVATION
I. Mythomanie constitutionnelle. - Démence séni
les plus romanesques montrent la fertilité de son ima- gination.
Observation
II. Mythomanie constitutionnelle. - Démence sén
décrire le costume du docteur qu'elle vient, dit-elle, de (U Cette
observation
et la suivante ont été recueillies par l'un de no
c'est bien ici la Rue Pinel ? A deux pas d'ici, la Rue Panel ? » ..
Observation
III. Démence sénile. - Syndrome presbyopliréniq
rices, et a eu la jambe cassée. Pas de signes de polynévrite. (1)
Observation
recueillie dans le service du 1)' Ségalas, 10G
férieurs. Signes d'éthylisme : cauchemars, pituites, tremblement.
Observation
V. Syndrome presbyophréniqzce (1 ). - Fabulatio
uleurs à la malaxation des mollets. Signes d'éthylisme chronique.
Observation
VI. Démence. - Elhylisme chronique sans polynév
écifiques connus, t enfants, pas de fausse couche. Cet ensemble d'
observations
met tout d'abord en lumière l'intérêt cli- niqu
drome observé est commun à un plus grand nombre d'affections. Ces
observations
nous permettent, en outre, d'étudier les rapports
rique hallucinatoire de la psychose de Korsakoff fait suite, dans l'
observation
V, une période de fabulation où le rêve se tran
ors la fabulation mérite le nom d'ecmnésique, La vieille femme de l'
observation
III, rajeunie d'une trentaine d'années, se consac
ue peut être relevé, en fait, dans certains cas, où, comme dans nos
observations
1 et II, l'activité fabulante du sujet se relie à
at my- thopathique antérieur constitutionnel. De l'analyse de nos
observations
, un dernier fait clinique se dégage : c'est la
ONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE EST UNE ENTITÉ MORBIDE SPÉCIALE ) (D'après 16
observations
personnelles et 4 autopsies). M. Nicolas ELDARO
coulée depuis la publication du premier article de M. P. Marie, les
observations
cliniques ont été nombreuses, mais les au- tops
rapide de nos seize cas que nous avons observés personnellement.
Observation
I (PI. XVI) Jean R..., 30 ans, ouvrier verrier,
rieurs. Le système nerveux est normal. Les viscères sont intacts.
Observation
II. A. D..., 41 ans, cordonnier. Admis dans le
n de la hanche la tête du fémur est déformée, elle est aplatie. »
Observation
III. A. N..., 27 ans, infirmier, se plaignait d
; la perception est con- servée ; le système nerveux est normal.
Observation
IV. Jean 1'cII..., 32 ans, commerçant, se plain
nts. Les systèmes musculaire et nerveux sont dans un état normal.
Observation
V. Al. L..., 27 ans, rémouleur : se présenta le
nt une sensibilité dou- loureuse ; le système nerveux est normal.
Observation
VI. Pr. F..., 28 ans, ouvrier. Se présenta dans
ions, le système mus- culaire et le système nerveux sont intacts.
Observation
VII. V. P..., 31 ans, garçon de restaurant; adm
Le système nerveux est normal. Crépitation aux sommets des poumons.
Observation
IX. A. K... ? 5 aiis,elioriste. Admis dans le s
loureuses. Le système nerveux ne présente aucun trouble objectif.
Observation
X. Jean K..., 37 ans, colporteur, entre à l'hôp
dylitis ankylopoetica). Arthritis sicca artic. humeri sinistri ».
Observation
XI. N. P... ,, 43 ans, paysanne. Admise à l'hôp
ca. » Nombreuses nodosités de la grosseur d'un pois dans la rate.
Observation
XII. K. M..., 27 ans, laboureur, admis dans le
du côté gauche. Le système nerveux est normal. 1. 132 ELDAROFF
Observation
XIII. N.Pr...,49 ans,portefaix dans une maison
tis chrun. adllaesiva cum corpusculis oryzoideis multipllcibus. »
Observation
XIV. Pr. M..., 27 ans, marchand ambulant, admis
les articulations affectées. Le système nerveux est normal. 1.
Observation
XVI. A. S..., 19ans,élëvedecollège,admisdaus la
un affaiblissement de rigidité des muscles dorsaux. Sur les seize
observations
que nous venons de décrire, il s'agit 14 fois d
eaucoup la forme précédente. En se basant sur les données de ces 14
observations
(qui toutes sont des observations personnelles)
basant sur les données de ces 14 observations (qui toutes sont des
observations
personnelles), sur les résultats des quatre autop
la lordose lombaire physiologique est aplatie. 13° Dans toutes les
observations
, la cage thoracique est enfoncée d'avant en arr
e, inférieure, qui est rejetée en avant. 15° Il y a dans toutes nos
observations
une affection plus ou moins marquée des articul
ue de lléchir » : \ 17° Toutes les autres articulations dans les 14
observations
(sauf les articulations des hanches et des épau
er épaissis- sement des extrémités internes des clavicules ; dans l'
observation
IX, les condyles des extrémités inférieures son
n IX, les condyles des extrémités inférieures sont épaissis, dans l'
observation
-XII[, il existe une saillie du corps des vertè
sur la surface antérieure de ces dernières. Dans toutes les autres
observations
, l'examen clinique n'a permis de déceler aucune
n'ont aucun rapport avec le squelette osseux. 22° Dans une des 14
observations
(obs. XI) il y a un tabes, qui a été diagnostiq
emblable a été décrit par le Dr Babinski). Dans toutes les autres
observations
, le système nerveux, au point de vue clinique e
éflexes tendineux. 23° Troubles trophiques. Dans presque toutes nos
observations
, les troubles du côté des muscles sont manifest
adie de la moelle. Depuis les travaux de Charcot, on a rapporté des
observations
d'arthropathie et de fractures spontanées surve
ès bien dans la radiographie de ce malade (voir pi. XX et XXI). ,
Observation
. (PI. XIX) S. Koz., marié, pas d'enfants, emplo
'y trouvera point les caractères décrits et mis en évidence par les
observations
de Ilahn, Kohler, Iiienhüclc, Ilalm, Deycke, et
y a plusieurs questions à résoudre, croyons-nous, à propos de cette
observation
. D'abord l'arthropathie et la fracture spontanée
06. MALADIE DE DlcRCUM CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE 145 La seule
observation
dans laquelle on relève des lésions isolées de l'
ement.Le corps thyroïde était normal. Bien plus communes sont les
observations
dans lesquelles on note une lésion de la glande
njonctifs (processus d'hypertrophie simple). D'autre part, dans les
observations
de G. Price(6) on trouve les lésions suivantes
, et consistait en une hypertrophie. On a noté enfin dans plusieurs
observations
des lésions des nerfs périphériques et sympathiqu
ite alcoolique chez un sujet atteint de maladie de Dercum. Dans l'
observation
suivante, concernant une imbécile épileptique,
qui a porté sur les principaux organes eL sur le système nerveux. L'
observation
clinique de celle malade a été publiée ici même p
ur empêcher la production d'une hémianopsie nette. Je dispose d'une
observation
analogue, plus compliquée cependant, car les de
car les deux lobes occipitaux furent envahis par des néoplasmes.
Observation
XIII (PI. XXII). F. V., 54 ans, paveur, italien
viter la production d'hémianopsie ; il est expressément noté dans l'
observation
que F. reconnaissait les objets dans toutes les
nce blanche (Rémond et Chevalier- Lavaur, Encéphale, 1910). Notre
observation
se prêterait particulièrement bien à pareille hyp
sse, en avril 1910, il Genève, j'ai pu, en choisissant parmi les 14
observations
publiées dans l'Iconogra- phie, fournir des exe
malade de DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 1 si 1 notre
observation
X qui se rend en clinique hémiplégique et à peu p
plégique et ses crises épileptiques n'ont pas disparu. Dans notre
observation
XIV, une ponction avec extraction de tissu eût
vaste gangrène de la fesse hémiplégiée où elles furent pratiquées.
Observation
. B ... Charles, chiffonnier, âgé de 29 ans, ent
e bichlorure et le biiodure. Pour le sublimé, nous rappellerons l'
observation
de Raconicéanu (2) où la gangrène nécessita l'a
des curiosités, des trouvailles d'autopsie. En voici le résumé :
Observation
I (PI. XXVI). Cor..., 64 ans, journalier, entre
uses petites lacunes dans les noyaux centraux des deux hémisphères.
Observation
Il (PI. XXVII et XXVIII). Demau ? 68 ans, jardi
raux. Pas d'athérome des gros vaisseaux de la base. Dans ces deux
observations
l'hémorragie est remarquable par le nom- bre de
d'hyper- tension intra-crànienne. Voici, plus en détail, les deux
observations
. Observation I. Femme admise à la Salpêtrière
on intra-crànienne. Voici, plus en détail, les deux observations.
Observation
I. Femme admise à la Salpêtrière, à l'âge de 29
he sans cependant que l'on puisse parler de distension véritable.
Observation
IL Femme de 23 ans, admise dans le service de M
se termina par la mort au bout de 18 heures. Bielschowsky (1 ). Son
observation
I concerne une tumeur issue du plexus choroïde
ntricules, épaissie et for- tement vascularisée. Spiller (1). Son
observation
1 concerne une hydrocéphalie du ventri- cule la
d'un grand secours dans la recherche du diagnostic exact. Voici l'
observation
du cas : i Observation (PI. XXXI, XXXII). Bon
a recherche du diagnostic exact. Voici l'observation du cas : i
Observation
(PI. XXXI, XXXII). Bon... Joseph, 40 ans, taill
CE PRÉCOCE PAR CHASLIN et SÉGLAS, Médecins de la Salpêtrière.
Observation
1 (Pl. XXXIII). G... Gustave, entré à Bicêtre l
la dénomination de démence précoce (2). Or, les détails de notre
observation
nous montrent nettement réunis chez notre malad
ation avec M. Logre, a pré- senté à la Société de Psychiatrie (1) l'
observation
d'une malade, âgée de 45 ans, certainement déme
aire il la maternité des études et son stage de sage-femme. Cette
observation
vient à l'appui de cette remarque de Kroepelin qu
e cet auteur des cas qu'il a observés rappelle beaucoup nos propres
observations
. Ce sont là des faits cliniques dont il importe
hie corres- pondant à une distribution radiculaire, et que nombre d'
observations
de ces lésions, publiées sous le nom de « noevi
contre,nous citerons l'opinion de M. Etienne (3), qui, d'après ses
observations
personnelles (1) F. Rose, Rapport au Congrès de
nd compte de l'aspect descrip- tif des lésions. Voici d'abord les
observations
sommairement résumées. Observation 1. P... ?
es lésions. Voici d'abord les observations sommairement résumées.
Observation
1. P... ? 48 ans, maçon. Entré à l'asile de Vau
racines cervicales gauches, permet d'expliquer cette topographie.
Observation
IL M..., 19 ans, garçon d'hôtel. Déjà traité à
elques-unes sont très pâles et à peine visibles. De même que dans l'
observation
précédente, on ne constate au niveau des placar
avouerons que nous n'avons pas sur ce cas d'opinion bien arrêtée.
Observation
III. Mans..., couturière, âgée de 68 ans, entré
. 1 A PROPOS DE LA SYSTÉMATISATION DES NOEVI 235 certain nombre d'
observations
. MM. Klippel et Trenaunay (1) ont en 1900 compl
DYLOSE RHIZOMÉLIQUE EST UNE ENTITÉ MORBIDE SPÉCIALE (I) {D'après 16
observations
personnelles et li autopsies) (Suite el fin).
11 té- rations macro et microscopiques du squelette dans nos quatre
observations
nous allons nous borner, dans l'exposé de l'ana
es articulations Nous avons donné plus haut la description des deux
observations
d'ankjlose chronique rhuma- tismale que nous av
DrPo- poff)dépend des spasmeshystériques des muscles du clos.Dans l'
observation
n" 1, l'incurvation et l'immobilité du rachis d
e subirent aucune modification sous le chloroforme. Dans toutes les
observations
que nous avons décrites, on ne pouvait songer q
ce alors peu à peu sans aucune cause apparente, mais, dans quelques
observations
, ce rapport existe. P. Marie et Léri ont incrim
- fectieuses (blennorrhagie surtout, tuberculose, etc.). Dans nos
observations
personnelles, les causes nocives sont : 1° Les
gonocoque lui-même, mais ses toxines (Marie, Léri). Dans une de nos
observations
(Obs. 10), la maladie commença par les genoux, le
r la profession pendant de longues heu- res. Nous trouvons dans nos
observations
celle d'un malade avec ankylose du rachis, du c
occasionnée par l'ossification des ligaments. d) Dans la première
observation
, décrite par M. P. Marie, une résec- tion des t
s, mais pas dans les articulations de la colonne vertébrale. Dans l'
observation
7, après un mois de traitement à l'hôpital, la
rs au traitement chirurgical vu les résultats de l'opération dans l'
observation
de P. Marie. En terminant mon travail, je prie
ion et toute hypothèse eten nous li- mitant strictement aux faits d'
observation
, nous croyons pouvoir affirmer que : 1° Dans
e la preuve péremptoire de ce phénomène et nous devons attendre des
observations
plus concluantes pour transformer l'hypothèse en
hèse en certi- tude ». En nous appuyant seulement sur des faits d'
observations
et sans le concours d'aucune hypothèse, nous cr
nterne, médaille d'or des Hôpitaux. La malade dont nous apportons l'
observation
présente un hemisyndrome bulbaire caractérisé p
ériphérique et non pas nucléaire de ces nerfs (l'I. XLV et XLVI).
Observation
. Mme Louise M..., 72 ans, non mariée, femme de
ur oculaire externe du facial et une hémiatrophie de la langue. Des
observations
analogues ont été publiées par Raymond, Schlesing
essive et presque toujours bilatérale. Il existe cependant quelques
observations
, d'ailleurs sans autopsie de polio- encéphalite
89H. 310 poix A l'appui de cette description, Minor apporte trois
observations
com- portant toutes trois les paralysies des 6e
en particulier de l'angle ponto-cérébelleux. On apubliédenombreuses
observations
de ce genre de tumeur,on en trouve l'énumératio
t en particulier il en était probablement ainsi dans la remarquable
observation
de M. Souques (1) et dans le cas récent de Ferr
Pott tout à fait haut placé. Il existe dans la littérature quelques
observations
de ce genre, en par- ticulier un cas de Ilvana
mptôme des affections de la région et elle est notée dans plusieurs
observations
où il ne s'agissait certainement pas de lubercu
es, à ceux qui aborderont ces pro- blèmes cliniques : Voici notre
observation
: 314 MOSSÉ Observation. Le malade André L.
s pro- blèmes cliniques : Voici notre observation : 314 MOSSÉ
Observation
. Le malade André L..., âgé de 20 ans, boulanger
s nous sommes servis pour l'examen de notre malade d'une excellente
observation
publiée par M. Magalhaes Lemos sur le gigantisme
i observé dans l'asile d'aliénés de Koulparkow, près de Léopol. -
Observation
. N. N..., âgé de 39 ans, est entré à l'asile au
point de déformation des pieds et des mains. Chauffard a publié une
observation
analogue, mais, dans son cas il s'agissait d'un
thèse fort ingénieuse. Ayant presque constamment rencontré dans ses
observations
la présence de lésions sphénoïdales (inflammatoir
LÉGIE SPASTIQUE SPINALE EN FLEXION PAR G. ÉTIENNE et E. GELMA L'
observation
suivante est un type de paraplégie avec contractu
se des pas plus grands qu'auparavant. Nous allons exposer ici une
observation
d'alaxie tabélique, sans trouble de sensibilité
e présentait t seulement les phénomènes ataxiques précédents. . '
Observation
. G. G..., âgé de 52 ans, cordonnier, entré le 3
pourrions citer d'autres exemples de malades pareils il celui de l'
observation
précédente, même avec des troubles ataxiques plus
é, sont des malades de transition entre le malade décrit dans notre
observation
el ceux par exemple que nous citerons dans la s
cles qui meuvent les pieds et les orteils, J'ai vu dernièrement une
observation
faite par la femme d'un malade atteint d'ataxie
rdre, dus, dit-il, à l'expérimentation électro-physiologique et à l'
observation
clinique, arrivait à cette conclusion que général
En lisant les auteurs anciens, nous trouvons déjà signalée dans les
observations
de malades communiquées par eux la flaccidité de
intéressant de syphilis cérébro-spinale. Le malade était demeuré en
observation
pendant de longues années dans le service de la
e et l'examen anatomo-histo ! ogique seront réduits au minimum. L'
observation
du malade remplit à elle seule plusieurs cahiers
tique. Depuis l'année 1894, jusqu'en 1897, le malade pré- senta à l'
observation
l'abolition de la réflectivité pupillaire, des do
s : leur nombre était de 42 en 1904, nous avons relevé 44 nouvelles
observations
: ce qui porte à 86 le nombre de documents sur
M. le D' Mollard, qui a bien voulu nous permettre d'utiliser cette
observation
. UN nouveau cas d'achondroplasie 369 Observat
d'utiliser cette observation. UN nouveau cas d'achondroplasie 369
Observation
. B... Adrienne, âgée de 48 ans, née à llIontali
370 REBATTU tiquée. Nous n'avons d'ailleurs pu retrouver trace des
observations
qui durent être prises à la Charité. La dernièr
ères primordiaux. Rappelons brièvement les principaux traits de l'
observation
, en notant l'absence de certains caractères sec
lasiques. Tels sont les points les plus importants à relever dans l'
observation
et dans l'histoire de notre sujet. Peuvent-ils
juin 1906. RAMKIN, MOCKAY, Lunrt etChtSKE. Achondroplasie. Notes et
observations
. Brit. med. Journ., 5 janvier 1907. Raymond e
p. 31. FACULTÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER A PROPOS D'UNE NOUVELLE
OBSERVATION
, D'ACHONDROPLASIE PEUT-ON, DE LA FORME DES TR
arguments pour ou contre telle ou telle théorie pathogénique dans l'
observation
des symptômes conco- mitants de la dystrophie.
ns d'exposer peut amener quelque résultat. Nous donnerons d'abord l'
observation
qui a a été le point de départ de notre étude ;
art de notre étude ; nous entrerons ensuite dans le vif du sujet.
Observation
(1). B... Charles, âgé aujourd'hui de 64 ans, e
lards de l'hôpital général de Montpellier. Nous avons recueilli son
observation
pendant que l'un de nous suppléait M. le Pro- A
ndant que l'un de nous suppléait M. le Pro- A propos D'UNE nouvelle
observation
d'achondroplasie 381 de même de sa mère. Ni l'u
J. De/mils). Masson & Czt, Editeurs. A PROPOS D'UNE NOUVELLE
OBSERVATION
D'ACHONDROPLASIE 383 384 EUZ1RE ET DELMAS A P
D'ACHONDROPLASIE 383 384 EUZ1RE ET DELMAS A PROPOS D'UNE NOUVELLE
OBSERVATION
D'ACHONDROPLASIE 388 nérés. Nous verrons plus l
Zalplalcha), mais celte opinion n'est jamais exprimée que pour une
observation
particulière. Quand on se place à un point de v
e de la malformation physique et des parti- A PROPOS D'UNE NOUVELLE
OBSERVATION
D'ACHONDROPLASIE 387 cularités psychiques,il n'
nce d'accès de manie incontestables chez certains des sujets de ses
observations
, ensuite sur les ressemblances existant entre l
singulièrement affaibli par ce fait qu'il ne s'appuie que sur deux
observations
: une qui est personnelle à Lauze, l'autre qui
est personnelle à Lauze, l'autre qui est empruntée à Parrhon. Deux
observations
c'est peu, étant donné le nombre relativement c
e, 13 août 1910, n° 65, annexe, p. 665-667. A PROPOS D'UNE NOUVELLE
OBSERVATION
D'ACHONDROPLASIE 38) surtout en vue ici les ach
s 150 nains ». Enfin le malade dont nous avons rapporté plus haut l'
observation
avait fort bien mené sa barque, et si sa carriè
de les faire connaître avec les réflexions qu'ils nous suggèrent.
Observation
I (PI. LXI, LXII). S. C..., 28 ans, d'après les
assez bien des chemises à la mode du pays. Le sommeil est bon.
Observation
II (PI. LXIII, LIX). A. Sp..., reçu à l'hospice
quées ici. EXPLICATION DES FIGURES Pl. LXI. Malade de la première
observation
vue de face et de profil. On observe très nette
n'a pas de rapports avec le squelette osseux. Malade de la seconde
observation
. Remarquer le doigt surnuméraire de la main dro
présenté par une seule phalange. PI. LXIV. - Malade de la seconde
observation
dans les attitudes cataleptiques im- primées.
e jeune âge du malade donnent, croyons-nous, quelqu'intérêt à notre
observation
. Albert R..., est actuellement âgé de douze ans
vait pas accordé une part spéciale. De même, Pierre-Marie, dans une
observation
que nous rappelons plus loin avait écrit qu'un
t y faire. Mais nous estimons qu'il est possible par la lecture des
observations
de prouver l'existence de l'infan-. tilisme de
inique. Cette élude ne'peut se faire que par l'analyse critique des
observations
: nous ne pouvons prétendre à les relater toute
nt attirée sur ce syndrome d'infantilisme. D'autre part, dans les
observations
citées, il en est qui ne méritent pas d'y être
e façon par trop brève pour pou- voir être utilisées. Le nombre des
observations
retrouvées est actuelle- ment de vingt. On les
n que cette affection soit parfois retrouvée chez les pa- rents : 7
observations
). Ce ne sont pas des prématurés, ils n'ont pas eu
'est même une des condi- tions essentielles qu'on peut demander à l'
observation
. Les hommes ont en général fait leur service mi
peut le constater, comme nous l'avons fait dans une de nos propres
observations
(obs. XVIII). Ils se sont montrés, à cette péri
n avait une « voix de commandement » ; on trouvera souvent dans les
observations
cette mention : était un beau mâle, un bel homm
on générale, tantôt sont difficilement déterminables. Dans quelques
observations
, s'est agi d'une lésion testiculaire, provo- qu
ait intéressant de connaître le primum movcns. Enfin, dans quelques
observations
plus rares, le syndrome s'établit sans cause ap
du début. La moyenne des 20 cas donnerait 32 ans ; mais à part les
observations
X, XIII et XIV où les phénomènes apparaissent r
es cutanés, enfin de paresse intellectuelle. On rencontre dans deux
observations
la mention de faits singuliers et auxquels on n
st inégalement répartie en deux types. Les uns (et ce sont ceux des
observations
d'Achard et Démanche, de Gan- dy, II) sont bien
ceux-ci sont hors de doute. Que résulte-t-il de l'ana- lyse des 20
observations
? On voit noté,d'une façon très générale,que le
s. Voyons avec quelle fréquence. De la pâleur de la peau toutes les
observations
s'occupeut, sans exception : cette teinte blafa
e : pas de bouffissure ou pas de myxoedème. Dans les neuf dernières
observations
(IX à XVIII), peau n'est pas infil- trée ; dans
ères observations (IX à XVIII), peau n'est pas infil- trée ; dans l'
observation
de Djemil-Pacha, elle ne l'était pas au début et
n myxoedémateuse sont loin de se rencon- trer clans la majorité des
observations
, par contre la sécheresse et l'état squameux se
d'une alopécie avec atrichie comme l'un de nous a pu en relater des
observations
après la fièvre typhoïde. E. Organes génitaux e
olume, tantôt une atrophie vraiment surprenante; tel le malade de l'
observation
II, qui, après avoir possédé une verge nor- mal
n consoleraient par des récils imaginaires. Dans les deux liers des
observations
, on noie une disparition complète des érections
signes fonctionnels sont moins bien et plus rarement signalés. Si l'
observation
principale de Gandy en signale plusieurs, on ne l
Gandy en signale plusieurs, on ne les retrouve bien nets que dans l'
observation
de Djemil- Pacha (et encore tardifs) dans celle
nsi dire jamais, mais ils sont si frustes dans les trois quarts des
observations
qu'ils passent de toute évidence au second plan e
constances étiologiques relevées. Mais si, dans un certain nombre d'
observations
, il y a une cause précise (orchite syphilitique
r quelque peu la littérature médicale et de compulser les anciennes
observations
pour trou- ver un certain nombre d'exemples trè
écrétion interne, il est possible au contraire, dans la plupart des
observations
de déterminer la glande dont le trouble est le
e, et leur carac- tère peu accusé et même discutable dans plusieurs
observations
. Dans certains cas enfin, la thyroïde et le tes
t être riche, les documents n'ont qu'exceptionnellement la valeur d'
observations
médicales ; ce qui ne permet pas de serrer le pro
it y rester attaché, et actuellement établi d'après une vingtaine d'
observations
complètes. Au point de vue clinique, cet infant
n'a donné que des résultats discutables et purement temporaires.
OBSERVATIONS
Nous avons relaté les observations d'après leur
les et purement temporaires. OBSERVATIONS Nous avons relaté les
observations
d'après leur ordre chronologique; nous avons cr
é par telle ou telle glande et suivre mieux notre argumentation :
Observation
1 (L.ARREY). Larrey cite ces faits intéressants
les progrès de cette affection et ce militaire a été ré- formé. »
Observation
Il (Coffin et LEREBOULLET, résumée).- Homme de
eins développés. Formes arrondies du corps. Faiblesse musculaire.
Observation
III (Rumpell, résumée). Homme de 36 ans. Typhoï
normal. Anémie profonde. Echec de l'opothérapie thyroïdienne.,
Observation
IV GOU1LLOUD, résumée). Femme de 37 ans, mère d
n douteuse par l'opothérapie thyroïdienne. 432 CORDIER ET REBATTU
Observation
V (DALCHË, résumée). Homme de 36 ans. Syphilis
n'a amé- lioré que le myxoedème et n'a pas modifié l'impuissance.
Observation
VI (Pierre Marie, résumée). Homme de 63 ans. Co
ticules ou à un léger degré d'insuffisance de la glande thyroïde.
Observation
VII (DjEMtL-PACHA, résumée). Homme, 18 ans. Pas
e. Mort. Pas d'autopsie. l'infantilisme RÉGRESSIF OU tardif 433
Observation
VIII (Sainton et DUPRÉ, résumée). Homme, 45 ans
aux. Pas de troubles du squelette. Urémie gastro-intestinale. .
Observation
IX (GANDY, 1, résumée). Homme de 33 ans ; entré
res. Lésions de lepto-méningite basilaire avec oedème cérébral. -
Observation
X (GANDY, II, résumée). Homme de 46 ans ; 4 ans
phoscoliose cervico-dorsale. Urines normales ; pas de traitement.
Observation
XI (GALLIARD, résumée). Homme, 57 ans, employé.
e, ni polyurie. Légère amélioration par le traitement thyroïdien.
Observation
XII (Achard et Démanche, résumée). Homme, 68 an
La voix est grêle et aigre ; mais elle aurait toujours eu ce timbre
Observation
XIII (Batssnun et BAUER, résumée). Femme, 29 an
ande sèche. L'utérus a les dimensions de celui d'une jeune fille.
Observation
XIV (CLAUDE et GOUGEROT, résumée). Homme de 49
re, mais il en persiste encore. Scoliose surrénale et hypophysaire.
Observation
XV GOUGEROT et Gy, résumée). Homme, 52 ans, fiè
rculose du sommet gauche. Echec complet du traitement thyroïdien.
Observation
XVI (GALLAVARBIN et Rebattu) (Pl. LXVI). (avec
les fautes grossières d'impression sont nombreuses dans la première
observation
publiée (présentation du 22 novembre 1910). Nou
obre et décembre 1911, c'est-à-dire dix-sept mois après sa première
observation
. A l'entrée (octobre 1911) : Homme de 34 ans, q
écédente séance, j'ai revu trait pour trait plusieurs sujets dont l'
observation
est restée dans ma mémoire et dans mes notes. V
pas de glycosurie. Mais ce qui faisait le principal intérêt, de l'
observation
, c'était l'association de signes hypophysaires.
fance une impression particulière d'organisme plus ou moins avorté.
Observation
XIX (GANDY, III, résumée). Homme de 42 ans; 3 a
l'acuité visuelle : ni polydypsie, ni polyurie, urines normales.
Observation
XX (Cordier, inédite). Homme de 29 ans; ses par
NCE PLURIGLANDULAIRE INTERNE TI1YR0-TESTICUL0- SURRÉNALE NOUVELLE
OBSERVATION
CLINIQUE ET ANATOMIQUE. Par MM, Ii. GOUGEROT
e d'hypoépinéphrie aiguë, acro- mégalie par dyshypophysie, etc. Des
observations
nouvelles nous sem- blent prouver que plusieurs
la Société de 450 GOUGEROT ET GY Biologie en 1907, à propos d'une
observation
où ce syndrome était de toute évidence : insuff
moi- res Claude et Gougerot en citaient des exemples pris parmi les
observations
anciennes. Ils signalaient encore l'existence d
inique -.la, mémoire) : Confirmation analomique des faits cliniques :
observations
anatomique et Itis/uloyi'lue 2' mémoire), Journ
crânienne (4). Sous des titres plus ou moins explicites, plusieurs
observations
d'insuf- fisance pluriglandulaire sont publiées
pluriglandulaire sont publiées par Sainton et Rathery z), etc. Les
observations
deviennent si nombreuses qu'on ne peut les citer
on ne peut les citer tou- tes. L'un de nous résumait récemment deux
observations
nouvelles (6) : la première donne la preuve d'u
res internes » ; elle permet surtout de classer exactement nombre d'
observations
qui ne pouvaient, sans les forcer, entrer dans
ne pouvaient, sans les forcer, entrer dans les cadres anciens. L'
observation
que nous résumons ici est un nouvel exemple d'ins
nces cliniques sont si frappantes qu'on pourrait confondre les deux
observations
(1) et que le diagnostic fut posé dès que nous vî
des phénomènes à la suite d'une affection aiguè .. Cette nouvelle
observation
pourrait servir à justifier toutes les critiques
surrénale, dont ils ont donné la preuve anatomo-clinique. Nouvelle
OBSERVATION
ANATI,fO clinique d'insuffisance PLURIGLANDULA1RE
i révéla encore des lésions de l'hypophyse, du pancréas, du rein. L'
observation
est démonstrative, car l'observation clinique a
physe, du pancréas, du rein. L'observation est démonstrative, car l'
observation
clinique a été suivie de longs mois et l'autopsie
l'étiologie de ce syndrome semblent les mêmes que dans la première
observation
de Claude et Gougerot. Cette observation soulèv
mêmes que dans la première observation de Claude et Gougerot. Cette
observation
soulève les mêmes questions et comporte les mêm
te fragile par une prédisposition héré- ditaire ou acquise. Cette
observation
est une confirmation complète de l'étude que Clau
ement, la micromélie humérale congénitale paraît avoir échappé ci l'
observation
médicale. Les faits de ce genre ne semblent pou
0 H. S. STANNUS ET S. A. K. WILSON Depuis l'époque où nos premières
observations
(H. S. Stanuus) ont été faites,un cas du môme g
éclaircissement est peut-être apporté au sujet par une intéressante
observation
de Regnault. Cet auteur a décrit un sque- lette
en matière d'accidents du travail, nous engage à publier les trois
observations
suivantes. Limites du sujet. Il ne s'agit pas d
observations suivantes. Limites du sujet. Il ne s'agit pas dans nos
observations
de lésions osseuses consécutives à des traumati
ns l'évaluation de l'incapacité professionnelle. Faits cliniques.
Observation
I (publiée dans la thèse de Sans) (PI. LXXIII).
s plus tôt, il nous a paru inutile de le reproduire. '0 RÉSUMÉ DE L'
OBSERVATION
I. Traumatisme initial ayant occasionné une fra
cident, ne se sont pas modifiées dans les six mois qui ont suivi.
Observation
II (PI. LXXIV). Un homme de 54 ans fait en avri
r les os du carpe, sur le métacarpe et les phalanges. Résumé DE L'
OBSERVATION
II. Fracture de l'extrémité inférieure du radiu
phies abarticulaires et les atrophies osseuses posl-traumatiques.
Observation
III (PI. LXXV). Le 30 mai 1910, le nommé P... t
nt de quatre mois et un élat de santé excellent.Chez le blessé de l'
observation
11, la radiographie montre quatre ans après l'acc
es atti- tudes, appelé aussi sens articulaire ou sens musculaire.
Observation
I. La première fois que nous nous sommes rendu
ont nous n'avons pas pu prendre indépendamment de notre vo- lonté l'
observation
complète. Si je disais à ce malade de toucher a
ariant à l'infini chez un malade tabétique et très ataxique, dont l'
observation
sera expo- sée maintenant. Observation II.
e et très ataxique, dont l'observation sera expo- sée maintenant.
Observation
II. Il s'agit d'un malade, J... A..., tabétique
uvent s'exécuter isolément. Nous rappelons avoir dit, au cours de l'
observation
du malade, que c'était la seule articulation du m
s troubles de ce côté-là, comme nous le verrons plus loin, dans les
observations
suivantes. Car, il ne suffit pas d'exécuter pen-
emples de pareils malades, nous ne voulons pas laisser incomplète l'
observation
actuelle. Nous désirons ajouter que celui-ci pr
ous voulons exécuter des mouvements volontaires avec nos membres.
Observation
III A. F..., âgé de 46 ans, ancien ouvrier dans
Tous ces symptômes, en les comparant avec le malade de la première
observation
prouvent que les muscles de la partie inférieur
iques des membres supérieurs que présentait le malade de la seconde
observation
, nous voyons alors que de ce côté-là, nous avon
tteindre. Mais nous avons vu, chez le malade dont nous exposerons l'
observation
plus loin, et qui présentait le même trou- ble
s du tronc et des membres inférieurs. Avant de passer à une autre
observation
, qui nous servira à compléter la symptomatologi
néces- saire pour pouvoir se relever, même avec les yeux fermés.
Observation
IV. J... D..., âgé de 55 ans, cireur de bottine
, né en Perse, est entré à l'hôpital 1 'erleudi le 22 octobre 1910.
Observation
prise le 7 juin 1911. Dans sa jeunesse, il a eu
e phénomène ressemble à un autre que nous avons vu dans la première
observation
, lorsque le malade ne touchait pas son nez et s'a
mbes dans l'espace et ne sait plus les conduire. Pour compléter l'
observation
, ajoutons que le malade a les pieds tombants et
N : 'OE, 472. Achondroplasie (5 pl. par Rebattu, 368. - {Nouvelle
observation
d' -. Peul on de la forme des troubles psychiqu
us avons posés, mais nous regrettons de ne pouvoir l'accep- ter ; l'
observation
d'un grand nombre de faits très réguliers et fa
a- phique. Nous n'avons pas l'intention d'analyser ici toutes ces
observations
, nous voulons seulement les rappeler. On connaî
s observations, nous voulons seulement les rappeler. On connaît l'
observation
étonnante de sécrétion laiteuse, rapportée par
rritable » signalés par plusieurs auteurs. Mais sans rechercher des
observations
aussi rares, on constate bien souvent des troub
shystériques sont récentes, mais le fait, dans sa généralité, est d'
observation
ancienne. Despine (d'Aix), dans le même passage
à l'hystérique en attaque extatique. Nous ne nions aucunement que l'
observation
de tous ces faits très réels ne puisse fournir
lcoolique 2; depuis, M. Il., Colin et M. L. Laurent3 ont publié des
observations
très précises des mêmes faits. Nous pensons que
ues, comme M. Tabaraud 1 et M. Colin l'ont montré par d'excellentes
observations
, ont des obsessions, des impulsions, des pliobï
ve des paralysies motrices organiques et hystériques, basée sur les
observations
de la Salpètrière, qui pourrait ser- vir à sais
jours. Etude anatomo-patllologique et histolo- gique complète. Cinq
observations
très détaillées. Observation 1. Paralysie des d
ue et histolo- gique complète. Cinq observations très détaillées.
Observation
1. Paralysie des deux pattes postérieures, lésion
nes antérieures et postérieures. Intégrité des nerfs périphériques.
Observation
Il. Attaques épilep- tiformes avec paralysie de
ylindraxes. Dégénérescence très accentuée des nerfs périphériques.-
Observation
III. Paralysie spinale aiguë, vacuolisation des
dans la moelle; dégénérescence très accusée des nerfs sciatiques. -
Observation
V. Mort subite par intoxication suraiguë. .Même
titué par la dégénérescence de la substance nerveuse. Le nombre des
observations
existantes jusqu'ici ne permet pas de prouver que
. Zeitsch. f. Psychiat., XLIX, 1,2.) Étude des commémoratifs et des
observations
de 1436 idiots à des degrés divers et de toutes
peu près, sinon tout à fait aux centres moteurs correspondants ; l'
observation
suivante d'après l'auteur doit être comptée com
ofondément situées ; il a trouvé, au contraire, dans plusieurs cas (
observations
3 et 6) que tandis que les fibres à myéline des
CHER; par G. SEPPILI. (Riv. sp. di fren., fasc. III-IV. 1892.) 1°
Observation
d'un cas de surdi-mutité dans lequel l'autopsie
centrale. 56 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2°
Observation
d'un cas de lésions destructives anciennes du l
d'aucun secours. Mais, l'auteur fait remarquer, et il publie trois
observations
à l'appui de son dire, qu'il n'est pas toujours
. (The Chicago Médical Recorder january, 1893.) L'auteur publie une
observation
où l'on trouve une exophthal- mie très prononcé
at tortueux con- sécutif du système artériel. J.-B. CHARCOT. XXI.
Observation
CLINIQUE ET ANATOMO-PATIJOLOGIQUE D'UN cas DE P
F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.)
Observation
d'un grand intérêt, suivie de l'autopsie détaillé
d'une planche en photogravure : malheu- reusement il manque, dans l'
observation
clinique, quelques détails importants. L'autops
ar Edwin GOOD.1LL. (The Journal of l\1ental Science, avril 1891.)
Observation
très complète, suivie de commentaires intéressant
ancolie dans les ménages inféconds. - 11. A. Voisin, rapporte trois
observations
de mélancolie liée, chez la femme, à l'infécon-
oaires pendant leurs déplacements balnéaires. M. Blanche trouve les
observations
de M. Voisin fort intéressantes. M. B. SOCIÉT
a Bévue médicale et de l'Expérience. Il en profita pour publier les
observations
les plus intéressantes qu'il avait pu recueillir
cooliques (29 juin 1862); Gangrène du cerveau (p. 104, t. I, 1850);
Observation
de calcul volumineux du sein gauche ayant détermi
iques adressées à la phrénologie, 1843; - Lettres sur le suicide (L'
observation
) ; - De la mélancolie avec stupeur : stupidité.
iauve apporta des éclaircissements moraux et imprévus puisés dans l'
observation
étiologique de son pays. Le volume et la forme
le nombre moyen des habitants avait seulement donné 3,1 p. 100. Une
observation
a été faite par le Dr Shuttleworlb sur la néces
intéressants à plusieurs points de vue, m'engagent à publier cette
observation
dans tous ses détails. OBSERVATION. - Syringomy
ue, m'engagent à publier cette observation dans tous ses détails.
OBSERVATION
. - Syringomyélie à forme spasmodique, avec atroph
re à la syringomyélie, quoique aujourd'hui il ait été produit des
observations
de cette maladie avec pièces anatomiques à l'ap-
commençant à peine à être connue en France. A ce point de vue, mon
observation
se rapproche de celles de Schüle (Deutsch. Arch
fournis par la clinique, qui sont plus en- courageants. La célèbre
observation
de mal de Pott donnée par M. le professeur Char
observation de mal de Pott donnée par M. le professeur Charcot, les
observations
chirurgicale de Ilorsley, de Mac-Ewen, prouvent
Syringomyélie, Beitrage z. pathol. Anat. XI, 1892) a rapporté douze
observations
sem- blables ; dans ces cas, dont la durée atte
int rarement trois ans, il n'y a pas d'excavation ; pourtant dans l'
observation
de Hoch- haus, il est dit que par places on pou
uvait constater le début d'une fissuration; il existerait aussi des
observations
où l'on a trouvé du gliome dans un point et une
contenant un nombre très - variable d'éléments cellulaires. Dans l'
observation
que je viens ' de rapporter,' en bien des point
..\ ? ¡'l ? ql/.< ,'\ 1')/ ,1")); 11 ? . r 'l' : Iorq, .r- '0 .1
Observation
d'un malade atteint de folie pellagreuse. et chez
dl .1',1'"1 : : )..h 1¡..nU 1 ? tt, 1 1.UY ! .... '1' ? Magnifique
observation
délinquante et une pages relatives à une grande
tisme ne puisse aboutir à une cure persistante et définitive, cette
observation
n'en montre pas moins que, dans une maladie aus
t.... », ... 1. , , Les commentaires dont 1,' auteur fait suivre l'
observation
détaillée de son malade, pendant le séjour de c
phérique d'origine alcoolique (Service 1/ du.Dr E ? V : nlac'DOWAL,
observation
recueillie parJouN CLARKE ' " FENWiCK).' (The J
\ : U.. J11 ... i. t·. nri' niCi > - rhf ·'4et Il , >i ', ,-
Observation
très, intéressante : les phénomènes douloureux de
ylique'.générale) ? ·2 ? Localisntiorz de l'apraxie " (asymbolié) .
Observation
? Surdité verbale avec cécité psychique, . para
. 1 11,11" ) ! 1 . , uipilmi dCf'(JQ : 9< ♦Formes rudimentaires.
Observation
de Borntroeger; observation de l'auteur. Paraly
dCf'(JQ : 9< ♦Formes rudimentaires. Observation de Borntroeger;
observation
de l'auteur. Paralysie périphérique comprenant
92.) " "" ' . V » i l .V <« , f 1.1 ú l 'f . hl 1J" e a , Deux
observations
présentant comme particularités principales l'a
pique du système nerveux d'un malade faisant le sujet d'unei de ses
observations
amène l'auteur à conclure que la lésion essenti
hJ(1'" 0 . t v t.. t r · t w` `1 'r Mémoire très bien, ordonné avec
observations
personnelles..Dans la fièvre,'y est-il, dit,* l
t"Q"1 ? ..LjJf ? . ir . r i.. w,·t -ni' -1 n ' 1 J jj 'f '1 '11°
Observation
généalogique 'd'une famille'dans laquelle'sè sont
je 9 .1. ' ? t 1" >, 1 . ' W ·5. > '. M 1 , Dans la première
observation
qui appartient au Dr Davy, il s'agit , d'un hom
et réagissI ? 11 : l à)a ? 1¡re ou à l'accommodation. ! La seconde
observation
appartient au Dr Blomfield. Son malade, âgé de
IJ GJtJ ", 1 ¡j. ! Jlll'i <1' ! 11 Les auteurs font suivre leurs
observations
des réflexions résumées que nous donnons ici. I
1 Hr4 fi` r ',t t tAa,, \.1\ ,.) w ? y V dq 1 ,... -... 1 ? t'I .
Observation
caractérisée par : 1° survivance' et'longue durée
dnl remarqua- bles''par l'hérédité dans les deux cas; une- de' ces -
observations
,REVUE¡DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il 43 contient
"i na ,J : 'lb', -'t .1'... : .0 rI l' ° "'1'rôis ôbsertvatio31s. L'
observation
^III est partieuiièrement inté- 'rêssante, car'l
périeure puisque la pau- pière s'élève quand le globe s'élève. Deux
observations
à l'appui. Moebius, a raison quand il attribue
phère gauche (centre visuel cortical). ,f I . ., , , , , Ces deux
observations
paraissent démontrer la localisation du centre
r W.KOENiG.'(ctH'o.CeH<)-a<., 1892.) " , 1 . '1 . .. , Huit
observations
. - Conclusions : 1° Rare est la parésie du facial
accompagne^ de troubles de, la sensibilité, est con- firmée,par nos
observations
. Peut-être faut-il y joindre ce trois sième car
et ? N.'F., 111, 1892.) . . \1 \ t . 1'(1\ ? 1. -'t ? , : I Huit-
observations
courtes. Traitement antisyphilitique sous di- v
à la para- plégiéhÿstériqúl1 ,r]I,ItI`II]j'j' [ 2(1 8 J'l : ¡ : J
Observation
. Femme de quarante-huit ans atteinte de folie s
écente, et aucun de ces cas n'est resté ? 11 assez longtemps sous l'
observation
pour pouvoir juger oùatteindra"' l'amélioration
io fase. .. I, ri83. j , , i 1 ? 4" ,- .' L'auteur rapporte 'quatre
observations
de délire dans l'influenza ; il note que là tem
menl. de l3clgique, 1832.) i ' '... '1 " 1... ? - r ,îj.*î ? - ·
Observation
d'un, idiot, âgé de vingt ans, dont la taille ne
'Il ')(,<Tq '11 f tf". . (I 1 , Étude critique desauteurs. Puis
observations
personnelles témoi- gnant-des difficultés que l
vre, de. même que les malades en' état' de démence secondaire. Deux
observations
avec exemples. llilf;nl ` .y G.1 - - 'tify tl '
1* 1/ 1 j, ; ,{T ? I ij 4 o 11 ? I'fAW ' ¡(1111 Il lep f, '.vtr.y
Observation
I. Délire fixe, le malade se croit Dieu; idées dé
oins; de Dieu le père, ¡il devient Dieu' le fils, tandis que dans l'
observation
'I, de Dieu le,fils,,Ie malade devient Dieu, le
re.. Il,étend,son délirera ses,,frèi-es qui sont évêques et papes ?
Observation
III. Délire, ries grandeurs, formant un pivot a
duquel (Oscillent des idées^, de persécution plus ou moins mobiles.
Observation
IV. Trois espèces de mutations.' Tout est mobile;
e .délire. Les hallucinations varient dans les mêmes proportions. -
Observation
VI. Tous les problèmes de la-physique entrent a
11Ud. ment. de. Belgique, mars 1893.) , ? 1, 4 , ti,n î-i , , ? L'
observation
qui sert de base à ce travail est celle d'une fem
idées d'immortalité et aussi de damnation. -'' l'l, ' " '1 Cette
observation
montre donc que les idées de négation 'systé ?
à cet égard un rôle plus important. ' ' Il ressort encore de cette
observation
, d'après l'auteur, que le délire des négations
ant la première année de la' vie, était ouverte Il dit : « Dans mon
observation
personnelle' des crânes'' de'deux cents idiots,
s études basées sur l'anatomie, l'embryologie, la patho- logie et l'
observation
clinique, m'out convaincu que dans la microcé-
à une fente. Devant ces faits établis, nous concluons, d'après les
observations
des cerveaux de microcéphales, qui dans tant de
e se développe REVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE.' 161 pas. » Ma propre
observation
est que la croissance du crâne dépend de celle
lle gauche. - 3° Des hallucinations unilatérales de plusieurs sens.
Observation
caractérisée par les hallucinations auditives,
s de trional, car ils procurent cinq à six heures de sommeil. Cette
observation
ne concerne toutefois que les cas graves, car g
sion céphalique et impotence des membres. M. BBDDEBERG. Nouvelles
observations
de paralysie générale progres- sive à marche ci
- sive à marche circulaire, ou paralysie générale à double forme.
Observation
L-H... de trente-quatre ans; tare héréditaire; dé
res semaines, durées égales des deux syndromes. Pas de rémission.
Observation
II. Débile de trente-six ans; tare héréditaire ;
il y a eu un syndrome vésanique cyclique. M. Noter, rappelle trois
observations
qui lui sont personnelles, dans lesquelles il y
). (Annales d'Hygiène publique et de médecine légale, 4891.) Deux
observations
intéressantes, l'une de dénonciation de crimes
esquellesM. Seguin fait un exposé sommaire de sa pratique et de ses
observations
personnelles. Très personnelles en effet sont l
t à l'oeuvre. Avec Vulpian, son ami, il entreprit de recueillir les
observations
de toutes les administrées (séniles, chroniques
(séniles, chroniques) et de toutes les entrantes. La réunion de ces
observations
formait les Archives médicales de la Salpêtrièr
s été interne de M. Delasiauve en 1866 et nous avions recueilli les
observations
d'une partie des malades qui venaient de passer
tion et le besoin du merveilleux l'emportent sur une saine et vraie
observation
. M. Charcot le constatait avec peine. Il craign
ables aux névroses et que, là aussi, on peut chercher à compléter l'
observation
clinique en pensant anatomiquement et physiolog
brale, etc. Il donnait le sujet, traçait le plan, fournissait les
observations
et de plus les notes bibliographiques nécessair
des théories ou des systèmes plus ou moins ingénieux, mais sur une
observation
sévère, complète, peinture fidèle de la réalité
expériences ont été continuées, dans ces conditions rigou- reuses d'
observation
pendant non seulement plusieurs se- maines au m
l'influence nocive exercée sur la nutrition. Quelques- unes de nos
observations
ont été arrêtées soit en cours, soit, le plus s
rès les formes mentales. Tout d'abord dans la paralysie générale.
Observation
I. Emile Sem..., trente-six ans, paralysie géné-
ours durant lesquels on a prescrit 135 milligrammes de duboisine.
Observation
II. - Emile Merl..., quarante-deux ans; paralysie
s durant lesquels on a prescrit 39 milligrammes de duboisine. i
Observation
III. - matrice Ellingh..., quarante-cinq ans; par
ongestion cérébrale suivie de mort dans les quarante-huit heures.
Observation
IV. Eugène Roll..., cinquante et un ans; paralysi
vation des doses, comme en témoignent les quatre faits suivants :
Observation
V. - Félix Hasc..., quarante et un ans; paralysie
oisine. Dilatation pu- pillaire comme seule action physiulogique.
Observation
VI. - Charles Col..., trente-quatre ans; paralysi
hysiologique : dilatation des pupilles et sécheresse de la gorge.
Observation
VII. -Arthur Laff..., quarante-cinq ans; paralysi
siologique : dila- tation des pupilles et sécheresse de la gorge.
Observation
VIII. -Marie-Ange Rab.... trente-sept ans; para-
re apaisé la surexcitation dans une mesure plus, ou moins grande.
Observation
IX. Edouard Carb..., trente-huit ans; paralysie
ns aux repas avec les dernières doses et un peu d'amaigrissement.
Observation
X. Alfred Ceml..., quarante-cinq ans; paralysie
sio- logique : dilatation des pupilles et sécheresse de la gorge.
Observation
XI. - Adrien Lor..., trente et un ans; paralysie
'exi- ger davantage. Ce que nous avançons est prouvé par les cinq
observations
suivantes, dont la dernière est curieuse à ce tit
, a complètement guéri à la suite du traitement par la duboisine.
Observation
XII. - Edmond Beg..., trente-six ans, débilité me
cile de prolonger le traitement si la crise n'avait pas pris fin.
Observation
XIII. Louis Mat..., cinquante-six ans; manie chro
ésistance aux piqûres, mais il n'eut jamais d'accidents locaux. ,
Observation
XIV. Félix Mauii..., trente-neuf ans; manie chro-
out ce qu'il endurait déjà, mais il n'eut pas d'accidents locaux.
Observation
XV. - Henri Sau..., cinquante-deux ans; manie c
t à la bouche ; néanmoins, l'amaigrissement n'a pas été sensible.
Observation
XVI. - Joseph Dan..., trente-sept ans; manie avec
heure de calme en plus. Voici ces cinq faits brièvement résumés :
Observation
XVII. Alexis Ger..., cinquante ans, manie aiguë
rant lesquels on a prescrit 48 milligrammes et demi de duboisine.
Observation
XVIII. Samuel Neum..., quarante-sept ans; manie
bîmaient la peau; jamais d'accident local. 224 4 THÉRAPEUTIQUE.
Observation
XIX. Emile Gay..., vingt-deux ans; manie aiguë
rs durant lesquels on a prescrit 23 milligrammes de la substance.
Observation
XX. Jean Gaut..., vingt-cinq ans; débilité men-
ours durant lesquels on a prescrit 27 milligrammes de la substance.
Observation
XXI. François Gaim..., dix-huit ans; manie aiguë
lus de deux mois, or trois d'entre eux étaient franchement aigus.
Observation
XXII. Auguste Cab..., quarante-deux ans; lypé-
gère dilatation des pupilles et un peu de sécheresse de la gorge.
Observation
XXIII. Nicolas Gof..., quarante-six ans; lypé-
ses et une machination de ses ennemis, mais pas d'accident local.
Observation
XXIV. Pierre Toun..., trente-deux ans; lypé- ma
resse du gosier et rarement sieste d'une heure dans l'après-midi.
Observation
XXV. - Désiré Porch..., trente-trois ans; lypéma-
t du malade survenue vingt-huit jours après par suite du choléra.
Observation
XXVI. Victor Lhuil..., cinquante-trois ans; lypé-
s une période d'action efficace, étaient également des cas aigus.
Observation
XXVII. Alfred Rut..., trente-cinq ans; lypémanie
a prescrit 52 milligrammes de duboisine. Dila- tation pupillaire.
Observation
XXVIII. Arthur Gent..., quarante ans; lypémanie
blesse, dimi- nution des forces et nausées aux moments des repas.
Observation
XXIX. - René Trah..., cinquante-trois ans; lypé-
eu de chose près, tout l'opposé de ce que nous a fourni la manie.
Observation
XXX. Henri Loug..., cinquante-quatre ans; lypé-
ire comme seule action physiologique, même avec les hautes doses.
Observation
XXXI. Louis Mah..., trente-huit ans; lypémanie
e : dilatation des pupilles avec brouillard devant les yeux.. : 1
Observation
XXXII. Victor Rau..., vingt-quatre ans; lypéma-
n de faiblesse, vomituritions aux repas et immédiate- ment après.
Observation
XXXIII. - Léon Guid..., vingt-sept ans; lypémanie
tion de faiblesse, nausées sans vomissements au moment des repas.
Observation
XXIV. Honoré Treg..., trente-cinq ans; lypéma-
AQUES D'ORIGINE PALUSTRE Par le D' TRIANTAPIIYLLIDÉS (de Batoum).
Observation
. ' Chalmag..., restaurateur, trente-six ans, né à
oissante. La cause d'insuccès la plus fréquemment signalée dans les
observations
a été l'impossibilité de fixer l'attention des
régime lacté, benzoate de lithine, etc.). Les deux autres sont des
observations
de brightiques amnésiques à dépression mélancoliq
délire en même temps que de l'albuminurie. M. Voisin termine par l'
observation
d'un hépatique répondant assez bien aux cas déc
ladies mentales n'est encore qu'une hypothèse qui demande l'appui d'
observations
et d'expériences. Aussi ne peut-il qu'être utile
eut envisager dans sa communication. Il présente d'abord qua- torze
observations
personnelles et cherche quelles sont les indica-
sie gastro-intestinale. ' t M. Séglas conclut que dans toutes ces
observations
, si la nature des causes occasionnelles, la sym
incomplets ou contradictoires, consignés à ce sujet dans toutes les
observations
publiées jusqu'ici par les auteurs, ne peuvent se
aire et sanguine, mais- aussi digestive (stercorhémie). Il cite une
observation
à l'appui. 250 sociétés savantes. M. Régis ré
et les auto-intoxications. A l'appui de ses idées il présente deux
observations
minutieusement prises, dont l'une est un cas ty
évident. L'auteur émet deux idées, l'une qui généralise sa première
observation
, à savoir que les délires toxiques, quels qu'ils
ent chez les aliénés à complications gastro-intestinales. Laseconde
observation
est rela- tive à un cas d'auto-intoxication, no
sonnels de ce genre. M. Roubinowitch lit au nom de M. A. Voisin une
observation
d'hystérique ayant porté une accusation de viol
l'asile de Lafond. Lecture est d'abord donnée par M. Lagrange d'une
observation
de dégénéré héréditaire accusé de faux et attei
ar cette pratique même qu'il en soit ainsi lorsque le malade est en
observation
à l'asile. Il y aurait peut-être lieu d'émettre
ons et d'impulsions à forme continue. M. Roubinovitch rapporte deux
observations
qui prouvent qu'à côté de la forme paroxystique
n. M. Marie lit en son nom et au nom de M. FRIÈSE (de Mayenne), l'
observation
d'un persécuteur migrateur; inquiet d'abord, puis
Ballet au Congrès de Blois. Les auteurs rapportent ensuite d'autres
observations
de persé- cutés possédés : dans l'une, on assis
tre dès le début de la maladie, ainsi que le prouve une troi- sième
observation
, et parfois aboutissent à un délire des négations
n classement. M. LEGRA1N (de Paris) lit, au nom de M. DEacQ, sept
observations
d'auto-intoxication d'origine gastro-intestinal
nt et non par transmis- sion (présentation du malade). M. M.\YER.
Observation
de néoplasme dans le quatrième ventricule. Séan
.) P. KÉRAVAL. De l'assistance familiale des aliénés, d'après les
observations
faites en expérimentant ce système à Dalldorf,
ne, Médecin de l'hôpital Lariboisière. 11 n'existe encore que peu d'
observations
de cette sorte de tumeur cérébrale où des cellu
gentielles de l'écorce dans la compression cérébrale. Voici cette
observation
, qui, au point de vue clinique, a été d'une rég
on et j'ai insisté sur son rôle dans la production de la démence. L'
observation
qui précède confirme absolument ces vues; c'est
comparant les schémas ci- ' joints, qui appartiennent à ma première
observation
, avec la description des lésions dans le deuxiè
atif n'est pas une tumeur commune, à en juger par le petit nombre d'
observations
qui en ont été données; et encore la plupart d'
Dans cette catégorie de faits il n'existe, à ma connaissance, que l'
observation
ancienne de Wagner (Arch. f. Ileilk., 1131), ce
des coins de fer qui servaient à son père pour fendre le bois. L'
observation
de certaines malades a ainsi une saveur archaïque
t en certains cas seule le délire, et ne faisant défaut dans aucune
observation
de délire chronique. Elle émane évidemment de f
nt M. Neisser insiste sur sa découverte de la paranoïa aiguë. Trois
observations
à l'appui offrant : 1°, le stade initial (délire
U JEUNE AGE; par SCHOENTHAL. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 3.) Dix
observations
concernant l'enfance et la puberté, qui se dé-
réoccuper que des actes neuriques. Dans ce travail, il limitera ses
observations
à l'action inlra-cérébrale chez l'homme, telle
e l'observe qu'exceptionnellement dans d'autres névrites. Voici une
observation
de folie amnésique avec névrite, à la suite de
ques; par C. KNOERR. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat'"XLVIII, 6.) Six
observations
. Conclusion : 1° Chez les buveurs par .habitude
LL (TheJourlial of Mental Science, 1891). Après avoir rapporté deux
observations
intéressantes de mort subite dans la manie, l'a
par P. NOECKE. (Allg. ZC7LSCIL. f. Psychiat., XLIX, 1, 2.) Trois
observations
caractérisées par des accès répétés de stupeur
eitsch. f. Psychiat., XLVIII, 6.) Sur 100 paralytiques généraux, 47
observations
de non syphili- tirrnes l ? '1. 46 malades chez
rganes centraux.' ' 1 ? < -*' ' J1> -^ > z Comparant cette
observation
aux'faits deNelle; Oppèn1Íeim('et Eisenlohr, M
ment la myélite chronique. On a dû cantonner cette dénomination aux
observations
rares aujourd'hui de myélite diffuse à marche c
étendue dans la moelle lombaire et dorsale inférieure. La seconde
observation
concerne l'amputation du bras gauche, Atrophie
égrité du faisceau de Goll dans la moelle cervicale et dorsale. L'
observation
III est identique à l'observation I. M. Marines
la moelle cervicale et dorsale. L'observation III est identique à l'
observation
I. M. Marinesco a fait de nombreuses expérience
ns doute l'ostéomalacie sévit un peu à Berlin, mais dans les autres
observations
de maladie de Basedow, les os ne présentaient r
de M. KcENic ? M. RE- MAK. Peut-être en ce qui concerne la première
observation
s'agis- sait-il d'une complication hystérique s
de la langue et de la face de nature hystérique sont établis par l'
observation
qui a été repro- duite depuis 1862 par Hersel,
Kliz. Vochenschift.)" ` . 1..1 1 11 Ii . " M. KOENtc. Ma première
observation
témoigne non de l'hystérie mais'd'un' de ces. t
parole seraient considérés comme fonctionnels. j Quant aux autres
observations
, l'alcoolique présentait un spasme pur dépourvu
en 1889. Dans sa monographie sur la névrose traumatique, il y a une
observation
d'épilepsie réflexe, dans laquelle les convulsi
uve- ments ordinaires de la physionomie'. " , ' ., 'J . Voici une
observation
frappante tirée de sa policlinique. Il s'agit t
l'hémianesthésie et les troubles sensoriels. 1 - 1 l Passons aux
observations
de M. ICcenig : La parésie est une-para- lysie
KOV et de M. le Dr Ion- NILOV. M. le Dr ICORnILOV rend compte des
observations
qu'il a faites sur une malade affectée d'acromé
SKY. Sur la maladie des tics convulsifs. Le rap- porteur présente l'
observation
d'un malade chez lequel on a pu constater l'inf
pratiquer l'autopsie d'un ma- lade, du service du Dr Garel, dont l'
observation
clinique a été publiée par l'un de nous', alors
errret; il sera intéressant de rappro- cher chemin faisant ces deux
observations
. Nous utiliserons cette occasion pour faire en
la tirer parfaitement au dehors. On conviendra que tout, dans cette
observation
, était en faveur de la sclérose en plaques : tr
c les con- ducteurs émanés du système cérébral. Enfin, dans notre
observation
, comme dans celle de M. Pier- ret, il y avait s
ourd'hui indiscutables : leur lésion a été décrite en détail dans l'
observation
de M. Pierret ; nous ne reproduirons pas cette
en plaques, que nous faisions remarquer en terminant l'exposé de l'
observation
clinique, ne relevaient d'aucune lésion médulla
ter leur interprétation. Cette revue sera basée sur une vingtaine d'
observations
de sclérose actuellement connues. Tout d'abor
r la fréquence de ce signe et à en relever la trace même dans les
observations
qu'on cite habituellement comme des arguments c
es troubles moteurs n'y sont pas suffisamment mis en relief. Quatre
observations
d'atrophie, celles d'Otto 2, de Fischer de Verd
dans le nôtre où elle aurait duré plus de huit ans. Dans les autres
observations
, ces phénomènes douloureux étaient absents ou n
lité proprement dite, nous en avons trouvé mention seulement dans l'
observation
de M. Pierret : « La malade se.plaignait de ne
t de ne pas bien sentir ce qu'elle tenait. » Dans toutes les autres
observations
, l'état de la sensibilité n'était pas mentionné
nous avons rencontré quelques-uns de ces symptômes dans plusieurs
observations
de sclérose cérébelleuse; ils se trouvaient à p
érose cérébelleuse; ils se trouvaient à peu près tous réunis dans l'
observation
que nous publions; et, d'autre part, leur fréqu
, chez celui de Schultze qui en offrait des traces. Dans quelques
observations
, il est dit que ce tremblement avait lieu à l'occ
vaste commissure qui traverse les voies pyramidales. Dans quatre
observations
, nous trouvons des altérations de la motricité
ineux et les raideurs tétaniques, le premier symptôme noté dans les
observations
de Seppili, de Schultze, de Menzel, et la nôtre
surtout de mettre en relief les ressemblances que présentait notre
observation
avec les cas jusqu'ici connus, nous avons dû fo
ier symptôme inconnu jusqu'ici, très nettement mentionné dans notre
observation
, et sur lequel nous désire- rions appeler l'att
ous n'avons pu trouver l'indication bibliographique exacte de cette
observation
de Vulpian. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CE
1 1 motivée par la grande analogie symptomatique qu'offrait notre
observation
avec la sclérose en plaques, en partie par les tr
ce symp- tôme a été rencontré se rapportent à peu près tous à des
observations
de sclérose multiple du cerveau et de la moelle,
ui présentait tous les signes rationnels de la sclérose multiple. L'
observation
n'était pas accompagnée d'autopsie. 1 Leube.
hez notre malade para- lysie des thyro-aryténoïdiens; le reste de l'
observation
offre dans les deux cas de grandes dissemblance
t, de tout examen microscopique"au bulbe, empêche de tirer de cette
observation
tout le profit qu'elle semble permettre. Nous
, p. 267. 374 RECUEIL DE FAITS. comme c'est le cas dans plusieurs
observations
, ces symptômes peuvent se présenter au grand co
pe des héréditaires syndromiques de M. Magnan. A ce point de vue, l'
observation
qui suit nous a paru démonstra- tive. Joseph
s nerveux (p. 31). Nous avons relevé et reproduisons in extenso son
observation
. « On voit, dit M. Paul Moreau (de Tours)', tra
. passe dans un autre service et nous l'avons perdu de vue. Cette
observation
nous montre encore bien clairement le même stig
bourses. Nous ne pouvons mal- heureusement publier in extenso cette
observation
, car la mort du malade au surlendemain de son a
ilation du juge- ment), du mécanisme de la forme dépressive. Quatre
observations
. P. K. XLV. Rapport MÉDICO-LÉGAL motivé SUR l
; par B. SCHLESINGER, (Centralbl. f. Nervenheilk. NF. III, 1892.)
Observation
de manie suraiguë ; évolution foudroyante en qu
ar G. DE MoNAnow. (Arclaiv f. Psychiat., XXIII, 1.) Trois nouvelles
observations
avec autopsies montrent encore que chez l'homme
ALYTIQUES; par r\'TOIiR.ITOW. (Nrl9'Oi. Centralbl., 1892.) Quatre
observations
. Dans tous ces cas excepté un (mort précoce) le
vancée dans les noyaux principaux de l'auditif et du trijumeau. Ces
observations
rapprochées de celles de la bibliographie montren
r F. St-John Bullen. (The Journal of Mental Science, avril 1890.)
Observation
intéressante, très détaillée et recueillie avec b
mblables. Le profes- seur Unna, à qui Mac Dowall a communiqué cette
observation
, a conseillé de rechercher quels résultats donn
offrent des phénomènes bien prononcés. Le rapporteur présente leur
observation
détaillée. Le D'' Tchirwinsky fait remarquer qu
se de cette hystérie est notoire L'impor- tance médicologue à cette
observation
est des plus nettes. Ajou- tons que certains mé
plus mo- deste ; nous nous contenterons de vous apporter quelques
observations
recueillies à la Salpêtrière, dans le service de
mérite d'être relevé, car M. G. Ballet l'a signalé dans toutes ses
observations
. Cette observation comparée à celles de M. Ball
car M. G. Ballet l'a signalé dans toutes ses observations. Cette
observation
comparée à celles de M. Ballet nous montre donc
al, se rapprochent au contraire beaucoup des idées de possession, d'
observation
fréquente autrefois. » Cette remarque peut trou
e cas de notre malade, c'était aussi celui d'un autre aliéné dont l'
observation
a été déjà communiquée par l'un de nous au cong
n plus haut, l'un de nous2 avait signalé ce fait, corroboré par une
observation
pos- térieure de M. J. Voisin 3. En voici un no
t déjà-été présentés aux Congrès de Paris et de Blois '. ni Des
observations
et des brèves considérations que nous venons d'
névropathie qui s'étaient présentés et devaient se présenter à mon
observation
. Mon but dans ce travail sera donc d'exposer le
PNOTISABLES. GUÉRISON DES- ACCIDENTS HYSTÉRIQUES PAR L'HYPNOTISME
Observation
I. Aphonie. Astasie et abasie. Anorexie, spasme
ont la santé pourtant s'est maintenue excellente depuis deux ans.
Observation
II. Hystérie mâle chez un jeune garçon de treize
enté d'anormal depuis cet accident, c'est-à-dire depuis six mois.
Observation
III. Hyperesthésie plantaire. Douleurs téi,ébi,ai
rares intervalles, quelques douleurs fugitives dans les membres.
Observation
IV. Vomissements hystériques datant de six mois.
is- sement ne s'est pas reproduit. DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. 4S3
Observation
V. Grande hystérie avec crises convulsives. Con-
obligé de me borner pour ne pas donner trop d'étendue à ce travail.
Observation
VI. Gastralgie. Vomissements. Asthénie motrice.
rreurs, très préjudiciables au malade qu'on a alarmé inutilement.
Observation
VII. Demoiselle Maq..., vingt-cinq ans. Mère al
fois, je les fis disparaître à chaque fois avec la même facilité'.
Observation
VIII. Aphonie survenue à la suite d'une chute s
éri de son bégaiement, et que la mémoire lui était revenue. Cette
observation
offre un certain intérêt, car ces cas d'amnésie
t, car ces cas d'amnésie hystéro-lraumalique doivent être rares !
Observation
IX. Agoraphobie chez une hystérique durant depu
verra jamais son délire tomber sous l'influence de l'hypnotisme.
Observation
X. Perversion du goût et de l'odorat chez une hys
re qu'à ce mode de traitement est attachée une guérison certaine.
Observation
I. Vomissements hystériques. Guérison par eau c
geant d'un bon appétit et n'avait pas eu un seul vomisse- ment. ,
Observation
II. G..., trente ans, mère très nerveuse, soeur
tit, vaque aux occupations du ménage et a repris de l'embonpoint.
Observation
III. Hystérie. Parésie des jambes. Toux. Hémopt
honie. Guérison par autosuggestion. (Lourdes.) Si je rapporte cette
observation
, ce n'est pas parce que je compte à mon actif c
la puissance de la Vierge, si cette malade je ne puis la guérir'.
Observation
IV. Contracture spasmodique permanente des md-
onnement. Elle était guérie, la santé s'est maintenue depuis. Cette
observation
est intéressante à plusieurs points de vue : 1°
e par la suggestion à les supprimer. Comme on peut en juger par ces
observations
auxquelles je pour- rais en ajouter bien d'autr
ne peut endormir pour des raisons spéciales, préjugés, etc., etc.
Observation
V. Douleurs particulières de nature hystérique re
nham prétendue guérie par l'hypnotisme; mais j'ai sous les yeux)^ l'
observation
et j'y vois qu'il a fallu continuer les séances
n par l'hypnotisme, par la disparition de phénomènes hystériques.
Observation
I. Hët't'e. Neurasthénie. Guérison par hyp- not
iliser le traitement moral, de l'associer aux médicaments donnés.
Observation
II. Hystérie Chorée. Au début de ce chapitre j'
chapitre j'ai dit un mot de cette enfant qui fait l'objet de cette
observation
. J'ai dit que j'avais essayé de la guérir de sa
e de se produire dans un délai variable de un mois à quatre mois.
Observation
III. Myopathie primitive (Type Erb). Hystérie.
ir tout ce qu'il renferme. Je voudrais donner de cette malade une
observation
plus com- plète, mais je ne l'ai vue qu'une foi
tels résultats et de ne pas en tirer d'aussi fausses déductions.
Observation
IV. Mal de Poil. Hystérie. Guérison par hypno-
ues années n'avaient pu améliorer. Avant de clore la série de mes
observations
, je voudrais pourtant dire un mot de certains a
dont je parlerai plus loin, pays qui m'a fourni presque toutes les
observations
que j'ai relatées. Cette jeune fille était très
, mais il est probable que ce traitement réussira. J'arrête ici mes
observations
personnelles. Elles suffiront pour montrer tout
n. Comme on a pu le constater, en parcourant quelques-unes de mes
observations
, la suggestion pendant le sommeil n'est pas néc
articularités les plus intéressantes ou dont j'avais- recueilli les
observations
. Un canton limitrophe de celui que j'habite, le
s , contracture spas- modique des muscles de la mâchoire, hystérie (
observation
relatée plus haut), la fille de la malade égale
issait ou arrêtait les accès d'épilepsie causés par l'absinthe. Les
observations
qu'il fit l'amenèrent à essayer l'hydrastine da
quand ils sont produits par des lésions'organiques de l'ceil. Trois
observations
. P- K. XXII. DES INFUSIONS de' chlorure DE sodi
;,pat : G. IARINÇSÇO..(NeurOl.Çentyalbl ? l892.),t' "7"' ' ' 'Trois
observations
'caractérisées par l'atrophie' des racines posté-
s antérieures dans' leur trajet intra-médullaire. Dans la seconde
observation
où un bras avait été amputé, les racines antérieu
elle, cervicale entre les .première, et deuxième racines spinales .(
observations
de Ludwi- llann, in l3er·lin glit ? Vôcheüschri/'
ION au développement pathologique DU système NER- VEUS 'central ! '
Observation
D 1NENCÉPH.1LIE, .1VEC ? 1M1'l.LIE totale ; par
dans le CRANE ,1, PENDANT LE SOMMEIL, ET L'INSOMNIE, AVEC QUELQUES
OBSERVATIONS
SUR .LES médicaments IIYPnOTIQUES,;·par`Johiï C
moins de quarante-trois pages,'et qui est très rempli de faits^et d'
observations
: disons qu'aprèslavoir. recherché quelles sont
;'tft'. 89 avj; 'tgfvjnt pîh( ici'i/ of3'I : ,HiTZic-communique.une
observation
dur même tordre. Avec l'oedème; il y avait une
orpusçule,de,Pacini et'dë'StadeImann7 Une' 'quatrième et dernière ?
observation
\ est empruntée à une sclérose lâtëralë arpÿotr
, la localisation du scotome à l'oeil à la périphérie a pour elle l'
observation
de M. Manz sur lui-mûme; que de fois n'est-il p
logie de l'herpès labial dans la méningite cérébi,o-spiiiale. Trois
observations
dont une, avec autopsie, témoignent en faveur d
J.-B. Baillère et fils, 1893. Ce travail, basé sur cinquante-trois
observations
, est une thèse de Lyon, bien qu'inspirée par M.
nt des causes dont nous avons souvent signalé l'importance dans les
observations
qui composent les treize volumes de nos Comptes
s l'inspiration de notre maître M. Bourneville, où plusieurs de nos
observations
, prises dans son service, ont trait à des diplé
sans les étayer d'autopsies qui font défaut à ses cinquante- trois
observations
. J. Nom. XII. Un cas de maladie de Morvan; par
ris, Maretheux, édit. 1893. L'auteur, à propos d'une intéressante
observation
prise à la Salpêtrière dans le service de M. le
générale de clinique et de thérapeutique, 3 mai 1893.) Cette courte
observation
aurait trait à une méningite tuberculeuse en pl
ladies du système nerveux (leçons du professeur, mémoires, notes et
observations
). Parus pendant les années 1889-90 et 1890-91 e
es sur quelques pièces -,par Percy Smith, 59. , 1 Anencéphalie,
observation
d'1 , par ,téonowa, 4s.ï. Il' - Anurie,- un c
ard 1G3; Charcot, t par Boui'Î1eville, 177. '.1 j, ';1 Néoplasme,
observation
de dans le 4"t ventricule ? par, Mayer, 265.
nale syplilitique, par, llfucUiu et 1 Konalewsky H7;, nouvelles '
observations
de générale, pro- gressive à marche circulaire,
adaptés aux choses de la clinique viennent offrir leur concours à l'
observation
pure; à toutes ces tentatives, en un mot, inspi
omposé, des faits qui 52 CLINIQUE MENTALE. s'imposent à tous, aux
observations
qui nous sont moins familières, il faut rappele
un asile sans renseignements, ce qui arrive le plus sou- vent, l'
observation
se résumera de la façon suivante : « accès de d
les deux faits suivants. {Congrès de Genève, 1878, page 568). 1
Observation
I. - Un homme de 36 ans, épileptique, al- cooli
fois, les caractères du délire accusent eux- mêmes la différence.
Observation
II. Un ancien militaire, âgé de 40 ans, épilept
rise au récit de ses idées ambitieuses. D'autres fois, comme dans l'
observation
suivante, c'est un accès de fureur qui se dével
nte, c'est un accès de fureur qui se développe après l'attaque.
Observation
III. - Un garçon liquoriste de 27 ans, fils d'u
n'avait le souvenir que du délire alcoolique. Autour de ces trois
observations
de folie épileptique avec délire de persécution
uvre passagèrement le délire préexistant. DÉLIRES MULTIPLES. ' 57
Observation
IV. Un mélancolique persécuté, C. Ni- colas, âg
et marchant comme tout délire chronique vers la systématisation.
Observation
V. Un autre mélancolique, P. Célestin, âgé de 3
s aigus que l'on retrouve la mala- die principale, la dipsomanie.
Observation
VI. Chez une femme mélancolique dipso- mane, do
Chez une femme mélancolique dipso- mane, dont M. Briant a publié l'
observation
(Mouvement Më- dical, 8 novembre 1879, n° 45) l
d'autre part un accès d'alcoolisme dès qu'ils se prolon- geaient.
Observation
VII. Chez une autre dipsomane, âgée de 51 ans,
u chronique, se prête toutefois assez bien à cette démonstration.
Observation
VIII. L. Célestine, âgée de 32 ans, lingère, en
fait sui- vant, qui offre avec le précédent de grandes analogies.
Observation
IX. - A. Eugénie, veuve 0, 45 ans, passemen- ti
ues. Les deux délires vésanique et épileptique s'offrent dans ces
observations
avec des caractères d'une telle net- teté, que
laquelle nous n'avons pas pu. obtenir de rensei- gnements précis.
Observation
X. - Chez ce malade, dont l'observation a été p
rensei- gnements précis. Observation X. - Chez ce malade, dont l'
observation
a été publiée avec détails par M. Garnier ', il
ne pouvons pas entrer ici et nous éloignerait de notre sujet. Les
observations
suivantes fournissent des exemples de coexisten
tence de trois états pathologiques différents chez un même sujet.
Observation
XI. B... Charles, âgé de 50 ans, peintre en voi
mélancolique et les impulsions qui se montrent inva- riables. L'
observation
suivante offre le même intérêt au ' point de vu
ême intérêt au ' point de vue de la coexistence de trois délires.
Observation
XII. M..., Julienne, âgée de 52 ans, couturière
ubliés sur l'idiotie et ses variétés sont relativement rares et les
observations
communiquées aux sociétés savantes ou à la pres
le service de notre vénéré maître, M. DcLnsrnuv, de recueillir les
observations
d'un certain nombre d'en- fants, observations i
, de recueillir les observations d'un certain nombre d'en- fants,
observations
intéressantes à des titres divers, et que nous
gis- tré le mieux possible les lésions. Toutefois, dans les trois
observations
qui vont suivre, il y a encore des lacunes. C'e
sions qui produisent l'idiotie sont, on le sait, très diverses; les
observations
que nous allons relater le montrent une fois de
git d'une hydrocéphalie ventriculaire, en quelque sorte typique.
OBSERVATION
I HYDROCÉPHALIE VENTRICULAIRE : IDIOTIE. SouR
nouvel ordre, nous désignerons sous le nom d'atrophie cérébrale.
OBSERVATION
II ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE PROFONDE. Sou
e nous aurons à revenir, nous avons à considérer, dans la troisième
observation
, une hypertrophie partielle des circonvolutions
ième observation, une hypertrophie partielle des circonvolutions.
OBSERVATION
III SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉ
let 1867 (service de M. DELASIAUVE) '. 1 Nous avons recueilli cette
observation
alors que nous remplacions M. Delasiauve. 6
t par nous 2. La description des accès, tracée dans le cours de l'
observation
, ne laisse aucun doute sur ce point : début des
it obtenir la guérison de certaines paralysies motrices. Les deux
observations
suivantes viennent pleinement confirmer ce que
s est communiquée par M. Gilbert, interne distingué des hôpitaux.
OBSERVATION
I Le 16 mars, à 8 heures et demie du matin, le
de M. Gilbert, nous avons pu voir à l'I36te1-Dieu le sujet de cette
observation
, l'interroger, et vérifier tous les faits relat
Cette amélioration était légère, car elle n'est pas relevée dans l'
observation
, et même la main du côté paralysé ne pouvait do
fait suivant, fort analogue à celui que nous venons de rapporter.
OBSERVATION
II Mme Sa.... , âgée de soixante-cinq ans. - Do
ne inhabileté, une sorte d'hésitation dans les mouvements. Dans l'
observation
qu'on vient de lire, une hémi- plégie de la mot
sphérique en un point aussi défec- tueux et le peu de précision des
observations
de l'auteur alle- mand ne donnent pas à son tra
ins sensibles. Pour la même raison, nous avons préféré exécuter nos
observations
de midi à trois heures de l'après-midi, en ayan
turbations thermiques qu'on peut considérer comme sans valeur toute
observation
faite, à l'aide d'une lumière arti- 110 REVUE C
. Dans son article sur la thermométrie cérébrale, M. Gray donne l'
observation
d'une femme de 34 ans chez laquelle de l'apople
araissent, pourraient peut-être siéger en ces points, car, dans les
observations
, on ne note pas en détail chaque paralysie musc
ssez juste : il est évident que le plus souvent on indique dans les
observations
la paralysie de la face ou celle des membres, m
la Société de biologie, un des membres, M. Vallin, rappelait une
observation
dans laquelle une paralysie du trapèze obser- v
ation physiologique; il est permis de se demander si les procédés d'
observation
ne sont pas entachés de quelque cause d'erreur,
e pour causer une anémie locale, on déter- mine une gêne qui rend l'
observation
prolongée impossible; si, au contraire, le ther
la thermométrie véritablement cérébrale; il y a là un faisceau d'
observations
dont nous avons cherché à montrer l'impor- tanc
ait été : Tubercule au niveau du noyau de la sixième paire. Cette
observation
clinique portales auteurs à étudier à nouveau l
tivité. Ces faits sont nettement mis en lumière par le détail des
observations
intercalées dans le travail. Restait à interpréte
ules étaient d'ailleurs saines. M. Morris fait remarquer dans cette
observation
: 1° la longue durée de la maladie et l'absence
ada med. and surg. Journ., fév. 1880, p. 295 et 346). La première
observation
est un cas de ramollissement embo- lique du noy
éterminé une hémiplégie gauche sans perte de la sensibilité. Dans l'
observation
II, le noyau caudé gauche était détruit par une
sie d'abord, puis retour de la sensibilité dans le côté paralysé. L'
observation
III est la plus intéressante. Un homme de trent
V. Sarcome DU cerveau. (Dled. Times and Gaz., 3 janv. 1880.) Cette
observation
concerne une femme de trente ans, entrée le 25
The Alienist and Neurologist. T. I. fasc. 2. 1880, p. 193). Cette
observation
est intéressante en ce que la malade était en t
e Alienist and Neurologist, 1880, n° 1, p. 40.) . Il s'agit d'une
observation
intéressante d'aphasie et d'agra- phie survenue
Ces conclusions se réduisent au respect des ancêtres, au culte de l'
observation
clinique et au scepticisme. Le respect des ancê
un sentiment louable, et encore faut-il s'en défier. Le culte de l'
observation
clinique ne vaut, comme tous les cultes, que pa
cérales SECO\- DAIRES AIGUËS CHEZ LES ALIÉNÉS; par M. DuFOUR. Des
observations
relatant une série de lésions anatomo-pa- tholo
lésions anatomo-pa- thologiques se prêtent peu à l'analyse. Les dix
observations
publiées par M. Dufour ont pour but principal d
tres considérations étran- gères au fond de son mémoire. De ces dix
observations
, cinq ont pour sujet des paralytiques et quatre
n cérébrale. Cette conclusion est plus contestable pour la première
observation
où il s'agit d'un persécuté succombant instanta
RT DE CONGESTION CÉRÉBRALE; par M. Cil. Du- TERQUE. Le titre de l'
observation
publiée par M. Duterque dit suffi- samment quel
que des manifestations délirantes paralytiques aient échappé à l'
observation
; il est possible aussi, le malade ayant des habi
des d'ivrognerie, que cette cause ait modifié l'aspect du délire. L'
observation
de M. Duterque n'en est pas moins curieuse; il
a d'abord obtenu des résultats variables. Mais, en catégorisant ses
observations
, il est arrivé à conclure que l'abaissement de
circonstances cependant en affaiblissent la valeur. D'une part, les
observations
de M. Mabille sont choisies, car il nous averti
RAIGUE ; par M. DOUTREBENTE. Le malade qui fait le sujet de cette
observation
a été atteint en 1878 d'une attaque de paralysi
tian, un surtout confirme l'indication thé- rapeutique déjà tirée d'
observations
analogues, la suppuration ayant été provoquée p
D'O. X. L'aliénation mentale dans SES rapports avec la SYPHILIS ;
observations
par 111..TULIUS MICIiLE, médecin en chef de l'a-
L'auteur rapporte dans cette dernière partie de son mémoire, trois
observations
de mélancolie et de démence chez des sujets syp
, que concuremment avec les autres lésions viscérales. La seconde
observation
est celle d'un mélancolique qui ne portait aucu
les périodes de gonflement inflammatoire. Le sujet de la dernière
observation
est un malade qui, à la suite d'un accès subit
és, indiquant une catégorisation méthodique. Ce sont des galeries d'
observations
isolées, très intéressantes sans doute, mais sa
celles de ce dernier concours; elle réunit un nombre de faits et d'
observations
inédites qui permettront dé- sormais de reprend
. - Prix de la reliure, 5 fr. 3e volume. lre livraison : Nouvelle
observation
d'hystéro-épilepsie ; 2e livraison : Variétés d
nues dans les autres parties constituantes de la fibre soient d'une
observation
moins aisée, il est cependant possible d'y reco
int de tremblement sénile, et que nous avons longuement étudié.
Observation
I. -Ursp..., âgé de soixante-cinq ans, tailleur
ort, analogue à celle que nous venons de rapporter. ? - j \ 1 t
Observation
II. Heurt ? graveur, âgé de quatre-vingt- un an
usses dues à la contraction du triceps. Tous ces détails sont d'une
observation
facile, grâce à l'extrême mai- greur du .1 suje
avant-bras, et notamment sur les muscles fléchisseurs du pouce. L'
observation
suivante, prise sur un véritable type de paraly
n l'état des divers groupes musculaires dans cette maladie. , .
Observation
III. - Doliv..., âgé do 47 ans. - Pas de ma- la
ces bien sensibles. Le lecteur pourra eh juger par lui-même. z I.
Observations
de démence épileptique sans lésions macroscopiq
ote. DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 215 - Tes , » m loi i '.i ? v'ï
Observation
I ? «<iS' s "'\ )ú.I1111V ij^Tf^'i ex "If
.l ? 1.' 1 r ? J t'If. dl 'f t, -ti. t 1Jf ? J '1 ' 1 "'TÍ t .. .
OBSERVATION
Il. ')(\ , 'i 1',Tftl 1 tjlj,'1 1", ,pi - Abs
'' ' 1 BI... Pauline, était complètement en démence lors- ' Cette
observation
que l'un de nous a recueillie à la Salpêtrière (s
es méninges ni de la substance grise appréciable à l'oeil nu. II.
Observations
de démence épileptique avec lé- sions des ménin
is toujours profondes, des méninges et de la substance cérébrale.
Observation
III. Epilepsie. Mélancolie. Démence. Affaibliss
de l'encéphale et par des lésions en foyer assez circonscrites. .
Observation
IV. Idées de persécution. - Épilepsie. - Vertig
alite si caractéristiques , qu'il nous semble inutile d'insister.
Observation
V. Epilepsie sans antécédents héréditaires. Déb
uit anatomiquement par de nombreux foyers de méningo-encéphalite.
Observation
VI. Premières convulsions à 6 mms. - Rémission
tre arrivée dans le service, il n'en était pas tenu compte. 1 " '
Observation
VII. Antécédents négatifs. - Début à 8 ans par
bsolument incurable. 1 ' 1 I¡,q l il'iiJI J'1Hlll¡(ld ' t ' . ?
Observation
VIII. , 1 l ... \. '" - Alcoolisme. Excès vénér
tée1 ? ? I"\lp" t ? tn.t,)p ? <ir ? ) ? Y plusieurs fois a noire
observation
? et elle mérité d etre ? 1 ·' lf·1n11(.' YO fl'n
us' n , , -,) ? ? > ? 1 ? <-i 'tf ? f ? . , an'I dire^que nos
observations
confirment presque, absolu- II¡ ^ -, 4" ; \r1(}
,jr-ri 1r9 ? 1 Dh , ,'1'b1lo ? 71,; nnà le- " "i() ,,1 ' . IV. Les
observations
qui forment la base de ce 9" <j ? )'<'' '
herches actuelles. Ces recherches ont, dès le début, confirmé les
observations
de M. Burq ; mais elles n'ont pas tardé à montr
e laiton, le bronze et l'acier. Il résulte d'un très grand nombre d'
observations
,'que la pro- portion des sujets sensibles à tel
mission nommée par la Société de biologie, et, qui devait faire ses
observations
dans le service de son président, M. Char- cot,
les plus illustres, Louis publie, en <747, un volume intitulé :
Observations
sur l'électricité, etc.; de Haen, dans sa Ratio
dans son mémoire, c'est non pas la partie clinique, composée de 82
observations
, mais MÉTALLOSCOPIE, MÉTALLO THÉRAPIE" ^ESTHÉSI
0,8p. 1000), mais le résultat fut complètement négatif, malgré une
observation
attentive prolongée pendant six mois. L'as- ser
pathologique de la chorée ; par le Ur EtSEXLonn (de Hambourg). L'
observation
concerne une jeune fille de quatorze ans, affec
BÙ'm111gham médical Review, janvier 1880.) L'auteur rapporte une
observation
remarquable de malfor- 288 revue ,J ? : : o\ ?
m;t)u'nb sbioq na MnûiTÎqn ? , jb ! aicM 9Tuanslni ,8TifiTtnoo X.
Observation
! (avec dissection et examen histologique) de. fi
que tentative de parler et empêchent cet acte. Avant de rapporter l'
observation
de son ylplnr/1 'ltorrl)flrv.p t I·..r, nrp,p W
f.(J9 ? 1 4rJrnrr ny 'Ilt r rri%mn ..Iq ? T ? - ? 'I, ? ? rf ? ,1
Observation
/. ? Un apprenti mécanicien de 16 ans souffrait
ypertrophique.cOnltrôuvera quelques;. dessins, relatissf ! iLbces 1
observations
.dansrll'Ilaénz'st t and pNew'ologlst." Ces -fdit
clùaire, )e bienÆu'n6 hyper- s trophie sclérguso,du muscle : , Les.
observations
1 deiiMMu SteelC ? et J(iJ1g,JfJJ\ S.qp,t.A<
? - r . t, 1, ? .tfl('tt<¡(f ? 9l1 PUOfi Il s'agit, dans cette'
observation
intéressante,, d'un boucher, de 52 ans, bien po
0);acM/oMdes A ! lglais)., ;\1 ? Bangal trouverai propos ) de a son
observation
, que les descriptions des,auteur,s,ne sont pasr r
ur .celui- du releveur ! de 'la ? paupière' ! 'supérieure0 par' 1",
observations
. de, MM "L d Grasset ? 1 Mf1 ' ? ljj ? u; J ? l
o iulin ') : 1rrl> u : J1'I uu s on ! , *ldm9B 91bJ,Lr.m EJ XVI.
Observation
DE PARALYSIE PSEUDO-HYPERTROPHIQÙE;par" CORNIL.
mais frère d'un garçon dont M. Bergeron a, en mai 1877,' présenté l'
observation
complète, avec photographie, à la S6'e,6té, néd
'-lffJ'1fP.fO'1 t B;8VWi ? I7V ? Im ? , 1HM1.n"'J/31,ri^1ola(oil ^
Observation
1. -Difformité avec rigidité musculaire'(Adam)
J i'ok»»- nr '- i £ ? 1 rV> \\tl"\\ ",y, '" ? \1'' 'l'" an" 10-*
Observation
Effet de l'entraînement sur un état parétique d
rme plus atténuée, elle céda rapidement encore au mercure. Dans l'
observation
II, le malade avait eu une chaudepisse en 1868,
* . 1 (J 0''1'" l 'IIII ? } CI'" 9 \ ? Ih[) un a.r aiijil .1 ) D L
observation
III eLç,llA}lh ! F ! }Hle1 ! Iui,¡ansila sixième
'1 T-, -;i ? ""1 ? '' Ttr i tn ? (Tf1 ? - S `llT.'nÎ T J Dans' l'
observation
IV, la sciatique eut probablement pour r f . ,i
moderne des localisations corticales dans le cerveau. Plusieurs des
observations
de M. Amidon ont trait à des lésions' des zones
and Gaz. . ' "'17 janvier 1880.) " "' 1 , 1 f ' ' , ii r Cette
observation
concerne une enfant de 4 ans'apportée à l'hôpit
'1 '-tIti' 'ff11 v 10 "TCof"'lf¡r1'"tr : I'd'IPn,r'r'"j t· i rW n J
observations
ou 1 on voit, en efiet, que si la maladie peut qu
parents du malade ayant des affections des centres nerveux. Des dix
observations
qu'il donne, M. Hughes, conclut que : l'aboliti
I, Il f-HJ c.10L.t XXIX ? MY&LITE AIGUE, ET SURAIGUE, avec huit
observations
; par S. G.·WEBBER. - Mém. lu à la 6'oc..me<
maladie'au refroidissement'ou'à" l'effort exagéré.-Ainsi, dans'les
observations
I et III ,' les pieds furent les parties sou- m
ide; 'les'jambesifurent ! les pre- mières atteintes; de même dans l'
observation
IV,<les'accidents survinrent àla suite d'un
ou quatre mois plus tard que les pieds furent' atteints . ? ^* z L
observation
y est' ,plus compliquée; la r syphilis; le 1 coït
. r . ' ,, , -j 1 ' ' t . li , 11 Il ,rp 1 (1 ... r .. , j . XXX.
Observations
CLINIQUES SUR LES variations DE TEMPÉ- ! » RATURE
? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII..
Observations
de, troubles nerveux (insolites (hyperesthésie
? Ke'MH ? MK6 ? KeHe invariablement lié aux accès d'épilepsié ? Les
observations
d'épi" lepsie' et épileptoïdes ? ar'ecùeilliês1
aniéré 'de' voir, ·uuJ,Ir. mini .4 ? ITMJ °lm3ul· ni èJ10r[q.u1 L'
observation
actuelle est surtout.- importante au" point de
es phénomènes qu'on observe habituellement avec le somnambulisme.
Observation
? Vers la fin de 1867, le docteur M... se leva
s premières descrip- tions (1861), ultérieurement complétée par les
observations
de Samt ? 7ep<MC/ : e/n'Me ! KS/b ? ' ! KeH.
reprenant aujourd'hui l'étude de cette ques- tion avec de nouvelles
observations
, admet que l'état mental des épileptiques peut
n'entras toutes da rigueur désirable. M. Mabille. conclut , de ses
observations
que l'anesthésie du tube, digestif; est, j, che
e à des perversions de la .sensibilité, intestinale., Dans deux^des
observations
.. de M.,Mabille\(9bs. ,xx t X4n)'" il este mani
stomac, M. Mabille nous permettra de lui refuser tout rôle dans les
observations
qui lui sont personnelles. Quoiqu'il en soit, d
GARNIER. [Gaz. hebd., 27 fév. 1880.) L'auteur rapporte en détail l'
observation
d'un homme de cinquante et un ans, atteint de d
TEVENS. (The alienist and Neurologist, 1880, n° 1, p. 58.) Les deux
observations
de M. Stevens sont du plus grand in- REVUE DE t
as, le remède échoua après une semaine d'essai. Voici un résumé des
observations
. Une femme, âgée de 23 ans, souffrait depuis qu
rait trois fois par jour, pendant trois jours; guérison. Les autres
observations
sont analogues ; ce sont des cas de névralgie f
folie, le docteur Thurnam, admet, en se basant sur une série de 344
observations
, qu'il ne guérit guère plus de 5 fous sur 10, e
ntracture de la main avait aussi disparu. L'auteur conclut de cette
observation
qu'on peut facile- ment triompher de la contrac
ec. et de chirurgie, 9 janvier 1880.) L'auteur s'appuie sur trois
observations
probantes pour re- commander, chez les alcoolis
rium tremens, l'emploi de l'alcool à haute 4 dose.' f, , b XV.
OBSERVATIONS
servant A montrer QUE la réunion. primitive PEUT
s : plusieurs planches, des tracés thermométriques sont annexés aux
observations
qu'elles syn- thétisent. Le but de M. Blaise a
nous sommes heureux d'être arrivé aux mêmes conclusions. Plusieurs
observations
de ther- mométrie céphalique sont ensuite donné
ication nouvelle 2. M. Blaise a confirmé ces résultats par quelques
observations
personnelles. Nous ne pouvons reproduire in ext
s l'action oesthésiogene, tantôt avant elle et même sans elle. 22
observations
et 9 tableaux de courbes terminent cette thèse
, - 350 faits DIVERS. tion : « Discuter, en s'appuyant sur des
observations
et des expé- riences nouvelles, la question de
isphères cérébraux. » 2° question : « Etudier, en se basant sur des
observations
et des expériences, la valeur relative des pans
E i il 1 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES f (
observation
. DE porencéphalie fausse ? double) ; r .. '
autres voies. Plus loin, j'entrerai dans l'exposé d'un cas, d'une
observation
, unique dans la littérature médicale, et où l'o
ps impotentes, n'ont plus l'usage de leurs membres. Pour nous, de l'
observation
même de Cru- veilhier, ressort très nettement l
s. Beaucoup plus tard (1859), à Cracovie, Heschl1 pu- blia quatre
observations
où il avait rencontré un arrêt 1 Heschl. Gehird
nait surtout les circonvolutions centrales. Parmi les sujets de ces
observations
, on ne trouve qu'un adulte : il avait 26 ans. P
Quant au reste du cerveau, il paraissait normal. Les trois autres
observations
de Heschl ne mentionnent aucun des symptômes, q
elle se montrait tapissée d'une pie-mère en bon état. La troisième
observation
se rapporte à une jeune fille, morte dans sa tr
latéral, que recouvrait une mince lame de pie-mère. La quatrième
observation
, que rapporte aussi Roki- tansky\ concerne une
sent dans l'évolution cérébrale. En 1861, 'Heschl1 publia une autre
observation
détaillée de porencéphalie, chez une fille de 1
mer qu'à une époque fort tardive : l'anomalie, décrite dans cette
observation
, ne peut donc s'expliquer que par une défectueu
rconvolutions centrales et l'insula. Un rapide regard, jeté sur les
observations
qui précèdent, suffit à constater ceci : toutes
il existait une paralysie ou une parésie du côté opposé du corps.
Observation
. Idiotie. ' z- Mutisme. Paraplégie. Contracture
fficile un diagnostic peu em- barrassant dans les cas ordinaires.
Observation
I. Rhumatisme articulaire antérieur. - Céphalal
avec le nôtre, aussi le citons-nous de préférence à tout autre.
Observation
II. ' Première attaque de rhumatisme articulair
sont indemnes. 390 PATHOLOGIE NERVEUSE. On voit comme ces deux
observations
sont compa- rables, sauf pour la manifestation
si la prédominance de la méningite à la convexité dans la seconde
observation
et celle de la méningite à la base dans le prem
UDE DE L'IDIOTIE' 1 II Par BOURNEVILLE et E. BRISSAUD. Les deux
observations
qu'il nous reste à rapporter pour compléter ce
sinée avec le plus grand soin par M. Leuba. 392 CLINIQUE MENTALE.
Observation
IV. ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE PROFONDE. SO
Relevons, en passant, un phénomène mentionné dans le cours de cette
observation
. Il s'agit de la cons- tipation qui se prolonge
topsie enclavées dans le coecum ou les replis du gros intestin. L'
observation
qui précède doit être rangée à côté de l'OBSERV
intestin. L'observation qui précède doit être rangée à côté de l'
OBSERVATION
II ; la suivante, au contraire, nous offre un n
exemple desclérose tubéreuse, a nalo- gue à celui de l'OBs. III.
Observation
V. ENCÉPHALITE OU SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCON
avant terme. Nous n'insisterons pas davantage sur cette partie de l'
observation
relative à la maladie bleue, parce que nous en
emple dans les ouvrages consacrés à la patho- logie nerveuse. Les
observations
publiées sous le titre de sclérose cérébrale co
si, en 1863, M. Duguet communiquait à la Société anatomique trois
observations
de sclérose du cervelet qui correspondent bien
ns de la substance cérébrale chez les idiots épileptiques. Dans une
observation
très détaillée, il insiste sur les altérations
ns à faire particulièrement res- sortir, c'est que, dans aucune des
observations
publiées jusqu'à ce jour, il n'a été fait menti
et peu en rapport avec ce que nous signalions dans les précédentes
observations
rela- tives à des cas de méningo-encéphalite, o
avait quelque chose de plus que l'anesthésie de retour : suivant l'
observation
de M. Burq lui-même, chez les malades anesthési
les choses dans l'état primitif. Il faut, bien entendu, pour que l'
observation
soit très nette, que ces changements s'effectue
cas trop long, de rendre compte, sans le secours des figures, d'une
observation
des oscillations de l'achromatopsie. Ce qui a é
dition que les phénomènes ne marchent pas trop rapidement. Dans les
observations
auxquelles nous venons de faire allusion, l'ane
le témoignage de Gros et eu égard à son abon- dance. L'obstacle à l'
observation
des nerfs vient surtout de la graisse dont elle
a main de l'observateur l'a abandonné, demeure dans la flexion. L'
observation
simultanée du tibial antérieur permet de cons-
ig. Elle est fon- dée, dans le domaine des faits cliniques, sur les
observations
évidemment très nombreuses où l'exagération de
suppléer aux fonc- tions du faisceau pyramidal dégénéré. Dans les
observations
de contractures hémiplégiques guéries ou amélio
d'entre eux sont sujets à caution, et parti- culièrement celui de l'
observation
II qui concerne un jeune homme de 21 ans attein
son grand- père beaucoup plus. Aucun traitement ne fut institué.
Observation
IIL-Enfin voici un cas qui présente seulement d
LENDORFh' (de Dresde). (Deutsch. Archiv. f. Klin. Medicin.) Cette
observation
, recueillie dans le service du Dr Fried- ler, c
la tête ainsi que des mains et des pieds. Voici le résumé de cette
observation
: C'est au début de l'année courante que soudai
participent à l'arythmie, car parfois la voix change de son; même
observation
pour de violentes expirations aphones qui par mo-
le domaine de la capsule interne (hémianesthésie concomitante). L'
observation
qui vient d'être décrite a pour première étape
s Schâdelgrunds. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 453 3 XLIII. Trois
observations
DE paraplégie spasmodique ; par JAMES RUSSELL.
. Times and Gazette, 24, 31 janvier et 7 février 1880.) Les trois
observations
relatées par M. Russell se rapportent à un grou
é- nitaux, d'atrophie, d'eschares et de symptômes cérébraux.- Les
observations
de M. Russell présentent quelques exceptions à
s : c'est ainsi que le Dr Saundby a rapporté, d'après- Schultz, les
observations
de deux malades qui présentaient le type cliniq
e ? ( ? ! f, oct. 1879). C'est ici que vient se placer la première
observation
de M. Russell : elle concerne un malade aujourd
ue grave est compatible avec des lésions peu avancées. La seconde
observation
est un exemple des cas où de nou- veaux symptôm
t à celle des cornes antérieures. Suivent les trois intéressantes
observations
de M. Russell dans le détail desquelles nous ne
f the Médical Society of the county of Kings, mai 1880, p. 73.) L'
observation
que rapporte le Dr Gray est celle d'un jeune ho
PERMANENTE CHEZ LES ENFANTS ; par le Dr SEELIGMULLER (de Halle).
Observation
I. Un enfant de 3 ans, jusque-là bien portant,
aite ; l'intelligence n'est nullement affectée et même la faculté d'
observation
est notablement augmentée. Pas de trace de sucr
e trace de sucre dans l'urine ni augmentation de cette sécrétion.
Observation
IL Un enfant de 4 ans est pris le 14 décem- bre
ontraire, d'après les autres auteurs; il n'y en a pas dans les deux
observations
ci-dessus. REVUE DE pathologie nerveuse. 457
(Centralblatt f. Nervenheilkunde, etc., n° 6.) R. V. XLVI. Quatre
observations
DE maladies cérébrales ; par M. J.-C.MACKENSiE,
ncet and Clanic, 14 février 1880.) L'auteur rapporte d'abord deux
observations
de syphilis céré- brale, qui peuvent se résumer
ilis céré- brale, qui peuvent se résumer de la manière suivante :
Observation
I. X..., 30 anus. - Quatre ans avant l'entrée à l
utres tumeurs de cette nature qu'il a eu l'occasion d'ob- server.
Observation
IL-Ramollissement cérébral d'origine syphilitique
is des artères cérébrales. M. Mackensie ajoute, en commentant cette
observation
, qu'il ne s'explique pas comment la paralysie a
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 L'auteur rapporte ensuite deux
observations
de tumeurs cérébrales. Observation III. Sarcô
'auteur rapporte ensuite deux observations de tumeurs cérébrales.
Observation
III. Sarcôme du cerveau. - David V... entre à.
'auteur considère cette tumeur comme un sarcôme du cer- veau. Cette
observation
est surtout remarquable cliniquement par le fai
t avec les lésions considé- rables qui viennent d'être indiquées.
Observation
IV. - Gliôme de la protubérance et du cervelet. -
e malade nervose. 1880, fasc. I et II.) Les auteurs rapportent deux
observations
de convulsions épileptiformes dans les membres
(The Alienist and Neurologist, avril 1880.) Après avoir exposé l'
observation
d'un ataxique chez lequel la maladie débuta par
phénomènes spinaux. -Chez le ma- lade dont M. Dickinson rapporte l'
observation
, il est vraisem- blable que les lésions existai
Dr RUSSELL. (Brit. med. Journal, 3 janv. 1880.) L'auteur rapporte l'
observation
d'une pneumonie développée dans les circonstanc
HABER. (Gaz. hebd. de néd. et de claa·., 1880, p. 658.) La première
observation
de spasmes de la glotte dans l'ataxie a été rap
879, n° 17.) Le travail que publie M. Krishaber s'appuie sur quatre
observations
intéres- santes ; deux lui sont personnelles, l
t prendre plus de gravité à mesure qu'ils se repètent. Dans une des
observations
, l'inten- sité des accidents a été telle qu'ell
être le cas le plus fréquent. Les causes relevées dans les diverses
observations
30 466 REVUE de pathologie nerveuse. ont ét
ns lymphatiques volumineux comprimant les récurrents. La nouvelle
observation
de M. Ormerod concerne une femme de 38 ans qui,
(Edinburgh Médical Journal, mai 1880, p. 796.)' L'auteur cite trois
observations
de laryngite striduleuse, une insérée dans le B
les cliniques de Trous- seau. Remarquant alors que, dans ces quatre
observations
, on trouve un certain nombre de symptômes commu
harm. de l'Isère, 1880, p. 154.) La malade qui fait le sujet de l'
observation
de M. Chataing est cette même Marie Lecomte don
érique ; par J.-C. MULIIALL (de Saint-Louis). L'auteur rapporte une
observation
détaillée de toux hysté- rique. Il s'agit d'une
d'aliénés du lieu, par le fait de ses troubles psychiques (1855). L'
observation
do l'auteur comprend la période incluse entre l
. M'Bride et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 475 James rapportent l'
observation
d'un malade chez lequel un polype volumineux du
ache et du tympan et perforation de cette membrane. H. D'O. LXVI.
Observations
d'aphasie SIMPLE ET d'aphasie avec INCOHÉRENCE ;
z. médicale de Paris, no, 51, 1879; nos 1, 2, 5, 7, 1880.) LXVII.
Observation
D'HÉiIOPIE CROISÉE chromatique avec aphasie ET
nisme ; par V. DE PEMO. (Lo Sperimen- tale. 1880, fasc. 4.) LXXV.
Observation
DE tétanos, (le tétanos est considéré comme une
cond point que porte plus spécialement l'étude qui nous occupe. Six
observations
originales en constituent la base. Quatre d'ent
l résumé des trois premières : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 477 7
Observation
1.-H..., de 4î ans,jouissant d'une excellente san
nitude de ses facultés mentales. Guérison complète le 2 mai 1877.
Observation
II. - H..., de 45 ans, n'ayant jamais été malade.
nomènes cérébraux. Au début de 1878, toutest rentré dans l'ordre.
Observation
III. H..., de 29 ans. Absence d'antécédents mor-
. Guérison le 30 septembre de la même année. Parmi les trois autres
observations
, nous relevons : une atteinte de lypémanie chez
quo, guérit pendant l'évolution d'une pneumonie (T. 40°, 4). Ces
observations
, parmi lesquelles les deux dernières sont dues
non seulement d'un mélancolique mais encore d'un cataleptique, et l'
observation
indique expressément qu'il y avait de la paraly
ces hypothèses dans les considérations qui suivent son intéressante
observation
. Il recommande l'emploi de l'électrisation dans
s impulsions, le meurtre et le déshonneur qui en résulterait. Trois
observations
viennent à l'appui du travail de M. Boisson. Ce
une intéressante revue des travaux publiés sur la question ; deux
observations
l'une de Raggi (de Bologne) l'autre de M. Bail
ui est la plus large. Ce fait se trouve confirmé par une des quatre
observations
citées. H. D'O. XXXIX. Sur la folie choréique;
e ? 2 Telle est la question que résout négativement M. Régis. Les
observations
sont rares et toutes constatent une grande res-
er à la Société médico- psychologique, consiste surtout en quatorze
observations
se rapportant à des vols aux étalages ou dans d
.) 486 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLIII. Archives CLINIQUES.- 1
Observation
de AI. Régis : folie circulaire continue, sans
natifs de dépression et d'excitation. Le principal intérêt de cette
observation
réside dans la grande analogie entre l'accès d'
chet démentiel, bien que la maladie date déjà de vingt-sept ans. 2°
Observation
de 111. A. Foville, qu'une extrême prudence peu
es symptômes intellectuels et physiques de la folie paralytique. 3°
Observation
de M. A. Foville : habitudes alcooliques, attaq
lancolique, qu'à une manifes- tation de la paralysie générale. 4°
Observation
de M. Baillarger. Femme hémiplégique à gauche d
onvulsive ET VÉSANIQUE; par M. CULLERRE. Le sujet de l'intéressante
observation
de M. Cullerre, jeune fille de 22 ans, présenta
ues. (Annales méd.-psych., nov. 1880.) XLVI. Archives CLINIQUES. 1°
Observation
de Lélut : Manie aiguë sans altération de l'enc
tre altération cérébralo qu'une légère injection des méninges. 2°
Observation
de A. Foville : A propos d'un malade dont le dé
M. Foville s'est un peu exagéré les difficultés du diagnostic. 3°
Observation
de Brunet, incomplète, mais à retenir pour la d
n à deux centi- mètres de la première circonvolution frontale. 4°
Observation
d'Esquirol, présentée comme exemple de 490 REVU
INI (Giornale Jtaliano délie malade veneree e della pelle, 1880.)
Observation
d'un syphilitique frappé de paralysie du bras d
V.-H. FITCH. (Chicago med. Jour. and Examiner, avril 1880.) Cette
observation
concerne un enfant d'un an, porteur d'un' spina
tain nombre d'auteurs contre la névralgie faciale ; il rapporte l'
observation
d'un malade atteint depuis quinze ans d'une név
. - Dans la seconde par- tie de son mémoire, l'auteur rapporte deux
observations
où un trismus symptomatique d'une irritation de
e. A la fin du mémoire de M. Brissaud se trouvent de nom- breuses
observations
inédites accompagnées des schémas des lésions t
nombreux de sa première édition et il y a ajouté un grand nombre d'
observations
, de figures et de planches. Ce traité est donc
sommes expliqué assez souvent pour ne pas répé- ter nos précédentes
observations
. Disons seulement que, si nous avons été retard
PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES (
observation
DE PORENCÉPHALIE fausse DOUBLE) ; Par le profes
é ? ï ? .titj-u) i lÀ lit Ji JOI)U(JU ifi- iiii 'i;j i-l corps, des
observations
: qui,. suivent;=r je,les, résumerai à la7fin'I
lrr3zzusl t1 rr(RroEm ? r rns,z s ? (zslro)...f ! rroüsrrrbzooani .
Observation
IV .(Résumée). ; ? tl r - aon aonani)noonl ,szc
lt;90M<B xwsli si \« 1's tî'sd\ 9s>S hK<0< ! V\ .OftBib
OBSERVATION
V (Communi ? e,,pr.,lssIabt);ess `9sss·v B... (
Bb s i-w-,M M sto 3 ,'ioiaajî ê dooqhG o1J CL *>mea 91 ? jof . t t
Observation
VI..aniotn &l suo) Ilo.tc3zrros zuoa r9JTJ
tre confondue avec l'ulcère simple de l'estomac. Un de nos malades (
Observation
IV), à la suite de violentes crises rectalgique
eusement. Cependant on est en droit de conclure d'un grand nombre d'
observations
qu'il ne peut être question pour aucun agent d'
de Montpellier) avait apporté à l'appui de nouvelles et plus amples
observations
. Mais la signification de ces résul- tats devai
ément, carails ont été rele- vés dans toutes, ou presque toutes les
observations
de ce genre publiées depuis. Ils ont même été c
urg. (Deutsch. Archiv. f. tllin. Med., 1880.) Il s'agit, de trois
observations
concernant : La première, une paralysie saturni
aphique de névrite parenchymateuse systématique. iles deux autres
observations
se rapportent à l'histoire de la paralysie infa
d'être résolue. L'auteur communique à l'appui de ces assertions une
observation
de syphilis constitutionnelle (gommes du cervea
es pédoncules cérébraux; par MM. KUSSMAUL et MEYER (de Strasbourg).
Observations
par MM. Bayer et MENER. (Congrès de Bade., 1880
ppura- tion ni nécrose de ses éléments, est appuyée par les trois
observations
de Flournoy (thèse de Strasbourg, 1878); de Fitz
ues ; deux d'entre eux sont personnels au professeur;' 'la dernière
observation
émane du travail de Flournoy. Tous diffèrent de
les idées, comment il décrit une de ces attaques dans sa première
observation
. Il s'agit d'une jeune femme de 22 ans qui venait
de la fièvre typhoïde. M. Schmid apporte à cette casuis- tique une
observation
et fait ressortir que de quatre familles citées
atiques combinées de la moelle. On y lira avec intérêt de nouvelles
observations
: I. De sclérose latérale amyotrophique (affect
. L'ensemble de ces facteurs cliniques etpatho- géniques émane de 2
observations
publiées en entier. P. K. LXXXV. MYOSIS spinal
VI. Remarques SUR la paralysie DU MUSCLE grand DENTELÉ, d'après une
observation
de paralysies atrophiques multiples consécutive
ou d'autres accouchements. Quant à à-la pathogénie, il résulte des
observations
de l'auteur, qu'elle doit être cherchée dans l'
ès la même sur le nombre des psychoses de l'allaitement. Les huit
observations
de manie , spécialement envisagées parl Dr Schmid
t que tardive, ainsi que la réparation des fonctions physiques (6
observations
). L'auteur n'a vu que deux cas de folie circula
e u. Nervenk., 1880.) Le professeur Schultze décrit à ce propos une
observation
concernant un homme de trente-six ans qui prése
inaires, voire ternaires de la folie (Esquirol, Siemens) ? Les deux
observations
communiquées par M. Pick, nécessiteraient le ré
otre rôle d'analyste, de consi- gner les conclusions de l'auteur. L'
observation
1 serait pour lui une des psycoses centrales à
'expectation. M. Paton Bramwell cite, à l'appui de son dire, quatre
observations
: dans 3 cas de frac- tures compliquées, dont l
plus tard, ces malades étaient guéris et marchaient. La dernière
observation
concerne une femme entrée à l'hôpital pour un t
i. Méd. Psych., janvier 188t.) Paralysie générale chez un imbécile,
observation
de M. Chris- 61 se REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ti
e àrémission par des bains pro- longés et l'application d'un séton,
observation
de M. Mabille ; Hallucinations de la vue chez u
e chez un vieillard aveugle après double opération de la cataracte,
observation
de M. Baillarger; Démonomanie et paralysie géné
e, observation de M. Baillarger; Démonomanie et paralysie générale,
observation
d'Esquirol. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XXVII. Emp
teurs chez les personnes nerveuses. Il cite, entre autres, quelques
observations
publiées dans un mémoire du docteur John Vansan
of psychological médecine, New-York, avril 1870, p. 261j.), De ces
observations
curieuses, nous citerons la suivante : « Mm°
ébrale, l'application des aimants eut les mêmes effets que dans les
observations
de M. Debove. Dans les deux cas, il y avait hém
par l'usage des verres, corrigerl'hy- permétropie. L'auteur cite l'
observation
d'une jeune fille qui, pendant toute sa jeuness
es appropriés. Elle fut revue guérie trois ans après. Carter cite l'
observation
d'un homme que l'on traita longtemps pour une a
e premier cas, par l'emploi, des verres. L'auteur cite encore une
observation
d'une névralgie rebelle chez une jeune fille fo
cès. Le Dr Prout, à la suite de cette communication, rapporte une
observation
analogue, dans laquelle l'hypermétropie s'accom-
LLror rapproche de la très intéressante communication de M. Motet l'
observation
d'une malade somnambule qui contribuera à éclai
li au réveil ne serait pas'constant.1' Je l'ai noté dans toutes mes
observations
personnelles/ et il est incontes- table que, da
'histoire complète de l'hystérie et de l'épilepsie, appuyée sur des
observations
minutieuse- ment prises. I. Le premier volume
les que l'on voit représentées sous leurs différentes formes. Une
observation
remarquable montre bien la coïncidence de l'hys-
la compression de l'ovaire, y est retracée avec soin. A propos de l'
observation
de la célèbre Geneviève, on insiste sur le déli
troubles des sens et principale- ment l'amaurose hystérique. Deux
observations
montrent l'influence sur la marche de l'hystéro
lepsie partielle vibratoire, dont on trouve dans l'Iconographie des
observations
et des représentations. L'épilepsie partielle o
Dans la seconde- partie du second volume, on retrouve de nouvelles
observations
sur l'hystéro-épilepsie ayant trait aux attaque
mnambulisme, de la catalepsie, du magnétisme dans l'hystérie. Une
observation
remarquable montre certaines anomalies de l'att
clinique. L'étude do l'embolie cérébrale est faite au moyen de cinq
observations
, celle de l'hémorrhagie du cerveau repose sur l
rait une élévation marquée de la température céphalique. D'après 16
observations
, il en serait de même au moment des accès d'épi
cès d'épilepsie2 et pendant l'administration du nitrite d'amyle (15
observations
). M. Maragliano a aussi pris la température cér
action du bromure de potassium à la dose de 3 à 5 grammes. Dans dix
observations
, il a vu que la température s'élevait. Ce tra
fs aux troubles nerveux consécutifs aux arthrites, il y a joint six
observations
recueillies au Val-de-Grâce dans le service de
Epilepsie guérie par la picrolovine, par Couyba, 492. Epilepsie (
observation
d'), par lé- sion cérébelleuse, par \leschede,
Pneumogastrique (ligatures du), par Franck, 130. Porencéphalie (
observation
de), fausse double, par )1 ierzeje\\'sky, 353
pas de fibres moniliformes ni de gaines vides. ' En résumé cette
observation
nous offre un exemple de myélite chronique cara
smodique pendant dix ans, jusqu'à la mort. On remarquera dans notre
observation
et nous venons d'y insister l'intégrité des cel
n assez étendue du nerf cutané externe. L'auteur relate avec soin l'
observation
détaillée d'un cas atypique de cette affection,
ises en lumière dans les réflexions qu'il place à la suite de cette
observation
. Ce cas, en effet, est un de ceux dans lesquels n
d'affirmer chez le malade 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. dont l'
observation
fait l'objet de ce travail qu'il s'agissait bien
nie des ostéoarthropathies vertébrales d'origine nerveuse et sur 14
observations
dont 4 personnelles, avec 3 autopsies. L'en- se
rvations dont 4 personnelles, avec 3 autopsies. L'en- semble de ces
observations
détaillées conduit l'auteur à une des- cription
es cas, il s'agissait de tabes plu- tôt moteur que sensitif. De ces
observations
, ne se dégagent point d'éléments nouveaux, au p
Les auteurs pensent que la radiographie permettra de multiplier les
observations
de ce genre et de distinguer, à côté de l'ostéoar
ptième paires n'étant pas en effet une affection nouvelle, mais son
observation
est intéressante par l'apparition unilatérale de
ternes ; par FMÉ. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 5, 1900.)
Observation
intéressante au point de \ue clinique « non seule
v. Iconogr. de la Salpêtrière, 1900, n° 5.) Revue détaillée de 47
observations
, dont quelques-unes person-. nelles, de paralys
ulement paru intéressant et très justement de rassembler toutes les
observations
connues sur ce sujet, d'y ajouter quelques rech
sthésie hystérique ; par BERllEIM. (Revue de Médecine, 1901.) Des
observations
recueillies par l'auteur il résulterait que l'ane
ngomyélie; par PARELY. (Revue de médecine, décembre 1900.) Dans l'
observation
présentée, les crises gastriques ont en même te
LINGIANN. (The American Journal of lnsanity, 1900, p. 431-442.) L'
observation
est rapportée très en détail, tant au point de vu
historique assez complet de la question, l'auteur rap- porte trois
observations
relatives à des malades hommes de'qua- rante-qu
on- nienne peuvent d'ailleurs avoir une signification analogue. 9
observations
sont alors données par K. Ebing, dans lesquelles
ve ainsi à formuler les conclusions suivantes comme corollaires des
observations
qui précèdent et points de vue pour recherches
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .. On retrouve ces caractères dans une
observation
de Hughes. Il se demande enfin comment nous pou
ong et `iTI$I. (Reu. hléd. de la Suisse Romande, 1901, n° 7.) - L'
observation
avec autopsie qui fait l'objet de ce travail, pla
a- lisée primitivement dans l'appareil pulmonaire. G. Derny. XLI.
Observation
singulière d'aphasie amnésique transitoire; par
rme légère -d'aphasie amnésique tran- sitoire. P. IiEnnvnL. XLII.
Observation
originale d'hématomyélie antérieure; par W. MOU
inisme ; par A. FRIEDLANEDEII. (Neurolog. Central6l., XIX, 1900.)
Observation
I. Psychose aiguë causée par l'aniline pure sans
'hémoglobinurie, de strangurie, de vomissements, de somnolence. '
Observation
II. Psychose aiguë, provoquée par le binitro- t
ques verres de bière détermine les accidenls aigus en question. -
Observation
III. Intoxication par la toluidine. Vertiges, tit
nuant de vivacité pendant neuf jours encore et le patient guérit.
Observation
. IV. - Binitrobenzol. Cyanose, céphalalgie, sensa
raumatique ; par M. BERNHARDT. (Neurolog. Centralbl., XIX, 1900).
Observation
d'un homme vigoureux, de 38 ans, tout à fait bien
S. NaLU-1NDOV. (Oboz- rénié psichiatrii, V, 1900). L'intérêt de l'
observation
gît dans l'étude clinique et radiosco- pique du
contradiction entre deux processus au même endroit de l'os ? Notre
observation
nous permet de péné- trer jusqu'à un certain po
imow, en s'ap- puyant sur la bibliographie. ' Il fournit enfin 20
observations
qu'il analyse où le traitement REVUE DE PATHOLO
Dans les 8 premières, une amélioration s'est fait sentir. Dans les
observations
9 et 10, le mercure a exercé une influence pern
vations 9 et 10, le mercure a exercé une influence pernicieuse. Les
observations
11 et 12 concernent un tabes grave, avec affect
pas effectué le traitement antisyphilitique en temps opportun. Les
observations
13, 14, 15, 16, de tabes chez les membres d'une
t obtenu un sou- z lagement marqué du mercure. Dans la dix-huitième
observation
il s'agit d'une période névralgique et préataxi
ance de la vue perdue- au moyen des autl es organes sensoriels. Une
observation
à part' montre l'apaisement des accidents tabét
ve ; ' par W.-M'. BSCIITEItEW. (Oboz1'énié psychialrii, V. 1900.)
Observation
d'un homme éprouvant depuis une attaque de con-
gère exagération des réflexes tendineux et pharyngiens. Une autre
observation
concerne une jeune fille de vingt-huit ans qui,
11 juin, il se déclare bien portant et ne se souvient de rien. Une
observation
prolongée pendant près d'un an révèle simplement
t; par KOLL9R1TS. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 1, 1901).
Observation
clinique d'nn syndrome bulbaire apparu brusque-
SAVILL. (Nouv. Iconogr. de la Salpétriére, n° 2, 1901.) .) Quatre
observations
: paralysie chez un marchand de nouveautés cram
M. Lannois. (Nouv. Iconogr de la Salpé- trière, n° 3, 1901.) Deux
observations
qui autorisent l'auteur à admettre que l'Hel- m
pline. Mais de telle sorte que les méde- cins puissent faire toutes
observations
de criminologie désirables. Des recherches anté
voyés à l'infirmerie. L'auteur n'a jamais trouvé dans les prisons d'
observations
des criminels qui y sont, permettant de se faire
st en faillite. Donc le devoir du médecin devrait être de tenir les
observations
à jour. Il devrait SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 s'en
influe sur celle du pronostic, qui est un point capital. Nos deux
observations
peuvent se résumer en une seule histoire dont l
ur cérébrale avec autopsie. . Ilill. KL1PPEL ET JARVIS rapportent l'
observation
d'un homme de soixante-dix sept ans ayant prése
rophie conjonctive myélopathique. M. Rapin (de Genève) rapporte l'
observation
d'une fillette de sept ans, qui, à l'âge de vin
les plus chauds. Myopathies familiales. , lui. Clstan rapporte l'
observation
de la famille de deux myopa- 86 SOCIÉTÉS SAVANT
u syndrome musculaire comme signe pronostic. M. DuFOUR communique l'
observation
d'une femme dégénérée et débile, âgée de trente
variqueux). 1 ' M. CHIPAULT. - Je vous présente quinze nouvelles
observations
d'élongation trophique qui m'ont été adressées
te série la rend particulière- ment intéressante. Sur ces quinzes
observations
, onze sont relatives à des maux perforants, deu
constater que cette malade avec' celle dont il a récemment publié l'
observation
confirment les données théoriques qu'il a établ
isin. Sur la masturbation périodique. M. Maurice Bloch rapporte l'
observation
d'une femme qui pré- 92 SOCIÉTÉS SAVANTES. se
s brachiales hysléro-alcooliques bénignes des man01lVJ'ieJ's. Les
observations
dont nous allons relater les détails et les cou
ux caractères de cette forme de paralysie des membres supérieurs.
Observation
I. Bern..., trente-sept ans, déménageur. Antécé
porter une chaise à bras tendu. Il s'en retourne chez lui guéri.
Observation
II. Lestr..., quarante-deux ans, chauffeur à l'
oisième fois, le jour suivant, pour que sa guérison fût complète.
Observation
III. Gu... Pierre, quarante-un ans, déménageur.
ri et la vigueur de sa poignée de main nous en est un sûr garant.
Observation
IV. Joseph Du..., quarante-neuf ans, raccommo-
venue, le malade donne 35 kilogrammes avec la main droite. Exeat.
Observation
Y. - L..., cinquante-deux ans, tailleur de pierre
e de reprendre son travail, il ne revient plus à la consultation.
Observation
VI. D..., cinquante-trois ans, bahutier. Pas d'
nce de faradisation ; guérison complète. Exeat le 7. La lecture des
observations
qui précèdent montre com- . Fig. 16. 108 CLIN
s troubles sensitifs et l'extension de la paralysie motrice. Dans l'
observation
I, où la paralysie était limitée à la main, une
cutanée enveloppait la totalité de l'avant-bras, tandis que dans l'
observation
V la main seule était hypoesthésique, bien que
tout l'avant-bras. Bien que le fait ne soit pas signalé dans nos
observations
, nous pouvons affirmer qu'indépendamment des tr
rois mois d'extension (deux fois par semaine). Voici du reste son
observation
. M. C..., âgé de quarante-deux ans, employé de
ors elles n'occasionnent plus l'insomnie et, comme on l'a vu dans l'
observation
précédente, elles peuvent disparaître complètem
s un cas les douleurs ont cédé après deux mois d'extension. Voici l'
observation
restreinte du malade : M. Se...,. âgé de quaran
se plaint plus de douleurs ; passe ses nuits sans se réveiller. L'
observation
suivante montre que l'extension agit parfois di
maux entre la perception consciente et la volonté ». Néanmoins, les
observations
où l'incoordination fut considérablement amélio
'amélioration des troubles moteurs des tabétiques. Des 14 premières
observations
publiées dans la leçon de Charcot, « chez tous
les yeux fermés une et deux minutes. Chez le malade de la première
observation
citée plus haut, le signe de Romberg s'est atté
, les troubles gastriques et les troubles oculaires. ° Voici deux
observations
de deux malades, soignées dans .le service de n
sionna une compression de la vessie et des troubles vésicaux. Cette
observation
montre bien que l'extension supprime de nombreu
début du traitement. Se raidit moins en faisant les exercices. L'
observation
suivante est intéressante au point de vue de l'
l'articulation du genou par la contraction du triceps fémoral. Ses
observations
offrent cette particularité que la flexion plan
ps, tandis qu'une lésion siégeant au-dessus, comme dans la dernière
observation
, provoque le réflexe fémoral sous la forme de f
te aiguë ; par G. IiI6ELES. (11 eurolog. CentralbL, XIX, 1900.) L'
observation
a trait à une myélite aiguë, siégant il la partie
urcmvv. (Obozrénié psi- chiatrii, v. 1900). L'auteur décrit trois
observations
de ptyalisme nerveux périphé- rique, autonome,
hé- rique, autonome, par excitation de la corde du tympan, et une
observation
de ptyalisme idiopathique périodique d'origine ce
lisme idiopathique périodique d'origine cen- trale. Résumons-les.
Observation
! . l. - Un homme de quarante-deux ans, bien port
- tisme au bras droit, et est actuellement affecté d'un coryza. -
Observation
IL -Une veuve de plus de soixante-dix ans, indemn
vasculaires. Coeur affaibli : léger oedème des extrémi- tés. , -
Observation
III. - Israélite d'âge moyen crachant une énorme
e est liquide. Pas de cause appréciable; aucune maladie nerveuse.
Observation
IV. -Jeuné homme de vingt-cinq ans, de famille né
ise et A.-Th. l.AzounsKY. (Obozrénié psicltiah·èi, V, 1900.) Onze
observations
, deux tableaux et des tracés aboutissent aux co
Lucien MA\ET. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 2, 1901.). Une
observation
d'hypertrichose très remarquable chez un sujet
e, n° 3, 1901.) A l'occasion d'un cas d'endothéliome méningé dont l'
observation
a été antérieurement. présentée à la Société de
hique, mais, en tout cas, les produits de l'expérimentation et de l'
observation
clinique mettent en évidence que l'écorce du ce
e sur une masse de données expérimentales exactes et sur beaucoup d'
observations
cliniques excellentes. Depuis trente ans, la th
abolie du côté de cette lésion. M. Iinsnovrr (de Prague) envoie l'
observation
d'un homme qui présentait des mouvements associ
ntal au cours de l'urémie. M. KLIPPEL au nom de M. lIANNION lit une
observation
relative à ' un enfant de treize mois qui fut a
cation qu'il a faite au sujet de l'auto-microsthésie. Il rapporte l'
observation
d'un tabétique dont l'incoordination motrice fu
oposition à l'unanimité. N. VERSJLOFF. Un cas d'ucronzégalie. L'
observation
a trait à une femme âgée de trente-trois ans. Le
intéressante question. De l'ensemble de leurs théories et de leurs
observations
cliniques, on peut conclure que les souvenirs s
s suivies, et c'est le résultat, le dépouillement de ces milliers d'
observations
qu'il présente aujourd'hui aux confrères en ne
auteur est trop modeste. Certes ce travail est bien le résultat des
observations
de l'auteur; mais il oublie de dire que, à l'aide
t. Chaque fait avancé par l'auteur est immédiatement appuyé par des
observations
personnelles ou relevées dans les auteurs. - Un
un des plus complets qui aient été publiés sur le sujet. Outre ces
observations
personnelles, M. Gélineau a puisé dans les aute
ntérêt, en France et à l'étranger, ont pleinement confirmé, par des
observations
nouvelles, l'exactitude de notre description. Q
ais été isolé et décrit avant nous. Il existait bien quelques rares
observations
, notamment celles de Casper et de Boucher ', où
ogie, où il a été effectivement publié tout à fait in exleaso, avec
observations
, date en réalité de six mois avant, ayant ' Lav
our ainsi dire, est un travail très important de 120 pages, avec 13
observations
, formant le complément naturel de notre communi
rologisches Centralblall, 1897, n° 9 (1°r mai). Du même : Nouvelles
observations
sur V Ereuthophobie. (Obocrezzie psiclzialrü ....
re et surtout peut-être par l'excellent terrain qu'elle offrait à l'
observation
de certains points fon- damentaux de psychologi
ans ces cas à de la vaso-constriction qu'à de la vaso-dilatation.
Observation
(personnelle) 2. L'affection dont je suis atteint
méro de janvier 1897 des Archives de Neurologie, un résumé de cette
observation
(obs. III). Depuis, le sujet nous a adressé ces
s rapportées plus haut et reconnues fondées d'après nos pro- pres
observations
, car nous avons eu soin précisément de n'opérer
par l'apport de mon modeste travail, tout d'expéri- mentation et d'
observation
, pour montrer, qu'en me plaçant dans les mêmes
de Be1gique, mars 1901.) Etude statistique et clinique basée sur l'
observation
de 485 alié- nés criminels qui sont entrés dans
de Neurologie,. ,1901 , n° 12.) L'auteur relate un certain nombre d'
observations
qui tendent à prouver que l'alcoolisme des pare
NDON de 10,NI'YEL. (Revue de méde- cine, novembre 1900.) Les huit
observations
que rapportent l'auteur portent sur plu- sieurs
rcester. (The american journal of Insattit ? 1900, p. 127-136.) -
Observation
I. Début à quinze ans. Père syphilitique. Soeur
opsie : lésions peu avancées; poids de l'encéphale : 885 grammes.
Observation
IL Mulâtresse; début à dix-neuf ans, peu de tem
ans après des convulsions. Lésions avancées; poids : 8j5 grammes.
Observation
III. Admise à dix-huit ans avec le diagnostic de
1900, p. 614- 624). - Ces deux articles représentent ensemble une
observation
des 1 Ces faits sont à rapprocher de ceux qu'a
voir résumé quelques cas d'auteurs étrangers, K. Ebing rapporte des
observations
personnelles répondant aux caractères de ce gro
ique d'épilepsie ou d'hys- térle - ainsi que le démontrent quelques
observations
longuement décrites et minutieusement analysées
conduc- trice. Hallucinations cleristopatiques de la crucifixion.
Observation
: femme de trente-deux ans, après insomnies et
cK. (Dull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1901.) .)
Observation
d'une femme de trente et un ans, ne présentant
héberger des reptiles, serpents, crapauds, grenouilles. Voici trois
observations
de ce genre. ' Observation 1. Un paysan maigre
s, crapauds, grenouilles. Voici trois observations de ce genre. '
Observation
1. Un paysan maigre et nerveux, de trente ans e
tellectuels. On ne peut obtenir de renseignements sur l'hérédité.
Observation
II. Une femme couchée dans un hangar à foin épr
oif extrême. Exaspération, par moment, des phénomènes. Désespoir.
Observation
III. Ici encore le serpent s'est faufilé pendant
orénié psicleicctrü, V, 1900.) L'intérêt de ce mémoire gît dans les
observations
: : ' - 1° Particulièrement embrouillés sont le
ressem- bler àla clémence organiquc (lésions circonscrites) : deux
observations
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ` 23u Inverseme
par leur évolution et leurs symptômes, à la paralysie générale : l'
observation
correspondante revendique, en faveur d'une lésion
e sans cependant que celle-ci soit évidente. Qu'on lise avec soin l'
observation
de folie à double forme terminée par une méning
mélancolique simple, dont l'une aboutit à la démence secondaire; 4°
observation
de démence sénile, en imposant, dans les premie
est sur le peu d'épaisseur et la fragilité du crâne du sujet dont l'
observation
est rapportée dans cet article, que l'auteur tien
restés à l'état rudi- mentaire. Sans entrer dans les détails de l'
observation
, nous citerons les principales déformations que
le très impar- fait et très mal developpé. Les auteurs joignent à l'
observation
, prise dans ses moindres détails, la photograph
et donné lieu à une paraplégie spasmodique . M. CES TAN rapporte l'
observation
avec autopsie de deux femmes atteintes de psamm
ainopathies localisées. M. Chipault. L'auteur, en se basant sur six
observations
, décrit une affection douloureuse caractérisée
n des accidents du tabétique. Nous avons dans ce but parcouru les
observations
collectionnées dans le service de rééducation i
à la clinique Charcot. par M. le Pr Raymond, en 1896, et aussi les
observations
recueillies au cours de deux voyages d'études a
-syphilitique et la suspension, mais pour l'une et pour l'autre nos
observations
aboutissent à des résultats absolument contra-
tion opiniâtre et suggestion hypnotique. · M. PAUL FAREz rapporte l'
observation
d'une femme detrente - cinq ans atteinte de con
ont intacts. L'auteur attire l'attention sur ce fait que dans cette
observation
les lésions ont eu une marche ascendante. En ef
l'hémicranie. Il cite, comme preuve à l'appui de cette assertion, l'
observation
d'une malade, âgée de vingt-huit ans et sujette
as) tels ont été les principaux symptômes. Suit un détail de ces 60
observations
. Chapitre II. Etiologie et pathologie de la par
Syphilis dans la paralysie générale des aliénés; parH.-W. LEWIS.
Observations
prises sur une série de 200 malades admis à l'asi
16 cas ; 4 étaient douteux. et 3 négatifs. Suit le détail de ces 23
observations
Dégénération du ganglion postérieur ou spinal e
e de ces rapports. ' En dehors de toute expérimentation, il est d'
observation
banale que certaines joies comme certaines tris
nguine, accélération de la respiration et du coeur. Enfin, et cette
observation
four- nirait une preuve directe contre la théor
ie de la volonté. CLINIQUE MENTALE. Biographie d'une idée fixe.
Observation
de CASPER '. Ce n'est pas sans mûre réflexion q
le plus remarquable et le plus frappant qui se soit présenté à mon
observation
. Si nous suivons une idée fixe depuis son origi
tique ou empirico-philosophique là où l'analyse, la cri- tique et l'
observation
des sciences naturelles réclament seules leurs
rme mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BOYI;ft . Nombreuses sont les
observations
que nous avons publiées sur l'idiotie morale, s
ttre en relief l'un des symptômes de cette maladie : le mensonge.
Observation
I. Idiotie morale ; légère arriération intellectu
se, accouchement; naissance, rien de parlicze- 1 Un résumé de cette
observation
a été communiqué par M. Boyer il la Société lib
ite et si faux, que nous ne savons s'il nous aime réellement ». Les
observations
que l'on trouvera plus loin donneront une idée
sénieux n'en renferme que 24 p. 100. De plus les expériences et les
observations
de A. Gautier, Renaut, Danlos, 30 REVUE DE THÉR
e remède à des doses relativement élevées. M. Lannois rapporte cinq
observations
de diverses formes de chorée qu'il a traitées d
e se manifestait par aucun signe subjectif. Etude minutieuse de ces
observations
rapprochée des expériences de II. Graun : intox
jeu. 11 n'existe pas de signes de lésions de la moelle, sauf dans l'
observation
I où il y avait de l'incontinence - d'urine, ma
ateuse; par II. II6LLENDALL. . (Neurolog. Centraltl., XIX, 1900.)
Observation
curieuse en ce sens que la pièce anatomique laiss
- pathétique; par L.-E. 13REGMAN. (Neurolog. Centrant" XIX, 1900.)
Observation
de paralysie périphérique de l'oculo-moteur com-
duisant la congestion de l'iris et son rétrécissement ` ! Voici une
observation
: 312- . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
u par la ferme- . ture énergique des yeux. - Voilà maintenant six
observations
où la pupille d'un oeil se - contracte sous l'i
e la tendance mydriatique de l'occlusion de l'oeil. Pour finir, une
observation
de paralysie unilatérale de l'iris, suite de tr
cho-hyperesthésie fonctionnelle plus ou moins isolée. En voici deux
observations
. La première est en rapport avec la malaria; la
nIEl\N (cVotev. , `- r Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901.) -
Observation
d'un groupe de rachitiques composé d'une mère r
dans les expé- riences antérieures. Il en ressort les intéressantes
observations
suivantes : une excitation agréable qui a pour
s aphasiques sensoriels. M. ViGounoux communique deux intéressantes
observations
de malades présentant, l'un de la surdité verba
Kyste hydatique ostéo-fibl'CllX du cerveau. M. Vigoureux rapporte l'
observation
d'un individu, entré dans son service avec, tou
unique en son nom et au nom de M. Guiard. interne de son service, l'
observation
d'un, malade, de souche arthritique et cancéreu
t loin d'être rare, nous l'avons tous observé. Il en existe maintes
observations
dans la science. Esquhrol le considérait comme
dans un cas aussi net ? J. 13,\J31;\ISKI. -Je ferai remarquer que l'
observation
de M. Marie n'est pas en opposition avec mes id
aticiens peu initiés a la pratique de l'hypnotisme. M. MAGMX. Mes
observations
confirment pleinement celles de M. l3érillou ;
de Dumonlhallier à la Pitié. M. Corimn présente, à l'appui de ces
observations
, une malade qui, lors des premières séances d'h
tielle ci la suggestion hypnotique. M. Fanez montre, à propos d'une
observation
, que si une sug- gestion se heurte à une idée p
ns de nature paralytique avec symptômes correspondants. Telle est l'
observation
suivante : Il s'agit d'un malade, âgé de trente
ctus sont tout à fait de nature paralytique. - En dehors de cette
observation
, l'auteur a eu l'occasion d'ob- server deux cas
tique chez des jeunes sujets. Il est remarquable que dans les trois
observations
, les ictus se sont -montrés au cours du traitem
s ictus se sont -montrés au cours du traitement mercuriel. De ces
observations
M. llouraloff tire les conclusions suivantes :
uve que les particularités du ta- bleau clinique que présentent les
observations
de M. Monratoff, peuvent se rencontrer dans d'a
paralysie générale. IVI. 1 lONSTArÇTINOWSKY pense que la première
observation
de M. Mouratoff peut être rapportée à la catégo
3 M. SERBSKY attire l'attention sur'ce fait que, dans la première
observation
de M. AI ? le premier ictus a eu lieu six ans ava
oint de vue ana- tomique. M. BER1\STEIN pense qu'à la rigueur les
observations
de 111. 1f .. pourraient prouver l'origine para
lles planches. Aux bureaux du Progrès médical. BIBLIOGRAPHIE. 34S
observations
récentes permettent d'espérer que l'évacuation d'
t, l'analyse seule des urines nous importe. Si dans les minutieuses
observations
données dans le mémoire nous recherchons l'abaiss
l augmenté dans les accès ? Krainsky le croirait, d'après plusieurs
observations
, mais il fait encore des réserves sur ce fait.
é à ['Idiotie symptùmatique de sclérose tubéreuse. Il repose sur 25
observations
, dont 3 personnelles. L'auteur rappelle que BIB
le que sont dus les premiers cas. Il analyse longuement sept de ses
observations
, puis relate celles des autres auteurs. Sa list
du commerce et des finances dont elle dépend, et que jamais aucune
observation
ne lui avait été faite. Ce sont ces deux thèses
ar le D' M. MUTTERER, 1 Médecin à l'hôpital de Mulhouse (Alsace).
Observation
. Rosalie E..., dix-huit ans, entrée le 11 janvier
qui a même été beaucoup contesté' ; toutefois, un certain nombre d'
observations
concluantes mettent son existence réelle hors d
dans le fonctionnement du système nerveux. RECUEIL DE FAITS. Une
observation
d'hémimélie chez un aliéné; PAR LES DOCTEURS
t la rareté des faits analogues publiés ajoute à l'intérêt de notre
observation
. La question de l'origine des mons- truosités d
des tissus du bras à repousser. On trouve à ce sujet une précieuse
observation
présentée par Variot, et une intéressante discu
é du service radiographique et chirurgien de l'asile des aliénés.
Observation
de paralysie générale gémellaire homomorphe (Dé
siegénérale, observés chez des jumeaux, et lui-même rapporte une
observation
dans laquelle les sujets, âgés de trente- trois
s d'une démence précoce, progressi- vement développée chez eux. L'
observation
que nous publions aujourd'hui, est un exemple f
es Sciences médicales de Lyon, 21 mars 1900.) M. Lannois rapporte l'
observation
d'une malade atteinte de para- lysie radiale do
nnois. (Lyon médical, avril 1900, p. 4GJ.) M. Lannois publie cinq
observations
de surdité ourlienne, affec- tion, qui malgré s
1881. En 1898, M. May, élève de M. Lannois, n'en put réunir que 58
observations
. A propos des observations qu'il publie, l'aute
ve de M. Lannois, n'en put réunir que 58 observations. A propos des
observations
qu'il publie, l'auteur fait remarquer que les m
côté malade, et la radiographie, une de 0,006 millimè- tres. Cette
observation
ne ruine nullement la théorie de Destol, . car
édecine de Lyon, séance du 10 décembre 1900.) M. Lannois.présente l'
observation
d'un malade, âgé actuellement de soixante ans,
par le phosphore, il se produit des symptômes de névrite. Sur les7
observations
recueillies par l'auteur en 1898 et 1899, la né
nerfs intercostaux (obs. VI). Le sens de la chaleur est altéré : l'
observation
VI en témoigne (fig2sl'PS). Le patient ne perço
Il y a analogie avec la névrite arsé- nicale. P. IVER AV.1L. LXV.
Observation
de myotonie congénitale partielle; par R. GAUpp.
ar R. GAUPP. (Cenlmlbl. f. Nel'venheilk., XXIII, N. F. XI, 1900.)
Observation
de sclérose en plaques d'origine traumatique ; le
rébrale légère; par W. KLINK. (Neurolog. Ceaztralbl., XIX, 1900.)
Observation
semblable à celle que M. Naecke a publiée de lui-
syphilis a été la cause de la maladie; il les résume. Quatre autres
observations
, également résumées, témoignent de l'idiotie, a
e Basedow; par S. Poporr. (Neurolog. Centralbl., XIX, 1900.) Deux
observations
sont relatées. La première est un type de goitr
considérée comme la preuve d'une simulation. » P. KERAVAL. LXXII.
Observation
d'écholalie. Contribution à l'étude des atro- p
de l'augmentation de l'influence du cerveau. P. KERAVAL.. LXXIV.
Observation
originale d'atrophie musculaire étendue, à débu
ssus anatomique dans les cornes antérieures grises, et rappellent l'
observation
de Landouzy et DEJEMKE [Revue de médecine, 1882
n (Figures). Il n'y manque plus que l'autopsie. P. KERAVAL. LXXV.
Observation
de bégaiement de trompette; par E. KAL : >1us,
n de denrées coloniales dans quelque petite boutique de détail. L'
observation
détaillée montre l'association d'une inconscience
à l'influenza ; par Guttmann. (Neurolog. CeItrulbl., XIX, 1900.)
Observation
1.- Jeune homme de dix-sept ans et demi, affecté
les résidus de l'encé- phalite devront graduellement se dissiper.
Observation
II. - Encéphalite postinfluenzique, chez une 39
ments ducomplexus symptomatique du tabes. P. Keraval. s LXXXII.
Observation
de paralysie des racines inférieures du plexus
og. Ceu(rul6l., XIX, 1900.) Histoire et étude critique, d'après les
observations
des auteurs, de l'érythrophobie, ou angoisse de
sion de la rou- geur (éreuthophobie), lcairophohie de rougeur : `1G
observations
. Par 5 observations personnelles choisies à des
(éreuthophobie), lcairophohie de rougeur : `1G observations. Par 5
observations
personnelles choisies à dessein, l'auteur souli-
certé par sa rougeur, mais n'y pense plus dès qu'elle est passée. L'
observation
111 est une éreullcose émotive, la cinquième, u
(Nouv. Ieonogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901.) A propos de deux
observations
d'achondroplases adultes, l'au- teur discute la
rce en activant le courant sanguin à la surface du corps. Ces trois
observations
importantes conduisent à * la même conclusion,
formes de sclérose multiple. L'auteur rapporte ici avec détail une
observation
caractéristique.' Il rapporte ensuite quatre ob
détail une observation caractéristique.' Il rapporte ensuite quatre
observations
d'ataxie spinale aiguë, dans lesquelles l'étude
sur la nature des lésions, malgré que l'autopsie fasse défaut. Ces
observations
sont intéressantes, et suggèrent à l'auteur que
. R. DE MLISG1(AVE-CLAY. XCII. Anesthésie. Paralysie périphérique :
observation
d'un cas peu commun de paralysie brachiale bila
oisons métalliques et non métalliques, etc. Cette revue est semée d'
observations
personnelles résumées; où l'auteur insiste sur
-C. LovrLAND. (The New 1-oi-le Médical Journal, 16 février 1901).
Observation
. M"0 M..., vingt-quatre ans, célibataire, mens-
tude anthropologique des aliénés et des crimi- nels, illustrée de 8
observations
avec photographies et courbes crâniennes. Noter
llement résolue : un établissement -spécial pour le traitement et l'
observation
des détenus aliénés et des inculpés présumés al
MÉDECINE LÉGALE. présenté des troubles psychiques, nécessitant une
observation
spé- ciale ; b) les détenus accomplissant une p
ilusions) ou d'accès aigus de manie ; l'auteur relate ici plusieurs
observations
de ce genre; ' 2" Après l'attaque, les troubles
tionne pas. (Ici encore et un peu plus loin trouvent place quelques
observations
intéres- santes). Dans beaucoup de cas d'homici
drome de Bénédict avec autopsie. ' M. IlASCOVB : K communique ses
observations
sur la dégéné1'es- rente des nerfs testiculaire
le- Du S. IIcrorr. (Th. Lyon, 1900-1901.) A propos d'une nouvelle
observation
d'ostéo-arthropathie syrin- ' gomyélique (ostéo
non sanglant ; 2° les ostéo-arthropathies infec- tueuses (cas de l'
observation
de l'auteur) où les interventions sanglantes so
ses formes, soit pour son pronostic. Se basant sur de nom- breuses
observations
intéressantes et prises d'une façon parfaite il
mpiéterait même sur la partie avoisi- nante du lobe pariétal. Une
observation
publiée récemment par L. Laqueur et M. B. Schmi
occipital, s'étendait jus- qu'à 18 millimètres de celle-ci. ' / L'
observation
de Laqueur et Schmidt confirme donc les opinion
lés externes peuvent donner lieu à une hémianopsie homonyme ; trois
observations
, de Henschen, de Jackson et d'Edinger, le prouv
ychologique minutieuse nous donna la clef. Nous 'serons brefs sur l'
observation
qui a déjà fait l'objet d'un précédent travail
veries, des imaginations. » Mais la croyance en la réalité de cette
observation
de psychologie . délicate ne dure pas longtemps
qu'on a sondé et pénétré à fond le caractère du sujet. VI 1 L'
observation
de ce sujet dont nous avons analysé et précisé
de rappeler ici ni les discus- sions soulevées à ce propos, ni les
observations
et documents apportés pour l'étude de la questi
titre et nous avons trouvé pleine justification dans l'analyse de l'
observation
méthodique d'un nombre considérable d'aliénés q
e dirigée avant tout examen somatique ». RECUEIL DE FAITS. Cinq
observations
de paralysie générale conjugale; . PAR LES DOCT
s, une importance indiscutée. C'est ainsi que dans notre première
observation
par exem- ple, le mari infecté au régiment, fai
es et la nature inconnue déconcertent et divisent les cliniciens.
Observation
I. Homme de quarante et un ans, tailleur d'ha-
nt sans cesse, meurt le 31 décembre 1899 de cachexie paralytique.
Observation
II. - Homme de cinquante ans, sous-officier de ge
s d'excès' alcooliques et vénériens elle a contracté la syphilis.
Observation
III. flom ! 1/e de quarante-huit ans, garçon bras
L'affection évolue rapidement et la malade meurt le 1er mai 1897.
Observation
IV. Homme de trente-huit ans, maréchal-ferrant,
Cachexie. Mort dans le marasme paralytique le 7 novembre 1898. ,
Observation
V. - llonznte de quarante-sept ans, filtier, indi
période d'état. Six mois après elle succombe dans le marasme. Les
observations
que nous venons de rapporter, présen- tent malh
nfecté, a toujours eu soin de cacher. / Telles qu'elles sont, ces
observations
ne semblent pas plaider en faveur de l'unité ét
tique nous semblent bien significatifs à ce point de vue. Dans Y
observation
II, le rôle de la syphilis est moins cer- tain,
u élucider ce problème. L'alcoolisme des deux conjoints, est dans l'
observation
III, la seule cause que nous y ayons relevée.
de la femme est attribuable aux chagrins et à la misère . Dans l'
observation
V, les époux ne sont ni alcooliques ni syphilit
s habitudes d'alcoolisme des époux qui fout l'objet de la troisième
observation
sont la source commune où ils ont trouvé la mal
nt la source commune où ils ont trouvé la maladie, enfin dans les
observations
IV et V le départ du mari laisse la femme dans
ltané- ment chez les conjoints. Elle débuta chez le mari dans les
observations
I, III, IV, V. Dans l'observation II, tout nous
e débuta chez le mari dans les observations I, III, IV, V. Dans l'
observation
II, tout nous permet de croire que la femme a é
femme a été prise la première. Le mari est mort le premier dans les
observations
I, III, IV. La femme est morte la première dans
les observations I, III, IV. La femme est morte la première dans l'
observation
V. Rappelons enfin que dans l'observation I la
morte la première dans l'observation V. Rappelons enfin que dans l'
observation
I la femme présenta des signes de tabes plusieu
généraux; par M. M. Reznikow. (OLoüréaié psichialrii, V, 1900.) Six
observations
personnelles, des plus complètes, avec tracés d
kow ; par M. LUECERATII. (Neurolog. Cecatnalbl., 11X, 1900.) Deux
observations
caractérisées par une atteinte remarquable de .
r, de même qu'un accès d'épilepsie mentionné à l'alcool. La seconde
observation
a trait à un alcoolique de quarante-cinq ans, t
ux organes à l'égard de la convergence et de l'accommodation. Trois
observations
, contradictoires, dans les- quelles aucun des t
les yeux restent ouverts à la suite de ce manège. Dans la deuxième
observation
, avant l'expérience en question, la pupille dro
ant ou en plongeant dans l'ombre les deux yeux. Le paralytique de l'
observation
111 a la pupille gau- che bien plus large que l
J.-K.-A. V'ERTnEI\f-SALOAIOn50N. (Neurolog. Ccztrul6l , X[X 1900.)
Observation
caractérisée par la combinaison de symptômes re
jouterait en sus une légère démence. 11 faut en rapprocher les deux
observations
d'A. Heimann, celle de Placzek, celle de Hint-
caractérisé dans les lignes suivantes empruntées à l'une des quatre
observations
du présent mémoire. Le malade décrit en personne
ires, enfin sur le mouve- ment de la population, et termine par des
observations
générales asiles d'aliénés. , 505 dont nous r
nchement cérébelleux (incoordination, dysarthrie, asynergie), cette
observation
corrobore donc anatomiquement et cliniquement l
d'autant plus marqués, comme je m'en suis assuré par la lecture des
observations
, que la dose de mercure employée est plus élevée.
ibre statique et que l'asynergie s'as- socie à la catalepsie. Mes
observations
tendent à montrer que la catalepsie peut dépend
appeler « bilatéral ». ). J'ai montré, il y a plus d'un an, et mes
observations
ont été confirmées par MM. Gellé, Napieralski,
puis 1880, à l'hospice de Bicêtre. La seconde partie contient les
observations
cliniques les plus intéressantes du service. Le
e myxoedémateuse, très améliorée parle traitement thyroidien.- Deux
observations
de corps étrangers de l'cesophage chez les idiots
ncéphalite chroniques (Fig. 30 et' 31). Deux travaux démontrent aux
observations
très concluantes les excellents résultais du tr
remier examen ; ils sont cons- BIBLIOGRAPHIE. ë2'l tatables par l'
observation
directe. Les déments précoces tantôt sont plong
ante pour faire comprendre l'intérêt du travail de M. Masselon. Les
observations
, prises toutes à la mai- BIBLIOGRAPHIE. 523 s
terait tout accident. Appuyant son étude clinique sur de nombreuses
observations
favo- rables, l'auteur s'efforce de montrer que
s qui précèdent, Kraepelin a recueilli pendant cinq ans une série d'
observations
, afin de pouvoir jeter un coup d'oeil d'ensembl
abli un diagnostic précis et un pronostic déterminé après un mois d'
observation
. Le diagnostic définitif n'a été inscrit qu'après
t ainsi : · 530 VARIA. très douteuse. Un examen plus prolongé des
observations
permet de constater l'existence d'une série d'a
ms- tique de la maladie de -, par l'opolT, 382... i Bégaiement.
Observation
de - de trompette, par Kalnius, 385. Benedikt
et Laignel-Lavastine, 243. par fluet et CII. lnfroit. 141. Une
observation
11' - chez un aliéné, par Garnier et Saute no
I*octilo-inoteiii commun et du pathétique, par Bregman, 308. Une
observation
de - générale gémellaire homomorphe, par Ké-
- atrophique isolé et du nel miisculo-ctitiné, par Hoffmann, 378.
Observation
de des racines intérieures du plexus brachial
as, par Dupré et lluet, p. 420. - guérie par la foudre, 430. Cinq
observations
de - générale conjugales, par Géra- val et Ra
us nous sommes conformé à ces conseils, et c'est le résultat de ces
observations
que nous allons reproduire ici. Nous exposero
xposerons d'abord les faits tels qu'ils se sont présentés à nous.
Observation
I.M. A..., âgé de dix-huit ans, grand et beau g
e tête, mais ce n'est plus jamais qu'une indisposition passagère.
Observation
II. M. B..., âgé de dix-huit ans, m'est adressé
gt-trois ans, il est encore dans le même état qu'il y,a cinq ans.
Observation
III. -11. C..., âgé actuellement de quinze ans,
devint triste et irascible. Il entrait en colère pour la moindre
observation
et poussait quelquefois l'irritation si loin qu'i
notre jeune malade passera son baccalauréat à la fin de l'année.
Observation
Ive D..., âgé de treize ans, fils unique d'une
bitement de ses douleurs, et cela avec une très grande intensité.
Observation
V. - D..., âgé de quinze ans, né de parents bie
t il est un des premiers élèves de sa classe. J'ajouterai à cette
observation
que la mère m'amena dans les quinze derniers jo
reprendre son traitement tout en continuant à suivre les classes.
Observation
VI. D..., âgé de treize ans, me fut adressé au
avait passé en 1882 son bacca- lauréat avec d'excellentes notes.
Observation
VII. C'est celle d'un jeune Américain, qui nous
'une façon fort satisfaisante. DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 15
Observation
VIII. - X..., né d'un père rhumatisant, a com-
tLacu1l011elt.,JJj'l j, "-1 Je : : ;JIJ 'IL 1l1" 1 ,2.'HI ? [\ e' z
Observation
X. X..., âgé de dix ans. 11 est le fils d'une d
intelli- gent et travailleur. . ,1 r' .¡ Ha.. " Q '(1 .,1 ,Cf 4
Observation
xL-1..., âgé de douze ans. Sa mère a eu des col
s comptons publier notre travail prochainement, avec les nombreuses
observations
cliniques qui nous ont amené précisément il ces
n- n driaqe ? Brachetf'(ip6nse demême : 1111chéa t donne U ! 1 Ir
observation
/ très mette, empruntée 'à Brierre c1eIB)Ísï" ?
., Résultant, pour nous",du'ldépouiljement",mêl1Jy dei,toutes des
observations
,que, nous "avo ! ! s,¡pu,1 r : e,cueilllr¡ surf.
a place'fnousIÍnaÍ1que,tfdè1 de pouvoir^ rapporter'f'icil quelques^
observations
de'mâT ·lades'qùi Emieûx°qu'aucun(développeinen
'1 I tf T «).0 . · < ! If' ' 1 t 1 Íf ? r 1 ? \ 1 ") 1 ? >;
Observation
VIII. Hérédité palcmclle. - Manie intermil- ,j.
vôile complète- ment quand l'agitation,, est à son^ apogée. Cette ^
observation
dictée par la malade elle-même ne permet-elle p
il ? ¡r 'd, il,2J'1 1(, qtJq li n anlW IwJ'1U' vtlrnty,0, jmfl Z91
Observation
IX ? 11 é¡'édil maternelle. l-7t Manie aiguë avec
mier accouchement, seconde crise de manie qui dura dix mois, et une
observation
attentive et de tous les jours me \ . de consta
vocante, dans un'état 1 de vive surexcitation, elle répondait à nos
observations
: « iC'est au. médecin à guérir les folles, don
1 j.. ,, j. . tu. J . ,. '11 , TI' .Iflp, ? t l ? {'.I ? ? rr. ·v
Observation
X. Hérédité pa'Hpe ? y'oMme crise de .' .fI' ",
(I(y, : 9) ? t't')t <¡f, '" -;v[HT 4, 1 " ! ' - < 1, <. y1
Observation
XI. ? Double I,é1 : ér ? <if...Açqou.c/¡ement
.yW /'1 , - (1 · '1" (Î' ' l' If1 ? ... 1 f .. l'{ t -Il t .Ij'}
Observation
XIII. Hérédité paternelle. 'e ? '<e'n ? '</
? un,certain{l ? oI}1 ! Jr pour en fdrmeFune classe nouvelle ? Les
observations
de 111 ? l3aillarer-laissaient la question, en
"'J')r' '1\1 ) v y ! 1H IIJ"'i' [il, jollej '< ici 4' Plusieurs
observations
T nous. ont' mis=.déjài en' pré- sence 'd'une*
I .' L. observes, je rapporterai le suivant : , ? r , J ,. , .11(
Observation
XIV. - Hérédité rmalennell,e.,l,- Claayraas; con-
-) m ,1, /,\. ,). je fais connaître les trois suivants 1 - del \
Observation
XV ? Pas d'hérédité au dire de la'' famille. -
<,- .' ! rWÎr al;`o t tlir.r.Y tt. ·y r, yt C' ·r. 9 v W r .. t
Observation
XVI. - Double hérédité. Ménopause. lypé- manie
judiciable. t r T" 1 .. 1 ¿'1t,tf ) -t.tu- ? ' m - - ;i 1 ' ' '
Observation
XVII. - Hérédité maternelle. - Onanisme. - ;; .
'un an. m. ? '1 \1 " ' ' " ' r Une première chose frappé dàns ces
observations
, c'est l'anxiété déterminée chez les malades pa
y avaient une 01 a so ue ? ' : H14 I()"¡¡ L 1 " UL14,U(1, ? ` ? t
Observation
XVIII. Hérédité paternelle. Hallucinations (1c'
s des, éclairs de conscience. ? ,\-\. r * l' v, lrl ., , 1 - ,1 )
Observation
XIX. \ Pas d'hérédité au dire de la famille. .
o '.)IJfH'lj1'H1 ! 'J 31)1/1 onu .911'i ob 19 UOW1 qh '2fthlvlrt n"
Observation
XX. ? Hérédité paternelle. >j.Idées de t persé
gence,tt devient parfois l'ééü'eir'où 'eIÍe' sOlllbr. 1 Lies ! deux
observations
suivantes, .mieux que, toute description,, mont
1 'h', r.rn .t,f ri ? `7 . - 1 Il'1 ? ft/h.1. r1 ' ! f'ffilt'J' ?
Observation
XXI. Hérédité paternelle. Morsure ni un , . 'tt
911 - '551't A '\\\1"'( PW`1UG,SW ya\ult - 9'JI\'4S' ? ,iW" ,\ .'«)
Observation
XXII. Double hérédité. JVys'cMmc ? Z)e- doublem
etlautour delui; comme. dans -le- fait suivant.f'h tell Il Ilrutl
Observation
XXIII. -'Père viveur. Chagrins domestiques. Tro
'v}j.'1¿'Il'J cwlt ? lS.liSJ l5cn ",11 ? ? "\1\1\"\ ? . ! 1 l'Y.-
Observation
XXIV. Pas d hérédité au dire de la famille. .,
> EUtlf ! ? If) .fJ9'1 ,11(')11.)'1', ? jIH¡ÍJ 2n" rly 2tiifIT £
OBSERVATION
: XXV. ? 1, flé1'éd,ité.J maternelle ? h Chute su
tW .,ffi,'1 ? "f : I, ! qr ? 1r, r ' tRŸ.t v·wlfh n ili sa ! . ,
Observation
XXvll. Hérédité congestwe paternelle. Onrr |i-&
mp;jn5UinjJm I oilmq < : Rq h-JUGv an rinim J<) De toutes ces
observations
découlent- quelques consi : ; dérations général
'j'ElIes résultent'de per1 versions dé l'émotivité," comme dans les
observations
^ et VII : E[lessonten6n',d'autres'fois ? e prod
o 119 Jc`) ,10,1 Nous avons pu.L'J' 1 l, y, I ? an, une, première,.
observation
, relative à Ja <,miçl : 0ççR ? a{ ! e; Il et
d ! fJljj,lllbtJJlI ? il 'u,,¡ j')'1',l111 'JO" ? tmtls·v 6 Jn-jfa
Observation
? II.-v c'Père : ' leéGétudet'7ClSSlf('C)'e,l'C07
? ¡¡ ! ,mn')3 : n J 1 Les Planches I et II, qui accompagnent cette
observation
, nous permettent de nous boruer ,v une courtë d
médecine, avril, 1883.) , - · ' . DE LA ^MALADIE DE BASEDOW. 8t I
observations
; 'dans lesquelles' les malades1 présentèrent °den
plus fréquents''qu'on'ne 'sëraitrtéÍ1té'Ue'le croire', d'après les'
observations
recueillies jus'qu à'ce' jour. n )11 : ),,11'; ''
ns, dans le travail cité plus haut, rap- porté' un certain nombre d'
observations
soit personnelles, soit puisées dans des public
l' ún phénomène morbide; et si on lit, "avec attention les diverses
observations
.de; mqrycisme, on.neçtrouvetPas7 du'ilfdtiaccom
vrages de. cette époque, sont-ils .pleins de -confusion. ! et les
observations
toutes superficielles. Les auteurs, disposés ton-
eyr. ,V91Y¡J ? m.Clr1 les faits importants a relever, dans ces deux
observations
: r,, .y 11" lr'HJ'],'1 « ? rTf st 1J11J'I{'ltl
11J'I{'ltl ? H 17 ? ,n'Triyil .11er. lq.,0 ¡ ? l'.T. 6 Kid- frOll ,
Observation
I ? Chez le gentilhomme, padouan, la rumination
11 ? 1'\\-- \(1\\" \1 F8P 114 mfcfmn '" ! o ? rr,,\T{ nf' -nn,Irt ^
Observation
1. Quant au moine, il mourut, à trente-huit ans,
Ig, Burgower,Perineti, Leunerr, Abraham Will, Wepfer; mais leurs"
observations
sont'toujours bien incomplètes ! 'Ce "n'est guè
lep ? rn,I]eh ? ' i -.G 1Jy t. 1 . 1 ·vl ? t,l t1 | sonne; puis des
observations
dues,àl)ucasse,(1836, in Fronep Nolï ? el1, t.
aitl.que.¡mentionner, simplemellt,r, à] l'appui), de ']Son dire,. l'
observation
de'Becco, publiéé,par l'up .ç1.e.n(ms'a')I D8t,B
' ni ' i-i'iu'iif - " te. ,'uii ? ->; 1- Ij . , ,' , ? i». A une
observation
personnelle, 1 auteur réuni trois faits 'de Koc
t ,9'IIOJJ>'l,jqo .aiiAKu-M .0 .11ojj £ ! .)uob'( 'wÜ1 ! l1q L'
observation
qui sert de fondement à ce travail nous paraît
chez un , d,énzezit,éilep,ta'que, --=-ïp : ('f,0\l. relevons dans l'
observation
fort rudimentaire, du malade, delà mydriase gau
étudcs expérimentales' dei Munit'.» , fr'I"II.frflll,1'J n ? «1,
Observation
1. il s'agit d'une femme de cinquante-trois ans
les (animaux. ¡ L'inlérêt' nosogra- phique de, ce nouvel apport (27
observations
) réside dans la manifes- tation d'une manie pur
nsel que : Je phénomène u, g,quJ ? >t 1,Illlpe ! h ! endjnu (unQ
observation
de retard, du phénomène, avant sa, disparition)
deraifd'en douter' yt son principal ? argument 'est "une ' vieille^
observation
délJôliri vHûntêc Junior,' lue 'le ! 23'juin' 1
rangé* parmi les faits de.yaleur)positive.9Voyons, maintenant si l'
observation
que M. Luys a rendue fameuse réalise ces condit
e spécial'auquel M : Luys publie depuis si longtemps celte' vieille
observation
;de'quoi 's'agit- il ? de déterminer le siège de
meau. M. Luys laisse,d'ailleurs, chacun libre de 'tirer « de\ cette
observation
magistrale, les conclusions naturelles qu'elle fo
r' j ,i rv.Gr rité est moins dans les livrestofficiels que, dans l'
observation
directe de la.nature et qu'un fait clinique bie
n, officielle ambiante, vaut mieux, à lui tout seul, qu'une série d'
observations
plus .ou moins eomplaisamment recueillies, et q
rrsr, ua. <\'I.JJ3UP '1.tnE".GHl) )b qmrnorf r J ob La' première
observation
,' qui serti de soutènement ,à ce; travail, 1 co
excitabilité' électrique cons-1 tituent pour eux l'originalité de l'
observation
.dont ils .main tien- nent, (auijour des démonst
espour savoirs si» de¡ : pareils cas ! \,se sontg présentés à-leur,
observation
.)'{ ab BSOflonoiq 89ld0OTÎ agl .fiuvmt - lui. B
ladie, c'est à l'État qu'incombe le devoir de les assister. Sur l'
observation
que les autorités que ce soin regarde n'ont jus
douteux à l'époque de l'acte délictueux, peuvent être soumises à l'
observation
sans balancer dans un asile d'aliénés, si elles
confié à ses soins avec de l'acide sulfurique. Enfin, la troisième
observation
concerne un jeune homme de 17 ans, atteint d'ép
res de la Société. M.von PFUNGEN' traite à la lumière d'une -érie d'
observations
personnelles les phénomènes r de paralysie des
e ordinaire le lendemain. M. Schùlz conclut à l'irresponsabilité. L'
observation
à l'asile con- firma le diagnostic : accès conv
a conscience de l'individu incriminé. Nasse, qui eut le malade en
observation
à l'asile, constata les accès d'épilepsie, les
L'étude,, nosographique faite . par SI. , Hertz à la lumière de ses
observations
, se résume ainsi : La maladie comprend deux forme
ns huit cas.. Durée, entre'douze et ·dix-sept jours; mort dans'huit
observations
dont deux de mélancolie..La, mort résulte de pr
dans ce sens. Sous le titre de porencéphalie, il a réuni vingt-neuf
observations
empruntées aux auteurs et douze qui lui sont pe
Paris, 1877. 172 3 PATHOLOGIE MENTALE. avons pu en recueillir une
observation
assez nette où un délire de persécution avec id
comme une hypothèse qui a besoin d'être vérifiée par d'ultérieures
observations
. Nous ne saurions, du reste, faire de cette hyp
ordre de phénomènes pourra être si fugitif qu'il aura échappé à une
observation
rapide; tel autre fera tellement relief qu'il m
ine de Bordeaux, et L. VAILLARD, médecin-major de seconde classe.
Observation
VII. Ataxie locomotrice. Arthropathie de l'arti
est 1 Archives de Neurologie, ! f 14, p. 191, et il- 15, p. 290.
Observation
clinique résumée d'après les notes recueillies pa
n. DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES. 187 Réflexions. L'
observation
que nous venons de rapporter nous paraît extrêm
art, un rapport de cause à effet ? Cela est vraisemblable; mais les
observations
dont nous dispo- sons ne sont pas encore assez
rition de la peau, des ongles, ou des tissus sous-jacents. Dans l'
observation
qui précède, nous voyons, en effet, que des alt
ophiques. 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. Notons incidemment que, dans l'
observation
que nous éludions, les névrites révélées par l'
es étaient normaux. Nous retrouverons la même distribution dans les
observations
suivantes qui se rapportent aussi à des cas d'a
n, de névrites périphériques et de troubles trophiques cutanés.
Observation
VIII. - Mal de Polt. - Abcès par congestion; dé
m- baire de la colonne vertébrale, s'irradiaient en ceinture dans
Observation
cliniqlle recueillie par M Dutit, externe du serv
ons lombaires et sacrés, correspondant au plexus sacré droit. mêmes
observations
que pour les congénères du côté gauche. 101 -
dans le cas qui nous occupe, des résultats analogues à ceux de l'
observation
VII. Tandis que les'fibres des racines antérieu
tion suivante. DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES. 197
Observation
IX. - Myélite consécutive ci une carie des ver-
toute l'épaisseur du derme et du tissu cellulo- 1 Résumé d'après l'
observation
clinique communiquée par M. le pro- fesseur Ver
ur s'en tenir au fond même des choses, on verra bien vite que cette
observation
présente avec la précé- dente d'étroites analog
nerfs. DES névrites périphériques non traumatiques. 201 III Les
observations
qu'on vient de lire sont trop peu nombreuses po
ans un service d'une activité moyenne, nous avons pu en réunir neuf
observations
. Mais elles montrent aussi que ces névrites ne
qui recouvrait les articulations affectées d'ar- thropathies dans l'
observation
VI ne présentait pas de troubles appréciables d
lusions principales qui nous paraissent ressortir de l'étude de nos
observations
. Nous n'entrerons pas dans de plus longs dévelo
'affection, surtout quand elle fait son appa- rition brusquement, l'
observation
plus rigoureuse des symptômes et la marche de l
amens qui approchent. Tous essayent de conti- 1 Voici la suite de l'
observation
de D... Au mal de tète s'ajouta au bout t de pe
ratiqucs qui firent craindre le début d'une fièvre typhoïde. Mais l'
observation
thermométrique ne permit de constater aucune élev
s'acquitter de leurs devoirs. ' On a remarqué qu'une seule de nos
observations
con- cernait une fille. La maladie paraît, en e
, oùle mal ne fait, pour ainsi dire, qu'eflleu- rer l'adolescent; l'
observation
VI est peut-être un de ces cas. Mais, par contr
nd l'affection est légère. Mais, comme l'attestent plusieurs de nos
observations
, tout cela est insuffisant dans les cas plus gr
on cérébrale. L'expérience démontre la vérité de ces principes. Nos
observations
prouvent, en effet, que nous avons toujours pu
e DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 21 : ¡ croire. On a vu, par nos
observations
, que plusieurs de nos jeunes malades, qui s'éta
sa guérison. 216 CLINIQUE NERVEUSE. CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. Les
observations
que nous venons de rapporter se ressemblent tou
nner les points les plus importants en donnant un court extrait des
observations
qui en ont été prises par MM. les Drs Ballet et
ne l'est pas, n'a rien d'étrange et indique, au contraire, que les
observations
anatomo-pathologiques de 1872, de 1 Chnrcot. -
liquée d'épilepsie partielle. IDIOTIE ET ÉPILEPSIE PARTIELLE. 237
Observation
. - Grand-père et grand'mère paternels paralysés.
er l'étude clinique pour la seconde partie de notre travail; où les
observations
prises chez l'idiot sont souvent plus complètes
ns pour le moment de signaler les particularités qui ressortent des
observations
recueillies chez les individus jouis- sant de l
en dehors de l'âge, l'influence presque exclusive de l'imitation.
Observation
III. Daniel Perineti (.lied, pract., lib. III, se
été des chèvres pendant deux ans, se mit à ruminer par imitation.
Observation
IV. Sennert (Med. prat., lib. III, p. I) cite le
qui communiqua sa maladie à sa femme ( ? ). D'après cette dernière
observation
, l'influence de l'imitation se manifesterait no
ques faits qui montrent que le mérycisme peut être héré- ditaire.
Observation
. V. - J.-B. Winthicr, rapporte l'histoire d'un Su
nation ne soient apparus qu'assez tard, nous signalerons dans cette
observation
l'influence de la volonté sur la guérison du mé
ès l'enfance, ainsi qu'on le voit dans l'obser- vation suivante :
Observation
VI. - Mérycisme héréditaire. - Apparition dès l'e
ient la rumination. Cette dernière particularité se retrouve dans l'
observation
que nous allons maintenant rapporter et qui, de
plus, nous fournit un nouvel exemple de l'hérédité du mérycisme.
Observation
VII. Hérédité. Mérycisme dès l'enfance, invo- l
raver cette fonction anor- male. Dans le cas contraire, et les deux
observations
suivantes le prouvent, le mérycisme, arrêté dan
dans sa production, peut influer gravement sur la santé générale.
Observation
VIII. (Ducasse, Ibid.) -L'homme qui fait le sujet
ervation VIII. (Ducasse, Ibid.) -L'homme qui fait le sujet de cette
observation
parvint à l'âge de soixante-dix ans, bien qu'il a
ion cancéreuse sur la grande courbure, au voisinage de la rate. '
Observation
IX. - M. Vincent (Compte rendu de l'Académie des
raumatisme, qui provoque l'éclosion des troubles de la digestion.
Observation
X. - M. Boucher, médecin à Montpellier, cite le
jet et nous rapporterons les exemples suivants sans commentaire :
Observation
XI. Salmutli (Obs. med. cent., 1, obs, C, p. 59)
ra, souffre cependant quel- ques exceptions, témoin la suivante :
Observation
XIII. - Daniel Ludwig (Ephémérides des curieux de
illir, où la sobriété ait été constatée chez un sujet méry- cole. L'
observation
XIII rentre à ce point de vue dans la règle. Ce
ont amené la disparition, au moins momentanée, de la rumination.
Observation
XIII. - Mérycisme à la suite d'une variole à l'âg
as n'était qu'une reproduction du premier, nous le citerons ici :
Observation
XIV. - Le nommé Claverie, journalier, ne com- m
autres affections de l'estomac : c'est ce que semblerait indiquer l'
Observation
ci-dessous ainsi que l'OBSERVATION VIII. Obse
est ce que semblerait indiquer l'Observation ci-dessous ainsi que l'
OBSERVATION
VIII. Observation XV2. Cette observation a trai
t indiquer l'Observation ci-dessous ainsi que l'OBSERVATION VIII.
Observation
XV2. Cette observation a trait à un soldat qui
n ci-dessous ainsi que l'OBSERVATION VIII. Observation XV2. Cette
observation
a trait à un soldat qui mourut à Toulouse à l'â
ses fibres musculaires. Cette hypothèse serait aussi applicable à l'
OBSERVATION
VIII dans laquelle le sujet, mort d'un squirrhe
rycisme par le fait du cancer, nous ferons encore remarquer, dans l'
observation
qui précède, le mode de début du mérycisme qui
t du mérycisme qui ne s'est établi que graduellement comme dans les
Observations
IX et XIII. Nous avons signalé tout à l'heure l
nner l'apparition de la rumination. Nous rappellerons à ce propos l'
observation
V ayant trait à un individu qui avait des éruct
provoquant d'abord des troubles dans les fonctions de l'estomac.
Observation
XVI. - Mérycisme survenant à la suite d'un excès.
isme apparais- sant chez un individu souffrant déjà de dyspepsie.
Observation
XVII, Mérycisme Dyspepsie préexistante. Début g
: unes Coptand. l3ull. méd., 1. LXXIV, p. 417. DU MÉRYCISME. 255
observation
, c'est que les liquides qui, à l'origine, étaient
mac. Les cas de ce genre soit relativement fréquents. (OBs. VII.)
Observation
XVIII. Le Dr Delmas a connu un étudiant en mé-
s mangeur, atteint de rumination involontaire mais non incommode.
Observation
XIX. 131umenbacli rapporte' quatre exemples de
n estomac ceux qu'il voulait ruminer. Sans être aussi concluante, l'
observation
suivante nous montre aussi l'action de la volon
s l'avons dit plus haut, mais une sorte de fonction anormale. 1
Observation
XX. M. Roubieu a a observé un jeune homme d'une
bout d'une demi-heure. 11 périt d'hémoptysie à trente ans. Dans l'
OBSERVATION
XVII, nous avons vu aussi un homme suspendant v
i6 REVUE CRITIQUE. mérycisme. Ce dernier point ressort encore de' l'
observation
suivante : Observation XXI. - Mérycisme sans
sme. Ce dernier point ressort encore de' l'observation suivante :
Observation
XXI. - Mérycisme sans effort ni douleur. - Influe
e soir, il ne rumine pas. Langue toujours chargée. De plus, cette
observation
se rapproche de l'OBSERVATION XVII par le fait
ngue toujours chargée. De plus, cette observation se rapproche de l'
OBSERVATION
XVII par le fait de rumination partielle, c'est
s avions déjà vu au passage certains cas de ce genre. Ainsi, dans l'
OBSERVATION
VII, les boissons n'étaient jamais ruminées, de
RVATION VII, les boissons n'étaient jamais ruminées, de même dans l'
OBSERVATIoN
XVII, ici ce sont les viandes et les boissons.
s aliments de sa bouche, pour n'en ruminer ensuite qu'une partie.
Observation
XXII. - welsch (Obs. med., ép. XXXVI) rapporte l'
dicale de Sie,asboi4-g,' année 1870, p. 123. DU MÉRYCISME. L) 5 7
Observation
XXIII. - « Chez M. Brown-Séquard, dit-il, le méca
rage ruminaient également, tant la chose me semblait naturelle ».
Observation
XXIV.- Outre les détails qui précèdent, concernan
bles. Mais nous avons pensé qu'il serait bon de réunir toutes ces
observations
jusque-là disséminées et d'en faire une sorte de
vel exemple, dont nous ne dis- cuterons d'ailleurs pas la valeur.
Observation
XXV. Abraham Will rapporte le cas d'un idiot, n
digestives que se développe le mérycisme. Nous avons déjà vu trois
observations
(V, XVI et XVII) dans lesquelles le mérycisme e
té, presque ordinaire chez les méry- coles, puisque, sur toutes les
observations
où l'on a songé à la rechercher, une seule fois
Dans beaucoup de cas, on n'a pas songé à signaler ce point; dans l'
OBSERVATION
XXVIII seulement, il est noté que le sujet étai
aise qualité. Cette dernière cause serait celle du mérycisme dans l'
OBSERVATION
XXI, où ce phénomène a suivi l'ingestion d'une
diminuer à mesure que l'on avance en âge. En effet, sur vingt-trois
observations
où l'on a noté autant que possible l'âge des su
on que la femme. Nous nous contenterons de dire que, sur toutes les
observations
de mérycoles parvenues à notre connaissance, il
nes théories physio-pathologiques qui lui sont propres et « sur des
observations
statistiques prises sur un grand nombre de mala
sachions à quoi nous en tenir sur le soin avec lequel il prend ses
observations
, il nous per- mettra de nous étonner de la préc
. 13ruckner décrit un fait qui se rapproche presque absolument de l'
observation
de M. Bourneville1. La jeune fille que ce fait
naitre la simulation. Telles sont les conclusions basées sur quatre
observations
bien prises que l'auteur dirige contre M. Kowal
eur prétend avoir obtenu des améliorations dans l'attaque même (six
observations
), avoir réussi à reculer la production de nouve
que passagère. Après avoir appuyé l'ensemble de ces idées sur des
observations
, des analyses et des critiques, M. Scliüle distin
nt quarante-huit pesées à la suite des accès), chez sept malades en
observation
, ont démontré à l'auteur l'impossibilité de for
) ? )trf) b'H'.)')'t ! ? )'\ nh ;.r,r, rtr; tt ? < ! xi Quelques
observations
., sur la .température d\ns la folie1'1 rÉRi6Di3
l> i ? f, 1, 1 n'icb "'l"ol, fi'UTllo- rt ? '1'11'1"1'1 Dix-sept
observations
servent de justification au rtravail de' e >
el ; c'est plutôt l'indice qu'il y a une recherche 'à faire' dans l'
observation
de l'individu lui-même et non pas dans ses ascen-
roduits" aux ma- nières de'vtiir'dè l'observateur.' La première des
observations
de M. Gllauck lui a fait l'impression d'une psy
a ! 1nn ? liq ? s : , pas de s3,philis. Publie 11, extenso3. Cette
observation
, outré les troubles neuroparal l'tiques elles .
u'il n'y a pas lieu de suspecter la paralysie générale, ni dans ces
observations
, ni dans celles qu'il a recueillie dans la bibl
amen- préalable de l'individu en question, s'il veut le recevoir en
observation
dans son asile, ou si celui-ci doit rester dans
ln¡;e, d1L,ca. qui. se) pose devant lui avec telle maladie dont ses
observations
antérieures lui ont révélé la cause cachée et l
la théorie de ce mal des progrès considérables, et ces nou- \elles
observations
sont de date si récente qu'elle ? pourraient fort
' - .. 1 .1/" « Au début de notre travail,' nous avions déduit de l'
observation
expérimentale une corrélation il peu' près cons
issée, elle eût atteint non l'interprétation des phénomènes, mais l'
observation
elle-même; fait très important a noter, car il
e et anatomo-pathologique ; l'auteur rapporte un certain nombre d'
observations
suivies d'autopsies, soit personnelles, soit empr
l'état d'atrophie de la thyroïde qui a été signalé dans beaucoup d'
observations
de myxoe- dème. De là à supposer que la suppres
es questions sout encore à l'étude : ce n'est que par de nombreuses
observations
et de nouvelles recherches expérimentales qu'el
êtrière est cet égard particulièrement riche3. Presque toutes les
observations
publiées jusqu'à ce jour ont trait à des lésion
81, que nous avons observé le premier exemple de cette affection.
Observation
I. - .Ataxie locomotrice. - Crises laryngées. T
hésiter, cette affection au groupe des arthropathies tabétiques.
Observation
II. - Arthropathie dans un cas de labes dorsal.
ux côtés; on trouvait le signe d'Argyll Robertson. C'est sous notre
observation
que le pied gauche commença à être 1 Transactio
e non douloureuse, portant seulement sur la face dorsale du pied.
Observation
III. Ataxie locomotrice ; début à dix-huit ans, p
ion motrice des membres inférieurs n'existait au plus haut point.
Observation
IV. Ataxie locomotrice. - Hérédité, syphilis, é
tan a hienvoulu nous remettre les pièces qu'il a recueil- lies.
Observation
V. Examen du squelette du pied dans un cas d'af
sis, clans Deutsche Ittuzclschtur. 1Un t8S0. '» il»'o 6"unonovicli.
Observations
sur l'acquisition du langage. (En lusse ) ISS1.
dans les ouvrages des auteurs précités. Passons main- tenant à nos
observations
personnelles. DU LANGAGE CHEZ LES ENFANTS. 321
nts-Trouvés, sont les sujets sur les- quels nous avons pratiqué nos
observations
. Nous avons également tenu compte du vocabulair
de croix, prononce aujourd'hui cor- rectement, ce même mot. Mais l'
observation
résout facilement cette apparente contradiction
n mot donné, le son t net et pur au lieu de le, mais, par contre, l'
observation
découvre dans une quantité d'autres mots des so
sons plus voisins soit du t, soit de l'Ia. Si l'on prolonge la même
observation
pendant un cer- tain laps de temps, l'existence
phonétique, mais encore, et ce qui est bien plus pro- bant, par l'
observation
du mécanisme lui-même de la 1 Revue philosophiq
ux, qui se met en harmonie avec les idées expansives du délire. L'
observation
suivante est des plus caractéristiques à ce dou
tation différente donnée à la sonnerie suivant le côté affecté, une
observation
d'hallucination bilatérale du toucher, rapporté
u signal favorable à gauche, défavorable à droite. Dans les trois
observations
suivantes les hallucina- tions ont un caractère
cinations unilatérales (Encéphale, 1881), M. le Dr Régis a publié l'
observation
d'un malade atteint d'hallucinations unilatéral
lle était intacte des deux côtés. Voici en quelques mots une de ces
observations
: Une femme, âgée de quarante-trois ans, après
ose latérale, \ient d'être rempli pal' nI. Piek pt K 1111er, dans l'
observation
, etc.» Fleehsig (Ueuer System Erkrankungen im ) !
ormation de l'estomac des individus atteints de mérycisme. Dans les
Observations
I, II, VIII, XV, ainsi que dans les suivantes,
on de l'estomac. (OBs. XXVIII.) Bryand a trouvé le contraire dans l'
observation
suivante. (Biblioth. néd., t. LU, p. 117.) Ob
ire dans l'observation suivante. (Biblioth. néd., t. LU, p. 117.)
Observation
XXVI. Anne Ferry, fille d'un tisserand, eut à )'a
nation, n'a été notée que dans ce seul cas. Nous en rapprocherons l'
OBSERVATION
II où l'oeso- phage a été trouvé très épaissi,
s l'OBSERVATION II où l'oeso- phage a été trouvé très épaissi, et l'
OBSERVATION
XXIX où la même remarque fut faite à propos du
isance du système dentaire, qui présente, comme on le verra par les
observations
suivantes, des altéra- tions souvent considérab
. Nous avons déjà signalé l'existence de la voracité dans plusieurs
observations
; on va la retrouver encore dans celles qui vont
lleurs un bel exemple de voracité déjà publié par l'un de nous 1.
Observation
XXVII. En dépit de tous les soins dont il était
ir une mastication et une insalivation suffisantes. Aussi, à part l'
OBSERVATION
VII, toutes les fois qu'on a songé à examiner l
cale, l'a-t-on trouvée imparfaite. Nous avons noté le fait dans nos
observations
de Cicctre, car il nous est arrivé de retirer l
ir. Presque tous ceux que l'on a pu constater sont consignés dans l'
observation
suivante : -. Observation XXVIII. Démence épi
on a pu constater sont consignés dans l'observation suivante : -.
Observation
XXVIII. Démence épileptique. Mérycisme ; vorn-
ait précédent, se trouve déjà tracé à grandes lignes dans une autre
observation
que nous jugeons utile de rapporter avant d'all
de rapporter avant d'aller plus loin dans l'étude des symptômes.
Observation
XXIX. Idiotie; mérycisme. Voracité; pas d 'in-
se passer une fois que les aliments sont revenus dans la bouche. L'
observation
suivante nous donnera, à ce sujet, de nombreux
n suivante nous donnera, à ce sujet, de nombreux renseignements :
Observation
XXX. - Idiotie : hérédité (grand'mère, grand'tant
n'a plus présenté v aucune modification. Sans insister dans cette
observation
sur les caractères parti- culiers de l'idiotie,
e l'acte lui-même. La plupart do ces faits se retrouvent dans les
observations
précédentes, ainsi que dans celle que nous allons
lecteur l'a sans doute remarqué, nous continuons il donner dans nos
observations
la description des accès, afin d'arriver bientôt
LE. recherches ne concorde pas avec ce que nous trouvons dans les
Observations
VI, VU, XVII où il est dit que les aliments re-
la rumination progresse. Rosseir avait signalé cette particularité (
Observation
XXVI). (La fin au prochain numéro). REVUE DE
ulsive ; par E. POHL. (Jahrbuch. f. Psych., V, 1.) .) Les études et
observations
de Pohl l'entraînent à considérer la folie impu
l., 1882.) Ce sont les troubles de la circulation qui donnent à l'
observation
son cachet. Chaque période de manie était carac
ions somatiques (herpès et asthme) qui hantèrent tou- jours, dans l'
observation
envisagée, la période maniaque. Les médi- camen
n laiton; par 0. ]31Ns-W ? Nc.En. (Neurol. Cent1'ltlbl., 1883.) L'
observation
est à lire en entier. Le malade avait des accès d
és; par HEBOLD. (A1'c/¡. f. Psych. u. NC1'vcnk., XIII, 3.) Quatre
observations
de l'auteur montrent que chez les paralysés gén
bles dans l'action du coeur. En ce qui a trait aux épileptiques (12
observations
), le pouls est exces- sivement lent chez les in
GRESSIVE DES aLIÉNÉS; par E. MENDEL,. (Neurol. Centrnlbl., 1882.)
Observation
dont le tableau clinique était tel que le diagnos
entralbl., 1882.) La période d'agitation se manifesta dans les deux
observations
en question par un amaigrissement en rapport av
éjà connus de la forme mentale appelée hébéphrénia en ajoutant deux
observations
personnelles. L'auteur pense que l'hébéphrénia
s plus tard, elle pouvait elle-même fournir les renseignements de l'
observation
. Elle est giletière, mariée, séparée de son mar
modifiée par une médi- cation spécifique. Si, sous ce rapport, l'
observation
n'offre aucune prise à la critique, il n'en est
SOCIÉTÉS SAVANTES. fluence morbide entraînant l'irresponsabilité. L'
observation
à l'asile ayant révélé des attaques de grand et
Confirmation clinique ultérieure. L'auteur rapproche de ces deux
observations
le fait de manie transitoire découvert par lui
Contribution à la casuistique des lésions de l'écorce du cerveau. L'
observation
communiquée se rapporte à un homme de soixante-
ter à l'excès des dangers toxiques signales. L'auteur public quinze
observations
dans lesquelles il s'est bien trouvé de son emp
pport avec ce surmenage. L'autopsie décela également, dans les deux
observations
, l'hyperostose crâ- nienne, et l'hypertrophie d
endu à la liberté, après qu'on se fût assuré à l'asile, pendant une
observation
de quatre semaines, que le fonctionnement psych
t aigu (bruits vasculaires d'origine hématique) dans la chlorose (l'
observation
), ou par compression des vaisseaux du cou du fa
'un goitre dont le volume variait dans des limites très étendues (1
observation
). Les deux malades guérirent. Ces deux observat
très étendues (1 observation). Les deux malades guérirent. Ces deux
observations
doivent être rap- prochées du cas de Moos dans
s à des modifications dans la pression intra- crûnienne ; ainsi une
observation
de Schiilfc montre une rétrocession rapide d'un
so 1. Discussion. M. SCIIULE, tout en confirmant l'exactitude des
observations
et des conclusions du mémoire, regrette de n'y av
cette dernière subsiste. Il lui serait du reste facile de citer des
observations
analogues pour la a vue ; parfois de petits tro
e anxiété. Rêves de même nature, sensations d'incubes. Dans une des
observations
, la malade avait absorbé deux fois par jour tro
nstata même, en deux cas, du délire aigu suivi de mort. Deux antres
observations
témoignent de l'apparition de la psychose au mo
placés par des accès de folie apyré- tique ; il n'en a pu trouver d'
observations
personnelles, ni d'exemples dans la bibliograph
athogénie du crétinisme; par V ERDAN. Thèse de Pa- ris, 1883. ' '
Observation
d'hystérie chez un jeune homme de dix-sept ans; p
e dix-sept ans; par le Dr RUERA. (France médicale, t. 1er, 1882).
Observation
de sclérose en plaques disséminées : début (ipopl
de l'encéphale, chez le nou- veau-né (Arch. de Physiologie, 1873);
Observation
d'atrophie complète du lobule de l'izsula et de
e d'un homme épileptique. Trousseau, dans sa clinique, rapporte une
observation
de paralysie faciale produite instantanément ch
n individu qui voyait tomber la foudre près de lui. Dans d'autres
observations
, les données étiologiques font absolument défau
elles nous ont été suggérées par l'étude des .faits cliniques. Nos
observations
sont au nombre de 17. Ce ne sont pas 17 cas que
aits que nous avons personnellement étudiés, ce n'est pas que les
observations
de paralysies faciales a frigore soient rares d
t été fastidieux, nous nous sommes donc contenté de résu- mer nos
observations
au point de vue symptomatique, nous attachant s
les données relatives à l'étiologie qui seules nous intéressent.
Observation
I. M. IL ? trente-cinq ans, caissier dans une m
'hémiplégie qui disparut complètement au bout de quatre semaines.
Observation
II. M. N..., trente-deux ans, négociant. Antécé
t le cours de la maladie ; guérison com- plète au bout d'un mois.
Observation
III. Mlle H'..., dix-huit ans, vient nous con-
ôté gauche; cette névralgie a persisté pendant deux mois environ.
Observation
IV. - M"0 D..., seize ans, nous est adressée le
rises convulsives hystériques avec hémianesthésie du côté gauche.
Observation
V. M. X..., trente-deux ans, homme de lettres,
la paralysie dont il ne reste plus de trace au bout de deux mois.
Observation
VI. 1\1lle l..., âgée de quinze ans, vient nous
électriques normales. Guérison complète au bout de cinq semaines.
Observation
VII. - ï4lm° l''..., âgée de trente-six ans, nous
rado-musculaire ne redevint normale qu'un mois après la guérison.
Observation
VIII. M. B..., trente-cinq ans, commerçant, nou
ac- tilité musculaire, normale. Guérison complète en vingt jours.
Observation
IX. - M. P..., employé de commerce, âgé de ving
écédents héréditaires des su- jets qui font l'objet de cette triple
observation
: Grand' mère maternelle morte à la suite d'une
rhumatisante, très nerveuse, sujette à des migraines périodiques.
Observation
X. Mathilde H..., vingt-huit ans. Anté- cédents
réaction de dégénérescence partielle. 0 10 pathologie NERVEUSE.
Observation
XI. - Albert H..., trente-trois ans, employé. -
rtain nombre de muscles, et en particulier pour les zygomatiques.
Observation
XII. - Charles H..., trente-sept ans, employé,
u examiner directement, celui-ci n'habitant pas Paris.) Ces trois
observations
sont particulièrement pro- bantes au point de v
cédents de famille ne laissent d'ailleurs aucun doute. Toutes les
observations
qui précèdent ont trait à des sujets issus de s
s, nous permettent d'affir- mer que dans cette deuxième catégorie d'
observations
, comme dans la première série de faits, nous so
rticulière, à une vulnérabilité spéciale de leur système nerveux.
Observation
XIII. - \h'° A..., âgée de soixante ans, vient
he sont paralysés ; guérison complète au bout de quatre semaines.
Observation
XIV. Mmo G..., soixante ans. Pas de' renseignem
Au bout de trois semaines, la paralysie avait totalement disparu.
Observation
XVI. M. M..., vingt-huit ans, négociant. Antécé
que s'est fait attendre jusqu'à la fin du mois de février (1887).
Observation
XVII. M. F..., vingt-six ans, pianiste, nous es
femme. Puis, avec l'esprit ingénieux qu'il apportait en toutes ses
observations
, il faisait 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. remarquer
ne puis résister au désir de les signaler rapidement, quoique ces
observations
assez anciennes (l'uneremonte à 1872, l'autre à
n'avais point trouvé d'analgésie, mais plutôt de l'hyperesthésie.
Observation
I. Le premier cas, que j'ai observé le moins lo
moins longtemps, était celui d'un homme qui s'est présenté à mon
observation
en 1875. C'était un jeune homme d'une trentaine
otion vive, d'une grande fatigue ou d'une irritation douloureuse.
Observation
II. J'ai donné des soins en 1872 et années suiv
avait eu un phlegmon péri- utérin, ce qui empêchait de ce côté une
observation
nette. Elle disait n'avoir pas d'attaques de ne
rvait en général chez les femmes. Si j'en parle, c'est que ces deux
observations
renferment au point de vue des antécédents des
vue des antécédents des détails importants et inté- téressants. Les
observations
de ce genre se multiplient aujourd'hui avec des
Société médicale des Hôpitaux, M. Debove rap- portant une curieuse
observation
, a signalé l'existence chez son malade, d'une d
ise de possession de la psychologie par les méthodes positives de l'
observation
médicale. ' Travail du laboratoire clinique de
e alors souvent avec la paralysie agitante, on en trouve encore des
observations
publiées sous les noms de chorea cia·cacmrotato
'est à Thomas Eraste \ notre con- naissance, qu'est due la première
observation
se rap- portant réellement à cette forme d'épil
observation se rap- portant réellement à cette forme d'épilepsie.
Observation
III. - Début de l'épilepsie à la suite d'une chut
ase propulsive était pré- cédée d'une rotation. Nous empruntons l'
observation
suivante à Bootius3. Il en fait précéder l'expo
- tiques ne tombaient pas toujours dans les accès, que 1 Les deux
observations
que llomberg a relatées en entier dans son Trai
ces cas ce que nous avons observé sur un enfant de douze ans.» »
Observation
IV. Enfant de douze ans. Accès procursifs . - C
epsie procursive ; mais quoique plus longue que la précédente cette
observation
est moins complète que celle d'Eraste. On ne sa
lepsie procursive, comme l'ont fait ce temps-ci quelques auteurs, l'
observation
publiée par Tulpius'. Il s'agit en effet d'un m
urait per lutum et aquam. Le même auteur avait publié en 1687 une
observation
qui rentre peut-être dans le cadre de l'épileps
ion qui rentre peut-être dans le cadre de l'épilepsie procursive.
Observation
VI. Course suivie le plus souvent de chute. . C
pas assez détaillés pour que l'on puisse aussi les ranger parmi les
observations
d'épilepsie procursive. Le cas de Sagar 4 est p
tismo laboravit. » Caillau' a rapporté en 1797 le fait suivant :
Observation
VII. Course, puis chute. Un citoyen, âgé de soi
t en rond avant de tomber. Voir aussi à l'article Chorée, p. 821, l'
observation
rapportée à la note 29. 3 Bernt. - blonographia
nt de notre siècle, Hufeland publiait dans son Journal une nouvelle
observation
d'épilepsie procursive. Observation VIII. -'A
dans son Journal une nouvelle observation d'épilepsie procursive.
Observation
VIII. -'Accès spasmodiques à dix ans, guéris en
mmencement du traitement, le malade fut parfaitement guéri. Cette
observation
paraît plutôt appartenir à un cas de chorée; se
ication, Lau' consi- gnait dans le même recueil le fait ci-après.
Observation
IX. - Enfant de quinze ans. Henri S..., âgé de
des furoncles au bras et au dos, et la guérison s'ensuivit. Cette
observation
qui se rapproche delà précédente nous paraît co
travail très intéressant d'Itard' contenant un très grand nombre d'
observations
. Parmi elles, deux peuvent se rapporter à l'épi
Parmi elles, deux peuvent se rapporter à l'épilepsie procursive.
Observation
X. A cinquante ans, course sans perte de con- n
même état, conservant toutes ses forces et ses facultés mentales.
Observation
XI. Homme de soixante ans, sujet depuis quelque
trochaica, l'histoire d'un malade atteint d'épilepsie procursive.
OBSERVATION
XII. Début des accès procursifs à onze ans. - A
ons pu trouver cette brochure ; mais Roth, puis Berger ont publié l'
observation
com. plète. 68 CLINIQUE NERVEUSE. ne se dét
se renouvellent. Tous les médicaments employés ont échoué. Cette
observation
, des plus intéressantes, peut être rapprochée d
des divers traitements employés'. Nous devons citer maintenant une
observation
de Bérard aîné 2, concernant un malade atteint
le décès. L'autopsie qui l'accompagne en fait surtout l'intérêt.
Observation
XIII. Course, puis chute avec perte de connais-
e substance nerveuse ramollie et colorée par ce liquide. De cette
observation
, nous ne retiendrons, pour l'instant que, les p
erpréter. En 1855, M. Moynier' danssa thèse inaugurale, donne une
observation
d'une malade épileptique présentant une aura pr
ervation d'une malade épileptique présentant une aura procursive.
Observation
XIV. Fille âgée de dix-sept ans. Mère et tante
epsie. Quant aux causes de la chorée, M. Bastien, à qui est due l'
observation
, se demande si elles tiennent aux accès plus fré-
urvint que longtemps après le début des accès épileptiques. Cette
observation
nous fournit un bel exemple d'accès précédés d'
été publié par Romberg' dans son Traité des maladies nerveuses.
Observation
XV. Homme de soixante-onze ans. - Cépha- lalgie
n de l'autopsie qui l'accompagne. Nous cite- rons encore, parmi les
observations
parues dans la première moitié de notre siècle,
ons comme appartenant à la chorée, le cas de Salgues (de Dijon)'.
Observation
XVI. Début à trois ans et demi. -Accès pro- cur
gues il DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 75 la guérison de sa malade; l'
observation
sous ce rap- port est absolument incomplète.
port est absolument incomplète. Nous ne pouvons que mentionner l'
observation
de Roth; l'auteur n'a pas observé sérieusement
omme relevant de l'épilepsie. Voici d'abord un cas de Trousseau'.
Observation
XVII. Il s'agit d'un architecte de Paris, qui,
ple connu de cette forme de l'épilepsie. M. Hammond 2 relate deux
observations
dans son Traité. ' Trousseau. Clinique médicale
uses; traduction française, 1876, p. 785. 76 CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
XVIII. - Accès ordinaires d'épilepsie. - Accès
Grand..., à un tremblement des lèvres. (OBS. I, t. XIII, p. 323.)
Observation
XIX. - Epilepsie procursive sans accès ordinaires
une minute et il n'y avait ni excitation ni délire. Cette seconde
observation
de M. Hammond est un cas d'épilepsie procursive
lasser et qui ne pourront l'être qu'à la suite d'une longue série d'
observations
suffisamment prolongées et appuyées sur de nomb
r exemple, l'épilepsie rotatoire, etc. (A suivre.) 1 La quatrième
observation
de Cheneau, que MM. Salhlras et Bourgui- gnon c
classent parmi les vertiges épileptiques, et qu'ils rapprochent des
observations
d'Itard, n'appartient pas au groupe de l'épilepsi
eurs. Avantque le marasme ultime se produise chez le sujet de notre
observation
, il est arrivé ce qui se passe chez tous les pa
éphalite dans la paralysie géné- rale lorsque eux-mêmes, dans leurs
observations
, établissent une congestion. REVUE CRITIQUE
nouvelle marquée par de nombreux travaux. Ce sont tout d'abord les
observations
de Pulchelt, de Heidelberg (Gaz. méd. de Paris,
chell soutient également une opinion intermédiaire. Il rapporte des
observations
très intéressantes touchant aux hallucinations
urait conservé le souvenir de cette association. Mais dans quelques
observations
, l'amputation datait du plus jeune âge, 90 REVU
ation est le résultat ou le prodnit de la contraction musculaire; l'
observation
clinique m'a démontré que cette sensation est u
du sens musculaire, comme guide du mouve- ment est superflue, vu l'
observation
pathologique qui prouve jusqu'à l'évidence que
épithète de rhu- matismale, toxique, etc., suivant les cas. Cette
observation
est très intéressante, mais nous devons dire qu
points de vue semblables à ceux que M. Charcot a relevés dans les
observations
de monoplégie brachiale hystéro-traumatiques qu
LhEIiIIET. (Lyon médical, 1880, t. XLI.) Ce travail estfondésur l'
observation
d'une maladequi, à la suite d'une attaque d'apo
anesthésie hystél iyue. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 109 Celte
observation
, que l'autour rapproche d'un fait analogue publ
e chronique ; par AI. le Dr Noquet. (Bull. méd. du Nord, 1886.) L'
observation
qui constitue la base de ce travail est celle d'u
bétiques pour le diagnostic et le pronostic tant à l'aide de quatre
observations
nouvelles que d'une statistique empruntée au pr
ie pensent en outre qu'il y aurait peut-être matière a intéressante
observation
sinon même élément utile de diagnostic à tenter
chez les diabétiques qui l'ont conservé. On verra dans la troisième
observation
, dans un cas de troubles neveux disparates, com
mptomatologie, patiemment relevées par l'auteur dans les vingt-cinq
observations
qu'il a réunies, n'offrent au clinicien aucun s
y). (Médical Press, 20 avril 1887, p.370.) ' II s'agit dans cette
observation
d'un malade âgé de soixanle- neuf ans, que le D
UN cas de PÉfiIPACHYUÉNING1TE spinale ; par le Dr W.-H. Morse. L'
observation
, que relate l'auteur, est celle d'un jeune homme
ait paralytique et son père mourut d'apoplexiependant la durée de l'
observation
. Enfant, il était d'une intelligence très vive,
RD regrette de n'avoir pu procéder à cet examen mi- croscopique ; l'
observation
lui a cependant paru intéressante à rapporter,
e et à laquelle je vous demande la permission de présenter quelques
observations
. M. Christian, passant ensuite en revue les opi
que j'invente des faits pour les besoins de ma cause : il s'agit d'
observations
qui m'avaient frappé depuis SOCIÉTÉS SAVANTES.
eur témoignage. » M. Christian rapporte ensuite un certain nombre d'
observations
à l'appui de sa thèse : d'abord celle du capita
esté à Cliaren- ton pendant vingt-sept ans, et dont j'ai rapporté l'
observation
ici même, il y a quelques années, mais à un aut
amais il n'a été mégalomaniaque. Après avoir cité quelques autres
observations
fort intéressantes, M. Christian, passant en re
Notre honorable collègue, nous oppose, avec son talent habituel, l'
observation
d'un certain nombre d'aliénés chez lesquels le
chement appel à la statistique. Que chacun de nous apporte ici les
observations
qu'il aura pu recueillir, nous arriverons alors,
qu'avait créé la seule imagination de ce qui était le fruit d'une
observation
éclairée et quelquefois géniale, leur a per-
les plus célèbres, portent avec elles les preuves d'une scrupuleuse
observation
de la Archives, t. XIV. 9 Fig. 5. Guérison d'
des cas de séquestration. Malgré l'importance incontestable de ces
observations
, je n'ai pas cru devoir aller jusque-là et, déf
le est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Je demande à faire une
observation
en ré- ponse aux dernières paroles del'honorabl
. Roger-Marvaise. Messieurs, je voudrais répondre quelques mots aux
observations
qui ont été présentées au Sénat par M. le commi
je prie M. le garde des sceaux de vouloir bien prendre note de ces
observations
d'une manière bienveillante, afin qu'à l'avenir
vous pourrez intervenir par- tout et toujours. Je crois que cette
observation
a été présentée tout à l'heure, mais il est bon
ui a été rédigé hier, d'accord avec le Gouvernement, à la suite des
observations
présentées, dans la dernière séance, par l'hono-
LE Président. La parole est à M. Delsol. M. DELSOL. Messieurs, les
observations
que mon honorable collègue et ami M. Lacombe vi
nt pas excéder trois mois. » M. Lacombe. Je demande à présenter une
observation
de ma place. Ce paragraphe préjuge la création
onnés à celle-ci. Pendant dix jours et dix nuits, ils se tinrent en
observation
auprès d'elle. A cet effet, on l'avait transpor
hôpitaux du département. On les garde durant dix à quinze jours en
observation
, puis on les renvoie s'ils sont guéris, ou, en
à une contusion médiocre qu'à un violent traumatisme. Le relevé des
observations
les plus con- nues de paralysie du membre supér
te une monoplégie brachiale, évidemment hystérique. En regard des
observations
où le choc a été violent et capable de causer u
cite un fait de ce genre. Nous le repro- duisons en le résumant.
Observation
I. Cesira Poli, âgée de vingt-trois ans, modist
e contusion des membres inférieurs. Nous empruntons cette; curieuse
observation
aux Leçons de 1\f.Charcot, III" volume, appendi
,1887 (Obs. XXIV, p. 106;, rapportée dans la thèse de M. Berbez'.
Observation
II. Joseph Lelogeais, vingt-neuf ans, gar- çon
de la paralysie le 5 janvier au réveil. » Il est regrettable que l'
observation
de M. Berbez ne donne pas plus de détails sur c
ndre la notion cérébrale d'une paralysie plus ou moins durable. L'
observation
suivante que M. Charcot a eu l'obli- geance de
station d'une hys- térie demeurée jusqu'alors absolument latente.
Observation
111. - Amélie Bonnefons, âgée de quatorze ans e
tendance aux crises nerveuses et chez laquelle, même maintenant, l'
observation
la plus attentive ne peut déceler aucun stigmat
aré aux précédents, ne laisse suivant moi, aucune prise au doute.
Observation
IV. - M"° V..., âgée de dix-sept ans, grande et
sions sur le dyna- momètre. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE. Ces quatre
observations
nous montrent donc la série graduelle des manif
é Olonoplegia anestlaetica. Déjà, au commen- cement de l'année, une
observation
du même genre avait été publiée par cet auteur
ivement sur la physiologie dite ration- nelle. La première de ces
observations
concerne une jeune fille qui, sans cause connue
e véritable, mais avec une anesthésie et une analgésie complètes.
Observation
V. mule C..., âgée de dix-neuf ans, est prise b
les ni des tégu- ments. La guérison a persisté depuis. La seconde
observation
est encore plus instructive. En voici le résumé
nde observation est encore plus instructive. En voici le résumé :
Observation
VI. Un homme de quarante et un ans, d'une bonne
n désordre de la motilité. Il est impossible, à la lecture de cette
observation
, de ne pas être frappé de l'analogie singulière
els, et ne doivent être admis qu'après une critique sévère. Mes 340
observations
donnent, au point de vue de l'âge, les 'résulta
ient nombreux autrefois, et on en trouve un grand nombre dans les
observations
de Bayle et de Calmeil. Mon expérience personne
ment chez les ataxiques : je n'en ai que trois cas parmi mes 340
observations
. Par contre, dans la même période de temps, j'a
er. Entré en avril 1879, il succomba au bout de deux ans. A cette
observation
je rattacherai la suivante : un gendarme, âgé d
ses qui ont pu être signalées, avec apparence de raison, dans mes
observations
. Il est évident qu'en pareille ma- tière, on ne
ectuels s'accentuent ; il suc- combe en 1879. Je terminerai par l'
observation
suivante' : F... a eu un père alcoolique, un on
tiques préépileptiques et n'en sont peut-être qu'une exagération.
Observation
XX. - Epilepsie. - Père, hémiplégie droite. Mèr
iminution, puis ensuite par leur disparition depuis près d'un an.
Observation
XXI. Idiotie. Epilepsie. Grand-père, grand'mère
élevé, dû peut-être aux îlots de sclérose tubé- reuse' . ' Cette
observation
de sclérose tubéreuse s'ajoute à celles que avons
d'accès diffère de celle dont nous avons rapporté précédemment des
observations
, nous devons noter la transformation progressiv
M. Cullerre, médecin-directeur de l'asile de La Roche- sur-Yon, l'
observation
suivante : Observation XXII. Fièvres intermitte
recteur de l'asile de La Roche- sur-Yon, l'observation suivante :
Observation
XXII. Fièvres intermittentes. Attaques éclampti
la suite du sommeil dans lequel il tombe après l'acte procursif.
Observation
XXIII. - Mère : névralgie, phthisie. - Oncle ma
ocampe, le corps calleux ne présentent rien de particulier. Cette
observation
est très intéressante et si nous avions eu plus
nant une période de treize ans mérite aussi de fixer l'attention.
Observation
XXIV. - Père tourneur en cuivre, alcoolique. Gr
s centrales des deux côtés n'offrent rien de particulier. ' Cette
observation
que nous avons classée dans l'épi- lepsie'post-
l'histoire du tambour, de Morel ; cet'auteur a publié, en effet, l'
observation
d'un idiot qui, fils et petit-fils de maîtres-t
ans anomalie psycbopathique proprement dite. M. Fritsch donne trois
observations
de délires chroniques systématiques ayant affec
attaques épileptiformes symptoma- tiques. M. Holloender donne trois
observations
à l'appui de cette manière de voir : Observatio
ender donne trois observations à l'appui de cette manière de voir :
Observation
I. Manie furieuse de plusieurs heures à début e
ides actes de violence. Am- nésie consécutive. Démence paralytique.
Observation
Il. Incohé- rence et désordre dansles idées de
idées délirantes de teneur dépressive. Amnésie, tabes. La quatrième
observation
concerne un rhumatisme articulaire avec chorée;
des dispositions définitives de multiplier les re- cherches et les
observations
. On peut affirmer pourtant sans attendre plus l
e certaine époque, l'officier de marine dont j'invoquais la typique
observation
avait eu des conceptions très nettement orgueil
Du délire chronique. (Suite dela discussion.) -M. Bail rapporte l'
observation
de deux malades atteints de délire ambitieux d'em
, ni syphi- litique. Mais, ce qui est singulier et ce qui donne à l'
observation
un relief particulier, ce sont les symptômes de
es de l'hystérie se montrent en toute évidence. Une seconde série d'
observations
comprend des cas ressem- blant à s'y méprendre
es chez les aliénés; par Ch. COUDERc. (Th., Paris, 1887.) De sept
observations
, la plupart incomplètes, M. Couderc con- clut q
'a séparée du groupe confus encore des atrophies musculaires, les
observations
publiées par M. Joffroy en 1869, la thèse de M. G
lbaire, fort de l'opinion autorisée de M. Charcot et de ses propres
observations
, prises au reste avec une rigueur scientifique
er. Th., Paris, 1887. L'auteur a recueilli un nombre considérable d'
observations
à l'appui de cette opinion déjà ancienne que l'
cer encore quelques lueurs : ils conservent une certaine justesse d'
observation
qui leur permet d'apprécier les soins que l'on
celle que nous rencontrons extra-muros, car elle est fondée sur une
observation
personnelle et sur l'impression directe des tra
présentées avant toute tenta- tive d'hynotisation. Voici d'abord l'
observation
détail- lée de la malade, pour étayer la discus
m. Depuis cette époque, elle échappe pendant plus d'un an à notre
observation
, mais nous savons par les médecins (MM. Bringuier
re cas. Barth n'en dit pas plus (th. d'agrégation) et parmi les
observations
qu'il cite, aucune n'est comparable à celle de
ra- HISTOIRE D'UNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 341 lisées. Des trois
observations
qu'il donne, deux se rapprochent suffisamment d
e), tandis que Richer a constaté cette hyperexci- tabilité dans ses
observations
(à un moindre degré du reste que dans la léthar
épileptiques complètes, dont on trouvera la descrip- tion dans l'
observation
et qui prouvent la parenté de toutes ces formes
éressant, mais nous entraî- nerait trop loin. On le trouvera dans l'
Observation
elle-même que nous avons publiée ci-dessus. P
me que la perceptibilité différentielle, elle doit donc (pour que l'
observation
soit parfaite) être étudiée : 1° A tous les d
ons eu l'occasion de faire plus ample connais- sance, avec diverses
observations
concernant les pro- cessus morbides mentionnés
ments cliniques correspondants, d'un autre côté, on rencontrait des
observations
qui ne se ran- geaient nullement dans les forme
fut atteint que du côté gau- che. Freud range son cas côté des cinq
observations
plus détaillées des auteurs cités plus haut, et
avec lésion prédominante des cornes postérieures ; dans la deuxième
observation
, les altérations se mani- festant par la format
d'une lacune, étaient tout à fait insignifiantes. Outre ces deux
observations
anatomiques, Schultze donna en 1885, une descri
nt avec un complexus symptomatique qui se répétait souvent dans les
observations
citées plus haut, savoir : de l'anesthésie ther
lesse et de l'atrophie musculaire dans les extrémités. Toutes ces
observations
prises ensemble, ne suffisent pas encore bien e
elle je voudrais attirer votre atten- tion. Mais d'abord toutes les
observations
cliniques citées par nous, se rapportent à un g
de gliome de la moelle épi- nière et de syringomyélie; et dans cinq
observations
il peint le tableau clinique caractéristique qu
r. Il faut rapporter sans doute à cette maladie, sinon toutes les
observations
de Morvan, au moins la plupart d'entre elles. A
atteints d'affection de ce genre, et réunit ainsi un grand nombre d'
observations
cliniques. Pour notre part, ayant affaire sur
rés plus haut, on DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 377 trouve assez d'
observations
se rapportant aux formes cliniques d'apparences
ons bien entendu, retrouver encore dans la littérature médicale des
observations
cliniques, d'autres cas qui avaient été perdus,
lle épinière. Ces recherches seraient pourtant inutiles : car des
observations
incomplètes et faites à un seul point de vue, p
ptostriés, de névrites, etc. Je voudrais maintenant profiter de mes
observations
, pour attirer l'attention des médecins, sur les
ostic et la thérapeutique de cette affec- tion. ' Je rapporte mes
observations
cliniques, quelques- unes en résume, d'autres s
ée d'autres troubles de la sensibilité cutanée. Je disposerai mes
observations
de telle façon, que d'après les premiers cas d'
pement de la maladie est moins avancé. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
I Troubles trophiques et atrophie musculaire du
OSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ; Par BOURNEVILLE et PILLIET. Les deux
observations
sur lesquelles nous allons appeler l'attention
ont le diagnostic précis nous parait offrir quelque dif- ficulté.
Observation
I. Deux frères ont eu des convulsions dans l'enfa
eur au point de vue du dia- gnostic et nous reprenons la suite de l'
observation
depuis l'époque où le malade est revenu dans le
uverts. Il déclare mieux marcher avec ses souliers que pieds nus.
Observation
II. Père très nerveux, sujet à des accidents prob
ffort considérable absolument comme chez le malade de la pre- mière
observation
. Dans la marche, qui n'est possible qu'avec un
e la marche de la maladie chez les deux sujets qui font l'objet des
observations
qui précèdent et nous essaierons de montrer les
SbIONr>'1;LLE; par C. V1Y.1Y. (Lyon 777,t(L., 1886, t. LUI.) L'
observation
qui fait la base de ce travail est celle d'un ind
r le Dr DELICNx (DE TOUL). (Lyon Mf'fMc., 1886, t. 1JI.) Les cinq
observations
contenues dans ce travail sont celles de malade
s, du service de M. Charcot, Allie BI. Edwards a rapproché de cette
observation
quelques cas analogues trouvés dans les auteurs
par M. le Dr Couturier. (Loire médicale, 1886.) Le sujet de colle
observation
est un homme de vingt-six ans, peintre-plâtrier
méningite tuberculeuse; i par le DT NLI'N.1UD. (Lai1'e méd" 1886.)
Observation
d'une jeune fille, âgée de quinze ans, qui présen
déviation conjuguée; par M. Ed. Blanc. (Lyon méd., 1886, t. LU.)
Observation
d'une malade qui, à la suite d'une attaque d'apo-
ion qu'il faudrait attribuer la déviation conjuguée des yeux. Cette
observation
vien- drait donc à l'appui de la théorie de Fer
l'expression; par P. HOSEi'OE \CII. (New'ol. Centrnl6l., i 886.)
Observation
de lésion en foyer probable (absence d'autopsie)
r E. Lallemand. (Th., Paris, 1887.) Ce travail ne contient qu'une
observation
personnelle, mais prise avec minutie et rigueur
aleur scientifique certaine, constitués par le résumé de toutes les
observations
de neurasthénie recueillies à la clinique des m
lies à la clinique des maladies nerveuses pendant l'année 1886. Ces
observations
ont été prises par les élèves du service avant
. Condoléon. (Th., Paris, 1887.) .) Il s'agit dans ce travail d'une
observation
bien prise d'amyotro- phie tabétique à propos d
pour décider si l'amyotrophie est spinale ou névritique. Plusieurs
observations
montrent avec la plus grande netteté l'existenc
ns d'idiotie compliquées de cachexie pachydermique et no- tamment l'
observation
du célèbre « pacha » avec autopsie des plus min
ie de cachexie pachydermique. On trouvera encore dans ce volume une
observation
de tuber- cule de la protubérance (en collabora
rnières lignes et qui a déjà été l'objet des réserves ou plutôt des
observations
de l'un des signataires, l'ho- norable M. Combe
nger. M. Ernest Boulanger. Messieurs, je n'ai que de fort courtes
observations
à présenter au Sénat. Vous avez vu, par les expli
pour que les nominations nécessaires soient immédiates. Ma seconde
observation
se réfère au choix des gérants. Le texte de l
te gestion, pour en charger un étranger. Je recommande encore cette
observation
à l'attention de la com- mission. Mais ce qui m
de la partie de l'article 12 sur laquelle je viens de présenter mes
observations
. (Très bien ! très bien ! ) : M. BARDOUx. Voulez-
oudrais soumettre à la commission et à l'honorable M. Bar- doux une
observation
relativement au deuxième paragraphe de son amen
ardoux,. C'est parfaitement juste. M. LE Rapporteur, de sa place. L'
observation
que l'honorable M. Roger-Marvaise vient de port
our être rempli convenablement, il exige une plus grande habileté d'
observation
, afin de bien renseigner le médecin, de l'ai- d
demande qui m'est adressée, je m'empresse de venir joindre quelques
observations
à celles qui vous ont été présentées par notre
exercer sur le malade par les conseils que vous lui donnez, par vos
observations
et par votre conduite vis-à-vis de lui. Nous
S PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE ATIIÉTIIOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ
OBSERVATION
1 462 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE II
ON DES PLANCHES. PLANCHE II ATIIÉTIIOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ
OBSERVATION
1 Archives de Neurologie. T. XIV. PU.11 Archi
S PLANCHES. 463 PLANCHE III ATIIÉTIIOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ
OBSERVATION
Il 464 EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE IV
DES PLANCHES. PLANCHE IV ATIIli71lOSfs DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ
OBSERVATION
11 Bireui, Cli. Il ? u,ltI¡ ? uup. - 9.) ? Ar
a- tions qu'ils purent observer. En 1866, Bouchut, relatant trois
observations
de paralysie générale, signale dans chacune d'e
e congestion généralisée du fond de l'oeil ». Nettleship cite une
observation
où l'atrophie du nerf opti- que précède les sym
ntre que dans4à5 5 p.100 des cas de paralysie générale ». Il cite l'
observation
d'un homme âgé de 44 ans, dont la papille était
u développement des symptômes psychiques. Après être revenu sur l'
observation
de inettlesliip que nous avons déjà citée, ils
ois une légère neuroré- tinite. Reznikow enfin, publie en 1900, 6
observations
de paraly- tiques généraux ; s'occupant surtout
syphilitique; il présentait de l'atrophie blanche bilatérale et l'
observation
montre que la paralysie générale débuta chez lu
d'atrophie papillaire blanche bilatérale. 1° LÉSIONS INITIALES
Observation
1. - 13. J..., quarante-neuf ans, entré en août 1
e que du côté droit, de nombreuses cellules conjonctives adultes.
Observation
II. S. A..., cinquante et un ans, célibataire, ti
quel je me bornerai à exposer les déductions qui résultent de mes
observations
personnelles (21 ). Ces observations ont été l'
uctions qui résultent de mes observations personnelles (21 ). Ces
observations
ont été l'objet d'une sélection attentive. Il f
des obsessions et d'autres symp- tômes délirants, la portée de ces
observations
n'est pas tou- jours la même. Le plus souvent
s doutes angoissants. Elle en arrive ' Ne pouvant rapporter ici les
observations
détaillées, nous nous bor- nons à indiquer les
, ou même idées or- gueilleuses. Les plus fréquentes, d'après notre
observation
personnelle, sont les idées de persécution. I
à symptômes surtout émotion- nels, c'est-à-dire les phobies. Mes
observations
personnelles ne m'autorisent pas à par- tager c
, d'hallucinations verbo-motrices plus ou moins développées, mais d'
observation
presque courante, enfin, de véritables hallucin
ter et de régénérer l'organe lui-même. De bonne heure pourtant, l'
observation
des effets produits par l'exercice chez les suj
par exemple, le système moteur d'un homme de développement moyen, l'
observation
a de tout temps 1-1 srne. t. XV. 4 50 THÉRAPE
affections justiciables de la rééducation, on est frappé par trois
observations
importantes : 1° Le même mot d'incoordination,
plus complets ne puissent être espérés, nous avons même publié une
observation
qui repré- sente une vraie guérison intégrale d
p de la rééducation motrice. Nous pouvons maintenant citer quelques
observations
personnelles se rapportant aux divers degrés d'
e pour le plus grave de ses symptômes, pour l'ataxie. De nombreuses
observations
prouvent que l'ataxie n'est pas incurable, nous
e la connaissance de la physiologie normale et pathologique et de l'
observation
des conditions cliniques : ce n'est qu'à ce pri
e Broca se sont formées peu à peu, au sur et à mesure des nouvelles
observations
ou des nou- velles autopsies confirmatives de s
arfois plusieurs heures, ou leurs souvenirs sont altérés. Voici une
observation
â l'appui de ces constatations chez un dégénéré
pr BoiNET. (Revue neurologique, août 1899.) Chez le malade dont l'
observation
est relatée, le corps thyroïde de mouton fut or
cessèrent avec la cessa- tion de l'usage de corps thyroïde. Cette
observation
, jointe à celle rapportée par Freiherr von Nott
quide de la ponction lombaire. Amyotrophie du tabes dorsalis (trois
observations
avec autopsies) MM. F. Raymond et CI. PIIILIPPE
avec autopsies) MM. F. Raymond et CI. PIIILIPPE communiquent trois
observations
, suivies d'autopsies, dans lesquelles les sympt
eusement l'amyo- trophie des membres inférieurs. Ainsi, ces trois
observations
plaident en faveur de l'association, relativeme
s faciles à observer que chez les humains. Je ne sache que pareille
observation
ait été faite pour les petits animaux. Toutefoi
et que la classification adoptée géné- ralement ne repose que sur l'
observation
psychologique. L'auteur est loin de vouloir nie
sprit véritable- ment scientifique. M. Malapert ne s'arrête pas à l'
observation
sub- jective, il vante avec raison les avantage
s et Oppenheim, de Lichwitz, de Gra- denigo, y sont analysés. Les
observations
personnelles de l'anteur, montrent l'absence de
ès scientifique a été complètement et exclusivement rempli avec des
observations
choisies parmi les plus typiques. Cette constru
mier avantage, croyons-nous, celui de comprendre les nom- breuses
observations
publiées sur ce sujet et de donner un même poin
il, paru dans la Gazette des Hôpitaux de 1870, l'auteur cite quatre
observations
de 13aillar-er. Quelques exemples de folie comm
lie à deux : 1° la folie imposée, dans laquelle il fait rentrer les
observations
de Lasègue et Falret. Dans cette forme, comme L
892. 133 CLIrIQ; E ,111EnTALE. M. Marandon' publie de nouveau une
observation
de folie multiple partiellement communiquée, d'
- niques classées par Marandon : les uns apportent de nou- velles
observations
de folie communiquée2, de folie trans- formée 3
ur et les hallucinations expansives se communi- quaient. Enfin, les
observations
de 1\Tasse 3, de Reverchon et Pages sur la mani
omentanément du moins, comme anormal. Nous citerons, à ce propos, l'
observation
d'un jeune homme et d'une jeune femme que nous
ent et de traitement. Parmi les faits rapidement relatés dans cette
observation
, cas typique de folie imposée, retenons simplem
ces vésaniques qu'il puise en lui-même. Ce fait est très net dans l'
observation
que nous rapportons plus loin. La séparation de
il y a nécessité de séparer les codélirants pour leur traitement.
Observation
'. Folie communiquée par la fille à sa mère. 1.
édents héréditaires. Son père, alcoolique avéré est mort de ' Cette
observation
, qui a été le point de départ de cette étude, a é
teurs de la face et des mains. La malade qui fait le sujet de cette
observation
présente un délire de dégénéré banal. Un point
nt d'affaiblis- sement intellectuel. Ce qui fait l'intérêt de cette
observation
, c'est que l'on y retrouve tous les éléments qu
huit jours de convulsions. Le quatrième est l'agent actif de cette
observation
. Mme G..., s'est toujours bien portée; elle fut
ner à des actes légalementrepréhensibles. C'est ainsi que, dans l'
observation
de folie imposée que nous avons rapportée, le j
s un aperçu succint, les principaux caractères de ces troubles; les
observations
ultérieures sui- vies de leur analyse, montrero
rreur, la vérité d'ailleurs est mise en lumière dès nos pre- mières
observations
. Il est d'autre part important de con- naître l
es considérations nous mèneraient de pareilles vues erronées. Nos
observations
, qui ont porté sur un certain nombre d'états sy
aires, sauf un certain degré de myopie. L'intérêt clinique de cette
observation
réside dans le particularités suivantes : 1° Le
e nulle cause, nul motif appréciable. Finalement, après dix jours d'
observation
, la malade, moins inquiète, est envoyée à l'asi
; il a l'air de réfléchir conti- nuellement, dit sa mère'. Cette
observation
constitue un exemple frappant de la coexistence
paru, elle ne sentait plus qu'une fatigue générale. Analysant cette
observation
, nous saisissons ces faits caractéristiques : L
u' réflexion antérieure du 176 PATHOLOGIE MENTALE. sujet (seconde
observation
) ; dans la seconde, l'individu se rend longtemp
prévient son entourage », selon l'expression de M. Magnan (seconde
observation
). Enfin au point de vue médico-légal, les indiv
te dernière manière de voir est d'ailleurs justifiée par toutes nos
observations
. Enfin, les autres syndromes relatés dans nos c
grande classe des dégénérés. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Une
observation
de sein hystérique; par le D1' Lannois. (Nouv.
r de LÉo.-4, (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, 11 J, 1901.) Deux
observations
de déformation de la main, selon le type décrit
et J. IIEITZ. (Nouv. Icoraogu. de la Sal- pétrière, n" 5, 1901.)
Observation
clinique suivie d'un examen nécropsique et histol
de la Salpétriêre, n° 6, 1901). L'auteur rappelle les différentes
observations
d'oedèmes dystro- phiques antérieurement publié
ER- togiie. Ico ? zog7,. de la Salpél ? ,ièie, n° 6, 1901.) Trois
observations
de trophoedème intéressant, dans deux cas. un m
insuccès à l'insuffisance des méthodes suivies jusqu'à ce jour. VI.
Observation
de trophoedème; par Mabille. (lTOItV. ICOI ? Ogl'
iqué de troubles choréiques et d'hémiplégie gauche. Dans toutes les
observations
qui précèdent, l'oedeme présente les caractères
. Rapin. (oMt)./M) ! oa')'.de/a5a< ! 'tgt'e, n'G. 1901.) Trois
observations
de trophoedème intéressant : l'une (enfant de v
tal. VIII. Nouveaux détails sur la paralysie asthénique, dont una
observation
avec autopsie; parS. Goldfum. (-YCIII-010g. Ce21t
ournal, qui se décompose en trois parties. La première traite d'une
observation
avec autopsie et des lésions possibles de la ma
e Zeitsclene., f. A)'t)6 ? te ? f, t893, IV. Aussi plusieurs de ses
observations
ne seront-elles que résumées. Telle est la pr
observations ne seront-elles que résumées. Telle est la première
observation
complétée par la nécropsie. On trouva un gros l
s, et des kystes dermoides cou- génitaux de l'ovaire. La présente
observation
est elle-même assez suggestive. Un premier accè
'action de la volonté. II. Nous arrivons maintenant, à la suite des
observations
II à VIII, aux principaux caractères nosographi
s malades (Ce.ni). Travail complet en préparation. P. KERAVAL. X.
Observation
d'aphasie avec agraphie; par M. ST.DFrM1,NN. (C
corticale; par V.-I. Wassiliev. (Obozrénié psichiatrii, V. 1900.)
Observation
, avec autopsie, d'un homme de cinquante-cinq ans.
des Sciences médicales de Lyon, 12 juin 1901.) M. Collet rapporte l'
observation
curieuse d'une malade qui, en résumé, a présent
Sciences médicales de Lyon, 26 juin 1901.) M. Collet rapporte une
observation
'de paralysie agitante avec tremblement limité
ysie agitante atteint excep- tionnellement la face. Licite quelques
observations
de tremblement facial dues à Grasset, Ilosentla
ciences médicales de Lyon), 16 octobre 1901. M. Collet présente l'
observation
d'un homme d'une trentaine d'années qui, brusqu
er 1901, no 4. 5, 8, 9, p. 37, 50, 80,-100. Pic et Piery publient l'
observation
avec autopsie d'une jeune fille, qui examinée p
ndrome de Bénédikt : par lesD10 ViGouROUx" et Lnv.sTm. Intéressante
observation
concernant un garçon de dix-sept ans qui présen
ose du doute ou de l'incer- titude. Ce travail est accompagné de 19
observations
que nous ne pouvons naturellement analyser ici;
énorme du corps thyroïde (2;;0 gram- mes) qui tend à confirmer les
observations
de Rapowich, Gley, Bryce, Bediow, etc., sur les
cet exemple. Micropsie chez un tiqueur. M. Henry Meige rapporte l'
observation
d'un garçon de quinze ans, atteint depuis l'âge
et Georges GUILLAIN. En parcourant les traités de neurologie et les
observations
publiées, on peut croire que les troubles psych
ribution à l'étude de l'origine centrale de la paralysie saturnine.
Observation
avec autopsie. MM. Cl. Philippe et de Gothard.
au prorata des altérations des grandes cellules d'origine. Cette
observation
, qui appartient incontestablement à la para- ly
mettre en garde contre cette cause d'erreur et quelques-unes des
observations
qu'ils nous ont citées sont relatives à des neu
soit possible de l'affirmer cependant. Quoi qu'il en soit, cette
observation
est intéressante à connaître, car elle montre q
ation, à l'existence d'une psychose post-opé- ratoire vraie. Dans l'
observation
qui nous a été communiquée par M. Mignot, chef
'une débile et le délire post-opératoire s'explique aisément. Ces
observations
viennent confirmer d'ailleurs celles publiées d
cas le foyer a pu exister, mais a diparu presque complètement : une
observation
du professeur Wal- ther, de Gothemberg, nous mo
r- sien dans les cas où elle reconnaîtra une origine infectieuse.
Observation
I (communiquée par M. le Dr FEBYRË, médecin en
rqués. L'état physique est excellent. Réflexions. Il s'agit d'une
observation
très nette au point de vue mental. La malade n'
à la folie ; car une cousine était aliénée et le père alcoolique.
Observation
II (communiquée par M. le Dr FBBVfOE, médecin en
emme, d'ailleurs en convalescence. Réflexions. Il s'agit dans cette
observation
d'une malade méfiante avant l'opération, et trè
part le diagnostic de la confusion mentale n'ait pas été discuté.
Observation
III (communiquée par M. le Dr Boudrie, médecin
que le diagnostic de paralysie générale probable posé à la fin de l'
observation
n'ait pas été établi sur des bases plus solides
nt de départ du délire. ÉTUDE DES PSYCHOSES POST-OPÉRATOIRES. 227
Observation
IV (communiquée par M. le Dr LECn.aN, médecin e
, répond-il, quand on lui eu demande la raison, qu'on lui en fait l'
observation
. 31 mars 1898. Soupirs profonds, gémissements,
iques de négation, de ruine. Actes incons- cients. Obnubilation).
Observation
. V (d'après les notes communiquées par M. le D1
elle sort très améliorée le 10 septembre 1901. Réflexions. Cette
observation
ne nous donne aucun renseignement sur les antéc
nt elle était atteinte. M. le Dr Dubousquet nous a adressé les deux
observations
suivantes que nous joignons avec plaisir à ce m
ervations suivantes que nous joignons avec plaisir à ce mémoire :
Observation
VI(communicluée par 11. le D' Dubouscluet). Le su
ation VI(communicluée par 11. le D' Dubouscluet). Le sujet de cette
observation
est Melle Marie V... appartenant à une famille
lement entrer en ligne de compte dans l'étiologie de la psychose.
Observation
VII (de M. le LV Dubousquet), J'ai soigné penda
ir la thèse de Colom- bani faite sur l'inspiration de M. Picqué).
Observation
VIII (communiquée par M. le D, Mignot, chef de cl
- casion d'une longue infection et d'une opération. Réflexions. L'
observation
dénote un délire mélanco- lique avec idées de c
rent facilement. Le délire post-opératoire s'explique aisément. L'
observation
suivante nous a été adressée par notre excellen
excellent confrère le professeur Walther de Gothembourg (Suède).
Observation
IX (Mme S... trente-huit ans, avait joui toujours
imposons aux malades est une heure. Nous avons recherché parmi les
observations
publiées avant nous les durées moyennes des séa
me qu'elles ne souf- frent pas. F. Résultats. Un certain nombre d'
observations
ont été publiées par Bergonié, Bordier, Mias, G
publiées par Bergonié, Bordier, Mias, Guilloz, Vernay. Toutes ces
observations
se rapportent à des malades traités par la méth
agissait pas ici et là de névralgies du type léger. Dans bien des
observations
, en effet, le type' de la, névralgie n'est pas,
. BONIIOEFFER. (Centralbl ? iYei-venheilk-, XXIII, N. F. XI, 1900.)
Observation
très détaillée d'un dégénéré. Tares héréditaires,
O,4. (Centi-albl. f. Vo');e) : /t6t7A', XX111.N.F,X[. 1900.) Deux
observations
d'un homme de cinquante-deux ans et d'une femme
roit en question est con- servé : Hermann a, d'ailleurs, publié des
observations
cliniques d'ageustie partielle chez les épilept
le nom de tumeurs du nerf acoustique et il en existe une douzaine d'
observations
. G. Carrier. XXI. Ramollissement de la Protubér
hologique de la myélite syphilitique; parles D3 Thomas et HAUSER.
Observation
intéressante de méningo-myélite subaiguë d'origin
tissu cérébral, quelle que soit leur origine. - Ils rapportent l'
observation
détaillée, avec autopsie, d'un cas typique de p
entraînèrent alors la mort delà malade. Du rapprochement de cette
observation
avec dix autres publiées par divers auteurs, et
fistu- leux ; par GUI13.L. {Presse médicale, 10 septembre 1899).
Observation
d'un enfant de cinq ans, atteint depuis deux ans
par lui, M. Touche en a trouvé 12, dont il rapporte brièvement les
observations
, qui ont présenté des crises laryngées. Un seul
rquée des troncs nerveux des extrémités ; hérédité simi- laire. L'
observation
rapportée par l'auteur présente tout d'abord le
ttent en jeu l'hérédité morbide, c'est à peine si on les connaît. L'
observation
qui fait l'objet de ce travail tendrait à faire
Sur un cas de colique hépatique nerveuse ; par le , Dr HOBINSON.
Observation
de névralgie du foie sans lésion matérielle, et
ations chromatolytiques des noyaux des nerfs crâniens, et, dans une
observation
de Sossedofi et Glochner, les cellules du noyau
résultats négatifs de l'examen électrique. Anatomiquement, cette
observation
diffère sensiblement des résultats obtenus jusq
l'intérêt des particularités anatomiques qui y sont relevées, cette
observation
ne saurait à elle seule faire conclure à la nat
nique, qui est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 277 7 XXXVIII. Trois
observations
de paralysie des mouvements associés des globes
aux dont l'irritabilité est exagérée. D'autre part, dans ces quatre
observations
, la paralysie était nettement localisée au segm
Asthme vésical ; par 6,%%viisiii {Revue de Médecine 1899). Quelques
observations
d'accès de dyspnée observés chez des vieillards
tremblement hémilatéral ; par Remlinger {Revue de Médecine 1899).
Observation
d'un cas de sclérose en plaques où le tremblement
on coronarienne ; par MoREL-LAYALLEE {Revue de Médecine, 1899). -
Observation
d'une angor pectoris survenue chez une hystérique
fices valvulaires et asystolie cardio- pulmonaire. Commentant cette
observation
, l'auteur ne voit pas qu'il faille séparer d'un
une forme disséminée avec nodules lipomateux multiples. Des quatre
observations
rapportées dans cet article, les deux premières
ion de la peau. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 281 Les deux autres
observations
se rapportent à deux neurasthéni- ques, un homm
belleuse; par Tnounn et Roux. (Revue de médecine septembre 1901.)
Observation
d'un malade appartenant à une famille de cinq p
amyotrophiques ; par Chrétien et Thomas (Revue de Médecine 1899).
Observation
d'un cas de tabès avec absence de douleurs fulgu-
a névropathie et les trou- bles gastriques, l'auteur donne quelques
observations
d'accidents nerveux consécutifs à des indigesti
bservations d'accidents nerveux consécutifs à des indigestions. Ces
observations
portent la plupart sur des sujets névropathes.
1VN. (Nottv. Iconogr. de la Sal- pétnière, n° 3, 1899.) Plusieurs
observations
de troubles trophiques chez des enfants, les un
nt depuis deux ans de tuberculose pulmonaire et que de nombreuses
observations
que le poison tuberculeux peut attaquer le systèm
l'idée fixe, crainte de voir tomber la tête ; par le De SCIIEIIB.
Observation
type de torticolis mental, aussi intéressant au p
ion de l'apo- névrose palmaire ; par les Des Parhon et GOLDSTEIN.
Observation
intéressante à plusieurs points de vue. D'abord e
ur les observa- tions qu'il a déjà publiées, sur l'interprétation d'
observations
an- ciennes, estime que l'hemiatrophie faciale
a vision binocu- laire à droite ; par M. Gilbert Ballet. Curieuse
observation
suivie depuis dix ans par M. Ballet. L'affec- t
liques au cours des granulies tuberculeuses. M. Bienvenu lit quatre
observations
de malades, emportés en quelques jours, par une
i est l'inhibition. llili. Vicouaoux et JAQUEUER communiquent trois
observations
de malades, ayant présenté un délire hallucinat
yndrome délire alcoolique au syndrome délire toxique. M. Dupré. Ces
observations
rappellent beaucoup le délire par insuffisance
physiques. Il rapporte, à l'appui de sa thèse, un certain nombre d'
observations
et termine en insistant sur le- rôle excellent
prescriptions de théra- peutique générale. - M. Paul MAGNIN. Ces
observations
sont très justes et il va sans dire que, nous a
. Sur le diagnostic des psychoses syphilitiques. Se basant sur deux
observations
, le rapporteur note les partieu- larité suivant
s (avec le Dr Picqué) Con- grès des aliénistes de Marseille, 1899 ;
Observation
de folie sym- pathique (avec le Dr Picqué), Soc
les dernières données de la thérapeutique contemporaine (alitement,
observation
continue) et confiées à la direction d'alié- ni
ieuses; les religieuses de Port-Royal. ' (Cinquième série de cinq
observations
). Par le Dr Cwo.ns BINET-SANGLÉ, professeur à l
r le Dr Cwo.ns BINET-SANGLÉ, professeur à l'Ecole de psychologie. .
Observation
I. Marguerite Dupré. Etol général.-Lorsque, le
r les fenêtres et par-dessus les murs du monastère, alors bloqué.
Observation
II. Anne-Marie de Flécelles de Brégy. Ascendanc
141. 1 Supplément au Nécrologe, 510. 332 HISTOIRE ET CRITIQUE.
Observation
III. Magdeleine de Flécelles. Etat générale Mag
suicide, que l'on devra se résoudre à proposer la gasserectomie.
Observation
I. M ? T..., quarante-sept ans, couturière. En
une personne de sa famille qui nous donne les renseignements de son
observation
. Comme troubles moteurs, il y aurait quelquefoi
nq ans, ayant subi une recrudescence Liés marquée depuis un an. L'
observation
détaillée de cette malade a été égarée. Cette m
s trois ou quatre jours seulement. 0>ss. XVI et XVII. Ces deux
observations
ont trait à des ma- lades atteints de névralgie
a seule chose d'ailleurs qui nous. paraisse intéressante dans cette
observation
, c'est la coïnci- dence de la fibromatose, affe
t deux cas de paralysie générale chez des imbéciles, rappelait deux
observations
analogues l'une de More), l'autre de M. Christi
, je donnais moi-même, dans les Annales médico- psychologiques, une
observation
du même genre et j'avan- çais cette opinion que
paralytiques géné- raux de la classe rurale sont des débiles M. Les
observations
que j'ai recueillies depuis ne sont pas de natu
à me faire changer d'opinion. 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I.
Observation
d'états psychiques anormaux survenant pério- di
psichialrii, V. 1900) Travail fort substantiel accompagné de six
observations
person- nelles et d'un tableau des mensurations
c/to<o( ? MM, janvier-juin 1901. Les nombreuses et intéressantes
observations
de dégénérés recueillies par les auteurs, peuve
, les bénéfices du trai- tement n'en sont pas moins importants. L'
observation
publiée par l'auteur en est un exemple intéressan
délire et de l'agitation par l'installation d'un état fébrile est d'
observation
très ancienne. le fait de l'intervention d'une
cinations dites à point de repère, et les résultats fournis par les
observations
clini- ques concordent parfaitement avec ceux d
ge motrice dans la vie sexuelle, nous avons été ame- nés à quelques
observations
qui peuvent ainsi se résumer. I. Il y a un rapp
ent sur une distinction qui pré- cise le sens et la portée de leurs
observations
. Entre l'image mo- trice proprement dite et l'i
r la notion des positions successives du membre. Il apparaît de ces
observations
que l'espace visuel et l'espace moteur sont irr
l. SOCIÉTÉS SAVANTES. 385 Hystérie tardive. M. Dupré rapporte l'
observation
d'un cas d'hystérie mâle ayant débuté chez un v
médico-pédagogique, complément de la première, comprend un schéma d'
observation
aussi com- plet et aussi détaillé que possible,
logie infantile, discutés sur des faits et des résultats. - Trois
observations
démontrent l'efficacité du bromure de camphre d
at. Revenant sur l'idiotie morale, dont il a publié de nombreuses
observations
et qu'il a tant contribué au faire connaître, M.
r analogie avec les stigmates des extatiques. Une très intéressante
observation
d'idiotie symptomatique d'une sclérose atrophiq
dystrophiques très avancées. Le dernier travail est consacré à une
observation
très remarquable de porencéphalie vraie associé
et feimlel n'ont pas seulement voulu relater le fruit de dix ans d'
observations
consciencieuses et de recherches laborieuses, nia
t Feindct ont trouvé une introduction originale et précieuse dans l'
observation
qu'ils publient sous le nom de Con ? clences d'
it, sans répondre à un ques- tionnaire qui aurait pu le suggérer. L'
observation
de ce malade est complète, les tics convulsifs
é nous-même. dans notre thèse, que, en se cantonnant dans la simple
observation
des mouvements convulsifs chez les idiots, on p
es aliénés du 'gouvernement de Moscou. 1900, Mos- cou . NOUVELLES
OBSERVATIONS
DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 407 Nouvelles observatio
cou . NOUVELLES OBSERVATIONS DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 407 Nouvelles
observations
de névrose d'angoisse; - Par P. IIARTENBERG.
ent pour cela être considérés comme neurasthéniques et que dans l'
observation
et la classification des désordres si déli- cat
ntre elles l'hysthérie et la neurasthénie ou encore l'une NOUVELLES
OBSERVATIONS
DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 409 de ces dernières ave
e puissent évoluer parallèlement chez un même sujet; et voici une
observation
à titre d'exemple, où l'on voit la neurasthénie
ndis que la névrose d'angoisse persiste pendant longtemps encore.
Observation
I. 1-0 L..., vingt-six ans, mariée, mère d'un e
Il y a certes dans cette affirmation de Freud une grande NOUVELLES
OBSERVATIONS
DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 411 part de vérité. De n
Gattel, de Tschisch, de Loewenfeld, de Kisch, dont j'ai résumé les
observations
dans mon travail sur ce sujet. Tout récemment,
e de satisfaction sexuelle avait provoqué une névrose d'angoisse. L'
observation
nouvelle et inédite qui va suivre vient donc à
nédite qui va suivre vient donc à l'appui de la théorie de Freud.
Observation
II. - 111 ? M..., quarante-deux ans, habituelleme
en ce qu'il semble provoqué par les émotions de l'automobilisme.
Observation
III. M. F... trente-six ans. Père mort à soixante
rit un régime et rassure le malade. L'angoisse diminue. NOUVELLES
OBSERVATIONS
DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 413 En octobre suivant,
iminer nullement une cause sexuelle de la névrose. Cette dernière
observation
pourrait peut-être contribuera : a nous éclaire
tteint tandis que l'autre est resté absolument indemne. NOUVELLES
OBSERVATIONS
DE NÉVROSE D ANGOISSE. 415 Cependant ces cas de
sse. Congrès international de psychologie. Paris, 1900. Nouvelles
observations
de zzéurose d'angoisse. Congrès des aliénistes et
euses; les religieuses i. de Port-Royal. (Cinquième série de cinq
observations
). Par le D1' Chaules BINET- SANGLÉ, professeur
BINET- SANGLÉ, professeur à l'Ecole de psycholod (Suite et fin.)
Observation
III. Magdeleine Thomas du Fossé. Hérédité. Magd
urut Pierre- Thomas du Fossé qu'on ne le ferait peut-être après une
observation
directe mais de courte durée. 11 s'agit de la p
seconde était Magdeleine Thomas du Fossé, qui fait l'objet de cette
observation
. La troisième, Anne Thomas du Fossé, se fit rel
m'a conduit à choisir les religieuses de Port-Royal comme sujets d'
observation
. ' Recueil de pièces, etc,. Lettre citée, 5.
ogique de la famille Thomas du Fossé. 438 HISTOIRE ET CRITIQUE.
Observation
V. Marguerite-Angélique Giroust des Tournelles
t-Loire). ' Lorsque j'établirai cette moyenne sur l'ensemble de mes
observations
. j'aurai l'occasion de faire remarquer qu'elle
grand nombre de faits. La thèse de IL Larger con- tient plus de 600
observations
de femmes, correspondant à 2.000 anomalies obst
ins. Depuis ce temps, ce chiffre s'est encore augmenté de nouvelles
observations
confirma- tives inlassablement recueillies par
endra aisément, tout à fait inadmissible. » A l'aide de leurs 600
observations
inédites et la plupart sériées, les auteurs éta
r si sou- vent dans la chaîne de l'hérédité. Voici deux schémas d'
observations
où se voit cette hérédité par transformation.
ation. Troubles mentaux, épilepsie, etc. Déjà Bourneville, dans les
observations
si complètes qu'il prend de ses malades ', avai
de Pajot. En voici deux exemples, pris entre plusieurs autres :
Observation
11.-Femme née prématurément, épileptique. Elle
ce des présentations anor- males que dans les couches de sa mère.
Observation
112. Femme normale. Mari dégénéré. Après trois
MM. Larger, c'est leur petit nombre. Il est vrai que, sur les 340
observations
de présentations anor- males des auteurs, et bi
avec un autre mari anormal (influence du mâle). Voici notamment 3
observations
qui marquent d'une façon saissisante cette infl
rquent d'une façon saissisante cette influence du mâle : Première
observation
1. Premier mari normal : présentations normales
étricales, et qu'il y a lieu de com- pléter sur ce point toutes les
observations
, particulièrement celles recueillies au point d
c'est dans cette catégorie que parait devoir rentrer l'intéressante
observation
rapportée par les auteurs, observation des plus c
evoir rentrer l'intéressante observation rapportée par les auteurs,
observation
des plus com- plète au point de vue anatomo-pat
es de la participation importante de l'appareil circulatoire. Cette
observation
démontre que des troubles circulatoires peu- ve
ontradictoires de la méthode expéri- mentale, les auteurs donnent 4
observations
cliniques détaillées, deux de syringomyélie et
éveloppement congé- nital. En dehors de son intérêt immédiat, cette
observation
permet de vérifier que, dans la respiration nor
nouveau, mais seulement une expression nouvelle plus conl'orme à l'
observation
scientifique. « Je ne crois à l'existence des c
infirmières ont leurs portes ouvertes. La moitié des malades est en
observation
continue, les trois quarts en obser- vation pre
malades qui ont besoin d'une attention spé- ciale, la quatrième les
observations
. Le registre du surveillant en chef de nuit est
èssimple : sur une page, ordinairement presque blanche, il note ses
observations
spéciales; sur l'autre il inscrit les heures où
tre observé et manié suivant les indications qui résultent de cette
observation
. Il faut ajouter qu'ils doivent être étudiés no
prévient très facilement les récidives. M. Pau)MAGN)N rapporte l'
observation
d'une malade qu'il traite en ce moment et qui p
rrhée, de sueurs, de vertige, etc. MM. Pitres et Régis donnent huit
observations
d'obsessions à forme panophobique qui montrent
ion d'un choc moral (phobies traumatiques). Les auteurs donnent des
observations
de phobies de la rage, de délire du toucher, de
des solutions séduisantes par leur clarté et toujours basées sur l'
observation
clinique. Aliénistes, neurologues, psychologues,
es différents territoires cutanés, des différents muscles, etc. Dix
observations
anatomo-ctiniques, avec planches, illustrent av
onie avec l'opinion de tous les auteurs classiques, avec toutes les
observations
publiées sur les phénomènes « hystériques » et
rose qui s'associe aux maladies les plus diverses. Et il cite : une
observation
d'hémiplégie avec paralysie mo- trice organique
son rapide de l'hémianesthésie par l'application d'un aimant) ; une
observation
de paralysie faciale consécutive à une fracture
s, loin de cet optimisme curateur que l'on trouve en tête de chaque
observation
clinique dans les deux livres qui ont pour titr
apie (1891). Pour ne parler que du dernier, l'auteur a groupé les
observations
de malades guéris par la suggestion hypnotique
lades guéris par la suggestion hypnotique de la façon suivante : 1°
observations
de névrose trauma- tique ; 2° observation d'hys
e la façon suivante : 1° observations de névrose trauma- tique ; 2°
observation
d'hystérie convulsive ; 3° troubles hystériques
ation d'hystérie convulsive ; 3° troubles hystériques divers : li-0
observations
de ciiorée ; 5° observa- tion de tétanie; 6° ob
rs : li-0 observations de ciiorée ; 5° observa- tion de tétanie; 6°
observation
de névroses génitales; 7° observation de névros
bserva- tion de tétanie; 6° observation de névroses génitales; 7°
observation
de névroses psychiques ; 8° alcoolisme ; 9° aff
es psychiques ; 8° alcoolisme ; 9° affections neurasthéniques ; 10°
observation
de nervo-arthri- tisme ; il° observation de tro
ions neurasthéniques ; 10° observation de nervo-arthri- tisme ; il°
observation
de troubles menstruels; 12° névral- gies ; 13°
des affections organiques diverses ; 160 troubles menstruels ; 17°
observation
de suggestion par métallothé- rapie et magnéto-
suggestion par métallothé- rapie et magnéto-thérapie. Sur les 208
observations
relatées et étiquetées par M. Bernheim lui-même
i- ques, par la suggestion. Nous ne reprendrons pas une à une les
observations
publiées dans ces deux volumes, mais nous rappe
t aperçu qui se complétera et s'éclairera par la lec- « ture de nos
observations
dont il constitue comme une « synthèse clinique
oubles. Enfin, comme cette salle est utilisée pour la rédaction des
observations
, il en résulte que le contrôle du personnel de
ction, soit du gonocoque lui- même, soit de ses toxines et les deux
observations
publiées par les auteurs montrent que le systèm
devient unilaté- ral dans la suite. M. Collet cite à l'appui des
observations
de ces différentes formes cliniques du tremblem
ces médicales de Lyon, 5 février 1902). M. Collet a pu réunir trois
observations
de tabes avec paralysies et crises laryngées, q
l et l'iodure de potassium à hautes doses. L'auteur publie quatre
observations
dans lesquelles il attire l'attention sur la ra
(Société des Sciences médicales de Lyon, 19 février 1902). Dans l'
observation
publiée par M. Vacher on constate aux deux main
ectivement, la malade n'accuse qu'une sensa- tion de froid. Cette
observation
est intéressante par l'association d'une atro-
s); par IIOSSOLIMO (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 1,1902).
Observation
ainsi résumée par l'auteur : un homme d'âge moy
rissaud) ; par DUPRÉ et Pagniez (Nouv. Iconogr. de la no 3,1902).
Observation
intéressante par l'analyse des facteurs successif
primaire (région polaire externe), et mérite le ne 1-1 de nouvelles
observations
montrent qu'une portion de cette région se déve
es pupilles; par J. PILTZ. (Neurolog. Centralblatt XXII. 1903.) Les
observations
de Strasburger, au nombre de trois, concer- nen
énergique de l'orbiculaire palpé- bral. Saenger en donne une autre
observation
où ce phénomène se produit tant à l'accommodati
bles trophiques de l'anneau irien. AI. Nonne apporte deux nouvelles
observations
dans lesquelles, au lieu de syphilis et d'affec
la dilatation finale de la pupille pendant le phénomène. Dans sou
observation
et celles de Piltz, Strasburger, Nonne, la contra
traction, c'est-à-dire la contracture, Nonne également. Voici une
observation
dans laquelle on a vu se développer cette contrac
incter. En attendant les recherches microscopiques éventuelles, ces
observations
prouvent que la paresse des pupilles et la cont
Sur un cas de délire de Dlcdiumnité. MM. Ballet et DIIEUA. Cette
observation
est celle d'un malade qui a été en proie à un d
e considérablement grossi chez des médiums (semblables à celui de l'
observation
) qui, obéissant aveuglément à l'esprit, fait de
anité. MM. GILBERT Ballet ET Monier-Vinard. Chez le malade dont l'
observation
a été présentée, aux phénomènes ordinaires de l
oubles. M. G. Ballet. - Le malade dont il est question dans cette
observation
est très intéressant : 10 au point de vue de la p
'avance ce qu'il va écrire, etc. AI. Doissier donne le résumé d'une
observation
analogue de dé- lire chez un médium. Observatio
ne le résumé d'une observation analogue de dé- lire chez un médium.
Observation
qui sera communiquée in extenso ultérieurement.
in extenso ultérieurement. n1. Christian fait la remarque que ces
observations
ressemblent aux observations de démonomanie pub
n1. Christian fait la remarque que ces observations ressemblent aux
observations
de démonomanie publiées autrefois dans Esquirol
- git pas d'une forme psycbo-patbiqne nouvelle. En présentant ces
observations
, les auteurs n'ont eu pour but que de rechercher
le chemin de la folie. A1M. KLIPIIEL et Viguurocx présentent trois
observations
depot'a- lytiques généraux qui, bien que u'etau
oppement, la marche et le repos le faisaient disparaitre. Les trois
observations
se rapportent à des paralytiques généraux avéré
t l'occasion de voir cet oedème chez le malade dont j'ai présenté l'
observation
récemment. La paralysie motrice des deux membre
n du tronc cérébral. Dr G. Rossolysio. L'auteur communique quatre
observations
personnelles, dans lesquelles ressortent en pre
ait hyperesthésique. Gigantisme précoce. 111. HYDOVERNIK envoie l'
observation
, les photographies et les radiographies d'un en
uels comme on l'a vu plus haut, sont transférés dans les dortoirs d'
observation
. La ronde ne fait que réveiller des malades tra
par de Léon. 77. Nouveaux dé- tails sut la - asthénique, dont une
observation
avec autopsie, par Goldllam, 179. Asthénique
asthénique suivi d'autopsie, par Déjeune et Thomas, p. 276. Trois
observations
de - des mouve- ments associés des globes ocula
es du système nerveux, par\Iendelson, 10î. Sein liystéi ique. Une
observation
de - , par Lannois, 177. Sens cutané. Recherc
M. le Professeur CHARCOT Leçons du Professeur, Mémoires, Notes et
Observations
Parus pendant les années 1889-90 et 1890-91 et
rurale. — Tuberculose de la région paracentrale. Présentation d'une
observation
avec pièces anatomiques à l'appui. I. Messieu
s a particulièrement intéressés. Avant d'entrer dans les détails de l'
observation
, permettez-moi de vous rappeler immédiatement les
l'amphithéâtre d'autopsie qu'elle a été faite. Il a suffi d'une bonne
observation
clinique suivie d'une bonne autopsie, entre les m
ons de la région du lobule paracentral est de date assez récente. Les
observations
premières, par le fait de complications multiples
acquisitions, nous précisions en ces termes (2) : « Il résulte de ces
observations
que les lésions corticales susceptibles de donner
rouvé enfin fixé. Je dis fixé, car, depuis cette époque, les diverses
observations
dont j'aurai l'occasion de vous parler dans un in
u'il s'agit ici de la région paracen-trale, je puis vous rappeler une
observation
récente, publiée en Hollande par M. Wismann (1) e
MM. Souques et J.-B. Charcot, à divers recueils et en particulier aux
observations
publiées dans (1) Wismann. — Mendeis Centralbla
par l'autopsie, car, particulièrement dans les faits de syphilis, les
observations
cliniques semblent plus fréquentes ; je me rappel
la tuberculose para-oentrale, et je dois ici signaler une fort belle
observation
publiée par M. Rendu dans son recueil de leçons c
sente en lui-même, il vient apporter, en raison de la régularité de l'
observation
clinique et de la limitation étroite de l'unique
(voir plus loin, n°XXVI), nous avons eu l'occasion de faire quelques
observations
dans le même ordre d'idées pendant l'hypnose. Ce
le même ordre d'idées pendant l'hypnose. Ce sont les résultats de ces
observations
que nous consignons ici, sans en tirer d'autres c
pour toutes, avant de commencer, que nous avons fait usage, pour ces
observations
, uniquement de sujets présentant ce qu'on appelle
éritable auteur (2). Nous donnons ici l'histoire de ce malade, dont l'
observation
nous a conduits à faire de plus complètes investi
avait faits lorsqu'on lui mettait de l'oignon sous le nez. De cette
observation
, bien qu'un peu incomplète en ce sens que le mala
sensation perçue. Lorsque l'un de nous vint à Paris, muni de cette
observation
et rendit compte à l'autre des résultats nouveaux
remier sujet et combler ensuite les lacunes qui existaient dans son
observation
, dont nous signalions à l'instant les points faib
le degré de concentration est presque le même que dans la malade de l'
observation
précédente. Comme elle, il est absolument indiffé
de l'autre, malgré les rapports qui les unissent si étroite- (1) L'
observation
complète clo ce malade se trouve, avec une série
connaissances relativement à cet état sont très peu précises, car les
observations
ne peuvent être faites que pendant la nuit, et pa
la rappeler, la scène fameuse de Macbeth. Il ne manque pas non plus d'
observations
dans lesquelles on a noté que les somnambules s'o
hypothèses. Gilles de la Tourette, se basant sur un certain nombre d'
observations
dans lesquelles des hystériques confirmés auraien
vait déjà à la vérité observé et publié des cas de ce genre. Les deux
observations
bien connues de Mesnet doivent, ainsi que nous le
rprétation est facile ici, et P. Richer (1) dans son livre cite cette
observation
sous la rubrique de somnambulisme remplaçant la p
Ce sont bien là tous les caractères du délire hystérique. Une de nos
observations
serait absolument identique à celle-ci, si on n'y
alors interne de la clinique des maladies nerveuses, fut prendre son
observation
qu'il a bien voulu nous communiquer. La voici tel
, devint rouge et resta très douloureuse pendant trois ou (1) Cette
observation
date de juillet 1889. Charcot, t, il 6 quatre
. Cette petite digression était nécessaire pour l'intelligence de l'
observation
qui va suivre. Chez le malade qui en fait le suje
, leçon recueillie par Georges Guinon (Progrès Médical, 1890, n° 36).
Observation
du premier malade, le nommé B... aboutir l'ingé
caractères spéciaux de ces suggestions (2). De plus, la malade dont l'
observation
l'a conduit à faire ces recherches présentait dan
Dr Sophie Woltke (d'Odessa). Nous ne rappellerons que pour mémoire l'
observation
du médecin d'Odessa, parce que le malade ne parla
s jeux de physionomie et des gestes qu'il avait exécutés. * Cette
observation
, bien qu'un peu imparfaite en ce sens que le mala
inent que nous avons écrit le présent travail. Laissant de côté les
observations
de M. Mesnet, que nous avons rapportées brièvemen
tomber malade, comme sa sœur). (1) Toute cette première partie de l'
observation
de Sch...er nous a été obligeamment communiquée p
fin de compte nous l'envoya à la Salpêtrière. Voici les détails de l'
observation
recueillie par nous. Il fit à la Salpêtrière un p
il l'approuve, le désapprouve, applaudit, accompagnant sa mimique d'
observations
souvent fort justes ou fort spirituelles. Nous av
omnambules de ce genre. Nous avons vu ailleurs (v. p. 74 et 98) que l'
observation
si intéressante de M. Mesnet contenait le germe d
econnaissons volontiers, parce que c'est le résultat non douteux de l'
observation
journalière, que la majorité des attaques d'hysté
des globes oculaires. Nous avons constaté plus tard, au cours de nos
observations
, que l'on pouvait provoquer l'attaque chez de B..
ue du grand hypnotisme (1). Nous lui en avons (1) Voir à ce sujet l'
observation
publiée dans un travail de M. Dunin (de Varsovie)
e dans nos bras, en proie à une violente emballeur de la précédente
observation
. Quand on lui retirait la feuille sur laquelle il
Pitres (1 ). Ce dernier auteur rapporte, à l'appui de son opinion, l'
observation
fort intéressante d'une malade qui, à la suite d'
e détails et afin d'éviter les redites, nous renvoyons le lecteur à l'
observation
de cette malade donnée plus haut en détail. Quo
de somnambulisme ? La réponse à cette question nous est fournie par l'
observation
de notre jeune journaliste. Dans la plupart des a
Malheureusement on n'a pas souvent l'occasion de faire une semblable
observation
. Mais si on la faisait régulièrement, le nombre d
s (1). (1) M.Gilles de la Tourette,se basant sur un certainnombre d'
observations
, dans lesquelles des hystériques confirmés auraie
s'auto-hypnotise. Nous n'entrerons point dans les détails de cette
observation
, mais il nous suffira de signaler le mode de débu
ains égards, obscurcie en faisant jouer à la suggestion un rôle que l'
observation
attentive des faits montre singulièrement exagéré
des hôpitaux, 27 nov. 1890, n° 136. p. 1258). Le bon sens, comme l'
observation
vulgaire, protestent contre de telles allégations
je pense que dans leur étude nous n'en sommes encore qu'à la phase d'
observation
clinique. Au point de vue nosographique, mon opin
é dans le Progrès médical (1892), est le développement, avec apport d'
observations
nouvelles, des idées exposées par M. le Pr Charco
assage d'un enterrement d'homme célèbre (voir à ce sujet, passim, les
observations
dans mon travail déjà cité). C'est, à proprement
e preuve bien convaincante dans ce fait que l'une des malades, dont l'
observation
est plus loin, a pu rester en observation dans le
e l'une des malades, dont l'observation est plus loin, a pu rester en
observation
dans le service de M. le Pr Charcot pendant des a
er à peu près constamment, ainsi qu'on le verra par la lecture de nos
observations
. Mais ils peuvent être interprétés (1) Mesnet.
ités, qui seront plus facilement mises en lumière après l'analyse des
observations
déjà publiées et l'exposition de deux nouveaux ca
sive, comme ci-dessus, mais d'une attaque de sommeil. (1) Ladame. —
Observation
de somnambulisme hystérique avec dédoublement de
s bien connus de Camuset et d'Azam, qui, par leur importance, par les
observations
détaillées dont ils ont été l'objet, forment la b
at II. Nous retrouverons un phénomène analogue dans l'une de nos deux
observations
personnelles. Je ne rappelle que pour mémoire d
i se sont occupés de ce malade et qui ont publié le résultat de leurs
observations
(2). Il est rapporté avec une profusion de détail
ations de la personnalité. Paris, 1887. — On trouvera dans ce livre l'
observation
tout entière de Félida (moins la fin relative à s
hui, dit M. Azam, pouvant enfin clore cette longue et si intéressante
observation
, Félida a quarante-sept ans. Sa santé générale es
e la personnalité chez des hystériques. L'un d'eux a été soumis à mon
observation
pendant dix-huit mois, l'autre, que je connais de
gnement et aidé de ses conseils que j'ai rédigé le présent travail.
Observation
de Marguerite D... Cette jeune fille, âgée de 1
et pour désigner l'état second de Félida (la malade de M. Azam dont l'
observation
est résumée plus haut) paraît de beaucoup préféra
les, tout d'abord avec Marie H... (une vigilambule comme elle, dont l'
observation
se trouve plus loin) et ensuite avec Marguerite F
urs en état B, puisque cela se passait pendant le jour) à une (1) L'
observation
de cette malade a été publiée dans une leçon de M
es antécédents des détails précis (je les ai reproduits au début de l'
observation
) qui ont pu être contrôlés par les renseignements
l'autre. D'une façon générale, d'après ce qui ressort de la longue
observation
de chaque jour, à laquelle nous avons soumis notr
ervice toujours dans le même état, étant ainsi restée soumise à notre
observation
pendant une période de dix-huit mois, pendant les
es (nocturnes). Je n'ai pas besoin d'insister plus longuement sur l'
observation
de cette malade. J'ai mentionné chemin faisant le
nt. J'arrive tout de suite à notre second cas de vigi-lambulisme. Son
observation
se trouve résumée dans une leçon de M. Oharcot pu
nous l'exposerons en suivant exactement la même méthode. * * *
Observation
de Marie H... Marie H... a aujourd'hui 38 ans.
ion depuis plus de sept ans. Comme on le voit par la lecture de ces
observations
, nos deux malades appartiennent à la catégorie da
té très développée. Ces phénomènes ne sont mentionnés dans aucune des
observations
légitimes que nous avons pu réunir, et n'ont été
xemples empruntés à l'histoire de Félida, que j'ai rapportés dans son
observation
, montrent à quel point ce phénomène peut être acc
être absents dans l'autre. Comme on a pu le voir, par la lecture des
observations
, il y a des cas dans lesquels on rencontre, à ce
difications portaient, comme nous l'avons mentionné dans le cours des
observations
, non seulement sur la sensibilité générale, mais
faire servir à la défense de nos idées. Nous avons à dessein, dans l'
observation
de l'une et de l'autre, insisté avec soin, dans u
omènes hypnotiques, que nous avons décrite avec détails au cours de l'
observation
. Chez la jeune fille de M. Ladame, c'est une atta
permanent de la personnalité et la courte attaque d'état second. Les
observations
que j'ai relatées au cours de ce travail contienn
us l'indiquer tout au long. Mon interne, M. Souques, qui a pris cette
observation
avec soin, doit en faire l'objet d'une publicatio
e et qu'on retrouve une esquisse de ce caractère antérograde dans les
observations
de MM. Motet (1), Ribot (2) et Ksempfen (3). Mais
50). (2) Ribot. — Revue philosophique (août 1880). (3) Kœmpfen. —
Observation
sur un cas de perte de mémoire [Bullet. Académie
nt attiré l'attention sur ce sujet en rapportant une très remarquable
observation
. Ce fait parut si nouveau que dans la discussion
anière de voir, et nous pourrons du reste les appuyer sur une série d'
observations
cliniques. Dans une leçon récente \ notre maîtr
aient été, l'un épileptique, l'autre paraplégique. Cotard1 rapporte l'
observation
d'un mélancolique qui devint diabétique. Il était
diabète sucré chez les enfants (1877) rapporte une fort intéressante
observation
de Legroux. La voici résumée : TABLEAU III CO
jet a été examinée par M. le professeur Charcot tout récemment. ¦
Observation
I (personnelle). Mme B..., quarante ans, nie fo
ue. Fils. Sain. De ces divers tableaux, nous pouvons rapprocher l'
observation
suivante que nous avons recueillie à la consultat
nous avons recueillie à la consultation externe à la Salpêlrière :
Observation
II (personnelle). Rec..., trente-cinq ans, voya
raison de l'oubli dans lequel on avait paru la laisser jusqu'ici. Les
observations
que nous allons rapporter ont été recueillies par
linique, soit dans la clientèle privée de M. le professeur Charcot.
Observation
III. A. Lem..., cinquante-neuf ans, maçon, entr
résie brachiale associée. — Héréditairement, on retrouve dans cette
observation
les deux tares névropathique et arthritique. Et c
rcot, par Benedikt et tout récemment étudié par M. Martin Joannès1.
Observation
IV. E. Kat..., israélite, cinquante-six ans, co
Sée 1 semble parfaitement établie. Elle repose du reste sur ce fait d'
observation
clinique que les juifs sont particulièrement atte
une lésion tabétique propagée au quatrième ventricule, comme dans les
observations
de Oppenheim, Reumont et Fischer, et cela pour pl
ordinaires de la glycosurie d'origine tabétique. Bref, comme dans l'
observation
III, il s'agit d'un cas d'association du labes vr
sociation soit simplement le fait de la prédisposition héréditaire.
Observation
V (personnelle). M. C..., soixante ans, rentier
temps constaté dans l'urine, examinée une fois par semaine. — Cette
observation
est à peu près calquée sur la précédente ; elle e
elle a trait à un cas d'association du tabès avec le diabète sucré.
Observation
VI. F. de la P..., soixante ans, journaliste, s
La soif, l'urination, l'appétit sont normaux. — Nous voyons, dans l'
observation
que nous venons de résumer, un homme, sans hérédi
n avec la disparition apparente sinon réelle du diabète est un fait d'
observation
intéressant à souligner. Ne sait-on pas que le su
l est impossible, dis-je, de ne pas se rendre à l'évidence, lorsque l'
observation
consciencieuse des faits nous apprend que tous ce
lle qu'on rencontre la coexistence du tabès et du diabète. Les quatre
observations
que nous venons de résumer montrent que cette ass
s devons faire une exception en faveur de Fischer qui mentionne trois
observations
intéressantes, malheureusement incomplètes et inc
entièrement. Voici comme spécimen le résumé d'un de ces trois cas :
Observation
VII. (Fischer, Centralb. fur Nervenheilk., 1886,
ous venons de faire et des réflexions qui accompagnent chacune de nos
observations
. Deux cas peuvent se présenter en clinique : ta
'origine diabétique, Althaus dit : « Actuellement on ne possède pas d'
observations
très concluantes sur les paralysies des muscles o
s le diabète, nous avons vu plus haut, à propos des commentaires de l'
observation
III, ce qu'il fallait en penser. Cette atrophie d
tabétique le chiffre du sucre est en général peu élevé; les diverses
observations
publiées jusqu'ici parlent toutes en ce sens. Dan
ns le diabète. Les chiffres donnés par Oppenheim, Reumont, dans leurs
observations
sont 1.012, 1.015, 1.019, mais ceci n'a pas grand
à deux symptômes qui semblent constants ; ils existent dans les trois
observations
de glycosurie d'origine tabétique connues de nous
dans celui de Reumont, à 100, et il était constamment accéléré dans l'
observation
de Fischer. Viennent en second ordre les signes
de faire remarquer que ces divers symptômes faisaient défaut dans les
observations
inédites que nous avons rapportées plus haut. N
qu'il nous envoya dans la suite et qui n'est pas moins intéressant.
Observation
de la famille A... (Maladie de Friedreich.) (Dr L
le (4), et leur interprétation a été discutée à la suite de nouvelles
observations
de MM. Desnos (5), Féréol (6) et Hallo-peau (7).
oteur oculaire externe avec déviation conjuguée. Th. Paris, 1878. L'
observation
que nous allons rapporter constitue une nouvelle
côté n'a été formellement constatée que chez certains animaux. Les
observations
de cet ordre suivies d'autopsie sont encore très
re maître M. le professeur Charcot. Elle est tout à fait analogue à l'
observation
VI (personnelle) du mémoire de Graux. Si elle en
nullement les parties voisines, telles que les libres du facial. L'
observation
de MM. Bennett et Savill est fort intéressante au
sont oblitérés par des globules sanguins qui les distendent. Cette
observation
est avant tout un exemple probant de déviation co
t externe d'un côté, spasme du droit interne de l'autre côté — dans l'
observation
que l'un de nous a publiée récemment dans le trav
ysie du moteur oculaire externe gauche a été, comme il est dit dans l'
observation
, moins intense que celle du côté droit. L'hémip
entrecroisement. L'immunité du facial, qui est notée également dans l'
observation
de Graux, analogue à la nôtre, a paru difficile à
Marie et moi reprenions la même question et, avec un certain nombre d'
observations
à l'appui, rappelions les conclusions de notre ma
Je dois à sa très grande obligeance de pouvoir rapporter in extenso l'
observation
de son malade, qu'il a bien voulu me communiquer,
rieure. L'acte de rire fut également trouvé singulier. D'ailleurs des
observations
analogues sur le rire, l'action de souffler, avai
ssent, dans la plupart des cas, pseudo-hypertrophiées, grâce à leur
observations
publiés par Georges Guinon. Paris, 1892, t. I, n°
qu'il s'agissait là de véritable pseudo-hypertrophie musculaire. L'
observation
ci-dessous pourrait, à la rigueur, aux yeux d'un
tater la coexistence de la pseudo-hypertrophie en certains muscles.
Observation
II (personnelle). Myopathie progressive de la f
s et surtout du deltoïde droit et du triceps de la cuisse gauche. L'
observation
de ce malade a été publiée en 1890, dans la Revue
lle morte aliénée, et une sœur qui (1) P. Le Noir et P. Bezançon. —
Observation
de myopathie progressive primitive, type facio-sc
ur abandonné, il vient se faire soigner à l'hôpital. Soumis alors à l'
observation
de MM. Le Noir et Bezançon, il se présentait dans
Ce caractère tout particulier, qui a été noté avec soin au cours des
observations
, à savoir la disproportion entre le volume et la
trerons dans aucun détail au sujet de l'histoire de cet homme, dont l'
observation
se trouve donnée plus haut avec assez de détails.
sentait des muscles pseudo-hypertrophiques. Voir plus haut, n° XXXIV,
observation
II, le nommé B... (G. G.). ainsi qu'on peut fac
malade que nous vous présentons aujourd'hui et dont ils ont publié l'
observation
dans la Revue de médecine (3). Elle nous paraît ê
ophiques. 1 vol. in-8, Paris, 1889. Doin. (3) Le Noir et Bezançon.—
Observation
de myopathie progressive primitive (type facio-sc
lassiques et dans les ouvrages spéciaux. Lorsque, dans le cours d'une
observation
, nous nous trouverons en présence de phénomènes r
s explications au sujet de notre méthode d'examen. En effet, dans nos
observations
, on ne trouvera guère que des constatations posit
écial n'est pas noté chez nos sujets, c'est qu'il n'existait pas. Ces
observations
s'appliquent également à la recherche des antécéd
ent nocturnes dont nous parlions plus haut. Nous ne donnerons pas les
observations
de ces malades ; on en trouvera la nomenclature d
nre comptent pour deux dans le total des sept cas d'auras motrices.
Observation
I. Aur... Charles, 19 ans, sans profession. P
cuité visuelle et fond de l'œil normaux, ainsi que le champ visuel.
Observation
II. Huss... Jeanne, 28 ans, culottière. Début
onnement général. Vertiges quotidiens et accès avortés fréquents.
Observation
III. Laf... Baptiste, 22 ans, tailleur. Un fr
volontairement les mains en avant et tombe en perdant connaissance.
Observation
IV. Lin... Gabrielle, 29 ans, blanchisseuse. Co
quelquefois accès de tristesse, de méchanceté et même de violence.
Observation
V. Pott... Louise, 24 ans, couturière. Convulsi
e post-épileptique de date récente, n'ayant pas laissé de souvenir.
Observation
VI. Decol... Caroline, 34 ans, tailleuse. Pèr
é trois jours, et dont elle n'a conservé qu'un souvenir très vague.
Observation
VII. Gend... Berthe, 18 ans. Un frère mort d'
ois la veille du jour de l'accès. Il en est à peu près de même dans l'
observation
VI ; seulement le phénomène constituant ce prodro
e typique à début lingual, qui forme l'aura vraie. Au contraire les
observations
I et VII nous montrent des prodromes différents d
t aussi à certaines sensations internes, viscérales en particulier.
Observation
VIII. Bouss... Louise, 16 ans. Mère épileptique
ment dans la région stomacale. La malade n'est pas encore réglée.
Observation
IX. Del... Charlotte, couturière. Convulsions d
ade de son sommeil et l'accès se produit dans les mêmes conditions.
Observation
X. Lév... Georges, 16 ans. Mère nerveuse. Con
qui monte du cou à la tête et fait place à une sensation de froid.
Observation
XL Mal... Caroline, 25 ans. Début dans la premi
goût immodéré pour les friandises, lequel cesse le jour de l'accès.
Observation
XII. Pi... Berthe, 31 ans. Enfant trouvée. Dé
emars terrifiants, surtout dans les nuits qui précèdent les accès..
Observation
XIII. Vry... Anatole, 19 ans, épicier. Père alc
l'hystérie. » C'est exactement ce qui arrivait chez la malade de l'
observation
IX. La crise avait lieu au water-closet si elle a
ntéressant par la nature du trouble visuel qui carac térise l'aura.
Observation
XIV. Ab... Julia, 31 ans. Début à l'âge de 5
octurnes, ne sont plus précédés d'aucune aura. Charcot, t. ii. 26
Observation
XV. Ren... Henriette, 16 ans, couturière. Père
catégorie à part, nous les avons rangés à côté des auras auditives.
Observation
XVI. Rib... Aimée, 16 ans. Mère hystérique. Cou
champ visuel. Points hystérogènes. Accès bimensuels de migraine.
Observation
XVII. Roll... Ernestine, 40 ans, couturière. Pè
reilles violent, accompagné de vertige, qui la fait tomber à terre.
Observation
XVIII. Bail... Catherine, 47 ans, cuisinière. D
Début à 24 ans. Accès tous les trois ou quatre mois, le plus (1) L'
observation
de ce cousin, le nommé Poign..., a été relatée pl
ige subit, suivi rapidement de la perte de connaissance. Dans cette
observation
nous ferons remarquer le caractère particulier de
assister sur l'importance de ces faits au point de vue médicodégal.
Observation
XIX. Legr... Marie, 21 ans. Père nerveux, mère
membre supérieur gauche. Mais pas de signe d'hémiplégie véritable.
Observation
XX. Lav... Louis, 15 ans, charretier. Père al
ver place dans aucune des autres divisions que nous avons adoptées.
Observation
XXI. Bien... Louise, 26 ans, lingère. Mère nerv
involontaires des bras et précédant l'accès de vingt-quatre heures.
Observation
XXII. Bourg... Gustave, 33 ans, ancien marchand
'accès ne s'est pas produit. Ce petit fait est intéressant à noter.
Observation
XXIII. Burg... Henri, 25 ans, tapissier. Père s
bromure qui est sans action efficace sur les attaques hystériques.
Observation
XXIV. El... Amélie, 15 ans. Début vers l'âge de
écédant l'accès et par conséquent de l'aura qui a lieu à ce moment.
Observation
XXV. H... Charles, 29 ans, employé de commerce.
s allons la voir beaucoup mieux caractérisée dans les cas suivants.
Observation
XXVI. Ranch... Charlotte, 20 ans. Début à l'âge
fut de tous points semblable à tous les autres non précédés d'aura.
Observation
XXVII. ' Jonch... Pauline, 32 ans. Père alcooli
elle est saisie d'une peur indéfinissable; enfin perd connaissance.
Observation
XXVIII. Lem... Marie, 39 ans, femme de ménage.
z longue pour l'avertir à temps et lui permettre d'éviter la chute.
Observation
XXIX. Mal... Maria, 45 ans, chapelière. Début à
rtiges sont marqués par des mictions involontaires très abondantes.
Observation
XXX. Heil... Pauline, 25 ans, blanchisseuse. Pè
moins nettement esquissée de l'aura céphalique associée à l'autre.
Observation
XXXI. Prop... Louise, 24 ans, couturière. Début
entremêlés de bruits indistincts (coups de tambour, voix confuses).
Observation
XXXII. Lam... Lucie, 30 ans, brunisseuse. Convu
emonte de l'estomac à la gorge et bourdonnements dans les oreilles.
Observation
XXXIII. Arr... Marie, 18 ans. Début à l'âge d
donc pour l'instant tracer de règle d'aucune sorte, et la lecture des
observations
et l'examen des divers cas en dira plus long que
as en dira plus long que toute espèce de considérations théoriques.
Observation
XXXIV. Lir... Léonie, 25 ans. Enfant assistée.
souffre d'une façon à peu près continue. Pas d'affection cardiaque.
Observation
XXXV. Ség... Céleste, 32 ans. Début, vers l'âge
ter de les subordonner les uns aux autres. On voit en outre par ces
observations
combien ces deux auras, si semblables quant aux p
de laisser ainsi, sans crainte, venir l'accès. Charcot, t. ii. 27
Observation
XXXVI. Fr... Léonie, 40 ans, institutrice. Père
ciation seulement de deux éléments d'ordres différents. Dans les deux
observations
qui suivent, on en verra trois bien nettement car
vations qui suivent, on en verra trois bien nettement caractérisés.
Observation
XXXVII. Char... Eugénie, 12 ans. Début il y a q
re et de phénomènes moteurs et sensoriels (hallucinations du goût).
Observation
XXXVIII. Del... Anna, 38 ans. Père buveur; mère
» ) précédant immédiatement la perte de connaissance. Dans les cinq
observations
qui vont suivre, nous allons trouver l'associatio
ystéroïde a été trouvée associée à des phénomènes d'un autre ordre.
Observation
XXXIX. Mer... Louise, 36 ans, couturière. Enfan
quelquefois et souvent l'élément hallucinatoire visuel fait défaut.
Observation
XL. Réj... Anna, 11 ans 1/2. Début à 9 ans 1/2.
rge sans l'étouffer ; puis la tête se tourne à droite par saccades.
Observation
XLI. Dr... Emile, 33 ans, fabricant de fleurs.
soin d'aller à la garde-robe, dont nous avons déjà parlé plus haut.
Observation
XLII. Danj... Denise, 43 ans, lingère. Pas d'au
des accès celle-ci ne s'était accompagnée de symptômes procursifs.
Observation
XLIII. Lois... Céline, 38 ans, casquettière. Pè
l'ensemble de notre petite statistique. Il comprend non seulement les
observations
que nous avons décrites ci-dessus, mais encore ce
e qui sont placés à la gauche de chaque nom renvoient aux numéros des
observations
, de 1 à 43. Les 28 autres cas, sans auras, dont l
des observations, de 1 à 43. Les 28 autres cas, sans auras, dont les
observations
n'ont pas été fournies, sont numérotés de 44 à 71
us nous contenterons donc de mentionner les résultats fournis par nos
observations
. Sur nos 43 cas avec aura, nous avons trouvé :
l'hystérie il est possible de rencontrer dans un aussi vaste champ d'
observation
. Si l'on s'étonne dans certains milieux, tant en
tablir entre elle et le saturnisme une relation de cause à effet. Des
observations
analogues à celles de Raymond furent publiées dep
istence de l'hémianesthésie hystérique est établie sur des milliers d'
observations
, tandis que l'hémianesthésie saturnine, si tant e
isant. Cela étant bien établi, si nous jetons un coup d'œil sur les
observations
d'hémiplégie avec anesthésie saturnine publiées d
ie cérébrale saturnine, j'en viens à me demander si la plupart de ces
observations
, pour ne pas dire plus, ne se prêtent pas à l'int
te, le plus souvent d'hystérie ? Eh bien, je vois, en examinant ces
observations
, des hémiplégies affectant le même côté que les h
stérique (Archives de Médecine, 1887). intérêt de rapporter ici une
observation
que j'ai recueillie, il y a plus de trente ans, e
l s'agit là, comme aujourd'hui, de l'hystérie chez un saturnin. Cette
observation
a d'étroites relations avec celle de Kauf... La v
serait erronée. En résumé, Messieurs, je crois qu'un bon nombre des
observations
d'hémianesthésie alcoolique avec ou sans hémichor
y a parfois tremblement unilatéral) citées par les auteurs, sont des
observations
d'hystérie chez des alcooliques. Nous sommes ains
rurale. — Tuberculose de la région paracentrale. Présentation d'une
observation
avec pièces anatomiques à l'appui. ï v...........
M. le Professeur CHARCOT Leçons du Professeur, Mémoires, Notes et
Observations
Parus pendant les années 18S9-90 et 1890-91 et
direction à droite et à gauche. De ces leçons, travaux divers, notes,
observations
, j'ai pensé qu'il serait utile de faire connaître
M. Prouff, également un confrère breton, qui rapporte une très bonne
observation
(Gazette hebd., 1887). L'autopsie de ce malade a
ies Tune à l'autre et n'en veut faire qu'une seule. Ensuite vient l'
observation
de M.Hanot en 1887 (elle est relative à ce même m
ite sous l'inspiration de M. Hanot. Cet auteur rapporte la suite de l'
observation
du malade publiée antérieurement par son maître,
uction « d'un ou plusieurs panaris... Le premier cas soumis à « notre
observation
remonte bien loin dans nos sou a venirs : il y
quelquefois atteignant tous les doigts ou presque tous. Ainsi, dans l'
observation
de Prouff, nous trouvons huit panaris, neuf dans
ainsi pendant des périodes de temps extrêmement longues. Ainsi dans l'
observation
de Prouff, qui, soit dit entre parenthèses, est u
e, car on l'observe environ chez la moitié des malades. Enfin, dans l'
observation
de Prouff, on note des arthropathies ayant les ap
, 12 ans") ou plus tard encore (cas de Morvan, 60 ans). Dans quelques
observations
, on relève l'existence d'un traumatisme à l'origi
ète du bras et de l'avant-bras. Ces renseignements sont puisés dans l'
observation
publiée par M. Hanot dans les Archives générales
e dépendant de la fracture, comme cela s'est rencontré dans plusieurs
observations
bien connues. « Le malade accuse des fourmillem
cette légère déformation que vous avez vue signalée plus haut dans l'
observation
de M. Chaput. Elle est transportée en masse sur l
t peut -être le tremblement mercui'iel (qui, d'ailleurs , d'après les
observations
de M. Letulle, serait fort souvent un tremblement
de la forme intentionnelle du tremblement hystérique. Je donne ici l'
observation
de ce malade, d'après les documents qui m'ont été
le. Partout ailleurs la sensibilité est absolument normale. (1) L'
observation
résumée de ce malade se trouve dans le travail su
s, en Allemagne, l'attention sur ce complexus morbide, à propos d'une
observation
à lui propre dont il a rapproché un cas publié pa
ncet, t. II, n° 9, 1882, p. 345) par M. Saundby. Puis sont venues les
observations
de Thomsen, de Manz, une nouvelle observation de
. Puis sont venues les observations de Thomsen, de Manz, une nouvelle
observation
de Saundby, une de Remak, une de Joachim, une de
er que déjà, en 1885, dans les Archives de Neurologie, à propos d'une
observation
recueillie dans mon service , M. Parinaud et M. M
périodique —notre migraine ophthalmoplégique — et reproduit les sept
observations
publiées antérieurement à la publication de leur
rques importantes. Actuellement, à l'heure qu'il est, le nombre des
observations
du groupe est de 19 environ ; la nôtre d'au- jo
on qui nous permettra tout à l'heure de mettre en valeur notre propre
observation
; mais, dès l'origine, je voudrais essayer de just
finitivement compromise. L'hypothèse est d'ailleurs justifiée par une
observation
de M. Galezowski montrant qu'une thrombose de l'a
tous les mois, à peu près douze fois par an. Je signalerai quelques
observations
à titre d'exemples du genre : 1° Cas de Senator
cette combinaison se reproduise à l'avenir à mesure que le nombre des
observations
, aujourd'hui encore fort restreint, se multiplier
ls sont les faits que je crois devoir relever particulièrement dans l'
observation
de notre malade (1). Ils suffisent, si je ne me t
ue se rattachant par ses caractères fondamentaux au type classique. L'
observation
appartient à la catégorie dans laquelle les accès
particulière du cas est le fait déjà signalé du reste dans plusieurs
observations
du groupe, que les accidents paralytiques montren
claircie, semblable à celle qui (1) Voir plus loin les détails de l'
observation
. a eu lieu de novembre 1889 à février 1890, pou
s, elle puisse s'étendre aux parties avoisinantes des méninges. Une
observation
de Gubler, qui, si elle rentre véritablement dans
. Je rappellerai ici l'influence remarquable qu'exerce, d'après mes
observations
, sur l'évolution de la migraine ophthalmique, l'e
onstamment vespéral des exa-cerbations de la céphalalgie ; dans notre
observation
, ce caractère, en l'absence de toute marque, chez
rolongée, autant que possible, pendant une période de 8 ou 10 mois.
Observation
. — Cet..., Berthe, 35 ans, brocheuse. Antécéden
am. L'œdème bleu est encore à peu près inconnu aujourd'hui. Premières
observations
de M. le professeur Charcot, travaux récents sur
riques. Vous n'ignorez pas que Sydenham, avec cette faculté géniale d'
observation
qui fait de lui un de nos plus grands maîtres, a
uel je ne veux pas entrer dans de plus longs détails, attendu que son
observation
se trouve dans mes Leçons duMa,rdi(\) et,en ce qu
tre attention. Mettez-vous bien dans l'esprit (1) Loc. cit. (2) L'
observation
complète et détaillée de ce malade se trouve dans
e à me défier du bandage inamovible chez les malades de ce genre. Ses
observations
démontrent seulement que ce mode de traitement n'
généralité des cas. Toujours est-il que nous éviterons, malgré les
observations
de M. Tôlken, de placer de nouveau dans un appare
ation sur la jeune Marguerite Faf... qui fait le sujet de la première
observation
relatée dans cette leçon. Dès les premières séanc
cadette; coxalgie hys« térique chez l'aînée. A côté des précédentes
observations
d'œdème bleu chez des hystériques, il m'a paru in
tta l'hôpital sur sa demande, non encore guérie. Voici maintenant l'
observation
de la sœur de cette malade, atteinte de coxalgie
puis domestique à Paris. (Pour les antécédents héréditaires, voir l'
observation
de sa sœur Amélie, atteinte d'arthralgie hystériq
uelque temps plus tard, sur sa demande, non encore guérie. Ces deux
observations
nous montrent l'hystérie traumatique chez la femm
mais aussi précoce. Mais si nous jetons les yeux sur les nombreuses
observations
qui forment la base de son remarquable travail, i
occuperons exclusivement ici, en nous fondant principalement sur des
observations
que M. le P1* Charcot a présentées et analysées d
e nous connaissions est dû à Bianchi. En voici un résumé succinct :
Observation
I (résumée). — Paralysie avec atrophie du membre
te dans le cas suivant, que nous empruntons à la thèse de Lefebvre.
Observation
II (résumée). —Paralysie partielle de la jambe ga
. Tout cela est bien caractéristique et se passe de commentaires. L'
observation
qui suit est encore plus probante peut-être, en c
sinon m possible. Le cas suivant est encore emprunté à Lefebvre.
Observation
IV (résumée).—Paralysie partielle du membre infér
r étales extenseurs étaient devenus absolument inexcitables. Dans l'
observation
suivante, empruntée au même auteur, nous assiston
externe. A ce point de vue ce n'est pas une des moins importantes.
Observation
V (résumée). — Accouchement laborieux suivi d'une
le (extenseurs et péroniers). Chez le malade qui fait le sujet de l'
observation
suivante, les conditions de production des lésion
exus ait été englobé dans la lésion du petit bassin. Nous possédons l'
observation
fort intéressante d'un homme qui eut, à la suite
st uniquement pour appuyer les conclusions de M. Dorion au sujet de l'
observation
ci-dessous. Observation VI (résumée). — Troisiè
les conclusions de M. Dorion au sujet de l'observation ci-dessous.
Observation
VI (résumée). — Troisième grossesse ; accouchemen
l'espace de moins de quatre mois il s'est présenté cinq fois à notre
observation
. Ces cinq malades font tous partie soit du servic
ervice de la clinique, soit de la policlinique de M. le Pr Charcot.
Observation
VII (personnelle). — Sciatique avec paralysie et
, et limitée ainsi: Fig. 21. — Zone d'analgésie chez le malade de l'
Observation
VII. a) sur la face antérieure de la jambe: lig
Fig. 22. — Aneslhésie à la chaleur et au froid chez le malade de l'
Observation
VII. 2° Sensibilité a la température. — Le trou
e interne sen- Fig. 23. — Ânesthésie au contact chez le malade de l'
Observation
VII. sible du dos du pied est un peu plus étend
oup moins accentuée. Le domaine du musculo-cutané est resté intact.
Observation
VIII (personnelle).—Sciatique avec troubles de .
24.— Zone d'analgésie et d'hypoesthésie thermique chez la malade de l'
Observation
VIII. Nous avons été fort étonnés en constatant
nt moins accentués et moins étendus que dans le cas précédent. Dans l'
observation
qui suit, ils sont à peu près nuls. Seuls les tro
it cette fois d'une paralyse avec réaction de dégénération typique.
Observation
IX (personnelle). — Sciatique droite. — Paralysie
erne). pour conclure à la lésion des diverses branches nerveuses.
Observation
X (personnelle). — Sciatique ancienne avec atroph
g. 27 et 28. — Ancsthésie au tact et à la douleur chez la malade de l'
Observation
X. (Les stries simples indiquent l'hypoesthésie
29 et 30. — Anesthésie pour le chaud et le froid chez la malade de l'
Observation
X, mum (gros fil) et galvaniquement avec un cou
encontrés à l'état d'isolement chez les malades qui font le sujet des
observations
précédentes. Examinons d'autre part les trouble
e, en raison de la distribution différente des phénomènes morbides.
Observation
XI (personnelle). — Sciatique avec troubles moteu
ne per- Fig. 31 et 32. — Etat de la sensibilité chez le malade de l'
observation
XI (sciatique et hystérie). Les stries simples
aire. Fig. 33. — Rétrécissement du champ visuel chez le malade de l'
Observation
XI (sciatique et hystérie). Il est à remarque
olue. Cette dernière nous est déjà connue. Comme dans les précédentes
observations
, l'anesthésie totale est causée par une névrite d
ur interpréter les cas traumatiques déjà observés, tombent devant les
observations
de sciatique simple. Il semble pour le moment qu'
la machine à coudre ( 1 ) ; Il nous a paru intéressant de publier l'
observation
d'une malade actuellement dans le service de clin
es Leçons du Mardi (2) de M. le Pr Charcot, nous pourrons ajouter à l'
observation
elle-même les considérations que notre maître a p
non et Parmentier nous n'aurions qu'à ajouter sans commentaires notre
observation
s'il n'y avait lieu de signaler ici quelques part
erait consécutive à l'abus de la machine nous a paru intéressant, les
observations
de ce genre étant rarement signalées, peut-être p
s, peut-être parce que l'attention n'a pas été portée sur ce point.
Observation
. — La nommée V... D... Léonie est âgée de 27 ans.
ainsi dire vers la racine du membre. Par la marche ascendante, notre
observation
se rapproche de l'observation X du travail de MM.
membre. Par la marche ascendante, notre observation se rapproche de l'
observation
X du travail de MM. Guinon et Parmen-tier,dans la
ère de notre cas et qui pourrait prêter à erreur. En se reportant à l'
observation
, on voit que la malade présente une plaque d'anes
é, outre le résumé de tous les cas publiés jusqu'à ce jour, plusieurs
observations
inédites, dont quelques-unes sont mentionnées ave
peut être bien comprise que si l'on se reporte à un certain nombre d'
observations
, à la fois anatomiques, anatomo-cliniques et expé
troisième catégorie sont assez nombreux ; je citerai à ce propos les
observations
de.Gowers et Hutchinson, de Buzzard, de Ross,de W
) qui nous intéressent particulièrement et auxquels se rapportent nos
observations
, comme nous essaierons de vous le démontrer. 4°
s nerfs périphériques bulbaires étaient seuls affectés (Meyer). Cette
observation
est restée isolée jusqu'ici. C'est donc l'altér
lors une lésion primitive des cellules nucléaires de Foculo-moteur. L'
observation
de West- phal, faite avec grand soin, et celle
e. Il arrive assez souvent, d'ailleurs, ainsi qu'on le voit par les
observations
, que chez les ataxiques avec oph-thalmoplégie ext
à ce groupe sont peu nombreux encore; à peine citerait-on cinq ou six
observations
qui s'y rapportent, et encore le plus souvent s'a
bservations qui s'y rapportent, et encore le plus souvent s'agit-il d'
observations
fort écourtées. Il ne faut pas les confondre avec
, ataxie locomotrice et atrophies musculaires tabétiques. Parmi les
observations
de ce genre, nous comptons en tout six cas, auxqu
ractères tant positifs que négatifs, déjà signalés en partie dans les
observations
antérieures, nous allons les retrouver dans nos d
retrouver dans nos deux cas qui à l'avenir devront compter parmi les
observations
les plus typiques du groupe. Nous allons entrer
de la déglutition, etc. On trouvera d'ailleurs plus loin (n° XI) les
observations
complètes et détaillées des malades qui ont été p
tefois, à de certains indices, je crois reconnaître que de semblables
observations
ne tarderont pas à se multiplier rapidement, et q
e supérieure, soit par la partie inférieure du bulbe. La première des
observations
qui suivent est un exemple de paralysie bulbaire
s qui suivent est un exemple de paralysie bulbaire totale à (1) Ces
observations
sont extraites d'un mémoire que j'ai publié en co
ulière de M. le Pr Charcot qui a bien voulu m'autoriser à prendre son
observation
et à l'insérer dans ls mémoire cité plus haut. C'
ode de leur évolution, peut faire complètement défaut. Dans les trois
observations
qui suivent, nous la rencontrons deux fois et tou
n'ont pu être recherchées, le malade ne s'étant trouvé soumis à notre
observation
que pendant un temps fort court. Il retourna auss
urs. Il se peut qu'il ait succombé de cette manière. Bien que cette
observation
soit un peu incomplète à certains égards elle n'e
t dont les notes nous avaient servi, ainsi qu'il est mentionné dans l'
observation
ci-dessus, à reconstituer l'évolution de la malad
tte époque, qui ne diffère pas sensiblement de ce qui est noté dans l'
observation
précédente. Mais, de plus, il nous fait connaître
s, soumis toujours à ces variations passagères qui sont notées dans l'
observation
. Mais la lésion s'était accentuée du côté du bulb
sième cas, la mort est arrivée en sept mois. On trouve dans ces trois
observations
les trois modes suivant lesquels la polioencéphal
te, ne permettra pas longtemps le doute. Nous avons relevé dans les
observations
publiées de polioencéphalite et nous avons consta
ite que dans celui des polynévrites. Nous citerons en particulier une
observation
rapportée dans la thèse de Mme Déjerine-Klumpke,
ez qui la maladie semble, en raison des renseignements fournis dans l'
observation
, avoir débuté vers quarante ou quarante-cinq ans.
période de santé de deux ans et demi, le malade fut repris en 1883. L'
observation
faite à cette époque montre qu'il existait un dou
rencontrent comme troubles trophiques non d'une très grande rareté.
Observation
d'un cas de syringomyélie, type Morvan. Messieu
z, à la description de Morvan. Il ne me reste plus pour compléter l'
observation
qu'à vous faire remarquer chez le sujet l'existen
'est la démarche de stepper que l'on observe et non l'ataxie vraie.
Observation
de paraplégie diabétique : Douleurs à caractère f
l est l'argument que je voudrais développer devant vous à propos de l'
observation
du malade que j'ai fait placer sous vos yeux. M
évralgie symétrique apparaissait en pleine évolution de la maladie. L'
observation
de M. Worms a été maintes fois reproduite soit en
orable du salicylate de soude employé contre elles; en Allemagne, les
observations
de Drasche ' J. Worms. — Des névralgies symétri
tre chez les ataxiquesa été signalée maintes fois en France et qu'une
observation
de ce genre a été publiée en 1881 par MM. Raymond
gle presque absolue. D'ailleurs, je ne vois pas généralement dans les
observations
publiées de pseudo-tabes alcooliques la preuve qu
'état actuel des choses, tout prêt d'ailleurs à changer d'avis si les
observations
ultérieures me donnent tort: dans la paraplégie a
t produite par un phénomène d'auto-intoxication. Voici tout d'abord l'
observation
de ce malade : Il s'agit d'un nommé B... (Ferdi
elle au plancher du quatrième ventricule. On notera souvent, dans ces
observations
de tabès avec glycosurie, la présence de crises l
pas à cet égard de ce qu'elles sont à Paris, pourvu que le matériel d'
observations
dont on dispose soit suffisant. Ainsi, M. Bitot,
de l'hystérie chez l'homme dans les policliniques de cette ville. Les
observations
de M. Oppenheimsur la névrose trauma-tique ne dif
, à douter de la légitimité cependant parfaitement indiscutable des
observations
recueillies ailleurs. Ce qu'on n'a pas vu, ce qu'
ar Hasse, Al-thaus et plus récemment par Weir Mitchell, d'après leurs
observations
personnelles. J'ai embrassé la même cause et adop
ciale hystérique3 avec monoplégie brachiale, 1 Voir à ce propos les
observations
de M. Feré démontrant que chez les hystériques pr
ntenant à l'autre point qu'il convient de mettre en relief dans notre
observation
. Il nous faut chez ce malade, dont nous ne connai
e cérébral \ Si je vous propose cette dénomination, c'est parce que l'
observation
qui sert de fondement au travail de cet auteur es
s membres du côté opposé. Quinze ans plus tard, Mayor2 rapportait une
observation
de tous points comparable à la précédente. Avant
lobe occipital étaient touchés, de telle manière que, si en réalité l'
observation
de Gubler est la première en date, elle est, je l
d'étiquette et fixé définitivement le syndrome par une accumulation d'
observations
appropriées. Ce syndrome de Millard-Gubler est
là Soc. anat. Mai et juin 1856, p. 206 et 217. Rapport à propos d'une
observation
de Sénac. Voir en outre un rapport précédent de M
soin, plaider en faveur de notre diagnostic. Voici les détails de l'
observation
qui a seimrde thème à la leçon de M. le professeu
vation qui a seimrde thème à la leçon de M. le professeur Gharcot :
Observation
. — I... Nov...ka, âgée de dix-huit ans, fleuriste
ommaire. — Cas frustes de syringomyélie, difficultés du diagnostic. —
Observation
d'un malade :'lésion de la moelle, lésion des ner
'importants travaux; on a appris à la reconnaître, et chaque jour des
observations
nouvelles viennent témoigner de son importance. R
é la chute d'un lieu élevé. C'est ainsi que le sujet mentionné dans l'
observation
XXIII de la thèse de Brühl2, empruntée à Bernhard
ans auparavant. Un autre malade, dont Wichmann a rapporté l'histoire (
observation
XX de la thèse de Brühl)3 présente avec notre suj
tion n'appartient pas en propre à cette dernière affection. Plusieurs
observations
en démontrent l'existence dans certaines névrites
faut en trouver la cause, une cause conforme à ce que nous apprend l'
observation
du malade. Rappelez-vous l'événement d'il y a qua
s chances d'erreur auxquelles on s'expose toutes les fois que, dans l'
observation
et l'interprétation des faits, l'on se laisse dom
jours intéressante en soi, ne peut être de quelque utilité que si les
observations
ont été bien prises, et surtout si elles sont suf
s de ceux qui servent à la diagnostiquer d'ordinaire. A ce titre, l'
observation
qu'on va lire nous semble présenter quelque intér
vation qu'on va lire nous semble présenter quelque intérêt. C'est une
observation
ancienne, puisque les premiers faits qu'elle rela
ui avait été constaté à l'origine, c'est, dans sa seconde partie, une
observation
absolument contemporaine et, en même temps, toute
tion absolument contemporaine et, en même temps, toute d'actualité.
Observation
. — M. X..., âgé de 25 ans, officier, vient consul
Charcot le perd de vue complètement. Voilà la première partie de l'
observation
. Voici maintenant la seconde, à laquelle on pou
été signalée. En dehors de ce fait qui se passe de commentaires, l'
observation
qu'on vient de lire renferme deux particularités
l'acromégalie vraie en est exempte, jusqu'à plus ample informé, et l'
observation
de Holschewnikoff (1), de l'avis de M. Marie, ser
es arguments invoqués de part et d'autre, empruntés exclusivement à l'
observation
clinique, seraient dépourvus de sanction anatomiq
le-ci que par le siège et l'étendue de la lésion glio-mateuse. Deux
observations
, suivies d'examen microscopique, publiées il y a
r MM. Joffroy et Achard, ont fait faire un grand pas à la question. L'
observation
de M. Gombault est relative à un bas-breton attei
s altérations d'une similitude indéniable. Il va sans dire que deux
observations
sont insuffisantes pour fixer unanimement et défi
ns le cas actuel, quoi que l'avenir nous réserve ; et si de nouvelles
observations
confirment la manière de voir nettement affirmée
gique organique vulgaire par lésion cérébrale marche « en fauchant. »
Observations
de Todd. Explication de celte démarche. — L'hémip
la goutte : elle remplace l'asthme ou inversement, c'est là un fait d'
observation
. Comme il arrive souvent chez les individus d'u
dé le souvenir poignant et très précis à la fois. Je l'emprunte à l'
observation
très explicite qui m'a été remise par mon interne
ns maintenant à faire ressortir devant vous certains détails de cette
observation
que mon chef de clinique, M. Georges Guinon, a re
n plaques, Progrès médical, 1879, p. 97. Cette diplopie, notée dans l'
observation
comme un phénomène de début, avait apparu après l
reste, pouvoir en juger vous-mêmes en écoutant certains passages de l'
observation
que je vais vous lire et que j'emprunte à une not
vieillie de quinze ans, celle qui fait le sujet de cette remarquable
observation
. Ainsi donc, sa maladie s'est développée dans le
es troubles présentés par notre malade ? Les symptômes relatés dans l'
observation
, la céphalée, les vomissements, font penser tout
iomes, 3 syphilômes, 2 kystes et 4 néoplasmes de nature inconnue. Les
observations
de Nothnagel montrent également la prédominance d
auditeurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre première
observation
(2). Avant cette date, les recherches bibliogra
sur cette manifestation dont nous pouvons aujourd'hui rapporter cinq
observations
, y compris celle qui sert de base à la leçon de M
ière révélation de l'hystérie, mais cela ne ressort pas de nos quatre
observations
où toujours ils ont été précédés d'autres phénomè
du premier et du troisième qui furent pendant longtemps l'objet d'une
observation
attentive. Ler..., Augustine, dix-sept ans, dom
e hystérique, mise en présence de la malade qui fait l'objet de cette
observation
, après avoir été placée en état de somnambulisme
erficielle tout au moins, par leur persistance même. La malade de l'
observation
I, avant de présenter des crises véritables de bâ
llement (Fig. 56). Il peut être avorté ; dans ce cas la malade de l'
observation
III accusait une sensation de malaise; il fallait
taques de la malade dont l'histoire est rapportée dans notre première
observation
. noms volume RESIDU FIXE pouu 1000 c. g.
Acide phosphor. terreux alcalin total Rapp. des ae. phosp,
observations
Ler... 17 ans . . . (salle Duchenne). P = 5
le du bâillement hystérique proprement dit (1). (1) Aux précédentes
observations
nous pouvons ajouter le cas d'une jeune fille, la
Marg. Chev..., qui se trouvait dans la même salle que la malade de l'
Observation
III, et en même temps qu'elle. C'était une hystér
. L'œdème bleu est encore à peu près inconnu aujourd'hui. Premières
observations
de M. le professeur Charcot, travaux récents sur
bleu hystérique chez la cadette; coxalgie hystérique chez l'aînée. (
Observations
tirées d'une leçon),........ . 117 VII. Sur u
du poplilé, déterminée par l'usage exagéré de la machine à coudre. (
Observation
de MM. J.-B. Charcot et H. Meige). . . . 169 IX
e rencontrent comme troubles trophiques non d'une très grande rareté.
Observation
d'un cas de syringomyélie, type Morvan. 243 XII
'est la démarche de stepper que l'on observe et non l'ataxie vraie.
Observation
de paraplégie diabétique : Douleurs à caractère f
ommaire. — Cas frustes de syringomyélie, difficultés du diagnostic. —
Observation
d'un malade : lésion de la moelle, lésion des ner
gique organique vulgaire par lésion cérébrale marche « en fauchant. »
Observations
de Todd. Explication de cette démarche. — L'hémip
9; — pronostic. 15; — diagnostic, 15; — anatomie pathologique, 17 ; —
observation
, 18. Moteur oculaire externe : paralysie du ner
s mêmes sensations, les mêmes idées qui l'assiégeaient au moment de l'
observation
, il n'aura que des faits isolés, que des ressouve
de publier les faits au fur et à mesure qu'ils se présenteront à mon
observation
; mais, au milieu de ce désordre apparent, il rég
oppées dans l'épaisseur du placenta, lesquelles avaient échappé à une
observation
superficielle, la cause probable de l'avortement.
mentionner ; mais cela ne prouve nullement qu'il n'en existait pas; l'
observation
n'a peut-être pas été assez attentive. Je ne dout
n a découvert ce qu'il ne cherchait pas. Je me rappellerai toujours l'
observation
d'une femme, âgée de soixante ans, amaigrie, déco
e foie et qui semble se continuer avec lui. C'est ainsi que, dans une
observation
publiée par mon ami, le Dr Vallerand de Lafosse (
coutume de l'être chez les enfans nouveau-nés. Réflexions. — Cette
observation
intéresse sous un double point de vue : i° sous c
tte membrane et disséquant du dedans au dehors, j'ai pu confirmer les
observations
que j'avais faites par la face externe, et j'ai r
ier abord à des filamens cellulaires ; mais j'ai pu m'assurer par une
observation
attentive que ces filamens étaient des vaisseaux,
paraît n'avoir pas observé les vaisseaux lactés pleins de chyle, ses
observations
n'infirment point les précédentes. Cruikshank, ay
is ils échappent souvent par leur ténuité et leur peu d'épaisseur à l'
observation
la plus attentive : je les ai parfaitement vus ch
les ligures 3,4? 6, 7 sont de grandeur naturelle. Le sujet de cette
observation
était une femme âgée de quarante-un ans, qui entr
vant-bras et présentant exactement l'aspect des pieds-bots. Ici, même
observation
que pour les pieds ; l'inégalité de compression a
éaire comme les fibres musculaires qu'ils ont remplacées. Cependant l'
observation
n'a pas encore démontré si, passé une certaine pé
érable que de coutume dans les parties décolorées ou noirâtres. Ces
observations
préliminaires terminées, j'ai divisé la rate dans
a forme de problème, forme que j'adopterai désormais pour rédiger mes
observations
d'après un but essentiellement thérapeutique. É
nnel. Il m'aurait peut-être été difficile d'inscrire sur la feuille d'
observations
le nom exact et précis de la maladie, mais j'aura
même cadavérique. C'est ainsi que nous lisons, dans les recueils d'
observations
, des exemples de fièvres adyna-miques, d'entérite
oujours combattus avec succès. Je terminerai ces réflexions par une
observation
pratique qui me paraît de la plus haute importanc
ièvres rémittentes, sont extrêmement nuisibles. Nous avons vu, dans l'
observation
ci-dessus, les mauvais effets d'une application d
faite dans cette dernière circonstance. Je me rappellerai toujours l'
observation
d'une jeune fille âgée de seize ans, affectée de
ue que celle dont on vient de lire l'histoire. Voici le précis de son
observation
: 11° LIVRAISON. 3 Je suis appelé en consulta
l était curieux de connaître la nature chimique de cette tumeur : des
observations
antérieures, qui constatent l'existence de la cho
observés pendant la vie aux lésions rencontrées après la mort. Cette
observation
est consignée sous le titre de tumeur adipocirifo
et abdominaux n'ont offert à l'examen aucune lésion notable. » (*)
Observations
sur des altérations organiques du cerveau, recuei
e solution de continuité, de même que nous avons vu, dans la première
observation
, les couches optiques ramollies, d'où l'opinion é
très-bon chapitre (**), où l'on ne regrette qu'une chose, le défaut d'
observations
particulières. Le poumon et le cerveau ne sont
i a lieu dans la dernière période des affections du cœur comme dans l'
observation
que j'ai rapportée. Une violente dyspnée, un état
ne, remplissait tous les vides qui existent entre le cœur et le (*)
Observation
et pièce pathologique communiquées par M. Piorry.
après l'attaque favoriserait-il les maladies gangreneuses? Parmi les
observations
que j'ai recueillies sur 1 a gangrène du poumon,
ngrène. J'ai rapporté dans ma thèse pour le concours à l'agrégation l'
observation
d'un jeune homme qui fut pris d'une gangrène du p
ncontre tous les caractères de cette dernière affection; et, dans mes
observations
, je ne trouve qu'un seul exemple de pneumonie fra
natomique par M. Robert. A l'ouverture du thorax d'un individu dont l'
observation
fait partie des bulletins de cette Société, on vo
ériences, frictionner, pincer fortement, arracher les poils des (*)
Observation
recueillie et rédigée par M. F. Cuvier fils , int
e la substance blanche; c'est ce qui a eu lieu chez le sujet de notre
observation
(fîg. 3 et fig. 3'). Si l'épanchement est rapide,
ute nullement qu'il n'y eût arachnitis spinal, et je me fonde sur une
observation
tout-à-fait semblable de M. Dance, qui me paraît
l y a eu paraplégie : dans un cas malheureux, soumis actuellement à l'
observation
de plusieurs médecins, l'engourdissement douloure
urviennent si communément dans les cancers avec ou sans gangrène. L'
observation
suivante fournira un exemple de cancer avec gangr
nageaient une immense quantité de petits grains, qui semblaient (*)
Observations
et propositions sur quelques points de médecine e
deux cols accolés, deux petits museaux de tanche, deux vagins. Cette
observation
de Boehmer, dans laquelle la division paraît plus
un col et à un vagin communs et dans l'état normal. Le sujet de cette
observation
est une femme âgée de vingt-six ans, accouchée de
ui contenait une assez grande quantité de mucosité. Le sujet de cette
observation
était une femme âgée de trente-six ans, qui mouru
x lobes. Le fait précité de Chaussier vient encore à l'appui de cette
observation
; car, d'après cet exact et judicieux observateur,
n de la membrane interne et commencement du travail d'expulsion (*)
Observation
et pièce présentées à la Société anatomique par M
ramolli, pultacé et éminemment frangible. Ce fait concorde avec les
observations
consignées dans l'excellent Mémoire de M. Dance s
èle cancéreux et tuberculeux : (*) Fait d'anatomie pathologique, et
observation
clinique pour servir à la thérapeutique du sareoe
mais surtout en dedans, où ils arrivent au contact : seulement (*)
Observation
et pièce pathologique communiquées à la Société a
toire de l'angine œdémateuse dans un mémoire intitulé : Recherches et
observations
pour servir « Vhistoire de l'angine œdémateuse. (
cusais d'abord une inflammation du périchondre, et j'avais noté cette
observation
sous le titre suivant : nécrose du cartilage cric
e au croup. Enfin, je viens de découvrir cette même lésion dans une
observation
très-circonstanciée, publiée par M. Bouillaud (*)
d'ouvertures circulaires, petites, faites comme avec un emporte- Ç)
Observation
et pièce pathologique communiquées par M. le doct
int été examiné. Réflexions. — Sous le rapport thérapeutique, cette
observation
mérite de fixer toute notre attention. Nous voyon
u de la cavité abdominale répondent à la région ombilicale, suivant l'
observation
importante de Frank ; l'arc du colon et l'estomac
développement le son gazeux n'existera au-devant de la tumeur. Cette
observation
appartient à M. Rostan. Joignez à cela que la flu
elles sont-elles liées à des différences d'organisation du cerveau? L'
observation
me paraît répondre par l'affirmative, et la saine
des différences d'organisation du cerveau, il est donc possible par l'
observation
d'apprécier ces différences. Si Gall a erré, c'es
se, en un mot à l'atrophie partielle ou générale de cet organe. Ire
Observation
. — Idiotie par atrophie de la presque totalité de
est tout-à-fait dans l'état naturel; l'hémisphère droit HDA, au (*)
Observation
et pièce pathologique communiquées par M. Marécha
uille de parchemin, est fortement soulevé par la sérosité accu- (*)
Observation
et pièce pathologique présentées à la Société ana
car le développement des olives pourrait n'être que relatif. Dans l'
observation
suivante, l'idiotie était liée à l'absence du lob
rens, est idiote de naissance et n'a jamais pu proférer que des (*)
Observation
et pièce pathologique communiquée par M. Maréchal
e de la couche optique, i° parce que cette apoplexie est, d'après mon
observation
, la plus fréquente ; i° c'est celle qui détermine
. --—------¦ n -|~ r- -.--, (planches i et ii, vie livraison. )
Observation
Ire. —Méningite sous - arachnoïdienne de la conve
actuosités. Tout cela (*) Je dois cette pièce pathologique et celte
observation
à l'obligeance de M. Sanson, chirurgien en second
désabusé. Il succomba à ne méningite sous-arachnoïdienne comateuse.
Observation
II. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convexi
sans influence directe sur le développement de cette inflammation.
Observation
III. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convex
us les autres organes sont dans l'état le plus parfait d'intégrité.
Observation
IV. —Méningite sous-arachnoïdienne de la base et
cette coexistence n'est pas nécessaire. Je possède en effet plusieurs
observations
d'hydrocéphale ventriculaire aiguë sans altératio
tômes les plus graves. Je suis donc porté à penser que la plupart des
observations
décrites sous le titre d'hydropisie aiguë des ven
être rapportées à la méningite sous-arachnoïdienne de la base. Trois
observations
, dont deux de méningite sous-arachnoïdienne aiguë
e, ont présenté trait pour trait l'altération représentée figure i.
Observation
Fe. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la b
eau. Sans doute la sérosité aura été résorbée. Réflexions. — Dans l'
observation
qu'on vient de lire, point de céphalalgie, point
indique tantôt la tête, tantôt l'abdomen, le plus souvent la tête. L'
observation
suivante peut servir de type pour la description
cru avoir affaire au ramollissement gélatiniforme de l'estomac. ¦
Observation
H. Marie Basselet, deux ans et demi, vomit tout
es sous-arachnoïdiennes tuberculeuses aiguës. (Planche n.) Dans les
observations
suivantes, la méningite sous-arachnoïdienne a eu
r résultat un dépôt de pus concret en petites masses ou tubercules.
Observation
Ire. — (Fig. i.) Un jeune enfant, âgé de six an
ion de tubercules aigus dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien.
Observation
II. — Fig. i, i, 4, Pl. il Letouzé , âgé de vin
te le tissu de la moelle et du cerveau était parfaitement sain. (*)
Observation
et pièce pathologique présentées à la Société ana
ème lombaire (4) (fig. 4) présente trois noyaux bien distincts. (*)
Observation
communiquée et pièce pathologique présentée à la
avers les cicatrices des nerfs. Une foule d'expériences directes et d'
observations
anatomiques m'ont au contraire prouvé que lorsque
rveux distinct du précédent. O Le malade qui fait le sujet de cette
observation
avait été amputé long-temps auparavant par M. Lar
aires pour obtenir la solution complète de la maladie. Je possède des
observations
qui sont péremptoires à cet égard. XXVIII. Tout
les que présentent les diverses épidémies. XXX. De ce résultat de l'
observation
qui, par sa généralité, a toute la force d'un axi
de M. Louis, qui, dans un ouvrage, fruit d'une longue et persévérante
observation
, où chaque fait est analysé sous toutes ses faces
cas où elle n'est nullement indiquée, et je pourrais citer plusieurs
observations
où elle a été évidemment nuisible : souvent une s
dre la forme ataxique. La rapidité de la marche de la maladie, dans l'
observation
précédente, s'explique par la gravité de l'altéra
grave, la plus rapide, et presque toujours sous la forme ataxique. L'
observation
qu'on vient de lire m'a paru être le type de cett
inage et aux dépens de la valvule iléo-cœcale VIC se voyait une (*)
Observation
recueillie et pièce pathologique présentée à la S
matière semblable à du pus concret. Réflexions. — Il suit de cette
observation
qu a la chute des phénomènes fébriles, au moment
itique des faits consignés dans le Mémoire de Louis, y ajoutèrent les
observations
recueillies depuis, et semblèrent avoir fixé la s
r les fonctions des divers départemens du centre nerveux. D'après les
observations
que j'ai pu recueillir à ce sujet, les tumeurs ca
t. Des sangsues furent appliquées, des vésicatoires aux jambes, (*)
Observation
recueillie et pièce pathologique communiquée par
tait impossible de marcher. Voici quels symptômes elle présenta à mon
observation
le 3 septembre 1829, époque de son entrée : supin
tait impossible de marcher. Voici quels symptômes elle présenta à mon
observation
le 3 septembre 182g, époque de son entrée : supin
parfaitement sains. Réflexions. ¦—Il s'en faut bien que, dans cette
observation
, la lésion organique rende un compte aussi exact
anique rende un compte aussi exact de tous les symptômes que dans les
observations
précédentes. Sans doute la tumeur TC doit être re
s affections organiques soit du cerveau, soit de ses membranes. (*)
Observation
recueillie par M. Frédéric Cuvier fils, élève int
écemment à l'Académie royale de médecine (***). Voici le résultat des
observations
que j'ai été à même de faire sur cette maladie.
de la nature qui confirme pleinement ces inductions. Dans toutes les
observations
qui sont parvenues à ma connaissance, il y avait
atéraux. (**) Bibliothèque médicale, loc. citât. 1826. (***) Deux
observations
, recueillies à l'hôpital des enfans malades, cons
s modernes, n'avaient existé à aucune période de la maladie. Les deux
observations
suivantes nous offrent deux cas de sous-arachniti
'extrémité supérieure droite. Mort dans la journée. Le sujet de cette
observation
était grand buveur d'eau-de-vie. La maladie avait
nt très-épais et compriment par conséquent les circonvolutions. (*)
Observation
recueillie et pièce pathologique présentée à la S
A quoi tiennent les différences de symptômes que présentent les deux
observations
qu'on vient de lire ? Pourquoi dans un cas exista
ntricules ayant été enle- (*) Je dois cette pièce pathologique et l'
observation
qui l'accompagne à l'obligeance de M. Gueneau de
ncule cérébral également atrophié du même côté PA'. Réflexions. — L'
observation
qu'on vient de lire peut fournir matière à un gra
cavité des ventricules latéraux avec la cavité de l'arachnoïde. (*}
Observations
recueillies; pièce pathologique présentée à la So
exclusivement affectés à l'exercice des facultés intellectuelles ; l'
observation
nous démentirait, car la planche v, 5e livraison,
me me paraissent le plus souvent marquées au coin de la curabilité. L'
observation
suivante est une preuve de ce qu'on peut obtenir
ent infiniment plus grandes. On lira peut-être avec quelque intérêt l'
observation
suivante qui se rapporte parfaitement au cas actu
anctionnées par la pratique ; et bien que dans l'étude des sciences d'
observation
on doive être accoutumé à de semblables mécomptes
xation en arrière de Vavant-bras sur la main (*). Le sujet de cette
observation
est une femme adulte sur laquelle je nJai pu recu
Sandifort, si riche d'ailleurs en maladies des os de toute espèce. L'
observation
suivante (*) est digne de fixer l'attention des h
res, l'articulation temporo-maxillaire (*) La pièce anatomique et l'
observation
m'ont été adressées par M. Grellet, médecin de l'
e. Je suis persuadé que la vieille femme qui fait le sujet de cette
observation
avait été tourmentée long-temps avant sa mort par
ail présenté à l'Académie des Sciences en 1821 (*). Un grand nombre d'
observations
raisonnées précèdent la description du ramollisse
nté pl. 2. Tous les autres organes étaient sains. Réflexions. Cette
observation
a été recueillie à une époque où régnait une épid
propos. Je termine ce que j'ai à dire sur le ramollissement par une
observation
qui me paraît de la plus haute importance : c'est
tomac, qui était le siégé de la tumeur reconnue pendant la vie. (*)
Observation
et pièce pathologique communiquées à la Société a
ssement progressif ont-ils été les seuls symptômes de la maladie. L'
observation
suivante me paraît un des types du cancer latent
avoir éprouvé les bons effets du régime pendant un mois ou deux. Les
observations
suivantes confirmeront les généralités dans lesqu
ulcéreux se maintient et finit par opérer une perforation. Parmi les
observations
qui ont été données comme des exemples d'ulcères
u rectum. Réflexions. — Ce qu'il y a de plus remarquable dans cette
observation
, c'est le long intervalle de bien-être qui sépare
l'artère seule intéressée par une ulcération nouvelle (*) Pièce et
Observation
présentées à la Société anatomique, par M. Ricard
service de M. Rullier.) au milieu d'une cicatrice parfaite. Dans l'
observation
suivante, l'hémorrhagie a été fournie par l'artèr
bleraient dénoter une hémorrhagie par exhalation. (*) Je dois celte
observation
et la pièce pathologique qui l'accompagne à l'obl
cédé la solution de continuité. Cependant, comme, d'une autre part, l'
observation
avait appris qu'un grand nombre de lésions organi
rouvons toujours des foyers purulens, jamais de foyers tuberculeux. L'
observation
clinique confirme pleinement ces résultats fourni
). Dans ce travail très-remarquable, qui repose sur un grand nombre d'
observations
, toutes les preuves tirées de l'induction analogi
e altération sont assez souvent réunis dans les mêmes sujets. » « L'
observation
ne nous a point encore appris si les abcès qui su
uriels. XXIV. Ces expériences résolvent encore une difficulté que l'
observation
clinique toute seule n'aurait jamais résolue : co
ble donc qu'il ne devrait y avoir d'abcès que dans les poumons. Or, l'
observation
prouve que les abcès du foie sont très-communs à
miné l'état du canal médullaire ou du tissu spongieux des os dans les
observations
qu'on invoque, ces observations sont de nulle val
ou du tissu spongieux des os dans les observations qu'on invoque, ces
observations
sont de nulle valeur, puisqu'elles ne sont pas co
c'est qu'ils se sont contentés dans le plus grand nombre de cas de l'
observation
de ce viscère dont les lésions leur ont paru rend
se que comme une conjecture, a été parfaitement constaté depuis par l'
observation
. Les veines diploïques ont été trouvées purulente
traitement opposer à cette infection purulente ? Jusqu'à ce moment l'
observation
est muette à cet égard; la théorie semblait indiq
squ'à présent leur efficacité ne soit rien moins que démontrée. Les
observations
qui suivent donneront une idée de la forme et de
pathologiques représentées dans les trois premières planches , et les
observations
qui les accompagnent, à l'amitié de MM. Marjolin
ions qui les accompagnent, à l'amitié de MM. Marjolin et Blandin. Les
observations
ont été recueillies par M. Lenoir, membre de la S
s, mais encore dans les veines intérieures. Je rapporterai ailleurs l'
observation
d'un individu dont le foie était parcouru par des
iété Anatomique, est un des plus complets qui existent en ce genre.
Observation
de phlébite, suivie de suppuration et de perforat
ammée et l'épanchement du pus en dehors. En parcourant les nombreuses
observations
recueillies dans ces derniers temps sur la phlébi
transporté dans les veines par absorption; mais une série nombreuse d'
observations
m'a appris que les membranes qui ne contiennent p
ous le point de vue chirurgical. VIL Nous avons vu dans la dernière
observation
que le membre inférieur n'était pas infiltré d'un
onchiques coupés nettement dans divers points de cette caverne. (*)
Observation
et pièce pathologique communiquées à la Société A
caractères cliniques d'une pneumonie franchement inflammatoire. Or, l'
observation
apprend que les pneumonies qui surviennent dans l
ou qui est encore engagé dans ce col. M. Dupuytren avait fait la même
observation
relativement aux polypes des fosses nasales qui e
boutissait pas jusqu'à l'orifice du col utérin. Réflexions. — Cette
observation
prouve que le travail de l'accouchement peut être
^. fig. 2, Gy)« La coupe du foie (fig. 2) permet de faire les mêmes
observations
, c'est-à-dire de constater l'inégalité de volume
e est la gangrène. Il est des foies tellement favorables à ce genre d'
observation
, qu'on assiste, pour ainsi dire, à la production
édecine symptomatique, et à un traitement purement hygiénique. Deux
observations
, très dissemblables pour les symptômes et pour la
s apoplectiques; les veines du foie e'taient parfaitement saines. L'
observation
suivante, aussi complète que possible sous le rap
st dans des cas de cette espèce, dont plusieurs se sont offerts à mon
observation
, qu'on a pu croire à l'absence congéniale delà vé
appartenu aux diverses tuniques de l'organe. N'ayant pu retrouver l'
observation
relative à ce sujet, je la remplacerai par l'obse
retrouver l'observation relative à ce sujet, je la remplacerai par l'
observation
suivante qui présente avec elle de grands traits
, n'est pas seulement la plus probable, mais elle est appuyée sur les
observations
suivantes: i° Souvent autour des vaisseaux lympha
u pus, au sein même des vaisseaux lymphatiques, j'invoquerai : i° une
observation
qu'on lira plus bas, dans laquelle je trouvai pou
uerai sur-tout cet autre fait qui est le résultat d'un grand nombre d'
observations
, savoir que dans le cas où les malades, ayant
pus lymphatique, de même qu'il l'est par le pus veineux ? XVIII. L'
observation
me parait répondre négativement. Les liquides en
eût été décidée d'une manière péremptoire. XIIIe LIVRAISON. 3 Les
observations
suivantes donneront une idée de ce terrible typhu
ésentée planches i, 2, 3, XIIIe livraison; elles seront suivies d'une
observation
, la seule de ce genre qu'il m'ait été donné de re
s les vaisseaux lymphatiques était la seule altération cadavérique.
Observation
de typhus puerpéral mortel en r/uarante-huit heur
a suffi pour le déchirer. Le canal thoracique était vide. Dans l'
observation
précédente, le pus était parfaitement formé au bo
st pas effacée : c'est un ramollissement aigu avec mélanose. Dans l'
observation
suivante, la maladie a présenté une plus longue d
actère de gravité bien prononcé. La malade qui fait le sujet de cette
observation
, vint grossir le nombre des cas malheureux. Pre
panchement du pus de la trompe dans la cavité péritonéale. Dans les
observations
que je viens de citer, il est bien difficile de f
Mais que devient le pus contenu dans les vaisseaux lymphatiques ? Les
observations
suivantes répondront à cette question. Péritoni
, et tout annonce que plus tard l'absorption aurait été complète. L'
observation
suivante établit que la présence du pus dans les
x et le cerveau, étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. L'
observation
qu'on vient de lire est le seul exemple que j'aie
dans les vaisseaux lymphatiques utérins; mais, quoique unique, cette
observation
n'en prouve pas moins : i° que le pus peut existe
que, est un fait remarquable. Il trouve son explication dans d'autres
observations
où les tumeurs fibreuses étaient infiltrées d'une
s méthodes thérapeutiques ont été tracés avec tant de vérité, que les
observations
recueillies depuis à Moscow, à Varsovie, à Vienne
dans les descriptions médicales, preuve irrécusable de la vérité de l'
observation
, il règne la plus grande divergence d'opinions su
Les figures ont amené un texte qui se composera d'un certain nombre d'
observations
et de généralités qui en seront la conséquence im
r les personnes qui m'honorent de leur confiance. Ci-joint quelques
observations
qui compléteront le tableau que je viens de trace
où nous avions fait solliciter une place pour elle. XVII. Les deux
observations
suivantes prouveront de la manière la plus péremp
testin grêle était rouge, mais beaucoup moins que l'estomac. Dans l'
observation
suivante, l'estomac, l'intestin grêle et le gros
ace, avec quatre gouttes de laudanum de Rousseau. (i) Je dois cette
observation
à l'obligeance de M. And rai. Le 16. Voix altér
oir paru ressusciter la vie, favoriser ce genre de terminaison. Les
observations
suivantes fourniront des exemples des principales
la circulation de la mère, ne compromette pas la vie de l'enfant. L'
observation
suivante est remarquable par l'abondance et la fr
ents plus ou moins graves que la convalescence se décide. Telle est l'
observation
suivante qui peut servir de type à cet égard. C
de quelques vomissements qui se renouvelèrent toute la nuil. XVL L'
observation
qu'on vient de lire peut servir de type pour un c
ur gros intestin était rempli de liquide. C'est ce qu'on verra dans l'
observation
suivante. Choléra asphyxique survenu dans le ne
t dont les intestins ne m'ont offert aucune lésion remarquable. Les
observations
suivantes présenteront le tableau de quelques-une
aux symptômes qu'on observe dans de pareilles circonstances. Dans l'
observation
suivante, les altérations seront plus prononcées*
. Les symptômes d'inflammation sont encore bien plus prononcés dans l'
observation
suivante qui fait le sujet des planches. Cholér
vai le gros intestin parsemé de plaques d'un rouge-noir, comme dans l'
observation
précédente; l'intestin grêle était également le s
et ne se transforme pas en phleg-masie, soit aiguë, soit chronique. L'
observation
qu'on vient de lire prouve que l'inflammation, su
verdâtre, assez analogue au méconium tapissait l'intestin grêle. L'
observation
suivante peut être considérée comme le type des l
la nécessité d'une grande prudence dans l'emploi de ces moyens. Trois
observations
de choléras très graves, heureusement guéris, mon
s lois de l'organisation. Les phénomènes choréiques succédant, dans l'
observation
précédente, à l'état comateux, attestent les lési
de son étendue. Il m'a paru résulter de tous les faits soumis à mon
observation
, que c'est dans le gros intestin que les altérati
s que comme un élément dans l'histoire des maladies, cherchons dans l'
observation
clinique, c'est-à-dire dans l'analyse des symptôm
x qui la suit, le fait le plus général auquel on puisse arriver par l'
observation
des symptômes et par l'anatomie pathologique ; et
ais qu'y applaudir. On ne peut trop étendre en médecine le champ de l'
observation
. Nous sommes donc dans l'ignorance la plus abso
terrain, détournée par des bois, des montagnes, etc. ; voilà ce que l'
observation
me paraît avoir démontré. C'est en ce sens, mais
hes scorbutiques, etc., peut-être même d'affections squirrheuses. Les
observations
suivantes mettront cette vérité dans tout son jou
données suffisantes , je m'abstiens de prononcer sur sa valeur. 3e
observation
. Arachnitis spinale chez un enfant mort le cinqui
ieure à la naissance? il est probable qu'elle était postérieure. 4e
observation
. Anasarque, ascite, hydro-thorax, purpura hemorrh
l thoracique était très distendu par une sérosité sanguinolente. 5e
observation
. Anasarque, ascite, hydro-péricarde, purpura hemo
ire. On ne saurait méconnaître le rapport qui existe entre les deux
observations
qu'on vient de lire. Dans le dernier cas, la femm
s dans un état valétudinaire. Le peu de volume du foie? dans les deux
observations
, paraît une conséquence de la présence de la séro
oint équivoque et qui tiennent sans doute à une cause identique. 6e
observation
. Inflammation chronique du thymus et du pancréas;
pour qu'on puisse en tirer des inductions suffisamment motivées. f
Observation
. Induration du pancréas, des poumons. Plaques bla
us, peuvent être le siège de plusieurs maladies; je ne connais aucune
observation
plus curieuse que celle d'un enfant qui mourut im
nt présenter des lésions beaucoup plus profondes que chez l'adulte.
Observation
1. Lobules pulmonaires infiltrés de sang, et diss
te altération ne remontât pas à l'époque de la naissance seulement.
Observation
2. Poumons infiltrés de sang et imperméables dans
on. Je pense que cette lésion peut dater du moment de la naissance.
Observation
3. Poumons infiltrés de sang dans leur presque to
nse que cette lésion ne remonte pas avant l'époque de la naissance.
Observations
4 et 5. Chez deux enfants nouveau-nés, dont l'un,
et dans l'état qu'on désigne sous le nom de pneumonie des enfants.
Observation
6. Induration grise du poumon dans les quatre cin
sains. Il est probable que la pneumonie datait de plusieurs jours.
Observation
7. Enfant né avec des phlyctènes aux pieds, aux m
paraît trop légèrement résolue, dans le plus grand nombre des cas.
Observation
. Mort par infiltration séreuse du tissu du poumo
des pneumonies ou lésions des poumons, antérieures à la naissance.
Observation
9. Pustules cutanées. Poumons infiltrés çà et là
oins considérables, absolument comme dans le cas représenté fig. 1.
Observation
10- Pustules cutaneea. Jt?7zcumonie lobulaire ins
t épanché entre l'os et son périoste, mais dans une petite étendue.
Observation
11. Pustules cutanées. Poumons complètement indur
visqueuse. La rate avait de trois à quatre fois son volume naturel.
Observation
12. Un autre enfant très fortement constitué, né
it même dire cruelle est quelquefois en raison inverse ; car dans les
observations
que j'ai recueillies, ce sont les hydrocéphales à
mais il n'y avait pas déplissement. Réflexions. Il résulte de cette
observation
, i° que l'hydrorachis n'accompagne pas toujours l
plètement déchirée à sa partie moyenne? et la communication existe.
Observation
d'hydrocéphalie avec disparition de la plus grand
s de Peyer très saillantes : quelques-unes rouges et ramollies. (i)
Observations
et pièces anatomiques présentées par M. Cazalis ?
modérément. Au mois de janvier 1851, époque où elle fut soumise à l'
observation
, elle était cachectique, scrofu-leuse, gardant le
le. (i) Pièce présentée à la Société anatomique, par M. Combette; l'
observation
a été publiée dans les bulletins de cette société
de Méd., 1828), a publié sur ce sujet, dans un très bon mémoire, dix
observations
intéressantes qui lui sont propres, et dans lesqu
. Cet état coïncidait avec une infiltration pseudo-membraneuse dans l'
observation
suivante : Une femme accouche prématurément à hui
chet, du pus dans l'épaisseur de cet organe. Ainsi, dans la cinquième
observation
de son Mémoire, « le placenta était très volumine
ent du centre à la circonférence. La femme qui fait le sujet de cette
observation
était accouchée heureusement et à terme d'un enfa
des abcès viscéraux et de ceux du foie en particulier. De nombreuses
observations
ont prouvé que dans des cas où aucune veine libre
tissu adipeux médullaire étaient remplies de pus. Il résulte même des
observations
et des expériences que j'ai pu faire à cet égard,
t remplis par une matière assez semblable à du lait trouble. Dans l'
observation
suivante, les abcès hépathiques furent la suite d
arce que toutes peuvent être accompagnées de phlébite. Je possède des
observations
de panaris, de phlegmons, infiltration des urines
t une portion de foie appartenant à un blessé de juillet 1830, dont l'
observation
a été consignée dans la XIe livr. {Phlébite et Ab
présente le foie d'un blessé de juin 1832 , dont je ne retrouve pas l'
observation
, qui était d'ailleurs le calque de toutes les aut
septième m'a été fourni par M. Cayol; voici le résumé succinct de ces
observations
. L'histoire de ces enfants est presque identiqu
céphale. En effet, chez le plus grand nombre des enfants soumis à mon
observation
, j'ai trouvé les ventricules cérébraux distendus
, dans lesquels le cerveau présentait l'état le plus normal. Dans l'
observation
que j'ai publiée 3e livraison, je n'avais pu me r
Maladies de l'Utérus et de ses annexes, fonde sur un grand nombre d*
Observations
cliniques ; accompagné d'un Atlas de 4i planches
veineux était complètement oblitéré. Le foie était très petit, (i)
Observations
et pièces pathologicpies recueillies à l'hôpital
t sur celles des Veines sous-cutanées abdominales en particulier. L'
observation
qui précède est un exemple extrêmement remarquabl
ine iliaque externe entièrement oblitérée. J'ai cité ailleurs (1) l'
observation
d'une vieille femme, morte dans mon service à la
es explications, bien que les chirurgiens n'oublient jamais, depuis l'
observation
célèbre de Fabrice de Hilden, de donner le précep
er et le système veineux général à l'aide d'une veine accidentelle. L'
observation
de M. Manec indique de la manière la plus explici
s que de le transporter des autres organes vers le foie. De nouvelles
observations
pourront seules confirmer ou infirmer cette expli
sont si petits, ces lignes si étroites, qu'elles échappent même à une
observation
attentive, et que sans le lavage auquel j'ai cout
éré. Cette lésion est le plus souvent congéniale. Je possède quelques
observations
qui semblent dénoter qu'une atrophie semblable, é
arrière. Rien de particulier dans l'état des muscles de la face (1)
Observation
et pièce pathologique recueillies par M. Oliviéri
s tumeur proéminente dans l'intérieur de la vessie. Un bon nombre d'
observations
rapportées par Bonet (y), un plus grand nombre re
la partie antérieure, mais par celle qui » répond au rectum. » Ces
observations
si exactes, si précises de Morgagni et autres, on
singulièrement la formation de la pierre dans la vessie. Dans la XXVe
observation
de Home, le malade fut sondé pour la maladie de l
mbaient sur l'orifice aussitôt qu'on la retirait. Home rapporte une
observation
dans laquelle les trois portions de la prostate p
u être examinés. Réflexions. Toutes les circonstances relatives à l'
observation
qu'on vient de lire, rentrent parfaitement dans l
tingué à Marseille [Recherches anatomiques sur les hé-morrhagies) , l'
observation
d'un homme qui mourut le douzième jour de l'invas
faces articulaires privées de leurs cartilages et érodées. Quelques
observations
viendront à l'appui des considérations précédente
cataplasme et des lavemenls huileux bien constitués. Soumise à mon
observation
le 6 septembre , elle présente : douleur hypogast
ou pendant la convalescence de ces maladies. J'ai noté dans plusieurs
observations
la coïncidence des suppurations musculaire et art
ique et postérieure à la mort. Un fait important qui ressort de cette
observation
et de plusieurs autres, c'est que, dans les malad
née à la synoviale, l'articulation n'est nullement tuméfiée. Dans l'
observation
qui précède, le rhumatisme s'est manifesté en mêm
faible part dans la maladie et dans sa terminaison funeste. Dans les
observations
suivantes, c'est l'inflammation articulaire et mu
les muscles étant parfaitement intacts. Je me rappellerai toujours l'
observation
d'un malheureux jeune homme qui étant allé patine
suppuration ; le 21e jour, abcès à la jambe: voilà le résumé de cette
observation
. Quel rapport y a-t-il entre le rhumatisme et la
le extenseur des doigts de la malade qui fait le sujet de la dernière
observation
. F P, est un foyer purulent ; la fig. 5', représe
il était dans l'état le plus parfait d'intégrité. Réflexions. Cette
observation
offre la coïncidence singulière d'une hernie très
es, sont les unes congéniales, les autres accidentelles. Je regarde l'
observation
qui fait le sujet de la planche V, comme un exemp
elque petits qu'ils soient, que l'épiploon et l'intestin grêle. Une
observation
de hernie diaphragmatique épiploïque rapportée pa
usieurs observateurs en ont rapporté des exemples pleins d'intérêt. L'
observation
suivante (i) vient encore corroborer les idées qu
de la région précordiale dans l'étendue de (i) Pièce anatomique et
observation
présentées à la Société anatomique. par M. Peltie
e le tubercule est ramollie. Je n'ai pu avoir sur les sujets de ces
observations
que des renseignements extrêmement vagues. Les ob
ts de ces observations que des renseignements extrêmement vagues. Les
observations
ci-jointes pourront y suppléer. L'observation s
rêmement vagues. Les observations ci-jointes pourront y suppléer. L'
observation
suivante communiquée à la Société anatomique par
t , par conséquent il devait y avoir diminution de son influence. L'
observation
suivante communiquée à la Société anatomique par
roupes de tubercules fortement pressés les uns contre les autres. L'
observation
que Reil a publiée sous le titre de Scrophulœ enc
ls peuvent cependant en être indépendants. Dans deux cas soumis à mon
observation
, les poumons et les ganglions mésentériques étaie
ébraux. La marche insidieuse de la maladie est bien dessinée dans l'
observation
suivante. Coup reçu sur la tête. Au bout de six
vec dents qui fût dépourvu de poils. Dans tous les cas soumis à mon
observation
, les dents ressemblaient exactement à celles de l
extraordinaire, que je crois devoir reléguer provisoirement parmi ces
observations
douteuses, qui ont besoin d'être vérifiées par d'
ls) sont tellement identiques, qu'ils sembleraient n'être que la même
observation
présentée sous diverses formes. Dans toutes ces o
e la même observation présentée sous diverses formes. Dans toutes ces
observations
, les femmes, après avoir éprouvé tous les symptôm
et. C'est dans l'utérus qu'on fixe le siège du fœtus momifié dans l'
observation
suivante, d'ailleurs très détaillée fi). Une fe
ac pouvait seul être reconnu. C'est dans l'utérus que l'auteur de l'
observation
précédente place le siège du fœtus ; mais rien da
le titre de fœtus extrà-utérin. La femme qui fait le sujet de cette
observation
, après plusieurs fausses couches, se crut grosse
de sa mollesse et de son aptitude à la contractilité : or, toutes les
observations
mentionnent expressément la densité de structure
ration appartiennent à deux sujets et à des organes différents. Ire
Observation
(1). Cancer mélanique à la paume et au dos de la
r disparut j une cicatrice, en apparence de bonne (i) Je dois cette
observation
à l'obligeance accoutumée de M. Blandin. XIXe L
suc cancéreux ne présentait pas vestige la coloration mélanique. 5e
Observation
(1). Cancer mélanique sous-cutané extirpé. Appari
on du cerveau , je ne saurais prononcer à cet égard ! Réflexions. L'
observation
qui précède est remarquable par l'existence simul
ois le périoste, le tissu osseux et le tissu médullaire, je citerai l'
observation
d'une malade de la Salpêtrière, âgée de cinquante
dullaire et du tissu osseux, avec intégrité du périoste, je citerai l'
observation
d'une autre femme de la Salpêtrière autrefois opé
ION DES FIGURES. Les fig. i, i et 4 appartiennent au même sujet : l'
observation
a été recueillie dans le service de M. Sanson, pa
variable depuis celui d'un grain de mil jusqu'à celui d'une noix. L'
observation
suivante, qui est due à M. le professeur Dubrueil
de cancer fibreux de l'organe médullaire, a trop de rapports avec les
observations
qui précèdent pour que je ne doive pas la mention
e pesanteur au creux de l'estomae, quelquefois même nausées. La (*)
Observation
recueillie et pièces pathologiques présentées à l
anguin par suite de déchirure spontanément opérée : mais de nouvelles
observations
m'ont démontré que cette apoplexie du cœur reconn
interne du péricarde a été rempli par le sang. (1) (1) D'après mes
observations
, l'intervalle qui sépare le péricarde de la surfa
de la cicatrice, tantôt dans une autre partie du cerveau. Quelques
observations
viendront à l'appui des considérations précédente
au sont saines. La moelle n'a pas été examinée. Reflexions. — Cette
observation
établit un fait important, savoir la coexistence
ns intérêt de rappeler ici que l'induction et l'expérimentation (1)
Observation
et pièces pathologiques présentées à la Société a
es veines cérébrales, 011 obtiendrait les mêmes résultats. Les belles
observations
consignées dans le travail de M. Tonnelle sur l'i
? à- l'occasion d'un cas d'inflammation du sinus de la dure-mère deux
observations
de M. Burnet (3), qui ont beaucoup d'analogie ave
etits foyers apoplectiques dans la substance des hémisphères. Cette
observation
, considérée sous le point de vue de l'anatomie pa
, peut-elle résider ailleurs que dans les veines capillaires? Cette
observation
établit en outre la connexité qui existe entre l'
éparer un intervalle considérable. Sous le point de vue clinique, l'
observation
précédente ne peut être que d'un faible secours p
dont la substance est convertie en une bouillie lie-de-vin. Voici l'
observation
qui est relative à cette altération. (1) Mémoir
nétration du sang et de cette substance. N'ayant pas pu retrouver l'
observation
relative au sujet qui a servi à cette figure, j'y
on relative au sujet qui a servi à cette figure, j'y suppléerai par l'
observation
suivante. Cette observation est remarquable par l
ervi à cette figure, j'y suppléerai par l'observation suivante. Cette
observation
est remarquable par l'étendue du ramollissement,
ns habituelles qu'elle entra à l'infirmerie le 6 décembre i834; (1)
Observation
recueillie par M. Olivieri, interne à la Salpêtri
servation recueillie par M. Olivieri, interne à la Salpêtrière. (2)
Observation
recueillie par M. Diday, interne à la Salpêtrière
ramollissement du cerveau ou d'apoplexie mourir par les poumons. L'
observation
qui précède établit : i° Que l'on peut guérir d'u
elle ne serait autre chose qu'un ramollissement très circonscrit. L'
observation
suivante vient à l'appui de ces réflexions. Gra
étendues, avec perte de substances plus ou moins considérable. ( 1)
Observation
recueillie par M. Diday, interne de la Salpêtrièr
eillie par M. Diday, interne de la Salpêtrière. Réflexions. — Cette
observation
prouve : Qu'il est des lésions de la substance cé
alysie de la face; je ferai observer à ce sujet que depuis les belles
observations
de Charles Bell on s'attache beaucoup trop à trou
us fréquente de l'hématémèse et de la perforation de l'estomac. Les
observations
qui suivent, et les figures annexées qui représen
ger, caractérisé par des vomissemens et des selles cholériques. (*)
Observation
recueillie par M. Reignier, interne à la Salpêtri
ervation recueillie par M. Reignier, interne à la Salpêtrière. (**)
Observation
et pièce pathologique recueillies à l'hôpital Bea
e la colonne vertébrale avec luxation consécutive suivie de guérison.
Observations
........ m—- des articulations, luxations de la
..... Maladies des muscles, apoplexie musculaire. Considérations et
observations
. —¦— inflammation puerpérale des muscles et des
des muscles et des synoviales, ou rhumatisme puerpéral. Réfexions et
observations
............. Maladies des extrémités, cicatrice
scapulo-humérale.................... — — Cancer m« ique de la main.
Observations
et considérations générales. £*, ab.eie de la d
dances. LtSIONS D 1 l'esomac, ulcère chronique. Considérations et
observations
. Maladies de , . ' * I- ? 1/ • chronique, per
——» — — ulcère ' * gélatiniforme de l'estomac. Considérations et
observations
. —rrt- Cancr. , j _ . issement du pylore, cance
. --Rétréc * issement gélatiniforme et pultacé. Considérations et
observations
sur --RamoL. 5 r lie. . . . ,...............
s , . , . , , „ \5, . ,n . ,, . le de — sse extrémité de 1 estomac.
Observations
et réflexions gelatmiforn , . n , .. . , w , -m
et cliniques de cette affection, et sur les méthodes de traitement.
Observations
et réflexions........... . . TABLl. NUMÉRO de
haloïdes de l'eslomac et du duodénum, dont l'une obstruait le pylore.
Observations
et réflexions. — Cancer gangreneux latent. . Ma
....... --Muguet, ulcérations de l'estomac des enfans nouveau «nés.
Observations
et réflexions......... ............ Maladies
s disséminées ; variétés dure et molle. Considérations générales et
observations
.................. --Abcès traumatiques consécut
s anx plaies et aux grandes opérations. Phlébite. Considérations et
observations
........« —— Kyste acéphalocyste; ascite, anasar
ations........« —— Kyste acéphalocyste; ascite, anasarejue, ictère.
Observations
, réflexions. --de la rate et du grand épiploon.
e, pus concret combiné. Ramollissement, aigu et chronique de la rate.
Observations
et considérations générales . . . . Jr . if "
et sous-glottique; laryngite chronique ulcéreuse. Considérations et
observations
...... Maladies du poumon. Gangrène diffuse.....
fétidité des matières expectorées; foyers gangreneux; hémorrhagie.
Observations
et considérations générales. . —— du thymus et du
nérales. . —— du thymus et du pancréas chez le fœtus. Considérations.
Observations
. . --Apoplexie pizlmonaire; foyers sanguins; rétr
te. Anévrysme............... —— Cancer mélanique. Considérations et
observations
........ Maladies des artères. Anévrysme de la c
les; interruption du nerf pneumogastrique ¿auche; rupture de l'aorte.
Observations
et réflexions...... --Vices de conformation. Ar
à la face infirieur de la verge chez un enfant qui a vécu neuf jours.
Observations
et considérations générales................. Ma
Maladies des veines. Dilatation des veines sous-cutanées abdominales.
Observations
et considérations sur cette affection............
la suite des grandes opérations chirurgicales et de l'accouchement.
Observations
et considérations générales. . . , Maladies des
t dans l'épaisseur des valvules conniventeset desparoisde l'intestin.
Observations
et réflexions. S: LÉSIONS SE L'APPAREIL SES SEN
s ganglions............. Maladies de la moelle épinière. Apoplexie.
Observations
et considérations générales sur cette maladie....
ïdienne spinale et ventriculaire. --Spina bifida. Considérations et
observations
.......... NUMÉR. de la livrai; m de pages.
et du cervelet................. —— Méningites sous-arachnoïdiennes.
Observations
et considérations générales. : \. . .............
reuses des méninges et de la dure-mère. Considérations générales et
observations
................. --Inflammation des sinus de la
rvations................. --Inflammation des sinus de la dure-mère.
Observations
et réflexions. . . --Hydrocéphalie du fœtus. Ob
ure-mère. Observations et réflexions. . . --Hydrocéphalie du fœtus.
Observations
et réflexions........ --— Hémiplégie ; atrophie
s........ --— Hémiplégie ; atrophie................. — Apoplexie.
Observations
et considérations générales. . . . . --Apoplexi
nsidérations générales. . . . . --Apoplexie des enfans nouveau-nés.
Observations
et réflexions...... —~ — Apoplexie capillaire e
ions. Ramollissement. ——-cihezle fœtus. Atrophie des circonvolutions.
Observations
et réflexions. . " ¦ Idutie * ongéniale par déf
tie * ongéniale par défaut de développement......... .—-— Il aiale.
Observations
et considérations générales..... --j Absence d
s du 'cervelet et de la protubérance annulaire. Masses tuberculeuses.
Observations
et considérations générales.............. 6° LÉ
AIRES. Maladies d u rein. Transformations et productions enkystées.
Observations
. - Néphrite aiguë terminée par un ramollissemen
uvert da ns sa cavité. — Néphrite terminée par suppuration infiltrée.
Observations
et considérations générales.............. --Can
e. Observations et considérations générales.............. --Cancer.
Observations
et réflexions.........* Maladies des reins et d
ns.........* Maladies des reins et des capsules surrénales. Cancer.
Observations
..... Maladies de ia vessie et de la prostate. C
ons..... Maladies de ia vessie et de la prostate. Considérations et
observations
sur l'hypertrophie partielle ou générale de la pr
laire avec matière perlée; tumeur fibreuse ; sarcocèle tuberculeux.
Observations
et réflexions....... ——. Sarcocèle; infiltratio
infiltration tuberculeuse de l'épididyme. Considérations générales et
observations
.................... Mdadies de l'utérus. Vices
ies de l'utérus. Vices de conformation. Utérus bifides et cloisonnés.
Observations
et réflexions..................j --Utérus clois
toute sa longueur.......... . ----• Déplacemens. Considérations et
observations
........ „w— Phlébite utérine...................
bite utérine................... — et des ovaires. Considérations et
observations
sur les maladies des femmes en couches en général
.. Ldies des ovaires. Kystes ovariques. Considérations générales et
observations
sur des fœtus encroûtés de phosphate calcaire et
és de phosphate calcaire et momifiés....... --Kystes. Réflexions et
observations
.............. --Kystes pileux. Observations et
--Kystes. Réflexions et observations.............. --Kystes pileux.
Observations
et considérations générales sur ces affections .
en vésicules hydatidiformes (kystes séreux et multiloculai-. res).
Observations
et considérations générales sur cette altération.
comp-tons bien, du reste, utiliser les cas si nombreux soumis à notre
observation
dans cet hospice. Ils nous permettront de vous fa
es symptômes ne pouvaient être mis en regard des lésions ; aussi, ces
observations
n'éveillèrent-elles guère l'attention qu a titre
iés ou détruits. Mettez en présence d'une anatomie aussi délicate des
observations
recueillies avec soin, où l'analyse des symptômes
aractères de l'état normal. Or, Messieurs, il ré-sulte des nombreuses
observations
, que nous avons recueillies avec M. Pierret, que
rématurément l'évolution de la maladie. Je puis citer, à ce propos, l'
observation
de la nommée Allard, relatée par M. Pierret. En p
gion des ban-delettes latérales. Nous devons ajouter que, d'après nos
observations
, à cette époque de la maladie, les racines spi-na
de minces tractus linéaires. Il est permis d'espérer qu'à l'aide d'
observations
très nom-breuses, très variées quant aux symptôme
ètement inaperçu. On le trouve mentionné dans un assez grand nombre d'
observations
recueillies par divers auteurs, et en particulier
t la réalité peut être facilement établie dans cet hospice à l'aide d'
observations
faites sur une grande échelle. Je crois pouvoir d
ataxie. J'ai insisté sur ce point déjà, dans mes leçons de 1868 ; mes
observations
ultérieures me permettent de confirmer ce que j'a
ite optique inflammatoire. C'est du moins ce qui semble ressortir des
observations
de MM. Hulke, Albutt et quelques autres. Il exist
rotisme du pouls. De l'arthropathie des ataxiques : sa fréquence. —
Observations
. — Cette arthropathie se développe à une époque p
puisqu'il y a une dislocation de la jointure. Un autre point de cette
observation
mérite dès main-tenant d'être relevé : c'est l'ab
ce n'est que par exception que ces symptômes sont consignés dans les
observations
. Au bout de quelques semaines, de quelques mois
laire rapide, et tant d'autres troubles trophiques du même genre. Les
observations
de plaies de guerre, recueillies par le Dr Mitche
r arénacée, qui mérite de nous arrêter s'est offert récemment à mon
observation
, qu'on peut, les circonstances aidant, reconnaîtr
ses syphilitiques plutôt admises à titre d'hypothèses que d'après une
observation
ri-goureuse, en tant, au moins, que formant des t
ouvent à la Salpêtrière, placés que nous sommes dans des conditions d'
observation
à la vérité toutes spéciales. Rarement primitif
eux qui doivent nous occuper d'une manière spéciale. Les nombreuses
observations
que nous avons faites avec M. Michaud, dans le co
ien en évidence les hyperplasies conjonctives. De fait, d'après mon
observation
, l'œil nu montre tantôt un ramollissement, tantôt
ont complété, en y ajoutant quelques traits importants, mes premières
observations
, lesquels datent de 1865 4. Mais nous avions été
es assertions que je viens de poser devant vous sont fon-dées sur des
observations
multipliées dont quelques-unes ont été consignées
s, est difficile à déterminer, dans l'état actuel des choses, faute d'
observations
recueillies dans l'intention spéciale d'élucider
riphérie. C'est là une particularité re-connue depuis longtemps par l'
observation
clinique et qui éta-blit un contraste avec ce qui
ique, quant à présent, mieux que toute autre, les faits révélés par l'
observation
clinique. Ainsi que je vous le disais tout à l'
e sur la région cervico-brachiale, de paralyser les quatre membres, l'
observation
démontre, d'un autre côté, qu'une pression moins
omiquement et physiologique-ment de ce phénomène, mis en relief par l'
observation
clini-que, on a proposé d'admettre que les conduc
'égards, du type infantile. A ce propos je me bornerai à signaler une
observation
recueillie par M. Gull et où il s'agit d'un enfan
, sans adjonction de paralysie des membres, ainsi que le démontre une
observation
recueillie par M. Rosenthal et sur laquelle je re
qué de mettre convenablement en relief, et, à ce pro-pos, il cite une
observation
qu'il me paraît utile de vous faire connaître au
pports, à ceux qui viennent d'être mentionnés, se retrouvent dans une
observation
appartenant également à M. Gull, mais où l'affec-
pouls que l'on observe quelquefois en conséquence de ces lésions. L'
observation
chirurgicale a depuis longtemps reconnu que les f
s'agissait de la 1 A. Duménil. loc. cit., p. 478. — Voir aussi les
observations
de Gedding, de Baltimore (Brown-Séquard, Journal
ute intervention de la commotion cérébrale se trouve écartée dans ses
observations
. Dans la règle, le ralentissement du pouls, lié a
anique du ralentissement des battements artériels ne 1 W. Stokes. —
Observations
on some cases of permanently Slow Puise, {Dublin
ique reste invariable, Messieurs, ainsi que le démontrent mes trois
observations
, soit qu'il y ait des lésions organiques du cœur
tre cherchée dans la moelle épinière ou dans le bulbe. En l'absence d'
observations
per-sonnelles propres à décider la question, je p
site pas à rattacher tous les symptômes relevés dans son intéressante
observation
— pouls lent permanent, crises syncopales suivies
rtehra with destruc-tion of the spinal marrow. 1 Voir a ce propos l'
observation
très intéressante, bien que non suivie d'au-topsi
ombre de muscles ou groupes de muscles, est le premier symptôme que l'
observation
fasse reconnaître. Le muscle est d'abord paralysé
ipation au moins temporaire de la sub-stance grise centrale? Quelques
observations
faites par MM. Duchenne et Hein, chez des enfants
manque au contraire absolument — si j'en juge du moins d'après mes
observations
, conformes d'ailleurs en cela à celles de Cohnhei
en pa-reil cas est un fait constant et si elle remonte, ainsi que les
observations
de MM. Volkmann et Steudener portent à le pen-ser
ction dont il s'agit, comme siégeant dans les partiespéri- * Voir l'
observation
de Wilson, in Arch. de plajsiologie, loc. cit.
ctères de la structure normale. Enfin, nous signalerons, dans notre
observation
, une atro-phie avec sclérose partielle des cordon
s publications antérieures à la nôtre. Dans le travail auquel notre
observation
sert de fondement, nous nous sommes cru autorisé
actère de précision qu'on est en droit d'exiger actuellement dans les
observations
de ce genre. Pour ce qui concerne la seconde pr
rchives de physiologie, t. III, 1870. 2 Idem, t. III, 1870. 3 Les
observations
, au nombre de trois, recueillies dans le service
tion de ces faisceaux. Il est des circonstances, d'ailleurs, — et l'
observation
de Wilson peut être rappelée à ce propos — où, su
Mannkopf. L'existence des foyers de désintégra-tion, signalés dans l'
observation
de Clarke et dans quelques- unes de celles que
J'espère y parvenir, en exposant d'abord les traits principaux d'une
observation
que j'emprunte à la nou-velle édition du Traité d
C.) et 15 ans 1/2), ils élablissent une sorte de transition entre l'
observation
qui procède et celles qui appartiennent à la para
r agressif des accidents n'était guère à re-douter 1. La suite de l'
observation
montre que ces prévisions se sont réalisées. Une
-à-dire des sujets ayant succombé à une époque le 1 Cliniquement, l'
observation
publiée par mon interne, M. Gombault, dans les Ar
permis, cependant, d'é-tablir déjà des données fondamentales que les
observations
ultérieures, instituées dans des conditions plus
ésoudre. C'est ici que gît principalement l'intérêt des importantes
observations
de MM. Damaschino et Roger (loc. cit.). Ces auteu
rquée au voi-sinage immédiat des groupes de cellules nerveuses. Ces
observations
établissent — comme on voit — que le ramollisseme
issement *. Un autre fait intéressant, mis en lumière par ces mêmes
observations
de MM. Roger et Damaschino, c'est que, dans ses p
la marque d'un processus irritatif. M. Leyden dit avoir fait la même
observation
sur les cellules ganglionnaires de la moelle. Mai
e j'ai fait pressentir déjà dans mes leçons de 1868 et que toutes les
observations
, aujourd'hui nombreuses, publiées depuis lors, so
soit en France, soit à l'é-tranger, sont venues confirmer. Parmi ces
observations
à l'appui, pour ne parler que des plus récentes,
h. auat. 1«'' Bd. 1S S ^, p. 329, 2e Bd. 1856, p. 228.) 2 Voyez les
observations
de M. Gharcot sur l'histologie de la myélite aigu
ongée. Ces escarres, qui, comme les autres phénomènes précédem- 1
Observations
de M. Mannkopf. — Amtlich. Bericht ùber die Versa
la fois l'axe gris et les faisceaux blancs, n'occupent cependant 1
Observations
de Levier. — Beitrag zur Pathologie der Ruckenmar
ur Pathologie der Ruckenmarks Apo-plexie, lnaug. Dis. Bern. 1864. 2
Observation
de Duriau. — Union médicale, 1859, t. I, p. 308.
elle épinière, 3e édil., 1837, t. I, p. 202). J'ai fait connaître une
observation
de myélite spinale cervicale avec pachyméningite,
ertaine distance, les caractères de la dégénéralion granuleuse. Cette
observation
qui figure dans un mémoire publié en commun avec
emment M. le Dr Th. Simon (de Hamboirg) a rassemblé un grand nombre d'
observations
[Arch. fur Psycniairie und nervenkaukhreiten, v.
s sont étrangères à l'atrophie simple. Il en est de même, d'après mes
observations
, des douleurs provoquées par la pression qui trad
gnée sous le nom de téphro-my élite chronique parenchy?nateuse. Les
observations
sur lesquelles s'appuie la description ana-tomo-p
M. Duménil (de Rouen) 2, un cas très important de M. Hayem 3 ; trois
observations
re-cueillies à la Salpêtrière, dans mon service 4
es de physiologie, 1869, p. 79.) 4 Voici le sommaire de deux de ces
observations
qui seront bientôt publiées in extenso dans les A
it chiffre de faits compose néanmoins un ensemble so-lide. Toutes les
observations
contradictoires, c'est-à-dire celles dans lesquel
es qui viennent d'être décrites, sont, je crois m'en être assuré, des
observations
qui pèchent, soit par le côté clinique, soit parl
ques tubes nerveux présen-tant l'altération granulo-graisseuse. 1 L'
observation
de M. Troisier a été publiée dans les Archives de
de l'amyotrophie progressive (Obs. I, II, IV, et XVI11. Je parle des
observations
recueillies par l'auteur lui-même ; toutes datent
itement mentionné. — Je ferai remarquer d'ailleurs que plu-sieurs des
observations
rassemblées par M. Friedreich sous une même rubri
é, même dans son acception la plus large et la plus vague ; ainsi les
observations
I et II ne peuvent guère être considérées que com
nsidérées que comme des exemples de paralysie spinale infantile, et l'
observation
VI, remarquable par le début fébrile et la marche
, Galliet, Lebert, Cru-veilhier, Aran et Duchenne. Se fondant sur ces
observations
, M. Duchenne avait cru pouvoir caractériser la ma
sculaires n'est qu'un phénomène accessoire. C'est ce que prouvent les
observations
de M. Hayem et les obser-vations multipliées que
ls repose la Symptomatologie de la sclérose latérale amyotrophique. —
Observations
personnelles. — Documents à l'appui. Différence
ire spinale, deutéropathique. Je dois tout d'abord déclarer que les
observations
qui vont servir de fondement à ma description son
élèves, à l'hospice de la Sal-pêtrière. Il s'est agi, à l'origine, d'
observations
recueillies surtout au point de vue de l'anatomie
soin. Aussi, à un moment donné, devint-il pos-sible, en comparant ces
observations
diverses, de saisir un certain nombre de traits f
n'a connu, pendant longtemps, que les lésions singulières qui 1 Les
observations
suivies d'autopsie, rassemblées par moi à l'hospi
mbre de cinq. J'en donnerai plus loin l'exposé som-maire. Deux de ces
observations
ont été publiées avec détails, l'une par M. Joffr
s qui me sont propres, j'ai trouvé dans dif-férents recueils quelques
observations
plus ou moins parfai-tes, qui se rapportent de to
fit. Je citerai, en premier lieu, parmi les faits de ce groupe, les
observations
II et IV de l'excellent mémoire publié en 1867 pa
rogres-sive dans la Gazette hebdomadaire. Puis, je mentionnerai trois
observations
appartenant à M. Leyden. Elles ont été pu-bliées,
trophique. Enfin, je ferai rentrer encore dans la même catégorie deux
observations
publiées récemment, l'une par 1 E. Leyden. — Ue
ai aux remarques suivantes. L "hérédité n'est pas signalée dans nos
observations
. L'âge auquel la maladie se développe varie ent
à la Salpêtrière, dans le service de M. Vulpian, un certain nombre d'
observations
qui concor-dent de tous points avec la précédente
. Je vous ai cité, à l'occasion des plaies de la moelle épinière, une
observation
qui semble devoir se prêtera celte interprétation
rophie musculaire. C'est ce dont té uoignent, entre autres, plusieurs
observations
de M. Westphal relatives à des cas de paralysie g
mes de la période douloureuse. Cela est bien mis en évidence dans une
observation
présentée récemment à la Société anatomi-que par
se postérieure. Pour s'en convaincre, il suffirait de se reporter aux
observations
nombreuses où cette coïncidence se trouve signalé
u-cart 6, Laborde 7, Pierret 8, et quelques autres. 11 résulte de ces
observations
que, cliniquement, cette atrophie musculaire des
ômes ordinaires de la sclérose en plaques. Elle survient, d'après mes
observations
, dans les cas où les plaques scléreuses qui, dans
re surtout, vous ne l'ignorez pas, chez les jeunes enfants ; quelques
observations
tendent à établir, toute-fois, qu'elle peut se mo
do-hypertrophique. In Archiv. de physio-logie, 1371-1872, p. 228. L'
observation
dont il s'agit est relative à un jeune sujet atte
e je viens de citer. Relativement à l'état de la moelle épinière, nos
observations
ont porté sur des coupes transversales, colo-rées
tions, tome LVII. Lon-don, 1874). Mais je ferai remarquer que, dans l'
observation
des auteurs an-glais, les lésions spinales, trouv
int de départ des altérations prononcées du système musculaire. Une
observation
, publiée il y a trois ans dans les Archiv der Hei
rt des vis-cères, lime parait tout à fait illégitime de rapporter l'
observation
dont je viens de rappeler très brièvemeut les pri
(pp. :13 à 242) et dans lequel, — ainsi que cela avait eu lieu dans l'
observation
de m. Barth, — la sclérose symétrique des cordons
note, suffirait à lui seul pour en démontrer l'inanité. D'après ces
observations
, la paralysie pseudo-hypertrophi-que doit être co
btenus par M. Gombault, se trouvent confirmés de tous points dans une
observation
très intéres-sante, récemment publiée par M. C. W
au. Il n'existe pas en réalité, à ma connaissance du moins, une seule
observation
publiée dans laquelle on ait démontré anatomiquem
progressive d'où dériverait la forme d'amyotrophie dont il s'agit. L'
observation
si intéres-sante d'ailleurs de M. Duménil, invoqu
spinale. C'est ce dont témoignent entre autres, péremptoirement, les
observations
recueillies à la Salpêlrière par M. le docteur Lu
diculaires antérieures, F ; elles ont été laissées en blanc. Quelques
observations
établissent cependant qu'elles peuvent être lésée
aux de la moelle épinière. Mais, il importe de ne pas l'ou-blier, les
observations
où la sclérose latérale symétrique primitive, san
jourd'hui pouvoir se rattacher au type tabès dor-sal spasmodique, ces
observations
, dis-je, par suite d'un sin-gulier concours de ci
tte leçon, a été, pour la première fois, remarqué et décrit. Dans l'
observation
d'une femme atteinte de sclérose en plaques que n
n prolongée du froid humide, se trouve invoquée dans plusieurs de nos
observations
. Son évo-lution est progressive, mais éminemment
détromper, il suffira d'insister sur quelques détails que révèle une
observation
moins superficielle. Un jour, il y a huit ans d
resterait plus guère que la ressource des présomptions. Peut-être une
observation
plus attentive et plus minutieuse permettra-t-ell
leurs parties absolument exempts d'altérations. Les détails de cette
observation
(la 4e dans la thèse de M. Bétous) seront publiés
ieurs. On s'est beaucoup moins attaché, en général, à établir sur des
observations
régu-lières les caractères cliniques et anatomo-p
éaliser le but que je me propose, on peut invoquer d'assez nombreuses
observations
. Le nombre même des faits dans lesquels on voit,
singulièrement. Quoi qu'il en soit, même en ne tenant compte que des
observations
régulières, on arrive bientôt, après les avoir co
ez un sujet atteint depuis cinq ans de cystite calculeuse. Dans une
observation
analogue citée par le docteur Gull, le ramollisse
altération ; si alors, ainsi que cela a eu lieu, par exemple, dans l'
observation
du docteur Gull, on fait intervenir le microscope
faisceaux spinaux postérieurs. Le fait a été mis en évidence par une
observation
de M. Cornil2. Huit jours après le début d'une
qui est atteinte. Les choses se passent, en pareil cas, comme dans l'
observation
bien connue rapportée par M. Kussmaul i. Dans ce
t rentrer dans l'ordre. C'est ce que nous apprennent les détails de l'
observation
que M. Debove a recueillie avec le plus grand soi
, soit encore un simple catarrhe de l'oreille, comme il résulte d'une
observation
publiée par M. Green (Bostoïi Med. and Sur g, 21
es spéciaux. C'est le plus souvent, si j'en juge par les dix ou douze
observations
qui me sont personnelles, la sensation d'un mouve
Cette diminution de l'ouïe a été consignée dès le com-mencement de l'
observation
, car R... s'en est plaint d'elle-même, dès l'orig
hésie reconnue depuis longtemps dans la chorée ordinaire, d'après les
observations
de mon ancien collègue, le docteur Moynier, est e
tion ne me découragea point et, me fondant sur l'enseignement tiré, d'
observations
antérieures, j'émis l'opi-nion qu'il fallait proc
nnel. Nous venons de voir néanmoins ce mode d'invasion signalé dans l'
observation
qui précède ; par suite d'un singulier concours d
s de circonstances, nous allons le retrouver une fois de plus, dans l'
observation
suivante où, comme dans la première, il s'agit en
St Andrews médical graduâtes Association, t. III, 1870). Mes propres
observations
le confirment pleinement. (J. M. C.) conscience
de la maladie de M. K... J'utiliserai d'ailleurs, dans mon récit, les
observations
, faites par le malade lui-même pendant le cours d
inférieur. Si enfin, comme cela se présentait dans les deux premières
observations
que j'ai rapportées, les convul-sions attaquent p
uvent plus ou moins explicitement signa-lées dans un certain nombre d'
observations
d'épilepsie par-tielle d'origine syphilitique 1 o
eur de tête prémonitoire et les convulsions 1 Voir enlre autres les
observations
du Dr Todd : Clinical Lectures on paralysis,e\.c.
s résultats aussi heureux que ceux qui ont été obtenus dans les trois
observations
qui précèdent, et je n'ignore pas qu'il se-rait a
e. On les trouve déjà décrites avec une cer-taine précision, dans une
observation
relative à cette affection publiée par Todd, en 1
the Brain, by J. Dreschfeld (The Lancet, 1817, vol. I, p. 268). Cette
observation
est particulièrement intéres-sante au point de vu
e locomotrice ; par J.-M. Charcot. (Voyez : Leçon IV, p. 62.) L'
observation
dont je vais faire connaître les détails offre un
survenues chez une femme atteinte d'ataxie locomotrice progressive.
Observation
. — Ataxie locomotrice progressive. — Luxations et
racture consolidée à cal volumineux des deux os de Vavant-bras i. 1
Observation
rédigée d'après les notes recueillies par M. Bour
devons insister ici sont celles des os et des articiclations. Cette
observation
n'a pas besoin, je pense, d'être accompa-gnée de
, consé-cutive elle-même à l'affection spinale. Tous les détails de l'
observation
établissent, au contraire, clairement, en ce qui
oncourent à la production de ces arthropathies singulières dont notre
observation
offre un exemple très remarquable. On sait, en ef
es malades, des fractures dites spontanées. J'ajouterai que parmi les
observations
qui se trouvent rassem-blées dans les divers écri
uleurs fulgurantes. Je citerai, entre autres, à titre d'exemples, les
observations
n° 32 et n° 33 de l'ouvrage de M. E. Gurlf3. (E
s (n° 26, 15 avril 1879, t. XIII, 2efascic). a II s'agit dans cette
observation
, d'un amiral en demi-solde ayant toujours mené un
M. G. Decaisne rapproche avec beaucoup de raison cette in-téressante
observation
des cas dont M. Charcot a fait l'objet d'une co
e médicale de Paris (1876, n° 49, p. 588), les principaux détails des
observations
communiquées par M. Charcot à la Société de biolo
Berliner Klin. Wochens-chrift ( n°du 25 septembre 1876, p. 563 , une
observation
relatée par M. le Dr Sommerbrodt et où il s'agit
evenu sur la description du composé symptomatique dont la lecture des
observations
qui précèdent permet de saisir les principaux tra
u groupe clinique dont il s'agit. Yoici l'exposé sommaire de ces deux
observations
nouvelles : on y verra que ces caractères fonda-m
it fréquemment dans l'épilepsie. Voilà, quant à présent, ce que les
observations
apprennent de plus important concernant la sympto
rs, on a pu le remarquer, plus d'un trait de ressemblance. Dans les
observations
qui précèdent, le vertige laryngé paraît s'être p
te, le rhumatisme. Il n'en est pas toujours ainsi. On a vu déjà par l'
observation
du Dr Sommerbrodt que des accidents analogues peu
iendrons prochainement avec quelques développe-ments à propos de deux
observations
de vertige laryngé tabé-tique dont nous ferons co
e, dans trois cas de lésions irritatives de la moelle épi-nière ; les
observations
que j'ai faites à ce propos me permet-tront de co
part des cylindres axiles tuméfiés, déjà noté dans les deux premières
observations
. Mais un fait propre au troisième cas, c'est qu'u
rté à croire que la tuméfaction des cylindres d'axe, décrite dans ces
observations
, et aussi celle des cellules ner-veuses, ne doive
n est ainsi, on pourra se convaincre, en se reportant aux détails des
observations
consignées dans cette note, que la tuméfaction de
oglie et des vaisseaux capillaires. Sous ce rapport, notre première
observation
surtout est très instructive. Elle montre aussi a
tubes ner-veux est également bien mis en lumière dans notre deuxième
observation
, ainsi que dans les cas de MM. Frommann et W. Mùl
Ce mode d'altération était très marqué dans nos deuxième et troisième
observations
: il a été parfaitement décrit dans les cas de MM
tre pendant la vie l'atrophie musculaire protopathique, réunis dans l'
observation
qu'on va lire et qui est un exemple remarquable d
que celui-ci a éprouvé sous l'influence des réactifs. On voit que l'
observation
qui vient d'être relatée reproduit assez exacteme
phique. (Voyez : Leçon XII, p. 234). Nous reproduisons ici deux
observations
qui confirment de tout point les descriptions tra
diens ont été l'objet d'un examen spécial. On se rappelle que, dans l'
observation
, ils sont notés, surtout celui du côté gauche, co
ditif nous ont paru présenter tous les caractères de l'état normal.
Observation
IL Sclérose symétrique des cordons latéraux de
rcot. (Voyez Leçon XIII, p. 239). Par l'ensemble des symptômes, l'
observation
que je vais rapporter dans ses détails se rattach
qu'elle m'a paru di-gne de fixer un instant l'attention du lecteur.
Observation
. — La nommée Baj..., Marie-Françoise, âgée de 68
ion décrite plus haut. Un des points les plus intéressants de cette
observation
, c'est incontestablement l'existence d'une altéra
sculaires. La langue surtout, cela est dit très expli-citement dans l'
observation
, avait conservé son épaisseur, ses dimensions, sa
gauche, l'atrophie musculaire progressive généralisée qui, dans notre
observation
, se trouvait combinée aux symptômes de para-lysie
satisfaisante de l'affection telle qu'elle s'est présentée dans notre
observation
. Nous ne le pensons pas ; outre que nous ne savon
athique cervical a été d'ailleurs explicitement mentionnée dans notre
observation
. 2 Dans l'atrophie musculaire progressive, la p
atif aux muscles exté-rieurs. Ainsi que cela résulte des détails de l'
observation
clini-que, les pectoraux et les sacro-lombaires a
sur aucun fondement solide et il existe même déjà dans la science une
observation
, suivie de nécros-copie, qui tend à l'invalider c
rès accusées dans le renflement cervical de la moelle épinière. Nos
observations
ont porté sur des coupes transversales colorées p
pe, s'attache à ces faits nécroscopiques, corroborés d'ailleurs par l'
observation
anté-rieure de MM. Eulenbourg et Cohnheim ; si je
on appréciable de la moelle épinière on des racines ner-veuses. Une
observation
récemment publiée dans les Archiv der Heilkunde 1
diction formelle avec la proposition qui vient d'être formulée. Cette
observation
est rapportée, en effet, par l'auteur à la paraly
rt des viscères. Il me parait tout à fait illégitime de rapporter l'
observation
dont je viens de rappeler très brièvement les pri
n dans mes Leçons, et dans lequel, — ainsi que cela avait lieu dans l'
observation
de M. Barth, — la sclé-rose symétrique des cordon
itieller Lipomatose. Leip-zig, 1870. 4 et 5 Duchenne (de Boulogne),
Observations
communiquées. e W. Müller, loc. cit. de se dema
nt parfaitement en relief les carac-tères principaux de l'athétose.
Observation
1. — Gr..., âgée actuellement de 32 ans, a eu des
lent siéger dans les muscles peaucier et sterno-mastoïdien gauches.
Observation
II. — Maur..,, âgée de 33 ans. A 9 mois : con-vul
l'athétose telle que l'a tracée M. Hammond. En effet, dans la seconde
observation
, nous trouvons mentionnées non-seu-lement Y insta
détails que nous allons reproduire mettront le fait en évidence. .
Observation
III. — P..., âgée aujourd'hui de 19 ans, a été pr
ce et du cou, à la main et au pied du même côté, tandis que, dans l'
observation
III, en outre qu'ils sont plus brusques et plus s
ar M. Richer, interne des hôpitaux représentela malade Gott... dont l'
observation
est rapportée à la page 395. Système Nerveux, t
rotisme du pouls. De l'arthropathie des ataxiques : sa fréquence. —
Observations
. — Cette arthropathie se développe à une époque p
ls repose la Symptomatologie de la sclérose latérale amyotrophique. —
Observations
personnelles. — Documents à l'appui. Différence
soit un phénomène morbide; et si on lit avec attention les diverses
observations
de mérycisme, on ne trouve pas qu'il fût accomp
es ou- vrages de cette époque sont-ils pleins de confusion et les
observations
toutes superficielles Les auteurs, disposés tou-
eyer. Voici d'ailleurs les faits importants à relever dans ces deux
observations
: 1 Saint Augustin rapporte'qu'il y avait certa
un sac. [Histoire des Diables de Loudun, p. 115.) 8 DU MÉRYCISME.
Observation
I. Chez le gentilhomme padouan, la rumination é
s la mort, on constata que l'estomac était unique et très dilaté.
Observation
II. Quant au moine, il mourut à trente-huit ans,
ig, Burgower, Perineti, Sennert, Abraham Will, Wepfer; mais leurs
observations
sont toujours bien incomplètes. Ce n'est guère
cle Mérycisme (du Dictionnaire en soixante volumes), rap- porte une
observation
personnelle, dont le trait le plus saillant est
isme. En 1812, M. Tarbès publie dans la Bibliothèque médicale une
observation
de mérycisme survenue chez un enfant de cinq an
s à la suite d'une variole, et guéri à vingt ans par le coït. Cette
observation
parait avoir attiré l'attention sur ce point pa
étudie les phénomènes observés sur sa propre per- sonne ; puis des
observations
dues à Ducasse (1836, in Froriep's Nolizen, t.
66), Armaingaud'. Nous examinerons plus tard en détail toutes ces
observations
. Plus récemment encore, Ireland, dans son Trait
mais ne fait que mentionner simplement, à l'appui de son dire, l'
observation
de Becco, publiée par l'un de nous. En 1874, le
raham (The Chicago med. Examiner, 1874, 1" mars, p. 118) rapporte l'
observation
d'un cas de ru- mination chez l'homme. En 1880,
er l'étude clinique pour la seconde partie de notre travail, où les
observations
prises chez l'idiot sont souvent plus complètes
ns pour le moment de signaler les particularités qui ressortent des
observations
recueillies chez les individus jouis- sant de l
s méd. de Lille, 1883, p. 608 et G ! a1.) .) DU MÉRYCISME. 11 t
Observation
III. - Daniel Perineti (Med. pract., lib. III, se
été des chèvres pendant deux ans, se mit à ruminer par imitation.
Observation
IV. Sennert (Med. prat., lib. Ill, p. 1) cite le
qui communiqua sa maladie à sa femme ( ? ). D'après cette dernière
observation
, l'influence de l'imitation se manifesterait no
mais encore de l'homme à l'homme. (Voir OBs. XXIII.) Si les deux
observations
qui précèdent peuvent laisser quel- ques doutes
erner, auquel elle a été communiquée par le professeur A. Freund.
Observation
IV Lis. - Hystérie et rumination chez une gou-
ques faits qui montrent que le mérycisme peut être héré- ditaire.
Observation
V. - J.-B. Winthicr rapporte l'histoire d'un Sué-
tion ne soient t apparus qu'assez tard, nous signalerons dans cette
observation
l'influence de la volonté sur la guérison du rn
ès l'enfance, ainsi qu'on le voit dans l'obser- vation suivante :
Observation
VI. - Mérycisme héréditaire. - Apparition dès l'e
DU MÉRYCISME. 13 3 Cette dernière particularité se retrouve dans l'
observation
que nous allons maintenant rapporter et qui, de
plus, nous fournit un nouvel exemple de l'hérédité du mérycisme.
Observation
VII. - Hérédité. Mérycisme dès l'enfance, invo-
raver cette fonction anor- male. Dans le cas contraire, et les deux
observations
suivantes le prouvent, le mérycisme, arrêté dan
peut influer gravement sur la santé générale. 14 DU MÉRYCISME.
Observation
VIII. (Ducasse, Ibiid.) - L'homme qui fait le suj
vation VIII. (Ducasse, Ibiid.) - L'homme qui fait le sujet de cette
observation
parvint ci l'âge de soixante-dix ans, bien qu'il
ation cancéreuse sur la grande courbure, au voisinage de la rate.
Observation
IX. M. Vincent (Comptes rendus de l'Académie des
raumatisme, qui provoque l'éclosion des troubles de la digestion.
Observation
X. - M. Bouclier, médecin à Montpellier, cite le
jet et nous rapporterons les exemples suivants sans commentaire :
Observation
XI. - Salmutli (Obs. mal. cent., I, obs, C, p. oï
ra, souffre cependant quel- ques exceptions, témoin la suivante :
Observation
XII Daniel Ludwig (Ephémérides des curieux de la
llir, ost la sobriété ait été constatée chez un sujet méry- cole. L'
observation
XIII rentre à ce point de vue dans la règle. Ce
nt amené la disparition, au moins mo- mentanée, de la rumination.
Observation
XIII. Mérycisme il la suite d'une variole il l'âg
as n'était qu'une reproduction du premier, nous le citerons ici :
Observation
XIV. - Le nommé Claverie, journalier, ne com- m
autres affections de l'estomac : c'est ce que semblerait indiquer l'
Observation
ci-dessous ainsi que l'OBSERvATION VIII. Obse
est ce que semblerait indiquer l'Observation ci-dessous ainsi que l'
OBSERvATION
VIII. Observation 1V'. - Cette observation a tr
t indiquer l'Observation ci-dessous ainsi que l'OBSERvATION VIII.
Observation
1V'. - Cette observation a trait à un soldat qui
ci-dessous ainsi que l'OBSERvATION VIII. Observation 1V'. - Cette
observation
a trait à un soldat qui mourut à Toulouse à l'â
rycisme par le fait du cancer, nous ferons encore remarquer, dans l'
observation
qui précède, le mode de début du mérycisme qui
t du mérycisme qui ne s'est établi que graduellement comme dans les
Observations
IX et XIII. Nous avons signalé tout à l'heure l
provoquant d'abord des troubles dans les fonctions de l'estomac.
Observation
XVI. - Mérycisme survenant à la suite d'un excès.
isme apparais- sant chez un individu souffrant déjà de dyspepsie.
Observation
XVII. ? cMme. Dyspepsie préexistante. Début gra
té (OBS. IX, XIII, XV, XVI), un fait curieux qui ressort de cette
observation
, c'est que les liquides qui, à l'origine, étaient
onté était impuis- sante à retenir les aliments dans l'estomac. L'
observation
suivante due à M. Otto Koerner (loc. cil.) rent
es préalablement atteints de troubles chroniques de la digestion.
Observation
XVII bis. Père ruminant. Développement tar- dif
déré. Si, en suivant une diète sévère, il attache son attention à l'
observation
des règles prescrites, la maladie augmente de s
e la volonté. Peu après, le malade quitta Strasbourg. La suite de l'
observation
est prise dans les nombreuses lettres qu'il m'a
on. A ce moment (fin novembre) je lui proposai, me basant sur une
observation
(Observation XXXVI) faite sur un autre ruminant,
ment (fin novembre) je lui proposai, me basant sur une observation (
Observation
XXXVI) faite sur un autre ruminant, DU MÉRYCISM
sme. Les cas de ce genre sont relativement fréquents. (OBs. VII.)
Observation
XVIII. - Le Dr Delmas a connu un étudiant en mé-
s mangeur, atteint de rumination involontaire mais non incommode.
Observation
XIX. Blumenbach rapporte' quatre exemples de mé
n estomac ceux qu'il voulait ruminer. Sans être aussi concluante, l'
observation
suivante nous montre aussi l'action de la volon
nous l'avons dit plus haut, mais une sorte de fonction anormale.
Observation
XX. - M. Roubieu 1 a observé un jeune homme d'u
bout d'une demi-heure. 11 périt d'hémoptysie à trente ans. Dans l'
OBSERVATION
XVII, nous avons vu aussi un homme suspendant v
it pour produire le mérycisme. Ce dernier point ressort encore de l'
observation
suivante : Observation XXI. Mérycisme sans ef
isme. Ce dernier point ressort encore de l'observation suivante :
Observation
XXI. Mérycisme sans effort ni douleur. Influence
e soir, il ne rumine pas. Langue toujours chargée. De plus, cette
observation
se rapproche de l'OBSERVATion XVII par le fait
ngue toujours chargée. De plus, cette observation se rapproche de l'
OBSERVATion
XVII par le fait de la rumination partielle, c'
. Nous avons déjà mentionné certains cas de ce genre. Ainsi, dans l'
OBSERVATION
VII, les boissons n'étaient jamais ruminées, de
aliments dans sa bouche, pour n'en ruminer ensuite qu'une partie.
Observation
XXII. - welsch (Obs. med., ép. XXXVI) rapporte l'
rumination, après avoir été itateonait- tente, devint constante.
Observation
XXII bis. Abus des fruits verts et entérite duran
de M. le professeur Brown-Séquard, rapporté par M. R. Blanchard.
Observation
XXIII. - « Chez M. Brown-Séquard, dit-il, le méca
rage ruminaient également, tant la chose me semblait naturelle ».
Observation
XXIV.Outre les détails qui précèdent, concernant
bles. Mais nous avons pensé qu'il serait bon de réunir toutes ces
observations
jusque-là disséminées et d'en faire une sorte de
ouvel exemple, dont nous ne discuterons d'ailleurs pas la valeur.
Observation
XXV. Abraham Will rapporte le cas d'un idiot, n
digestives que se développe le mérycisme. Nous avons déjà vu trois
observations
(V, XVI et XVII) dans lesquelles le mérycisme e
té, presque ordinaire chez les méry- coles, puisque, sur toutes les
observations
où l'on a songé à la rechercher, une seule fois
Dans beaucoup de cas, on n'a pas songé à signaler ce point; dans l'
OBSERVATION
XXVIII seulement, il est noté que le sujet étai
aise qualité. Cette dernière cause serait celle du mérycisme dans l'
OBSERVATION
XXI, où ce phénomène a suivi l'ingestion d'une
diminuer à mesure que l'on avance en âge. En effet, sur vingt-trois
observations
où l'on a noté autant que possible l'âge des su
on que la femme. Nous nous contenterons de dire que, sur toutes les
observations
de mérycoles parvenues à notre connaissance, il
ormation de l'estomac des individus atteints de mérycisme. Dans les
Observations
I, II, VIII, XV, ainsi que dans les suivantes,
on de l'estomac. (OBs. XXVIII.) Bryand a trouvé le contraire dans l'
observation
suivante. (2Mb< ? méd., t. LU, p. 117.) Ob
ire dans l'observation suivante. (2Mb< ? méd., t. LU, p. 117.)
Observation
XXVI. Anne Ferry, fille d'un tisserand, eut à l'â
nation, n'a été notée que dans ce seul cas. Nous en rapprocherons l'
OBSERVATioN
II où l'oeso- phage a été trouvé très épaissi,
s l'OBSERVATioN II où l'oeso- phage a été trouvé très épaissi, et l'
OBSERVATION
XXIX où la même remarque fut faite à propos du
nt modérée; l'abdomen est souple, non distendu; ce- pendant, dans l'
OBSERVATION
XXVIII, on a noté une dilatation notable de l'h
ance du système dentaire, qui pré- sente, comme on le verra par les
observations
suivantes, des altérations souvent considérable
. Nous avons déjà signalé l'existence de la voracité dans plusieurs
observations
; on va la retrouver encore dans celles qui vont
lleurs un bel exemple de voracité déjà publié par l'un de nous 1.
Observation
XXVII. - En dépit de tous les soins dont il était
ir une mastication et une insalivation suffisantes. Aussi, à part l'
OBSERVATION
VII, toutes les fois qu'on a songé à examiner l
cale, l'a-t-on trouvée imparfaite. Nous avons noté le fait dans nos
observations
de Bicêtre, car il nous est arrivé de retirer l
ir. Presque tous ceux que l'on a pu constater sont consignés dans l'
observation
suivante : DU MÉRYCISME. 37 Observation XXV
r sont consignés dans l'observation suivante : DU MÉRYCISME. 37
Observation
XXVIII. - Démence épileptique. - Mérycisme ; vora
ait précédent, se trouve déjà tracé à grandes lignes dans une autre
observation
que nous 40 DU MÉRYCISME. jugeons utile de ra
de rapporter avant d'aller plus loin dans l'étude des symptômes.
Observation
XXIX. - Idiotie; mérycisme. - Voracité; pas d'in-
se passer une fois que les aliments sont revenus dans la bouche. L'
observation
suivante nous donnera, à ce sujet, de nombreux
n suivante nous donnera, à ce sujet, de nombreux renseignements :
Observation
XXX. -Idiotie : hérédité (grand'mère, grand' tant
lus présenté aucune modification. Sans insister à propos de cette
observation
sur les caractères particuliers de l'idiotie, l
e l'acte lui-même. La plupart de ces faits se retrouvent dans les
observations
précédentes, ainsi que dans celle que nous allons
ions précédentes, ainsi que dans celle que nous allons rapporter.
Observation
XXXI. - Idiotie; épilepsie. Mérycisme; voracité.-
lecteur l'a sans doute remarqué, nous continuons à donner dans nos
observations
la description dis accès, afin d'arriver bientôt
nos recherches ne concorde pas avec ce que nous trouvons dans les
Observations
VI, vis, XVII où il est dit que les aliments re-
e le plaisir qui l'accompagne. Ce point est signalé dans toutes nos
observations
, sauf une seule. (OBs. XII.) Il est encore une
lé, d'un autre côté, des faits de mérycisme partiel, par exemple, l'
OBSERvATION
VII, où le viu, la bière, le cidre, le jus des
iquides sans qu'il soit besoin de les prendre en grande quantité.
Observation
XXXII. - Idiotie, épilepsie. - Tics, tournoiement
e 110 gr., et rendant bien compte de la paralysie du côté gauche.
Observation
XXVIII.- Idiotie complète par arrêt de développem
enseignements anatomo-pathologiques que nous pouvons déduire de ces
observations
, ils nous apprennent seulement que l'appareil d
cit., p. 112). Nous en extrayons le passage qui nous intéresse :
Observation
RX\IV.- Idiotie : premiers indices de l'absence d
ut que le mérycisme ne reparaisse pas après la maladie comme dans l'
observation
de Cliq ? mais nous ferons remarquer, à ce prop
e : le coït. (Oss. XIII, XIV.) Enfin, nous citerons trois nouvelles
observations
dans les- quelles le mérycisme disparut spontan
ervations dans les- quelles le mérycisme disparut spontanément 1.
Observation
XXXV. Imbécillité. - Mérycisme héréditaire. - D
e d'épilepsie à la suite de laquelle le mérycisme n'a pas reparu.
Observation
XXXVI. - Catarrhe tastz·o-intcstin«l chronique da
accès de dscn- 1 Nous ferons remarquer que, dans les deux dernières
observations
du mémoire de NI. Koerner, les malades sont sai
ommuniqué à M. Koerner par le DrLucae (de Francfort-sur-le-Mein).
Observation
XXXVII. -- Début du mérycisme à trente ans. - Ses
r devant l'enfant Gren... et de ruminer comme lui. II. Nouvelle
Observation
d'Hystéro-épilepsie chez un jeune garçon; guéri
e plus, les recueils périodiques ont enregistré un certain nombre d'
observations
curieuses à plus d'un titre. Personnellement, n
iers à établir, entre l'hystérie de la femme et celle de l'homme.
Observation
. Père alcoolique. Deux soeurs mortes de convul-
diotie, qui, dans ce cas, était compliquée d'épilepsie partielle.
Observation
. - Grand-père et grand'mère paternels paralysés
ie consécutive à l'hydrocéphalie ; Par BOURNEVILLE et LEFLAIVE. L'
observation
que nous allons rapporter présente un in- térêt
éphalie dont plusieurs cas ont été déjà publiés par l'un de nous.
Observation
. Père et grand'mère paternels alcooli- ques. Mè
e hauteur, sur cinq millimètres de largeur et deux d'épaisseur. L'
observation
que nous venons de relater avec détails nous pa
gnaient; il gazouillait et souriait. Si l'on en jugeait par cette
observation
, l'hydrocéphalie retarderait la dentition, puia
x oreilles jloc. cit., p. 157). Plus loin (p. 162) ils rapportent l'
observation
d'un autre enfant dont la circonférence de la t
que nous allons rapporter appartient à cette dernière catégorie.
Observation
. Père absinthique, suicidé par pendai- son. Gra
LEXIONS. - Quelques points intéressants sont à rele- ver dans cette
observation
. I. La dysenterie chronique, survenant d'emblée
ns dans un prochain Compta rendu et nous les rapprocherons do cette
observation
. (nOUI\HVILLE), BOURN. 1883. a 0 146 ATROPHIE
prix du volume, 20 fr. - 31 volume complet : 1" livraison, nouvelle
observation
d'hystéro-épilepsie ; 2* livraison, variétés de
volontaires, sans nul rapport avec l'état cénesthésique du sujet.
Observation
VIII. Dégénérescence mentale. Alternatives d'exci
ses les plus légères ou même sans cause déterminante appréciable.
Observation
IX. Dégénérescence mentale. Hallucinations à sept
HOLOGIE MENTALE. contraire, pendant les périodes de repos. Dans l'
observation
suivante, aux rires et aux pleurs irré- sistibl
à la coprolalie, viennent s'ajouter des dis- cours involontaires.
Observation
X. Dégénérescence mentale. Déséquilibration de to
co-Mye/M ? 7° série, t. II, 1885, p. 235.) DE L'ONOMATOMANIE. 7 L'
observation
suivante présente également de nom- breux syndr
ssi l'agoraphobie qui se montre plus rarement avec ces syndromes.
Observation
XI. Dégénérescence mentale, scrupules maladifs dè
qu'elle se voyait forcée de les projeter à haute voix au dehors.
Observation
XII. -Dégénérescence mentale. Hallucinations. Tro
représentation visuelle surgit avec la représentation olfactive.
Observation
XIII.- Dégénérescence mentale. Délire polymorphe
me devant le canon d'un fusil je ne pourrai pas retenir le mot. »
Observation
XIV. Dégénérescence mentale. Hallucinations bilat
seul syndrome à base d'obsession et d'impulsion, la coprolalie.
Observation
XV. Dégénérescence mentale. Perversions morales.
ots grossiers qu'il lui est impossible de retenir. Dans la dernière
observation
de ce groupe, nous trouvons réunis, le délire h
délire hypochondriaque, la folie du doute et l'onomatomanie. 1
Observation
XVI. Dégénérescence mentale. Scrupules. Préoccupa
estrade; elles demandent toujours, quand elles sont possibles; une
observation
morale attentive longtemps prolongée dans le ca
. Vous savez par exemple qu'il est parfois diffi- cile de prendre l'
observation
d'une hystérique parce que ses récits sont sans
té soignée, etc. ; mais le lendemain 'quand il s'apprêtait à lire l'
observation
à M. Charcot, la malade amenée devant le médeci
emblent ne 1 Voir dans \' Automatisme psychologique, 1889, p. 93, l'
observation
do la malade décrite sous le nom de Rosé. , l
gine hystérique. (Revue de médecine, 10 février 1892, p. 81.) 3 Une
observation
très curieuse de DI\l. J. Séglas et P. Sollier no
, je crois, assez souvent signalés. Je vous rappellerai sur- tout l'
observation
extraordinaire de Louis V à laquelle de nombreu
ette sensibilité. Ainsi une malade dont j'ai rapporté autre- fois l'
observation
, était atteinte d'une dyschromatopsie com- plèt
en note sans insister. Voir Auto- matisme psychologique, p. 104, l'
observation
d'une hystérique absolument conforme à cette de
rice, douleur persistante, trouble de la parole, etc. En lisant les
observations
favorables, les seules qui sont en général publ
urgie qui ont récemment paru en 56 I RECUEIL DE FAITS. France'. L'
observation
que nous publions ici tend à confir- mer ce fai
la démen ce doivent figurer sur la liste des contre-indications.
Observation
. Le nommé Ser... (Alexandre), âgé de vingt-trois
par le service militaire, il est réformé après quelques semaines d'
observation
. Rentré dans sa famille, il ne peut plus trouve
ans American Journal of haanily, années 1886 et 1887, de nombreuses
observations
publiées par les docteurs Flechter et Sel- den,
toujours dans la même maison ; sa vie est sobre, régulière. Cette
observation
n'a pas besoin de longs commentaires. Nous l'av
t de vue le terme d'automatisme que nous avons inscrit en tête de l'
observation
est-il sujet à critiques, mais nous l'avons fai
ANI. (Riv. sp. di fren., t. XVII, fasc. m.) L'auteur rapporte une
observation
très circonstanciée et des plus intéressantes.
ur donne même l'intensité des perceptions réelles. J. Séglas. II.
Observation
DE FOLIE A deux ; par M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journ
ES avec obsessions ; par Klinke. (Jah1'lJlCch. f. Psych., IX, 3.)
Observation
de la malade prise par elle-même. C'est une insti
a paranoïa c'est qu'il y a un élément combiné de neurasthénie. Neuf
observations
à l'appui. P. KÉRAvAL. VI. Du pronostic DE la m
RMAYER. (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 1.) - , Etudiant les quatorze
observations
de folie chez les jumeaux qui existent dans la
ni imitation. Peu importe encore une fois la simultanéité. Suit une
observation
de folie induite chez des jumeaux ayant revêtu
buch. f. Psychiat., X, 1.) Mémoire surtout remarquable par cette
observation
. H..., âgé de trente-huit ans, indemne de tare
ôt l'activité mentale s'affai- blit dans tous ses modes. P. K. X.
Observation
DE KARL HERMANN. (Jahrbuch. f. Psychiat., X, 1.
NC1'1'enheilk., NE., II, 1891.) . Après une revue, l'auteur donne l'
observation
de deux frères indemnes d'hérédité, malade*, l'
par constitution anormale du cerveau des deux frères. Suivent deux
observations
ne présentant rien de particulier. P. K. XIII.
I. CONTRIBUTION A l'étude DES TROUBLES DE la LECTURE basée sur une
OBSERVATION
DE dyslexie; par S. Weissenberg. (Arch.f.Psych.,
VATION DE dyslexie; par S. Weissenberg. (Arch.f.Psych., XXII, 2.)
Observation
analogue à celles de Berlin, accompagnée d'autop-
lésion extrêmement fine pour la supprimer. Revue con- firmative des
observations
existant dans la science (dix) dont huit avec a
été publiés dans les comptes rendus sani- taires de 1881-1882; huit
observations
, dans ceux de 1884-1888. Un seul malade a guéri
myélite antérieure consécutif A l'influenza (issue mortelle), autre
observation
semblable, DE cause inconnue, terminée par la GUÉ
ë, mort en quelques jours; polioen- céphalite suraiguë de Wernicke (
observation
deNernicke, Thomson, Handel) par alcoolisme, in
sulfurique et diphthérie : morts. 2° Les faits à évolution aiguë (
observations
de Guyet, Knapp, Uhthoff) par traumatisme, into
rième ventricule et sur les cornes grises antérieures de la moelle (
observations
de Goldtlam et Eisenloh). 4° Les faits à évol
aladies du système nerveux central, sur la poliomyélite antérieure (
observation
de Sceligmulkes), sur le tabes, la sclérose en
d'aphasie SEN- SORIELLE ; par ADLER. (Neurol. Centralbl., 1891.)
Observation
d'aphasie sensorielle subcorticale et transcortic
AMYOCLONUS MULTIPLE; par E.-A. HOMEN. (Neurol. Centralbl., 1891.)
Observation
sui generis offrant quelque parenté avec le tic c
du sens lumineux qui disparaità sou tour (cécité totale). , Deux
observations
intéressantes. La première comporte ces trois e
décerner en 1893 est le suivant : De la vision chez les idiots.-
Observation
de tumeur cérébrale. M. CHRISTIAN communique à
ation de tumeur cérébrale. M. CHRISTIAN communique à à la Société l'
observation
d'un malade qu'il a suivi pendant cinq ou six a
ciété. M. CHARPENTIER. M. Christian vient dé nous communiquer une
observation
à laquelle manquaient les pièces anatomiques : ce
connus. J'ajouterai que, conformément à la théorie infectieuse, mes
observations
révèlent l'existence constante de la fièvre.. Si
ffet que tous les cas de chorée ne sont pas bénins. Je possède cinq
observations
dans lesquelles, il se produisit un complexus f
uite, tous les hôpitaux devraient comprendre un bâtiment propre à l'
observation
et au traitement des affections nerveuses, qui
SOCIÉTÉS SAVANTES. 101 Discussion : M. Cramer. Les deux dernières
observations
signa- lées par l'orateur sont distinctes de la
. vient assez souvent chez les paralytiques généraux. M. MOEM. L'
observation
de M. Koenig n'est sûrement point de l'aphasie
de troubles de la parole; -2° A mesure que s'enrichit le matériel d'
observations
, le nombre des centres et des fibres conductric
d'aphasie. Evidemment, il en a imaginé de nouveaux à l'appui de son
observation
, mais sont-ils exacts ? En second lieu, ce sera
qu'il s'agissait simple- ment de vésanies aiguës dans quinze de ces
observations
. M. Forel croit que ces malades étaient hystéri
cas, comme l'indique l'auteur, le traitement de l'asile suffit. Les
observations
8, 9, 10 concernent des hystériques adonnées à
éter quant à l'aliénation mentale, qu'abstraction faite de quelques
observations
isolées de mélancolie simple, l'immense majorit
MOSCOU. Séance du 20 Stptembre 1891. 1. M. le Dr DanacaEmTCU. Une
observation
de poliomyélite chro- nique. - Le malade a quar
intactes dans les cornes antérieures. Le rapporteur considère son
observation
comme une poliomyé- lite chronique et insiste s
Discussion : M. le Dr Rorn trouve une certaine analogie entre cette
observation
et les cas d'Oppenheim et de Nonne. Il est pos-
rmeront un groupe morbide à part 128 sociétés savantes. quand les
observations
seront recueillies en plus grand nombre et quan
lis et le tabès. La nouvelle statistique de l'auteur comprenant ses
observations
des dernières années vient à l'appui des appréc
a discussion en analysant certains des symptômes cliniques de cette
observation
et les indi- cations thérapeutiques de l'opérat
te maladie. A propos de celte malade, le rapporteur cite encore une
observation
personnelle du même genre. Il s'agissait d'un h
uelques exemples de gué- rison ; que West, en 1842, a rassemblé les
observations
de cinquante malades chez lesquels on avait pra
le travail dans lequel il dé- montre en s'appuyant sur près de cent
observations
que c'est aux anévrysmes miliaires qu'est due l
du type morbide exposé par M. Marie, et à ce propos le compare aux
observations
parues depuis la thèse de M. Souza-Leite, qui e
x autres cas de M. Guliac et de M. Claus sont à rapprocher de cette
observation
. , L'examen anatomique de la malade a été fait
déformations observées. ' Cette thèse, quoique ne renfermant qu'une
observation
, est fort intéressante en raison d'abord des ph
l'expérience produise un bon clinicien, il faut que la science de l'
observation
soit méthodique- ment développée, et qu'au cent
'observation soit méthodique- ment développée, et qu'au centre de l'
observation
(empirisme ra- tionnel) le clinicien sache mett
nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoires, notes et
observations
des années scolaires 1889-90 et 1890-91, publié
se demander : « Mais, si c'était vrai ? » 164 pathologie mentale.
Observation
Vil- Doutedèsquatorzealts; répétition des prières
par des moyens analogues et Legrand du Saulle, parmi les nombreuses
observations
réunies dans son mémoire sur la folie du doute
tantôt en chantant la Marseillaise ou des chansons de Béranger. -
Observation
XIX. - Dégénérescence mentale : dès l'âge de quin
nt parfois si pénibles qu'elles font naître des idées de suicide.
Observation
XX. - Mère dégénérée, syndromique. Mme D..., désé
eculer ou de remonter un escalier dès qu'un mot mauvais l'obsède.
Observation
Y\I. Dégénérescence mentale. Soif dominicale des
qui ne consentaient à boire aux repas que le dimanche seulement.
Observation
XXII. Dégénérescence mentale; folie du doute; im-
ladies mentales. Paris, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOGIE MENTALE.
Observation
XXIII. - Dégénérescence mentale. Onontatonzanie :
r de nouveau (crises subin- 12,antes)- Barry dit, à propos de son
observation
personnelle, qu'en couvrant les yeux de ses mai
e l'accès d'amblyopie et le syndrome migraineux. , ' A ce propos, l'
observation
rapportée par M. Galézowski dans son ouvrage de
ommune l'laémia-' nopsie totale est plus fréquente. Les premières
observations
d'hémiopie fugace sont trois cas rapportés par
issertation latine à Wit- temberg. Plus tard nous trouvons les deux
observations
de Wollaston et d'Arago (1824). Il y a des ca
tillement, néanmoins, dépasse très' souvent la ligne médiane. Une
observation
intéressante d'amblyopie transitoire à forme d'
opie transitoire latérale monoculaire semble bien rare, d'après les
observations
publiées. Encore plus rares sont les cas enregi
ssait la moitié inférieure ou supérieure du champ visuel. Une seule
observation
(de Charcot, relaté par Féré) démontrerait la p
de rétrécissement concentrique soudain du champ visuel. Je dois l'
observation
à M. Parinaud, et je m'empresse de le remercier
ent normalement. Pas de troubles des muscles oculaires. Une autre
observation
, que je n'ai pas pu recueillir directe- ment et
ire peut gagner le point de fixation et atteindre, comme dans notre
observation
ci-dessus, tout entier le champ visuel. Les cas
scotôme central, monoculaire ou binoculaire, transitoire. Parmi les
observations
de ce genre, il nous semble utile de résumer ce
obligé de le regarder de côté. » ¡ . Nous pouvons rattacher cette
observation
à la forme de, l'amblyopie transitoire. '213
dans le sens de la longueur. Ce qui est encore intéressant, dans l'
observation
de Parry, c'est que le scintillement paraissait
t un objet avec un seul oeil ou avec les deux ensemble. . L'autre
observation
, de Hilbert se rattache aussi au scotôme scinti
èce d'apraxie qu'éprouvait la malade dont nous venons de donner l'
observation
(p. 210) : elle ne se rendait pas tout de suite
s de la surdité verbale, de l'alexie ou d'agraphie ; comme dans une
observation
de Charcot, rapportée par Féré (24), et dans qu
e observation de Charcot, rapportée par Féré (24), et dans quelques
observations
de Raullet (30 et 31). Les cas dans lesquels le
côté, peuvent s'étendre à l'autre, comme le montre une intéressante
observation
de Charcot, relatée par Féré ; mais ils prédomi
Charcot présenta à ses Leçons du Mardi un malade, qui avec d'autres
observations
a fait plus tard le sujet de l'inté- ressant mé
ontré. Dans une thèse récente de M. Fink (S3) on trouve réunies les
observations
non interprétées, antérieures aux cas rapportés
es aux cas rapportés par MM. Charcot et Babinski, et deux nouvelles
observations
qui confirment , davantage les rapports dont no
comme la limitation concentrique du champ visuel. Parmi les treize
observations
relatées (Babinski et Finck), de migraine ophta
e l'amblyopie transitoire est notée : mais dans trois de ces quatre
observations
, l'oeil, examiné après l'attaque ne présentait
e* Paris, 1890. l'amblyopie transitoire. 219 . Cette dernière
observation
démontrerait et il serait très intéressant de l
elle ou petit mal, qu'avec la véritable épilepsie ou grand mal. Une
observation
de Jackson démontra que l'amaurose passagère, s
ces rapports ont été mis en évidence, plus tard, surtout par les
observations
de Charcot et Féré. Ces observations nous perme
, plus tard, surtout par les observations de Charcot et Féré. Ces
observations
nous permettent d'affirmer, que le plus - souve
amblyopie transitoire avec les atta- ques convulsives. Une de ces
observations
, dans laquelle une simple migraine périodique a
ement et de l'âge) le scotôme scintil- lant se déclara. Parmi les
observations
de Féré et de Raullet, il y en a de très intére
la nature épileptique du trouble visuel nous parait évidente dans l'
observation
qui suit. Nous la devons encore à M. Parinaud,
e (amblyopie transitoire et le tabès se- , raient démontrés par une
observation
de Féré, où les phéno- mènes tabétiques se décl
sive. a). Ces rapports sont signalés pour la première fois dans une
observation
de M. Parinaud (33). Pour les mettre bien en lu
les mettre bien en lumière, nous nous servirons surtout de quelques
observations
cliniques, la plupart inédites, recueillies à l
sont justement les troubles de la vue qui nous occupent, et que les
observations
suivantes vont démontrer'. Observation 1. - M
nous occupent, et que les observations suivantes vont démontrer'.
Observation
1. - Migraine ophtalmique, accès d'épilepsie part
mme il sait que c'est le signe précurseur de l'accès, 1 Je dois ces
observations
de la Salpêtrière à la grande obligeance de M.
ujours faiblesse et trouble de la vue dans l'oeil gauche. ' ' i
Observation
Il. Scotôme scintillant rudimentaire et migraines
e, d'autres fois sans aucun rapport avec la crise épileptique. '.
OBSERVATION
. 111. Epdepsie partielle anormale et migraine '
- pagnent jamais, et ne les précèdent pas immédiatement non plus.
Observation
IV. Epilepsie partielle typique, suivie d'épileps
n de flammes fugitives ou de cercles de feu devant les deux yeux.
Observation
V. Migraine ophtalmique et épilepsie partielle.
isparaît bientôt et elle est tout à fait bien, comme d'ordinaire.
Observation
VI. Amblyopie temporaire simple, Epilepsie part
rs années, les accès d'épilepsie par- tielle. Cependant, quelques
observations
démontrent que l'amblyo- pie transitoire peut c
tielle, et que les deux sortes de crises peuvent s'alterner. Dans l'
Observation
V ci-dessus, la. malade, qui héritait du tempér
, de l'éco2,ce visuelle vers l'écorce motrice. b). 11 résulte des
observations
de M. Charcot que l'épilepsie sensitive (accomp
ain nombre de cas publiés jusqu'à présent, et entre autres par deux
observations
cliniques très démonstratives deM.Lemos(47).Dan
emos(47).Dans la seconde l'amblyopie transitoire. 229 de ces deux
observations
, le sujet avait été migraineux dans sa jeunesse
n seulement il y a trente ans, alors que Broca réunissait ses vingt
observations
célèbres, mais encore de nos jours où certains
oniser une localisation rivale, le lobule de l'insula. Certes une
observation
semblable à celle qu'on va lire eût été mieux à
ares. Bernard ne cite comme telles dans sa thèse 2, avec la seconde
observation
de Broca, que celles de MM. Jaccoud et Dieulafo
t moins pur que le nôtre, car M. Bourneville qui publie en détail l'
observation
dans le Progrès médical3 signale un autre foyer
te de la scissure de Sylvius) foyer de 2 centimètres de longueur.
Observation
. Cardiopathie rhumatismale. Embolie cérébrale.
remarque a trait à la coïncidence de la cécité verbale notée dans l'
observation
. Notre malade, en effet, au-' rait d'abord été
n de facteurs divers. Qui pourrait nous dire, en effet, à quelles
observations
ou expé- rimentations particulières nous sommes
inextricable labyrinthe des maladies cérébrales, au milieu duquel l'
observation
clinique, aban- donnée à ses propres forces, ét
comme guéris beaucoup de cas qui depuis n'ont pas été soumis à une
observation
chirurgicale ultérieure : Les cas dans lesquels
SIOLOGIE pathologiques. l'hypoglose avec atrophie, soit complète (2
observations
), soit par- tielle (1 observation) de la racine
avec atrophie, soit complète (2 observations), soit par- tielle (1
observation
) de la racine du nerf en question; - 2° atro- p
yau postérieur du pneumo-gastrique; 3° atro- phie, soit évidente (1
observation
), soit faible (2 observations) du noyau du faci
rique; 3° atro- phie, soit évidente (1 observation), soit faible (2
observations
) du noyau du facial (indemne, dans la troisième
ble (2 observations) du noyau du facial (indemne, dans la troisième
observation
). Le ra- meau d'émergence présentait une atroph
hie complète ; - 40 atrophie faible du noyau moteur du trijumeau (1
observation
), intégrité dans les trois observations du noya
noyau moteur du trijumeau (1 observation), intégrité dans les trois
observations
du noyau du glosso-pharygien, de l'oculomoteur
enfin, la cellule en- tière se ratatine ou disparaît. P. IC. VII.
Observation
SUR la subordination DES dégénérescences des nerf
la description tout entière fait, avec les figures, l'intérêt de l'
observation
. P. K. XVI. Contribution A l'étude DE la névrit
par M. 13Rnsca. (Neurol. Centralbl., 1891.) Fait se rapprochant des
observations
de Korsakow. Hyperexcré- tion anormale d'urobil
RIQUES; par ST. MARKOWSKI. (Archiv f. Psychiat.,XXlII, 2.) De notre
observation
personnelle, dit l'auteur, il résulte que : 1°
olis ; par H, KURELLA (Centralbl f. Nervenheilk, N. F. II, 1891.)
Observation
montrant qu'une contracture du sterno-cléïdo-mas-
te affection se produit chez des enfants de douze à seize ans (cinq
observations
). Elle ressemble à la paralysie infantile d'ori-
e saurait être question de gommes, exostoses, etc... Quatre petites
observations
. Nec plura. P. K. 276 REVUE DE pathologie NER
centrale ; par A. Groenouw^ (Archiv f. Psychiat., XXIII, 2.) Une
observation
personnelle. Etude critique des observations des
ychiat., XXIII, 2.) Une observation personnelle. Etude critique des
observations
des auteurs. Analyse extrêmement bien faite.
avail d'Unger, il y en a sept REVUE DE pathologie NERVEUSE. 277 Î
observations
dont six par infection. Chez l'enfant, la diphtér
paralytiques généraux, elle est de 57 p. 100. Voici maintenant deux
observations
prises avec le plus grand soin, analysées indiv
ous laissons de côté la paralysie générale, nous rencontrons sur 32
observations
personnelles 14 cas de perturbation intellectuell
apparente hysté- rique ; 2° historique; 3° caractères d'après cinq
observations
person- nelles. 280 . SOCIÉTÉS SAVANTES. -
tière qu'un petit nombre de travaux dus à Cotardi, à M. Séglas, des
observations
isolées (thèse de M. Journiac), si bien que la
de cette manière de voir, M. Camuset rapporte très succinctement 28
observations
de malades ayant présenté des idées de négation :
souvent curables; 5° il est à remarquer que la grande majorité des
observations
recueillies jusqu'à présent ont trait à des fem
chez l'homme; il est aussi à remarquer que dans presque toutes les
observations
que nous avons pu réunir, quand les antécédents
élire des négations n'en existe pas moins d'une façon certaine. Les
observations
de Cotard et celles de AI. Séglas ne peuvent la
r. En voici une absolu- ment typique. M. Régis communique ici une
observation
de mélancolie anxieuse intermittente, avec déli
s délires polymorphes des faibles d'esprit, ainsi que le prouve une
observation
que lit M. Sé- glas. Aussi, pour trancher le di
on trouve en mème temps des phénomènes assez analogues, à ceux de l'
observation
précédente, telles que les hallucinations kines-
guérir plutôt que les autres. M. PICHEN01' (d'Auxerre) rapporte une
observation
d'un cas de mélancolie anxieuse avec délire des
t nullement contradictoires des précédents. M. ROUUY (de Dôle). Mes
observations
personnelles me portent à considérer le délire
ne cor. 294 sociétés savantes. .l damnation pour avoir publié une
observation
en taisant le nom de la malade, reconnaissable
aux détails donnés sur son histoire pathologique. Or la plupart des
observations
cliniques, pour être complète», utiles, comport
tenable. Quelle sera donc la méthode à suivre dans la rédaction des
observations
médicales pour sauvegarder à la fois les intérê
à l'administration, ou transportant dans le public des journaux des
observations
, des faits de leçons cliniques destinées au seu
duire comme s'il existait. M. Gtn : un (de Rouen) présente quelques
observations
au rapport présenté au Congrès, qu'il résume da
samment la tutelle dont il était chargé. M. DouTREBENTE. Pour les
observations
, on ne doit noter que les détails absolument né
lu dans toutes les circonstances où la loi l'y oblige. A propos des
observations
, on peut ainsi résumer les obligations du médec
de qui cette démarche sème le doute et sauve la situation. Dans les
observations
, on doit dénaturer les noms, les prénoms... pou
e de ce même terrain psychopathique, signalé par M. Ballet dans ses
observations
. D'abord la malade était une émotive au plus ha
aliénés, dégénérés héréditaires. M. JOI'FROY (de Paris) rapporte l'
observation
d'une malade syphi- litique atteinte de paralys
lules nerveuses. Cette conclusion s'impose d'autant plus que dans l'
observation
annexée les cordons latéraux sont restés absolu
t été atteint d'une pseudo- paralysie saturnine. Presque toutes les
observations
publiées sous le nom de pseudo-paralysie saturn
publiées sous le nom de pseudo-paralysie saturnine ne sont que des
observations
incomplètes, une page de l'histoire d'un malade
dérer comme l'expression d'un diagnostic p;-ovisoi-e. M. Mégis. L'
observation
de M. Vallon n'est pas une observa- 316 SOCIÉTÉ
, le plus souvent,.on aurait obtenu les mêmes résultats. Beaucoup d'
observations
d'idiots cra- niectomisés sont insuffisantes; i
illée comparée à la précédente. M. PROUST (de Blois) rapporte trois
observations
, la première est celle d'un homme de cinquante-
ifférents et suivis chaque fois du rejet des aliments. La troisième
observation
est celle d'une femme atteinte de cancer du pylor
e des épilepsies tardives, encore mal connues aujourd'hui et dont l'
observation
de M. Proust serait peut-être un exemple. J. SL
). - Présidence de M. 13oUCIIEREAU. M. J. SÉGLAS (de Paris) lit une
observation
sur un cas d'hystérie avec automatisme dans la
confusion mentale primitive. M. Chaslin rapporte dans ce travail, l'
observation
d'un malade du ser- vice de M. Deny, à Bicêtre.
ge des eaux sur le sommet du plateau. M. PIERRE (de Lyon) lit une
observation
de méningo-encéphalite infectieuse avec hypothe
temps un état passager de dépression. M. Marie (d'Évreux) lit une
observation
d'une femme aliénée hys- térique, anorexique, q
il débute par un historique de la question où sont consi- gnées les
observations
françaises et en tête celles de notre ami le pro-
'époque où elle est com- plète ; c'est là, soit dit en passant, une
observation
que les médecins devraient leur conseiller. Int
minime importance pour la chirurgie moderne ! III. La plupart des
observations
dont nous avons donné la traduction laissent be
intenant la suite, non plus opératoire mais thérapeutique, de leurs
observations
, en nous indiquant également la nature des soin
nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoires, notes et
observations
des années scolaires 1889-90 et 1890-91, publié
le patient, honteux, désolé, mais angoissé, est forcé d'obéir.
Observation
XXIV. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique.
u caractère maladif de ces obsessions et de ces impul- sions. '
Observation
XXV. Dégénérescence mentale. Folie du doute. Ono-
qui s'impose tyranniquement comme. agent préservateur : , , . t
Observation
XXVI. Dégénérescence mentale. Onomatomanie ; .,
mot pré- servateur pour conjurer l'influence funeste du premier.
Observation
XXVII. Dégénérescence mentale. Onomatomanie : .'
ositions maladives les plus pénibles. - 376 pathologie mentale.
Observation
XXVIII. Dégénérescence mentale. Crainte de la fou
études de peinture pour lesquelles il a beaucoup de dispositions.
Observation
XXIX. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique;
mière (chien), elle se sent soulagée et se calme immédiatement. -
Observation
XXX. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique.
attribuées aux mots et aux différents bruits perçus et déglutis.
Observation
XXXI. - Dégénérescence mentale. Mélancolie suicid
gée de fermer les yeux et de se blottir dans un coin. ' ' ' Cette
observation
est une des plus instructives au point de vue d
jet si intéressant une mo- deste contribution, en exposant quelques
observations
que nous avons eu l'occasion d'étudier en fréqu
randes difficultés que présentait, croyons-nous, le diagnostic. Ces
observations
concernent : a). Quatre cas d'hystérie à forme
qui n'appar- tiennent pas généralement à l'hémiplégie hystérique.
Observation
I. Hystérie il forme d'épilepsie partielle sensit
ai, 1-0 Gi... a été soumise à l'électricité statique. Diagnostic. L'
observation
de ce cas nous paraît extrême- ment intéressant
té ; elle peut être provoquée par l'hystérie, comme le prouvent les
observations
de Fulton, de Zaufall et de Rizu 2. La guéris
l'étude de l'épilepsie Jaclisonienne. (Arch. sur Psichialrie, XXI.
Observation
première.) ' V. Charcot. Epilepsie partielle cr
autorisé à maintenir dans ce cas le diagnostic d'hystérie. Cette
observation
nous démontre combien M. Charcot est dans le vr
, tandis que, associées, elles acquièrent t la valeur d'une idée.
Observation
II. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motric
(Leçons du Mardi, 1889, p. 422) ont dé- montré, en se basant sur 74
observations
d'épileptiques, que le rétrécissement suit immé
ui était basé sur l'étiologie et sur l'évo- lution de la maladie.
OBSERVATION
III. - Hystérie à forme d'épilepsie partielle cru
e l'application de l'aimant. Un autre exemple nous est fourni par l'
observation
de Gibier de Savigny '. Un homme de vingt-huit
'interprétation au delà des limites qui nous sont assi- gnées par l'
observation
rigoureuse des faits. Il nous suffit d'avoir fa
mars 1891. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 417
Observation
IV. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motric
s scotômes hémianopiques sont symé- triques : et, puisque plusieurs
observations
(par exemple, celle rapportée par M. Javal, ou
de ramollissement dans le lobe occipital droit; analogues sont les
observations
de Jowen, Monakow, Tamburini et Ruva. Enfin, pu
yopie transitoire à forme hémiopique ne se rapporte pas ' Parmi les
observations
intéressantes de scolôme central transitoire, a
colôme central transitoire, accompagné de scintillement, citons les
observations
XVI et XXIII de la thèse de Raullet (31). l'a
ons dans les centres visuels de l'écorce, d'accord en cela avec les
observations
de Samelsohn, de Brandenburg et de Gowers'; et
té verbale ou surdité verbale ou d'autres troubles analogues. Une
observation
de Charcot (rapportée par Féré) et quelques aut
le lobe occipital. ' En effet, il semble, d'après les nombreuses
observations
, que les troubles de la parole accompagnant l'a
, avec ou sans scintillement) intéressent, d'après les nom- breuses
observations
enregistrées, le côté droit du champ visuel.
ela prouverait, d'accord avec les troubles de la parole et avec les
observations
d'épilepsie sensitivo-sensorielle accom- pagnés
te d'un choc psychique était d'origine corticale. L'examen d'autres
observations
encore (par exemple les particularités de celle
ie supérieure ou inférieure du champ visuel. L'examen attentif de l'
observation
de Baralt, par exemple, qui pourrait tout d'abo
'hémiamblyopie verticale, confirme notre idée. Pour quelques autres
observations
, où l'hémianopsie ver- ticale semblait complète
ut les centres optiques et les diverses localisations du langage. L'
observation
de Babinski, dans laquelle chez une hystérique
sitoire remplace les crises d'épi- lepsie partielle, comme dans mon
observation
à la page 10, c'est que le trouble cortical a c
l'artère temporale, la carotide, les vaisseaux du fond de l'oeil. L'
observation
de Hilbert est pour cela bien démonstrative ;
ivement, compromise. C'est comme cela que l'on pourrait justifier l'
observation
de M. Galézowski, montrant une thrombose de l'a
survenue à la suite d'accès répétés de migraine ophtalmique. Une
observation
qui m'a été verbalement communiquée par M. Char
amp visuel de chaque oeil. D'autres exemples encore fournissent les
observations
de Trousseau, G. Sée, Swanzy ' et Fitzgérald 2,
les cas d'amaurose temporaire complète bilatérale. 1 1 Cette même
observation
de Parry démontre bien la nature accessoire (ép
photesthésie colorée. - L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 439 (voir notre
observation
, p. 26 bis), ou les cas rares de restric- tion
estric- tion concentrique brusque du champ visuel, comme dans nos
observations
, pages ,10 et 12. En effet, il nous semble just
r ces derniers cas comme une hémiopie double, et de les rattacher l'
observation
très intéressante de Forster '. Même l'explicat
poraire, totale ou partielle, est en accord avec quelques autres
observations
cliniques mises de côté comme non expliquées pa
ues mises de côté comme non expliquées par Charcot même 9, avec les
observations
de Gowers (hémi- anopsie fugace du côté hémiplé
du sympathique (du Bois-Reymond) serait bien démontrée par quelques
observations
, comme celle d'Hilbert, résumée ici, et par l'a
e double, amaurose transitoire bilatérale) et l'examen attentif des
observations
d'amblyopie transitoire liée à l'épi- lepsie se
ous les mois, tous les jours, même plu- sieurs fois par jour (notre
observation
plus haut), tantôt il n'y en a qu'une seule pen
partielle tempo- raire. (Th. de Paris, 1875.) 14. Testelin. Trois
observations
de migraine ophtalmique dans le supplément au t
té des maladies des yeux de Mackenzie, 1876. 15. Listing et Ruette.
Observations
de migraine ophtalmique. (lilinische monatsbl.,
age au{ der gesammte gebiete der augenheilk, 1881. 23. P. Bert. -
Observations
sur le siège du scotôme scintillant. . (Société
s de ce genre pen- dant les attaques d'hystérie. C'est là un fait d'
observation
dans lequel l'expérimentation n'entre pour rien
u du Congrès (1890, p. 55) le résumé très incomplet de cette petite
observation
a été publié sous le nom de M. Ballet. M. Balle
sans doute heureux que je le décharge de la responsabilité de cette
observation
qui pèse indûment sur lui. Sans étu- dier ici c
suggestibles. Je vous com- munique avec naïveté le résultat de mes
observations
. Souvent, je le sais bien, elles ne sont pas su
hypnotiques. (Leçons sur l'hys- térie, 1891, II, 166.) * Voir une
observation
complète de ce phénomène. Aut. psych., 178. LA
x de P,tris, médecin-adjoint de l'hôpital de Mustapha. Bien que les
observations
d'hystérie simulant la sclérose en plaques ne s
atre ans ; mutisme, amaurose, hémiplégie, tremblement intentionnel (
observation
recueillie dans le service de AI. le professeur G
umatique ne diffère guère de l'hystérie banale. Relevons dans notre
observation
la coexistence du mutisme et du délire des pers
énéral, à une théorie plus juste de la criminalité. R. M. C. III.
Observations
DE FOLIE incendiaire, avec commentaires; par -
naler les chances de contagion mentale dans son entourage, dont les
observations
de folie communiquée offrent de beaux exemples.
a un coup de revolver sur le policeman chargé de l'arrêter. Cette
observation
, des plus intéressantes au point de vue médico-
mentation du poids. 488 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. De l'ensemble des
observations
, il résulte que le chlorure d'or et de sodium p
BURC6H.1RDT. (Allg. Zeitsch¡'. f.Psychiat., t. XLVII, p. 5.) Six
observations
de manie chronique, démence, folie systéma- tiq
connaissance l'évolution du mal. Mieux vaut donc s'en rapporter à l'
observation
directe, aux rensei- gnements fournis par la fa
ation directe, aux rensei- gnements fournis par la famille. Or de l'
observation
ditecte, il appert que c'est par l'alcool, à l'
Bureau d'Admission qui devrait les garder au moins quinze jours en
observation
et ne transférer que ceux dont le délire persis
our qu'on puisse y conserver plus longtemps certains alcooliques en
observation
. M. B. Séance du 25 juillet. Présidence DE M. Ç
rvation. M. B. Séance du 25 juillet. Présidence DE M. ÇnnISTIA1V.
Observation
d'un cas de maladie de tics convulsifs avec mouve
ivait ces mouvements impulsifs. M. Roubinovitch connaît cependant l'
observation
de Railton citée dans la thèse de Catron où- le
. (Publié à part.) Discussion Il. MeNDEL. - Sur les soixante-huit
observations
en question, j'en ai, en commun avec Oppenheim,
ciété de médecine de Berlin, 18 octobre), dont Westplial a publié l'
observation
détaillée (Charité Annalen, t. IV, 1879). Depui
on (au moyen de l'appareil de projection) pour pré- senter quelques
observations
. Ainsi je ne crois pas que les anoma- lies ment
n a rejeté presque complètement la myélite chronique. L'étude des
observations
des malades montre qu'il n'y a que deux maladie
qui correspondent à la notion de la fonc- tion physiologique. Les
observations
communiquées sous^le nom d'affections systéma-
et les sensations corrélatives. Le D'' W. B. Ransom a rapporté une
observation
d'épilepsie jacksonienne et certaines expériences
nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoires, notes et
observations
des années scolaires 1889-90 et 1890-91, publié
RALYSIE BULBAIRE AIGUË CHEZ UNE ENFANT PAR z le Dr J. KOLLARITS
OBSERVATION
. B. F..., âgée de 17 ans,a été admise dans le s
mptômes bulbaires, on n'en trouve pas de semblable à notre cas. Les
observations
de Medin (1) à l'oc- casion d'une épidémie de p
des muscles respiratoires. Le tra- vail de Redlich (3) contient une
observation
concernant un enfant de cinq mois, cet enfant p
rochés du nôtre sont les suivants : La jeune fille de 14 ans dont l'
observation
est publiée par Hoppe- Seyler (4), tomba malade
e, à l'hôpital Saint-Antoine, et nous apportons à ce propos, avec l'
observation
anatomique du parasite lui-même et de la substanc
u traitement de ces localisations larvaires du ténia echinocoque.
Observation
. R.... (Antoine), 69 ans, journalier, reçu sall
ocoques du cerveau rapportés dans la science ne sont pas rares, les
observations
complètes dans lesquelles le diagnostic est aff
Rendtor (1822) cite 22 MONSSEAUX, DE GOTHARD ET RICHE encore des
observations
de tumeurs kystiques, et depuis cette époque les
e des observations de tumeurs kystiques, et depuis cette époque les
observations
se multiplient. Le degré de fréquence des tumeu
agnostic ne semble reposer que sur l'as- pect macroscopique, et les
observations
où la présence du parasite lui- même est signal
en 1875, sous le titre de cysticerque de l'encéphale, rapporte une
observation
dont nous extrayons le passage suivant : « Cette
ons, notamment dans celle de Sevestre, et surtout dans les diverses
observations
publiées par les auteurs, il semble exister des
de cas debotriocépbaleadmis par Kûhn de Saint-Pétersbourg, et d'une
observation
de ténia inerme publiée par MM. Dubreuilh et de
a surface que dans la profondeur. Morgan, a cependant relevé sur 40
observations
complètes, 10 cas de kystes de cette nature dans
alleux, 1 dans la protubérance. La vésicule était unique dans notre
observation
, or les cas de vésicules multiples et plurilocu
t une 4" grosse comme une noix. (1) Il existe dans la science trois
observations
de coenure cérébral chez l'homme. La ira appart
re sans localisation précise, s'étendant à toute la tête. Dans deux
observations
cependant il vit la douleur siéger principa- le
uc- 26 MONSSEAUX, DE GOTHARD ET RICHE cèdent rapidement. Dans une
observation
de estphal, la céphalalgie n'aurait précédé la
Cependant si l'on a pas, comme dans les autres régions, trouvé des
observations
analogues à celles de Fiusen (kyste de 16 à 18
ions de même nature, en d'autres points de l'organisme; d'après les
observations
il serait en effet rare de trouver, con- jointe
uvé 74 fois chez l'homme et 181 fois chez la femme. Neisser sur 358
observations
en a 148 chez l'homme et 210 chez la femme. D'apr
n'étant pas exceptionnels, ne sont pas si fréquents qu'une nouvelle
observation
ne puisse fournir à cette question quelques ren
e cysticerque est la forme enkystée de l'embryon du toenia. Notre
observation
est conforme à la règle, en ce qui concerne le si
nt de nouveaux faits. Gabory dans sa thèse (Paris, 1897) a donné 17
observations
nouvelles (Troisier, Lance- reaux, Bitot et Sab
ier, Lance- reaux, Bitot et Sabrazès, etc.). 1 Si l'on étudie ces
observations
, on voit que les cysticerques sont géné- 1 rale
s sont géné- 1 ralement en petit nombre dans le cerveau : 15 dans l'
observation
de Troi- sier. Par contre, dans l'observation d
e cerveau : 15 dans l'observation de Troi- sier. Par contre, dans l'
observation
de Bonhomme, il y avait 111 parasi- tes, dont 2
harriés jusqu'aux organes des diverses parties du corps. Dans notre
observation
, nous sommes frappés de la quantité considéra-
nceau). , Il est néanmoins certains signes qu'on rencontre dans les
observations
t d'habitude et qui manquent ici : c'est le ver
'épilepsie jacksonienne qui ont fait complètement défaut dans notre
observation
: il n'y[avait d'ailleurs pas la moindre irri-
oute avec la présence de kystes protubérantiels, se retrouve dans l'
observation
de Fredet (1875) où n'existait qu'un cysticerque
plus de vingt hydatides,' dont six dans les deux lobes temporaux.
Observation
(1) Aum..., 75 ans, ancien garde forestier, ent
incters. Consécutivement à ces accès qui se reproduisent toutes (1)
Observation
communiquée à la Société de neurologie de Paris,
VEC PAHALEXIE ET HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 47 poral. Il existe peu d'
observations
de surdité corticale par lésion bilaté- rale de
ant de faire connaître l'observa- tion de notre malade. + * *
Observation
. - C'est un homme (C... Victor), âgé de 54 ans, c
produisant spontanément sous l'influence de la station debout. Une
observation
rap- portée récemment par Spillmann (1) montre
teurs, la déformation siégeait sur le membre atteint de coxalgie. L'
observation
que nous rapportons prouve que cette attitude v
nt au genu recurvatum occupant le membre affecté de coxalgie, deux.
observations
seulement indiquent avec netteté la variété d'a
d'Edouard IV, et y passa sa jeunesse dans les travaux les plus (1)
Observation
méd., 1. 4, observ. 3. 78 BEAUVOIS laborieux
eux quali- tés qui vont d'ailleurs de pair, une grande profondeur d'
observation
, une habilité particulière de l'exécution. Or c
ècle). '- LES DÉMONIAQUES ET LES MALADES DANS L'ART BYZANTIN 87 l'
observation
et la vérité exacte, qui trancheront sur la négli
eulement qu'ici, l'attitude est très juste et dénote une cer- taine
observation
. Il n'y a pas de comparaison possible avec l'aveu
ant ses yeux. En plusieurs endroits il a fait preuve, d'un esprit d'
observation
vraiment remarquable. On peut voir d'ailleurs q
a renaissance italienne ou du XVII, siècle flamand pour trouver une
observation
aussi fine et aussi pénétrante. k c) Miniatur
niatures d'un arc de cercle hystérique, et par suite, d'un effort d'
observation
qui ne se retrou- vera plus dans ces contrées a
logiques au XII siècle, nous ne trouvons que des traces mini- mes d'
observation
de la nature. Sauf la paralysie radiale de Monrea
e cette façon du moins qu'il nous semble nécessaire d'interpréter l'
observation
que nous publions ici. Entre autres particularité
s lésions vascu- laires dont l'importance est des plus évidentes.
Observation
clinique. P. Alfred, horloger, 57 ans, entre le
tion de ses jambes. Il entre à l'hôpital le 14 février 1898. Dans l'
observation
clinique prise quel- que temps après son entrée
su de réaction arrivé à un stade avancé d'organisation. RÉSUMÉ DE l'
observation
clinique. - Paralysie spinale à marche lente et
et de saisir entre diverses anomalies de développement des membres.
Observation
G..., âgé de 24 ans, est de taille moyenne. La
uméra- tion des enfants nés de ces grossesses : 1 le sujet de cette
observation
, âgé de 24 ans ; 2° une fille, âgée de 21 ans ;
uration de la main droite, de notre ectromélien. Kummel donne cette
observation
comme un cas atypique d'absence du radius ; il
vers comme nombre et comme étendue, entre les doigts conservés. L'
observation
que nous avons rapportée nous semble pouvoir être
ide. Suivant cette classification le cas dont nous avons rapporté l'
observation
rentrerait dans la première tribu de l'ordre des
e ou rayon cubi- tal, rentrent les cas semblables au sujet de notre
observation
et les diverses variétés dont nous avons parlé
ns le développement du corps. Nous avons vu que le sujet de notre
observation
avait acquis, malgré le développement si imparf
pu être la cause des difformités pré- sentées par le sujet de notre
observation
. Comme nous l'avons dit, nous n'avons trouvé au
es malformations con- génitales du sujet dont nous avons rapporté l'
observation
, une origine en- dogène est possible, mais une
S ÉCRIVAINS ET DES AUTRES AFFECTIONS NERVEUSES PROFESSIONNELLES
OBSERVATIONS
DE PARALYSIE CHEZ UN MARCHAND DE NOUVEAUTÉS, DE
quelques autres types des affections nerveuses professionnelles.
OBSERVATION
! . Le premier malade est un marchand de nouvea
travail musculaire. A l'appui de cette remarque, nous publierons l'
observation
d'une jeune femme atteinte de la crampe des tél
ne pouvons garantir la disparition complète ' de son affection. ,
Observation
II. Notre second cas concerne une jeune femme d
our nouveau sur la localisation et la pathogénie de ces affections.
Observation
III. Une femme de 32 ans, professeur de piano,
s le mieux possible, elle a été soumise aux courants galvaniques.
Observation
IV. Il s'agit d'une malade atteinte de la « cra
de la paralysie complète, mais cela peut s'observer, comme dans nos
observations
I et II. Souvent les malades se servent du term
ts nécessaires pour écrire. C'est là un exemple d'hypertrophie. Nos
observations
I et II sont au contraire des exemples d'atroph
rquer que dans tous les cas de crampes des écrivains soumis à noire
observation
(une vingtaine environ), les malades tenaient l
ns pu réunir, nous traçons en quelque sorte la courbe de l'esprit d'
observation
chez les artistes grecs pendant les dix siècles
d'un cas d'endothéliome méningé, dont nous avons déjà communiqué l'
observation
résumée à la Société de Neurologie (1), nous dé
troubles circulatoires de l'encéphale, etc.). Voici tout d'abord l'
observation
de notre malade, que nous faisons suivre de que
rtains types de lésions cellulaires corticales, sur la planche XXV.
Observation
. SOMMAIRE. Clinique : Syndrome des tumeurs céré
ra pas sans intérêt de revenir sur quelques particularités de cette
observation
. 11 faut tout d'abord, si l'on excepte les phén
d'aphasie. L'étude des troubles mentaux présente aussi, dans cette
observation
, quelque intérêt. On sait que, pour la plupart
ar Bruns (1) et surtout Jastro- witz (2). Par quelques côtés, notre
observation
se rapproche de celles qui figurent dans les in
ravail, nous n'avons fait que signalerle côté histologique de notre
observation
. L'étude clinique et pathogénique TUMEUR CÉRÉBR
ans bon nombre de néoplas- mes, et les auteurs ont rapporté maintes
observations
analogues à la nôtre. Nous avons constaté, par
riphérie de la tumeur. Celle description macroscopique, résumé de l'
observation
de tous les auteurs, montre qu'il s'agit non pa
vée aux tumeurs des séreuses. L'histoire de ces tumeurs est riche d'
observations
et de discussions. Lebert (1845) (1) rapporte 2
che d'observations et de discussions. Lebert (1845) (1) rapporte 22
observations
, 16 personnelles et 6 em- pruntées il Heidenrei
dit comment cet auteur décrit la cellule constitutive à propos de l'
observation
de Bouchard. Ces tu- meurs n'ont pas de vaissea
cause de l'absence de grains calcaires, constatés dans différentes
observations
comme celle de Pouchet (5) et Spillmann (6).
ment aux tumeurs des séreuses. Il existe en effet toute une série d'
observations
où ce terme s'adresse à des néoplasmes ayant le
dre. Il nous semble impos- sible d'invoquer ce processus dans notre
observation
, puisque,méme dans les petites cavités angiomat
ions multi- ples et différentes, ou au contraire résulte-t-ellede l'
observation
des étapes successives d'un même processus, étu
ition complète ». Dans notre cas, comme dans l'immense majorité des
observations
où la méthode de Nissl a mis en lumière les alt
orps cellulaires. Pareilles lésions n'ont été retrouvées dans notre
observation
que dans la zone tout à fait voisine du néoplas
ait sem- blables chez un malade mort de coma diabétique. Toutes ces
observations
cliniques concordent avec les faits expérimenta
let et Dutil (1) se rangent à l'avis de Van Gehuchten. Dans notre
observation
il est d'autant plus certain que nous avons à fai
uire c'est seulement parce que celles de la malade dont je publie l'
observation
ci-dessous sont plus typiques encore. Il est tr
est précisément celle d'un homme épileptique. Voici maintenant l'
observation
qui est le point de départ de celte note. (1) F
dermographie. Nouv. Icon. de la Salpêtrière, t. VII. 208 LANNOIS
Observation
I. Oxyures depuis l'enfance.- Urticaire et gran
rition des crises bien avant le développement du tænia. Voici cette
observation
résumée. Observation II. · Epilepsie ayant dé
avant le développement du tænia. Voici cette observation résumée.
Observation
II. · Epilepsie ayant débuté à l'âge de 11 ans.
il l'hospice du Perron dans le service de M. Carrier ; nous avons l'
observation
prise à cette époque (1892) et avons pu constat
E PARttM. CHARLES BINET-SANGLÉ et LÉON VANNIER (d'Angers) I
Observation
. R... Yves Marie, 21 ans, maçon. I. Ascendant
le coude, l'avant-bras, le poignet et surtout la main. lle, série d'
observations
. Températures prises avec le thermomètre à temp
érature de la salle : au début : 21° ; à la fin : 21°. 2e Série d'
observations
(28 déc. 1900). 4. - Températures prises à 6 ce
ds de 2 grammes : id. II. - Sensibilité thermique. Première série d'
observations
(12 déc. 1900). 1. - Sensibilité au froid. - Il
res au-dessus de la pointe de la malléole interne. Deuxième série d'
observations
(15 février 1901), -10 Sensibilité au froid. To
ques d'hyperesthésie pour le chaud ont disparu. Troisième série d'
observations
(23 février 1901).- 1° Sensibilité au froid.- U
. 2° Sensibilité au chaud-. - Normale. Si dans les deux dernières
observations
nous n'avons pu retrouver les pla- ques d'hyper
5, à gauche il ne peut atteindre que 26 kilog. 5 (moyenne de quatre
observations
). Déplus, selon lui, les membres supérieurs ser
l'état de l'amibe. Mais j'estime qu'on n'a pas tout fait lorsqu'une
observation
ayant été prise avec soin, on a posé un diagnos
ypothèses. La science ne saurait t progresser sans elles, car, si l'
observation
et les expériences sont la con- dition de son p
con- dition de son progrès, ce sont les hypothèses qui guident les
observations
et les expériences. La grand'mère paternelle
Brit. med. Journ.,1889. Cf. Lancet, 1889. (4) IIORSLEY, Clinical
observations
during thé past seven years on the value of diffé
R N. VASCHIDE ET Cl. VURPAS I Dans une série de recherches et d'
observations
que nous avons faites sur le mécanisme psycho-p
iologique du mécanisme de l'introspection mentale. II Résumé DE l'
observation
. Depuis la jeunesse : doute, scrupules, émotivité
suite, idées d'auloaccusation. Hallucinations probables. (1) Cette
observation
a été prise dans le service de M. le Dr Briand à
s lui sommes reconnaissants. DÉLIRE par introspection mentale 239
Observation
. L... Maria, 43 ans. - Le père est mort d'une a
ar curiosité, par besoin de se rechercher et de se connaître. Celle
observation
d'une haute importance en psychologie pathologi
exclusi- vement à ce point de vue spécial. La presque totalité des
observations
exis- tant dans la littérature médicale se rapp
e. Il est probable que beaucoup de ces cas passent inaperçus. Comme
observations
nous pouvons citer celles deKir- misson, de Sai
tre, M. le professeur Renaut, et dont nous rappor- tons plus loin l'
observation
résumée. ' Qu'il y ait malformation de la colon
ade, elle était une dégénérée stigmatisée à un hautdegré. Voici son
observation
brièvement résumée. Joséphine D... est admise à
t semble avoir été dit, au sujet de la perfection du dessin et de l'
observation
dans les figures des démoniaques qui figurent à p
s apprécier d'une façon rigou- reuse les qualités si remarquables d'
observation
qui donnent et donneront à toute production de
es qualités déjà entières du grand artiste flamand : la sûreté de l'
observation
, la réalisation passionnée de la vie. 1 Le
r par le traitement thyroïdien; nous croyons utile d'en rapporter l'
observation
, d'autant plus qu'avec une extrême obligeance,
, plus probablement, toxique de l'achondroplasie. Si dans les deux'
observations
précédentes, la substance toxique semble proven
uto-intoxication. » QUELQUES REMARQUES SUR L'ACHONDROPLASIE (Deux
observations
nouvelles d'achondroplases adultes) , PAR R E
rès à égrle distance du sol et du vertex. Chez (1) Le nombre de ces
observations
se multipliera sans doute rapidement, mainte- n
nsidérable que ne le laisse supposer le chiffre assez restreint des
observations
publiées jusqu'ici, qui ne dépasse guère une ving
rachitisme congénital ; ce sont des raretés ; il faut extraire des
observations
publiées sous ce nom, d'abord celles qui jus- t
é constitutionnelledesos et d'ostéoporose congénitale. Les quelques
observations
(2) qui restent après ce tri sont des plus discu-
développement de l'amnios, Paris, 1899. Voici quelques nouvelles
observations
du même genre : MACË, Un cas d'oligamnios. Soci
issance à deux enfants, rachitiques comme lui. Voici du reste les
observations
: La mère V..., 37 ans, ouvrière, travaille à l
t édifier la théorie héréditaire du rachitisme, théorie qui, dans l'
observation
ci-dessus, paraît entièrement justifiée. La rép
t de publier dans tous leurs détails, les cas qui se présentent à l'
observation
. Voici les trois faits qu'il nous a été donné d
ion. Voici les trois faits qu'il nous a été donné de recueillir :
Observation
I. P. L..., âgé de 31 mois, natif de Lerm (Giro
lie par excès. L'association de la syndactylie constatée dans notre
observation
peut s'observer aussi dans la microdactylie.
ns nu- mériques de phalanges, de la syndactylie. Quant à nos deux
observations
de microdactylie, elles appartiennent à deux va
. R. BERNARD, Répétiteur à l'Ecole du service de Santé de Lyon. )
Observation
. Ethylisme paternel. Stigmates physiques el psy
Ce jour- là il cesse brusquement au moment où l'élève qui prend des
observations
est occupé à l'étudier. Etat actuel. - Le 12
usement la conclusion qui se dégage actuellement de la critique des
observations
connues : c'est que l'issue d'une certaine quan
s capitales, d'ordre clinique et expérimentale. Nombreuses sont les
observations
faites par les chirurgiens de traumatismes du c
cérébrale. Ces considérations s'appli- quent littéralement à notre
observation
, dans laquelle la tumeur atteignait le poids de
ente le milieu organique le plus sensible à l'action des poisons. L'
observation
clinique et la médecine expérimentale y ont, depu
sion cérébrale, ou celle de l'irritation réflexe à distance. Dans l'
observation
si intéressante de Joffrov et Gombault (2), que
s a été formulée en termes' explicites par P. Marie, à propos d'une
observation
de Sérieux et Mignot (1). Il s'agissait de kystes
ttérature médicale des kystes hydatiques de l'encéphale est riche d'
observations
confirmatives de l'hypothèse de P. Marie. Souve
gments corticaux prélevés à distance des néoplasmes. . Dans notre
observation
, en dehors des lésions constatées dans la zone
s analogues.Dans une thèse récente,L. Chancellay (2) donne diverses
observations
cliniques et histopathologiqués assez complètes
11nlcemller et Kaplan (3), et Chancellay en rap- porte lui-même une
observation
: l'examen microscopique de l'écorce n'a pas ét
patholoâiques que nous avons présentées, et dont presque toutes les
observations
de tumeurs cérébrales représentent, chacune à leu
néoplasmes (sarcomes, kystes hydatiques, abcès, gom- mes, etc.).
Observations
Observations de J. Louis Petit où la compressio
rcomes, kystes hydatiques, abcès, gom- mes, etc.). Observations
Observations
de J. Louis Petit où la compression existait sans
ion du trépan à cet homme peut-être eût-il vécu dix ans de moins. -
Observation
de M. Joffroy et Gombault, Congrès 1900. Méning
d'eux un manchon leucocytique épais. Légère sclérose névroglique.
Observation
de M. Touche, Société anatomique, 1899. [Résumé
n 1892, différents auteurs français et étrangers ont rap- porté les
observations
de nouveaux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse grâc
el dans un de ces cas de pratiquer l'exa- men du système nerveux. L'
observation
clinique du malade dont j'ai exa- miné le systè
dans la thèse de 1\'1. P .Londeetdanscelle delLVincelet. C'est une
observation
pour ainsi dire fondamentale, car c'est une de
mets encore une fois de la reproduire après les auteurs indiqués.
Observation
. Haudeb... François, 41 ans, maçon. Antécéden
i lui sont posées. Facies. - Il est le même que celui décrit dans l'
observation
de Klippel et Durante, c'est toujours le même f
ires. - Les secousses fibrillaires signalées dans les précé- dentes
observations
n'existent plus. Sensibilité normale. Ouïe et g
a Société de Neurologie de Paris. Nous ne voulons pas ici citer son
observation
il ! extenso (nous ren- voyons les lecteurs au
-ataxie cérébelleuse est certain, et la soeur de Haud... Mme H. H. (
observation
loc. citât.), malade depuis l'âge de 35 ans, pr
sieurs chapitres la mise au point de toutes les questions que notre
observation
peut soulever. D'ailleurs une étude critique de
plement quel- ques considérations scientifiquement probables. UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE PAR le Der M. LANNOIS, A
bserver depuis plusieurs mois et dont je rapporterai tout d'abord l'
observation
. La nommée Marie V., femme B., âgée de 47 ans,
hnud SEIN HYSTERIQUE (Lannoïs) Masson & Cie, Editeurs UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE 403 exercée sur l'abdomen au
ouloureux du sein chez les hystériques. Thèse de Paris, 1816. UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE 405 neville et Regnard (1),
Celui- ci a bien vu les ecchymoses spontanées et la plupart de ses
observations
de « tumeur irritable delà mamelle «appartienne
la mamelle. Depuis le travail de Gilles de la Tourette qui cite des
observations
de Landouzy, de Liouville (dont le cas a été le
Féré, de Fowler, je ne vois guère à citer qu'une très intéressante
observation
de Chipault (3) d'hémorrhagie profuse par le ma
té gauche. Peut-être serait-il bon d'examiner à ce point de vue les
observations
publiées sous le nom d'hypertrophie essentielle d
pas très considérable, d'un tiers environ, dit Liouville. Dans mon
observation
, l'aug- mentation dépasse les t'huiles habituel
e deux cas chez des jeunes filles ayant guéri sans opération. UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE 407 Il va de soi que ces for
nt des hémorrhagies multiples. Chipault dit n'avoir trouvé que cinq
observations
d'hémorrhagie du sein attribuables sans contest
la peau du sein que l'on a rencontrée. A vrai dire les deux seules
observations
qu'en cite Gilles de la Tourelle tiennent un pe
oive être considérée comme un phénomène hystérique dans la curieuse
observation
d'anorexie publiée par Gasne (1). Chez sa jeune
ens avaient proposé des interventions et Connard rapporte plusieurs
observations
d'a- blations du sein qui ne firent pas toujour
Je dois rappeler, toutefois, que Bernhardt (3) fait allusion à une
observation
de Cénas sur une contracture bilatérale des deux
ui m'a éclairé pour le diagnostic du second est très instructive.
Observation
I. Elvire L. de A..., âgée de 28 ans, mariée, s
les muscles fléchisseurs que dans les extenseurs. Je considère ces
observations
comme fondamentales. Dans mon cas, on obtient mêm
- thésie est plus apparente dans la zone innervée par le cubital.
Observation
II. Le 2e cas corrobore ce diagnostic ; c'est u
ite déformante de Paget que nous rapportons ici, n'est pas tant une
observation
clinique qu'un examen nécroscopique du squelette,
aleur que leur avaient attribuée plusieurs observateurs précédents.
OBSERVATION
CLINIQUE. Augustine C..., âgée de 75 ans, sans
jambe droite. Cette particularité n'existe pas dans la plupart des
observations
publiées et que nous avons pu consulter. Compos
ire qui se voit sur les os, au début du processus pa- thologique. L'
observation
de Gilles de la Tourette et Magdelaine (1) compre
avers, de l'ordonnance architecturale de l'os tout entier. Dans l'
observation
de Gilles de la Tourette et Marinesco (1), on tro
ent, que le crâne n'avait absolument rien, mais un certain nombre d'
observations
notent également l'absence de lésions osseuses
également l'absence de lésions osseuses du côté du crâne [Voyez les
observations
d'ostéite de Paget, de Thibierge (3),Martel (4)
té des humérus et des fémurs se retrouve également dans plu- sieurs
observations
. Il semble bien que les lésions soient toujours p
ux chez le malade de L. Lévi (7). Une des parti- cularités de notre
observation
réside dans la fusion partielle du tibia et du
ps pituitaire et du cerveau. Avant d'aller plus loin, voyons si les
observations
antérieures corres- pondent sur ce point à la n
osclérose généralisée et rapporte à Redman (3) la priorité de cette
observation
chez les ostéites de Paget. Dans Moizard et Bou
a démonstration la plus évidente de leur in- crustation calcaire. L'
observation
nécroscopique de Guinon (1) semble seule faire
l'état des réflexes, elles tombent si l'on parcourt l'ensemble des
observations
cliniques. Quelques-unes ne notent que des doul
eurs trouvé normal. Le corps thyroïde est signalé très petit dans l'
observation
de Thibierge. D'autre part, L. Lévi, histologiq
. 430 HUDELO ET HEITZ La mélanodermie n'est notée dans aucune des
observations
d'ostéite de Pajet que nous avons pu consulter.
les volontaires les unes sur les autres m'a permis de confirmer les
observations
antérieures et de mettre en lumière quelques fa
hoedème dont il a déjà été parlé dans s ce recueil (2). Une autre
observation
récente de M. H. Mabille est venue fort à propos
d'êlre rapproché des précédents. Les réflexions suggérées par ces
observations
nouvelles ne sauraient déflorer l'originalité d
us avons proposé, il y a quatre ans, de grouper un certain nombre d'
observations
d'oedème blanc, dur, indolore, à répar- tition
, Rapin, Herto;he. Mabille. Dans cette catégorie rentrent aussi les
observations
publiées anté- rieurement sous les noms d'cedèa
6 générations) les faits signalés par Desnos, Iligier, etc., et nos
observations
personnelles (8 cas sur 4 générations). M. Lannoi
phoedème congénital lequel peut être aussi héréditaire. Ce sont des
observations
étiquetées éléphantiasis congénital. Nonne en a
de centres autonomes pour chacun de ces systèmes. La toute récente
observation
de M. II. Mabille fait connaître un cas de trop
ussées aiguës d'oedème rouge. Ce fait a été constaté dans plusieurs
observations
, ce qui permet de croire que dans certains cas
faveur de l'existence d'une lésion médullaire, M. Rapin apporte une
observation
de grand intérêt dans laquelle la dystrophie oedé
che judicieusement de celle de la paralysie infantile. De nouvelles
observations
sont nécessaires pour confirmer cette assimilatio
elève, elle aussi, d'une altéra- tion des centres trophiques. Les
observations
de M. Hertoghe mettent en évidence la parenté du
es infé- rieurs ? Telle semble être sa localisation préférée. Les
observations
nous signa- lent sa présence sur un seul pied,
e localisé à l'un des membres inférieurs. ' ? Mais voici que deux
observations
de M. Rapin nous permettent d'entre- voir une l
trière (1898, p. 343-367). Ils ont recueilli un nombre déjà grand d'
observations
dans lesquelles l'accroissement de volume de la
anomalies squelettiques qui participent à l'hypertrophie. (1) Voy.
observation
Il. - L'observation III de M. Ilertoôhe se rappro
ques qui participent à l'hypertrophie. (1) Voy. observation Il. - L'
observation
III de M. Ilertoôhe se rapproche plutôt du « my
être congénital. ¥ . Si, comme il est permis de le souhaiter, les
observations
de ce genre viennent à se multiplier et si surt
prétention dût-elle sembler exagérée, nous livrons quand même notre
observation
à la publicité, sa rareté nous en faisant un de
publicité, sa rareté nous en faisant un devoir. 4.74. E. RAPIN
Observation
1. Alice F., née le 11 juin 1894, est le troisi
e et la varicelle. Cette dernière, dans son évolution, a offert à l'
observation
une particularité intéres- sante. Elle a débuté
¡' ses symptômes caractéristiques, ne se présente pas toujours il l'
observation
' avec la physionomie univoque que d'habitude n
és dans certaines phlegmasies mono.arti- culaires, El, bien que son
observation
ne porte pas spécialement sur les reliquats d'a
squer l'atrophie musculaire (p. 488) ». Il répète plus loin la même
observation
: « L'atrophie d'un grand nombre de muscles est
ferait supposer, présente un intérêt considérable,. » La première
observation
du mémoire de Landouzy a pour sujet un homme de
écrite sous l'inspiration de Landouzy, Vergnes (2) donne plusieurs
observations
d'adipose sous-cutanée dans la paralysie infant
ons que nous livrera, un jour, l'histologie pathologique, c'est à l'
observation
clinique que nous devons nous adresser pour élu
dissociation pathologique qui permettra peut-être par la réunion d'
observations
attentives et de nécropsies minutieuses, de rec
sys- tème nerveux central ne tire pas sa vraisemblance de la seule
observation
des faits; elle trouvera une confirmation de sa
e manque parfois dans les rjgions qui ont été le siège d'un rash. L'
observation
n'est pas sans valeur. Hais si, d'autre part, l
eût été fort ébranlée. Avant de terminer, nous ferons une dernière
observation
concernant le sujet qui est l'objet de ce trava
ment comparable à celle qui fait l'objet de celte étude. En voici l'
observation
résumée par le chef du service, le D' Nové-Joss
u importante. Nous avons relevé avec un intérêt d'autant plus vif l'
observation
dont on vient de lire le résumé, qu'elle parait
ie, la malade s'étant refusée à nous satisfaire sous ce rapport :
Observation
II. Mme G..., 52 ans, polisseuse de boîtes de m
ertrophie et nous sommes heureux de pouvoir le faire figurer ici.
Observation
111. La jeune femme que la photographie représe
cence que présen- tent les sujets et les membres de leur famille.
Observation
I (PI. LXIV). Louis V... avait neuf ans et six
alpêtrière, 1899, n" 6. - Vicounoux, Ibid., 1899, n° G. LANOts, Une
observation
de t¡'ophoedème chronique héJ'ditail'e. Ibid., 19
00). L. Y. (Novembre 1901). TROPtIOEDËMI-; CHRONIQUE Ilertoghe (
Observation
! ). I). Massox ET Cie, Éditeurs. NOUV. ICONO
. R. (1901), M. R. (1901). TROPIIOED¡'J\IE DE LA FACE Hertoghe (
Observation
II). Masson I.T Ciel Editeurs. NOUVELLE Icono
A remarquer enfin que le traitement thyroïdien n'a rien produit.
Observation
Il (PI. LXV). Marie R.... vint chez moi en nove
a Salpêtrière. T. XIV, PI. I-XN-1 I . INFANTILISME (flerfoohe).
Observation
II C. R..., 15 ans (1896). Taille : 1 m20. Poid
voir et de faire une enquête plus approfondie sur cette famille.
Observation
III. Mme C..., 52 ans, multipare, a vu se dével
y a ici déficience, inanition thy- roïdienne. Enfin, la troisième
observation
est, à la lettre, l'image type du myxoe- dème f
ttre, l'image type du myxoe- dème fruste, dont j'ai donné plusieurs
observations
ici même (1899, p. 261). Mentionnons l'abaiss
ire de Murray, les vertiges, les palpitations cardiaques. Ces trois
observations
établissent une parenté entre l'appauvrissement
1 : DES MEMBRES INFERIEURS (Mabille.) llnss0\ s2 C ? l : ldcurs
OBSERVATION
DE TROPlJOEDÈME (1) PAR H. MABILLE Directeu
n en chef de l'asile de Lafond. La malade qui fait l'objet de cette
observation
est actuellement âgée de 18 ans (Pl. LXVII).
tuellement les iambes de X... présentent les dimensions suivantes :
OBSERVATION
DE TROP11OEDÈME 505 Quand on pique la malade av
au tiers supérieur de la cuisse. ; Telle est, brièvement relatée, l'
observation
deX... Je la résumerai en quelques mots : Tra
« Trophoedème chronique héréditaire ». Cet auteur relate diver- ses
observations
de même nature et note l'hérédité similaire chez
as de Lannois Un Iconographie delà Salpêtrière, 1900). Dans notre
observation
, il s'agit bien d'un « Trophoedème chronique»,
retentissant sur le segment périphérique correspondant. Dans notre
observation
, il y aurait donc deux sortes de lésions, lésions
igne circulaire au tiers inférieur de la cuisse (dens notre cas, au
OBSERVATION
DE TROPHOEDÈME 507 tiers supérieur), on ne peut
e le segment de membre atteint est lui-même plus haut. Dans notre
observation
, les troubles trophiques observés semblent donc
D'HÉMJl-JYPERTHOPHOE CONGÉNITALE DU CORPS PAR ANDRÉ THOMAS. Les
observations
d'hémihypertrophie congénitale ne sont pas très c
s membres du même côté sont également hypertrophiés ; dans d'autres
observations
plus rares (Lewen) l'hémihypertrophie est crois
alors en quelque sorte d'une hémihypertrophie alterne : la première
observation
que nous rapportons est un exemple de ce syndro
intéressantes sur l'évo- lution de cette anomalie. Notre deuxième
observation
a trait à une fillette de 12 ans atteinte d'hém
(A. Thomas). DEUX CAS D'UÈMIHYPERTROPniE CONGÉNITALE DU CORPS 509
Observation
I (PI. LXVIII, A et B). Adrienne B... âgée de 4
ion congénitale. L'examen des organes ne révèle aucune maladie. L'
observation
I est remarquable par la distribution de l'hypert
tissus primitivement déviés de leur conformation normale. Dans l'
observation
II, l'hémihypertrophie est beaucoup plus appa-
la pathogénie des hypertrophies con- génitales à propos de ces deux
observations
, cette question ayant été déjà traitée dans le
anmoins, au point de vue du processus morbide, c'est encore à cette
observation
que notre cas ressemble le plus. Bref ce malade
s, par Henry Meige (6 pl.l, 169, 462 et 53t. Sein hystérique (Une
observation
de), par Lannois (1 pl. en photocollogr.), 402.
du), par IlERTOGHn (3 pl. en photo- collogr.), 496. Troplzccdème (
Observation
de), par MABILLE (1 pl. en photograv.), 503.
teints d'helminthiase (1 pl. en photocollogr.), 207. Lannois. Une
observation
de sein hystéri- que (1 pl. en photocollogr.),
nière de la syphilis spi- nale chronique (21 fig.), 105. MAntLLE.
Observation
de trophoedème (1 pl. en photograv.), 503. MA
(Contribution à l'étude du) lHRRTOGUE), LXIV à LXVI. Trophoedème (
observation
de) (MABILLE), LXVII. Tumeur cérébrale (E. Du
- jet et à établir ce point. - Nous commencerons par l'exposé des
observations
, dont la plupart ont été ana- lysées par M. - C
, et nous essayerons de pénétrer sa nature intime, son mécanisme.
Observation
1 (résumée). - Jeune homme de vingt et un ans, né
men électrique de ce malade comme aussi des autres malades dont les
observations
suivent a été pratiqué par le Dr Vigouroux, direc
aussi volumineuses que celles du côté opposé. Nous donnons cette
observation
comme un exemple de paralysie hystérique avec a
nc cette dernière hypothèse. Si ou a bien présente à l'es- prit l'
observation
du malade, la supposition la plus ad- missible
. Nous croyons qu'il n'est pas sans intérêt de relever dans cette
observation
quelques particularités qui pour- tant ne sont
ur nous qu'une importance secondaire, nous ne la discuterons pas.
Observation
II (l'ésumée).- Homme âgé de trente-quatre ans.
ctobre 1885. - \l. Berbez, interne du service, prit à ce moment son
observation
. Les membres supérieur et inférieur sont presqu
ont exacte- ment semblables à celles que nous avons notées dans l'
observation
précédente et à celles que 111. Charcot a relev
INÉ. 27 Eu ce qui concerne l'amyotrophie, nousdirons,comme dans l'
observation
précédente, qu'elle se lie de toute évi- dence
Que sont donc ces faits qui infirmeraient cette loi ? Ce sont des
observations
d'hydrocéphalie, de poren- céphalie, de sarcome
du tabes combiné est une sclérose postéro-laté- rale. Toutes les
observations
résumées dans nos tableaux confirment cette man
ail, nous n'avons voulu citer dans nos tableaux et utiliser que les
observations
suivies d'autopsie. Le pronostic est plus dif
si du tout chez le premier des trois malades dont j'ai résumé les
observations
plus haut. Si on l'emploie, ce devra être, en t
ts essayés et des résultats obtenus. VI. - CONCLUSIONS. Les trois
observations
personnelles, résumées plus haut, et surtout le
E. DUFOURT, chef de clinique. (Lyon méd., 1885, t. XLVUI.) Cette
observation
, relative à un jeune homme de dix-sept ans, che
chronique : par M. D. TEISSIER. (Lyon méd. 1885, t. XVIII.) III.
Observation
DE M6 : N1NG1TESUpI'URÉE par infection, A LA SUIT
(Lyon méd., -1883, t. XLVIII.) L'auteur rapporte en quelques mots l'
observation
de cinq ma- lades qui, sans autre antécédent qu
in de l'hospice des Incurables. (Gaz. met. de Paris, 1884.) Cette
observation
de myélite classique est suivie d'une longue ét
ecin des hôpitaux. (Gaz. '7 ! ëd. de Paris, <884.) La première
observation
contenue dans cette note est un exemple d'aphas
olution temporale et le pli courbe du même côté. Dans la deuxième
observation
, la suppression des opérations du langage a été
s. (Gaz. méd. de Paris, 1884.) La malade qui fait le sujet de cette
observation
ne rentre pas REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59
ques. A l'appui de cette conclusion se trouvent relatées plusieurs
observations
de fièvre calarrbale accompasnées d'encéphalite e
a folie épileptique; par F. FICHER. (ArcA.y. Psych., aV, 3). Deux
observations
prouvant que, quoi qu'en ait dit Samt, il exist
ément morbide aujourd'hui et demain, on réussit néanmoins par une
observation
minutieuse à déceler les symptômes frustes et, pa
la mémoire, cela n'existe pas, mais il y a lieu de tenir compte des
observations
de Fuerstner et d'observer à toutes les minutes
URS périodes d'abstinence ; par F.TUCZEK (Arch. f. Psych., XV, 3)'.
Observation
I. Folie systématique chez une demoiselle de tr
'économie), parce qu'enfin aucun phénomène menaçant ne se montre.
Observation
Il. - Folie systématique chez une femme de trente
la province du RHIN; par 0. HEBOLD. (i ? 'Ch. %. Psych., XV, 3.)
Observation
I. Gliome intramédullaire de la moelle épinière.
. de Neurologie, t. IX, p. 268. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65
Observation
IL Glio-sarcome cérébral. Epilepsie. Tumeur occ
Dégéné- rescence secondaire des cordons latéraux et postérieurs.
Observations
111. Cysticerques du cerveau et de la moelle. -
traités ou hospitllisés en dix-huit ans, est de 0,00025 p. 100. Les
observations
prouvent : 10 qu'aucune forme d'affection psych
mie cérébrale notamment des ganglions centraux et de l'écorce. Cinq
observations
à l'appui. Dix aliénés présentèrent, quelle, qu
voie nouvelle ouverte aux recherches, que M. Gasquet publie quatre
observations
(une de sclérose mul- tiple, une de syphilis, u
-A.-K. Strahan. (The Journal of Mental Science, juill. 1884.) Cette
observation
est surtout intéressante en raison du très jeun
he Journal of Mental Science, avril 1884.) L'auteur rapporte cinq
observations
(dont quatre suivies d'au- topsie) de paralysie
scence des aires motrices corticales. Plusieurs des hommes dont l'
observation
a été recueillie étaient incontestablement syph
.-VV. Ai4E DONALL. (The Journal of Mental Science, Juillet 4884.)
Observation
détaillée de deux jumeaux qui non seulement se
;'h0 H. Sauvage. (The Journal of Mental Science, Juillet 1884.) L'
observation
peut se résumer ainsi : Homme de soixante-el-uu
ence, juillet 1884.) Les réflexions dont l'auteur fait suivre cette
observation
en si- gnalent les principaux points intéressan
ntal Science, avril 1884.) Voici les points les plus saillants de l'
observation
clinique : L» amnésie avec agraphie; 2° parésie
révélé de profondes altérations des éléments du tissu nerveux. L'
observation
du malade et l'autopsie sont relatées avec détail
e); par M. Friedmann. (Arch. f. Psych., XVI, 2.) L'intérêt de cette
observation
, très complète, au triple pointde vue clinique,
propose pas de solution. Actuel- lement on connaîtrait trente-deux
observations
d'hommes sentant comme des femmes, et cinq obse
trente-deux observations d'hommes sentant comme des femmes, et cinq
observations
de femmes sentant comme des hommes. L'inverti,
llg. Zcitschi,. f. Psych., XLII, 1.) .) ' Dissertation, dépourvue d'
observations
, aboutissant à la thèse que, de même que mainte
NS localisées; par S. LÉvy '(AlLg. Zeitschr. f. Psych., XLII, 1.)
Observation
de psychose suraiguë chez une jeune fille de dix-
Griesinger, Snell, Schuele, doit disparaître quand on consulte les
observations
'de Krafft-Ebing, et céder la place au vocable
que ou types à peu près purs de vésanie organisée : 5 familles. Des
observations
complètes se dégagent les conclusions suivantes
rashey. (A·ch. ? Psych., XVI, 3.) Analyse psychophysiologique d'une
observation
concernant un homme de vingt-sept ans qui, à la
la suite de l'inhalation de l'amylnitrite, le Dr Tippel dit qu'une
observation
directe du cerveau était indispensable; l'exame
a rétine ; donc les deux carotides étaient également affectées. Ces
observations
ne sont pourtant pas pro- bantes pour nous, par
épanés et avait obtenu les mêmes résultats. Ce sont les deux seules
observations
qui existent. 94 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 6. E
aumatisme, avait le crâne fendu, avec perte de substance osseuse, l'
observation
directe était impossible, mais l'on se servit d
été signalés par plusieurs observateurs, et sont d'accord avec mes
observations
personnelles ; rarement on a conslaté le ralen-
ce de l'amylnitrite est varia- ble selon les sujets; ses nombreuses
observations
s'étendent à des sujets normaux, àdes sujets an
partie spéciale du mémoire déjà analysé par nous 2. On y trouve les
observations
accompagnées de la mise en relief des résultats
n n'a obtenu tout au plus qu'un effet mo- mentané ou partiel ; même
observation
à l'égard de la démence, dont cinq malades se s
ion dorsale, on constate chez le malade, qui fait le sujet de cette
observation
, de l'abattement, de l'inappétence, de la lourd
aire ait conduit à des résultats douteux, M. Moeli, se basant sur l'
observation
d'une tumeur qui occupait le troisième ventricule
ction des pupilles : voyez plutôt les morphino- manes. M. SANDER.
Observation
dans laquelle une tumeur développée dans le seg
aire servir à une localisation exacte, ce fait, de concert avec une
observation
de paralysie pseudo-bulbaire, qui sera mentionnée
u même agent morbide. En même temps, l'orateur communique plusieurs
observations
de paralysie alcoolique, les unes amélio- rées,
alcoolique, les unes amélio- rées, les autres guéries. Quoique les
observations
qu'on possède jusqu'ici prouvent que l'inflamma
cussion relative à la communication de M. Oppenheim. M. SrEIERLING.
Observation
d'une alcoolique de trente-quatre ans, atteinte
ralentissement du pouls. Le réflexe rotulien a fait défaut dans ces
observations
, sans qu'on ait constaté de troubles marqués da
erlin. klin. Wochen : ,clt1', n° 49, 488f). Tout l'intérêt de cette
observation
git précisément dans l'habi- tude du malade de
eut être consécutive aux maladies infec- tieuses, un grand nombre d'
observations
le démontrent. » Si on prend cette conclusion à
ultats de l'expé- rimentation physiologique ont été confirmés par l'
observation
clinique : le boldo, administré à des malades a
avail en deux parties : la première sera consa- crée à l'exposé des
observations
d'idiotie avec cachexie pachydermique ; la deux
rmique. I. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE Les deux premières
observations
en date, et non les moins intéressantes, sont d
ssantes, sont dues à Curling : nous les traduisons textuellement.
Observation
I. Aspect crétinoïde. - Gonflements sur les parti
de glande thyroïde 2. 1 On verra que Th..., dont nous rapportons l'
observation
plus loin, fut également atteint d'érysipèle, m
ement modifié par cette maladie intercurrente. 2 Voir plus loin les
observations
de Th... est de Gra .. 140 CLINIQUE NERVEUSE.
in les observations de Th... est de Gra .. 140 CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
II. Idiotie. Gonflements anormaux de la région
ring in Enyland. (p. 155) IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE 11l
Observation
III. - Idiotie avec arrêt de développement du cor
t les cils sont longs, noirs et abondants. Telle est la troisième
observation
publiée sur l'idio- tie crétinoïde; les symptôm
PACHYDERMIQUE 143 Le quatrième cas est dû à M. Fletcher Beach '.
Observation
IV. Crétinisme sporadique. - Absence de glande
vant, l'autre Th... Et le Pacha, a succombé il y a quelques mois.
Observation
V.. Père : incontinence nocturne d'urine jusqu'à
Gr... se considère comme un homme et ne tient plus aucun compte des
observations
, il se met facilement en colère, il demande à p
été, et il a fait des progrès tant à l'école qu'à l'atelier. , L'
observation
de Th..., que nous publierons dans le prochain
BLNSKI, Chef de clinique des maladies nerveuses à lu Sdtpctriere.
Observation
III (résumée). R..., botaniste, est atteint, ci
ur en Europe, est entré dans le service du Dr Wilks, à Londres. L'
observation
de R... est, en effet, relatée dans les leçons
é dans le service de M. Fé- réol où il resta plusieurs mois, et son
observation
fut publiée par l'interne du service, M. Leprév
ée 1884. 156 CLINIQUE NERVEUSE. plus essentiel à noter dans cette
observation
: à son entrée à l'hôpital, le malade avait des
ers la fin de 1883. M. Berbez, interne à Ivry à ce moment, prit son
observation
, et voici quel était. alors l'étatdeR... : le m
d'arguments analogues à ceux dont nous nous sommes servis dans les
observations
précédentes, que la malade dont il est ici ques
moelle ou des nerfs. Il suffit, en effet, de lire attentivement l'
observation
pour rejeter d'une façon absolue de pareilles h
nt exacte- ment semblables à ceux que nous avons relevés dans les
observations
précédentes. OBSERVATION IV (résumée). Boin...,
à ceux que nous avons relevés dans les observations précédentes.
OBSERVATION
IV (résumée). Boin..., palefrenier, est sujet de-
plique aussi pourquoi il n'est pas fait mention, dans le cours de l'
observation
, de certains stigmates hystériques, de certains
mp visuel , polyopie monoculaire, etc. Nous publions pourtant cette
observation
, car ce qui y est consigné nous paraît absolume
aralysie hystérique et qu'elle ne peut relever d'une autre cause.
Observation
V (résumée). - Dem..., garçon boucher, trente a
rès les discussions dans lesquelles nous sommes entrés à propos des
observations
précédentes, il nous semble que nous n'aurons p
t, mais le départ précipité du malade nous a empêché de le faire.
Observation
VI (résumée). 119ouill..., âgé de vingt-neuf ans,
ervice, voulut bien l'en- voyer à la Salpêtrière et nous remettre l'
observation
qui avait été prise par son interne. Voici dans
ncore aucu- nement modifié. L'amyotrophie n'a pas augmenté. Cette
observation
est presque calquée sur les deux cas de monoplé
é. Nous nous sommes efforcé de démontrer, à propos de chacune des
observations
que nous avons rappor- tées, qu'il s'agissait b
avons annoncé, chercher par une étude compa- rative de ces diverses
observations
si cette amyotrophie présente quelques caractèr
. Rappelons quelques-unes des mensurations que nous avons faites.
Observation
1 DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 185 Observation I
nous avons faites. Observation 1 DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 185
Observation
II l 186, . CI,INIQUE NERVEUSE. 1, , si on la
ions que nous venons de citer. Cela tient-il à ce que le nombre des
observations
de ce genre est encore limité, et ne rencontrer
ter ce qui nous semble ressortir de l'examen de nos malades. Dans l'
Observation
VI, l'amyotrophie est extrêmement faible et on
ns ce cas, attribuable à l'hys- térie, que, dans. plusieurs^ autres
observations
que nous ne publions pas pour ne pas donner à c
es examinant à ce point devue, voici ce que nous constatons. Dans l'
Observation
I, tous les muscles du membre supérieur gauche
on ne note pas de prédominance dans une région quelconque. Dans l'
Observation
II, tous les muscles du membre supérieur gauche
ochléens sont plus affectés que les muscles épicondyliens. Dans l'
Observation
III, il est dit, en ce qui concerne l'atrophie
particulièrement sur tel ou tel groupe musculaire. Dans les autres
observations
, on ne relève pas de prédominance de l'amyotrop
ment tous les groupes musculaires; ce n'est, en effet, que dans l'
Observation
II que l'on relève une prédominance de l'atroph
entimètres de différence entre les périmètres des deux bras. Dans l'
Observation
II comme dans la précédente, un mois et demi ap
le membre atteint avait recouvré presque son volume normal. -Dans l'
Observation
IV, unmoisalirès le moment où la paralysie avai
te parti- cularité. On peut voir, en effet, dans plusieurs de nos
observations
, l'atrophie rester stationnaire, alors même que
iste, et n'a aucune tendance à ré- trocéder. C'est ainsi que dans l'
Observation
111, depuis le mois de février jusqu'au mois de
phie, pendant ces cinq mois, ne s'est pas du tout accentuée. Dans l'
Observation
VI, où il s'agit d'une monoplégie brachiale dro
ous venons de dire, on ne tarde pas à être fixé sur ce point. Les
observations
que nous avons rapportées ont trait à des sujet
du reste, d'une simple vue de l'esprit; M. Chauf- fard a publié une
observation
très intéressante de monoplégie hystérique, ave
notable. En plus, et ce caractère fait absolu- ment défaut dans nos
observations
, en raison des con- ditions d'âge du sujet, dit
ot s'est fondé pour établir cette variété de paralysie, et dont les
observations
ont été publiées dans le Progrès médical de 9 8
sont encore inédits. 194 CLINIQUE NERVEUSE. blir, au moyen de ces
observations
, que l'atrophie musculaire peut relever directe
montrer quels sont ses caractères. Si on en juge par le nombre des
observations
que nous avons re- cueillies dans un laps de te
e qui avait échappé jusque , DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 195 là à l'
observation
vient à être perçu, lient vraisembla- blement,
ascendante aiguë spinale jusqu'à nos jours, on a publié beaucoup d'
observations
sur les maladies en question. Ainsi les observa
lié beaucoup d'observations sur les maladies en question. Ainsi les
observations
de Kussmaul, de Vulpian, de Cornil, de Ranvier
PNOTIQUE ; Par le,Dr Auguste VOISIN, médecin de la Salpêtrière. L'
observation
qui suit, bien que fort incomplète en raison de
e professeur Mierzejewsky, 1885, t. I.) Les points à relever dans l'
observation
de ces auteurs sont les suivants, à l'examen mi
levue critique portant sur la bibliographie, l'auteur détaille une
observation
de tumeur du corps calleux chez un homme de soi
C.4'l'FUIt ; par E. RKMAK. (Cwtralbl., t'. Neruen- heilk., 1885.)
Observation
originale. Paralysie faciale gauche s'étant gra-
'auteur résume les propositions qui lui paraissent émaner de treize
observations
suivies avec le plus grand soin et analysées, au
d'ataxie, elle n'est donc pas le foyer de l'alaxie. Dans la seconde
observation
, il s'agit d'un tabes trau- matique avec conser
tes multiples; par A. HOVÉN. (Centralbl. t. tYcrvenheil ? A88;i.)
Observation
se distinguant de la poliomyélite avec laquelle l
entrcal6l. f. Nervenheilk., 1885.) L'auteur montre à l'aide de cinq
observations
de blessures que le médian innerve non pas seul
lésion unilatérale du noyau de l'ocumoloteur externe'. Nouvelle-
observation
à l'appui. Paralysie du facial droit dans sa tota
pera sur le tendon rotulien. Ce procédé repose sur le double fait d'
observation
: 1° que l'on ne peut obtenir un relâchement pa
ire chez LES buveurs; par R. ScIIULZ (Neurol. Centralbl. 1885). L'
observation
relatée concerne un buveur acharné indemne de t
localiser ces altérations, on prend en considération, comme dans l'
observation
précédente, l'exagération du réflexe patel- lai
e, un kyste gros comme une lentille. II. Sarcome du lobe frontal.
Observation
dans laquelle, une tumeur occupant une grande p
jour sont dues à la méningite récente généralisée. III. Tétanie.
Observation
de convulsions toniques symé- triques des extré
n sarcome de la moelle épinière. La femme qui fait l'objet de cette
observation
paraissait, selon la nomenclature deFried. Schu
lyse, critique, révise l'ensemble des faits connexes, y compris les
observations
de sclérose multiloculaire pendant l'enfance. A
ue l'assimilation soit permise. z Dans une assez forte proportion d'
observations
, il existe des signes morbides qui indiquent ce
tions entre le crime et la folie et l'analyse d'un certain nombre d'
observations
per- sonnelles sur les aliénés criminels, l'aut
près M. Mercklin, le diagnostic d'hystérie. Le malade est encore en
observation
. P. K. LIV. UNE remarque relative A l'épilepsie
re sont relativement moins nocifs (1 épileptique seulement sur 21
observations
; puis vient le Kùmmel pur, la moins nuisible des
rne des hôpitaux. (Lyon méd., 1885, t. XLVIII.) Le sujet de cette
observation
est un prêtre, âgé de trente-cinq ans, porteur
gré elle, ou bien encore elle avait des impulsions homicides et des
observations
génésiques. Il ne lui manquait rien. M. Cotar
nostic convenables. L'auteur communique les détails relatifs à deux
observations
du premier groupe dans lesquelles le dernier ép
nus pour des stades successifs d'un même processus ? Dans l'une des
observations
(la seconde) on ne saurait méconnaître, en serr
minaison a été une démence paralytique caractéristique. La première
observation
se présente moins nette en ce qui concerne le r
e année, mais il suffit de la rapprocher cliniquement de la seconde
observation
, pour être obligé de considérer l'en- 1 Voy. Ar
ainsi que dans la catatonie- type de Kahlbaum, et parait guérie (po
observation
) ou laissée à sa suite un évident affaiblisseme
) ou laissée à sa suite un évident affaiblissement intellectuel (2°
observation
); voici alors qu'interviennent les éléments sym
stade précoce de prévoir l'issue finale, quoique, dans la première
observation
, on constate un trouble profond de la sensibili
urbation des fonctions encépha- liques. Passons maintenant à deux
observations
du second groupe : début par des symptômes de p
x cas : d'abord, dépression mélancolique précédée, dans la première
observation
, d'accès vertigineux; puis, agitation modelée a
de l'évolution mor- bide permettent à peine de regarder la première
observation
comme une paralysie générale, c'est plutôt un c
a répétition de mots dépourvus de sens. M. JASTROWITZ. C'est là une
observation
fréquente dans la para- lysie progressive avanc
lpé soit transféré dans un asile public d'aliénés où il sera mis en
observation
. Quand l'inculpé n'a pas d'avocat on lui en con
ers, par Jean 1'iyerr. LFc.nAiN (M.). Du délire chez les dégénères.
Observations
prises à l'asile--SainLe-Anne (1885-th86), serv
ues cas d'hystérie observés à l'hô- pital militaire de Moscou. */
Observation
I. E..., conseiller titulaire, âgé de quarante-
organique du système nerveux, m'a fait recon- naître l'hystérie.
Observation
Il.- Ch..., un jeune soldat, est entré à l'hô-
e; ça ne fait que confirmer que la surdi-mutité était hystérique.
Observation
III. R..., soldat de vingt-quatre ans, entre à
l'hystérie. QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 271
Observation
IV. Le lieutenant B..., âgé de trente-quatre an
des indices à peine perceptibles de sa paraplégie passée. - Cette
observation
permet de constater l'hystérie : une prédisposi
la moelle épinière; enfin, l'a- mélioration rapide de la maladie.
Observation
V. G..., soldat de vingt et un ans, entre à l'h
S... avait un affaiblissement du côté droit, mais- peu accentué.
Observation
VII. Soldat D..., de vingt-trois ans, entre à l
ac- tère du malade, j'ai dû reconnaître un cas d'hys- térie. jf
Observation
VIII.- 11..., soldat, est entré à l'hôpital le 2
, due en partie à un traitement psychique, a précisé mon opinion.
Observation
IX. - 0..., ,jeune soldat, entre à l'hôpital le
voulait pas rester à l'hôpital et demandait toujours à en sortir.
Observation
X. F..., jeune soldat entré à l'hôpital le 20 d
pas besoin de prouver le dia- gnostic de l'hystérie dans ce cas.
Observation
XI. - F..., jeune soldat. Le 8/20 janvier 1886,
E et P. BRICON. I. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE (suite). L'
observation
suivante a déjà été publiée par l'un de nous, d
objet a été montré à leurs cours par M. Charcot et par M. Magnan.
Observation
VI. Idiotie et crétinisme. Arrêt de développe-
reproduisons complètement en raison de l'intérêt qu'il présente.
Observation
VII. - Crétinisme sporadique compliqué de nanisme
rand du Saulle. Nous le relatons tel qu'il a paru à cette époque.
Observation
VIII. Oncle paternel aliéné; tante maternelle rac
ait avec le Pacha, idiot de Bicêtre, dont M. Bourneville a publié l'
observation
, comme cas de cachexie pachydermique. En effet,
trière. La malade est morte un mois après la publication de cette
observation
d'un érysipèle avec broncho- pneumonie double.
diagnostic avait été confirmé par M. Charcot. Nous ajouterons que l'
observation
cli- nique constate l'absence de tout goitre, e
enfant présentant des symptômes ressemblant à ceux du myxoedème.
Observation
IX. - Développement physique et intellectuel norm
cas de crétinisme sporadique, avec appa- rence de myxoedème »'. '
Observation
X. Rachitisme; absence probable du corps thyroïde
senté à différentes sociétés médicales un malade dont il a publié l'
observation
dans l'Encéphale (1882, p. 253) sous ce titre :
de l'autopsie communiquée à la Société d'anthropologie en 1883.
Observation
XI. - Père : quelques rares excès alcooliques; hé
ctéristiques de l'idiotie crétinoïde avec cachexie pachydermique.
Observation
XII. - Coloration cachectique chez la mère et une
ue avec myxoedème que nous avons réunis, un cas de M. Goodhart 1.
Observation
XIII. Absence d'antécédents héréditaires. - Idiot
de crétinisme avec myxoedème paraîtrait aussi devoir se rapporter l'
observation
de M. A. Voisin publiée dans la Revue photograp
it se rencontrer encore en grand nombre d'idiots myxoedémateux. Les
observations
anciennes de Curling, de Fagge, de Fletcher-Bea
us haut, paraissent en fournir la démonstra- tion. Il ressort des
observations
précédentes que chez tous les idiots crétinoïde
en dire que nous n'avons pas laprétention d'avoir relaté toutes les
observations
de crétinisme sporadique, compliqué de myxoedème,
rophie de la glande thyroïde est de même signa- lée dans beaucoup d'
observations
publiées du vivant des malades; nous citerons l
up d'observations publiées du vivant des malades; nous citerons les
observations
de Dyce- Duckworth \ Ord, Miller8, Hamiltone, O
rmon'). Il faut ajouter que, dans nombre de cas de myxoe- dème, l'
observation
est incomplète; souvent, par exemple, il n'y es
est fait aucune mention de l'état de la glande thyroïde. Parmi les
observations
que nous avons pu consulter, nous n'en avons tr
y of London, 1881, p. 61). à Nous ferons remarquer que, parmi les
observations
publiées sous le nom de myxoedème, il en est qu
gen, 1as, t. I, p. 420.) IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 355
Observation
XIV. Goitre colloïde accompagné de dyspnée,- Exti
as, été observée à la suite de thyroïdectomies partielles, mais ces
observations
sont souvent suscep- tibles des mêmes critiques
ection de l'isthme. Ces cas se trou- vent en partie expliqués par l'
observation
que vient de rapporter M. J. Reverdin d'un de s
examen de la glande thyroïde, celle-ci était lésée, que, dans les
observations
non suivies d'autopsie il est souvent noté qu'e
pporter succinctement les faits qui se sont passés sous nos yeux.
OBSERVATION
. - Tentative de suicide par pendaison. Accidents
ymptômes du côté du système locomoteur dans les psychoses simples'.
Observations
de malades. Dans la folie simple, il peut se pr
t des hémiplégies syphili, tiques.- La communication porte sur deux
observations
de mono- plégie typique du bras ou de la jambe
cas de cirrhose hépatique, pendant l'enfance et envisage plusieurs
observations
relatives à l'épilepsie, à la chorée, aux terre
ité essentiellement clinique s'appuyant sur les faits que fournit l'
observation
rapprochée des résultats de l'autopsie pour fai
x, telle a été la règle de conduite de M. Nothnagel. Le choix des
observations
a eté fait avec le plus grand soin, l'auteur rech
a symptomatologie spéciale, chaque chapitre comprenant l'exposé des
observations
, leur analyse, leur comparaison et les déductio
la science par les indications bibliogra- phiques et le résumé des
observations
principales parues depuis sur la matière. Signa
traité de psychologie pathologique qu'un livre propre à faciliter l'
observation
des malades. Sa Klinische Psychia- trie semble
a physiologie, soit même de l'anatomie pure. Je-serais sensible à ces
observations
s'il m'était démontré que le domaine qui m'est co
e bon nombre de nos collègues de l'étranger, privés du stimulant de l'
observation
clinique, en arrivent peu à peu à se désintéresse
itante des noyaux cartilagineux qu'elle pos-sède, jouent, d'après les
observations
récentes, un rôle sérieux dans la pathogénie de c
'on en croit les recherches de M. Trojanowski confirmées par quelques
observations
qui me sont propres, la même ap-préciation s'appl
nce de la couche d'épi-thélium cylindrique se voit aussi, d'après les
observations
que j'ai faites récemment, dans un grand nombre d
pontanée des parties re-vêtues d'un endothélium. Je rappellerai les
observations
de MM. Corail et Ranvier sur les résultats de l'i
us sommes trouvés heureux de pouvoir étayer nos descriptions de trois
observations
inédites. L'une de ces observations appartient à
étayer nos descriptions de trois observations inédites. L'une de ces
observations
appartient à M. le docteur Monneret, qui, avec la
anv. lev. 1853 (Diagnostic). Baimbert, Gaz. hebdom. 1856, page 655, 2
observations
? — Cotton, Gaz. hebdomad., malheureusement trop
strai.. etc., Lond. 1854, p. 15. — X'oirot, Annuaire, 1858, t. III, 2
observations
, Car/ti/irat. — Wunderlich, Pa'h. et Thêrap., 185
. I, p. 139-421. — Bennett. Clinical lectures, Edinb. 1858, p. 643, 2
observations
? — Stokes, Diseuses of the Chest., Dublin, 1837,
me; ici, en effet, ainsi que nous chercherons à l'établir d'après les
observations
des auteurs, et d'après celles qui nous sont prop
, était environ d'un tiers moins volumineux que le gau-che dans notre
observation
III ; dans l'autre cas, le lube infé-rieur droit
tion de la membrane muqueuse. Les mêmes faits sont signalés dans deux
observations
que M. le docteur Monneret a bien voulu nous comm
oins considérable d'un lobe, ou même d'un poumon. Dans notre première
observation
, un poumon tout entier était induré; dans la deux
quant à présent d'une manière définitive, en raison du petit nombre d'
observations
suffisantes que l'on possède sur ce sujet. D. F
cès chronique. — Vomique ichoreuse. Avenbrugger etCorvisart. a. Une
observation
consignée dans la clinique de M. An-dral et depui
es en rapport avec l'existence d'une pneumonie chronique ulcéreuse.
Observation
I. — Pneumonie chronique ulcéreuse. — Induration
béantes des bronches du volume d'une plume de corbeau. Dans l'au-tre
observation
il n'existait qu'une excavation située de même ve
devons à l'obligeance de M. le docteur Monneret de pouvoir insérer l'
observation
suivante, qu'il a recueillie en 1847 à l'hôpital
confirmer mon opinion. Les détails anatomiques qui accompagnent les
observations
de MM. Monneret, Hardy et Béhier et la nôtre prop
dilatation d'un rameau bronchique. L'histoire de la maladie, dans les
observations
I et II, tend à prouver en outre, que les cavités
alors que l'induration pulmonaire était déjà an-cienne. Enfin, dans l'
observation
I, on pouvait suivre, pour ainsi dire dans toutes
ais non gangreneuse l. 1 On peut rapprocher de cet ordre de faits l'
observation
intéressante rap-portée par M. le professeur Cruv
st aussi celle à laquelle nous sommes conduits par la comparaison des
observations
. — On peut rechercher d'abord s'il existe dans le
Grisolle. — Traité delà pneumonie, p. 330. trouve signalée dans des
observations
où l'on a pu assister aux premiers débuts de l'af
menace de se constituer à Tétat chronique. On sait, en effet, par les
observations
de M. le professeur Grisolle, qu'un lent retour d
point par la pneumonie chronique, ainsi qu'on peut le voir d'après l'
observation
que nous a communiquée M. Monneret. Chez la femme
us a communiquée M. Monneret. Chez la femme qui fait l'objet de celte
observation
, l'évolution de la maladie a été re-lativement ra
être plus rapidement fatale que les autres formes de la maladie. L'
observation
suivante, recueillie par nous à l'hôpital de la P
1 Wunderlich. — Patholog. u. Thérapie, 3 Bd., p. 3ô5. Obs. III. —
Observation
de pneumonie chronique succédant à une pneumonie
au niveau des parties indurées a été également notée dans une de nos
observations
(obs. III) ; seulement cela n'était point, dans c
t reproduite, mais il ne paraît pas qu'elle ait été justifiée par des
observations
précises. Suivant Wunderlich3, ce serait surtout
? Cela n'est rien moins que démontré. Notons cependant que parmi les
observations
rassemblées par M. le docteur Lagneau, dans sa th
core, dans la2e édition du Traité des maladies vénériennes deYidal, l'
observation
d'une personne atteinte de syphilis qui succomba
s. Stockholm, 1832, p. 18. 3 Paris, 1831, obs. 39, 44. L'une de ces
observations
est tirée des Annales de ha médecine physiologiqu
ous soumettre à cette méthode rigoureuse qui veut que l'on compte les
observations
tout en les pesant. Les matériaux dont nous pouvi
be était parcouru de bronches notablement dilatées. Le sujet de cette
observation
était un enfant de trois ans qui avait succombé q
moins limitée, les caractères non équivoques de l'induration grise. L'
observation
VIe du travail de M. Earth offre un exemple de ce
Longtemps mis en doute1, ce mode de terminaison a été prouvé par les
observations
de Grisolle2, de Hardy et Béhier 3 et par la thès
este, la rareté de ces faits paraîtrait sans doute moins grande, si l'
observation
de la ville pouvait être opposée à celle de l'hôp
nfin parce qu'il a pu suivre plusieurs fois d'une manière régulière l'
observation
cli-nique de ces récurrences fluxionnaires et leu
r. Induration fibreuse du sommet du poumon gauche. D'après ces deux
observations
, M. Charcot interprète de la manière suivante les
cidives nombreuses dans Je même point, la lésion s'offre toujours à l'
observation
sous les deux formes principales déjà mentionnées
mmenen Lungenaffectionen (Virch. Arch., 1861). sen 1 ont publié des
observations
intéressantes qui démontrent l'existence d'une fo
s ; cette lacune a été heureusement comblée par M. Charcot à l'aide d'
observations
et de pièces qui lui ont été obligeamment fournie
78), faite avec l'aide des conseils et des leçons de M. Charcot, deux
observations
de broncho-pneumonie subaiguë ayant duré trois mo
nie lobaire et entraîne une hydropisie notée dans un certain nombre d'
observations
(œdème des membres inférieurs et ascite). 2° Dépl
de ces cirrhoses du poumon consécutives à la pleurésie. Enfin, deux
observations
recueillies dans le service de M. Oulmont et comm
. Expériences de M. Charcot. — Faits analogues observés chez l'homme,
observation
de Traube (1860). — La matière noire pulmo-naire
ont eu autrefois un grand retentissement, et il suffira de citer les
observations
d'OEsterlen (1845), Mensonides et Donders, Orfila
Des faits analogues ont pu être observés chez l'homme. Telle est l'
observation
de Traube2, publiée en 1860. Il s'agit d'un porte
nthracosepulmonaire pathologique. — Synonymie. —Phthisie des mineurs,
observation
de Greenhow. — Anthracose des mouleurs en cuivre,
ons caractéristiques de la pneumonie interstitielle lobu-laire. Cette
observation
, si concluante au point de vue anato-mique, ne co
, les mêmes carac-tères essentiels, et on peut choisir pour exemple l'
observation
suivante, empruntée au travail de M. Greenhow2. I
4 ou 5 onces par jour. Ce fait est du reste signalé dans plusieurs
observations
. Le blak spit est un phénomène habituel, et les c
ons en proportion si forte y a été intro-duite du dehors. Une autre
observation
intéressante est encore due à M. Kuss-maul. Même
es, et elles peuvent être résumées de la façon sui-vante, d'après les
observations
de MM. Peacock, Desayrre, Hall, Meinel, etc. Le
iliceuses au sein des foyers d'induration. 1° Ainsi, dans plusieurs
observations
, on signale de petites particules crislalloïdes r
t que M. Charcot faisait son cours, M. Landouzy lui a communiqué deux
observations
de phtisie aiguë pyrétique où il s'agissait de de
e et l'intensité des symptômes généraux. Or, qu'on lise avec soin les
observations
et on verra qu'il n'en est pas ainsi, que l'état
uefois la grande cellule, est la gaîne lympha-tique, qui, d'après les
observations
d'Arnold, entoure le cordon angioplastique, dans
n sessile. M. Charcot en a vu très nettement de pédiculisés. Quelques
observations
le portent à supposer que les cellules géantes fo
tes relatives à la pneumonie caséeuse; elle sera faite à la lumière d'
observations
cliniques et anatomo-pa-thologiques nouvelles.
vient la période de désagrégation. M. Charcot a été conduit par des
observations
personnelles à abandonner cette doctrine qu'il n'
ité, le caractère qui leur a été assez généralement prêté. Toutes ces
observations
sans exception, — cas de Traube, cité par Lépine,
d'ailleurs, l'indication sommaire des principaux détails de ces deux
observations
: 1er cas. (Malade du service de M. le DrMesnet
tres dans l'épaisseur du lobe infé-rieur du poumon gauche. 2e cas. (
Observation
du service de M. le professeur Hardy, communiquée
au premier chef. » Elle l'est dès l'origine, ainsi que le démontre l'
observation
communiquée par M. le Dr Mesnet, et où la mort es
ER I. Purpura hémorragica et tuberculisation générale aiguë1. L'
observation
que nous communiquons à la Société de bio-logie o
embres de nombreuses pétéchies; mais il n'est pas question dans cette
observation
d'épistaxis ou de toute autre espèce d'hémorragie
le cours de la phti-sie aiguë, et, en particulier, dans celle de ses
observations
à laquelle nous faisons allusion, il est dit que
celles qui constituent la roséole typhoïde et des sudamina. L'une des
observations
qui se trouvent à la suite de l'article purpura d
et d'une coïncidence fortuite. Si nous en jugeons d'après nos propres
observations
, chez les sujets qui succombent à la tuberculisat
ner, en outre, l'apparition des ecchymoses et des pété-chies. Notre
observation
nous suggère une autre remarque : les cas patholo
ite : il faudrait y joindre la tuberculisation générale aiguë, si les
observations
semblables à la nôtre venaient à se multiplier.
vations semblables à la nôtre venaient à se multiplier. Voici cette
observation
: nous croyons devoir la reproduire dans tous ses
ervation : nous croyons devoir la reproduire dans tous ses détails.
Observation
. — Eémoptisie, amaigrissement. — Epistaxis abon-d
à plusieurs égards, se trouve confirmé pleinement par les nombreuses
observations
nécros-copiques que j'ai été à même de faire, pen
d'mo-pexie.Vú recueilli, dans ces derniers temps, un certain nombre d'
observations
qui me paraissent propres à établir que, dans ces
Mélanémie. ALTÉRATIONS DU SANG LEUCOCYTHÉMIE. — MÉLANÉMIE. L
Observation
de Leucocythémie1. L'altération du sang, caract
de Bennet (d'Edimbourg) et de Virchow (de Wurtzbourg). Cependant les
observations
bien authentiques que possède la science sur cett
re à la fin de ce travail, n'en compte que vingt-six. A ces vingt-six
observations
, il faut ajouter, aujourd'hui, celle qui a été re
Band, 3 Ileft ; Berlin, 1852), et enfin celle qu'on va lire. Notre
observation
ne diffère pas essentiellement de celles qui ont
lui très peu pronon-cés, les suffusions séreuses à peine marquées.
Observation
. — Bonne santé habituelle. — Accidents véné-riens
et necommuniquait pas au noyau de coloration rougeâtre. Tableau des
observations
de Leucocythémie bien constatée (Uhle). 1. V. V
egretter qu'il n'ait pas étayé ses descriptions d'un certain nombre d'
observations
particulières. — Roki-tansky et Wedl ont traité d
s. — C'est évidemment au même ordre de faits qu'il faut rattacher les
observations
pu-bliées par le docteur Tigri sous le nom de mil
par leur forme et par leur aspect les globules blancs du sang. Cette
observation
de Virchow a été confirmée par les recherches de
a suite de fièvres intermittentes malignes. Mais c'était là un fait d'
observation
dont la signification et dont la portée étaient
à ceux qui s'y accumulent en si grand nombre, en cas de mélanémie. L'
observation
a fait voir, enfin, que les altérations pigmentai
ès n'avait pas été notée parmi les antécédents des malades ; mais les
observations
de ce genre sont généralement défectueuses, et el
rvivre aux accès même pen-dant un temps fort long. Dans plusieurs des
observations
rap-portées par Planer, les malades présentaient
ires sur la production des phénomènes cérébraux. Malheureusement, les
observations
relatives à cet ordre de faits sont peu nombreuse
ui réclame de nouvelles recherches. Si l'on venait à établir, par des
observations
suffisantes, l'existence d'affec-tions cérébrales
surviendrait à la suite des fièvres intermittentes prolongées ; cette
observation
de l'illustre médecin anglais n'a pas été, que no
n des accès et revêt décidément la forme chronique Alors, d'après les
observations
de Frerichs et de Griesinger, on rencontre souven
nelle dans les cas de maladie d'Addison. Pour le dire en passant, les
observations
rapportées, il y a quelques mois, par M. le docte
tération pigmenlaire du sang, et qu'on ne trouve pas signalée dansles
observations
relatives à la ma-ladie d'Addison2. i Gazette h
remières publications de II. Ben-nett et de Virchow sur ce sujet. Les
observations
se sont multipliées ; on a pénétré de plus en plu
connu à fond ; et il est certain qu'en creusant encore le champ de l'
observation
, on arrivera, soit à découvrir des faits nou-veau
de la Gazette hebdomadaire, t. VIII, 1860, p. 755. nous publions l'
observation
suivante. Il s'agit d'un cas de leucocythémie, ca
nous et par M. Ch. Robin (Société de biologie, Comp-tes rendus, 1853.
Observation
de leucocythémie, par MM. Char-cot et Robin, p. 4
tance leur donne une importance plus grande que s'il s'agissait d'une
observation
isolée, exception-nelle. On peut supposer qu'on l
Il est clair que si ces cristaux sont rencontrés dorénavant 1 Cette
observation
aété reproduite à la page 315 de ce volume. dan
i, et le plus certain, de l'altération chimique des humeurs. Dans l'
observation
citée plus haut (Charcot et Robin), les cristaux
les cristaux étaient surtout en grande abondance dans la rate; dans l'
observation
actuelle, c'est le foie qui en a offert le plus g
cœur, suivi de cas analogues et de quelques remarques cri-tiques 1.
Observation
. —Antécédents: oppression, palpitations et. toux
'auréole con-gestionnelle au pourtour des ulcérations. INDICATION D'
OBSERVATIONS
ANALOGUES. - QUELQUES REMARQUES CRITIQUES. No
rétions suppurées dans les ventricules du cœur, mais je n'en trouve d'
observations
ni dans le tome II du Traité des maladies du cœur
rie qu'il paraît avoir rencontrées le plus souvent. Il ne donne pas d'
observations
particulières à ce sujet. (Voyez Hope, A Treatise
es qu'on a signalées dans les obser-vations qui précèdent. (Ces trois
observations
appartiennent à M. Miquel; elles se trouvent dans
xistence du pus collecté. C'est ainsi, par exemple, que, dans une des
observations
rapportées par M. Hughes Bennett, dans son mémoir
uvent très peu considérable. C'est ce qui se présentait dans les deux
observations
que je rapporte plus bas avec détails. Dans ces
es observés pendant la vie de mes deux malades. a) Dans la première
observation
, nous voyons l'affection du cœur rester complètem
s'accordait parfaitement avec la supposition de ces lésions. Dans une
observation
fort intéressante, lue à la Société anatomique, e
mportance clinique ; aussi croyons-nous utile de faire connaî-tre une
observation
que nous avons recueillie récemment et qui se rap
faveur un bon nombre de probabilités. Il est, entre autres, un fait d'
observation
d'un grand poids dans la question, c'est que le s
espace de temps généralement plus court son œuvre de destruction, une
observation
attentive et souvent répétée peut parfois en suiv
progrès pour ainsi dire jour par jour. C'est ce qui a eu lieu dans l'
observation
qui fait l'ob-jet principal de cette note ; dans
vement développés dans l'espace de huit jours à peine. travail. — L'
observation
x de Frerichs (Klinik der Leberkrankheiten, Bd. I
chs (Klinik der Leberkrankheiten, Bd. I, 1858, p. 17), et peut-être l'
observation
ix de Budd (On Diseases of the Liver. 29 édit., L
se multiplieront inévitablement dans la clinique. On verra par notre
observation
qu'ils peuvent dès à présent, au moins dans certa
ances favorables, être diagnos-tiqués avec quelque précision. Cette
observation
diffère d'ailleurs à plusieurs égards de la plupa
se sont montrées encore, que nous ferons connaître che-min faisant.
Observation
. — Affection ulcéreuse de la valvule tricuspide.
noncée. Il y a une tache rosée lenticu- 1 Un court extrait de cette
observation
a été inséré dans la thèse inau-gurale de M. le D
brineuses de la valvule tricuspide. Il s'agit en résumé, dans cette
observation
, d'un homme jeune, vigoureux, d'une excellente sa
dans l'espèce, une cause assez commune, à en juger par le nom-bre des
observations
où une semblable altération a pu être in-voquée p
r expliquer la terminaison soudaine et presque toujours imprévue. Ces
observations
, ainsi qu'on peut s'en con-vaincre par une étude
ue faiblement. C'est dans cette deuxième catégorie que doit rentrer l'
observation
qui fait l'objet principal de ce travail. Dans
ou confirmée, en présence de faits nécroscopiques relatés dans notre
observation
. Mais nous voulons surtout, après avoir rapporté
re observation. Mais nous voulons surtout, après avoir rapporté cette
observation
dans tous ses détails, en rapprocher les faits an
rès im-possible dans l'état actuel de la science. Voici d'abord notre
observation
: Obs. I. —Phlegmatia alba dolens post-puerpéra
'écume s'est présentée sur les lèvres. D'après les circonstances de l'
observation
, et se fondant sur la connaissance de cas analogu
a été si particulière, que, jointe aux différentes circonstances de l'
observation
, et en particulier à l'existence de la phlegma-ti
usqu'à quel point ces prévisions se sont réalisées. I. Dans celte
observation
, et dans quelques-unes de celles qui vont suivre,
Dans une intéressante disserta-tion inaugurale, M. Dehous3 rapporte l'
observation
d'une dame récemment accouchée, et qui avait été
puissant pour enrayer immédiatement les rouages de la vie. Voici une
observation
analogue, cette fois suivie d'au-topsie, et rappo
dant la grossesse, l'accouche-ment, etc., thèse de Paris, 1834. Cette
observation
a été empruntée par l'auteur à l'Union médicale,
innsel, in Archiv fur p/ujtiologische IJeilkunde, 1855, p. 379. Cette
observation
, publiée d'abord par le docteur Hoogeweg (de Berl
comme cause des morts subites après l'accouchement2, nous trouvons l'
observation
sui-vante 3 : Obs. III. — Une primipare, âgée d
2 Deutsche Klinik, septembre 1855, n° 36, 3 H se pourrait que cette
observation
, malgré quelques différences dans la rédaction et
). Afin que le lecteur puisse en juger, nous avons reproduit les deux
observations
in extenso. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Po
eu dense, sans autre alté-ration. Voici maintenant l'abrégé de deux
observations
dans les-quelles les veines de l'utérus et de ses
maient du pus concret, surtout vers les ligaments larges '. 1 Cette
observation
a été rapportée par le docteur IIerke,r d'après l
her., 1855). On peut rapprocher des cas précédents une intéressante
observation
rapportée par M. le professeur Cruveilhier, dans
cail-lots décolorés et adhérents. Obs. VI. — Il s'agit, dans cette
observation
, d'une femme âgée de vingt-neuf ans, primipare, e
ve, dans les cas qui précèdent, paraît avoir été la phlébite ; dans l'
observation
suivante, on voit la mort survenir subitement che
se une oblitération de l'artère pulmonaire par des caillots. Les deux
observations
qui suivent, empruntées au travail de M. Virchow,
is artérielles, on doit dé-couvrir, ainsi que cela a eu lieu dans nos
observations
, un ou plusieurs caillots de date plus ou moins a
rift fur Geburtskunde, 1833, Heft 2, S. 232) comme ayant rapporté des
observations
qui se rattachent à notre sujet. Malheureusement
e juger, nous donnons la traduc-tion à peu près textuelle de ces deux
observations
. Obs. XIII. — Une dame, âgée de trente-quatre a
tion on puerpéral Arterial Obstruction inflammation, P- 63. * Cette
observation
a été publiée par M. Ilavers. (Medic. Times and G
ésentèrent au-cune différence de volume. Comme on le voit, ces deux
observations
sont relatives à des femmes qui succombèrent peu
d'une manière aussi générale. La femme qui est l'objet de la deuxième
observation
(Obs. XIV) était encore atteinte d'un œdème doulo
us manifeste encore. IV. Quelle est la raison de ce rapport que l'
observation
démon-tre exister entre certaines obstructions de
ondant principalement sur les détails nécroscopiques consignés dans l'
observation
qui nous est propre (Obs. Ire). Les bouchons fi
igine. C'est là, très vraisem-blablement, ce qui a eu lieu dans notre
observation
: ici, un coagulum très dense, très volumineux, et
. On voit que nous sommes conduits à interpréter les faits de notre
observation
dans le sens de la théorie de l'embolie : cette i
trouve indiquée d'une manière explicite que dans un petit nombre des
observations
que nous avons repro-duites, d'après les auteurs
ation de ce caillot dans le temps même où elle s'effectuait; témoin l'
observation
XIe, dans laquelle il est dit qu'un thrombus anci
aines concrétions fibrineuses de l'artère pulmonaire est donnée par l'
observation
IX. Dans ce cas, en effet, l'une des extrémités d
ignalée par M. Virchow 2, et qu'on trouve notée dans plusieurs de nos
observations
, c'est que les symp-tômes redoutables produits pa
oins tranchés. L'existence de ces accès a été très manifeste dans les
observations
V, VII et XL Les changements de position que peut
, contre toute espérance, pour faire place à une guérison complète. L'
observation
suivante, que nous devons à l'obli-geance de M. l
ace ou s'il s'était détaché d'un point plus ou moins éloigné, et si l'
observation
apprend quelque chose à cet égard. Ce queje puis
sidéré comme complet. Les accidents relatés dans cette intéressante
observation
ont présenté une physionomie si bien caractérisée
s du siècle dernier en font à peine mention dans leurs ouvrages, et l'
observation
rapportée par Morgagni dans sa vingt-sixième lett
it comme l'un des premiers indices d'un travail in-flammatoire. Cette
observation
, d'ailleurs parfaitement exacte, ne pouvait être
te affection peu connue, M. Leudet (de Rouen) en a rassemblé quelques
observations
. — La pre-mière est due à M. le professeur Andral
l'ouverture de l'abcès dans la cavité du vaisseau, comme le prouve l'
observation
de Rokitansky; mais les signes de l'infection pur
herches sur le cœur et le système artériel. In Mém. de la Soc. méd. d'
observation
. T. I, 1887. — Corneliani. Su/la. non infiammabil
ian, Bulletin de la Société anatomique, 1874. — Charcot Rapport sur l'
observation
précédente, même volume. III. Anévrismes de l'a
46 La statistique de Lebert donne des résultats analogues : sur 83
observations
, l'anévrisme occupait : L'aorte ascendante.....
rimer aux fumeurs solides du médiastin. Chez une jeune femme dont l'
observation
a été publiée par Gordon, il existait une petite
e-produire en entier, parce qu'elles sont entièrement fondées sur des
observations
personnelles à l'auteur et il nous a paru utile d
phénomène fréquent, que Greene dit avoir ren-contrée dans toutes les
observations
qu'il a recueillies, est pro-bablement liée aux l
passagères, bientôt suivies de rechute. La lecture de la plu-part des
observations
en fournit des exemples incontesta-bles. Malgré
ccasion de vérifier ce fait à l'autopsie. Odoardo Linoli a publié une
observation
de guéri-son d'un anévrisme de l'aorte abdominale
évrismal le temps de s'organiser. Cepen-dant, Guattani a rapporté une
observation
qui semble démon-trer que les choses peuvent à la
ette règle n'est cependant pas absolue, ainsi que le prouve l'une des
observations
de Gairdner. Le cancer du pylore est peut-être,
ut d'ailleurs être prolongée par un traitement rationnel ; enfin, les
observations
peu nombreuses, à la vérité, mais parfaitement au
même peut rendre des services, dans quelques cas désespérés. Dans une
observation
rappor-tée par Gairdner, cette opération aurait p
icum, lib. IV, sect. 2, obs. 21. — Marchettis (Pierre de). Ilecueil d'
observations
rares. Obs. 48. Trad. Warmont. Paris, 1838. — Lan
Ann. gén. de méd., 1839, 3e série, t. V. — Dubreuil (de Montpellier).
Observations
et ré-flexions sur les anévrismes de la portion a
il. Bull, de la Soc. anat., 1853, p. 276. — Leudet. Rapport sur cette
observation
. In Bull, de la Soc. anat., 185 p. 287. — Rokitan
ommunications anormales de l'aorte et de la veine cave supérieure ; l'
observation
de M. Cossy, la courte notice consacrée à cette q
avec l'artère pulmonaire, et le diagnostic de cette lésion; enfin, l'
observation
fort intéressante publiée dans Y Union médicale,
artériel, et un point quelcon-que du système à sang noir. Dans les
observations
rapportées parThurnarn, l'ouverture s'était fai
ù la veine cave inférieure en était le siège. M. Tripier a réuni sept
observations
où la veine cave supérieure communi-quait avec l'
llard vient encore grossir le nombre de ces faits. Aran rapporte cinq
observations
où la tumeur anévrismale s'était ouverte dans l'o
t point attacher à cette localisation une valeur trop absolue. Dans l'
observation
rap-portée par Wade, le second bruit du cœur étai
circulation dans les mem-bres inférieurs. Depuis lors, le nombre des
observations
, rela-tives à ce genre de lésion, s'est considéra
u moins complète. À l'appui de ses idées, l'auteur anglais rapporte l'
observation
de Römer, dans laquelle une constriction de l'aor
elquefois de l'artère pulmonaire. La science possède aujourd'hui 55
observations
de rétrécis-sements congénitaux de l'aorte. Ils s
Prag. Viertelf IV Band., p. 160 ; 1845. — 22 et 23. Barth et Lebert.
Observations
lues à la Soc. méd. d'ols. en oct. ei nov. 1850.
., etc., rentrent dans cette catégorie ; et d'après la lecture de ces
observations
, ce serait presque tou-jours dans la portion infé
ience à cet égard, est l'opuscule de Knips Macoppe, qui rap-porte une
observation
de ce genre, dans laquelle le diagnostic fut port
ttée par le torrent circulatoire. Il existait, chez le sujet de cette
observation
, des dépôts fibrineux multiples dans les deux rei
vétérinaire. Paris, 1830. — Rayer. Recher-ches critiques et nouvelles
observations
sur l'anévrisme vermineux et le stron-gylus armat
rois et déterminer une perforation ulté-rieure (Destouches). Quelques
observations
de ce genre sont disséminées dans les traités cla
oblitération complète de l'une des artères iliaques primitives 1. L'
observation
intéressante, à plus d'un titre, qui fait l'objet
ière des chevaux affectés de coliques violentes. Pendant ce temps une
observation
at-tentive des membres atteints de claudication p
oir, semblables à ceux qu'on observe en pareil cas, chez le cheval.
Observation
.— Artère iliaque primitive droite en partie trans
ie ou abolie : malheureusement, il existe sous ce rapport, dans notre
observation
une lacune regrettable. Dans l'intervalle des acc
s, évi-demment comparables à ceux qui se trouvent relatés dans no-tre
observation
. De tout ceci, nous croyons pouvoir conclure qu
ie des collatérales. Depuis la publication de ce travail, plusieurs
observations
du même genre ont été recueillies par divers aute
été publié par W. Nothnagel. (Berlin, klin. Wochens., 1867, p. 36.)
observation
est, à cet égard, fort explicite — avaitprésentéd
concrète, contenant des globules pyoïdes. Nous avons pensé que nos
observations
, tout incomplètes qu'elles sont, pourraient acqué
ate, le foie. — Engorgements hémoptoïques dans les deux pou-mons 1.
Observation
. — La nommée Fromentin (Marie), âgée de 86 ans, a
g sortis des vaisseaux, que ne le font les globules rou-ges. Dans l'
observation
que nous rapportions en 1851, et que nous rappelo
à la suite d'une investigation minu-tieuse. Quoiqu'il en soit, les
observations
sur lesquelles s'appuie la partie purement descri
qui soit de na-ture à la justifier. D'un autre côté, les détails de l'
observation
ne nous permettent pas de croire que l'inflammati
squels on a créé la dénomination de typhus aborlif *. Plusieurs des
observations
de pneumonie lobaire abortive, avec courbes therm
. Expériences de M. Charcot. — Faits analogues observés chez l'homme,
observation
de Traube (1860). — La matière noire pulmo-naire
thracose pulmonaire pathologique. — Synonymie. — Phtisie des mineurs,
observation
de Greenhow. — Anthracose des mouleurs en cuivre,
ISIÈME PARTIE Altérations du sang. — Leucocythémie et mélanémie. I.
Observations
de leucocythémie.................................
partiels du cœur, 380, 385 ; — concrétions fîbrineuses des — , 385; —
observations
, 385, 390; — asthme cardiaque, 312,385. Anévris
oitrine, 513. Anthracose pulmonaire, 205 ; — phy-siologique, 206; —
observations
, 214; — différence avec le pig-ment hématique. 21
4; — expériences, 594; — nature isché-mique de la contracture, 597; —
observation
de — ischémique, chez l'homme, 599. Collapsus pul
typhoïdes, 4 03, 418: — symptômes locaux, 4C4; — étiologie, 405; —
observation
, 405 ; — signes d'auscultation, 417; Entozoaire
29; — siège et étendue des lé-sions, 111; — foyers gangreneux, 131; —
observations
, 132, 138. Induration pulmonaire, 161, 168; —
e), 504. Larynx (Affections chroniques du—) 518. Leucocythémie (
Observations
de —) 317, 349; — foie, rate, sang dans la —, 322
s du sang, 422; — étiologie, 422; — théorie de l'embolie, ^23, 450; —
observation
d' —, 424, 431 ; — cause de mort subite après l'a
—, 434, 435, 436; — sans altérations des parois arté-rielles, 438 ; —
observations
d' — sans altérations des parois, 438, 439, 440,
storique, bibliographie, U9; — étiologie, 161; — pronostic, 163 ; —
observations
de —, 140 ; — traitement, 163 ; — nosogra-phie,
onique des nouveau-nés, 128. Pneumonie chronique ulcéreuse, 145 ; —
observations
de —. 176 ; - débuts, 146 ; — symptômes, 146; — t
— exa-men physique, 149. Pneumonie chronique non ulcéreuse, 149; —
observations
de—, 150; — symptômes locaux, 154; — auscultati
interstitielle, 179, 181 ; — lobaire, 179; — pleu-rogène, 179, 200;—
observations
de — pleurogène, 183, 200 ; — in-terstitielle lob
angioplasti-ques, 269. Purpura hemorrhagica dans la phti-sie, 299;
observations
de —, 301. R Rales sous-crépi tan ts, 147.
nt pour la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière un résumé de ses
observations
sur les manifestations nerveuses de la curieuse
agglomération d'éléments libres, entourés des tissus voisins. Des
observations
que nous possédons jusqu'ici, des cas cliniques d
matoire du côté du système nerveux central. Nous possédons quelques
observations
dans lesquelles le syndrome cé- rébelleux se ma
cérébrale. Nous donnons, comme spécimen des faits de ce genre, une
observation
intégrale (PI. IV). En oulre de la véritable atax
uence des formes nerveuses de la trypanosomiase, nous possédons des
observations
nombreuses, qui nous autorisent, ri affir- mer
se; ils meurent alors d'accidents sur aigus de la trypanosomiase. -
Observation
. Observation résumée d'un cas de diplégie céréb
alors d'accidents sur aigus de la trypanosomiase. - Observation.
Observation
résumée d'un cas de diplégie cérébrale spasmodiqu
tomique vient augmenter l'importance. Les pièces et coupes de cette
observation
ont du reste fait l'objet d'une communication à
a Salpêtrière (2) : et qui ensuite fut remise à la Pitié. époque.
Observation
(1" période). 12 aoûl 9 90J. - La nommée L...,
des lésions qui les avaient déter- minés. Le rapprochement des deux
observations
prises à une année d'in- tervalle nous avait mo
la vérification anatomique de ce cas et elle vient compléter cette
observation
; aussi la rapportons-nous en détail ainsi que
n cellulaire, gomme, endartérite). Il est certains côtés de cette
observation
qui nous ont paru particu- lièrement intéressan
de de ces cas vont nettement à l'encontre des données classiques.
Observation
I. Dans la première observation, il s'agit d'un
'encontre des données classiques. Observation I. Dans la première
observation
, il s'agit d'un homme âgé de 70 ans, père de tr
ignements très détaillés. Voici, du reste, ce qui a été noté dans l'
observation
de ce malade sur les phé- nomènes qu'il présent
t le 10 juin 1910. Durant toute celle période il a été soumis à une
observation
très soutenue et l'on peut affirmer que l'état
motrice, ou, si l'on veut dire autrement, l'aphémie ou ]'anarthrie.
Observation
II La seconde observation a trait à une femme d
re autrement, l'aphémie ou ]'anarthrie. Observation II La seconde
observation
a trait à une femme de Si ans, mère de deux enfan
puis longtemps d'endocardite et de brightisme. Ftc. i. - Première
observation
. Destruction presque complète du pied de la trois
où vient se terminer le premier sillon temporal. Fio. 2. - Deuxième
observation
. Les zones délimitées par une ligne pointillée
ose exactement à celle de la malade dont nous venons de rapporter l'
observation
. Cet homme avait eu, pendant plusieurs mois, de
Varsovie) et la quatrième par le professeur Fed. Krause à Berlin.
Observation
1. M. W... 5t ans,inscrit le 23 février 1911, f
it pléocytose. Ce phénomène très prononcé, a déjà fait le sujet des
observations
de Nonne dans 6 cas de tumeur médullaire et de
Reichmann dans un cas. Pareille disproportion dans le résultat de l'
observation
du liquide céphalo-rachidien n'a jamais été cons-
lle par la compression de la tumeur, compression qui dura G mois.
Observation
II. L. G..., 56 ans, inscrit le 4 juillet 1910,
ière et le malade recommença à marcher. Dans la période finale de l'
observation
, comme trace d'une affection de la moelle, il ne
des symptômes dou- loureux ci-dessus, dans la cage thoracique. -
Observation
III. S. S..., 43 ans, inscrite le 15 janvier 19
n enlier. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE "51 f
Observation
IV. C. M..., 40 ans, inscrite à l'hôpital le 22
sion d'une tumeur extra- médullaire ; par contre, comme le prouve l'
observation
de Krauss, ils peuvent ne pas apparaître dans l
ent le cas en question. En considérant certaines particularités des
observations
interprétées plus haut, nous voulons avant tout
de tumeurs extra-médul- laires, et aussi extra-vertébrales. Dans l'
observation
IV en effet, durant 9 mois, dès l'origine de la
osé l'existence d'une tumeur intra-médullaire. Par contre, dans les
observations
1 et II les douleurs constantes, à type radicul
able et à localisation précise, ont été, dès le com- mencement de l'
observation
, à juste titre l'indice prédominant de la loca-
ant les racines postérieures, à l'exté- rieur de la moelle. Notre
observation
1 rappelait, dans sa période douloureuse, sous
Flatau dans sa monographie sur les tumeurs médullaires. Dans les
observations
1 et II, malgré la localisation des néoplasmes su
a droite, c'est-à-dire du côté où la tumeur était localisée. Dans l'
observation
III pareille prépondérance de l'affaiblissement
des symptômes de compression. Nous ferons remarquer du reste que l'
observation
I, témoignant du développement de la paralysie
nchement d'une tumeur intramédullaire. Au point de vue pratique les
observations
1 et II méritent une atten- tion particulière :
la deuxième par suite de la double opération chirurgicale. Dans l'
observation
I, l'arythmie prononcée et l'allorythmie étaient
le pouls redevenait plein, rythmique au bout de quelques jours. L'
observation
II nous enseigne qu'il ne faut pas reculer devant
oplasmes extramédullaires comme cela a justement eu lieu dans notre
observation
II. Malgré la paralysie récidivée des extrémités
y a lieu d'éviter autant qu'on lepeut. Revenant une fois encore à l'
observation
II nous soulignerons l'appa- rence trompeuse po
pour un temps plus long les douleurs dans la cage thoracique. Les
observations
1 et II accroissent le nombre de tumeurs de la mo
meurs méningées. D'un autre côté, le traitement opératoire dans les
observations
de Krauss, Auerbach, Veraguth, Schlap, prouvent
analyse à l'occasion d'un cas concret. Il est hors de doute que l'
observation
des malades a toujours quelque chose de plus to
nstaterai à titre épisodique, quelques interprétations délirantes ;
Observation
(pal. XI). Le « Père Eternel », ainsi qu'on le
pécheresse ne sera point condamnée ». Comme on le voit par cette
observation
, notre malade a poursuivi en dépit de tous les
lors interne dans le service et qui a, ultérieurement, rapporté son
observation
à un point de vue différent du nôtre, le vit à
vice en même temps que les deux myocloniques dont nous publions les
observations
. 1 A côté de ces myoclouies symptomatiques, il
. Il est intéressant de rappeler les to- piques principaux de cette
observation
. Le malade de Friedreich, un homme de HO ans, p
r revenir plus tard. Cette description a été confirmée par d'autres
observations
qui,en grande partie, présentent des variations
et de la face n'étaient pas atteints; mais, dans beaucoup d'autres
observations
très semblables à la description primitive, ces
sculaires produites dans les conditions et avec les caractères de l'
observation
primitive. Et, en même temps, nous devons étudi
il 'n'existe aucun caractère distinctif entre elles. Les premières
observations
de Kny (1888) ont même été présentées sous le t
la désignation de chorea sallatoria. D'autres travaux et d'autres
observations
(Bouveret et Devic, Massa- longo, etc.) ont pu
suivantes qui offrent un certain intérêt, comme préambule aux deux
observations
que nous publions ci-après : « Quant à leur r
mental persiste intact ou est très légère- ment affecté. Les deux
observations
qui suivent sont, comme nous le verrons, deux c
ndantes d'un état pithiatique ni d'une lésion organique quelconque.
Observation
I (PI. XVII). La malade M. A., de 15 ans, est e
r sa maladie M. Ferreira da Costa a publié sa thèse dans laquelle l'
observation
de cette jeune fille est reproduite avec soin. No
dans une description d'ensemble des myoclonies, en nous servant des
observations
dont nous avons parlé et d'autres aux- quelles
s ontpu avoir lieu en un cinquième de seconde. Les plus lentes de l'
observation
2 ont duré moins d'une seconde. La moyenne de d
est très inconstante, fait qui a été aussi constaté dans les autres
observations
. Quelquefois nous avons compté entre 10 et 40 s
t surtout avant de s'endormir. C'est déjà un fait consi- gné dans l'
observation
de Friedreich. Pendant le sommeil les mouvement
ie et, quant au rythme des deux cas cités et de celui du chien de l'
observation
de Vanlair, on peut faire des objections. Nous
ndborg se réfère à quatre cas du même mal dans la même famille. Les
observations
des cas de cette maladie sont aujourd'hui nombr
s. Ce type, défini par Friedreich, a des caractères spéciaux et les
observations
rares qui sont adjointes au premier cas de l'au
exister associées et on donne comme un des exemples de la troisième
observation
de Bergeron (1) Séance du 10 mars 19)0. HO MO
cas d'érythème et d'oedème mammaires qui, étant donné la rigoureuse
observation
des circonstances dans lesquelles il se produis
ue seule la persuasion médicale est responsable de leur guérison.
Observation
. M ... Charlotte, âgée de 13 ans 1/2, entre à l
déroulé ce phénomène que nous avons cru intéressant d'en publier l'
observation
. MANIE CHRONIQUE PAR R. BENON et PrDENËS
'asthénie chronique. Voici un exemple de manie chronique vraie. .
Observation
(PI. XIX). Résumé. Entrée à l'asile en 1878 à 4
23 mars 1878. Etat du malade à son entrée. - D'après les notes de l'
observation
de 1878, le malade était atteint à son entrée d
ivait pas près de lui quand il a commencé à (' folailler ». Cette
observation
est un exemple typique d'hypomanie chronique, v
tic de neurasthénie, d'hystérie ou encore d'hysLéro-neurasthénie. L'
observation
de Jeanne la Folle prise à l'aide des documents
en effet que dans ces dernières années on a recueilli de nombreuses
observations
d'achondroplasiques accompagnées d'examens clin
sont très rares. II apporte une contribution personnelle de quatre
observations
. Lui-même, qui tout d'abord définit la microsom
ossible de faire rentrer dans le cadre de la microsomie sa première
observation
dans laquelle les difformités ne sont pas légèr
nict,omélie relative n'y était pas du type rhizomélique. Dans une
observation
de MM. Cbaron, Degouy et Tissot le membre infér
génitale limitée aux deux humérus. MM. Stannus et Wilson firent des
observations
analogues dans la terre de Nyassa sur des indiv
e nom de micro- mélie segmentaire symétrique, deux de ses anciennes
observations
sur des squelettes aux humérus anormalement pet
in, et ceux de MM. Stannus et Wilson. Il y ajoute aussi une récente
observation
de MM. Crespin et Bonnet, sur une femme arabe att
= 112). 162 FERRUCCIO RAVENNA M. Molodenkov, tandis que dans deux
observations
il note des déforma- tions de la cage thoraciqu
te quelques points non négligeables de ressemblance avec une de mes
observations
. Il s'agit d'un homme de taille bien peu réduit
trophie des métacarpiens qu'on a trouvée chez le fils. ' Des deux
observations
que je vais rapporter la première regarde un su
l'histoire el l'examen clinique au complet de mon premier sujet.
Observation
1 \ Mario Ventisei, âgé de 24 ans, garçon et ch
ues et même parmi les normaux. Et mainlenunt je passe à ma deuxième
observation
. Observation II Frassi Francesco, âgé de 30 a
mi les normaux. Et mainlenunt je passe à ma deuxième observation.
Observation
II Frassi Francesco, âgé de 30 ans, né à Capron
nd'mère en ligne paternelle du sujet étudié. Enfin dans ma première
observation
, comme les différents signes de dystrophie, bie
rdent presque tout à fait et, comme c'est le résultat de nombreuses
observations
, ils o(frent les plus grandes garanties d'exact
es variétés. Ces formes d'achondroplasie partielle dont ma première
observation
représente une variété avec des caractères plus
qu'une lointaine ressemblance, d'autant plus qu'il s'agit encore d'
observations
cliniques sans examen anatomique. Du reste, quo
sur la microsomie essentielle, si l'on peut considérer la troisième
observation
comme un exemple suffisamment typique de cette
s à la suite de l'examen d'un achondroplasique typique, de mes deux
observations
et' de deux cas que M. Lévi appelle microsomiqu
al de beauté en proportions réduites c'est le sujet de la troisième
observation
de M. Lévi, bien qu'il ait une tête assez gross
zo- mélique aux membres supérieurs. Quant au sujet de la première
observation
, la macrocéphalie et la microsomie des membres
e la thyroïde était normale à la palpation, et que dans ma première
observation
la selle turcique apparaissait plus petite que de
faire au point de vue pathogénétique. Nous donnerons d'abord les
observations
des malades que nous avons eu la bonne chance d
rvations des malades que nous avons eu la bonne chance d'étudier.
Observation
I. H. Jung (PI. XXVII), 31 ans, né à Ingramsdor
l'objet d'une leçon clinique du Professeur Stricker, dé.Breslau).
OBSERVATION
.11. G. Ottée, 24 ans (PI. XXVII). Les parents
celle qui représente le crâne (PI. XXVIII) du malade de la première
observation
on remarque une dilatation des sinus frontaux ain
'après cette radiographie, l'état de la base du crâne. Dans l'autre
observation
la radiographie du crâne ne fut pas pratiquée.
es. Ici aussi la tête péronéale semble participer l'articulation.
OBSERVATION
111 (Pl. XXX). L'un de nous a publié jadis avec
OBSERVATION 111 (Pl. XXX). L'un de nous a publié jadis avec Marbé l'
observation
détaillée d'un autre cas d'achondroplasie. Le m
e de donner aussi cet examen. Nous donnerons d'abord un résumé de l'
observation
clinique de ce malade. N. R., 57 ans (en 1905).
euvent pourtant exister et le malade dont nous avons jadis publié l'
observation
ici même présentait une scoliose accentuée. Sig
pport pos- sible avec l'achondroplasie. La malade de la quatrième
observation
rappelle l'achondroplasie par sa petite taille
n se trouvait également chez le malade dont l'un de nous a publié l'
observation
avec Marbé (4) (Observation III de ce travail).
le malade dont l'un de nous a publié l'observation avec Marbé (4) (
Observation
III de ce travail). Zosin (5) en publiant l'o
arbé (4) (Observation III de ce travail). Zosin (5) en publiant l'
observation
d'un cas d'achondroplasie parle de la « démence
t maniaque. Ii s'agis- sait d'ailleurs, ainsi que cela résulte de l'
observation
de l'auteur, de la manie confuse, ou si l'on ve
e une certaine ressemblance avec celui qui fait l'objet de notre IV
observation
. Au point de vue étiologique il convient de ret
laire. L'autre jumeau était normal. Le même fait se retrouve dans l'
observation
de Hutschinson (7). La question de la pathogéni
II). 18. Arstem. Quelques remarques sur l'achondroplasie avec deux
observations
nou- velles d'achondroplases adultes. Nouvelle
t se rapprocher de dystrophies dont la nature est mieux connue. L'
observation
(1) d'une malade attteinte d'achondroplasie avec
e leurs manifestalations communes ont peut-être une même origine.
Observation
(PI. XXXIII à XXXV). L. D., originaire de l'Avy
pement d'une adiposité considérable. (1) Nous avons recueilli cette
observation
dans le service des maladies des vieil- lards p
issance, nulle part dans la littérature on ne parle d'une semblable
observation
, dans laquelle l'attention a été entraînée par
cette partie de l'encé- phale. Je commence par l'exposition de l'
observation
clinique : Observation Di M. Costantino, de 8
phale. Je commence par l'exposition de l'observation clinique :
Observation
Di M. Costantino, de 8 ans, entra à la Clinique
bilatérale, les paralysies peu- vent aussi être alternes. Dans mon
observation
, au contraire, bien dif- férente par l'évolutio
u'une vraie paraly- sie.Le contraire précisément se trouve dans mon
observation
. En outre, dans la myasthénie pseudo-paralytiqu
ent ; de même pour Oppenheim, l'albumine serait normale. Dans notre
observation
le liquide cérébro-spinal sortit avec une pres-
Bonhaeffer, obtenus aussi dans des cas qui eurent le contrôle de l'
observation
nécroscopique et qui ne sont pas en parfait accor
eure des symptômes que j'avais découverts. Durant le cours de mon
observation
, j'eus l'agréable surprise de prendre connaissa
lum et, chez le sujet observé, il faut le chercher sur l'humérus.
OBSERVATION
(PI. XXXVI). L'histoire du cas que je décris es
ortante, selon moi, c'est que, depuis que le sujet est soumis à mon
observation
, c'est-à-dire, depuis près de neuf ans, cet état
arus les phénomènes de névrite dans le membre in- férieur gauche.
Observation
. M. T..., âgée de 18 ans, entrée à la Maternité
avons observé le cas suivant qui nous a paru digne d'être publié.
Observation
(PL XXXVII). Homme de 63 ans, ayant toutes les
ion du pouce ; tels sont les phénomènes qui s'imposent d'emblée à l'
observation
. L'examen électrique, dont nous soulignons l'im
l3oisvert (2) sur les paralysies alcooliques ne contiennent aucune
observation
se rapprochant de la nôtre par une électivité a
ussi ces paralysies du pouce des jeunes tambours. Au moins, notre
observation
si elle n'établit pas absolument surdesba- ses
TABÉTIQUE PAR MANHEIMER GOMMÈS. Chez les névropathes, dont les
observations
sont en général si soigneu- sement prises, on n
fig. 1) provenant d'un tabétique dont nous allons publier une brève
observation
. Dans cette écriture, les signes d'incoordinati
etire le soir. z Comme nous n'avons pu retrouver dans les auteurs d'
observation
de ce genre, elle nous a semblé intéressante à
ttentive des deux malades dont nous allons maintenant rap- porter l'
observation
(1), et leur comparaison avec les divers faits se
s nous paraissent justifier ces appellations et ces distinctions.
Observation
1 (PI. XXXVIII). (Service du Dr GALLAVARDiN.)
cins des hôpitaux, qui ont bien voulu nous permettre d'utiliser ces
observations
recueillies dans leur service. 260 REBATTU ET G
depuis 6 ou 7 ans, notre sujet étant actuellement âgé de 31 ans.
Observation
II (Pi. XXXIX, XL, XLI). (Service du D'' LECLEn
T ~GRAVIER De plus, la sécrétion externe existe chez le malade de l'
observation
Il, dont les testicules sont de volume normal,
nt de volume normal, tandis qu'elle fait défaut chez le malade de l'
observation
I, dont l'atrophie testiculaire persiste. Ces d
et ressortissent à plu- sieurs facteurs pathogéniques. Malgré une
observation
minutieuse, nous n'avons relevé aucun signe qui
nt précisé- ment par les caractères que l'on retrouve dans nos deux
observations
: hyperaccroissement des os longs, surtout ceux
sticule brusquement sidéré par l'infection. Toutefois, de nouvelles
observations
sont nécessaires pour mieux pré- ciser ces dive
es testiculaires isolés, sont peu nombreux. Nous ne parlons pas des
observations
publiées par Clerc, par Widal et Digne, car le
sticule semble bien être seul à intervenir, ainsi que dans quelques
observations
de Pirsche (2), Mais le (1) Launois et Roy, Soc
t du gigantisme infantile pur, d'origine purement testiculaire. L'
observation
de Magdinier (1 ) publiée sous le nom d'infantili
ent pas être très exceptionnels, et nous sommes persuadés qu'avec l'
observation
attentive et l'interrogatoire minutieux des suj
pathique pour réaliser de la sorte l'apparition de la sclérodermie.
Observation
(Pl. XLII). N. B..., 20 ans. Antécédents héré
rodermiques au visage et aux doigts. De Sainte-Marie (5) a publié l'
observation
d'une basedowienne présen- tant de la scléroder
au commencement, finit par s'atrophier. Ditisheim (2) a donné les
observations
de 17 cas de Basedow, dont 8 auraient été compl
ne présentaient pas une véritable sclérodermie. En effet, dans les
observations
des cas IV, VII, IX et XII. il n'est men- tionn
sedow a succédé à celui de la sclérodermie. Grünfeld (5) décrit l'
observation
d'une femme âgée de 33 ans, qui souffrait depui
la sclérodermie et le syndrome de Basedow. Lissogorenko (5) donne l'
observation
d'une femme âgée de 34 ans, la- quelle avait so
et la maladie dite pierres de la peau ou syndrome de Profi- chet.
Observation
. Cattano Ernesta, 36 ans, née à Occiniano, nous
a été le premier auteur qui signala l'abolition des sueurs dans ses
observations
. Depuis on a discuté beaucoup pour savoir si, d
ulouieuse. La thermo-anesthésie est variable, mais comme dans notre
observation
, en règle générale, le sclérodermique est sensi
es atteints de sclérodermie, nous avons ob- servé encore dans notre
observation
des lésions musculaires et articulai- res assez
Lafond (1) publia un mémoire sur ce sujet, en relatant plu- sieurs
observations
de sclérodermie, parmi lesquelles il en donnait u
autupsie et les examens histojogiques du corps pitui- taire. Dans l'
observation
personnelle de Lafond il s'agissait d'un cas de
s, que je sache, encore été fait. A lire pourtant attentivement les
observations
, rares jusqu'à présent, des cas appartenant à la
cation des tissus sous-cutanés ou de la peau elle-même. La première
observation
qui ait rapport à ce sujet semble être celle de
lié par Busi de Bologne (2). Par l'étude analytique de toutes ces
observations
, on peut affirmer que le syndrome de Profichet
ajouterons qu'il n'est pas rare de rencontrer dans les nom- breuses
observations
appartenant au syndrome de Profichet un état spé-
rophique ont donné lieu à des erreurs de diagnostic ; ainsi, dans l'
observation
de Renon, en se basant sur la coexis- tence des
dules calcifiés ont une grande opacité. En résumé, tandis que les
observations
du syndrome de Profichet sont encore rares (une
llure franchement sclérotÍel'- mique. A ce'point de vue la première
observation
de Profichet est typique : son malade, âgé de 6
qu'il a été décrit d'une façon classique par Brissaud et Grasset. L'
observation
de Lexa (3) est analogue : le malade est émacié,
ntaires, le malade est cachectique. Voici ce que l'on trouve dans l'
observation
de Bayle (1) : femme rhumatisante, artères dure
és des phalangettes. Il est facile de conclure, par l'exposé de ces
observations
, que dans la maladie dite : pierres de la peau,
et et la sclérodermie, il faut voir encore si; parmi les nombreuses
observations
publiées, on ne peut trouver quelques cas de sc
sous-cutanée qui se fait au cours d'une véritable sclérodermie. Les
observations
que nous avons citées plus haut sont probantes à
a syphilis dans l'étiologie du vililigo. Nous donnerons d'abord l'
observation
de cette malade pour discuter ensuite la topogr
gmentaire ainsi que son étio- logie et sa pathogénie dans-ce cas.
Observation
(Pl. XLVI). La malade N. IL ? 27 ans. Ses paren
ns signa- ler maintenant et qui nous ont déterminés à publier cette
observation
. .La malade est de petite taille, 1 m. 38 seule
utres mons- truosités. Et comme dans la famille où Nonne a fait ses
observations
il y a quelques personnes nées avec de l'oedème
t-être avons-nous affaire à une névrose et ainsi serait justifiée l'
observation
de Milroy, dans laquelle I'oedème des deux jambes
ouvelle Iconographie de la Sal- pêtrière, 1899. , 8. LAXKOts. Une
observation
de tiophoedènbe chronique héréditaire. Nouvelle I
x névromes, l'un très ancien, l'autre tout récent du même nerf. L'
observation
suivante est, à cet égard, tout à fait intéressan
de vue des déductions de technique chirurgicale qui en découlent.
Observation
(PI. XLVIII). M. Ernest V..., pharmacien, âgé d
ntes à propos desquelles nous nous arrêterons un moment. Beaucoup d'
observations
que nous avons pu faire au cours de l'élude de
st ce qui a eu lieu pour les deux malades, dont nous rapportons les
observations
au cours de ce travail. Elles ont été suivies pen
s a permis d'évaluer l'éten- due en surface el en profondeur (1).
Observation
1 (PI. LI) (2). Examen clinique. - Cécile B. Fo
coupes vertico-transversales ne présente aucune trace de lésion.
Observation
II (PI. XLIX, L) (1). Examen clinique. Antoinet
réflexe olécranien est exagéré, le réflexe rotulien est normal. (1)
Observation
XXV de la thèse de'M. Bernheim. 342 DEJERINE ET
ophié, La commissure antérieure est également atrophiée. Ces deux
observations
sont instructives à divers points de vue. La pr
re à l'appui de cette hypothèse. Quoi qu'il en soit, l'intérêt de l'
observation
réside avant tout dans le degré très marqué d'a
a physiologie pathologique de l'aphasie : ainsi un certain nombre d'
observations
prouvent que l'hémisphère qui parait le moins a
Voici un exemple d'byperstbénie chez un sujet atteint d'idiotie.
Observation
. Résumé. Convulsions vers le sixième mois en 18
au repos, que nous venons de rappeler d'après Erb et Bernhardt. Des
observations
déjà anciennes faisaient mention de secousses c
sont abondamment signalés dans tous les traités et dans beaucoup d'
observations
de paralysie faciale avec contrac- ture. Ces mo
c la contraction de l'orbiculaire des paupières du côté paralysé, L'
observation
suivante nous paraît justifier cette proposition
cette proposition et mettre en évidence ce caractère distinctif.
Observation
I (PI. LII. Marie L..., âgée de 40 ans, exerçan
ou de secousses dans les muscles de la face du côté gauche. Cette
observation
peut se résumer ainsi : Une femme de 38 ans est
façon intempestive, à intervalles plus ou moins réguliers. Mais une
observation
plus attentive ne permet pas celte confusion :
terminologie adoptée par Brissaud, Meige et Feindel. La malade de l'
observation
précédente était donc atteinte de spasmes unila
nerf facial. etc., etc. N'existent-ils pas tous chez la malade de l'
observation
qui précède ? Si, d'autre part, on passe en rev
l'observation qui précède ? Si, d'autre part, on passe en revue les
observations
qui ont servi à la des- cription du spasme faci
e -même inexpressive (1) ; et, d'autre part, les cas semblables à l'
observation
précédente, dans lesquels, sur un fond de contrac
bien entraîner des secousses mus- culaires analogues à celles de l'
observation
précédente. A notre avis, le signe différentiel
rprétation n'est pas une simple vue de l'esprit. En premier lieu, l'
observation
que nous venons de rapporter n'est pas un fait is
palpébral étaient suivis de secousses de la face. Après toutes ces
observations
, faites sur un nombre assez élevé de mala- des
la contracture permanente de t'hémiface anciennement L paralysée. L'
observation
attentive permettait, chez tous ces malades, d'é-
nous l'avons facilement rencontré et étudié : il est relaté dans l'
observation
suivante. Observation II. Mme L..., âgée de 3
rencontré et étudié : il est relaté dans l'observation suivante.
Observation
II. Mme L..., âgée de 33 ans, sans profession,
nomènes ont persisté à ce dernier degré depuis 1910. Celte deuxième
observation
peul se résumer ainsi : . Une femme de 33 ans e
que l'analyse clinique permettait déjà d'affirmer dans la première
observation
et dans un certain nombre d'observations analog
d'affirmer dans la première observation et dans un certain nombre d'
observations
analogues, ressort plus clairement encore de l'
paupières et plus particulièrement des paupières du même côté. L'
observation
précédente n'est pas unique. Depuis que notre att
périphérique avec pa- résie faciale, précisent davantage. Dans leur
observation
I, on lit : « Les contractions spasmodiques de
gomatiques et l'éléva- teur de la commissure labiale. » Dans leur
observation
II, ces mêmes auteurs signalent que : « Chaque
-Thomas fait des constatations analogues au sujet de sa malade de l'
observation
III : « Par intervalles, il existait des contra
sie faciale périphérique ancienne en grande partie restaurée. Les
observations
précédentes sont jusqu'à un certain point confirm
nditionnées par cette seule cause à l'exclu- sion de toute autre.
Observation
III. G... Pierre, âgé de 39 ans, exerçant le mé
ême moitié de la face des traces très légères de parésie faciale. L'
observation
de ce malade est prise en détail surtout sur ce
inférieur. En comparant les résultats obtenus par M. Obregia à nos
observations
, il est fa- cile de s'apercevoir qu'il ne s'agi
UMEL, Chef de clinique ae la Faculté ae meaecme ae Montpellier.
Observation
. All... Virginie, âgée* 25 ans, entre, le 6 avr
absence du corps calleux à déjà été signalée dans un grand nombre d'
observations
, et sa constatation n'aurait qu'un intérêt relati
t embryologique récem- ment discuté que nous publions aujourd'hui l'
observation
d'un enfant dont t l'examen du cerveau permet d
roïdes et une absence complète du corps calleux. Quant à la seconde
observation
, elle se trouve page LXXXI de l'année 1904 (cas
hémiplégie gauche, épilepsie, et mort par congestion pulmonaire. L'
observation
résumée mentionne : os du crâne durs, moitié plus
out à fait con- forme au casque nous avons observé. Voici d'abord l'
observation
clinique (résumée) : Guerr..... Valentin, né
cas dans le vaste cadre des syndromes pluriglandulaires. Voici l'
observation
de notre malade. Le malade BI... Fernand,21 ans
tion de.notre cas, par analogie avec les données positives d'autres
observations
cliniques analogues. La description de M. Burni
fluette ; peau sèche; etc. Or les auteurs citent à l'appui de leur
observation
personnelle six observations cliniques dont l'a
Or les auteurs citent à l'appui de leur observation personnelle six
observations
cliniques dont l'analogie, contrairement à ce qui
de signes indéniables de tumeur hypo- physaire (on peut ajouter une
observation
plus récente de MM. Sainlon (1) R. l3mtmen, Tum
nution de profondeur de la cavité orbitaire. Nous apportons ici l'
observation
de 2 idiots porteurs l'un d'oxycéphalie Nouvell
ues brésiliens sont aussi de l'opinion que la maladie est rare. L'
observation
suivante mérite donc d'être enregistrée. L'atroph
e malade est semblable au type pseudo-hypertroplique de Duchenne.
Observation
(PI. LXI) A. L., âgé de 12 ans, noir, brésilien
sculaire dite primitive progressive, myopathique. La lecture de l'
observation
ci-jointe suffit pour qu'on voit qu'il s'agit d
pas encore élé observée chez les nègres. C'est pour ce motif que l'
observation
présente doit être enregistrée. DU PROCESSUS
uroglia of the spinal cord of the éléphant with Some preli- 9ninary
observations
upon the deuelopewent ol nevtroglia fibres. Tlie
-t-il, n'avait pas encore été attirée jusqu'à présent. En voici l'
observation
: Observation. M. Jean L..., 49 ans, scieur d
pas encore été attirée jusqu'à présent. En voici l'observation :
Observation
. M. Jean L..., 49 ans, scieur de long, entre à
urtant, à cause du caractère familial du trouble qui nous occupe, l'
observation
d'OEttinger et Agasse-Lafont signalant plusieur
hondroplasiques. Launois et Apert en 1905 ont rapporté également 12
observations
d'achondroplasie héréditaire ou familiale. D'au
ton Porter, Apert, Eicholy ; Franchini et Zanasi ont publié enfin l'
observation
d'un enfant achondroplasique né de parents acho
ce de semblable altération dans la maladie de Paget (3). Nos deux
observations
offraient chacune une particularité intéressante
ivel- lement des différents étages de la base. Dans notre seconde
observation
(cas 2), les lésions de la base étaient netteme
de Pa- get : aussi dans la thèse de Vincent (1904), où se trouve l'
observation
de- notre malade, le fait n'est pas rapporté.
nt nette sur le crâne 7 (Pl. LXVI, fig. 2) : et dans notre première
observation
(PI. LXVIII, fig. 2), où l'écaille de l'occipit
t dans des rares cas que ce syndrome se présente seul. Les récentes
observations
d'acromégalie signalent toujours, à côté des ph
linique géné- ralè de Rio de Janeiro. - 470 ALOYSIO DE CASTRO .
Observation
(Pl. LXXI). C. 0..., 43 ans, brésilien, ouvrier
er que j'ai trouvé au cours de mes recher- ches à ce sujet d'autres
observations
, évidemment analogues au cas actuel. Ce sont le
trouvées seu- lement dans quelques cas; mais n'oublions pas que les
observations
d'acromégalie avec autopsie et vérification de
observé par Ballet, et presque dans le même temps Lépine a publié l'
observation
d'un malade qui n'a présenté que des dou- leurs
massive, a été de réunir dans le cours de l'année 1903 une série d'
observations
, de l'étude desquelles s'est dégagé un complexus
-Dans les derniè- res années, Mestrezat el Roger ont publié quatre
observations
, tendant à faire valoir la théorie de « la cavi
nerveuses de l'hôpital l'antelimon : 486 MARINESCO ET RADOVICI
Observation
I. C. J.'Ned..., âgé 4b ans. Entré le 14 mars 1
lombaires lui ont procuré une amélioration réelle, mais passagère.
Observation
II. P. Gh., 37 ans. Le malade entre le 16 avril
inées en une masse très adhérente de tissu de nouvelle formation.
Observation
III. J. Jur..., âgé de 32 ans, laboureur. Entré
le coma. Sa famille l'a transporté à la maison presque agonisant.
Observation
IV. J. M..., 38 ans. Reçu dans le service le 24
e temps dans l'hospice, faisant office de bûcheron. En résumé les
observations
précédentes indiquent quatre cas de syn- drome
euxième les faits anatomo-pathologiqnes obtenus à la nécropsie. Les
observations
de Cestan et Ravaul, Tedeschi, Sicard et Descomps
té rigoureuse- ment attribués à la syphilis. De même dans plusieurs
observations
à marche e chronique, le traitement anti-syphil
contenant du fibrinogène. Quelques fins filaments de fibrine sont d'
observation
courante, dans les méningites aiguës (tubercule
aux vasa nervorum. En 1885, M. Otto Zuckerkandl 2, à propos de deux
observations
, analysait les conditions et les voies de la ci
a nervorum, lors d'oblitéra- tion d'une grosse artère. Aussi de ces
observations
et - de son expérience propre, M. Zuckerkandl c
- ple, le sciatique (fig. 2). L'ordonnance vasculaire est ici d'
observation
aisée : une dissection fort simple suffit à e
ignalées en 1881, quand je publiai, à un tout autre point de vue, l'
observation
de cet intéressant persécuté. Voir Ann., jan- v
ici du reste quelques exemples choisis parmi 'd'anciens aliénés :
Observation
XVI. L..., négociant, né en 1836, interné depuis
as Henri de Bourbon. Le ton se modifie sensiblement selon le cas.
Observation
XVIL-V..., néon 1850, entré en 1874. Grand-père
e. Ces idées rendent le malade très difficile pour son entourage.
Observation
XVIII. - Ch..., au moment de son admission (1884)
c IDÉES d'orgueil, DE satisfaction vagues, non FORMULÉES. -Dans les
observations
qui précèdent, les quinze premières sont certai
tématique : à la rigueur, on pourrait encore y comprendre les trois
observations
suivantes (16-18). J'arrive maintenant à une ca
tache ». Jamais il n'est arrivé à une idée de grandeur concrète. L'
observation
suivante est plus caractéristique encore : .
crète. L'observation suivante est plus caractéristique encore : .
Observation
XIX. Ce malade, dans un accès de délire, a tué
erait plutôt un dégénéré héréditaire. 'Observation XX. -J'ai lu l'
observation
de ce malade à la Société de médecine légale, e
édecin qui l'a soigné dans l'asile ou il a été d'abord enfermé. '
Observation
XXI. Le malade de l'observation précédente n'est
le ou il a été d'abord enfermé. ' Observation XXI. Le malade de l'
observation
précédente n'est à Charenton que depuis six moi
une découverte; je me figurais simplement avoir signalé un fait d'
observation
banale, journalière. Mal m'en a pris. J'avais bel
ersécu- teurs, que Magnan range parmi les héréditaires dégénérés.
Observation
XXII. M..., cinquante ans, propriétaire. N'a ja
sion. M... aurait, sans aucun scrupule, tué son frère. , . , .. L'
observation
suivante me paraît offrir un intérêt particulier;
présent, n'a manifesté aucune idée de grandeur : ! ..., , r ? , .
Observation
'XXIII. --Jusqu'en'1879,1 5 ? occupait'une haute
ations, je n'ai pu surprendre aucune idée ambi- tieuse. Une autre
observation
que je pourrais citer est' celle d'un capitaine
deurs '. C'est au moins une concordance avec ce que 1 Voir quelques
Observations
de mon Etude sur la mélancolie : Obs. 8, 27, 28
euve nouvelle que, si je me trompe, mon erreur est pardonnable. 1
Observation
XXIV. - B..., né en 1836, mène depuis de longues
u'on pratique sur lui. Le délire reste cantonné dans ces limites.
Observation
XXV. S..., né en 1833, a une soeur folle, enfer-
nait à entendre que c'était bon pour lui, que c'était sa place ».
Observation
XXVI. S..., lieutenant d'infanterie, quitte le
s sexuelles, afin de prouver qu'il n'a pas cessé d'être un homme.
Observation
XXVII. G ? cultivateur, homme vigoureux et robu
IY. Il me paraît inutile de poursuivre cette revue, de nouvelles
observations
n'ajouteraient rien à celles qui précè- dent ;
vérité. Sur les quarante persé- cutés, dont je viens de réunir les
observations
, j'en trouve trente et un avec idées de grandeu
admissions peuvent demain changer les proportions. Mais comme mes
observations
n'ont pas été choisies arbitrairement, que je les
t la forme délire chronique systématisé (Magnan) '. Et, d'après mon
observation
personnelle, l'évolution du délire serait génér
ison de l'oubli dans lequel on avait paru la laisser jusqu'ici. Les
observations
que nous allons rapporter ont été recueillies p
que, soit dans la clientèle privée de M. le pro- fesseur Charcot.
Observation
III. A. Lem..., cinquante-neuf ans, maçon, entr
Benedikt et tout récemment étudié par M. Martien. Joannès '. - .
Observation
IV. E.Kat..., isréalite,. cinquante-six ans, co
e ' semble parfaitement établie. Elle repose du reste sur ce fait d'
observation
clinique que les juifs sont particulièrement at
e lésion tabétique propagée au quatrième ventricule, comme dans les
observations
de Oppenheim, Reumont et Fischer, et cela pour
naires de la glycosurie d'origine tabétique'. Bref, comme dans l'
observation
III, il s'agit d'un cas d'association du tabes
iation soit simplement le ^fait de la prédisposition héréditaire.
Observation
V (personnelle). M. C..., soixante ans, rentier
temps constaté dans l'urine, examinée une fois par semaine. Cette
observation
est à peu près calquée sur la précédente; elle
a trait à un cas d'association du tabes avec le diabète sucré. -
Observation
VI. F. de la P..., soixante ans, journaliste, s
La soif, l'urination, l'appétit sont normaux. Nous voyons dans l'
observation
que nous venons de résumer un homme, sans héréd
ec la disparition apparente sinon réelle du diabète est un fait d'
observation
intéressant à souligner. Ne sait-on . ZD pas
est impossible, dis-je, de ne pas se rendre à l'évidence, lorsque l'
observation
consciencieuse des faits nous apprend que tous
qu'on rencontre la coexistence .du tabes'et du diabète. Les quatre
observations
que nous venons de résumer montrent que cette a
vons faire une exception en faveur de Fischer qui mentionne trois
observations
intéressantes, malheureusement in- complètes et
le résumé d'un de ces trois cas : z L 68 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
VII. (FiscHER Centralb. fùr Nervenheilk., 1886,
est déjà suffisamment dégagé pour qu'il soit inulile de publier des
observations
qui fassent nombre. Si nous jugeons convenable
n phénomène qui jusqu'à présent n'a été signalé par aucun auteur.
OBSERVATION
. -Lamb., vingt-huit ans, lingère, célibataire, hô
ne du trijumeau; par E.-A. HOMERS. (Neurol. CenLrcaLGl., 1890.) .
Observation
montrant que le trijumeau a dégénéré dans son t
tion du MYXOEDÈME ; par E. KpOEPELI. (Nell1'ol. Centralb., 1890.)
Observation
de myxoedème au début offrant ceci de saillant :
a THÉORIE DE l'aphasie; par K. Cramer. (arc. f. Psych., XXII, 1.)
Observation
complète (au point de vue clinique et analomo-pa-
trophie cérébelleuse; par P. MENZEL. (Arch. f. Psychiat., XXII, 1.)
Observation
avec autopsie constituant le tabes de Friedreich;
documents à l'étude de cet organe, M. Boursout apporte une série d'
observations
comprenant quatre cas d'atrophie du cervelet ét
sirer sous le rapport de la conformation et du développement. Les
observations
d'hypertrophie du cervelet, dans lesquelles le
1° l'influence génitale du cervelet fait totalement défaut dans ces
observations
d'atrophie et d'hypertrophie sauf dans un cas d
t une garantie pour l'équilibration des mouvements puisque dans les
observations
citées, l'hypertro- phie et l'atrophie entraîne
TÉRIQUE; par H. DETERMANN. (Neurol. CGIlL>'4lGl., c , ' 1890.)
Observation
de monoplégie du membre inférieur gauche chez -
bach et A. SCliTTSCIIEIIBAC11. (Xeurol. Centralbl., 1890.) Nouvelle
observation
caractérisée par l'explosion sourde de l'af- fe
e l'auteur ; un cas de Pitres (Revue de médecine, 10 avril 1888). L'
observation
de Loevenfeld se résume ainsi : Un foyer de ram
IE du tabès; par M. BERNHARDT. (Neurol. Centralbl., 1890.) Dans l'
observation
présentée, l'auteur invoque les excès de machin
interrogeons la méthode ana- tomo-clinique. Voici, à cet égard, une
observation
instructive. Monoplégie brachiale droite; dans
ées; par C. S. fREUND. (Arch. f. Psych., XXII, 2-3.) Trente-trois
observations
dont trois avec autopsie. Vingt-neuf, soit 88 p
méd., 1891, t. LXVI.) Les conclusions de ce travail basées sur une
observation
person- nelle et quelques autres faits déjà pub
but d'une attaque d'influenza, la malade qui fait le sujet de cette
observation
présenta, comme troubles sensitifs, des névralg
A l'appui de cette dernière opinion, le Dr Bonamaison rapporte l'
observation
d'un jeune homme de dix-neuf ans, héréditaire, qu
eau voisin, et l'aphasie est accompagnée d'hémiplégie (Pitres). L'
observation
de M. Lacroix est la confirmation de cette donnée
rme myopathique émane aussi du système ner- veux central. Une autre
observation
à l'appui de cette assertion, nous est fournie
chiat., XXII, 1-2.) Etude clinique et anatomo-pathologique de trois
observations
de syphilis du système nerveux central, qui se
tème nerveux central, qui se résument brièvement ainsi. La première
observation
s'est présentée cliniquement sous la forme d'un
Cette hypérexcitabililé est un phénomène exceptionnel qui, dans l'
observation
en question, a simulé les convulsions de la troi-
rvenheiLk, 1890.) Mémoire écrit en français. Il s'agit de nouvelles
observations
sur : A. Les épileptiques et les criminels. B.
toutes les variétés de la forme aiguë. En résumé, à mesure que les
observations
cliniques se sont accu- mulées, on a vu se prod
re l'étude de ces rapports que l'auteur nous présente une série d'
observations
de la forme aiguë prises dans la clinique du pro-
a clinique du pro- fesseur Mierzejewski. Le caractère général des
observations
se présente sous l'aspect suivant : hérédité da
a mélancolie. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 119 III.
Observations
CLINIQUES DE l'asile provincial d'aliénés DE KR
de : mélancolie, - folie neurasthénique, démence aiguë (qua- torze
observations
) ; folie systématique (paranoïa) chronique (hui
torze observations) ; folie systématique (paranoïa) chronique (huit
observations
) ; imbécillité avec folie systématique (obser-
té avec folie systématique (obser- vation n° 25); folie périodique (
observations
nos 26-28); manie périodique (observations n° 2
° 25); folie périodique (observations nos 26-28); manie périodique (
observations
n° 29 de folie systématique pério- dique) ; par
29 de folie systématique pério- dique) ; paralysie générale (quatre
observations
); folie épi- leptique (observations n°s 34, 35,
e) ; paralysie générale (quatre observations); folie épi- leptique (
observations
n°s 34, 35, 36). Etude analytique; discus- sion
a; par A. SCIIUITZ. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.) Sept
observations
sous le diagnostic : mélancolie aiguë. Il n'y a
ne analogue à [celle présentée par M. Targoula. Essai d'un plan d'
observations
. M. MARANDON de IIIONTZEL propose à la société
iné à faciliter le travail des débutants qui veulent recueillir des
observations
, encouragerait les intrus à communiquer les obser
sont chargés d'examiner la pro- position de M. Marandon. Curieuse
observation
de suicide d'un paralytique général. - M. ROUJL
ralytique général. - M. ROUJLLARD rapporte, au nom de M. Sizaret, l'
observation
de du paralytique général qui s'est suicidé en
oire et de l'hallucination obsédante. M. SÉGLAS communique quelques
observations
de malades qui l'amènent à formuler les conclus
400 pages, chez J.-B. Baillière, 4892. Depuis quelques années les
observations
d'athétose double ont fait l'objet de plusieurs
elatifs à celte question. Quoique l'auteur y ajoute trois nouvelles
observations
, on peut regretter qu'il se soit borné à une si
e ces fonctionnaires et tant que chacun d'eux reste dans la stricte
observation
des statuts réglementaires aucun conflit n'est po
é de l'étrangler. Ce malheu- reux ne rêve que meurtre. A la moindre
observation
, il entre dans des colères épouvantables, saisi
deux années, c'est-à-dire à l'âge de quatorze ans. Voici le fait.
Observation
. Paralysie générale progressive ayant débuté ci l
e qui est en jeu chez le jeune malade dont nous venons de relater l'
observation
. En dépit de l'âge du patient le diagnostic s'i
robablement, autant qu'on en puisse juger recevront la sanction des
observations
ultérieures. C'est le plus souvent (8 fois sur
ale des femmes. Il en a 154 CLINIQUE NERVEUSE. été ainsi dans des
observations
précitées. C'est là, en ce qui concerne l'évolu
uteuse dans les deux cas de Régis; elle est certaine dans une des
observations
rapportées par Clouston : enfin, chez le sujet
rielle et iodurée mise en oeuvre est restée ineffi- cace. Et dans l'
observation
de Clouston comme dans celle de M. Ballet, l'au
ls viennent d'accomplir. . ! . Voici, relatée en quelques mots, une
observation
typique de manie homicide chez un épileptique..
les,plus graves, comme , viols ? incendies; et ! même, meurtres. Les
observations
se, rapportent, sou- vent à des enfants ou à de
ine- diabétique, Althaus dit : « Actuel- lement on ne possède pas d'
observations
très con- cluantes sur les paralysies des muscl
le diabète, nous avons vu plus haut, à propos des commentaires de l'
observation
III, ce qu'il fallait en penser. Cette atrophie
bétique le chiffre du sucre est en général peu élevé ; les diverses
observations
publiées jusqu'ici parlent toutes en ce sens. D
deux symptômes qui semblent constants; ils existent dans les trois
observations
de glycosurie d'origine tabétiques connues de n
s celui de Reumont, à 100 et il était cons- tamment accéléré dans l'
observation
de Fischer. ASSOCIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈT
aire remarquer que ces divers - symptômes faisaient défaut dans les
observations
iné- dites que nous avons rapportées plus haut.
'il nous envoya dans la suite et qui n'est pas moins intéressant.
Observation
DE la famille A... (Maladie de Friedreich.) (Dr
le faire aujourd'hui de plus en plus. : z Voici tout d'abord une
observation
de délire mélancolique déjà publiée par l'un de
la n'est pas rare cependant et il en est, comme le témoi- gnent nos
observations
antérieures, qui rapportent leurs voix intérieu
à un examen superficiel pour une véritable voix ' -extérieure. -
Observation
Il 1f ? 13..., âgée de cinquante-neuf ans, se pré
c'est qu'elle arrive ainsi à se parler à elle-même à haute voix.
Observation
Il. - La nommée Marie Fuzer... est entrée à la
gne d'une malade qui se disait elle-même paralysée de la volonté.
Observation
III. - Mélanie Bac..., veuve Paq..., âgée de cin-
nit presque jamais sa pensée. En somme, pour résumer cette longue
observation
qui à nos yeux représente un type de mélancolie
lirantes auraient pu être prises aussi pour des hallucinations. `
Observation
IV. La nommée Marie-Anne Tauq..., vingt-neuf an
entendu d'autres voix, venant de l'extérieur frapper son oreille.
Observation
V. Jeanne-Marie Cresp..., âgée de quarante ans,
mes phrases en les retournant. Le fait le plus intéressant de cette
observation
est l'exis- tence des voix intérieures auxquell
le. Nous-croyons devoir insister sur ce détail parce que dans les
observations
de stupeur que rapporte Baillarger en les rat-
ni entendu qui expliquât son inquiétude. 216 . RECUEIL DE FAITS.
Observation
VI. La nommée Victoire Lam..., veuve Pasq..., f
omme toutes les autres ' fonctions cérébrales. R. M. C. VIII. UNE
observation
d'état CONVULSIF ou d'état épileptique; par IIA
e locomo- trice sont assez communément associées. R. M. C. X. Une
observation
DE maladie DE RAYNAUD, consécutive A la manie a
ques en général. R. M. Q. XIX. Cinquante ANS A l'asile DE BETHLEM :
observation
de c a10 ; par R. PERcY-SMITH. (The Journal of
par R. PERcY-SMITH. (The Journal of Mental Science, octobre 1889.)
Observation
curieuse d'un homme qui, après avoir passé dix an
ses formes de démence, quelle qu'en soit l'origine. R. M. C. XXI.
Observation
D'UN cas DE FOLIE A deux chez CINQ MEMBRES D'UN
rnal of Mental Science, octobre 1888.) L'auteur relate longuement l'
observation
d'un cas de folie chez un jeune homme de dix-ne
nt de chorée; les points les plus intéressants à retenir dans cette
observation
sont les suivants : la chorée était unilatérale
la chorée était unilatérale gauche, taudis que, dans la plupart des
observations
similaires qui ont été publiées, elle est général
Journal of Mental Science, janvier 1889.) Ce travail repose sur six
observations
recueillies et relatées avec soin, dont l'analy
la forme chronique. L'auteur souhaite en terminant que de nouvelles
observations
de folie post-opératoire soient recueil- lies a
trie de 1868 et dont l'auteur rapporte avec soin et avec détail une
observation
intéressante. Ce trouble men- tal a été considé
e des faits les plus ordinaires ne les satisfont aucunement; dans l'
observation
. rapportée, toutefois, les interro- gations du
Riv. sp. di /' ? -en., t. XVII, fasc. I-u.) L'auteur rapporte douze
observations
qu'il fait suivre de consi- dérations générales
QUE I. La PARALDÉHYDE considérée comme hypnotique, avec PLUSIEURS
observations
; par Morgan FjNuc,iE. (The Journal of Mental Sc
hez lui aucun trouble du champ visuel ni de la sensibilité. Une des
observations
principalement caractérisées par le syndrôme de
J. Steiner. Du sommeil hystérique. En voici deux observa- tions :
Observation
I. Jeune dame de vingt et un ans se plaignant d'a
réiques disparurent, il ne se produisit plus d'attaques de sommeil.
Observation
II. Femme de quarante et un ans, réglée à vingt e
tte question. En attendant, il est intéressant de nous reporter à l'
observation
d'atrophie complète d'un système pyramidal comm
de des conséquences de la com- motion cérébrale. -11 s'agit de deux
observations
avec autopsie et même avec examen microscopique
on du crâne et du cerveau. Le microscope décèle (dans la pre- mière
observation
) une lésion disséminée des petits vaisseaux ; leu
la mort. 244 SOCIÉTÉS SAVANTES. Si l'on rapproche ces faits de l'
observation
de Sperling et Kronthai, il appert que la commo
a trois ans, M. Kahlden (Yirchow's Archiv., t. CXIV) a publié deux
observations
dans lesquelles les ganglions étaient fortement
cence des fibres nerveuses. M. Kalilden n'a, dans l'ensemble de ses
observations
, 250 SOCIÉTÉS savantes. constaté que des dégé
leplique) dont la nature est pro- bable, mais incertaine. Voici une
observation
suggestive. Une femme de 48 ans est atteinte d'
i ait été publié. Georges GUINON. VI. Recueil de mémoires, notes et
observations
sur l'idiotie; par BOURNEVILLE. T.I. (Bibliothè
de me communiquer le plus prompte- ment possible, en y joignant les
observations
personnelles que pourra vous suggérer la questi
médical et reproduit dans le compte rendu de Bicêtre, pour 1884, l'
observation
d'un malade atteint d'instabilité et de débilit
streint où l'on peut disséminer les aliénés ainsi assistés; la même
observation
s'applique aux con- ditions de logement, etc.,
r mes col- lègues, qu'un objet de curiosité, jusqu'au jour où une
observation
plus attentive leur démontra la vérité des fait
de clinique, je cherchais de nou- veaux malades pour multiplier mes
observations
, quand un médecin du voisinage, qui suivait ma
ait donc nul intérêt à continuer au jour le-jour cette intéressante
observation
dont les conditions élé- mentaires restent les
nom d'extraordinaires ! ! ! Basés sur ces études cliniques, sur ces
observations
et sur quelques autres du service de Charcot à
tentative très sérieuse de strangu- lation à la suite d'une simple
observation
du sur- veillant. Il présente en même temps d
es. Je viens de lire dans l'ouvrage de M. Gilles de la Tourette une
observation
précise de ce genre : des hystériques, nous dit
du médian et surtout de ses filets superficiels. Mais en prenant l'
observation
de la malade, on fit une singulière découverte
ne ressemble pas aux autres lésions nerveuses. Un certain nombre d'
observations
que nous avons eu l'occasion de faire autrefois
seulement à ce moment. A peu près, au même moment, je fis une autre
observation
également embarrassante, mais il s'agissait cet
ues, telle qu'on la cons- tate et qu'on l'admet couramment dans les
observations
cliniques. Archives, t. XXIII. 22 338 CLINIQU
est déjà tombée en arrière hyp- notisée. n Que pensez-vous de ces
observations
? Quel est votre avis sur l'état de la sensibil
1 On devine que ce fait n'est pas ici aussi naturel que dans mon
observation
foi tuile de 1887 : il est obtenu ici par une sug
vent amener avec elles des conséquences nombreuses, accessibles à l'
observation
. La supposition principale que nous avons faite
Janet a répété ces expériences sur deux malades dont il m'a donné l'
observation
. M. A. Binet' les a reproduites également sur p
ney et Myers en Angleterre, M. Max Dessoir à Berlin, ont publié des
observations
tout à fait analogues. Je crois qu'il ne serait
qu'il ne serait pas difficile de réunir aujourd'hui une trentaine d'
observations
d'anestbésie hystérique se com- portant absolum
7, Rabenau8, Karrer9, Christian'0, Mabille ", Bovell 12, d'après 40
observations
fournies par M. Bourneville, Saundby 13 la nien
nte pas en réalité - nous renvoyons pour ce fait à plusieurs de nos
observations
- de principes anormaux. La recherche de l'al
lus rares chez l'enfant que chez l'adulte. Nous n'avons pas assez d'
observations
pour conclure sur ce point : nous dirons seulem
des accès incomplets, tels que celui dont nous venons de relater l'
observation
. Un élément essen- tiel du grand accès manque.
'état de mal. 362 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous n'avons aucune
observation
sur ce point. Tout ce que nous pouvons affirmer
d'urine. "Dans la thèse signalée plus haut, Bazin donne plusieurs
observations
de malades atteints de délire ou même de fureur
taté de l'albuminurie. Nous renvoyons à sa thèse pour le détail des
observations
. Il semble résulter des faits réunis par. cet a
sifs. Cependant nous ferons remarquer que, dans la plupart de ses
observations
, le délire a été précédé d'attaques plus ou moi
en série au sens classique du mot série. Nous donnerons d'abord les
observations
des malades chez lesquelles les urines ont été
Elle présente un nuage léger d'albumine. D'autre part, voioi des
observations
dans lesquelles la présence de l'albuminurie n'
nous n'avons pu trouver de rensei- gnements dans bon nombre de nos
observations
antérieures,* albuminurie POST-PAROXYSTIQUE ET
ès. Albuminurie intense. 16 ans, Thér... (1889). On trouve dans l'
observation
: « albumi- nurie très abondante». Peut-être
des vertiges et du délire, elle paraît exister également, mais nos
observations
sur ce point ont besoin d'être multipliées et é
NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 371 1 voici une preuve fournie par l'
observation
d'un aliéné le nommé A... auteur de quatre homi
e, je décrirai les symptômes présentés par A... depuis qu'il est en
observation
à l'asile; enfin les divers éléments du problèm
comme cela. » - ' Le surlendemain, 12 septembre, A... fut envoyé en
observation
à l'asile de Bonneval. Il avait, la veille, à l
ries localisations, mais qui n'a pas encore pu être contrôlée par l'
observation
directe, par l'anatomie pathologique. 382 MÉD
ous deviennent meurtriers, et de démontrer qu'il n'en était rien. L'
observation
détaillée d'A..., jointe à la connaissance de l
e méthode rigoureusement scientifique, qui s'appuie à la fois sur l'
observation
et sur l'expérience, c'est-à-dire sur la cliniq
suppléant de la Salpêtrière, et PAUL LOKDE, interne des hôpitaux.
Observation
Il[ ? La nommée Marthe Carr..., âgée de cin- qu
ches que nous avons faites à ce propos dans son interrogatoire. ,
Observation
IV. Mme X... entrée dans le service de M. A. Voi-
? - Mais je ne connaissais pas cela, répond-elle. En résumé, nos
observations
peuvent se répartir de façon suivante : , Sur
hé sous peine de passer inaperçu. Nous en donnerons comme exemple l'
observation
suivante. La nommée Julie-Lucie Lamb..., âgée d
mment chez les mélancoliques anxieux. En effet, dans notre première
observation
de mélancolie anxieuse, nous voyons que la mala
le pour des hallucinations des phénomènes qui sont décrits dans les
observations
comme des illusions ou des interprétations déli
léger contact, à la plus minime excitation thermique ou autre. Deux
observations
. 3° Cyanose locale, surtout aux mains et aux pi
observations. 3° Cyanose locale, surtout aux mains et aux pieds.
Observation
. III. Elle survient par accès, à la suite de l'
ce DU GLIOME cérébral ; par BUC880LZ. (Arch. f. Psych., XXII, 2.)
Observation
avec autopsie et examen histologique. Diagnostic
mbres supérieurs, il s'y joint du tremblement des mains. La seconde
observation
est plus particulièrement caractérisée par des
NTERNE; par TH. ZACHER. (A1'ch, /. Psychiat. , XXII, 3.) . Quatre
observations
de dégénérescence descendante. Si l'on divise l
émianopsie droite (Obs. I). Aucun de ces troubles n'existant dans l'
observation
II, il s'ensuit qu'il y avait dans le premier c
s à l'autopsie, sans avoir été soupçonnées du vivant du malade. L'
observation
citée par le Dr Burr peut être rapprochée de ces
I ont été principalement consacrées à faire connaitre la nature des
observations
sur lesquels reposent les faits qui vont mainte
Conclusion : - L'auteur espère avoir fourni de nouveaux signes à l'
observation
physique : les postures et les mouvements du co
modes d'action des centres nerveux paraissent être démontrés par l'
observation
et l'analyse des mouvements R. M. C. XXIII. T
ues; aussi l'auteur a-t-il jugé intéressant de publier in extenso l'
observation
que nous résumons ici : - Femme de trente ans
cas, alors même que la malade aurait été soumise à une plus longue
observation
(elle n'a pu être observée que durant cinq sema
ue tout excès peut rappeler l'épilepsie latente. Je rapporterai une
observation
personnelle. Il s'agit d'un fils et frère d'épi
depuis leur première jusqu'à leur der- nière entrée et en prendre l'
observation
détaillée, La superstition du renard au Japon.
tré la medico-psychological Association dans son mémoire intitulé :
Observations
and suggestions on the Lunàcy acts. Amende- men
ré- mités affectées, ainsi que de la blépharoptose homonyme (deux
observations
) et nous aurons esquissé le complexus morhide.
nant la nature de l'encéphalite qui nous occupe ? Dans trois de nos
observations
, le père avait eu la syphilis avant son mariage
ogiques de l'atteinte de l'organe sensoriel correspondant, et cette
observation
que l'hallucination est précédée et accompagnée
munications casuistiques). Ce sont : i°Un cas de mérycisme; 2° Deux
observations
d'inversion des idées sexuelles qu'il ne faut p
ts sexuels et le retour de la vie sexuelle normale. Les présentes
observations
n'ont rien à voir avec l'inversion du sens géni
des développements sera publié in extenso. M. KIEFER communique une
observation
d'hébéphrénie (type Kahl- baum-Hecker). Jeune h
s typiques pour chacun des trois groupes. M. Freund présente sept
observations
d'hystérie mâle,'se décom- posant en deux de la
avorable pour lui, qui s'é- tend de son arrestation à la fin de son
observation
à l'asile : en tout huit mois; pendant tout le
; mais, ni à l'époque de l'acte incriminé, ni pendant la période d'
observation
à laquelle il a été soumis, on ne peut le tenir
mémoire, intitulée : Clinique et anatomic pathologique, fourmille d'
observations
complètes, intéressantes au plus haut point. Te
mplètes, intéressantes au plus haut point. Telle, en particulier, l'
observation
IV, Idiotie symptomatique d'une tumeur cérébral
ienne, mais encore irrésolue. (Voyez 3" partie, p. 133.) Les autres
observations
sont intitulées : Obs. I. Imbécillité ; syndact
pertoire des Archives de la Salpêtrière, en pre- nant une à une les
observations
des administrées dans leurs dor- toirs et que n
e locomotrice, les myélites, la paralysie infantile; on prenait des
observations
d'at- tente en vue de la localisation des fonct
nerveux de la Salpétrière. Leçons du professeur, mémoires, notes et
observations
des années scolaires 1889-90 et 1890-91, publié
mbécile, par P. Sol- lier, 259; - recneil de notes, mé- moires et
observations
sur l'idio- ! ie, par Bourneville, 261 ; recher
hogénique que nous aborderons d'abord ; nous exposerons ensuite nos
observations
avec les remarques cliniques et les résultats t
rale, la déséquilibration mentale, les convul- sions. Nos propres
observations
n'apportent qu'un contingent res- treint de fai
E L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 3 et à ce point de vue les
observations
de la thèse de M. J. Ja- net sont des plus inté
é revêt les caractères d'une véritable maladie familiale. Parmi les
observations
de M. J. Janet, on trouve six cas d'hérédité si
d'ailleurs assez pauvres en renseignements commémoratifs. Dans l'
observation
XIX ;de la thèse de l'auteur précédent, nous vo
les et tantes ayant tous pissé au lit dans leur enfance. Dans notre
observation
IV ci-après, nous trouvons un père inconti- nen
é des. hystériques. Déjà J.-L. Petit avait cherché dans ces faits d'
observation
les causes de l'incontinence. Pour lui les rêve
plusieurs cas ; nous en présentons un nous- mème dans le sujet de l'
observation
XX. Ce jeune garçon est pris à quatorze ans d'i
errons plus loin. 8 THÉRAPEUTIQUE. S'emparant de ces deux faits d'
observation
, la lourdeur du sommeil et les rêves mictionnel
us n'insisterons pas sur ces développements que la lec- ture de nos
observations
et des commentaires qui les accom- pagnentrend
e se familiariser avec le maniement de ces puissants remèdes. Nos
observations
se divisent en trois groupes : a) guérisons ; b
a) guérisons ; b) améliorations ; c) insuccès. A. - Guérisons.
Observation
l.-V..., garçon de onze ans. Son père est mort
e suite fâcheuse et ont cédé elles aussi à une simple suggestion.
Observation
II. - 0. B..., fille de treize ans. Père vivant,
ns doute à con- trarier l'efficacité de la suggestion hypnotique.
Observation
111. H..., garçon de huit ans. Père mort de tu-
té pris de péritonite tuberculeuse et a succombé à cette maladie.
Observation
IV. te. V..., garçon de quatorze ans. Père névro-
été ramené, je crois pouvoir en conclure qu'elle s'est maintenue.
Observation
V. A Y..., garçon de onze ans (frère du sujet de
e. Observation V. A Y..., garçon de onze ans (frère du sujet de l'
observation
précédente). Il pisse au lit depuis un an. 10 d
ramené vraisemblablement en cas de rechute. Les sujets de ces deux
observations
appartien- 16 THÉRAPEUTIQUE. neni à une famil
s se produisent dans la période hypnogogique qui suit le coucher.
Observation
VI. L. V..., fille de treize ans. Aucun renseigne
es, la malade se considère comme guérie et ne revient plus. Cette
observation
est intéressante en ce qui concerne l'action de
ittentes. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 17
Observation
VII. F. M..., sept ans, fille unique. Père tuber-
ù une légère rechute se produit à la suite d'une maladie aiguë. -
Observation
VIII. S. N..., garçon de treize ans. Parents arth
éissant pas aux premiers avertissements de sa vessie. La suite de l'
observation
montre qu'il n'en est rien, puisque l'infirmité
son tour l'incontinence par l'intermédiaire d'un rêve mictionnel.
Observation
IX. - V. X..., fille de treize ans. La mère, qui
définitive, car la mère n'eût pas manqué de me ramener la malade.
Observation
X. T. U..., fille de treize ans. Père normal; mèr
roire le matin à son réveil, qu'elle s'est levée pendant la nuit.
Observation
XL C..., garçon de dix ans. Père mort d'une tum
supprime tout besoin d'exonération entre le lever et le coucher.
Observation
XII. M. B... fille de quatorze ans. Père d'une
se provocatrice appréciable; elle est guérie en quelques séances.
Observation
XIII. - A. R... jeune homme de dix-neuf ans. Il
avril 1896. Ce garçon est guéri de son infirmité. Très intéressante
observation
d'un garçon pissant encore au 22 THÉRAPEUTIQUE.
t suggestif, le seul à peu près qui soit en mesure de les guérir.
Observation
XIV. G..., garçon de treize ans. Pas de rensei-
fâcheux. A noter l'aggra- vation survenue vers la dixième année.
Observation
XV. R. S.. , fille de quinze ans. Sa famille n'es
ce pour que je le débarrasse lui aussi de cette infirmité. Aucune
observation
ne montre mieux que celle-là l'origine psychiqu
lectuelle qui con- traste singulièrement avec l'aspect antérieur.
Observation
XVI. J. il.... vingt-trois ans, domestique, enfan
son maître qui ne le ramènera qu'en cas de rechute. Le sujet de l'
observation
précédente est un dégénéré de la famille des dé
x inquiétants. Guérison rapide et qui semble devoir être durable.
Observation
XVII. A. D... garçon de quatorze ans; domes- ti
ré cela la guérison est prompte et parait devoir être définitive.
Observation
XVIII. C. C..., garçon de six ans. La mère semble
ons que lui procurent les préoccupations nées de son infir- mité.
Observation
XIX. M. T..., garçon de onze ans. Père et mère
cérébrale suffisante pour développer la suggestibilité du sujet.
Observation
XX. T. S..., quatorze ans. Aucun renseignement
malades de véritable incontinence hystérique. B. Améliorations.
Observation
XXI. Bée..., fille de douze ans. Père normal; m
la malade est, malgré son jeune âge, une hystérique à stigmates.
Observation
XXII. M. C.... fille de treize ans. Mère morte de
de nouveau entrée dans une période satisfaisante. C. INSUCCÈS.
Observation
XXIII. - A. B... garçon de neuf ans. Père bien
nence apporte à cette manière de voir un argument très plausible.
Observation
XXIV. P. G..., douze ans fils unique. Père mort
Société ,¡¡Mico-Psychologlque. La malade qui fait le sujet de notre
observation
a, depuis son enfance, présenté des obsessions,
la tenue, etc..., voilà ce qui le tourmentait sans cesse, et si une
observation
lui était faite, la pec- cadille qui la lui ava
ique de M. le professeur SPEHL, recueillie par M. le D1' F. SANO.
Observation
d'une femme de trente-sept ans, sans antécédents
i le plan osseux est saillant. Ceci établi, voici les résultats des
observations
de l'auteur : sur les quarante sujets, pas un s
aute. Il faudrait donc pour résoudre cette question, multiplier les
observations
. Je dirai en terminant, que M. Richer tend à at
t les troubles sensitifs caractéristiques de l'hystérie. Exposé des
observations
. La- conclusion finale est que l'eczéma est sou
des hôpitaux. (Nouv. iconographie de la Salpêtrière, 1895, n° 3.)
Observation
. Une femme de vingt-trois ans, exempte d'anté-
ielle et peuvent pré- senter diverses variétés. L'auteur expose une
observation
qui doit, d'après lui, faire admettre un nouvea
nouveau type d'hémiplégie alterne. Suit la relation détaillée de l'
observation
avec l'autopsie complète. L'observation peut se
la relation détaillée de l'observation avec l'autopsie complète. L'
observation
peut se résumer ainsi : hémiplé- gie complète d
elevés chez 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'enfant, sujet de l'
observation
. La conclusion est donc que le jeune malade est
cette opinion, qui s'est du reste rapidement répandue, rapportent l'
observation
suivante : Une femme de trente et un ans, à ant
ient anorma- lement à d'autres activités (voir p. 48). P. K. XIX.
Observation
d'hystérie avec accidents d'akinésie DOULOUREUSE;
ulaires : par H. Sciilesinglr. (Neurolog. Ccnl1'albl" XIV, 1895.)
Observation
de polynévrite consécutive à iarlérile oblitérant
énérative des muscles dont les vaisseaux sont très altérés. Cette
observation
a pour complément une autre observation identiq
sont très altérés. Cette observation a pour complément une autre
observation
identique. Suit une élude clinique et critique
gens mariés ; par F. Lûhrmann. (Neurolog. Ceatral6G., XIV, 1895.)
Observation
I. - Paralysie générale à forme démentielle chez
ditaire ou acquise, aucune tare héréditaire. Autopsie confirmative.
Observation
II. Paralysie générale chez le mari à cinquante
tion syphilitique, forme démentielle). Autopsies confir- matives.
Observation
111. - Paralysie générale tabétique, démence, mor
LYSIE générale; par Moeli. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) Cinq
observations
de paralysie périphérique attestée par l'état d
, tabes sous-jacent. P. K. 00 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIV.
Observation
DE mutité hystérique; par B. Worotynsky. (Neuro
hystérique; par B. Worotynsky. (Neurolog. Centmlbl., XIV, 1895.)
Observation
ayant ceci de remarquable que la mutité dura dix-
nt une semaine, puis recommencé de la même façon jusqu'à ce jour.
Observation
IL Chiffl... Suzanne, née le 10 octobre 1891, à
méthode, à savoir la suppression brusque de l'opium c'est encore l'
observation
clinique qui a déterminé Flechsig à l'essayer.
tions et des guéri- sons dues à la méthode en question, d'après les
observations
de Wulff, de Benneke et les siennes : REVUE D
e neurologie, n° 5, 1896.) Il résulte de ce travail basé sur quatre
observations
que la duboisine jouirait d'une réelle efficaci
Charpentier. Influen : a et folie. M. Laroussinie communique une
observation
tendant à prouver que l'intluenza peut détermin
t non. M. ZACIIEIt. Les cas de Friedemann auxquels on a comparé l'
observation
qui précède ne sont pas tout à fait identiques. D
les accès de som- meil sont de nature épileptique et voit dans son
observation
la con- firmation de ce fait, à savoir que la n
l'aliénation mentale. D'après ses conclusions, basées sur trente
observations
, le trional et le tétronal sont des hypnotiques
mpression des nerfs de la queue de cheval. Mettant t h profit cette
observation
et la rapprochant d'autres publiées antérieurem
Mais à côté de ces exceptions, nous avons trouvé tout un groupe d'
observations
qui se complètent l'une l'autre et qui nous ont
retrouve les mêmes hésitations et de véritables contradic- tions. L'
observation
que nous allons rapporter, rapprochée de faits
pe de ces fibres radiculaires. Mais si l'on se reporte à d'autres
observations
on peut admettre que celle zone a subi un dépla
le d'insister plus longuement sur la parfaite simi- litude des deux
observations
, mais ce qui à notre avis n'est pas le moins im
ante ou à long trajet dans les cordons postérieurs. V. Dans ces
observations
nous étudierons séparément deux régions non dég
il ne peut être question de filets coccygiens. Quon se reporte aux
observations
déjà signalées de Barbacci, de Hoche où consécu
après avoir montré qu'il s'agit bien de fibres courtes. Dans une
observation
du mémoire de MM. Gombault et Phi- lippe au-des
u-commissurale respectée, ceux-là sont assez nombreux. Témoin notre
observation
, une de Schultze, celle de Souques et Marinesco
net (180G) et Brunet (18SU), on ne trouve pas dans leurs nombreuses
observations
l'indica- ' Rostan ? tec/t< : <'f;/te.<
e dont il n'y a en réalité pas l'ombre, comme le montrent plusieurs
observations
publiées dans divers recueils, entre autres dan
différents entre les mains desquels il est successivement passé.
Observation
. Victor S..., concierge, quarante-deux ans, était
qui, du moins, ne pouvait rien avoir à faire avec la néomembrane. L'
observation
précédente doit donc venir à l'appui de celles
01 ale publique. Et de fait, l'auteur, depuis la rédaction de cette
observation
, a appris que E... sorti de prison le 14 janvie
accès convulsifs. A l'appui de cette assertion, M. Féré rapporte l'
observation
d'une jeune fille de dix-huit ans, sujette à de
L'hérédité est progressive. DERNY.- VI. Psychoses DE la vieillesse (
observation
de délire raisonnant de' persécution chez une f
lard, de la psychose progressive à éclosion tardive. L'intéressante
observation
publiée par l'auteur apporte une contribution n
énés comme annexe à la prison de Moabit; mais ce quartier spécial d'
observation
réserve aux détenus soupçonnés de folie n'a pas
il a rencontré le phénomène du 140 SOCIÉTÉS SAVANTES. genou ; ses
observations
sont au nombre de z.. Il formule ainsi ses conc
2 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Mendel est surpris du nomhre considérable d'
observations
dans lesquelles l'auteur de la communication a
nombreux cas. très démonstratifs, qui prouvent le contraire. Dans l'
observation
qu'il a rapportée, et que le rapporteur a plusi
de folie des réclamations, car cette expression est appuyée sur des
observations
cliniques excellentes. A 111. Bruns je répondrai
cations et les contre-indications. Nous publions ici neuf nouvelles
observations
de tabes dorsalis. Quatre de ces malades ont ét
ion de la coordination serait impossible. Or, il n'en est rien. Nos
observations
prouvent que le .tabé- tique peut dans une cert
d'amé- liorer la sensibilité musculo-articulaire. V. Analyse DES
observations
. Nous croyons inutile d'insister sur le diagnos
malades. Là-dessus il ne peut y avoir aucun doute : dans toutes nos
observations
il s'agit de tabes dorsalis le plus caractérisé
es symptômes avec une disposition unilatérale sont situés à gauche.
Observation
I : paresthé- sies au pied gauche et sensation
corset à gauche. Observa- TION VII : arthropathie au genou gauche.
Observation
VIII : blépharoptose à z<7 gauche et un cert
t;7 gauche et un certain degré d'incoordina- tion à la main gauche.
Observation
IX : incoordination à la main gauche. Notre Obs
ain gauche. Observation IX : incoordination à la main gauche. Notre
Observation
II est le plus bel exemple d'un tabes avec hémi
és d'être soutenus pendant la marche (les malades de nos six autres
observations
). Disons tout de suite que quel que fût le degr
tous nos malades ont été améliorés d'une façon remarquable. Dans l'
OBSERVATION
II l'amélioration est telle qu'on peut considér
menades, après avoir été confinée au lit pendant six ans 1 Dans l'
OBSERVATION
III, quoique moins brillante à première vue, l'
de de Frenkel comme moyen de corriger l'ataxie des tabétiques ? L'
Observation
VI, dans laquelle il s'agit également d'un tabé
lus grand bénéfice. Dans ce groupe nous insistons surtout sur les
Observations
I et VIII. Le malade de l'OBSERVATION I est par-
us insistons surtout sur les Observations I et VIII. Le malade de l'
OBSERVATION
I est par- venu à pouvoir si bien coordonner se
aru. Le malade peut se tenir debout et marcher les yeux fermés. L'
Observation
VIII est intéressante par la gravité des phé- n
exercices qu'il con- tinue à faire tous les jours. La malade de l'
OBSERVATION
IV mérite une place à part. Quand nous avons en
iorés sous l'influence 'delà rééducation des mou- vements. Dans l'
OBSERVATION
I, atténuation considérable de la sensa- tion d
a sensa- tion de constriction dans le côté gauche de la poitrine.
Observation
III, atténuation des crises laryngées, qui devien
es crises laryngées, qui devien- nent plus rares et moins intenses.
Observations
VII, VIII et IX, amélioration de l'incontinence
sera plus longue, si l'incoordination est plus pro- noncée. Dans l'
observation
III il fallait plus d'un an de traite- ment pou
d'un genou fortement recourbé (genu recurvatum). On a vu dans notre
observation
VII un degré insignifiant d'arthro- pathie s'ag
les exercices exténuent les malades sans aucune utilité pour eux.
Observation
1. Tabes dorsalis. Développement rapide de l'atax
ême, à son avis, accentuée. (A suivre. ) RECUEIL DE FAITS. Deux
OBSERVATIONS
DE TROUBLES VASO-MOTEURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE;
arcel 111AN(1EI111EK, Interne 'des Asiles de la Seine. - Les deux
observations
qui suivent de troubles vaso-moteurs d'origine
vec dermographisme. * L'oedème, qui fait le sujet de notre première
observation
, est cet oedème bleu de Charcot qui envahit le
elques variations et migrations intéressantes. A rapprocher une des
observations
de E. Wils et D. Cooper ', et surtout une de Hi
urs la succession de ces différentes phases pen- dant une période d'
observation
de douze jours. 27 avril. Une attaque, à la sui
ériques. Encore ceux- ci ont-ils été notés dans un certain nombre d'
observations
, et auraient-ils pu, pour quelques auteurs, êtr
ppe) et d'hallucinations aperceptives (Kalbaum). S'appuyant sur l'
observation
clinique, l'auteur passe en revue, à propos des
tives interprétées et non de véritables hallu- cinations. Voici une
observation
qui montre bien la pathogénie et la nature du p
e sens le plus général du mot ». M. Régis rappelant les premières
observations
publiées par lui d'hallucinations unilatérales,
bliées par lui d'hallucinations unilatérales, rapporte une nouvelle
observation
dans laquelle l'hallucination se produit en éch
A défaut de documents anatomo-cliniques nombreux néces- sitant une
observation
de longue haleine, les auteurs rappellent des c
onique religieux à hallucinations auditives et visuelles. - C'est l'
observation
d'un délirant systématique mystique halluciné d
ait été placé en cage à portée de sa vue. M. A. Voisin rapporte une
observation
détaillée de céphalée opi- niatl'e avec lypéman
lte intervention opératoire audacieuse et couronnée de succès par l'
observation
antérieure d'une malade assez semblable, mais q
éralement qu'un seul membre et siège toujours à son extré mité. Les
observations
d'oedème bleu sont jusqu'à présent peu nombreus
la ma- lade ne présentait plus aucun symptôme morbide. , Ces deux
observations
montrent bien ce qu'il faut entendre, à notre a
e section périphé- rique ou une anémie spéciale. A la suite d'une
observation
de paralysie générale de longu durée, avec auto
environ avec l'ange Gabriel. La malade, qui fait le sujet de cette
observation
, est atteinte de folie hystérique. Elle jouit d'u
ante à la sclérose des cordons latéraux. , M. Delmas communique une
observation
, recueillie dans son ser- vice hydrothérapique
d'une simulation impossible. M. A. Voisin signale ensuite quatre
observations
de malades non hystériques, avec vibrations mus
elle des aliénés criminels et dange- reux. , M. Paris. A propos d'
observations
de malades violées et enceintes guéries d'un ac
qu'il y a lieu de créer des annexes où les malades seraient mis en
observation
et traitement temporaire avant de conclure à l'
ES. 2 à 3 pièces par exemple forment de celle façon un quartier d'
observation
. Les entrants se voyant entourés par des malades
siles d'aliénés d'une an- nexe où les prétendus aliénés seraient en
observation
. Je n'en vois pas la nécessité. A chaque entrée
ût (matin). Cas d'hyperostose crânienne chez une femme épileptique.
Observation
, pièce anatomique, épreuves photographiques et
er présumer la syphilis. La malade était vierge. Après lecture de l'
observation
, M. Pichenot a fait passer sous les yeux de ses
p. 1.000 M. LIMACQ. Les équivalents de la migraine. Lecture d'une
observation
dans laquelle des crises de névralgies alternaien
'aniline. - M. Etienne communique au nom de M. S... et au sien, une
observation
de paralysie générale à évolution irrégulière,
NNE. Monoplégie faciale d'origine capsulaire. M. Etienne présente l'
observation
d'un homme atteint d'une monoplégie faciale ave
les tares physiques diverses que nous avons notées au cours de l'
observation
parlent en faveur de cette manière de voir, et il
tains syndromes épisodiques et que nous avons signalé au cours de l'
observation
. Il s'agit du besoin impulsif de répondre sur-l
ent hémiplégique au moins beau- coup plus marquée à droite. C'est l'
observation
de l'ordre d'envahissement par le processus con
même temps de surveiller tous les établisse- '. Cette intéressante
observation
pourrait être rapprochée des nombreux cas de ti
e du sujet, l'enregistrement des entrées, les dis- positions pour l'
observation
spéciale, etc. assistance DES aliénés dans l'ét
quelle mesure ? 41. Exposer vos idées basées sur l'expérience et l'
observation
personnelles ou autrement, sur la valeur du sys
l'hôpital. 1. 25. Quelques médecins ont publié des articles et des
observations
dans les journaux de médecine mentale et deux o
rison authentique à la suite de l'intervention chirurgicale. Deux
observations
servent de préface à cette intéressante étude d
et A. DEÜOULIN. (Nouv. Iconog. de la Salpêl1'iè¡'e, 1895, lie 2.)
OBSERVATION
. - Homme de trente-quatre ans, sans antécédents
non déterminée, mais de nature non syphilitique certaine. Première
observation
. - Femme, trente et un ans, non syphili- tique
ré- faction du cadavre n'a pas permis de la reconnaître. Deuxième
observation
. Femme, quarante ans, sans antécédents hérédita
phénomène avait également été observé chez la malade de la première
observation
. Rétention complète des urines et des matières
xemple de ces associations morbides où se com- plaît l'hystérie :
Observation
. - Atrophie musculaire chez un homme de qua- ra
t ces particularités que les auteurs font ressortir en relatant une
observation
inédite et en reproduisant les photographies de
nt les photographies de vieux malades connus de la Salpêtrière. L'
observation
est celle d'une femme âgée de cinquante-huit ans,
tionscliniques, anatomiques et physiologiques surlamoelleépinière.
OBSERVATION
- Homme, quarante-cinq ans, antécédents hérédi-
l- laires est certaine. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 301 Cette
observation
renferme bien des points intéressants. D'abord
(Leçon recueillie par M. le Dr J.-B. CHARCOT, chef de clinique.)
Observation
. Femme, trente-huit ans, père tombé en démence
début, a pris ces temps derniers une allure rapide. Il expose les
observations
connues de syringomyélie avec anesthésie complète
ces derniers temps. Son existence est indéniable, il en existe des
observations
éparses dans la littérature, et l'auteur en a r
tielle diffuse qui se rencontre avec la myélite. A noter que si les
observations
de syphilis héréditaire congénitale de la moell
ladies nerveuses. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 1.)
Observation
. Femme, vingt-huit ans, père et mère tubercu- l
sité de Naples. (Leçon clinique faite à l'Université de Naples.)
Observation
. Jeune fille, dix-neuf ans, rien de notable dans
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 307 A noter que dans deux de ces trois
observations
de hoquet hystérique, les malades étaient conva
moplégie externe. Je résume succinctement l'histoire de son malade.
Observation
. N..., soixante-dix-sept ans, sans antécédent p
ée, d'une compression du moteur commun, etc., etc. Revenant à son
observation
, l'auteur avoue que le début de l'affection par
sculaire progressive, mais ce n'est pas là une vérité intangible, l'
observation
actuelle démontre, d'une façon inconteslable, q
CERMCALK hypertrophique : Leçon clinique du professeur de Renzi.
Observation
. Homme, trente-huit ans, malade depuis sept ans
e l'Université de Naples (Leçon clinique du professeur DE Renzi.)
Observation
. Femme, trente-sept ans, marchande ambulante de
l'Université de Naples. (Leçon clinique du professeur DE RENZI.)
Observation
. Jeune homme, vingt et un ans, cuisinier. Sy- p
eaux, sur l'action des infections diverses sur la moelle, etc.. Les
observations
du professeurItaymond : blennor- rhagie, arthri
e et mort par myélite, etc.. Tous ces travaux, ces expériences, ces
observations
démontrent que le processus blennorrhagique, di
ZI, de l'Université de Naples. (Clinique du professeur de Renzi.)
Observation
. Jeune fille de vingt-trois ans, réglée depuis
uc qui dure quelques mois et se termine par la guérison. De cette
observation
l'auteur conclut qu'une tumeur du cerveau peut
avant l'éclosion de la psy- chose. On peut conclure aussi de cette
observation
que certaines lésions en foyer du cerveau sont
CÉRÉBRAL; par le Dr E. lllau.tNE. (Joum. de Neurol., 1896, n° 10.)
Observation
d'un jeune homme de vingt-sept ans, n'ayant pas e
tre la crise et la pelade une relation de cause à effet. Voici deux
observations
qui rentrent dans cette catégorie d'exemples dé
rapidement. Elles guérirent seules en quelques semaines. La seconde
observation
a la plus grande analogie avec celle que je vie
lle. L'infantilisme existe chez la femme comme chez l'homme. Suit l'
observation
intéressante d'une femme de trente-un ans attei
Buitenzorg (Java). (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, 1895, n° 4.)
Observation
. Jeune Javanais de vingt-deux ans, épileptique,
en rapport avec les altérations des cordons pos- térieurs. Dans l'
observation
relatée par l'auteur, il s'agit d'un malade att
ifeste l'excitabilité des centres corticaux moteurs ; 10° D'après l'
observation
correspondante d'un assez grand nombre d'enfant
trijumeau; par A. SOENSER. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) Cinq
observations
de malades auxquels après avoir successive- men
mais de l'examen des cas anté- rieurement publiés et de ses propres
observations
il conclut qu'il s'agit parfois d'hystérie trau
ydel a publié récemment un nouveau cas qui porte à 27 le nombre des
observations
connues, et qui ne paraît pas devoir être ratta
l) après des tentatives de strangulation. L'auteur rapporte enfin l'
observation
d'un mélancolique qui, rappelé à la vie aptes u
ico-légal, l'existence de cette période d'amnésie rétroactive ; les
observations
de Weslphal et de Wagner sont à ce point de vue
OUVEMENTS (méthode de ]j'reniieZ) 1; Par le D' RUBENS HIRSCHBERG.
Observation
II. Tabès dorsalis. Ataxie d'emblée. Hémiataxie
e peut être considérée comme complè- tement guérie de son ataxie.
Observation
nI.- Tabès dorsalis. Ataxie d'emblée. Impotence c
peut rester debout sans aucun appui pendant deux à trois minutes.
Observation
IV. Tabes dorsalis à marche rapide. Développement
au mois d'août 189a, et nous n'avons plus eu de nouvelles d'elle.
Observation
V. Tabès dorsalis. Développement rapide de l'atax
ans canne, sort dans le jardin, fait des petites promenades, etc.
Observation
VI. Tabes dorsalis. Développement très rapide de
raitement, le malade n'a pas eu de crise de douleurs fulgurantes.
Observation
VU. Tabes dorsal. Développement rapide de l'in-
enou gauche a beaucoup augmenté et rend la marche très difficile.
Observation
VIII. Tabes dorsalis. Développement rapide de l'i
mieux en mieux. Le malade continue les exercices tous les jours.
Observation
IX. Tabès dorsalis. Développement très lent de
ENTALE. XIV. Des GUÉRISONS tardives; par le De Cuatelin. Les deux
observations
citées tout au long par l'auteur montrent qu'il
le; par le Dr Lee HOWARD. L'auteur rapporte, sans commentaires, les
observations
suivantes. 1° Un musicien de quarante ans (père
Ied. ment, de Belgique, juin 1893.) On trouvera dans cette note l'
observation
de deux malades ayant des habitudes alcooliques
'ophtalmologie. Aussi est-ce aux oculistes qu'on doit les premières
observations
de ce genre. Siehel, en 1863, en a observé trois
oduisent que le soir et durent toute la nuit. L'auteur rappelle les
observations
de Lanne, de Magne, de Arlt, de Schmid-Rimpler,
rité, du repos absolu, de l'isolement complet. L'auteur donne une
observation
personnelle dans laquelle on peut relever diver
qui n'a rien à voir avec le délire des séniles. P. Sérieux. XXV.
Observation
DE paralysie générale a forme CIBCUL41RG ; par
alade observé pendant cinq ans et demi, de 1875-1889. Autop- sie. L'
observation
peut être ainsi divisée : 1° mélancolie pendant
mes, mort rapide de pneumonie. Autopsie confirmative. P. K. XXVI.
Observation
DE paralysie générale infantile; par BRESLER. (
s accompagnés d'éjaculations répétées. Son étude est basée sur deux
observations
identiques. Il a observé et soigné deux hommes
nt une femme. L'auteur, étudiant les diverses particularités de ces
observations
, conclut à la nature épileptique des phénomènes
LE; par A. S ? 1NUOCK. (A'e ! f)'0/0. Ceniralbl., XIV, 1895.) . L'
observation
concerne un jeune garçon de quatorze ans. Signes
ner. (British médical journal, 2 mai 1896.) L'auteur conclut de ses
observations
que même dans les cas de paralysie générale ava
ur la cornée une influence trophique prépondérante. De l'examen des
observations
et des nécropsies il semble résulter que les so
XOEDÈME; par IIUGaSilTx. (British médical foumal) 4 janvier 1896.
Observation
d'une malade de vingt-six ans sans antécédents hé
été jeté et la lutte s'est organisée; en France elle s'organise. L'
observation
montre que les peuples qui ont réussi à faire rét
arin, livre des plus intéressants, livre utile rempli de faits et d'
observations
, et dont la lecture s'impose à tous ceux qu'int
e aphasie motrice ou sensorielle, est encore à démontrer. Il cite l'
observation
de M. Bar où l'autopsie révéla une seule lésion
remarquable travail de M. Mirallié se termine par un recueil de 62
observations
dont beaucoup sont inédites qui forment une bas
ne base solide aux opinions que défend l'auteur. Certaines de ces
observations
s'accompagnent de dessins des 406 ' VARIA. lé
e l'écriture altérée des ma- lades. Les plus intéressantes sont : l'
observation
59 (personnelle) ayant trait un malade atteint
aquelle le malade ne reconnaît et ne peut écrire que son nom. - L'
observation
60 dans laquelle le malade, atteint d'aphasie sen
distinctement en chan- tant. - Enfin, signalons la très curieuse
observation
62 (inédite), recueillie avec M. Escat dans le
érentes sortes de démo- nomanes est loin d'être une chose facile; l'
observation
de l'évolution consécutive est parfois indispen
é des cas de ce genre (p. z153). Nous rappel- lerons à ce sujet une
observation
de M. le D'' Baratou, citée par MM. Séglas et B
Ritti 2 rapporte des exemples de la dernière catégorie. Une de ces
observations
empruntée à Morel en imposerait faci- lement à
sumé succinct de quelques faits cliniques, que nous ferons suivre d'
observations
empruntées aux auteurs et de citations des anci
s avis des membres de la commission de surveillance et leurs justes
observations
, devaient enfin trouver un écho, car, à la date
s avaient donné leur avis par écrit, etn'avaient pas ménagé leurs
observations
et leurs regrets; l'hospice spécial avait été con
à une affection des vertèbres et qui se termina par la guérison.
Observation
. Jeune garçon, douze ans, non héréditaire, roug
i est également la conséquence d'une auto-intoxication stomacale.
Observation
. Homme, quarante-trois ans, bien portant autrefoi
par le Dr RENZI, professeur de clinique à l'Université de Naples.
Observation
. Homme, trente-cinq ans, en traitement à la cli
xtrait de la Gazera degli ospedali e délie cliniche, 1895, n° 9.)
Observation
. Un marinier, vingt-trois ans, aspect robuste,
gué- rison remarquable et l'auteur en expose un nouvel exemple :
Observation
. S..., marin de l'Etat, est atteint, depuis son
la marine royale italienne, (Spezia, 1895. Tip. Edit. Il Lavoro.)
Observation
. Un jeune homme de vingt et un ans, ni alcoo- l
ection depuis la fin de 1893. Le point le plus intéressant de celte
observation
consiste évidem- ment- en l'apparition de ces a
avait-il grand soin de ne pas aller du côté de la plage. Dans ces
observations
, auxquelles il seiait facile d'ajouter d'autres
un symptôme de la nostalgie ? Non, puisque les malades, sujets des
observations
précédentes, ne sont pas nostal- giques, et que
et qu'ils ne la quittent qu'à regret. On ne peut pas davantage, les
observations
le démontrent, invoquer les modifica- tions dan
symptomatologie DU tabès DORSAUS ; par le Dr Simerka. D'après les
observations
de 52 tabétiques, l'auteur a dressé la table su
ATHOLOGIE NERVEUSE. 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Toute l'
observation
clinique du malade pourrait se résumer dans la
caractère de la chorée variable, bien mis en relief dans les quatre
observations
publiées dans ce travail, c'est que chez les ma
SUR L'AC131LLODY-NIE hystérique; par le Dr Feré. L'auteur cite deux
observations
qui établissent la possibilité d'une achillodyn
te, aux premières douleurs musculaires. Il donne aussi une nouvelle
observation
relevant du troisième type. Parésie du long ext
ntielle aiguë non suppurée ou apoplexie tardive de la protubérance.
Observation
chez un garçon de treize ans. Paralysie du faci
THOLOGIE NERVEUSE. 473 à rieur droit. Guérison. De là le litre de l'
observation
. (Vov. Oppenheim. Deutsche medic. Wo¡;flCnsch1'
s pyococci, car il n'y a eu ni fièvre, ni méningite, ni abcès. 6°
Observation
d'acromégalie traitée à l'extrait de corps thyroï
Je n'en sais rien, c'est plus fort que moi. » M. X... fut placé en
observation
à l'hôpital et réformé ensuite. C 11U5ET. VII
résultats. Dans ces conditions, les résultats de ces intéressantes
observations
ont été les suivants : 1° La lumière ne provo
. (Sera publié ultérieurement.) Discussion. M. FREYMum. D'après ses
observations
person- nelles, les malformations du crâne sera
s antéro-fatéraux. La particularité intéressante, dans ces diverses
observations
, consiste dans les altérations d'un territoire
rection du D' llOLnNE\ ILLe. Tome 1. Recueil des mémoires, notes et
observations
sur l'idiotie. Tome II. Rapports et mémoires su
lle s'étend finalement jusqu'à l'élément musculaire périphérique.
Observation
I. Début par raideur de la jambe gauche. Six mo
nt ce travail, nous ne donnerons dvec détails dans l'une et l'autre
observation
que ceux des résultats de l'examen microscopiqu
de muscles des extrémités inférieures. 20 PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
II. Début par difficulté de la parole et de la
t a fait terminée ; nous avons pu cependant constater dans les deux
observations
les altérations classiques des faisceaux pyrami
on en rencontrait quelques-unes, mais tout à fait iso- lées. Dans l'
OBSERVATION
II, au niveau du lobule paracentral sur quelque
uf fois la traction ner- veuse chez des tabétiques, cite une de ses
observations
où une grande amélioration avait suivi ce trait
et du cy- lindre-axe, en laissant la gaîne de Schwan intacte. Les
observations
que l'auteur fit sur les courants ner- veux, av
recherches de M. Hayem sur l'arrachement des nerfs et les dernières
observations
de M. Westphal, sur la dégénérescence grise che
s indemnes, même alors les chances de guérison sont nulles, car nos
observations
prouvent que le trau- matisme subi par le nerf
du tabès. us le PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. Parmi le grand nombre d'
observations
purement empiriques sur l'effet de l'élongation
à la guérison. Cette ten- dance ressort d'une façon éclatante d'une
observation
de Wilson publiée dans le « Médical Times » en
s croyons nécessaire de donner ici la traduction du résumé de cette
observation
fait par Westphal, dans ces Jahresbericht über
alisées que dans notre cas, que nous rapportons ici in extenso. L'
observation
qui suit étant déjà intéressante à la fois en r
le cas de Wilson, où la malade est presque guérie, et surtout notre
observation
qui est décisive à ce point de vue. Ces guériso
u diagnostic de cette maladie, surtout de ses formes frustes. Notre
observation
fournit, entre autres, la preuve de l'extrême i
viennent ainsi confirmer scientifiquement ce que nous enseigne l'
observation
clinique. L'augmentation de l'acide phosphoriqu
NE SYPHILITIQUE par C. ELSENLOHR (Neurolog. Cen- tralbl., 1884)..
Observation
. Syphilitique de trente ans ayant éprouvé d'abord
L'ÉCORCE cérébrale ; par F. GREIFF. (Neurolog. Centralbl., z884.)
Observation
à rapprocher de celle de Pozzi (cirrhose atro-
ux périphériques, que sur les organes centraux. L'auteur relate une
observation
de paralysie progressive atro- phique ascendant
l'épaule ; par M. BERNHARDT. (Cen- tralbl. f. Nervenheilk. 1884.)
Observation
I. Paralysie isolée du muscle deltoïde gauche.
1884.) Observation I. Paralysie isolée du muscle deltoïde gauche.
Observation
II. Paralysie isolée du nerf musculocutané droi
he. Observation II. Paralysie isolée du nerf musculocutané droit.
Observation
III. Paralysie de Erb. OBSERVATION IV. Forme pa
lée du nerf musculocutané droit. Observation III. Paralysie de Erb.
OBSERVATION
IV. Forme particulière de paralysie du plexus b
ins, aux réflexes musculaires ou aponévrotiques. - P. K. XVI. UNE
observation
sur LE phénomène du genou; par BAIERLACHER. (Ce
me; par le même auteur. {Centralbl. f. Nei,venheil4 ? 1881.) Cinq
observations
, dont quatre reconnaissent, d'après l'au- teur,
entix). Dans son second mémoire, M. Moebius relate treize nouvelles
observations
. De ces dix-huit faits, il tire les conclusions
Conclusions pratiques. Toutes les fois que les anamnes- tiques ou l'
observation
du malade révéleront la trace de la combinaison
u chaude agit sur le champ visuel comme le courant d'induction. Les
observations
sont au reste 1 cet égard peu nombreuses. La fr
micranie, l'insomnie qui succèdent au sevrage de la mor- phine. Une
observation
à l'appui. Cette préparation conser- verait sa
HYS- TERIE ; par P. FLECHSIG. (Neurolog. Centralbl., 1884.) Trois
observations
sont consignées en détail : 1° grande hys- téri
mblent procéder du même ordre d'idées; je n'ai pas sous la main les
observations
complètes, mais en voici les faits saillants. C
s pareils, de paralysie des cordes vocales. M. REliAI{ ajoute à l'
observation
précédente que, dans un cas de tabès observé pa
es de la parole, une coloration gris bleu de la peau. Une quatrième
observation
témoigna, après une ingestion de 0,10, d'une se
elatives aux questions non encore résolues. Sous le mérite de cette
observation
, le livre qui nous occupe est fort recommandabl
- salle d'autopsie pavillon d'admission pour chaque sexe quartier d'
observation
pour les malades en traitement - section de dét
tions scientifiques. J'ai résolu de vérifier mes suppositions par l'
observation
. Les résultats que j'ai obtenus ne sont pas san
xtérieures se trouve élevée, comme c'est le cas sous l'hypnose. Les
observations
que j'ai faites m'amènent à la conclusion contr
faits se rattachant à la recherche angoissante du nom ou du mot.
Observation
I. Hérédité morbide ; - dégénérescence men- tal
Infini le jette, ajoute- t-il, dans le doute et l'effraie. Cette
observation
est un exemple frappant de la multiplicité des
itaux de Paris, nous a demandé notre avis. Voici en quelques mots l'
observation
: Observation IL. Névralgie intercostale; préoc
nous a demandé notre avis. Voici en quelques mots l'observation :
Observation
IL. Névralgie intercostale; préoccupations hypo
issance à ne pouvoir résister à d'aussi- ri- dicules' obsessions.
Observation
III. Mère très émotive. Dèséquilibration men- t
sur les antécédents. ' t . f n .u -. i aJI... . u,J ? f, k . ,
Observation
IV ? 1 M. X..., âgé de cinquante ans, négo- cia
reprendre, le chemin.de fer pour retrouver son caliier, , , , ? ,
OBSERVATION
, V ? M. X..., cinquante-six ans, industriel bel
mots, dit-il, passaient à l'état d'idée fixe. ' Voici encore une
observation
très courte rapportée par M. Moreau, lors de la
ur la folie rai- sonnante devant la Société médico-psychologique.
Observation
VI. « Il (M. Moreau) a vu un homme qui se rend
dégénérés. Le sujet dont nous allons en quelques mots rapporter l'
observation
, est le père d'une malade sur laquelle nous aur
u mot pénétrant dans l'estomac à la façon d'un corps solide. ' l'
Observation
VII. Il s'agit d'un homme de soixante-dix ans,
qu'après la découverte du mot. 1 (il¡ r ? ruor,ocm. nerveuse. Ces
observations
suffisent, croyons-nous, à mettre en saillie ce
un certain nombre de- fois, et se trouve consigné/dans plusieurs
observations
.' Chez nos deux malades-, cette sclérose n'étai
s peuvent exister à cet égard; c'est ainsi, par exemple, que pour l'
OBSERVATION
ils étaient en grande abondance dans le pédoncu
la moelle, et notamment, quelle qu'en soit d'ailleurs la valeur, l'
observation
de 0. Vierordt '; cette observation, il est vra
en soit d'ailleurs la valeur, l'observation de 0. Vierordt '; cette
observation
, il est vrai, n'est pas considérée par son aute
rise dans le cadre "de cette-, affection. t \ " .r, , t v. Dans l'
observation
de Kahler 3 ? il est bien tenu .. < compte d
dire un cas type de sclérose latérale amyo- trophique. La seconde
observation
, au contraire, doit être l'objet de quelques re
est fait parle bulbe; il en est ainsi, par exemple, pour les deux
observations
de M. Déjeriiie qui, malgré les résultats de l'
ement le domaine de la sclérose latérale amyotrophique ; les deux
observations
de M. Déjérine sont purement et simple- 1 Charc
otrophique dont le début s'est fait par le bulbe comme dans notre
Observation
II (Bornic..) ; une chose est à regretter, c'es
II (Bornic..) ; une chose est à regretter, c'est que, dans ces deux
observations
, il ne soit même pas fait mention de l'état des
182 PATHOLOGIE NERVEUSE. \ baires suffisent à faire considérer son
observation
comme un fait à part qu'il propose de désigner
t nulle- ment l'indice d'une marche fatalement rapide; dans notre
OBSERVATION
Il, en effet, l'évolution n'a pas de- CAS DE SC
he ne contient pas de corps granuleux. Fig. 2. - Capsule interne,
Observation
I, côté gauche, les corps gra- nuleux y sont di
nuleux y sont disposés en deux groupes. Fie. 3. - Capsule interne,
Observation
II, côté gauche.; A, couche optique. - B, noyau
ion. 186 CLINIQUE MENTALE. PLANCHE III FiG. z Pédoncule gauche,
Observation
I. A, corps rantileux. - B, cellules pigmentées
pigmentées du locus niger. FIG. 5. Protubérance coupée par moitié,
Observation
I. A, corps granuleux. FiG. 6. Moelle cervica
tié, Observation I. A, corps granuleux. FiG. 6. Moelle cervicale,
Observation
II. A, corps granuleux du faisceau pyramidal cr
er ici plusieurs exemples de ce genre. Mais, avant de rapporter nos
observations
communes, nous citerons brièvement deux cas ana
er, mourront sans avoir été capables de se reproduire. - Dans les
observations
suivantes que nous avons recueillies, le fait d
des deux enfants idiots épileptiques. DES FAMILLES D'IDIOTS. 193
Observation
1. - Idiotie; épilepsie nocturne. Premières con
les testicules sont égaux, de la dimension d'un oeuf de pigeon. ,
Observation
II. - Imbécillité ; ÉPILEPSIE. Premier accès à
s particuliers de 200 CLINQUE MENTALE. DES FAMILLES D'IDIOTS. ces
observations
se rapportant au sujet qui nous occupe actuelle
ujets atteints d'affections nerveuses ou dans leurs fa- milles ». L'
observation
II est un exemple de ce fait, aussi la mère de
imbéciles à différents degrés. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS UNE
OBSERVATION
DE MALADIE DE 'fLIO\ISI;i; Par MM. A. PITRES et
"â un' dégr3 plus'faible, que,le frè e ? ui fait le'sujet de" cette
observation
! tes troubles' fonctionnels'que l'on' observe
rée pendant un temps relative- ment fort long. Mieux encore que l'
observation
directe, les tracés myorraphiques 208 RECUEIL
s mala- dies de la personnalité, reproduit en grande partie cette
observation
2. Ces auteurs ont concentré leur attention sur
justement profité pour mettre ce cas en parallèle avec la fameuse
observation
du professeur Azam (de Bordeaux) 3, et celles m
ology of the sleep. UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 213 l'
observation
d'un homme atteint d'hystérie bruyante, convul-
orme morbide se joint à la diversité des éléments symptomatiques.
Observation
. Hystérie convulsive chez un jeune homme de vingt
Vomissements et anorexie de longue durée sans dépérissement. (Cette
observation
a été rédigée par M. BESANÇON, interne des hôpi
le souvenir lui échappe. Nous résumons ses antécédents d'après une
observation
déjà publiée '. Il est enfant naturel. Il a com
et très bien, et reste deux mois sans avoir d'attaque. 1 Voir les
Observations
publiées dans les Archives (t. Vif, p. 86), par
infirmier comme lors de son évasion de Bonneval. De cette longue
observation
, nous relèverons brièvement un petit nombre de
D'après lui, à l'époque où 11. Camuset et M. Ribot ont raconté l'
observation
de V..., ces expressions s'appliquaient fort bien
sé. La mémoire, dans cette condition, n'offre donc pas comme dans l'
observation
d'Azam plus d'étendue que dans la condition pri
qu'il est en contracture. Car, et ceci est le point essentiel de l'
observation
, ses périodes d'état second ont exactement coïn
fant qui apprend à parler. ' Poussons plus loin l'analyse de cette
observation
. Le 20 fé- vrier, la contracture et l'hémianest
ar le Dr DESCROI- ZILLES, médecin de l'hôpital des Enfants. Cette
observation
de méningite est intéressante à cause de la lon
onie parait en être accélérée. Cette conclu- sion est basée sur une
observation
personnelle et sur deux obser- vations de M. Ch
on du véritable état de mal présenté par cette malade. G. D. XXV.
Observation
DE syphilis cérébrale; par le Dr Le DENTU, chir
HIQUES DE la lèpre ; par P. ROSENBACH (Neùrol. Centralbl., 1884).
Observation
de malade dans laquelle l'affection cutanée jou
scles de l'oeil, dix-neuf des perturbations pupillaires(dont quatre
observations
de raideur immobile de l'écran), vingt-deux n'o
apillairc avec névrite optique. Après quelques détails sur diverses
observations
, et la mise en relief de l'atrophie du nerf opt
musculaire PROGRESSIVE; par E. REMAK (Neurol. Cen- tralbl, 1884).
Observation
d'un cas d'atrophie musculaire progressive héré
ROPHIE DES muscles ; pas SCHULTZE (Neurolog. Cen- tralbl., 1884).
Observation
révélant chez une même famille, l'existence de
OU systématique; par F., SIEMENS. (Neurolog. Centralbl., 1884.) ,
Observation
prouvant qu'un' adulte bien portant physique- m
par BARTENS. (Allg. Zeitsch. f..Psgch., XL, 4.) Note relatant douze
observations
qui viennent à l'appui de ce fait, que la gross
a satisfaction sexuelle n'a pas grande influence ici. Du reste, les
observations
d'Erlen- meyer sont les seules où l'on ait affa
sont les seules où l'on ait affaire à des primipares. Sur les douze
observations
de M. Bartens, une seule femme a guéri de par s
uéri de par sa grossesse, c'était une érotique très excitée (voy. l'
observation
de Marcé.) Sur les onze restantes, deux avaient
autes doses, elle intoxique. La seconde partie contient une série d'
observations
suivies d'analyses critiques plus ou moins déve
125 guérisons, 118 améliorations, 72 incurables, 6 morts. Voir l'
OBSERVATION
1 (lypémanie de la ménopause). La folie systé-
2 guérisons, 60 améliorations, 97 incu- rabilités, 4 morts. Voir l'
OBSERVATION
III (femme de trente- six ans, guérison complèt
ssagers), 47 améliorations, 1-2 incurabilités, quatre morts. Voir l'
OBSERVATioN
IV (épilepsic de la gravidité) et trois autres
e n '' ? ) ? ? ? t Ili, 1 - e. - . 1 51l il, il. lemmes (citons 1
Observation
V), et la folie c ! ? 'eM/a : ? 'e, : quatre .
. 1 l'lU mt : rttrt·t 11 %1.3 r ·r· trième dixième de la vie : Voir
Observation
VI . (lypeniatio- : ' I "'1,... , tr ·,-ro ? ·,.r
,29,1) ? ? ., ,1 i-trïrli/1 r ? .tP'),')r ? H't ....... tt.f.t ? '
OBSERVATION
,'VII r(paralÿséfigeriei·âlé, due a la misère, 4
" l'l,II" ,lfWl.tt. 13 ,.t z compte 63 exemples,, 1 auteur en donne
OBSERVATION
qui j ? ? ) ? 'r ? r ? 4b ih)t)"'f li 1 .2f ,
s nerutal, a son actii, 1 ? J' 1 ." " Iplyl, 1 .1.11 '. 11 ? '1 1
Observation
XI (Margaretha s. p. 576 qui',devrait porter l
h ·,. 1 7 ) y 1 rW '1 nl ! t 1 ·rm le ciniîi'e XVlI..Ennn quelques
observations
ne rentrent pas nr. ·mr t t·t ' ! n qt 1 t')I !
étale et temporale sont réunies dans une seule pesée. Le nombre dès
observations
est de 131 pour les hommes et de 116 pouf lés f
ier dans l'étude dé l'évolution cérébrale. M. Riu communique deux
observations
, de délire postépilép- tique : la première est
lus en plus rapproché de celui',1'ûri délûant'h ônique. La seconde,
observation
est.cette d'un héréditaire,' 'dont ? là' ! folie
ard, Thèse de Nercam, conclus. 12 et 13). M. Wildersiutii. Quelques
observations
sur les troubles de la pa- role chez les idiots
ébrales ? ' pt "t" 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. TILDEIt111U'lti. Les
observations
le prouvent. M. Fuerstner. A-t-on, dans les cas
? ques côtes de celte .question à laquelle" j'apporte (le nouvelles
observations
: , , il- r go, l' I" ., .4, a 1 , 1, .. recuei
n au traitement gynécologique des per- sonnes hystériques., - Trois
observations
forment le fonds de ce travail. Elles ont déjà
la plus complète. ' i. P. KÉRÂVAL. SOCIÉTÉS' SAVANTES . 2 67 Î
Observation
Il Grande hystérie, avec troubles psychiques inte
d'enfant.. Amputation supravagmale de l'utérus. Bon résultat. ' c
Observation
Ici ? Hystéroépitepsie; rétrécissement de l'orifi
LCommunique un cas, de folie hystérique qui ressemble àlaelui de, l'
observation
.11. Dans ce cas, une tumeur avait néces- silé
ue l'hémianopsie s'accompagne de troubles trophiques de la rétine' (
observations
de Wilbrand); il, est. mai que la rétine' ne co
ci a, ses vaisseaux propres, etque)abib)iograpbio'nec'outient'pas d'
observations
semblables à la nôtre. D'où réserve. '" ' ' , '
dant la vie. ' ? 11 ' ..f()I, \.,lvf / ,t En,, somme une des , neuf
observations
de. l'auteur démontre que £ l'atrophie des nerf
lasina devenu moins finement granuleux; BIBLIOGRAPHIE. 271 I même
observation
pour ses prolongements. - contrôle constant ave
sez l'esprit de son livre, qui se recommande, par un grand nombre d'
observations
intéressantes, à tous ceux qui. s'occupent de m
i bien d'un procédé d'investigations défectueux que d'une méthode d'
observation
peu rigoureuse. Il croit que les lésions expéri
ne telle réforme, a pris pour guide naturel l'esprit scientifique d'
observation
. « L'auteur de cetle oeuvre artistique remarqua
liorations, en profilant aux malades, servaient aussi la science. L'
observation
de la folie, rendue plus facile, per- mettait d
85 malades de la province. Ueckermunde a été doté de pavillons d'
observation
et de surveillance, on a remplacé des lieux d'ai-
p. 108. - 300 FAITS DIVERS. haut on trouve un nouveau pavillon d'
observation
pour 30 femmes et autant d'hommes. Tout en haut
t il ne se passe presque pas d'année sans que l'on publie cluelques
observations
d'affections sys- tématiques de la moelle épini
ques. L'année passée, MM. Ballet et Minor ' ont étudié toutes les
observations
existant dans la littérature des cas de maladie
res doivent être classées dans les groupes de scléroses diffuses. L'
observation
du Dr Tschetschoff, non encore publiée, que nou
, éclairer cette question sous un autre point de vue. Voici cette
observation
que nous devons à l'obli- geance de M. Tschetsc
nous nous permettrons d'adresser ici nos meilleurs remerciments.
Observation
. Anna 0..., paysanne, âgée de vingt-deux ans,'
amidaux, mais il ajoute que jusqu'à présent, il n'y a pas une seule
observation
positive dans ce sens. M. Chariot s'exprime d'u
ons-nous aux faits qui confirment l'opinion à priori de M. Erb. L'
observation
, unique dans l'espèce, qui, d'après l'opinion d
itée ( ? ) Dans dix cas, sclérose diffuse. Si nous exceptons deux
observations
, où un chan- gement quelconque de la moelle ne
formulés de la manière suivante : 1) Jusqu'à présent il n'y a pas d'
observation
qui puisse affirmer la supposition de M. Erb de
s accusés qui auraient allumé plusieurs incendies, comme dans mes
observations
, pour compromettre un ennemi, trouver des occas
légale ne peut être dégagée que par l'examen le plus attentif, l'
observation
la plus patiente et il termine en remarquant qu
dent sont erronées, les faits reste- ront. 330 MÉDECINE LÉGALE.
Observation
I. - Six incendies. Accusé faible d'esprit. Hér
e, Claude Saron fut placé pendant deux mois à l'asile. Cette longue
observation
ne m'apprit rien de nouveau : L'accusé persista
inique directe que Saron n'était pas un impulsif au feu. Malgré une
observation
continue de plusieurs mois, en dépit de mes ins
Claude Saron n'a été con- damné qu'à cinq ans de travaux forcés.
Observation
II.()Ma'e incendies. - Accusé d'une intelligence
as impulsif. Cette affirmation directe, nous l'aurons encore dans l'
observation
suivante. Berger n'avait pas cédé davantage à u
tténuantes. La cour l'a condamné à douze ans de travaux forcés. -
Observation
III. Sept incendies. - Accusée atteinte d'im- b
e chez la femme.- Irresponsabilité. Ordonnance de non-lieu. Cette
observation
sera courte. L'irresponsabilité de celle qui en
e mauvais traitements ou la poursuivaient de quolibets. Placée en
observation
à l'asile par le parquet, j'eus tout le loisir
jeune fille fut maintenue à l'asile. 1 . Des considérations et des
observations
qui précèdent je conclurai : . I. Les incendi
garçon, mort à cinq mois, d'une méningite, avec des convulsions.
Observation
V. Imbécillité ; perversion DES instincts. Anté
e de gagner sa vie comme menuisier et l'on s'occupe de le placer.
Observation
VI. IDIOTIE complète. Athrepsie de la première
t d'une cuiller pour manger, à la con- dition qu'on le surveille.
Observation
VII. Imbécillité. Crises nerveuses ci quatre an
de côté tous les faits, quelqu'intéressants qu'ils soient, que les
observations
peuvent présenter d'étrangers à 366 CLINIQUE ME
rniers malades ont été placés à Bicétre; mais avant de relater leur
observation
, nous allons dire quelques mots de leurs frères
'indiquerons ici que les traits principaux de leur affec- tion. '
Observation
VHI. Idiotie complète. Gui... (Louis-Oscar), âg
t des tubercules gris en voie de formation dans les deux poumons.
Observation
IX. IDIOTIE complète. , Gui... (Charles-Georges
le septième enfant de cette famille. Nous les transcrivons ici :
OBSERVATION
X. -IDIOTIE COMPLÈTE. Gui... (Henriette), entré
- vations des deux derniers enfants qui ont été placés à Bicêtre.
Observation
XI. IDIOTIE congénitale complète. Pas de convul
. Poids, 23 kil. 200. Taille, 1 m. 22. DES FAMILLES D'IDIOTS. 373
Observation
XII. IDIOTIE complète; ÉPILEPSIE. Crises nerveu
nce des produits, et que nous avons pu déjà constater dans les deux
observations
précédentes, trouve encore ici son application.
apportons plus haut en détail. Il est un fait déjà signalé dans l'
OBSERVATION
III que l'on retrouve dans celle-ci et auquel o
ent admis. Nous en avons vu, d'ailleurs, encore un exemple dans l'
OBSERVATION
IV. Parmi les survivants, deux présentent une c
ri- mentation. On ne connaît guère, dans cet ordre d'idées, que l'
observation
de M. Bernheim et les mémoires de M. Aug. Voisin
riaques, et même de suicide. Ces faits sont d'ailleurs communs et d'
observation
journalière dans d'autres formes vésaniques : m
nique semble confirmer cette manière de voir, ainsi que l'indique l'
observation
suivante que nous ne ferons que résumer. Obse
l'indique l'observation suivante que nous ne ferons que résumer.
Observation
. --Il s'agit d'une jeune femme de trente ans, aya
ûmes d'essayer l'hypnotisme, et nous allons voir dans la suite de l'
observation
, comment nous avons pu ainsi modifier l'état de
cessite un examen clinique approfondi. Comme ce n'est pas sur une
observation
qu'on peut établir un système nous conclurons e
exceptionnels peut-être, mais qui n'en existent pas moins et qu'une
observation
minutieuse pourra faire reconnaître. REVUE CRIT
, c'est la sensibilité tactile qui est atteinte. Les malades de nos
Observations
ne sentaient qu'imparfaite- ment les objets qu'
délire de persécution avec hallucinations. Chez la malade de notre
Observation
XLIII, il se manifesta à plusieurs reprises ave
urs reprises avec des retours de lucidité; chez la malade de- notre
Observation
LXXVIII, il précéda de très peu l'issue fatale,
VII, LXXIX). Il est tan- tôt objectif comme chez le malade de notre
Observation
XLIV, et tantôt à la fois objectif et subjectif
'autres fois la somnolence qui fatigue z les malades comme dans nos
Observations
XI, XLII, LXXII. Cette somnolence, persistante,
e devient alors une cause d'insomnie, comme chez la malade de notre
Observation
XI. Il existe assez fréquem- ment des chauchema
u'on relève habituellement chez des diabétiques. La malade de notre
Observation
XVII avait eu un frère épileptique, elle avait
obligé de la mettre dans une maison de santé. La malade de notre
Observation
LXXVIII avait un frère aliéné. , , . 404 . revu
e cérébrale coexistant avec un diabète indiscutable, et d'après les
observations
de Siegen, de Gilles, de Golden, de Richardson,
ert doivent être inter- prétés dans ce cas. Lorsqu'on analyse leurs
observations
, on arrive facilement à se convaincre que des s
utres auteurs : Nicolas, Bouchut, Redon, Ronbach ont rap- porté des
observations
semblables. Pour nous, si nous avons rencontré
t alors le plus souvent à des lésions rétiniennes, comme dans notre
Observation
XII, où l'on constata l'existence d'hémorragies
s ponctuées et de taches graisseuses de la rétine; comme dans notre
Observation
XVI, où l'ophthalmoscope montra également une r
ERVEUSE. der sous l'influence du régime, comme dans certaines des
observations
de Seegen. Mais elles peuvent aussi s'aggraver
tent encore impuissantes lorsqu'il s'agit de préciser. Les dix-neuf
observations
relatées par M. de Pfungen, tout intéressantes
sation DE L'HÉMICHORÉE; par F. GREIFF. (Arch. f. Psych., XIV, 3.)
Observation
I. Vieille femme de soixante-quatorze ans, extr
'original la délimitation macroscopique et microscopique exacte).
Observation
II. Femme de cinquante-deux ans atteinte, à la
E LA MOELLE ALLONGEE; par H. SENA- TOR (Arch. f. Psych., XIV, 3.)
Observation
avec autopsie, mettant en lumière un foyer de r
of Mental Science, juillet ! 883.) Nous donnons ici le résumé de l'
observation
: Homme de vingt-huit ans, célibataire, entré à
e DES NERFS périphériques ; par SAKAKY. (Arch. f. Psych., XV, 2.)
Observation
avec autopsie. Particularités nécroscopiques :
LES MÉNINGES spinales; par M. BRAUBACH. (Arch. f. Psych., XV, 2.)
Observation
: Paralysie des extrémités inférieures, anesthé-
IÉNÉS- par James ADAM. (Journal of mental Science, juillet 1883.)
Observation
1. Femme de quarante-cinq ans, mariée, insti- t
Elle a toujours des hallucinations, mais elle ne leur obéit plus.
Observation
Il. Jeune homme de dix-huit ans, garçon de ferm
peutique psychique. A cette dernière ca- tégorie appartiennent deux
observations
intéressantes du mé- moire. P. K. XXI. Contri
tielle se traduisant par des phénomènes de compression cérébrale.
Observation
d'épilepsie chez un jeune homme de dix-huit ans
e l'écorce englobant par places (ma- cules) la substance blanche.
Observation
de mélancolie grave : dégénérescence graisseuse
fft-Ebing conclut à l'aliénation non seulement depuis le temps de l'
observation
, mais encore à l'époque où l'acte incriminé fut
as de méningite tuberculeuse chez des aliénés adultes (hommes); les
observations
détaillées de ces quatre cas sont consignées da
le que présentait la malade que nous avons examinée ensemble. Cette
observation
, par la réunion chez le même sujet de ces troub
'est-à-dire signe de dégénérescence. M. Jules Voisin communique une
observation
fort curieuse de grande hystérie avec dédoublem
l'action des métaux et de l'aimant. C'est de là que sont venues nos
observations
. En appliquant, sur lavant-bras droit paralysé,
t se sont trouvés conformes aux rensei- gnements renfermés dans les
observations
de M. Camuset, de M. Voisin et à ceux obtenus p
ice de la maladie, comme dans le cas de Félida (M. Azam), ou dans l'
observation
antérieure de notre sujet lui-même (M. Camuset,
améliorations, parmi lesquelles celle d'un paralytique général. Les
observations
de l'asile de Siegburg comprenaient aussi des p
conducteurs volontaires et celles par processus dégénératifs; même
observation
en ce qui concerne les contractures. Discussion
qui concerne les contractures. Discussion : M. UNGAR communique l'
observation
d'un buveur atteint de delirium tremens avec ac
et qu'à Andernach on n'en note que - f0 p. 100 pendant une durée d'
observation
de cinq années. La cause de ces différences doi
symptomatique il faut joindre l'ana- lyse anatomo-pathologique de l'
observation
. M. FINHELNBURG. Si la syphilis jouait un aussi
itésimaux de paralysie générale typique.. ' M. SCHUCHARDT. Quelques
observations
sur les maladies intercur- , rentes chez les al
aux sondes molles anglaises passées par le nez. Les deux premières
observations
concernant des dames de qua- rante et un et qua
elle ne consentait à manger que de temps à autre. Dans la troisième
observation
, il s'agit d'un homme vigoureux decinquante- se
t de poids de 27 p. 100, puis regagnait en embonpoint. La quatrième
observation
est représentée par un malade qui, depuis trois
ées et à n'importe quelle période de son évolution(43 h. 4 f.); les
observations
sont très étu- ,- diées à tous lespoints de vue
à tour, à contribution l'anatomie, la physiologie, l'embryogénie, l'
observation
psychologique et la pathologie cérébrale. En
cli- nique réalise quelquefois, comme en témoignent les curieuses
observations
publiées par M. Magnan, observations relatives à
me en témoignent les curieuses observations publiées par M. Magnan,
observations
relatives à des malades qui, par exemple, en te
e l'écorce, comme siège organique. L'hypnotisme expérimental et l'
observation
clinique concourent donc à nous faire admettre
ez les vieillards : l'auteur rapporte en effet, un certain nombre d'
observations
sousles dénominations de manie, de mélancolie,
ussi négligé. 11 est même remarquable de constater que sur dix-sept
observations
soit inédites, soit empruntées il d'autres aute
pose : les névropathies peuvent-elles s'acquérir, et comment ? Les
observations
recueillies sur les vieillards peuvent avoir à
pour servir à l'histoire de la), par Séglas, 376. Thumsen (une
observation
de mala- die de), par Pitres et Dallidet, 201
he ne contient pas de corps granuleux. Fig. 2. - Capsule interne,
Observation
I, côté gauche, les corps gra- nuleux y sont di
nuleux y sont disposés en deux groupes. Fig. 3. Capsule interne,
Observation
II, côté gauche. A, couche optique. B, noyau le
EXPLICATION DES PLANCHES. 75 PLANCHE II Fig, 4. Pédoncule gauche,
Observation
I. A, corpo ârauulew - l3, cellules pigmentées
s pigmentées du tocusuiger. Fig, 5. Protubérance coupée par moitié,
Observation
I. A, corps granuleux. Fry. 6. - l4loelle cc.
En Amérique, Friedenwald (3) publia un cas en 1893, et en 1902 les
observations
étaient déjà assez nombreuses pour que Groenouw (
à des anomalies de la conformation externe de la boîte cranienne.
Observation
1 (PI. I). Jean San Pietro, 6 ans et demi, né à
le syndrome radiologique de l'oxycéphalie à la suite de toutes les
observations
personnelles que nous publions. NOUVELLE Iconog
IQUE (Ber'lolalti) Obs. II ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 11
Observation
II (PI. II). Crosetto Giuseppe, 15 ans et demi,
résente un abaissement considérable des facultés intellectuelles.
Observation
III (PI. III). Marie Raccanelli, née en 1901, a
re, de telle façon que le père en avait été frappé et en avait fait l'
observation
à la sage-femme. Marie fut nourrie au sein de
nnaître les mêmes altérations que nous avons déjà relevées dans les
observations
I et II. Vue de face, la tête affecte dans son
té visuelle est de 8/20 à D. et de 9/20 à S. Comme dans la première
observation
il faut relever le contraste existant entre la dé
tain degré degenu-vulgum plus accusé encore que dans notre première
observation
. Rien d'autre à signaler du côté des organes in
ence de la petite fille paraît assez bien éveillée. 18 BERTOLOTTI
Observation
IV (PL III). Alessandro Maccagno, huit ans, naq
e pas cet amaigrissement que nous avons signalé dans notre première
observation
. Vu de face, son crâne n'est pas exagérément dé
itique. Toutefois, en terminant l'histoire de ce petit malade, deux
observations
sont à faire : 1° Après une intervention sur
de la dysostose cléidocranienne. Si l'on cherche dans toutes les
observations
des cas d'oxycéphalie rela- tées par les auteur
, Muskens, etc. De nombreux auteurs, ultérieurement, ont relaté des
observations
réa- lisant le tableau de tumeurs intrâ-cranien
cune augmentation de volume de la tête. Il suffit de rap- peler une
observation
qui a été étudiée d'une façon complète et très
nio-tabes rachitique, et non seulement ce fait est démontré par mes
observations
cliniques ou anatomiques, mais aussi par la tenda
n travail d'ensemhle très consciencieux ; il a rassemblé toutes les
observations
d'oxycéphalie parues antérieurement, au nombre de
xycéphalie parues antérieurement, au nombre de 47, en y ajoutant 18
observations
personnelles. Eh bien, dans les commé- moratifs
intéressant à plusieurs points de vue. Voici d'abord les faits :
Observation
(PI. IX). J. C. A..., homme, 33 ans, brésilien,
ée, la glycosurie et, sans doute, les phénomènes oculaires. Cette
observation
de maladie de Recklinghausen rentre donc au nom-
igine pluriglandu- laire de la dystrophie. On connaît de nombreuses
observations
dans les- quelles, à côté de la neurofibromatos
s des recherches que nous avons faites nous n'avons trouvé que deux
observations
de mal de Recklinglausen avec acromégalie. La nôt
stion ne peut être résolue par la négative. » - Plus complète est l'
observation
de Piollet (2) pour ce qui a trait aux phénomèn
intérêt iconographique documentaire. Voici, brièvement résumée, l'
observation
: . Observation (Pl. X). X ? âgé d'une soixan
phique documentaire. Voici, brièvement résumée, l'observation : .
Observation
(Pl. X). X ? âgé d'une soixantaine d'années, ex
. Nervenhcilk, vol. IX, 1897. 48 MARINESCO ET GOLDSTE1N Voici les
observations
de ces deux cas : OBSERVATION ! . H. B...., 3
8 MARINESCO ET GOLDSTE1N Voici les observations de ces deux cas :
OBSERVATION
! . H. B...., 37 ans, marié, employé dans un ma
halée et commence à présenter de nouveau des troubles psychiques.
Observation
II C. V., 17 ans, étudiant l'Ecole des Arts et
ement englobés par une couche de tissu conjonctif f fibreux. Dans l'
observation
VI, cas de méningite aiguë pneumococcique, il a
o-vasculaire et des altérations des cellules épithé- liales. Dans l'
observation
XI, cas de méningiteaiguë, les plexus choroïdes
èse de Mme Long-Landry (1) sur la maladie de Little, on trouve deux
observations
sur quatre où elle rapporte des lésions inflammat
. Cet auteur, basé sur les recherches d'Hansc- matin (9) et sur des
observations
personnelles, soutient que dans la mé- (il, Min
uide clair, contenant peu de lymphocytes. Merle, dans sa première
observation
, où il a trouvé à l'autopsie une épendunite ave
de 38°, Gerhardt dit que le malade qui fait l'objet de sa quatrième
observation
avait de la fièvre pendant les récidives. Fraen
cas de méningite séreuse. Il est possible qu'elle soit passée sans
observation
, dans beaucoup de cas, ceux où elle n'était pas t
plaint de ce qu'on change les objets de leur place habituelle. Aux
observations
de sa famille qui essaie de lui faire comprendr
nels, comme dans les méningites en général. Bressler (2) a publié l'
observation
d'un homme de 48 ans, chez lequel la maladie a
le diversité des syndro- mes. Cependant, au milieu des nombreuses
observations
relatées de maladie de Friedreich et d'hérédo-a
u dans sa jeunesse et étant, de leur propre aveu, dénués d'esprit d'
observation
. Peu intelligent, illettré, « il a toujours été
avril 1906, à t'age de 39 ans et demi. Au moment où fut prise cette
observation
, c'est-à-dire en 1903, l'intelli- gence était c
ie appartiennent sans doute à la période tardive de la maladie où l'
observation
a été prise. Autopsie. Le cerveau pèse 1.066 gr
sujet, de symptômes de l'une et de l'autre, on a cité au moins une
observation
(Bauer el Gy, 1909 où, dans une même famille, l
istaient seuls dans 11 cas (). La même année, ,,1 Ahadie publiait l'
observation
d'une femme de48ans, tabétique depuis 10 ans, s
Romberg, ni alaxie, ni hypotonie (ti). Signalons enfin les quelques
observations
lyonnaises de M. Gangolphe 7) où il s'agit de l
ent pas de signe de Westpltal. Sans aucun doute, il existe d'autres
observations
, publiées ou non, de tabes avec conservation de
si qu'on peut le voir dans l'article de MM. Achard et Lévi (3), des
observations
dans lesquelles les réflexes rotuliens ont été
OTULIENS 81 avec une lésion de la zone de Westpha) ; dans une autre
observation
de Nonne (1), un malade avait comme unique symp
notre connaissance n'a pas encore été anatomiquement vérifiée. L'
observation
suivante est celle d'un malade atteint de crises
et l'autre hypothèses, son intégrité ne saurait surprendre. Notre
observation
n'apporte non plus aucun éclaircissement au sujet
es de Westplial, dont nous avons plus haut donné les limites. Notre
observation
confirme encore une fois la justesse du rap- pr
lignes précédentes, paraissait présenter le signe de Westplial ; l'
observation
a été égarée, dit l'auteur, et l'étal des réfle
ce fait une explication satisfaisante. On répartit, en général, les
observations
en deux groupes. Le premier comprend celles où
ppé d'hémiplégie. Nous envisagerons maintenant un deuxième groupe d'
observations
où les réflexes rotuliens sont réapparus sans l
xcitations nouvelles qui circulent dans le système nerveux. Maintes
observations
faciles à faire sur soi-même, par exemple en fe
cécité, du moins dans l'état actuel de nos connaissances. ' Notre
observation
se prête encore à quelques considérations d'ordre
raison de l'absence des symptômes cardinaux, celte hypothèse qu'une
observation
plus prolongée mettrait en lumière ; il il résu
radiculo-médullaires très légères et étroitement localisées (notre
observation
en est un exemple), comme aussi dans des tabes
DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES RÉFLEXES ROTULIENS yà Quelques
observations
viennent d'ailleurs montrer que les lésions rad
comme J. Ch. Roux (2) l'a montré. Mais,d'autre part, il existe des
observations
, comme la nôtre, où les lésions radiculaires et
osté- rieures. Les neifs pér phériques n'ont pas été étudies. Cette
observation
est empruntée par M. Rmnx à la thèbe de Mme ŸAY
bès absolument a rejeter, vu l'intégrité des cordons postérieurs. Ces
observations
sont extraites de la thèse de Ittvay, Lyon, l9o
rfaitement bien l'état actuel de la question. Il w apparaît que les
observations
de crises gastriques où l'autopsie est assez co
LIENS 97 rares, et plus rares encore les examens histologiques. Une
observation
de M. Devic démontre que l'estomac peut ne prés
cancer, ulcère simple. lésion slénosante pylorique comme dans notre
observation
). D'autres seraient peut-être des altérations s
tre que les images verbales reconnues grâce à leur forme ; déjà les
observations
de Redlich et de Schuster ont montré que la lec
A LA TETE J 2\ 1 le processus associatif. Curieuse est aussi cette
observation
: Sur demande, B. écrit correctement l'adresse
restera, très proba- blement, une défectuosité permanente, car les
observations
de Henschen UN CAS DE BLESSURE PAR AXME A FEU A
s encore été étu- dié ? C'est à peine si, en lisant les principales
observations
de gigantisme publiées jusqu'à ce jour, on y tr
emps à autre un mot pour signa- ler l'absence d'appétit sexuel. L'
observation
suivante est celle d'un géant dont l'étal mental
entre le gigantisme du malade et les symptômes d'acromégalie, notre
observation
n'apporte pas d'arguments permettant de tranche
onvient-il de porter à la connaissance du public médical toutes les
observations
susceptibles d'être recueillies, afin de facilite
été projetée sur ce coin, encore trop ignoré, de la pathologie. L'
observation
suivante me paraît digne d'attirer l'attention.
ie. L'observation suivante me paraît digne d'attirer l'attention.
Observation
(PI. XXII, XXIII). Khéroufa )·atUma, jeune maur
une mauresque de 17 ans, entre à l'Hôpital de Musta- pha (service d'
observation
spécial aux maladies mentales), le 22 novembre
'aurait amélioré que légèrement les troubles mentaux. : Certaines
observations
permettraient d'incriminer plus spécialement les
oppement de son intelligence amoindrie dès le principe. Du reste, l'
observation
de l'état intellectuel et mental de notre sujet
logie, 1907, no 13. 6. EozltHE et Dawtas. - A propos d'une nouvelle
observation
d'achondroplasie ; peut-on de la forme des trou
NGLADA Chef de clinique médicale à l'Université de Montpellier. L'
observation
du malade dont nous donnons ici deux photographie
essante pour être rapportée à titre de document icono- graphique.
Observation
(PI. XXIV, XXV). Ce malade, âgé de soixante-deu
ais été aux colonies. Les deux photographies qui accompagnent cette
observation
dispensent de longues descriptions ; il suffit
ction. Il n'y a qu'à se reporter aux deux photographies jointes à l'
observation
pour compléter cette description très brève. La
est tout d'abord dif- ficile de le préciser. Certains détails de l'
observation
n'ont pu être suivis assez longtemps,'et les in
ec une symptoma- lologie plus fruste comme on en retrouve certaines
observations
dans le beau livre deLeloir(1).«La teinte hyper
t aussi (Babinski, 1898). Cette règle se trouve véri- fiée dans mes
observations
: Les 5 malades présentant une abolition bilaté-
fixité, de rapidité et de constance d'appari- tion sont tels que l'
observation
de ces phénomènes est utilisée pour la détermin
nte même plus rapidement que ne l'indiquent les graphiques, car mes
observations
ne portent que sur des gardes faisant leur serv
Er ROTULIENS 167 chez le même sujet, ont été relevées. -Dans les 59
observations
d'absence du réflexe achilléen : traumatisme de
e les achilléens et les autres réflexes. Pas d'autre trouble. Les
observations
suivantes peuvent servir de transition entre l'ir
r lui-même à la Société de Neurologie (Délimi- tation du tabès, ses
observations
portaient sur déjeunes montagnards, de 18 à 24
tre précisées par l'examen complet, la recherche des antécédents, l'
observation
de l'évolution, et par l'étude de quelques cas pa
ymptomatique n'étant pas rare, il y a lieu d'en tenir compte dans l'
observation
scientifique, l'expertise médicale, et la clini
des modifications du caractère. Enfin nous citerons une partie de l'
observation
plus détaillée de Franl : l-Iloclovart(3), telle
ments browniens. Les faits essentiels qui se dégagent de toutes ces
observations
, c'est que le cyloplasma et le karioplasma des
d'être publié et d'attirer l'attention, ar c'est en multipliant les
observations
que l'on parviendra peut-être à sou- lever le v
droite et à gauche une côte arti- culée. Depuis cette époque, les
observations
se sont multipliées, des travaux d'ensemble ont
nt été soutenues sur ce sujet (4). Le malade dont nous rapportons l'
observation
est un exemple extrême- ment rare, peut-être un
nous suggère ce cas très curieux. Voici dans tous ses détails, l'
observation
de notre malade : (1) Celte opinion est défendu
s des os du rachis. UN cas d'absence DES vertèbres cervicales 225
Observation
. L. Joseph, âgé 46 ans, exerçant la profession
est bien visible sur les deux photographies qui accompagnent notre
observation
: - Sur la première, vue de face, le malade rel
Cette théorie est séduisante, satisfaisante même pour de nombreuses
observations
; elle ne saurait tout expliquer. Rosemberg ava
e la situation du nerf en fourche. Ancel et Sencert rapportent deux
observations
personnelles où ils ont (1) RosemnHnc, nforph.
chance d'observer un cas des plus typiques. Mais avant de donner l'
observation
de notre malade et la discussion qu'elle compor
médicale des Hôpitaux, Pierre Marie et Sainton (1) présentèrent les
observations
des deux malades, père et fils, atteints de tro
ure n'était pas encore fermée. Le second est le sujet de la seconde
observation
. Le malade présentait un aspect spécial de la t
Voisin, Macé de Lépinay et Infroit (9) en France. A l'étranger, des
observations
se rapportant au même sujet furent publiées par I
de publier celui observé par nous. Nous commencerons par donner son
observation
pour dire ensuite quel- ques mots sur la palhog
symptomatologie et citer les phénomènes notés dans les différentes
observations
,outre les deux troubles fondamentaux qui ont va
ion, il convient de citer les troubles dentaires. Signalés dans les
observations
de Pierre Marie et Sainton, ces troubles avait
e Pierre Marie et Sainton, ces troubles avait été déjà notés dans l'
observation
de et ultérieure- 260 MALDARESCO El' PARHON m
'obésité ou l'obésité même. Ce phénomène se trouve signalé dans les
observations
de Dowae, Rappeler, dans trois sur quatre cas d
hies glandulaires. BIBLIOGRAPHIE 1. Pierre Marie et P. Sainton. -
Observation
d'hydrocéphalie héréditaire (père el fils) , pa
raves gens dénués de tout désir de se faire remarquer. Bien que les
observations
cliniques manquent complètement pour toute la d
NATURE NÉVRITIQUE (second cas SUIVI d'autopsie) PAR E. LONG.
Observation
clinique (1). Brandt Lucien, né en 1848, monteu
ice de M. le professeur Bard, du 20 janvier au 25 février 1901. L'
observation
prise il ce moment-là, et que nous résumons, indi
uleurs les plus caractérisées. A la fin de cette première période d'
observation
, l'attention a été attirée sur quelques tremble
elles sont parfois assez vives la nuit pour empêcher le sommeil. L'
observation
prise pendant ce deuxième séjour à l'Hôpital cant
transformation graisseuse dans les muscles examinés. Résumé DE l'
observation
clinique. - Début de l'atrophie musculaire à l'
attiré l'attention sur ce mode de début; il le rencontrait dans des
observations
antérieures aux siennes (Eulenburg, Di=i h nha
et depuis lors le fait a été confirmé à plusieurs reprises. De ces
observations
cliniques la première, celle d'Eulenburg (début
lies, ou même abolies, sans RD. Dtihnhardt interprétait la première
observation
comme une affection de nature myopathique, ressem
cas dans son atrophie musculaire neurotique et les rapproche de ses
observations
personnelles. Chez deux frères Otto G. et Gusta
hiés ; ici, pas de contractions fibrillaires. Dans l'une et l'autre
observation
, les douleurs font défaut. - - Avec les deux
nal, in Neurolog. Central- blatt, 1901, p. ' ! 73. 294 LONG Ces
observations
cliniques (1), et d'autres que nous retrouverons
sont-elles spinales ou périphériques ? Doit-on y faire rentrer les
observations
qui ont été décrites sous le nom de névrite in-
ocuments anatomiques peuvent être divisés en trois groupes : 1° Les
observations
de Virchow, Friedreich, Dubreuilh, l'attachées pl
fmann à la discussion des atrophies musculaires neurotiques, et une
observation
deNoune qui, à notre avis, esl du même ordre. C
e qui, à notre avis, esl du même ordre. Cas de Virchow (2). - Cette
observation
ne comportait d'autres ren- seignements cliniqu
s plus importantes en l'espèce. Cas DE Friedreich. -(I) La première
observation
est celle d'une atrophie progressive, datant de
interstitielle avec atrophie graisseuse des fibres striées. Dans l'
observation
Il du même ouvrage, l'affection, qui est familial
ressives, mais à celle des névrites périphériques. Dans sa première
observation
, bien que l'atrophie musculaire fut progressive z
e névrite interstitielle et par des espaces incolores. Cette dernière
observation
est importante pour le début de la maladie par
e Charcot- Marie ou d'atrophie musculaire neurotique de Hoffmann.
Observation
de Marinesco (2). - Elle concerne un des malades
ossibilité d'une lésion primitive des nerfs moteurs et sensitifs.
Observation
DE SIEMEJlL1NG (1). - Début de l'atrophie entre e
t de quelques vaisseaux ; dégénérescence musculaire très avancée.
Observation
de SAINTON (2). - Début à l'âge de 42 ans par une
aisseuse; les nerfs intramusculaires sont en général peu altérés.
Observation
DE CASnzzn (3). - Début à 27 ans par des douleurs
res (L'auteur adopte le même titre que Dubreuilh et rap- proche son
observation
des cas de Hoffmann à cause du caractère familial
s cas de Hoffmann à cause du caractère familial de la maladie). ,
Observation
DE Dejerine et Arsiand-Delille (1). - Début de l'
usculaires présentent fies lésions d'endo-périar- térite intense.
Observation
DE DESUCr et DEBOUBAIX (2). Hérédité mentale char
lésés avec atrophie des tubes nerveux (Dans la discussion de cette
observation
, les auteurs défendent la conception unitaire d
tendu, frappant à la fois les centres, les nerfs et les muscles).
Observation
DE WESTPHAL (1).- Hérédité psychopathique. Début
isolé au milieu de l'atrophie; quelques-unes sont hypertrophiées.
Observation
de GIERL1CH (2). Hérédité similaire ; atrophie de
epuis l'aspect presque normal jusqu'à la transformation graisseuse.
Observation
DE CASS)RER ET Maas (3). - Début vers 39 ans, par
cer la démarcation entre les myopathies et les autres atrophies).
Observation
DE AOYAMA (1). - Début vers 5 ans par la paralysi
iebelartig) se voient en quantité modérée ». Nous avons dit que les
observations
de Oppenheim el Cassirer, de Spiller ont été, a
myopathie de par ses caractères cliniques et anatomiques. 3° Les
observations
de névrite interstitielle hypertrophique sont enc
dessins qui en on fixé la caractéristique anatomique. - Les deux
observations
de Dejerine et Sottas (3), Dejerine et André Tho-
bres hypertrophiées ; parois vasculaires fréquemment épaissies. L'
observation
de Gombault et Mallet (2), publiée antérieurement
les muscles, atrophie simple, parfois transformation fibreuse. L'
observation
de Boveri (3) publiée récemment est l'examen hist
des nerfs. Pas d'altérations de structure des vasa-nervorum. Cette
observation
, qui s'écarte notablement de la série des formes
es racines postérieures et des nerfs cutanés. En résumé, ces deux
observations
représentent au point de vue anato- mique des f
D'autre part,au point de vue clini- que, elles sont comparables aux
observations
classées dans l'amyotrophie Charcot-Marie ou at
stations cliniques, sont essentiellement varia- bles. Ainsi, dans l'
observation
que nous publions ici, les lésions portent pres
des plus variables. Le second processus peul-il faire défaut ? Les
observations
de Siemerling, Dejerine et Armand-Delille (1) V
sions les plus typiques, qui ont attiré l'attention dans les autres
observations
, l'hypertrophie des gaines de Schwa.nn constitu
e conception ne se trouve vérifiée qu'en parité, puisque nom- bre d'
observations
montrent l'intégrité de la moelle épinière. Dan
t des fibres myélinisées. Ces dégénérescences médullaires, dans des
observations
où aucun état spasmodique, ni cérébelleux ou at
259. (2) A ce propos, il est intéressant de relever dans plusieurs
observations
d'atrophie musculaire névritique, analysées plu
dégénératif hypertrophique. Nous terminerons la.discussion de notre
observation
par deux remar- ques de physiologie pathologiqu
sensibilité sont inconstants, font défaut dans un certain nombre d'
observations
ou pendant une partie de l'évolu- tion de la ma
parenchymateuses et intersti- tielles,sont indéniables. Dans notre
observation
Brandt, il n'a pas manqué, mais il a eu une cou
On ne peut que restreindre le problème en notant que dans ces deux
observations
, c'est bien à des altérations des nerfs qu'il fau
AVEC LIPO- MATOSE SECONDAIRE PAR ANDRÉ-THOMAS et J. JUMENTIÉ.
Observation
clinique. - D... Charles, maître d'hôtel, âgé de
est déjà rare ; associée à une lipomatose secondaire, comme dans l'
observation
précédente, elle dévient une véritable curiosit
ité des sphincters et des fonctions du rectum est respectée. Dans l'
observation
précédente, le rétlexe achilléen du côté gauche
, il m'a semblé qu'il était bon d'en publier l'histoire clinique.
Observation
. Battiata Andréa, âgé de 16 ans, de Trapani. So
dystrophie musculaire progressive. Je rapporterai, à ce propos, les
observations
méthodiques de Guillain, qui remarqua que, chez
traumatique « simulant la maladie de Pige[. Nous devions publier l'
observation
dans l'Iconographie de la Salpétrière ; nous av
adie de Paget que l'affection semble aujourd'hui évoluer. Voici l'
observation
résumée : Haf..., 63 ans,veilleur de nuit. Rien
e qu'un trauma- tisme est signalé douze fois sur une cinquantaine d'
observations
. Mais cet auteur comme les autres ne lui accord
sant à cet égard est celui dont Moizard et Bourges (4) ont publié l'
observation
: à l'âge de 21 ans,il se fil une contu- sion a
LES ENFANTS PAR R. BENON et P. FROGER (St-Jacques, Nantes). L'
observation
qui suit peut être considérée comme un exemple ch
raissent avoir joué un rôle important dans l'étiologie de ce cas.
Observation
OBS.- Résumé : Deux épisodes aigus hallucinatoi
ard, es\ revenu sur ces faits eto" définiti- vement établi, par six
observations
, dont deuxa-vecautosiesx 10 ! fl..éqLlence rela
t surtout depuis lors, on en a d'ailleurs publié d'assez nombreuses
observations
isolées. Nous citerons les cas de Vizioli, Lannoi
ns plus loin, on la rencontre men- tionnée dans un certain nombre d'
observations
. 1 Dans les cas de syphilis nerveuse et plus pa
on au niveau du ligament annulaire antérieur du carpe. Aucune des
observations
de Ramsay Hunt ne comporte d'examen ana- lomiqu
lier du réflexe cutané plantaire, n'est pas indiqué dans toutes les
observations
. Il est donc impossible de se faire une opinion
es et la marche non progressive existent également dans deux de nos
observations
, où la 'lésion causale est indubitablement médu
fication anatomique, pour établir ensuite,' par un certain nombre d'
observations
purement cliniques, la fréquence relative du type
yélie ; si les vaisseaux et le tissu con- jonctif ont été l'objet d'
observations
diverses, ce sont surtout les travaux de ces de
ent pour ces diverses raisons que nous avons cru devoir pu- blier l'
observation
qui fait le sujet de ce travail. Elle est suscept
aire n'est pas commandée par le gliome. Tout d'abord dans plusieurs
observations
, la prolifération conjonctive n'est pas toujour
agnée par les néoi forma lions gl iomiteu- ses ; dans la précédente
observation
il y a des régions où les fentes et les cavités
convulsives et des troubles mentaux observés chez notre ma- lade.
Observation
(PL LVI). Th. Jules, 41 ans, cultivateur, entre
nce durant de longues années ; tantôt au contraire comme dans notre
observation
, le traumatisme n.e provoque aucun phénomène mo
n'a relevé qu'un cas survenu 8 ans après le trauma (celui de noire
observation
), 1 cas après 9 ans, 2 cas après 13 ans. (1) FM
éformation de la colonne vertébrale. C'est dans la même catégorie d'
observations
qu'il 1 y a lieu de comprendre le cas de carie
difficultés présente parfois un exact diagnostic de l'affection.
Observation
. Ch. K..., 72 ans, entré le 16 février 1901. C'
ie qui ne progresse pas si vite. La mort du malade interrompt toute
observation
subséquente sans nous permettre d'expliquer la
dultes ou les vieillards atteints de tuberculose vertébrale. Sur 15
observations
cliniques d'Alquier, vérifiées ensuite par l'au
ur cause peuvent donner lieu à une fausse interprétation. Parmi les
observations
récentes, mentionnons le cas cité par d'Ascenzi e
présenté des phénomènes spastiques avec exagération des réflexes. L'
observation
de la sensibilité présenta la dissociation typi
les paresthésies et la paralysie flasque des membres inférieurs. L'
observation
de la sensibilité découvre également la dissoci
s froid. Si la mort prématurée du malade n'avait pas interrompu les
observations
, cet abcès froid aurait permis probablement d'a
ale des hôpitaux de Paris, le 14 octobre 1910. Voici, brièvement, l'
observation
: D. Monteverde, 48 ans, paysan. Antécédents
quer encore une fois les controverses soulevées autour de ce sujet.
Observation
(Pl. LIX). , lIIUe Az..., 66 ans. Anamnèse. -
416 6 - CONTO * x t Il y a principalement à retenir de cette
observation
: I. Le fait qu'il s'agit d'un sujet du sexe fé
MONIZ, Professeur à la Faculté de Médecine de Lisbonne. Des trois
observations
que nous publions, la première est la seule con-
e s'est laissé opérer que dans la dernière phase. Les deux autres
observations
sont assez typiques pour qu'il n'y ait pas de d
question qui, en ce moment, attire l'attention des neurologistes.
Observation
I. C. de S., 27 ans, employé de commerce. Il
variole dans son en- fance. Il a subi à 17 ans une amygdalotomie.
Observation
actuelle. Marche. - Il marche avec la préoccupati
pe. L'examen ophtalmologique a montré les fonds des yeux normaux. L'
observation
a été faite le 26 février 1911 (DI' Borges de Sou
e premier assistant de neurologie, le Dr Antonio Flores (PI. LX).
Observation
II B. C..., de 38 ans, couturière. Elle est v
ses il y a sept ans. Elles ont passé avec l'usage de la morphine.
Observation
actuelle. Marche hésitante d'ivrogne, avec déviat
réciser la tuméfac- tion des papilles, mais la malade, de difficile
observation
, est partie de Lis- bonne sans s'y prêter. Au
née par une autre personne. Je n'ai pas pu l'observer il nouveau.
Observation
III. J. C..., 34 ans, cordonnier. Il vient me c
isme à 6 et à 7 ans quand il habitait la petite ville de Mertola.
Observation
actuelle. Mal cite. Il sent une déviation à droit
is ; très peu dans le premier et le troi- sième. Dans les premières
observations
de ces malades on n'observait qu'un petit degré
, constituaient leur substratum anatomique. Nous rapportons ici nos
observations
justificatives, et l'examen anatomi- que de nos
ustificatives, et l'examen anatomi- que de nos cas avec autopsie.
Observation
I Pa..., mort à 81 ans en décembre 1910, cordon
rtérite et rétrécissement sans thrombose du calibre des artérioles.
Observation
II Ch..., garçon de magasin. Mort il 76 ans.
érite et rétrécissement sans thrombose du calibre des artérioles.
Observation
III Sur ce cas, les renseignements cliniques ma
nos deux autres cas, est également en faveur de cette hypothèse.
Observation
IV IL ? 82 ans, ménagère. La malade est une g
exe modérée des 7" et 8° racines cervicales et de la 1 ? dorsale.
Observation
V F..., 61 ans, menuisier; syphilis à 20 ans, 7
positif, sans autre signe clinique de syphilis des centres nerveux.
Observation
VI Ga..., 70 ans, ménagère. Mariée, pas d'enfan
s probable. Atrophie thénarienne respectant l'adducteur du pouce.
Observation
VIf 13..., manoeuvre, 52 ans. Nie la syphilis e
r. Rien à la main gauche. Les réllexes sont conservés et normaux.
Observation
VIII Wa..., 78 ans, ménagère. Atrophie thènar
d'origine vraisemblablement obstétricale par lésion radiculaire.
Observation
IX B...,49 ans, journalier. Nie la syphilis, pr
te unilatéralité est cependant en faveur de la non progressivité.
Observation
X M..., 6(¡ ans, représentant de commerce. Nie
MUSCLES zizi Si nous essayons de dégager les traits communs de ces
observations
en éfiminantiescasttop disparates tels que le c
éminence thénar, plus rarement sur les interosseux. Cependant notre
observation
VI a trait un type hy- pothénar avec associatio
ent être dues à de tout autres causes. Citons comme exem- ple notre
observation
n° 2 qui concerne une hémiplégie aphasique, nos
e notre observation n° 2 qui concerne une hémiplégie aphasique, nos
observations
6 et 10 qui concernent, l'une un tabes franc, l'a
Pour les réflexes cubital et radial, nous voyons en dépouillant nos
observations
: a) Qu'ils étaient conservés et normaux dans 4
ici uniquement de tabétiques), l'examen un peu plus approfondi des
observations
deM. Dejerine montre qu'elles ont trail en réalit
ophie isolée non progressive peut d'ailleurs, comme le montre notre
observation
avec autopsie n° 4, être également causée par une
TS MUSCLES 451 davantage, et notamment il en était ainsi dans notre
observation
IV, où il s'agissait de névrite du cubital et d
l'incertitude où laisse l'état des réflexes. Il semble, à voir nos
observations
, que leur abolition unilatérale soit en faveur
ts de celte histoire clinique, en voici le compte-rendu détaillé.
Observation
(PI. LXII) B. G. C., 47 ans, entre à la salle C
, mais il est difficile de préciser la nature de la tumeur. Cette
observation
est pour nous le sujet de divers ordres de réflex
rite intolérante, on trouve des cas semblables parmi les nombreuses
observations
que nous avons lues.. Souvent, ce fait peut êtr
ons d'arguments pour discuter ce point, mais nous relirons de notre
observation
une particularité : c'est que le coeur pesait 700
ans la paralysie générale il nous a semblé utile de rapporter leurs
observations
, d'autant plus que dans l'un de ces cas nous av
i l'unit à la maladie dont nous parlons. Nous donnons d'abord les
observations
de nos malades (en résumé). Observation I (PI.
Nous donnons d'abord les observations de nos malades (en résumé).
Observation
I (PI. LXIII). A. \L ? 35 ans, mariée. Les pare
ns aucun motif. Gâteuse. L'appétit est bon, le sommeil également.
Observation
II (PI. LXIV). Voici maintenant la seconde obse
également. Observation II (PI. LXIV). Voici maintenant la seconde
observation
: ' V. G..., 46 ans, fonctionnaire à la douane.
enté dans l'hospice plusieurs ictus avec convulsions consécutifs.
Observation
III. Nous résumons maintenant la troisième obse
nsécutifs. Observation III. Nous résumons maintenant la troisième
observation
. .1. R..., 45 ans, reçu dans l'hospice le 20 ju
t ramasse toutes les miettes de pain, les mangeant gloutonnement.
Observation
IV. Dans la quatrième observation il s'agit d'u
in, les mangeant gloutonnement. Observation IV. Dans la quatrième
observation
il s'agit d'un malade (A. P.), âgé de 42 ans, a
orts des glandes endocrines avec la pathologie mentale, on trouve l'
observation
d'un para- lytique obèse à la nécropsie duquel
èrement exagérée, ce qui a été peut-être le cas chez le malade de l'
observation
en question, car l'aspect histologi- que de cer
e démence progressive. Ce n'est que chez le ma- lade de la première
observation
que nous avuiis observé une amélioration des tr
ogie (2), vient à l'appui de cette réflexion d'Achard et L. Lévi.
Observation
(PI. LXV). Il s'agit d'une brodeuse de 39 ans,
z notre malade, nous avons cherché dans la littérature médicale des
observations
analogues. Pic et Gardère (3) ont publié sous l
ani- festations pulmonaires. Quoiqu'il soit plus éloigné de notre
observation
, nous tenons à signaler pour mémoire le cas de
des substances de l'organisme. La thèse de l'un de nous dont cette
observation
est l'amorce envisagera, en effet, les variatio
a- teuses. C'est à ce litre que nous avons donné pour illustrer l'
observation
du malade, quelques-unes des photographies que
u'il a vuspendant ses voyages surtout en Italie, et il communique 4
observations
d'hémiplégie traitées avec succès par l'électri
térieure du membre est seule visible et on ne sau- rait y faire les
observations
très nettes qui résultent de l'examen de la se-
notre service au mois d'octobre 1895 ; voici parmi les détails de l'
observation
relevés par M. Souques qui était alors mon chef
te et dans le côté droit du tronc. En 1894, IIomen (1) a publié une
observation
de syringomyélie avec anesthésie totale aux ava
auche, à la jambe et au pied droits. Je vous signalerai ensuite une
observation
de Schuppel (3) sur laquelle je crois devoir in
pie-mère doublée d'une mince couche de névroglie. Dans la seconde
observation
publiée par les mêmes auteurs, l'autopsie a mon
LENOBLE , Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux.
Observation
. La nommée V... Alice, âgée de 28 ans, entre le 6
s comme relativement bénin. Ce qui fait enfin le grand intérêt de l'
observation
de V..., c'est qu'elle démontre une fois de plu
tal St-Louis. Nous avons pensé qu'il était intéressant de publier l'
observation
qui va suivre, exemple de la localisation assez
lités les plus rares des manifestations nerveuses de la vérole. L'
observation
que nous publions ici est un exemple remarquable
antes. Encarté- rite oblitérante. Ramollissement syringomyélique.
Observation
. P. V..., danois, âgé de 42 ans, exerçant le mé
les dessins sinueux ou tourbillonnés si élégants, décrits dans les
observations
de Sottas. Ces dernières lésions indiquent que
ou huit cas de tumeurs gommeuses massives du névraxe rachidien. Ces
observations
sont citées partout, en raison même de leur raret
8° Mourek, 1893 : Gomme de la moelle dorsale. Les trois dernières
observations
sont seules accompagnées d'un examen histologiq
er. L. Ilales, Savard et Mourek. Etant donné ce très petit nombre d'
observations
de gommes syphilitiques médullaires et la fréqu
s fois signalé au cours de la syphilis médullaire : telles sont les
observations
de Folet, d'Owen Rees, de Charcot et Gombault,
coupes sériées, de nos lésions, et si nous n'avions trouvé dans une
observation
de Sottas (1), l'explication au moins théorique
syphilis médullaire héréditaire était à peine posée. Dans certaines
observations
analogues, par exemple, à celles de Lasche- wit
vérole. Bien plus, il n'avait pas étépublié, suivant lui, une seule
observation
où la moelle fût uniquement en cause, la syphil
ré. Il nous a paru cependant utile, ne fût-ce que pour encadrer les
observations
personnelles que nous avons recueillies. On p
s, des fibres nerveuses et de la névroglie. L'auteur résume cette
observation
ainsi qu'il suit : « syphilis congéni- tale, ép
des cellules ganglionnaires et des fibres nerveuses ». La deuxième
observation
de syphilis congénitale (la 3e du mémoire) se r
urs, hydromyélie, dégénération des cellules ganglionnaires ». La 3e
observation
de syphilis congénitale (la 4° du mémoire) se rap
ttribuer l'arrêt et le vice de développement notés dans la dernière
observation
. Nous adoptons volontiers,pour notre part,les c
-médullaire, c'est que,dans ce groupe, nous connaissons à peine une
observation
(celle que nous avons publiée avec M. le profes
clérose en plaques, Dickinson (1) publiait, sans commentaires, deux
observations
se rapportant à de jeunes enfants, De la premiè
et état qu'elle quitte l'hôpital. Nous n'aurions pas rapporté cette
observation
, dans laquelle les symp- tômes observés sont év
Dans un premier mémoire, publié en 1884, M. Moncorvo (1) rapporte 3
observations
d'enfants nettement liérédo-sypiiililiques. La
e et embarrassée, la tôle oscille de droite à gauche. La deuxième
observation
se rapporte à un garçon de 7 ans qui ne mar- ch
psychi- ques de l'épilepsie ; il existe du nystagmus. Dans la 3e
observation
il s'agit d'une fillette de 3 ans, idiote et épil
en plaques. Dans un deuxième mémoire, M. Moncorvo (2) donne une 4°
observation
(1) Moncorvo. Contribution à l'étude de la 'scl
sclérose en plaques. Depuis, M. Moncorvo (1) a publié 3 nouvelles
observations
d'enfants hérédo-syphilitiques, âgés respective
symboliques et il introduire dans l'art des éléments puisés dans l'
observation
de la nature. Nicolas de Pise a déjà fourni mat
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Toutes ces particularités témoignent d'une
observation
fort attentive des phénomènes convulsifs de l'a
dramatique l'emporte, chez tous les personnages, sur le souci de l'
observation
naturelle. , , . École Hollandaise (po moitié
utions, etc. Les faits de Moncorvo, de Gardié (2), de Breton (3), l'
observation
V de la thèse de Ilartemann, l'observation II d
ié (2), de Breton (3), l'observation V de la thèse de Ilartemann, l'
observation
II de notre mémoire, appartiennent incontestabl
aire précoce (ou tardive) nous préférons faire un simple exposé des
observations
, nous réservant de comparer les cas entre eux et
chemin faisant. Hutchinson et IL Jackson (1) rapportent, en 1861, l'
observation
passable- ment confuse d'un enfant syphilitique
ommunique à la Société clinique de Londres,le 12 novem- bre 1869, l'
observation
d'un enfant chez lequel la syphilis héréditaire f
ous les deux suivis d'autopsm, le prouvent surabondamment. -, , L'
observation
de Siemerling (1), un des auteurs qui a le mieux
dans la région de la queue de cheval. Telle est cette instructive
observation
, dont, nous l'avons dit, l'expres- sion cliniqu
participation de la substance grise et blanche de la moelle. Les
observations
qui vont suivre n'ont pas de contrôle anatomique,
ciété.de pédiatrie de Moscou, dans la séance du 13 décembre 1893, l'
observation
d'une fillette de 11 ans atteinte depuis 7 mois
jeune âge du sujet rendant plausible l'hypothèse de la vérole. L'
observation
d'Hoffmann (1) est singulièrement plus précise. N
que de lamaladie'ne lui pa- raît pas douteuse. z Il rapproche son
observation
des faits du syndrome de Little que nous avons
s complètement son opi- nion et nous rangerions très volontiers son
observation
dans les cas de méningo-myélite syphilitique du
confirmation dans les cas étudiés par Friedmann (2). Toutefois les
observations
de cet auteur présentent, surtout au ]Joint de
ou sous l'influence d'un traitement indifférent. 1 1 La deuxième
observation
se rapporte ;i un garçon de 5 ans considéré par
égie semble toujours revêtir ' le type continu tandis que/ dans ses
observations
, l'affection a procédé par attaques suivies de
guérisons et de récidives. Il s'efforce cependant, en rapportant l'
observation
d'un homme de 34 ans, syphilitique acquis (5e o
nt subir des fluctuations. Nous rappellerons d'ailleurs que, dans l'
observation
I de ce travail (où l'affection congénitale dét
réditaire, une série de transitions, de faits de passage dont notre
observation
I est un exemple. ' , L'absence de phénomènes c
laire, au moins il prédominance très marquée sur l'axe spinal. Aux
observations
précédentes, nous joindrons un fait dont Mendel (
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE communiqué (et nous l'en remercions) l'
observation
suivante relative à -une femme de 33 ans attein
membranes du>canal vertébral et de la base du cerveau ». Dans l'
observation
publiée par Zambaco (1) en 1862, il est bien dit
erait ». - Mais l'hésitation cesse complètement en ce qui regarde l'
observation
rapportée par l3artels (2.) et qui fut suivie d
ore la moitié gauche de la moelle légèrement aplatie ». - - Cette
observation
est extrêmement intéressante en 'ce qu'elle nous
i qu'il s'agissait de méningite gommeuse bulbo-mé- dullaire, dans l'
observation
que nous avons nous-môme publiée en 1892. - Nou
en 1892. - Nous la rapportons in extenso en la faisant , suivre des
observations
qu'elle nous inspira lors de la présentation du
dont a souffert et' souffre encore Marius R... La lecture de celte
observation
suffirait pour permettre au diagnostic de s'éta
bulbaire qui a guéri sous l'influence du traitement spécifique. Son
observation
a été publiée par M. Vignes (1). Nous l'avons vu
- rable que la moelle et ses enveloppes ont prise au processus. L'
observation
qui va suivre est encore un exemple de la localis
seulement la 2° grosse molaire. En 1893, Nonne (1) publiait. une
observation
qui offre beaucoup d'a-- nalogie avec les faits
rise brusquement de diar- 't Gilles de n Touhette et IIfTILLO. Deux
observations
pour servir au diagnostic des paraplégies syphi
it depuis plus d'un an au moment où la malade a été soumise à noire
observation
et qu'il en est sou- vent ainsi lorsqu'on n'int
esthésie véritable par les divers procédés d'investigation. Cette
observation
, intéressante à bien des points de vue, l'est enc
le cerveau et l'axe médullaire, on voit quel intérêt présente notre
observation
. Après avoir étudié les localisations médullair
éjà dans la science aidera peut-être à la solution du problème. L'
observation
qui va suivre appartient à MM. Oulmont, médecin d
début de l'affection médullaire et datent de l'enfance. Dans cette
observation
, la réalitéde l'hérédo-syphilis semble indéniable
on la retrouve et c'est là son grand intérêt, dans plusieurs autres
observations
de la maladie de Duchenne développée chez des h
enfants fiéréclo-sypli 11 i tiques. Il est vrai que dans une autre
observation
de son mémoire (obs. II), où la maladie avait c
ité, qu'il n'existât pas de syphilis. Nous pourrions citer d'autres
observations
de môme ordre où la syphilis paraissait égaleme
e l'opinion de M.Fournier(l)qui concluait, après avoir rapporté ses
observations
, que désormais « il faudra, pour toute enquête co
ine n'en font même pas mention. Son existence est indéniable, les
observations
éparses dans la littérature médicale et celles
A MAIN ET DES DOIGTS CONSÉCUTIVES A L'OSTÉITE SYPHILITIQUE (Une
observation
avec photographie Rôntgen, cliché A. Londe). ,
plus rares : aussi ne croyons- nous pas inutile d'en rapporter une.
observation
personnelle, et d'en tenter une description d'e
semble, qui n'a pas encore été faite. Rapportons tout d'abord notre
observation
. M. R..., buandier, âgé de 35 ans, nous est env
l'index étant des lésions secondaires à ce raccourcissement. Les
observations
qui viennent se grouper à côté de la précédente,
Busey (2), Bulkley (3), Le\vin(4), Stirling (5)) ou acquise (notre
observation
), ostéites de la syphilis adulte ordinaire [Taylo
dulte ordinaire [Taylor, (1) Taylor. On dactylitis syphilitica with
observations
on syphilitic lesions of joints. Am. Journ. of
ic lesions of joints. Am. Journ. of syph., 1811, p. 211 et Clinical
observations
on the syphilitic lesions of ' the bones of the
tinuité de l'os, une véritable fracture pathologique comme dans une
observation
de Riehl. - - b) Les déformations portant sur
ceptionnel qu'il s'agisse d'un allongement : je n'en connais qu'une
observation
appartenant à Taylor. Elle est relative à une f
tion gommeuse de son extrémité inférieure; il en était ainsi dans l'
observation
de Me Cready relative à une femme de 43. ans chez
DÉFORMATIONS DE LA MAIN. ET DES DOIGTS 157 dius. On le voit, cette
observation
est véritablement identique, à tous les points
ne sur l'autre. - On le voit, quelque peu nombreuses que soient les
observations
que- nous ayons pu réunir, elles nous ont permi
ations analogues dont nous ferons prochainement, à pro- pos de deux
observations
personnelles, une étude d'ensemble. t ê , I
ION par 1 BENJAMIN WEIL, Interne provisoire des Hôpitaux. , L'
observation
suivante est celle d'un petit malade présenté à l
une étendue vraiment exceptionnelle consécutive à un mal de Pott. L'
observation
en elle-même ne comporte point de commentaires.
ce nain de bronze. Mais il faut insister encore sur les qualités d'
observation
vraiment re- marquables de l'artiste qui l'a ex
sur ses compositions satiriques, toujours inspirées par une exacte
observation
de la nature, à propos des « Pierres de Tète »
catégories : 1° L'une, la plus nombreuse, comprenant 71,31 0/0 des
observations
, dans lesquelles le résultat du traitement par
augmentation des doses, ont subi des recrudescences décevantes. Les
observations
qui suivent sont les compléments des observations
s décevantes. Les observations qui suivent sont les compléments des
observations
VII et VIII, et se résument dans le traitement
ORAX DANS LE TRAITEMENT DE L'EPILEPSIE 199 ' TABLEAU DES ACCÈS DE L'
OBSERVATION
I 200 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
aliénés de Buitenzorg (Java). La malade, dont nous allons relater l'
observation
était une femme javanaise, débile et très anémi
à droite rien de particulier, tandis qu'à gauche on peut faire les
observations
suivantes : 1° La partie postérieure de la form
es, peut donner une localisation encore plus précise. D'après cette
observation
, les filets les. plus externes entrenl en relat
interne jusque dans le lobe temporal. Filmer, se fondant sur son
observation
où une destruction du lobe occi- pital n'était
- pital n'entre pas en relation avec les fibres susnommées. Notre
observation
est un pendant de celle de Fi1limel'. Ici nous
l'insula de Reil ? )cheminent dans le pes pedunculi. \ Parmi les
observations
publiées il y en a qui s'y opposent et il y en a
centrales sans dégénération du faisceau latéral. II. La deuxième
observation
du même auteur semble aussi s'opposer. Là on tr
. Et, en 1743, il venait de pu- blier un Recueil d'expériences et d'
observations
sur la pierre en h. volumes, qui témoignait hau
bation qui accompagne le volume on lit le passage suivant : . « L'
observation
est en général ce qu'il y a de plus utile en méde
idèle, surtout dans les faits rares et extraordinaires, sans quoi l'
observation
n'est plus qu'erreur populaire, crédulité vulga
e la nature ». Ces louanges ne sont pas au-dessus de la vérité. .
OBSERVATION
. Après un bref résumé des accidents de la lithi
s », raconte l'histoire de la Fille de St-Géosmes. Cette curieuse
observation
mérite d'être reproduite en entier. Outre son i
j'allais partir. , DISCUSSION ET DIAGNOSTIC. A la suite de cette
observation
, Morand fait connaître les analyses qu'il fit d
pas cette maigreur squelettique si impressionnante dans cer- taines
observations
. L'étal général resta excellent. Geneviève avait
pression complète des urines qui constitue anurie hystérique. Des
observations
remontant au seizième siècle signalent le fait.
considéré comme le type de l'élément éruptif de la névrose ». Les
observations
en sont aujourd'hui fort nombreuses. Une des pl
t pouvoir reconnaître l'existence de la forme généralisée dans deux
observations
de Carré de Montgeron (Margue- rite Thibaut, et
14 novembre 1764, Morand donna une nouvelle preuve de son esprit d'
observation
et de son bon sens critique, à propos du nain du
nt d'accréditer une légende propre à servir de mesquins intérêts.
OBSERVATIONS
COMPARATIVES. L'histoire de la Fille de St-Géos
médicale de son temps, et a résumé à la fin de son étude plusieurs
observations
ana- logues. · , Dans plusieurs cas, il ne s'
rendu de pierres. , Enfin, Morand cite encore un certain nombre d'
observations
curieuses d'individus malades, pervertis ou jon
is- sant, quelques réflexions. Elle nous fait connaître une belle
observation
d'hystérie polysympto- matique, car Geneviève M
ystrophie. A quoi pouvons-nous la rattacher ? (t) On verra dans l'
observation
de Platon que sur quelques points des restriction
trois symptômes assez rares au cours de celle affection. C'est son
observation
que nous rapportons ici et que nous ferons suiv
es manifestations qui nous ont paru dignes d'attirer l'attention.
Observation
. B... Joseph, exerçant la profession de cocher et
; Bernllardt, Remak celle du nerf péronier. M. Ray- mond (4) cite 3
observations
, une de Gcrhardt avec paralysie incomplète du d
es documents peut expliquer la multiplicité des hypothèses. Aussi l'
observation
de Morton Prince, à laquelle nous faisons allusio
ttirer l'attention sur le fait relevé chez notre malade et dans les
observations
citées plus haut de Martin et Schullze, que ces
omotrice progressive, M. le Dr Bourdon s'exprime ainsi : . quelques
observations
semblent démontrer que les muscles de la face del
t pas du tout; 4 malades, en 'comptant celui qui fait le sujet de l'
observation
, avaient ce tremblement. Il s'agissait une fois
onguement. z Oppenheim, cité par M. le professeur Raymond, relate l'
observation
d'un cas de tabès où existaient des mouvements
anés d'athétose qui viennent quelquefois compliquer le tabes. Notre
observation
ne se prête pas ai une pareille interprétation, c
ications bibliographiques, compulser rapidement un certain nombre d'
observations
, et dans nos re- cherches nous avons trouvé que
aux maladies du système nerveux remarque incidemment que dans deux
observations
(CharcotetBall) le liquide était sanguinolent. Da
tions (CharcotetBall) le liquide était sanguinolent. Dans,une autre
observation
de MM. Michel et Pitres, on trouve à l'autopsie u
rosco- pique fait voir un grand nombre de globules rouges. Dans l'
observation
de la femme Laisiet publiée par notre maître, le
E G. MASSON, Éditeur DE L'IIÉMARTIlROSE TABÉTIQUE 277 Certaines
observations
, avec autopsie, montrent la synoviale épaissie,
le Iconographie de la Salpêtrière a publié celte année même(l), les
observations
de syphilis héréditaire de la moelle épi- nière
t plus légè- res mais encore non douteuses. C'eslle résultai de ces
observations
que je veux publier ici après avoir rapporté le
rincipales autopsies publiées d'hérédo-syphiiis de la moelle. - L'
observation
de Potain (1) est la première en date, elle est r
ses vitreuses homogènes. » Voici la partie anatomopathologique de l'
observation
de l3artels (3) que nous étudierons plus loin,
de la moelle. Pas d'examen histologique. Jurgens (2) rapporte cinq
observations
de myélite spécifique dont trois ont trait à la
ionnaires, des fibres nerveuses et de la névroglie. » La deuxième
observation
se rapporte à un enfant de ? jours né d'une mèr
nce des cordons postérieurs. La même année lloeltigel'('l) publie l'
observation
très complète d'un en- fant de 8 ans qu'il cons
ilieu des tissus et présentant des hématies inal- térées. » Cette
observation
est véritablement remarquable par la précision de
ilis maternelle datait déplus de deux ans de trois à six ans dans l'
observation
IX où les lésions atteignent leur maximum et so
avons trouvé des lésions considérables de la moelle, c'est dans les
observations
IX et XVII qu'on pourra lire les détails de ces l
par une inexplicable et singulièrement vague inaptitude à la vie.
Observations
personnelles. , Observation 1, 27 octobre 1895
lièrement vague inaptitude à la vie. Observations personnelles. ,
Observation
1, 27 octobre 1895 (Cochin). Foetus de 5 mois.
t également comme la région cervicale avec leurs aspects normaux.
Observation
II, 10 décembre 1895 (Cochin). Foetus de 8 mois
fibreuses. localisations spinales DE la SYPIIILIS HÉRÉDITAIRE 309
Observations
III et III bis, 28 décembre 1895 (Cochin). Deux
oulée du reste et paraît n'avoir subi de ce fait aucune atteinte.
Observation
IV, 12 janvier 1896 (Cochin). Foetus à terme. M
ont également le siège d'une infiltration embryonnaire abondante.
Observation
V, 18 janvier 1896 (Broca). Le foetus à terme.
nce normales, ne paraissant pas comprimées par cet épanchement. -
Observation
VI, 19 janvier 1896 (Cochin). Foetus à terme. L
filtration embryonnaire, mais ils gardent leur structure normale.
Observation
VII, 20 janvier 1896 (Broca). 1 Foetus à-terme,
ui n'ont pas encore subi la transformation fibreuse complète. , 1
Observation
VIII. 7 février 1896 (Broca). Foetus ai terme,
polynévrite ; mais ils peuvent dépendre d'une poliomyé- lite ; une
observation
d'Erlicki etRybalkin, sur laquelle j'aurai à reve
s des membres, doigts, orteils. Chez l'un des deux malades dont les
observations
figurent dans le mémoire de MM. Erlicki et Ryba
aralysie arsenicale de ce premier groupe. L'un des malades dont les
observations
figurent dans le mémoire d'Erlicki et Rybalkin
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE glais. Voici par exemple une
observation
du docteur Haillon (1), qui offre maintes analo
s (liqueur de l ow'ler), présenta des manifestations analogues. Son
observation
a été publiée par le Dr Osier (3). L'empoisonne
rsenicale. Je vous citerai encore, dans ce même ordre de faits, une
observation
publiée par le docteur Brow·n (1), de Boston. E
ifestation a été constatée nommément chez les deux malades dont les
observations
ont été publiées par Erlicki et Rybalkin. Table
e de la Clinique des Maladies du Système nerveux. (Suite et fin.)
Observation
IX, 21 février 1896 (Broca). Foetus à terme, de
même infiltration nucléaire de tous les éléments qu'il contient.
Observation
X, 18 mars 1886 (Broca). Foetus de 6 mois. Mère
nt entourées de tissu fibreux et leurs vaisseaux sont épaissis. \
Observation
XI, 19 mars 1896 (Maternité). Né à terme de mèr
pendant la pie-mère est épaissie, intimement adhérente à la moelle.
Observation
XII, 23 mars 1896 (Broca). Foetus de 5 mois de
normal des méninges, des vaisseaux, des racines et des ganglions.
Observation
XIII, 25 mars 1896 (Broca). Foetus à terme de m
ois du reste, et même envahissement fibreux de l'espace extradural.
Observation
XIV, 2 avril 1896 (Broca). 'Foetus de 8 mois. M
à noter que la congestion intense des vaisseaux, Tout est normal.
Observation
XV, 6 avril 1896 (Broca). Foetus de 8 mois. Mèr
endus ; hémorrhagie de l'espace sus-arachnoïdien (région lombaire).
Observation
XVI, 9 avril 1896 (Broca) : Foetus de 3 mois en
ires qui rappelle la tumeur que nous avons décrite plus haut. - ,
Observation
XVIII, 29 avril 1896 (Broca). Foetus de 6 mois.
s de cellules rondes, 3 ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
Observation
XIX, 19 mai 1896 (Broca). Foetus de 8 mois. Mèr
t normale ainsi que ses enveloppes, les racines et les ganglions.
Observation
XX, 15 juin 1896 (Broc : ¡). Foetus de 8 mois 1
ils sont contenus dans un tissu fibreux plus dense que normalement.
Observation
XXI, 18 juin 1896 (Broca). Foetu's de 7 mois. M
. Es- pace extradural : beaucoup de noyaux, peu de tissu fibreux.
Observation
XXII, juin 1896 (Cochin). Foetus de 7 mois 1/2.
e pour veines spi- nales postérieures, et vaisseaux radiculaires.
Observation
XXIIi, 8 juillet 1896 (Salpêtrière). Foetus à t
en bas de la moelle. 364 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
Observation
XXIV, 5 août 1896 (Broca). Foetus à terme. Mère
absolument normale. Distension moyenne de tous les vais- seaux. -
Observation
XXV, 9 août 1896 (Broca). Foetus de 7 mois 1/2.
. La moelle elle-même est sillonnée par de véritables sinus béants.
Observation
XXVI, 22 août 1896 (Broca). e Foetus de 6 moi
se tasse autour de chacun d'eux pour leur former d'épaisses parois.
Observation
XXVII, 15 septembre 1896 (Broca). Foetus de 6 m
ramollissement comparable à ceux que nous avons trouvés dans notre
observation
IX. En effet la pie-mère est très altérée, d'une
ite intense, qui soit plus atteinte que dans la région dorsale. -
Observation
XXVIII, 28 septembre 1896 (Broca). Foetus de 7
s. Artère spinale antérieure déformée, circonférence irrégulière.
Observation
XXIX, 28 septembre 1896 (Broca). - Foetus de 5
e. Il n'y a nulle part d'infiltration embryonnaire. En résumé les
observations
I. II, III bis et XXII se rapportant à des foetus
bsolument indemnes dans les parties que nous avons examinées. - L'
observation
n° VI se rapporte à un foetus porteur de pieds-bo
ns examinée sont telles que nous sommes très portés à compter cette
observation
parmi les syphilitiques. Conclusions. De cett
n point quelconque de son étendue. Du dépouillement de toutes les
observations
que nous venons de pas- ser en revue, il résult
de lésions méningées, est un fait constant, signalé dans toutes les
observations
et qu'il était intéressant de mettre ici en relie
essant de réunir et de publier à la suite les unes des au- tres ces
observations
de troubles trophiques des ongles au cours d'affe
ainsi que les troubles trophiques atteignent leur maximum dans les
observations
I et IV où les troubles de sensibilité sont les p
marqués et qu'ils se montrent ébauchés à des degrés divers dans les
observations
II, III et V où les troubles de sensibilité son
ations II, III et V où les troubles de sensibilité sont moindres.
Observation
1 (H ! Jstél'igue ? ). * Marie B..., 18 ans, vi
écisément pré- sente ses zones anesthésiques au niveau des mains.
Observation
II (Hystérique). M..., 61 ans, fleuriste. L'o
profonde adhérente de l'ongle. TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES 373
Observation
III (maladie de Raynaud). Z..., service du prof
s troubles subjectifs et vaso-moteurs de la maladie de Ray- naud.
Observation
IV (maladie de Raynaud). Caroline D..., 48 ans,
- sensitives, sont aussi les seuls à posséder des ongles normaux.
Observation
V. X..., 57 ans. Les ongles du pouce, de l'an
rfait. - Brouwer donne ici la mesure de la justesse de son talent d'
observation
et de la fidélité de son pinceau, car ces détai
la main et des doigts consécutives à V ostéite syphilitique (une
observation
avec photographie Roentgen, cliché A. Londe), p
a main et des doigts consécutives à l'ostéite sy- phylitique (une
observation
avec photo- graphie Roentgen, cliché A. Londe),
ite pour saisir la nourriture et, pendant les onze jours que dura l'
observation
de ce macaque, il continua à étendre son extrém
fièvre typhoïde chez quelques épileptiques. Nous relatons ici deux
observations
avec autopsie : la première relative à un malad
siste malgré les symptômes intercurrents, sont rares » et parmi les
observations
de Dela- EPILEPSIE ET FIÈVRE TYPHOÏDE. 19 sia
, dans sa thèse, inspirée par Bourneville ', rapporte trente-quatre
observations
ayant trait à l'influence d'une maladie acciden
'est agi d'affections aiguës ayant déterminé une maladie fébrile. L'
observation
XXXII a trait t la fièvre typhoïde. « L... Ma
de l'épi- démie dont nous avons parlé plus haut, nous avons deux
observations
communiquées et une personnelle où la crise épi
survenue en crises convulsvies. EPILEPSIE ET FIÈVRE TYPHOÏDE. 21
Observation
I. Ch. S..., dix-neuf ans, est dans les asiles
orcel- lement anormal des faisceaux blancs parla substance grise.
Observation
II. Maurice M..., âgé de dix-huit ans, est dans l
s d'une pyrexie, comme un symptôme favorable. D'autre part ces deux
observations
soulèvent un point déli- cat de thérapeutique :
une salle-lavabo. Chaque malade nouvellement admis devait rester en
observation
dans ce quartier spécial, au moins durant quelq
l'expression rapide et fugace, souvent con- fuse, a pu échapper à l'
observation
; mais on peut aussi le repro- duire à volonté,
rnal of Mental science, avril 1897.) Ce travail se compose de trois
observations
. Observation I. Homme de quarante-huit ans, mar
cience, avril 1897.) Ce travail se compose de trois observations.
Observation
I. Homme de quarante-huit ans, marié depuis vin
, et il est mis à l'asile. Il n'a pas d'antécédents héréditaires.
Observation
IL Homme de quarante-deux ans, célibataire, san
L'auteur est d'avis que les malades qui font le sujet de ces deux
observations
sont atteints de paralysie générale. Ils n'en pré
ils sont une preuve de plus que cette maladie a changé d'aspect.
Observation
III. Femme de cinquante-six ans, sujette depuis
il y a des habitudes bonnes et utiles qu'il faut cultiver, telles l'
observation
, l'attention, la curiosité, l'expérimen- tation
r J.-F. l3mscoE. (The journal of Mental Science, janvier 1898.) L'
observation
ne présente rien de particulier, et l'auteur s'es
mains droites au-dessus de la tête. On sait de longue date, par des
observations
répétées que les mélancoliques se tiennent ordi
iquement formulé par Hughlings Jackson, et confirmé ensuite par les
observations
de M. Bevan Lewis, à savoir, que dans l'écorce
condaires aux autres formes de folie. R. DE 1VIUSGRAVE-CLAY. XII.
Observations
sur la classification de la folie, par EDWIN ST
ur réserve le nom de deprimentia, et il s'attache à démontrer par l'
observation
des faits expérimentaux et cliniques, que cet é
; par Sérieux. (Revue de médecine, février 1900.) Cinquante-huit
observations
de paralytiques généraux avec le relevé des fac
pour les deux qu'une seule description. A. POULARD. XIX. Nouvelles
observations
d'éreuthophobie; par W.-M. f3ECn- terew. (06o)'
aiguë, due aux lésions épinières, acute spinal ataxiu. Il cite les
observations
de Leyden et d'autres en ce qui touche à l'atax
ombinée suraiguë; par M. DANA (de New-Yorl : ). La plupart de mes
observations
touchant cette affection ayant déjà été publiée
qui accompagnent l'éclosion et le début de cette maladie. Dans mes
observations
, je note souvent l'existence d'une courte affec
s tous les cas où l'autopsie a été faite. Toutefois, j'ai plusieurs
observations
, carac- téristiques à tous égards, dans lesquel
i-ophiqzie par Cl. PntuppE et Georges Guillain (de Paris). Dans six
observations
avec autopsies de maladie de Charcot, nous avon
r l'anatomie pathologique, il n'en existe pas moins, pour cela, des
observations
qui établissent entre les deux maladies des deg
t chez les tabétiques ; à cette époque, nous avons rapporté trois
observations
recueillies dans le service de notre maître, M. B
el exemple dans le service de notre maitre le professeur Raymond.
Observation
clinique. Gulz... 45 ans. Absence d'antécédents
Le cas que nous venons de rapporter vient aussi s'ajouter aux dix
observations
que nous avons déjà recueillies. Il nous prouve
rche systématiquement chez tous les individus qui sont soumis à mon
observation
, j'ai constaté chez plusieurs malades atteints
M. H. Meige. Il montre les photographies de deux de ses malades. L'
observation
porte sur quatrefemmes de la même famille : la
estion; ce sont aussi de véritables troubles orga- niques, témoin l'
observation
détaillée que me communique un chi- rurgien des
euses années. Ils vien- dront se joindre au groupe déjà important d'
observations
analogues jusqu'ici publiées, et que M. Soukhan
-psyclvologiyzres (année 1893, t. II, p. 487), résument ainsi cette
observation
: « Histoire succincte de deux jumeaux admis à
eau de la folie des dégénérés et c'est en effet ce que démon- tre l'
observation
. Dans un grand nombre de cas, c'est sur le terr
gémellaires. Il a été frappé, en effet, en faisant le relevé de ses
observations
, de la proportion élevée de naissances doubles
ce. En dehors des deux couples de jumeaux dont je vais don- ner l'
observation
, je compte, ou j'ai compté parmi les ma- lades
s de mon service, un certain nombre de jumeaux dont je résume ici l'
observation
. ' Académie de médecine, 23-30 octobre 1900.
et hérédité, telles sont les particularités étiologiques de ces six
observations
. Dégénérescence surtout chez G... et B... fils
M. Christian sur la démence précoce des jeunes gens, on trouve deux
observations
concernant des jumeaux : dans l'une, l'un des f
mative et pour l'ensemble seulement. Un coup d'oeil jeté sur les
observations
suffit pour s'en convaincre. Quelques observate
concerne les phénomènes pathologiques eux-mêmes. « Dans toutes les
observations
de folie gémellaire que nous avons réunies, dit
e au fond de chacun de nous, est en somme inexacte et contraire à l'
observation
. Il peut bien y avoir entre les ju- meaux, même
Chacun d'eux garde sa personnalité propre même dans la maladie. Les
observations
de monstres dou- bles, qui sont des jumeaux sou
tude des considérations que nous venons de développer rapidement.
Observation
I. Célesline et Prudence G..., soeurs jumelles.
t le degré de démence est plus avancé. Il s'agit, dans cette double
observation
, de deux débiles présentant à peu près en même
deux soeurs jumelles dont nous venons de donner l'obser- vation.
Observation
II. - Constant et Henri T..., frères jumeaux, nés
réel des facultés. Je ne crois pas que l'on puisse refuser à cette
observation
l'étiquette de folie gémellaire : on y trouve d
i- son du défaut de parallélisme des symptômes dans le temps de l'
observation
. Si au contraire on réunit les anneaux qui form
ons postérieurs dans le labes coexistait avec ces lésions. D'autres
observations
cliniques (voit Monakow, Oppenheim) et expérime
Bd kLIII, 1888. Dans ce travail Jendrassik croit pouvoir déduire d'
observations
cli- niques et de recherches expérimentales que
e sont qu'un symptôme différent de la métasyphilis : il invoque les
observations
de Jenlrassik. Pour Leyden et Goldscheider, les
e l'odorat dans le tabès, et les textes et indications relatifs aux
observations
de ce genre de Vulpian, Topinard, Pieiret, Jolï
rologique, se compose d'un court historique de la question et de 18
observations
suivies d'autopsie. R. M. C. VI. Nouvelles re
chez la femme ; par LEVEN. (Revue de médecine, mars 1000.) Trois
observations
d'hyperthermie passagère avec péritonisme et co
s ; par le Dr de . 13UCK, (Journal de Neurologie, 1900, n° 15.) L'
observation
contenue dans ce travail est celle d'une femme de
sentant aucune altération de la sensibilité du système pileux. Deux
observations
. Un cas de paralysie de Brown-Séquard ; la sens
'il y avait presque anesthésie du tact et de la douleur. La seconde
observation
concerne une atrophie musculaire progressive av
A Désordre de trois espèces de sensibilité aux mêmes régions. Deux
observations
de tabès dorsal; les troubles de la sensibilité
les surfaces où siège l'altération de la sensibilité pilaire. Trois
observations
: neuro- tabes, méningite spinale chronique, sp
omaines de chaque mode d'altération des diverses sensibilités. Cinq
observations
: myélite transverse, tabes dorsal, myélite par
être pratiquée suivant la méthode des mensurations complétée parles
observations
psy- chologiques. Cette méthode psycho-physiolo
074 élèves des écoles de Washington. Il exprime le souhait que des
observations
-analogues soient poursuivies chez tous les enf
poursuivies chez tous les enfants des différentes nationalités. Ces
observations
pourraient être la base de savantes .réformes d
linique et une radiographie, sur l'omoplate et sur l'humérus. Cette
observation
montre aussi que les nerfs trophiques de l'humé
a région scapulaire, tiraillement de bras, etc.). Dans toutes ces
observations
nous avons retrouvé l'abaissement de l'épaule, so
ra possible un jour de se borner au mot : méningo- encéphttlile. (L'
observation
sera publiée ainsi qne la suivante.) Atrophie C
nnaitre, et qu'ils confirment en grande partie les résultats de mes
observations
. Ayant exposé récemment dans une leçon parue da
, M. J. Babinski. - Je ferai remarquer à mon ami M. Marie que son
observation
n'est pas en contradiction avec ce que j'ai écrit
te ans une tumeur du cervelet; par MM. A. JOFFROY et A. Gombault.
Observation
intéressante à plus d'un point de vue, mais l'aut
osés, à l'occasion d'une cause dépri- mante, et un certain nombre d'
observations
montrent avec netteté que le mouvement spasmodi
ar la main du malade qui. en est affecté et donnent trois nouvelles
observations
où l'on voit quelques variations du procédé. Il
érable de' la colonne vertébrale; par M. Hausualter (de Nancy). ,
Observation
d'un jeune garçon de seize ans, atteint de parapl
res de couleur café au lait clair. Le fait le plus curieux de cette
observation
réside dans la déformation du thorax, mani- fes
erveuse et l'asthme des foins. M. André a acquis, par de nombreuses
observations
, la conviction que les neurasthéniques éprouven
l'zin délire des persécutions systématiques. M. Séglas rapporte l'
observation
d'un délirant chronique qui rectifie lui-même s
r lequel il étaye son délire. M. blanlE. Leuret a déjà signalé deux
observations
de ce genre. J'ai aussi publié le cas d'un pers
générale syphilitique à gommes osseuses. M. Marie rapporte aussi l'
observation
de deux cas de paralysie générale syphilitique
té. -M. B. Séance du 17 décembre 1900. - Présidence DE M. Magnan.
Observations
pour servir ci l'histoire du délire des négations
lecture, au,nom de M. P. Masoin, de deux 180 sociétés savantes. ·
observations
relatives au syndrome de Cotard. Dans la première
M. DIDE communique, au nom de M. Chardon et en son nom personnel, l'
observation
d'un paralytique général devenu pro- gressiveme
ides dont six étaient situés dans les deux lobes temporaux. Cette
observation
est intéressante à divers points de vue : 1° La
que la littérature médicale n'en possède pas un plus grand nombre d'
observations
. Comment agit physiologiquement la suggestion h
mes peuvent tout aussi bien avoir été des attaques hystériques; les
observations
rapportées par les auteurs sont loin d'être pro
et c'est dans ce but que nous avons décidé de le faire connaître.
Observation
I. Henri G..., âgé de soixante-trois ans, habitan
bien. Les poumons sont sains. Les urines n'ont pas été examinées.
Observation
II. Goulven G..., âgé de vingt-huit ans, habitant
lle qu'un reliquat insigni- fiant. Il semble bien que le sujet de l'
observation
irait été le pluspiofondément atteint parce qu'
istant neuf ans encore après le début de l'affection. Le sujet de l'
observation
lII'est au con-- traire à peu près complètement
a signalé la possibilité de sciatiques familiales. Mais toutes les
observations
qui ont été publiées sous ce nom s'écartent abs
écrite par M. le profes- seur Pitres '. La bizarrerie d'allures des
observations
publiées par cet auteur peut légitimer cette ma
Pitres ont rapport à des individus isolés, et bien qu'il existe des
observations
indiscutables de sclérose en plaques familiales
r que l'on puisse considérer comme s'y rattachant les sujets de nos
observations
. Il en est de même d'une hématomyélie. Si l'on
er abord, cette affection semble se diffé- rencier nettement de nos
observations
. Dans sa forme la plus pure, la paralysie spasm
. sciatique par certains de leurs caractères. Indépendamment des
observations
contenues dans la thèse de M. Lorrain, nous avo
es muscles. Cousot, dans son remarquable travail*, fait connaître l'
observation
d'une famille chez laquelle cinq personnes, la
ux tantôt diminués, tantôt exagérés. Nous n'avons relaté toutes ces
observations
et nous n'avons analysé les diverses conception
ci la conclusion à laquelle Flechsig est arrivé après cinq années d'
observations
: 1 « Les résultats de la clinique démontrent s
naire de l'autre. Elles doivent d'abord offrir au maître un champ d'
observation
aussi favorable que possible à son travail; pou
lade a été de 228 ENSEIGNEMENT. 70 jours en 1888-1889. Un temps d'
observation
de trois à quatre mois est plus que suffisant p
omme rivalité inutile de la clinique médicale, mais comme terrain d'
observation
indispensable à l'étude des psychoses. Dans les
rnal of àIe71tal Science, juillet 1897.) Ce travail est basé sur 43
observations
(21 hommes et 22 femmes), les auteurs sont amen
ur faire disparaître la douleur. Ce travail se termine par quelques
observations
choisies parmi les plus démonstratives (névralg
z qui l'impaludisme a semblé jouer le rôle d'aggravant. Dans deux
observations
notamment, les crises d'épilepsie n'existaient qu
ent hystérique; par J. AB.1DIG. , (Revue de médecine, mars 1900.)
Observation
de deux malades à antécédents névropathiques et
a été contestée dans ces derniers temps, sur- tout par P. Marie. L'
observation
de M. Van Gehuchten semble infir- mer cette opi
al de Neurologie, 1900, n° 17.) On trouvera dans ce travail trois
observations
qui montrent l'étroite parenté qui existe entre
e trente-huit ans le prélude d'accès d'épilepsie. Dans la seconde
observation
on voit également un tic (rotation de la tête e
rophie; par le D Boocuaon. (Joui,il. de Neurologie, 1900, n° 18.)
Observation
d'un homme de cinquante-sept ans chez lequel deux
uisse Ro- mande, 1900, n° 11.) M. Ladame résume dans ce travail l'
observation
(déjà publiée par le Dr Oppenheim) d'une jeune
: vES. (1'/te New York Médical Jour- nal, 13 février 1897.) · , -
Observation
intéressante de ptosis avec anesthésie de la bran
iam L. LESZYNSKY. (The New York Médi- ettl Journal, 5 juin 1897.)
Observation
intéressante, rapportée avec détails, mais malheu
Yoi k Médical Journal, 20 mars 1897.) L'auteur relate d'abord une
observation
d'atrophie musculaire progressive chez une jeun
ch STERN. (The 1\rem-I'oo% .llecdicaG Jo2trrtcl, 1 ? mai 1897.) L'
observation
de ce malade, qui était âge de trente-cinq ans,
narsaque généralisée et de tachycardie. L'auteur rapporte ici trois
observations
très intéressantes, caractérisant chacune un ty
zu-ITo'l, Médical Journal, 2j septembre 1897.) Voici le résumé de l'
observation
: . Actrice de trente-cinq ans, alcoolique et s
tre les lésions qu'on rencontre communément dans la syphilis. Cette
observation
est suivie de remarques étendues sur la syphili
xpérimentaux. Aussi l'auteur a-t-il jugé inté- ressant de publier l'
observation
suivante que nous résumons : homme de quarante-
cérébrales. Ce travail se termine par la relation détaillée de cinq
observations
qui correspondent aux iiuliiéi os, 2,3, G, et 1
tes rendus du service de Bicêtre de 1880 à 1900 un certain nombre d'
observations
de tumeurs cérébrales. 254 REVUE DE PATHOLOGIE
ur augmenter le nombre des faits connus que l'auteur publie cette
observation
dont tout l'intérêt, en effet, réside dans cette
e 7Ve ! f-Yo)'/t Médical Journal 23 juin 1898.) Le titre de cette
observation
la résume ; l'auteur ajoute seule- ment que ni
ici parce qu'elles mettent en valeur les points intéressants de l'
observation
tant anatomopathoiogique que clinique. Il y ava
vec une rigueur méthodique louable. En raison du nombre des faits d'
observations
, les conclusions qui en découlent semblent déso
étude approfondie du crime passionnel, et n'est qu'une suite à ses
observations
nombreuses sur les diverses formes de la crimin
contrarié, que je veux écrire. Cette étude n'est que le résumé des
observations
que j'ai faites à l'audience ou dans mon cabine
obscurs de ces actes criminels, enfin par un nombre considérable d'
observations
prises avec la plus grande clarté. La lecture d
analyse psychologique, mais aussi littéraire ; car pour étayer ses
observations
d'amoureux criminels il nous transporte dans to
ie du criminel par amour, du suicidé par passion ; en un mot, une
observation
biologique très complète de ces individus, observ
un mot, une observation biologique très complète de ces individus,
observation
qui ferait toucher du doigt facilement le degré
n homicide ou suicide, chez un déséquilibré ? Dans les nombreuses
observations
que nous avons lues dans cet ouvrage, nous avon
utiles, avec les points spécialement mis en lumière, notamment, les
observations
et faits nouveaux sont donnés avec toute l'ampl
halite avec destruction de la plupart des circonvo- lutions, etc. L'
observation
qu'on va lire appartient à cette caté- gorie. L
à première vue, l'aspect d'un ramollissement kystique, donnent, à l'
observation
microsco- pique, l'impression qu'il s'agit vrai
très obscure ce qui ajoute encore aux difficultés du diagnostic. L'
observation
que nous allons rapporter constitue un nouvel e
mple de ces difficultés, c'est ce qui nous a engagé à la publier.
Observation
I. Le 19 octobre 1899, entre dans le service de
de plus amples renseignements vu l'état du malade au moment où l'
observation
a été recueillie. La céphalalgie présente diver
tion du réflexe de Babinsky, hyperesthésie suivie d'anesthésic. L'
observation
de quelques phénomènes concernant les nerfs crâ
reux cas analogues au nôtre ont été apportés, mais c'étaient là des
observations
dans lesquelles les lésions auri- culaires avai
avons trouvé un petit abcès du poumon. Nous avons rapporté cette
observation
pour montrer com- bien est obscure et diffuse l
entres moteurs corticaux », Charcot et Pitres citent entre autres l'
observation
d'une femme qui mourut à quatre-vingt-un ans d'
s intervenir de façon efficace ? Nons ne le pensons pas, bien que l'
observation
de Cllarcot et Pitres soit de nature à faire pe
t qu'on accepte d'une façon géné- rale. » Dans un pareil débat, les
observations
cliniques sont les seuls arguments valables ; c
de Neurologie, 1900, 110 31.) La malade qui fait le sujet de cette
observation
, succomba avec tous les symptômes de la rage tr
on le fait encore trop souvent, ces animaux devraient être tenus en
observation
afin qu'en cas de mort on puisse établir avec u
e que la paresthésie chaude. L'auteur rapporte ici avec détail sept
observations
que nous regrettons de ne pouvoir reproduire, c
a substance jaune que l'on y constate. Il présente ensuite quelques
observations
sur les relations de la* physiologie cellulaire
vite et plus profondément la névroglie. R. de Musgraviî-Clay. XL.
Observations
sur l'histologie normale et pathologique des pl
ra des résultats. 1), Roger MiG'OT. ASILES D'ALIENES. I. Quelques
observations
de nature économique sur l'augmen- tation des a
uffisances mentales; mais il convient de ne pas se contenter de ces
observations
superficielles il est désirable que chaque mala
L'article a surtout pour but d'indiquer comment doit être prise une
observation
complète (de tous les appareils-les désordres d
, et de façon à rendre facilement comparables entre elles de telles
observations
. De là Le plan général élaboré par'la section p
Ophtalmoplégie totale et paraplégie ascendante.. M. ODDO envoie une
observation
dans laquelle il insiste sur la rareté de l'ass
leu Victoria en faisant ensuite agir la liqueur iodo-iodurée. Sur l'
observation
qu'on n'obtient pas ainsi de dou- ble coloratio
îles muscles droits supérieurs. MM. 1\loc;uÈs et Cirode envoient l'
observation
et. les photogra- phies d'une malade atteinte d
nct de conservation chez les animaux. M. Lépinay rapporte plusieurs
observations
de chiens et de che- vaux qui se sont laissés m
ome. chez l'adulte, ne peut acquérir rang d'en- tité morbide, car l'
observation
montre qu'il se résout dans les principales mal
par l'auteur chez tous les malades examinés. S'appuyant sur quinze
observations
originales, le Dr Capgras donne la descrip- tio
a peur et des phobies; par F. DUGUET. (Thèse de Lyon, 1899.) Sans
observations
et sobre de bibliographie, cette dissertation é
tif, les autres le côté positif de l'émotion. Pour l'étiologie, les
observations
pas plus que la littérature ne permettent de dé
NIQUE NERVEUSE. 8° Doyen-Raymond (Il s'agit du cas du malade dont l'
observation
a été relatée dans deux précédentes leçons).
donnés comme des exemples de guérison. A vrai dire, la période d'
observation
post-opératoire n'a pas dépassé six mois ; c'est
un. Wiener lcliuisclae IVocheizsch2,ifi, 1894, n° 4, p. 68. Durée d'
observation
, quelques semaines. Navratil. Beitriige zur Ili
til. Beitriige zur Ilirnchirurgie. SLutt,ard, 1889, obs. 2. Durée d'
observation
, onze mois. Hociitnegg. Traumatische Epilepsie.
ilepsie. Wiener klinische 117ocheits- chrift, 1892, p. 174. Durée d'
observation
, dix-huit mois. Kocher. Loc. cit., p. 36. Durée
rée d'observation, dix-huit mois. Kocher. Loc. cit., p. 36. Durée d'
observation
, trente mois. Kumuell. Zur operativen Behandlun
trois ans et demi. POPPFRT- VEf3SGEaaCa. Loc. cit. Obs. I. Durée d'
observation
, quatre ans. Récapilitlation générale et conc
tomo-clinique. Dans une prochaine leçon, je compte vous exposer les
observations
que nous avons été à même de faire sur notre ma
oN. (1'/te iyew-Yoi-li illedical Jozt ? ,ncl, 17 avril 1897.) Cette
observation
et les remarques qui la suivent sont trop détai
u; par M. N. Joukowsky. (06ozrézcié psichiutnü, III, 1898.) Trois
observations
. Hyperémie des méninges troubles, par pla- ces,
par M.-N. JoaxoNSrx. (0&OH'eH ! ëpt'c/ta'< ! , III, 1898.)
Observation
: autopsie, étude microscopique, figures. La com-
: autopsie, étude microscopique, figures. La com- paraison de cette
observation
avec les recherche des auteurs décèle une diffé
r 13oivnnm. (Il IIIOI'g(1221, 1899, sept.) L'auteur présente quatre
observations
d'acromégalie, dont une avec autopsie. Il rappe
d'acromégalie, dont une avec autopsie. Il rappelle à ce propos une
observation
, également avec autopsie, qu'il a publiée en 18
ut le cortège symptomati- que, à part l'hémianopsie. Dans les trois
observations
non suivies d'autopsie l'examen clinique avait
le, si l'arc réflexe médullaire reste intact. L'auteur apporte 19
observations
d'hémiplégiques. 11 présentant t des troubles t
r Harold N. Moyer. (The New- Yorfi Médical Journal, 7 août 1897.)
Observation
curieuse d'hémiatrophie de la langue, survenue
cription REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 sommaire et relate une
observation
intéressante, mais qui est malheureusement asse
t malheureusement assez peu complète. R. de Musgrave CLAY. XXXII.
Observation
de microcéphalie ; par L. W. Bloumexau. (0&
ues ; parM.-N. Fedorow. (Obozrénié psichiatrii, 111, 1898.) Trois
observations
, dont voici les conclusions. - A. 1° Les hémipl
E et Von lO4,lOW. (Nouv. A'OHogr. de la Salpétrière, n° 1, 1900.)
Observation
d'un cas rare dans la littérature médicale, compr
non encore décrite en France, les auteurs ont réuni d'une part 5
observations
inédites, d'autre part 80 observations publiées p
teurs ont réuni d'une part 5 observations inédites, d'autre part 80
observations
publiées par les cliniciens sous des noms diver
; 4° la catalepsie ; 5° le somnambulisme; 6° le coma, et range son
observation
dans la septième catégorie des sommeils patholo
conogr. de la Salpêtrière, n° 2, 1900.) Discussion portant sur cinq
observations
de tabétiques ne pré- sentant, en dehors du sym
de lcz Scalpêtt·iète, n° , 1cJ00.) ' , D'après l'histoire de treize
observations
de polynévrite dite syphi- litique, dont deux p
ASNE et GUILLAIN. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 2, 1900.)
Observation
remarquable parla multiplicité des angiomes et le
quard produit par l'hémisection de la moelle. L'auteur rapporte une
observation
où ce syndrome se trouvait réalisé à peu près c
(Revue de médecine, juillet 1900). Syndrome déjà décrit dans une
observation
de M. Klippel. Dans le cas dont il s'agit ici,
o- syphilitiques ; par DE PETERS. (Revue de médecine, août 1900.)
Observation
de plusieurs cas de paralysie médullaire' chez de
; par CCSTAN et GUILL.11N. (Revue de médecine, octobre 1900.) Deux
observations
dont la première se rapporte à un cas de parapl
B. C. LOVELAND. (The Neto Yorls Médical Journal, 4 mars 1899.) .
OBSERVATION
I. Femme de cinquante-cinq ans, se plaint d'une s
nse qu'il s'agit d'un acro-paresthésie, d'ori- gine hystérique. .
Observation
IL- Jeune fille de seize ans. Hérédité nerveuse,
aitement, surtout moral, donne des résultats très favorables. , -
Observation
III. Veuve de cinquante-cinq ans, troubles nerveu
LUI. Hémorragie méningée spinale en dehors delà dure-mère, avec une
observation
; par S. D. HoPFiNs. (77te New Yorlc Médical Jou
11 1 mars, 18 mars, 25 mars 1899.) Le développement donné à cette
observation
et aux considéra- tions auxquelles elle donne l
is être révélés sans le consentement du « malade. » Il ajoute trois
observations
: 1° la formule comprend les faits constatés à
tte révélation. Il reste un point à préciser, c'est la façon dont l'
observation
du secret professionnel doit être pratiquée lor
sions; par M. SCHAIKE- wiTscn. (06o·énié psichiatrii, III, 1898.)
Observation
tendant à prouver que l'obsession peut émaner d'u
le, avec inconscience, s'accompagne d'idées délirantes. La présente
observation
ressortit à la seconde espèce. P. Keraval. XXXI
énérés, associée, à des états névropathiques. L'auteur apporte deux
observations
, l'une d'un épileptique sujet à des vertiges et
crise consulsive. Cet état se reproduisit plusieurs fois. L'autre
observation
est celle d'un neurasthénique qui éprouvait à c
me aux courses de taureaux ; par FÉRÉ. (Revue de médecine, 1900.)
Observation
d'une hystérique à hérédité névropathique, qui
Men- tal Science, octobre 1899). L'auteur rapporte avec détail l'
observation
de ce cas, et il la fait suivre de la relation
iiammer et P. BROUEHANSKY. Contribution à l'élude du délire aigu.
Observation
I. Homme, âgé de trente-trois ans, hérédité psy-
Confusion mentale profonde. Mort le huitième jour de la maladie.
Observation
II. Paysan, âgé de trente-deux ans, arriéré de
légèrement que la couche limitrophe de la substance blanche. Ces
observations
justifient l'hypothèse émise antérieurement par
POFF. Les degrés initiaux de la névrite multiple. L'auteur relate l'
observation
de quatre malades dont trois alcoo- liques et u
que les médecins du Bon-Sauveur eurent des doutes et la mirent en
observation
. Au bout de huit jours, ils étaient fixés : la de
stant pas, tandis qu'aujour- d'liui, représentée par une centaine d'
observations
émanées ' A'o/e sur la paralysie générale préma
tiologiques et cliniques que nous lui avions tracés dès le début.
OBSERVATION
. Le malade dont je vais résumer l'histoire est.
commenter en quelques mots les principales particularités de cette
observation
. Syphilis héréditaire. La première de ces parti
estement la syphilis. Je rap-' pelle, en ce qui concerne mes quatre
observations
antérieures, que la première était relative à u
é 1. Forme démente. La seconde particularité à relever dans notre
observation
, c'est la forme exclusivement démente, sans auc
s chefs et les médecins du corps ayant certifié au conseil qu'après
observation
cet homme leur paraissait réel- lement inapte,
rale. Cestan, dans le travail que je viens de citer, rapporte des
observations
qui ne permettent pas d'établir une règle à ce
it d'énergique* contractures. L'étude de Cestan rapporte beaucoup d'
observations
qui prouvent le fait précédent. P. Marie, en tr
cep- tionnels ». P. Marie et E. Jendrassik ont publié, en 1885, l'
observation
d'un cas dont la maladie avait commencé à ' Le
lombaire à des épileptiques, ratifient les opinions théoriques et d'
observation
, lesquelles soutiennent l'augmen- tation de la
est prudent de ne pas déduire une conclusion définitive. C'est une
observation
qui devient chaque jour plus intéressante, et q
est d'autant plus intéressant qu'il a passé par une des ' Voir les
observations
de lîourneville dans l'Icoioqi,. de la Salpêtrièr
nt nettement tracé. Le cas observé par l'auteur et dont il publie l'
observation
détaillée est un cas typique et complet, suivi
: Notes sur un cas de cataracte; par J. H. 1'cLL WA ? =n. C'est l'
observation
résumée d'une double opération de cataracte pra
u'il a accomplis, les passages aux classer supérieures, ainsi que l'
observation
médicale détaillée. '\< Le maître ou la maît
é : 1° le médecin a besoin de la collaboration des maîtres, de leur
observation
prolongée dans l'école; 2° la sur- veillance pa
to- juvénile ; par G1\Nul.l. (Rio. sp. tii 1894, fasc. 3-i.) Deux
observations
dont l'une s'accompagne de ces phénomènes dits
rique ; par A.-L. Ltocuuucuma (06u : .rnninsicliutrit, IV, 1899.)
Observation
d'une femme de 28 an=. Hérédité. Caractère hysté-
e psi- chictt ? -ii, IV, 1899). Les attaques présentaient, dans l'
observation
en question, les caractères suivants : 1° elles
he journal of mental science, janvier 1900.) , Cette intéressante
observation
est résumée par l'auteur de la manière suivante
nnés au malade.' En somme les points les plus remarquables de cette
observation
sont les suivants : 10 la cause déterminante a ét
o-syphililiquc ; par 11. L. Marchand et CL. Vurpas. Le sujet de l'
observation
, T..., est une jeune fille âgée de vingt- trois
it par la secousse transmise par le tendon aux muscles. M. BmD. L'
observation
que vous venez d'enlendresoulève un autre probl
ale sans cependant la simuler ? La question reste posée, sans que l'
observation
qui vient de vous être communiquée ait la préte
ommuniquée ait la prétention delà résoudre. J'ai publié autrefois l'
observation
d'une malade qu'on avait tout lieu de croire pa
yphi- lilique. M. le professeur Raymond a d'ailleurs publié trois
observations
dans lescluellés on passe histologiquement de l
époque de la maladie. Il lui semble que les lésions décrites dans l'
observation
de la malade de M. Briand sont tellement voisin
lysie générale vraie, est seulement un syndrome simulé comme dans l'
observation
qu'il a publiée de kystes hydatiques du cerveau
ur moi était très net. M. LEGRAiN. Les réserves de M. Briind et les
observations
de M. Toulouse sont tout à fait à leur place. J
t spiritisme chez une paralytique générale. M. 'I'RNEL rapporte l'
observation
d'une paralytique générale, ayant des hallucina
' de l'exagé- ration des réflexes. Ce qui fait l'intérêt de cette
observation
c'est la- présence d'hal- lucinations psychomot
s psychomotrices dans la paralysie générale, dont il n'existe que 9
observations
, et d'autre part leur apparition, à la suite de
exécution d'ordres qu'il recevait de la sorte. M. Séglas a publié l'
observation
d'une aliénée spirite avant son aliénation et q
er et il s'use les genoux en prières. M. Ballet donnera plus tard l'
observation
complète de cet intéressant malade. M. Tt)É.\
dans leurs traits essentiels les déductions que j'avais tirées de l'
observation
clinique de ce malade. Il existe bien un syndro
ois aucun signe essentiel qui permette de séparer ce cas des autres
observations
de paralysie des mouvements associés des yeux q
ites tuberculeuses. 1111. Oono et OLMEn (de Marseille) envoient une
observation
qui est un type aussi pur que possible de lepto
avec spécificité bactériologique évidente. M. A. T'homvs rappoite l'
observation
d'un cas de syndrome de Weber d'origine syphili
rentes techniques employées, mais encore aux milieux diffé- rents d'
observations
; et l'on a pas toujours eu soin d'indiquer la t
hnique et de préciser le milieu. Chez les 22 paralytiques, dont les
observations
font suite, tous plus ou moins avancés et, inte
ntermittents et dans les psychoses des alcooliques; il en donne les
observations
, mais, comme le nombre des malades observés est
ès grande dans les troubles des réactions : par exemple, dans une
observation
, on voit une inégalité apparaissant et disparaiss
pillaire. sans en spécifier les caractères, enlève toute valeur à l'
observation
, mais, en aucun cas, ce symptôme ne peut être p
SPIT7,1 ? (Ed. A.). The mescal relations of the inflected fissure :
observations
zzpon orze hundred Drains. In-8- de 13 pages, ave
Méthode. Nouvelle - de Nissl, par Lord, 317. )ICIIOCh : PII \L1C.
Observation
de -, par 13loumenau, 399. Migraine. Céphalal
e et clinique vraiment utile (1). Sans doute, Messieurs, le champ d'
observation
qui nous est ouvert, n'embrasse pas la pathologie
ticulier de la moelle épiniôre, qui s'offrent le plus souvent à notre
observation
dans cet hospice, lime répugnerait d'entrer, dès
intéressée par le neuro-tome (1). Schiff, de son côté, à l'appui de l'
observation
de Meissner, rapporte quatre cas, relatifs à des
moignage nous est, ici, d'autant plus précieux, qu'il est fondé sur l'
observation
pure, toute empiri-que, et dégagée d'idée préconç
st bien mise en lumière, et pour ainsi dire rendue évidente, parles
observations
où l'on voit ces accidents, après s'être un momen
e la graisse s'accumule dans les intervalles qui le séparent (2). Les
observations
de M. Vulpian ont donné des résultats analogues ;
les ne datent pas encore de fort loin. Nous verrons plus Lard que des
observations
toutes récentes, et dans lesquelles l'action des
dès le cinquième jour, dans les muscles frappés de paralysie (3). L'
observation
clinique démontre, vousnel'ignorezpas, qu'en 1.
re de renseignements précis. Il semble ressortir pourtant de quelques
observations
et, en par-ticulier, d'un fait rapporté avec déta
t paraît être tout à fait acci-dentelle (1). 1. Voici, en abrégé, l'
observation
rapportée par le docteur Erb dans son inté-ressan
quelquefois dans ces nerfs des lésions irritatives : ou bien — si les
observations
ultérieures devaient pré-senter comme constant le
s d'abord si l'on peut la trouver dans la différence des conditions d'
observation
où se placent d'une part le physiologiste, d'autr
rattachée — bien que, sur ce point, nous ne possédions pas en-core d'
observations
positives, — à l'inflammation de la gaîne conjonc
ne (de Boulogne), loc. cit. obs., IX, X. 2. Voir, entre autres, une
observation
rapportée récemment, par le docteur Constantin Pa
repris quelques recherches à ce sujet, je n'ai pas trouvé jusqu'ici d'
observations
incontesta-blement douées de ce caractère. Nous
cutive sont portées très loin ; c'est un fait que MM. Du- 1. Voir l'
observation
citée par Duchenne (de Boulogne), loc. cit., p. 2
A en juger par l'enchaînementhabituel des phénomènes révé-lés par l'
observation
clinique, cette altération delà fibre con-tractil
quelquefois l'abolition complète et définitive de ses fonctions. Des
observations
aux- 1. « J'ai coupé le nerf sciatique d'un côt
complète ou de l'écrasement. Mais si l'on remonte jusqu'au détail des
observations
, il n'est pas difficile 1. Vulpian. —Système ne
e à un cas de ligature du nerf tibial antérieur chez le lapin, avec l'
observation
n° II (p. 593) où il s'agit de l'excision du nerf
uand il s'agit de la section complète ou de l'excision des nerfs, les
observations
récentes concordent, pour les points essentiels,
bservations récentes concordent, pour les points essentiels, avec les
observations
anciennes. D'un autre côté, les résultats obtenus
ligature, cautérisation — sur ces m unes nerfs. D'un autre côté, les
observations
histologiques de MM. Neumann (Arch, f. Heilkunde.
'analogie avec l'ecthyma. Voici en quelques mots le résultat de mes
observations
à ce sujet. Il n'est pas rare devoir la peau des
e signaler (1). 1. Voici d'ailleurs les principaux détails de celle
observation
, qui offre un bel exemple à'endocardite ulcéreuse
propos de rappeler ici les remarques don.' R. Bright t'ait suivre les
observations
d'affection delà moelle épinière avec for matïon
alysie des extrémités inférieures, est bien mise en relief dans cette
observation
; je veux parler de la tendance à la formation de
ession réciproque. Deux points méritent surtout d'être notés dans ces
observations
. D'abord la lésion de la vessie. Celle-ci résulte
as omettre de vous faire remarquer, chemin fai-sant, que, d'après mes
observations
, cette affection de la peau ne se montre que fort
l'opinion à cet égard est fondée sur l'étude d'un très grand nombre d'
observations
(3),c'est du quatrième au cinquième jour après l'
ole interne, s'élevait au delà de 38° C. A l'état normal, d'après les
observations
faites à London Ilospital, par le docteur Woodman
Séquard. — Journal de la physiologie, etc., t. III, p. 130; 1863. L'
observation
recueillie par MM. JotTroy etSalmon, dans le serv
e une élévation notable de la température — fait non mentionné dans l'
observation
de Viguès, bien qu'il y existât vraisembla-blemen
qui s'y rattache, nous rappellerons les principaux dé-tails de cette
observation
¦ Le nommé Martin, âgé de 40 ans environ, a été
rquée de la contractilité faradique. Sous tous les autres rapports, l'
observation
de M. Millier est en con-formité avec celles de M
arition simultanée des divers troubles trophiques, si-gnalés dans ces
observations
et dans quelques autres du même genre, semble acc
t, pour expliquer le développement de l'arthropathie décrite dans les
observations
de Viguès et de Joffroy. Pour ce qui concerne, ma
impressions tactiles. Un autre enseignement nous est fourni par les
observations
d'hémiparaplégie consécutive à une lésion unilaté
. Woillez, qui m'a été communiqué par M. Joffroy, le 9e jour dans une
observation
de M. Engelken ; le 12e jour dans un autre fait d
t consécutive à l'encéphalite ou au ramollissement du cerveau. — Deux
observations
, choi-sies parmi de nombreux cas du môme genre et
els, car le plus souvent — on jeut s'en convaincre par la lecture des
observations
publiées dans notre travail (Arch. de physiol., 1
eins. Il est incontestablement fort remarquable de voir, dans cette
observation
, que le dépôt goutteux se forme exclusivement dan
5,1831 — Durand-Fardel, Maladies des vieillards, p. 131. Paris, 1854.
Observation
de la nommée Lcmoine; — Valleix, Guide du médecin
rieurs. J'ai eu soin de faire remarquer, en effet, me fondant sur des
observations
cliniques, bien des fois répé-tées, que l'affecti
ré-sultats obtenus dans ces deux cas sont confirmés par de nou-velles
observations
, on sera naturellement conduit à admettre que les
gie intra-encéphalique. — Expériences de Schiff et de Brown-Sé-quard:
observations
personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre d
ahr. 8. heft. pp. 769 elsiiiv. et fait remarquer enfin que, parmi les
observations
rassemblées par Brown-Séquard dans ses Recher-che
minées par le ramollissement ou l'hémorrhagie du cerveau. D'après les
observations
que j'ai recueillies à la Salpêtrièrc, les inflam
vent' être rattachées ces altérations de l'urine (7). Plusieurs des
observations
qui viennent d'être citées con-tiennent un rensei
— Traité des maladies des reins, t. I, p. 530 et suiv. « D'après mes
observations
», dit Rayer, « dans les maladies de la moelle ép
e premier pas vers la connais-sance scientifique des phénomènes que l'
observation
nous a permis de constater. Car si nous savons le
à un spasme vas-culaire,ils n'auraient pas, si j'en juge d'après mes
observations
, la signification qui leur a été prêtée, car, dan
indiqué tout à l'heure. On devrait en rapprocher encore, d'après les
observations
récentes de M. Goltz, les nerfs d'absorption, qui
mparative, certaines nuances, ou même des différences tranchées que l'
observation
des cas isolés ne permet pas de saisir facilement
bles que présentent les oscillations rythmiques des membres. Mais une
observation
plus recueillie vous a bientôt permis de démêler,
turée. Qu'il nous suf-fise d'avoir mis en relief des caractères que l'
observation
la plus simple, indépendamment de toute préoccupa
éunir les faits que nous avions sous les yeux, et, les joignant à des
observations
empruntées aux recueils étran-gers,nous avons tra
s lésions. Pour cela, nous ferons appel aux documents précités et aux
observations
nombreuses que nous avons rassemblées dans cet ho
tres. Examinons en premier lieu la manière dont se fait le début. Les
observations
nous apprennent que la paralysie agitante se déve
core défaut. Enfin, M. Gowers a donné communication à M. Charcot de l'
observation
recueillie par lui à l'Hôpital national des épile
rmer. 1. Chez une malade du service (Latouil..., Marie Fr.), dont l'
observation
, recueillie par nous, est consignée dans la thèse
ait jamais eu le moindre tremblement. Le second groupe comprend les
observations
publiées par quelques auteurs, Bamberger, Lebert,
ndrons d'ailleurs sur ce point. Enfin, le dernier groupe contient l'
observation
deParkinson et celle d'Oppolzer. Dans l'observati
groupe contient l'observation deParkinson et celle d'Oppolzer. Dans l'
observation
de Parkinson, que cet auteur a transcrite du re
et de l'atrophie mus-culaire progressive, une maladie de famille. Les
observations
qui ont pu faire croire le contraire se rapporten
ns le Journal de médecine et de chirurgie pratiques (p. 389, 1874), l'
observation
d'une jeune fille du service de M. Sircdey qui l'
les lésions de la sclérose en plaques. A côté, vous pourrez lire les
observations
cliniques auxquelles elles se rat-tachent. Jeprof
dique dans sontraité (4); Frerichs(5), Valentiner (6) rapportent deux
observations
. Rind-fleisch (7), Leyden (8), Zenker (9J, fourni
x, du moins sur les portions de ces nerfs voi-sines des centres : les
observations
de MM. Vulpian et Liou-ville, souvent répétées de
cette opinion, si j'en juge d'après des impres-sions fondées sur des
observations
personnelles, se rapprocherait beaucoup de la réa
é tracée principalement, — vous ne l'avez pas oublié, — d'après des
observations
faites sur des fragments de moelle qui ont subi,
t ne diffèrent pas essentiellement. Aussi ne donnerai-je, d'après les
observations
que j'ai pu faire, une mention spéciale qu'aux mo
l a quitté cet hospice, et il m'a remis en même temps à son sujet une
observation
très détaillée et des plus précieuses. Le début,
Vous pouvez reconnaître chez une seconde malade, que j'offre à votre
observation
, ce carac-tère particulier du tremblement de la p
aladie,et avoir disparu dans le temps où le sujet se présente à notre
observation
. 11 importe donc, à cet égard, d'interroger avec
constaté un simple affaiblissement delà vue (2). Cette 1. Dans une
observation
rapportée par M. Magnan (Archiv. de physiologie,
y avait atrophie papillaire des deux yeux avec cécité complète. 2.
Observation
de la nommée Aspasie Byr, communiquée par M. Vulp
voyez, de petites secousses, qui font osciller simultanément Cette
observation
est rapportée in extenso dans un travail de M. H.
st rapportée in extenso dans un travail de M. H. Liouvillc intitulé :
Observations
détaillées de deux cas de sclérose en îlots multi
lle épinière. (Mémoires de la Société de bio-logie, 1868, p. 231.) 1.
Observation
citée par M. Magnan. les deux globes oculaires
indre trace de tremblement. Toujours d'ailleurs, du moins d'après mes
observations
, la langue con-serve son volume normal et jamais
e, je vais faire appel aux détails consignés dans un certain nombre d'
observations
que j'ai réunies et où la période parétique s'est
t-être inévitable pour un observateur non prévenu. Sous ce rapport, l'
observation
de V... peut nous fournir des renseignements préc
me genre, vous éviteriez de prendre le change en tenant, compte des
observations
sui-vantes. Le fait même que la parésie des mem
cas, le processus irritatif dont les foyers de sclérose sont 1. Les
observations
de sclérose en plaques dans lesquelles les cordon
s et subdivisions. Mais, en somme, toutes tes variétés de forme que l'
observation
clinique a fait reconnaître, — je ne veux envisag
rose en plaques ; mais il n'est pas douteux qu'en se multipliant, les
observations
relatives à cette affection permettront un jour d
i-formcs ou apoploctiform?s, je me bornerai à signaler certaines 1.
Observation
lit du mémoire de M. Vulpian, communiquée par M.
rvation lit du mémoire de M. Vulpian, communiquée par M. Char-cot ; —
Observation
de la nommée Bry (Charcot) : Observation de Nicol
muniquée par M. Char-cot ; — Observation de la nommée Bry (Charcot) :
Observation
de Nicolas, présentée à la Société de Biologie, p
contact. Voici cependant, Messieurs, un trait qui les rapproche : les
observations
de M. Magnan et celles de M. Wesl-phal ont fait v
rait à la sclérose en plaques, elles ont été notées trois fois dans l'
observation
III du mémoire de M. Vulpian, trois fois dans le
crois utile de xrous présenter très sommairement les détails de deux
observations
relatives aux cas du dernier genre. Le premier
int de sclérose en plaques. Néanmoins, on peut relever dans plusieurs
observations
des résultats partiels, qui ne permettent pas de
leurs occupations (Voy. loc. cit., obs. iv, ix. x, xi, etc.) Dans une
observation
de M. Vulpian que nous avons également rapportée
ymptômes pendant les premiers temps de la maladie. Dans ce genre, une
observation
publiée par M. Liouville (1) et le cas rapporté p
que démontré. Je suis même très disposé à croire, d'après mes propres
observations
, que les altérations des vaisseaux et celles du r
, in Deutsches Archiv, 8, Bd., 1 heft, 1870. p. IV, nous trouvons une
observation
qui concerne un enfant qui présenta les pre-miers
roy. — Mémoires de la Société de biologie, 1869, p. 146). 3° Dans l'
observation
rapportée par MM. Fontaine el Liouville, il est d
re édition de ces leçons, il a paru un certain nombre de travaux ou d'
observations
sur la sclé-rose en plaques. Comme ils ne font qu
Distinction cidre l'ischurie calculeuse et l'ischurie hystéri-que .
Observation
. —Paralysie et contracture hystériques. — Hémiane
savoir consacré àce sujet une série d'articles (1), où il relate deux
observations
originales, M. Laycock y est revenu dans son livr
e réduirait encore très certainement cechiffre. La majeure partie des
observations
est très ancienne (seizième et dix-septième siècl
et : « spirted out », c'est l'expression qu'emploie le rédacteur de l'
observation
. Et cependant, tous ces détails, et bien d'autres
stamment la même série, — quels que soient le pays, le siècle, où les
observations
sont recueillies. La fraude fut découverte par Bo
nstance qui est bien propre à jeter aussi un jour défavorable sur les
observations
d'ischurie hysté-rique : c'est que, en dehors de
trer maintenant comment, au milieu de ces conditions favorables à une
observation
régulière, s'est produit le phénomène de l'ischur
es phases de leur évolution les accidents qui se sont offerts à notre
observation
. Le tableau commence au 16 juil-let 1871, époque
'état général pendant cette longue période de quatre mois qu'a duré l'
observation
? A aucune époque nous n'avons remarqué de troubl
ine. La contrac-ture disparut adroite : il ne fallait plus songer aux
observations
exactes. Les vomissements, d'ailleurs, se suspend
été un peu moins accusés, et si nous n'a-vions pas été éclairé par l'
observation
antérieure, il eût pu se faire incontestablement
te simulation. Si cette conclusion est légitime, il est clair que les
observations
anciennes reprennent quelque valeur. 11 est néces
'intoxication urémique se pro-noncent nécessairement, puisque, dans l'
observation
de Paget, l'intégrité des fonctions, le maintien
ur ainsi dire en pleine santé, tandis que, si j'en juge d'après notre
observation
, l'ischurie hystérique n'atteint son apogée que d
s avoir résumé les opinions de M. Charcot, M. Ch. Fernet rapporte une
observation
intéressante dont voici l'analyse. Marie L...,
es chez les femmes hystériques (Paris, avril 1873). On y trouvera une
observation
qui, toute insuffisante qu'elle soit, à certains
ins égards, paraît devoir être rattachée à l'ischurie hystérique. — L'
observation
de la malade qui fait l'objet de la précédente le
par Tiïrck : siège spécial des lésions encéphaliques dans ces cas. —
Observation
de M. Magnan. — Altération des sens spéciaux. M
livre de M. Briquet (1). Ce livre est excellent ; c'estle fruit d'une
observation
minutieuse, d'un labeur patient, mais il a peut-ê
Ta fait connaître en Allemagne, et il n'a eu qu'à con-firmer, par des
observations
, d'ailleurs très recommandables, les faits énoncé
parmi nous, doctrine qui invoque d'ailleurs à lafois les données de l'
observation
clinique et celles fournies par l'expérimentation
ait encore, quoique la motilifé fût revenue. .11 cite quelques autres
observations
du même genre, empruntées à divers auteurs (1).
ne pourra être résolue d'une manière définitive qu'à l'aide de bonnes
observations
cliniques, auxquelles viendra s'adjoindre le cont
s symptômes constatés pen-dant la vie. Déplus, les circonstances de l'
observation
devront se montrer telles que l'influence de la c
ienter, afin de bien reconnaître le siège des parties lésées dans les
observations
de L. Tûrck. Je mets sous vos yeux une coupe fr
hémianeslhésie par lésion cérébrale publiés jusqu'à ce jour ;_j les
observations
ne contiennentaucunementionà cet égard (1). 1.
1. Nous ne connaissions, à l'époque où cette leçon a été faite, les
observations
de L. Tiirck, que par la mention très brève qui e
ie de cause céré-brale. (Paris, 1874. — Ce travail contient aussi des
observations
cliniques intéressantes.) (Note de la 2e édition.
ature d'un membre. Conclusion au point de vue de la thérapeutique. —
Observations
cliniques. Messieurs, Par la dénomination ass
'aura la douleur iliaque initiale. Si j'en juge d'après mes propres
observations
, toujours le point iliaque précède en date, de si
en terre, plonge le poing fermé dans celle des fosses iliaques que, l'
observation
. antApipnrp )ui aura déjajmtcéJitxeifiusiÈge habi
ressortir les particularités les plus saillantes qu'elles offrent à l'
observation
. Cas I. —(MarcT^)2*1 ans, atteinte d'hystéro-ép
aire droit et se terminant par des symptômes céphaliques 1. \Toir l'
observation
complète de Marc... dans Bonrncville et Regnard.
aussi le t. III du même ouvrage (p. 93^ où se trouve la (in de cette
observation
et l'autopsie. très évidents. Les convulsions,
men de ces danses du Moyenâge décrites sous le nom d'épi- 1. Voir l'
observation
complète de cette malade dans: Bourneville et Vou
s numéros de juin 1872 du Mouvement médical. 2. Nous avons publié l'
observation
de Geneviève dans l'Iconographie photogra-phique
pression ovarienne sur les con-vulsions (3). 1. Nous avons publié l'
observation
complète de cette malade dans le Progrès médical
exion permanente de lacuisse et de la jambe, si j'en juge d'après mes
observations
, est un fait réellement exceptionnel. Il s'agit
ition, et c'est là un point que nous avons fait ressortir déjà dans l'
observation
précédente. Or, de semblables symptômes ne s'obse
désormais à l'état des membres inférieurs (Fig. 24) (1). 1. X^oir l'
observation
complète de cette malade à la page 53 de notre Mé
qui amène une infiltration séreuse péri-papiilaire. (B.) Voir aussi l'
observation
rapportée par M. Bonnefoy dans le Mou-vement médi
. et les détails qui l'accompagnent. (Note delà 2° édition.) 1. Aux
observations
rappelées par M. Charcot, il convient d'ajouter l
contractilité électrique, ne devraient pas, si j'en juge d'après les
observations
qui me sont propres, faire désespérer complètemen
tique. — Gravité de certains cas exceptionnels d'hystéro-épilepsie. —
Observation
de Wunderlich. Messieurs, Dans la courte desc
ilepsie et l'hystérie puissent se rencontrer chez un môme individu. L'
observation
la plus superficielle protesterait contre une s
t,qui a écrit sur ce sujet un article marqué au coin de la plus saine
observation
, dit que cette espèce hystérie à attaques mixtes
cès. Elle me paraît concorder de tous points avec les résultats démon
observation
personnelle. a) Dès l'origine, l'attaque mixte
sie, l'attaque épileptiforme, même la plus in-tense, est, d'après nos
observations
, modifiée, parfois même arrêtée dans son développ
et égard par M. Wunderlich d'abord et après lui par M. Erb (1). I L'
observation
de la nommée Glievall.. est consignée tout au lon
d'autant plus utile de les relater ici que, outre qu'ils complètent l'
observation
ancienne, ils apportent une nouvelle preuve à l'a
rs se prolonger pendant un laps de temps considérable. Georget cite l'
observation
d'une femme chez laquelle les accès se sont montr
veux surtout signaler à votre attention le caractère thermique que l'
observation
nous à fait reconnaître. Il résulte-rait en somme
gea tout à 1 Voici la traduction, par notre ami E. Teinturier, de l'
observation
de Wim-derlich, à laquelle M. Charcot fait allusi
l'observation de Wim-derlich, à laquelle M. Charcot fait allusion.
Observation
. — Huit semaines de convulsions hystériformes à m
au-dessus dans une certaine étendue. Ilest,vous le savez, suivant les
observations
de M. Burcq— observations reconnues aujourd'hui c
e étendue. Ilest,vous le savez, suivant les observations de M. Burcq—
observations
reconnues aujourd'hui comme parfaitement exactes,
produisent chez G... toujours suivant le même mode et dans 1 Voir l'
observation
dans le Progrès médical, 1877, p. 381. Je même
s adresser, dans les circonstances où nous nous trouvons. D'après nos
observations
, l'application dans la région ovarienne d'un sac
ler, avec quelques développe-ments, dans saclinique, et il cite trois
observations
qui appar-tiennent évidemment à cette catégorie.
s hystériques hors le temps des attaques, relate, lui aussi, quelques
observations
intéressantes de chorée rythmique. Le cas de Mlle
tracture hystérique, pendant plusieurs an-nées. Je citerai encore une
observation
de M. Murchison, rap-portée par M. C. Handfield J
es de rigidité. La malade pouvait, ainsi que cela avait lieu dans les
observations
de Trousseau, les mo-dérer ou les arrêter par un
ont vous ne rencontrerez sans doute le pendant que bien 1. Voir sou
observation
complète dans Ylconogr. phologr. de la Sàlpétrièr
réiques ont définitivement cessé. (B.) APPENDICE APPENDICE i.
Observation
de paralysie agitante. (Voir la Planche I, qui
malade de sa clientèle privée, et nous avons consigné dans une note l'
observation
d'une malade de son service, à la Salpêtriôre, no
s faits et, de plus, il en a cité deux autres dont voici le résumé,
Observation
I.—Habitation humide ; chagrins. — Névralgie fron
remière fois remarqué. Le second fait n'est pas moins démonstratif.
Observation
II. — Rhumatisme articulaire aigu. —Malaises. — D
fruste de la forme spinale ; — possibilité de la guérison. — Nouvelle
observation
(Planches VII et VIII.) Dans l'une de ses confé
érison de la sclérose enplaques. Nous allons donner ici un résumé des
observations
sur lesquelles il s'est appuyé. Fisch... M.-A.,
volution. Chez la malade dont nous allons parler maintenant et dont l'
observation
a été communiquée à M. Charcot par le docteur E.
reparaît encore quelquefois quand la malade est émo-tionnée. Cette
observation
vient justifier les réserves émises par M. Charco
e-roufii être perçus jusqu'à la dernière limite. Ce sont, en effet, l'
observation
le démontre, les deux couleurs dont la sensation
culière aux malades réunies dans le foyer où ont été re-cueillies nos
observations
. On sait depuis longtemps que l'imi- talion peu
uence de Pimitationne peutêtre en jeu; on les retrouve aussi dans les
observations
faites à l'étranger ; c'est ce dont té-moignent,
es de somnambulisme. On lira entre autres avec intérêt, à ce sujet, l'
observation
de M. Mes-net (Archives générales de médecine, 18
net (Premier fascicule des Actes delà Société médicale des hôpitaux :
Observation
de sommation spontanée. ») 1. Voir le n° 52 du
me débutaient habituellement chez les malades qui font l'objet de ces
observations
, par de violentes convulsions hys-tériques. Souve
e, etquimettent en pleine lumière l'intérêt théorique et pratique des
observations
de Bro-die.Ces laits seront l'objet d'une publica
es effets. Telle est, du moins, la conclusion qui semble résulter des
observations
recueillies par M. Charcot, et, àce propos, il ci
oppement de douleurs ou de contractures (2). Laconsolida- 1. Voir l'
observation
, complète de Geneviève dans VIconographie photo-g
une intervention active, presque toujours intempestive et nuisible. L'
observation
démontre, en effet, que dans l'espèce, les appli-
sés le développement de l'hystérie locale : c'est ce dont té-moigne l'
observation
suivante empruntée à Brodie. (Loc.cit., p. 58). F
s la salive commença à s'écouler involontairement de la bouche. Ces
observations
n'ont pas besoin de commentaires. (B.) [Progrès
e intra-encéphalique. — Expériences cle Schiff et de Brown-Sé-quard :
observations
personnelles. — Ces lésions paraissent dépendre c
Distinction entre l'ischurie calculeuse et l'ischurie hystéri-que.
Observation
. —Paralysie et contracture hystériques. — Hémiane
par Tiirck : siège spécial des lésions encéphaliques clans ces cas. —
Observation
de M. Magnan. — Altérations des sens "spéciaux. .
la ligature d'un membre. Conclusion au point de vue thérapeutique.—
Observations
cliniques. . . 320 DOUZIÈME LEÇON de la contr
tique. — Gravité de certains cas exceptionnels d'hystéro-épilepsie. —
Observation
de Wunderlich. . . . 367 QUATORZIÈME LEÇON de
................................................ 386 APPENDICE I.
Observation
de paralysie agitante............................
ilité de la guérison....... .......................... 423 Nouvelle
observation
(Pl. VII et VIII).......................... 425
(V. IlÉ-michorée). — rythmique hystéri-que, 386. — Définition, 387. —
Observation
, 387. — Symptômes, 387. — Parole, 391. — Démarche
rie, 427. — Historique, 427'. — Caractères, 428. — Mobilité, 429. —
Observations
, 430, 433. Vomissements hystériques, 289, 296,
? -. znéd., passim) ; Cornet, Traitement de l'épilepsie, 1889 (avec
observations
de notre service); Bourneville, Observation de ch
'épilepsie, 1889 (avec observations de notre service); Bourneville,
Observation
de chorée guérie par le bromure de camphre, ave
lirium trémens), et en particulier dans l'épilepsie vertigineuse, 5
observations
(Compte rendu de 1895, p. 218); Chorée, bromure
mais dans un grand nombre d'affections du sys- tème nerveux. 1 .
Observation
I. ÉPILEPSIE SYIIPTOM.TIQUr. Sommaire. Pov, exc
nement abondants sous les aisselles. Rachel tient mieux compte des
observations
qui lui sont faites; elle pourrait faire de plu
r et à mesure de la diminution des vertiges. A cet égard, c'est une
observation
typique. IV. La description que nous avons trac
irer profit. 1 Tableau C. Tableaît des accès. 12 THÉRAPEUTIQUE.
Observation
II. Épilepsie idiopathique z). Bromure DE camphre
ès affectueuse envers ses compagnes, un peu turbulente ; la moindre
observation
l'ennuie et la surexcite et elle accueille les
au commencement de 1902, il n'est survenu ni accès, ni vertiges.
Observation
III. Imbécillité ET épilepsie SYMPTOMATIQUE. So
ns dit dans des publications antérieures. Ainsi que le montrent nos
observations
, le trai- tement doit être longtemps prolongé,
.·4H t. Réflexions sur la puberté à propos des deux premières i,
observations
, par Bourneville. Nous avons noté tous les six
ard WEBER, (77te 1'ew Yo ? ,Iz Médical Journal, Ier juin 1901.) '
Observation
curieuse et intéressante, relatée dans tous ses
1'Ize New-York Médical Journal, 15 juin 1901.) Voici le résumé de l'
observation
: Homme de vingt-neuf ans, célibataire, alité,
st ce qu'il appelle la paralysie générale - typique. 11 donne trois
observations
avec figures des coupes. Les deux premières con
ieu' entre z ces deux degrés.. - 1 ; -i . , e 'i ? f La troisième
observation
de démence paralytique avec tabès, est r' carac
corps calleux; e) des deuxième et troisième temporales. '* ! Cette
observation
, tout en se confondant, quant à la topographie "
ques tant par leur localisation que par leur décours. Celles de ces
observations
dans lesquelles le lobe frontal est affecté se
Keraval. 60 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1X.
Observation
de ramollissement bilatéral et symétrique du lo
hémorragies nombreuses occupant la papille et la rétine. · Cette
observation
doit en cette manière être rapprochée des exemp
iplégie avec aphasie sensorielle. - ' ' ' 111. Halipré envoie une
observation
de syndronae d'fldaoi-.SGokes. F. Il01SS1EE.
ération. Cette distinction de M. Apert n'est donc pas basée sur une
observation
personnelle et suffisante 1. Pour ne pas insist
nt de dé-' part de nombreuses excursions dans la haute montagne.)
Observations
. I. Les membres du Congrès sont priés de faire
ais- ceau pyramidal. Or, nous rapportons ici dans ses détails une
observation
déjà présentée à la Société de Neurologie du 15
intéres- santes, l'une d'histologie, l'autre de physiopathologie.
Observation
. T..., cinquante-sept ans. Début de la maladie
nc en suspens, mais du moins nous croyons devoir admettre que notre
observation
est un nouvel exemple de papillome primitif épi
tracture spasmodique post-hémiplégique. Nous résumerons ainsi notre
observation
. Un homme est atteint d'un syndrome de Weber tr
ou moins complexe qu'il nous a paru intéres- sant d'approfondir. L'
observation
d'une variété exception- nelle du tremblement f
de leur existence. I. - Tremblement infantile congénital familial
Observation
. Geon. Henriette, âgée de trois mois le 18 avril
onnelle. En analysant les divers renseigne- ments fournis par notre
observation
, nous trouvons une importante tare nerveuse che
sion de l'oeil. Nous avons noté du strabisme dans quelques-unes des
observations
qui vont suivre. Malgré la coïncidence de ce sy
mouvements nystag- miques. ' - A. Nystagmus essentiels simples.
Observation
. 11[ell. fea ? ijze, âgée de quatorze ans. vient
e, fond d'oeil normal. Réactions pupillaires et réflexes normaux.
Observation
II. Ben. Francisque, âgé de douze ans et demi, se
, la picrotoaine à la dose de 2 milligrammes sans aucun bénéfice.
Observation
III. Glo. François, âgé de quatorze ans. Elève au
as de mouvements de la tète. Asymétrie faciale. Héllexes normaux.
Observation
IV. Lej. Geneviève, âgée de cinq ans. Nystagmus
xes normaux. Père mort alcoo- lique. Plusieurs particularités des
observations
qui précèdent méritent d'attirer l'attention :
ations qui précèdent méritent d'attirer l'attention : le sujet de l'
observation
5 a été conçu à la suite d'une fièvre typhoïde
ces mouve- ments n'ont aucun des caractères de ceux de la chorée.
Observation
II. Bern... Joseph, dix-sept aîzs, vient consulte
te à la naissance. Le sujet n'a jamais été malade. Dans l'une des
observations
qui précèdent l'exagération des réflexes rotuli
arition des signes morbides. C. Nystagmus essentiels familiaux.
Observation
I. Liv..., vingt-trois ans. Séminariste. Nystagmu
ments ni tremblements de la tête. Réflexes normaux (patellaires).
Observation
II. Liu..., vingt ans (frère du précédent). Nysta
gagé volontaire. Les réflexes patellaires n'ont pas été examinés.
Observation
III. Appr... François, trente-sept ans. Se présen
ns du thorax, aucun signe de troubles du côté du système nerveux.
Observation
IV. App... Jean, soixante-quatre ans. Père du pré
agmus exister constamment. Les réflexes patellaires sont normaux.
Observation
V. Renseignements fournis par le père de deux enf
es yeux. ' TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 113
Observation
VI. Yves ilL ? qztalre ans. Est venu au monde f
chez le frère aîné. Pas d'amé- tropie ni d'anomalies à signaler.
Observation
VII. François Le Br..., trente-trois ans, oncle m
e la tête. Réflexes oculaires normaux. Milieux oculaires normaux.
Observation
VIII. Un frère du précédent est mort, il y a ving
e renseigne- ment est donné par les soeurs actuellement vivantes.
Observation
IX. C... Louis François, âgé de dix ans, cousin g
le même milieu, une tante, Marie Yv. Le Br..., soeur des sujets des
observations
VII et VIII, qui ne présente pas de nystagmus.
ver ce malade, nous ont été fournis par les parents des sujets des
observations
V et VI qui vivent loin de cet enfant et qui ont
n travail inspiré dans ce sens. Nous avons montré au sujet de notre
observation
de tremblement infantile quelle importance offr
e : par exemple l'asymétrie faciale si inté- ressante du sujet de l'
observation
3, ou bien l'exagération des réflexes avec trem
» Sans doute il peut en être ainsi, mais si l'on se reporte à nos
observations
, on verra que le plus souvent se surajoutent à
de préférence dans le lobe occipital. Il rapproche de ce fait les
observations
publiées dans la thèse du professeur Lan- douzy
e du terrain mental qu'il viendra frapper. C'est, comme le montre l'
observation
suivante, l'ictus qui provoque l'acte inconscie
ur origine dans un état cérébral patholo- gique, au lieu que dans l'
observation
actuelle, l'état mental subconscient n'a jamais
r. On croirait, en lisant son autobiographie, avoir sous les yeux l'
observation
d'une de ces malades qui peuplent nos asiles d'
, et dans un autre couvent on dit pour elle la messe des morts. -
Observations
-de sommeil hystérique. Cet état de mort appare
sus qu'elle s'était réveillée au cou- cher du soleil. La seconde
observation
est à peu. près semblable, avec une cause diffé
sance et jeté à terre les compresses désa- gréables. La troisième
observation
est la plus intéressante. Il s'agit d'un soldat
e Yeii ? o- logie, 4902, n° 5.) Ce travail contient un exposé des
observations
et des recherches de laboratoire les plus typiq
e et le méca- nisme des hallucinations. Il semble résulter de ces
observations
que des modifications apportées dans les condit
ie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. Enfin, certaines expériences et
observations
semblent plaider en faveur du rôle de l'imagina
duction des hallu- cinations. Mais l'examen attentif des faits et l'
observation
journa- lière des sujets ont conduit les auteur
omme chez les animaux, l'abolition du mou- vement volontaire. Ces
observations
conduisent à rattacher la suppression de la dou
W.-J.-A. Erskïne. (The Journal of Mental Science, juillet 1901).
Observation
: Femme de vingt-cinq ans, déraisonnable, bruya
e sensations sensuelles, pas d'ambition. L'auteur fait suivre ces
observations
de quelques remarques intéressantes que nous ré
Après un court historique du sujet l'auteur publie l'intéressante
observation
de ses deux malades, dont l'âge (quarante-sept an
1901.) loi REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Ces trois malades, dont l'
observation
est relatée avec soin, pré- sentaient de la gly
es asiles, soit pour des raisons d'ordre social (mariage). Mais les
observations
personnelles des -médecins révèlent plus nettem
atre malades on n'a pu relever aucun antécédent syphilitique. Ces
observations
semblent donc établir que dans un certain nombr
(Journal de Neurologie, 1900, n° 3.) Ce travail est basé sur trois
observations
. la ire est un cas d'a- phasie motrice avec ag
et qui a entraîné de l'agraphie pour la main gauche. G. DwY. VI.
Observation
d'un cas de sclérodermie dactylique ; par le D de
ressive ; par A. 11OFrMANN. (Neunolog. Centralbl., XIX, 1900.) Deux
observations
. La première, chez un jeune garçon de dix ans,
nt et parfaitement. L'origine nerveuse est évidente dans la seconde
observation
. Notons les résultats favo- rables de l'électri
le, mais naturellement sans trouble conco- mitant du goût. D'autres
observations
cliniques permettent de for- muler que les fibr
PHILIPPE présente à la Société les résultats d'un certain nombre d'
observations
sur les images mentales visuelles, étudiées au
l'autre (le sou- venir) est très précis. M. Vallon demande si les
observations
de M. Philippe ont été toutes prises sur le mêm
le. 1t. P. Sérieux communique en son nom et au nom de M. MiGNOT l'
observation
d'un paralytique général de quarante et un ans,
se sont succédé au niveau du même membre. Les faits analogues à l'
observation
ci-dessus, paraissent à tort exceptionnels; ils
s périodes de la Paralysie générale; valeur appuyée surtout sur des
observations
personnelles. Il LE Secrétaire général. Ritti
urveiller son régime alimentaire en tant qu'hépatique latent. Les
observations
rapportées sont réparties en trois groupes : 1°
a démence précoce. D'après - SOCIÉTÉS SAVANTES. 175 de nombreuses
observations
, les auteurs notent la fréquence de troubles pu
démence précoce. : 11. DENY rapporte un cas analogue à cette dernière
observation
. M. ÏRÉNEL pen-e que les signes pupillaires son
paralysies générales. Très mûri, d'un sens clinique très sûr, d'une
observation
très approfondie, ce premier travail est une oe
ant pourson activité scientifique. Il disposait d'un double champ d'
observations
, la Maison de santé de Vanves et l'hôpital ; il
ans lesquelles elle peut trouver son emploi. - Dans une série de 25
observations
personnelles, l'auteur apporte une contribution
systématique des moyens mécaniques de contention. Il conclut de 27
observations
à l'acquisition facile de l'habitude du lit, fa
l'histoire de toutes les maladies et leurs icmèdes choisis dans les
observations
, conseils et ordonnances des,plits habiles médeci
allons citer in extenso trois cas de paralysie générale juvénile.
Observation
I. Malade B..., jeune fille de seize ans, paysann
lytique. La malade parle peu et fait l'impression d'être démente.
Observation
II. Malade Y..., fille de vingt ans, paysanne,
ersation bien suivie. Point d'hal- lucinations. Démence profonde.
Observation
III. Le malade N..., de dix-neuf ans, paysan, c
énomène en question, et cela dans les circonstances suivantes : ;
OBSERVATION
I. L'ouvrier charpentier Louis G..., tombait vers
irieuse. Le décès survenait environ deux heures après l'accident.
Observation
II. Joseph V..., âgé de deux ans et demi, enfant
19, au milieu d'accidents congestifs pulmonaires (fig. 13 et 17).
Observation
III. Blanche C..., âgée de dix-huit ans, admise l
sa mère) a paru stimuler favorablement son activité cérébrale. ,-
Observation
IV. Antoine P... âgé de trente-quatre ans, céli-
ce, leur gracieuse bienveillance et leur savoir. 'i ? De ces cinq
observations
, je rapprocherai certaine^ remarques faites par
ceux chez lesquels nous l'avons observé ont succombé. » IL Si les
observations
ci-dessus relatées sont peu nom- breuses, elles
e. D'autre part, les dépressions punctiformes constatées dans les
observations
II et III ne supportent point une telle explica
nd celles-ci suivent immédiatement un traumatisme, ainsi que dans l'
observation
I. III. En résumé, nous conclurons : 1° Il ex
le ganglion de Gasser. 4° Dans tous les cas, il paraît résulter des
observations
qui précèdent, que, quels qu'en soient le mode
dans les états psychopathiques dépressifs. RECUEIL DE FAITS. Une
observation
de sein hystérique. raa l.us nocrruos '1.11,1
agies du sein qui se montrent chez les personnes hystériques. UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE 221 1 Willis (1678) cite, le
gonflement d"un sein coïncidant avec des accidents hystériques. Les
observations
de Carré de Montgeron (1747), de IIoffmann (174
de paraissait éprou- ver une douleur assez vive de ce côté. · UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE 223 3 21 janvier. A partir d
17, 18 et 19 février. Amélioration progressive. Seins normaux. UNE
OBSERVATION
DE SEIN HYSTÉRIQUE 225 5 Appélit meilleur. Du 2
es époques sont devenues irrégulières et plus douloureuses. Notre
observation
peut ainsi se résumer : jeune fille pré- sentan
s inusitées, lorsqu'il persiste même en dehors des époques. Notre
observation
nous semble parler dans ce sens. L'HYSTÉRIE DE
votre méthode habituelle d'induction, qui rassemble les faits, les
observations
, pour en faire plus tard une vaste synthèse.
le médecin devient, par la force des choses, physiologiste. Déjà l'
observation
des troubles moteurs de la mala- die d'Addison
e, précise et élégante », le résultat de leurs longues et patientes
observations
. II. Délimitation du tic. La question du tic pa
ment depuis la description du torticolis mental par Brissaud et les
observations
relatées par Régis et l'auteur concernant les t
à ses camarades d'atelier. M. OBREGiA (de Bucharest) communique les
observations
de trois malades qui sont devenus paralytiques
ai quelques documents statistiques provenant du dépouillement de 70
observations
de tiqueurs vulgaires que j'ai recueillies dans
oir). Présidence de 11111. R : cls et Deny. M. Rom3r communique une
observation
de tic associé à une démence précoce. Il s'agit
ion. s'est installé, d'abord supporté avec indifférence. Mais les
observations
insistantes de la famille devenues maladroi- te
te beaucoup ne présentant pas ce caractère. J'en veux pour preuve l'
observation
d'une malade dont je vais vous résumer rapideme
s'écoulaient quelques gouttes d'urine nouvellement sécrétée. Cette
observation
pourrait encore fournir la preuve que tic et sp
et Feindel et M. Noguès est en opposition avec les résultats de mes
observations
. D'après ces trois auteurs, les tics ne seraien
ment ou de patience des opérateurs. - , M. Bouhneville rapporte une
observation
type de maladie des lies que nous publierons pr
à se guérir. Démence épileptique précoce. M. J. Voisin lit trois
observations
nouvelles de démence épilep- tique, paralytique
mence épilep- tique, paralytique, spasmodique, infantile. Parmi ces
observations
deux sont relatives à des enfants de dix à douz
, la paralysie générale progressive et les idiots épileptiques. Ces
observations
viennent s'ajouter à celles que M. Voisin a déj
uggestion répare tous ces désordres, témoin les cas suivants dont l'
observation
est rapportée par l'auteur : toux nerveuse, aph
oduit toujours dans les conditions ci- dessus indiquées. Toutes les
observations
présentent des carac- tères très analogues, sin
M. Régis est très importante, mais quand on lit attentive- ment les
observations
publiées, on s'aperçoit que les unes se rapport
- née. Ces considérations vont s'éclairer à la lecture des deux
observations
que nous publions ici et dont l'une concerne un
us bizarres, l'autre un délire communiqué par la mère à son fils.
Observation
I. Folie simultanée chez trois sccuns avec prédom
ner à manger à ses chevaux, répondant quand ou lui en faisait, l'
observation
« qu'ils avaient déjà mangé l'avant-veille et que
escence graisseuse). » Et M. Vigoureux, bien .qu'ignorant tout de l'
observation
clinique, conclut fort justement : « C'est une
: « C'est une forme non aiguë de méningo- encéphalite. » . Cette
observation
nous a paru intéressante à plusieurs points de
température ne coïncidait avec ces bouffées hallucinatoires. Dans l'
observation
journalière, nous rele- vons : par exemple le 2
t elles qui nous ont servi pour éta- blir la base sérieuse de cette
observation
médicale, on doit en conclure que sainte Thérès
ec la psychose consécutive et dans un rapport de cause à effet. Les
observations
publiées ne sont pas démonstra- tives ; de nouv
étiologique, souvent méconnu, mérite cependant une place à part. L'
observation
individuelle plus minutieuse des malades des as
rgical de l'idiotie et de l'epilepsie et relate un certain nombre d'
observations
qui prouvent que dans l'épilepsie dite essentie
ts par ce traitement dans certains cas de paralysie générale. Nos
observations
sont encore trop peu nombreuses, et surtout sui-
vec le contrôle du cytodiagnostic, mais il semble bien, d'après les
observations
précédentes, qu'il ne puisse donner de ren- sei
e justifie, dépend du hasard des circonstances. Je puis citer trois
observations
de malades atteints de cette forme de névropath
ions et leur passage au délire. M. Séglas expose le résultat de ses
observations
personnelles sur cette question qu'il a déjà ab
au délire proprement dit. 11 convient tout d'abord d'éliminer les
observations
d'idées obsé- dantes, ou mieux fixes, prépondér
rtes, et dans les troubles dont elles se sont accompagnées. - Ces
observations
mettent donc en lumière un fait nouveau : c'est
statistiques médico-légales qui se dégagent de l'étude comparée des
observations
d'auto-accusa- teurs. La partie étiologique e
comprend l'étude analytique et descriptive, fondée sur l'étude des
observations
, des grands types d'aulo-accusateurs, successiv
esque jamais êlre interné à l'asile : une courte période de mise en
observation
suffira le plus souvent pour juger cette crise
l'auto- accusation (Régis). 1 De l'étude critique et comparée des
observations
sur lesquelles repose ce rapport, ressortent qu
ion réapparaîtra chaque fois (délire à éclipse). L'intérêt de cette
observation
réside .dans ce fait, d'abord que l'auto-accusa
démontré que les faits racontés par l'inculpé étaient vrais. Cette
observation
prouve que, quelle que soit leur invraisemblance,
ir dans le service de notre maître, le professeur Raymond, quinze
observations
avec autopsies, se rapportant à la plupart desvar
s. L'étude détaillée de ces cas et leur comparaison avec les autres
observations
publiées en assez grand nombre ces der- nières
ques multinucléées, sorte de myéloplaxes). Cli- niquement, dans nos
observations
, ces sarcomes solitaires des centres nerveux av
ne association des deux tumeurs, au moins si l'on s'en rapporte aux
observations
peu nombreuses qui ont été publiées. .Ainsi,
e normale de la substance grise. - Ce cas, rapproché des quelques
observations
empruntées à la littérature (Westphal, Schlésin
de signaler toute l'utilité du cytodiagnostic, comme le démontre l'
observation
, avec autopsie, publiée par P. Lereboullet. B.
'curo fibro-sa7'comatose. 11 existe dans la littérature plu- sieurs
observations
avec autopsies, qui montrent des tumeurs 7nul-
celles de la queue de cheval, nerfs crâniens, moelle, écorce). Ces
observations
ont été interprétées de façons très différentes
ans la littérature, nous nous croyons autorisés à réunir toutes ces
observations
, les deux nôtres et celles déjà publiées, pour
nnent pas lieu à une symptomatologie bien apparente ; mais dans les
observations
ultérieures, il sera tout indiqué de rechercher
longtemps, indiscutable pour la neuro-libro-sarcomatose, certaines
observations
récentes avec autopsies et deux cas cliniques q
nctif; dans les deux cas, ce sont des néoplasmes mésodermiques. Les
observations
ultérieures démontreront jusqu'où va le bien fo
ieures démontreront jusqu'où va le bien fondé de cette hypothèse.
Observations
de deux frères atteints de paralysie générale app
e occasion, sont tombés dans l'aliénation mentale. Nous apportons l'
observation
de deux d'entre eux. - L'autopsie des deux fr
ères avec une simple atténuation chez Gustave D... L'intérêt de ces
observations
réside dans ce fait que deux frères portant la
t ,37 SOCIÉTÉS savantes. donc incomplète. M. Lannois rapporte une
observation
analogue à celle de M. Brissaud ; il s'agit d'u
J'ai répondu à ces objections; j'ajouterai que la très intéressante
observation
de MM. Raymond et Cestan, parue dans le dernier
la voie. rubro-spinale est con- nue. Je commencerai par dire que l'
observation
si démonstrative de MM. Raymond et Cestan prouv
cins légistes s'enten- dissent pour insister sur la nécessité d'une
observation
médicale sérieuse, de tous les prévenus qui com
réflexe qui caractérise le signe de Babin : ki. - L'intérêt de ces
observations
m'a paru résider : : 1° dans la cor- rélation e
vec sa systématisation pessimiste ne cédant qu'en dernier lieu. Une
observation
détaillée et très nette à l'ap- pui. Plusieurs
ès marquée dans la substance blanche cérébrale et médullaire. Cette
observation
présente plusieurs particularités intéressantes :
dégénérés. M. de PEHHY (Bordeaux). J'apporte au Congrès quelques
observations
qui viennent corroborer l'aspect spécial que l'on
ommes normaux et n'en a pas les caractères. M. Dupré communique une
observation
qui confirme la marche rapide attribuée général
r chez les déments. M. Piciiexot (de Montdevergues) présente quatre
observations
personnelles de rupture du coeur chez les démen
Sans pouvoir généraliser, en raison du nombre trop restreint de ses
observations
, il est porté à croire que la précocité dans l'ap
cas 6)6[)'t<mOcyOHMSHHf ? M. M. Hartenberg (de Paris). Les deux
observations
rapportées viennent à l'appui de la doctrine qu
ela- tivité des choses. » Pour établir ces rapports, les moyens d'
observation
employés par les diverses sciences sont différe
e Maréville Chargé de Cours il la Faculté de Médecine de Nancy. L'
observation
sur laquelle repose cette note fait ressortir d
es fondamentales dans les délires vésaniques avec obsessions, cette
observation
me parait tout à fait démons- trative : Commé
partiel des trois unités délirantes, tel qu'il a été institué. -
Observation
II. Folie communiquée par la mère à son fils. Psy
inent la psychose systématique progressive. Mais l'intérêt de cette
observation
réside moins dans sa symptomatologie que dans l
propre compte, sur un terrain tout préparé. III. Dans la première
observation
, le délire est survenu simultanément chez trois
ire; les deux autres jouent un rôle plus effacé. Dans la deuxième
observation
, le délire est communiqué par une mère à son fi
ques caractérisés ne se prêtent qu'à une analyse psychologique. Les
observations
emprun- tent à la nature de'la maladie un aspec
forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J. BROYER Voici une nouvelle
observation
relative au mensonge chez les enfants atteints
publiée dans les Archives de . Neurologie ('190, n° 76, p. 287).
Observation
II. Idiotie morale. ARI1 : RATfON intellectuelle.
avaux manuels ; trai- tement moral. - 422 RECUEIL DE FAITS. Des
observations
prises au jour le jour, nous relevons les détails
avec goût ; fait bien la gymnas- tique. Est susceptible, la moindre
observation
la fait rougir et la met de mauvaise humeur. Pu
e) ; par A.-M. Liewkowsky (Obozrénié psiâttat1'ii, V, 1900). Deux
observations
accompagnées de figures témoignent d'une paraly
n du sourire ou du rire se contractent malgré les malades. Les deux
observations
de l'auteur concernent un tic bilatéral de ce g
ainsi leurs fosses nasales des mucosités qui les,encom- brent. Deux
observations
. Dans la première, le tic est unilatéral ; il s
remarqué. Causes : hérédité nerveuse, coryza chronique. La seconde
observation
a trait à une jeune idiote de dix ans, issue d'
s auteurs ont cherché à élucider ces divers points dans une série d'
observations
détaillées et accompa- gnées de schémas très ju
chronique en quatre ou cinq ans. L'auteur rapporte une série de six
observations
cliniques dont plusieurs avec autopsie et exame
. la présence d'hérédité. Et cependant, malgré ces va- riantes, ces
observations
conservent « un air de famille qui, mieux « que
extra-articulaire, peuvent être considérés comme très rares. Dans l'
observation
que rapporte l'auteur, il parait bien qne l'atr
F. Farnarier. (Nous. lconogr. de la Salpêliière, n° 5, 1899.) Une
observation
personnelle suivie d'une revue des cas analogues
P. Janet (Presse médicale, 25 octobre 1899). M. Janet rapporte l'
observation
très intéressante d'une hysté- rique, âgée de q
cale, 4 octobre 1899). On n'a publié jusqu'ici qu'un petit nombre d'
observations
d'hé- michorée arythmique hystérique. Les auteu
si on examinait attentivement tous les cas de chorée, le nombre des
observations
d'hémichorée arylilmique hystérique augmenterai
ue neurologique, dé- cembre 1899.) Il s'agit, dans l'intéressante
observation
communiquée par l'au- teur à la Société de Neur
gésie oculaire se montre rarement seule, 2 fois sur 2 : j, dans les
observations
des auteurs. - S'il est vraisemblable que l'ana
pour une du côté droit. La statistique des auteurs, portant sur 388
observations
, montre que les hystéries droites sont plus nom
taxique ; ils sont la règle dans l'état ataxique. 7° Il résulte des
observations
des auteurs une loi générale qui ne subit que d
sie, d'affection cérébelleuse chez le malade qui fait le sujet de l'
observation
II. Pour bien comprendre la signification de ce
aire ; par le Du' BOUCIIAUD. (Revue neurologique, novembre 1899.)
Observation
de syringomyélie avec paralysie et atrophie des
mation graisseuse au sein des grandes cellules pyramidales. Cette
observation
met en relief deux faits intéressants : 1° Au p
rotubérance ; par C. Levaditi. (Revue neurologique, août 1999.) L'
observation
rapportée par M. Levaditi rentre dans cette caté-
tefois, jusqu'à ce que ces conclusions aient été confir- mées par l'
observation
ultérieure, elles ne doivent être considé- rées
men des incul- pés, le sursis à l'internement déclaré et la mise en
observation
manicomiale pour un semestre en cas douteux. L'
ans le second cas où les signes cliniques furent moins accusés. Les
observations
faites d'autre part par l'auteur dans le délire
s lus par nous avec le plus grand intérêt, parce qu'ils abondent en
observations
exactes et qu'ils témoignent d'un jugement sain
D' G. POIRSON Ancien interne de l'asile d'aliénés de Maréville. L'
observation
que nous publions nous a paru intéressante à pl
Maréville. Nous réservons l'étude de l'état mental pour la fin :
Observation
. Phlegmon du thorax, corps étrangers dans le phle
et des événements qui tra- versèrent son existence avant sa mise en
observation
, T... se décide enfin à parler et raconte les f
LIÉNÉ AUTOMUTILATEUR 489 § 2. Il a été dit au commencement de cette
observation
, que : r... s'était introduit sous la peau, au-
le relation lie l'idée délirante à la mutilation. Aussi, dans une
observation
de Krafft-Ebing, un malade qui a vu la sainte V
, XIX, 1900 1.) - Il s'agit de deux guillotinés qui constituent les
observations
111 et IV de la collection de M. Hoche. Les voi
observations 111 et IV de la collection de M. Hoche. Les voici :
Observation
III. Homme de vingt-cinq ans. Chute du couteau
grès Méd. - 492 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
Observation
IV. Homme de cinquante-trois ans. Chute du cout
o ; par A.-111. ANTONOWSKY (06ozrénié psychiatrie, V, 1900), Sept
observations
avec figures. Conclusions. 1° Il existe des ano
s interrompues, mais, parfois, ils se couchent et s'endorment. Cinq
observations
à l'appui. Le désordre mental en question est a
r B. Henry Sii.%w. (The Journal of Mental Science, juillet 1901.)
Observation
: Femme de cinquante an, de santé générale assez
r 1111CIIeL-CL.i;FE. (l3rit. met/. Journal, 9 novembre 1901.) Une
observation
avec nécropsie (2 figures). L\-1. Localisations
préoccupation d'hérédité. L'auteur. rapporte ici assez longuement l'
observation
d'un malade qui pré- sentait en apparence un ca
mentaux seront plutôt ceux qui relèvent de l'anémie cérébrale. Les
observations
cliniques paraissent con- lirmer ces vues a pri
cté la syphilis pendant qu'il était en état de mcrcurialisme. Cette
observation
suggère la pensée qu'une enquête analogue sur l
al ol mental Science, juillet 1901.) Travail renfermant plusieurs
observations
dont l'auteur tire les conclusions suivantes :
ce de la folie chez les médecins; ils rapportent deux intéressantes
observations
de psychoses secondaires à des -phénomènes auto
trancher, si l'on n'est pas sur ses gardes. » L'auteur rapporte l'
observation
d'un malade chez qui ont évolué parallèlement u
rite avec retentissement sur la moelle : l'auteur en rapporte trois
observations
probantes. La lésion du nerf est-elle primitive
étude aussi documentée qu'intéressante, accompagnée de nom- breuses
observations
personnelles. A cette espèce morbide distincte,
YLIT7 (Bulletin de la Soc. de méd. ment, de Belgique, mars 1902).
Observation
d'un malade de vingt-six ans qui, après trois col
enseignement attrayant et intuitif, etc. L'auteur fait suivre cette
observation
des réflexions suivantes : - Au point de vue so
par A. Gilbert (de Port- land) (Médical Record, 9 août 1902). VI
observations
d'épilepsie psychique ayant occasionné des per-
intellectuelles, altération souvent assez légère pour échapper à l'
observation
et se traduisant surtout par l'incohérence des
llAL'sEn et Lostat JACOB. (Reçue de médecine, nov. 1901.) Quatre
observations
dont trois se rapportent à des sujets non hysté
érébelleuses doi- vent être intéressées. M. Bienvenu rapporte une
observation
de chorée chronique. Méningite tuberculeuse du
x ans simulant la guérison. 111. Cruchet (de Bordeaux) rapporte l'
observation
d'un jeune garçon de dix ans qui, après avoir p
e Liltle ' et de pseudo-bulbaire. MM. HUET et SICARD rapportent l'
observation
d'un jeune enfant de six ans, atteint, au cours
ures de la substance grise de la moelle épinière. C'est la ptemière
observation
avec autopsie dans laquelle le début ait eu lie
ois d'appeler asynergie. 538 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 résulte de mes
observations
cliniques qu'il existe une fonction spéciale ap
maladie se caractérise par des symptômes précis. Utilisant ces 40
observations
personnelles, l'auteur fait une élude clinique
ble de l'activité volontaire. Sur les 40 déments précoces, dont les
observations
sont relatées, aucun n'a guéri, ni ne montre un
générale et ses lésions initiales, par Kei@aval et Raviat-1, 356.
Observation
de deux frères atteints de - géné- iale, appa
biologie pourra contri-buera combler la lacune que nous signalons.
Observation
. — Cancer de Vutérm. — Angine diphtéritique. — Sy
el ont pu, dans le cours de leur longue pratique, rassembler quelques
observations
de fièvre typhoïde contractée dans les salles des
enfants, même chez les nouveau-nés, ainsi que le démontrent les deux
observations
suivies de détails nécros-copiques insérées dans
, mArchiv.fùrphys. Heilg, Stuttgart, 15 juin 1855. — On y trouve huit
observations
de cette sorte de récidive. — On a fait remarquer
: Louis, ouvrage cité, t. II. p. 453. — Morand, de Tours, Mémoires et
observations
clini-ques, 113-117. Tours, 1845. — Grisolle, Tra
etc. V. Des affections laryngées dans la fièvre typhoïde 1. Une
observation
recueillie tout récemment par M. le docteur E. Ba
ryngées qui accompagnent ou suivent les fièvres typhiques. Dans cette
observation
{Union médicale, 14 juillet 1859), il s'agit d'un
s Huss, Statistique et traitement du typhus et de la fièvre typhoïde,
observations
recueillies à l'hôpital Sépharine de Stockholm, P
leix, en 1839, Stewart, en 1840, Ritchie, en 1847, s'appuyant sur des
observations
recueillies en Angleterre, sont venus ensuite con
teur Jenner, dans plusieurs travaux importants, qui ont pour base des
observations
recueillies dans le London fever hospital, a cher
ion de l'épidémie russe 1 ; mais, en raison de leur petit nombre, les
observations
sur lesquelles il s'appuyait ne pouvaient pas pré
ersbourg, pour la première fois, pendant l'été de 1864. Les premières
observations
qui ont été recueillies par M. Herrman,à l'hôpita
ourg, désignent la maladie? » Réponse. — L'épidémie ne présente à l'
observation
rien de nouveau, rien d'inconnu à la science; poi
— Obs. X à XIV. Symptomatologie et diagnostic. — Dans la scolie de l'
observation
XI, Forestus distingue nettement deux formes de p
lens fe-bris incomitata). Obs XVI-XVII. Thérapeutique obs. XVIII-XIX.
Observations
particulières. — Diemerbrœck, De la peste, libri
tialis et pestis anno-rum 1665 1666.— Chicoyneau, Verny et Soulier. -
Observations
et ré-flexions touchant la nature, les événements
a peste de Marseille, Lyon, 1721, in-12. — Deidier, (Consultations et
observations
médi-cales, Paris 1744.) T. III, p. 253 et suiv.
ontagion, Paris, 1836, in-8. — Brayer, Neuf minées à Constantinople ;
observations
sur la topographie de cette capitale... La peste,
, 1839. — Aubert-Roche, De la peste ou typhus d'Orient ; documents et
observations
recueillis pendant les années 1834 à 1838 en Egyp
s, sp. 7. Typhus icterodes, I, p. 314.) Amsterdam, 1768. — J. Hunter,
Observations
on the diseases of the army in Jamaïca (p. 2G et
in Philadelphia, 1793, Philadelphia, 1794. — J. Devèze, Recherches et
observations
sur les causes et les effets de la maladie épidém
brile che ha dominato nella citth di Livorno l'anno, 1804. — Pariset,
Observations
sur la fièvre jaune faites à Cadix en 1819, Paris
une de Gibraltar de 1828 (Dans les Mémoires de la Société médi-cale d'
observation
de Paris, t. II, 1844). Des caractères anatomique
à la fièvre jaune, et qui a été considérée par M. Louis, d'après des
observations
recueillies lors de l'épidémie de Gibraltar de 18
ce qu'on ne saurait décider actuellement, en raison du petit nombre d'
observations
micros-copiques qui ont été faites pour élucider
gnore pas sans doute cette con-firmation invariable, universelle, des
observations
de M.Louis; mais est-il au courant des recherches
de ces globules était répandue dans l'inter-valle des cellules. Les
observations
de M. Guyon n'en sont pas moins précieu-ses en ce
emmes âgées de 30, 59 et 47 ans. Voici l'analyse très sommaire de ces
observations
. 1. Mém. de la Société de biologie, 1863, p. 10
Algilité très prononcée. 8 novembre. Algid:té très prononcée. M'
Observation
prlseie n.atin. S. Observation prise le soir. T
empérature du rectum. T. A. - de l'aisselle. T. M. — de la main. M'
Observation
prise le matin S Observation jr'.se le matin. 5
'algidité a diminué. 7 novem'ro. La malade est hors de danger. M'
Observation
prise le matin. S Observation prise le soir. T.
S. — — 37/i T. R. M' — 37, i T. R. S. - — 37,4 A propos de ces
observations
, M. Charcot présente les re-marques suivantes : S
es vieillards, dans les conditions physiologiques. On voit, par les
observations
3, 4, 6, que des chiffres assez élevés, tels que
ient des plus graves, et se sont rapidement terminés par la mort. L'
observation
N° 2 doit être considérée à part. Un chiffre très
nière très remarquable, aux approches de la terminaison fatale. Les
observations
1, 8, 9 sont relatives à des malades dont la temp
ns la critique. Il suffira de remarquer, pensons-nous, qu'une série d'
observations
cliniques et d'expériences thérapeutiques réguliè
ons de la peau, dépendant d'une influence du système nerveux '. Les
observations
suivantes méritent à plusieurs égards, l'at-tenti
ionnent aussi parfaitement, ainsi que les organes di-gestifs. Cette
observation
me semble curieuse à plus d'un titre. En n'envisa
, l'autre par M. le docteur Parrot. J'ai moi-même fait recueillir une
observation
du même genre, dont voici le résumé : Obs. II.
arition des vésicules. Une éruption analogue à celle décrite dans l'
observation
précédente a été signalée dans des cas où l'affec
n cas ayant quelque analogie avec les précédents et avec la troisième
observation
de M. Charcot. Un cultivateur, en sautant un fo
des hôpitaux, le 22 mars 1865. — Voir, tome V, p. 308.) La présente
observation
est un nouvel exemple de cancer secondaire de la
sous l'influence de l'affeclion des nerfs ou des ganglions spinaux.
Observation
I. — Cancer du sein. — Douleurs névralgiques de ï
rpuscules ganglionnaires et des tubes nerveux. Les circonstances de l'
observation
ne per- mettent guère de douter que l'éruption
les apophyses transverses des verlèbres ramol-lies et affaissées. L'
observation
présentée par MM. Charcot et Cotard doit être rap
suivie, il existe, comme on voit, la plus frap-pante analogie entre l'
observation
qui fait l'objet principal de la présente note et
rnières circonstances ont été relevées par M. Bae-rensprung, dans son
observation
, comme particulièrement dignes de fixer l'attenti
e penchant qui porte certains es-prits à accueillir avec défaveur les
observations
qui se présen-tent avec un caractère insolite. En
vec albuminurie. — Altération graisseuse des capsules surrénales l.
Observation
. — Tubercules pulmonaires. — Albuminurie. — Co-lo
ans la couche muqueuse de l'épiderme. Nous ne terminerons pas cette
observation
sans faire deux remarques importantes. La colorat
nt se rencontrer dans certains cas, et à ce propos, on peut citer une
observation
de Fox, dans laquelle il existait une dégénéresce
ptes rendus de la Société de biologie, 1870, p. 26. VIII. Sur une
observation
de M. Gurlt (de Berlin) intitulée : « Ichthyose c
u'il existait dans le Magasin de mé-decine vétérinaire de Berlin, une
observation
de M. Gurlt, ayant trait à un fœtus de veau né à
ination adoptées par M. Gurlt, il n'en est pas moins constant que son
observation
s'accompagne, ainsi qu'on l'a vu, de délails im-p
épéter, sur une partie de la peau du fœtus présenté par M. Houel, les
observations
qui ont été faites par M. Gurlt sur celle de son
rois, en plusieurs points, par le vagin. Dans un mémoire intitulé :
Observations
sur les tumeurs de ï excavation pelvienne qui peu
uoique le mot hydatides n'ait pas été prononcé par l'au-teur de cette
observation
, il est impossible de les méconnaître dans sa des
nt de vue anatomique, et qui prouve d'ailleurs, avec plusieurs autres
observations
que je rapporterai plus loin, que les kystes hyda
pour 1831 renferment la note suivante : Obs. III. — M. Barre lit l'
observation
d'un kyste hydatique d'un volume énorme développé
phénomènes observés pendant la vie. Ici, le doute qui règne dans l'
observation
de Park, au sujet du véritable siège du kyste, da
veil-hier incline vers cette opinion, en faveur de laquelle il cite l'
observation
suivante 1 : Obs. V. — Une femme âgée de 30 ans
temps qu'il s'était allongé. Il est évident que si on compare celte
observation
aux pré-cédentes, la plupart des symptômes tant l
ulaire sous-périlonéal, le doute me paraît le partj le plus sage. L'
observation
de M. Cruveilhier tendant à démontrer que les kys
ASSIN. John Hunier paraît avoir attaché beaucoup d'importance à une
observation
de kystes hydatiques développés, chez l'homme, en
Le Journal de chirurgie de Chrestien Lover (1797, t. I) con-tient une
observation
analogue à la précédente, recueillie par le profe
ie qu'elle s'est développée, mais bien au-dessus de cet organe. Cette
observation
fait voir, en outre, comme celle de Hunter et la
éreuses de la poitrine, de l'abdomen 1. Dans une annotation à cette
observation
, Lodcr assure avoir rencontre un cas tout à fait
est le siège de prédilection des hydatides du petit bassin. Dans l'
observation
que je vais maintenant analyser et qui a été insé
déjà rencontrée une fois dans les pavillons de la Faculté. » Dans l'
observation
qui précède, le kyste hydatique s'est ou-vert de
te qu'il existe des acéphalocystes dans quel-que autre viscère. Cette
observation
est encore bien inté-ressante sous un autre rappo
eur ouverture artificielle, ou avant l'autopsie cadavé-rique. Cette
observation
a été recueillie à la Charité, sous les yeux de M
aide de la percussion et de l'auscultation combinées ; et, dans cette
observation
, le fré-missement hydatique déterminé par la perc
-sac recto-vaginal et y adhérant intimement. Si l'on s'en tient aux
observations
publiées dans le même recueil, ces tumeurs vienne
st la seule voie ou-verte au chirurgien. Disons toutefois que, dans l'
observation
de M. Lesauvage, la ponction, pratiquée d'abord a
ière de justification la phrase par laquelle Hunter termine la longue
observation
que nous avons transcrite : « J'ai rapporté, dit-
tion considérable du canal cholédoque par des débris d'hydatides 1.
Observation
. —Amaigrissement et affaiblissement progressifs.
tération. III. Note sur un cas de kystes hydatiques multiples L'
observation
que nous communiquons à la Société de bio-logie r
cteur Leudet, a inséré dans nos comptes rendus pour 1856. Voici notre
observation
: Observation. — Kystes hydatiques multiples du
inséré dans nos comptes rendus pour 1856. Voici notre observation :
Observation
. — Kystes hydatiques multiples du foie. — Cristau
arques que nous avons voulu soumettre à la Société, à propos de cette
observation
: 1° On sait que l'hématoïdine a été rencontrée
t facile de voir, d'après la description que l'on a donnée dans cette
observation
de l'échinocoque solitaire et gros comme une tête
du pédicule dans les kystes hydatiques que nous avons décrits. Or les
observations
de MM. Goubeaux et Robin ont fait voir que le péd
ébraux qu'elles ont été signalées, et les kystes pédicules dont notre
observation
offre un exemple exceptionnel appartenaient au pé
mment un pareil accident. IV. Hydatides du cerveau et du cœur1.
Observation
. — Insuffisance des commémoratifs, en raison de l
es et des maladies vermineuses, p. 651). Ce qui frappe le plus dans l'
observation
que nous avons rapportée, c'est l'époque à laquel
plus rares encore que ceux du cerveau. M. Griesinger, à propos d'une
observation
qui lui est propre, dit en avoir re-levé quinze c
aux avait déterminé une mort rapide. Il résulte de l'ensem-ble de ces
observations
et de la nôtre, qu'un kyste hydatique, même volum
c suivis de rétrécisse-ment pylorique et de dilatation stomacale l.
Observation
. — Variole à quatorze ans, engorgements ganglion-
ent un certain intérêt. C'est là ce qui nous a engagé à publier cette
observation
, dont nous allons faire ressortir quelques détail
ont nous allons faire ressortir quelques détails. Le sujet de cette
observation
était un jeune homme qui a ressenti, à l'âge de 2
loration vert-pomme, et contenant de nombreux cristaux de Taurine'.
Observation
. — Cancer de l'utérus. — Vomissements abondants d
étrécissement organique de l'anneau py -lorique. — Atrophie du foie
Observation
. — Vomissements alimentaires, puis vomissements d
inférieurs et de l'abdomen. Remarques. —Nous ferons, au sujet de l'
observation
abré-gée que nous venons de relater, les remarque
tumeur cancéreuse, la tunique celluleuse était hyper-trophiée. Dans l'
observation
qui nous est propre, toutes les tu-niques constit
ins considérable de cette tunique, au voisinage du pylore. Dans notre
observation
, l'a-trophie commence immédiatement au niveau du
tre de l'orifice pylorique était resté normal. Il en est de même de l'
observation
rapportée par M. Duplay, dans laquelle l'ampliati
(Outlines of human Patho-logy, London, 1836, p. 351) en rapporte une
observation
qui pa-raît concluante. Nous n'avons observé chez
ultiples des intestins. IV. Rupture de la rate chez un fœtus *.
Observation
. — Une fille de 23 ans, d'une bonne constitution,
la n'existait pas, ainsi qu'on l'a fait remarquer expressément dans l'
observation
. Ajoutons que la face interne du péritoine ne pré
monté à une époque éloignée. Il y a donc entre les circonstances de l'
observation
et les faits consignés dans la re-lation microsco
euse et erronée, cette idée de force médica-trice? Non, sans doute. L'
observation
journalière démontre que l'économie animale se su
organisme qui fait les frais de la guérison? C'est à ce double fait d'
observation
que répond l'idée de force médi-catrice, sorte d'
e de l'organisme, les naturistes ont donc outrepassé les limites de l'
observation
, et cette vue spéculative qui perce dans le langa
art les travaux de ces médecins voués, pour ainsi dire, au culte de l'
observation
pure, et que Bordeu 2 compare 1. Hoffmann avait
ltats impor-tants. L'expectation trouve sa raison d'être dans cette
observation
qui démontre que le plus grand nombre des maladie
quivoque dans l'usage de ces mots, et de faire voir que la médecine d'
observation
n'est nullement susceptible de deux manières oppo
ne question encore à l'étude, et qui ne peut être résolue que par des
observations
plus nom-breuses que ne le sont celles que nous p
rd'hui \ La seule conclusion légitime, il nous semble, à laquelle ces
observations
peuvent conduire pour le moment, c'est que, parmi
grave, Scudamore, Barthez, R. Todd, Gairdner et quel-ques autres, des
observations
détaillées, bien propres à met-tre dans tout son
e puiser aux sources les plus respectables un nombre assez imposant d'
observations
qui démontrent qu'en effet les maladies et les in
ladies préexistantes l'influence la plus heureuse. La portée de cette
observation
a, sans aucun doute, été fort exagérée par quelqu
que peut soulever l'étude de ces phénomènes : c'est qu'ils sont d'une
observation
peu commune, et presque exclusivement propres à u
oser? Chacun de ces nouveaux moyens s'appuie sur un nombre imposant d'
observations
suivies de guérison. L'expé- rimentation par l'
ante, l'autre toujours expectante. L'art est un, et il a pour bases l'
observation
, l'ex-périence et le raisonnement l. L'expectat
hôpitaux, un rap-port sur un mémoire de M. Laboulbène, contenant cinq
observations
de pneumonie aiguë traitées avec succès par le ré
docteur J.-T. Metcalfe (New-York Med. Times, mai 1855) rapporte onze
observations
de pneu-monies traitées par l'expectation, et con
fièvre synoque péripneumo-nique, juillet et août 1855), rapporte dix
observations
, dont sept lui sont personnelles et trois emprunt
Il m'a été donné de recueillir deux faits qui viennent à l'ap-pui des
observations
de mon savant maître ; je crois devoir en reprodu
utes les apparences de l'état nor-mal. J'avais alors connaissance des
observations
de M. Rayer que j'ai relatées plus haut, et je cr
coloration noirâ-tre, analogue à celle dont il a été question dans l'
observation
pré-cédente. En 1855, les pilules d'arséniate de
propos dans une discussion en règle. Nous voyons, en effet, dans nos
observations
, cette sorte de paraly-sie des organes génitaux s
venue des plus manifestes. En raison de leur très petit nombre, les
observations
que nous avons rapportées ne nous permettent guèr
eseases of the skin, p. 10. 3. Kellie, Caseofchronic Rheumalism and
Observations
on the Exhibition of Arsenic, etc., in Edirnb. mé
er, pour ainsi dire, les accidents placés plus loin avant la série. L'
observation
dé-montre, en effet, que ces derniers,— dans des
une induction moins naturelle! Parmi les cinq cas dont il rapporte l'
observation
, il en est un (Obs. IV) dont nous donnons l'analy
médicament, des guérisons nombreuses ; mais, en nous fondant sur les
observations
de M. Wunderlich et sur les nôtres, nous ne douto
ntribueront à démontrer l'opportunité de cette expérimentation. Les
observations
de M. Wunderlich ont trait à des cas rela-tivemen
e progressive, même dans ceux qui sont ré-putés incurables. C'est aux
observations
cliniques à prononcer sur ce point. Dans tous l
Wunderlich n'a cessé de prescrire le nitrate d'argent au malade de l'
observation
IV, que lorsqu'il en avait donné en tout 48 grain
ue le blanc du noir. Chez la malade dont nous venons de rapporter l'
observation
, le début de la maladie datait de plus de quinze
intenant avec le secours de béquilles ou même de cannes. Dans cette
observation
, nous voyons l'histoire d'un cas of-frant une gra
ate d'ar-gent, et il y avait, le 20 mai, comme on peut le voir dans l'
observation
, une modification bien grande, qui n'a fait que d
uin). La malade a pris en tout 1 gr. 60 de nitrate d'argent. Dans l'
observation
suivante, les phénomènes morbides étaient bornés
son expression) presque dès le début du traitement. Notre cinquième
observation
est relative aune malade chez laquelle l'ataxie l
la Salpêtrière, comme incurable, en 1858. Comme chez la malade de l'
observation
précédente, l'ataxie locomotrice progressive étai
utres, une amélioration très remarquable. Après cet exposé des cinq
observations
, sur lesquelles nous appelons surtout l'attention
nce du traitement ; la constipation a cédé, l'appétit 1. Une de nos
observations
présente un remarquable exemple de l'in-fluence q
, s'est très notablement modifié. Ainsi, en résumé, dans toutes nos
observations
, une amélio-ration incontestable et très prononcé
ours en moyenne, après le début du traitement. En réunissant nos cinq
observations
à celles qui ont été publiées par M. Wunderlich,
bre des essais tentés et cou-ronnés de succès, surtout en l'absence d'
observations
contra-dictoires, est incontestablement une garan
ieux, digne à tous égards, de l'attention du médecin et du contrôle d'
observations
mul-tipliées. A plus forte raison en est-il ainsi
ors de l'ataxie loco-motrice. Nous croyons devoir donner in extenso l'
observation
d'un fait de ce genre en raison de l'intérêt part
centigrammes). Mais des résultats mieux avérés ont été obtenus par l'
observation
des malades qui ont subi un traitement de ce genr
s; et, pour le dire immédiatement, le fait capital qui ressort de nos
observations
sur ce point, c'est la tolérance de l'économie po
e marque indélébile. Nous n'avons aucun fait personnel àjoindre aux
observations
consignées dans les auteurs, relativement à l'act
lement cet état de choses. B. Chorée. — En 1793, Hall, publiait une
observation
de chorée, chez une femme de 36 ans, qui fut rapi
on spontanée. Cependant Nieberg a publié, il y a quelques années, une
observation
dans laquelle une chorée qui avait résisté pendan
ce sujet. C. Paralysie agitante. — Bans cette maladie, d'après nos
observations
personnelles, l'emploi du nitrate d'argent aug-me
auchier, Sementini, Olzewski, Kapp, Harder, Bastide, ont rapporté des
observations
d'angine de de poitrine, dans lesquelles, on sera
fut amené à prescrire le nitrate d'argent dans cette affection, par l'
observation
des.phénomènes singuliers que présentait une de c
ans l'ataxie locomotrice progres-sive ; et, en 1861, il publiait cinq
observations
, dans lesquelles cette affection avait été traité
C'est là un résultat très exceptionnel; car si nous joi-gnons à cette
observation
un autre fait de Wunderlich, nous aurons réuni le
i pa-raissent, au contraire, aggraver tous les symptômes, d'après nos
observations
personnelles. Il en est de même lorsque la myélit
. Charcot) a publié en commun avec M. le docteur Vulpian, on trouve l'
observation
d'une malade atteinte de paraplégie, avec flaccid
naissons pas la lésion qui existait chez cette malade. Mais dans deux
observations
publiées, l'une par M. Bouchut, l'autre par M. Be
ntanée par l'azotate d'argent. Il est probable, d'après l'analyse des
observations
que cet auteur a données, qu'il s'agit ici de dys
les de la Société de médecine de Montpellier, 1806, t. VII.-— Powell.
Observations
on the Internat Use of Nitrate ofSilver, in Med.
, d'être soumis au contrôle d'expérimentations nouvelles. Plusieurs
observations
cliniques me portent à penser que cette médicat
ement de V —)', 356, 427; — observa-tions de Wunderlich, 358, 359 ; —
observations
personnelles, 365, 372, 379, 384, 387; — améliora
ster, 175 ; — et névralgies, 176. Hydatides du cerveau et du cœur ;
observations
, 263, 268, 269; — analyse des hydatides, 266 ; —
42; — avec les tumeurs sanguines, 243;— traitement, 244, — du foie,
observation
, 247; — ou-verture dans le péritoine et les voies
n du canal cholédoque par des débris d'hydatides, 247. — multiples:
observation
, 252; — autopsie, 251; — présence d'hé-matoïdine
e de la mère, 2. Vomissement vert pomme avec cris-taux de taurine :
observation
, 283 ; — examen du liquide sto-macal, 284. z
, 283 ; — examen du liquide sto-macal, 284. z Zona du cou, 181; —
observation
, 182; — examen du système ner-veux, 185, 186. f
mble, je voudrais, en manière d'introduction, vous présenter quelques
observations
relatives à des faits généraux, dont nous trouver
fa-culté. Je serai heureux, je vous l'avoue, de pouvoir uti-liser les
observations
délicates qui abondent dans ce tra-vail et de met
s par l'anatomie normale, la physiologie expérimentale et enfin par l'
observation
clinique appuyée sur l'examen métho-dique et minu
lobe pariétal et des parties postérieures du lobe frontal ? Combien d'
observations
, propres à éclairer ces intéressantes questions d
ché, d'une part, de celui de M. Sander, et, d'autre part, aussi d'une
observation
de l'or-dre expérimental, enregistrée tout récemm
neuvième ou le onzième jour, ces points deviennent excitables. Ces
observations
, encore peu nombreuses, mais dont il est juste de
homme. Ces conditions fondamentales sont les suivantes : Io une bonne
observation
clinique recueil-lie, autant que possible, à la l
bien l'avouer, pour le point de vue spécial que nous envisageons, les
observations
anatomiques les plus exactes et les plus minutieu
l importe ici, comme ailleurs, d'apprendre à faire un choix parmi les
observations
, et, sous ce rapport, il se présentera plus d'une
réalité, cela est incontestable. Toutefois, si j'en juge d'après les
observations
très nombreuses que j'ai été à même de recueillir
'être toujours, tant s'en faut, telles que M. Heubner les a vues. Les
observations
de M. Duret, à cet égard, ont été multipliées et
t Y artère pariétale postérieure qui serait (1) Nous avons publié l'
observation
complète de celto malade dans les n09 20 et 21 du
nés —cette intégrité est mentionnée d'une façon très explicite dans l'
observation
— il existait une hémiplégie complète, per-manent
contraste singulièrement avec ce qui a été consigné dans deux autres
observations
re-latives à des lésions étendues occupant d'autr
ions, se répandent dans la cou-ronne rayonnante. Se fondant sur des
observations
anatomiquos, à la vérité fort délicates, MM. Meyn
erminent, elles aussi, l'hémianesthésie croisée. Malheureu-sement les
observations
qu'on pourrait invoquer à cet égard ne sont pas s
manations directes, ne sauraient êtres considérés com- (1) Dans les
observations
de ramollissement superficiel du lobe occipital q
les hystériques. C'est sur ce point que portent particulièrement les
observations
faites par M. Lan do! dans mon service. Je vous
e bleu persisteront jusqu'à la dernière limite : ce sont, en effet, l'
observation
le démontre, les deux couleurs dont la sensation,
es op-ijqiies. Je ne crois pas qu'il existe quant à présent une seule
observation
montrant clairement, en dehors de ces circons-tan
ce propos : Je ne crois pas qu'il existe, quant à présent, une seule
observation
montrant inévitablement l'hémiopie latérale déve-
er sous une forme très simple les faits assez complexes révélés par l'
observation
clinique. ONZIÈME LEÇON Origine des parties c
s Archiv. t. 65, 1 heft, p. 116). Le malade qui fait l'objet de cette
observation
avait présenté, en outre d'une hémiopie latérale
'insula, les deux tiers antérieurs environ du noyau lenticulaire. L'
observation
— et il s'agit ici d'une observation bien des foi
viron du noyau lenticulaire. L'observation — et il s'agit ici d'une
observation
bien des fois répétée — démontre, ainsi que je l'
rquer, toutefois, qu'elle s'adapte assez bien aux faits relevés par l'
observation
clinique chez l'homme; j'ajouterai qu'elle n'est
ation, d'ailleurs, donne des résultats conformes à ceux fournis par l'
observation
clinique, en mon-trant que les excitations partie
onstances exceptionnelles. Il est mis hors de doute, en effet par des
observations
aujourd'hui très nom-breuses, que les foyers qui
utive, et la slcérose la-térale primitive, amyotrophique. Il s'agit d'
observations
faites sur des coupes transversales durcies, alor
nt, mais dont la réalité néan-moins est établie sur un grand nombre d'
observations
fi). Ce n'est pas, dans mon opinion, la rétract
tudier cette question plaident en faveur de la seconde hypothèse. Ces
observations
, recueillies dans mon service à l'hospice de la S
ons les plus diverses de la surface des hé-misphères. Dans toutes les
observations
, il est expressément mentionné que le ramollissem
ses centrales étaient indemnes. lenticulaire, capsule interne. Mes
observations
peuvent être ramenées à deux groupes. Le premie
on consécutive faisait défaut. Dans tous, les (1) La plupart de ces
observations
sont accompagnées de dessins faits d'après nature
n'est pas complètement achevé. — Prédomi-nance des actes réflexes. —
Observations
de Soltmann et Tarchanoff sur es cerveaux des ani
ces régions excitables ou centres moteurs existent déjà, d'après les
observations
de ïarchanoff, chez les animaux qui naissent les
s mettrons à profit une étude de M. Parrot, fondée sur une centaine d'
observations
et dont les résultats doivent être présentés dema
sujet à de très nom- breuses variétés, à en juger du moins par les
observations
de M. Flechsig qui portent sur une soixantaine de
rait être considérablement réduit par la critique. Néanmoins quelques
observations
bien recueillies ne laissent prise à aucun doute
e la capsule interne. Du faisceau pyramidal dans le centre ovale. —
Observations
chromologi-ques de Parrot. — Formation de l'anse
que ne le font supposer les recher-ches de Flechsig. Un bon nombre d'
observations
anatomiques, recueillies dans ces derniers temps
ent pas de conserver le moindre doute à cet .égard. Il résulte de ces
observations
que le aisceau pyramidal occupe au moins les deux
Flechsig' n'a pas manqué de le relever. 11 a même été conduit par ses
observations
, à émettre l'hypothèse que c'est dans la substanc
condition (autant quej'en puis juger, du moins d'après les nombreuses
observations
que j'ai faites à ce sujet), ne devient le siège
celle dans laquelle, d'après les obser-vations de M. Flechsig et mes
observations
récentes, une lésion destructive, même peu étendu
omo-cliniques fondées aujourd'hui sur un assez grand nombre de bonnes
observations
, la région en question pourrait être consi-dérée
cet autre fait que dans le pied du pédoncule, — du moins d'après mes
observations
d'ailleurs assez nombreuses, — jamais le segment
e grise des circonvolutions qui avoisinent le sulcus crucialis. Les
observations
de M. Betz ont été tout récemment con-firmées, no
les dans lesquelles l'expérimentation pour ce qui a trait au singe, l'
observation
anatomo-clinique pour ce qui a trait à l'homme, a
idaux. Cette combinaison s'est trouvée réalisée dans une intéressante
observation
publiée par M. Hertz (1). Un foyer de ramolliss
rise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques. —
Observations
de MM. Gharcot, Vulpian, Hallopeau, Leydcn, Pitre
on du faisceau latéral à la corne antérieure correspon-dante. Cette
observation
vient donc à l'appui de l'idée que la pro-pagatio
t été observés dans le service de M. Charcot. L'étude complète de ces
observations
a été publiée dans la Revue mensuelle de médecine
rdons latéraux. ¦— Ce fait constitue une ex-ception des plus rares. —
Observations
de Miïller. — Déductions anatomiques qu'il est pe
Miïller. — Déductions anatomiques qu'il est permis de tirer de cette
observation
. -- Double entrecroisement de certaines fibres du
ns de cause périphérique. — Il n'en existe encore que trois ou quatre
observations
. —Théorie probable de ces dégénérations. Messie
isceaux de Burdach : celaaété démon-tré par M. Pierret à propos d'une
observation
recueillie dans mon service. Le même fait a été r
t indemnes : le même fait a été constaté depuis dans plusieurs autres
observations
. g) Maintenant, Messieurs, nous sommes en mesur
que. Ce groupe est, à l'heure qu'il est, composé de trois ou quatre
observations
seulement ; mais il est probable, qu'à un moment
ertaine importance. Je me bornerai donc à citer, à titre d'exemple, l'
observation
de M. Cornil, la première en date, et une observa
re d'exemple, l'observation de M. Cornil, la première en date, et une
observation
de M. Th. Simon (1). Dans tous les cas observés
ux. Il n'est pas douteux, Messieurs, que la lé-sion spinale, dans les
observations
auxquelles je fais allusion, relève non pas de la
is il faut considérer, Messieurs, qu'en raison des circonstances, les
observations
sont beau-coup moins nombreuses et moins multipli
es régions motrices. A cet égard il me suffira de vous citer quelques
observations
expérimen-tales: 1° une observation de Gudden dan
e suffira de vous citer quelques observations expérimen-tales: 1° une
observation
de Gudden dans laquelle une lésion de la capsule
compagnée de dégénération dans la pyramide et dans la moelle ; 2° une
observation
de M. Vulpian qui signale, cinq mois après l'abla
mide corres-pondande avec une dégénération secondaire ; 3° enfin, les
observations
de MM. Franck et Pitres (1), qui font mention de
des obser-vations de ce genre dans la thèse récente de M. Issartier,
observations
relevées par MM. Déjerine, Carville et Duret. M
pas la valeur absolue de mon explication, qui repose cepen-dant sur l'
observation
d'un fait réel. Peut être, faute d'un exa-men suf
ossible, en effet, qu'il en soit ainsi chez le chien, où, d'après les
observations
de M. Schiefferdecker, les faisceaux de ïiirck ap
artient à la clinique française. Dès 1863, ainsi qu'en témoignent des
observations
qui datent de cette époque, il était journellemen
— Strychnine, faradisation, traumatisme. — Con-tracture traumatiquc (
observation
). — Analogie des contractures hémiplégi-ques par
tainement d'ordre réflexe ; c'est un réflexe spinal, et déjà quelques
observations
cliniques permettraient de le prévoir. Ainsi, M.
un cas de paraplégie par compression spinale — et ceci est encore une
observation
de M. Erb — le signe du genou avait fait défaut t
taines régions médullaires. Il faut ajouter encore que, d'après les
observations
de M. Nothnagel, confirmées par celles de M. Erb
des principales origines du nerf crural. J'ajouterai que, d'après les
observations
de M. Berger, l'emploi de la strychnine qui met e
bre supérieur. Seulement, autant que j'en puis juger par les quelques
observations
que j'ai faites, ils sont très peu accen-tués à l
e ne puis qu'indiquer ces faits en passant, car ils ne sont pas d'une
observation
très vulgaire, ils n'offrent d'in-térêt qu'au poi
n moyen curatif. Parmi les remarques que fait l'auteur à la suite des
observations
qu'il relate, je relèverai la suivante : « Fait
née de la contracture permanente des hémiplégiques, il (1) Voy. les
observations
publiées par M. Bourneviilc (Progrès médical, n°
dans la substance grise par deux sys-tèmes diastaltiques distincts. L'
observation
clinique démon-tre, en effet, que si ces deux mod
la moelle épinière par autant de systèmes diastaltiques distincts. L'
observation
démontre, en effet, que si les divers modes d'act
appés d'une façon à peu près égale. Toutefois, il résulte de quelques
observations
faites par M.Rosenbaeh (1), que dans les premie
lexes musculaires et tendineux distinguent, cliniquement, d'après mes
observations
, cette forme d'atrophie musculaire spinale de cel
régénération chez les chiens, Schief-ferdecker chercha à vérifier ces
observations
sur les chiens opérés par Goltz. Ces animaux étai
e, pathogénie, autonomie nosographique du tabès dorsal. --Opinions et
observations
contradictoires. Messieurs, Je me propose de
j'ai tenu à rester sur la réserve ; j'ai fait remarqur que toutes les
observations
de sclérose symétrique sans participation des cor
aviver. Il faut attendre pour se prononcer à cet égard, le contrôle d'
observations
nouvelles. » A l'heure qu'il est, Messieurs, ai
e qu'il est, Messieurs, ainsi que je le montrerai tout à l'heure, l'
observation
anatomo-pathologique n'a encore four-ni aucune pr
ffection spéciale. A l'appui de cette théorie, on a publié quelques
observations
où l'on a cru reconnaître les caractères assignés
rencontré les lésions spinales les plus va-riables. J'ai examiné ces
observations
avec grand soin, etje ne crois pas qu'aucune d'el
i, et qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques. Mais, en relisant l'
observation
, nous nous aperçûmes que la malade avait accusé d
insi les choses restent ce qu'elles étaient avant la publica-tion des
observations
adverses auxquelles je viens de faire allusion. E
ses auxquelles je viens de faire allusion. Et, en résumé, si, faute d'
observations
anatomiques suffisantes, l'existence nosographiqu
re, surplus d'un point, un chapitre d'attente, car, je le répète, les
observations
anatomo-pathologiques relatives à cette forme n'o
trophique. — Autonomie et caractère spasmodique de cette affection.
Observations
. Dès le début de l'étude que M. Gharcot a consa
ts spasmodiques possibles sont relatés avec le plus grand soin, sur l'
observation
recueillie alors par M. Huchard: secousses contin
nt elle avait été antérieurement affectée à un si haut degré. Cette
observation
, aussi complète que possible, réalise dans tousse
ro-phique des membres. Mais, à part cette légère différence, les deux
observations
offrent une similitude remarquable, et, pour ce q
lution de la question en litige. * Or, en établissant le relevé des
observations
publiées jus-qu'à ce jour, voici les résultats au
à ce jour, voici les résultats auxquels on arrive : sans comp-ter les
observations
de M. Leyden lui-même, dont il sera question plus
la contracture ne figure pas au nombre des symptômes consignés dans l'
observation
; mais l'exagération des réflexes tendineux y est
de la même espèce que la contracture elle-même. Quant aux six autres
observations
accompagnées d'autopsie, elles sont également aff
tracture (Seguin, Worms, Hum Kussmaul, Rigal, Pick et Kahler). Dans l'
observation
de M. Worms, en particulier, on voit spécifier la
Ta plei-nement justifié. Nous rapporterons ici le résumé de ces deux
observations
, car chacune d'elles est la reproduction fidèle d
ose latérale amyotrophique, observa-tions I, II, III, IV. (2) Cette
observation
sera publiée ultérieurement. Observation I. (Ka
, II, III, IV. (2) Cette observation sera publiée ultérieurement.
Observation
I. (Kahler et Pick) (1). Catherine Mally, âgée
14 février. Ralentissement de la respiration. — 15 février. Mort.
Observation
II (Rigal) (1). X..., âgé de trente-cinq ans, j
eurs; mais les membres inférieurs sont dans un état spas- (i) Cette
observation
sera commentée dans un mémoire que MM. Combattit
treize mois après les premiers symp-tômes de parésie. Dans les deux
observations
qui précèdent, ainsi que dans toutes celles qui s
il est assurément permis d'invoquer, à l'appui de la même thèse, les
observations
sans autopsie, où le tableau clinique est telleme
ce qui concerne les accidents spasmodiques de la première période. L'
observation
III est le résumé d'un cas récemment publié par M
ection était as-sez avancée déjà, pour que le doute fut impossible.
Observation
III (Nixon). Il s'agit d'un homme de 35 ans, ch
il a la démarche spas-modique et éprouve de la trépidation spinale.
Observation
IV (Charcot). Mme Mont..., âgée de cinquante-qu
part la durée de l'évolu-tion clinique, de tous points semblables à l'
observation
de la malade présentée par M. Charcot. On peut mê
et la généralisation des symptômes spas-modiques qui s'imposaient à l'
observation
la plus superficielle. Us n'étaient, d'ailleurs,
sculaire n'avait pas marché vite. Quoi qu'il en soit, les malades des
observations
III et IV sont à coup sûr affectés de sclérose la
spasmodiques (contractures, etc.), il ne subsiste sur un total de 15
observations
classiques, qu'un seul cas où il n'ait pas été fa
ut au plus de six : et cela est déjà une in-fériorité par rapport aux
observations
de cas positifs qui sont au nombre de quinze ;
racture. Quant aux réflexes, il n'en est pas plus question dans cette
observation
que dans la précédente. 4° Il ne reste donc, en
es réflexes tendineux, M. Leyden ne croit pas que, dans aucune de ses
observations
, l'absence des réflexes n'ait pas été signalée. A
bsence des réflexes n'ait pas été signalée. A cet égard, cependant, l'
observation
II de son mémoire fait exception, car il est dit
eichlhes Zittern. » Loc, cid (2) Loc. cit. pouvait tirer déjà des
observations
précédentes s'impose dès lors avec plus de vigueu
tre recherchés minutieusement sous toutes leurs formes ; si, dans les
observations
de Pick etdeKahler, invoquées par M. Leyden, la c
ple. C'est là une assertion que M. Charcot relève et réfute par les
observations
de M. Leyden lui-même. En effet, à ne con-sidérer
és d'une paralysie toute simple. Tel est le cas du malade cité dans l'
observation
I du profes-seur de Berlin (1). « Aux membres inf
st extraordinairement diminuée. » Il en est absolument de même dans l'
observation
II du même travail : « Les extrémités inférieures
n symptôme isolé de la maladie qui commence, et, sous ce rapport, les
observations
II, III et IV sont très concluantes. III. — Qua
entie par des faits récents qu'il suffit d'énumérer. Sans compter les
observations
, déjà publiées, de MM. Charcot, (1) Loc. cit.,
sclérose latérale, vient d'être rempli par MM. Pick et Kahler, dans l'
observation
dont la par-tie clinique a été résumée plus haut:
répétitions, nous les résumerions ici, comme nous avons fait pour les
observations
de Nixon, Rigal, Pick et Kahler. Voy. entres autr
s observations de Nixon, Rigal, Pick et Kahler. Voy. entres autres, l'
observation
très complète d'Adamkiewcz, analysée dans le Prog
éritable amblyopie croisée. A l'appui de cette proposition, voici une
observation
clinique assez démonstrative pour se passer de co
vation clinique assez démonstrative pour se passer de commentaires.
Observation
. Edouard M..., mécanicien, âgé cl e 40 ans, entre
in, il n'existe plus trace du rétrécissement du champ visuel. Celte
observation
tend à démontrer entre autres que toutes les hémi
n'est pas complètement achevé. — Prédomi-nance des actes réflexes. —
Observations
de Soltmann et Tarchanoff sur les cerveaux des an
e la capsule interne. Du faisceau pyramidal dans le centre ovale. —
Observations
chromologi-ques de Parrot. —Formation de l'anse r
rise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques. —
Observations
de MM. Gharcot, Vulpian, Hallopeau, Leyden, Pitre
ordons latéraux.— Ce l'ail constitue une ex-ception des plus rares. —
Observations
de Millier. — Déductions anatomiques qu'il est pe
Millier. — Déductions anatomiques qu'il est permis de tirer de celte
observation
. — Double entrecroisement de certaines fibres du
ns de cause périphérique. — Il n'en existe encore que trois ou quatre
observations
. —Théorie probable de ces dégénérations........ 2
Strychnine, faradisation. traumatisme. — Con- tracture traumatique (
observation
). — Analogie des contractures hémiplégi-ques par
e, pathogenic, autonomie nosographique du tabès dorsal.—¦ Opinions et
observations
contradictoires.. ¡.. i....................... 36
e à éléments combinés, 385 ; -- Anatomie de cette affec-tion, 401 ; —
Observations
et dis-cussion de ces observations, 401, 415. S
tomie de cette affec-tion, 401 ; — Observations et dis-cussion de ces
observations
, 401, 415. Scotome scintillant, 149. Semi-déc
e sorte qu'il est très difficile de les suivre et de compléter leur
observation
. Ces faits nous ont paru devoir rentrer dans le
occupations hypocondriaques loca- lisées à la langue a communiqué l'
observation
d'une dame, évidemmentdélirante,'chez laquelle
malades exclu- sivement des nerveux. En lisant attentivement les
observations
publiées par M. Magitot, il est difficile d'acc
e question à la Société de stomatologie et apporté deux nouvelles
observations
de glossodynie. Si intéressants que soient ces
e peu connue de la langue et de la cavité buccale 1. Sur les quatre
observations
de l'auteur, trois concernent des femmes. Il dé
mental de cette malade n'en reste pas moins sombre. ' La seconde
observation
d'obsession dentaire m'a été communiquée par M.
me donner quelques renseignements qui m'ont servi à compléter cette
observation
. 16 - PATHOLOGIE NERVEUSE. Le malade dont il
e Dr Keller, son état serait des plus satisfaisants. Ma troisième
observation
a trait à une malade qui me fut adressée par M.
l'histoire est des plus instructives. Mme de X..., sujet de cette
observation
, a des névropathes, peut- être même des aliénés
tre eux, contre les interventions impru- dentes ou dangereuses. Nos
observations
montrent combien il est préjudiciable à ces mal
t les cliniciens dont nous avons rappelé les expé- riences et les
observations
, exposé les méthodes et soumis les doctrines à
afflux plus considérable du sang dans cet organe ? En tout cas, les
observations
et les expériences de Masso démontraient une fo
qu'ils se transforment en mouvement, chaleur, électricité, etc. L'
observation
, continuait Gautier, a justement établi le cont
t « l'astasie-abasie » dont il m'a été donné de recueillir quelques
observations
. Ces faits sont déjà intéressants par eux-mêmes
enoch, dans son travail «.Hystérie des enfants 7 », Romei, dans une
observation
nommée * Paralysie infantile du seul acte de la
i, n° 76, p. 605.) 60 CLINIQUE NERVEUSE Mais jusque-là toutes ces
observations
étaient pour ainsi éparses dans la littérature,
ome fut nettement différentié et complètement étudié. Il réunit les
observations
de ce genre auxquelles il joint celles qui lui
a policlinique de la Salpêtrière, et dont nous relatons plus loin l'
observation
; et il y ajoutait l'histoire d'un petit garçon
t l'histoire d'un petit garçon à type d'astasie-abasie, sa première
observation
de ce genre 2. Souza-Leite publia bientôt après
le titre « Amnése parriale spinale'. Brunon en relate également une
observation
1. M. Charcot consacre une ' Paul Blocq. - Sur
pour revenir en partie. Au moment où la malade se présente à notre
observation
, la station debout et la marche ne se faisaient
on. La malade a été perdue de vue ultérieure- ment. t. La seconde
observation
*, prise aussi en 1888, regarde de même une peti
un pas mal assuré d'abord, puis sans aucune hésitation. Troisième
observation
. M"" Gabrielle C... a dix-neuf ans, et se prése
er, de Paris, de son très aimable et très utile concours pour cette
observation
. SUR l'astasie-abasie. 63 mille de névropathe
nt cessé, et la malade s'est soustraite au traitement. La quatrième
observation
est l'histoire d'un homme de vingt-six ans, qui
era prochainement complètement guéri. IV. - Après un exposé de onze
observations
, M. Blocq dit dans son travail ' : « Le début e
ation, en se heur- tant contre un passant sur le trottoir. Dans l'
observation
du Dr l3oméi', l'effet d'une frayeur se fit sen
onze ans, lequel fut astasique et abasique le lendemain. Dans ses
observations
, Souza Leirte parle de cinq cas du même genre,
men- cée au mois de janvier; l'enfant fut guérie en mai. Dans nos
observations
personnelles, le début du syndrome se montre le
fièvre typhoïde, pour revenir en partie plus tard. Dans la seconde
observation
, une petite fille est prise de vertiges, de vom
s jambes ; il s'agit donc encore d'un début lent. Dans la troisième
observation
, une demoiselle a remarqué une faiblesse dans l
ncore cette fois, début plutôt lent. L'homme de vingt-six ans (4e
observation
) est pris d'asta- sie et d'abasie à l'hôpital,
dans les reins. Le début ne s'est pas fait d'emblée. Dans les onze
observations
de P. Blocq, nous rencontrons le début brusque
ela du début de l'hystérie traumatique. V. De même la lecture des
observations
nous apprend que tous les âges peuvent être suj
du moins trois cas se rapportant à des personnes âgées. L'un est l'
observation
XI de Blocq 1, puis deux cas de vieillards, don
un des éléments étiologiques les plus constants ; en analysant les
observations
, on trouve le plus souvent des affections nerve
très curieux sous ce rapport L'hérédité se ren- contre dans six des
observations
de Blocq. La petite fille dont parle Souza-Leit
es ; son troisième malade fut né de mère nerveuse'. Deux des quatre
observations
que nous apportons offrent des antecédents héré
nt l'excitation donne lieu à des réactions motrices définies. Une
observation
attentive des réactions dans les différents or-
ement détruits, il y eut une cécité complète des deux yeux 1. Les
observations
suivantes furent prises sur un singe dont les p
lace. Il fut donc impossible, pour quelque temps, de prendre aucune
observation
sur sa vision. Les pupilles étaient contractile
ts de Luciani. Autant que le lobe occipital seul est intéressé, nos
observations
confir- ment l'opinion de Munck que cette lésio
t. Cet état dura plusieurs heures, pen- dant lesquelles il était en
observation
. Lejour suivant, il y a des marques de vision,
ostré, le temps étant très froid qu'il mourut avant qu'aucune autre
observation
exacte fût possible. Que des lésions du pli cou
uels des vertèbres inférieurs, je ne puis pas citer beaucoup de mes
observations
et de mes expériences. Le centre visuel des chi
pense pas que ces premières conclusions étaient dues il un défaut d'
observation
, mais qu'il y avait probablement une diffé- ren
ète chez le pigeon Munk cite en faveur de ses conclusions certaines
observations
de lliüller qui montrent que dans la rétine du
xclusivement, autant qu'on en peut juger par les expériences et les
observations
cliniques, esten faveur de l'hy- pothèse que le
PE : -I, (A1'Ch, f. Psych., XIX, 3.) Analyse très minutieuse de six
observations
. M. Kceppen dis- tingue trois espèces de mouvem
sule interne ; par Ta. Zacher. (A1'ch, f. P.,ych., alX,3.) De trois
observations
décrites avec le plus grand soin, M. Zacher met
ordinaires. II invoque aussi une disposition particulière, -de son
observation
III, chaque moitié du pédoncule contenant ici,
ités qui s'en dégagent, M. Werner obtient un dossier clinique de 45
observations
soigneu- sement analysées. Il y joint un fait q
une analyse éminemment clinique des faits connus rapprochés de cinq
observations
originales, l'auteur conclut que les équivalents'
eu d'admettre le groupe des psychoses traumatico-alcooliques (une
observation
personnelle à l'appui). P. K. V. DES psychoses
htérie pharyngienne; par E. Schuetze. (Arch. f. Psych., XX, 1.) L'
observation
ne nous apprend rien de nouveau. C'est à l'in-
que les conclusions de l'auteur sont peu intelligibles, les quatre
observations
qu'il donne sont ex- trêmement intéressantes; e
LITE; par F. Tuczek et A. Cramer. (Arehiv. f. Psychitit., XX, 2.)
Observation
concernant un imbécile de quarante-deux ans, il-
lie morale; par H. SCHLOESS. (Jularbicch. f. Psych. VIII, 3.) Dix
observations
personnelles. C'est la débilité mentale qui con
ie ET PSYCHOSE; parJ. WAGNER. (Jahrbüch. f. Psych. VIII, 3.) - I.
Observation
d'aliénation mentale provoquée et entretenue par
femme se croit un animal dans la tête, le diable dans le corps. II
Observation
de dys- thymie névralgique transitoire; accès d
BLE mental; par DE Krafft KBING. (Juhrbitch. f. Psych., VIII, 3 )
Observation
1. - Simulation de démence et de surdi-mutité. La
ui proposait, le 'patient traçait des lettres dépourvues de sens.
Observation
IL Simulation de désordre dans les idées avec dél
tive de la maladie, cequi ajouterait encore à 1 importance de cette
observation
. \I. C R. M. C- XXVII. Un singulier cas DE SU
r ici cet important travail qui repose sur deux cent cinquante-huit
observations
; il est divisé en quinze sections, et constitu
uables, chez'huit hys- tériques des deux sexes, tous jeunes; quatre
observations
sont particulièrement intéressantes, les observ
eunes; quatre observations sont particulièrement intéressantes, les
observations
1 et IV (hystéro- épilopsie traumatique chez de
le système nerveux central, mais c'est tout ce qui ressort de cette
observation
et on ne peut rien en conclure relati- vement à
h. XLVI., 2, 3.) Série de recherches analytiques avec tableaux et
observations
. Conclusions : Il Le sommeil diminue la quant
SULFON.1L; par R. OTTO. (Allg. Zeilsch. f. Psych. XLV, 4.) Dix-neuf
observations
. Ce médicament, d'après l'auteur, calme l'agita
S communiquées; par G. ANTON. (Jah6rïvch. f. Psych., XIII, 1, 2.)
Observation
d'une hystérique débarrassée de ses céphalalgies
sion de son jugement et de ses allu- res. M. Anton termine par deux
observations
remarquables de grande hystérie communiquée; il
est impossible, concluent les auteurs, de se prononcer; le temps d'
observation
est encore trop court, et l'expérience trop peu
l y eut une ordonnance de non-lieu. M. Garnier rapporte une seconde
observation
ayant trait à une autre femme inculpée d'homici
mes cérébraux. Jusqu'à nouvel ordre, il y a lieu de ranger ces deux
observations
dans le cadre de l'ataxie de Friedreich. SOCI
Francfort).-De l'athélose dans le tabes. L'orateur communique deux
observations
. La première a trait à une femme de cinquante-u
eidelberg). Contribution Ii l'étude de la scléro- dermie. Les trois
observations
dont il s'agit portent sur la scléro- dermie di
es affections psychiques du cerveau. L'orateur rapporte une série d'
observations
de folie circulaire et périodique qui ont paru
cherches ne sont pas encore terminées. M. Thomas (de Fribourg). Une
observation
de méningite chez un petit enfant. - Dans la mé
sidérables réalisés par ce mé- decin si remarquablement doué pour l'
observation
clinique. Du BIBLIOGRAPHIE. 143 premier volum
l'auteur, on ne saurait ne pas reconnaître les grandes qua- lités d'
observation
clinique qui font de ce volume un recueil de fa
e d'exaspération matinale que tous les auteurs ont signalé dans les
observations
de névrites alcooliques. Les douleurs de l'atax
e l'origine de la maladie 1. Vous trouverez, dans les recueils, des
observations
de paralysie radiale, de paralysie cubitale, de
spinale. Friedlaender, OEller, Hallopeau, J. Renaut publièrent des
observations
où la lésion des cornes antérieures semblait as
, les cellules nerveuses étaient en voie de destruction. » Dans une
observation
relativement récente, Oppenheim men- tionne des
des cellules de la corne antérieure était très prononcée. Dans deux
observations
de Finlay 2, on trouve mentionnées des lésions
es derniers temps, mon collègue et ami, M. Deje- rine, a publié des
observations
fort intéressantes d'atrophie musculaire, chez
mmandée par une lésion spinale. Chaque jour, du reste, de nouvelles
observations
nous font voir l'influence des troubles dynamiq
pocampe, surtout à sa partie inférieure » . Pressât cite aussi des
observations
de TIEDEMANN relatives à des absences de nerfs
s'étend, d'arrière et avant, la zone affectée à cette fonction ». L'
observation
du « désert olfactif » chez les cétacés delphin
on. Mais je n'insiste pas davantage sur ce point, attendu que mes
observations
n'ont pas été assez répétées pour pouvoir établ
à cloche-pied, et nager, comme c'est démontré dans notre deuxième
observation
. La personne soutenue pourra encore avancer ses
ées. Ce dernier auteur suppose que trois catégories en face de onze
observations
est un nombre exagéré, car il n'accorde qu'à tr
harcot; les mêmes troubles de la station et de la marche des autres
observations
seraient secondaires à des anesthésies et à des
. - Leçons du mardi, 1889, p. 359. · SUR l'astasie-abasie 2H¡ S l'
observation
des mouvements automatiques que font les ani- m
e la Statica. Loc. cit., p. 196. L'au- teur finit par intituler son
observation
n Amuesia parziale (parziale : ' parce que les
n tuyau de plume, sur la longue étendue du siège de com- pression. (
Observation
en thèse Michaux.) 3 Binswanger. - Loco citato.
. 550-551. Cf. Il,69 sq. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 223 Dans leurs
observations
thermo-galvanométriques sur l'activité musculai
aux narco- tisés avec l'éther (chiens, chats), les soumettait à l'
observation
aussitôt après l'ouverture du crâne, avant l'ap
re cérébrale, qu'un refroidissement de l'organe. Ainsi, en face des
observations
d'hyper- thermie du cerveau actif, si bien étud
if, si bien étudiées par Schiff, se dressaient en quelque sorte les
observations
d'hypo- thermie notées par Corso à peu près dan
le sable mouvant des systèmes, non sur le roc inébran- lable de l'
observation
et de l'expérience. CONCLUSION 1. La doctrine
tout et uniquement des faits dus à la méthode expérimentale et à l'
observation
anatomo- clinique, elle s'est maintenue à égale
avant et après l'opération, j'ai publié en entier mes notes et mes
observations
sur lui Les voici brièvement : A tous les rapport
ières de réagir sous différentes circonstances furent l'objet d'une
observation
attentive avant l'opé- ration. C'était un singe
e 30 novembre, c'est-à-dire trois semaines après l'opé- ration, ces
observations
furent confirmées après une étude attentive de
egardaient attentivement l'escalier, atten- dant leur déjeuner. Des
observations
répétées pendant le cours de la semaine suivant
s observé chez cet animal, au moins pendant la dernière période d'
observation
, l'absence de contraction des oreilles que j'avai
u mésencéphaliques. Je n'ai pas encore pu avec succès continuer des
observations
sur des animaux chez lesquels les lobes tempora
temporaux avaient été détruits des deux côtés : mais si, comme les
observations
de Schefer semblent l'indiquer, la totalité des
il a fait cette opéra- tion n'a vécu au delà de quelques jours; ces
observations
n'appor- tent aucune donnée pour la déterminati
ur substance grise et leurs fibres médullaires étaient atteintes. L'
observation
confirme donc, si elle ne suffit à elle seule à
elleux airect finit sans aucun doute dans le cervelet et, comme les
observations
de Tootli semblent le mon- trer, provient'surto
ieure de la moelle, on observe de l'anal- gésie. Dans aucune de ces
observations
cependant, comme le remarque Tootb, nous pouvon
conduite de cetanimal indi- quait, aussi loin qu'on peut juger de l'
observation
d'animaux infé- rieurs, qu'il avait entièrement
sont complètement opposés. De sorle que l'on ne peut pas dire que l'
observation
clinique donne un appui absolu à la théorie qui
cter le sol. P. K. IV. Hystérie anesthésique ; par M. CoURMONT.
Observation
d'une jeune fille de vingt-deux ans qui a eu des
) G. D. VIII. SUR un cas d'astasie ET d'adasie ; par M. BERTIIET.
Observation
d'une hystérique qui ne pouvait ni marcher, ni se
E saturnine; par M. A. WESTPHAL (Arch. f. Psych., XIX, 3.) Treize
observations
analysées avec le plus grand soin, d'après les-
ritique présentant un tableau de vingt-deux faits, y com- pris deux
observations
personnelles. L'auteur conclut que le carac- tè
ès DORSALIS; 1 par H. Oppeniieim. (Arch. f. Psych., XX, 1.) Trois
observations
avec autopsie. L'Observation II, est un exemple
im. (Arch. f. Psych., XX, 1.) Trois observations avec autopsie. L'
Observation
II, est un exemple de tabes avec paralysie bilaté
s sans lésion des noyaux, des racines, des nerfs périphériques. L'
Observation
lit, et l'Observation I, offrent de nombreux ense
yaux, des racines, des nerfs périphériques. L'Observation lit, et l'
Observation
I, offrent de nombreux ensei- gnements au point
LE PARIÉT IL INFÉRIEUR; par C. Wernicke (Arch. f. Psych., XX, 1.)
Observation
très intéressante entraînant le diagnostic de : l
. FREUND. (Arch. f. Psych., XX, 1 et 2.) Nous passons sur les trois
observations
personnelles suivies d'au- topsie qui constitue
Ons. I) ; 2° une aphasie optique accom- pagnée de cécité psychique (
observations
empruntées aux auteurs, iill" VI et VII ; 3° un
ltats de l'examen oplatlwlmoscopique. - Tableau statistique de cent
observations
et neuf descriptions cliniques. Planches à l'ap
Allure clinique des troubles de la vue. Champ visuel. Vingt-quatre
observations
. IV. Accidents pathologiques dans les 270 REVUE
générale, l'acromé- galie, le saturnisme, la syphilis. P. B. XXI.
Observation
DE CÉCIfÉ psychique. - THÉORIE DE ce,symptôme;
DE CÉCIfÉ psychique. - THÉORIE DE ce,symptôme; par H. LISSA UER. -
Observation
DE CÉCITÉ PSYCHIQUE ENTRE autres symptômes céré
provoqué une soi te de cécilé psychique. Le malade dont il décrit l'
observation
(sans autopsie) est, dit-il, un aveugle cortical
AIIYOTRO- PULQUE; parO. UORNBLUETH. (Neurol. Centralbl., 1889.) L'
observation
, qui laisse à désirer au point de vue clinique, n
FAN- TILE CliRi3BBALE; par TH. HOVE1/. (Arch. f. Psych., XIX, 3.)
Observation
prise chez un jeune homme de vingt-huit ans, para
LTIPLE DE Friedreich ; par E. Fins. (Arch. f. Psych., XIX, 3.) Deux
observations
caractérisées par des convulsions fibrillaires,
élé- ments du même muscle en même temps, quoique, dans l'une des
observations
décrites, il existe une contraction tonique des m
reil périphérique moteur se sont plus tard surajoutées. P. K. VI.
Observation
DE brièveté anormale DU CORPS calleux ; par R.
ux ; par R. SCHROE1'ER (Allg. Zeitsch. f. Psych., XL1V, 4,5. Deux
observations
témoignent, dans ce mémoire, d'une réduction co
s qui brisent en quelque sorte l'action de la puissance. P. K. X.
Observation
DE TROIS PERTES de substance trouvées dans LES LO
moelle épinière; par H. Oppenheim. (Archiv f. Psychiat., XX, 1.)
Observation
de lésions de la colonne vertébrale à la suite d'
infantile cérébrale; par TH. ZACHER. (Archiv. f. Psych., XXI, 1.)
Observation
complétée par l'anatomie et l'histologie patholog
statifs) ; par L. BRUNS. (Arch. f. Psychiat., XX, 2.) D'après cette
observation
, qui témoigne en effet d'une lésion des deuxièm
U ; par A. PICK. (Archiv. f. Psychiat., XX, 3.) ' . D'après cette
observation
, les fibres qui président à la genèse du réflex
aire. Quatre obser- vations, dont une personnelle (atrophie); trois
observations
dé Schultze; autopsies de Virchow et Friedreich
pathologiques. nétiques à longue échéance de l'influenza; les deux
observations
de Krause témoignent d'un délire général avec i
'action curative de l'influenza sur la~folie (M. Metz, Bartels) ; l'
observation
de Metz montre une folie systématique qui, dura
de l'atrophie musculaire consécutive à une lésion cérébrale, cette
observation
présente une coïncidence cu- rieuse de l'aphasi
ent, on se demande : la malade était-elle gauchère ? C'est ce que l'
observation
clinique laisse dans l'ombre. II. - Dans le sec
-on jugé l'intervention inutile. Telles, sont en résumé, les deux
observations
d'amyotrophie d'o- rigine cérébrale dont la sig
rébrale est possible avec des cornes antérieures intactes. Dans une
observation
de Bouchard et Cornil de 1864,1e même fait était
tétanos rhumatique 302 BIBLIOGRAPHIE. dont l'auteur rapporte deux
observations
. Les recherches bactério- logiques entreprises
ux. Un nouveau procès iL sensation nous a valu la publication d'une
observation
très inté- ressante à ce point de vue. Une jeun
modernes sur l'intoxication par la morphine, et de rap- procher les
observations
, sérieusement prises, analogues à celles que no
il s'agisse de descriptions ou d'opinions d'ailleurs basées sur une
observation
attentive, en toutes circonstances M. Baillarge
cérébral Si je vous propose cette dénomination, c'est parce que l'
observation
qui sert de fondement au travail de cet auteur
trémités du côté opposé. Quinze ans plus tard, Major rapportait une
observation
de tous points comparable à la précédente. Avan
3 Gubler. Gazette hebdom., n° 6, 1859. 324 CLINIQUE NERVEUSE. l'
observation
de Gubler est la première en date, elle est, je
étiquette et fixé définitivement le syndrome par une accumulation d'
observations
appropriées. Ce syndrome de Millard-Gubler est
Soc. anal. Mai et juin 1856, p. 206 et 217. Rapport à propos d'une
observation
de Sénac. Voir en outre un rapport précédent de
in, plaider en faveur de notre diagnostic. Voici les détails de l'
observation
qui a servi de thème à la leçon de M. le profes
ion qui a servi de thème à la leçon de M. le professeur Charcot :
OBSERVATION
, - 1 ... Nov ? ka, âgée de dix-huit ans, fleurist
éritable auteur 3. Nous donnons ici l'histoire de ce malade, dont l'
observation
nous a conduits à faire de plus complètes inves
ait faits lorsqu'on lui mettait de l'oignon sous le nez. De cette
observation
, bien qu'un peu incomplète en ce sens que le ma
ensation perçue. Lorsque l'un de nous vint à Paris, muni de cette
observation
et rendit compte à l'autre des résultats nouvea
mier sujet et combler ensuite les lacunes qui existaient dans son
observation
, dont nous signalions à l'instant les points fa
degré de concentration est presque le même que dans la malade de l'
observation
précédente. Comme elle, il est absolument indif
orielles dans la phase cataleptique du grand hypnotisme. Nous ' L'
observation
complète de ce malade sera d'ailleurs publiée ave
propre personnalité. A PROPOS DU BéGAIEMENT HYSTÉRIQUE EXAMEN DES
OBSERVATIONS
DE MM. G. BALLET ET A. PITRES Par le D' CHERV1N
t a communiqué à la Société médicale des Hôpitaux de Paris quelques
observations
de troubles de la parole auquel il a donné le n
bien fondé de celte dénomination, d'autant plus qu'à la lecture des
observations
présentées par MM. Ballet et Pitres, il est vis
très concor- dantes. D'une part, en effet, il dit dans sa quatrième
observation
: « A peine le malade avait-il ouvert la bouche
e ou d'une description pré- cise en tenant lieu, cherchons dans les
observations
très intéres- santes et très circonstanciées, d
ifs dont sont atteints le larynx, la langue et le pharynx. Dans l'
observation
n° 1, non seulement nous ne trouvons pas l'exis
aiement hystérique n'est pas justifiée. I J'arrive maintenant à l'
observation
de M. Pitres et je déclare immédiatement que le
vation de M. Pitres et je déclare immédiatement que le sujet de son
observation
rentre dans la catégorie habituelle des bègues.
ne s'agit pas là de bégaiement hystérique. Qu'y a-t-il au fond de l'
observation
de M. Pitres ? Un enfant de dix-neuf ans voit s
tous, sauf celui de l'intermittence dont il n'est pas parlé dans l'
observation
, mais qui devait très probablement exi-ter. Donc,
Aussi bien s'il ne s'agis- 372 PATHOLOGIE NERVEUSE. sait que de l'
observation
même de M. Pitres, ma tâche serait bientôt ache
M. Pitres le soin de relever, somme il ne manquera de le faire, les
observations
qui le vi- sent plus spécialement. J'ai tenu
moi n'avons pas tout à fait les mêmes habitudes de procéder dans l'
observation
clinique. M. Chervin voit un malade dé- labré e
x ne se remit de l'opération assez pour me per- mettre de faire des
observations
assez exactes. Mais chez aucun d'eux il n'y ava
t à la double opération suffisamment longtemps pour per- mettre des
observations
convenables. Dans ce cas la portion anté- rieur
s la semaine qui suivit la première opération, on fit de nombreuses
observations
sur les sens du goût et de l'odorat qui étaient
ne voulait pas toucher un morceau couvert de coloquinte. De telles
observations
furent fré- quemment faites et confirmées et il
s, atteints dans une grande partie. Il aurait fallu faire plusieurs
observations
sur ce sujet mais - à cause de la grande mortal
es de la gustation ; mais il nous manque sur ce point encore plus d'
observations
que sur la situation des centres olfactifs. Le
sta les deux mois que l'animal survécut à l'opération. De pareilles
observations
, ont été publiées par Horsley etSchae- fer' et
s observations, ont été publiées par Horsley etSchae- fer' et leurs
observations
sur les fonctions de la circonvolution marginal
bien marquée dans les pyramides des deux côtés. Ces faits comme les
observations
cliniques chez l'homme montrent que, même pour
omme si bien prouvée, que les cliniciens ont cessé de publier leurs
observations
. Des 483 cas de maladies corticale et sous-cort
as entièrement nor- maux, que la lésion pouvait bien échapper à une
observation
super- ficielle. 11 n'avait pas entièrement per
Bechterew a dé- montré le même fait chez les chats *. « C'est d'une
observation
courante qu'un chat n'aime pas avoir les pattes
g, Starr *, Dana Lissa 6, ont essayé de mon- trer, par l'examen des
observations
cliniques de maladie céré- brale, que les centr
lésion. De toutes ces considérations, il ré- sulte qu'un examen des
observations
cliniques puisées indistincte- ment à toutes le
ux, exactement de la même na- ture qu'auparavant. J'ai confirmé ces
observations
dans une expé- rience récente, après la cautéri
on des paupières et la dilatation des pupilles. Ceci confir- me une
observation
semblable que j'avais faite auparavant. C'est u
x par la destruction des lobes frontaux, j'ai aussi observé, et mes
observations
sont confirmées par Hitzig et Gollz, une remarq
ouvent confirmés dans la thèse du Dr Gaudi- neau qui a pu réunir 75
observations
portant sur des cas de rhumatismes, gastralgies
oyens. En résumé, malgré les critiques de M. Hepp, et d'après les
observations
faites en France et à l'étranger, on peut avec
sont montrées simultané- ment, dès le début. Il cite encore deux
observations
où les idées ambitieuses s'étaient produites au
sensoriel plus ou moins en rapport avec des idées déli- rantes. Une
observation
citée par M. Dagonet montre bien qu'un délire s
fondé à accepter l'unité de tous les délires systématisés. Les cinq
observations
personnelles qu'il présente démontrent suffisamme
s, même jusqu'à la transformation de la personnalité. Quatre autres
observations
fournies par M. le Dr Febvré sont tout aussi co
cinq autres observa- tions, apportant ainsi un ensemble de quatorze
observations
qui paraissent établir nettement que, contraire
nt une paralysie géné- rale, latente lusque-là. La conclusion des
observations
réunies par M. Ladame est que REVUE DE PATHOLOG
'i¡r.; par 1411LDAUA1. (Atlg. ZCisscl., f. Psych., L\'I, 4.) Deux
observations
. Nous ne pouvons que consigner les conclu- sion
on, La prophylaxie constitue le traitement de la folie à deux. Deux
observations
personnelles. l'. K. IMPORTANCE pratique DE L1
ous-classe. La plus fréquente est la mélancolie intellectuelle; 116
observations
sur 206 mélancoliques ; 1¡ ? )/ Il REVUE DE P
tl.a; par le DI Cruier. (Zeitschr. sur Heilkande, vol. XI, 18UO.)
Observation
d'un malade qui avait des attaques d'épilepsie
urneville et Bricon ont confirmé cette manière de voir, et dans une
observation
qu'ils ont publiée ils ont trouvé une différenc
t psychoneurotique, soit dégénérative. Puis il rapporte plusieurs
observations
de mutisme avec stupeur et il a remarqué que dans
émorrhagie dans le noyau lenticulaire. M. SAURY donne lecture d'une
observation
de M. Journiac : Il s'agit d'un homme âgé de so
a lu un travail sur la paralysie alcoolique fondé sur de nombreuses
observations
personnelles. Le tableau clinique de la paralys
a marche des maladies mentales ». L'auteur a recueilli vingt-quatre
observations
de développement des troubles psychiques sous l'i
interner les aliénés : parce qu'ils se trouvent dans l'asile sous l'
observation
directe de médecins-spécialistes et parce qu'il
periostite (1818). — Everard Home, Usker Pearsons, Wiers publient des
observations
de periostite suppurée. — Boyer établit des degré
limitée, mais n'insiste que sur cette dernière, dont il emprunte des
observations
à Crampton.— Lobstein avait décrit déjà trois deg
ives de médecine un extrait d'un mé-moire de Morven-Smilh avec quatre
observations
d'abcès sous-périos-tiques aigus et ostéomyélite.
matismale, llecht, son aide de clinique, publie avec commentaires une
observation
à l'appui. Krug-Bass, 1855, Wormser, 1855, traite
tudiée à Paris. M. Chassaignac, en 1855, se fondant sur de nombreuses
observations
, en fait une étude très-complète : « .l'appelle a
ariole, dont Morgagni, Poupart, Duverney, Reychell avaient publié des
observations
; il n'admet pas la nature rhuma-tismale delà mala
embres. Toutes ces idées furent reproduites et ap-puyées de nouvelles
observations
dans son Traite' de la suppuration (1859). M. G
chives de 1858, mémoire dans lequel cet auteur, se fondant sur treize
observations
, décrit le décollement des épi-physes, M. Gosseli
la maladie. La question était, du reste, à l'ordre du jour, et des
observations
nombreuses étaient présentées à la Société anatom
Demme, Studsgaard apportaient leur contingent. Curling publiait deux
Observations
. Holmes faisait con-naître un Fait de périoslite
élimination fût pré-parée par un travail naturel. Stone donnait trois
observations
très-complètes et très-intéressantes de nécrose a
l\ sclérose des cordons postérieurs de la moelle (suite) . Les deux
observations
qui précèdent nous fournissent des ren-seignement
léments importants : 1° celle de la malade dont nous avons consigné l'
observation
dans le précédent numéro; 2° celle d'une femme qu
plus grand nombre de petits corps pédi-cules, en forme de grappes.
Observation
III. — Ataxie locomotrice progressive. — Fièvres
dans les mem- bres supérieurs. — Arthropathie de l'épaule gauche. (
Observation
personnelle.) LeB,.., Françoise-Yictorine, âgée
ami Bourneville, et qui est intéressante à plusieurs points de vue.
Observation
XXVIII. — Plaie du pied droit : amputation du pie
pérature. — Injections hypodermiques, répé-tées, de chloral. — Mort. (
Observation
recueillie par Bourneville.) Bichm... (Alfred),
i nous jetons maintenant un coup d'œil rétrospectif sur les di-verses
observations
que nous avons analysées, nous trouvons bon nombr
ons sous-cutanées ou en lavements. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES par bourînevi
RPÉRALES par bourîneville 1 iii. exemple de rupture de l/ui'ÉRUS.
Observation
. — Grossesse à terme. — Douleurs. — Tentatives ob
Nous nous arrêtons ; dans cet ouvrage, à côté de la clinique, de l'
observation
journalière, on voit sans cesse l'idée doctrinale
us trouvons dans la Presse médicale belge (1871, page 243) une courte
observation
, qui nous semble avoir sa place naturelle à la su
volume normaux. — .Rems conges-tionnés. Réflexions. — En publiant l'
observation
de ce malade, notre désir est d'attirer l'attenti
(fig. 1) est relatif au vieillard, dont notre ami Dupuy a rapporté l'
observation
plus haut (nage 56). Il est d'autant plus intéres
le troisième tracé. Celui-ci (fig. 3) se rapporte au malade, dont l'
observation
se trouve relatée dans le travail de Peltier, sur
invoquer, comme cause 1 Elle répond sur la figure au signe o. 2 L'
observation
du malade est consignée dans notre mémoire intitu
aris. — su1tr — ét10logie. C'est en vain que, dans les nombreuses
observations
que j'ai pu rassembler, j'ai recherché quelque ca
tes tantôt localisées, quelquefois généralisées, comme il ressort des
observations
d'Ancell, cle Valleix, deBertrandi, de Cullerier,
ue. — En raison des détails nécroscopiques consignés dans deux de nos
observations
, nous serons brefs sur ce point.— Œdème profond,
genre, lorsqu'on saura que, chez l'un des malades dont il a relaté l'
observation
, M. Bail est intervenu à temps pour empêcher une
oué jusqu'ici les efforts de la thérapeutique. — Voici une dernière
observation
, aussi probante que les précé-dentes. Elle concer
lle concerne une malade que l'on peut encore voir à la Salpêtrière.
Observation
IV. — Ataxie locomotrice ancienne. — Arthropathie
rface une pellicule fibrineuse. A la suite de cette ponction, qui 1
Observation
recueillie par mon ami C. Carville et par moi.
es rétiniennes avec anévrysmes miliaires de la rétine.—2° Différentes
observations
de M. Joffroy sur Yatrophie mus-culaire progressi
inaugurale, sous le titre d'Atrophie partielle du cerveau ; — 3° une
observation
de M. Voisin sur une méningo-myélite surai-guë av
transfusion du sang, présentées par M. Brown-Séquard, à propos d'une
observation
donnée par M. Thaon. La pathologie proprement d
die aiguë ou chronique de la moelle. Nous devons aussi signaler une
observation
pour servir à l'his-toire clinique des abcès du c
tre chez un homme à la suite d'une lésion traumatique de la mo lie.
Observation
V. — Atrophie musculaire progressive. — Arthropa-
naissons qu'un exemple dû à M. Viguès. Nous en donnons le résumé2 :
Observation
VI. — Lésion traumatique de la moelle. — Arthropa
le mention. Le fait suivant, entre autres, est|loin d'être complet.
Observation
VII. — Tumeur tuberculeuse de la moelle. —Arthro-
où une eschare se forme rapidement au siège3. » Voici le résumé de l'
observation
de Moynier. Observation VIII. —Myélite subaiguë
apidement au siège3. » Voici le résumé de l'observation de Moynier.
Observation
VIII. —Myélite subaiguë.—Paralysie -progressive.
ens internes de la Salpêtrière, M.Cotard. Se basant surles nombreuses
observations
qu'il rapporte, et recueillies pour la plupart à
avec conservation plus ou moins complète de l'intelligence. Dans nos
observations
d'atrophie remontant à la première enfance, l'int
'être signalée d'une façon spéciale. Tout d'abord voyons les faits.
Observation
IX.— Convulsions à 17 mois. — Hémiplégie à gauche
tés qui viennent d'être indiquées. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES PAR bournevil
érale et urémie. Passons maintenant à l'exposé des faits cliniques.
Observation
I. — Grossesse à terme. — Attaques éclamptiques.
ard, elle était encore la même. Un premier point qui ressort de cette
observation
, c'est que l'état de mal éclamptique a pour effet
remier résultat, vont nous faire découvrir d'autres particularités.
Observation
II. — Grossesse à terme. — Éclampsie. — Tempéra-t
est au moins ce que nous avons constaté chez notre dernière malade.
Observation
III. — Grossesse de huit mois. — Albuminurie. — A
sez distinctes. — L'utérus est en partie revenu sur lui-même. Cette
observation
nous renseigne: 1° sur la température peu après l
NCTIVE; DÉCOLLEMENT DE L'IRIS par rosapelly, interne des hôpitaux
Observation
. — Contusion de l'œil gauche. — Accidents rapides
i est personnelle. Nous pouvons, aujourd'hui, y joindre encore deux
observations
, dont l'une a été recueillie dans le service de M
ns à l'obligeance de M. Rosapelly. (Voy. Pcanche XIV, fig. 5 et 4.)
Observation
I. — Kyste de Tiris. — Extirpation incomplète.— R
te.— Reproduction de la tumeur. — Cataracte secondaire. (Résumé d'une
observation
recueillie par M. Chaume, communiquée par M. Labb
uleur, mais ayant le champ visuel tout à fait obtus du côté gauche.
Observation
II. — Kyste de Viris contenant un cil. (Observati
du côté gauche. Observation II. — Kyste de Viris contenant un cil. (
Observation
communiquée à la Société de médecine de Strasbour
e cette membrane (Stellwag). Rien d'impossible à cela ; mais aucune
observation
concluante ne l'a jusqu'ici prouvé. « Quant au
nos lecteurs. I M. Kien, élève de M. Hirtz, a publié en 1865 une
observation
dans laquelle on trouve deux indications relative
la température2 et dont nous allons résumer les traits principaux.
Observation
I. — Urémie ; attaques éclamptiques, coma, mort.
ré l'histoire dans The Lancet1. Nous la rapportons en l'abré-geant.
Observation
II. — Obstruction permanente de Vuretère gauche p
n apparente, ni fistules. (IIe Observation du 2e mémoire de Bœckel. —
Observation
de Fritz. Société anatomique.) D'autres fois, tou
poque plus ou moins avancée de l'existence. Puis, nous avons relaté l'
observation
d'une femme appartenant à la première catégorie,
aractères principaux des membres paralysés, nous allons rapporter une
observation
non moins intéressante que la première. Observa
s rapporter une observation non moins intéressante que la première.
Observation
X. — Convulsions à sept ans. — Hémiplégie du côté
e, étant en nourrice ; la seconde est celle qui fait l'objet de notre
observation
; la troisième est morte à dix-huit ans, d'une fiè
e fut réglée sans difficulté à 13 ans. 1 Nous avons recueilli cette
observation
en 1866 pendant notre internat dans le service de
iée. — La parole est loin d'être aussi facile que chez la malade de l'
observation
IX; souvent il y a quelque hésitation, du bredoui
ue avec lequel elle a été conçue, par la justesse et l'exactitude des
observations
cliniques qui ont été prises pour base, et enfin
EVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE CHIRURGICALE
OBSERVATION
DE CANCER DU SEIN CHEZ L'HOMME par m. thaon, in
nts recueils, ou communiqué aux sociétés savantes un certain nombre d'
observations
nouvelles ; nous n'avons pas la prétention de les
al the Lancet (1864, vol. II, p. 267), la relation du cas suivant :
Observation
.—Cancer du sein chez un homme de 60 ans.—Extir-pa
blin quarterly Journal of Mie médical Sciences, n° LXXXVII, p. 468.
Observation
. — Cancer du sein (Squirrhe). — Développement de
; malheureusement, le plus souvent, ils ne sont que mentionnés, et l'
observation
fait défaut. — Ainsi, en 1837 (t. XII) et en 18
aussi doivent-elles être extirpées aussi-tôt que possible. NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES PAR BOURNEVIL
vres obstétricales, etc. Des trois femmes dont nous avons recueilli l'
observation
, deux ont eu le pé-rinée déchiré dans une applica
e petite partie du périnée. Nous nous bornerons à la relation de deux
observations
: 1° celle d'une des deux femmes rachitiques; 2°
iques; 2° celle de la malade qui portait une cicatrice de la vulve.
Observation
I. — Rachitisme. — Rétrécissement de 8 centimètre
e terme que j'avais hâte d'en venir pour faire connaître ce que cette
observation
a de plus remarquable. — La tumeur fibro-plastiqu
continue à gagner la couche sous-périostique. Je citerai à l'appui l'
observation
du premier mé-moire de Bœckel, où les douleurs re
formes sont clini-quement loin d'être exclusives. On trouve dans les
observations
nombre de cas douteux et qui établissent la trans
, qu'il attribue à la violence de la céphalalgie, et dans sa première
observation
il dit cependant : « Le malade, immobile, pousse
ques dont la description n'est guère possible. C'est à la lecture des
observations
et surtout à l'examen des malades qu'il faut reco
e American Journal of the Médical Sciences (1870, n°CXiX, p. 154) une
observation
que nous résumons. Observation ÎII. — Blennorrh
Sciences (1870, n°CXiX, p. 154) une observation que nous résumons.
Observation
ÎII. — Blennorrhagie. —Rétrécissement de Vurèthre
us avons recueillis et voir s'ils concordent avec ceux des auteurs.
Observation
IV. — Accidents dyspne'iques. — État d'hébétude ;
la vessie fut trouvée vide. Mais le point le plus im-portant de notre
observation
, c'est l'abaissement énorme de la température rec
— Le fait suivant vint bientôt, du reste, confir-mer le précédent.
Observation
V. — Hébétude. — Œdème des jambes. — Attaque apop
s la confir-mation des résultats thermométriques enregistrés dans les
observations
pré-cédentes. Fig-. a. — La ligne pointitlée re
des tissus de l'ovaire, ainsi que cela paraît dé-montré par plusieurs
observations
rapportées par M. Scaglia, a priori, il nous semb
ltiplicité de lésions variées et par celle du siège de ces lésions.
Observation
. — Adolphe X... a aujourd'hui 2 ans et 8 mois. Vo
utes les parties cpie nous venons de décrire. En résumé, dans cette
observation
, il existe un arrêt de dévelop- Fig. 7. — A, pa
ré-cédenten constitue un cas remarquable. Debout en a réuni plusieurs
observations
intéressantes ; dans toutes, comme dans la nôtre,
ar-faitement avec ce que nous observons chez le malade sujet de cette
observation
, sauf sur un point, le siège de la lésion. Dans l
Dans les cas d'après lesquels est faite sa description, et dont une
observation
est rapportée (Leçons sur les affect. eut. de nat
E PROGRESSIVE par g. peltier, interine des hopitaux de paris g I.
Observation
. — Atrophie musculaire progressive. — Début remon
trophie musculaire pro-gressive. » CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET
OBSERVATIONS
SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES par bournevil
ne bride cicatricielle de la commissure inférieure de la vulve. Cette
observation
, en dehors de la déchirure vulvo-péri-néale, offr
e l'apparition d'un érysipèle à poussées successives et nombreuses.
Observation
II. — Chancre phagédénique de la fourchette. — Br
iété de chirurgie, en 1865, par Marjolin; six jours dans la pre-mière
observation
de Store ; huit jours dans celle de Gaclaud. Pl
s sérieux dus autant aux phénomènes généraux qu'à l'état local. Les
observations
thermométriques n'ont pas jusqu'ici été prises as
agnostic que la médullite phlegmoneusc clans ses formes graves. Les
observations
se ressemblent tellement sur ce point, qu'on sera
de l'agonie; c'est là le premier succès authentique. Depuis, bien des
observations
ont été recueillies par Routh, Soden, Martin, Bla
tre parties composent cette étude : physiologie, procédé opé-ratoire,
observations
, indications thérapeutiques. — Des expériences no
iques. — Des expériences nombreuses pratiquées sur les animaux et des
observations
clini- ques qui ont été recueillies, il résulte
xion permanente de la cuisse et de la jambe, si j'en juge d'après mes
observations
, est un fait réellement exceptionnel. Il s'agit
tion, et c'est là un point que nous avons fait res-sortir déjà dans l'
observation
précédente. Or de semblables sym-ptômes ne s'obse
contractilité électrique, ne devraient pas, si j'en juge d'après les
observations
qui me sont propres, faire désespérer complètemen
omen et amener une péritonite mortelle ; nous n'avons cependant pas d'
observation
à l'ap-pui de cette manière de voir, de cette hyp
; on les rencontre rarement dans l'enfance et la vieillesse. Dans les
observations
que j'ai consultées, le plus jeune des malades av
rd, Gehrardt, Ilenle, Rouget, Rus-sell, Samuel, etc.1, ont publié des
observations
d'éruptions cuta-nées (zona, ectnyma, etc.), déve
ussi est-ce là l'un des motifs qui nous ont fait songer à rapporter l'
observation
suivante : Observation. — Trois attaques de név
otifs qui nous ont fait songer à rapporter l'observation suivante :
Observation
. — Trois attaques de névralgie sciatique. — Influ
ine et des sédiments, j'ai trouvé la confir-mation péremptoire de mes
observations
sur le catarrhe spécial avec diathèse phosphatiqu
tatique), comme me le fait présumer une très-intéressante et nouvelle
observation
que je publierai bientôt. Les résultats précéde
TROUBLES TROPHIQUES CONSÉCUTIFS AUX SECTIONS INCOMPLÈTES DES NERFS
Observation
: Saignée. — Gangrène consécutive à des lésions t
e de la Gironde, tome II, page 127.) — Il est regrettable que cette
observation
ne soit pas plus dé-taillée, que les lésions ne s
itée par l'opération aurait été elle-même envahie par la gan-grène.
Observation
: Blessure à la région carpienne. —Fourmillement
ns locaux, minutieux et constants, qui se trouvent décrits dans cette
observation
que nous devons de n'avoir pas eu d'infection pur
par E. bassereau, interne des hopitaux de paris Le sujet de cette
observation
est un homme âgé de 52 ans atteint d'un cancroïde
plus récemment Beckmann, Friedreich et Kekule ont fait connaître des
observations
complètes avec une description microscopique très
tes : un trouble général de nutrition de l'organisme. Dans toutes les
observations
qui sont publiées, les processus morbides détermi
tômes de la cachexie persistante ; elle échappe, à cette période, à l'
observation
la plus at-tentive, et ce n'est guère que dans le
t hypertrophiée; le fait n'est cependant pas constant : ainsi, sur 14
observations
où le volume est nettement indiqué, nous avons tr
s différences, au moins dans ces cas, sont médiocre-ment tranchées.
Observation
XI. — Attaques apoplectiques répétées. — Hémiplég
— du bras (1/3 inf.) . . . 20 — 20 — 1 A partir de cette date, l'
observation
nous est personnelle. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DE
l'altitude et des déforma-tions consignées dans les deux précédentes
observations
relatives à des hémiplégies apparues à 17 mois et
nce vers la flexion. Le pouce aune attitude à peu près normale. Les
observations
qui précédent sont suffisantes pour que chacun pu
s travaux publics sur ce point particulier et s'appuie sur vingt-cinq
observations
. L'auteur termine en disant que a l'électricité e
IONNAIRE PRIMITIF par j. cornillon, interne des hopitaux de paris
Observation
. Tumeurs à l'angle droit de la mâchoire inférieur
œdème arachnoïdien, aucune lésion impor-tante. Moelle, saine. — Cette
observation
ayant été communiquée par M. Trélat à la Société
aiguë est celle qui a été le mieux constatée ; on en trouve quelques
observations
qui ne laissent aucun doute au point de vue anato
'hypertrophie, il est bien difficile de formuler un avis motivé sur l'
observation
clinique. V. Traitement. —Révulsion à l'aide de
es ne sont jamais contradictoires et il est toujours possible par une
observation
scrupuleuse d'en établir la filiation. Chez le ma
nous pouvons dire, dès à pré-sent, en nous fondant sur de nombreuses
observations
personnelles, que notre manière de voir ne diffèr
faits les plus rigoureux et les plus irréfutables, d'une part par les
observations
d'flusson, professeur de botanique au Caire, et d
dans le numéro de juillet de la Revue photo-graphique (page 129) une
observation
de cancer du sein chez l'homme, recueillie par M.
nner à la Revue son véritable caractère, nous avons fait suivre cette
observation
d'un résumé analytique par M. G. Pelticr des cas
trouvons dans la Revue médicale de Toulouse (juillet 1871, p. 195).
Observation
. — Petite tumeur à côté du mamelon gauche. — Augm
s. Si bien des chapitres de l'ophthalmologie attendent de nouvelles
observations
, des interprétations plus satisfaisantes, il ne s
umérale ; c'est précisément ce qui s'est passé chez une malade dont l'
observation
a été publiée depuis longtemps et chez laquelle l
médecincLa des-cription de M. Vigla est basée sur un certain nombre d'
observations
qu'il a recueillies lui-même ou qu'il a trouvées
sur l'affection qui doit nous occuper; depuis cette époque, quelques
observations
nouvelles sont venues seulement s'ajouter à celle
s ruptures de la rate, il faut consulter principalement : Bailly. —
Observations
de rupture de la rate dans les fièvres inter-mitt
tins de la Société anatomique, t. XII, p. 325,1837. Sotis. — Quatre
observations
de rupture de la rate. (Gazette médi-cale, 1840.)
de rupture de la rate. (Bulletins de la Soc. anal., p. 200, 1865.)
Observation
de rupture de la rate. (The Lancet, décembre 1864
les conditions étiologiques les plus souvent notées dans les diverses
observations
que nous avons consultées. Les ruptures de la r
de l'inflammation. Ce fait est d'ail-leurs acquis à la science par l'
observation
des faits assez nombreux d'hémorrhagies intra-rac
i-dents est telle que, par leur excessive rapidité,"ils échappent à l'
observation
(Meunier). V. Marche et durée. — Nous avons adm
uns des résultats obtenus à l'aide de ce médicament. En analysant les
observations
relatées dans ce mémoire, nous trou-vons que le h
légiques, 72, 120, 243 ; — leçon par Rail, 289. Ataxie locomotrice (
Observations
d'), par Bourneville, 10, 15,59. Atrophie muscu
cond, syphilis arté- rielle dans le troisième. C'est avec ces trois
observations
, en nous aidant des cas semblables recueillis d
espaces sous-arachnoïdiens et dans la cavité arachnoïdienne. Les
observations
de thrombose sont assez fréquentes. Letulle 2 a
de la substance corticale par- semée de stries rouges. Dans cette
observation
, non seulement le diagnostic pen- Archives, 2e
ième paire, en même temps que le faisceau pyramidal. On connaît des
observations
semblables; dans un cas de Raymond* il y avait
tième et douzième paires avec hémiatrophie de la langue. Dans une
observation
de Gajlciewicz il y avait hémiplégie gauche inc
sque tous les cas de troubles trophiques (Babinski)3. D'après nos
observations
personnelles de malades et la statistique que n
t plusieurs mois cinquante- sept paralytiques, et nous rapportons l'
observation
et la sta- tistique de leurs troubles trophique
s 57 paralytiques, neuf n'ont présenté aucun trouble trophique. Nos
observations
sont résumées; mais comme preuves incontestable
s tissus ». (Lenoir.) . Nous abordons maintenant le chapitre de nos
observations
. ' S. Ballet. Les troubles oculaires dans la pa
., 1894, p. 98). TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 33
Observation
I'. Eruption érythémateuse, L... Jouas, trente-
la jambe, de la grosseur d'une lentille ; l'une de la 4 Toutes nos
observations
ont été prises dans les services de Vallon (hom
euses. Légère alopécie généralisée. - Légère abrasion dentaire. z
Observation
III. Éruption bulleuse. Alopécie, lchthyose. V.
te de fines lamelles dïchthyose. Abrasion dentaire premier degré.
Observation
IV. Éruption bulleuse, pemphigokle. Alopécie. L
éminée depuis quel- ques mois. Anesthésie cutanée. Réflexion. Les
observations
II, III et IV qui précèdent sont concluantes. C
itement, paraît-il, sans éruption bulleuse. En voici d'ail- leurs l'
observation
. Observation V. Pigmentation de la peau. C...
-il, sans éruption bulleuse. En voici d'ail- leurs l'observation.
Observation
V. Pigmentation de la peau. C... Albert, cinqua
upe certains purpuras à côté de certaines hypérémies (érythèmes).
Observation
VI. Pétéchie. La malade L... Elisa, cinquante-u
géné- rale. Dans la thèse de M. Gonnet 10 nous trouvons plusieurs
observations
de zona chez des paralytiques généraux. Trois d
observations de zona chez des paralytiques généraux. Trois de ces
observations
sont dues à M. le Dr P. Sérieux et deux à l'aut
malades. La statistique de M. Ramadier est de 4 p. 100. D'après nos
observations
, jointes aux observations déjà publiées, le zon
M. Ramadier est de 4 p. 100. D'après nos observations, jointes aux
observations
déjà publiées, le zona des paralytiques n'est p
vant les signes physiques et psy- chiques de la paralysie générale (
observation
VIII). Observation VU. Zona thoracique. Alopéci
ques et psy- chiques de la paralysie générale (observation VIII).
Observation
VU. Zona thoracique. Alopécie. Mme B... Jeanne,
e prononcée sur tout le cuir chevelu. La malade gâte par moments.
Observation
VIII. Zona ophtalmique et esc ! Ù ! 1'e. Mme R.
n, l'affaiblissement intellectuel et physique était considérable.
Observation
IX. Zona. Eschare. Amaigrissement. Ch... Charle
son existence n'a-t-elle été reconnue que depuis peu. La première
observation
en est due à M. Lanceraux' : le malade ayant su
néraux. Puis ce fut M. Marandon de Montyel3 3 qui rapporta d'autres
observations
. Le fait connu, M. Barthélemy" en fit le sujet
Sérieux, qui a confirmé le diagnostic de mal perforant. En voici l'
observation
: Observation X. - Mal perforant. Mme B... Ca
confirmé le diagnostic de mal perforant. En voici l'observation :
Observation
X. - Mal perforant. Mme B... Catherine, cinquan
pas toujours l'apparition d'eschare. Nous ne donnons ici que six
observations
, les* deux autres sont dans le chapitre du zona
les* deux autres sont dans le chapitre du zona (obs. VIII et IX).
Observation
XI. Eschares. Coloration des ongles. Mue G... A
de Paris, 1882. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 43
Observation
XII. Expulsion de dents. Eschares. Purpura. Hém
rchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit. 44 CLINIQUE MENTALE.
Observation
XIII. - Eschare. Phlyctène. Ichthyose. B... C..
mplies d'un liquide brunâtre. Abrasion des dents, deuxième degré.
Observation
XIV. Petites eschares malléolaires. Alopécie. P
laques, pleines d'un liquide jaunâtre. - Légère abrasion des^dents.
Observation
XV. Grande eschare sacrée. Ichthyose généralysée.
. Ichthyose légère de tout le corps. Anesthésie cutanée complète.
Observation
XVI. Eschare petite. Ichthyose. H..., Charles,
r elles dégénèrent à la suite de la lésion de cette circonvolution (
observation
person- nelle). De nouvelles pièces anatomo-pat
avec le déve- loppement de la maladie, on s'explique ainsi que les
observations
dans lesquelles il y a une ataxie notable, témo
compression; par S. LOEWENTHAL, (Neurolog. Centralbl.. XV, 189G.)
Observation
I. Etude de la réaction électrique et mécanique
e est augmen- tée. Apparition relativement rapide de KOZ et KSTe.
Observation
II. Absence de toute autre altération quanti- t
altération quanti- tative. Apparition prématurée de KOZ et KSTe.
Observation
III. Survenance en temps voulu de la convulsion
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. indirecte, le reste comme dans l'
observation
II. Apparition rapide de KOZ et KSTe. Dans ces
ation II. Apparition rapide de KOZ et KSTe. Dans ces deux dernières
observations
le décours des contractions ne paraîtras modifi
ar A. SCHOEFEII. (Neurolog. CcnGralGl., XV, 1896.) , 11 s'agit de l'
observation
de C. Westphal (Charité Annalen, l. XI, 1896) c
us le nom de mouvements associés. Tel ce malade paraphastque dont l'
observation
est [apportée par M. Sainlon, qui présente des
M. J. KLIPPEL. (Revue médicale, 31 juillet 1897.) L'auteur relate l'
observation
suivie d'autopsie d'un malade ayant présenté un
crète et rendant cette thèse intéressante, malgré une pléthore d'
observations
dont certaines sont excellentes, mais dont un gra
fillette de douze ans) ou du côté gauche (garçon de huit mois). Ces
observations
rapprochées des autres faits publiés, actuellemen
à la face et aux yeux. L'auteur fournit en terminant une troisième
observation
type d'absence des muscles de la poitrine unila
Gérard Marchand et ABADIE. (Presse - médicale, 3 juillet 1897.) .
Observation
d'une malade de vingt-neuf ans, qui, en 1896, a é
re, l'état général physique et moral est demeuré excellent. Cette
observation
vient à l'appui de l'opinion déjà émise par M.
actère du sujet hypnotisé. De nom- breuses années d'expérience et d'
observation
ont toujours con- firmé cette règle. Il n'a jam
criminelle a plus spé- cialement de commun les méthodes cliniques d'
observation
et d'évaluation des désordres psychiques, comme
cale et avec la neuropathologie en espèce, les méthodes cliniques d'
observation
et d'évaluation des désordres fonctionnels ordi
linquant. Pour cette étude, elle puise des méthodes et des moyens d'
observation
dans l'anthropologie générale ou pure; elle emp
- veau. » L'auteur, un des promoteurs de l'enquête, rapporte deux
observations
de suicide sans motifs, ce qui ne veut pas dire s
ysie générale juvénile hérédo-syphilitique. M. Sollier communique l'
observation
d'une jeune fille de dix- sept ans, ayant prése
générale dans l'enfance pour lui la plupart des cas ne sont que des
observations
d'encépha- lite ou d'idiotisme acquis. L'hémipl
ralysie bulbaire asthénique. Présentation de la malade (Suite d'une
observation
déjà publiée). Au printemps de l'année 1896 le
pières leur excitabilité électrique devint presque normale. Cette
observation
indique que l'atrophie des muscles, qui dépend
t de base à une nouvelle con- ception de l'hystérie; le second, aux
observations
des malades qui lui ont servi de sujets d'expér
expliquer le mécanisme des manifestations hystériques est un fait d'
observation
vulgaire. On sait, que les hystériques - il ne s'
ent l'ictus épilep- tiforme. On trouvera tous ces caractères dans l'
observation
que nous rapportons plus loin. B. Troubles de
é à une thrombose de la sylvieuue opposée. 104 CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
II. Sommaire : Syphilis probable dans les antécéd
r les'coupes. La moelle est macroscopi- quement saine. Dans cette
observation
la symptomatologie a été assez tranchée pour qu
tions du système nerveux ne servent à rien. On trouvera plus loin l'
observation
d'une 1 Flechsig. Anal, in Heu. neur. 1897, p.
eut-être pas absolument sain, comme on le verra par la lecture de l'
observation
. Seu- lement, dans ces cas les troubles objecti
e plus grand soin le tube digestif, le foie, les reins, etc. Dans l'
observation
qui suit, la malade a pu être amélioré très not
uveret. Lyon 21éd., 1895, t. LXXX, p. 279, et 1896, p. 459. ' Cette
observation
est inédite : il s'agissait d'un malade opéré d'u
Marseille). Thèse Montpellicr, 1871. ,1,1 (; CLINIQUE NERVEUSE. l'
observation
, nous fûmes surpris de trouver des troubles vis
irmer ces diverses notions nous ne pouvons mieux faire que donner l'
observation
suivante . Jusqu'à l'intervention chirurgicale,
ude du diagnostic de gomme syphilitique posé pendant l'opération.
Observation
]Il. SOMMURE : Début par de la céphalalgie, desvo
mptômes qu'a pré- sentés notre malade, ni sur leur évolution. Cette
observation
justifie ce que nous avons dit plus haut. La go
ues de syphilis cérébrale. Nous n'apportons, il est vrai, que trois
observations
comme pièces justificatives. On com- prendra ce
rd ou plutôt, comme nous le verrons dans un instant, résultat d'une
observation
insuffisante. Si l'on disserte depuis plus d'un
t à une période paraly- tiforme ou paralytique, cela résulte de nos
observations
et de celles de la plupart de nos collègues des
o- syphilitique ne repose pas sur des bases bien solides, sur des
observations
bien probantes, et à toutes les objections qui lu
- ment différent de celui qui sert depuis si longtemps de champ d'
observation
et d'indiquer la voie qui me semble devoir être
élire de revendication au trouble mental de ces malades. Les deux
observations
rapportées se ressemblent par plus d'un point e
L'auteur en cite plusieurs exemples recueillis dans son service,
observations
dont le schéma peut se résumer en quelques mots :
hilis, qu'il existe un enchaînement morbide évident, comme dans les
observations
de démence syphilitique rapportées au début de
e les médecins ne leur en prêtent actuellement. Il est vrai que les
observations
touchant le rêve sont difficiles areeueinir. Ma
CAUGER et ÂNGIOLELLA. (Il 31ti711conzio. Anno XI, fasc. 2-3.) Une
observation
suivie de quelques conclusions : les fous moraux
ntent pas les chirurgiens. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les
observations
de folies guéries par des opérations chirurgi-
ans pour être certain du résultat acquis. L'auteur cite plu- sieurs
observations
dans lesquelles l'ablation des ovaires n'a donné
out examen gyné- cologique est systématiquement écarté. D'après ses
observations
il a trouvé que 60 p. 100 des aliénées présenta
énées présentaient des troubles des organes pelviens. Il apporte 34
observations
d'aliénées opérées, d'endométrite, de kystes de
ident en grand nombre. 1 L'auteur rapporte avec détails plusieurs
observations
très cu- rieuses et souvent très amusantes des
ET TREMBLEMENT-, par M. LIBBt;. (Presse médicale, 24 avril 1897.)
Observation
d'une jeune folle de vingt ans, d'une intelligenc
DO- méningitique; par M. SEGLAS. (Presse médicale, 101 mai 1897.)
Observation
d'une malade, âgée de trente ans, qui, au début d
syndiquée ? Il faudrait au moins adopter une norme pour prendre les
observations
et noter les actes à partir de la toute premièr
6.) A l'état normal, pense Wernicke, et c'est là le mérite de son
observation
, l'activité de la pensée s'accompagne d'une certa
n) ; par M. le D Ferrand (Limousin médical, numéro d'avril 1897).
Observation
d'un jeune malade atteint d'hystérie-épilepsie de
de six mois, aucune crise ne s'est produite. A. F. X. SUITE DE l'
observation
du premier cas DE myxoedème guéri par l'extrait
peut-il reparaître, même en continuant le traitement ? 11 cite deux
observations
de guérisons maintenues par l'usage constant d'
sique et mentale était manifeste. Deux photographies accompagnent l'
observation
. A. V. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 161 XII. Cas D
s le même numéro du journal, leD''Rai))on de Manchester, continue l'
observation
d'un crétin de quatorze ans dont l'histoire ava
éjà été rapportée dans le Buit. med. journ., en 1891. A. V. XIII.
Observation
CLINIQUE D'UN cas DE psoriasis traité par l'extra
'Edimbourg). (Brit. me(l. journ.. mars 1894.) L'auteur relate une
observation
d'un cas de psoriasis diffus et ancien, guéri p
démence et pronostiquer l'incurabilité. Le Dr Clouston apporte une
observation
d'un cas de manie juvé- nile traitée sans succè
iques soient donnés, s'il est nécessaire, jusqu'à l'intoxication. L'
observation
rapportée en est un exemple. Il s'agit d'une sy
ccidentel par la digitaline, est venu inter- rompre brusquement son
observation
. A. FENAYRou. XX. La PONCTION lombaire dans L\
à son tour, a donné naissance à la for- mation des cavités. Cette
observation
semble donc confirmer la théorie de Langhans SO
faire. D'après son avis, qu'il partage avec le Dr Korniloff, cette
observation
ne confirme ni infirme la théorie de Langhans et
M. Mourawieff croit que la sarcomatose et la gliomatose dans cette
observation
sont des processus d'origine congénitale et que l
Les régions ichthyosiques sont complètement dépourvues de poils.
Observation
XVII. Ichthyose des jambes. Coloration des ongles
t les incisives de la mâchoire infé- rieure (abrasion 4 ? degré).
Observation
XVIII. Alopécie légère. Ichthyose des jambes. G
e de lamelles jaunâtres. La peau est sèche. Les dents sont usées.
Observation
XIX. Ichthyose des jambes. Déformation des ongles
ntusion. Les dents sont usées, surtout les incisives inférieures.
Observation
XX. Ichthyose légère. Alopécie. J... Alphonse,
plus petit et plus mince que le premier. Nous rapportons ici dix
observations
de troubles des ongles chez les paralytiques gé
ralytiques généraux. Les sept autres cas sont signalés au cours des
observations
(obs. XI, XVII, XIX, LX, LXV, LXVI, LXVII). O
ours des observations (obs. XI, XVII, XIX, LX, LXV, LXVI, LXVII).
Observation
XXI. Ongles déformés et colorés. Erythème et acné
eur. Celles qui restent sont atteintes d'abrasion très prononcée.
Observation
XXII. Ongles déformés et colorés. Abrasion des de
que noir, d'aspect écailleux. Abrasion des dents, deuxième degré.
Observation
XXIII. Ongles déformés, colorés. Abrasion des den
, entourée d'un tissu blanc grisâtre. , . 182 ' clinique mentale.
Observation
XXIV. Déformation et coloration des ongles. Abr
lleux, avec dépressions transversales. Légère abrasion des dents.
Observation
XXV. Ongles déformés et colorés. Dents usées Th
s, colorés en brun-rouge. Les dents sont usées dans leur hauteur.
Observation
XXVI. Ongles déformés, colorés. Alopécie. Abras
oussent plus depuis un mois. Abrasion des dents au premier degré.
Observation
XXVII. Déformation des ongles. Expulsion des dent
nt sont usées, la pulpe est à nu sur les incisives infé- rieures.
Observation
XXVIII. Atrophie et déformation des ongles. Alo-
sous-unguéal. Abrasion des dents assez accentuée, deuxième degré.
Observation
XXIX. Atrophie et chiite des ongles. Alopécie.
es; elle est sèche et rugueuse au-dessus des genoux. (Ichthyose.)
Observation
XXX. Déformation des ongles. OEdème des mains.
es femmes. Elle débute aussi par le vertex sous forme de tonsure.
Observation
XXXI. Alopécie et ichthyose. 111 ? D... Cécile,
inée; elle se desquame en fines lamelles blanchâtres (ichthyose).
Observation
XXXII. Alopécie. Ichthyose. 111 ? Ch... Louise,
s épidermiques fines (ichthyose) sur les avant-bras et les mains.
Observation
XXXIII. Alopécie. inimc 11L.. Lina, quarante-si
légère disséminée sur tout le cuir chevelu depuis l'été de 1896.
Observation
XXXIV. Alopécie. : 11 ? B... Marie, trente-trois
cie remonte au commencement de 1894. Anesthésie cutanée complète.
Observation
XXXV. Alopécie. 11m° R... Berthe, quarante-troi
rès nos rensei- gnements, est très accentuée surtout aux tempes..
Observation
XXXVI. -A 10péeie. M ? R... Marie, trente et un
lu; elle est en pleine évolution, Anesthésie cutanée généralisée.
Observation
XXXVII. Alopécie. 11m° G... Émilie, cinquante a
de la tête. Le début de l'alopécie remonte au mois d'août (1896).
Observation
XXXVIII. Alopécie. Abrasion des dents. R... Fra
encore aussi dénudée qu'actuellement. Abrasion légère des dents.
Observation
XXXIX. Alopécie. Abrasion des dents. G... Antoi
renseignements sur le début. Abrasion dentaire au premier degré.
Observation
XL. Alopécie. Durillon ? Déformation des ongles.
s assez profonds, longitudinaux. Les dents sont légèrement usées.
Observation
XLI. Alopécie. Abrasion des dents. B... Pierre,
peau en est lisse et brillante. Les dents sont légèrement usées.
Observation
XLII. Alopécie. Abrasion dentaire. C... Eugène,
n tissu blanc grisâtre. (Troisième degré de l'abrasion dentaire.)
Observation
XLIII. -Alopécie. Abrasion dentaire. OE'CMC des
détruites, leur pulpe est à nu (troi- sième degré de l'abrasion).
Observation
XLIV. Alopécie. Abrasion des dents. F... Henri,
e légère en clairière limitée aux tempes. Légère usure des dents.
Observation
XLV. Alopécie. Déformation unguéale. Abrasion d
tion à couches friables, ils sont jaunes. Dents légèrement usées.
OBSERVATION
XLVI. -Alopécie. Défo ? ,2 ? zatio ? z des ongles
premier mémoire sur la question est dû à M. Biaute3. Il rapporte l'
observation
d'une fracture d'humérus chez un paralytique (
me année, 1876, Yerneuil'' communiquait à la Société de chirurgie l'
observation
d'un paralytique général chez% lequel une gibbo
mais sans apporter aucune preuve à l'appui de leur dire... » Une
observation
de M. Proelichb, que nous résumons ici, conclut
eur. Tel est l'état de la question. Nous n'avons pas nous- même d'
observation
à citer, et nous n'en avons jamais eu de cas. D
ôté . C'est exacte- ment le cas de la malade dont nous rapportons l'
observation
. Dans l'autre forme, l'atrophie est générale. L
muscles atrophiés présentent de la rigidité. Nous rapportons ici l'
observation
d'une paralytique géné- rale chez laquelle se d
Aclr. cle médecine expér·inrenlale,lS91.) 196 . CLINIQUE MENTALE.
Observation
LXVII. Eruption de phlyctènes. Déformation, atr
'avons pu faire, mais il nous a paru que les chiffres obtenus par l'
observation
de nos 57 malades nous permettaient d'arriver à
est quem nup- tix denzonstrant. Nous en avons pour preuve d'abord l'
observation
directe, sa prétendue fille ne lui ressemblant
solument imaginaire, ne parlant jamais des siens. Réflexions. Cette
observation
soulève bien des ques- tions intéressantes. Tou
DUM. Par un hasard pour ainsi dire extraordi- naire, le malade de l'
observation
ci-dessus est mort le 18 oc- tobre 1897, c'est-
o et Christiani. (J<j)fttH : COm ! 0, Anno XI, fasc. 2-3.) Une
observation
relative à un persécuté systématique. Les auteu
roubles mentaux était toute récente. Ici l'auteur rap- porte quatre
observations
, et des planches éclaircissent ses explica- tio
ues, c'est-à-dire qu'elle est éloignée du psûchê. P. KERAVAL. LI.
Observation
DE paralysie générale secondaire (tabétique) avec
l'agraphie à la des- truction de la pariétale inférieure. - Cette
observation
constitue donc une nouvelle preuve de la dépend
; par M. GiLBERT Ballet (Presse médicale, 18 novembre 1897.) Les
observations
de deux malades atteints d'amaurose hystérique
atations qu'ils ont faites sur neuf malades dont ils rapportent les
observations
, pour établir qu'il n'y a aucune différence clini
tte affection qu'il a observé chez un nègre âgé- de quatorze ans. L'
observation
est accompagnée de photographies- et des mesure
uet. (Presse médicale, 9 octobre 1897.) Ce travail est basé sur l'
observation
d'une malade âgée de qua- rante-sept ans, attei
7 7 glande thyroïde qui pendant un certain temps a été saine. Des
observations
résumées et plusieurs photographies accompagnent
ed. Jour., 2 octobre 1897.) La conclusion importante de ces trois
observations
est que la maladie de Friedreich est une entité
rière. (Pres.;e médicale, 7 juillet 1897.) Les auteurs rapportent l'
observation
clinique et les résultats de l'autopsie d'une m
et d'hypnologie, 1897, no 11.) Le malade qui fait l'objet de cette
observation
est un athéro- masique qui fut pris brusquement
ONNE et le Dr Grand (de Lille). (Presse médicale, 10 avril 1897.)
Observation
d'un malade qui, à la suite d'un violent trauma-
per- pendiculaire interne et détruisant l'écorce ducunéus. Cette
observation
tend à établir l'existence réelle des hémianop-
. , (Presse médicale, 28 juillet 1897.) Ce travail est basé sur l'
observation
d'une malade de trente-sept ans, issue d'une mè
x ou trois minutes. Les réflexions suggérées à l'auteur par cette
observation
, peuvent se résumer ainsi : * 1° L'insomnie per
indice d'état géné- ral et de pronostic plus graves. D'après les
observations
de l'auteur, l'état psychique des malades 240 R
ille demande à présenter, à l'occasion du procès-verbal, une double
observation
. Il s'agit de deux proposi- tions insérées dans
, in-8, 1897. F. Alcan, éditeur. Etude clinique parfaite, nourrie d'
observations
à méditer avec soin, dans laquelle M. Voisin pr
re divisés en deux parties. Dans la première, ils disposeront, avec
observations
cli- niques à l'appui, les recherches qu'ils au
reproduire peut s'objectiver dans les défauts de la descendance.
Observation
I. Je soigne depuis une dizaine d'années un jeune
ître que ce n'est pas sans raison qu'il accuse ses conseillers. L'
observation
suivante présente la plus grande analogie avec
nquence, ont chez l'homme plus de chances de frapper l'attention.
Observation
II. J'ai été consulté au mois de juin 1897 pour
it jamais senti d'impulsions de ce genre. Comme chez l'homme de l'
observation
précédente, la conscience d'une anomalie sexuel
olon- tiers les faits divers des journaux, conteste la valeur des
observations
médicales. Pourtant il me semble que la raison
ions médicales. Pourtant il me semble que la raison concorde avec l'
observation
pour faire admettre qu'un bon nombre d'invertis
l'inversion sexuelle, elle n'est pas suffisamment établie dans ces
observations
: l'inversion est tout au plus vraisemblable ch
on n'était pas plus désirable pour elle que pour la communauté. Son
observation
concorde tout à fait avec la précédente, où on
Comptesrendus annuels de notre service de Bicêtre, des notes et des
observations
sur l'hydrocéphalie. En 1893, au Congrès des mé
gauche et des troubles de la vue. L'hydrocéphale paraît, dans cette
observation
, être la résultante de poussées méningitiques r
transverse syphilitique et la myélite aigus syphilitique, avec une
observation
. Dans tous les cas, en général, on rencontre un
cales se fera suivant le procédé de Simon, que décrit l'auteur. Des
observations
de Simon il résulte qu'à une diminution dans la
comitantes du sympathique et du système nerveux périphérique. Cette
observation
vient s'ajouter aux autres faits démontrant l'exi
yspepsies indépendantes sura- joutées. Ce mémoire est composé de 71
observations
rigoureusement relevées et contrôlées chacune p
) ; par Wharton SINKLER. (Médecine, Détroit août, 1897.) Dans cette
observation
, intéressante à cause de la rareté de cette aff
ÉVRALGIE SUS-ORBITAIRE; par le D1' Harold Moyer. Le malade dont l'
observation
est relatée, souffrit dès 1887 de névralgies su
arie d'une semaine à l'autre. Une particularité intéressante de l'
observation
consiste dans ce fait que la mère du malade fut
usse, 1897, année XXIV, octobre, p. 491-499.) L'auteur complète l'
observation
qu'il a publiée un an avant et qui présente un
es buccaux et pharyngiens. Les côtés intéressants et originaux de l'
observation
peuvent être ainsi résumés : . 1° L'asthénie
Francotte. (Jour, de Neurologie et d'llypizologie, 1897, n° 22.)
Observation
d'une religieuse, hystérique, qui, entre autres a
et conserve un certain pouvoir personnel, ce qu'il démontre par des
observations
frappantes et par des faits ou opinions de Beauni
n- fluence étiologique de l'alcoolisme sur l'idiotie et plusieurs
observations
sur l'alcoolisme infantile et la dipsomanie de
D'un long et intéressant mémoire s'appuyant sur près de deux 'cents
observations
, les auteurs tirent les conclusions suivantes :
ologie, il ne faut pas oublier les résultats importants que donne l'
observation
technique. Ce qui doit attirer tout particulièr
nières années à l'asile de Michigan et rapporte quel- ques-unes des
observations
les plus intéressantes. Dans tous les cas la sy
teur, puisque l'auteur n'a pu en trouver un seul cas authentique. L'
observation
présente, des plus complètes autant qu'intéress
uë; - par E.-F. Richault. Ce travail contient simplement quelques
observations
de para- lysie générale à marche rapide. Il ne
développe les idées de ces auteurs et contient un certain nombre d'
observations
, signa- lées seulement dans leur mémoire paru d
jeune travailleur, adonné depuis plusieurs années à l'étude et à l'
observation
de l'occultisme et de ses pratiques. Nous nous bo
s nerveuses et en particulier la plu- bibliographie. 349 part des
observations
qu'il a recueillies à Niée, durant ces deux pre
remière par- tie. Dans l'un se trouvent réunies un certain nombre d'
observations
d'hystérie, de formes et de degrés variables, d
so- ' Leuret. Fragments psychologiques sur la folie. . ' Dagonet.
Observations
, p. 238. (Traité des maladies menta- les, 1876.
protoplasmique ou cylin- d/axile, l'anatomie a substitué le fait d'
observation
du contact des prolongements de la cellule nerv
lule, mais d'un des rameaux de ses dendrites souvent fort éloignés,
observation
qui n'avait pas échappé à Deiters, et qu'ont bi
les troubles de la vision qui constituent le point particulier de l'
observation
que j'ai l'honneur de pré- senter. En effet, la
maurose à la même cause que les accidents décrits au début de cette
observation
, à la même cause que les paralysies passagères,
tiques sur l'épilepsie et l'hyslérie, p. 13î, 1 et Ifi5. z Voir l'
observation
complète dans Bourneville et Regnard. Icono- rl
old L1 : VI. (IV021'U. ICOit0y9'. de la Salpêtrière, n° 2, 1897.)
Observation
clinique suivie d'autopsie et d'examen histologiq
ue de la physiologie, de la médecine légale et de la clinique pure.
Observation
. Jeune homme de vingt-huit ans. Reçoit deux cou
E la substitution musculaire : par le professeur THOMAYER. Les deux
observations
rapportées par l'auteur montrent que dans quelq
e, indépendamment et doute influence de la névrose épileptique. L'
observation
citée par l'auteur établit que l'aulomatisme pré-
ie générale juvénile. Pour M. Régis, le doute n'est plus permis; 70
observations
avérées ont pu,être recueillies. Elle se présente
à celle de la paralysie générale de l'adulte, qu'il semble que les
observations
publiées aient été rédi- gées de toute pièce po
itaire. M. Régis partage cette opinion. M. CHRISTIAV. La première
observation
de paralysie générale juvénile est plus ancienn
ent leurs deux ob- servations personnelles dont voici le résumé :
Observation
L-Femme âgée de trente-quatre ans. Pas de syphi-
que avec troubles trophiques très accentués. Mort le 31 décembre.
Observation
II. Femme âgée de trente et un ans. Hérédité ps
trale du quatrième ventricule. Les auteurs admettent que dans cette
observation
il s'agit éga- lement d'une encéphalite hémorrh
elque clarté sur la genèse des convulsions posthémiplé- giques. Une
observation
est faite par M. Kornilow. Séance du 30 janvier
lI. VEfiZILOrr. Deux cas de compression de la moelle épi- nière.
Observation
I. La maladie a duré deux mois et demi et s'est
urs sur une étendue de un demi -centimètre (virgule de Schultze).
OBSERVATION
Il.- La maladie a duré trois ans et demi, ayant d
du côté droit avec diminution du sens musculaire. Vers la fin de l'
observation
, la paraplégie inférieure augmenta graduellemen
dégénération de ces faisceaux jusqu'aux couches optiques. De ces
observations
, l'auteur tire les conclusions suivantes : 10 l
neurologie en Europe, publia de nombreux mémoires, des leçons, des
observations
relatives à la Médecine générale, à la Neurolog
oyager, est un régal de l'esprit par les critiques délicates et les
observations
humoristiques qui émaillent la description des
sur les racines rachidiennes et les nerfs de la queue de cheval.
Observation
. Résumé. - Début par des troubles subjectifs de l
près uniformément réparties dans tous les autres faisceaux. Cette
observation
nous paraît intéressante au triple point de vue
de la moelle de la tumeur nous enlève tout regret à ce sujet. Notre
observation
soulève plusieurs questions intéressantes de ph
On pourrait peut-être même admettre comme nous l'avons fait dans l'
observation
, de véri- tables hallucinations du sens muscula
us montre que ces dernières suivent ces cordons postérieurs=. Notre
observation
vient pleinement confirmer ces deux données, en
V excitation probablement même des cordons postérieurs. Dans notre
observation
ceux-ci paraissaient en effet les moins altérés
nante sur les cordons posté- rieurs (le tabès par exemple). Notre
observation
apporte un élément à la solution d'une autre qu
oulons simplement signaler ce fait sans commen- taires : dans notre
observation
, malgré une destruction de l'axe gris sur une g
troubles psychomoteurs semblent avoir une influence capitale ; les
observations
qui suivent nous paraissent le démontrer. Une
hapitre de la démo- nomanie d'Esquirol, nous y trouvons une série d'
observations
remarquables par leur analogie entre elles, et
' rapporte des cas analogues. Cotard 2, qui rappelle d'ailleurs les
observations
précé- dentes dans son délire des négations, in
a malade, qui est d'une bonté angé- lique. 11. lllagnan, dans une
observation
communiquée à M. le D'' Dupain ', rapporte un f
iller. » Dans la thèse de M. Legrain 2, nous relevons également l'
observation
d'une femme qui se croit possédée par l'esprit
ses-là; moi, je vous aime. » Et d'au- ' Dupain.ThÈse Paris, p. 188.
Observation
LXXXVI11. 8 D' Legrain. Thèse, Paris, 1886, p.
188. Observation LXXXVI11. 8 D' Legrain. Thèse, Paris, 1886, p. 1b,
Observation
LXXVIII. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 473 as très
la cellule par un encadrement bleu foncé net. P. 11ERAVAL. LXXXVH.
Observation
DE mouvements associés TYPIQUES DE l'extré- mit
ur comprendre le mécanisme, dans le mémoire). P. Keraval. LXXXIX.
Observation
DE paralysie du tact ; par DUMERS. ' (z\Tettrol
3TEH. (LV8219'OIOIf. CC'1211'CIII., XVI, 1897.) Le sujet de cette
observation
est un médecin. C'est un homme de soixante-quat
ques ou extrinsèques de i'oei) ; pas de nystagmus . Comparant cette
observation
aux autres cas semblables, l'auteur reste dans
ours réductible à une topo- graphie régulière. Il nous en donne les
observations
détaillées, accompagnées de photographies. Tous
t bien plus rare que dans les autres modes de suicide. En voici une
observation
. Or, tous les cas publiés' frappent par l'appar
intervenir un autre facteur mental ou hystéro-traumatique. Dans l'
observation
présente, c'est la fermeture des carotides qu'il
caux dont il a été chargé par le tribunal de Chambéry et publie une
observation
très longue et très intéressante de deux jeunes
cteur médecin de l'asile de Bassens où elles avaient été placées en
observation
les déclara atteintes de la folie de persécutio
matismales ou simule une névrose : d'où le nombre assez restreint d'
observations
qu'on a donné jusqu'à ce jour. Si l'interventio
es sur l'histogenèse de l'écorce du cervelet. Auge (Frédéric). De l'
observation
des réflexes pupillaire et cor- néen pendant la
taux de Lyon. (Thèse de Lyon, janvier 1898.) L'auteur a réuni les
observations
les plus nettes de pseudo-mé- ningite de nature
erne. Il recommande l'aménagement* d'une section d'admission et d'
observation
où le nombre des médecins soit plus grand et où i
Rayne concernant les placements volontaires précoces et la mise en
observation
médicale transitoire des cas de folie douteux a
graphiques. Dans ce parcours, le hasard nous a permis de relire une
observation
des plus curieuses, et qui, dans ses détails, i
e un jour tout nouveau sur l'horizon de notre science. Issue de l'
observation
, elle en contient virtuellement toutes les donn
compter la diversité des cadres dans lesquels devraient entrer les
observations
. More), nous l'avons -d'une prétendue monomanie
e, qu'il nous eût été facile d'induire de la théorie. La première
observation
d'où, pour nous, naquit la lumière, fut celle d
en rendait l'exposition doublement nécessaire. Déjà, d'après une
observation
recueillie par M. Baume, alors interne à 31arév
part, implique le délire mouomaniaque ? Cela ne ressort guère de l'
observation
, si on l'analyse. En soi, l'extase est une sort
onnût son erreur. D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 15 Dans l'
observation
de Renaudin, les traits ne sont point identique
chapitre consacré à l'espèce reli- gieuse, Renaudin relate quelques
observations
qui en D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 21
és de médecine mentale, scrute et commente particulièrement 1 les
observations
qu'ils renferment. Elle est naturellement frapp
s malades atteints d'hémiplégie d'origine cérébrale. Il résulte des
observations
du professeur du Collège de France, qu'une lési
sions développées par M. Brown- Séquard reposent la plupart sur des
observations
dyna- mométriques exactes. Mais, exprimées sous
MIPLÉGIQUES. 3t Hémiplégies gauches . 32 CLINIQUE NERVEUSE. Des
observations
résumées dans les tableaux précé- dents on peut
corres- pondant. En prenant pour base du calcul l'ensemble des 40
observations
rapportées plus haut, on trouve que les membres
s, mais il est moins net et les différences n'ont jam'ais, dans mes
observations
, dépassé 1 kilogr. Il n'est peut-être pas inuti
rence -paradoxale, est cependant appuyée sur un très grand nombre d'
observations
. On peut voir dans les tableaux ci-dessus que c
sont égaux ou presque égaux pour les deux membres symétriques. Les
observations
n°" 8, 16, 28 et 30 en fournissent des exemples
. M. Bernard, dit en effet, dans ses conclusions : « Des faits et
observations
qui précèdent, je crois pouvoir conclure que la
l croyait devoir en faire la demande. RECUEIL DE FAITS Notes et
observations
sur la 1111CROCÉPHALIE; Par BOURNEVILLE et WUIL
onvolu- tions atrophiées. Nous publierons prochainement une autre
observation
de microcéphalie et nous aurons sans doute l'oc
'étendre du côté sain, comme M. Brissaud en rapporte un exemple L'
observation
suivante appartient à ce dernier groupe de fait
ire que nous avons poursuivi sans parti pris ni idée préconçue. Les
observations
nouvelles produites de- puis le commencement de
, Broadbent), ne sauraient plus être admises aujourd'hui. Un fait d'
observation
anatomô-clinique vulgaire, suffit à les réfu- t
difficile de déterminer, avec une certitude absolue, à l'aide de l'
observation
anatomique seule, quelles sont celles des circo
Notre ami Ch. Péré, en mesurant le champ visuel de la malade dont l'
observation
nous est personnelle, a notamment constaté un r
tré, les particularités cliniques avec les détails anatomiques. Les
observations
ultérieures auront à en confir- mer ou à en inf
observer le malade; et nous serions trop heureux si cette méthode d'
observation
pour laquelle certains esprits exclusifs affect
lui devons en matière de troubles du mouvement. Aussi est-ce à l'
observation
que nous avons surtout fait appel, nous efforça
ropos, instructives à relever : « Il n'existe pas encore, dit-il, d'
observations
de troubles auditifs dans les maladies cérébral
aladies cérébrales, principalement dans le ramollissement;... pas d'
observations
d'agueusis dans les maladies du cerveau... Les
pas d'observations d'agueusis dans les maladies du cerveau... Les
observations
manquent encore, ajoute-t-il, pour établir nett
ull, Kôhler et Pick, Wernicke, etc. Il semble en effet, d'après les
observations
rapportées par les auteurs qui précèdent et d'a
reuse du mot ? Non, sans doute. Il semble par exemple, découler des
observations
récemment compulsées par S. Exner, que les sens
se soutenir. L'auteur incline vers la dernière et cite à l'appui l'
observation
d'une malade heureusement traitée par des injec
i guérit fort bien dans un appareil plâtré appliqué de force. Ces
observations
ne disent malheureusement rien de précis sur la
sensibilité générale et spéciale des malades. Rapprochant ces deux
observations
de celle d'une malade simplement névropathe, at
e titre, M. Sommer se propose d'étudier, à l'aide de cent cinquante
observations
prises à l'asile d'Allenberg, la démence persis
s répandues partout ; on con- sultera cependant avec fruit les cinq
observations
de délire expansif. Il importe également de fai
ibles du morphinisme. L'auteur ré- sume en terminant l'intéressante
observation
qui suit : «Th. L..., trente-huit ans, célibata
onsidérablement amélioré. » L'auteur ajoute comme complément de son
observation
que la malade ne prend plus depuis le 10r mars
émie des centres, ou la méningite. Celle-ci est, soit purulente (18
observations
de ce genre), et dérive alors de foyers pyémiqu
e celui-ci leur succède souvent im- médiatement. La seconde série d'
observations
(28) concerne les accidents psychiques qui se p
t davantage), généralement guérison. Coqueluche. Il s'agit de trois
observations
de Ferber concer- nant deux filles et un garçon
èvre de suppuration, pour se prolonger de un mois à un an. Sur huit
observations
, cinq malades ont guéri; trois, au bout de troi
ne dépasse pas d'habi- tude quelques heures à un mois. Un quart des
observations
démontre leur prolongation au delà de la conval
er que ces faits ne sont pas nouveaux. J'ai déjà publié en 1868 des
observations
analogues. Prix Belhûm ? ne. M. LFGR.IND du S
t significatives. A l'appui de sa thèse, M. Motet apporte plusieurs
observations
qu'il a recueillies avec 11. Blanche. 11 suffit
psychose, 4° le degré d'empire mental qu'il a récupéré. Une longue
observation
peut déceler le caractère normal, l'existence d'a
but. Pour l'atteindre et convaincre de l'inanité des craintes, une
observation
longue, attentive, spécialisée au côté moral et
urs extrémités inférieures par des avivements. Les deux der- nières
observations
recueillies ici témoignent de la valeur du bien
: 22); la quantité en était considérable- ment diminuée dans quatre
observations
dont trois avaient trait à des modalités un peu
nt dans la rue en état d'ivresse. M. Rock apporte à ce propos une
observation
également remar- quable. La malade dont il s'ag
ot), l'amour de l'homme pour l'homme, de la femme pour la femme Les
observations
de ce genre ont le plus souvent à leur actif ét
rition du sol sous les pas); la confirmation objective résulte de l'
observation
du ralentissement respiratoire se transformant
l'occasion d'être consulté au sujet d'une des malades de NI. Hagen (
observation
III du travail : les maladies des reins comme cau
ôme est une preuve de son origine. « Certainement, ajoute-t-il, les
observations
d'albuminurie nerveuse se multiplieront à mesur
ctions cérébrales. Bof. Rieger admet que l'on puisse considérer son
observation
comme douteuse : il faut pour conclure définiti
faits. M. Fournier rentre en campagne avec un total de plus de cent
observations
per- sonnelles ; et de l'ensemble de ses recher
C'est dans les Fragments psychologiques de Leu- ret que je trouve l'
observation
la plus caractéristique. J'en résume l'interrog
as du tout. Enfin, les auteurs anciens rapportent un grand nombre d'
observations
d'après lesquelles diverses anomalies fonctionn
alies fonctionnelles sexuelles peuvent produire des accès de folie,
observations
notées en grande partie dans le livre de Berthi
n, Griesinger, Schüle), se bornent à signaler le fait sans aucune
observation
à l'appui de leur opinion. D'autres envisagent
On trouve également, dans les Revues médicales, un grand nombre d'
observations
isolées analogues. Maintenant, il faut reconnaî
nes données seulement positives, on s'expose à laisser échapper à l'
observation
les autres éléments nécessaires pour pouvoir ar
de l'ovaire, quatre cas. Hergt', au contraire, dit que, d'après ses
observations
, prises à l'autopsie des aliénées pendant plusi
uer, sans même tenir compte de la différence des résultats de leurs
observations
, que leurs données ne peuvent avoir qu'une vale
dométrite, de vaginite, etc., doivent nécessaire- ment échapper à l'
observation
et, par conséquent, atténuer considérablement l
ar l'exa- men clinique de la malade et les données des feuilles d'
observation
que j'ai pu avoir à ma disposition, comme les m
c. cit.), les résultats actuels de mes recherches sont fondés sur l'
observation
de deux cents malades; ce qui peut permettre de
nt curieux de pathologie mentale. Je me bornerai à relater quarante
observations
personnelles et à les faire suivre ou précéder
me pendant un temps assez long, comme le prouve le fait suivant :
Observation
I. Hérédité congestive. Paralysie générale prog
uoi qu'il en soit de l'explication, le fait est exact et les deux
observations
qui suivent en sont une nouvelle preuve. Observ
et les deux observations qui suivent en sont une nouvelle preuve.
Observation
II. Hérédité congeslive. Cxcis de travail. Para
toute conscience avait disparu et la maladie reprenait son cours.
Observation
III. Habitudes alcooliques liées à la ménopause.
que se recrutent presque toujours les aliénés conscients. Dans mes
observations
prises en général, sur quarante malades, dix se
tent par une étude de la maladie d'après les documents récents et l'
observation
de plusieurs malades de la Salpêtrière. Des tro
e médical Sciences, juillet 1881, p. 168.) . Voici le résumé de l'
observation
: il s'agit d'un homme sur le corps duquel un t
e médical Sciences, octobre 1881, p. 392.) L'auteur rapporte deux
observations
originales et très inté- ressantes d'hystéro-ép
vations originales et très inté- ressantes d'hystéro-épilepsie; ces
observations
sont accompa- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 223
SI. (Lo SI)e2-iîiieiiiale, 1881, fasc. 7.) Le De Bassi rapporte l'
observation
d'un homme de 57 ans qui, après avoir été frapp
, Westphal et des aliénistes français que chacun connaît. Les seize
observations
nouvelles que l'auteur apporte à l'appui ont en
de Hammond avec ses trois stades ' à laquelle l'auteur ajoute deux
observations
. Voici, à cet égard, ce que M. Wille aurait le
- (1 rr.h. f. Psych. M. Il'ervenl ? lII, 1, 2.) Schwaab apporte une
observation
. L'homme qu'elle con- cerne, absolument bien po
gie. La pathologie de la connaissance est précisément basée sur l'
observation
d'actes accomplis indépendamment de tout motif.
me établisse- ment; ils permettraient d'en suivre plus facilement l'
observation
et de faire passer le malade dont l'affection a
ussion que ce fait soulève, M. BEIINHIIDT appelle l'attention sur l'
observation
de Peters (Detitsclie m ! V(f;)'-ot' : t'H7te Z
ormais davantage sur les troubles vésicaux, constants en toutes ses
observations
de para- lysie spinale spasmodique. M. Wkrnic
u l'intégrité du facial du même côté, un peu plus haut que dans les
observations
communiquée* jusqu'ici. La syphilis étant possi
30 à 36 marks. Quant à tirer un parti scientifique des matériaux d'
observation
que l'on a chaque jour sous les yeux, cette bes
T ne veut pas laisser passer ce fait sans appeler l'attention sur l'
observation
tout récemment publiée par Hunnius, et de laque
que M. Remak mon- trait à la séance du 8 mars 188J. On en trouve l'
observation
dans le u° 22 du Berlin. Klin. Vocheii5chi-, 1
La publication du fait sera effectuée '. M. GNAUCK considère cette
observation
comme un cas de concep- tion irrésistible dont
La discussion qui s'engage à son sujet met d'abord en lumière deux
observations
communiquées par le docteur DnozDA. En l'une d'
R fait sa communication annoncée sur la stupeur, à la lumière d'une
observation
recueillie à la clinique de MEYNERT. La publica
si bien à l'étranger qu'en France pouvaient lui fournir. Toutes les
observations
cliniques, toutes les théories physiologiques,
ites attaques convulsives de l'hystérie. S'appuyant sur ses propres
observations
, l'auteur ajoute un certain nombre de chapitres
de Paris, 1882. Le travail de M. Gautier est basé sur de nombreuses
observations
recueillies par M. Lancereaux ou dans son servi
direction de M. le professeur Pitres, de Bordeaux, et basé sur des
observations
prises par lui ou dans *on service, comble une
disait qu'on n'en avait point encore observé sur les membres : les
observations
très circonstan- ciées de MAI. Pitres et Gaube
ertige guérir pendant que le sujet reste sourd. Or, c'est un fait d'
observation
que la surdité est sou- vent, très souvent la s
gations et peut coexister avec lui; on en verra un exemple dans les
observations
qui suivent. Je divise ces observations en troi
verra un exemple dans les observations qui suivent. Je divise ces
observations
en trois catégories : dans la première je range
pa- bilité et le délire des persécutions. Première ' catégorie.
Observation
I. NI ? E..., âgée de cinquante-quatre ans , ma
8 dans un état de cachexie générale. DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 285
Observation
II.MË... âgée de soixante-trois ans, placée à V
rt en 1876 sans que le délire ait subi la moindre modification. -
OBSERVATION
III. Mme S..., âgée de cinquante-trois ans, a d
Actuellement (mai 1883) son état reste absolument stationnaire. -
Observation
IV. Mm0 M..., âgée de cinquante et un ans, mari
J... est toujours la même, son délire ne s'est nullement modifié.
Observation
VI. M ? C..., âgée de quarante-trois ans, marié
séjour et est sortie non guérie; j'ignore ce qu'elle est devenue.
Observation
VII. M. A..., âgé de cinquante-trois ans, placé
e délire n'est nullement modifié. DU DÉLIRE DES vliGA'1'10\a. 289
Observation
VIII. M. A..., âge de quarante-huit ans, placé
un e*, L IV. l'.l 290 CLINIQUE MENTALE. Deuxième catégorie. i ,
Observation
IX. M. C..., âgé de quarante-cinq ans, de const
nemarcher,laparo]eestpresque inintelligible. Troisième catégorie.
Observation
X. «1-0 G..., âgée de quarante-deux ans, mariée
damnée, il est vrai, mais ce sont les médecins qui en sont cause.
Observation
xi Mmo H..., âgée de cinquante et un ans, est p
e ces quelques cas, citer, de seconde main, un assez grand nombre d'
observations
éparses ça et là et dans lesquelles le délire d
SEXUELLES; Par lltitl. CIIAllC01' et MAGNAN (Suite) '. Si, dans l'
observation
qui précède, ne tenant compte que des faits rel
re malade, avec l'existence de facultés brillantes. En résumant l'
observation
nous trouvons, dès le premier âge, la voluptueu
ofond. Pour compléter les renseignements sur cette intéres- sante
observation
, nous ajouterons que, depuis un an, une amélior
ac- tement l'état mental du héros de cette affaire qui, d'après l'
observation
même et les détails du procès, était un faible
s actes des hommes affectés d'in- version de l'instinct sexuel, des
observations
qu'il a faites auprès d'une fille de trente-cin
. Des cas assez nombreux ont déjà été publiés chez 'l'homme', les
observations
relatives à la femme sont rares peut-être à cau
ennent à cacher ce trouble ins- tinctif. Toutefois, nous avons deux
observations
, celle de Westphal et un cas de Gock chez une j
mtrer sexualempfindung (1'c/t. psych., Bd. VI, p. 484 à 4J5, 1876.)
Observation
d'un homme de trente-cinq ans et l'observation
p. 484 à 4J5, 1876.) Observation d'un homme de trente-cinq ans et l'
observation
peu concluante d'une fille de seize ans qui, ay
erted sexuel mtstincts. (Braizt, p. 368 à 370, octobre 1881. ])Ctlx
observations
, l'une d'un homme avec des détails intéressants
r arrive ensuite au sens sexuel contraire, dont il fournit quelques
observations
et qu'il regarde comme un symptôme lié à un deg
ifie pas le fond même de la maladie, nous allons présenter quelques
observations
de per- versions sexuelles différentes de l'inv
mpfindung, p. 305.) Anctoves, t. IV. 20 306 PATHOLOGIE MENTALE.
Observation
IL Mère hystérique ; migraine chez Le frère. Ha
c des couleurs différentes dans les manifestations. Nous devons l'
observation
suivante à l'obligeance de notre excellent conf
riche collection pour nous permettre de la joindre à notre étude.
Observation
III. Hérédité névropalhique. Convulsions dans l
sexuelle qui a débuté à six ans, est le phénomène saillant de cette
observation
; mais ce n'est là qu'un épisode d'un état mala
, les hallucina- tions et les signes physiques de dégénérescence.
Observation
IV. Famille d'excentriques : père halluciné, s'
e l'âme, on s'en tenait aux simples spéculations psychologiques ?
Observation
V. /A'' ? 'e'6e morbide coizvei-ge7îte.- Intellig
. , tn. i .,(. ')'' nlrt ! . . '' t,\o4 ^appelons encore les deux
observations
suivantes de perversion ]le; 1 gIl it ? Dans le
a toujours évité le contact des petits garçons.» Dans la seconde
observation
il est question d'un peintre en bâtiments âgé d
hez l'/<om ? M, 'on doitsurtoutfairedesobservations sur lui, des
observations
clini- ques dans lesquelles on peut établir d'u
ses recherches, mais bien un moyen indispensable pour compléter ses
observations
cliniques, contrôler l'interpré- tation des phé
evient sponta- nément ou suivant les variations de la glycosurie, l'
observation
du régime approprié. Divers phénomènes l'accomp
aque, embarras de la pa- role et déviation de la bouche à gauche.
Observation
111. M. de B..., diabétique. Aphasie totale avec
s monoplégies combinées est celui qui est rapporté par M. Ogle1. -
Observation
V. Paralysie du bras droit et du côté droit de la
ète et tout à fait éphémère comme chez un malade de M. Charcot. '
Observation
VI. Le D IL ? diabétique. Faiblesse des membres
Quant aux paralysies des muscles de 1'oeil, il n'en existe pas d'
observations
assez concluantes, même dans la thèse de Kiwatk
blcs à des lésions médullaires. Marchai (de Calvi) , rapportant l'
observation
d'un malade amaurotique et paraplégique, de- pu
ire de même siège, comme le montre le fait suivant de M. Charcot.
Observation
VU. M. M..., diabétique. Épilepsie partielle du
prises dans ses leçons et que nous retrouvons dans plusieurs de ses
observations
. M. Raymond5 a eu aussi l'occasion d'ob- server
aux troubles ou aux lésions concomitantes du syst( me nerveux ? Les
observations
ne permettent pas de conclure. Celle de la femm
ale et il y avait pure coïncidence, comme le montre la lecture de l'
observation
. Depuis le commencement du siècle, il n'est pas
dant la chose nécessaire. A Desmares, il oppose deux de ses propres
observations
dont les analyses d'urine ont été four- nies pa
agique, peuvent compliquer cet état. IIeyl publiait récemment une
observation
des plus intércs- 1 Bouchardat. Loc. cit , et A
es enfants. Leroux' ne les relève que trois fois sur cent cinquante
observations
. C'est l'opinion professée par M. Lécorclié, dè
ures, de la nature de celles qui ont été signalées par Dickinson.
OBSERVATION
VU. M. X..., de Besançon, est atteint d'une atro-
t : edica/, 1881.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 355
OBSERVATION
IX. M. J..., du Havre, cinquante-quatre ans, ma
g est également très manifeste. Du. dépouillement de cent cinquante
observations
, Leroux 1 Progrès médical, 188 p. 967. °- Gaz
e en avant du lambda, de plusieurs milli- mètres. Pour le reste des
observations
, nous ne pouvons que donner les conclusions de
les aliénés, se rencontre généralement à un âge très avancé; les
observations
de M. Loehr lui ont fait constater concurremment
genou de Westphal. Il faut se rappeler d'ailleurs que, d'après les
observations
de Brissaud et Richet sur les hystériques, la d
être diagnostiquée que lorsqu'il existe des signes de pyohémie. Les
observations
d'un grand nombre d'auteurs prouvent cependant
ait pas de lésion des cordons posté- rieurs. Il rapporte quatorze
observations
résumées : onze ont trait à des ataxies vraies
ux divers par simple irritation spinale. Voici une de ces dernières
observations
: R..., âge de vingt-huit ans, souffre d'une in
y. (Revue de méde- cine, juin 1881.) L'auteur, se basant sur deux
observations
personnelles et sur quelques faits empruntés à
de la société ilarvéienne de Londres, le Dr C.-G. Henderson a lu l'
observation
d'un cas de variole confluente suivie d'ataxie.
neux faisait encore dé- faut. Le Dr IIenderson rapprocha ce cas des
observations
ana- logues rapportées par Landouzy et d'autres
erveau; par C. VON Monakow. (Arch. ? Psych. u. Nérvenk, XI. 3.) L'
observation
concerne une femme de 35 ans entachée d'hérédit
élite; par G. MOELI. (A)'671/i;. f. Psych. u. 11'ervezla. XI. 3.)
Observation
L-l3rusque atteinte d'analgésie et de faiblesse
vasculaires, liémorrbagies). Il conseille de rapprocher ce fait des
observations
deleydoii et Strümpell dans lesquelles \ REVU
myélitiques artificiels, trouva plus tard des processus scléreux.
Observation
II. Raideur et affaiblissements de la jambe dro
portant que sur certains faisceaux de fibres ? Voici le résumé de l'
observation
, base de ce travail. Début de la maladie en 186
'est au moindre symp- tôme suspect qu'on agira. L'auteur relate une
observation
, qu'il considère comme manie simple, datant déj
chaude et bien divisée. Très forts bourdonnements d'oreilles : deux
observations
à l'appui. Dans l'une il s'agissait d'une hysté
it une sclérose corticale peu marquée dans la même région. Quelques
observations
montrent que l'exagéra- 388. REVUE DE PATHOLOGI
Bacon. (The Joztr ? ial of JIeîzlal Scz*e2,tce, n° d'avril 1882.) L'
observation
peut se résumer ainsi : Femme de trente-trois a
sont internés 1. R. de M.-C. XXI. Folie associée A la chorée; deux
observations
; par Joseph WiGLESwopTH. (llie journ. of Ment.
journ. of Ment. Science, avril 1882.) Voici le résumé de ces deux
observations
: 1° Femme de vingt-un ans, mariée, d'une bonne
ence, n" d'avril 1882.) Nous ne pouvons donner ici les détails de l'
observation
et de l'autopsie ; mais les réflexions de l'aut
aux précédents du même auteur ; mais, composé presque entièrement d'
observations
, déjà très condensées, il échappe à l'analyse,
r dans l'ataxie locomotrice; par Poucr : r. Thèse de Paris, 1882.
Observations
de mal perforant annonçant le début d'une affecti
e déterminer des unités électriques, de se fixer sur les méthodes d'
observation
de l'électricité de l'atmos- phère, et de réuni
je pense qu'on peut espérer du succès. » Becquerel rapporte deux
observations
: la première ti Loc. cit., p. 633-637, HISTO
vel accès, traité à nouveau par les douches avec le même succès. (L'
observation
a paru cinq mois après ce nouvel accès). Fleu
vation a paru cinq mois après ce nouvel accès). Fleury a publié l'
observation
d'un enfant de treize ans qui, à la suite d'une
avoir une opinion précise sur l'action des agents thérapeutiques.
OBSERVATIONS
. 1 3 Observation I. Epilepsie idiopathique. -
précise sur l'action des agents thérapeutiques. OBSERVATIONS. 1 3
Observation
I. Epilepsie idiopathique. - Onanisme. - Début
lume de la tête va ré- gulièrement croissant d'avant en arrière :
OBSERVATIONS
. 15 J 16 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. bruyante
. Température invariable de 37°,6 ; la convalescence est assurée.
OBSERVATIONS
. 17 12 feu. Impétigo de toute la partie antérie
ps. 6 nov. Traitement par les injections sous-cutanées de curare.
OBSERVATIONS
. 19 9 On voit, en examinant le tableau ci-dessu
l'intervalle des traitements les accès re- prennent leur marche.
Observation
II. Epilepsie idiopathique. - Début à 10 ans (p
e : pas de ronflement ; bave peu abondante ; pas de morsure do la
OBSERVATIONS
. 21 1 langue ; parfois miction involontaire ; a
e multiplication par coeur ; il sait le temps, mais il se trompe.
observations
. 23 Ce malade a pris du bromure de potassium de
est plaint de vertiges qui se manifesteraient le matin au réveil.
Observation
V. Epilepsie idiopathique. - Convulsions de 1-4
rois sont seuls vivants. - Pas d'aliénés, etc., dans la famille.]
observations
. 25 Pas de consanguinité. - 11 enfants : 1° Gar
1 cent. 1/2 ; les arcades sourcillières ne sont pas proéminentes.
observations
. 27 comme usées à leur sommet; amygdales hypert
r) ainsi que du vin de gentiane. 28 TRAITEMENT hydrothérapique.
OBSERVATIONS
. 29 Observation VI. Epilesie idiopathique. -
in de gentiane. 28 TRAITEMENT hydrothérapique. OBSERVATIONS. 29
Observation
VI. Epilesie idiopathique. - Convulsions de 3-4
entrée à Bicêtre le 7 décembre 1880 (service de M. BOURNEVILLE).
observations
. 31 32 traitement hydrothérapique. La maladie
ches ou au traitement par les purgatifs auquel il est soumis ?
Observation
X. Epilepsie idiopathique. - Début à Il ans. Am
881 (service de M. BOURNEVILLE). traitement hydrothérapique. 33
Observation
XI. 1 Epilepsie idiopathique. - Amélioration pe
tements hydrothérapiques '3 mois en 1880 et 81, 7 mois en 1882) :
observations
. 35 Ce malade a pris du bromure de zinc en 1879
le traitement hydrothé- rapique. 36 traitement hydrothérapique.
Observation
XV. Epilepsie idiopathique. - Début à un an. -
ns, entré à Bicêtre le 23 mai 1881 (ser- vice de M. BOURNEVILLE).
observations
. 37 38 traitement hydrothérapique. observatio
. BOURNEVILLE). observations. 37 38 traitement hydrothérapique.
observations
. 39 dans les mois où le malade n'était pas soum
39 dans les mois où le malade n'était pas soumis aux dou- ches.
Observation
XIX. Epilepsie idiopathique. - Convulsions fréq
qu'intermittent. Hydrothérapie du ler avril au 15 novembre 1882.
observations
. 41 Durée du traitement par le bromure d'arseni
e bromure d'arsenic : 18 mois lj2. 42 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE.
Observation
XXI. Epilepsie idiopathique. - Convulsions. - D
entré à Bicêtro, le 7 avril 1878 (service de M. BOURNEVILLE) (1).
observations
. 43 que les accès en 1882 n'ont pas encore atte
ffre des années antérieures aux traitements hydrothérapi- ques.
Observation
XXII. Epilepsie idiopathique. - Débilité mental
où le malade n'était pas soumis au traitement hydro- thérapique.
Observation
XXIII. Epilepsie idiopathique. - Convulsions da
5 (service de M. BouRNEVILLE). traitement hydrothérapique. ' 45
Observation
XXIV. Epilepsie idiopathique. - A trois ans 4/
t mau- vaise, mais moins qu'aujourd'hui; d'un caractère gai, mais
observations
. 47 obstiné, il était taquin et un peu en desso
vel an ; auparavant il se renouvelait environ tous les deux mois.
observations
. 49 changement ; un peu colérique, se bat assez
uation du bro- mure de sodium. ' 50 traitement hydrothérapique.
Observation
XXV. Epilepsie idiopathique. Onanisme. - Début
ans, entré à Bicêtre le 14 mars 1879 (service de M. BoURNEVILLE).
observations
. 51 accès. - Affaiblissement des facultés intel
0 (ser- vice de M. Bourneville). 52 traitement hydrothérapique.
observations
. 53 54 traitement hydrothérapique. .Observati
; transféré à l'asile de Froidmont (Belgique), le 4 octobre 1881.
OBSERVATIONS
. 55 5 56 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observat
octobre 1881. OBSERVATIONS. 55 5 56 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE.
Observation
XXXII. Epilepsie idiopathique. - Convulsions de
llet 1881. 013SERVATIONS. - · 57 58 traitement hydrothérapique.
observations
. 59 Observation XXXVI. Convulsions depuis la
VATIONS. - · 57 58 traitement hydrothérapique. observations. 59
Observation
XXXVI. Convulsions depuis la naissance jusqu'à
section le 1er sep- tembre 1882. 60 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE.
observations
. 61 62 TRAITEMENT hydrothérapique. Observatio
YDROTHÉRAPIQUE. observations. 61 62 TRAITEMENT hydrothérapique.
Observation
XL. Epilepsie idiopathique. - Début dans l'enfa
service de M. BOURNEVILLE). Traitement hydrothérapique (7 mois) :
observations
. 63 Traitement hydrothérapique (3 mois) : 64
de M. BouRNEViLLE), passé à la 1'" section le 10r septembre 1882.
observations
. G5 66 traitement HYDIOT11LRAPIQU : . d'un ac
était mal et l'allaitement a été continué au biberon; il a marché
observations
. 67 et parlé vers 14 mois ; on ne sait s'il a p
sont châtains et assez abondants, les sourcils ot les cils longs.
observations
. 69 dante; la face, qui était devenue violacée
; aimant. (1). (1) Voir thèse Bricon, loc. cil.. p. 97, 105, 193,
observations
. 71 Ce malade a été soumis en même temps à un
ccès ont augmenté surtout pendant les der- niers mois de l'année.
Observation
XLVI. Epilepsie idiopathique. Début probable ve
té la même que l'année précédente. traitement hydrothérapique. 73
Observation
XLVII. Epilepsie idiopathique. Excès de boisson
S75 (service de M. BOURNEVILLE). 74 traitement hydrothérapique.
OBSERVATIONS
. 75 Ce malade qui n'a pas pris de douches en 18
des accès pour 1882 est toutefois plus élevé que celui de 1881. f
Observation
L. Epilepsie apoplectiforme. - Convulsions d'un
1881 service de M. BOURNEVILLE). 7G traitement hydrothérapique.
Observation
LI. Epilepsie idiopathique. - Convulsions dans
s, entré à Bicêtre le 9 mars 1881 (ser- vice de M. BOURNEVILLE)..
observations
. il 1 blissernent des facultés intellectuelles
9 (ser- vice de M. BOURNEVILLE). 78 traitement hydrothérapique.
Observation
LUI. Convulsions à 48 mois. - Hémiplégie droite
2 ans, entré à Bicêtre le 3 août 1877 (sorvice de M. BOURNEVILLE)
observations
. 79 9 80 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observat
BOURNEVILLE) observations. 79 9 80 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE.
Observation
LV. Convulsions 14 l 5 mois. - 1-lémipte*gie ga
s, entré à Bicêtre le 1,r avril 1881 (service de M. Bourneville).
observations
. Si 82 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. TRAITEMENT
i 82 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. 83
Observation
LIX. Convulsions. Hémiplégie gauche, trois jour
(service de M. BOURNEVILLE). à 84 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE.
observations
. 85 Traitement par le bromure d'éthyle du 3 jui
ur 61 malades nous n'ayons enregistré que 29 amé- liorations. Les
observations
et les commentaires qui précèdent doivent être
dispensable de s'appuyer sur un nombre beaucoup plus considérable d'
observations
, relatives à des malades soumis pendant une pér
des résultats divers dans le traitement de l'épilepsie. Des huit
observations
d'Andry et Thouret, publiées au paragraphe Epil
re rapportées à cette maladie : 4° (Cas. XII). La malade de cette
observation
parait être une épileptique; toutefois,il y a e
Ap- pendice, 88 traitement de L'ÉPILEPSIE. 2* (OBs. XIII).Cette
observation
est susceptible d'être rattachée à l'épilepsie,
ée sans résultat par les armures magnétiques. 4° (OBs. XLIV). Cette
observation
, très bien rédigée, est un bel exemple de cette
et probablement sympto- matique du malade qui fait l'objet de cette
observation
ne semble pas avoir subi de modifications dans
ervis : 1° des aimants en fer il cheval appliqués pen- (1) Voir ces
observations
complètes dans thèse de Bricon, loc. cil., p. 1
physiologiques. Nous allons résumer d'au- tant plus brièvement nos
observations
sur ce point que, presque toujours, elles ont é
us élevée, avant ou après l'application. M. Debove cite plusieurs
observations
ou la force dynamométrique aug- menta sous l'in
n at- tribuable à l'action de l'aimant. C'est ainsi que, dans les
observations
thermométriques prises sur Dog..., nous avons t
érite, à plu- sieurs égards, d'appeler l'attention de la Société.
Observation
. Consanguinité . Soeur morte de con- vulsions.
me osseux, anciennes (exostoses) et récentes {fracture du crâne).
Observation
. - Père alcoolique, mort d'un coup de sang. - G
e et au moment de la soudure des épiphyses ; mais le sujet de notre
observation
avait eu antérieurement des signes de rachitism
n ; une exostose ostéogénique peut être unique. Depuis, plusieurs
observations
ont été publiées par dif- férents auteurs, entr
par Bourneville et A. de Montméjà (année 1871, p. 97). Dans notre
observation
, nous signalerons le plus grand développement a
,o-él)ilepsie, soit de l'hystérie ordinaire. Quel- ques-unes de ces
observations
ont déjà été publiées (1) ; parmi celles dont l
uivante, qui nous semble présenter plusieurs points intéressants.
Observation
. - Père alcoolique. - Mère cancéreuse. Frère pe
e Dr Doutrebente, à qui nous avons écrit au moment de publier cette
observation
, nous répond que Freit.. n'a pas eu d'attaques
s de les étudier. Cependant, des descriptions qui figurent dans l'
observation
, il résulte qu'elles offraient la plupart des s
apprécier fui-même le bien fondé de cette hypothèse en parcourant l'
observation
que nous plaçons sous ces yeux. Observation I
thèse en parcourant l'observation que nous plaçons sous ces yeux.
Observation
I. Epilepsie ; Idiotie consécutive. - Grand-Pèr
ru devoir l'être en 1880, au sujet de ces accidents paralytiques.
Observation
IL Epilepsie idiopathique. - Excitation maniaqu
Compte rendu à la page p. 110. Faisons d'abord remarquer que les
observations
de cette nature ne sont pas rares dans les aute
le dé- veloppement du squelette. L'hérédité joue dans beaucoup d'
observations
un rôle assez important (cas de Boyer, Paget (9
s avons constaté nettement des signes de rachitisme, et en cela son
observation
vient à l'appui de celle de (1) Lobstein. -Anat
mais dont la cause réelle nous est jusqu'ici inconnue. - Dans notre
observation
nous avons pu constater chez les ascendants, l'
Paris, 1881. - Cetie thèse a été composée principa- lement avec les
observations
recueillies par nous a la Salpêtrière (service
ent entre autres planches, celles qui représentent le Pacha (Voir l'
observation
de ce malade dans le Compte rendu de 1880, page
ERVEUSE. degré que le facial inférieur (Gibotteau). On compte les
observations
où le facial supérieur est respecté. Pourquoi c
portance seules sont en jeu. Nous voulons seulement rapporter une
observation
récente de Pandi"2 qui vient à l'appui des conclu
. On trouvera in Gazelle médicale de 11'azles, 1898-1899, plusieurs
observations
anciennes. L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 5 se
malades hémiplégiques et dont nous allons exposer les résultats.
Observation
I. T... Jacques, soixante-douze ans ; hémiplégie
la fente palpébrale droite est un peu plus grande que la gauche.
Observation
IL H... Jules, soixante-dix-sept ans. Hémiplégie
sourcils des deux côtés, et ferme isolément l'un et l'autre oeil.
Observation
III. C... M..., soixante-huit ans. Hémiplégie d
uche, mais pas l'oeil dioit. Il ne peut aussi l'ouvrir isolément.
Observation
IV. - S.... âgée de cinquante-cinq ans. Hémiplégi
ur l'oeil droit. L'oeil droit est un peu plus ouvert que le gauche.
Observation
V. Ch..., veuve T..., cinquante-cinq anr, frappée
asse que le gauche et la fente palpébrale est un peu plus petite.
Observation
VI. B..., veuve Le R..., soixante-seize ans, frap
droite ; les rides frontales du côté gauche sont attirées en bas.
Observation
VIII. B..., femme Q..., soixante-cinq ans. Hémi-
lgré ses efforts une légère fente. Elle ne peut l'ouvrir isolément.
Observation
IX. G... Françoise, soixante-trois ans. Hémiplégi
bord de l'orbite à gauche qu'à droite. Pas de signes de Revillod.
OBSERVATION
X. P... Etienne, soixante-six ans, est frappé en
ade affirme qu'avant sa paralysie il était incapable de le faire.
Observation
XI. B..., femme R..., quarante ans. Hémi- plégi
Revillod. Chez cette femme la corde vocale droite est paralysée.
Observation
XII. G... Félicité, cinquante-un ans, atteinte à
ais avec plus de difficulté et plus lentement pour l'oeil gauche.
Observation
XIII.' B..., veuve S..., soixante-six ans. Hémipl
u, même avant son attaque de paralysie, fermer un oeil isolément.
Observation
XIV. - 111..., veuve H..., cinquante-cinq ans, fr
cursion du côté droit est très limité par rapport au côté gauche.
Observation
XV. R... Joséphine, cinquante ans. Hémiplégie
uche : elle affirme, d'ailleurs, que jamais elle n'a pu le faire.
Observation
XVI. L... Louis, était déjà hospitalisé dans le s
ais il se relève moins vite que le gauche et monte par secousses.
Observation
XVII. G... Jean-Yves, soixante-un ans ; frappé
le faire du côté droit; il ne peut ouvrir l'oeil droit isolément.
Observation
XVIII. G..., soixante-sept ans. atteint depuis 18
deux yeux ne peut se fermer isolément. 12 CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
XIX. IL M..., quarante-cinq ans. Hémiplégie dro
me à gauche, se font a droite par secousses brusques, par à-coup.
Observation
XX. Le L..., frappé d'hémiplégie gauche en 1896
rir isolément l'oeil gauche, ce qu'il fait faci- lement à droite.
Observation
1\l. L..., soixante-trois ans, manoeuvre, hémi-
deux yeux ; il ne pouvait d'ailleurs le faire avant sa paralysie.
Observation
XXII. -J... Jean, hémiplégique gauche depuis dix
même résistance. Le malade ferme isolément l'un et l'autre oeil.
Observation
1XIII. D... Jean-François, quarante-deux ans, p
e des deux côtés. Le malade ferme isolément i'uuetl'autreoeii. 1.
Observation
XXIV. Ch... Auguste, soixante-cinq ans. Ilénii-
même avant la paralysie, n'a jamais pu fermer isolément un oeil.
Observation
XXV. G... François, soixante-cinq ans. Hémi- pl
gale des deux côtés. N'a jamais pu fermer isolément un seul oeil.
Observation
XXVI. N... Jeanne, quarante-six ans ; hémi- plé
e et moins facilement qu'à gauche, ouvrir isolément l'eeil droit.
Observation
XXVII. - M... Louis, soixante-dix ans. Hémiplégie
t bien avant son hémiplégie. Il ne peut aussi l'ouvrir isolément.
Observation
XXVIII. M... Florent, soixante-deux ans, a été
'a jamais pu, même avant sa paralysie, fermer un oeil iso lément.
Observation
1\IY. R..., femme Il.... cinquante-cinq ans. Dé
malade ne peut fermer isolément ni l'oeil droit ni l'oeil gauche.
Observation
XXX. A... Louis, soixante-huit ans, entre à l'inf
nt tous les mots, mais accroche pour articuler certains mots. Les
observations
que nous venons de rapporter vont à ren- contre
ettre en lumière. Voici comment les faits se sont présentés à notre
observation
. Le phénomène le plus net est l'abaissement du
inférieure de la scissure de Rolando ». M. Bris- saud considère son
observation
et les observations analogues comme des excepti
issure de Rolando ». M. Bris- saud considère son observation et les
observations
analogues comme des exceptions. Nous croyons av
èse, ainsi que Surmont' et Houeix de la Brousse$. Beaucoup d'autres
observations
sont éparses dans la littérature. Puglire relèv
e apparaîtra comme très fréquent. Il peut exister isolé- ment ; des
observations
avec autopsie en font foi ; mais dans-l'immense
ur oculaire commun est encore prématurée (1895) et que si certaines
observations
tendent à le placer au pli courbe, d'autres nom
ches électriques seront essayés, parfois avec un réel bénéfice. '
Observation
I. La nommée Guiselle Gr..., âgée de cinquante-
oubles, dirigés en bas. On note aussi un léger mouvement fébrile.
Observation
II. Le nommé C. Putride, m'é de vingt ans, entre
ation bien notable, il est repris par la famille le 19 juin 1895.
Observation
III. La nommée S.-Meh. Bad..., âgée de trente a
e se réveille, il lui semble qu'elle soit tombée de quelque part.
Observation
IV.- La nommée St. Lambr. Ghet, âgée de trente-
ent comme soulagée et comme si elle avait échappé à un grand mal.
Observation
V. La nommée Berthe Silherg..., âgée d'environ
avoir d'hallucinations ni d'ill usions. LES MÉLANCOLIQUES. 43
Observation
VI. Le nommé Pierre Naftica, laboureur aux cham
aucun désir, rien ne peut le faire sortir de son état de torpeur.
Observation
Vlf. Le nommé Jeau-Tudor Petros...,' âgé de vin
nner les motifs ou raisons qui l'ont poussé à commettre cet acte.
Observation
VIII. Le nommé Jonita Popp..., âgé de vingt ans,
tobre. Il parle plus, n'est plus si retiré, ne reste plus seul. ,
Observation
IX.- La nommée Zili Glassb, âgée de trente ans,
opre. La malade succombe le 13 mars à la suite.de la tuberculose.
Observation
X. La nommée Sophie Tassovici, élève, âgée de d
lle ne refuse plus les médicaments et les aliments, et mange seule.
Observation
XI. La nommée Sophie Veiner, ménagère, âgée de
ropreté, absent. Incontinence des matières fécales et de l'urine.
Observation
XII.Le nommé Jean Huzum, âgé de trente ans, ent
se tient tranquille quand on lui fait 56 RECUEIL DE FAITS. une
observation
, mais recommence aussitôt. Au jardin, s'acquitte
ue; par VARNALI (de Bucarest). (Presse médi- cale, 13 août 1898.)
Observation
d'un cas d'angine diphthérique compliquée de né
guë ; par MM. Roger et JosuL. {Presse médicale, 27 juillet 1898.)
Observation
d'un malade atteint de paralysie ascendante aiguë
ablir que la maladie avait été produite par le pneumo- coque. Cette
observation
est la première dans laquelle ce microbe soit s
. (Presse médictde, 10 septembre 1898.) L'auteur rapporte plusieurs
observations
de malades atteints d'affections nerveuses unil
ôté que les troubles nerveux préexistants. M. Etienne rapproche ses
observations
de celles, publiées récemment par MM. Charmeil
pects, à part le caractère de diffusion, à celui que présentent les
observations
de crétinisme sporadique chez la race caucasique.
mme on les observe ordinairement dans les formes anesthésiques. L'
observation
de ce cas confirme les idées de limiter sur la lè
ns étendues des nerfs crâniens ; par le D1' Preston. Intéressante
observation
de' syphilis cérébrale chez un nègre de trente-
servir à distinguer le tabès du pseudotabes, mais cela demande une
observation
plus complète. L'analgésie du cubital au coude
adjuvantes telles que le refroidissement et les fatigues. Une seule
observation
concerne une femme qui fut infectée par son mar
roses dues à des affections du système nerveux, l'auteur ajoute une
observation
d'épileptique alcoolique de quarante ans. Aux h
idiopathique qui n'est pour lui qu'un symptôme de dégénérescence ;
observations
à l'appui de Berger, Ollivier, Raymond. Trois
ence ; observations à l'appui de Berger, Ollivier, Raymond. Trois
observations
personnelles sont destinées à montrer que certa
e et raisonnée du diagnostic des tumeurs cérébrales, La plupart des
observations
ci-dessus sont suivies des résultats de l'autop
en montrer à ses auditeurs quatre cas, et présenter une cinquième
observation
. Suivent deux leçons sur la maladie de Little, et
de partie {Clinique et anatomie pathologique) , se compose de seize
observations
. L'histoire du Conscrit de l31cët·e traite des
re ? Qu'on lise les lignes écrites par M. Bourneville. Les autres
observations
concernent : la diarrhée chronique séreuse trai
me illustré de 20 figures et de 20 planches hors texte. L'une des
observations
, intitulée : Idiotie et épilepsie symptoma- tiq
tale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés Mareoutzi (Bucarest).
Observation
XIII. La nommée Mina Panaites, âgée de vingt- h
e est affaiblie; l'association des idées et ,1e jugement absents.
Observation
XIV. Le nommé Jean Motoca, âgé de cinquante ans
yait complice dans une affaire d'assassinat commis sur une femme.
Observation
XV. Le nommé Spir... Voie..., âgé de trente ans,
l'après-midi, quand le malade succombe. LES MELANCOLIQUES. 109
Observation
XVII. Le nommé Constantin-G. Coman, âgé de tren
bouche, en se mordant la lèvre inférieure et en faisant la grimace.
Observation
XVIII. Le nommé G. Fion..., àcé de vingt-six an
zoopsies. Elle mange peu. Ne dort pas trop bien. Elle est propre.
Observation
XX. Le nommé Jean-D. Coudrutz, âgé de trente- s
e la viande parce qu'elle le rend malade. Demande à faire maigre.
Observation
XXI. La nommée Rosa Cleisch, âgée de trente- tr
ence, pas d'insomnie. Elle sort bien améliorée en janvier 1898. -
Observation
XXII. La nommée Safla Dem. Stef, ménagère, âgée
tout ce qui lui est arrivé. La malade succombe le 5 juillet 1897.
Observation
XXIII. La nommée Dorothea Oelhausen, gou- verna
mandant à partir chez elle. Elle succombe le 13 sep- tembre 1897.
Observation
XXIV. - La nommée Bosa Otoleac, domestique, âgé
ssi bien le placer dans le cadre des dégénérés à délire mystique.
Observation
XXV. La nommée Maria V. Mardare, ménagère, âgée
souvent en se frap- pant la tête. Elle mange bien et est propre.
Observation
XXVI. Le nommé Mincou (G. Barzéo), laboureur de
veau, pour pouvoir mettre ses lèvres en mouvement et pour parler.
Observation
XXVII. La nommée Smaranda-J. Radulex, âgée de t
la camisole et la tenir liée à son lit. On la nourrit à la sonde.
Observation
XXVIII. La nommée Anastasie Dragan, ména- gère,
e odeur putride. De son délire d'auto-accusation nous déduisons les
observations
suivantes : la malade se plaignant nous dit qu'
autre, qui amènent une notable amélioration au bout de deux mois.
Observation
XXIX. Le nommé Costea Constantin..., âgé de vin
malade mange assez bien, mais il ne dort pas et est incontinent.
Observation
XXX. Le nommé Démitre Georg..., prêtre, âgé de
it ans, pendant sa phase de délire de persécution. Cette dernière
observation
est surtout intéressante pour nous montrer une
gradation pour qu'ils restassent frappés de stérilité. Dans notre
observation
, il s'agit d'un cas positif de véri- table régé
éunion. Il tient ou fait tenir sous sa responsa- bilité, le livre d'
observations
. Il tient personnellement le livre des restrein
l simulent des tumeurs du sein par exemple. L'auteur apporte quatre
observations
où le diagnostic était difficile , mais a été r
oir relaté les expériences nombreuses faites sur les animaux et les
observations
cliniques; l'auteur arrive aux conclusions suiv
règlements et aux supérieurs ainsi qu'à supporter sans riposte les
observations
et châtiments. On ne saurait nier qu'ainsi réduit
de très sérieux résultats, ou même des guérisons, l'auteur joint l'
observation
d'un malade atteint de goitre exoplithal- mique
r M. L. Weiller (de Saint-Dié). Presse médi- cale, 27 août 1898.)
Observation
d'un cas de goitre exophthalmique, contre lequel
liamsok. (British Médical journal, 26 novembre 1898.) La première
observation
concerne-un homme de trente-quatre ans qui depu
subsister des doutes sur la possibilité d'une récidive. La seconde
observation
se rapporte à une femme de vingt-trois ans qui
uérison des troubles intellectuels. M. Febvré donne lecture d'une
observation
de folie sympathique recueillie par lui et par
cessité une double intervention chirurgicale. c Aujourd'hui notre
observation
a une importance considérable car le délire en
e à une grave intervention chirur- gicale. Après plus de deux ans d'
observation
, la guérison s'est maintenue complète, définiti
re avis, être niée ou mise en doute. Notre opinion s'appuie sur une
observation
prise avec un soin méti- culeux et poursuivie p
es Planches, Leuret, Grisolle, Nivet, Bernard de Montessus). Mais l'
observation
démontre que bon nombre de sujets, d'apparence
hoisi la souris dont le poids varie de 12 à 18-20 grammes. Mais les
observations
étaient très délicates, on ne pouvait recherche
onceptions délirantes génitales. Que nous apportent à cet égard nos
observations
? Des 72 constatations avec affai- blissement,
peut être altérée sans altération corrélative de celui-là. Mais nos
observations
nous montrent encore que si nous avons rencontr
d'agitation, laissait prévoir les présentes constata- tions. Les
observations
que nous pourrions invoquer sont nom- breuses e
s d'impulsion chez des dégénérés ; par le Dr ISCOVESCO. Ces trois
observations
sont réunies par l'auteur sous la même rubrique
R. CosTON. (Médical ivews, octobre 1898.) L'auteur rapporte trois
observations
personnelles de délire aigu. Deux de ses malade
ATHOLOGIE MENTALE. L'auteur, dans le présent travail, rapporte deux
observations
personnelles intéressantes d'excitation maniaqu
peut jouer dans leur production; par les D's PicQu et Briand. Les
observations
qui démontrent l'influence des opérations gyné-
physiologiques ou toxique*, pour qu'elle soit obscurcie ? Les deux
observations
rapportées par l'auteur sont en faveur de la th
i et un assez grand nombre de cas de folie maintenus en famille, en
observation
spéciale et en traitement avant déclaration déf
héodore Miller. (Médical nets, octobre 1898.) L'auteur rapporte l'
observation
d'un homme de trente-neuf ans qui présenta d'ab
t un symptôme de gravité importante. Deux diagrammes accompagnent l'
observation
montrant les loca- lisations des diverses anest
l.-II. Parry. (Brit. Médical Journal, novembre 1898.) La première
observation
concerne un homme de trente-cinq ans admis à l'
i put reprendre son travail abandonné depuis deux ans. La seconde
observation
a beaucoup de points communs avec la première ;
e des muscles de l'autre côté l'amélioration se manifesta. De ces
observations
l'auteur tire ces conclusions : 10 dans le trai-
ecine, Détroit, juin 1898.) L'auteur, se basant sur de nombreuses
observations
, tend à admettre la transmission héréditaire de
ressive des articulations coxo-fémorale et scapulo- humérale. Les
observations
de cette affection sont encore peu nombreuses;
ion. Spilliiiez et 1,'Iientie viennent de donner tout récemment l'
observation
d'un nouveau cas. Le début de la maladie remonte-
dans l'enfance ; par IL1\SILaLTEn. (Revue de médecine, 1898.) Trois
observations
portant sur des cas d'amyotrophie précoce à déb
as où l'invasion brusque du sommeil était manifeste, rapporte trois
observations
d'épileptiques chez qui les attaques brusques d
Neurologie, 1898, 110 20.) Pendant dix ans environ la malade dont l'
observation
est relatée dans ce travail n'a présenté qu'une
e la migraine; par Ch. Féré. (Journ. de Neurologie, 1898, n° 18.)
Observation
d'une femme de trente-six ans, migraineuse, qui
du 7 septembre 1898, de la Presse médicale, M. Itéâis rap- porte l'
observation
d'un cas d'hypnosie traité par M. Gaide, méde-
ème jour de son entrée a l'infirmerie. . M. Hégis fait suivre cette
observation
de quelques réflexions clu'il déclare sujettes
ard. (Presse médicale, 21 septembre 1898.) L'orateur rapporte les
observations
de deux enfants atteints de paralysie radiculai
)10NGOUR. (Presse Médicale, 21 septembre 1898 L'auteur rapporte l'
observation
d'un homme de cinquante ans, d'apparence robust
ffensif des crises de sommeil, survenu quelque temps après. Cette
observation
semble justifier l'hypothèse, émise par M. l3ri
-B. Uiee. (Occidental Médical Times, mai 1898.) L'auteur relate l'
observation
d'une jeune fille de dix-neuf ans qui présentai
sivement. L'hémianopsie persista accompagnée de maux de tète. Cette
observation
est précédée d'une étude intéressante sur la lo
de la polynévrite, avec désordres mentaux d'amnésie. De nouvelles
observations
permettront d'établir si les névrites avec amné
is- sent pas être de règle. L'auteur accompagne son travail d'une
observation
de névrite alcoolique qui peut servir de descri
; par 11\I. Slc.nn et Riche. (Presse médicale, 15 octobre 1898.)
Observation
d'un cas d'hystérie traumatique survenu chez un
ylate de soude; par M. Catiiin. (Revue médicale, 8 octobre 1898.)
Observation
d'un cas de paralysie faciale survenue chez un
x. (Occidental médical, Times, mai 1898 ) L'auteur rapporte trois
observations
de sujets atteints de névralgies rebelles sans
(Quarlerhj médical journal, juillet 1898.) L'auteur apporte douze
observations
très résumées de tabétiques dans la période pré
ion de l'oeil opposé pour lésion accidentelle traumatique. Dans une
observation
l'ophtalmie sympathique se déclara à l'occasion
nerveux résultant d'énucléation totale. Dans le même numéro, une
observation
de tumeur du pont de Varole, par II. 111UDORD,
ncore une soeur et deux frères, tous bien por- tants. Voici leurs
observations
résumées. I. Olga S... (2e enfant), âgée de vin
(obs. Il et III) et du muscle oblique supérieur (obs. I) (dans les
observations
précédentes des auteurs on notait plus souvent
CIÉTÉS SAVANTES. Discussion : M. le professeur KojEWNmow rappelle l'
observation
de Pelizoeus de sclérose disséminée familiale,
rose disséminée familiale, qu'on peut rattacher à cette catégorie d'
observations
. Il parait nécessaire d'admettre que dans les c
. N. ScHOS;N. Deux cas d'infantilisme. L'orateur rappelle d'abord l'
observation
du malade D... (âgé de vingt-un ans et ayant l'
a subi également un chan- gement très prononcé. En comparant ses
observations
à celles des auteurs français, l'orateur rattac
e CHEZ LES enfants. Nous avons eu souvent l'occasion de relater des
observations
d'idiotie due à des lésions méningitiques ou en
autres, elles préparent les délires endémiques. Plusieurs de nos
observations
personnelles portent sur des malades de l'Ouest
session, dont on doit la synthèse délicate à M. Cotard3. 1 Voir l'
observation
citée plusloin : P. Regnard, les Sorciers, 1887,
assertion paradoxale au pre- mier abord, c'est cependant un fait d'
observation
qui pour- rait peut-être trouver son explicatio
e, 1883, p. 44. ' Krafït-Ebing. Lerbuclt der l'sych., t. III, 1830.
Observations
79, 81, 82 et 88. ' Dupain. Loc. cit. Observa
t. III, 1830. Observations 79, 81, 82 et 88. ' Dupain. Loc. cit.
Observation
52. MYSTICISME ET FOLIE. ' 273 Loudun (Légu
risées en dehors de l'hystérie coexistante possible. , Si, dans l'
observation
directe pour les cas simples, la dis- tinction
se développer chez les dégénérés. Nous lui avons emprunté plusieurs
observations
de cette catégorie. La durée d'évolution dela'p
les que la concordance absolue de toutes les données fournies par l'
observation
en face de la variabilité des résultats des mét
périodes de la maladie. Nous avons noté, on l'a vu, dans une de nos
observations
personnelles, une attaque d'aphasie transitoire
Telle, pour n'en citer qu'un seul exemple, cette femme d'une de nos
observations
personnelles qui, après plusieurs mois d'une ps
ptions que nous avons données dans le cours de notre travail et les
observations
qui les accompagnent ne peuvent non plus, laiss
gtemps l'étude clinique du délire dit fébrile ou infectieux, dont l'
observation
a échappé dans une certaine mesure à l'attentio
ique'. » Depuis cette époque, toutes nos recherches et toutes nos
observations
n'ont fait que confirmer et préciser cette manièr
cercueils)'(Obs. VII); la malade qui fait le sujet de la quatrième
observation
, et qui a si bien rendu compte de son état, me
o. (./0 ! <f) : . de Neurologie, 1898, n" 17.) Il résulte de l'
observation
qui fait l'objet de ce travail que seize mois a
r CLUIC11. (Bi,itislt médical Journal, le, octobre 1898.) C'est l'
observation
d'une femme de dix-huit ans placée à l'asile de
ntricule; par Water CARR. (British med. Journal, 8 octobre 1898.)
Observation
, sans nécropsie, d'ophtalmoptégie incomplète caus
(Presse médicale, 30 no- vembre 1898.) Les auteurs rapportent les
observations
de deux malades atteintes REVUE D'ANATOMIE ET
ophie unilatérale du cervelet ; par les Drs Laxkois- et PAVIOT. .
Observation
intéressante d'atrophie du lobe gauche du cervele
J. Huishelwood. (British. médical journal, 25 juin 1898.) C'est une
observation
analogue à celles rappelées au récent congrès d
vue neurolo- gique, sept. 1898.) E. B. XLVIU. Syndrome d'Erb. Une
observation
nouvelle; par L. Roques. L'histoire de la malad
rentes et dans les points les plus divers. C'est ainsi que dans l'
observation
citée, les produits toxiques respectant les nerfs
cléido-crânienne héréditaire, et dont il n'existe encore que quatre
observations
, présente comme carac- tères essentiels : 1°
o-bulbaire; par le D1' Lad. HASK-OVEC. ' Les points importants de l'
observation
rapportée par l'auteur sont les suivants : i°
3, 4, 5 et 6, 1898.) Travail d'analyse minutieux, comprenant les SI
observations
complètes qui constituent la littérature de cet
mie pathologique. De cette revue très intéressante, renforcée d'une
observation
personnelle, se dégagent une série de conclusio
res; par Ch. FrR. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 6, 1898.)
Observation
intéressante au point de vue étiologique, par le
Dr Sofa. (Nouv. Iconogr. de la Salpêli,ièi,e, no 6, 1898.) Cette
observation
, détaillée et intéressante, n'est, en somme, qu
g- matique), simple cause occasionnelle. L'auteur pense que cette
observation
autorise à inscrire la tachypnée hystérique secon
. Orloff présentent un malade atteint de psychose polyneuritique. L'
observation
détaillée sera communiquée à une des séances pr
ux cas f : <'«)'</tt'OpCt</t : 'MS;/) ? )M/0))'</eMeS :
Observation
I. Paysanne, âgée de cinquante-cinq ans, dont l
culaire du péroné est dépourvue de cartilage et légèrement usée.
Observation
II. -Paysan, âgé dequarante-sept ans, sans anté-
, nous y revien- drons dans la suite. Devons-nous étiqueter cette
observation
Confusion mentale ? Outre que la confusion ment
tions allemandes, il est difficile d'étiqueter sous un nom précis l'
observation
que nous venons de rapporter. D'ailleurs, à un
calme ; mais, et c'est là précisément le point particulier de cette
observation
, les troubles sensoriels persistent et ils pers
emps qui s'est écoulé entre la rédaction et la publication de cette
observation
, 1-- H... a guéri de son accès délirant, qu'il no
e de cette malade pendant les deux aus qu'elle a été l'objet de nos
observations
. La motilité a reparu plus vite dans le membre
Rossolimo. (11'olcu. Iconor. de la Salpétrière, n° 1, 1890.) Les
observations
de cas multiples de cette affection, suivis en
'ocuia et SIROL. (Nouv. jfcoïoyr. de la Sulpêtrière, n° 4, 1899.)
Observation
d'un cas délicat pouvant en imposer pour la myo-
par le Dr AUDEOUD. (Reu. méd. de la Suisse romande, 1899, n° 1.)
Observation
d'un enfant, issu d'une mère syphilitique, qui,
a observé des délires de négation. Nous avons nous- même rapporté l'
observation
d'un malade qui, après quelques accès de mélanc
ies du système nerveux. M. le D'' Lalanne (de Bordeaux) apporte une
observation
sur un cas de délire systématisé secondaire con
- lité de cette conception fut mise en évidence par de nombreuses
observations
. On s'aperçut même que Charcot avait entrevu cett
et qu'une fois ces dernières éliminées, ils aient dû disparaître. L'
observation
journalière prouve le contraire et 388 SOCIÉT
n'a pas trouvé de lésions cellulaires. Dans un cas, dont il donne l'
observation
, la mort du sujet avait été accidentelle et rap
ru. Il serait évidemment trop long et fastidieux de présenter une
observation
faite jour par jour, je résumerai donc autant que
'absence d'examen post mortem constitue une grave lacune dans notre
observation
; mais, comme il arrive presque toujours pour l
prédisposition acquise ou héréditaire que la statistique de mes 200
observations
permet de classer 10 44 fois il n'y avait pas d
ptique, communication sur le traitement nouveau par le trional. Les
observations
sont divisées en trois groupes : 10 celles dans
insi que l'excitation violente, la fureur ont été suspendues. Des
observations
cliniques nouvelles sont à recueillir, des expé-
au nombre de trois au moins, désignés parle tribunal, et après une
observation
du malade pendant trois mois au moins, La deman
squ'inaperçus. A l'appui de cette thèse ils citent quatre nouvelles
observations
dont voici le résumé : Observation I. Malade
e ils citent quatre nouvelles observations dont voici le résumé :
Observation
I. Malade âgé de soixante ans, sans antécédents
is le commencement de la maladie l'état psychique n'a pas changé.
Observation
11.- lialade âgé de cinquante-deux ans. Alcoolism
de la mémoire; amnésie pour les événe- ments présents et récents.
Observation
111. Malade âgé de quarante-six ans, alcoolique
s réflexes peuvent se rencontrer dans la polynévrite (entre autres,
observations
de Ballet et Faure). D'autre part les troubles
sur le compte d'un ramollissement cérébral d'origine alcoolique.
Observation
IV. Malade âgé de quarante-cinq ans, alcoolique
à brève échéance. Discvssion. M. Srni3siiy considère la troisième
observation
des auteurs comme un cas de syphilis cérébro-sp
ne pathognomonique. M. Minor dit que la description de la troisième
observation
sous l'étiquette de la polynévrite peut donner
nycho- phagie. M. von SCLIRENK-lOT71NG (de Munie))), rapporte les
observations
de deux alcooliques qu'il a guéris aussi grâce
ain favorable est dû à l'alcool ' M. Duprat cite dans son ouvrage l'
observation
que nous avons publiée avec M. Bourneville, de
un chapitre intéressant, la division en est claire, méthodique, les
observations
toutes personnelles sont judicieuse- ment chois
nte peut-elle aboutir à la démence ? Le fait est possible, mais les
observations
que nous avons relevées ne nous permettent pas
matique avec délire, de teinte particulière, d'auto-accusation. L'
observation
ultérieure ne fit que confirmer ce dia- gnostic
s un fait qui vient à l'appui de cette inter- prétation, c'est leur
observation
possible à titre d'épisodes transitoires dans l
rissent, sont sujettes à récidives et souvent sous la même forme. L'
observation
suivante en est une preuve. Mmc ..., âgée de vi
. Nous basant sur nos études logopathologiques d'un côté', et des
observations
personnelles cliniques de l'autre (1050 cas de
processus se distingue des autres processus psychiques, tels que l'
observation
par exemple, par une plus grande complexité, ca
ent et l'on a obtenu 99 guérisons et 9 améliorations. L'étude des
observations
recueillies nous fait voir que la majorité des
s eu aucune nouvelle de lui. Remarques. Nous avons intitulé notre
observation
hys- térie mâle; ce diagnostic,' en effet, nous
ure hystérique, le somnambulisme étant un véritable délire. Notre
observation
vient donc à l'appui de la manière de voir de M
de porencéplialies avec recherches histologiques et donne les deux
observations
com- plètes sur lesquelles s'appuie son travail
fonctionnelle; par A. el SANO. de Neurologie. 1890, n° 4.) Cette
observation
concerne un enfant de Paris qui, en cassant une
e Neurologie, 1899, nu 5.) L'auteur croit pouvoir conclure de celte
observation
que l'affai- blissement ou l'abolition du réfle
la ; il y aura toujours nombre de cas embarrassants, demandant une
observation
attentive, prolongée, et faite dans un milieu spé
ison de correction à l'asile Saint-Ion'. '. M. Vallon rapporte deux
observations
d'aliénées méconnues appartenant à la catégorie
qu'un résultat négatif, qu'il m'a été possible de démontrer par une
observation
prolongée à l'asile de Lafond, l'aliénation de
7svc'se avec paraplégie fiasque. MM. Nocuès et Sirol (de Toulouse).
Observation
d'une femme de 58 ans, qui, sans antécédents hé
trophiques. Pas de déformation rachi- dienne. 1 A propos de cette
observation
les auteurs passent en revue les diverses affec
très fréquente. Le D1' Pagliano en a observé huit cas sur quarante
observations
. On a appelé l'atten- tion sur le peu de consis
déjeunes vieillards et il n'y a pas chez eux.de systématisation. L'
observation
que je cite ne vient pas corroborer cette opini
es peuvent être nettement systématisées et c'est sur ce point que l'
observation
présente un réel intérêt. Chute émotionnelle et
loppement de la portion spinale du faisceau pyramidal. Très bonne
observation
qui aurait pu être le point de départ d'une uti
de paralysie bulbaire semblables à ceux qui exis- taient dans notre
observation
IV et la marche progressive de cette paralysie
M. Paul FARL'7. Au mois de novembre 1898, je vous ai rap- porté l'
observation
d'une demoiselle qui ne pouvait voyager ni en o
e à un rêve subconscient; M. H. Bidon (de Mar- seille) rapporte une
observation
de Claudication hystérique guérie par la sugges
e dans notre thèse inaugurale' en nous appuyant éga- lement sur des
observations
prises dans le service de notre maître. M. le D
inon). La thèse de M. Haslé s'étaye en définitive sur une dizaine d'
observations
très bien prises comme on les prend à Bicêtre.
rvation, par Hugues, IG2,-tl'nn enfant, 514. Syndrome D'EriB. Une
observation
nouvelle, par Roques, 321. Syphilis cérébrale
s la section du nerf qui leur correspond, m'ont paru un bon objet d'
observation
parce qu'on peut y trouver, à tous leurs degrés
de jour et les oiseaux de nuit. Des expériences suggérées par des
observations
cliniques dont il sera question plus loin (p. 6
il faut se placer pour mettre ce fait en évidence. « Le sujet en
observation
, après qu'on lui a clos un oeil hermé- tiquemen
olution une marche ascendante. Il résulte de ce qui précède que mes
observations
sur les réflexes tendineux du membre supérieur,
E. Veller rapportent (Revue neurologique, 1910, t. 20, p. 601) une
observation
intitulée : « Syringomyélie cervicale. Inversion
cubito-fléchisseur des doigts. » E. Moniz, de Lisbonne, publie une
observation
(Revue neurologique, 1012, t. XXIII, p. t33 aya
ng supinateur ». Leur travail se termine par cette phrase : « Cette
observation
confirme en définitive la valeur topographique de
t3G) et écrit ceci : « Notre obser- vation vient donc s'ajouter aux
observations
de M. Babinski et à celle de MM. Deje- rine et
l'on est amené à faire dépendre le phénomène qui nous occupe. « Mes
observations
montrent que le phénomène des orteils peut être
mène des orteils est unanimement admise ; il n'y a presque pas une
observation
clinique relative à une affection du système ne
stater ce phénomène, voici Comment il faut procé- der : le sujet en
observation
doit se coucher sur le dos ; puis, après avoir
ment une perturba- tion du système pyramidal ; si j'en juge par les
observations
que j'ai faites depuis que je le recherche, il
pports qui unissent la syphilis et le signe d'Argyll Robertson. Les
observations
de cet auteur ont été confirmées un certain nom
indre ce but, je fis, pendant une dizaine de jours consécutifs, des
observations
et des expé- riences qui m'ont renseigné, au mo
par la néoformation liomateuse (1 DD)' CRAMPES J'ai lait quelques
observations
nouvelles sur le phénomène de la crampe muscula
70 SÉMIOLOGIE Sicard. Rayant. Monod, et nous avons fait quelques
observations
nou- velles. Voici des extraits de noire articl
de la Société médicale des Hôpitaux sur ces cas si curieux : notre
observation
, remarquable par la longue durée des accidents,
agner d'une leucocytose abondante du liquide céphalo-rachidien. Les
observations
sur lesquelles notre travail est fondé étaient
auffard), soit à une hémorragie cérébrale (Mosny, Claude), dans nos
observations
I et III la polynucléose semblait sous la dépen
ance d'un ramollissement t cortical. On peut même l'affirmer pour l'
observation
I où le diagnostic a été vérifié l'autopsie.
c a été vérifié l'autopsie. « De plus, l'élude comparative de nos
observations
et de celles de Mosny et Pinard, de Claude et V
suite à la polynucléose a été signalée, il est vrai, dans les deux
observations
de Widal et Lemierre, mais elle fut différente
semble être en cause ; d'ailleurs la lymphocytose constatée dans l'
observation
III, par sa rapide disparition, se distingue de c
la syphilis des centres nerveux. Notons encore que, dans toutes nos
observations
, la quantité d'albumine contenue dans le liquid
maître Charcot sur la scoliose sciatique (20). J'en ai relaté cinq
observations
; le caractère essentiel de la déformation décr
oré à la suite de la radiothérapie (1/19)- Voici un résumé de cette
observation
. Depuis deux ans le malade souffre aux cheville
raitre avec Charpentier et Delherm (IJ9) un travail basé sur quatre
observations
semblant bien établir que la radiothérapie a un
Radiologie médicale, juin 1012), écrivent : « Nous rapportons huit
observations
de sciatique traitée par la radiothérapie appli
s, il ne me semble pas prouvé qu'en pathologie humaine il y ait des
observations
établissant ce fait : aussi bien, jusqu'à prése
ue ayant de grandes ana- logies avec l'hémispasme primitif. » Mes
observations
sur l'hémispasme facial on[ été confirmées par be
ie et Dupuy-Dulemps (Revue neurologique, tgoG, p. 196) relatent une
observation
d' « hémispasme facial guéri par une injection pr
rtent sous le titre « Paraplégie spastique spinale en flexion » une
observation
qui, disent-ils, « est un type de paraplégie avec
onier-Vinard (Revue neurologique, 1912, t. II, p. 13g) publient une
observation
analogue aux miennes, comme le titre seul l'indiq
n du réflexe achilléen avait été notée autrefois déjà dans quelques
observations
de tabes, mais on n'y avait pas attaché de vale
OELLE un cas où le trouble n'était qu'unilatéral. Or, dans 8 de ces
observations
, le réflexe rotulien existait des deux côtés.
yphi- litique sur les extrémités osseuses ? a » Je citais aussi l'
observation
d'un sujet syphilitique chez qui s'était produi
on de Wassermann positive, et 6 fois cette réaction négative. Mes
observations
surlaméningite syphilitique conjugale et la ménin
Société de Neurologie, je fus amené à exposer les résultats de mes
observations
: « Je considère aussi le labes, ai-je dit, com
t troubles dans les réflexes tendineux). Ce travail est fondé sur l'
observation
d'une malade atteinte de trou- bles oculaires s
tion puisse aboutir au retour des fonc- tions. Nous avons analysé l'
observation
qui semble la plus favorable à cette hypothèse
ssion de la moelle. Tel est le résultat auquel nous ont conduit nos
observations
. Je dois dire que, pour bien apprécier le signe
'ai publié, le premier en France, avec P. Lecène et F. Bourlot, une
observation
de néoplasie intra-rachidienne où l'opération fut
alade est complètement guérie. J'ai rapporté ensuite une nouvelle
observation
de ce genre avec Th. de Martel et J. Jumentié (
RADIOTHÉRAPIE DANS LES AFFECTIONS SPINALES J'ai relaté, en i go6, l'
observation
d'un enfant de 15 ans atteint d'une contracture
tion de cause à effet ? C'est là que réside tout l'intérêt de cette
observation
, d'une grande importance pratique si la seconde h
ication de ce fait, Raymond et Gramagna avaient rapporté chacun une
observation
de syringo- myélie traitée avec succès par les
yons X ; mais l'amélioration ne fut que transitoire. Ces quelques
observations
ont été le point de départ des tentatives de ra
à polynucléaires. Ponctions lombaires. Guérison. Il s'agit d'une
observation
de méningite cérébro-spinale ayant pré- senté,
forme aiguë de la ménin- gite ainsi que cela ressort de nombreuses
observations
, en particulier de celles de notre collègue Net
mbaires. Traitement mercuriel. Guérison. Quelques extraits de cette
observation
en feront connaître les parti- cularités les pl
met d'y constater la présence de lym- phocytes » (c'est la deuxième
observation
de ce genre ; la première a été publiée par Fro
it ainsi. C'était l'opinion que j'avais émise en me fondant sur des
observations
faites autrefois et dont j'avais tiré cette con
rice Chiray et Jacques Roland publièrent (Soc. méd., juin 1912) une
observation
montrant que nos prévisions étaient justes. Ell
doit faire défaut quand la paralysie est complète ; c'est ce que l'
observation
confirme. En effet, ce phénomène apparaît d'ord
é décrite dans l'hémi- plégie organique avec contracture. Voici les
observations
faites par moi sur ce point : si l'on glisse sa
é les résultats de mes recherches. Plus tard, Dejerine a publié des
observations
d'amyotrophie dans l'hémiplégie avec intégrité
aut, même à une période avancée de l'affection. J'ai publié (127) l'
observation
anatomo-clinique d'un sujet qui, atteint d'une tu
RÉBRAL 133 Traitement. Médication hydrargyrique. Dans plusieurs
observations
(127), j'ai noté que le traitement hydrargyriqu
ivers de ces associations. Mouvements démesurés. Hypermétrie. L'
observation
des mouvements démesurés peut être faite à l'occa
isolé et non d'une étude d'ensemble sur ce trouble. Du reste, cette
observation
, qui n'est parvenue à ma connaissance qu'après
par plusieurs neurologistes qui ont con- firmé les résultats de mes
observations
. André Thomas (Revue neurologique, 15 novembre
diadococinésie » proposé par Bruns et couram- ment employé dans les
observations
, il exprime par l'addition de 1' « a » privatif
pureté. » Oppenheim signale l'adiadococinésie du côté droit dans l'
observation
XII de son Traité des tumeurs cérébrales publié
. Cenlralblatt, 1908, p. 762) a noté le phénomène à gauche dans une
observation
de tumeur de l'hémisphère cérébelleux gauche. F
XXVII, igo/i, p. 522) l'ont recherché soigneusement dans beaucoup d'
observations
de tumeurs et l'ont constaté dans un certain no
un symptôme très commun. Il n'est pas invraisemblable que, par une
observation
précise des divers mouvements antagonistes parmi
ervi de type, j'en rapportai un deuxième cas. Voici un extrait de l'
observation
: « La déambulation sans aide est im- SYNDROME
oute con- testation. L'asynergie unilatérale est relatée dans les
observations
d'un assez grand nom- bre de neurologistes. V
ine (No[1v. Icon. de la Salpêtrière, XIX, 1906, p. 53\)) public une
observation
« d'hémiasynergie droite par hémorragie dans la s
t un second foyer qui avait déter- miné l'hémiasynergie ». Si les
observations
d'hémiasynergie sont assez communes, il faut reco
auteurs cependant en ont relaté des exemples très nets. Dans une
observation
clinique de Scherb (1\'o[1v. Icon. de la Salpêtri
rande asynergie décrite par M. Babinski... » Voici une intéressante
observation
de Gôtt ayant trait à « l'asynergie cérébel- le
de pureté, sous un aspect saisissant. A en juger par mes propres
observations
, la catalepsie pure, par- faite, est très rare
ONS DE L'ENCÉPHALE « Cela est incontestable, mais il résulte de mes
observations
que cette notion a besoin d'être précisée davan
énomènes méningés compliquaient le tableau cli- nique ; aussi cette
observation
ne peut-elle être considérée sans réserve comme
n'y a pas de perturbation de la motilité volitionnelle. Dans mes
observations
, les phénomènes en question étaient asso- ciés
aucun doute sur mon opinion : « ... j'ai cru pouvoir déduire de mes
observations
que les modifications sus-indi- quées constitue
guées par aucun caractère objectif. » J'attire l'attention sur deux
observations
rapportées l'une par Alfred Gallais (Syndrome a
relève dans 172 AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE la première
observation
, contrôlée par Courtade, Zimmern et Cottenot. Un
au réflexe calorique, il a toujours été normal. Dans la deuxième
observation
, où le réflexe de Barany n'a subi non plus aucune
s affections auriculaires par la ponction lombaire) rapporte quatre
observations
personnelles dans lesquelles il y a eu, après l
Société médico- chirurgicale d'Anvers, déc. igo5) communique trois
observations
, deux d'oto- sclérose, une d'otite moyenne cica
e; il s'appuie pour confirmer l'efficacité de ce traitement sur les
observations
de 16 cas étudiés depuis cinq ans par leur C. J
qui m'avait paru la plus vraisemblable. En igoi, j'ai rapporté une
observation
analogue à la précédente (76). Il s'agissait d'
n réflexe du gros orteil ou le signe de l'éventail. Ces nouvelles
observations
ont fortifié dans mon esprit l'opinion que j'ai
ici. Mais ce que j'ai à faire ressortir c'est que dans sa première
observation
, se rapportant une jeune fille atteinte d'« un to
OLIS SPASMODIQUE. TORTICOLIS « MENTAL » J'ai rapporté, en 1907, une
observation
établissant que cette opéra- tion peut être uti
tatait le signe des orteils. « Ce fait, disait-il, est rapprocher des
observations
de chorée où M. Babinski a trouvé le mouvement
réflectivité tendineuse, phéno- mène des orteils, etc.). D'autres
observations
analogues ont été publiées. D'une revue général
ils sembleraient appartenir à une fillette de 8 à 10 ans. « Cette
observation
est intéressante à deux points de vue : d'une p
s Tumoren (Sarcoma angiomatodes hypophyseos cerebri). Il rapporte l'
observation
d'un jeune homme de 17 ans qui présentait un as
'a donné des résultats satisfaisants. Entre autres faits, voici une
observation
résumée que j'extrais de mon travail (71) publi
tement du goitre exophtalmique » (Thèse, Paris, igo4), rapporte des
observations
qui lui sont personnelles, ou qu'il tient de La
veux. J'ajoute que j'avais noté aussi, dans quelques-unes de mes
observations
, une abolition des réflexes achilléens, ce qui ve
er à une compression du sympathique par une aorte dilatée. Dans les
observations
que je viens de rapporter, il en est tout autre
récurrent ? P « Pour résoudre cette question, il faut de nouvelles
observations
; j'invite donc mes collèguesà examiner, chez l
re et de l'unité dans ces constatations disparates... « Nos trois
observations
représentent un type différent des divers stades
intitulé : « Le syndrome de Babinski », rapporte un grand nombre d'
observations
confirmatives de mon opinion. Edgard Hirtz et
3, Martie, 1912). CYANOSE J'ai rapporté avec li"e Toufesco deux
observations
de cyanose des rétines chez des sujets atteints
bibliographiques nous ont montré qu'il a été publié seulement onze
observations
ana- logues. Dans l'un de nos cas, il s'agiss
ut malade porteur d'une affection cardio-vasculaire. Notre deuxième
observation
prouve que la cyanose des rétines peut exister
n'avait cependant pas été profondément ébranlée. La réflexion et l'
observation
attentives m'en éloignant peu à peu m'ont condu
de troubles de cette nature semble avoir en partie pour origine des
observations
faites sur des hémiplégies indûment rapportées
i pris, en quête de nouveaux faits relatifs à cette question. Mes
observations
personnelles me firent de plus en plus douter de
ait volontairement par des irritations artificielles. Aucune de ces
observations
ne put résister à un examen rigoureux. Ceux qui
disparates ? Tel est le nouveau problème que je me posai. De mes
observations
et expériences comparatives je retiens seule- m
idents hystériques en appa- rence spontanés n'a jamais été niée ; l'
observation
clinique l'établit avec une telle évidence qu'u
on la considère comme une cause de l'accident produit. Ce sont des
observations
de cet ordre qui ont conduit à l'opinion classi
et à leurs interprétations. Cette méthode permet, si l'on varie les
observations
, de discerner les causes supposées de l'hystérie,
e fer et soigné immédiatement les blessés, m'ont fait part de leurs
observations
qui toutes étaient concordantes : aucun d'eux n'a
e c'est de la toute petite hystérie. » INDEX BIBLIOGRAPHIQUE i.
Observations
de rechutes pendant la convalescence de la fièvre
-bre de muscles, ou groupes de muscles, est le premier symptôme que l'
observation
fasse reconnaître. Le muscle est d'abord paralysé
cipation au moins temporaire de la substance grise centrale? Quelques
observations
faites par MM. Duchenne et 1 Duchenne (de Boulo
te au prochain numéro. — PARAPLÉGIE DATANT DE LA PREMIÈRE ENFANCE
observation
par les drs ball et liouvili.e Paralysie des me
ps. — Tubercidisation pulmonaire. Le malade qui fait l'objet de cette
observation
(Louis L...,âgé de 45 ans) est entré à la cliniqu
re cette névrose et, à l'appui de sa manière de dire, il rapporte une
observation
intéressante dont voici le résumé en quelques mot
c'est au Hachisch seul que reviennent tous les honneurs du succès.
Observation
. — Robert Hoe.., âgé de seize ans, entra à l'hôpi
s nous ont été communiqués par notre ami et collègue le Dr Peltier.
Observation
. — Chop..., âgée de 20 ans, relieuse, est entrée
cas unique; et, avant de se hâter de conclure, il faut en appeler à l'
observation
et à la clinique. Dans ce but, il est nécessaire
igné jusqu'ici l'augmentation numérique des globules blancs.— Voici l'
observation
qui a donné lieu à la description que nous allons
aire ; nous devons donc commencer par en donner un résumé succinct.
Observation
. — Douleur dans la région splénique. — Crises gas
st là le signe le plus important,; nous y avons insisté à propos de l'
observation
. Les caractères sont assez tranchés pour que les
Infants), par Stephen M. Mac Swiney. L'auteur rapporte avec détails l'
observation
d'un enfant nouveau-né qui eut des selles vertes,
, clair et facile à lire, malgré l'emploi fréquent, dans l'exposé des
observations
, de la méthode numérique, qui donne toujours une
tes ces vertus merveilleuses?... Elles ne manquent pas. On trouve des
observations
à chaque chapitre. On ne saurait donc contester
r à ce sujet, dans le deuxième volume des Archiv. de physiologie, les
observations
de MM. Vulpian, Charcot et Joffroy, Parrot et Jof
t, manque au contraire absolument — si j'en juge du moins d'après mes
observations
, conformes d'ailleurs en cela à celles de Cohnhei
en pareil cas est un fait constant et si elle remonte, ainsi que les
observations
de MM. Volk-mann et Steudener portent à le penser
uste toutefois de reconnaître que la majorité des médecins 1 Voir l'
observation
de W'ilson, in Arch. de physiologie, loc. cit.
ractères de la structure normale. Enfin nous signalerons dans notre
observation
, une atrophie avec sclérose partielle des cordons
de physiologie, t. III, p. 155. 1870. Dans le travail auquel notre
observation
sert de fondement, nous nous sommes cru autorisé
lésion des cellules motrices se trouve expressément signalée dans une
observation
de MM. Parrol et Joffroy, où il s'agit d'un enfan
Archives de physiologie, t. III. 1870. 2 Idem, t. III. 1870. Les
observations
, au nombre de trois, recueillies dans le service
actère de précision qu'on est en droit d'exiger actuellement dans les
observations
de ce genre. Pour ce qui concerne la seconde pr
tion de ces faisceaux. Il est des circonstances, d'ailleurs, — et l'
observation
de Wilson peut être rappelée à ce propos — où sur
e qui m'amena à examiner les yeux du soldat qui fait l'objet de cette
observation
. Je m'aperçus que l'iris faisait entièrement défa
s et des arrêts du cœur. IIe partie. — M. Laurent rapporte dix-huit
observations
détaillées de malades soumis au traitement par ce
; il a institué des expériences com-paratives qui, confirmées par des
observations
cliniques, ne laissent 1 Étude expérimentale et
NINGO-ENCÉPH ALOCELE) par p. budin, interne des hopitaux de paris
Observation
. — Chauve...., célibataire, âgée de 24ans, primip
ise en pages, d'in-sérer, dans le dernier numéro de l'année 1871, une
observation
de cancer primitif du péritoine, sans pouvoir la
dehors des accès. Cependant c'est là une question de fait, et, si les
observations
de M. Armaingaud nous paraissent un peu insuffisa
re à son avis s'il apportait des faits un peu plus nombreux. Les deux
observations
de M. Rousseau et de M. Saillard qui sont citées
La seconde partie du travail de M. Armaingaud est l'exposition de six
observations
de pneumonies guéries sans médication éner-gique
t plus faibles que celles qu'on observe habi-tuellement. Dans une des
observations
, la ligne thermique est abso-lument droite pendan
, pour donner toute la valeur possible à ce fait, il aurait fallu des
observations
thermométriques plus nombreuses chaque jour, comm
lui-même. En résumé, la brochure de M. Armaingaud contient quelques
observations
intéressantes, des réflexions sensées, et montre,
DU FÉMUR amputation de la cuisse. — mort par infection purulente
Observation
recueillie et rédigée par L. URDY, interne du ser
meurs chondro-sarcomaieuses. Réflexions. — Quelques points de cette
observation
doivent être mis particulièrement en lumière :
meurs relativement bénignes, fait en-tièrement d'accord avec ce que l'
observation
la plus habituelle nous a permis de constater, lo
S PAU P. RECLUS, interne des HÔriTAUX de paris Si chaque jour des
observations
nouvelles viennent démontrer combien était inexac
même âge et dans toute leur épaisseur. C'est à ce point de vue que l'
observation
suivante, recueillie à l'hôpital Saint-Antoine, d
de cavernes pulmonaires et d'une méningite conco-mitante. Voici cette
observation
^: Le 24 février, entrait à la salle Saint-Louis
que on ajoutait tuberculeuse, peut-être serait-on dans le vrai. Notre
observation
n'en serait-elle pas un exemple et ne pourrait-on
DARTHROSE DE LA JAMBE par gombault, interne des hôpitaux de paris
Observation
. — G..., âgée de 81 ans, est morte dans le couran
travail de M. Chapot, on n'avait encore, croyons-nous, publié aucune
observation
de tremblement mercuriel traité par les bains éle
e était la valeur thérapeutique de ces bains dans le tremblement. Les
observations
que nous allons donner, d'après M. le Dr Chapot,
alique. Tels sont les principes de l'appareil ; voyons maintenant les
observations
: Observation I. — Tremblement mercuriel. — Tra
les principes de l'appareil ; voyons maintenant les observations :
Observation
I. — Tremblement mercuriel. — Traitement par les
erait venu facilement à bout. A ces objections nous répondrons .par l'
observation
suivante : Observation II. — Tremblement mercur
out. A ces objections nous répondrons .par l'observation suivante :
Observation
II. — Tremblement mercuriel remontant à environ u
pris 26 bains; il quitte l'hôpital. Nous citerons encore les trois
observations
suivantes, qui vien-nent corroborer ce que nous v
des bains électriques dans le traitement du tremblement mercuriel.
Observation
III. — Tremblement mercuriel. — Traitement par le
à s'opérer, et que la guérison est complète après 20 ou 25 bains. Les
observations
précédentes le prouvent ; il en est de même de la
res qui n'ont pas permis de l'em-ployer pendant un temps suffisant.
Observation
IV. — Tremblement mercuriel remontant à deux mois
, mais avec un mieux sensible dans son état. Nous terminerons par l'
observation
suivante que nous emprun-tons, comme les précéden
mme les précédentes, à l'excellent travail de M. le docteur Chapot.
Observation
V. — Tremblement mercuriel. — Traitement par les
ire, on saigne le chien à blanc, son volume diminue. Chez le cheval l'
observation
a fait voir que la course, les efforts, etc., en
é frappé de l'absence d'examens histologiques dans presque toutes les
observations
publiées; il ne nous sera donc pas possible dans
les déterminées par des projec-tiles, la rate a été blessée; dans les
observations
citées, une mort rapide a été la conséquence de l
ances. Le Journal des vétérinaires de Lyon (année 1848) a publié deux
observations
intitulées: Ramollissement de la rate, qui nous p
raissent être unevéritable congestion de cet organe. Dans la première
observation
, il s'agit d'un cheval de 10 ans qui tombe malade
Rien du reste de saillant dans les autres organes. Dans la deuxième
observation
, le cheval, âgé de 8 ans, mourut au bout de 17 jo
titre : Notice sur l'apoplexie de la rate chez la vache. Dans une des
observations
, il est dit que la rate pesait 6 kilogrammes. M
(the Edinburgh medical and surgical Journal, 1838), où il relate deux
observations
origi-nales, M. Laycock y est revenu dans son liv
et : « spirted out, » c'est l'expression qu'emploie le rédacteur de l'
observation
. Et cependant tous ces détails, et bien d'autres
nstamment la même série — quels que soient le pays, le siècle, où les
observations
sont recueillies. La fraude fut dé-couverte par B
tance qui est bien propre à jeter aussi un jour défavorable sur les
observations
d'ischurie hysté-rique : c'est que, en dehors de
En premier lieu, il faut bien établir sur quel terrain ont porté nos
observations
. Et, dans ce but, ce que j'ai de mieux à faire, c
trer maintenant comment, au milieu de ces conditions favorables à une
observation
régulière, s'est produit le phénomène de l'ischur
es phases de leur évolution les accidents qui se sont offerts à notre
observation
. Le tableau commence au 16 juillet 1871, époque à
'état général pendant cette longue période de quatre mois qu'a duré l'
observation
? A aucune époque nous n'avons remar-qué de troubl
ine. La contracture disparut à droite : il ne fallait plus songer aux
observations
exactes. Les vomissements, d'ailleurs, se suspend
t été un peu moins accusés, et si nous n'avions pas été éclairé par l'
observation
anté-rieure, il eût pu se faire incontestablement
'intoxication urémique se prononcent néces-sairement, puisque, dans l'
observation
de Paget, l'intégrité des fonctions, le maintien
, notre ami, M. le docteur Villard, a publié dans la Revue (p. 164) l'
observation
très-cutïeuse d'un enfant qui, entre autres malfo
t traitée de main de maître. Depuis celle époque, un grand nombre d'
observations
d'élonga-tion du col ont été reproduites par la p
embler ces divers faits épars dans la science, en y ajoutant quelques
observations
inédites, et faire de toutes ces parties un tout
de Levret5, publié quelques années plus tard, nous trouvons plusieurs
observations
claires et détaillées de l'affec-tion qui nous oc
point tenir suffisamment compte des études de ses devanciers et de l'
observation
générale. Poussant ses opinions à l'extrême, au p
rare; et, pour sa part, M. Huguier dit ne l'avoir jamais rencontré. L'
observation
suivante en est un exemple frappant : l'hypertrop
résection du col assez bas, pour ne point léser la paroi vaginale.
Observation
I. — Hypertrophie des portions sus et sous-vagina
écaution n'ait été prise pour s'opposer à son obli-tération . Cette
observation
n'est pas intéressante seulement au point de vue
artient au docteur Waren (de Boston). Les différents détails de cetle
observation
sont trop écourtés et trop obscurs pour se prêter
rieuse ; nous les résumons ici sans aucune espèce de commentaires :
Observation
II. — Élongation hypertrophique du col; descente
(Journal de méd. de l'Ouest, 1871, p. 9.) — Voici le résumé de cette
observation
très-intéressante. Une jeune dame de la Vendée, p
olligé les différents faits épars dans la science, en y ajoutant deux
observations
inédites dues à M. Guéniot, et il a montré quelle
sement, soit à une rupture de l'utérus, etc. Un tableau résumant 60
observations
et indiquant les résultats obtenus donne une idée
le premier celte affection sur le vivant. Les circonstances de cette
observation
sont assez intéressantes pour que nous les rappor
s plus haut se retrouvent avec une netteté frappante dans la deuxième
observation
. Dès lors, l'histoire de l'anévrysme artério-ve
a fait ici même une étude analy-tique. M. Bourgeois cite plusieurs
observations
à l'appui de cette opi-nion. De l'ensemble de son
hier, ne reviennent pas 1 La discussion a eu pour point de départ l'
observation
publiée dans le der-nier numéro de la Revue (p. 1
finalement une différence en plus. Un autre côté intéressant de notre
observation
, c'est la confirmation qui en résulte pour les re
avail (Mouvement médical, numéros des 14 et 28 janvier 1872), que des
observations
conformes qui ont été signalées à la Société de b
ans les deux maladies. On verra, en effet, par les détails de notre
observation
que, dans la période ascendante de l'éclampsie, l
et du pouls et le rétablissement graduel des fonctions sensoriales.
Observation
. — Tumeur congénitale de la fesse. — Eclampsie.—
la fesse. — Eclampsie.— Diminution de la tumeur après Vaccouchement. (
Observation
re-cueillie par M. Budin, interne du service.)
e passer complète-ment sous silence bon nombre de faits importants, d'
observations
intéressantes, d'appareils ingénieux dont nous tr
s maxillaires supérieurs; de M. Guyon, sur un polype du larynx, 1 L'
observation
complète du malade, qui a été le point de départ
ces explications sont acceptables et journellement confir-mées par l'
observation
clinique ; mais elles ne dissipent pas toutes les
omplémentaires qui suivent sur la malade dont M. Giraldèsa rapporté l'
observation
dans le N° de février de la Revue (p. 53 et Planc
p. 337), qui contient un article spécial de MM. Barth et Besnier. Une
observation
recueillie par l'auteur dans le service de M. Bes
se ; 3° la variété colloïde, qui a été notée quatre fois sur dix-huit
observations
. C'est là, ainsi que le font re-marquer MM. Barth
la variété villeuse que l'auteur n'avait pas d'abord trouvée dans ses
observations
et qu'il décrit, d'après Frerisch, mais qu'il déc
at des organes géni-taux de cet homme quand il s'est présenté à notre
observation
, et exposer ensuite le mode de début et la marche
ies, ainsi que de celles enlevées par l'opération que nous devons à l'
observation
savante et consciencieuse de M. le docteur Nepveu
assez considérables ; ainsi, nous avons signalé, chez la malade de l'
observation
I, une ulcération, à fond grisâtre, dont l'étendu
u lieu de rester limitée au col, s'étend au corps de l'utérus. Dans l'
observation
sui- vante, une tumeur fibreuse développée dans
ubli de cette précaution pourrait amener des résultats déplorables.
Observation
III. — Elongation hypertrophique de la portion so
paroi postérieure de Vuté-rus. — Pas de résection du col. — Mort. — (
Observation
recueillie dans le service de M. Demarquay, par L
r fibreuse, plusieurs faits intéres-sants ressortent de la précédente
observation
, à savoir : 1° la cause déterminante de l'hypertr
nts que nous avons recueillis auprès d'une malade, dont on trouvera l'
observation
ci-dessous, confirment pleinement notre hypothèse
ra l'observation ci-dessous, confirment pleinement notre hypothèse.
Observation
IV. — Élongation hyperlrophique de la portion sou
gation hyperlrophique de la portion sous-vaginale du col de Vutérus. (
Observation
personnelle.) Madame X., âgée de 42 ans, est en
sca en a fait l'objet de sa thèse inaugurale : il a réuni trente-deux
observations
, dont quelques-unes entièrement inédites, de celt
isterons pas davantage sur la thèse de M. Visca : si, à part quelques
observations
inédites et intéressantes, ce travail ne renferme
t les projectiles tels que les balles ont donné lieu à quelques rares
observations
de dénudation artérielle, de même que les eschare
n des vais-seaux. L'auteur cite cependant entre autres exemples une
observation
de M. Dolbeau1 qui constata une perforation de l'
ilepsie et l'hystérie puissent se rencontrer chez un même individu. L'
observation
la plus super-ficielle protesterait contre une se
, qui a écrit sur ce sujet un article marqué au coin de la plus saine
observation
, dit que cette espèce d'hystérie ci attaques mixt
s. Elle me paraît concorder de tous points avec les ré-sultats de mon
observation
personnelle. a) Dès l'origine, l'attaque mixte
onvulsions d'élévation notable de la température centrale. * Voy. l'
observation
deFadayat, qui a succombé à un état de mal et le
ne annonçant néces-sairement une terminaison fatale. Vous voyez par l'
observation
Fie. 10. — Température prise un peu après le 12
rs se prolonger pendant un laps de temps considérable. Georget cite l'
observation
d'une femme chez laquelle les accès se sont montr
veux surtout signaler à votre attention le caractère ther-mique que l'
observation
nous a fait reconnaître, Il résulterait en somme
te, absolue. Voici la traduction, par notre ami E. Teinturier, de l'
observation
de Wunderlich à laquelle M. Charcot a fait allusi
l'observation de Wunderlich à laquelle M. Charcot a fait allusion.
Observation
. —Huit semaines de convulsions hystériformes à ma
ons déjà publié, dans notre Traité d'électricité, un certain nombre d'
observations
concluantes à ce point de vue ; nous pouvons y aj
u moins faible. M. Charcot nous a rapporté, il y a quelque temps, l'
observation
d'une femme qui avait succombé dans son service,
s, nous nous bornerons pour les autres à l'étude de la température.
Observation
. — Hypertrophie du cœur. — Rhumatismes. — Ré-tréc
rd le professeur fait une comparaison très-nette entre la mé-decine d'
observation
et la médecine expérimentale, cette dernière pour
ans ses rapports avec le matérialisme. A. Delahaye, 1872. et solide
observation
des faits. Mais pour cela « il faut renoncer à l'
as bien avéré de sourd-muet ayant acquis, par la seule puissance de l'
observation
et de la réflexion, une idée correcte sur des suj
paru donner de bons résultats, ainsi qu'on peut s'en assurer par les
observations
suivantes, que nous empruntons aux travaux de MM.
uivantes, que nous empruntons aux travaux de MM. Laurent et Gairal.
Observation
VI. — Intoxication mercurielle remontant à six an
On ne peut donc répondre ici d'une guérison com-plète et soutenue.
Observation
Vît. — Tremblement mercuriel datant de plusieurs
atérales plus ou moins volumi-neuses. 1 M. L\bbk a communiqué cette
observation
à In Société de chirurgie. ÉLEGTROTHÉRAPIE DE
énergiques et dont la durée varie de dix à trente minutes? Dans les
observations
de M. Lefort nous aurions voulu trouver celte com
à une malade nommée V... Clé-mence, dont nous avons publié ailleurs l'
observation
complète (de la Contracture hystérique permanente
MINE et la saturine1. — Nous allons à présent donner un résumé de l'
observation
d'un malade en traitement, et qui a été communi-q
a été communi-quée à M. Gairal, par M. Pillot, élève des hôpitaux.
Observation
VIII. -- Tremblement mercuriel remontant a un moi
oration persiste et continue. Nous ne possédons pas la fin de cette
observation
. Quel en a été ou quel en sera le résultat ? Si n
vons pourtant, dans les thèses de MM. Laurent et Gairal, qu'une seule
observation
de tremblement mercuriel traité par la daturine ;
ion de tremblement mercuriel traité par la daturine ; c'est par cette
observation
que nous allons terminer notre revue analy-tique.
cette observation que nous allons terminer notre revue analy-tique.
Observation
IX. — Tremblement mercuriel. — Début remontant ci
t n'a pas été sensiblement influencé. — Nous ne possédons pas d'autre
observation
de trem-blement mercuriel traité par la daturine
pour le moment, de tirer des conclusions. Il résulte toutefois des
observations
que nous avons analysées que le tremblement mercu
ppréciable à la main. M. Collette donne ensuite la relation de quatre
observations
. La première est surtout intéressante; en voici l
ion dans l'état de l'arti-culation. Nous avons parcouru avec soin les
observations
rapportées par l'auteur à la fin de son travail,
t de 110 jours; elle fut réduite en deux séances, avec 210 kilogr.; l'
observation
, d'ailleurs, est muette sur les suites de l'opéra
ion purulente, les abcès pai enchymateux concomitants. Ainsi dans l'
observation
présente, on pourrait supposer que les abcès mult
de l'hypertrophie du col et de Vanté ou rétroversion de la matrice.
Observation
V. — Allongement hypertrophique du col de l'utéru
aseur, qui certes trouvait ici une de ses plus utiles applications.
Observation
VI. — Allongement. — Htjpertrophie du col de l'ut
phie du col de l'utérus — Kystes folliculaires. — Amputation du col. (
Observation
tirée du Mémoire de M. Huguier.) Madame X., âgé
Huguier pratique, avec un plein succès, l'amputation du col. Cette
observation
est remarquable à plusieurs points de vue ; outre
avec soin, des perturbations analogues dans les fonctions rectales.
Observation
VIL — Allongement hypertrophique du col avec anté
pri-rent la forme de gros boudins cylindriques1. 1 Rapprochons de l'
observation
de M. Earchal (de Calvi) le fait suivant qui nous
Les faits de ce genre sont rares et nous n'avons pu en recueillir d'
observation
détaillée. Mais M. Boinet nous a dit avoir observ
udier, interne des hôpitaux de Paris, a bien voulu nous communiquer l'
observation
suivante, où l'autopsie fit découvrir un abcès ré
ant par conséquent dans les conditions que nous venons de supposer.
Observation
VIII. — Élongalion hypertrophique du col de Vutér
e et de pelvi-péritonile. — Généralisation de la péritonite. — Mort. (
Observation
inédite.) X....., femme de 34 ans, mariée mais
di-vers éléments du col, sans aucune formation néoplasique *. Cette
observation
est intéressante à plusieurs titres ; nous n'in-s
lassé, discuté les documents épars dans les auteurs en y ajoutant des
observations
inédites. Son travail est divisé en trois parti
e un grave insuccès obtenu par M. Demarquay en mars dernier, et cette
observation
est d'autant plus importante que le chirurgien de
moelle ou de la colonne vertèbre-cervicale. C'est le grand nombre d'
observations
nouvelles qu'il renferme qui rendra surtout le tr
voir gré à l'auteur d'avoir si bien analysé et discuté les nombreuses
observations
qui lui étaient personnelles et d'avoir cherché à
pose, après quelques auteurs étrangers, M. Suchard qui, n'ayant pas d'
observations
personnelles, se con-tente de faire œuvre de vulg
rvices, combinée à l'extraction qu'elle facilite. Un certain nombre d'
observations
, rap-portées dans le travail de M. Suchard, et du
Dans un premier cas, l'expression utérine a été appliquée au fœtus. L'
observation
fort intéressante est intitulée : Tertipare. Prés
acro-pubien mesurait à peine 8 centimètres et demi. Dans les quatre
observations
qui suivent, l'expression utérine a été employée
âte d'une façon évidente la guérison de la paraplégie. Parmi les onze
observations
que l'auteur a placées à la fin de sa thèse, qu
ar des épingles qui ont servi à suspendre le monstre. OBSTÉTRIQUE
OBSERVATION
D'ACCOUCHEMENT SPONTANÉ CHEZ UNE FEMME RACHITIQ
est pas sans importance, au point de vue de la clinique, et plusieurs
observations
que nous avons entre les mains font mention de ce
n battement et encore moins un mouvement d'expansion. Ainsi5 dans l'
observation
suivante, que nous devons à notre maître, le doct
rès sa section, il survint une formidable hémorrhagie en ar-rosoir.
Observation
IX. — Ablation de la lèvre antérieure du col utér
l avait choisi pour opérer une épo-que assez éloignée des règles. L'
observation
qui suit est extraite de l'excellente thèse de M.
t s'exposer un chirurgien s'il néglige les précautions précédentes.
Observation
X. — Hypertrophie vasculaire de la lèvre antérieu
la malade de M. Marchai (deCalvi), dont nous avons résumé l'histoire (
Observation
VII), unehémorrha-gie survenir secondairement et
: « Pour nous, nous étudierons ainsi : nous nous servirons : 1° de l'
observation
analytique et synthétique des faits naturels, des
propor-tion de 21 à 6. La fin de l'ouvrage contient soixante-quatre
observations
de scro-fuleux traités la plupart avec succès par
reste, d'accord avec MM. Devergie, Marrotte et Vulpian qui, par leurs
observations
cliniques et leurs recherches expérimentales, ont
1860 dans sa Thèse inaugurale, n'en avait réuni que 14 cas. A ces 14
observations
, Wecker, dans son Traité des mala-dies des yeux,
yeux, en ajoute 4 nouvelles. De notre côté, nous en avons publié deux
observations
dues à MM. Labbé et Stceber, avec dessins représe
i une obser-vation que nous empruntons au Journal d'ophthalmologie.
Observation
. —Blessure de l'œil. — Corps étranger; tentative
epsie (De F), leçon de M. Charcot recueillie par Bourneville , 273. —
Observation
de Wunderlich (Trad. Teinturier), 284. I Infe
s, 1872. (J. M. C.) — Voir aussi la thèse de G. Durand faite avec nos
observations
et nos notes, intitulée : Des anévrysmes du cerve
été rassemblés ; plusieurs observateurs ont contrôlé et confirmé nos
observations
, et constamment les anévrysmes ont été rencontrés
rencontrés chez un jeune homme de 24 ans. Nous donnerons plus loin l'
observation
du jeune homme de 20 ans chez lequel nous les avo
réquemment. C'est ce dont on pourra se convaincre par l'examen de nos
observations
et du tableau statistique qui les résume. Nous re
ce nettement recon-naissahle d'une hémorrbagie antérieure. V. Les
observations
d'hémorrhagie cérébrale que nous allons rapporter
s, elle a toujours été faite, avec un soin minutieux ; et si dans nos
observations
il n'est pas fait mention le plus souvent d'obstr
t-Luc, 2. — Charcot. Raynié (Jeanne), 62 ans). — Cette femme dont l'
observation
a été égarée, est morte d'hémorrhagie cérébrale l
e; un foyer ocreux peu volumineuxdansle noyau extra-intraventri- ).
Observation
communiquée par M. Bassercau, interne du service,
e, à gauche principalement, foyer ocreux d'hémorrhagie ancienne, 1.
Observation
communiquée par M. Liouville, interne du service
chacun 90 gr. ; ils ne présentent pas d'altération appréciable. 1.
Observation
communiquée par M. Liouville 2. Observation com
ation appréciable. 1. Observation communiquée par M. Liouville 2.
Observation
communiquée par M. Decornièrcs, interne du servic
rencontrés dans les circonvolutions. Le cœur était normal. 1. Celte
observation
, ainsi que la suivante a été l'occasion d'une leç
Les artères de la base n'étaient nullement athéromateuses. A ces 77
observations
où. la nature de la lésion ne saurait être mise e
toujours été constatée avec certitude, nous pouvons ajouter quelques
observations
qui, d'après les détails que les auteurs ont donn
e, de petites cicatrices irrégulières, d'un brun jaunâtre, foncé. L'
observation
qui va suivre est la première à notre connaissanc
oduction de l'apoplexie sanguine. Obs. LXXX. — Heschl. La sixième
observation
du docteur Heschl a trait à un homme de 47 ans, m
ranuleuse des reins. Obs. LXXXI. — Heschl (Loc. cit). La douzième
observation
du docteur Heschl concerne un homme de 72 ans, mo
s observé en 1856. Nous aurions pu grossir encore le nombre cle nos
observations
, si nous n'avions voulu éliminer absolument tous
de l'hémorrhagie ou du ramollissement, les lésions signalées dans les
observations
qui précèdent ne présenteraient rien de très exce
et c'est sans doute une pareille coïncidence qu'il faut voir dans une
observation
publiée par M. Dieulafoy (1). La lésion, considér
néo-membranes épaisses et très vasculaires de la dure-mère. Dans une
observation
que nous a communiquée M. Vulpian, une femme de 4
jie au niveau de la scissure de Rolande. Disons aussi que plusieurs
observations
qui nous sont personnelles ou qui nous viennent d
s miliaires. Si l'on veut se reporter maintenant à l'analyse des 84
observations
d'hémorrhagie cérébrale que nous avons réunies, o
s statistiques antérieures. M. Durand Fardel (1) qui avait réuni 32
observations
d'hémorrhagie cérébrale où l'état des artères de
nsky, Leubuscher, etc. L'état du cœur se trouve noté 53 fois dans nos
observations
, l'hypertrophie n'est indiquée que 22 fois, c'est
énale s'accompagne ou non d'hypertrophie secondaire du cœur. Dans nos
observations
, on trouve l'état des reins noté 49 fois; or 16 f
iliaires. Cette conclusion, à laquelle nous a conduit directement l'
observation
de faits nombreux, pourrait être déduite indirect
ment être considérée là que comme une cause accessoire. D'après les
observations
que j'ai recueillies à l'hospice de la Salpêtrièr
produit, nous croyons utile de donner ici l'analyse très-sommaire des
observations
sur lesquelles se fondent les remarques qui précè
servations sur lesquelles se fondent les remarques qui précèdent. Ces
observations
représentent la totalité des cas d'hémiplégie réc
la température centrale au-dessus de 39°, symptômes qui, d'après mes
observations
, peuvent être considérés dans l'espèce, en l'abse
de doute. Aujourd'hui, il existe dans la science un si grand nombre d'
observations
d'aphasie liée à l'altération de la troisième cir
la cause de Vabaissement de la température centrale, qui, d'après les
observations
(au nombre de plus de 40), survient constamment d
ulpian. Extrait de la Gazette hebdomadaire, 1860, p. 728, 789, 821.
Observation
. — Hérnorrhagie inlra-arachnoïdienne. — Fausses m
it subir de changements de teinte. En résumé, il s'agit, dans notre
observation
, d'une femme âgée de quarante-cinq ans, qui, ap
il faut se rappeler plusieurs circonstances très importantes de notre
observation
. Le malade avait eu une attaque d'une nature indé
ait qui a été observé très souvent, et que nous retrouvons dans notre
observation
, à savoir la présence d'un dépôt membraneux, non-
isation la moins avancée. En général, et il en était ainsi dans notre
observation
, il n'y a qu'une adhérence assez faible entre la
ture et le mode de formation des néo-membranes, et il donne plusieurs
observations
où ces produits ont été trouvés à l'autopsie de s
ppellerons, à cette occasion, que, dans le cas dont nous rapportons l'
observation
, on trouvait des cellules épithéliales plus ou mo
rveau, p. 573 et 621), et ainsi que cela existait, d'ailleurs, dans l'
observation
qui nous est propre, des cristaux d'hématoïdinc ;
eux ont fondé d'ailleurs leurs conclusions sur un très grand nombre d'
observations
1. Des cas oh l'on a trouvé entre autres lésion
toutes ces particularités pouvaient être aisément saisies dans notre
observation
, — sont très minces et n'offrent pas d'éléments m
ifiques, qu'il est presque toujours permis de saisir, pour peu cpie l'
observation
ne soit pas limitée aux derniers temps de la vie
; pus rassemblé en grande abondance dans la cavité arachnoïdienne.
Observation
!. — Le nommé Moisy (Edouard Alexandre) âgé de 34
ent limitées à la surface convexe des hémisphères. En résumé, cette
observation
présente l'histoire d'un homme âgé de 34 ans qui,
auche et un abcès dans la cavité arachnoïdienne du môme côté. Cette
observation
présente de l'intérêt sous plusieurs points de vu
ostérieure, il existe un abcès considérable... On voit que si cette
observation
a plusieurs traits de ressemblance avec la nôtre,
ie du rocher, etc. Abercrombie, dans les réflexions qui suivent son
observation
, cite plusieurs faits analogues qu'il tire de dif
es dans l'intérieur même de la cavité arachnoïdienne et en cela notre
observation
présente encore un certain intérêt. Le plus souve
p. 76. — En collabora-ration avec M. Vulpian. X. Sur une nouvelle
observation
d'aphémie (1) LETTRE A M. LE DOCTEUR DECUAMBRE.
Gazette liront avec quelque intérêt, j'ose l'espérer, l'analyse d'une
observation
que j'ai présentée tout dernièrement à la Société
ennent de vous être adressées par M. le docteur Auburtin concernant l'
observation
d'aphémie dont je vous ai entretenu il y a une qu
xtrait de la Gazette hebdomadaire, 1863, p. 525. produire une seule
observation
relative à un malade qui. ayant été privé de l'us
volutions. » J'ignore, mon cher ami, si les faits contenus dans mon
observation
pourront modifier l'opinion si nettement exprimée
tel organe, —reste encore à déterminer. J. M. Charcot. que cette
observation
est laconiquement présentée, — et ce n'est pas vo
rations de la substance nerveuse cérébrale. Sans aucun doute, cette
observation
se trouve être en opposition formelle avec la plu
n tour à la tentation de rappeler qu'il convient parfois de peser les
observations
, non de les compter? on prétend localiser une fac
de quel poids dès lors n'est pas, dans une question ainsi posée, une
observation
contradictoire, fût-elle même complètement isolée
r un instant qu'on laisse intervenir les chiffres. Quelles seront ces
observations
si nombreuses qu'annonce M. le docteur Auburtin e
encore été mise dans tout son jour, et, à ce double point de vue, les
observations
anciennes cessent évidemment d'être comparables a
les observations anciennes cessent évidemment d'être comparables aux
observations
récentes. Cette déduction faite, quels cas resten
e son propre fonds; mais j'y rencontre d'abord, par compensation, les
observations
de M. le docteur Broca, observations fort remarqu
e d'abord, par compensation, les observations de M. le docteur Broca,
observations
fort remarquables sans aucun doute, mais qui, en
nification qu'on a prêtée, un peu arbitrairement, à quelques-unes des
observations
du dernier groupe, au profit de la doctrine soute
u'on voudrait le laisser croire. Mais hélas! fussé-je riche de cent
observations
établissant que l'aphémie peut exister sans altér
tre-t-elle à la hauteur du but à atteindre? Pour moi, je pense qu'une
observation
remplissant toutes les conditions requises par M.
e au point de vue clinique. Il résulte, en effet, d'un grand nombre d'
observations
faites en commun avec Vulpian, que les phénomènes
de faire connaître dans leurs principaux détails un certain nombre d'
observations
cliniques et microscopiques, qui, si je ne me tro
tre rattachées à cette catégorie. Il nous a semblé que l'étude de ces
observations
pourrait fournir quelques renseignements relative
ne occasion prochaine les vues physiologiques qu'ils suggèrent. Nos
observations
seront ramenées à deux chefs principaux : Dans un
va être question d'abord, s'est présentée pour la première fois à mon
observation
dans les circonstances suivantes : Obs. I. —Je
prévison devait se réaliser, ainsi qu'on le verra par la lecture des
observations
suivantes que je crois devoir rapporter dans tous
ont subi à la longue des altérations profondes. Au contraire, dans l'
observation
qui va suivre, l'affection articulaire, après s'ê
xtension à cette note, je pourrais joindre, aux faits précédents, une
observation
du même genre, dont les détails m'ont été communi
s saillants de l'alfec tion articulaire qui s'est présentée à notre
observation
chez plusieurs malades ataxiques. En premier lieu
(1) paraît être un caractère à peu près constant ; et si dans un cas (
Observation
de M. Bouchard), ces deux derniers symptômes se s
ns profondes, lésions qui, en général, ont survécu, et qui, une fois (
Observation
III), ont été portées jusqu'au point de détermine
servé, pour mon compte, plusieurs faits qui me semblent confirmer les
observations
du professeur Mitchell. L'un d'eux a été rapporté
es in- 1. Brown-Sequard. — Journal de physiologie, t. 1863, p. 123.
Observation
recueillie par M. Viguès. 2. American Journal o
ves. Elle nous a paru cependant mériter d'être soumise, au contrôle d'
observations
nouvelles. Arthrites dans l'hémiplégie de cause
ent l.Durand-Fardel. —Maladies des vieillards, p. 131. Paris, 1854,
Observation
de la nommée Lemoine. — Valleix. — Guide du médec
soit fondée jusqu'ici sur des arguments autres que les résultats de l'
observation
clinique et qu'elle ait reçu encore la sanction,
près indispensable en pareille matière, des preuves anafo-miques. Des
observations
qui vont être présentées contribueront, je l'espè
bres paralysés, chez les hémiplégiques, se trouvera justifiée par nos
observations
. Obs. I. M..., âgée de 69 ans, est entrée à l'h
x côtés les caractères normaux. La malade qui fait l'objet de cette
observation
a été frappée le 7 mai 1867, d'une attaque d'hémi
rations de la synoviale se sont montrées plus accusées encore, dans l'
observation
qui va être présentée et qui, comme la première,
essants au point de vue qui nous occupe se trouvent encore dans cette
observation
; il nous suffira de relever les suivants: En pr
les nerfs du bras paralysé, contrairement à ce qui existait dans les
Observations
I et II, n'offraient aucune des altérations de la
ro pathies consécutives à une lésion des nerfs périphériques. Les
observations
qui viennent d'être rapportées ont été choisies p
doute se montrer plus tôt; jamais toutefois, si j'en juge d'après les
observations
cliniques et nécroscopiques que j'ai recuillies,
ue l'on voit, ainsi que cela s'est présenté dans quelques-unes de nos
observations
(Observ. Il et III), — ces affections se manifest
er et donne, avec les réserves nécessaires, les résultats de quelques
observations
de la métallothérapie. En dehors de sa particip
oux et Ri cher dans le laboratoire de la Salpêtrière. Faits de pure
observation
. A. Vérification rigoureuse des assertions de M.
, dans tous les cas, est conforme à l'un des deux types établis par l'
observation
. Voici dans quel ordre, chez la majorité des ma
français et étrangers. (British med. Journal, 12 octobre 1878.) II.
Observations
et expériences relatives à la théorie des phénomè
78., n° 29. Charcot, laboratoire de la Salpêtrière.) IT. Notes et
observations
sur la métalloscopie et la métallothérapie. Mét
aits d'hémianesthésie absolue sont au-dessus de tout scepticisme. »
Observations
cliniques sur la métallothérapie (1). « L'année
s faits antérieurs d'application des métaux chez les hystériques. L'
observation
de ce genre la plus ancienne que je connaisse se
t analogue sur la malade en question. Wichmann fait remarquer que son
observation
date de 1769, époque à laquelle, dit-il, il n'éta
de la première émotion les accidents nerveux reparaître ? Quelques
observations
que nous avons laites ici récemment, nous portent
ensible. Tel est le fait remarquable qui semble ressortir de quelques
observations
que nous avons recueillies récemment. Je puis,
accentuées. La malade a été soumise au cuivre à l'intérieur à 1. L'
observation
de cette malade et des suivantes ont été publiées
nce de complication ou de mystère, n'en sont pas moins susceptibles d'
observation
méthodique, et qu'il est d'un véritable observate
ermis de nier les faits rigoureusement observés, que d'étayer sur une
observation
incomplète des théories pour le moins prématurées
érique, survenue spontanément chez une religieuse, la sœur P., dont l'
observation
a été publiée tout au long dans le Progrès médica
t entreprirent leur travail. Leur mémoire ne contient pas moins de 48
observations
. Toutes manquent malheureusement de précision cli
cru longtemps, je pense aujourd'hui qu'il existe à peu près autant d'
observations
du côté droit que du côté gauche. Je vous rends,
1. Voir le tome I des Œuvres complètes, p. 275. Nous avons publié l'
observation
entière de cette malade dans nos Rec/i. clÂniq. e
ifié, au préalable, l'état particulier chez lequel ils ont relevé une
observation
, que divers observateurs arrivent trop souvent à
rimitivement, isolément; ils peuvent encore, dans le cours d'une même
observation
, chez un même sujet, se produire successivement,
lajambe. Cail..., hystéro-épileptique, actuellement soumise à notre
observation
, présente la même particularité. Nous avons soumi
e est subordonnée au degré d'activité réflexe de la moelle et que nos
observations
nous ont appris que, souvent, dans l'hypnotisme c
lument identiques. En ce moment, parmi les malades soumises à notre
observation
, Witt... est celle qui présente l'hyperexcitabili
rtainement au muscle auriculaire supérieur. Que conclure de ce fait d'
observation
, si ce n'est que, dans ce cas, nous excitons dire
de 1 sur 4 ou 5 au plus. Il est vrai que les malades soumises à notre
observation
, à la Salpêtrière, sont toutes des sujets atteint
ire se montre à la face. Nous nous contenterons de rapporter les deux
observations
suivantes : Dans les récentes expériences que n
I ont été prises d'après elle. Entre autres détails intéressants, l'
observation
suivante nous montre également une différence ent
êter aux diverses phases de son évolution. Nous rapporterons ici deux
observations
dans lesquelles les caractères du sommeil hynopti
i a suivi l'expérience est un fait tout à fait exceptionnel. Dans l'
observation
suivante, à l'exagération des réflexes tendineux,
ence de la malaxation du membre. Pour terminer, nous rapporterons l'
observation
suivante qui met bien en relief et les différence
ers résultats à la Société. Voici quelques détails relativement aux
observations
faites à ce sujet : La malade une fois plongée
une vingtaine de fois. La constance des résultats obtenus dans des
observations
déjà nombreuses nous engage à conclure, jusqu'à p
arrêté provisoirement, des modifications rendues nécessaires par des
observations
ultérieures. Les malades hystériques sur lesque
Les malades hystériques sur lesquelles ont jusqu'à ce jour porté mes
observations
sont au nombre de 10. Elles peuvent être ramenées
logie nerveuse, en général ; avec quel soin il importe de répéter les
observations
et les expériences un grand nombre de fois et sur
caractères de l'état où se trouve le sujet chez lequel on relève une
observation
, car, sans cette précaution fondamentale, on risq
t, l'an passé, à la Société, en commun avec M. le docteur Richer. Mes
observations
, faites avec le concours de M. Richer sur ce dern
e et plus facile, ne sera abordée qu'en dernier lieu. De nombreuses
observations
nous ont amené à conclure que l'hypnotisme ainsi
durée même suffise à écarter tout soupçon de simulation. D'après nos
observations
, cela ne serait point exact : au bout de 10, 15 m
s de cette façon. Chez la cataleptique, pendant toute la durée de l'
observation
, la plume qui correspond au membre étendu, trace
s enracinés. M. Charcot, éclairé déjà depuis longtemps par nombre d'
observations
rigoureuses, recueillies dans son service, n'hési
mbres. C'est ainsi que, jusqu'à présent, on n'a jamais pu fournir une
observation
probante de paralysie flasque de la face dans l'h
respiratoires. Or, chez le cataleptique, pendant toute la durée de l'
observation
, la plume qui correspond au membre étendu trace u
des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes; la plupart de mes
observations
se rapportent à des hommes que j'ai choisis à des
vidence de phénomènes somatiques pouvant tomber sous le contrôle de l'
observation
. Une hallucination, un rêve, un délire, un phénom
a sincérité de ces sujets, et il est dès lors impossible de tirer des
observations
faites sur eux aucune conclusion définitive. Au
neuro-musculaire ou n'importe quel autre stigmate hystérique, caries
observations
des auteurs précités ont démontré que l'on peut,
e les objections de M. Bernheim sont loin d'être démonstratives ; ses
observations
font ressortir tout au plus le rôle important que
peut-être M. Bernheim, comment affirmer que réellement l'individu en
observation
n'a jamais été présent à des expériences sur le m
pnotisme, nous invoquerons des arguments du même ordre. Les premières
observations
de M. Charcotontévidemment une valeur pour ains
mais parce que ces trois états se sont présentés naturellement à son
observation
. Depuis, de nouveaux cas analogues ont pu être ob
été soumis à de nombreuses manipulations. Nous rappelons à ce sujet l'
observation
de C. G., citée plus haut. Cette observation, loi
s rappelons à ce sujet l'observation de C. G., citée plus haut. Cette
observation
, loin d'être défavorable à notre thèse, nous para
a produit ce que la suggestion avait été incapable de faire, et cette
observation
fait voir l'importance que peut avoir le mode d'h
ne simple vue de l'esprit, d'une impression résultant sans doute de l'
observation
exclusive de quelques hypnotiques imparfaits. Du
s expérimentateurs absolument indépendants de la Salpètrière dont les
observations
ont été recueillies non seulement en dehors de la
s états admis par l'École de la Salpêtrière. Je n'ai pas publié celte
observation
, parce que je considérais ce fait comme banal et
e M. Ladame (de Genève) a bien voulu nous communiquer, qui résume une
observation
qu'il a publiée en 1881 (3). Cette observation no
niquer, qui résume une observation qu'il a publiée en 1881 (3). Cette
observation
nous paraît capitale. 1. Rummo. — Riforma medic
as occupé dans ce travail de cette question; mais la netteté de cette
observation
, en ce qui concerne l'absence de suggestion dans
inion qui ait quelque valeur, il ne faut pas se contenter de quelques
observations
isolées, il est nécessaire de multiplier les expé
ifs que l'on aurait enregistrés jusqu'alors. Il faut donc répéter les
observations
, et cette condition aurait dû surtout être rempli
t quelques grandes hypnotiques. M. Delbœuf, après avoir fait quelques
observations
sur les malades qu'il a eus à sa disposition a ac
s absolument cette objection qui ne serait pas fondée ; en effet, nos
observations
nous ont montré que les grands hypnotiques et les
des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de mes
observations
se rapportent à des hommes que j'ai choisis à des
iendrons jusqu'à plus ample informé, — et rien n'y contredit dans les
observations
qu'on nous offre — nous soutiendrons, dis-je, que
................................. 136 Pages XII. Sur une nouvelle
observation
d'aphémie....................... 194 Première l
— Métalloscopie : métallothérapie................. 213 II. Notes et
observations
sur la métalloscopie et la métallothérapie... 220
Métallothérapie. — Métalloscopie du docteur Burq.............. 220
Observations
cliniques surla métallothérapie..................
égiques, p. 201. Arthropathies, dans Yataxie locomotrice, p. 159; —
observations
, p. 160. 161, 163, 167; — causes des —, p. 172; —
umatismes de la moelle, p. 174; dans 1'hémiplégiecérébrale, p. 181; —
observations
, p. 183, 189, 196; — anatomie pathologique, p. 20
ture (Diathèse ile —), p. 261, 447, 453, 465; — hystérique, p. 272; —
observations
de —, p. 473; —provoquée,p. 563; — spontanée, p.5
visuelles provoquées, p. 308. 11ematomi: de la dure-mère, p. 102; —
observation
d' —, p. 103. Hé.mianestiié.hie croisée, p. 89:
causes, p. 6; — senile, p. 9; — maladie, p. 11: — fréquence, p. 11; —
observations
d1 —récentes, p. 26: — observations de foyers anc
adie, p. 11: — fréquence, p. 11; —observations d1 —récentes, p. 26: —
observations
de foyers anciens sans — récente, p. 48; — cas an
moment à l'autre, p. 327; — par répétition des expériences, p. 387; —
observations
d' —, p. 388, 391; — suppression de 1'—, p. 390;
ression de 1'—, p. 390; —différences individuelles de 1' —, p. 393; —
observations
, p. 394, 396; — pendant la veille, p. 406; — natu
Induction, p. 271. L Léthargie hystérique, p. 256 , 258, 398; —
observations
de —, p. 400; — ses caractères, p 301 ; — mode de
p. 224: — externe et interne, p. 233, 244 ; — procédé de —, p. 235; —
observations
, p. 248. Métaux, (Influence des—) sur l'anes-fh
Tous les renseignements que je vous donnerai ont été puisés dans l'
observation
prise avec beaucoup de soin par M. Sacaze. C'
n con- vaincu d'une chose, c'est que dans les conditions de notre
observation
journalière, le tabès est toujours d'origine syph
uveauté. Mais ici, comme dans toutes les sciences qui relèvent de l'
observation
, l'oeuvre n'est jamais parachevée. Les grandes
rtout son intérêt des difficultés que présen- tait le diagnostic.
Observation
I. An... L..., quarante-deux ans. Antécédents h
est fortement contrariée, par exemple, si ses patrons lui font une
observation
qu'elle ne croit pas mériter. Dans ces cir- con
eure à l'apparition des secousses musculaires. En regard de cette
observation
, il convient de placer celle du fils de la mala
ls de la malade Ma... L..., atteint lui aussi de tic loca- lisé :
Observation
II. Ma... L..., dix-neuf ans. Antécédents héréd
ïe, l'odorat normaux, il y a de l'hypoesthésie à droite. Ces deux
observations
présentent des traits communs et des dissemblan
es et coprolaliques consécutifs. Par rapport à l'hystérie, ces deux
observations
démontrent que la grande névrose peut coexister
rochement de plus entre les deux formes de la ma- ladie des tics.
Observation
III. - Ma... M..., quarante-quatre ans, célibatai
ation, elle parcourt indiffé- remment les rues de la ville. Cette
observation
est un cas typique de la maladie des tics. On y
notre connaissance, il n'aurait pas été encore mentionné. La seule
observation
qui pourrait être rapprochée de la nôtre, est c
par la participation des jumeaux et des péroniers, d'autre part.
Observation
IV. z V..., douze ans et demi. Antécédents héré
et univoques ; leur absence a été signalée dans un certain nombre d'
observations
, comme on a relevé leur présence dans des cas o
n n'est-elle pas un enseignement ? D'ailleurs dans les trois autres
observations
, nous voyons la paralysie par lésion* cérébrale
figurer constamment au nombre des antécédents héréditaires ! Dans l'
observation
I, elle constitue même le seul antécédent patholo
n I, elle constitue même le seul antécédent patholo- gique ; dans l'
observation
II, elle est notée deux fois; dans l'observa- t
ratoires, compliqués d'émission involontaire de mots, notamment les
observations
rapportées dans l'ouvrage de M. Pitres 6, on co
des faits; c'est elle qui est représentée dans les trois premières
observations
; si pour cette autre malade les mouvements prés
nsidérations générales SUR LES cas étudiés précédemment. Les quatre
observations
que nous avons 1 Voir Archives de Neurologie, p
en établie. Charcot, Ballet, Crespin, Babinski 1, en rapportent des
observations
d'une netteté remarquable. Dans celles-ci, l'ab
attaques du délire, la présence des zones hystérogènes, donnent à l'
observation
clinique une signification diagnostique presque
diagnostique presque mathématique. Il n'en était pas ainsi dans nos
observations
. En effet, les attaques se sont présentées isol
n° 60.) l'hystérie et les maladies organiques DU cerveau. 43 les
observations
suivantes : dans le premier cas, c'est très remar
s utile. L'amélioration et la disparition de quelques- - uns d'eux (
observation
première), leur caractère transitoire et interm
(observation première), leur caractère transitoire et intermittent (
observations
deuxième et quatrième), nous ont fourni des pre
points notre diagnostic. Maintenant, il est temps de tirer de nos
observations
une conclusion d'ordre thérapeutique qui nous p
n'est pas la cause des accidents morbides car nous avons vu par nos
observations
qu'elle peut simuler d'une façon parfaite l'épi
ouchent des indi- vidus sous le domaine de la névrose hystérique.
Observation
V. Sur un cas d'apoplexie hystérique. All..., â
e, M. le professeur Potain, pour m'avoir permis de recueillir cette
observation
dans son service. L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES OR
hystérique 1 mis en tête de ce travail est pleinement justifié. -
Observation
VL- Sur un cas d'hémiplégie hystérique présentant
sujet si difficile. Nous ferons remarquer seu- lement comment cette
observation
vient à l'appui de la doc- trine de la Salpêtri
s seulement l'interprétation de tous les éléments de cette curieuse
observation
eût offert bien des difficultés ; la nature hys
ne du cas' de la demoiselle Coirin et qu'on se rappelle les faits d'
observation
toute moderne du Dr Fowler. Est-ce à dire que
are dreant in yow" s philosophy 2. » 1 Voir comme exemple typique l'
observation
d'Etch... (Bourneville, Recherches clin, et thé
r 0. Klinke. (Allg. Zcilsch. f. Psychiat., t. XLVIII, p. 1 et 2.)
Observation
de parole impulsive automatique, incoercible. Il
IGINE cérébrale ; par L. KR.1MER. (Jahrbùch. f. Psychiat., X, 1.)
Observation
intéressante par ceci : Cinq ans environ après un
Jules DaGONET. (Bull, de la Soc. de Méd. ment. de Belgique 1891.)
Observation
d'une héréditaire qui a présenté à quarante-deux
oc. de lIléd, ment, de Belgiquc, 1881.) Il s'agit de deux nouvelles
observations
d'idiotie myxoedéma- teuse caractérisée par un
utions A L'ÉTUDE DE L'ÉPILEPSIE symptomatique ; par le Dr BELLAT.
Observation
intéressante de tumeur de la dure-mère, placée à
délai ; la malade par exemple, dont l'auteur relate l'intéressante
observation
, frappée de ce fait que son père, sa mère et l'
fonctionnement des parties atteintes par une lésion définitive. L'
observation
citée par l'auteur montre que cette théorie, vrai
TE par LE BOL · alimentaire chez LES aliénés; par le Dr HOSPITAL.
Observation
intéressante d'un cas de mort par occlusion acci-
ersonnalité; par le Dr BOETAU. L'auteur, dans une très intéressante
observation
, détaille l'his- toire d'une hystérique qui, à
DITÉ NÉVROPATHIQUE; par le Dr CULLERRE. ' Dans une série de vingt
observations
, l'auteur met en relief un nouveau signe de dég
a MIKROGYRIE; par R. OTTO. (Arcleiv f. Psychiat., XXIII, 1.) Deux
observations
d'idiotie complète. Age, cinq à six ans. Chez l
antile cérébrale; par GIERLICIi. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 1.)
Observation
de destruction chez l'enfant des faisceaux moteur
progressive; par BINSW.1NGER. (Neurol. Cen- tralbl., 1891.) Deux
observations
qui se rapprochent de celles de Zambaco, Westph
a (dans la Deutsch. med. Wochenschr., 1890, n° 56) pré- tendu (neuf
observations
avec autopsie) que, dans les cas de para- lysie
ière). M. Zagari a voulu contrôler cette assertion à l'aide de cinq
observations
. Conclusions. Les couches optiques sont, dans la
e sur la description classique; de sorte que, à tout prendre, cette
observation
représente un cas typique de ce que Krafft Ebin
novitch les a notées chez sa malade. Je rangerais donc plutôt cette
observation
dans les délires mystiques avec accidents hysté
se range plutôt du côté de l'opinion de M. Séglas. En tout cas son
observation
est difficile à classer dans les classifi- cati
. De la névrite périphérique dans la paralysie générale. Voici deux
observations
personnelles de paralysie générale typique. On
traités par la méthode chirurgicale de 31. Burckhardt. La première
observation
a trait à un homme de dix-neuf ans, qui pré- se
ons dans l'écorce ni au-dessous. Il serait bon aussi de publier les
observations
défavorables. M. KIRN. En tout cas, on voit que
âne, mais dans la région des sutures craniennes. L'auteur cite cinq
observations
de psychopathies dues à de simples lésions de l
le important dans la sensibilité en question. Qu'on se rappelle ces
observations
dans lesquelles de petits épanchements sanguins
a des malades qui ont des foyers d'infection mul- tiples. Dans les
observations
du rapporteur l'infection figure dans 70 p. 100
cause de la maladie. En plus, cette cause est notée dans beaucoup d'
observations
simultanément avec l'infection (sur trente- tro
21 février 1892. M. le Dr Miner fait voir une -malade et donne son
observation
sous le titre : Lésion traumatique de la moelle
3 M. le Dr Minot, à propos des symptômes spinaux constatés dans l'
observation
du Dr Mouratow émet l'opinion qu'il est dans ce
morbides l'un spinal, l'autre périphérique. Il cite à ce propos son
observation
d'un malade qui, étant syphilitique et alcooliq
onnus, et dit monosymptoma- tique. M. le Dr Rossilimo tire de cette
observation
la conclusion suivante : la syringomyélie, d'or
qu'il a publiés ; l'un de ces cas (monothermanesthésie) échappa aux
observations
, tandis que le cours de la maladie des autres c
e hé- morrhagie dans le noyau du nerf hypoglosse, car il a eu une
observation
clinique, où l'apoplexie se suivit par des troubl
étine de l'oeil avec le noyau du nerf moteur ocu- laire commun. Les
observations
sur le rapport des fibres optiques aux centres
jumeau sert seulement à une petite quan- tité défibres. D'après les
observations
de M. le Dr PRIBYTFOV il existe, .hors ces deux
- velle méthode, quoique cette dernière ne prouve pas ses propres
observations
sur le trajet des nerfs optiques. Tout de même la
substances excitant les fonctions du cerveau. Voilà le résultat des
observations
: l'in- jection hypodermique de ces médicaments
médiaire à la formation du nouvel os pour être résorbé ensuite. Les
observations
ultérieures montrent que la classe zoolo- gique
ou simplement successifs et publient de nombreuses et intéressantes
observations
à l'appui de chaque groupe. La périodicité, l'i
toutefois qu'il soit possible de les localiser. D'un autre côté les
observations
et expériences sur les accompagnements physique
sections d'agités, de malades soumis à la surveillance con- tinue (
observation
médico-légale), de nouveaux arrivants sont pour
il y a longtemps que ces atrophies singulières sont connues. Des
observations
peu contestables en ont été rapportées en des r
r. Dans le cours de la même année, M. Babinski en publiait quatre
observations
on ne peut plus démons- tratives. Des faits du
tractions fibrillaires, le siège de l'amyotrophie (éminence thénar,
observation
de Cahn, dans le mémoire de MM. Gilles de la To
ssant d'une pièce éclairée dans une pièce obscure. Hammond * cite l'
observation
d'un haut fonctionnaire muni- cipal de Brooklyn
mérite d'être cité à ce point de vue. Déjà Duchenne 1 a publié une
observation
d'ataxie locomotrice avec « intégrité parfaite
urs relativement anciens, je puis vous citer encore Erb 2, dont les
observations
possèdent le mérite à la fois d'émaner d'un hom
sie pul- monaire, et elle fut pendant ce long temps soumise à une
observation
constante. A de nombreuses reprises, M. le profes
de beaucoup d'obs- curités. Nous reproduirons, en premier lieu, l'
observation
de la malade, telle qu'elle fut publiée en 1885
t heureusement l'excellente description donnée par ces auteurs '.
Observation
Léonie Lavr..., seize ans. Du côté maternel,
d'une myopathie de même nature, ainsi qu'on a pu le constater sur l'
OBSERVATION
III qui le concerne. La mère du père était atte
letins de la Soc. de Biologie, 11 février 1888); elle figure dans l'
observation
" J. Lav... » du tableau produit par ces auteurs.
unités musculaires, que nous avons pu constater, ainsi que sur les
observations
que nous venons de rappeler, nous pensons que l
ue auquel je fais allu- sion. Si l'on embrasse l'ensemble des 810
observations
récoltées à la clinique de cette année à la Sal
it sous l'influence de l'état neurasthénique créé par l'épidémie. L'
observation
suivante est curieuse entre toutes à ce point d
eur dimi- nution, et permettent de les enregistrer (Obs. CCXLII).
Observation
CCXLII. - Femme, trente-deux ans. Oreille gauche
t-ce qu'une anémie labyrinthique liée aux troubles vaso-moteurs ?
Observation
CCLXXIV. (Résumé.) ! \lUe B..., vingt ans, bourdo
ité, douches froides). Autre fait avec affaiblissement de l'ouïe.
OBSERVATION
CCCXXV. Exophtalmie double, doubla surdité crois-
croissent outre mesure. L'OB- SERVATIO1V CCLXV en est un exemple.
Observation
CCLXV. 28 février 1891. Mue M. Aline, quarante-
z certains individus (clou, bouchon de cire, blessure). Certaines
observations
montrent excellemment la dualité des causes de
par toute autre cause d'affai- blissement général de l'économie. L'
Observation
CCLXXVI en est un type très instructif et très
t très suggestif à ce point de' vue. 218 8 pathologie NERVEUSE.
Observation
CCLXXVI. 14 mars 1891. (Résumé.) - Mme Gris...,
de vue de la localisation de la lésion dans les centres nerveux.
Observation
CCCLIII. (Résumé.) F. Mo... trente-cinq ans, il
ute une classe d'idiots, et c'est là ce qui fait l'intérêt de cette
observation
. La forme de la tête, les tics coordonnés compl
s'ajouteront à ceux que nous avons eu l'occasion de citer dans les
observations
consignées dans les treize volumes de nos Compt
hnine, le lavage de l'estomac, le lait et les anti- septiques. Deux
observations
à l'appui. J. SÉGLAS. XXIV. OBSESSION avec CONS
.hebd. deméd. et chil'" 1890.) Le malade qui fait le sujet de cette
observation
est un dégénéré héréditaire qui fut arrêté dans
à l'hypnotisme : les problèmes pleins d'obscurité soulevés par ces
observations
ont servi de thème à une spéculation sans limite
e de l'encéphale : les anomalies psychiques sont secondaires (trois
observations
l'appui); 2° Un complexus symptomatique hystéri
riforme : névrose locale traumatique de Charcot et Slruempell (deux
observations
); 3° Troubles psychiques consécutifs aux lésion
'est un véritable livre. A la suite d'une riche bibliographie, huit
observations
, avec autopsies, montrent des lésions nucléaires
ème nerveux central; par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 1891.)
Observation
. Paralysie croisée comprenant : adroite, tout le
ra- niens, la fugacité des accidents paralytiques. P. K. VII. UNE
observation
DE syphilis DU système nerveux central BEVL- ta
e typique. (Rev. med. delà Suisse Romande, 1891.) G. D. XII. Deux
observations
CLINIQUES relatives A l'aphasie; par le D L. de
de KRAFFT-EBING,. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 11.) Quatre
observations
. Tares héréditaires. Neurasthénie généra- lisée
mp. (Montp. mi., 1891, t. IL) L'ataxique qui fait le sujet de cette
observation
était malade de- puis dix ans. Son affection se
d., 1891, t. II.) La dermographie présentait chez le sujet de cette
observation
les caractères suivants : Immédiatement après
fluence de ses idées mélancoliques. Un autre point intéressant de l'
observation
, ce sont les troubles moteurs ne se déclarant q
du corps étranger, lequel avait été toléré jusque-là. La seconde
observation
a trait au boucher de l'asile de Kan- kakee, qu
r pouvoir être séparé des autres cas en tant que forme séparée. Ses
observations
personnelles durant ces dix dernières années (m
TIQUE; par M. FRIEDMANN. (NeU- rolog. Centralbl., 1892.) De cette
observation
se dégagent : 1° l'occurrence de convulsions cl
ion anormale du muscle. M. Bernhardt rappelle qu'il a publié deux
observations
sem- blables, en 1877 et 1884. Il les reproduit
Régime des aliénés. Délire des négations. M. 1'ouLOUZS communique l'
observation
d'une femme atteinte du délire des négations et
Ce délire, actuellement stable, est véritablement systématisé. L'
observation
, des plus complètes, est exposée avec beaucoup de
ns la place qui conviendrait à sa malade. M. FALRET voit dans cette
observation
la preuve qu'il est néces- saire d'étudier les
es mouvements voulus combinés en mouvements incoordonnés. Les trois
observations
ont trait à des barbiers chez lesquels, sous l'
r cette batterie pendant plusieurs mois. M. ScuuLTZE rapporte une
observation
de spasmes dans les deux tenseurs du fascia lat
rofession- nelle (exercice du microscope) ou qui s'est exercé à des
observations
entoptiques, ou qui par rapport à l'autre est p
quelques heures par paralysie des centres respiratoires. - L'autre
observation
con- cerne une dame qui après avoir tenté de s'
er. D'une forme particulière de paresthésie des extrémités. Série d'
observations
caractérisées par des accès d'en- gourdissement
pecte le segment postérieur du faisceau de Burdach. Il est d'autres
observations
de tabès dans lesquelles les fibres dégé- nérée
ui peuvent à eux seuls entacher d'erreur SOCIÉTÉS SAVANTES. 398 l'
observation
de la pression artérielle. Il n'y avait ni exagér
Médical Record, 1892, p. 139.) Le Dr Giacomo a récemment publié des
observations
sur ce sujet. En voici le résumé. Le processus
lysies à contractures des organes génito-urinaires. De nombreuses
observations
apportent leur témoignage clinique aux assertio
avait déjà démontré en 1885 1. Nous passerons d'abord en revue nos
observations
en les faisant suivre des remarques qu'elles co
marques qu'elles comportent. Nous cher- . cherons ensuite, dans les
observations
de monoplégie hysté- rique publiées jusqu'ici,
rédité, que de la cause provocatrice, de la symptomatologie, etc.
Observation
1. - Le nommé Roug... (Fort...), âgé de trente-
sur les maladies du système nerveux, t. III,' p. 299-3G9. - Cette
observation
a été de la part de M. Charcot l'objet d'une leço
e bleu abso- lument identique à l'oedème spontané de ses malades.
Observation
II. Monoplégie brachiale droite. Hystéro-salurnis
Observation II. Monoplégie brachiale droite. Hystéro-salurnisme. (
Observation
recueillie par M. Garnie, interne des hôpitaux.)
écem- ment, M. Fink3, dans sa thèse, en a rapporté deux nouvelles
observations
dues l'une à M. Raymond et l'autre à M. Souques.
la migraine n'est autre chose qu'une manifestation de l'hystérie.
Observation
III. - Monoplégie brachiale gmche hystéro-trauma-
de la paralysie. Tels sont les résultats observés dans les diverses
observations
que nous avons pu réunir ici. INDEX BIBLIOGRA
IQUE. 357 nous-même tenté quelques recherches, et dans aucune des
observations
qui sont tombées sous notre main, nous n'avons
rieurs, tandis qu'aux bras, elle s'est montrée immédiatement. Cette
observation
, intéressante, en raison de la scoliose, renfer
à l'âge de seize ans. Enfin, parmi les points importants que cette
observation
renferme, il y a la déviation vertébrale poussé
tuent des arguments d'une grande valeur à ce point de vue, et notre
observation
en fournit un excellent exemple. La théorie oss
chez l'homme que chez la femme. Relativement rares se trouvent ces
observations
, où le tremblement a prévalu longtemps dans le
de dix ans. Cependant son cas ne présentait guère des périodes. L'
observation
de Nomolle (hémianesthésie hystérique anor- mal
ppelait notre cas sous plusieurs rapports. , Parmi les nombreuses
observations
d'Ozeretzkowsky, c'est seulement dans nOS 8S et
reidenberg (W1'atch., 1888, n° 44, Russe). Plus rapproché à notre
observation
que toutes celles qui ont été jusqu'à présent c
DÉLIRE DU TOUCHER) ; par MM. Raymond et Arnaud. A propos de trois
observations
des plus intéressantes, MM. Ray-' mond et Arnau
er de leur mutisme et de feurs réticences. M. Ar- naud rapporte une
observation
des plus instructives, de tous points conforme
n de la personnalité décrite par M. Séglas. De la comparaison des
observations
publiées sur le délire des négations, M. Arnaud
0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. M. le D1' Camuset de faire plusieurs
observations
intéressantes sur l'état mental des aliénés att
par l'intégrité de l'intelligence. M. le Dr Szczypiorski rapporte l'
observation
d'un malade atteint de cette maladie chez leque
e. Les troubles trophiques qui sont le point intéressant de cette
observation
, siègent depuis quatorze ans aux membres inférieu
; par Percy-Smitu. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.)
Observation
intéressante et détaillée, recueillie avec soin e
HYSLOP. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) Les trois
observations
rapportées par l'auteur sont à rapprocher des a
r George rINDL.11. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.)
Observation
curieuse, qu'il est intéressant de rapprocher d'u
Mental Science, janvier 1892.) L'auteur a cru devoir publier cette
observation
moins à cause de -la rareté même de la lésion q
n s'est produite et celui où la malade a succombé. R. M.-C. XLIX.
Observations
sur la « katatonie i ; par Edwin GOOD.1LL. (The
une ouverture de la dure-mère, de liquides irritants. R. M.-C. LUI.
Observation
clinique DE deux cas DE paraplégie ataxique; par
.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental Science, avril 1892.) Deux
observations
recueillies avec soin et intéressantes. R.-M.-C.
l manicomio, fasc. 2-3, 1892.) L'auteur commence par rapporter sept
observations
dont voici le résumé. I : Aucun fait héréditair
ution; mélange d'idées de grandeur; dé- mence consécutive. De ces
observations
, l'auteur tire les conclusions suivantes : I. L
nérés héréditaires, il nous parait parfaitement, à en juger par ses
observations
, l'avoir confondu avec lui. Pour notre part nou
de la façon suivante les conclusions qui lui ont été dictées par l'
observation
des faits. Toutes les grandes prisons devraient
sume dans les termes suivants les résultats de ses essais et de ses
observations
sur la naphtaline : j 1° La naphthaline s'est m
est pas lui-même indépendant de l'action musculaire. R. M.-C. LX.
Observations
DE chorée héréditaire (maladie de Huntizzgtolz);
dépend beaucoup de la période de la maladie sur laquelle porte l'
observation
. En somme, voici les principaux éléments de la
es du langage. Ten- tative de suicide. -- M. J. Voisin communique l'
observation
d'une femme dont le délire s'est systématisé tr
do- minatrice qui la possède. M. SÉGLAS. M. Régis a rapporté une
observation
semblable sous le nom de délire systématisé rel
hacune d'elles. Aussi est-on frappé de constater que sur toutes les
observations
de M. Lionbimov, au nombre de douze, il n'en ex
1882 à 1889, AI. Ball a ' Ce travail a été fait en partie avec des
observations
recueillies par nous, à la Saipêtrièie, dans le
elle a permis aux observateurs de concentrer leur attention sur les
observations
isolées sans tenir compte des contradictions, s
e qu'il entend par un hystérique afin que l'on puisse contrôler ses
observations
. Peut-être, quand on déclare impossible la défi
prend l'accident. A la même époque, M. Dutil montrait par plusieurs
observations
l'importance des idées fixes et des rêves dans
ent présenter tous les caractères et toutes 1 Voir un résumé de ces
observations
dans la thèse de M. Laurent, op. cit., p. 13.
pour résumer les re- cherches que nous avions faites, a publié une
observation
des plus intéressantes, et il a cherché à expri
mais il ne serait pas mauvais que leur opinion fut étayée sur des
observations
nouvelles, dans lesquelles l'intervention possibl
exister avec des stigmates hystériques parfaitement caractérisés.
Observation
. Jean M...re, cinquante-six ans'. Antécédents h
plus âgés sont bien por- tants, le quatrième fait l'objet de cette
observation
. Les grands parents ont vécu jusqu'à quatre-vin
ive, avec envahissement progressif. Mais, à côté de ces symptômes d'
observation
courante, il en est d'insolites sur lesquels do
reconnu avant le bleu. Voici, du reste, résumée en quelques mots, l'
observation
de ce malade : Joseph G...., soixante-quatre an
e l'intempérance. (American journal of insanity, 1892.) E. B. VI.
Observation
D'UN cas d'épilepsie avec ligature DE l'artère
JIéd. ment. de Belgique, 1892.) La malade qui fait l'objet de cette
observation
était atteinte de folie du doute; elle se deman
Dr L. DE Rode. (Bull. de la Soc. de lIIéd. ment, de Belg., 1892.)
Observation
médico-légale tendant à prouver que l'inculpée n'
tellectuelle. A l'appui de cette théorie, M. Francotte rapporte les
observations
de trois ma- lades atteints de chorée chronique
di frein., fasc. lII-IV, 1892.) L'auteur conclut de -différentes
observations
faites sur son malade, qu'il existe chez lui un
par le D1' R. BARONCINI. (Riv. sp. di fren., fasc. 111-IV, 1892.)
Observation
d'un malade, ayant des antécédents personnels é
fren., fasc. Ill-IV, 1892.) Les faits cliniques et anatomiques, les
observations
bactério- logiques et expérimentales conduisent
E); parJamesRoRIE. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.)
Observation
détaillée, suivie d'autopsie. R. M.-C. LXIX. Un
nk ASIIB1 1;LKINS. (The Journal of Mental Science, janvier 1891.)
Observation
détaillée, poursuivie pendant plusieurs années, e
gné d'hallucinations d'ordre mélanco- lique. ' R.M.-C. LXXIV. Une
observation
DE manie POST-ÉCLAMPTIQUE j par E.-A. ALExANDER
r E.-B. WHITCOHBE. (The Journal of Mental Science, octobre 1891.)
Observation
d'un cas intéressant, suivie de la relation détai
(The Journal of Mental Science, octobre 1892.) LYŸlIII. QUELQUES
observations
DE la maladie appelée KATATONIE, par M. J. NOLA
e katatonie; le second est constitué par la relation détaillée de l'
observation
de cinq malades qui ont paru à l'auteur d'autan
; par James RORIE. (The Journal of Mental Science, juillet 1892.)
Observation
intéressante, suivie d'autopsie; on trouva dans l
; par Jolin BRUCE. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.)
Observation
d'un homme de soixante-dix ans, mort subitement
f Mental Science, janvier et avril 1892.) - A l'aide de plusieurs
observations
, qu'il ne s'est d'ailleurs pas efforcé de group
nces récentes de Marinesco aboutissent aux mêmes conclusions. Les
observations
cliniques prouvent que les névrites les plus grav
qui se rencontre en diverses espèces morbides. Voici maintenant une
observation
caractérisée par l'existence d'un complexus sym
Sur la demande de M. Wernicke, M. Kahlbaum esquisse encore quelques
observations
. Il allègue que chez ces malades, les troubles
ujet. 11 en est ainsi de la plupart des malades qui constituent les
observations
détaillées par Sandet dans son mémoire sur la V
et, elle ne tient pas debout ; n'étant point du tout étayée par ses
observations
. M. KAHLBAUM. Il y a cependant des cas qui corr
ui méritent la démonstration de Ver- ruclaheit originelle. Mais les
observations
de Sander représentent où la folie systématique
originaire Ve7·rucktheit n'était pas d'un heureux choix pour ses
observations
. Les auteurs quand ils parlent de ceux qu'ils dés
rrespondre à cette appellation, ne puissent pas envisager les mêmes
observations
; ils les ont perdus de vue, c'est ce qui est no
oïa origi- nelle et de l'épilepsie). M. Wernicke. J'ai publié des
observations
dans lesquelles il y avait des idées fixes prés
où nous trouvons les mêmes qualités d'exactitude et de soin, dans l'
observation
que nous avons eu-à louer dans la première part
nopsie indirecte. Se basant sur l'analyse critique de ses propres
observations
et de BIBLIOGRAPHIE. 481 celles qu'il a recue
éressent nos lecteurs : Prix de médecine. Rapporter au moins quatre
observations
inédites, bien circonstanciées (étiologie, symp
ntérêt de dresser le bilan de la simulation, à l'aide de toutes les
observations
de simulateurs, qu'on pourrait recueillir. On v
echer- cher, au vu du dossier et de l'information comme aussi des
observations
par moi faites, si cet individu inculpé de vol, d
ce jusqu'aux poursuites actuelles et voici ce que nous apprîmes :
Observation
. Cing... (Jules-Xavier), célibataire, était né
tique et délirant par per- sécution, il fut, au bout de neuf mois d'
observation
, déclaré aliéné dangereux, atteint d'hystérie e
moment de la chute. Cing... reconnut aussitôt la justesse de mon
observation
, mais répondit qu'il avait alors mal calculé sa
n général et ce fut le trait le plus saillant de son caractère. Aux
observations
des gardiens, il répliquait par des propos indé
d'une folie actuelle chez l'inculpé, je n'é- tais démenti ni par l'
observation
à laquelle il avait été sou- mis, ni par ce qu'
i être écarté du seul fait que l'inculpé n'avait présenté pendant l'
observation
, ni hallucinations, ni illusions sensorielles,
e morale se posait nécessaire- ment dans l'espèce en récapitulant l'
observation
entière de Cing... A n'envisager celle-ci que s
rques dans le milieu où il avait vécu, pendant les neuf mois de son
observation
médi- cale et s'assimiler successivement différ
pper ainsi à une répression, que de charger sûrement, en restant en
observation
à l'asile, son casier judiciaire de nouveaux mo
. C'est Ludwig Turk ' qui établit le premier en se basant sur des
observations
célèbres l'existence d'un faisceau sensitif situé
eau pyramidal, soit dans la dernière moitié du bras postérieur. Des
observations
de Charcot, Magnan, Bourneville, Pitres, etc.,
à la douleur et aux températures et vice versa. En examinant ses
observations
il croit pouvoir établir dans les types cliniqu
s musculaire, qu'il aurait trouvé nettement en défaut 7 fois sur 20
observations
. Il est à noter que les quatre modalités du sen
solument négligeables. Abba ne les aurait trouvés que 2 fois sur 50
observations
. Dans ces deux cas il admet qu'on doive les rap
de celte dernière partie le sens musculaire serait intact. Aucune
observation
probante, il est vrai, n'est apportée à l'appui d
e thèse singulière. Dans la thèse d'Abba l'examen attentif de ses
observations
montre que dans beaucoup de cas les malades n'o
depuis Charcot et Pitres ont dénommée la zone mo- trice. Beaucoup d'
observations
en l'ont foi, et d'autre part les obser- vation
culaires et tactiles. Hoffmann avait établi, en se basant sur seize
observations
cli- niques, qu'il n'existait aucun rapport con
it le résultat d'une fonction d'asso- ciation. Il s'appuie sur deux
observations
où le sens stéréognos- tique était seul aboli,
t que l'on doive, autant que possible, s'abs- tenir de tirer de ces
observations
des conclusions applicables à la physiologie no
pariétale ascendante des deux côtés. Il s'appuie pour cela sur deux
observations
de Wernicke et une de Dubbers, où l'examen nécr
ion maniaque suivies d'un état demi-comateux de durée variable. L'
observation
citée en est un exemple typique ; sous l'influenc
ison la plus fréquente de la folie post-opératoire. Il rapporte l'
observation
d'un homme de soixante-quatorze ans, qui a été
lancolique aigu curable. Durée moyenne, deux mois trois quarts. Dix
observations
: quatre seulement incu- rables ayant abouti à
un délire systématisé chronique de persé- cution et de grandeur.
Observations
de stupeur. Elles ont participé de la catatonie a
bes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 51 dans le même ménage. Quatorze
observations
de l'auteur ; netteté de l'infection syphilitiq
mêmes par la maladie, ce qui conduit à cette idée, confirmée par l'
observation
, que toutes les maladies du corps peuvent être un
clinique et théra- peutique, février 1898.) 11. Voisin rapporte l'
observation
d'une hystérique âgée de vingt ans, qui a prése
guérissant pas, gardent leurs secrets. Cependant il estime que des
observations
comme celle qu'il vient de relater, semblent de
ar économie (c'est lui qui supporte les frais) ou par crainte que l'
observation
à l'asile ne soit pas favorable à l'interdiction
user son acceptation. Le juge est obligé de se prononcer sans cette
observation
. 56 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'observation a
prononcer sans cette observation. 56 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'
observation
a l'asile n'est pas admise dans le cas où l'inter
sellement admis et où l'on croyait à la possibilité d'arriver par l'
observation
intérieure à la connaissance exacte de tous les
. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, janvier 1899.)
Observation
d'un malade qui, ayant pris, à l'occasion d'une
six jours de traitement, le malade était guéri. A propos de cette
observation
, M. Hartenberg fait ressortir l'im- portance de
être attribuée la guérison de certains tics, l'auteur rap- porte l'
observation
d'un enfant de quatorze ans, atteint d'un tic g
musculaire, base physiologique de l'émotivité. De nouveaux faits d'
observation
permettent actuellement à l'auteur de penser qu'i
emploi éducationnel de l'hypnotisme. Nous résumons ici les diverses
observations
con- tenues dans ce travail. 1° Observation I
ons ici les diverses observations con- tenues dans ce travail. 1°
Observation
I. - Femme de quarante et un ans, mariée, mélan
rison, sans rechute jusqu'à présent. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69
Observation
IL,- Jeune fille dont le père est médecin, dix-
llente santé, terreur de la foudre et des éclairs. - Guérison. 2°
Observation
III. Jeune allemande, vingt-six ans, céliba- ta
ffet immédiat d'une cuillerée d'eau dont l'action a été suggérée.
Observation
IV. Femme de quarante-deux ans, célibataire, in
ontinue elle-même son trai- tement au moyen de l'auto-suggestion.
Observation
V. Femme de trente-huit ans, célibataire, névri
u être poursuivie, la malade étant morte trois semaines après. 3°
Observation
VI. Femme de vingt-huit ans, mariée ; cinq jour
et abaissement de la température. Guérison lente, mais complète.
Observation
VII. Acteur de quarante deux ans, alcoolique et
ggestion hypnotique dura six mois et la guérison fut parfaite. 4°
Observation
VIII. - Garçon de neuf ans; père criminel, mère
e. L'auteur rapporte ensuite à l'appui de sa manière de voir onze
observations
fort intéressantes, mais qu'il serait trop long d
ource. A l'appui de cette manière de voir, l'auteur rapporte quatre
observations
, la première d'ago- raphobie et neurasthénie ;
COI'LIN LITNSON. (The zéro York Médical journal, 2 sept. 1899.) L'
observation
, qui ne s'écarte pas du type ordinaire, est surto
red W1ENER. (Tite New l'orle Médical Journal, 15 oc- tobre 1808.)
Observation
I. - Homme de vingt ans, né à sept mois. Père R
tres de la face et du bras, dans les circon- volutions centrales. L'
observation
ultérieure du. malade vint éclairer la question
il n'y a plus de céphalalgie intense ni de crises épileptiformes.
Observation
IL Garçon de sept ans. Père alcoolique : en 1897
Telles sont les hypothèses que soulèvent les auteurs en relatant l'
observation
d'une 'malade de cinquante-cinq ans qui, depuis s
'âge de trente-six ans. Les points les plus inté- ressants de cette
observation
sont : 1° le début ttès précoce de l'af fection
le D'' Marty, assez délicate par con- séquent. Il a réuni dans cent
observations
de délinquants cotés comme sanguins, autant d'o
ans cent observations de délinquants cotés comme sanguins, autant d'
observations
de délinquants cotés comme lymphatiques, 119 co
outit au bout du compte, à la défense for- melle du jury, sur cette
observation
topique, que les défenseurs d'assises ont prati
la maladie, et n'accepler qu'avec une grande réserve les nombreuses
observations
plus ou moins ' Ce travail a fait l'objet d'une
néralive. Nous prendrons donc pour base de notre élude les seules
observations
qui répondent au type connu depuis la descrip-
si médecins, l'avaient déjà observée dans certaines familles. Les
observations
subséquentes ont montré que l'on devait modifie
rative. Nous retrouvons les caractères tracés par Huntington dans l'
observation
suivante qui offre à plusieurs égards un type r
remarquable et très net de chorée dégéné- rative. J'ai pu suivre l'
observation
de ce malade pendant quatre ans environ et j'en
ons plus loin les résultats de l'autopsie. En nous basant sur cette
observation
et en la comparant avec celles, de plus en plus
éanmoins la forte majorité des cas publiés jusqu'ici. Je prends les
observations
par ordre chronologique. Ewald, en 18S ! r, e
ntington, dont personne n'avait parlé depuis 1872. Il rapporte deux
observations
de chorée chro- nique où il n'est pas question
mental de Iluet sur la Chorée chronique est de 1889. On y trouve 58
observations
personnelles ou résumées d'autres auteurs, parm
nce de la chorée. Du reste il n'est parlé de suicide que dans les 4
observations
suivantes : Observation I. Le grand-père mate
il n'est parlé de suicide que dans les 4 observations suivantes :
Observation
I. Le grand-père maternel choréique s'est pendu
ut attribuer ce suicide. La malade elle-même qui fait le sujet de l'
observation
, ne parait pas avoir manifesté des idées de sui
mative ? En citant deux seuls cas, celui de King et sa pre- mière
observation
, dont nous venons de montrer le peu de valeur d
de valeur démonstrative à cet égard. Il y ajoute, il est vrai, l'
observation
suivante, qui n'est pas plus probante à notre a
prétons différemment les incidents relatifs aux idées de suicide.
Observation
XXIV. Il s'agit d'un homme de soixante et un an
ns la revue des auteurs. Dans la même année 1889, Kornilow publie l'
observation
d'une femme de soixante ans, choréique, sans an
n mot d'idées de suicide. '' En 1890 Cirincione et Mirto publient 5
observations
sans parler de suicide. En 1891 les cas de Joll
augurale de Dreves sur la chorée progressive. Cet auteur rapporte 3
observations
dont la seconde concerne un homme de soixante-l
er le cas. En '189 ? notre collègue Greppin publie l'intéressante
observation
qu'il fit à la clinique psychiatrique de Bâle et
s 2 cas de Schmidt parus la même année. En 1892 encore, 3 nouvelles
observations
de Sinl : ler dans le Médical Record de New-Yor
'en est pas moins vrai qu'il n'est pas question de suicide dans les
observations
publiées par Sinkler. Schlesinger publie 3 cas
de suicide, Oppenheim et Oppe n'en parlent pas davantage dans leurs
observations
de 1893. Menzies (1892 et 1893) non plus sur 38
En tri 1898 nous avons le très important mémoire de Facklam avec 8
observations
personnelles de l'auteur. Dans deux cas seuleme
omme vous le voyez, et non pas d'une tenta- tive de suicide. Dans l'
observation
VIII, chez une choréique de cinquante ans, dont
Etter à la Faculté de médecine de Tubingue. Cet auteur nous donne 6
observations
personnelles, dans 3 desquelles il est question
lade s'était enivré et était atteint de fureur alcoolique. Dans l'
observation
II il s'agit d'une femme de quarante-six ans, c
it souvent la mort. t. En résumé, après cette longue revue et les
observations
que j'ai faites sur mon malade, je conclurai qu
e n'a pas été suivie assez longtemps pour qu'on puisse accepter ces
observations
comme concluantes. Dans une observation de Huet
u'on puisse accepter ces observations comme concluantes. Dans une
observation
de Huet (obs. XVI prise dans le ser- vice de Dé
CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 117 le travail original. Je citerai encore une
observation
de L. Loewenfeld (Zùr Lehre von der heredit2ren
maladie, sans troubles intellectuels. il faut attendre de nouvelles
observations
suffisamment prolongées, et conduites jusqu'à l
que l'auteur a ob- servé dans la plupart des cas. P. KERAVAL. IL
Observation
de tumeur cérébrale s'étant traduite par les sy
complémentaire, l'auteur s'est attaché à préciser à l'aide de cinq
observations
favorables, le déve- loppement des lésions, l'e
ultiloculaire; par L. RuAUEn. (Neurolog. Cenluulbl., XVII, 1898.)
Observation
tout entière dans l'atrophie musculaire précoce d
P.-J. KOWALEWSKY. ('Yelli-0109. Centmzlbl., XVII, 1898.) ' Trois
observations
ayant pour phénomènes connus : la sclérose 148
s recliforme à l'exception des fibres cérébello-olivaires. Si cette
observation
est exceptionnelle, dans les autres cas on cons
ité de Bernhardt ; par ADLER. (Neurolog. Crntm'Lbl., XVII, 1897.)
Observation
de trouble de la sensibilité de Bernhardt à la
à la cuisse ; par A. GOOD. (Neurolog. CenGralbl , XVII, 1898.) L'
observation
de M. Adler est semblable à celle de Koester (N
ement plus considérable qu'en toute autre cir- constance. Voici une
observation
qui prouve que non. Il s'agit d'une hémiplégie
rdt; par M. DE N,\RTOWK ! . (Neurol. Cmtl'albl., X VII, 1898.) Cinq
observations
de paresthésies diverses dans le domaine du fém
d'épilepsie ; par Hociihaus. (Neurolog. Celltmlbl., XVII, 1898.)
Observation
. Brasseur de vingt-huit ans, atteint d'épilepsie
beaucoup, une nouveauté ; l'auteur croit néanmoins devoir publier l'
observation
d'un cas dans lequel l'emploi de l'atropine et
s caractères d'une forme bénigne, et il a parfaitement guéri. Cette
observation
est suivie de remarques sur la symptomatologie
Médical Journal, 25 février 1899.) Ce travail, qui renferme deux
observations
, se termine par les conclusions suivantes : «
it pendant les trois ou quatre premiers jours. 4° 11 résulte de l'
observation
des cas que j'ai eus sous les yeux que l'on peu
oixante centimètres cubes de sérum. » Il. de Musgrave-Clay. XXXI.
Observation
de manie aiguë transitrice survenue chez un syp
par 130D01\I. (Riv. di pat. nerf. et ment., fasc. IX, 1899.) Huit
observations
dont l'auteur conclut que la bromipine n'est pa
gémellaire et le suicide héréditaire. Cependant un certain nombre d'
observations
de folie similaire chez frères et soeurs ont dé
me circonvolution frontale gauche; elle date de 1861 et dérive de l'
observation
clinique et de l'anatomie pathologique de l'aphém
du télencéphale, et enfin la théorie des neurones. Ici figurent les
observations
que les savants de toute nationalité, Français,
thèse d'agrégation de M. Lan- cereaux, en 18G9, qui réunissait onze
observations
plus ou moins probantes. Depuis cette époque, l
e, ajoutait aux recher- ches antérieures le résultat de ses propres
observations
et affirmait définitivement l'existence de la p
194 CLINIQUE NERVEUSE. petite part, à la solution du problème. L'
observation
qui suit est celle d'un polyurique avec pollaki
es du sexe féminin. L'alcoolisme, signalé dans presque toutes les
observations
, fait ici complètement défaut : l'alcool ou les
u des deux à la fois. Mais aucun de ces symp- tômes n'existe dans l'
observation
précédente : le malade per- çoit le passage du
s bons résultats se sont montrés de suite et nous retrouvons dans l'
observation
tout un tableau qu'il serait trop long et fasti
périeuse avec les carac- tères identiques à ceux relatés dans notre
observation
. Alors que la diurèse habituelle était de 800 à
écédemment. Aussi pouvons-nous, il nous semble, à la suite de notre
observation
et des expériences qu'elle a sus- citées, poser
- velée pour l'estomac. Nous reviendrons dans le commentaire de l'
observation
sur le fait que nous venons de signaler. Quant
tenace et rebelle à toute médication. 222 THÉRAPEUTIQUE. Cette
observation
est en tous points semblable à celles publiées
de l'esprit, déduction qui s'appuie sur l'expérimentation et sur l'
observation
de symptômes dont la pathogénie est à contrôler
on thérapeutique de la craniectomie nous renvoyons le lecteur à l'
observation
suivante. B. Convulsions post-traumatiques. - É
Faut-il trépaner ? Pendant un temps, on a beaucoup trépané, et les
observations
se sont accumulées très rapidement ; à qui appor-
ec résultats excellents. Depuis quelque temps on trépane moins, les
observations
publiées sont plus rares. C'est que nous connai
seule base d'appréciation. Et encore faut-il se défier de certaines
observations
. Vous trouverez dans les statistiques les plus ré
cosTÉ. (Journal de Médecine de Bordeaux. 1899, nos zig49.) Quatre
observations
d'épileptiques dont les songes présentent des p
taques et savoir notamment si elles restent ou non complètes. Une
observation
est encore intéressante en ce sens que le malade
par 111ANTON (de Détroit). (Médical News, 11 mars 1899.) Dix-sept
observations
de psychoses opérées par l'auteur sur lesquelle
olongé du chloral à haute dose; par L. LICHT5Cl ! EIN (le, avril, 3
observations
) ; - 5° Sur les équivalents d'épilepsie; par S.
servations) ; - 5° Sur les équivalents d'épilepsie; par S. BROWN. 5
observations
d'épilepsie larvée ou accompagnée de migraines
'épilepsie considéré comme un stigmate de dégénérescence, avec deux
observations
; par L. l'IEaas Clark. (The Nezo York Médical J
s comme stigmate épileptique. L'auteur intercale ici une première
observation
due à Raymond et Janet; il s'agit d'une jeune f
trouver là l'indication de quelques anomalies ; or dans toutes les
observations
publiées avec détails, l'humérus a été mesuré e
t, en raison de l'intérêt qu'elles présentent, quelques-unes de ces
observations
. Il passe ensuite aux auteurs italiens : l'im-
le côté droit qui est prédominant. L'auteur rapporte en- suite deux
observations
: la première est celle qui a été publiée avec
est passée depuis sous la direction du D1' Clark, qui a complété l'
observation
; il signale surtout à propos de cette malade un
ocomelus était hémiplégique depuis la première enfance. La deuxième
observation
est complètement personnelle à l'auteur. Il. de
aitement ne donne guère de résultats. Ce mémoire est suivi de trois
observations
. H. de ! \IOSGR : 1VR-CL.1Y. XXXIII. Le crétini
ien chez ces malades est encore discutée. L'auteur rapporte ici une
observation
résumée d'idiotie du type mongolien accompagnée
ssaire pour atteindre notre but. » R. DE nIUSGR1'G-CLaY. XXXVIII.
Observation
d'un cas de neuro-psychose traumatique ; par C.
le membre inférieur est atteint. Mais l'intérêt principal de cette
observation
consiste en ce qu'elle peut contribuer à éclair
t très notablement réduits de volume, surtout le lobe gauche. Cette
observation
mérite d'être rapportée : 1° au point de vue de
'origine corticale de la névrose. Comme démonstration, il cite deux
observations
inédites. 1° Fillette, âgée de neuf ans. A l'âg
. Koarttcorr. Contribution ci la casuistique des polietzcéphalites.
Observation
I. Garçon âgé de six ans. Début de l'affection
; on les rencontre rarement aussi bien caractérisées que dans cette
observation
. En outre, il croit que son cas, confirme l'hyp
es facteurs étiologiques de lapoliencéphalite de nature inconnue.
Observation
II. - Le cas est intéressant au point de vue étio
cessus encéphalitique dont le moment étiologique est la syphilis.
Observation
III. Malade tabétique présentant les symptômes
st variable. Finalement ilmeurt de para- lysie du coeur. Dans cette
observation
, comme dans la précédente, on n'a pu noter aucu
m. MOURAIVIEFF ne croit pas qu'on puisse exclure dans la troisième
observation
une myélite disséminée, celle-ci pouvant évolue
es du côté de la sen- sibilité. M. HOTU croit que dans la troisième
observation
il peut bien s'agir d'une polynévrite. M. Wei
. Kornilloff est peut-être un cas de méningo-encéphalite (comme les
observations
de Oppenheim). S. N.\LB\NDOW. Un cas de syrin
bien établi de la transmission héréditaire de la syringomyélie. L'
observation
est encore intéressante dans ce sens qu'elle four
nt de l'automatisme sont le propre du délire religieux. Ce fait d'
observation
est trop connu pour que je veuille y revenir; i
ppartiennent à la forme aiguë hallucinatoire du délire religieux.
Observation
I. Délire religieux avec hallucinations. Démono-
à. Cependant Bail rapporte succinc- tement, dans ses cliniques, une
observation
d'infanticide accompli dans des circonstances à
une arme dont le choix paraît déterminé par la nature du délire.
Observation
Il. Délire religieux de forme démonomaniaque. H
ent pu, sur ce point, nous fournir des explications catégoriques.
Observation
III. Délire religieux de forme dépressive. Démono
as arrêtée. C'est pourquoi il nous a paru légitime de joindre cette
observation
aux deux précédentes. ' Une seule remarque, pou
s assez précis, et l'examen otoscopique n'a pu être fait. , Notre
observation
montre encore une variété d'accidents auxquels
endu, il reste un dernier point, le plus intéressant peut-être de l'
observation
: l'action tltém- peutique de la trépanation ac
e, mais jamais une guerison définitive. Ainsi qu'on le voit par l'
observation
de notre ami Miraillé publiée dans le dernier n
s multiples; par LOMBARD). (inn. di nevr., fasc. 1-11, 1899.) Une
observation
dont l'auteur tire les conclusions suivantes :
; par le D'' ScuuurFn. (Riv. sp. di fieu., fasc. 1-11, 1899 ) Une
observation
personnelle et une revue critique très intéres-
a moelle; par H. SENATOR. (Nezerolog. Cenlralbl., XVIII, 1899.) L'
observation
avec l'autopsie a été publiée dans la Berlin. kli
de symptômes médullaires proprement dits, ce qui concorde avec les
observations
des autres hétérotopies vraies. P. KERAVAL. L
Kahlbaum et, néanmoins, sont réellement de même nature. Enfin les
observations
rapportées par le DrWorcester établissent que l
rs. de Neural., 1899 n° 13.) La malade qui fait le sujet de cette
observation
se plaignait d'une céphalalgie insupportable, m
e Neurologie, 1899, n° 15.) Ce travail contient la relation de deux
observations
qui viennent à l'appui de la théorie métamériqu
liomyélite; par L. NEWMARK. (Médical News, 28 janvier 1899.) Cinq
observations
observées à Le Grand en Californie. L'auteur 33
ire ; par AGOSTlxl. (Riv. di pat. nerv. et ment., fac. IV, 1899.)
Observation
d'un malade de cinquante-six ans. Au point de vue
tion, vienne faire éctater les manifes- tations de la névrose. Cinq
observations
dont trois d'hystérie mâle, viennent confirmer
des sujets. A. FENAYMU. XXV. Paralysie bulbaire asthénique, avec l'
observation
d'un cas ; par John Punton. (Journal of ne/'vou
nervous and mental disease, février 1899.) L'auteur rapporte une
observation
clinique dans laquelle il y a combinaison de sy
surdité verbale chez un paralytique général. M. Paul Sérieux. Cette
observation
est intéressante en raison de l'ex- trême raret
en est la cause. M. Souques dans une thèse sur ce sujet a publié l'
observation
d'un homme tombé sur la région lombaire et ayan
ique, relatifs aux admis- sions, aux sorties et aux décès, suivis d'
observations
assez étendues. Le nombre des aliénés de l'asil
. Nos comptes rendus gardent quelques traces de ses travaux. Deux
observations
qu'il y donna, en 1867 et 1869, en colla- borat
s présenta des remarques judicieuses, accompagnées de plu- sieurs
observations
conduites d'une façon rigoureusement scientifiq
ns qui, en apparence, n'est nullement intéressé par l'excitation. L'
observation
de Brühl sur les deux frères Nüssbaumer en est
inten- sité et de tonalité. D'ailleurs nous rappelons plus loin l'
observation
d'un malade chez qui les frictions sur les oreill
us les étudierons en détail, et avec tous leurs caractères dans nos
observations
. En frottant légèrement la face supérieure de l
es une hyperesthésie périphérique, que nous avons signalée dans nos
observations
, pour rester fidèles à la clinique. Toutefois
après combien d'éliminations nous avons pu recueillir les quelques
observations
que nous rapportons. Un obstacle d'ordre non
s constitutions médico-religieuses. Revenons à nos malades. II.
Observation
I. Dégénérescence mentale. Père alcoolique ; fr
après la suspention de l'excitation, pour réapparaître avec elle.
Observation
II. Alcoolisme héréditaire : mère buveuse d'absin
res des troubles hallucinatoires qui durent, comme dans la première
observation
, un peu plus que l'exci- tation. HYPERESTHÉSI
tation. HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLI811E AIGU. 397 Î
Observation
il Père buveur. Habitudes alcooliques surtout d
t aux maladies du système nerveux central post- syphilitique. Ces
observations
m'ont définitivement convaincu que l'in- iectio
est la première conclusion à laquelle j'ai été amené par de longues
observations
. La seconde conclusion, à la- quelle je suis ar
d'association des conceptions motrices; en effet, dans la dernière
observation
de 1897, de paralysie générale avec trouble du
s arci- formes étaient fortement dégénérées. Voici maintenant une
observation
de lésion traumatique du cerveau comparable à u
e certains faits cliniques observés par lui-même, d'accord avec les
observations
publiées par d'autres auteurs, et d'après des e
d mental diseuse, novembre 1899.) L'auteur rapporte un bon nombre d'
observations
de rigidité de la colonne vertébrale faites ant
e et subjective, faiblesse et atrophie musculaires). Dans les trois
observations
de Zenner, il y a ligidité de la colonne vertéb
mènes de l'aura soient capables de se présenter isolément. Trois
observations
relatées dans ce travail prouvent que les phé-
le moindre souvenir après l'attaque. Il rapporte sommaire- ment dix
observations
très démonstratives à l'égard de la thèse qu'il
sibles ont été prises ici pour éliminer cette cause d'erreur. Ces
observations
sont suivies de remarques que nous résumons ici
uite les points de ressemblance entre les deux catégories de cas. L'
observation
clinique nous apprend que d'une manière général
njoints a été contaminé par l'autre. SOCIÉTÉS SAVANTES. 441 Mes
observations
m'ont appris que le plus ordinairement le tabes
élite, 3 cas d'hystérie et deux cas de polyarthrite déformante. Les
observations
détaillées de tous ces malades sont communi- qu
tropleiques dans la syringomyélie (ostéomalacie). - N... présente l'
observation
d'un malade (paysan) de la clinique atteint de sy
ce de l'hyperémie vasculaire, peut égale- ment être invoquée ici. L'
observation
offre un grand intérêt au point de vue de l'his
Discussion. - 11. Roth fait remarquer l'intérêt exceptionnel de l'
observation
de M. Nalbandoff. Dr M. LUNTz. Deux cas de trai
Tz. Deux cas de traitement opératoire de l'épilepsie cor- ticale. -
Observation
1. - àlne A. IL ? âgée de cinquante-cinq ans, e
u complètement. La parésie de la jambe gauche resta in statu quo.
Observation
II. 1\Im. A. M..., âgée de vingt-deux ans. Neuf
'. Secrétaires des séances : W. MOURA WJEFF ; N. VERSILorr. ' Ces
observations
« peu encourageantes » sont publiées trop peu de
indo- lore de l'épaule. Mais l'intérêt principal de cette triple
observation
consiste dans Archives, z série, t. IX. 29 45
otions délirantes dont le malade a pleinement conscience. Il cite l'
observation
d'un homme de trente ans qui, de- puis la puber
mieux respecter l'acception délimitée des termes particuliers. Deux
observations
l'une de l'auteur, l'autre de Lissauer et Hahn
rature spéciale et grouper autour de celles-ci soixante-cinq autres
observations
dont beaucoup, quoique sans autopsie, sont enco
ossible avec une lésion purement corticale bien que dans toutes les
observations
de ce travail il y ait extension du processus d
. Juin 1900. N" 54. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
de chorée chronique héréditaire d'Huntington, e
s d'Armentières. d'anatomie pathologique à la Faculté de Lille. L'
observation
suivante a pour caractère d'être complète au po
vue critique des faits de cette nature déjà publiés, l'intérêt de l'
observation
résidant principale- ment dans les altérations
ous paraît être pour le moment, de livrer ce fait à la publicité.
Observation
clinique. Brout... (Lucien-Henri), né le 20 oct
emière fois, les accidents remontaient donc à dix-neuf ans. Voici l'
observation
telle qu'elle fut prise par M. BOUTROIS, intern
n interne des asiles de la Seine. Interne de l'infirmerie du Dépôt.
Observation
IV. Dégénérescence héréditaire : oncle paternel
ent bien des fois, « de ne plus boire ». Si nous rapportons cette
observation
, malgré le peu d'hyper- esthésie corticale que
resthésie du centre auditif qui réagit sous l'action de l'alcool.
Observation
V. Habitudes alcooliques depuis la jeunesse. -
hésie du centre du goût qui a senti le goût fictif de la quinine.
Observation
VI. - Dénénér·escence mentale. Délire alcoolique
ires, jusqu'à l'extinction complète de l'hyperesthésie corticale.
Observation
VII. Hérédité très lourde : Père et mère alcooliq
mblement des mains diminue. Transféré à Ville-Evrard'le 30 avril.
Observation
VIII. - Dégénérescence mentale : très émotif, des
un bout de papier. Quelle conclusion pourrons-nous tirer de cette
observation
? Faut-il voir chez notre malade un cerveau plu
éné- rescence mentale. III Maintenant que nous avons exposé nos
observations
, avant de faire quelques réflexions sur les con
ons, c'est la première question qui se pose après la lecture de nos
observations
. Qu'est-ce qu'une hallucination ? « Une percept
malgré l'apparence logique, malgré les faits physiologiques, et les
observations
cliniques, des maîlres, comme MM. Ballet et Val
près nos recherches, soit chez les malades dont nous rap- portons l'
observation
, soit chez d'autres que nous avons examinés, no
Bien qu'incomplète à certains égards au point de vue cli- nique, l'
observation
que nous allons rapporter mérite d'atti- rer l'
u la possi- bilité de la revoir pour compléter certains points de l'
observation
. 49C RECUEIL DE FAITS. ment implantés et moin
Que se passe-t-il donc dans le corps genouillé externe Voici une
observation
dans laquelle une lésion limitée du corps genouil
du quart inférieur gauche ; elle est morte dans ce dernier état. L'
observation
a duré du 9 juin 1889 à fin avril 1893. On trou
s en faveur de l'entre-croisement incomplet. P. IERAV : 1L. LXXV.
Observation
de tumeur cérébrale de la région motrice gauche
de repousser l'intervention opératoire. P. IICItAVe\L. LXX VIII.
Observations
sur les terminaisons nerveuses sensitives dans
ou moins voisin du faisceau géniculé. MM. Dide et Weil relatent une
observation
de nature à confirmer cette hypothèse. Il s'agi
EIOEL. (Nouv. Iconogr. de la Salpé- ' trière, n° 6, 1899.) . Deux
observations
, dont une avec autopsie, d'une affection rare,
r A. Vicou- roux. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 6, 1899.)
Observation
présentant les mêmes caractères cliniques que c
tissant à un paroxysme con- vulsif. L'auteur relate brièvement deux
observations
à l'appui de la théorie qu'il défend. R. de Mus
nt principalement ces alfections aux très jeunes filles, fait que l'
observation
contredit absolument puisqu'on ne les rencontre
ogènes. Syndrome de Weber. - MM. CESTAN et Bourgeois rapportent l'
observation
d'un malade atteint de cette affection. A l'autop
r une nouvelle, estimant que la meilleure ne vaut pas « la vue et l'
observation
de ces malheureux ». Il se tient dans la même r
ns l'élaboration de sa méthode, fait preuve d'un rigoureux esprit d'
observation
, et comme lui nous croyons que le langage artic
in extenso les lois intéressant l'enfance cri- minelle. Une série d'
observations
empruntées au service du D'Bour- neville à Bicê
où MM. Gilbert Ballet, Dheur et Monnier-Vi- nard, apportaient leurs
observations
à la Société médico- psychologique, nous suivio
modèle du genre dans Des Indes à la Planète Mars suivi de Nouvelles
observations
sur un cas de som- nambulisme avec glossolalie.
« l'au-delà » qui contituent le rituel classique du spiritisme. -
Observation
. I. - Phénomènes hallucinatoires verbaux, psychom
cas qu'il y ait malgré tout des incrédules, nous allons ajouter les
observations
suivantes qui sont encore plus démonstratives c
véritables expériences réalisées par un processus morbide. ' Nos
observations
portent sur les crânes de sujets porteurs d'hém
représentent dans le n° 64 des Archives de Neurologie de 1901, où l'
observation
complète a été publiée, avec portrait de l'enfa
ce syndrome une localisation déterminée : les remarques jointes à l'
observation
démontrent qu'on peut à juste titre généraliser
peut envahir un membre, alors que l'autre reste flasque. 3° Dans l'
observation
rapportée, la contracture, localisée au membre in
d'hordeum murinum) du conduit auditif externe ; par J. SABRAZLS.
Observation
d'un homme de 47 ans dans l'oreille duquel s'insi
ue et rythme de Cheyne-Stokes ; par A. l3aun. M. Bauer relate les
observations
de quatre malades entrés à l'hô- pital pour : m
II. Ophtalmoplégie et artério-sclérose; par A. Péchin et M. Rollik.
Observation
d'un homme de 64 ans, tabétique, qui présente une
t-hémiplégique et coordination sous-corticale; par Ed. CLAP.1RÈE.
Observation
d'une malade de 6 ans, hémiplégique gauche, pré-
I. La neurofibrosarcomatose; par le Dr R. CESTAN. C'est la deuxième
observation
de tumeur de ce genre rapportée par M. Cestan.
pathogénie de la chorée; par St. Kopczynski. L'auteur rapporte l'
observation
complète, suivie d'autopsie et d'examen histolo
es cliniques distinctifs ; par Henry Meige. Ce travail relate dix
observations
de spasme facial et établit la physionomie spéc
; par le Dr PANEGROSSI, (Riv. Sp. difren. 1903, fasc. 1, t. II).
Observations
cliniques et étude d'ensemble constituant une v
ao. (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les nombreuses
observations
cliniques qui constituent à l'heure actuelle le
teur présente, avec le résumé des cas publiés antérieurement, une
observation
personnelle détaillée d'un cas se rapportant à ce
z un tabétique ; par SABmxÈs. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière.)
Observation
d'un cas de Labes par hérédo-syphilis, présentant
de Lyon, 20 janvier 1903.) .. 5b REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'
observation
que rapporte l'auteur l'a conduit à étudier la
muscles de la face. Des différents faits mis en évidence dans cette
observation
l'au- teur conclut que dans la paralysie radicu
. Barjon. (Lyon médical, 2a janvier 1903, n° 4.) M. Barjon publie l'
observation
d'une malade qui, à l'âge de huit ans et demi,
'évolution d'une chorée de Sydenham. Ce qui fait l'intérêt de cette
observation
, c'est d'abord la répéti- tion des accidents ps
tenue en quelques jours pour ainsi dire sans convalescence. Cette
observation
présente aussi un autre intérêt, c'est que la m
une émotion morale intense, toutes causes que l'on retrouve dans l'
observation
publiée par l'auteur. G. C. \\VIII. Des forme
lgré cela, vit son poids augmenter progressivement de 10 kilog. L'
observation
publiée par les auteurs est intéressante à cause
e et d'anat. patholog. 1895. 5.) L'auteur en fournit deux nouvelles
observations
. Dans les deux cas, la macro-esthésie sur- vint
névrite périphé- rique motrice. C'est ce que montre l'intéressante
observation
rap- portée par M. Nageotte. Une infection port
l'origine corticale des tremblements et des spasmes. Il rapporte l'
observation
d'uu REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
lisée symétriquement aux circonvolutions fronto-parié- tales. Cette
observation
montre donc que des contractions fibril- laires
partie d'étage radiculaire ; par BRISSAUD et BRECY. Il s'agit d'une
observation
de fracture de la colonne vertébrale ayant alté
es exercent leur action sur un système nerveux pré- disposé. Dans l'
observation
relatée par les auteurs, le vice de déve- loppe
eux fibromes. La symptomatologie de ces tumeurs a été dans les deux
observations
, à. très peu près, celle d'une lésion cérébelle
771e Ne w- York Medical Journal, 25 avril 1903.) Cette intéressante
observation
, suivie d'une autopsie très détaillée, se termi
sains qui paraissaient correspondre aux radiations optiques. Cette
observation
confir- merait l'hypothèse de Von Monakow, qui
itaux de Lyon; 2 juin 1903. M. Lacomme a recherché dans plusieurs
observations
, entre autres daus un cas d'ostéomalacie sénile
4 octobre 1903, n° 40.) MM. Pic et Bombes de Villiers publient les
observations
de deux hommes atteints de spondylose rhyzoméli
utes d'ailleurs de nature bacillaire incon- testable. De ces deux
observations
, les auteurs pensent pouvoir conclure, se basan
physes pleurales ou les myocardites notées d'autre part. Les deux
observations
de MM. Pic et Bombes de Villiers sont à réunir
tifier l'autonomie d'un syndrome rencontré dans un certain nombre d'
observations
. Sciatique d'origine spécifique. VIJI. Gaocar
myotrophie et la réaction de dégénérescence est constatée. Quelques
observations
de paralysies saturnine chez des ouvriers emplo
stance physique et morale du sujet. M. Paul Fartez. - De nombreuses
observations
classiques mon- trent que si le mal de mer peut
ttre en parallèle, avec le malade que je viens de vous présenter, l'
observation
d'une autre ma- lade que nous avons eue ici en
tat clinique de notre malade. Si vous comparez entre elles les deux
observations
que je viens de rapporter, vous voyez aisément,
e despasmodicité : bien au contraire, je vous ai, dans la seconde
observation
, signalé un steppage en rapport avec la paralysie
n aujour- d'hui bien arrêtée et basée sur l'analyse de nombreuses
observations
est qu'il convient de considérer la maladie de
néral s'interrompra lui-même pour adresser directement à Cam... une
observation
psychomotrice verbale pour un fait d'ordre priv
t a repris tout son goût pour la vie de famille. Remarques. Cette
observation
suggère un certain nom- bre de considérations i
ssi des dames et un prêtre qui voulaient la faire baptiser ? `t L'
observation
suivante plus fruste, nous fera mieux voir enco
dicale des hôpitaux de Lyon, 13 octobre 1903. . M Paviot rapporte l'
observation
d'un malade ayant présenté comme manifestation
et à un mode d'existence uni- formes, soit pendant cette période d'
observation
, soit pendant la période d'essai sérothérapique
nt ceux que Flechsig désine sous le nom de centres d'association. L'
observation
pré- sente est un exemple de dégénérescence cir
- nique du muscle ? Il faut pour en décider un nombre suffisant d'
observations
pathologiques. Sa recherche peut être utile clini
x 4-7. P. KIRAVAL. XXXVI. La réaction paradoxale des pupilles, avec
observation
personnelle de rétrécissement des pupilles sous
I. Toutes les causes d'erreur étant éliminées, il ne reste que cinq
observations
inattaquables de réaction paradoxale des pupill
- rigine cérébrale, médullaire, névritique. L'auteur apporte deux
observations
de ces escarres survenues à la suite d'ictus chez
lative de l'organe actif. MM. Daovnnn et LEvAssoRT communiquent une
observation
de folie en partie double évoluant simultanémen
t suivi du délire des négations. M. Privât de FORTUNIÉ rapporte l'
observation
d'une malade qui, sous l'influence d'un état hy
ivement la malade est arrivée au délire des négations. Dans cette
observation
plusieurs points sont à noter : 1° La genèse de
tenir le sommeil non seulement profond, mais prolongé, témoins les
observations
rapportées par M. Bourdon : crises somnambu- li
que des souvenirs musicaux. M. SwoBODA (de Vienne). - De nombreuses
observations
m'ont amené à formuler les lois de la remémorat
résentent des oscillations soli- daires. , M. BÉRILLON appuie ces
observations
en invoquant la périodicité de certains trouble
es dégénérescences latentes se révèlent, témoins de très nombreuses
observations
faites par l'auteur au cours de sa longue carri
et leur sugges- tibilité exaltée, ainsi qu'il résulte de plusieurs
observations
rap- portées par l'auteur. Maladie du demi-so
; pour M. Delbet on les observerait plus fréquemment à la tête. Nos
observations
nous ont montré que ces lésions siègent au tron
pour constituer une forme mixte. Citons maintenant des exemples.
Observation
I. M. II. B..., trente ans, étudiant en pharmacie
ng, j'ai désespéré de tout. Et voilà quinze ans que cela dure ! »
Observation
II. NI-0 F..., trente-deux ans, nerveuse et impre
geur : toute son émotion provient de se sentir regardée. A ces deux
observations
, on pourrait en ajouter une troisième, possédan
à mon avis, démon- trer la réalité de son existence. Or, parmi les
observations
qui ont été publiées sous ce nom, il y a lieu d
onscrite ultérieure. A l'appui de nos opinions, nous apportons cinq
observations
tirées des auteurs et de notre prati- que perso
ainement gardé, en dehors de leur opinion antérieure, l'intérêt des
observations
d'autrui, et le pro- fesseur Brissaud expose le
ttentivement et très sérieusement discutées. Avec les intéressantes
observations
présentées par MM. Doutrebente et Marchand (de
s tics. Enfin M. Cullerre (de la Roche-sur-Yon) vient rapporter des
observations
très détaillées concernant les troubles moteurs
ies, contractures, etc.) qui surviennent au cours de psychoses. Ces
observations
font tout de suite penser à la forme catatoniqu
et tuberculeuse ; examen analomo-pathologique. M. le Dr COULONJOU.
Observation
: Jeune fille de dix-sept ans, enfant assistée,
érieure aiguë Itéinoi,2,hagiqzie. MM. Brissaud et BRÉCY (de Paris).
Observation
d'une femme de trente-six ans avec double ptosi
cules quadrijumeaux, la partie supérieure de la protubérance. Cette
observation
est à rapprocher de celle publiée par Gayet en
ns graves, rétractions tendineuses et atrophies musculaires. Quatre
observations
détaillées en fournissent des exemples variés.
sont tout à fait minimes. Nos recherches dans la littérature et nos
observations
person- nelles nous ont convaincu que : A) Po
h. Vallon. Gaillon pourrait aussi servir à l'examen des inculpés en
observation
. - c. Etant donné les imperfections de pas mal
age, de Bellevue (Seine-et-Oise). Nous pré- sentons au Congrès cinq
observations
de neurasthéniques, chez lesquels le symptôme d
ues, sans aucune lésion stomacale par conséquent. De l'étude de ces
observations
nous croyons pouvoir tirer l'enseignement sui-
éro-colite amenait une atténuation des idées délirantes ; - 2° Deux
observations
de délire de grossesse chez des malades pré- se
pré- sentant de l'entéro-colite muco-membraneuse. Rapprochant ses
observations
de celles de Bechterew (délire de possession pa
u Congrès : MM. Lannois, H. Meige, Dupré, Royet, etc., dirent leurs
observations
. Puis, au bord du Gave d'Ossau, dans les arbres
ANNOIS (de Lyon). Présentation des photographies d'un malade dont l'
observation
pourrait aussi bien être intitulée Dlyo- pathie
sité absolue ; de même si le tiqueur est particulièrement rétif aux
observations
; 6° Les tiqueurs ne sont pas seulemeni exposés
i'ace succulente. Photophobie et tic de clignement. M. Henry Meige.
Observation
d'une malade de soixante-treize ans atteinte de
aires, l'insuffisance hépatorénale et l'anoxhémie subaiguë. Cette
observation
est intéressante parce qu'elle établit claire-
Hervieu et sur le contrôle de la graphologie, une curieuse série d'
observations
de Lécaillon sur le sens maternel de l'araignée
tion morale, tout décèle l'expérience éclairée d'un homme à qui une
observation
constante et une pratique journalière ont permi
brusque d'habitudes anciennes de masturbation. Il conclut de ses
observations
que la 'névrose anxieuse est d'origine sexuelle
du mal ne sauraient être incriminées. D'après M. Pierre Janet, une
observation
désintéressée montre que la proposition de M. F
-des obsessions qui jusqu'alors n'avaient jamais existé. Ces trois
observations
méritent d'être rapportées, car elles sont inst
chatouiller les vieux marcheurs. Honni soit donc qui mal y pense.
OBSERVATION
I. - M. X.... quarante-quatre ans, célibataire,
t plus en droit d'invoquer un excès qu'un manque de satisfaction.
Observation
II. M. Z..., trente-six ans, célibataire, fouctio
e, s'aggraver avec celles-ci et disparaître par leur ces- sation.
Observation
111. - Le troisième malade, de nationalité étrang
atisfaite de l'excita- tion génésique qui produit le mal. Nos trois
observations
ASSOCIATIONS PSYCHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES.
- ligent, habitué à l'auto-observation et à l'auto-analyse, cette
observation
apparaît très instructive pour l'investigation de
mbulisme. Nous voyons donc que chez le malade dont nous donnons l'
observation
, les phénomènes nocturnes que l'on observe peuv
al-Llatt f. Nervenheilh. XXIV. N. F. XII. 1901.) L'auteur reprend l'
observation
parue dans les A l'chiv f.Ophthalmo- log. 1. XL
qui tend à la conception unitaire du monde. P. IiERaI-.1L. XLII.
Observation
de thrombose autochtone des sinus; par COOD. ('
ur; par A. PicK. (Neurolog. Centrulbl., XX, 1901.) Une très belle
observation
montre qu'à la suite d'attaques con- gestives l
e; par M. IIOSENFELD. [Neurolog. Centmlbl., XX, 1901.) Excellente
observation
bien analysée. Pas d'aphasie motrice. Trouble s
cher. Impossible d'ailleurs de dire si c'est la règle parce que les
observations
ne contiennent pas assez de détails sur ce poin
fibres du goût; parJ. hnor. (Neurolog. Cenl1'(/[/¡I., XX, 1901).
Observation
, sans autopsie, rapprochée des documents clinique
eption de l'individu du sexe masculin. M. Litkens donne à l'appui l'
observation
de cinq familles témoignant de cette propositio
qui d'ailleurs s'améliorent. Comparant ce cas particulier avec les
observations
des auteurs et des expérimentateurs, il arrive au
émotive ; par IlAttTEMUKHG. (Revue de médecine. Août 1902.) Trois
observations
. Dans deux de ces cas, la rougeur émotive, deve
u en réalité une amnésie. Il rapporte dans un nouvel article deux
observations
d'hémia- nestésie d'origine organique, mais pré
prouvée, qu'elle est simplement possible. P. Keraval. XXXII. Une
observation
de myélite apoplectique; par G. CLaT.o. (Centra
bactéries-aient agi directement ou par leurs toxines. A l'appui les
observations
de Mayer (Arbeit, ccus d. Neurolog. Institut cah.
SwvrTSCU. (06oxrézié psichiatrii, VI, 1901.) Etude parallèle de 3
observations
, caractérisées par : de l'exci- tation maniaque
1901), publie un cas d'ataxie cérébelleuse aiguë, qui rappelle les
observations
de l'au- teur (Obo : ¡l'enié psiclciatrü, 1900)
n question. P. KERAYAL. , REVUE DE pathologie NERVEUSE. 347 XXXV.
Observation
remarquable d'hémicranie ; par G. FLATAU (Cezzl
aine; par L. HOEFL1>LUR (Neurolog. Centralbl. , XXII, 1903). L'
observation
de M. FLAT.au concerne un homme de quarante- hu
tions fugitives des vaisseaux. Deux espèces de complications dans l'
observation
de M. Hall- MAYR. Chez une femme de cinquante-s
nL (Neurolog, CentralGlcclt., XXII. 1903). A la lumière de quatre
observations
, l'auteur établit que 348 REVUE DE pathologie N
alblatt, XII, 1903). Nous ne pouvons donner que les conclusions des
observations
cliniques et des recherches expérimentales de c
ADaDIE ET Grenier de CARDENAL (Bévue de médecine, Novembre 1902.)
Observations
de trois jeunes filles chez qui la crainte d'une
les troubles à une lésion syphilitique de la base du crâne. XLI.
Observation
de catatonie en relation avec la première mens-
emain il dit ne se souvenir de rien. On le croit épileptique. Une
observation
de trois mois démontre qu'il n'a jamais d'atta-
re exophthalmique en sectionnant les corps restifor- mes. Voici une
observation
qui, de concert avec celle de Mendel (1895), mo
par J.-S. Hermann. (Neurolog. Centralb. XX. 1901). Il s'agit d'une
observation
de convulsions myocloniques qui n'étaient assoc
ppendice, l'auteur communique que la femme qui faisait l'objet de l'
observation
III est retombée malade : il est vrai qu'elle é
défectueuse ou abolie. Cette opinion est, je crois, prouvée par les
observations
faites sur la sécrétion pancréatique avant- que
our arriérés médicaux; 5° Dans quelle mesure les expériences et les
observations
faites dans l'enseigne- ment spécial peuvent-el
ncéphalique spéciale, nous pouvons cependant assez fréquemment, nos
observations
cliniques nous permettraient presque de dire to
t observés et contrôlés par l'autopsie ou simplement déduits de l'
observation
clinique et de l'expérimentation, ont établi qu
dance de la couche optique. C'est à ce titre que nous publions l'
observation
suivante de tumeur de l'encéphale. Bien que cet
ue sont sous la dépendance de la couche optique. Romberg cite une
observation
de Stromeyer, où pour employer ses propres term
le-ci'. Il existe cependant dans la littérature médicale quelques
observations
, où l'on a noté une tendance irrésistible au ri
éger vers la partie postérieure de la couche optique. A côté de ces
observations
où l'autopsie n'a pu être faite, il y a deux ob
té de ces observations où l'autopsie n'a pu être faite, il y a deux
observations
où l'autopsie avait démontré des altérations li
des altérations limitées dans la couche optique. La première de ces
observations
est due à Gowers 1. Il s'agit d'une femme de qu
l ne va pas au delà des limites de la couche optique. La deuxième
observation
est due à Yimoucopoulo=, médecin de la Section
s contractions des muscles mimiques de la face. A ce titre, cette
observation
pourrait servir de contribution à l'étude de la
ublié plus de deux cents cas, dont les plus connus sont les auto-
observations
de Percy, de Laurent, de Cambay, de Raphaél Bla
le et publié dans l'Echo Médical du Nord (1900, n° 8, p. 90). Nos
observations
sont celles de deux mérycoles aliénés, seuls ma
il comptait 14 mérycoles dont 11 étaient des idiots. Notre première
observation
est celle d'un adulte; la seconde, celle d'une
, seule mérycole sur environ cent enfants idiots ou épileptiques.
Observation
I. D. B... est né en 1801, de parents sur lesquel
ureux la seule satisfaction qu'il soit encore capable d'éprouver.
Observation
IL Elle concerne une petite malade entrée à l'a
ué qu'elle ruminât la nuit. Comme nous le disions au début de cette
observation
, elle pré- sentait certains jours de nombreuses
par J. SORCO. (Neurol. Centralbl, XXI, 1902, lr, 15, iG, 17.) ,)
Observation
clinique accompagnée d'étude anatomique et histo-
logique très minutieusement analysée et discutée. Figures. Cette
observation
, conclut l'auteur, permettrait d'attribuer aux
ances physiologiques actuelles, édifiées sur l'expérimentation et l'
observation
clinique relatives aux formes convulsives en ra
rticale suffit à expliquer la généralisation convulsive. Les deux
observations
publiées par Eisenlohr (Jahrb. d. Hambur- ger S
s qui déterminent les états d'idiotie. On connaît bien, grâce à l'
observation
clinique, le crétinisme et l'idiotie myxoedémat
buent à leurs hallucinations une origine étrangère. Dans les quatre
observations
rapportées à l'appui de l'excellente descriptio
ue et gastropathe ; par MM. E. DUPRÉ el Léopold LÉm. Intéressante
observation
d'un héréditaire présentant à la fois : la débi
s vicieuses peuvent avoir une origine mentale ainsi que le prouve l'
observation
, rapportée dans ce tra- vail, d'un jeune homme
ratiquer la ponction dans les cas de tumeur céré- brale. ' Voir l'
observation
que nous avons publiée dans le Compte rendu de
ERS. (Bulf. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1902.) L'
observation
qui fait l'objet de ce travail est celle d'un hom
catatonie considérée comme affection autonome, l'auteur relate les
observations
de trois malades présentant entre eux de nombre
lesquels la catatonie survient... mais il existe un grand nombre d'
observations
de folie hystérique ou d'hébéphrénie qui ont év
ie et maladies nerveuses de Berlin. 9 juin 1902). A rapprocher de l'
observation
donnée par nous dans Vidée fixe. (Archives de N
acial gauche ; par M. BFni\unuur. (Ne1l1'olo[]. Centralbl. XXI, z
Observation
de spasme facial tonique primitif avec palpita-
ulaires; par L. 1\'EV.IARII. (Neurolog. Centmlbl., XXII. 1903.) L'
observation
de Bernhardt concerne une femme de vingt-sept a
la myokymie de Fr. Schultze ou chorée fibrillaire de Morvan (1890).
Observations
de G. Hoffmann (1895), C. Meyer, Buber, (1897),
yer, Buber, (1897), Biancone et Karcher, Wiliamson (1901). Dans l'
observation
de M. Newmark qui concerne un étudiant en médec
probable) auxquels il succombe en trois ans. ' P. hERW 'AL. XLV.
Observation
de névrite périphérique de l'hypoglosse droit ;
ammation pharyngienne avec tumé- faction ganglionnaire. Comparé aux
observations
de Hoffmann, Montesano, Erb, Marina, ce cas en
ue paralysés. Ces deux derniers caractères se retrouvent dans une
observation
deIoebius, (Paralysie simultanée de plusieurs ner
Piéry. (Société des Sciences médicale, de Lyon, z 3 février 1904.
Observation
d'hémiplégie gauche totale avec rire et pleurer s
z une femme de quarante-quatre ans, syphilitique. A propos de cette
observation
M. Piéry pose le problème de la localisation cé
symptôme est réalisé par une lésion de la couche optique. Dans l'
observation
de l'auteur la localisation de Brissaud est la
faciale ; par le Dr Bienfait. (Journ. de Neurologie, 1904, n°2.)
Observation
d'un cas de paralysie faciale intéressant en rais
: par le Dr BlONDI. (Rw. Sp. difren. 1903. fasc. 1, t. II). Deux
observations
, montrant que. dans la pratique, les dénon- 428
. Phases médico-légales de la loi de Vermont en ce qui con- cerne l'
observation
des criminels aliénés; par Walter de Berry (The
rolongé des coupables qui plai- dent la folie pendant une période d'
observation
suffisante à l'asile. SIMON. III. Syphilis et
isinagne du péniten- cier central et pourvu d'un quartier spécial d'
observation
. Enfin, M. Masoin s'élève contre la prérogative
odifications de poids, l'excrétion sudorale des aliénés. Nombreuses
observations
, minutieusement prises. Nous relevons ce qui su
ar le Dr PnoBST. (Rev. méd. de la Suisse romande, 1902, n3 20.) ,
Observation
d'un homme de vingt-cinq ans, qui fut pris subite
ECINE LÉGALE. ' ' " éclater à l'occasion de la puberté. Telle est l'
observation
de la malade dont nous publions l'examen médico
siques ; - 3° Emilienne G... est entièrement irresponsable. Cette
observation
est intéressante à plus d'un titre Notons la do
ez l'aliéné une affaire de troubles morbides que de caractère, et l'
observation
quotidienne des infir- miers, jointe à la sienn
angereux. Surtout on devra attendre un certain minimum de temps d'
observation
, minimum à fixer, avant de requérir l'admis- si
gereux et ne parais- sent point curables après un temps suffisant d'
observation
; et aussi les aliénés non criminels, mais réell
M. Vuillamier, a repris notre description, en l'accompagnant de 16
observations
recueillies dans notre service et mises par nous
ar MM. Charvet etl3..1NCEL. (Lyon médical, n° 15, 10 avril 1904.)
Observation
intéressante dans laquelle l'évolution d'un gliom
cuisse sur le bassin, la jambe étendue (posi- tion de Kernig). Deux
observations
. G. C. XCIII. Lésions de l'écorce cérébelleuse
ois générations ». Nous devons être d'accord sur la vérité de cette
observation
, et ainsi par une étude plus minutieuse de ces
(Lyon médical. 22 Novembre 1903, p. 767). Les auteurs relatent une
observation
: * Cliniquement. Torticolis congénital très ac
cervical du spinal). " MM. Gallavardin et Savy concluent de cette
observation
: 1° que les lésions macroscopiques ou microsco
yon Médical. 27 décembre 1903, p. 996). 1 . M. Beutter publie une
observation
recueillie dans le service de M. le professeur
mitive, pendant l'extirpation d'une tumeur maligne adhérente. Cette
observation
est intéressante à deux titres : d'abord parce
que. Ceci expliquerait la guérison graduelle de l'hémiplégie dans l'
observation
en-question. Pour expliquer le second point int
111éd. des Hôp. de Lyon, 31 mai 1904, p. 198). L'intérêt de cette
observation
réside dans les deux points sui- vants : 1° G
véritable section graduelle et progressive de l'axe nerveux. Cette
observation
, dans laquelle l'évolution néoplasique ne s'est
.musculaires et aux vaisseaux correspondants. A l'occasion de cette
observation
, les auteurs présentent quelques remarques crit
-mêmes cette conclusion n'est pas une explication. R. C. CIV. Une
observation
d'abcès du cerveau ; par IIermonC. Goiidinier (
t dite, comprend ensuite une vingtaine de pages. Simov. CVII. Une
observation
de tumeurs adiénales métastatiques dans- la deu
, 1° Résumé des recherches antérieures. 2" Analyse détaillée de 5
observations
personnelles. 3° Conclusions : a) pas de modifi
tres toniques et permanents. Les premiers, dont ils rapportent cinq
observations
sont pour eux de véritables spasmes présentant
ls leur donnent le nom dhé- mispasme facial vrai; les seconds (deux
observations
), contractures anciennes ou récentes de la face
binée postérô-latérale. MM. Pic et Bonnamour admettent que leurs
observations
consti- tuent en quelque sorte une synthèse de
e et non de la lésion cérébrale. Les lésions cérébrales, dans leurs
observations
, tiennent sous leur dépendance, sinon les phéno
L'auteur fait remarquer que ces cas sont. rares, il rappelle quatre
observations
publiées, une de Küssmaul, de Touche, de Koster
dicale des hôpi- taux de Lyon. ter décembre 1903). Il s'agit de l'
observation
d'une jeune femme de 30 ans, sans aucun antécéd
été médicale des hôpitaux de 1.110n. 15 décembre 1903). La première
observation
est celle d'un enfant de 5 ans qui pré- senta d
er qu'il s'agit bien d'une affection organique. - Dans la seconde
observation
il s'agit d'un malade âgé de 40 ans atteint de
(Journal des médecins praticiens de Lyon, 31 décembre 1903). Deux
observations
de trophoedème hystérique ; l'une chez une jeun
cas de Teissier et Lecreux et celui plus récent de Féré. Dans son
observation
l'oedéme ne semble pas sous l'influence de la n
MOURIQUAND (Soc. méd. des Hôpitaux de Lyon, 22 mars 1904). r Une
observation
dont l'intérêt réside dans la forme nerveuse de
NIG et PAPOVIK. (Nouv. Iconogr. de la Sal- pêtrière. N° 3. 1903.)
Observation
d'un garçon de six ans, mesurant lm,40 et présen-
eige et FEINDEL. (Nouv. lcolluur de la Silpêlricre. M 4. 1903.) L'
observation
chez un même sujet jeune fille de dix-huit ans
d'un premier travail de l'auteur, Raymond et Janet publièrent deux
observations
d'akathisie qu'ils identifièrent àcelles relaté
du sympathique cervicale en 1898, pour une maladie de Basedow. L'
observation
a été publiée en détails dans la chirurgie du g
par MM. \VEILL et G.4.LL.\YAnDiN. (Lyon médical, 9 août 1903.) L'
observation
publiée par MM. Weill et Gallavardin est intéres-
conception nouvelle de l'association de ces deux actes morbides.
Observation
résumée : paraplégie ayant débuté insidieuse- m
autogène; par Durante. (Nouv. Iconogr. de la S Upélrtere. 1903.)
Observation
anatomique concernant un névrome diffus du mé-
question est en débat et ce n'est point, comme le dit l'auteur, une
observation
isolée qui pourra faire pencher la ba- lance da
1eto-parü lytiques est une raison de les recueillir avec intérêt.
Observation
. Femme de cinquante-huit ans. A eu cinq enfants
ar DENY et LcPnv. (Nouu. leonogr. de la S dpétrière. N° 5. 1903.)
Observation
qui tendrait à démontrer qu'à côté des infections
e ni des vaisseaux. Smon. XXXVII. Paralysie générale aiguë avec une
observation
, histoire clinique et anatomie pathologique ; p
nérale compliquant un tabes, avec délire hallucinatoire, etc. ' L'
observation
et la description des lésions paraissent pouvoir
st malheureusement impossible de résumer les nombreuses remarques d'
observation
fine qu'on rencontre d'au- tre part au cours de
trop SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 507 particulièrement réunis dans leurs
observations
pour qu'il n'y ait pas quelquefois plus qu'une
gommeuse. MM. DOUTItE\BE\TE et Marchand communiquent une nouvelle
observation
dans laquelle on constate des lésions syphilitiqu
vrai. Puérilisme mental guéri par suggestion. M. LEROY présente l'
observation
d'une malade hystérique, chez qui les accès con
rilisme. Singulières cachettes d'une aliénée. M. Leroy présente l'
observation
d'une vieille délirante chronique qui collectio
mptomatique et rythme de Cheyne-Stokes, par Bauer. 52. Catatonie.
Observation
de en relation avec la première mens- truatio
e, par Calmette et Pa- gens, 55. Voir 7< : ra ? e. Hémicranie.
Observation
remarqua- ble d ? par Flatau, 347. IIÉwnÉme.
aigu ëdifftisel par Weill et Gallavardin, 65 - Voir Réflexes. Une
observation
de apoplectique, parFlatau,344 par Marie, 509
. et atrophie optique dans l'érysipèle facial, par Cabannes, 268.
Observation
de - périphéri- que de l'hypoglosse droit, par
ion, par Leroy, 509. Pupilles. La réaction paradoxale des -, avec
observation
person- nelle de rétrécissement des sous l'in
e céphalique avec diplégie faciale, par Bouchaud, 426. Thrombose.
Observation
de auto- chtone des sinus, par Good. 322. Tib
ermont. Phases médico-légales de la loi de - en ce qui concerne l'
observation
des criminels alié- nés, par de Berry, 428. '
de la Maison de Santé pour les Maladies Nerveuses de Toulouse. L'
observation
suivante relative à un malade que nous avons eu l
miner et de suivre régulièrement, nous a paru digne d'être publiée.
Observation
. X ? plâtrier, 33 ans. Antécédents héréditaires
erons, comme pou- vant avoir quelque intérêt dans la suite de cette
observation
, que le père de X... éprouvait une certaine dif
tement fléchi ses doigts. Telle est, aussi complète que possible, l'
observation
de notre malade. Ce qui a préoccupé le malade e
ophie musculaire progressive. II n'eu est rien. En même temps que l'
observation
clinique des faits devient plus attentive et pl
ultiple, chez plusieurs membres d'une même famille. Dans toutes ces
observations
les phénomènes morbides correspondaient si bien
samment élucidées et qui, pour être tranchées, exigent de nouvelles
observations
. Telles sont surtout les ques- tions ayant trai
sont les considérations de cet ordre qui nous décident de publier l'
observation
suivante concernant trois membres d'une même fami
e à notre consultation externe). Ce qui renforce l'intérêt de notre
observation
c'est que c'est le premier cas d'ataxie cérébelle
plus de facilité de la lecture, nous préférons mettre en regard les
observations
de nos trois malades dans un même tableau, où se
enfants vivent encore : trois de ces enfants font l'objet de notre
observation
, les autres sont bien portants et assez solides
volution et dans sa symptomatologie, de ce que nous avons vu dans l'
observation
de nos trois malades. 3° Diplégie infantile, qu
ladie. Il n'y a pas non plus d'atrophie des nerfs optiques. Notre
observation
présente quelques particularités que nous ne pouv
uelle il existe une prédisposition héréditaire. j En publiant notre
observation
, nous nous permettons de croire que, fout en co
cent et de Anna S. de Montenero (Campobasso), est le sujet de cette
observation
. Mère âgée de 32 ans, mariée à 18, a toujours j
trouble ; l'enfant qui naquit heu- reusement est le sujet de cette
observation
. Celui-ci, dans les premiers mois, profita régu
sistant du laboratoire des Cliniques de l'Université de Bordeaux.
Observation
. G. (Auguste), âgé de 58 ans, marchand de journ
tés intéressantes d'ordre clinique et anatomo-pathologique de cette
observation
sont indiquées en italiques. MYOPATHIE PRIMITIV
riphériques. Cette question, je la réserve provisoirement, mais les
observations
cliniques prépareront d'elles-mêmes la réponse.
et comme des barrières infranchissa- bles. D'ailleurs, rien, dans l'
observation
de Grasset et Vedel, ne plaidait en faveur de l
à l'époque d' Alibert, sont exactement celles qui figurent dans les
observations
de syringomyélie. Les territoires sont en effet
lequel les lésions centrales sont presque toujours 'primitives. L'
observation
I de ce mémoire concernait un homme alors âgé de
eurs et exaltation des réflexes rotuliens. La discussion de cette
observation
se terminait ainsi : « L'absence de phénomènes
ubles moteurs s'associent aux troubles sensitifs et de donner à ces
observations
le plus d'ampleur possible pour qu'elles puisse
n ultérieure de travaux d'ensemble sur celte importante question.
Observation
. Sommaire. - Homme, 27 ans, colporteur; atrophi
L'hyperalgésie a été rarement signalée ; on n'a noté dans quelques
observations
qu'une exagération passagère de la sensibilité di
n- térieure, dans le territoire intéressé, s'atrophie in globo. Les
observations
de Klippel (1), Leyden (2), Achard et L. Lévi (
inactivité musculaire, ce qu'on appelle le sens musculaire dans les
observations
cliniques ? Comment, on cherche à placer le malad
ivre ce mouvement qu'il ne connaît plus. Clinique. Dans la première
observation
de tabes du mémoire de Du- chenne, en 1858, la
urs de cette étude sont naturellement signalés depuis les premières
observations
classiques de tabes ; mais ce n'est pas comme t
appelait le vertige auditif. Féré et Demars ont encore publié deux
observations
de vertige auriculaire chez des tabétiques, de mê
bien rares dans les affections labyrin- thiques. Je rappellerai les
observations
de Keller, de Boerne llettman, de LE TABES LABY
et adressai le ma- lade à M. Brissaud, qui voulut bien le garder en
observation
dans son service, où sa vue fut examinée égalem
ce sans doute par l'irritabilité nucléaire. Je ne rappellerai que l'
observation
de M. Dieulafoy, au sujet d'un tabétique syphil
ccasion de l'audition de certains sons; Laurens en a réuni quelques
observations
. Le nystagmus peut apparaître quand on fait LE
D'ORIGINE HYSTÉRIQUE PAR R P. RAVAUT Interne des hôpitaux. L'
observation
que nous rapportons a Irait à un malade qui entra
exemple. Un seul journal médical (5), en trois ans, contient quinze
observations
de paralysies dites du grand dentelé. Mais ce s
acturés. C'est ce dont on se convaincra facilement, en relevant les
observations
de pa- ralysies du grand dentelé qui ont été pu
, une critique très serrée, ne regar- dait comme inattaquable que l'
observation
de Busch. Et tout récemment, dans son intéressa
athique ou myé- lopathique. Môme complexité se retrouve dans les 40
observations
réunies par Berger (2). Actuellement tout le
à deux questions auxquelles nous répondrons, après avoir rapporté l'
observation
suivante : Observation. Ch. Isidore, âgé de 2
es nous répondrons, après avoir rapporté l'observation suivante :
Observation
. Ch. Isidore, âgé de 29 ans, palefrenier, entré
reuses. 182 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE Tels sont les détails de l'
observation
. Il s'agit incontestablement d'un cas de paraly
fficulté dans les mouvements du membre inférieur correspondant. L'
observation
de Buchmuller (3) mérite d'être soulignée égaleme
-même dans la glace la déformation de son omoplate. Quant aux trois
observations
de paralysie isolée du grand dentelé, attri- bu
après, elle constate des troubles dans la motilité du bras droit. L'
observation
, déjà ancienne de Marcbessaux(2), se rapporte à u
IN.\TEK, qui nous a obligeamment adressé son mémoire, a publié deux
observations
de paralysie isolée du muscle grand dentelé. En
ique, malgré la paralysie du grand dentelé. Cet auteur rapporte une
observation
d'amyotrophie dans laquelle, en même temps que
perficiel. Ce déplacement est du reste noté dans presque toutes les
observations
publiées, ainsi qu'on peut en juger par les ext
insi qu'on peut en juger par les extraits qui suivent. Dans une des
observations
de Bernhardt, l'angle inférieur de l'omoplate se
le dans la direction du bord interne de l'omoplate. Dans la seconde
observation
du même auteur, l'angle inférieur est un peu plus
es les plus accessibles de l'omoplate. Il est souvent dit, dans les
observations
, que l'omoplate est élevée en totalité, mais le
oit prendre l'omoplate. Il ressort, d'autre part, de la lecture des
observations
publiées, que le déplacement est minime, et tro
recherché de prés. ' Nous venons de voir, en analysant les diverses
observations
, que les au- teurs ne sont pas absolument d'acc
ns, constituées par les cas de Baeumler, de Jolly, de Bruns. Dans l'
observation
de Bammler il est dit que l'élé- vation du bras
, presque sans effort, jusqu'aux deux tiers de la verticale. Dans l'
observation
de Jolly, l'élévation s'effectue jusqu'à la verti
dépasse point. C'est, du reste, ce qui se voit dans la majorité des
observations
. Cette paralysie sup- prime, en effet, le mouve
nts traités de pathologie infantile n'en font même pas mention. Ces
observations
présentent de plus bien des points particuliers s
sur lesquels nous avons cru bon d'attirer l'attention. La première
observation
a trait à un cas de sclérodermie localisée du t
de sclérodermie localisée du type Morphée (voirfi. A. Pl. XXVI).
Observation
I. - Marie D..., 12 ans, vue à la consultation de
l'anneau lilas caractéristique de la morphée. L'intérêt de cette
observation
réside,surtout dans l'absence complète d'antécé
, p. 108. CAS DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES ENFANTS 199
Observation
II (fig. B., pl. 1VI) .-I;milie R...., âgée de 11
ucun trouble de sensibilité. Les différents appareils sont normaux.
Observation
III. Fillette de 6 ans. Père et mère bien portant
CLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CUËZ. DES ENFANTS 201 Ces deux dernières
observations
concernant des cas de sclérodermie en plaques d
tinguent cependant l'une de l'autre par quelques caractères. Dans l'
observation
II, tout se borne à l'existence de 3 placards scl
part de ces placards sont infiltrés, lardacés, oedémateux. Dans l'
observation
III, il s'agit également de plaques blanchâtres,
sonnelle. Tout au plus pourrait-on insister sur ce fait que, dans l'
observation
III, l'enfant eut vers. Page de 2 ans 1/2 une c
l'apparition des pre- mières plaques de sclérose. Notre quatrième
observation
se rapporte probablement à un cas de$clé- rodac
e, une des localisations régionales importantes de la sclérodermie.
Observation
IV (ng. E et F, pl. XXVII). Camille P..., 7 ans.
adie et sur ses rapports avec les lésions notées dans nos premières
observations
. Notons encore que cette affection s'est déve-
tion s'est déve- loppée sans cause connue chez les deux soeurs. L'
observation
suivante se rapporte aussi à un fait assez diffic
t que l'on peut intituler : un cas de sclérodermie congénitale. 1
Observation
V (tig. D, pi. XXVII).- Suzanne P..., âgée de 1 m
ppliquer au cas que, nous venons de rapporter. Nous rapprocherons l'
observation
de ce nouveau-né chez qui les phé- nomènes de s
ébut coïncidaient avec une atrophie e légère du membre, du cas de l'
observation
nI où l'amincissement de la (1) E. BasNiFu et A
odermie chez le nouveau-né. Neumann (1), qui récemment rapportait l'
observation
d'un enfant qui à ]'lige de 13 jours présenta l
hysionomie clinique que les faits de Neumann et de Cruse. A ces 5
observations
de troubles trophiques de la peau à forme de sclé
ouloir les confondre, un cas de vitiligo observé chez une enfant.
Observation
VI (fig. C, pl. 11VI). - Augustine D..., 11 ans,
iologie et de pathogénie diverses. ' Nous ne voulons tirer de ces
observations
aucune conclusion générale. Nous n'avons eu d'a
atteignant plus tard les mains » qui porte leur nom, de nombreuses
observations
de la même maladie ont été publiées à l'étran-
rance qu'à l'étranger, il parait y avoir quelque confusion dans les
observations
pu- bliées par les auteurs. , DE l'amyotrophi
bliées par les auteurs. , DE l'amyotrophie CHARCOT-MARIE 207 I
Observation
. II..., 56 ans, dessinateur, entre le 26 mai 18
agnostic du type d'atro- phie qu'il a décrit avec Charcot. Si cette
observation
n'est pas plus délai liée, cela tient à l'état
.) ' HOSPICE DE LA Salpêtrière SERVICE DE M. LE Der PAUL SECOND
Observation
Catherine C., veuve, âgée de h 7 ans, marchande
orte elle était bien constituée et agile comme ses camarades. (1) L'
observation
et les photographies de cette surprenante monstru
t plus long et mieux que toute description (PI. XXXI il XXXIV). L'
observation
que nous donnons est curieuse à plusieurs points
observe des faits qui semblent les in- firmer et qui déroutent. L'
observation
que j'apporte aujourd'hui a trait à quelques poin
er encore son levain de transmission héréditaire, et il signale des
observations
personnelles ainsi que d'llutchinson, Thomp- so
tion. S'il en est ainsi,- et je serais très porté à l'admettre, une
observation
personnelle récente me confirmant dans cette op
uisque le Professeur Fournier, dans son livre, n'en présente que 13
observations
personnelles, insistant avec raison sur la diffic
d'im- prégnation ou par influence, ou hérédité ovarienne, et notre
observation
, ainsi qu'il est facile de s'en rendre compte e
est pour cela même que plus intéressante. 222 ' PAUL DE MOLÈNES
OBSERVATION
. Madame X., âgée de 44 ans, se présente à ma co
cènes médicales sa verve d'humoriste et son incomparable justesse d'
observation
. A Prague, dans la galerie Nostitz (1), autre g
nuance psychologique, qui témoignent hautement de ses qua- lités d'
observation
. - En somme, si c'est généraliser peut-être un
es mis à part - des myxoedémateux à forme atté- nuée. (1) Furlher
observations
on the chemisti-y and action of the IhYl'oid glan
radiction avec l'enseignement classique. (Fig. 4.) Je ne cite cette
observation
que parce que l'autopsie fut permise. La vésicu
lus détaillées. ' . .. Je fais suivre mon mémoire d'une série d'
observations
. 1° Adultes. Uns. I. - Gastralgie et ménorrha
a venue. La troi- sième est obèse ; la quatrième fera le sujet de l'
observation
suivante ; la cin- quième fille s'est mal dével
l'avant-bras gauches chez une femme issue de mère hypothyroïdienne (
Observation
III). mique. La troisième a des ménorrhagies in
gles ont commencé Fig. 2;).- Radiographie du membre ectromélique (
Observation
11l). tard, vers la dix-huitième année, et ne s
n n'existent plus qu'à l'état de souvenir. 2° Enfants. Toutes les
observations
qui vont suivre se rapportent à des enfants at-
ilogr. (PI. 1LVIIl, E.) , Fig. 28. - Infantilisme de transition. (
Observation
IV, 1 ? ) Fig. 29. -nlyxoedème franc; 40 ans.
PAUL SAINTON Ancien interne des hôpitaux. (Suite et fin) (1). L'
observation
que nous venons de rapporter montre bien qu'il s'
hériques ; plus tard dans un second mémoire (1891) (2), il cite une
observation
empruntée à Dubreuihl (3) à l'appui de sa thèse.
rer en toute assurance dans le cadre de cette maladie. Les seules
observations
sur lesquelles il est possible de s'appuyer pour
yer pour la description analomo-pathologique de la maladie sont : l'
observation
publiée par Marinesco dans les Archives de méde
ecine, 1890, p. 44. (4) Nous croyons inutile de rapporter ici cette
observation
in extenso et renvoyons au mémoire original.
mentale des deux parrains de la maladie, ont publié sous ce nom des
observations
qui s'écartent trop du type pri- mitif. Aussi n
dans la même famillepeutétreconsi- dérable z)6 personnes clans une
observation
d'lIen'inghal1l) (2). Elle a une prédilection m
nes des sens sont rarement atteints, Vizioli a cependant publié une
observation
concernant le père et le fils, où l'on avait noté
progression est tellementra- lentie que nous avons pu recueillir l'
observation
d'un malade âgé de 81 ans, qui pouvait encore m
la fin d'un examen un peu prolongé : il nous suffira de dire que l'
observation
de la sensibilité chez un tabétique embrasse un
rés constamment et à des degrés divers. Nous rapportons dans huit
observations
du service de M. le professeur Raymond ces trou
quatre sensations avec leurs différents degrés. (Voir Pl . LUI.)
Observation
I. Péd... (Francine), 45 ans, domestique, entré
SIBILITES DANS LE TABES PL ICI PI. II (A. Riche et De Gothari.)
Observation
Il. L MASSONHTC" Editeur' TROUBLES OBJECTIFS
ti comme une piqûre, l'impression de froid n'a lieu que 4" après.
Observation
II. Rous... (Clémence), 35 ans, domestique, ent
t de 10" au talon gauche, de 3" à la racine des orteils à droite.
Observation
III. Caud... (Marie), 44 ans, employée de comme
rité la marche était difficile. Fig. 1. - Schéma du champ visuel (
Observation
III). Entrée le 20 octobre 1896 à la Salpêtrièr
ROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et De Gaillard.)
Observation
Il L MASSON ET C ? h,dil, TROUBLES OBJECTIFS
a chaleur aux membres inférieurs. 338 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD '
Observation
IV. Bas... (Louise), 60 ans, lingère. entrée le
re de premier ordre, Metzu a fait preuve de remarquables qualités d'
observation
; là, son ta- lent minutieux a pris une réelle a
avec beaucoup d'esprit. Son tableau de la Haye est une jolie page d'
observation
pbysio-psycbologique dont le côté scabreux est
on entourage, aussi bien sur les per- sonnes que parmi les objets :
observations
patientes, remarques minutieu- ses .dont chacun
it à la mort 18 mois après le début des premières manifestations.
Observation
I. ' A trophie musculaire progressive , d'origi
t que la paralysie infantile n'avait intéressé que la jambe droite.
Observation
IL Paralysie infantile du membre inférieur droi
a paralysie infantile ; nous insisterons.sur ce point au sujet de l'
observation
IV. III. - Modes DE début. Dans la très grand
66 G. ÉTIENNE ce que nous voyons manifestement se produire dans les
observations
I, II, V, VI. Il n'en est cependant pas toujo
I, II, V, VI. Il n'en est cependant pas toujours ainsi. Dans l'
observation
suivante, nous voyons l'atrophie débuter par le d
st la caractéristique du typescapuio- huméral décrit par Vulpian.
Observation
III. Atrophie musculaire progressive, d'origine
les paumes des mains (obs. I) ; chez le malade qui est l'objet de l'
observation
V, cocher qui s'occupait à frotter ses harnais ;
n cheval . C'est encore la fatigue musculaire qui intervient dans l'
observation
sui- vante : un fossoyeur voit débuter l'atroph
nd de la fosse, rejette par dessus bord la terre enlevée du fond.
Observation
IV. Atrophie musculaire progressive d'origine m
avant-bras et 372 9 G. ÉTIENNE les jambes, ce cas, de même que l'
observation
II, présente encore un point des plus intéressa
tudié par M. le professeur Bernheim (1) et par Sterne (2). Mais des
observations
rapportées par Sterne, toutes ne nous paraissent
s surmenés de l'avant-bras. III. Hérédité poliomyélitique. Dans l'
observation
précédente, nous avons trouvé chez le malade des
héréditaires. Ce fait est très exceptionnellement signalé dans les
observations
d'atrophie musculaire progréssive myélo- pathiq
'hérédité directe est au contraire fréquente dans les myopathies.
Observation
V. Atrophie musculaire progressive, d'origine m
out prix et demande sa sortie. V. Symptômes EXCEPTIONNELS. Dans l'
observation
suivante, nous voyons un cas très pur d'atrophie
en tout point du corps exposé à une pression un peu prolongée (1).
Observation
VI. Atrophie musculaire progressive d'origine m
ubes du faisceau de Goll. Cette altération est déjà signalée dans l'
observation
IV de J.-B. Char- cot. Toutes ces altérations
néphrite interstitielle. Orchite tuberculeuse double. Dans cette
observation
, le diagnostic différentiel avec la syringomyélie
ringo- myélie (1). . .. x · En somme, dans chacune de ces six
observations
, nous rencontrons quelques particularités s'éca
cartant plus oumoins du schéma classique : évo- lution plus rapide (
observation
I), début plus précoce (observation II), mode d
ique : évo- lution plus rapide (observation I), début plus précoce (
observation
II), mode dé début (observations III et IV) ; p
observation I), début plus précoce (observation II), mode dé début (
observations
III et IV) ; présence d'antécédents poliomyé- l
d'antécédents poliomyé- litiques (paralysie infantile) personnels (
observations
II et'IV) ou hérédi- taires (observation V) ; p
ie infantile) personnels (observations II et'IV) ou hérédi- taires (
observation
V) ; présence d'accidents trophiques anorniaux (o
'évolution des troubles de trophicité musculaire; etc. Toules ces
observations
, malgré leurs variantes de détail, conservent,
grosses cellules des cornes antérieures essentiellement atteintes (
observations
I et VI) ; dans les- quels le rôleétiologique d
die de Duchenne-Aran se complique du syndrome labio- glosso-laryné (
observations
I, V). Parfois les lésions débutent dans ces no
us ou moins prononcée et parfois très prononcée de ce membre. » L'
observation
que nous rapportons est celle d'un malade observé
souvent, parfois mortelle. (1) Le malade qui fait le sujet de cette
observation
a été présenté par M. le profes- seur Raymond à
l, 1893, p. 225. amyotrophie double du TYPE scapulo-huméral 387
OBSERVATION
. Le 13 juin 1899 se présentait à la consultatio
res. * .... . Nous n'avons pas cru devoir développer plus cette
observation
clinique qui somme toute peut se résumer facile
n pronostic très grave. Ce qui nous paraît faire l'intérêt de notre
observation
, c'est la bilatéralité de l'atrophie malgré l'u
ralité du traumatisme. S'il existe dans la littérature médicale des
observations
d'atrophies ré- flexes abarticulaires unilatéra
avec celle que nous avons rapportée. Voici d'ailleurs les quelques
observations
d'amyotrophies abarticulaires qui nous ont paru
une rupture mus- culaire, de la déchirure du muscle soléaire. Ces
observations
de M. Charcot sont absolument semblables à celle
s et ab- sence de troubles de sensibilité. Quand Charcot publia des
observations
, on connaissait déjà quelques faits semblables.
un muscle pendant un effort peut en déterminer l'atrophie. Mais ces
observations
, comme le dit Charcot, étaient exceptionnelles. S
On trouvera dans une policlinique de Charcot (-1) une intéressante
observation
de paralysie spasmodique amyotrophique de cause
xpliquer tous les cas. Valtat (1) a bien montré que, dans certaines
observations
, au bout de trois à quatre jours la paralysie d
ds. Le jeune homme de Charcot, dont nous avons rapporté plus haut l'
observation
, qui reçoit à la jambe un éclat de bois et qui
cident et ne s'immobilise pas. Le malade qui fait le sujet de notre
observation
avait tous les mouvements de son bras normaux apr
es obtenus ont donc toujours été négatifs. Il existe sans doute une
observation
de M. Klippel () qui, à l'autopsie d'un sujet t
omment une irritation réflexe unilatérale peut amener, comme dans l'
observation
que nous avons rapportée, une amyotro- 1)[ile d
r les conseils de M. le professeur Raymond, nous avons profité de l'
observation
de notre malade pour rappeler rapidement la natur
; seule, la pathogénie permet encore de larges discussions, et des
observations
nombreuses et précises sont nécessaires pour éluc
dans la littéra- ture médicale, nous allons brièvement rapporter l'
observation
d'un ma- lade que nous suivons depuis 18 mois d
arie ; c'est ce qui nous parait ressortir de l'examen de nombreuses
observations
éparses dans la littérature médicale. Nous exam
rvations éparses dans la littérature médicale. Nous examinerons ces
observations
d'abord au point de vue des antécé- dents héréd
e, voici quelques documents : Verstroeten (35) donne en 1889 deux
observations
. Dans la première, le père est triste et mélanc
oique fort intelligent, n'a jamais voulu apprendre de métier. Une
observation
de Szcrnzont (30), la même année, est peut-être p
me « légitimement déprimé», le sujet observé par Brigidi [et dont l'
observation
est rapportée par M.Marie (18)], qui fait une ten
tale a même été constatée ». De fait, il est bien rare que dans les
observations
où ces recherches ont été faites, on ne note pa
on ne note pas l'indication d'un état mental bien spécial. Voici l'
observation
de Fe ? ' (19). « L'intelligence était un peu len
'un acro- mégalique observé par lui. Pick (24), en 1890, publie l'
observation
d'un acromégalique, diabéti- que, frère d'un su
ement dans un asile s'est imposé. » Enfin, D. Blair (2), relate l'
observation
d'une acromégalique atteinte de délire des pers
t récemment, Feindel et Frous- sard (7) publiaient leur remarquable
observation
d'acromégalie chez un dégénéré, présentant des
E TABES (Suite et fin.) par LES Drs André RICHE et de GOTHARD
Observation
V. Caub... (Honorine), 47 ans, couturière ; ent
TROUBLES DES SENSIBILITES DANS LE TABES (A. Riche et De Gothard.)
Observation
V. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 409
eresthésie à la chaleur, aux deux fesses, hyperesthésie au froid.
Observation
VI. Boit... Elise, 49 ans, corsetière, entrée l
des pieds, la sensation de chaleur est perçue avec un retard de 3".
Observation
VII. Sou... (Marie), 47 ans, ménagère. Entrée
ROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES (A. Riche et'De Gaillard.)
Observation
VII. ' Masson et CI., Éditeurs. TROUBLES DES
jusqu'à la ceinture ; le froid y doune la sensation de chaleur. *
Observation
VIII. . Desm... (Annette), 42 ans, entrée le 12
possibles de la dissociation de la sensibilité. Dans chacune des
observations
que nous présentons nous avons cons- taté des a
Dans le nombre, il en est qui témoignent de remarquables qualités d'
observation
de la part des ar- tistes et d'un réel désir de
à fait le cas de lésion sous-corticale pure qui manque jusqu'ici.
Observation
1. Sommaire. - Aphasie amnésique avec paraphasi
n sûr, je vois du papier, papier bien sûr (en montrant la feuille d'
observation
). . b) Examen dans une période d'excitation.
indemne. La capsule (1) Il y a lieu de noter en passant que dans l'
observation
VII de Pitres (cas de Ro- senthal) un ramolliss
enant aux théories actuelles, nous ferons ressortir que, dans notre
observation
, si la limitation de la lésion presque exclusivem
été toujours plus ou moins intéressé à différents niveaux dans les
observations
relevées par M. Pitres. Observation II. Somma
différents niveaux dans les observations relevées par M. Pitres.
Observation
II. Sommaire. -'Hémiplégie gauche incomplète av
des re- marques sur les exemples qui paraissent s'en rapprocher.
Observation
I. Une jeune fille de 17 ans, Fe..., est entrée
eusement exact ; nous avons pu nous en assurer. 456 UENRY MEIGE
OBSERVATION
II. Ar..., âgée de 21 ans, soeur de la précéden
r famille qui fussent affligées de la même infirmité oedémateuse.
OBSERVATION
III. La mère de Fe... et de Ar..., âgée de 40 a
cette difformité s'étend encore à d'autres membres de la famille.
Observation
IV. 1 . A..., âgée de 13 ans, lé frère de Fe...
MASSON 5 Cl, EdltcUt ? LE TROPHCEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 459
Observations
V et VI. Deux frères de la mère de nos malades,
de la môme singulière affection. Et ce n'est pas tout encore....
Observation
VII. La grand'mère de nos malades, âgée de 60 a
e la né- cessité de porter des chaussures et des bas très larges.
Observation
VIII. Enfin, huitième et dernier représentant d
lé : Eléphantiasis noslras symétrique du pied el de la jambe. Cette
observation
diffère notablement des nôtres par la marche et
yphilis, mais que toute autre toxine peut également réaliser. Ces
observations
semblent bien appartenir au groupe des oedèmes in
e mises en cause dans notre famille d'oedémateux. Toute une série d'
observations
se rapportent encore aux oedèmes d'ori- gine né
ar des lésions éléphantiasiques des parties molles et du squelette.
Observation
presque unique en son genre, en raison de la part
l'hypertrophie, différant de l'éléphantiasis et de sciences, 1893.
Observation
d'un oedème localisé à certaines parties du visag
ever, pour disparaitre au bout de 2 à 3 heures. - L'auteur cite une
observation
analogue de Hénoch et fait ressortir les analogie
Francisco) a publié (Brit. Journ. of dermatology, juillet 1S99) une
observation
d'OEdème dur et douloureux en plaques symétriques
dre Sydenham et, depuis la description de Charcot, (1) Rapprocher l'
observation
de Chauffa un et V. Griffon, Hypertrophie yseuclo
rophiques s'y surajoutent le plus souvent. Georges Meyer (1) cite l'
observation
d'une femme de 32 ans, hystérique, qui fut atte
éléphalltiasis ae2l·o-arth·itique, M. Mathieu a publié en 1893, une
observation
qui se rapproche davantage des nôtres (3). C'es
saurait être accusée. Dans la thèse de Follet (1895), on trouve une
observation
intitulée : OEdème névropathique consécutif et
s d'oedème éléphanliasique d'origine nerveuse. (1) Dans une seconde
observation
de Follet, il s'agit d'un homme de 32 ans chez
ambe. LE TROl'H(DÉME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 469 C'est un recueil d'
observations
assez disparates en apparence où l'auteur fait
essemblance avec le tableau de l'éléphantiasis des pays chauds. L'
observation
personnelle publiée par Lourier a trait à une mal
ffection. ' A propos de cette communication, M. Mathieu rappela les
observations
de trois femmes, atteintes de la même variété d
vasculaire, ni sanguine, ne pouvait être incriminée. L'intéressante
observation
de M. A. Vigoureux publiée dans ce fascicule se
ces deux cas encore, l'hérédité n'a pas été constatée (2). (1) Une
observation
intitulée également oedème segmentaire, a été com
lièrement intéressante pour nous. Elle se trouve confirmée dans nos
observations
. - La description de l'oedème, sa couleur, sa c
de médecine interne, tenu à Bordeaux, 8-13 août 1895. (2) Dans une
observation
de Tebaldo Falcone rapportée par Lourier, il est
es remarques de Hi- gier, le cas mémorable de Milroy et nos propres
observations
, il nous semble qu'il est permis de croire, d'o
être comparable à celle des autres maladies infectieuses. Dans les
observations
de tropllaedéme chronique, la fièvre typhoïde s
du tropboedème prête encore à quelques remarques : Dans toutes nos
observations
, l'affection a commencé, ponctuellement, (1) Vo
nnus et de la répartition même du tissu cellulaire. Avec les seules
observations
que nous avons signalées, on peut voir déjà la
rophies a été indiquée par M. Brissaud. Voy. à ce sujet une récente
observation
de CROCQ, Un cas d'amyotrophie en gant. Journal
l'attention des cliniciens sur cette forme de tic spasmodique, les
observations
de tortico- lis mental se sont multipliées. Cet
ons, en y insistant t nous paraissent légitimer la publication de l'
observation
suivante : OBSERVATION X..., 30 ans, jardinie
ous paraissent légitimer la publication de l'observation suivante :
OBSERVATION
X..., 30 ans, jardinier. Antécédents hérédita
encie des cas types de M. Brissaud. mais vous avons trouvé d'autres
observations
où l'habitude n'est pour rien dans l'étiologie
e. Réflexes plantaire et rotulien vifs à gauche. ' 490 sabrazès
Observation
. Jean M..., âgé de 60 ans, natif de Bordeaux qu
NT DÉBUTÉ DANS LA SUBSTANCE BLANCHE DE LA RÉGION FRONTALE GAUCHE;
OBSERVATION
ET AUTOPSIE; PAR L. GALA. VIELLE, et H. VILLA
ofesseur Grasset, un malade atteint z d'une tumeur cérébrale dont l'
observation
offre un certain inté- rêt, et mérite, croyons-
X. , 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. nous insisterons dans le cours de l'
observation
. Mais ce n'est que tardivement qu'il a envahi l
ue sur les carac- tères cliniques que nous insisterons, soit dans l'
observation
elle-même que nous allons rapporter maintenant,
le fragment examiné. Telle est, rapportée dans tous ses détails, l'
observation
qui fait la base de ce travail. Nous allons mai
suffisamment insisté sur cette étude sympathique dans le cours de l'
observation
, aussi nous n'y revenons pas. a. Les caractèr
rire ceux que nous avons employés et à fournir les résultats de nos
observations
. Nous savons que l'accès paroxystique est génér
illigrammes. Nous l'em- ployâmes en 1880-1881 et voici les quelques
observations
elle tableau comparatif des accès chez les même
ui attire surtout notre attention dans tous ces relevés et dans ces
observations
, c'est ce fait : chaque fois que l'on change un
supprimer seulement sans le remplacer. Mais dans la majorité de nos
observations
la picrotoxine n'a paru amener aucune améliorat
ouler dans un état de conscience plus ou moins parfait. E. B. IV.
Observations
SUR LES délires associés ET LES transformations
us diverses d'aliénation donnent à l'auteur l'occasion de citer des
observations
de délires combinés : paralysie générale, alcoo
lecq. (Annales médico-psychologiques, janv. 1894.) L'intéressante
observation
relatée par l'auteur présente plusieurs particu
es relations-avec les troubles intellectuels. Voici par exemple une
observation
de ce genre concernant trois frères présentant
c celle-là. - - P. IER.1VAL. VIII. Nouvel examen DU malade DONT l'
observation
A SERVI de base A . LA THÉORIE DE L'LPELAGE POU
cou- ches sur la marche d'une psychose chronique antérieure. Cinq
observations
dont deux de folie systématique (avec et sans hal
ostic des psychoses chro- niques, quant aux symptômes psychiques. L'
observation
A montre que les allures de la mère aliénée peu
ssible dans une maison d'aliénés. 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
Observation
D. Pendant un congé une femme a pu accoucher ou
emmes. Et l'hérédité ! 2. Un cas de folie à deux. - Ou plutôt belle
observation
de folie à trois (trois soeurs). Tare héréditai
automatique; chez la seconde, y a division de la personnalité. - 5.
Observation
de folie obsédante. 6. Observation de délire du
ision de la personnalité. - 5. Observation de folie obsédante. 6.
Observation
de délire du toucher dans le cours d'une confu-
session véritable d'une idée délirante. Il est évident que bien des
observations
d'obsessions présentées par les Français témoig
oliques; par N. OSTERllAYER. (Allg. Zeitsch. f. Psych., L, 3, 4.)
Observation
. Tandis que le tremblement généralisé ordinaire
hosexuelle anormale, en tout cas congénitale. Voici vingt nouvelles
observations
confirmatives. P. K. XIII. DE la TENEUR DU sa
re capillaire de Schmalz. 138 malades (104 hommes, 24 femmes). Cinq
observations
dans le texte. Conclusions. 1° L'agitation ps
aliénés; par ROLLER. (Allg. Zeistch. /. - Psychiat., L, 3, 4.) 10
Observation
de folie à deux. Deux soeurs, dont l'une est un
rapprochée. Mainls per- vertis sexuels adorent chiens et chats {une
observation
). Il n'eu est plus de même de la zooérastie qui
t avec des animaux, généralement faute de mieux. Voici maintenant l'
observation
d'un homme qui éprouve la jouissance génésique
ES troubles mentaux; par F. JOLLY. (Archiv. f. Psychiat., XXV, 3)
Observation
I. Hystérique, atteinte de délire systématique,
é hypnotisée que dans son imagination (concep- tions délirantes).
Observation
II. Hystérique atteinte d'hypocondrie en rapport
ystérique latente et voilàqu'apparaissent des attaques convulsives (
observations
) ou des syndromes de folie aiguë (observations
ttaques convulsives (observations) ou des syndromes de folie aiguë (
observations
L'auteur discute enfin l'utilité ou la nocuité
, qu'après tout, il ne faut pas encourir le reproche de prendre des
observations
intéressantes mais auxquelles il manque avant t
ornes antérieures à la région dorsale. M. Joifroy possède plusieurs
observations
analogues, ce qui l'aulorise à poser les conclu
es aiguës de leur affection. Krafft-Ebing a fait voir, par la seule
observation
clinique, que chez les fous périodiques la maladi
rigine périphérique de la lésion pathogénetique. P. K. II. NOUVELLE
observation
d'alexie avec hémianopsie homonyme DU côté DROI
itée, mais d'une lésion des plus complexes. L'auteur en rapproche l'
observation
qu'il a publiée en 1888 f,Nezcrolog. Centralbl.
ncrets : 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Voici tout au moins une
observation
à marche' extrêmement rapide (six semaines) en
aux. 1V021U. Iconographie de la Salpêtl'iè1-e, 1894, n° 2.) Cette
observation
de M. Lamy est intéressante surtout parce qu'el
le la réaction de dégénérescence. Il y a surtout à retenir de cette
observation
: le début de la maladie seulement à l'âge de q
Souques. (Nouvelle Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1894, n° 3.)
Observation
. Homme, vingt-sept ans, tare héréditaire légère,
ec les altéra- tions de leur contractilité. .. L'intérêt de cette
observation
réside dans l'attitude vicieuse extraordinairem
ctricité d'une façon anormale. ' 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
Observation
. Femme, vingt-sept ans à l'époque de l'examen.
été le point de départ continue à évoluer dans les muscles. Dans l'
observation
qui précède, les lésions ner- veuses, au lieu d
nne des preuves cliniques, en présentant plusieurs malades dont les
observations
corroborent sa proposition. Mais d'autres myé-
. CHARCOT. (Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 4.) Première
observation
. Femme, cinquante-quatre ans, sans tare hérédit
nal. Pas de douleurs en dehors des douleurs fulgurantes. ' Deuxième
observation
. Femme, quarante-cinq ans, tare héré- ditaire,
assiques, les membres inférieurs sont éléphantiasiques. Troisième
observation
. Homme, quarante-six ans, hérédité névropathiqu
es types et aussi difficulté parfois du diagnos- tic. Exemple : .
Observation
. Monoplégie brachiale droite. Dissociation de la
rgicale de l'affection nerveuse causale.. Viennent d'abord quelques
observations
de traumatisme au début de l'affection nerveuse
ar M. A. Souques. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1895, n° 1.)
Observation
. - Homme, vingt-quatre ans, très fortement musclé
semble être un des éléments étiulogiques de l'affection. Première
observation
. L'enfant, un petit garçon, a quatre ans actuel
otassium 30 à 50 centigrammes par jour. Amélioration. ' -Deuxième
observation
. Le père syphilitique est en outre por- teur d'
de la troisième paire et du pédoncule cérébral d'un même côté. Deux
observations
. Première observation. Femme, vingt-sept ans. I
du pédoncule cérébral d'un même côté. Deux observations. Première
observation
. Femme, vingt-sept ans. II y a deux ans céphalé
résultat. 11 est pro- bable qu'il s'agit de tuberculose. Deuxième
observation
. - Homme, vingt et un ans. Hémiphégie com- plèt
ntourées d'une pro- fusion de documents, d'analyses de travaux et d'
observations
, les idées si fréquemment émises par le maître,
oit dans un excès de délire transitoire de nature hystérique. Cette
observation
tend toutefois à démontrer que la grande névros
a fille C... fut mise en liberté. Les développements étendus de l'
observation
précédente permettront au lecteur de se faire u
u'il fait entendre, le plus souvent la la la. Nous basant sur cette
observation
, il nous est souvent arrivé de désigner un anim
Appendice. Au moment de terminer ce mémoire, nous devons ajouter l'
observation
suivante que le hasard nous a fournie et qui vi
E L'ENCÉ- PHALE; par M. KOEPPEN. (drchiv. f. Psychiat., XXVI, 1.)
Observation
I. Troubles de la parole. Attaques congestives;
i est la cause de la maladie de Parkinson. L'auteur en possède sept
observations
dont deux dans ce mémoire. On constatait ce qui
Il convient d'en rapprocher les altérations séniles de la moelle (
observation
), car alors c'est à ces altérations qu'on peut ra
cérébrales; par C. MAYER. (Jahrbuch. f. Psychiat., Yll, 3.) Deux
observations
de tumeurs cérébrales avec absences partielles
nte des cordons postérieurs qui paraît plutôt purement fortuite :
Observation
I. Gliôme du volume d'un oeuf de poule implanté
d'entrée radiculaire de la moelle lombaire et dorsale inférieure.
Observation
II. Endothéliome; gros comme une petite pomme o
bre dans la cavité cotyloïde. Or, les fesses sont en relâchement, l'
observation
le démontre; les muscles fessiers n'intervienne
s atteints d'infantilisme ou de féminisme. Et l'auteur donne deux
observations
détaillées, l'une d'infanti- lisme, l'autre de
vague et glosso-pharyngien. - Il tire ses arguments de plusieurs
observations
de paralysie bul- baire et delà section expérim
des expériences sur les animaux d'une part, cor- roborées par cinq
observations
cliniques suivies d'examen histo- logiques comp
is. 8° Epilepsie psychique. Dans ce paragraphe, l'auteur donne "l'
observation
résumée de quatre cas intéressants, deux cas d'ép
un cas d'agoraphophie vulgaire, et le seul point remar- quable de l'
observation
est l'absence de toute hérédité névropa- thique
dans une région donnée ; 3° dans les comtés où Tailleur a fait ses
observations
(comtés de Cumberland et deWest- morland), la m
ommuns : l'auteur en a rassemblé sept cas nouveaux dont il publie l'
observation
en l'accompagnant de quelques commentaires inté
lques commentaires intéressants que nous résumons brièvement. Les
observations
dont il s'agit viennent presque toutes à l'appui
personnels ou héréditaires. L'auteur termine son tra- vail par une
observation
typique d'inversion sexuelle chez la femme. (Th
GIE MENTALE. 165 sion de toute boisson alcoolique. L'intérêt de ces
observations
réside moins dans les détails d'ordre banal, de
observations réside moins dans les détails d'ordre banal, de chaque
observation
prise à part, que dans la coïncidence peu ordin
oliques. (American journal of insanity, avril 1895.) E. B. XXXVI.
Observation
d'hébéphrénie ; par le D LANE. En une période d
F. (Arhiv. Psychiatrii, 1894, t. XXIV, n° 2.) L'auteur cite trois
observations
dans lesquelles le diagnostic porté a été : « d
pour cela des phobies pendant les attaques d'asystolie. Il cite une
observation
à l'appui de cette opinion. - Aussi, en présenc
omiques et qui m'a communiqué les résultats de l'examen clinique.
Observation
. Mm. P..., vingt-six ans, sans profession, entre
des syndromes épisodiques, comme l'ont prouvé il y a longtemps les
observations
deM. Magnan (folie du doute à soixante-cinqans,
n faible, d'où netteté moins grande du tableau clinique. Les deux
observations
que nous rapporterons ici et que nous avons rec
la thèse récente de notre col- lègue, M. Pécharman (1893). Ces deux
observations
sont à rapprocher l'une de l'autre à certains p
e différent mais non moins caractéristique, le délire d'em- blée.
Observation
II. - Femme de quatre-vingt-un an, superstitieuse
emble-t-il, pour affirmer l'étiologie que nous invoquons dans cette
observation
comme dans la précédente ; et ces faits, par le
r ce mot que nous conclurons en insistant sur ce fait que, dans les
observations
précédentes, on trouve une preuve nouvelle de c
qu'il s'empresserait d'apporter aux magistrats le témoignage de son
observation
et deviendrait ainsi un auxiliaire précieux de
let et prompt rétablisse- ment. M. VERGELY (de Bordeaux) cite six
observations
personnelles de mélancolie tardive chez des vie
suivis de guérison. M. CuLLKRBE(de la Roche-sur-Yon) communique une
observation
de délire ambitieux systématisé primitif chez u
physionomie de l'état mental du malade dont M. Cullerre rapporte l'
observation
; l'excitation en est un élément capital et éta
e ! n'a pas manqué de le faire remarquer. M. Régis communique une
observation
de psychose sénile chez un aveugle à hallucinat
CIÉTÉS SAVANTES. 22o M. CHRISTIAN tire ensuite d'une longue série d'
observations
de psychoses séniles des déductions intéressant
: c'est juste à la hauteur du tubercule acoustique. Ce sont là des
observations
physiologiques de haute portée que la clinique
treles altérations de la glande thyroïde etlamaladiede Basedow. Les
observations
de M. Renaut cadrent avec cette opinion. MM. Ba
dème ne saurait convenir au goitre exophtal- mique, malgré quelques
observations
de M. Jules Voisin qui paraissent favorables à
nsuffisante du corps thyroïde malade. M. Poxs (de Bordeaux) lit une
observation
relative à une femme atteinte de maladie de Bas
si controversé. Il me sera permis de remar- quer, toutefois, que l'
observation
qui précède est peu favorable à l'hypothèse d'u
ie grave. Quelques points méritent encore d'être relevés dans cette
observation
. Les rapports entre la température, le pouls et
mportance en médecine légale ? M. Trenel (de Vannes) communique une
observation
de paralysie généraleavec maladie de Basedow et
6 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' M. MADiLLE(de la Rochelle) apporte une
observation
de maladie de Graves guérie à la suite d'une gr
is en excès et en défaut. M. GLEY, à ce propos, vient confirmer les
observations
cliniques de M. Babinski par des faits d'expéri
rente de celle des épileptiques. Tout récemment, on a publié des
observations
d'accès de vagabondage chez des individus atteint
rescence mentale. M. Voisin rapporte à l'appui de cette opinion une
observation
d'une malade ayant parfois souvenir des actes q
faits sur la question, rapporte, sous une forme humoristique, deux
observations
de fugues d'hystérique et d'épileptique. SOCI
e l'acte délictuel incriminé. L'auteur cite à ce propos une série d'
observations
dans lesquelles des épi- leptiques incontestés
trop fermés à l'intervention médicale. M. P. Garnier, à propos des
observations
communiquées par M. Vallon, insite sur la néces
empérature. Il va de soi qu'il ne faut pas se contenter d'une seule
observation
. -..., (l3ouRNEVlLLE,) 248 SOCIÉTÉS SAVANTES.
olent de l'attention du malade. C'est la première fois qu'une telle
observation
est signalée, aussi la communication de M. Tiss
ne s'agit là que d'une illusion volitive. M. Régis, à propos de l'
observation
précédente où le malade a pu refréner ses attaq
ont été étudiés dans la thèse de Tissier en 1886, où l'on trouve l'
observation
d'un hystérique, bien connu (D...), qui à l'éta
M. Auguste Voisin porta devant la Société médico-psychologique, des
observations
d'aliénés traités et même guéris sous l'influen
L'auteur fait une étude du délire hallucinatoire basée sur quarante
observations
de malades guéris. Il a éliminé les cas d'origi
mais encore à sa forme, qu'elle appartenait à un hydrocéphale. Une
observation
plus attentive a confirmé cette première pensée
uc- lion d'un pâté de maisons contenant le quartier des femmes en
observation
. On suppose que le feu a pris dans un tuyau de ch
n et les bienveillants encouragements qu'il nous a prodigués. Les
observations
qui suivent, et celles que nous rappelons, mon-
ons plus particulièrement de ce qui a trait à la moelle épinière.
Observation
I. - Paralysie générale, symptômes tabétiformes,
crivent par leur juxtaposition, une série de petites logettes fusi-
Observation
I. Coupe de la région dorsale supérieure ; méning
infiltration embryonnaire de la paroi qui a été surprise, en voie
Observation
I. COUPE DE la région dorsale SUPÉRIEURE, méninge
ningite est exactement comparable à celle qui sera décrite dans les
observations
sui- vantes ; il est difficile de savoir si ell
érieurs donnent au cas actuel une ressem- blance frappante avec une
observation
publiée par notre maître M. le professeur Raymo
définitive, n'est pas un des points les moins intéressants de cette
observation
; elle ne change d'ailleurs rien à l'interprétat
alysie générale, bien que sa nature soit totalement différente. L'
observation
est à peu près muette sur les symptômes qui ont
de la mort, laissant seulement une hyperhémie diffuse du cerveau.
Observation
II. - Tabes ; traces de méningo-encéphalite; méni
le malade, né d'un père ataxique, a constamment nié la syphilis.
Observation
III. Tabès; méningo-myélite diffuse. - Wei... J
e que le cor- don de Goll, a des limites moins tranchées que dans l'
observation
précédente. Les c"mes postérieures sont relat
quatrième ventricule sont également lésés, mais moins que dans l'
observation
précédente. Les granulations épendymaires sont as
is des veines font de ce cas la répétition exacte du précédent. .
Observation
IV. Tabès; paralysie générale; méningo-myélite
le 2 avril 1891, salle Boulay, n° 13, mort le 8 avril 1892. Cette
observation
a été publiée dans tous ses détails par notre m
aississement; il existe déjà des cellules-araignées. "' Pirl. 13.
Observation
1V. - COUI>E au niveau de la quatrième DOR-
myélite dansile faiscean latéral. - Procédé cl'doulrr. Fig. 14.
Observation
IV. - Coupe vsaTco- transversale de la même pla
cédé d'Azoll- la ! }. ÉTUDE SUR LA MENINGO-MYÉLITE. 297 I Cette
observation
nous montre, outre les lésions diffuses signalé
signalées plus haut, une complication anatomique que rien dans l'
observation
ne laissait prévoir. La plaque de myélite, qui
ture ? En tout cas, il est certain qu'elle tait partie . Fig. IJ.
Observation
IV. - COI PC l'R.1\ : \GRS1LC de la même plaque d
le n'avait pas évolué sur un malade déjà confiné au lit. Les quatre
observations
qui viennent d'être rapportées ne forment pas,
. Si l'on rapproche dé ces faits la petite plaque de myélite de l'
observation
IV, que l'absence d'antécédents connus nous em-
ment à la syphilis ; si, d'autre 'part, on se rappelle que dans nos
observations
le maximum des lésions diffuses répond toujours
as trop compter sur la clinique pour nous aider sur ce point, car l'
observation
I, à défaut d'autres, nous montre combien ces s
facile de concevoir qu'une plaque de myélite, telle que celle de l'
observation
IV, peut, si elle est bien placée ÉTUDE SUR LA.
t égard nous ne saurions mieux faire que de renvoyer le lecteur à l'
observation
de myélite vasculaire diffuse que M. Raymond a
s d'acromégalie ; par le Dr BRISSAUD. (Revue neurologique, 1893.)
Observation
d'un cas d'acromégalie conforme au type de la des
LT et A. CHIPAULT. (Revue neurologique, juillet 1894.) . Les deux
observations
publiées dans ce mémoire sont des exemples très
le fragment externe, lors des mouvements du bras. Dans la première
observation
, il s'agissait de lésion immédiate par esquille
e, août 189r.) z L'auteur eut l'occasion de recueillir en 1886 deux
observations
dans lesquelles des ictus apoplectiques suivis
ccidents cérébraux qui ont entraîné la mort de son malade. . Si les
observations
d'hémiplégies co-blennorrhagiques venaient à se
r le Dr TARGOWLA. (Revue neurologique, août 1894.) L'intéressante
observation
publiée par l'auteur est un cas de polynévrite
e réservé. En effet, dans le cas de M. Targowla comme dans les deux
observations
de polynévrite à rechutes citées par Eichhorst,
riques la localisation effective (anatomique) manque. - Voici une
observation
caractérisée par l'absence totale d'aphasie : l
d'un pois dans le segment postérieur de l'insula. Voici une autre
observation
. Une lésion destructive occupe le lobe temporal
articulation dont les nerfs sont déjà en état de dégénérescence. L'
observation
de faits récents l'a conduit simplement à reprodu
.-A. `VESSINGER. (The New-York Médical Journal, 28 juillet 1894.)
Observation
d'un cas de myxoedème datant de cinq ans et sur-
obtenue dans un délai de six semaines. L'auteur a fait suivre cette
observation
d'un résumé historique du traitement du myxoedè
lexander- B. JoHNSON. (The New-York Médical humai, 5 mai 1894.) L'
observation
de ce cas intéressant peut se résumer ainsi : H
ittérature médicale n'en renferme qu'un petit nombre de cas. De l'
observation
intéressante qu'il en a recueillie et des quelque
n systéma- tique. (Revue neurologique, janvier 1895.) E. B. XXXV.
Observation
D'UN cas DE dualité cérébrale ; . par Lewis BRU
a mélancolie chez les syphilitiques. Ce travail est basé sur quatre
observations
. Les malades ont pré- senté de la mélancolie, s
nfantine dans la parole, les gestes, la démarche, etc. Ces quatre
observations
se complètent les unes les autres et for- ment
tactile. M. le professeur RoTa (de Moscou). Je tiens à faire deux
observations
au sujet de la communication intéressante de M. M
lés avant-hier par M. Bourneville. En rapprochant ces deux cas de l'
observation
de maladie de Base- dow traitée de la même faço
de Paris). Sur un cas de démence juvénile avec athétose double. Les
observations
relatives à l'athétose sont encore peu nombreus
rent de la première communication de Hammond et le nombre total des
observations
publiées atteint à peine deux cents. Peut-être,
en effet. D'ailleurs, dans la plupart des 330 sociétés savantes.
observations
il s'agit de l'hémiathétose consécutive généralem
ille t et Pillet en ont publié deux exemples très frappants. Dans l'
observation
qui suit, l'athétose double s'est manifestée ch
un individu atteint de démence précoce, à l'âge de quatorze ans.
Observation
. - Il s'agit d'un jeune homme R..., âgé actuellem
et il n'a aucune conscience de sa situation. 1 Une dizaine de nos
observations
ont été publiées dans les thèses de nos amis Ou
, le Dr Pailhas communique deux faits de ce genre, dont la longue
observation
comprenant de multiples expertises médico-légales
re d'asso- ciation de la paralysie générale et de l'hystérie. Cette
observation
' est intéressante à ce titre : il faut être tr
sur les cas anciens qui pourraient être suspects, il publiera cinq
observations
recueillies à la Clinique de la Salpêtrière don
une salle-lavabo. Chaque malade nouvellement admis devait rester en
observation
dans ce quartier spécial, au moins durant quelq
ut différent : il y a des pavillons de surveillance, d'admission, d'
observation
, deux pavillons d'agités, un pavillon d'infirmeri
ns la tétanie; par A. Hoche. (Neurolog. CeaztraL6l., Xllt, 1894.)
Observation
de tétanie grave; jusqu'à trois accès de contract
ce point d'histoire que l'auteur présente une série de vingt-trois
observations
personnelles. La cou- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 3
s. La cou- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 379 clusion qui découle de ces
observations
, c'est que le chloralose, en dehors même des ac
Y et HOI3HOLT. (Occidental Médical Times; mars et avril 1894.) I.
Observation
d'épilepsie idiopathique - datant de l'enfance ch
is mois après elle n'avait encore eu aucune nouvelle attaque. II.
Observation
d'épilepsie procursive type à propos de laquelle
ar le résultat négatif des autopsies. Goldflam, 1893, par plusieurs
observations
donne la description de cette entité symptomati
du système nerveux central ou périphérique. Pineles donne quatre
observations
nouvelles prises à la clinique de la faculté de
notable pendant six mois suivie de récidive. De même que dans les
observations
d'Erb les attaques dyspnéiques apparurent subitem
parurent subitement au milieu d'un bien-être 1 elatif. La troisième
observation
de Pineles se rapporte à une malade de vingt-se
e dévelop- pement cérébral, affection spinale semblable à celle des
observations
de Minkowsky ou de Strumpell (paralysie spinale
New-York Médical journal, 20 janvier 1894.) , L'auteur rapporte l'
observation
de quatre cas intéressants et présentant entre
ar C.-II. maya. (The 11-eIO-ï'orlc Médical journal, 7 août 1894.) L'
observation
peut se résumer ainsi : Une enfant de onze ans es
i a suivi la trépanation sont très indistincts. R. M. C. XXXVIII.
Observations
SUR LE développement IIISTOLOGIQUE DE l'écorce
il déterminerait peu à peu l'altération et l'atrophie ? Les deux
observations
relatées par l'auteur paraissent en faveur de c
rtères. (Amer. joum. of insanity, janv. 1895.) E. B. XLUI. QUELQUES
observations
SUR la préparation DU cerveau; par la MÉTHODE D
uche. 398 REVUE d'anatomie ET DE physiologie PATHOLOGIQUES. Cette
observation
, rapprochée de celles de Ferrier et des études
ésions des cordons posté- rieurs confirme les vues de Flechsig (dix
observations
). Les fibres de la zone radiculaire moyenne de
ès bien faite qui amène l'auteur à cette conclu- sion : D'après les
observations
on peut voir qu'après une section totale transv
e Bostian étant peut-être la plus plausible. Un plus grand nombre d'
observations
sont nécessaires sur cette question, qui touche
r maintien, malgré eux, ne devrait pas être autorisé. Une période d'
observation
de quinze jours suffit pour dé- cider si le mal
auteur donne sur ce sujet une statistique documentée; il rappelle l'
observation
de Lusche sur la fréquence plus considérable, e
ffaiblissement intellectuel. Discussion : M. Pelman considère ces
observations
comme fort intéressantes, moins par la nature d
ien que peu actives. M. Flûgge laisse ces cas de côté et donne deux
observations
qui présentent l'ensemble symptomatique décrit
tuels. M. Giroudon développe cette idée et apporte quelques faits d'
observation
à son appui ; mais il 426 BIBLIOGRAPHIE. limi
ez les faibles d'esprit. M. P. Sérieux a fourni à l'auteur quelques
observations
intéres- santes de son mémoire encore inédit.
M. le professeur Pierret, l'auteur a fait une étude, basée sur sept
observations
, des troubles de lasécré- tion urinaire chez le
x chez un groupe d'aliénés, les mélancoliques. En effet, toutes les
observations
apportées par M. Toy intéressent cette maladie.
iers à un étage, plus nombreux puisqu'il comprend l'in- firmerie, l'
observation
, les tranquilles, les semi-tranquilles ou semi-
pour les femmes de 11,8 p. 100 (55 sur 466). Reste le quartier d'
observation
. Et tout d'abord quels sont les malades à y met
néanmoins ce caractère commun d'être des tranquilles. Le quartier d'
observation
est destiné à recevoir les arrivants paisibles,
es peuvent prêter à contestation. Un second groupe de ce quartier d'
observation
sera constitué par les ma- lades qui demandent
tions criminelles. A Ville-Evrard où nous n'avons pas de quartier d'
observation
, je suis obligé de placer ces deux catégories d
tranquilles où ils ne. sont pas à leur place. Enfin le quartier d'
observation
recevra aussi les suicidiques. Dans beaucoup d'
rie ; il en est ainsi à Ville- Evrard où il n'y a pas de quartier d'
observation
, comme nous venons de le dire et partout où exi
vis-à-vis de ceux-là que vis-à-vis de ceux-ci. Dans le quartier d'
observation
il n'y aura que des dortoirs et au premier étag
. 29 450 thérapeutique 111ÉDICO-PÉDAGOGIQUE. rie et au quartier d'
observation
; un par 15 aux semi-agités et un par 20 aux tra
d'un serviteur par '10 aux gâteux, à l'infirmerie et au quartier d'
observation
, ainsi que celle d'un par 15 aux semi-agités es
ongé avec ses parents le 1er juil- let. Au bout de quelques jours d'
observation
et de promenades en ville, ils la trouvent très
nces histotogiques ou de pathologie expérimentale, et aussi sur les
observations
anatomo-cliniques et les lésions de l'écorce cé
toire, même quand il est de courte durée, non seulement parce que l'
observation
clinique attentive montre toujours la préexiste
ranoïa avec impuissance psychique ; par le Dr IIUGaES. Intéressante
observation
d'un malheureux persécuté à qui «des ennemis my
as DE psychose polynévritique; par le Dr P. SOLLIER. - Intéressante
observation
du syndrome clinique décrit par Kor- sakoff sou
e des hébéphréniques, .parmi lesquels se recru- taient les dix-sept
observations
relatées dans une première publi- cation, d'où
ditaire; par G. Fornario. (Annali di nevrologia, fasc. VI, 1894.)
Observations
d'ataxie héréditaire chez trois individus d'une m
taire chez trois individus d'une même famille. La discussion de ces
observations
amène l'auteur à conclure qu'il n'est pas possi
un cas de ce genre (Allg. Zeilsch. f. Psychitit., t. XLIX). Dans l'
observation
qu'il commu- nique actuellement il s'agit d'un
CE. - Breslau, 24 nOI'em ? 'e 1891.. M. Petersen (de Brieg) donne l'
observation
du malade qui a récemment commis sur lui un att
mmise par ce dernier à la suite d'une longue prémé- ditation. Cette
observation
met en évidence combien sont dange- .reux les a
s à l'aide des méthodes d'examen modernes. M. Sacns (de Breslau).
Observation
de ramollissement dans les deux hémisphères. -
o- physiologie); ils ont traduit graphiquement le résultat de ces
observations
au moyen de courbes dessinées sur des planches,
) veux. Il n'en était pas de même à l'asile où M. Cramer a fait ses
observations
. Quoi qu'il en soit, le signe de Biernacki n'es
ramollissement existaient dans le ce; veau. Ce cas montre comme les
observations
rapportées par Thomsen, Eisenlohr et Boedeker que
phtalmique par l'élec- tricité par Régnier, 339. IIÉBÉPI113É';IE.
Observation
il ? par Lane, 165. Hémianopsie. Méthode simp
ultats que nous avons obtenus pour chaque malade. Manie simple.
Observation
I. Mm° S..., quarante-sept ans, à l'asile depui
er, gamba- der, etc. DE L'ACÉTOPHÉNONE EN ALIÉNATION MENTALE. 9
Observation
II. Mue F ? vingt-trois ans, à l'asile depuis q
s chants et les-cris avaient repris avec leur première intensité.
Observation
III. - M. A... (Joseph), vingt-un ans, à l'asile
bine tombe de 12 gr. p. 100 à 10,5 p. 100, dans ce laps de temps.
Observation
IV. A4"d Est..., vingt-cinq ans, à l'asile depu
s se levaient, parlaient à haute voix, etc., et cela sans qu'aucune
observation
puisse les retenir, sous l'influence du médicam
s mêmes malades restent dans leur lit, parlent à voix basse, et les
observations
ont plus de prise sur eux. Démence simple con
t plus de prise sur eux. Démence simple consécutive à la manie.
Observation
V. Mmo L..., cinquante-huit alls, à l'asile dep
nis- tration du médicament. Pas de variations dans l'hémoglobine.
Observation
VI. MmoT..., cinquante-neuf ans, à l'asile depu
moment de la prise; pas'de sommeil, pas d'apaisement musculaire.
OBSERVATION
VII. Mme B..., cinquante-deux ans, à l'asile de
ante, mais pas de sommeil. ' L'hémoglobine a chuté de 2,7 p. 100.
Observation
VIII. Mmo Pi.... trente-sept ans, à l'asile dep
s cris, plus de crachotement. Pas de variations de l'hémoglobine.
Observation
IX. M. B..., cinquante-trois ans, à l'asile dep
ité moindre. De la tendance à la somnolence, mais pas de sommeil.
Observation
X. M"" Gal..., soixante-trois ans, à l'asile de
aise- ment marqué des cris et du tapage. Nous retrouvons dans les
observations
qui précè- dent des résultats semblables à ceux
nquer (OBs. VI). 12 thérapeutique. Illusions et hallucinations.
Observation
XI. - 1T. Dup... Démence avec illusions viscé-
upprimé le parlottage peu à peu, mais n'a pas procuré le sommeil.
Observation
XII. M"" A..., quarante-quatre ans, à l'asile d
reviendrons plus loin sur ce fait. Epilepsie. Nous n'avons qu'une
observation
d'agitation avec insomnie liée à des attaques d
3 H nu par l'emploi combiné du chloral et de la digitale. Voici l'
observation
: Observation XIII. M. Pal..., soixante-dix ans
mploi combiné du chloral et de la digitale. Voici l'observation :
Observation
XIII. M. Pal..., soixante-dix ans, à l'asile de
'agitation, et ne procure pas le sommeil. Démence par alcoolisme.
Observation
XIV.M"" B..., chiffonnière. Démence simple par
, parce qu'il se produisait des troubles marqués de la nutrition.
Observation
XV. M. M..., quarante ans, scieur de long, à l'
pas de som- meil. L'hémoglobine a chuté de 12,45 à 10,40 p. 100.
Observation
XVI. M. Ch... (Albert), trente-quatre ans, à l'
à cause des troubles nutritifs pro- duits. Démence paralytique.
Observation
XVII. M"e N... (Pélagie), âgée de trente-huit a
hémo- globine baisse pendant ce temps de 13 p. 100 à 11,5 p. 100.
Observation
XVIII. M"° P..., trente-cinq ans, à l'asile dep
malade n'a plus que peu crié; aucune influence sur le sommeil. '
Observation
XIX. - M. B..., trente-neuf ans, à l'asile depu
ns le véhicule ordinaire. Pas de sommeil; monolo- gues habituels.
Observation
XX. M"" Mar..., quarante-quatre ans, à l'asile
êmes cris aigus, mêmes tentatives pour s'habiller, même insomnie.
Observation
XXI. Mlle A... (Virginie), vingt-six ans, à l'a
es monologues dans la nuit, pas d'influence sur le som- meil. Les
observations
qui précèdent démontrent que l'effet hypnotique
les autres formes d'aliénation mentale. Démence par athéromasie.
Observation
XXII. M. Bern... Démence avec agitation continu
usculaire. Si nous envisageons dans leur ensemble les vingt- deux
observations
qui précèdent, nous voyons que sur vingt-deux c
aussi négatifs que nos expériences phy- siologiques. Toutefois, l'
Observation
XII démontre que, dans certains cas, l'acétophé
ique, révélatrice delà dégénérescence psychique, découverts par l'
observation
du sujet, ne fourniront aucune donnée positive
n nombre relativement assez élevé d'impulsifs au feu, six, dont les
observations
servent de base à ce mémoire. En les rapprochan
produire à l'improviste dans un intellect absolument équilibré. Les
observations
rapportées plus loin montreront au contraire ch
t l'occasion la plus favorable, la moins dangereuse. Dans mes six
observations
, les choses se sont passées ainsi. Les dimanche
ù les im- pulsifs au feu cèdent à leur penchant, plusieurs de mes
observations
en témoignent. Il y en a même parmi eux qui n'o
an impulsif au feu a bu. On en trouvera encore la preuve dans mes
observations
. Les liqueurs fortes, chacun le sait, ont la da
29 beaucoup de pyromanes ont assisté à des incendies, deux de nos
observations
sont très nettes à cet égard, et je suis certai
car il ne manque pas de valeur, il se rencontre dans cinq de mes
observations
. L'incendiaire criminel s'empresse de disparaît
lera aussi parfois des convulsions dans l'enfance, comme dans notre
Observation
IV, une névrose comme dans nos Observations III
ance, comme dans notre Observation IV, une névrose comme dans nos
Observations
III et VI, ou l'existence anté- rieure de malad
s je l'ai vue jouer un rôle important. Une première fois dans notre
Observation
I et une seconde fois dans un cas spécial que j
soulage indirectement par des conversations, comme le malade de l'
Observation
IV, ou, d'autres fois, il lui arrivera de dire
uelque temps la pyromanie. Elles se trouvent très marquées dans nos
Observations
III, IV et V et méri- tent d'être recherchées a
nt l'état morbide du patient. Nous en avons des exemples dans nos
observations
. Enfin la pyromanie apparaît souvent quand l'or
et chaque cas est une espèce qui doit être examinée en soi. Les six
observations
suivantes confirmeront, je l'espère, les dévelo
je l'espère, les développements dans lesquels nous sommes entré.
Observation
I. Caractères relatifs aux faits incriminés : inc
lité. Sur ma demande, Mer... fut envoyé à Sainte-Anne et soumis à l'
observation
de M. le D' Ball. Je ne crois pas que Mer... ai
d'appréciation révélés par l'examen indirect et résumés dans notre
observation
ne res- sort-il pas que M. le professeur Bail e
'âge de la puberté et l'empressement à porter secours ont manqué. L'
observation
peut donc être considérée comme une des plus co
servation peut donc être considérée comme une des plus complètes.
Observation
IL Caractères relatifs aux faits incriminés : inc
diait. Une ordonnance de non-lieu fut rendue sur mes conclusions.
Observation
111. Caractères relatifs aux faits incriminés : i
présenta durant la période criminelle du 28 juillet au 19 août.
Observation
IV. Caractères relatifs aux faits incriminés : in
naturel qu'il cherchât à le réparer dans la mesure de ses forces.
Observation
V. -- Caractères relatifs aux faits incriminés :
ssiter le repos. Son passé était excellent. Les caractères de cette
observation
n'étaient pas très nombreux, mais ils m'ont par
gnostic de pyromanie s'imposait dès lors. ' DE LA PYROMANIE. 47
Observation
VI. Caractères relatifs aux faits incriminés : in
liquées et la transformation psychique du caractère signalée dans l'
observation
et l'éclosion de la pyromanie dans un intellect
rds et le. désir de n'être pas soupçonné. Des considérations et des
observations
qui précèdent, je conclurai : I. Il existe un
ERRE Directeur-médecin de l'Asile d'aliénés de la ltoche-sur-Yon.
Observation
. Semi-idiot adulte et bien conformé, ayant vécu
hères sans aucun pli de passage superficiel. Réflexions. - Dans l'
observation
qui précède, quelques points me paraissent dign
finalement la mort des malades. A ce point de vue donc, au moins, l'
observation
précédente pré- sente un côté neuf et digne d'i
un mémoire intitulé : « Hypertrophie du cerveau ». Il s'agit des
observations
II et III de ce travail. En voici le résumé : 1
s cérébrales ne sont ni aplaties ni tassées ». La première de ces
observations
a beaucoup de rapport avec celle qui fait l'obj
l 2 qui décrit les monomanies intellectuelles et rapporte plusieurs
observations
dans lesquelles il insiste surtout sur les idée
1.) II. Recherches anatomo-pathologiques sur l'encéphale humain.
Observation
du mémoire cité suprà (Arch. f. Psych., XIV, 3) '
est en connexion avec l'avant-coin et la pariétale ascendante ( ? )
Observation
du mémoire actuel. Encéphalomulacie des deux lo
rès de Leipzig, M. Richter réservait la ques- tion. Aujourd'hui une
observation
de paralytique général ayant deux ans et demi a
) quelques addi- 92 SOCIÉTÉS SAVANTES. tions y ont été faites : l'
observation
a permis d'y apporter un cou- ronnement, mais e
oniques est, à un point de vue généralisateur, une conception que l'
observation
clinique légitime et qui ne peut être que fécon
paru exister dans une certaine nature. 94 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'
observation
a depuis longtemps prouvé, d'ailleurs, que, dans
ce. M. Jules Voisin. Vom vous rappelez, Messieurs, l'intéressante
observation
qui vous a étéluepar M. Bourru de Rochefort, au s
tinée à porter secours à ceux qui ont des attaques congestives, à l'
observation
des phénomènes mor- bides, à la prophylaxie des
circonspecte, contrôle incessant de l'état du malade, repos au lit,
observation
précise, mise à profit de particularités propre
t passager ou permanent de la dépression. Sans doute il était d'une
observation
exacte et facile à expliquer que l'humeur mélan
fférentiel entre la mélancolie et la folie systématique que par une
observation
prolongée. Le passage de la folie systématique
s années sans que survienne une démence notable ; il en possède une
observation
de cinquante années de durée. (Allg. Zeitsch. f
ies; les unes à lésion classée,1; atrophie musculaire progressive (
observation
) ataxie locomotrice (8 observ.) hémiplégie (3 o
e. Et, en effet, ce sont les travaux de M. Charcot surtout et les
observations
publiées chaque année par M. Bourneville qui ont,
ix et huitans,et n'est pas influencée par la menstruation. Des XXVI
observations
exces- sivement complètes consignées dans son t
le délire des persécutions. Il fait une critique en règle de quatre
observations
dans lesquelles des idées de suicide ont été co
sujets qui n'étaient pas de vrais persécutés; puis il rapporte une
observation
montrant encore qu'un mélancolique peut avoir d
idées de persécution sans être un vrai; persécuté, puis encore deux
observations
éta- blissantquecesmêmes mélancoliques peuvent
reste d'accord comme ci-devant. M. Meilhou rapporte d'ailleurs une
observation
à l'appui de celles de M. Cullerre montrant que
antes du délire de per- sécution. M. M... laisse sans critique deux
observations
de M. Le- grand du Saulle dans lesquelles le dé
ant et après elle, avec le même mari. Après avoir pris toutes ces
observations
et beaucoup d'autres encore avec la plus grande
mir, et elle était restée dans des veilles continuelles. Les autres
observations
sont semblables à celles de la première narrati
La commission ne les a adoptées qu'après le plus mûr examen et l'
observation
attentive des résultats constatés à l'étranger. E
omplets que vous venez d'entendre, je me bornerai à de très courtes
observations
. Je suis d'accord avec la commission sur le pri
la vieille France. J'aborde maintenant le vrai sujet de ces courtes
observations
. Il y a trois points principaux qui caractérise
crit dans le projet de la commission. Mais j'arrive, messieurs, aux
observations
que M. le ministre a apportées à la tribune et
e la maladie de Bright ». Il a également publié un certain nombre d'
observations
intéressantes, parmi les- quelles nous citerons
; c'é- tait le cas des individus dont je rapporterai plus loin l'
observation
et qui; outre qu'ils ne comprenaient pas la par
des faits de surdité verbale publiés jusqu'à ce jour, jointe à l'
observation
personnelle de quelques faits nouveaux, m'a con
r volontairement d'une façon cor- recte. Le plus grand nombre des
observations
de surdité centrale des mots mentionnent, en mê
ibilité de s'exprimer cor- rectement. Je citerai comme exemples : l'
observation
de Wernicke'; celle de Brbadbent' : « ... Le sy
er la main, il tirait invariable- ment la langue... » La première
observation
de Seppili' : « L'imper- fection avec laquelle
st guère plus difficile d'en fournir l'explication. Il résulte de l'
observation
la plus 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. élémentaire
ouïe est intact... Elle lit très facilement l'entête des feuilles d'
observation
, ainsi que les questions que nous lui adressons
t Bernard, loc. ct ? p. 150. - 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. « Cette
observation
, dit M. Charcot', démontre que la surdité verba
voir compris, mais les comprend après les avoir répétés. « Dans une
observation
de Bouillaud 3, le malade par- venait à peine à
nde instante, on le lui permit. On voit donc qu'il s'agit ici d'une
observation
du même genre que les cas de paramyoclonus mult
,ogrès médical, 1886, n0' 8 et 12. Dans une note, M. Marie cite une
observation
de Silvastrini (spaenio clonzco diffuso simmetric
r l'extension et l'intensité des secousses, il prend rang entre les
observations
de Friedreich, de Lôwenfeld, de Remak et de Mar
ie d'un côté et celle de Seeliemüller de l'autre. Ainsi, dans notre
observation
, outre les muscles le plus ordinairement affect
ace, comme dans le cas douteux de Silvastrini ; tandis que dans l'
observation
de Seeli-müller, aussi une grande partie des au
ecousses dans chaque attaque, elle est très variable. Ainsi, dans l'
observation
de Friedreich, au temps du maximum d'excitation
feld en compte de 10 à 140, Remak environ 60, tandis que dans notre
observation
le nombre des secousses monte quelquefois bien
té des secousses isolées n'est pas non plus la même dans toutes les
observations
; ainsi elles n'étaient généralement pas accomp
vements volontaires les supprimaient ou les diminuaient. Dans notre
observation
, au contraire, le mouvement parait ' les favori
au moment où le malade va s'endormir. ' Comme particulier à notre
observation
, il faut remarquer le singulier effet produit p
e brusque flexion dorsale du pied, mais moins que dans les autres
observations
par diverses'autres excitations delà peau, et m
t l'affection à laquelle on serait le plus tenté de rapporter ces
observations
; les rapports que présentent en effet ces affect
comme le veut Remak, être rapportés au paramyoclonus '. Dans notre
observation
, comme dans celle de Friedreich, la frayeur par
Friedreich 45, de Marie 49 ; tous étaient du sexe masculin. Dans l'
observation
douteuse de Silvastrini, il s'agissait d'une fe
ises convulsives, ainsi que le montrent les notes de la colonne des
observations
. En nous appuyant sur tous ces faits, nous somm
le de Brousse (188L» renferme la première 218 S RECUEIL DE FAITS.
observation
parue en France, et constitue une monographie t
osé rapide, qu'il n'existe guère actuellement qu'une cinquantaine d'
observations
. Encore est-il que leur valeur est des plus iné
lyse tous les faits pré- cités, remarque-t-il que la lecture de ces
observations
« fait comprendre que des auteurs comme Bournev
tte maladie une forme fruste de la sclérose en plaques ». Des trois
observations
publiées jusqu'à présent en France, aucune n'es
la sclérose en plaques, seules affections à signes communs. Cette
observation
vient à l'appui de l'opinion exprimée par M. Fé
des pieds en varus équin, signalée par Rudimeyer. En somme, cette
observation
réalise presque, au point de vue clinique, un s
as sur cent cinquante). 11 rapporte cependant dans ce mémoire trois
observations
de Paranoia secondaire développées à la suite d
d des idées de persé- cution et de grandeur) ; sans doute, deux des
observations
témoignent de conceptions hypochondriaques qui
tion, surtout dans le délire des persécutions dont il rapporte deux
observations
. Morselliet Buccola 1 (1883) montrent le dévelo
ande pinéale; par K. PoN- TOPPIDAN (IVeU ? '01. Centrabl., 1885).
Observation
caractérisée par l'existence de mouvements irré
l'acuité vraie, cela indépendamment de l'écarquillement. Nouvelles
observations
confirmatives avec preuves contradic- toires. P
de minutieux détails, M. Engelskjoen répond, quoiqu'il produise des
observations
, à la question par la question. A l'examen prat
résultent simplement d'une affection des nerfs périphériques. Deux
observations
sont relatées, mais elles sont dépourvues d'aut
ôt le chloral aggrave les symptômes pour lesquels on le donne (deux
observations
), tan- tôt il agit,noncomme agent thérapeutique
ouvent les malades dans un état d'apathie et de dépres- sion (trois
observations
), ou jouant le rôle d'un excitant dont le cerve
èdent. Nous avons vu que la malade qui fait le sujet de la première
observation
était atteinte d'une hémiparésie droite. Au dyn
s qui ont guéri à la période des persécutions. M. PICHON lit deux
observations
de persécutés héréditaires deve- nus à leur tou
es psychoses consécutives à un traumatisme grave du crâne. Nouvelle
observation
. Un homme, âgé de cinquante-trois ans à l'époqu
séance, pendant que j'étais à cette tribune, j'ai entendu quelques
observations
critiques parties de bancs voisins de la tribune,
t, messieurs, que ceux de nos honorables collègues qui ont fait ces
observations
voulussent bien rendre à la commission et à son
e l'Assemblée que puissent venir et les objec- tions fondées et les
observations
utiles, les auteurs peuvent être assurés que la
à M. Testelin. M. TESTELIN. Messieurs, je n'ai que quelques courtes
observations
à présenter pour répondre à M. le commissaire d
sans l'examiner sous tous ses aspects. Telles sont, messieurs, les
observations
que je voulais soumettre à l'attention du Sénat
it dû disparaître. , Le Gouvernement a reconnu le bien-fondé de ces
observations
de la commission et a admis, -avec elle, que le
t à ce paragraphe. (Marques d'assentiment.) M. LE Rapporteur. Les
observations
qui viennent d'être portées à la tribune sont t
d'être portées à la tribune sont très justes. En me préoccupant des
observations
présentées par M. de Gavardie, je n'avais plus
a admis dans sa rédaction le paragraphe auquel se rapportent les
observations
de notre collègue, elle se trouvait en présence d
l'article 4 n'est pas réservé en entier, monsieur le président. Les
observations
de M. le ministre n'ont porté que sur cette phr
térieur. Messieurs, je désire répondre quelques mots d'une part à l'
observation
qui a été présentée par M. de Gavardie, et de l
urs intérêts. Voilà, messieurs, les réponses quej'avais à faire aux
observations
de MM. Paris et de Gavardie. (Très bien 1) M.
sieurs, la nouvelle rédaction de l'article 5 peut donner lieu à une
observation
plus générale que celles qui ont été présentées
s'était arrêtée sur ce paragraphe il y aurait trouvé la réponse aux
observations
très justes d'ailleurs qu'il a portées à la tri
c qu'au point de vue de l'harmonie des textes que je présente cette
observation
. M. LE Président. Vous n'avez pas de rédaction
exte n'est pas clair. Si le texte n'est pas clair cela explique les
observations
que je viens de soumettre au Sénat. Mais je veux
térique chez l'homme. Un appendice complète ces Leçons soit par des
observations
, soit par des notes complémentaires, telles, pa
r la méthode suivie, par la clarté de l'exposition, l'abondance des
observations
et la richesse des matériaux d'étude. C'est un
es différentes formes de l'homicide et du suicide est l'objet d'une
observation
très détaillée; mais ce sont surtout les questi
. Auprès de chacune de celles-ci il doit exister une section pour l'
observation
prélimi- naire des malades. De même une section
peut devenir un motif de divorce pour l'autre conjoint quand une
observation
de trois années dans un asile public a permis aux
mps de nombreux accès épileptiques quotidiens à type procursif.
Observation
I. Epilepsie PROCURSIVE. ' Père neurasthénique,
'4 centigr. de nitrate de pilocarpine. ' Cette première partie de l'
observation
a déjà paru sous le titre cl'é- pilepsie pi-oca
fficile de faire réparer une erreur administrative et judiciaire.
Observation
II. Epilepsie PROCURSIVE; EPILEPSIE partielle.
certain nombre d'autres malades atteints d'affections cérébrales.
OBSERVATION
. - Mélancolie avec stupeur à forme caialep- tiq
es, 1S 13. 356 CLINIQUE MENTALE. tions splaéuo-occiilales. (Cette
observation
a été recueillie par 111\I. Besançon et Vignalo
utres. ' Vuy. tome XIII, p. 1 î î. 1. DE LA SURDITE VERBALE 367
Observation
I. Surdité verbale incomplète. Imagination norm
'intelligence assez bornée, surtout celui qui fait l'objet de cette
observation
. Très peu instruit, F. sait à peine lire, non s
agination orale n'est pas atteinte dans la surdité verbale brute.
Observation
II. - Surdité cérébrale partielle. Surdité ver-
verbale brute. Il me paraît aussi intéressant de noter dans cette
observation
la coïncidence d'une surdité corticale par- tie
deux cas de ce genre, dont je n'ai malheureusement pas recueilli l'
observation
; je vais en montrer un nouvel exemple. OBSERV
as recueilli l'observation; je vais en montrer un nouvel exemple.
OBSERVATION
III. Surdité verbale brute. Surdité corticale p
ficulté les renseignements dont j'avais besoin pour compléter son
observation
. Quand on s'exprimait devant lui avec les pré-
e s'ils étaient articulés dans une langue in- connue. C'est par l'
observation
clinique quej'ai été conduit 380 PATHOLOGIE NER
t à défaut de cette preuve irré- cusable, j'ai dû me contenter de l'
observation
clinique et de la physiologie pathologique. En
t rares. Le second point est plus important, car il paraît être d'
observation
à peu près constante, lorsque la paralysie dure
eur la justice qui lui est légitime- ment due. RECUEIL DE FAITS
OBSERVATION
DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE SANS LÉSION
irent de constater l'ab- sence de toute lésion à ce niveau. Cette
observation
présente un certain intérêt par suite du dévelo
cules, et seulement plus tard dans la capsule interne. De nouvelles
observations
sont nécessaires pour trancher la difficulté ;
ielle, des délires émotifs. Angelo-Zuccarelli 2 (1885) rapporte une
observation
^ de Paranoia primitive avec délire des persécut
ente une systématisation des plus marquées.- Or, la comparaison des
observations
de délire chro- nique avec celles de Paranoia d
t rencontrer chez eux la coexistence de deux délires, que seule une
observation
attentive pourra faire distinguer'. ' Voir à ce
par Fuerstner et STUFIILINGFlt (Arch. f. Psych., XVII, I). Quatre
observations
d'encéphalite granulo-tubéreuse étudiées au dou
ns postérieurs, des nerfs opti- ques, des nerfs olfactifs : une des
observations
(Obs. I) témoigne d'un foyer bulbaire en rappor
c'est-à-dire chargées de détritus de la substance blanche. Une des
observations
(Obs. I) montre que la multiplication de la sub
Z UN BUVEUR J par OSW. VIERORI)T. (Arch. f. Psych., XVII, 2.) e
Observation
très bien prise. A la suite de forts excès, doule
e les ob- servations résumées de ces trois intéressants malades :
Observation
1. - Mariage consanguin et dispositions névropa-
x féminine. Les poils d'un blond pâle sont fins et peu abondants.
Observation
II. Père mélancolique suicidé ; oncle et tante ma
aires surtout que les perturbations nutritives se sont produites.
Observation
III. Père ivrogne. Débilité mentale sur laquelle
vec d'autres déséquilibrés. M. LE Secrétaire général communique une
observation
de double paralysie spasmodique infantile qui l
s organes génitaux. - lI. l'. lII01t1· : AU (de Tours), commumque l'
observation
d'une pré- tendue fillette de douze ans qu'il a
quer, qu'on se plaçant uniquement au point de vue anatomique, cette
observation
est comparable aux malades qu'il a présentés da
ique désigné du nom de délire chro- nique. Les mêmes malades dont l'
observation
a été prise en vue de fournir des arguments aux
es ambitieuses », M. Régis, chef de clinique de M. Bail, publiait l'
observation
très complète de ce même malade et le montrait
menacés (troisième période). Que voulez-vous de plus ? Pour nous l'
observation
est concluante; il n'est pas possible, en effet
ge pour notre diagnostic. L'autre malade dont 11. Dagouet invoque l'
observation
est un individu qui, ayant été souillé par un i
n délire n'aura pas évolué. Il ne faut pas cependant croire que les
observations
des déli- rants chroniques n'ayant jamais eu d'
. Hystérie, somnambulisme, vol inconscient. M. Garnier rapporte l'
observation
d'un hystérique qu'il a eu l'occasion d'examiner
eux états et par conséquent irresponsable. M. JOURNIAC communique l'
observation
d'un cas de dégénéres- cence mentale chez une j
d'être proposée par la commission donne satisfaction en partie aux
observations
que j'avais eu l'honneur de soumettre au Sénat
M. LE Président. Vous avez la parole. M. de Marcère. Messieurs, les
observations
qui viennent d'être développées à la tribune pa
f. Charcot a permis de faire entrer dans le domaine des sciences d'
observation
des phénomènes rf- gardés comme à peu près inac
mple au composé, en nous gardant surtout de mélanger les faits, les
observations
les plus disparates. P. KÉRÀVAL. XIX. La moel
ste terrain à explorer. Le mé- moire du Dr Steward repose sur vingt
observations
et autopsies BIBLIOGRAPHIE. 459 d'aliénés com
Steinheil, éditeur. Ce mémoire repose sur l'étude de trente-quatre
observations
de goitre, dont vingt-neuf chez des femmes, et
itre, dont vingt-neuf chez des femmes, et cinq chez des hommes. Ces
observations
comprennent des goitres charnus et des goitres
leur coïncidence avec les symptômes ordinaires de la méningite. Les
observations
rapportées sont pour la plupart muettes au poin
. Ces symptômes avaient déjà été signalés par M. Pitres, dont les
observations
constituent d'ailleurs le fond de ce travail. Mai
M. Charcot smla Goutte asthénique primitive; — 4° de ses mémoires et
observations
sur la Goutte et le rhumatisme chronique ; — 5° d
e s'agissait, en effet, de rien moins que de remanier, à la lumière d'
observations
personnelles, l'histoire de ces affections nombre
r l'on reconnaît bientôt, en suivant cette voie, qu'à aucune époque l'
observation
pure n'est pas parvenue sans de suprêmes ef-forts
ifs des choses que de leur réalité même ; les données empiriques de l'
observation
, à peine acquises, sont rapprochées, éprou-vées l
faut de toute nécessité être guidé par une théorie pour se livrer à l'
observation
d'une manière fruc-tueuse. Mais on peut disting
igoureusement sur les faits, comme aussi l'exis-tence d'une méthode d'
observation
se tenant aussi loin que possible des spéculation
t au hasard, comme à tâtons1 : mais leur rôle, en tant qu'il s'agit d'
observation
1. « Les observations cliniques recueillies de
tons1 : mais leur rôle, en tant qu'il s'agit d'observation 1. « Les
observations
cliniques recueillies de nos jours ne sont supéri
servations cliniques recueillies de nos jours ne sont supérieures aux
observations
qui ont été rassemblées dans les siècles antérieu
s les « ténèbres, et d'enchaîner l'essor de la science. En vain les «
observations
les plus délicates et les plus difficiles se mul-
vue qu'il faut admirer ces médecins voués par principe au culte de l'
observation
pure, parmi les-quels se détache, en première lig
pathologie d'Hippocrate, à quels résultats peut conduire la méthode d'
observation
; les faits qu'elle recueille, les aperçus qu'ell
ournir des données d'un ordre supérieur. S'il existe, en effet, une
observation
surtout analytique et limitée aux faits de détail
, dans laquelle les modernes ont surtout excellé, il existe aussi une
observation
en grand, plus familière peut-être aux anciens, q
et les affections chroniques, qui répond évidemment aux données de l'
observation
clini-que, mais qui ne doit pas être envisagée co
uvent par des transitions insensibles. On a reconnu encore, par des
observations
multipliées, que divers états morbides coexistent
adies constitutionnelles et diathésiques. Cette idée relève donc de l'
observation
pure. L'hypothèse ne commence qu'au moment où, po
e d'une matière morbifique dans le sang. Dans la suite des temps, l'
observation
analytique a succédé à l'observation synthétique,
ng. Dans la suite des temps, l'observation analytique a succédé à l'
observation
synthétique, qui n'a pas été d'ailleurs tou-jours
isent pour nous permettre d'ap-précier les ressources de la méthode d'
observation
appliquée à la médecine, alors même qu'elle se re
e de deux mille ans, nous allons maintenant mettre les résultats de l'
observation
CiiAucoT. Œuv. compl. t. vu. Malad. des Vieilla
intervention légitime de la physio-logie, dans le domaine médical. L'
observation
pathologique d'abord, l'interprétation physiologi
es doit conduire le parallèle que nous avons essayé de tracer entre l'
observation
pure des anciens et la méthode des mo-dernes. 1
yeux les faits cliniques les plus in-téressants, que présente à notre
observation
l'hospice de la Salpêtriôre. Ceux d'entre vous, m
rissable ; j'ai nommé V Atlas d'anatomie pathologique. D'innombrables
observations
, qui ont répandu un jour nou-veau non seulement s
e l'hos-pice du Saint-Esprit, à Nuremberg. Le second est un Recueil d'
observations
cliniques, rédigé par M. le docteur Me/t-tenheime
part de nos fonctions, elle est loin de les paralyser toutes ; et une
observation
rigoureuse nous montre que, sous de certains rapp
ort les idées de Gillette, et nous ajouterons que d'après nos propres
observations
, des douleurs sourdes peuvent aussi coïncider plu
. 320. 2. Requin, t. I, p. 91. decins se sont livrés à ce genre d'
observation
. En 1754, de Haen appelait l'attention de ses élè
chez les vieillards placés sous notre direction dans cet hospice, les
observations
cliniques dont il s'agit ; on s'était généralemen
on. Le quatrième est un cas de mort dans la défervescence. Toutes ces
observations
ont été recueillies à la Salpétrière. Jours. 2
ous sa dépendance les principaux phénomènes qui se présentent à notre
observation
, dans le cours de cette maladie. Nous espérons do
que les anciens appliquaient à la goutte, est fondée en réalité sur l'
observation
clinique ; nous retrouvons dans l'étude rigoure
até des altérations orga-niques ; nous possédons à cet égard quelques
observations
di-gnes de foi. Certains de ces faits se rattache
pileptiformes et mourait dans le coma. Chez un autre malade, dont l'
observation
est rapportée par ïraube, il existait de l'albumi
nerveux peut quelquefois s'ensuivre; Garrod en a rassemblé plusieurs
observations
. Dans les cas de ce genre, l'affection viscéral
orer l'utilité de ce traitement. Mais la science possède huit à dix
observations
dans lesquelles ces accidents se sont terminés pa
l'estomac, et Brinton lui-même vient confirmer ces résultats par des
observations
personnelles ; ce serait là cet état de paralysie
« Le foie est rarement sain dans la goutte, » a dit Scudamore ; et l'
observation
journalière vient démontrer la justesse de cette
fréquente dans la goutte que dans le rhumatisme. Sous ce rapport, une
observation
prolongée, une étude attentive du malade pendant
tte espèce. M. le professeur Laugïer a bien voulu me com-muniquer une
observation
qui démontre la réalité d'une goutte vésicale, in
s, l'interprétation qu'il est permis d'appliquer à quel-ques-unes des
observations
de Scudamore. cours des accès, des crampes doul
vec la goutte chez un seul et même individu. C'est là un fait que les
observations
de Holland, de Garrod et de M. Rayer ont mis comp
qu'ils confondent en une seule (arthritis). Il faut convenir que les
observations
présentées à l'appui de ces opinions laissent sin
révoquée en doute ; et M. le professeur Laugier nous a communiqué une
observation
dans laquelle ce phéno-mène était parfaitement ca
e individu, du moins chez des sujets appartenant à la môme famille. —
Observations
à l'appui. — Conséquences pratiques. — Gravellc
tu. Schmidtmann. Obser., t. Ill, p. 379.) 2. Sp. Wells. — Practical
observations
on Gout, etc. London. 1854, p. 87. 3. Garrod. —
occasion do recueillir nous-même un fait qui confirme entièrement les
observations
de M. Claude Ber-nard. Chez un homme de cinquante
ste un diabète urique ou goutteux ; cette conclusion est conforme aux
observations
antérieures et à la réalité des faits. Mais on po
de Cor-bigny) (2) ou bien un père diabétique avoir un fils goutteux (
observation
personnelle). Nous avons eu l'occasion de voir no
anifester chez la plupart des membres de la même famille. Voici cette
observation
réduite sous forme de tableau : TABLEAU I. Pè
xcès d'acide urique dans le sang. M. le docteur Bail m'a communiqué l'
observation
d'un homme âgé de soixante-quatre ans, qui rendai
s d'abord par l'étude empirique des faits qui nous sont fournis par l'
observation
directe, en dehors de toute préoccupation théoriq
se copiaient les uns les autres, sans se préoccuper de rassembler des
observations
personnelles. Les Arabes, en particulier, ont fai
is soixante ans, sont en si petit nombre ; car, sauf en Angleterre, l'
observation
ne fournit que bien rarement des matériaux pour d
à contrac-ter la goutte ; c'est ce que me semblent démontrer quelques
observations
rapportées par Quarrier (2). Le rhumatisme arti
Falconer, qui a fait la même remarque; Parry, qui dans son recueil d'
observations
, établit que la goutte est fréquente chez les suj
rquable de ce genre et M. le doc-teur Bucquoy vient de recueillir une
observation
presque identique à l'hôpital de la Charité. Il
rapprocher les données de la physiologie de celles que nous fournit l'
observation
clinique. Il ne faut pas d'ailleurs nous flatter
en s'appuyant, il faut le dire, sur le sentiment bien plus que sur l'
observation
; cepen-dant Parkinson, Home et Holland se sont r
paraissent assez bien s'accorder avec les données que nous fournit l'
observation
au point de vue de l'étiologïe de la goutte. Mais
ent que la bière et le vin, ce qui est d'accord avec les données de l'
observation
clinique. 1. Beneke, Nord See Bad.. 1855, p. 85
es auteurs qui ont spécialement étudié cette maladie, ont puisé leurs
observations
dans des établissements analogues à la Salpêtrièr
de M. Trastour et dans la mienne, sur un en-semble de quarante et une
observations
. Depuis cette époque, l'attention étant éveillée
eilli tout récemment, dans le service de M. le professeur Grisolle, l'
observation
d'un homme âgé de vingt-trois ans, quiprésentait
atisme articulaire aigu ; mais j'ai recueilli un assez grand nombre d'
observations
dans les-quelles l'endocardite s'est développée c
ogie, t. IV, 4e série, 1865.) Voici l'analyse de celte intéressante
observation
: Chez une femme âgée de soixante etonze ans, dep
cula-tions déjà malades. On pourrait rapprocher ce fait d'une autre
observation
re-cueillie par M. Martel à l'hôpital Sainte-Eugé
e viens de rapporter se trou-vent donc parfaitement d'accord avec mes
observations
per-sonnelles. En résumé, l'endocardite et la p
ans. Au début, les accès étaient rares et nocturnes : à l'époque de l'
observation
ils étaient tellement rapprochés, tellement confo
Dans le rhumatisme chronique, la cystite est au contraire L Cette
observation
est rappportée dans la thèse de M. le Dr Bail, ma
symétrie est ici la règle, ainsi que l'a fait remarquer Budd ; cette
observation
a été confirmée par Romberg, et j'en ai moi-même
une origine. Il ne faut cependant pas oublier que, d'après quelques
observations
, le rhumatisme articulaire peut créer, par voie d
he de la critique devient difficile lorsqu'il s'agit de contrôler les
observations
recueillies dans des régions loin-taines. Il pa
s de rhumatisme articulaire. J'ai recueilli moi-même une intéressante
observation
decegenre.il existe en ce moment à la Salpêtrière
le rhumatisme d'Heberden, l'hérédité me paraît éta-blie, d'après mes
observations
personnelles : c'est là bien souvent une affectio
ès les époques que nous venons de signaler. Nous possé-dons plusieurs
observations
qui en fournissent la preuve. Ainsi, M. Laborde
t le siège pri-mitif qu'elle doit occuper. Nous possédons plusieurs
observations
dans lesquelles le rhumatisme aigu ou chronique s
ns contester leur utilité, je ferai remarquer qu'il existe bien peu d'
observations
authentiques, propres à établir l'efficacité de c
vous les faits pathologiques les plus intéres-sants qu'offre, à notre
observation
, la population si variée de ce vaste établissemen
le cas est très grave. Ce que j'avance est fondé sur les nom-breuses
observations
que j'ai pu faire à ce sujet relativement à la pn
anciens. Ici la thermométrie se montre supé-rieure à l'ancien mode d'
observation
, puisque rabaissement terminal de la température
eux heures après le début la température était de 38°, 8; cinq 1. L'
observation
de cette maladie a été recueillie et publiée par
récemment encore Fischer, Naunyn et Quincke) un assez grand nombre d'
observations
analogues. Dans une leçon faite en Angleterre il
rminées par l'hémorra-gie ou le ramollissement. J'ai démontré par des
observations
répétées, qu'en règle générale, la mort est précé
ation de la température, pouvant atteindre jusqu'à 40 et 41 degrés. L'
observation
thermométrique contribue ici à établir le pro-nos
ique. C'est un fait dont nous nous sommes assurés, cette année, par l'
observation
d'un nombre assez considérable de femmes atteinte
de la température centrale, il en est de même dans la péritonite. Les
observations
de M. Wunderlich ont confirmé pleinement les résu
e apo-plectique par hémorragie ou ramollissement, et qui, d'après mes
observations
, s'accompagne d'un abaissement réel de la tempéra
où nous nous trou-vions, et nous avons recueilli un certain nombre d'
observations
cliniques et nécroscopiques, qui font la base de
rononcent avec une rapidité extrême ; c'est ce qu'on peut voir dans l'
observation
suivante : Observation I. — Pas d'antécédents h
té extrême ; c'est ce qu'on peut voir dans l'observation suivante :
Observation
I. — Pas d'antécédents héréditaires ni d'habitati
ladie existe depuis fort longtemps. Cet auteur rapporte cependant une
observation
où elle s'était montrée deux fois seulement après
ation, ainsi que les bourrelets osseux qu'elle porte. Dans une de nos
observations
(la nom-mée Laroche, âgée de cinquante-deux ans,
ve description du nosologïste de Montpellier est marquée au coin de l'
observation
; mais, chez nos malades, ce n'est pas çà et là qu
peuvent passer inaper-çus. La fièvre du début n'a été notée dans nos
observations
que huit fois sur quarante ; elle a été dans pres
tions ont continué à s'accomplir avec régularité. Nous rapportons les
observations
de deux malades qui, ayant été prises dans le cou
le plus souvent, les règles n'ont pas été arrêtées dans leur cours (
Observations
III et V). Beaucoup de nos malades ont conservé
relatif à ce sujet, en faisant remarquer que, dans presque foutes nos
observations
, lorsque les jointures des membres inférieurs ont
l existe entre eux de nombreux intermédiaires. Dans la première des
observations
qui suivent, la marche de la maladie a été relati
et dans la troisième, suivre une période d'invasion bien dessinée.
Observation
lï. — Grands-père et mère rhumatisants. — Habi-ta
ès, de redresser les membres supérieurs par des tractions répétées.
Observation
III. — Pas d'antécédents héréditaires. — Habita-t
le matin sur une chaise où elle travailfe assise toute la journée.
Observation
IV. — Pas d'antécédents héréditaires (?). — Habi-
e articulaire chronique. Pour nous, nous n'avons guère noté, dans nos
observations
, que des maladies intercurrentes qu'aucun lien vé
sacrés à l'indigence. Landré-Bauvais et M. Chomel ont recueilli leurs
observations
à la Salpètrière ; M. Adams a relevé les siennes
spécialement la goutte asthénique primitive. En con-sultant les trois
observations
qu'il nous a laissées, nous voyons que, dans la p
sur le développement de l'affection. L'hérédité a été notée, dans nos
observations
, 11 fois sur 41 cas ; mais la cause que les malad
s généralement de l'apparition immé-diate des douleurs. Dans 4 de nos
observations
, les jointures ont été prises pour la première fo
uem-ment observée chez les femmes. Nous avons cru devoir rap-porter l'
observation
d'un de ces malades ; elle se trouve à la fin de
sur le sujet qui nous oeeupe dans les auteurs suivants : Portai. —
Observations
sur la nature et le traitement du rachitisme. Par
it, par le résumé qui précède, que la description tra-cée d'après nos
observations
ne diffère pas essentiellement de celle qui nous
u peu convenable de reproduire ici, sans avoir pu la vérifier par des
observations
qui nous fussent propres, une comparaison qui se
complets, aborderont ce terrain assez aride et encore peu exploré.
Observation
V. — Pas d'antécédents héréditaires. — Pas d'ha-b
iles; tous les autres orteils sont comme recroquiilés et ankylosés.
Observation
VI. — Pas d'antécédents héréditaires. — Habita* l
anes n'ont rien présenté de notable. QUATRIÈME PARTIE Mémoires et
Observations
sur la goutte et le rhumatisme. MÉMOIRES OBSERV
Mémoires et Observations sur la goutte et le rhumatisme. MÉMOIRES
OBSERVATIONS
Altérations des cartilages dans la goutte 1.
x. J'ai recueilli pendant ces dernières années un certain nom-bre d'
observations
qui me paraissent propres à éclairer plu-sieurs p
ble des résultats auxquels j'ai été conduit par la comparaison de ces
observations
; mais pour le moment, je me bornerai à présenter
e biologie, t. II, 3e série, 1860, p. 47. plus spécialement sur les
observations
de M. Garrod et sur celles qui nous sont propres
altérations anatomiques de la goutte. Nous pu-blions in extenso cette
observation
qui nous a permis de contrôler les faits avancés
palement en ce qui touche les lésions rénales et articulaires. I.
Observation
. — Arthropathies multiples très anciennes. — Pneu
par de l'acide urique ou des urates. Dans ce der-nier cas, dont notre
observation
a présenté un bel exemple, le dépôt d'urates,, so
nt l'erreur de diagnostic qui a été com-mise pendant la vie, et notre
observation
démontre que le diagnostic entre la goutte et le
ée également chez les goutteux, par Bright, Blackall, Anderson. Leurs
observations
sont analysées dans le chapitre du livre des mala
ce sont des grains rouges compo-sés d'acide unique, tandis que dans l'
observation
de M. Cas-telnau, ce sont des lignes d'un blanc é
ractères différentiels donnés par le docteur Todd sont le fruit d'une
observation
exacte, que l'œdème est rare et limité, que l'alb
que la goutte, et de plus, nous verrons bientôt, par l'analyse d'une
observation
de M. Garrod et par la nôtre, que les reins de go
is sans paraître leur attacher une grande importance, dans une de ces
observations
et dans une autre qui lui a été communiquée parle
s reins de goutteux, offrant les mêmes lésions, notamment ceux de ces
observations
4,5,6 et8. L'examen microscopique des dépôts bl
ient mort ses malades. C'est ce qui paraît résulter de l'analyse de l'
observation
très intéressante d'un goutteux mort à sa huitièm
rticulaires, elles étaient exacte-ment les mêmes que dans la première
observation
. Observation IL — Goutte articulaire ; albuminu
les étaient exacte-ment les mêmes que dans la première observation.
Observation
IL — Goutte articulaire ; albuminurie ; hyper-tro
s. Vexamen microscopique nous a montré les mêmes lésions que dans l'
observation
précédente ; aussi nous n'y insisterons pas avec
issus fibreux et tendineux péri-articulaires était la même que dans l'
observation
relatée précédemment. Ainsi, en résumé, un mala
ofession de plombier ou de peintre en bâtiments. Une nouvelle série d'
observations
devait reproduire, à peu près dans les mêmes term
eaux de Bath, publié en 1822 par le docteur Barlow. Enfin, parmi les
observations
que renferme le recueil des leçons faites par le
son surtout des circonstances dans lesquelles ont été recueillies les
observations
qui leur servent de fondement, paraîtront passibl
Londres ne peut plus être incriminée. Dans ces nouvelles conditions d'
observation
, l'occasion de rencontrer la goutte en connexion
tement dans l'histoire des précédents pathologiques, et donne à notre
observation
, rapprochée de celles qu'ont rapportées les médec
. Charcot a trouvé dans le Berliner klinische Wos- chenschrift, une
observation
due à Sommerbrodt. Un malade souffrait d'accident
ire chronique ; fausse contracture rhuma-tismale ; ankyloses (1). L'
observation
et les pièces anatomiques que j'ai l'honneur de p
j'ai exposé, dans mes leçons à la Salpêtrière, en m'appuyant sur vos
observations
et sur celles que j'ai pu recueillir dans divers
c rhumatisme noueux. J'ai moi-même rapporté, dans ma thèse, plusieurs
observations
de suppression des règles ayant été le point de d
isme noueux développé pendant la grossesse. Il existe encore d'autres
observations
du premier ordre (thèse de Charcot). En général,
rvations du premier ordre (thèse de Charcot). En général, d'après mes
observations
, la maladie se prépare pendant la grossesse et éc
On peut lire à la page 300 de l'ouvrage cité du docteur W. Gairdner l'
observation
d'un cas de goutte dans lequel l'hémorragie sous-
e primitive, n'est pas la goutte, mais bien le rhumatisme noueux. Les
observations
sur lesquelles se fonde le travail de Landré-Beau
ations des mains, et, d'une manière plus précise, d'après mes propres
observations
, celles des phalanges entre elles, surtout les ar
os orteil peuvent rester indemnes dans la goutte articulaire. — Cette
observation
a été vivement critiquée et l'auteur anonyme d'un
Union médicale de la Gironde, pour 1859 (n° 10, p. 452). Voici notre
observation
, que nous croyons devoir rapporter in extenso, en
lequel nous appe-lons principalement l'attention, il est clans cette
observation
plusieurs circonstances qui méritent d'être relev
dans le cas de M. Desgranges. On notera, en dernier lieu, dans notre
observation
, qu'à part une très petite concrétion, blanche, s
use. Nous terminons cette note déjà étendue en donnant un abrégé de l'
observation
publiée par M. Desgranges. Obs. II. — M..., âgé
e dans le sang (Rayer). Mon ami M. le docteur Bail m'a communiqué l'
observation
d'un homme âgé d'une cinquan-taine d'années, et q
164-166). Anatomie pathologique de l'arthropathie goutteuse. — Une
Observation
de Guilbert, remarquable pour l'époque à laquelle
u. — Cette réaction acide du liquide synovial a déjà été notée dans l'
observation
n° 4. Elle a été aussi remar-quée par le docteur
pas un fait constant. On verra en effet plus loin, par la lecture des
observations
11 et 15, que la synovie, contenue dans les artic
rès complètement. Toutefois, le docteur Quarrier a rapporté plusieurs
observations
de goutte survenue chez les nègres servant comme
of the late C. H. Parry, London, 1825, t. I, p. 243), recueil riche d'
observations
cliniques inté-ressantes, et qui révèlent presque
sur les eaux Bath, publié en 1822 par le docteur Barlow. — Parmi les
observations
que renferme le recueil des leçons faites par le
epris quelques recherches sur ce sujet, et j'ai publié, in extenso, l'
observation
d'un individu atteint de la goutte chronique avec
excès d'acide urique dans le sang. » (p. 368). Même sujet. — Cette
observation
eût été plus démonstrative si le malade ne se fût
outte à ce nouveau point de vue. Je puis ajouter, d'après mes propres
observations
, que dans le rhumatisme articulaire chronique, gé
t chez les gout-teux (p. 579). On peut rapprocher de ces faits deux
observations
plus dé-monstratives encore, à certains égards, q
ent à regretter que M. Garrod n'ait pas étayé cette assertion par des
observations
cliniques détaillées, car c'est à peine s'il exis
que du rhumatisme articulaire. Cela, du moins, me paraît résulter des
observations
assez nombreuses que j'ai faites sur ce sujet, à
lait à l'Hôtel-Dieu, dans le service de M. le pro-fesseur Grisolle, l'
observation
d'un homme âgé de 23 ans, qui présentait les défo
ts de rhumatisme noueux avec les exacerbations des arthropathies. Une
observation
de ce genre, recueillie à l'hospice des Ménages s
ailleurs (page 424) les lois suivant lesquelles s'opère, d'après nos
observations
l'envahissement successif des jointures dans le r
à l'examen des lésions faites à l'œil nu, ont ajouté le contrôle des
observations
microscopiques. Parmi les travaux de ce genre nou
ours d'une grossesse, j'ai rencontré des faits analogues. D'après mes
observations
, la maladie se prépare pendant la grossesse et éc
dans les formes aiguës, subai-guës et chroniques du rhumatisme. — Des
observations
cliniques assez nombreuses me portent au contrair
nodosités d'Heberden, je puis ajouter, en me fondant sur mes propres
observations
, les détails quivont suivre: Ainsi que le fait re
de la lithiase biliaire, de la gravelle urique et de la goalie. —? L'
observation
clinique démontre que la lithiase bi-liaire coexi
la diathèse urique ou de la goutte. Cette conclusion est conforme aux
observations
antérieures et à la réalité des cho-ses. Mais on
tc. London, 1862t p. 227). La syphilis, au dire de S. Wels (Practic ?
Observations
on Goût, London, 1834, p. 87^) est grave chez les
ans ses principaux traits, nous allons résumer en quelques mots les
observations
des malades que M. Charcot a présen-tées. Cas I
M. Roger ; celui d'un malade de M. G. Sée, âgé de 59 ans ; enfin une
observation
de Graves, concernant un homme de 70 ans. La ch
e individu, du moins chez des sujets appartenant à la même famille. —
Observations
à l'appui. — Conséquences pratiques. — Gravelle.
................................ 391 QUATRIÈME PARTIE Mémoires et
observations
sur la goutte et le rhumatisme. I. Altérations
logie avec la chorée de Sydenham, 582 ; — [pronostic, étiologie, 583;
observations
, 583 , 584; — traitement par le bromure de pota
u rhumatisme chronique et subaigu : historique,219; — début, 220; —
observations
, 220; — algidité dans 1' — ,211; ulcéreuse 214.
a goutte, 135. Génital (Appareil), 13. Goutte: Causes, 46,47; —
observations
, 503 ; — caractères généraux, 46 ; — état du sang
ns des lésions articulaires, 509; — déformations dans la —, 510 ; —
observations
de déformations, 510. Goutte abarticulaire non-
3, 395 ; — historique, 353 ; début 354 ; douleur articulaire, 305 ; —
observation
d'absence de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleu
78, 290; chez les enfants, 23 Rein goutteux, 72,102,436,438,507 ; —
observations
, 420, 421 ; historique, 437; — dépôts uriques et
421 ; historique, 437; — dépôts uriques et uratiques, 440, 443, 445;
observations
de dépôts uriques, 445 ; — albuminerie, 438 ; — i
tête, 488 ; — —? diagnostic avec les spasmes ryth-més du cou, 579 : —
observations
, 580. U Ulcères : rôle des — dans la goutte.
ttributs superstitieux, la térato- logie a pris dans les sciences d'
observation
un rang plus modeste, justifié le plus souvent
ingénieux de la méthode expérimentale à la tératologie (Dareste). L'
observation
pure et simple des cas spontanés doit également
que qui explique sa malforma- tion, il n'en restera pas moins d'une
observation
ainsi prise un fait ana- lysé, documenté, pouva
deux va- riétés d'amèles. (1) Nous avons dû laisser de côté cinq
observations
dont le titre insuffisamment précis n'a pu nous
réquents que ceux d'amélie parfaite ; nous en avons re- cueilli dix
observations
, y compris la nôtre. Dans celle variété, nous s
erne notre propre cas; nous allons en donner la courte histoire :
Observation
personnelle. Le 3 mars 1896, une sage-femme venai
s, pour qu'il y ait toujours quelque intérêt il les publier, mais l'
observation
suivante, qui est un exemple par- fait d'hémimé
rave touchant avec une insistance remarquable le système nerveux.
Observation
: Le jeune Thér... Ernest, âgé de quatre ans, est
du membre est absent, mais aussi aux cas où persiste, comme dans l'
observation
qu'on Aient de lire, un rudiment quelque im- pa
e chez les adultes. Et voilà pourquoi nous avons insisté dans notre
observation
sur les antécédents spécifiques que présente le
on a signalé plusieurs particularités qui se retrouvent dans notre
observation
. D'abord, il est fréquent que les anomalies dig
rticulation des doigts surnuméraires, il se rapproche beaucoup de l'
observation
classique publiée par Morand en 1770 (1 ). Dans
yles que dans les autres variétés digitales, fait défaut dans notre
observation
. 1 . 1 1 Il est vrai que les ancêtres des sexdi
r, etc..., sont des prétextes suffisants à des oeuvres d'art, d'une
observation
fine et consciencieuse, d'un réalisme spon- tan
a bonne humeur, le bon sens et la bonté s'allient à la plus sincère
observation
de la nature. Avec de tels guides, on est certa
a laissées, nulle ne saurait mieux donner la mesure des qualités d'
observation
de l'artiste et de son talent d'exécu- tion.
tant son travail vint se faire soigner à St-Antoine, où il resta en
observation
pendant cinq semaines. A l'hôpital le nombre de
anation décompressive à la crâ- niectomie.exploratrice. ? .Dans l'
observation
qu'on vient de lire, la céphalée nous avait «fait
uestion à plusieurs reprises de troubles vaso-moteurs. Aussi dans l'
observation
II de cet auteur (extrait des Archives de neuro-
ssager. Le gonflement a duré un jour et a ensuite disparu. Dans les
observations
IX et X du même au- teur on trouve notés des tr
bles vaso-moteurs consistant en une cyanose légère des mains. Une
observation
qui présente beaucoup plus d'intérêt au point de
les vaso-moteurs, mais je n'ai trouvé dans son article qu'une seule
observation
de troubles trophiques cutanés, qui pouvaient ê
ux auteurs anglais, Colemann et Joseph 0'Caroll (2), ont publié une
observation
de syringomyélie dans laquelle ils ont noté que l
ouazell (3) dans une thèse sur la maladie deMor- van a consigné une
observation
due au docteur Dayot de Rennes qui a re- marqué
ubles trophiques cutanés et vaso-moteurs dans la syringo- myélie.
Observation
I. Le nommé Gav..., ciseleur, âgé de 72 ans, ad
ar plusieurs observateurs,notamment par Schultz, l3ernliardt,etc. L'
observation
de 13eruhardt présente beaucoup de ressemblance
es spontanées de la syringomyélie. Ce fait a été déjà noté dans une
observation
de Schultze. La même remarque a été faite par Rot
appelle le geste du prédicateur. FIg. 13. - SUJET nr la ·rnolsli.nr
observation
. Mains dissemblables; la main droite présente l
rrive quelquefois qu'il ne peut pas distinguer le chaud du froid.
Observation
III. Gass..., employé au chemin de fer, âgé de
coeur ne font pas voir de modifications dans la matité précordiale,
Observation
1`l. Corr..., âgée de 25 ans, domestique, est e
Fig. 4 et 5. - Topographie de la thermoanalgésie chez le malade de l'
observation
III. ou dans les bruits du coeur. Il n'existe p
t entraînés vers le bord cubital. Nous avons vu du reste que dans l'
observation
de trois de nos malades, on peut constater facile
re sur cette question de vaso-moteurs. Déjà Remak avait tiré de ses
observations
la conclusion que c'est dans la substance grise
ique. Enfin récemment noire ami, M. Pierre Janet (3), a publié huit
observations
de spasmes des muscles du tronc chez les hystér
onistes également pris. Il nous a paru intéressant de publier cette
observation
. Observation. - Delr..., 28 ans, employé dans u
nt pris. Il nous a paru intéressant de publier cette observation.
Observation
. - Delr..., 28 ans, employé dans une raffinerie,
diagnostic nous semble ressortir incontestablement des détails de l'
observation
. Le rôle de l'émotion et de l'idée fixe qui s'e
digne d'intérêt. Ce dernier point fera l'objet d'une note spéciale.
Observation
. Ostéite déformante de Paget. - Altérations cardi
cerne les os, ainsi que le montrent les photographies annexées il l'
observation
, on constate qu'il y en a quatre essentiellement
par le malade, un rôle impor- tant. - Voici tout d'abord mes deux
observations
. OBs. I. Annette L..., de Clamart, m'est amenée
it normal. Je fis, séance tenante, par la technique indiquée dans l'
observation
précé- dente, une injection phéniquée le long d
mètre : il est fâcheux qu'il ne nous ait pas donné le détail de ses
observations
, car il est fort possible, étant donné les résu
sont des oeuvres oii la fantaisie ne dé- truit pas la justesse de l'
observation
. Charcot et Paul Richer ont déjà si- hâlé ces d
ure, en particulier, à toutes les autres méthodes mécaniques. Nos
observations
le démontrent péremptoirement. En effet, 22 de
comme limite supérieure, les plis inguinaux. Voici par exemple une
observation
de Reinhold (1). De tous les cas d'hémisection
clonus du pied, le phénomène de la trépidation spinale. Dans une
observation
déjà ancienne de Viguès (2) l'hémisection de la
t son accident. Sa démarche ne trahissait rien d'anormal. Une des
observations
contenues dans le mémoire de Brown-Sequard (3)
lie; l'état de la motilité s'était notablement amélioré. Enfin, une
observation
de Charcot (1) nous montre également le syn- dr
0° vertèbres dorsales, en bas ; 6e et 7° Cervicales en* haut. Une
observation
deWerner (2), va ouvrir la marche aux faits de 6
ibilité dans le côté correspondant du ventre. Je vous ai cité cette
observation
dans l'unique but de vous montrer que lors- que
s ne restent plus cantonnés dans les membres inférieurs. Dans une
observation
relatée par un auteur danois Kjaer (1), l'instru-
ctions de la vessie et du rectum étaient redevenues normales. Une
observation
de W. Mûtter (3) nous montre une hémisection gauc
e l'émergence des racines postérieures de la 12e paire. Voici une
observation
du D'' G. d'Ail Armi (1) à mettre en parallèle
urinait difficilement. Cette dysurie s'est dissipée très vite. Une
observation
publiée par Joffroy, et Salmon (3) se rapporte
très remarquable mémoire sur lequel j'aurai à revenir, a publié une
observation
de syndrome de Brown-Sequard survenu à la suite
en ar- rière elle n'arrivait même pas jusque-là. En somme, cette
observation
de Charcot, à l'instar de celle d'Enderlen, non
CH1RCOT Leçons du mardi, t. Il, p. 53. 172 F. RAYMOND - Dans une
observation
de Vorster (1), sur laquelle j'aurai à revenir, ]
dirai l'explication que l'auteur a donnée de cette anomalie. Une
observation
deM. Gilbert (2) va nous renseigner sur les suite
llée en s'accen- tuant. Eu égard au siège de l'hémisection, cette
observation
est il mettre en parallèle avec celle de notre
veau des -1 re et 2° dor- sales. Je passe très rapidement sur une
observation
publiée par un auteur ita- lien Burresi (3), qu
Ire dorsale et la 7° cervicale. Je noie seulement que le sujet de l'
observation
de Bmresi a présenté, indépendamment d'une para
a- blissement dans le membre inférieur gauche. En regard de cette
observation
, j'en placerai une aulre, publiée par Fischer (
IQUE DE LA MOELLE 113 veau un peu plus élevé que chez le sujet de l'
observation
précédente, c'est-à-dire à gauche de la colonne
aune insulte mécanique des faisceaux pyramidaux gauches. Les deux
observations
dont je viens de vous entretenir se placent à la
ment et du sentiment, mais à titre purement transitoire. Témoin une
observation
pu- bliée par lIerhold (1) : Le sujet avait reç
une certaine exagération des réflexes tendineux à droite. A cette
observation
on peut opposer celle d'un auteur allemand Gaschl
que l'hémisection siège au-dessus du niveau de la 6° cervicale. Les
observations
qu'il me reste à passer en revue vont vous édif
s la même expression symptomatique et la même évolu- tion, dans une
observation
de Brown-Sequard, qui concerne également un cas
régression des troubles sensitivo-moteurs était très avancée. Une
observation
de Beck nous fait remonter un peu plus haut, en m
it normale aussi bien que la motilité. Le côté intéressant de cette
observation
, c'est la constatation d'un rétrécissement de l
mptômes de paralysie du sympathique cervical. Voici par exemple une
observation
de M. Delmas (2), qui nous met en présence des
téressait uniquement le cordon latéral du côté gauche. Voici deux
observations
qui nous font rentrer dans le schéma classique
noter, la vessie et le rectum fonctionnaient normalement. L'autre
observation
a été publiée par un assistant du professeur Erb,
roite était'plus chaude et plus rouge que la gauche. ' , Dans une
observation
publiée par Bornlnr-ger (3), les troubles sensi-
e cas s'écarte donc du schéma classique. Je ne vous mentionne cette
observation
que parce que la paralysie motrice s'est doublé
ature locale, il la face, et du rétrécissement pupillaire. Dans une
observation
de Nolte (4), la moelle a été touchée au même ni-
vement considé- rable de faits de ce genre. Voici par exemple une
observation
publiée il y a plus de vingt ans, par Riegel (1
se re- lative du pouls radial. Je note encore que le sujet de cette
observation
se plaignait beaucoup d'un tremblement qui agit
moments, ce tremblement se généralisait à tout le corps. Dans une
observation
déjà ancienne de Brown-Sequard, une paralysie c
la parésie du membre in- férieur droit s'était dissipée. Dans une
observation
de Rûhl (2), l'amélioration subséquente a porté s
faradique et un abais- sement de la température locale. Dans une
observation
de Vix (1), on relève encore les deux mêmes par-
droite. Pour en finir, avec cette énumération de faits, voici deux
observations
où l'existence d'une hémisection de l'extrémité
la moelle a été confirmée par l'autopsie. La première de ces deux
observations
a été publiée par Weiss (2). L'instrument tranc
qu'il y avait eu section de la moitié droite de la moelle. L'autre
observation
, publiée par Albanese (2), concerne un homme de
antage pour exciter ma curiosité, et si je publie aujourd'hui cette
observation
, c'est parce que je la crois de nature à pro- v
rois de nature à pro- voquer une étude palhogénique intéressante.
Observation
. Homme de 50 ans, de bonne et robuste constitutio
une table. Ce fils est mort à deux ans, athrepsique. Telle est l'
observation
quej'ai tenu à consigner. Il esl évident que nous
ce ainsi à cette rétraction des doigts ? » (2). Voici une seconde
observation
de Dupuytren relative à la rétraction de l'apon
issance » (1). Quelque analogie qu'on puisse trouver entre ces deux
observations
et la mienne, il reste toujours ces deux points
faut retenir cependant cette hérédité si manifeste dans la seconde
observation
de Dupuytren. Le fils de M. S... présentait la
, je ne saurais en saisir la cause dans l'histoire du malade. Une
observation
publiée l'an dernier par M, Feindel (2) est intil
e : tout au moins on ne trouve pas de détails assez précis dans les
observations
que j'ai parcourues. Quelques-uns cependant ont
ons'de cetauteur. Dans quelques cas, comme dans les Iro, Ile et IIP
observations
de ce travail, le cubital postérieur, moins att
j'en parlerai plus loin. Chez les trois malades dont j'ai exposé l'
observation
dans la première partie de ce travail j'ai remarq
i- tude spéciale de la main a été notée. Elle est indiquée dans une
observation
de syringomyélie de Gilles de la Tourette CI).
e de Gilles de la Tourette CI). Elle se trouve aussi dans une autre
observation
de Charcot, publiée dans la thèse de Briilil (2),
Paris, 1890. Dans la thèse de l3non. figure également (p. 130) une
observation
inédite de P. l3oc ayant trait à une femme atte
eut dire- que cette main n'a été presque jamais rencontrée dans les
observations
de pachyméningite avec nécropsie. Dans le mémoi
vie, avait présenté le type de la main de prédicateur. Même dans l'
observation
première de Charcot et Joffroy, il existait « d
et fortement écarté de l'axe de celle-ci. En somme, il résulte des
observations
précédentes que l'atrophie mus- culaire présent
e spéciale, dont l'analyse clinique est déjà intéressante et dont l'
observation
prise avec soin par M. Jacques, élève du servic
hie (1), et dont mon interne d'alors, le Dr Guihert. a publié (2) l'
observation
. Le ster- nomastoïdien et le trapèze du même cô
trapèze de l'autre. J'en ai trouvé notamment un exemple dans la VIF
observation
de Gauliez prise dans le service de Charcot (1)
, les tics et la maladie des tics de Gilles de la Tourette. Cette
observation
indispensable faite, il est assez facile d'établi
Espé- ronnier dont M. Cauvy, élève du service, a récemment donné l'
observation
et dont nous reparlerons pent-être quelque jour
it bien la question à ses débuts,enl884. L'au- teur réunit dix-huit
observations
, de valeurs du reste diverses ; mais il est à p
urtout, en roulant des wagonnets. Mais en prenant soigneusement son
observation
M. Jacques apprit qu'il ne faisait ce tra- vail
non voulu. Vous voyez que notre cas particulier peut être l'objet d'
observations
assez générales et nous permet de classer tous
upe de tics polygonaux. Tout en soulignant devant vous la finesse d'
observation
qui caractérise toujours les travaux de Brissau
me, vous ne pourriez certainement pas vous en tenir là. Les faits d'
observation
clinique eux-mêmes qui dominent les doctrines e
les cas, il soit l'un et l'autre. Ainsi, je pourrais vous citer des
observations
où l'infantilisme a été le point de départ de d
ig. 8 et 9. Myxoedème et infantilisme chez un sujet de treize ans. (
Observation
de Marfan et L. Guinon.) DE L'INFANTILISME MYXO
faut compter un certain nom- bre d'infantiles. Une très complète
observation
de MM. Marfan et Louis Guinon (Fig. 8 et 9) rel
été relevés par M. Barthélémy (1) ; Spietschka (2) a si- gnalé les
observations
allemandes ; enfin nous-même (3) avons indiqué
e tirer quelques déductions d'ordre plus général. Voici d'abord nos
observations
, que nous pouvons diviser en trois groupes :
iciel ; II. Trijumeau ; III. Intercostaux. (1) Barthélémy. Deux
observations
de nævus zoniforme lisse. Annales de dermato. l
gie, 1894, 10 mai. 264 G. ETIENNE PLEXUS CERVICAL SUPERFICIEL .
Observation
I. N oe¡;lIS pigmentaire verruqueux développé s
omplètement si l'on consulte la planche de l'atlas de Frohse (1).
Observation
II. Noevlls vasculaire veineux plan développé s
'autre sur la clavicule. ¡ Très manifestement, dans cette seconde
observation
, la distribution to- pographique est la même qu
rvation, la distribution to- pographique est la même que celle de l'
observation
I, la lésion occupant la région du plexus cervi
ttachent ainsi et anatomiquement à la tache principale. TRIJUMEAU
Observation
III. Nævus vasculaire veineux plan développé su
ce nmvus occupe donc les territoires suivants : 270 G. ÉTIENNE
Observation
IV. Nævus vasculaire veineux développé sur le t
rs DES NIEVI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX 211
Observation
VI. Noevus pigmentaire légèrement verruqueux dé
s, anté- rieur et postérieur, du nerf cutané perforant latéral. -
Observation
VIII. Ncevus pigmentaire et pileux développé su
he postérieure récurrente du 7e nerf intercostal droit. Ce groupe d'
observations
montre que les types divers de nævi peuvent se
as publiés. Disons encore, pour mémoire, que Muller relève dans une
observation
la vue par la mère, pendant la grossesse, d'une f
; ou bien déborder légère- ment la ligne médiane, comme dans notre
observation
III, comme dans les cas de Galewsky et Schlossm
la portée de cette objection, remarquons que nous avons dans notre
observation
II un naevus occupant toute la région de la plu
branches du plexus cervical superficiel, alors que dans notre 4''e
observation
, nous voyons la lésion suivre plutôt les branch
ste cependant exact dans de nombreux cas, et dans la plupart de nos
observations
, comme nous pensons l'avoir montré, les naevi o
on d'un groupe ner- veux anatomiquement déterminé. A notre première
observation
, on a fait DES NIEVI DANS LEURS RAPPORTS AVEC L
lacards médians formés de deux por- tions symétriques, comme dans l'
observation
suivante : Observation IX. Nouveau-né du sexe
deux por- tions symétriques, comme dans l'observation suivante :
Observation
IX. Nouveau-né du sexe masculin, pesant 2900 gr
unius lateris. Charité Annalen, 1863, XI, S. 91. Barthélemy. - Deux
observations
de noevi zoniformes lisses, l'un pigmentaire, l'a
ts qui à eux seuls me paraissent mériter l'attention. J'ai fait ces
observations
sur quinze hémiplégiques infantiles qui se trou
nous avons, du 20 au 24 mars 1897, recueilli à ce point de vue les
observations
des 20 hémi- 288 GILLES DE LA TOURETTE plégiq
xistait pas. Examinons les 10 malades du premier groupe, dont les
observations
suivent. 10r GROUPE. Arthrites avec AMYOTHOPU
amyolrophie est rendue encore plus évidente par les trois dernières
observations
du premier groupe. En effet, dans l'observation
es trois dernières observations du premier groupe. En effet, dans l'
observation
VIII, il existe une arthrite de l'épaule avec a
USCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 293 Chez le malade de l'
observation
IX, atrophie des muscles de la cein- ture scapu
ras et des quatre derniers espaces interosseux. Chez le malade de l'
observation
X, ankylose de toutes les articulations du memb
ne intervention opératoire. Je vous en citerai comme preuve une des
observations
contenues' dans le mémoire de Neumann (1). Elle
oint de vue de l'appréciation du pronostic, en raison de la durée d'
observation
; il peut se résumer ainsi : Un jeune homme d
C'est ce que nous avons pu faire chez deux ma- lades dont voici les
observations
. OBS. I. Paralysie spinale infantile sous forme
années environ, ayant débuté par de la fièvre et du délire dans une
observation
, des convulsions dans l'autre. La paralysie affec
arement provoquée par une émotion morale; ce- pendant Rostan cite l'
observation
d'une vieille femme dont la peau se co- lora da
de dégradation organique peuvent s'accompagner du même (1) IIOSTIN,
Observation
d'une femme devenue noire dans l'espace d'une nui
ralysie générale. Gaz. hehd., 486'i, 2e série, II, p. 181. - Févue,
Observation
de ni- gritie chez un aliéné. Ann. méd. psych.,
bientôt ces causes d'irritation locale qu'on relève dans certaines
observations
anciennes (Chomel (9), Lendet) (10) ont fixé pa
se indéterminée. Gaz. des hôp., 1861, t. XXXIV, p. 161. (9) Chomel,
Observation
sur la coloration noire de la peau d'un homme nat
(3) C'est un point sur lequel je n'engagerai pas de discussion. L'
observation
qu'on va lire me paraît propre à montrer les lien
néraux de la nutrition à l'exclusion de toute irritation externe.
Observation
. S..., 31 ans, employé aux écritures, est entré
marche, les sujets restent confinés au lit. Or, lorqu'on lit leurs
observations
on voit que tous présentent, comme les sujets d
rnier groupe. Chez ceux-ci, peu ou pas d'amyotrophie. L'analyse des
observations
va nous en donner la cause. Le malade de l'obse
analyse des observations va nous en donner la cause. Le malade de l'
observation
XVIII, âgé de trente-neuf ans, a été atteint je
ni d'ankylose, l'amyotrophie ne s'est pas montrée. . Le malade de l'
observation
XIX est plus sévèrement louché; la con- tractur
lui-même ; pas d'atrophie. De même en ce qui regarde le malade de l'
observation
XX qui lui aussi a mobilisé quotidiennement son
e du pouce qui est douloureuse. - Ces trois faits tirés du bloc d'
observations
recueillies d'un seul coup, DE L'ATROPHIE MUSCU
ce, afin de rendre la statistique aussi équitable que possible, les
observations
que nous avons recueillies pendant ces dernière
ion microscopique par la méthode de Marchi et par celle de Nissl.
Observation
CLINIQUE. Le malade M., âgé de 28 ans, entra à
re ces deux affections (P. Guinon, Souza Leite). Puis, de nouvelles
observations
ayant été publiées, d'autres se sont demandé si
alie continue le gigantisme. (i) Nous publierons prochainement uu
observation
de ce genre. 376 E. BRISSAUD ET HENRY MEIGE I
s, aux- quels on pourrait en ajouter de nouveaux, choisis parmi les
observations
déjà anciennes de géants et d'acromégales, ou f
e. Nous nous contenterons de signaler les deux cas suivants : Une
observation
fort instructive vient d'être publiée par M. J. J
g de Pékin (juillet 1896). Nous tenons à reproduire en entier cette
observation
que M. Matignon a eu l'obligeance de nous commu
ya ! o-yt9'fM : <MMe. Médecine moderne, 6 novem- bre 1897. Cette
observation
a été également communiquée à la Société médicale
si le thorax avait été déformé par une pression bilatérale. « Cette
observation
semble vérifier complètement la théorie de MM.Bri
mps de la croissance normale est déjà passé. » La très intéressante
observation
de M. J. J. Matignon n'est pas moins édifiante
et simple, et une main de géant devenu acro- mégalique. Les deux
observations
précédentes viennent confirmer notre foi : Le g
i donna-t-on à son syndrome le nom de maladie de Charcot (1). Une
observation
personnelle résumée plus loin nous a fourni l'occ
le syndrome d'une façon indubitable, exception faite d'une ou deux
observations
. Certains auteurs ont assimilé leurs cas d'arth
d'une part, le trouble nerveux d'autre part. Une revue complète des
observations
est inutile. On trouve tous les éléments du suj
86 PAUL LONDE de commun avec les grandes arthropathies nerveuses. L'
observation
, rap- portée plus loin en note, de MM. Prautois
ici. Telles sont les déformations de la paralysie infantile (2). L'
observation
complexe de Feréol (3) est d'une in- terprétati
toujours bien senti (contact), il est difficile de refuser à cette
observation
le titre des syringomyélie. L'auteur en fait un
le cas de Trousseau (myélite aiguë) : arthrite des deux genoux. L'
observation
de M. Rendu (1) intitulée Rhumatisme spinal était
arthrite chronique sans ankylose). Dans ce groupe nous rangeons les
observations
suivantes : a) Cas de Chipault (3).- Fracture r
3 mois écarte absolument l'idée d'une véritable arthropathie. b)
Observation
personnelle.-II s'agit d'une malade du service de
dant ce même trouble vaso-moteur coïncidant avec l'infection dans l'
observation
de Vallin. Même dans ce dernier cas nous ne voy
lus ou moins com- promis, souvent par l'infection. Dans certaines
observations
nous avons vu l'élément infectieux ne pas respe
ans les myélites. Ils ont été observés par Hamilton, W. Mitchell (5
observations
), Packard, Blum, Bowlby (-1) ; on peut y ajou-
observations), Packard, Blum, Bowlby (-1) ; on peut y ajou- ter une
observation
de Reuillet dans laquelle une lésion nerveuse dat
laires exposés plus haut. Nous rangerons : 1° dans la forme aiguë l'
observation
de Hamilton, l'observation 8 de W. Mitchell ; 2
ous rangerons : 1° dans la forme aiguë l'observation de Hamilton, l'
observation
8 de W. Mitchell ; 2° dans la forme subaiguë : le
forme chronique les obser- vations 31, 33, 35, 49 de W. Mitchell, l'
observation
de Bowlby, et celle de Duménil (obs. 2) (1).
le rhumatisme subaigu, tantôt le rhuma- tisme chronique. (1) Une
observation
de MM. BUCK et 111ooa de Gand semblerait faire ex
t assimilées à la précédente. Il est inutile d'ajouter que dans les
observations
d'Alison l'allure fut aussi aiguë que dans les
rthropathies d'origine spinale ou cérébrale. Albertoni rapporte une
observation
d'Alexandrini (citée par Arnozan) dans laquelle
roduite par d'au- tres affections que le tabes ou la syringomyélie (
observation
de Prautois et Etienne). Quant à la théorie pur
cle du Diction- naire encyclopédique, M. Polaillon n'a réuni que 43
observations
et les auteurs ne s'entendent guère sur la part
Nous avons vu de près les malades dont : II.Brissaud a rapporté les
observations
, et il n'en est pas un seul qui ne doive être c
r le souvenir de la Lèpre et serviront à contrôler l'exactitude des
observations
du passé. Tels sont les documents figurés, car
'ils ne l'avaient soupçonné, et l'importance pour le médecin de ces
observations
iconogra- phiques se fait déjà sentir aujourd'h
é du XIVe siè- cle), elle témoigne en plusieurs places, d'une bonne
observation
de la na- ture, et à ce titre elle est fertile
insis- ter davantage, il faut,au contraire, admirer les qualités d'
observation
dont il a fait preuve dans cette intéressante p
athologique,exécutée par un artiste peu exercé aux difficultés de l'
observation
clinique, surtout lorsqu'il s'agit d'une oeuvre
ujours les mêmes lésions embryonnaires des vais- seaux. Les trois
observations
avec autopsie que je vais rapporter, et surtout
alysie 0 -énérale. (Cas de Mendel, Beît. klin. Woch., 1883, etc.) L'
Observation
I est celle d'une femme qui est morte dans mon
ertaines lésions des gros vaisseaux du cerveau et de la moelle. L'
Observation
II a déjà été publiée, à un autre point de vue,
s occupait auparavant, ou qui s'était développée simultanément. L'
Observation
III concerne un homme atteint autrefois ÉTUDE D
iques intéressants ; mais ce qui fait surtout l'importance de cette
observation
, c'est la présence dans le cerveau d'une lésion
avaient encore seuls annoncé l'affection cérébrale. ' A ces trois
observations
complètes, avec autopsie, je joindrai le résumé
ions complètes, avec autopsie, je joindrai le résumé de deux autres
observations
purement cliniques, qui sont intéressantes au p
et de l'évolu- tion de certains accidents de syphilis cérébrale.
Observation
I. Syphilis datant de quatorze ans. Céphalalgie.
minées à un faible grossissement, voit-on ces vaisseaux dessiner un
Observation
1. Ecorce prise tt la convexité du lobe frontal.
la main et du pied ne présen- tent que des lésions peu marquées.
Observation
II. CActMcre de la couronne du gland à vingt-sept
es de Clarke présentent une tache claire à leur centre. ri. 1 ? .
Observation
II. Moelle lombaire ; sclérose des zones radicula
cor- respondant à la description que j'en ai donnée d'après les-
observations
des auteurs et les miennes propres. On est immé-
ur leur étude dans les maladies du cou et de la tête. De nombreuses
observations
, accompagnées de schémas mul- tiples, ont amené
L.' B.Gé : (Celatualbl : f.' Nel'uenlceilk., N. F., IV., 1893.)" '
Observation
I. Blépharoptose congénitale, bilatérale incomplè
ologiques du sque- lette de la face. Pas d'anomalies anatomiques.
Observation
II. - Idiotie. Blépharoptose congénitale, bilatér
ntale - . PRIVI1T1'IE; par le D' SÉGL : 1S. ' L'auteur rapporte l'
observation
, des plus instructives, d'une ma- 42 REVUE DE P
es; ti i-itun : 'tpar le Dr L. Z ? ') b - Mettant, à profit trois
observations
des plus intéressantes, l'au- teur, rechercher
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 45 définie' aux trois quarts de mes
observations
. Il faut maintenant dresser une statistique plu
'Etat' : C'est ce que nous allons faire.' · P.`K. XII.- SUITr6 DE l'
observation
de polyurie chez une aliénée; par `VIEDE11EISTE
t'ulr4'1 - , ? < ,t' ' 1 W 'n -T, ! "il . il.'fl'»^ * .1-.3 jU
Observation
d'une malade atteinte de délire des persécutions
asper, Tarnowsky, K. Ebing, etc. z Il termine en citant une série d'
observations
de perverties ou pervertis sexuels avec autopsi
1 -. 9r'Lr : 11, ? - F. Signalons aussi dans ce même- numéro, une,
observation
curieuse a onanisme musculaire, rapportée par S
93.)' ' ' ' )" ? ? «hbf ' ' >n.f. rn<"'i - - ' -u , .> '
Observation
d'un malade ayant présenté un' accès de manie f
7ticomio, fasc. 1-2, 1893.) Etude très complète avec deux nouvelles
observations
très détail- lées et reproduisant la plupart de
tique depuis six ans, morphinomane depuis cinq : l'intérêt de cette
observation
.réside précisément dans,les rapports, dans le co
rie et la malade perdson procès. L'auteur après avoir raconté cette
observation
avec tous ses détails entre dans quelques consi
61x),Patet (19 voix) ' 'j.'ho,I.r'»jH;a-i91 ! . - -. ^'f-j^ï. 'h
Observation
" d'un' ehi61titinisle pfo6t<6meM ? epMe ' 11
j'ai formulé'des conclusions' dubitatives, et si j'ai,communiqué l'
observation
;'c'estàcause de la terminaison de l'affaire et
ales saturnine et alcoolique, et base son opinion à la fois sur les
observations
antérieurement publiées qu'il, soumet à une cri-,
que créer des confusions. La critique à laquelle sont soumises ces
observations
, antérieu- rement publiées, montre avec évidenc
servations, antérieu- rement publiées, montre avec évidence que ces
observations
, très peu nombreuses et très incomplètes d'aill
rdinaire. M. Vallon rapporte, en outre, à l'appui de sa thèse, deux
observations
de saturnins qui auraient pu, à un moment donné
ue et la paralysie générale; M. Vallon rappelle, à ce pro- pos, les
observations
de M. Magnan sur le même sujet et rapporte un c
internement pour paralysie générale. -Autopsie.) ' En dehors des
observations
insérées dans le corps du mémoire, le lecteur y
e ses aines, comprend une foule de renseigne- ments importants et d'
observations
intéressantes. Grâce à une persévérance remarqu
ante de' l'ouvrage'la partie clinique, qui, sous forme de recueil d'
observations
, renferme des documents de la plus haute valeur
J précis ,- qu'il-) est'' possible de redueiliir'A cet'égard,' les
observations
de l'année 1892 : ) comprennent1' toutes ">
squ'à présent, la réthorique semble l'avoir emporté sur l'esprit] d'
observation
et sur, J'anatomie pathologique Sans analyser p
ressantes : ' ' £ U"l .111 ' %1 T> >stsc9c ,10 Une première ,
observation
.d'imbécillité avec hémiplégie et . atliétose.sy
poids, avec mensurations crâniennes. Suivie pendant dix ans, cette
observation
est n précieuse comme,document ? 1 9s ? « 2°. U
cette observation est n précieuse comme,document ? 1 9s ? « 2°. Une
observation
de poreucéphalie"vraie, très instructive auq po
t de vue des lésions trouvées à l'autopsie ? nt p^b no·ln.o3 3° Une
observation
très-étudiée d'idiotie, avecfticsjmuitipics etq
rnement DES aliénés dangereux; . par le D1' E. Chambard. Dans une
observation
aussi intéressante que complète, M. Cham- bard
'3lensc3cen und Affen, sowie bei Kretinismusf Gomme on le voit, les
observations
'de Kopp ont été faites sur des sujets éthyroid
unes n'ont pas encore été décrites, soit qu'elles aient échappé à l'
observation
, soit plutôt parce qu'elles faisaient réellemen
dernières, je n'ai guère à signaler, en ce qui concerne mes propres
observations
, qu'une ampleur inusitée des capillaires,' une
nstatations négatives n'infir- ment en rien la valeur objective des
observations
précédentes. On doit seulement en inférer que l
d'aussi habiles histologistes, on peut invoquer à l'appui de leurs
observations
certaines données four- nies par Trzebinski et
e'mésoneuriale se manifeste encore dans d'autres circonstances. Des
observations
de Renaut il résulte en, effet que les^nerfs le
à' des animaux fraîchement éthyroïdés, alors qu'au contraire les
observations
de Langhans ont porté sur des hommes et des sin
oubles morbides appréciables ? Si l'on s'en tient exclusivement aux
observations
cliniques,, on inclinera vers la négative, . at
Salpêtrière. ' i i r ' ' t* : '-j ? i ..fi )t'<H ? S< : J ?
Observation
III. Syphilis en 1885. Paraplégie complète, u pré
erve une dégénérescence, descen- Fig.-il. , ; r. "v ? ' ' : 1 ?
Observation
III. Coupe ! pratiquée'au niveau de la 'quatrième
u poumon^sont celles de la tuberculose fibreuse. * * 't * * Ces
observations
neidèmin- dent pas un long commentaire;- * le
els6,q ? ils,i ( Sont actuellement tracés.)1, ? .nIii ! fr Dans l'
observation
I, nous voyons une femme syphilitique ''qui p
t facile de le constater, sur beaucoup d'artères de la malade de- l'
observation
I. Quant à l'endartérite oblitérante, de Heubner,
nzwanger, Baumgarten, R. Schulz, Rumpf et de bien d'autres. 0 0 L'
observation
II a trait à un homme qui présentait à la fois
'.>'.»- - \ .>. I ? \ > -;\ v-.a.v ? qui sont,jointes ^a 1
observation
, la participation des zones deLissauer,i du rét
l " . . * « . ..) I m. ,.o 1\ »rn J"-<«^ ' . I. 1.1 i . ') t L
observation
III concerne un homme qui a contracté la 1 syph
ont absolument les mêmes que celles que j'ai déjà décrites dans les
observations
I et II; ce sont celles de la paralysie général
était arrêtée et comme figée dans son évolution. En tout cas, cette
observation
me parait prouver jusqu'à l'évidence que, dans
utivement. r-v ·u.;t,f ? Ir ," , T, < , 1 , En résumé, des trois
observations
que je viens de rapporter,, la première montre,
mples remarquables de ces faits je donnerai un bref résumé des deux
observations
suivantes, qui , sont tirées de ma pratique pri
a pratique privée : i iéu i i . » , , 2 - < , < ? " , , i »
Observation
IV. M. R..., âgé de cinquante-quatre ans. Son p
ènes cérébraux. ' i» , c . ; 1 f t. il, ? t ') ? / ,j,t - , ' c `
Observation
V. M. M..., âgé de cinquante ans. ; , Le malade
èse de la psychopathie consécutive ? On n'a pas encore pris assez d'
observations
à ce point de vue; 8° quel laps de temps peut-i
stupeur; elle s'est montrée chez' 41,2 p. 100' des malades. Deux '*
observations
.- « " ' " "« ™ ? (T "'' ' ' [> " "'" ? .. 6.
t le résumé de ce cas d'ailleurs très, fréquent de cethéréditaire ?
OBSERVATION
Ht. Fétichisme pôdn- lique. L'image et la visio
ommerce' avec des hommes, mais en invoquant des pieds de femme. 1 ?
Observation
IV. Fétichisme podalique chez un : persécuté'.
s aux premiers symptômes d'aliénation mentale. Cette inté- ressante
observation
permet néanmoins d'avancer qu'un délire sympath
élire vient du sentiment de l'insuffisance sexuelle du malade. Deux
observations
. "" 1, .. ; I ' , .i - ? j , f c P. K. I h t..û
tre de centre âccom- modateur et le centre sphinctérien). Plusieurs
observations
témoi- gnent : ' ''<''< ? «i *' ">>
vec absence des réflexes tendineux palellaires. y P. K. XLII. Seize
observations
DE DElil-SOSINL1TION; par C. MAYER. ' (Jahibilc
- thénie acquise, rarement jouissant d'une santé parfaite (quatre
observation
»), qui le plus souvent ont été surmenés. La malad
dans un cas D'HÉMICHORÉE POST- hémiplégique; par le D1' TARGOWLA.
Observation
intéressante d'hémichorée posthémiplégique du côt
thénie ; par le Dr VECTRA. (Il Manicomio, fasc. 1-2, 1893.) Trois
observations
de neurasthénie simulant l'une la claudication
mbine. Ce procédé d'examen appliqué à deux malades dont suivent les
observations
a permis de diagnostiquer chez le premier : tro
n probable du centre auditif gauche. Pas d'autopsies. P. K. X. Deux
observations
DE THROMBOSE autochtone DES sinus CÉR9- BRAUX ;
sinus CÉR9- BRAUX ; par Bucklers. (Archiv. f. Psychiat., XXV, 1.)
Observations
avec autopsie : Observation I. Thrombose de pre
ers. (Archiv. f. Psychiat., XXV, 1.) Observations avec autopsie :
Observation
I. Thrombose de presque tous les sinus cérébraux
ite; par GIÈSE et P,1GEN- stecher. (Archiv f. Psychiat., XXV, 1.)
Observation
avec autopsie. Ivrogne de trente-trois ans. Tare
i,büclL. f. Psychiat., XII, 1, 2.) Etude critique de quarante-trois
observations
empruntées aux auteurs. Six observations person
critique de quarante-trois observations empruntées aux auteurs. Six
observations
personnelles (4 h., 2 f.) comprenant : manie (4
onostic de ces accidents est défavorable; car sur ces quarante-neuf
observations
, il n'y eut que six guérisons. 11 est, d'ailleu
tent obstinément. NI : Frank Frey rapporte trois cas confirmant les
observations
antérieures d'Erb et Sachs. (Tlte Alienist ciii
nuel CARMONA, .T. V,1LLE-DE Mexico. ,' '' L'auteur 'rapporte cinq
observations
de tabès dorsal spasmo- dique répondant à la'de
ies avec perte de' connaissance. De plus, dans quelques-unes de ces
observations
, les mouvements sont redevenus plus ou moins li
y- Spine, indépendamment de la simulation à déjouer, rapporte une
observation
nouvelle. C'est celle d'un homme victime d'un acc
ale; par L. 111NOB. (Archiv f. Psychiat., , -- XXIV, 3.) . Quatre
observations
de paralysie aiguë de Brown-Sequard, autre- men
raie, sous l'influence d'un traumatisme, est des plus nettes dans l'
observation
V. Un homme de cinquante et un ans fait une chu
hémorragique; par Bucklers. (Archiv f. Psychiat., XXIV, 3.) Quatre
observations
avec autopsies et études microscopiques. L'infl
chronique; par H. OPPECIILIV. (Archiv f. Psychitit.,XXIV, 3.) Cinq
observations
avec autopsies.- La mieux étudiée des paralysie
natomie pathologique est peu avancée. De là, l'intérêt de nouvelles
observations
: - Observations 1 et II. Sclérose antéro-latér
e est peu avancée. De là, l'intérêt de nouvelles observations : -
Observations
1 et II. Sclérose antéro-latérale amyotrophique,
ns 1 et II. Sclérose antéro-latérale amyotrophique, type Charcot.
Observation
III. Sclérose antéro-latérale ayant revêtu l'aspe
pect d'une poliomyélite antérieure chronique (paralysie Ilasque).
Observation
IV. Phénomènes paralytiques étant survenus la n
posté- rieures avec léger empiétement sur lès colonnes de Clarke.
Observation
V. Atrophie ayant atteint la substance grise pos-
e de la sensibilité. P. K. XX. ETUDE .4N.1T01f0-P.aTIfOLOGIQUE et
observation
publiée par WEST- PHAL sous LE TITRE DE Un cas
par F. âlULLI : R. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 3.) tuit 'ne Deux
observations
. - . ' . , ., r " Observation I. A la suite d'u
Psychiat., XXVI, 3.) tuit 'ne Deux observations. - . ' . , ., r "
Observation
I. A la suite d'un ictus, la malade a perdu la pl
Lésion vasculaire syphilitique. Cécité psy- chique et corticale.
Observation
IL Tumeur cérébrale indéniable. Compression et
ant de son état mental, et c'est ce qui nous a décidé à publier son
observation
, dans laquelle on trouvera associés, condensés
en pour les provoquer, et est même parvenu, comme la suite de cette
observation
le montrera, à lui donner de véritables halluci
l résulte pour nous la conviction qu'au moment où nous publions son
observation
, la poussée ambi- tieuse est le fond même de so
de déclare qu'il a toujours été excessivement sensible à la moindre
observation
qu'on lui fai- sait ; alors même qu'elle n'étai
i obsessions; il est essentiellement^ conscient, et, ce sont des
observations
dans le'genre,de la sienne qui. justifient bien
MÉDECINE LÉGALE. Note.sur un aliéné homicide, étaient exposées une
observation
détaillée d'un aliéné meurtrier et une étude sé
hysiologie et de la patho- logie du cerveau.. - , , . . Quant à l'
observation
, son intérêt dépendait en partie de cette circo
aisait comprendre que la contradiction n'était pas réelle, et que l'
observation
, loin de constituer une, exception, rentrait au
il m'a paru utile de la relater ici;;en'mème temps que la fin de l'
observation
non publiééencoré. Je'rap- pellerai d'abord, en
<f»o sJsJ2non .'0 ? j ? tnuB a91ônu)"0-< rcrr vj<1 · - (.,
Observation
dans'laqueHe.]e : signe'foncti6nnet'Ie plus impor
i f' .ji,imivq : lie99'I(I tf jiioa Yu £ .,fon î$J oO)JjM)hr .Trois
observations
ayant ce, qui si.t-def reiiiarq ? ble. 91 go £ b
Trois observations ayant ce, qui si.t-def reiiiarq ? ble. 91 go £ b
Observation
I : Femme de quarante ans; la sensibilité tactile
le du palais et des cordes vocales,' troubles de la' déglutition).'
Observation
11-Par«ésie des extrémités -gauches',j pas d'at
? · ? J- ' - J.. [. l . atlUAnlulJt·t U .W . 4t · f( 1 z l· tlnr
Observation
d'alexie sous-corticale avec conservation de l'ac
syllabe. ,,, ^ .<v,u,i,,a^ rl i,L,0 q" 'r Ce qui distingue cette
observation
de l'alexie sous-corticale pure, - ..y- ? i0 W1
Par P.. SEIEIT' (NelrOlO9. Centralbl., 1893.) De ces deux nouvelles
observations
,' rapprochées des anciennes (liendél; Hii·t ? A
ei'2ti ? ctlbl-. 189 3.)' I iL 41t : : " 1 - Synthèse de dix-huit
observations
. D'après l'auteur il s'agit d'une névrose profe
nique. P. K. tu". >-«> .... ! t - 1 n ? Y. · 1 ' , XLI. Une
observation
i de TROUBLE UyILITÉR.·1L DE la mobilité DU GLOBE
893.)' ' ? ? ' * a ? ? ' - I I n - . 1 - Etude nosographique. Trois
observations
: tabes dorsal; paralysie spinale syphilitique;
state de .graves lésions'dans le domaine du nerf optique. Une autre
observation
, intéressantes urtout pour la théorie est celle q
per et laisser croire' une atrophie d'origine cérébrale. Dans son
observation
de pouls lent permanent l'auteur conclut qu'il
de 0,16 p. 1000.- Ili faisait tolalement défaut dans la mo.tié des
observations
et toujours dans les états de diarrhée et de ca
' fj ? )' ! aI·Ill.,dllrfU71 ? nuirr ;1 W a'wwiiui.'itr ) ' . r *
Observation
, accompagnée d'autopsie, et montrant une fois de
, ., r,t,v t rer ye ? rl''· ,r n·.... -q '-Pl ...ryw.9 .r ? Vingt
observations
,de tabes à durée /variable, , dont six examens,
de tabes à durée /variable, , dont six examens, microscopiques; une
observation
de compression des^ racines de la queue de chev
ière,celadesdeusc6tés(quelques,cas) ? h>i ? t,, ' La plupart des
observations
témoignent dâun,anLaonisme entre - ,- 1 1 . u p
tent de formuler, aucune hypothèse à ce sujet. ( n^f»,,) ^V ' Trois
observations
, décelant un myosis bilatéral 'avec' absence de
il 1 .rtna' r i. raal rr <l<<5l ' ? .·. 1., . ,. Quatorze
observations
., Lésions ^des fibres, nerveuses, du tissu conj
e nature hypochondriaque, de légères anomalies de l'humeur."3Doùze"
observations
? ' La' dyspepsie,' continue l'auteur, provoque
r CoNOLLY NORMAN. (The Joürncil ôfJlèztnl Science, juillet 1890.)
Observation
, accompagnée de planches photographiques, d'une
ntérêt de ce cas réside' presque tout entier dans l'autopsie, car l'
observation
clinique fait4à peu près complètement défaut. &
chez l'homme; par IIoesel. (Archiv. f. Psychiat., XXV. 1.) Seconde
observation
de dégénérescence secondaire du ruban REVUE D'A
, i, 2.) ? ,a. .1,, 1 ? 1au ' 'lr ,ir.elV'9 o i. ` 9nrr ,·, ', Deux
observations
: Observation I. Carie du rocher ayant détruit
.1,, 1 ? 1au ' 'lr ,ir.elV'9 o i. ` 9nrr ,·, ', Deux observations :
Observation
I. Carie du rocher ayant détruit le facial. Dég
inférieure et monte ensuivant la corne postérieure jusqu'en haut''(
observation
); 4°' localisation de l'affection à la'moelle*
°' localisation de l'affection à la'moelle* lombaire d'un ? côté ' (
observation
) ; 5° pseudotabes gliomateux Friédreicli,'Simôn
analyse anato- mi' qe comp@ 1 ète ? et l'examen* correspondant^ des
observations
- ? · . ,s ·aJ'r.r·rE c,ta LluA1 rloti iltbl)00
;//Z ^oiA'juv'î "WtftwM ..ihki.tS Oti 't w1'mr· *i *>. (t . Deux
observations
ayant pour caractères communs l'existence d'un
citittt. XXV9). U,l ? 7J : bA : wuq urv ,·cr,ar,. I. xi'9*i Douze
observations
: Conclusions : 1° Les'troubles de la nutrition
u associer, s'il se peut, plusieurs méthodes 7\ tsq P. K. xxxii une
observation
demphtseme généralise ? de LA" peau; ' ? - par
·V9h t·f ♦->'- t ? ? p 9t;Trftt;1 ? tfD7 Statistique de dix-neuf
observations
à l'étude histologique com-. plète, eniprântés'
rsal; par R. VOLLEUBEAG. (Archiv ? Fi ? cAM(., XXIV, 2.) , Quatorze
observations
. Tous les éléments des ganglions en ques-' lion
'appareil qui en est l'objet. R. M.-C. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I.
Observations
SUR LES stigmates permanents laissés par l'ergo
).1; examen des malades dans leur patrie le 6 juin 4892. Vingt-neuf
observations
montrent que certains signes de lésions cérébro
' progressifs ? < ? "' '" ? ' Voici maintenant 'trois nouvelles'
observations
d'ergotisme 'avec épilepsie et , psyhopathie. (
e 'avec épilepsie et , psyhopathie. (Obs. ' XXX, XXYi ? XXXII.) L'
observation
XXXII offre les particularités, suivantes : ,-
-même qu'il serait prématuré de tirer des conclusions d'une'série,d'
observations
qui ne portent que sur. cinq malades;'on ' ne,
E ? l"" L.Î3'ft%- 'Ce qui manque. au travail de M. Sollier, c'est l'
observation
suivie de plusieurs paralytiques géné- raux pen
t;<ylr ? , , I ? .'«ÎOff'i "7^rr';v>r'nrn«"l II ? 07 K ? Deux
observations
d'obsédés ne présentant aucune tare neuropa- th
u monde avec de la «^fragilité nerveuse^.A ;.si; asa.9SA La seconde
observation
, est celles d'rin;âarçonl,coilfeur,rpris de fra
neuropathique. ' M/.BALLET n8 pense pas qu'on doive s'appuyer suri
observation
de de San don ,J car son'àutopsié'à'été' faite1
ôs. (Thèse'de Mont- pellier, 1893-94, n° 4.) "" " ' "" " ' "" , L'
observation
qui est'le. point de départ de ce travail est', c
rapportée,'idans*ceicas,0à"laiblennorrhagie. Em- pruntant d'autres^
observations
) a.TtaIIttérature'mêdicaJe,'M.'Gros rappelle qu
s allons formuler : '1" La première consiste à n'utiliser que les
observations
pré- sentant des garanties sérieuses d'exactitu
rincipe, impropres l'élude des localisations cérébrales, toutes les
observations
, anciennes ou récentes, dans lesquelles les sym
ascendante, qu'elle atteint par conséquent la zone motrice et que l'
observation
, loin de contredire les doctrines modernes, 1 C
fragments de ces parties à l'examen microscopique. 2° Toutes les
observations
bien recueillies ne sont pas égale- ment favora
Nous ne voulons pas dire qu'il n'y ait aucun profit à tirer de ces
observations
. Il faut au contraire les recueillir et les ana
er les éliminations qu'il est nécessaire de faire dans le choix des
observations
applicables à l'étude des localisations cérébra
blie qu'elle reposera sur la .comparaison d'un plus grand, nombre d'
observations
confirmatives.. ? 1, ! ... . « ? ,<., , En
porté à la considérer comme la cause- de. la paralysie et voilà une
observation
contra- dictoire à classer dans le dossier des'
saccord flagrant 'entre les affirmations des physiologistes "et'les
observations
des cliniciens, ces derniers doivent accorder t
faits pathologiques faciles à constater, n'osant pas tirer de leurs
observations
les conséquences logiques qu'elles comportaient
r inconsidérément des.géné- ralisations hâtives ou de subordonner l'
observation
, à des théories. Ne cherchons pas à dominer le
aï ne fut débarrassé de ses visions qu'après une saignée. Certaines
observations
de Broussais, de,Brière de Boismont, d'autres e
ais, au lieu de discuter, je mé bornerai à citer un fait, qui est d'
observation
banale et quotidienne. ' Wulter Scott, loc. cil
. <n9nBfT''JPt ? t'f "inrMjjTi» e.a»f.f'ii ? xS-<» - ... ' ,
Observation
.. ,.A. lliarie,, treize ans, entre a la clinique'
arquesifaitescnou ? allons3 : donner, intégralement -le ,,texte des
observations
de 11 : le D'' Blaitc.3lsI3 es ,aUi/91nu Hm "ui
i/91nu Hm "ui.ee oh z9ttl. si Iuoq ? qj.foo , .19(fllgbgi biioq a
OBSERVATION
L v,Jean-I3aptiste L ? IseptiaiZSret demi. Type .
9 ficvr au ia iioil.6-ijqo'l Snsvb 2yxJali;v· ? u', .3. . ,n°r 11 '
Observation
II. Pierrette H..., trois ans : Idiotie complète
'-'K" >t .âjü 1 amalo eSJnt;#xoqtIII auiq ? na.mf.l , tor ? r
Observation
III. Antoine F..., cinq ans. Crâne très dur et tr
superflu d'insister sur l'insuffisance des détails cliniques de ces
observations
. En pareille circonstance, REVUE DE THÉRAPEUTIQ
ions. En pareille circonstance, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 277 1 les
observations
ne sauraient être trop7détaillées. Ce qu'il faut
s un importntm-moire,M.,Marandon,deMontyeI établit, par une série d'
observations
^ un fait clinique'aussi intéressant que peu con
91li-mon.fi .11LID é pcq J1.6brici- , i- .. . L'auteur publie deux
observations
intéressantes; la première est relative à une p
ilis acquise, avec gommé du'iobe'frontadroit ? "' Cette dernière,
observation
;, surtout,, recueillie avec beaucoup de REVUE D
? b ? t ? ,,um ni) t'tftt/u aavf r92LüI' 'h C'est le résumé d'u'ne"
observation
d'hypertrophie du cuir chevelu, '^98 HEVUE9DE P
Foy a pensé qu'il y aurait intérêt a'résumer'et à reproduire celle^
observation
, puisque des cas récents, en assez grand^nombré
, o1`·L, , ,3J ,-ta niiol v.. ' iM..i- . I.. * L'intérêt de cette
observation
réside surtout dans la durée du .temps pendant
J,i 4k £ JMÇD rlnrfRtl6l fl li e9^f ;àiifa J09cr;9T<jiiibi Celte
observation
est intéressante à un, double, titre ; ills'aÇit,
iézée,'âvril'i393.) p ar .-C. SULLI ? 4 lîa en , 'avril'1893.)- L'
observation
clinique .du malade montre nettement que 'la per-
ÉS ? SAVANTES. M*.1.RN.ULT..= Les malades dontgej vous apporterai l'
observation
ne sont. pas des^dégénérés; on. peut.cependant
S troubles DE la parole ET DU développement de la parole, D'APRÈS l'
observation
" ! des, enfants dans les jardins, publics ; par
sp. di fren., t. XIX, fasc. 4, 1893.) ? vu9Ammla wiTaj.ua III. Une
observation
d'épilepsie jachsonienne par auto-intoxication
ytique, toutes ces particularités nous ont paru dignes d'intérêt.
Observation
'. Paralysie générale. (Signes somatiques et psyc
tieuses et de persécution. Internement. Persistaizec durant trois 1
Observation
communiquée à la Société de médecine mentale de
erons également que pour mémoire certains points de détail de notre
observation
: à savoir l'alcoolisme du père; la syphilis^pr
rices verbales n'a pas été un"des traits les moins curieux de cette
observation
: La description qu'en donnait là malade était
lisée dans aucun, des organes périphériques -.signalés dans- les
observations
antérieures, mais, bien dans les dents;,iles hall
d'autres affections cérébrales.'1'1^ ti u ? M. Christian rapporte l'
observation
d'un malade de cinquante et un ans,-non.paralyt
i qrno')jjE8 3')(. tj'q .tTrf<p"v aa wliLq rb 9)<j[po ? tu ^
Observation
, Xlll.t, Aurmilieu tdiiLcalmcle le plus,complet;
'ft il ? 1F,1'F ? ii ? >0 r···f lt.-v.Kspf 'h nfg 'l{ ? }f'l"l ,
Observation
,. XIV. Paralysie générale à la première période :
\TttCIC'c. ^-' ? iv» -<*-n"rf~ .1 v-'ii ci-- .rrft(. ' ..< )
Observation
XV. Aucours d'un accès .a mélancolique chez un
lui-'m'ê;n'e"'é'n4"'a'r"rlë'r'e dti"'é*'e'ntre' dù' là'X'y'nx'. Les
observations
cliniques confirment ces données expérimen- tal
pariétale 'ascendante gauche comprimant les parties voisines) ; les
observations
de Pétrina (1 ? cas : trismus durant un jour; à
iüveàùdé'l'extrémité'inférié'cre`'de'lizYfrôrîlàl2'âsceüdânte ? " L'
observation
que nous rapportons' ici tend'à confirmer cette *
, que la malade mourut de pneumonie. Avant de terminer cette longue
observation
, rappelons-en brièvement les traits principaux
it. L'auteur met en, parallèle certains passages de Poë et quelques
observations
prises au hasard parmi des observations de dips
passages de Poë et quelques observations prises au hasard parmi des
observations
de dipsomanes et il en'montre'la'similitude.' E
ur, appliquant ces distinctions à la clinique, rapporte plu- sieurs
observations
détaillées, analysées avec-beaucoup de détails.
pruntées'à la photographie. Les faits tirés de l'hypnotisme et de l'
observation
clinique des hémi- plégiques permettent de pens
nts relâchés ensuite, sans être envoyés à l'asile, après une courte
observation
. Pour lui, bien peu de ces ivrognes étaient nor-
< r*% ? ( ? Gdimbourâ) ? <1'' ' '. « L'auteur rapporte trois-
observations
, personnelles d'aliénation causée par cette int
a : Fa.'t4' ° -c- re9^'ly ,n=,, trr0 t" 3 bf. JoLr.Ÿ se défie de l'
observation
des intoxications personnelles. M ? Sioli. Cont
que par l'apport de documents nouveaux. A ce titre, nous publions l'
observation
suivante : 1 Fournier. Syphilis et paralysie gé
elle serait la rubrique sous laquelle pourrait être classée cette
observation
. En d'autres termes, et pour adopter le langage
»l ? &" "ilC -Ta x I` -> J >"» - ' 1 A la"' lecture de l'
observation
ion a pu voir' que l'équilibre était plus' ou m
énérale ? C e p'é n d a' in't 1 1 oane - n'est, plus. à compter les
observations
ourles - - , " * " 1 -d e sont. montrées associ
t " «VIT ,'>''7 l 'u- *'< . Le second point que soulève cette
observation
est relatif au rôle de la syphilis comme facteu
Comme preuve à l'appui, et en manière d'épilogue, vient s'offrir l'
observation
du mari de la malade, auteur de la conta- gion.
par le jugement sur la conduite des examinés que j'ai soumis à une
observation
. directe et prolongée pendant nombre d'années,
sub-microcéphalie frontale; 14° autres anomalies du crâne dignes d'
observations
; 15° cheveux (épais, hérissés, leur couleur, e
, soit à une immobilité complète ou presque complète d'une iris (12
observations
), soit à une paré si d'un des nerfs moteurs de
ervations), soit à une paré si d'un des nerfs moteurs de l'eeil (14
observations
se décomposant en : 6 fois, l'oculo-moteur comm
secondaire, avec alternative de stupidité et ;d'agitation ; 4° Deux
observations
de parole -^intérieure] double*, dans la folie
e stupeur; elle subsiste dans les épisodes d'exaltation ? - 5° cinq
observations
de démence paralytique montrent la. ré-1 gulari
obs-èr-va ôii > ? t ? 'i' 1 ^ 9p, a-il f ert ? 211'l La seconde
observation
concerne aussi une femme de trente ans. En avri
sation. Nous basant sur l'amélioration cons- tatée dans la première
observation
; bien qu'on n'ait pas trouvé de tumeur à l'opér
directe le>chiasma, le bulbe, le cervelet. > t, La troisième
observation
'se traduit'par des ? symptômes du même genre q
iquide céphalo-rachidien, car- il y a, amélioration comme dans les,
observations
. précédentes. Puis, la malade meurt, paralytiqu
, diagnostic» SOCIÉTÉS SAVANTES. 461 (kyste apoplectique); quatre
observations
témoignent d'un dia- gnostic exact sans localis
j w .t IX. Bibliothèque d'éducation spéciale (mémoires," notes et'
observations
sur' l'idiotie)aT : ' II· : Rapports et mémoire
s. Lejdiagnostie laissë aussi fort à désirer surtout dans certaines
observations
, où. j il·ést;cônclü ? à;dë"s trôùblés cérébraux
m- munes, ou; avec, prédominance d'unj,symptômê et 'reprend ^avec
observations
, nombreuses, à l'appui, 12 o e a u-an de ' vue
^avec observations, nombreuses, à l'appui, 12 o e a u-an de ' vue
observations
, nombreuses, Lion .t1è-, I ! étiojogie,au. point
.. par l'électricité, par Imbert de la Touche, 445. Obsédés, deux
observations
d' ,, par Gorodische, 231. 1. 1. 1 Obsessions
u chez les aliénés, par Marendon de Montyel, 283. Somnambulisme ,
observation
de par Ireland, 383. Sommation , seize observ
omnambulisme , observation de par Ireland, 383. Sommation , seize
observations
de demi , par C. Mayer, 142, 184. SI'LENO-TII
TÉTROKAL, trional et , par Mabon, 28r.... ,m 1 Thrombose, deux
observations
de , autochtones des sinus cérébraux, par Buc
pos de ces mêmes phénomènes, exposant les résultats des nombreuses ~«
observations
de contrôle » que nous avons poursuivies ensemble
ieuses et patientes recherches sur l'épilepsie et sur l'hystérie. Ses
observations
ont été consignées dans diverses publications 1 e
de publication. Quelques-unes des malades qui ont été sou-mises à mon
observation
, et dont il est question dans ce livre, avaient d
on des symptômes. Cette descrip-tion est suivie d'un certain nombre d'
observations
destinées à prouver qu'elle ne s'applique pas spé
de cet ouvrage, les noms de mes amis et de mes confrères qui, par des
observations
puisées dans leur clientèle privée, m'ont mis à m
Les malades sont inquiètes, jalouses, soupçonneuses et 1. Voyez son
observation
clans l'Iconographie photographique de la Salpêtr
thique, par le docteur J. Moreau, Paris, 1869, p. 17.) 3. Voyez son
observation
dans Ylconog. phot. de la Salp., t. I, page 49..
en. » Elle se laisse ramener sans faire de difficultés, et aux justes
observations
que lui fait mademoiselle B..., elle répond : « J
Je rapporterai ce qui est consigné à la date du 18 mars 1878 dans l'
observation
de Marc... Marc... a eu des accès dans la matin
es acquièrent parfois une violence extrême, et on lira avec intérêt l'
observation
rapportée à ce sujet par Baillarger (des Hallucin
réquentes chez les hystéro-épileptiques. Baillarger fait suivre son
observation
des remarques suivantes : « Si on se re-porte à u
pileptoïde qui inaugure l'attaque semble résulter de leur fusion. L'
observation
suivante nous montre ces divers troubles du mou-v
stériques et peut se rencontrer parmi les prodromes de l'attaque. L'
observation
dellosenthal rapportée plus haut en est un exempl
s variées. Ce procédé graphique est venu confirmer ce que la simple
observation
avait déjà donné, et nous divisons en trois phase
s'est passé... » Ceci est absolument vrai 1. Dans son intéressante
observation
d'hystérie avec catalepsie et somnambu-lisme, pub
erses phases est susceptible de grandes variations. § G. — QUELQUES
OBSERVATIONS
. — VARIÉTÉS DE LA PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE. Avant de
nts cloniques généralisés semblables â ceux qui sont décrits dans les
observations
précédentes. 3° Phase de résolution. — La résol
rc de cercle chez presque toutes nos malades; nous verrons dans les
observations
que nous avons Fig-. 43. Contorsion. pu recue
e, avec les hallucinations et le délire. Je pourrais multiplier les
observations
de ce genre, toutes égale-ment probantes. Je me b
re, toutes égale-ment probantes. Je me bornerai à consigner une autre
observation
dans laquelle les attitudes illogiques avec tous
uvent les quelques notes qui la concernent consignées ci-après. Les
observations
suivantes sont destinées à mettre en relief les c
le fait des efforts pour saisir le papier sur le-quel je consigne son
observation
. Puis complètement revenue à elle, elle déplore
ents, borborygmes, etc.. Je rapporterai à titre d'exemples quelques
observations
dans lesquelles ces différents troubles musculair
de légers mouvements convulsifs dans les bras. « 20 octobre 1872. —
Observation
Ler... —Attaque hystérique, avec con-torsions vio
e ce qu'elles perdent en intensité. Si nous essayons de résumer les
observations
que nous avons faites à ce sujet, voici comment,
persistent au contraire pendant un temps fort long. Voici quelques
observations
dans lesquelles la durée des diverses périodes a
APITRE VIT FAITS NOUVEAUX A L'APPUI DE LA DESCRIPTION PRÉCÉDENTE.
observations
nouvelles recueillies a la salpêtrière. observati
ON PRÉCÉDENTE. observations nouvelles recueillies a la salpêtrière.
observations
inédites recueillies en dehors de la salpêtrière.
rière. observations inédites recueillies en dehors de la salpêtrière.
observations
puisées dans les annales de la science. Dans l'
nde partie de notre démonstration. Dans ce but, nous avons divisé nos
observations
en trois catégories : I. Observations nouvelles
ce but, nous avons divisé nos observations en trois catégories : I.
Observations
nouvelles recueillies à la Salpêtrière. IL Obse
ries : I. Observations nouvelles recueillies à la Salpêtrière. IL
Observations
inédites recueillies en dehors de la Salpêtrière
des venues de différents points de la France ou de l'étranger. III.
Observations
puisées dans les annales de la science. — Auteurs
ons puisées dans les annales de la science. — Auteurs étrangers I
Observations
nouvelles recueillies à la Salpêtrière. Nous av
ns nouvelles recueillies à la Salpêtrière. Nous avons réuni ici les
observations
relatives aux nouvelles malades hystéro-épileptiq
et quelle part, dans l'espèce, doit revenir à l'imitation. PREMIÈRE
OBSERVATION
. Suzanne N..., âgée de dix-neuf ans, petite, br
était depuis quel-ques mois dans le service de M. Charcot. DEUXIÈME
OBSERVATION
. Léonore Rob... est entrée le27mai 1879 dans le
es attaques, et l'apparition de la contracture partielle. TROISIÈME
OBSERVATION
. Juliette Dub..., dix-huit ans, forte, grande,
des choses, c'est trop triste pour le dire; » etc., etc. quatrième
observation
Math... âgée de vingt ans, petite, brune, très
sur ce dernier point au sujet des variétés de l'attaque. CINQUIÈME
OBSERVATION
. ErnesLine Pil..., dix-sept ans, est entrée le
ait un redoublement des cris doulou-reux et de l'agitation. SIXIÈME
OBSERVATION
. Del..., dix-neuf ans, entrée le 10 mai 1879, d
ois pendant 36 heures, et dont il sera question plus loin. SEPTIÈME
OBSERVATION
. Rose L..., dix-huit ans, est entrée le 4 septe
, retour in-complet de la connaissance, visions d'animaux, etc. Les
observations
que nous venons de rapporter ont toutes été recue
revue les nombreuses variétés de la grande attaque hystérique. il
Observations
inédites recueillies en dehors de la Salpêtrière.
ins souvent forcés des attaques les uns des autres; les sujets de ces
observations
ont vu leur maladie naître et évoluer sous les cl
on, M. Charcot affirma la nature hystérique de 1. Nous devons cette
observation
et les suivantes (obs. il, m, iv, v, vi, îx, x, x
mune à son sexe. Je n'ai rien voulu retrancher à cette intéressante
observation
, malgré l'étendue des détails étrangers au point
s les attitudes pas-sionnelles étaient nettement accusées. DEUXIÈME
OBSERVATION
. Madame X... arrivait d'Auvergne à Paris le 4 d
ent de la partie supérieure du corps qui est indiqué ici. TROISIÈME
OBSERVATION
. Au mois de mai 1872, le docteur Rrongniart adr
u l'occasion d'observer si fréquemment chez nos ma-lades. QUATRIÈME
OBSERVATION
. Madame X..., de Bar-sur-Aube, est entrée à l'i
che au début de l'attaque comme signe épileptoïde, puis, comme dans l'
observation
précé-dente, les mouvements de projection du bass
de projection du bassin et l'attitude de Varc de cercle. CINQUIÈME
OBSERVATION
. Hystéro-épilepsie. Crises nerveuses. Vomisseme
xaspération et à un emportement sans raison. Nous voyons dans cette
observation
les crises présenter nette-ment accusés les phéno
les intel-lectuels et sensoriels de la période prodromique. SIXIÈME
OBSERVATION
. M. Pascal a publié dans le Mouvement médical 1
ait entrée à l'institut hydrothérapique le 6 janvier 1872. Dans cette
observation
, rédigée plus particulièrement au point de vue de
bles intellectuels qui caractérisent la quatrième période. SEPTIÈME
OBSERVATION
. M. le docteur Bouyer a observé, à Saintes, un
harcot, et le docteur Bouyer a publié les principaux détails de cette
observation
dans la Gazette des hôpitaux de 1878 et de 1879.
ssemblances avec celles de nos malades de la Salpêtrière. HUITIÈME [
OBSERVATION
. Nous devons à M. Charcot la relation d'un fait
iagnostic difficile. Au sujet du petit malade dont on vient de lire l'
observation
, je ferai remarquer de quelle importance a été po
(arc de cercle) qui s'est rencontrée pendant les attaques. NEUVIÈME
OBSERVATION
. Mlle Marie X..., âgée de seize ans, arrivait d
as eu la moindre re-chute depuis qu'elle a quitté Passy. Dans cette
observation
plus complète que les précédentes, nous voyons s'
ui caractérisent la troisième période de la grande attaque. DIXIÈME
OBSERVATION
. Hystéro-êpilepsie. Contracture de l'œsophage.
n'avaient pas reparu et la déglutition se faisait très bien. Cette
observation
si intéressante, en outre des accidents de con-tr
'extase, que nous avons observée plusieurs fois chez Gen... ONZIÈME
OBSERVATION
1. Madame X... est âgée de vingt-sept ans; elle
de sang par les sangsues appli-quées après chaque époque. 1. Cette
observation
a déjà été publiée dans le Moniteur de la santé,
e, contracture de la main gauche, amaurose passagère, etc. DOUZIÈME
OBSERVATION
. Cette observation m'a été communiquée par M. W
main gauche, amaurose passagère, etc. DOUZIÈME OBSERVATION. Cette
observation
m'a été communiquée par M. Weill, externe des hôp
istants, et la crise se termine par d'abon-dantes larmes. TREIZIÈME
OBSERVATION
. J'ai eu l'occasion d'observer au mois de juill
ait entendre une hystéro-épileptique de la Salpêtrière. QUATORZIÈME
OBSERVATION
. M. le docteur Galmels, de Carmaux (Tarn), a eu
ète ni incomplète. Quant aux faits recueillis et consignés dans mon
observation
, je les donne comme absolument empreints de la pl
'électricité. Dr Calmels. Carmeaux, 21 novembre 1879. QUINZIÈME
OBSERVATION
. Cette observation et les suivantes sont dues à
lmels. Carmeaux, 21 novembre 1879. QUINZIÈME OBSERVATION. Cette
observation
et les suivantes sont dues à l'obligeance du Dr T
provoquée par le regard fixé sur la lumière d'une bougie. SEIZIÈME
OBSERVATION
. Hystérie. Hyperesthésie ovarienne gauche. Paré
parle les trois langues et reprend son état habi-tuel. DIX-SEPTIÈME
OBSERVATION
. Hystérie. Légère ovarie droite. Attaque convul
s ' qu'un vague souvenir de ce qui vient de se passer. DIX-NEUVIÈME
OBSERVATION
. Hystéro-épilepsie. Hémianesthésie et achromato
autre. Elle est alors en état de mal hystéro-épileptique. VINGTIÈME
OBSERVATION
. Hystéro-épilepsie. Prédominance de l'attaque é
arésie très marquée des extrémités inférieures. « VINGT ET UNIÈME
OBSERVATION
. Hystéro-épilepsie. Prédominance de l'attaque d
ous ceux qui l'entourent de la soulager au plus tôt. VINGT-DEUXIÈME
OBSERVATION
. Hystéro-épilepsie avec prédominance de l'attaq
e pleurs le terminent habituellement. En résumé, sur ces vingt-deux
observations
de grande hystérie que nous sommes parvenu à recu
parvenu à recueillir en dehors de la Salpêtrière, nous trouvons sept
observations
dans lesquelles les attaques n'ont présenté qu'un
s (obs. xi), de Marseille (obs. xn). La malade qui fait le sujet de l'
observation
xiv n'est jamais venue à Paris, et c'est à Garmau
elle prenne naissance en France ou se développe à l'étranger. III
Observations
puisées dans les annales de la science. Cette t
e qu'il est facile de constater par Texamen de quelques-unes de leurs
observations
dans lesquelles, malgré une certaine confu-sion,
on de l'insuffisance des relations qui en ont été l'objet. PREMIÈRE
OBSERVATION
l. L'observation que je vais décrire a été fait
e des relations qui en ont été l'objet. PREMIÈRE OBSERVATION l. L'
observation
que je vais décrire a été faite, il y a sept ans,
endit moins excitable. Au milieu des détails un peu confus de cette
observation
re-cueillie au commencement du siècle, nous voyon
des forces et de la gaieté. Il est assez remarquable que dans cette
observation
, et dans celle qui précède, la maladie soit surve
ouffrir les deux malades, au point que celle qui fait le sujet de l'
observation
xv ne put dormir pendant les trois jours qu'elle
lement leur éruption parois-soit se faire plus difficilement. Cette
observation
du même-auteur que la précédente, est un exemple
s compliquées de catalepsie. 2. J.-G.-F. Maisonneuve, Recherches et
observations
sur l'épilepsie. Th. in-8°. Paris, an XI, p. 173
re, l'écume à la bouche, et le visage qui devient hideux. QUATRIÈME
OBSERVATION
1. Sur une attaque d'hystérie portée au plus ha
posantes que je crois avoir assez détaillées au commencement de cette
observation
pour n'en pas faire ici mention. Je n'ai pas cr
aire ici mention. Je n'ai pas craint de rapporter entièrement cette
observation
un peu longue, parce que plusieurs accès y sont d
ractérisent souvent la quatrième période. CINQUIÈME OBSERVATION1.
Observation
incomplète d'hystérie grave. La malade présenta d
passionnelles sous l'influence d'hallucinations erotiques. SIXIÈME
OBSERVATION
. Caillot, dans sa thèse inaugurale (Dissertatio
s mena-çants. Je crois devoir rapprocher de cette particularité une
observation
qui m'est propre. Une dame, également recommandab
rop petite, et me serrant la main, j'étais son confesseur. SEPTIÈME
OBSERVATION
. Dans un petit opuscule tendant à prouver que l
l'hystérie a son siège dans le cerveau, II. Girard rapporte plusieurs
observations
d'hystérie. Dans l'observation XIIe, malgré peu d
erveau, II. Girard rapporte plusieurs observations d'hystérie. Dans l'
observation
XIIe, malgré peu de précision dans les détails, i
lique soif, appétit augmenté. (Potion antispasmodique1). » HUITIÈME
OBSERVATION
. M. Baillarger parle d'un cas d'épilepsie qui n
quelque temps dans un état de véritable illumination 2. » NEUVIÈME
OBSERVATION
. Lors de la discussion qui s'éleva en 1858 au s
s extraordinaires, M. Brierre de Boismont donna communication de deux
observations
fort in-téressantes dans lesquelles on voit s'ajo
de délire ou d'extase par les-quels l'attaque se terminait. DIXIÈME
OBSERVATION
1. R... (Maria-Annette), vingt-cinq ans, coutur
epsie ou bien s'y mélangeant. Nous retrouvons facilement dans cette
observation
la première période (période épileptoïde) et la d
nique, clonique et résolutive avec stertor, écume et stupeur. Cette
observation
présente au complet tous les éléments de notre de
est parlé, suffisent à ca-ractériser la troisième période. DOUZIÈME
OBSERVATION
i. B... (Henriette), âgée de vingt-six ans, lin
isme, bien que l'ordre de succession paraisse interverti. TREIZIÈME
OBSERVATION
l. D... (Fanny-Dôsirée), âgée de vingt-cinq ans
de l'hystérie, ou grande hystérie. J'ai rapporté tout au long cette
observation
, car, en outre des attaques, il est, entre les ph
vait eu déjà une peur très vive en voyant sa mère assassinée. Sur l'
observation
prise à l'époque de son entrée dans l'asile, nous
u'elle a fait un mau-vais rêve. Les attaques rapportées clans cette
observation
présentent de grandes analogies avec notre descri
veillée, elle ne connaissait même pas la fable de nom... Dans cette
observation
, l'attaque débute par des phénomènes épileptiform
lle est chez nous. C'est ce que, d'ailleurs, nous ont déjà appris les
observations
de M. le docteur Thermes rapportées dans le parag
'apathie qui disparais-saient en vingt-quatre heures1... » Les deux
observations
qui suivent ont été recueillies en Ecosse par M.
n était suspendue, et l'attaque était en définitive prolongée1. Les
observations
précédentes que de plus longues recherches pourra
s'attache à l'étude des variétés souvent si multiples d'un même 1.
Observations
d'hystéro-épilepsie, par Thomas Inglis. F. R. C.
ni entendent, et cependant elles tiennent des propos sensés, font des
observations
fines et judicieuses, mais bientôt déraisonnent,
lpêtrière, ont un caractère de précision scientifique qui man-que aux
observations
de Louyer-Villermay, et se rapprochent beaucoup p
ts convulsifs variés qui composent les deux premières périodes. Les
observations
d'hallucinations dans l'hystérie ne sont pas rare
la retrouverons lors de la description de l'attaque démoniaque. Les
observations
suivantes que nous empruntons à l'ouvrage de Hamm
, si l'on veut, le rudi-ment de celui-ci, est facile à saisir, et les
observations
qui suivent en fournissent aisément la preuve.
se rencontre guère dans l'état de mal de l'épilepsie vraie. Dans l'
observation
qui suit et qui a trait à une malade hystéro-épil
ous avons eues sous les yeux, elle est en quelque sorte le résumé des
observations
prises à leur lit, et peut être considérée comme
lète de la variété de la grande attaque que nous étudions ici. 1. L'
observation
du D'" Thermes, rapportée plus haut (p. 226, 21'=
le nom d'attaque démoniaque. Les traits en peuvent être atténués. L'
observation
suivante empruntée au Journal de Corvisa,rt est u
un peu in-tenses de l'hvstérie vidi'aire. J'en rapporterai quelques
observations
. L'année dernière un docteur d(3 province écriv
s avons re-présentés fig. 50. Les accidents variés consignés dans l'
observation
suivante et que le D'Kennedy rapproche de la dans
a publié dans les Annales médico-psycholo-giques de janvier 1844, une
observation
fort intéressante qui nous paraît devoir être cla
ant à la variété dont il s'agit ici. Voici un ré-sumé de cette longue
observation
: Louise Alonier, âgée de dix-sept ans, taille
-viennent quelquefois à la suite des inhalations d'éther. Parmi les
observations
d'extase que l'on trouve dans les auteurs, un gra
» Elle gémit et paraît regretter de ne plus avoir ses visions K L'
observation
suivante, rapportée par M. Duboisay sous le titre
la règle ce qui n'est que l'exception '. Le D' Sanderet a publié l'
observation
d'une jeune fdle extatique; tout particulièrement
de balan-cement (pie no'is avons déjà fait remarquer. » Encore une
observation
: malgré .son apparente insensibilité, elle sembl
t s'éloigner de la grande névrose, j'ai divisé en deux catégories les
observations
recueillies à ce sujet : a. Duns la première, l
es singuliers de délire qu'a présentés le jeune malade dont je dois l'
observation
à mon excellent ami P. Poirier, interne distingué
tes, et demande en riant ce qu'il a fait depuis une demi-heure. Les
observations
d'attaque d'hystérie accompagnées de délire ne so
Stuttgard, 1834) Je ferai remarquer, au sujet de ces deux dernières
observations
, les analogies qui existent entre la nature des h
Je choisirai à titre i. BaiUif. loc. cit., p. 50. d'exemple trois
observations
parmi celles que rapporte le Mo-reau de Tours. Da
tions parmi celles que rapporte le Mo-reau de Tours. Dans la première
observation
on verra se pro-duire alternativement et les déso
stement hystérique et qui dure trois jours. Enfin, dans la dernière
observation
, les accès de délire se mon-trent tout d'un coup
dispositions morbides ou phy-siologiques du sujet sur lequel porte l'
observation
, malgré son importance capitale, a peut-être été
s assertions. Je dégagf ces faits à mesure qu'ils se produisent à mon
observation
, je les détache de la doc trine qui les dénature
us. Je ne puis rapporter ici dans tous leurs détails les nombreuses
observations
qui ont été faites à ce sujet sur nos hystériques
es traits reflètent l'expression du geste. t. CeUe première série d'
observations
date de l'année 1878, et la plupart d'entre elles
me, le même mouvement du pavillon de l'oreille se produit. DEUXIÈME
OBSERVATION
. — HÉMILÉTHARGIE ET HÉMICATALEPSIE EXISTANT ' SIM
EXISTANT ' SIMULTANÉMENT CHEZ LE MÊME SUJET. Nous avons vu, dans l'
observation
précédente, la catalepsie pro-duite par l'impress
ut indiffé-remment occuper l'un ou l'autre côté du corps. TROISIÈME
OBSERVATION
. — CONTRACTURE PERMANENTE ARTIFICIELLE. Les con
rique, survenue spontanément chez une reli-gieuse, la sœur P., dont l'
observation
a été publiée tout au long dans le Progrès médica
tion a été publiée tout au long dans le Progrès médical \ quatrième
observation
. Comme complément de cette étude de la cataleps
tre de pathologie comparée qui ne serait pas sans intérêt cinquième
observation
. '¦— catalepsie et léthargie hystériques produite
eux de la malade, et la catalepsie n'en persiste pas moins. SIXIÈME
OBSERVATION
. — CATALEPSIE ET LÉTHARGIE HYSTÉRIQUES PRODUITES
t le corps par la propagation des vibrations de la caisse sonore. L'
observation
suivante, sans éliminer l'influence de la vibrati
thargique et tout le cortège des phéno-mènes décrits dans la première
observation
. Un nouveau coup sur le gong la rend cataleptique
ors et l'eau-forte de la pl, VIII en est une reproduction. septième
observation
. — catalepsie et léthargie hystériques, produites
te et générale; il n'y a plus d'hyperexcitabilité musculaire. Cette
observation
nous a conduit à rechercher si, chez les autres m
ntenir quelques instants avant de l'abandonner à lui-même. HUITIÈME
OBSERVATION
. — LÉTHARGIE HYSTÉRIQUE PRODUITE SOUS l'iN-FLUENC
s paupières amène l'état cata-leptique, de la même façon que dans les
observations
précé-dentes. NEUVIÈME OBSERVATION. — PRODUCTIO
, de la même façon que dans les observations précé-dentes. NEUVIÈME
OBSERVATION
. — PRODUCTION d'uNE AUTRE VARIÉTÉ DE LÉTHAR-GIE H
l magné-tique ^ (Voy. obs. IV et V de lalP série.) DEUXIÈME SÉRIE D'
OBSERVATIONS
Dans cette seconde série d'observations ^, nous
série.) DEUXIÈME SÉRIE D'OBSERVATIONS Dans cette seconde série d'
observations
^, nous avons plus par-ticulièrement porté notre
fait maladroitement parce qu'elle n'en a point l'habitude. deuxième
observation
. — hallucinations provoquées pendant l'État cat
e doit avoir son attaque, immédiatement l'attaque a lieu. troisieme
observation
. — des differents degrés de l'État cataleptique
esquelles l'état cataleptique se borne aux phénomènes indiqués dans l'
observation
première. Quel que soit le procédé qui l'ait fait
avons étudié la longue série des phénomènes que j'ai décrits dans les
observations
précédentes. Il est possible de provoquer chez el
tres procédés : a) . Par une lumière intense comme il est rapporté (
observation
ï, pag. 364). b) . Par le gong (observation VI,
comme il est rapporté (observation ï, pag. 364). b) . Par le gong (
observation
VI, pag. 374) Depuis le jour oîa Bar..., fut rend
de d'excitation. La même chose a lieu chez Suzanne N... quatrième
observation
. — des hallucinations provoquées pendant l'État d
perception exacte, la raison et l'erreur, se confondent. CINQUIÈME
OBSERVATION
. — DE QUELQUES AUTRES CARACTÈRES DU SOMNAMBULISME
e l'observateur. Les hallucinations sur lesquelles ¦ insisté dans l'
observation
précédente ne sont pas toujours pos- sibles et
d'un contact étranger. Je me borne à signaler ce fait comme un fait d'
observation
régulièrement observé DESCRIPTION DES DIFFÉRENT
érience de cet illustre observateur, faite sur les Puel j-apporte l'
observation
de deux domestiques frappées de ca-talepsie le mê
ques faits de sensibilité élective qui ont quelques ana-logies avec l'
observation
qu'on vient de hre. L'hyperexcitabilité muscula
tion \ Le clignotement des paupières est signalé dans de nombreuses
observations
de sommeil hystérique et de catalepsie. Dans ces
portante et rend facilement compte de la confusion qui règne dans les
observations
de cata-lepsie des auteurs et de la multiplicité,
sme revienne avec toute sa fatalité, et Bar..., sans faire la moindre
observation
, recommence son éternel lavement de mains. Si alo
eu. J. Moreau, dans son livre de la Folie névropathique, rapporte f
observation
d'une hystérique qui, pendant les attaques de som
lité était revenue sur toute la surface du corps. 7) Cette première
observation
terminée, nous remîmes la malade en expé-rience,
question tristement célèbre. Je me contenterai de rapporter ici une
observation
remarquable de Pfendler, dans laquelle les accès
surviendrait. 1. George-Fr. Pfendlcr de Vienne — Thèse. Quelques
observations
pour servir Vhistoire do la léthargie. — Paris, 1
HÉNOMÈNES É P ILE P T 0 I D E S. Je rangerai sous ce chef plusieurs
observations
dans lesquelles, aux principaux phénomènes qui ca
côté, du côté droit. La malade était hémianesthésique à gauche. Cette
observation
a été adressée récemment à M. le professeur Gharc
éritable catalepsie, et plai-dent en faveur de la léthargie. Quelques
observations
de M. La-sègue, sous le nom de Catalepsie partiel
malades, en pressant sur les globes oculaires. Favrot rapporte une
observation
où ces caractères de cata-lepsie imparfaite sont
arc de cercle. Bourdin dans son Traité de la catalepsie rd.pporle l'
observation
suivante^ .___ Observation. — (Sauvages, Nosolo
son Traité de la catalepsie rd.pporle l'observation suivante^ .___
Observation
. — (Sauvages, Nosologie méthodique, t. V, in-12.)
ent fer-més et les paupières animées d'un clignotement continuel. L'
observation
si intéressante dans laquelle Puel rapporte com-m
ait sous l'influence des frictions. Voici un résumé de cette longue
observation
: PuEL^ — Observation CL. — Catalepsie compliqu
frictions. Voici un résumé de cette longue observation : PuEL^ —
Observation
CL. — Catalepsie compliquée de somnambulisme. Mad
. finit par guérir complètement. Le D' Henrot de Reims a publié une
observation
dans laquelle les phénomènes de catalepsie étaien
cire avaient la résistance du bois K Nous pensons par ces quelques
observations
, que nous aurions pu facilement multiplier, avoir
l'autre moitié pouvant se livrer à des mouvements désoi^donnés. Nos
observations
d'héinicatalepsie et d'hémiléthargie provo-quées
sont toujours ouverts, pas de clignotement des paupières. (Dans , des
observations
précédentes, nous n'avons aucunement modifié cet
avrot rapporte un cas de catalepsie qui mérite d'être rappro-ché de l'
observation
précédente, et qui, avec beaucoup plus de raison,
om d'extases cataleptiques. Nous trouvons là réunis, comme dans les
observations
que nous venons de rapporter, et la plupart des c
s dans une attitude donnée. Je citerai, comme exemple, les quelques
observations
suivantes. Obs. I. Une jeune personne de treize
veaux en rapprochant des faits d'extase cataleptique des auteurs, les
observations
qui précèdent et les expériences rapportées plus
'extase cataleptique, ou la catelepsie extatique, et la catalepsie. L'
observation
ne dément point cette distinc-tion qui, quoique h
instants, pour retomber encore dans un accès d'hystérie. Une autre
observation
fort intéressante, citée par Bourdin^, montre un
les de médecine, n" de février 1860.) 2. Bourdin, de la Catalepsie,
observation
XXI, Elisabeth Delvigne, âgée de vingt-cinq ans,
eure; mais sa durée fut moitié moindre et ce fut le dernier. Dans l'
observation
suivante empruntée à Rosenthal, la cata-lepsie pr
après le retour de la motilité Favrot d'après Tissot, rapporte une
observation
qui mérite d'être consignée ici. Bien que la mala
ui parfois les terminaient. Voici quelques extraits de cette longue
observation
. Cystite cantharidienne. — Rétention d'urine. —
écessaire cependant d'y regarder de très près pour trouver dans cette
observation
une forme spéciale de la grande hystérie. Si, à n
e n'entreprendrai pas de donner ici un exposé complet de cette longue
observation
toute remplie de faits intéressants. A f appui de
e hystérique, ou les remplace complètement M. Mesnet ^ a publié une
observation
remarquable de som-nambulisme hystérique qui mont
onvulsions étaient très violentes. Je ne relèverai, dans cette longue
observation
, que les faits qui nous intéressent particulièrem
ères périodes, qui se montrèrent toujours bien distinctes, rend cette
observation
fort intéressante, et ne permet pas le moindre do
oici quelques extraits bien propres à montrer tout l'intérêt de cette
observation
. A 10 11. 1/2 du soir, 13 juillet, la crise arr
h. 32 minutes. — Somnambulisme; elle parle. Réveil à 1 heure Dans l'
observation
suivante empruntée à la thèse du D' Dunant, nous
vec anesthésie complète et géné-rale..... En résumé, il ressort des
observations
précédentes, que le som-nambulisme hystérique pré
s des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l'attaque. Deux
observations
recueilhes dans la clientèle de ville de M. Charc
e D' Lunier a rapporté dans les Annales de la Société méd. psych. une
observation
dans laquelle les crises de somnambulisme se term
M. Lunier et devint en peu de temps un sujet remarquable. Dans une
observation
pubhéeparM. Moissenet sous le titre d'Ob-servatio
alade se plaçait ensuite en arc de cercle. Voici un résumé de cette
observation
: Mademoiselle X..., américaine, a quitté les G
re, la guérison s'était maintenue. Je rapporterai pour terminer une
observation
publiée par M. Ghambard dans la Revice mensuelle.
idissement du corps et un moment de coloration rouge à la figure. L'
observation
suivante due à M. Lasègue, et rapportée dans la t
expériences sur le somnam-bulisme provoqué (voir pag. 407) et dont l'
observation
déjà rap-portée pag. 444 renferme un intéressant
ont fait perdre la vue d'un côté » La malade qui fait le sujet de l'
observation
suivante n'a ja-mais eu d'attaques convulsives, m
. — Emilie, vingt-cinq ans. Je passesous silence le commencement de l'
observation
où il est question de vomissements, de paralysie
er quelque temps dans sa famille. » Je ne veux point multiplier les
observations
et n'ai point la prétention de signaler toutes le
ue les attaques de catalepsie se transforment parfois en léthargie. L'
observation
suivante, empruntée à Bourdin, nous paraît être u
de somnambulisme succédant à la catalepsie dans une même at-taque.
Observation
, concernant une fille cataleptique et somnambule
ion première de celui-là, se trouvent parfaitement signalées dans une
observation
d'Alibert rapportée par Favrot ^. Pendant l'acc
somnambulisme naturel. i. Thérapeiithique d'Alibert, t. II, p. 503.
Observation
recueillie par le D' Bou-vier, cité par Favrot, l
môme temps que se produisait l'amélioration de la santé ^ Parmi les
observations
que cite le docteur Magnan on trouve des exemples
ant quelques jours à la réalité de quelques-unes d'entre elles. » L'
observation
suivante n'offre pas un moindre intérêt. ftICHE
sous forme de vin ou d'eau-de-vie. Nous nous bornerons aux quelques
observations
suivantes, em-pruntées au travail du D' Magnan, e
bruits de cloches, etc., etc. Tous ces traits sont consignés dans l'
observation
suivante rap-portée par le D' Moreau de Tours, qu
e que relever quelques points particuliers sur lesquels a porté notre
observation
. Je diviserai ce que j'ai à dire en deux chapit
sont fort intéressantes, mais n'ont rien qui doive étonner. Après les
observations
faites sur les hystéro-épileptiques, l'on pouvait
recherches entreprises à ce sujet. On trouvera là un certain nombre d'
observations
détaillées dans les-quelles la marche de la sensi
ntre dans l'ordre initial. Je rapporterai à titre d'exemple une des
observations
déjà publiées dans le Progrès médical. Obs. I.
A 52 m. 15 s. retour du FiG. 98. — Rcpre'sentalion grapliique de l'
observation
page 5'r2. Les couleurs sont figurées ainsi qu'il
près de la tempe pendant tout le temps qu'elle a duré. Dans une autre
observation
l'aimant a été retiré aussitôt après le retour de
es coideurs. Les Fig. 98 et 99 ensontun exemple, et se rapportent à l'
observation
qui précède. Sur une feuille divisée en minutes
avons vues se multiplier bien davantage, comme le prouvent nos autres
observations
publiées dans le Progrès. le retour de la sensi
ingulier phénomène du transfert et les oscillations consécutives. L'
observation
suivante, due à M. Dumontpallier, possède à cet é
'étend par en liaut sur la main et l'avant-bras. La douleur par des
observations
tirées de la pratique, les remarques de l'au-teur
résultats déplorables d'un traite-ment maladroit ou intempestif ce L'
observation
démontre, en effet, dit M. Charcot, que, dans l'e
rait facile d'apporter à l'appui de cette opinion un certain nombre d'
observations
puisées dans les auteurs. Mais on ne sau-rait con
le de cette influence. » Plus loin il ajoute que, dans les récentes
observations
cHniques de M. Gharcot et dtins le compte rendu q
tales, page 694.. Morel rappelle en note qu'Esquirol, au sujet de l'
observation
du nommé Joseph D..., qui, malgré la longue durée
puisse citer est celui de cette hystéro-épileptique dont j'ai donné l'
observation
, page 379 et suiv. )) Or il est bien curieux pour
e. Je n'en veux pour preuve que ces quelques lignes qui terminent l'
observation
du Morel. « ..... L'observation complète de cette
ces quelques lignes qui terminent l'observation du Morel. « ..... L'
observation
complète de cette malade serait l'histoire la p
u enterre, plonge le poing fermé dans celle des fosses iliaques que l'
observation
antérieure lui aura démontré être le siège habitu
Finspiration duquel il a été créé. Voici les ré-sultats obtenus : )
Observation
I. — Gl..., hystéro-épileptique, 23 août, 1878. E
l, sans qu'on ait été obligé de recourir à un agent anesthésique. »
Observation
II. — Wilt..., hystéro-épileptique. L'appareil co
ir cesser les attaques, quand on n'a pas recours au compresseur. ))
Observation
111. — Ba..., hystéro-épileptique. Sur cette mala
re et expé-rimentée. Un certain nombre des malades dont j'ai cité les
observations
ont dû leur guérison au traitement hydrothérapiqu
omètre de la con-struction la plus simple, ce qui permet de faire des
observations
comparables entre elles. Reste à traiter une qu
'électricité statique comme moyen de traitement de l'hystérie. Or les
observations
que nous avons pu faire à la Salpêtrière etau deh
sie simple nous ne répéterons pas ce qui a été dit plus haut. (Voy. l'
observation
de la sœur P... dans le Progrès médical n°^35, 36
suivre en même temps un autre traitement soit interne soit externe. L'
observation
la moins compliquée est déjà assez difficile. A
emenis convulsifs. p. 4.) lés, devient pour nous comme un recueil d'
observations
médicales qui, par la précision des détails, nous
de de la grande attaque. J'emprunte à Calmeil^ le récit abrégé de l'
observation
suivante; on y trouvera jointes à des convulsions
ode épileptoïde et de ses diverses phases ...... 62 § 6. — Quelques
observations
. Variétés de la période épdeptoïde....... 64 Ch
Faits nouveaux à l'appui de la description précédente..... 159 1. —
Observations
nouvelles recueillies à la Salpêtrière...........
s nouvelles recueillies à la Salpêtrière.............. CI160 § 2. -
Observations
inédites recueillies en dehors de la Salpêtrière.
s inédites recueillies en dehors de la Salpêtrière.. . , 189 § 3. —
Observations
puisées dans les annales de la science...........
360 P l\ K M I K I\ !•; S É lU E D'ODS E B V A TI 0 N S Première
observation
. — Intluencc delà kunière sur la production de
de la léthargie hystériques....................... •^'''^ Deuxième
observation
. — Ilémiléthargie et hémicalalepsie existant si-m
t chez le môme sujet................................ «^71 Troisième
observation
. — Contracture permanente artificielle......... 3
ation. — Contracture permanente artificielle......... 372 Quatrième
observation
.......................................... -'''3
servation.......................................... -'''3 Cinquième
observation
. — Catalepsie et léthargie hystériques produites
ence des vibrations d'un diapason...................... 373 Sixième
observation
. — Catalepsie et léthargie hystériques produites
nce d'un bruit inattendu.............................. 375 Septième
observation
. — Catalepsie et léthargie hystériques produites
luence du regard...................................... 379 Huitième
observation
. — Léthargie hystérique produite sous l'influence
ion des globes oculaires.............................. 381 Neuvième
observation
. — Production d'une autre variété de léthargie hy
...... 381 lEUXlf;MK SÉHIE 1) ' 0 1! S F. H V A ï Kl \ S Première
observation
. — Etat des sens pendant la catalepsie hystérique
Actions inconscientes. Automatisme................... 385 Deuxième
observation
. — Iladucinations provoquées pendant l'état ca-ta
e.................................................... 394 Troisième
observation
. — Des différents degrés de l'état catafeptique..
ion. — Des différents degrés de l'état catafeptique.. 401 Quatrième
observation
. — Des hallucinations provoquées pendant l'état d
ie ou de somnambulisme. — État des sens.............. 403 Cinquième
observation
. — De quelques autres caractères du somnam-bulism
ériodes de la grande attaque. Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les
observations
d'attaque d'hystérie accom-pagnées de : lisez : l
les observations d'attaque d'hystérie accom-pagnées de : lisez : les
observations
d'attaque Jiystérique accompagnée de : Page 429
sur lesquelles nous insisterons. Cette ma- ladie est l'hystérie. L'
observation
suivante est donc intéressante à un double titr
du bras et de l'avant-bras. [Ces renseignements sont puisés dans l'
observation
publiée par M. Ilanot dans les Archives général
aux organes des sens. Il s'agit en effet, ainsi qu'on l'a vu dans l'
observation
, d'une hémianesthésie sensitivo-sensorielle gauch
.e progressivement une exoph 1 halmie symétrique très prononcée. 1.
Observation
recueillie par M. Diamantbcrger, interne du servi
lle est devenue depuis. Nous n'ajouterons que quelques mots à cette
observation
si inté- ressante, pour en signaler seulement l
stence du tremblement se trouve mentionnée dans un certain nombre d'
observations
d'hystérie recueillies il y a déjà fort long- t
nt incomplète. Nous nous bornerons à indiquer rapidement, parmi les
observations
qui ont été publiées dans le cours de ces derni
M. E. Chambard2 a rapporté, en 1881, dans le journal l'Encéphale, l'
observation
d'une jeune femme qui, à la suite d'une attaque,
e3, dans une leçon sur la chorée électrique, a rapporté également l'
observation
d'une jeune fille hystérique qui, à la suite d'
tremblements de nature hystérique. Mais, en dehors de ces quelques
observations
éparses, dans les jour- naux et revues, on cher
x à propos d'une communication de M. Luys, M. Rendu a rapporté deux
observations
très démonstratives à cet égard. On les trouver
confirment pleinement et complètent peut-être à certains égards les
observations
de MM. Pitres et Rendu en ce qui concerne la dive
a été ainsi chez deux de nos malades dont on trouvera plus loin les
observations
détaillées (Obs. 1 et II). C'est sur ces deux c
que de trem- blement) n'est pas le seul. Chez une hystérique dont l'
observation
a été ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQU
itres', le tremblement a débuté d'une façon insidieuse; voici cette
observation
: « Éléonore L... âgée de dix-huit ans, sujette
c moral quelconque. N'était le caractère d'incertitude inhérent aux
observations
de date un peu ancienne et relatives aux phénom
fig. 17, 18) ont été recueillis sur le malade qui fait l'objet de l'
observation
I. Le premier représente les oscillations de la
tance, comme il arrive souvent en médecine, été nuisible à la bonne
observation
et il règne à leur sujet des opinions un peu pa
s qu'on les rencontre plus particu- lièrement ; et il n'est guère d'
observations
où, à côté d'hémorrhagies se faisant par le tég
émorragie. On consultera à ce sujet, avec le plus grand profit, les
observations
de Magnus lIüss 2, d'Ashtlcy Cooper^ et de Froi
un état de torpeur physique qui dura onze jours » ? On la place en
observation
, à l'abri de toutes violences, et cependant les
faite par M. Huchard 6 qui lui a apporté le précieux appoint de ses
observations
personnelles. L'hystérique (femme) représente p
e ressort pas nettement des travaux précités. Incontestablement les
observations
sur lesquelles il a été établi étaient et sont de
t sont de premier ordre, mais, à notre avis, un grand nombre de ces
observations
sont beaucoup trop compréhensives dans l'espèce
, puissamment secondé par M. Ballet et ses élèves, sans oublier les
observations
de M. Séglas '. ' L'hystérique, on le sait, e
on sexuelle... Nous n'exagérons pas et nous pourrions étiqueter les
observations
. A nous voir ainsi démembrer l'étal mental des
ce des stigmates physiques, c'est pour que, à l'inverse de bien des
observations
encore peu anciennes, le diagnostic d'hystérie
évoir, la guérison d'une hystérie locale. Un exemple puisé dans nos
observations
de la Clinique rendra mieux notre pensée. Une g
majorité des cas, un caractère transitoire, se basant en cela sur l'
observation
. Qu'on étudie en effet les antécédents personnels
'est pas un des types que nous ayions décrit qui- ne repose sur des
observations
prises par nous dans le service de notre maître
fondie. Pour le moment je me bornerai à vous faire part de quelques
observations
que j'ai faites dans cet hospice où la consulta
Charcot commençait ses études sur cette question, de recueillir les
observations
des malades, de les lui remettre et de remarquer
de Mussy une signification qu'il ne lui avait pas attri- buée. Les
observations
qu'il en donne n'appartiennent nullement à des
s un cas semblable. Notre malade, on le verra par la lecture de l'
observation
, présente un remar- quable exemple de ce tassem
èdent en rien au précédent tableau comme facture et comme finesse d'
observation
. Nous reproduisons aujourd'hui le premier de ce
teurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre première
observation
i. 1 Avant cette date, les recherches bibliogra
ur cette manifestation dont nous pouvons aujourd'hui rapporter cinq
observations
, y compris celle qui sert de base à la leçon de
re révélation de l'hystérie, mais cela ne ressort pas de nos quatre
observations
où toujours ils ont été précédés d'autres phéno
premier et du troisième qui furent pendant longtemps l'objet d'une
observation
attentive. Ler..., Augustine, dix-sept ans, dom
ystérique, mise en .nrésence de la malade qui fait l'objet de cette
observation
, après avoir été placée c© * ' : 2 ? Y. '
Archives de Neuro- logie. Ainsi que le remarquent ces auteurs, les
observations
de Kahl- baurn et de ceux qui l'ont suivi sont
typique. Nous imiterons cette sage réserve dans la désignation de l'
observation
qui va suivre, et que nous avons cru utile de p
erficielle tout au moins, par leur persistance même. La malade de l'
observation
I, avant de présenter des crises véritables de
llement (fig. 40). Il peut être avorté ; dans ce cas la malade de l'
observation
III accu- sait une sensation de malaise ; il fa
ques de la malade dont l'histoire est rapportée dans notre première
observation
. ATTAQUE DE BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, UN CAS D
i la plus légère expression de crainte. . Faut-il voir dans cette
observation
un cas de vraie catatonie ? Cela est possible s
tions sur la controverse actuelle. Il paraît avéré, et l'une de nos
observations
en fait foi, qu'il est des formes attribuées à
ce qui ressortira au moins, en tout état de cause, de l'exposé des
observations
concluantes que nous avons choisies pour les rapp
duit à très peu de chose. Le bilan peut s'établir ainsi : 1° Une'
observation
(Gombault) -avec altérations spinales discu- ta
l'expression pure et simple de l'état sénile de la moelle. 2° Une
observation
(d'Eisenlohr) passible d'une critique du même g
que nécessite l'examen de la moelle au microscope. 3° Enfin deux
observations
(d'Immermann et de Leyden), qui se rapportent à
tte identification. ' Ce sont ces preuves que représentent les deux
observations
qui suivent et qui, provenant d'auteurs dont la
teur ne s'étend-il pas sur cette démonstration, mais présente cette
observation
(ainsi que quatre autres de paralysie infantile
dre parti dans la querelle avec quelque autorité. Il conclut de ses
observations
à la réalité de l'hypothèse de M. Charcot, et adm
Nous n'insisterons pas sur le diagnostic clinique à propos de cette
observation
. Il nous suffira de rappeler qu'à l'époque où M.
buentauxmusclesatrophiés. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. Ho Cette
observation
de M. Oppenheim acquiert une très grande valeur,
ophique des cellules ganglion- naires des cornes antérieures. » L'
observation
qu'on va lire, est malheureusement incomplète, au
rière. * de Bucarest. (A suivre.) ACROMËGALIE A DÉBUT PRÉCOCE L'
observation
qui suit a trait à une malade rencontrée par nous
affection, nous extrayons du tableau des mensurations annexées il l'
observation
les chiffres suivants qui sont les plus probant
en portantes. La similitude des races et le voi- sinage des lieux d'
observation
(Gand et Lille) fait de la moyenne ainsi obtenu
ammations du nerf d'origine intra-cranienne. Voici pour compléter l'
observation
un tableau des principales men- suration pratiq
t affligé de sa cécité rapide devient mélancolique et chagrin'. L'
observation
qui précède peut se résumer en quelques mots : Un
par ce début précoce que j'explique la seconde particularité de mon
observation
: l'augmentation de la taille. On conçoit en
geante attention les photographies de la malade et un résumé de son
observation
. M. Marie a bien voulu me répondre qu'il ne se re
es*. L'avenir montrera s'il s'agit ici d'un fait de ce genre. Cette
observation
prouverait en tout cas que le syndrôme palpébral
ent pendant deux, trois ou quatre ans et de reprendre à nouveau son
observation
au bout de ce temps. Malheureusement cela n'était
atant l'extension et l'augmentation des lésions, je donne ici cette
observation
, intéressante seulement aujourd'hui par l'âge de
leurs, à peu près les seuls, ainsi qu'on le verra par la suite de l'
observation
. La malade a été réglée à quinze ans. Jusqu'à s
romégalie ne sont pas encore arrivés à leur entier développement. L'
observation
ultérieure de cette malade peut seule me donner r
ue doit être absolument rejetée; elle ne peut s'appuyer que sur une
observation
tout à fait superficielle. Si en effet, dans bo
nastique ordinaire. Nous résumerons plus loin, dans un tableau, les
observations
que nous avons recueillies sur ces diverses cat
e analogie avec ceux des paralytiques généraux. Mais il résulte des
observations
multipliées de ceux qui ont étudié les mouvements
S.\LI'È'lltlÎ;lih : . Dans le tableau suivant j'ai groupé quelques
observations
relatives à l'énergie de la propulsion de la la
et notamment par un auteur anglais, M. Richardson, qui a relaté ses
observations
dans sa communication faite à l'Associa- tion b
au sujet du narghilé, j'expo- serai ici le tableau qui contient mes
observations
. Elles sont réparties comme il suit : 1° Cent
pris en dehors de toute autre affection du système nerveux, et les
observations
recueillies à la Clinique de la Salpêtrière que
ciliaires. A l'appui de celle manière de voir, l'auteur rapporte l'
observation
suivante : OBs. I. - Ophthalmoplégie externe d'
multiple des mieux caractérisées. Toute intéressante que soit cette
observation
, nous ne devons pas oublier qu'il ne s'agit là
aire a déjà été rencontrée trente et une fois°. Nous résumons ici l'
observation
de Meyer : . OBs. II. Ophthalmoplégie progressi
ogressive. Aussi, au point de vue du diagnostic différentiel, cette
observation
présente-t-elle une certaine valeur. De ce qui
u tableau symptomatique de la maladie de Basedow; les deux autres
observations
sont considérées par l'auteur comme des exemples
tique limitée aux noyaux moteurs de l'une ou de l'autre région. Les
observations
que nous rapportons prouvent clairement que si
regard si bien rendue par l'expression de Benedikt. En voici deux
observations
suffisamment démonstratives pour qu'il soit inu
de la sub- stance grise des cornes antérieures de la moelle. Notre
observation
montre aussi que des névrites dégénératives peu
sur cette question, et nous ne rappellerons que celles d'entre les
observations
qui paraissent affecter une certaine parenté avec
n'est plus paralysé, mais le bras gauche ne remue presque pas. (L'
observation
de cette première atteinten'ayantpas été recueill
iques. 19 janvier. Partie à la Salpêtrière. La malade fut mise en
observation
, dans le service de M. Charcot, et M. Brissaud,
que nous ne reproduisons pas, car elle répète peu près exactement l'
observation
de M. Hayem. Toute- fois nous y lisons relative
us discuterons après avoir exposé en détail les particularités de l'
observation
. Curet..., trente-neuf ans, entré le 14 juin 18
se sur la syringomyélie, il existe dans la littérature médicale des
observations
de Steudener, de Lan- gi1ans, de Rosenbach où l
erait même parfois sur des espaces fort étendus : dans une curieuse
observation
de Jacoby3 elle existait au niveau des extrémit
troubles présentés par notre malade ? Les symptômes relatés dans l'
observation
, la céphalée, les vomissements, font penser tou
mes, 8 syphilômes, 2 kystes et 4 néoplasmes de nature inconnue. Les
observations
de Nothnagel montrent également la prédominance
alors chef de clinique à laSalpêtriére, ajoutant trois nou- velles
observations
aux deux que lui communiquait M. Charcot, faisait
était restée absolument ignorée de M. Charcot, lors de sa première
observation
sur ce sujet, laquelle date, ainsi que nous l'avo
communication sur la scoliose neuropathique. ' Depuis ses premières
observations
, M. le professeur Charcot a maintes fois, dans
apporter deux faits superflus que nous voulons publier ici les deux
observations
qui vont suivre. C'est uniquement pour mettre e
moignentlesphotographies annexéesici, eten fixer le pronostic. inos
observations
, disait M. Babinski, ne peuvent nous donner des
depuis trois ans et demi elle ne s'est pas démentie. III Dans les
observations
que nous venons de rapporter, le diagnostic de
us avons hâte d'exposer brièvement quelques réflexions cliniques. L'
observation
I que nous avons rapportée avec détails présente
; et nous n'avons pas l'intention d'étayer une théorie sur nos deux
observations
. On sait que c'est de préférence dans les sciat
ffisantes jusqu'ici pour tracer une règle générale, et de nouvelles
observations
sont nécessaires à ce sujet. Nous ne croyons po
ue, l'étendue, la durée de la déviation, pourront donner, quand les
observations
seront plus nombreuses, des notions précieuses
t sans accidents, mais encore avec profit. Je vais résumer quelques
observations
qui mettent en lumière l'innocuité et l'utilité
tique ont été assez satisfaisants, comme on pourra en juger par les
observations
qui vont suivre. 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
rreur de ce genre, que semble être tombé M. Déjerine à propos d'une
observation
qui offre avec la nôtre de nombreuses analogies
n™ 4 et 5, 1890. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 273 ' Dans notre
observation
, l'affection a débuté insidieusement, et non pa
nécessitant l'emploi de la camisole. Ce trouble est signalé dans l'
observation
de M. Déjerine et par d'autres auteurs, en part
de psychose polynévritique '. Quant aux oedèmes relevés dans notre
observation
, ils paraissent avoir été cachectiques. Les tro
utre, et même du même membre à différents moments. Les détails de l'
observation
que nous reproduisons donnent exactement la nat
ns de revenir sur l'interprétation qui nous parait convenir à cette
observation
dans ce dernier paragraphe consacré à l'examen
itime de s'autoriser de ces derniers pour, négligeant les premières
observations
, en conclure à l'abandon de la théorie médullai
es que nous avons signalées ? A cet égard, l'étude de notre seconde
observation
pourrait être instructive. Cliniquement, elle s
u enfin et surtout de l'amnésie rétrograde. Korsakoff a réuni seize
observations
sur lesquelles il base son travail ; dans quelq
le centre ou sur les extrémités. Borchtchoffl a publié, depuis, une
observation
sous le même titre. On en peut rapprocher enfin
ubles de la nutrition et les phénomènes cérébraux ont acquis dans l'
observation
que nous présentons une intensité exceptionnell
LA S1LP1 ? l'ltlÈltl : . dans la pathologie humaine, rapportait des
observations
de troubles trophiques bilatéraux survenus chez
tres corticaux au complexus clinique a été attestée dans toutes les
observations
de polynévrite que nous avons relatées. Rappelo
ines particu- larités cliniques intéressantes que nous rapportons l'
observation
qui va suivre et que nous avons eu l'occasion d
n aucune- ment troublée, nous aurons pleinement justifié pour cette
observation
d'éléphantiasis l'expression de maladie « local
dans la sérosité de l'oedème, et toujours avec le même insuccès. L'
observation
que nous venons de rapporter avec quelques détail
. Outre ces caractères matériels, nous avons mentionné dans notre
observation
l'existence de douleurs spontanées et provoquées,
s où l'affection s'observe à un degré plus intense'. » En résumé, l'
observation
précédente a trait à un cas d'éléphantiasis int
et à ce propos nous aurons l'occasion de citer plus loin une belle
observation
de Lichtheim complétée par Dufour. L'ophthalmop
ès-rare au cours de l'oph- thalmoplégie. Elle est signalée dans les
observations
de Uhthoff, Ro- senstein, Hutchinson, Rosenthal
sensibilité, ou même l'anesthésie de la face, est indiqué dans les
observations
d'IIutchinson, Ilirschberg', Lich- theim, Rosen
he est absolument normal. Un peu de difficulté a avaler. Dans une
observation
publiée en 1870, Gayet rappelle comment le souv
ial et de l'hypoglosse, de glycosurie et d'albuminurie. Voici trois
observations
de Despagnet, Gayet et Stein- heim qui se rappr
'apathie, de la somnolence, une tendance au sommeil in- vincible. L'
observation
bien connue de Perrot, publiée par Gayet dans l
e isolée; mais il est plus intéressant, croyons-nous, de citer deux
observations
d'ophthalmoplégie progressive avec atteinte des
ue par la même raison. (Dufour dans son mémoire donne la suite de l'
observation
). La malade quitta la clinique médicale de Bern
que quoique non constant d'une lésion de la région nu- cléaire. L'
observation
de Lichtheim complétée par Dufour dans son travai
on du système nerveux, poliomyélite, tabes, etc. Dans Ta première
observation
, la diplopie, le strabisme divergent paralytiqu
porte la maladie à une lésion des noyaux bulbaires et rapproche son
observation
des cas semblables émanant de Fôrsler. OBs. XXI
té par Mauthner (Fall '22). DE L'OPHTHALMOPLËGIE EXTERNE. 301 Les
observations
précédentes permettent de distinguer dans l'évolu
ormale. Au bout de six mois tous les symptômes ont disparu. A ces
observations
nous ajouterons la suivante, qui nous a été obli-
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les symptômes relevés dans les premières
observations
qui nous sont personnelles et dans celles qui s
ompte 9 cas sans gibbosité. Sans vouloir passer en revue toutes les
observations
publiées en France et à l'étranger, nous nous p
ctuelle, tenter une classification anatomo-- clinique basée sur les
observations
publiées, celles-ci étant, pour la plu- part, t
ison complète, même de l'atrophie musculaire. Voici le résumé d'une
observation
de Berbez (Société anatomique, 1881) intéressan
vertèbre dorsale. Nous croyons devoir résumer en quelques mots une
observation
de M. Sire- dey (2), bien que la localisation d
haut par une bande d'hyperes- thésie en ceinture. Dans plusieurs
observations
, se trouve signalé l'oedème des membres inférie
nt. Voici, d'abord, résumées le plus brièvement possible, plusieurs
observations
de Siredey relatées dans la Thèse de Groguot, t
pachyméningite caséeuse comprimant les nerfs de la queue de cheval.
Observation
personnelle (publiée in Congrès de la Tuberculose
entraînerait trop loin, et parce que nous n'avons à apporter aucune
observation
nouvelle de ce genre. Au contraire, les troubles
ROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté des membres inférieurs ; l'
observation
de M. Bro- ca (1) est, à cet égard, tout à fait
rs et de troubles . de la sensibilité. Un homme de 35 ans, dont l'
observation
a été publiée par M. Touche (2) reçoit sur la n
de la dure-mère. Dans le Mémoire de Long et Machard(l), se trouve l'
observation
suivante : Un homme de 42 ans fut pris de doule
xystiques. Il n'en est pas moins vrai que, dans un certain nombre d'
observations
, ces douleurs ont été attribuées à de simples n
emps par les cliniciens, et qui se retrouve dans presque toutes les
observations
; exaspérées par la marche, la station vertical
ous avons trouvé cette erreur signalée dans un assez grand nombre d'
observations
, elle a été commise, notam- ment, dans quatre d
s effets néfastes il exerce sur la tuberculose : dans plusieurs des
observations
que nous avons recueillies dans la littérature,
a paralysie spasmodique des qualre membres, dont nous n'avons pas d'
observation
avec autopsie. La compression de la moelle supé
le diagnostic puisse présenter certaines difficultés. Dans notre Ve
observation
personnelle, 'l'existence de spasmodicité des m
aux fractures ou luxations de la colonne vertébrale. Dans plusieurs
observations
on voit un traumatisme vertébral marquer le déb
1899, dans une étude d'ensemble (2), Léri a pu en réunir plus de 30
observations
, s'oit personnelles, soit récemment publiées pa
nné raison, car c'est par centaines aujourd'hui que l'on compte les
observations
publiées de ce complexus morbide, définitivement
vait être fortuite dans notre cas unique. Or IIilton Fagge,dans une
observation
remarquable publiée en 1876 et que nous avions
l'héréditéneuro-pathologiquepeutjouer dans la genèse de ces cas.
Observation
. Antécédents héréditaires. Nombreuses maladies
e je vais exposer, il me semble utile d'ouvrir cette partie de mon ^
observation
par un ensemble de données anthropométriques, san
nom de ostéo-arthropathie liypertrophiante pneumique. Cependant des
observations
postérieures ont bientôt démontré que les symp-
croissance anormale, plutôt excessive, car l'expérience clinique, l'
observation
des malades a déjà démontré cela. A part les infl
ue j'ai le droit d'exclure la syphilis héré- ditaire chez F.... Les
observations
intéressantes et les photographies de Lau- nois
nce des altérations dans la fonction de l'autre : l'expérience et l'
observation
clinique nous ont appris cela. Si on détruit ou
meur cérébrale manqueraient, tandis que l'acromégalie existerait. L'
observation
du cas présent ne pourrait donc pas nous donner d
e la fréquence de ces infil- trations. Nons donnons ci-dessous, les
observations
d'une imbécile et d'une idiote de notre service
udo-oedème des catatoniques (Service de M. le Docteur Bessières).
Observation
I (Pl. XVII). Imbécillité, gâtisme avec hydrocé
cune modification de l'oedème, de sa consistance, de son volume ' -
Observation
II (PI. XVII). Idiotie avec nombreux stigmates
ations : on peut dire qu'il a été nul, au moins chez la malade de l'
observation
II. Il fallait du reste s'y attendre puisque ch
les idées de Burdach. Gratiolet (3) fait preuve d'une puissance d'
observation
étonnante, étant donné que dans son temps les m
es années qu'on dissimule sont plus difficiles à porter. QUELQUES
OBSERVATIONS
OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN PAR WIKTOR
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XIX. PI. XVIII QUELQUES
OBSERVATIONS
OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN (llJilzior Reis
1 1 Schémas des globes oculaires dans la sculpture. 1 QUELQUES
OBSERVATIONS
OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN (1,Vikloi- Reis
ATIONS OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN (1,Vikloi- Reis.) QUELQUES
OBSERVATIONS
OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN 121 la chapelle
i de la femme ; les anatomistes du xvii0 siècles louent le talent d'
observation
des artistes grecs, qui savaient si bien faire re
tur. Sitrungsber du Akad. der Hisensch. zu Berlin, 1892. QUELQUES
OBSERVATIONS
OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN 123 sculpture a
ur-ge schiclitlichen 13eicletun- gen, Breslau, 1&76. QUELQUES
OBSERVATIONS
OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN 125 5 Ce n'est
chio. In primo lcgli torre sangue della cetalca, poi sello QUELQUES
OBSERVATIONS
OCUL1ST1QUES DANS L'ART ITALIEN 127 purga, e fa
une nouvelle, c'est elle qui fera l'objet de cette présentation : '
Observation
. Geneviève G... est âgée de 14 ans et demi (jan
pied équin par la seule brièveté des muscles, comme dans l'une des
observations
de mon premier mémoire sur ce sujet. De tels ca
KLIPPEL S'il est certain que l'arrêt de développement décrit dans l'
observation
suivante est d'origine congénitale, il parait f
à droite. Il y a de la difficulté à prononcer certaines lettres.
Observation
La nommée Bust ? 24 ans, domestique, salle Boui
u travail. Il n'y a pas lieu d'y revenir. Mais d'autre part cette
observation
, par quelques-unes de ses particulari- tés, nou
insuffisances asymétriques se rapprochant de celles décrites dans l'
observation
précédente, j'ai noté : le défaut d'étendue des m
nerveux qui accompa- gnent l'hypotrophie présentée par la malade.
Observation
Il s'agit d'une malade âgée de vingt ans, exerç
é un liquide cé- phalo-rachidien, limpide, sans élément figuré. L'
observation
de cette malade soulève plusieurs problèmes intér
bout d'une lor- gnette » (H. Meige) (2). On peut rapprocher cette
observation
des cas de nanisme mitral publiés ces dernières
a sensibilité objective avec beaucoup d'attention et quoique dans l'
observation
du service il fût noté (erreur que nous avons aus
ont pathologiques.' En résumé, dans notre note, nous ajoutons à nos
observations
deux nouveaux faits : que nos malades ont des t
A. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE dans nos
observations
comme le début brusque et douloureux, le début
ATOSE ANIMALE, PAR · Fernand RUDLER, Médecin-major à Belfort.
Observation
(PI. XXVI). R... Paul, cavalier réserviste au l
ntien, pendant de longues années, d'un état général satisfaisant. L'
observation
deR... constitue le second cas de maladie de Re
montrent quelquefois en grand nombre » (4), ainsi que le montre une
observation
de M. Cadiot : . Observation résumée de neuro-f
ombre » (4), ainsi que le montre une observation de M. Cadiot : .
Observation
résumée de neuro-fibromatose animale (communiquée
vés chez l'animal, il semble intéressant, du moins, de rapprocher l'
observation
de M. Cadiot et celles de Zietschmann de plusie
e rares et minuscules nodosités qui n'ont pas rétrocédé. A défaut d'
observation
vétérinaire absolument concluante, le cas unique
également d'habitude, aux deux côtés, comme c'est le cas dans notre
observation
. Au surplus, la très étroite relation de successi
le n'est pourtant que très peu en mesure d'expliquer l'ensemble des
observations
. C'est que, comme le démontre l'analyse de mon ob
ble des observations. C'est que, comme le démontre l'analyse de mon
observation
, la paralysie des béquilles n'est pas une paral
omettre la conductibilité du nerf. La chose a été vérifiée et par l'
observation
et par l'expérimentation. - Les paralysies pr
mmense majorité des cas, radiculaires, et même, dans la plupart des
observations
limitées au groupe Duchenne-Erb, c'est-à-dire au
ion est très compa- rable à celui qui a été décrit et figuré dans l'
observation
précédente. Toutefois deux caractères très impo
e- ment sur l'élément noble ; il doit être mis en regard des quatre
observations
précédentes, où la névrite radiculaire peut êtr
BRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 223 L'
observation
que je viens de relater complète la série des fai
ouf- france des cylindraxes ? Il est permis d'en douter, car dans l'
observation
IV où la racine postérieure a subi une atteinte
de comparaison traitées de la même manière; 2° elle n'existe dans l'
observation
III que dans les points que j'ai indiqués : la pa
parmi les spectacles des plus saisissants qui puissent s'offrir à l'
observation
de l'histologiste. L'intérêt de ces formations
0, et aussi le long du bord interne de la corne postérieure. Dans l'
observation
IV ces formations élaient particulièrement nomb
on IV ces formations élaient particulièrement nombreuses ; dans les
observations
I et II, on en trouve moins ; dans des moelles
e de 25 ans, normal auparavant ; les autres portent les numéros des
observations
auxquelles elles se rapportent. RÉGÉNÉRATION
s de la souffrance des neurones. En tout cas les constatations de l'
observation
IV semblent être en faveur de la simultanéité d
ycho-diagnostique des abcès cérébraux (1). Nous apportons ici une
observation
où la constatation nécroptique de deux ordres d
elle d'une nécrose diffuse du cortex avec intégrité des méninges.
Observation
. Antécédents. V..., âgé de 55 ans, homme de pei
. WEBER. (de Genève) Il m'est possible aujourd'hui d'ajouter deux
observations
à la série pu- bliée en collaboration avec M. l
oplasmes influent sur l'encéphale sont encore peu connues,m'excuse.
Observation
VI B... Joseph, né eu 1861, garçon de café. Ent
ait avoir été plus ou moins obstrué par refoulement de la moelle.
Observation
VII. C... Pierre, né en 1864, est amené à Bel-A
inférieure du corps calleux les mêmes pinceaux de fibres que dans l'
observation
VI. Substance blanche. Rien de particulier à re
es de compression font défaut. ' Remarques. 1. De même que dans l'
observation
III, la circulation ventriculaire n'ayant été o
lement à mesure qu'on s'éloigne de la superficie. 3. La tumeur de l'
observation
III, extra-cérébrale, est plus grande que toute
vation III, extra-cérébrale, est plus grande que toutes celles de l'
observation
VII. Ici, au contraire, les altérations de la s
aissi est contigu il des fibres nerveuses eu dégénérescence. Pour l'
observation
VII, il ne peut guère s'agir que d'un effet de pr
on VII, il ne peut guère s'agir que d'un effet de pression ; pour l'
observation
VI, il y a sans aucun doute effet combiné de pres
e nous semble avoir rangé à tort dans le cadre de cette affection l'
observation
d'une malade atteinte d'une paraplégie avec rét
ue se développe surtout l'affection que nous étudions ; d'après nos
observations
, 6 fois sur 7 les malades avaientdépassé 75 ans
tion lente et continue, mais tou- jours douloureuse. Dans plusieurs
observations
nous avons remarqué que la rigidité musculaire
n général facile de juger le degré de l'amyotrophie car d'après nos
observations
ces malades, émaciés par une nutrition insuffisan
ARALYTIQUE GÉNÉRAL NON TABÉTIQUE PAR . G. ÉTIENNE et M. PERRIN.
OBSERVATION
. Le malade, âgé de 40 ans, exerçait la professi
moelle devant faire l'objet d'une prochaine com- munication. Deux
observations
d'arthropathies nerveuses, répondant bien au type
ntérieurement, des tabétiques. Il n'en est pas de même dans notre
observation
dont la pathogénie nous paraît encore fort obsc
e des troubles trophiques el de cer- tains troubles fonctionnels.
Observation
. Eugène B ? 31 ans, tourneur sur bois. Antécé
sse l'arcade supérieure de près de un centimètre (nous relevons une
observation
ana- logue dans la thèse de Sarazanas) (1). D
UBINOVITCH, Médecin adjoint de la Salpêtrière. L'intérêt de cette
observation
me semble résider dans ce fait que le malade a
boutir qu'à la transformation des tics, ou bien à leur extension.
OBSERVATION
Il s'agit d'un garçon de 23 ans, enfant naturel
, ont guéri sans suppuration, par première intention. Le chien de l'
observation
VIII a succombé 15 jours après l'opération par mé
gé à n'utiliser chez lui que les nerfs périphériques. Le chien de l'
observation
XI a eu également un peu de suppuration, laquelle
ujours extradurale) des ra-, cines postérieures. Par la lecture des
observations
annexées à ce travail, on peut se rendre compte
s après 122, 249, 260 et 284 jours de survie. Il subsiste donc 12
observations
inattaquables. Dans deux cas, au 26° et au, 60e
nié). Fio. 2. Coupe longitudinale du 1er ganglion sacré droit (même
observation
, chat adulte, la racine postérieure corresponda
FiG. 6. Coupe transversale du 10, ganglion thoracique gauche (même
observation
, la racine postérieure correspondante est resté
très embarrassé pour indiquer leur centre trophique. Dans une autre
observation
, il subsistait en tout dans le but médullaire 9 f
au ganglion de la même racine, Ire sacrée postérieure gauche (même
observation
après 382 jours). Dégénérescence rétrograde des
e sensitif et sur les proto- neurones centripètes du sympathique.
Observations
. Observation I. Chat adulte. - Section des 3 pr
r les proto- neurones centripètes du sympathique. Observations.
Observation
I. Chat adulte. - Section des 3 premières racines
ganglions semilunaires ne présentaient pas d'altérations notables.
Observation
II. Chat adulte. Section des 2" et 3° racines sac
l, hématoxyline- éosine) présentent un aspect semblable à ceux de l'
observation
I ; quelques légères altérations cellulaires ég
dégénérescences avaient tout à fait les mêmes caractères que dans l'
observation
précédente. Observation III. - Chat adulte. Sec
ut à fait les mêmes caractères que dans l'observation précédente.
Observation
III. - Chat adulte. Section des 2e et 3e racines
t à l'hématéine-éosine, présentent le même aspect que dans les deux
observations
précédentes, c'est-à-dire absence de toute diff
e on le voit, l'aspect est tout à fait celui des nerfs cutanés de l'
observation
I. Il existait, sur d'autres filets, également
normal des nerfs cutanés de la queue, de la jambe et de la plante.
Observation
IV. Chat adulte. Section de la 5e lombaire et des
ides, lesquelles n'apparaissaient pas sur les nerfs du côté opposé.
Observation
V. - Chat adulte. -Section des 10e et 11* racines
rouvaient pas dans les nerfs du côté opposé. 332 . ROUX ET lOEITZ
Observation
VI. Chat adulte. - Section des 10°, 1 la et zu ra
. Il ne mange pas et meurt le 14 mai, après une survie de 10 jours.
Observation
VII. Chat adulte. Section des deux premières raci
ctueuse, et nous ayant em- pêché de multiplier les dissociations.
Observation
VIII. Chien adulte. Section des 4 premières racin
ans le territoire de la lre ou de la 2e racine postérieure sacrée).
Observation
IX. Chat adulte. Section des 2 premières racines
générescences. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 335
Observation
X . - Chien adulte. Section des 3°, 4° et 51 raci
e de fibres de petit calibre en voie de dégé- nérescence avancée.
Observation
XI. Chien adulte. Section des 3e et 4' racines sa
ai 1906 (chloral-morphine). Même opéra- tion que chez le chien de l'
observation
X. Le chien maigrit, ne mange pas. Sacrifié le
és dans une gaîne commune les filets anté- rieurs et postérieurs.
Observation
XII. - Chat adulte. Section des 3e, 4° et 5e raci
ause. Cela d'autant plus que dans la bibliographie on rencontre des
observations
qui viennent à l'appui d'une telle hypothèse. E
au et de la moelle avec la sclérose en plaques. Long rapporte une
observation
fort intéressante : La malade, âgée de 34 ans,
hilis ne peut pas être mise hors decause d'une façon absolue. Cette
observation
avec ses conclusions a été critiquée par Ladame
ertainement une chose possible, probable même, si l'on veut, mais l'
observation
qui a fait le sujet de la thèse de M. Long ne n
le développement de la sclérose en plaques, je vais rapporter deux
observations
personnelles que j'estime assez intéressantes p
e lui témoigner les sentiments de la plus sincère reconnaissance.
Observation
I (Planches LI, LU, LUI). Wag..., âgé de 31 ans
ence de dégénerescences secondaires. Je vais relater maintenant une
observation
de myélite syphilitique à foyers disséminés, où
e d'une myélite à plaques avec les caractères que nous décrirons.
Observation
II (Pl. LIV). Demonc ? âgé de 65 ans, entré à l
écè- lent aucune lésion appréciable. La moelle épinière offre à l'
observation
un certain degré d'épaississement des méninges
,comme nous l'avons fait observer à ce même propos dans la première
observation
, les pièces avaient déjà subi un durcissement qui
y compris les symptômes nerveux. La critique que Rumpf fait à cette
observation
ne nous paraît pas détruire sa valeur fondament
71. 62. LEYDEN. Charité. Annalen, 1878. 63. LIONVILLG. - Nouvelle
observation
détaillée, etc., Gaz, méd. de Paris, 1870. 64.
EGNIEROS Professeur à l'Université de Buenos-Aires. 1. -Premières
observations
de Charcot. On avait déjà nettement défini la p
ts sont plus sérieux pour l'individu. C'est pourquoi, les premières
observations
cliniques se rapportent à des sujets musicaleme
saires à l'articulation. L'année suivante, Proust (2) publia une
observation
d' « alexie musi- cale » ou cécité' musicale; l
Séquard (1) présenta à la Société de Biolo- gie de Paris une autre
observation
; il s'agissait d'un aphasique qui avait perdu
la psychophysio- logie de ce trouble. En se basant sur de nouvelles
observations
cliniques, il compléta la description des amusi
n ne doit pas ignorer, celle des notes, par exemple». Dans quelques
observations
on a noté que la surdité musicale coexistait av
oté que la surdité musicale coexistait avec la surdité des paroles (
observation
de Cantalamessa). Dans une observation de Werni
avec la surdité des paroles (observation de Cantalamessa). Dans une
observation
de Wernicke la surdité verbale co- existe avec
tée ; c'est-à-dire, sans cécité verbale. Hospital (4) mentionne des
observations
de cécité musicale pure avec conservation de la
dent, ou bien l'accompagner. En dehors du cas de Bernard il y a une
observation
de cécité pure et complète. La ma- lade observé
spécial pour cette perturbation du langage courant. Cependant, les
observations
de Charcot et Pitres induisent à l'accepter, étan
cités n'ont pas été l'objet d'études sérieuses et méthodiques. Nos
observations
d'amusies pures hystériques sont les premières
a cite vaguement des, faits de cette nature ; Brazier (3) cite deux
observations
concluantes. La première se , rapporte à un tén
ini- ciens distingués, Christiani et Lévi-Bianchini, confirmant les
observations
de De Sanctis. (1) Lôwenfeld, Ueber musikalis
age à l'é- tude de l'intelligence plutôt qu'à celle du langage. Les
observations
de phénomènes ayant de l'affinité, sont un des
Ces cas sont d'ailleurs comparables, et leur étude permet quelques
observations
que nous développerons plus loin. , OBs. I.
s eu raideur du côté de la lésion, et plus tardivement t (1) V. une
observation
récente de LORTAT-JACOB et HALBRON : Hémorrhagie
signalé dans sa thèse, et les altérations protubé- rantielles. Des
observations
comparables aux nôtres ont été publiées déjà pa
ogénique qui fait de ce syndrome une insuffisance hypophy- saire. L'
observation
du malade dont on lira plus loin les détails démo
c celle du corps pituitaire. Chez le malade dont on vient de lire l'
observation
, le diagnostic ne pou- vait guère être hésitant
a lésion la plus habituelle dans ces cas (Souques, Parona). Notre
observation
est un exemple de plus confirmant la loi de coïnc
e : c'est à ce titre qu'il nous a semblé intéressant de publier son
observation
complète. Nous n'avons pas discuté le diagnosti
recherches dans deux cas de compression de la moelle. La première
observation
se rapporte à un malade âgé de 38 ans, entré à
des morceaux de cylindraxe non encore digérés. Second cas. C'est l'
observation
d'un adulte âgé de 42 ans qui avait pré- senté
nostic, nous avons pensé qu'il était intéressant de rapporter cette
observation
en détail. 4 ce propos, nous avons recherché dans
ette affection, et nous avons été ainsi amenés à faire suivre notre
observation
d'un aperçu des travaux publiés jusqu'à présent
'un aperçu des travaux publiés jusqu'à présent sur le même sujet.
Observation
et compte rendu de l'autopsie et de l'étude histo
int quand l'enfant avait déjà 4 ans. Voici le résumé de sa première
observation
. Il s'agit d'une fille de 4 ans amenée à l'hôpi
452 ARMAND-DELILLE ET BOUDET nous avons observé ; cependant trois
observations
d'enfants aussi jeunes ont été rapportées à la
ns cas, la constatation seule du bacille de Hansen chez le sujet en
observation
permet de rapporter à une névrite tépreusetesacci
ssez exactement les symptô- mes objectifs présentés par le sujet.
Observation
(PI. LXIV). - Antoine C..., 26 ans, menuisier,
trouble trophique cutané sur lequel nous avons déjà insisté dans l'
observation
a été le symptôme qui a fait hésiter le diagnos
ente et peut être le seul symptôme du néoplasme en- céphalique. L'
observation
suivante se rapporte à un chien qui présentait de
rticuliers du néoplasme. L'intéressant malade qui fait l'objet de l'
observation
suivante nous a été procuré par M. Pécard,chef
curé par M. Pécard,chef des travaux de clinique à l'École d'Alfort.
Observation
. - Chien de taille moyenne, âgé de 10 ans, amené
les considérer comme n'ayant plus aucun rôle physio- logique. Cette
observation
montre que, dans notre cas, les fibres à myéline
nous a pas bien fixés. Quoi qu'il en soit, Davaine a conclu de ses
observations
que : '1° l'absence du radius entraîne celle du
s écrire sous la dictée un nombre de 3 chiffres. Pour résumer cette
observation
, il s'agit d'une malade remarquable surtout par
e dans les cas de castra- tion post-pubère. Quoi qu'il en soit, l'
observation
que nous résumons ici montre, après bien d'autr
ITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE (2e
OBSERVATION
SUIVIE D'AUTOPSIE) PAR Il J. DEJERINE et ANDR
collaboration avec le Dr Sot- tas (1), l'un de nous a rapporté deux
observations
d'une affection fami- liale, ayant atteint le f
y a aucune analogie quelconque à établir entre ces deux affections.
OBSERVATION
Homme de trente-quatre ans. Atrophie musculaire
), minimum d'excitation : 9 c. 5. 484 DEJERINE ET ANDIIÉ-THOMAS L'
observation
précédente résume l'état du malade en 1890. A par
osé de cet examen nous suivrons à peu près le même ordre que pour l'
observation
précédemment publiée et le lecteur pourra ainsi
et in- tra-médullaire et, comme cela avait été déjà consigné dans l'
observation
de la soeur de R..., il existe un contraste fra
ulaire de même que chez le jeune sujet dont l'un de nous a publié l'
observation
en 1896 et chez lequel les trou- bles delà sens
) Ouïe, goût, odorat, intacts des deux côtés. ' D'après ces trois
observations
on peut se rendre compte combien sont marqués l
, d'intensité variable. Excessivement prononcée chez les sujets des
observations
II et III, elle est moins intense quoique très
le est moins intense quoique très marquée cependant chez celui de l'
observation
I. Cette atrophie a comme caractère de prédomin
déjà par l'un de nous dans son mémoire de 1896. Chez les sujets des
observations
I et III l'analogie avec le facies d'un myo- pa
lectrique. Les lésions que nous avons observées chez le malade de l'
observation
I sont tout à fait semblables à celles qui ont
étaient ralliés Gombaultetl\Iallet(1) qui en ont publié la première
observation
: ils considéraient en effet leur cas « comme un
é : et dans les publications antérieures à 1892, il n'existe qu'une
observation
: celle de Gombault et Mallet à laquelle nous f
it atteint était encore tout jeune, âgé de 0 ans. A propos de cette
observation
la question des rapports qui peuvent exister en
le terrain anatomique : nous rappellerons cependant que dans aucune
observation
de l'atrophie musculaire type Charcot-Marie, il
nts de la même affection que ceux dont nous venons de rapporter les
observations
. On retrouve en effet chez eux la même déformatio
rstitielle hypertrophique, il y a souvent plus de différences d'une
observation
à une autre, et cependant nous les rangeons dan
it l'an- cienneté de la maladie. D'un autre côté chez le sujet de l'
observation
III, examiné à l'âge de vingt ans, les nerfs ét
tau moins aussi gros si ce n'est davantage que chez les malades des
observations
I et II que nous avons au- topsiés. La durée de
arquer, à juste raison,qu'il convient de faire des réserves sur les
observations
de Virchow (3) et de Friedreich (4) : et cela p
ervations de Virchow (3) et de Friedreich (4) : et cela parce que l'
observation
de Virchow est sommaire aupoint devue clinique et
chnique du système nerveux était encore peu avancée ; parce que les
observations
de Friedreich compor- tent quelques particulari
nique ordinaire à la maladie. C'est cependant en s'appuyant sur ces
observations
que Hoffmann (5) considère l'atrophie musculair
1889. 308 DEJERINE ET ANDItÉ-THO11AS postérieurs de la moelle.- L'
observation
de Dubreuilh (1), qui au point de vue clinique
entre tout à fait dans le cadre de la maladie, diffère beaucoup des
observations
précédentes, parce que l'examen anatomique révé
demande même si en raison des différences qui existent entre cette
observation
d'une part et celles de Marinesco et de lui-mêm
drome plus ou moins analogue, mais non identique ? Restent les deux
observations
de Marinesco et de Sainton dans lesquelles sont
ment hors de cause ; chez le malade dont nous venons de rapporter l'
observation
et l'autopsie(obs. I) la présence de ce signe a
pariétale ascendantes gauches. Cervelet, pas de lésions. De ces 6
observations
de mal de Pott dorsal, les deux premières sont
être rapportées à l'oedème de la moelle, qui paraissait net dans l'
observation
VI. D'ordinaire, les espaces périvasculaires ne
rdinaire, les espaces périvasculaires ne sont pas dilatés. Dans les
observations
V et VI, à ces lésions s'ajoutait une myélomala
petits îlots aux points présentant les lésions précédentes. Dans l'
observation
II (cas datant de 7 ans), il n'y avait que de la
éline, ni tuméfaction des cylindres-axes. Nous omettons à dessein l'
observation
IV où les lésions médullaires semblent complexe
3 cas, la compression osseuse faisait défaut ; la moelle, dans - l'
observation
IX, est fortement infléchie au niveau de la gibbo
le foyer épidural comprime et déforme nettement la moelle, dans les
observations
IX et X. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L
roubles moteurs des membres supérieurs (atrophie musculaire, dans l'
observation
IX, réaction de dégénérescence dans l'observation
usculaire, dans l'observation IX, réaction de dégénérescence dans l'
observation
X). A l'autopsie, en effet, l'englobement des r
en effet, l'englobement des racines paraît tout aussi marqué dans l'
observation
XI, pour les deux premières paires dorsales, et c
s brachial inférieur, que le myosis gauche. Histologiquement,dans l'
observation
IX les cellules des cornes antérieu- res et les
ules des cornes antérieu- res et les racines sont altérées ; dans l'
observation
X les cellules sont glo- buleuses avec chromato
plut8tqu'ci son niveau même ; elles font totalement défaut dans les
observations
IX et XI, et pourtant l'évolution clinique n'av
pourtant l'évolution clinique n'avait duré que mois environ pour l'
observation
XI contre 6 et demi pour l'observation X. Pou
duré que mois environ pour l'observation XI contre 6 et demi pour l'
observation
X. Pour la seconde fois, nous trouvons, dans l'
i pour l'observation X. Pour la seconde fois, nous trouvons, dans l'
observation
IX, de nom- breuses adhérences entre la dure-mè
que au même niveau. IV. Cas complexes. Nous mettons à part quatre
observations
, à cause de leur complexité ; dans les trois pr
interprétation des lésions. Voici, le plus brièvement possible, ces
observations
: 530 ALQUIER Cas avec syphilis. , OBS. XII
cipiens bien probable ana- tomiquement et d'un mal de Pott ;.dans l'
observation
XII nous voyons, au contraire, ce dernier succé
s péri vasculaires. Les lésions tabéti formes sont douteuses dans l'
observation
XIII. Dans ces cas, trois les lésions observées
lque sorte,sur ses racines. L'oedème médullaire est très net dans l'
observation
immédiatement au-dessus et au-dessous de la com
sus et au-dessous de la compression, plutôt qu'à son niveau. Dans l'
observation
V, les gaînes de myéline étaient dilatées par pla
oedème histologique de la moelle. La myélomalacie est totale dans l'
observation
V1, et semble en rapport avec l'intensité de la
, et semble en rapport avec l'intensité de la compression. Dans les
observations
V et X, aux points où « I'oedème » est à son ma
distribution vasculaire. « L'oedème » manquait totalement dans les
observations
IX et XIV où les lésions semblent d'ailleurs êt
dural, des racinesqui, cliniquement, paraissaient indemnes ; dans l'
observation
VIII, les signes indiquaient une compression de
au Marchi, lésions dégénératives. Ces lésions sont nettes dans les
observations
I et II (Mal de Pott dorsal avec compression os
lésions des racines antérieures ; remarquons seulement que, dans l'
observation
VII, l'examen des nerfs et des muscles, pratiqu
isé l'envahissement'des méninges molles, respectées dans les autres
observations
. En tout cas, l'aspect des lésions est bien dif
En tout cas, l'aspect des lésions est bien différent de celles de l'
observation
XV, dans laquelle existait une lepto-mé- ningit
entait de petites hémorrhagies, d'ailleurs insi- gnifiantes. Dans l'
observation
XV, existait, dans les cordons postérieurs, un
u volume du foyer épidural et au degré de la compres- sion ; dans l'
observation
X, l'oedème existe aussi marqué au-dessus et au-
mal de Pott s'ajoutent ceux d'une autre affection nerveuse ; dans l'
observation
XII, la myélite syphilitique n'avait occasionné
sans signes rachidiens. Enfin, la radiographie pratiquée, dans l'
observation
X sur la colonne cervicale isolée et sectionnée
la moelle d'un homme, dont nous avons déjà ailleurs (2) présenté l'
observation
anatomo-clinique. A la suite d'un ictus, il fut
ventrale. Pour tirer quelques déductions anatomo-cliniques de cette
observation
, nous avons fait l'examen histologique des deux
ns la moelle dorsale, III. - Remarques azatozo-clinirizces. Cette
observation
permet quelques remarques sur la systématisation
t qu'à neuf cas. Les altérations trouvées par tous les auteurs (une
observation
de Bie- ganski, trois de Testi, une autre de Sh
'aller plus loin, je veux rapporter brièvemeut une obser- vation.
Observation
. L... P...., 80 ans, industriel. Cliniquement i
us fait entrevoir les lois grâce auxquelles ils se produisent; et l'
observation
répétée de la coexistence des deux faits, suffit
es latérales amyotrophiques. Cette dernière forme a dans toutes les
observations
le type tonique de Gowers avec prévalence de co
s permettrons donc d'analyser brièvement ces cas : Dans la première
observation
(cas Courrière) il s'agit d'une lésion de la po
inférieur de la paroi ventriculaire externe. Si nous faisons cette
observation
c'est que l'auteur fait remarquer (p. 111) : « On
plicité des lésions peut compromettre nos conclusions. La seconde
observation
(Cas Bras, hémisphère droit) a trait à une double
chef des Asiles . / J'ai présenté à l'Académie le résultat de mes
observations
sur les alié nés arabes de l'asile indigène d'A
ypte n'infirment pas forcément les données contraires fondées sur l'
observation
d'autres milieux (Algérie, Tunisie), mais on ne
définitive tant qu'il n'existera aucun asile colonial permettant l'
observation
scientifique exacte des faits. A l'appui de ma
rari, au S.icro monte di Varallo (1 pl.), 595. Itms (\V.). Quelques
observations
oculisti- ques dans l'art italien (2 pl.), 120.
EJERINE et Thomas, 477. Oculisliques dans l'art italien (quelques
observations
) (2 pl.), par W. Reis, 120. OEdèrne des pieds c
frontale, le pli courbe ou la pre- mière temporale. Toutefois, si l'
observation
est faite chez un gaucher, et c'est ce qui va s
des olives, et intéresse le faisceau pyramidal et l'hypoglosse ? L'
observation
d'un malade du service du professeur Revilliocl
me du reste pour la protubérance et pour le bulbe toute une série d'
observations
où les symptômes consta- tés pendant la vie n'o
e pouvant aller jusqu'à deux centimètres. Nous rappellerons que nos
observations
cliniques faites à l'aide d'un appareil spécial
rtout améliorés. Nous rap- portons aujourd'hui une nouvelle série d'
observations
faites dans le service de la Clinique des malad
s forme de paroxysmes, les fonctions de centres psycho-moteurs. L'
observation
que nous allons présenter apprend que les lésions
ulaire. DE l'épilepsie symptomatique DES NÉOPLASIES corticales 21
Observation
Aura de la sensibilité musculaire dans la jambe
sulte, semblent le démontrer. Le malade qui fait l'objet de cette
observation
a toujours attiré mon attention avec un intérêt
sont encore à l'ordre du jour. Néanmoins, pour qu'on prête il cette
observation
toute la portée qu'à mon avis on doit lui accor
é, à la même conclusion,après avoir contesté la valeur des quelques
observations
isolées qui semblaient enseigner le contraire (
des centres distincts et séparés ? Je ne connais pas un faisceau d'
observations
anatomo-cliniques bien démonstratives, qui répond
prêtaient le flanc à de graves critiques. Aujourd'hui encore les
observations
qui constatent des altérations cir- (1) Brissau
nt plus ou moins sur les régions voisines comme dans la remarquable
observation
de Velter. Quelquefois cependant, la lésion, bi
ut en connexion avec les faisceaux du sens musculaire» (1). Notre
observation
est muette en ce qui concerne les localisations d
ns peuvent produire aussi des attaques typiques de grand mal. Notre
observation
est absolument démonstrative à cet égard. Si
E LA RADIOGRAPHIE A L'ÉTUDE DES ANOMALIES DIGITALES 37 De même, une
observation
d'Hypertrophie congénitale des doigts médius et
res ne soient pas pourvus de toutes leurs pièces squelettiques. Les
observations
anciennes signalent des cas où il n'existait qu
naudale (Fig. 5), Gueniot (-1). On peut y ajouter pour mémoire, l'
observation
publiée par A. Sou- ques et H. Leclerc (2) dans
émontre pas toujours. » Au moment où parait ce fascicule, une autre
observation
d'anomalies digitales vient d'être publiée, par
ompagnée d'ecl1'odactylie avec syndactylie de la main droite. Cette
observation
est accompagnée de photographies et de radiogra
ant sous sa dépendance le symptôme en ques- 1 tion. Dans les deux
observations
qui suivent nous avons trouvé une dispari- tion
s localisables à la surface des hémisphères est encore en question.
Observation
I. - Aron..., de 36 ans, employé d'octroi, sans a
e sont normales ainsi que le fond de l'oeil et l'acuité visuelle.
Observation
II. - Pic... âgée de 41 ans, sans antécédents per
d'obésité assez accentué. Négation de tout excès alcoolique. De ces
observations
il résulte qu'il existe, isolable, une sensibilit
corce grise des différences sensibles d'une région à une autre, les
observations
anatomo-cliniques, les expériences physiologiqu
rs réunis concourent à former le sens musculaire ; aussi dans les 2
observations
où il noie les troubles du sens musculaire et du
aient altérées ; que, par contre, elles étaient indemnes dans les 4
observations
caractérisées pour lui par l'absence de troubles
ttouchement). Il n'y a donc pas à proprement parler dans toutes ses
observations
de perte isolée du sens stéréognosti- que ; il
ay ne ''Se contente pas d'en supposer l'existence, s'appuyant sur 2
observations
de Wernike et sur une 3e de Dubbers il en préci
it pouvoir aussi s'isoler anatomique- ment. Quoi qu'il en soit, nos
observations
prouvent que le sens stéréo- gnostique résultat
aculté. Assouan, 17 janvier 1898. Etant donnée l'absence totale d'
observation
accompagnant la photogra- phie, l'intérêt du ca
très faibles mouvements de flexion et d'extension. L'aspect et l'
observation
( ? ) des deux autres malades dont les clichés
spinale antérieure aiguë de l'adulte. L'insuffisance d'examen et d'
observation
ne nous permet pas de trancher la question; tou
reculons. Nous avons relevé là, par contraste, la confirmation des
observations
faites sur la marche en avant. Dans la marche à
mples de tabès avec persistance des réflexes du genou. Dans une des
observations
, il vit se produire la dispa- rition graduelle
l'ataxie locomotrice, dont six lui sont personnels. En dehors des
observations
remontant déjà il quelques années, les excep- (
les. Ré- flexes patellaires normaux. On voit, en résumé, dans ces
observations
, le diagnostic de tabes établi cliniquement. Il
de l'oplitalmoplécrie. Les phénomènes vési- caux existent dans deux
observations
. Quant aux réflexes, toujours pré- sents, ils s
mplication céré- brale. Les autres, plus importants, concernent des
observations
au cours desquelles les réflexes rotuliens sont
a zone d'entrée des racines reste intacte. Il en était ainsi dans l'
observation
de Lehmann (2). Outre ce fait rapporté par We
rs avant la mort. La lésion était déjà plus accentuée. Enfin dans l'
observation
de Kreisiger, le signe de Westphal fut constaté 3
terminée par Westphal. Lui-même fournit ultérieurement une nouvelle
observation
démonstrative (4). Le réflexe rotulien était co
èrement à toutes les exigences. Dans l'énorme majorité des cas, les
observations
des maladies n'ont pas été faites dans toutes l
eur de la clinique, cherchait à re- cueillir un matériel précieux d'
observations
travaillées dans toutes les directions sur de n
A. Polotebnoff sont l'ou- vrage dans lequel sont réunies toutes les
observations
et les déductions de l'auteur. DE L'ÉTIOLOGIE
er de Hebra, etE. Wilson lui-même dut en convenir. Les nom- breuses
observations
cliniques parlent en faveur de cette opinion car
die et leurs modifications, qui ont été solidement établies par ces
observations
cliniques. Dans tous les traités des maladies d
me que nous ne savons rien des causes du lichen ruber ; d'après ses
observations
, il constate qu'il l'a trouvé chez des personne
explorations jusqu'à présent n'ont pas été confirmées par d'autres
observations
. Lehwimmer tient le lichen ruber pour une trophon
motrices. Dans ces dernières années, nous avons relevé plusieurs
observations
sur le lichen ruber, dans lesquelles les auteur
affections du système nerveux central. Ainsi Kobner, qui a fait des
observations
dans 52 cas de lichen ruber, compte celte ma- l
s membres inférieurs; un cas semblable est décrit par Galloway. Les
observations
de Dreywel sont très intéressantes; il décrit l
i souffrait du pseudo-tabes alcoo- lique. Dietz nous communique des
observations
sur les éruptions du lichen ruber, qui se sont
e système nerveux central, comme nous le voyons clairement dans les
observations
de Koebner Dreynel, de même que dans le cas cit
tions. Il faut arriver au siècle dernier pour trouver les premières
observations
publiées sur cette singulière maladie. Elles so
c'est tort que Munchmeyer, Gerber, Pinterle reproduisent parmi les
observations
du XIX". L'auteur qui en a donné la bibliographie
donne la description de son cas avec relation d'autopsie, mais son
observation
est tout à fait incomplète. En 1839, Testelin e
'orga- nisme. Munchmeyer s'est attaché à déduire, de l'examen des
observations
, des données étiologiques et pathogéniques ; il
e et stade d'ossification. Munchmeyer a réuni dans son travail 12
observations
: celles de Lieu- taud, Portai, 2 de Lohstein,
tard (en 1875), Gerbert écrit une thèse sur la question. Aux douze
observations
de Munchmeyer, il en ajoute sept autres : celles
rois faits qui avaient échappé à Mun- chmeyer. Il relate encore une
observation
de Byers (1871), une de Dittmeyer, tirée-de sa
tel que Munchmeyer, soit tombé dans une erreur de ce genre (1). L'
observation
de Podraski est relative à des ossifications trau
elle de Mosetig-Moorhof (1879), Schwartz (1884), Vito (1) Voici ces
observations
empruntées à Lobstein, on se rendra ainsi compte
(Lieutaud, m,51. 71(il. méd., t. 11, p. 346). Portai a fait la même
observation
chez quelques sujets qui avaient prodigieusement
Lieulaud, Portai et Lobstein, nous allons donner succinctement les
observations
de Podraski, de Mosetig-Moorhof, Schwartz et Vi
t ce que nous disons du cas de Vito s'applique également aux autres
observations
que nous venons de citer. 118 A. WEIL ET ,t. NI
andis que Munchmeyer et Nicoladoni tiraient leurs conclu- sions des
observations
cliniques et des autopsies de Testelin et Dambres
teufel, Bruck 1896 et Boks 1897, nous ont fait connaître depuis les
observations
des malades qu'ils ont pu suivre. De Zeuge-Ma
es ossi- fications se montrent surtout dans le système musculaire :
observations
de Tesielin et Dambressi, Wilkinson, Lexer, etc
te qu'on serait tenté de l'admettre après un examen superficiel des
observations
. Ainsi, dans le cas de Hawkins, on a constaté « l
se penchant. » , On croirait, en lisant cette première partie de l'
observation
, que les tumeurs de la première et de la deuxiè
es Anglais), s'est enrichie dans ces dernières années de nombreuses
observations
. Alibert le premier (Nosologie naturelle, t. I.
. Besnier publiait dans les Annales de Dermatologie (3) une série d'
observations
de sclérodermie généralisée et un cas de morphé
ouvons également dans les Annales de Dermatologie de 1881 (4 ), une
observation
de dermato-sclérose partielle de la région dorsal
LLMANN . Dans sa thèse sur la sclérodermie, Collin (1) rapporte une
observation
inédite communiquée par M. Besnier. Elle se rap
rtout l'origine nerveuse probable de la sclérodermie. Voici cette
observation
. Il s'agit d'un cordonnier K... âgé de 32 ans.
répond d'une façon évasive aux questions qu'on lui pose. - Cette
observation
nous a. paru intéressante à plus d'un litre : c'e
ises épilelOoïdes. M. Besnier insistait déjà en 1880, à propos de l'
observation
de sclé- rodermie localisée, signalée précédemm
ulgaire; nous n'avons pas trouvé de fait analogue signalé clans les
observations
publiées jusqu'à ce jour. Il aurait été intéres
Le Breton, Hélot en admettaient la réalité sinon la fréquence. Les
observations
de Brissaud et Marie, de Gilles de la Tourette
ont paru contredire l'existence de la paralysie faciale ; mais des
observations
de Chantemesse et de Ballet ont mis depuis sa r
t l'intégrité des autres mouvements (3). Or, chez les aphasiques, l'
observation
directe monlre que les mouve- ments généraux de
paralysie dans les méningo-encéphaiites : « Parmi le grand nombre d'
observations
des paralysies faciales relevées ici, pas une n
ne la recherche avec soin. Legendre (6) avait donné un procédé d'
observation
qui parait avoir été négligé ; quand les deux y
mps par accès que nous avons pu constater de visu (17 mai). Cette
observation
présente un double intérêt : 1° Une lésion cérébr
e des tumeurs il lous les stades. Lexer n'a-t-il pas noté, dans son
observation
, une tumeur fibreuse au deltoïde gauche, une au
ps, une attaque qui durait trois mois. Celui qui fait le sujet de l'
observation
de Lexer, a éprouvé une attaque tous les étés p
pendamment des tubérosités osseuses que l'on rencontre dans maintes
observations
. Notre malade avait les mouve- ments de l'artic
ine peuvent disparaître. Quelque chose d'analogue est arrivé dans l'
observation
la dernière citée : la tète, d'abord en tortico
n temporo- maxillaire ? (Menkewitsch). Gerber avait décrit dans l'
observation
de Florschuetz une ankylose des pouces, la peti
malade de Byers cessa de grandira l'âge de 10 anus ; dans d'autres
observations
nous trouvons une taille de 138 centimètres 1-1 a
8 mois après, l'auteur trouve à son niveau une formation osseuse; l'
observation
d'Helferich est absolument analogue. à Les th
. 'ilette parle également de lésions congénitales. Dans 12 autres
observations
, l'affection a débuté entre 2 et 5 ans, dans 10
s dans les mouvements des membres se manifestè- rent à 26 ans, et l'
observation
de Braum, publiée par Hawkins, dont la première
une grande importance, il dé- pend sans doute de ce que le nombre d'
observations
qui se rapportent aux femmes, est trop faible r
mme (32 1/9 : 1). Nous arrivons au même résultat que Pincus. Les 50
observations
que nous avons pu réunir se répartissent ainsi
scendants directs ou collatéraux des malades dont nous publions les
observations
. Sympson a noté chez le père et le fils ( ! ) u
us ne savons pas au juste en quoi elle consiste ; dans bon nombre d'
observation
, il est vrai, il est fait men- tion de rhumatis
ace quelques mois après ; 4° Parce qu'enfin, dans un grand nombre d'
observations
, on constate des anomalies congénitales, et il
'appuyant sur trois cas de tabes qu'il aurait découvert dans les 22
observations
de Pinter ; nous les avons vainement cherché ces
omplet après cinq mois d'application. i 12 A. WEILL ET ,1. NISSIM
Observations
. Observation I (personnelle). Albert Schwartz
q mois d'application. i 12 A. WEILL ET ,1. NISSIM Observations.
Observation
I (personnelle). Albert Schwartz est le 9e de d
Friedreich. Le fait que nous allons rapporter en est un exemple.
Observation
. Jules G..., 39 ans, corroyeur, entré il l'hôpi
iedreich ; elles sont, en effet, signalées dans un certain nombre d'
observations
. D'ailleurs Char- cot (Cliniques 1888) les adme
eur Raymond a été atteint à l'âge de 23 ans (2). Bezold (3) donne l'
observation
de deux malades pris respectivement à 20 et 21
me, mettre en valeur sa verve malicieuse et son inimitable talent d'
observation
. Ses chirurgiens, à la fois grossiers et sub- t
direct avec le cervelet. C'est ainsi que Bruns (1) a publié quatre
observations
de tumeurs des lobes frontaux, qui se sont accomp
cie de la peau. Bien- tôt, j'ai fait exécuter un dessin d'après les
observations
que j'avais recueil- lies sur des hommes. Ce
laborateurs pour le vérifier. Nous avons fait plusieurs centaines d'
observations
et maintenant je présente aux lecteurs la moyen
sur les parties découvertes du corps (le vi- sage, la tête). Mes
observations
sur les changements des sensations douloureuses s
e pathologique rend parfois compte de cette asymétrie, comme dans l'
observation
du professeur Lannelongue. Observation (M. le p
ette asymétrie, comme dans l'observation du professeur Lannelongue.
Observation
(M. le professeur LANNELONGUE). Fillette de quatr
e ce genre ont été relevés. Je citerai seulement comme exemples les
observations
suivantes, que j'ai recueillies dans les comptes
indiquant le trajet de la su- ture de ces deux os. Voici ces deux
observations
. OBSERVATION (M. le Dr Thomas BARLOW). - Le Dr
jet de la su- ture de ces deux os. Voici ces deux observations.
OBSERVATION
(M. le Dr Thomas BARLOW). - Le Dr Barlow présente
égère rainure indiquant le trajet de la suture fronto- pariétale.
Observation
(M. le Dr TuoMAs-BARLow). Le Dr Barlow présente l
re commune (loin de là), se trouve relevée dans un certain nombre d'
observations
: c'est la variété dite crâne acrocé- phale ou
le Dr Legrain un fort bel exemple que je reproduis ici (Fig. 2).
Observation
(communiquée par M. 1<.\ Dr Legrain). - Kabyle
cifique et celle malformation crânienne. De cela témoigneront les
observations
suivantes. Obseuvation (M. le professeur A. Fou
i rappelle la dent d'[ ! utcbinson. Non revu depuis lors. Une autre
observation
, que je dois à l'obligeance de M. le professeur l
s dont l'un d'eux (la mère) était de souche syphi- litique. Cette
observation
constitue donc (qu'il me soit permis de le noter
étiologie encore indéterminée de nombre de dystrophies na- tives.
Observation
(M. le professeur Lannelongue) (Inédite). I. - Gr
ée que la gauche, surtout au niveau du bras et de la jambe. Autre
observation
très curieuse du Dl Gnéiiiot, dans laquelle on vo
ionnée qu'au premier aspect on avait pu croire il une anencéphalie.
Observation
(M. le Dr GuéNIO'r).- Enfant microcéphale; ayant
LES MALFORMATIONS CRANIENNES CHEZ LES 11ÉRI¡DO-SYPHILITIQUES 249
Observation
(M. le Dr ANGEL l10';EY). - Le Dr A.Money présent
r Sandoz seul semblait avoir indiquée. Ce stigmate est pourtant d'
observation
assez commune dans l'hérédo- syphilis ; beaucou
de re- cueillir dans ma pratique. Je pourrais citer entre autres l'
observation
d'un de mes malades qui, ayant eu l'imprudence
s qu'on a pn citer. Je me bornerai ici à rapporter certain nombre d'
observations
inédi- tes (1). Observation (M. le professeur
rai ici à rapporter certain nombre d'observations inédi- tes (1).
Observation
(M. le professeur A. Fourrier) (inédite). - Père
lle a guéri rapidement sous l'influence de l'iodure de potassium.
Observation
(M. le professeur A. Fournier) (inédite). - Père
deux de cons- titution moyenne et jouissent d'une bonne santé. *
Observation
(M. le professeur A. FOURNIEU) (inédile). Trois e
'accidents cérébraux, devint maniaque, puis démente, et succomba.
Observation
(M. le professeur A.FounNIER) (inédite).- Hérédo-
excellente santé. De- puis lors, autre grossesse ; enfant sain. ·
Observation
(M. le professeur A. Fournier) (inédite). - Hydro
se confirmant les mois suivants. Mort rapide. 254 EDMOND FOURNIER
Observation
(lLle professeur A. Fournier) (inédite). MmeX...,
ppella la syphilis conceptionnelle à manifestations tar- dives ».
Observation
(M. le professeur A. Fournier) (inédite).- Père a
- festations syphilitiques ; nul symptôme actuel de même ordre. »
Observation
(M. le professeur A. Fournie») (inédite). M. X...
e d'un enfant hydrocéphale, qui n'a vécu que deux a trois heures.
Observation
(M. le professeur A. Fournier) (inédite). Père sy
evé sur lui, non plus que sur les deux enfants qui l'ont précédé.
OBSERVATION
(M. le professeur A. Fournier) (inédite). M. X...
r pilules de Dupuytren. Disparition des taches en quelques jours.
Observation
(communiquée par M. le Dr Parisot [de Nancy]). -
te un état aussi satisfaisant que possible. 236 6 EDMOND FOURNIER
Observation
(communiquée par M. le professeur Spillmann). Pèr
le petit malade succomba il une complication broncho-pulmonaire.
Observation
(communiquée par M. le Dr Jacquet). Père syphilit
nu Ù terme, syphilitique ; mort à dix mois d'accidents cérébraux.
Observation
(communiquée par M. le Dr 13AnTnr : r.EUY). - Pèr
el enfant, actuellement âgé de deux mois et paraissant in- demne.
Observation
(communiquée par le Dr RIUE\t0lT-DECS : 11GNES. -
onstitué qui est resté sain et bien portant jusqu'à ce jour.. , w
Observation
(communiquée par M. le Dr l'OCfIICn). - Enfant de
complète de l'hydrocéphalie. Plus tard, kératite interstitielle.
Observation
(communiquée par M. KEIM, interne des hôpitaux de
interne. · Foyers de broncho-pneumonie. Rien aux autres viscères.
Observation
(communiquée par M. le professeur GEam). - lui. X
philis et hydrocéphales. A ce chiffre j'ai ajouté, d'une part, 12
observations
empruntées aux notes de mon père ; - et, d'autr
ervations empruntées aux notes de mon père ; - et, d'autre part, 11
observations
que je dois à de très obligeantes communication
e simple avec diminution correspon- dante du nombre des cellules.
Observation
. Affection articulaire ancienne avec ankylose d
umineuses du coté macros- copiquement normal (côté gauche). Celte
observation
peut se résumer ainsi. A la suite d'une affection
; Revue de médecine, 1893. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 271 Cette
observation
est précieuse. Elle montre l'existence d'une atro
phie à une diminution d'acti- vité médullaire, ou, comme dans notre
observation
, à une atrophie des cellulles. Apropos de l'a
tance terreuse. Pas d'autopsie. Réflexions. - Nulle part dans cette
observation
, il est vrai, il n'est question d'affection mus
n du coude gauche avec gonflement allant de l'épaule jus- (1) Cette
observation
a été également publiée par Yurasz. 290 ' A. M
uverte d'une peau saine, légèrement chaude. Kohts ajoute que dans l'
observation
prise en juin 1883, un an auparavant, des ossific
e la racine des membres. Le mémoire de M. P. Marie est basé sur six
observations
: trois person- nelles et trois autres apparten
le malade, a confirmé le diagnostic de Spondylose ltliizoméliyue.
Observation
Dur.. , 27 ans, présente la soudure de toutes l
3 mois. UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 331 Mouvements. - Cette
observation
peut être complétée par l'étude de quel- ques m
rachis inférieur, flexion de la cuisse soudée sur le bassin. Dans l'
observation
de Baumler au contraire, l' ankylose 's'est fai
rentrant dans le cadre de la Spondylose rhizomélique. Voici cette
observation
: . - Observation (Baumier). Lorsque je vis p
re de la Spondylose rhizomélique. Voici cette observation : . -
Observation
(Baumier). Lorsque je vis pour la première fois
restées libres. Des cas rapportés dans le travail de M. Marie, de l'
observation
de Banni- ler et de la nôtre nous rapprocherons
lade de M. Marie, le torticolis est très accentué. Comme dans les
observations
de VI.1\larie, le rachis de Duf... est redressé
spéciale des cheveux du côté hypertrophié. On trouve ensuite les
observations
dePassauer (1866), de MM. Trélat et Monod (1869
tté- rature sur ce point. Un mémoire de Kiwull (1890) apporte une
observation
très documen- tée avec examen histologique des
lle. Cas. V. (PASSAUER, Virehow's Archiv., 1866.) Passauer cite l'
observation
d'un enfant de 11 ans atteint d'une hémihyper-
e partielle ou totale. Archives générales de médecine, 1869.) Une
observation
de Trélat et Monod est relative à un jeune homme
Gesichtshype1'tl'ophie. Fortschritte der Medicin, 1890, Bd 8.) L'
observation
de Kiwull est relative à une jeune fille de 18 an
ement de six ans (PI. XXXIX). Le second en- fant (le sujet de notre
observation
) est un garçon né à terme, sans version ni forc
malades du sexe mascu- lin. L'indication du sexe nous manque dans 4
observations
. Le côté droit est plus souvent affecté que le
ù elle fut traversée par de grandes frayeurs (au 7" mois dans notre
observation
, au 8° mois dans celle de Ziehl). Dans un cas (
écédents personnels ne laissent non plus rien à désirer; dans notre
observation
, il y avait eu un écoulement purulent de l'orei
tc.). La luette était déviée du côté opposé à l'hypertrophie dans l'
observation
de Fis- cher. L'amygdale correspondante est plu
conservé même dans les cas d'hémihypertrophie linguale, sauf dans l'
observation
IIÉMIÜYPERTROPIIIE FACIALE 35 deFriedreich où
ations notables. L'oeil est myope et en strabisme convergent dans l'
observation
de Ziehl ; ou bien son acuité est supérieure du
s gauches. » L'examen histologique des parties molles figure dans l'
observation
de Kiwull : des lambeaux furent extirpés dans u
licable peut-être, ainsi que nous le verrons plus loin, à certaines
observations
d'hémihypertrophie faciale acquise. La sensibil
is à ce sujet. Toutefois M. Féré (2) a, sur ce point, fait quelques
observations
intéressantes. « Lorsqu'on expose, dit-il, un o
ie des gencives était manifeste du côté de la défor- mation, dans l'
observation
de Montgomery. La langue est ici toujours intac
rvation du trijumeau a présidé à la genèse de l'hypertrophie dans l'
observation
de Berger et probablement dans celle de Stilling.
nier est fermé au niveau de la partie cervicale supé- rieure. ' L'
observation
suivante peut servir d'exemple de ce cas d'ouvert
observé en Angleterre ou en Australie. Nous avons reproduit cette
observation
d'après ce que rapportent Sonham et Pincus et d
oston med. journal, 1891, p. 3. La malade qui fait l'objet de cette
observation
a été vue par l'auteur en 1874 ; son observatio
t l'objet de cette observation a été vue par l'auteur en 1874 ; son
observation
a été publiée dans le New-York naed. Record de l'
de Paris multiplia ses efforts pour ouvrir Charcot le vaste champ d'
observation
où, tout en prodiguant ses soins à tant de malheu
sonnalité mentale, et qui soumettaient à la rigoureuse épreuve de l'
observation
scienti- fique des affections dont les symptôme
i tout le jour.où Charcot revenait avec Vul- pian, pour prendre les
observations
des administrées constituant ainsi le dos- sier
inal. Il y apportait, en effet, toutes les données fournies par les
observations
et autopsies de la Salpêtrière. Dans ses leçons
du cas que nous av ons observé. 420 0 A. SOUQUES ET P. DUVAL .
Observation
Alphonse B..., chaudronnier, âgé de r5 ans, ent
sont normales en quantité et en qualité. Tels sont les détails de l'
observation
. 11 s'agit, en résumé, d'une paralysie du grand
apèze complique souvent celle du grand dentelé. Il est vrai que les
observations
sont souvent incomplètes. Mais, encore que les ob
que les observations sont souvent incomplètes. Mais, encore que les
observations
soient défectueuses à beaucoup d'égards, que ce
inférieure du trapèze. Bruns (2), revenant, l'année suivante, sur l'
observation
du même ma- (1) Remak, Berl. Gesells. sur Psych
ne « l'ai pas rencontrée une seule fois. » En effet, parmi les dix
observations
qu'il rapporte sommairement, sept ressortissent
un cas de paralysie isolée du grand dentelé. Une des deux dernières
observations
est ainsi relatée : « Atrophie du grand dentelé,
ause in- connue. » Et enfin la dernière,tout fait identique à notre
observation
per- sonnelle, est ainsi conçue : « V... brossi
e des mouvements » concernent ce malade. Duchenne,qui rédigeait les
observations
précédentes en 1855, ajoute en note : « Depuis
u reste difficile de faire un choix dans la plupart de ces diverses
observations
, de savoir par exemple si tel cas se rapporte il
ns moyenne et inférieure de ce muscle. Remak (1), se basant sur son
observation
personnelle et sur les observa- tions de Langen
ent la compression du nerf radial par le triceps. Il conclut de son
observation
et de ses recherches que la paraly- sie radiale
ÉGIE SPASMODTQUE ET ÉPILEPSIE PAR LANNOIS et BERNOUD de Lyon.
Observation
. R... Matlrilde, 20 ans, entre le 14 juin 1898
s. ' Rien au coeur. Ni sucre ni albumine dans les urines. Cette
observation
nous a paru intéressante il publier. En effet, si
ublier. En effet, si l'on a dans la science un assez grand nombre d'
observations
dans lesquellesun n,c- vus atteignait une parli
ce malade, comme la nôtre, était épileptique. Israël a publié deux
observations
de noevi se rapportant à deux névropathes issus d
par différents auteurs. Mauclaireet de Bo is en ont réuni quelques
observations
dues à Lebert (1), d'Arcy Power (2), Reeve (3),
r l'idiotie, les affections spasmo-paralytiques et l'épilepsie. Aux
observations
nou- velles à démontrer la fréquence de ce rapp
ULAIRES. PAR tt CH. FÉRÉ, Médecin de Bicftre. C'est un fait d'
observation
pour ainsi dire banale que dans la chorée souve
lations des phé- nomènes qui ne sont pas non plus sans intérêt. L'
observation
qui nous fournit un exemple de ces contractions m
tractions mérite d'ailleurs l'attention à d'autres points de vue.
OBSERVATION
.- Polype papillaire de la narine gauche.- Chorée
- lade n'a plus reparu depuis : on peut la supposer guérie. Cette
observation
présente un certain nombre de particularités qui
s variables de Brissaud (4). Le phénomène le plus original de cette
observation
c'est la localisation stricte des spasmes, dans
esseur à la Faculté de Médecine de Montevideo. On doit à quelques
observations
de Charcot et Weir-Mitchell de connaître cette
de La Caridad et qui a fait le sujet d'une leçon résumée ci-après.
Observation
. Pétrone B... est entrée le 2 mai de cette anné
chiffre 468 J. SOCA de noire malade. J'ai parcouru la plupart des
observations
publiées en France et le plus fort chiffre que
atteint le sommum d'acuité et de violence le premier jour de notre
observation
, qu'ils ont été dès lors s'atténuant graduellemen
n; rien dans les membres inférieurs. Pendant que la malade était en
observation
, on a constate les modifications suivantes dans l
trans- formation des cellules conjonctives en corpuscules osseux.
Observation
Lf. - 13URGGnfIOUT, Thèse de Leyde, 1898. Le ma
nant déjà d'une sûreté de main peu commune et d'une rare justesse d'
observation
. Ces qualités devaient trouver leur application
l s'agisse d'analoinicpure, d'histologie normale ou pathologique, d'
observation
clinique" ou d'un chapitre de nosographie, toujou
pas seul eu son genre. N'y aurait-il pas à moissonner de curieuses
observations
rétrospectives parmi les monuments figurés du p
II>ail le lendemain, au besoin les jours suivants, et, de celle,
observation
minutieuse,visue))e surtout, - résultait souvent
yse des sentiments et des passions. Il yrelrouvail celle rigoureuse
observation
de. l'espèce humaine qu'il appliquait, lui, a la
uvre des écoles flamande et hollandaise. Les indéniables qualités d'
observation
dont firent preuve les artistes des Pays-lias, co
ien ne lui semblait louable qui ne fut. inspiré par une scrupuleuse
observation
de la nature. Ce sincère regard jeté sur Charco
e sont pas les moins intéressantes; elles font entrevoir un don d'
observation
vraiment singulier. Les plus curieuses sont ass
enirs de jeunesse d'un réalisme si vif, d'une si piquante finesse d'
observation
, on entrevoit quelles facultés critiques se tro
our faire entrevoir une des formes les plus curieuses de l'esprit d'
observation
dont était doué Charcot. La plus fameuse assuré
joint de l'Asile Interne des Asiles de la Seine. Saint-Yon. - . L'
observation
suivante a été recueillie à l'asile de Villejuif
a face et une contracture des extrémités. Nothnagel8 enregistre une
observation
d'Oliver qui, dans un cas de gliome du lobe moy
a- mane dans un travail tout récent 3, donnent, entre autres, une
observation
(obs. 8) où la tumeur est identique de siège à
t donné des alternatives de pâleur et de rougeur du visage. Cette
observation
, notons-le en passant, est une preuve de la diffi
l'absence de données à ce sujet lui parait dû surtout à un défaut d'
observation
. II. Il y a lieu d'insister sur les troubles ps
isuelles de deux espèces forme l'un des côtés intéressants de cette
observation
. Les hallucinations de la vue sont, croyons-nou
et toujours « aussi précises et aussi singulières » que dans notre
observation
; dans un cas il y avait coexistence d'hallucina
ois cas d'hallucinations de la vue. D'autre part Macabiau3 3 sur 60
observations
n'a noté de délire que trois fois. Nothnagel ne
lumineuses, se traduisant par des hallucinations de la vue. Notre
observation
ressemble beaucoup à celle de M. Bris- saud, ma
ous les vertébrés inférieurs est pourvue de ces éléments nerveux. L'
observation
nous indique qu'au sur et à mesure que nous des
, c'est-à-dire, d'une région de l'écorce cérébrale à une autre. L'
observation
simple nous convainc de la variété et de la mul
Dans son étude, M. Ladreit de Lacharrière cite un certain nombre d'
observations
à l'appui de ses affirmations. Les neuf premièr
cas de vices de conformation des organes vocaux. Mais les dernières
observations
de M. Ladreit de Lacharrière concernent 2 cas d
discipliner J'attention visuelle et celui d'exercer les facultés d'
observation
et d'imitation. Les essais auxquels nous eûmes
vements des organes de la parole. Les facultés de l'attention, de l'
observation
et de l'imitation avaient été ainsi exercées, e
(traduit en français par MM. Dubranle et Dupont) ; de M. l'autre :
Observations
sur l'application de la méthode intuitive orale
pris un certain essor, notamment en ce qui concerne les facultés d'
observation
; et de mémoire. La réflexion s'est également ex
faisons tous les ans sur notre service de Bicêtre nous publions des
observations
sur les cas intéressants, en même temps que nou
e l'action du bro- mure dans l'épilepsie, Dunning rapporte quelques
observations
cli- niques qui ont la valeur d'une expérience.
P. IIE.RDER. (The Journal of Mental Science, janvier 1897.) Cette
observation
est curieuse à plusieurs titres ; d'abord parce
ie de Little d'autre part. L'étude de cette dernière est tirée de l'
observation
d'une jeune fille de dix-neuf ans, fleuriste, n
ême côté. Les sphincters non plus ne sont pas épar- gnés et l'
observation
note de la faiblesse du sphincter anal coïn
faisceaux latéraux de la moelle épinière et demandait le contrôle d'
observations
nouvelles, et comment lui-même dès 1885 et depuis
a naissance avant terme. Or M. le professeur Raymond, reprenant les
observations
de Raillon, d'Otto, de Déjerine, montre que l'a
ers l'encéphale, et c'est pourquoi il y a une lacune immense dans l'
observation
de Senator où l'examen du cerveau n'a pas pu êt
t médecin. S'il n'a pas attendu la mort de M. Zola pour publier son
observation
, c'est dans la crainte que les héritiers n'auto
paralysie asthénique bulbaire (avec démonstration d'une malade).
Observation
1. Un distillateur (d'eau-de-vie), agé de cinquan
ubitement d'asphyxie pendant la séance de nutrition artificielle.
Observation
. II. La malade est une demoiselle de dix-sept a
de M. Korsakoff). Discussioa.-11. Rossolimo indique que d'après ses
observations
dans les cas d'encéphalite hémorragique aiguë c
ue de polynévrite sulfocarbonée, les para- lysies diphtériques, des
observations
de polynévrite paludéennes, de polynévrite tube
puisqu'il règle le pronostic. La XXI0 leçon apporte une nouvelle
observation
de polyomyélite antérieure chronique. D'accord
rigine embolique est fort rare. Le professeur Raymond en publie une
observation
très intéressante. Cette observation est en out
ofesseur Raymond en publie une observation très intéressante. Cette
observation
est en outre remarquable par la présence d'une
iquer la déformation des doigts chez ces malades Dans la première
observation
ayant trait à un malade célèbre vu par Ricord,
s travaux antérieurs du même auteur, est frappé au coin de la bonne
observation
clinique ; les recherchet dirigées avec l'habil
arksveranderung bei Tabes D p'' Borgherini (de Padoue) : « Quelques
observations
sur l'étiologie et la pathogénie du tabes. » Pr
logie de cette affection. »- Myélites chroniques, p. 0 : « Dans des
observations
relativement nombreuses, il a été impossible d'
tré le 19 février 1897, dont un de nos externes M. Orssaud a pris l'
observation
avec beaucoup de soin. Il a tout d'abord une at
iscon- tinuité des foyers de sclérose, multiplicité des causes. L'
observation
même de notre malade suffit à établir la multip
die commune : la sclérose multiple dissé- minée. Voici, d'après l'
observation
prise par M. Orssaud, l'his- toire résumée de c
n possible), et empruntés à un observateur indiscuté : Vulpian 1.
Observation
II (p. 399). - Il s'agit d'une femme ataxique d
e rendu de cette autopsie comporte les mêmes remar- ques que pour l'
observation
précédente. Ces deux faits dont on pourrait rap
Fischer et surtout Souques et Guinon ont montré par de nombreuses
observations
l'alternance familiale ou l'associa- tion indiv
nique et son influence sur la produc- tion de la polyurie, quelques
observations
bien curieuses au point de vue qui nous occupe.
point de vue qui nous occupe. Ce sont des faits comme celui-ci :
observation
IX, à l'autopsie : méningite plastique, hypertr
ogie. Sans doute, cette notion de la sclérose multiple disséminée
OBSERVATION
D'APHASIE STATIONNAIRE. 125 n'est pas une révol
liniques sur les maladies du système nerveux. RECUEIL DE FAITS.
OBSERVATION
D'APHASIE STATIONNAIRE PENDANT TRENTE-HUIT ANS;
r 1874, et a été transféré à celui d'Evreux le 24 juillet 1875. Son
observation
est rapportée de la manière sui- vante par Trou
ouvent d'un air niais quand on l'interrogeait, mais elle ne l'était
OBSERVATION
D'APHASIE STATIONNAIRE. 127 pas beaucoup. Il co
de lésions macroscopiques. Ce qui me paraît intéressant dans cette
observation
, c'est le début de l'aphasie à vingt-un ans par
yer de l'hémisphère cérébral gauche, sa longue durée, trente-huit
OBSERVATION
D'APHASIE STATIONNAIRE. 129 ans, l'absence d'au
n une guérison complète, au moins une très grande amélioration. L'
observation
de Guenier que nous venons de rapporter est peu
due unique- ment à de simples troubles circulatoires. Dans celle
observation
il ne paraissait pas y avoir de surdité verbale
ue journalière et qui pourtant donne de si merveilleux résultats. L'
observation
qui va suivre nous en fournira un bel exemple.
. accouchait il y a trois jours d'un enfant bien constitué. Cette
observation
offre des particularités intéressantes. C'est d
r ? Et je me demande, si, chez A4 ? X... qui fait le sujet de cette
observation
, les choses ne se seraient pas passées d'une fa
al of Mental Science. Janvier l8rJi.) M. Simpson rapporte d'abord l'
observation
d'une femme elle laquelle on a vu apparaître la
laparotomie; à l'occasion de ce fait, il a rassemblé et étudié ses
observations
. Sur vingt-six causes de folie post-opératoire, a
truites. Mais sauf dans des conditions tout à fait extraordinaires (
observation
de Voit, dans Landois et Stirling) la régénérat
e Journal of mental Science, janvier 1897.) Il a à noter dans cette
observation
intéressante plusieurs points remarquables : d'
t un refus absolu de s'alimenter. Le point le plus remarquable de l'
observation
c'est l'exacte simultanéité de la disparition d
dans la suite la crise a toujours com- mencé par ce môme spasme.
Observation
1.- Homme, vingt ans. Traumatisme à la tête dans
e névroglique, petits espaces ramollis entre les deux substances.
Observation
II. - Femme trente ans, épilepsie idiopathique;
bras gauches. Le 2 septembre : marasme ; mort. Le litre même de l'
observation
résume les résultats de l'autopsie. - R. DE SIU
locomotion. Cette dernière, à son tour, peut, comme le montrent les
observations
citées, modifier favorablement l'état général,
gras, onctions répétées deux'ou trois fois par jour : les quelques
observations
rapportées dans ce travail viennent confirmer s
sister. - R. DE -'1 USGRA VE-CL.\ Y. VIII. L'asile DU CAIRE : LES
observations
DU Dr WARNOCII SUR la folie du nAscfuscH/par T.
formalités d'admission ; comment on procède à l'admission; première
observation
du malade). Procédés à l'internement; quelles d
t l'exactitude de docu- mentation que des années de recherches et d'
observation
spéciales lui ont permis d'acquérir; il remerci
entre un et deux ans, une fille bien portante et le sujet de cette
observation
). y X... a eu un premier enfant extrait par la
en ressentir. Ses professeurs, qui s'en aperçurent, lui en firent l'
observation
, D'autres personnes érudites de son entourage l
t simuler la sclérose tabé- tique. La lecture attentive de quelques
observations
déjà anciennes, nous a donné la conviction qu'o
. Mais ce mécanisme n'est pas le seul. En nous appuyant sur trois
observations
de tabes cervico-dorsal (Eichhorst, Mar- tius)
peut-être à cause de sa complexité, il faudrait une cinquantaine d'
observations
, dans lesquelles les diverses phases de la mala
maladie auraient été soigneusement relevées mois par mois : toutes
observations
suivies d'examens microscopiques minutieux, pou
travail inaugural, nous avons réuni quelques exemples tirés de nos
observations
. Nous voulons simple- ment en donner ici la con
osé, c'est tout. Dans une aussi grosse question, il faut beaucoup d'
observations
, patiemment et minutieusement prises, du commen
pas nécessairement la lésion des bandelettes externes : dans notre
observation
II, les bandelettes externes étaient considérab
t aux sorties provisoires, l'autre est un autori- taire qui exige l'
observation
stricte du règlement ; celui-ci croit nécessair
s celui de con- naitre ni d'étudier à fond ses aliénés. C'est que l'
observation
et le traitement de ces malades n'ont rien de c
(Edillbourgh Médical Journal, janvier 1897.) L'auteur rapporte l'
observation
détaillée d'une femme de qua- rante-cinq ans qu
terne). (Alezius etd'Astros 1894; Shimamura 1894.) A l'aide d'une
observation
complexe et parfaitement étudiée, appuyée par l
xus brachial; par P. Sciiuster. (Neurolog. Centralbl., XV, 1896.)
Observation
caractérisée par l'existence d'une paralysie comp
complexus morbide en apparence si grave. M. Fuerstner en donne deux
observations
caractéristiques. M. Nonne en fournit sept. Il
ice qui se manifestait en des sujets si divers, avec cette acuité d'
observation
qui leur permettait de fouiller les faits jusqu
ces grandes compositions où tout est sacrifié à l'ensemble; leurs
observations
de malades sont, toutes, des tableaux de genre d'
ités de médecine mentale. « Qu'on relise, pour s'en convaincre, ces
observations
si com- plètes, si suggestives, de folie à doub
architectes, je me suis empressé de livrer les résul- « tats de mes
observations
, de mes essais et de ma longue pra- « tique; j'
PERRY (de Bordeaux) communique, au nom de M. Régis et au sien, les
observations
d'un certain nombre de paralytiques géné- raux
urtout dans l'appendice placé à la fin, qui rapporte comme première
observation
en date celle d'une fille de douze ans, citée p
mbat les idées de Briquet, et SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 attribue ses
observations
d'hystérile infantile à des erreurs de diagnost
ie chez les jeunes garçons. L'auteur prend pour point de départ une
observation
personnelle et s'inspire des travaux de Bournev
dans l'enfance. Cette thèse, inspirée par Bosc, renferme plusieurs
observations
intéressantes, défend la cause de l'hystérie de
hez les jeunes enfants qui relate des observa- lions de Chaumier, l'
observation
personnelle d'un garçon de trois ans présentant
Toulouse, en février 1896, dans . laquelle nous rapportions quatre
observations
personnelles d'hys- térie infantile se répartis
essant brusquement par compression du point iliaque (cette dernière
observation
fut rele- vée par notre interne, M. Bize, sous
Revue de pathologie nerveuse de ce numéro renferme l'analyse d'une
observation
d'hystérie infantile. 2 On trouvera' dans Jean
rdront pas leur temps à sa lecture. 1 .SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 une
observation
personnelle chez un enfant de dix-huit mois, qui,
ro- prié presque toujours couronné de succès. M. Cullerre : - Les
observations
que vient de présenter M. Pitres et auxquelles
ne manifestation de l'hys- térie. M. RENAULT (d'Orléans) relate l'
observation
d'une petite fille, ma- nifestement hystérique,
AMARQ(de Bordeaux) communique au nom de M. Sabrazès et au sien, les
observations
de trois enfants atteints d'hystérie, qui mérit
is cas d'hystérie infantile. MM. S.BRASLS et LAUas rapporlent trois
observations
d'hystérie nfantile qui méritent d'être réunies
suggestion. L'électricité est encore très utile au diagnostic; ses
observations
le prouvent. L'existence de la réaction de dégé
ENTE a clos la discussion par quelques mots en réponse aux diverses
observations
présentées. Cette séance s'est terminée par la
et de l'eau-de-vie. M. VALLON. - Il ne s'agit pas ici d'une simple
observation
, c'est un rapport médico-légal;' nous ne pouvon
ns considérer la communication de -'1. Guibert que comme une simple
observation
et moi-même je ne la discute qu'au point de vue
s connexions les plus étroites, et il appuie ses assertions sur des
observations
démonstratives. Enfin il décrit les divers degr
dis que l'opinion générale qu'il critique est basée à la fois sur l'
observation
de cas appartenant et au sexe fort et au sexe f
r un peu de lumière sur ce sujet de pathologie nerveuse, malgré des
observations
intéressantes parues dans des revues périodique
tème nerveux, leçons publiées par Guinon, t. I, 1892. Boume- ville.
Observations
d'hyslérie-épilepsie chez les jeunes garçons, (l'
que m'aura suggé- rées leur étude clinique. J'aurais pu classer mes
observations
d'après l'âge des enfants et établir, par exemp
ses. Cependant pour mettre un peu d'ordre dans le groupement de mes
observations
, je m'attacherai à suivre, autant que possible,
rai à suivre, autant que possible, cette dernière classification.
Observation
I. Contracture hystérique chez un enfant de vingt
tte époque, l'enfant n'a rien présenté qui mérite d'être signalé.
Observation
II. Paraplégie hystérique chez un enfant de six a
ait fait lui-même sa paralysie en regar- dant son frère paralysé.
Observation
III. - Paraplégie hySlél'o-tl'aumatique avec hypé
accompli son oeuvre. Guérison au bout de quinze jours. Dans cette
observation
on ne peut soulever aucun doute sur la nature d
'on doit attacher à l'isolement quand cet isolement est possible.
Observation
IV. Aphonie et amnésie survenues à la suite d'un
uéri de son bégaiement et que la mémoire lui était revenue. Cette
observation
offre un certain intérêt, car ces cas d'amnésie
êt, car ces cas d'amnésie hystéro-traumatique doivent être rares.
Observation
V. Enfant de trois ans. Contracture des muscles d
Ce dernier accident de l'enfant semble bien être de même nature-
Observation
VII. Pseudo-méningite à répétition chez une petit
a terminaison heureuse et rapide venait lever toute- incertitude.
Observation
VIII. Pseudo-méningite hysté1'o-t1'aumatique, che
disparu. Comme héridité père et mère alcooliques, mère nerveuse.
Observation
YS.. Pseudo-méningite chez un petit garçon de tro
à du méningisme hys- térique. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 313
Observation
X. Pseudo-méningite chez une fillette de sept ans
Chez eux la suggestion même à l'état de veille est très efficace.
Observation
Il Diabète insipide hydrurique chez un petit ga
ficultés. Ce sont, à coup sûr, les malades qui exigeut du médecin l'
observation
la plus attentive, la plus minutieuse, et qui,
paresthésiques occu- pant un territoire limité d'une des cuisses. 4
observations
. Guéri- son par les douches, les frictions froi
ique, dans l'anesthésie traumatique, dans la paralysie saturnine (3
observations
en tout), aucune altération. P. KERAVAL, XI.
nal de Neul'oloie et d'IIypnologie, 1897, n° 10.) Le sujet de cette
observation
est un jeune médecin, âgé de vingt- six ans, qu
e; par E. Lugaro. (Riv. di. pat. nerv. et ment., fasc. 10, 1896.)
Observation
suivie de quelques réflexions aboutissant à cette
graine OPIITALMOPLÉGIQUE; par le De J.-B. Charcot. L'intéressante
observation
relatée par l'auteur a trait à une femme relati
de migraine ophtalmoplégique s'impose. L'étude comparative de cette
observation
avec celles, peu nom- breuses, publiées jusqu'à
r propose d'appliquer le terme plus général de dyspragie et donne l'
observation
d'un fait de cet ordre dans le domaine cérébro-
e le gland et le prépuce, en cas de phimosis. L'auteur rapporte l'
observation
d'un enfant de quatre mois qui lui fut présenté
énérale juvénile chez les hêrédo-syphilitiques et présente quelques
observations
, une entre autres particulièrement intéressante
aliénés migra- teurs méconnus dont il rapporte un certain nombre d'
observations
. C'est une question qui se rattache à celle des
a nuit si propices aux crises tluxionnaires. 4° Ainsi appliquée à l'
observation
des maladies mentales, l'in- tervention nycthém
e nature. Pour élucider cette question, nous avons réuni toutes nos
observations
de paralysie générale ; après avoir éliminé cel
entes, mais à foyers paludiques graves. La première partie de ces
observations
a été établie par des médecins de la marine, de
mbreux médecins ont vu la même chose, de telle sorte que toutes ces
observations
, malgré leur diversité d'origine, ont des carac
a chorée chronique héréditaire. MM. RISPIL et Baylac communique une
observation
de chorée chronique héréditaire où les urines s
e des destructions cérébrales précoces par rapport à l'épilepsie.
Observation
I. - Une jeune fille de dix-sept ans eut une mala
très forte presque sans mo- tifs, s'exprimant en accès de fureur.
Observation
IL Un homme de vingt-trois ans, devint malade l
sente encore une preuve anatomique : . SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 347
Observation
III. Epilepsie psychique dès l'âge de treize ans;
litiques est possible. Il n'existe dans la littérature qu'une seule
observation
semblable (de Grec1 ! '), mais qui n'est pas auss
s de Môbius, qui institua le terme Infantile ! ' ](emschwund et les
observations
de Schultze, de Bernhart (1894-1897) et de Rema
hissant seulement le nerf facial, et ayant comparé ces cas avec les
observations
de Mann, de Kortum et de Cohn (de la clinique d
nique des idées, voilà ce qu'a cherché l'anteur dans les nombreuses
observations
qui' composent la partie clinique, très intéres
nier jour, toutes les qualités de cet esprit alerte, 'sagace dans l'
observation
, sûr dans la déduction, original dans l'exposit
a vécues au milieu d'aliénés, il a publié un nombre considérable d'
observations
et de recherches en clinique mentale, en médeci
; Par le D'' F. TERRIEN, Ancien interne des asiles de la Seine.
Observation
XII. - Diabète insipide hydrurique chez un enfant
je n'ai pas l'analyse complète de l'urine (c'est pour cela que mon
observation
sera brève). Je remettais toujours au lendemain
ue hystérique, ces sueurs peuvent bien être de nature hystérique.
Observation
XIII. . Coxalgie hystérique chez un jeune garçon
non tuberculeuse, la soeur ayant présenté de la pseudo-ménin- gite (
Observation
VI) et de la pseudo-coxal"ie Et puis, un an ava
oureux, et il commence à aider ses parents aux travaux de labour.
Observation
XIV. Fillette de sept ans. Etouffements nerveux,
amen. Évidemment ces dernières crises sont des crises d'hystérie.
Observation
XV. Enfant d'un an. Crises d'hystérie. Convulsion
enfant, la tare héréditaire, tout plaide en faveur de la névrose.
Observation
XVI. Somnambulisme hystérique. Vision à distance.
invraisemblables que puissent paraître les phénomènes offerts à son
observation
, surtout s'il les a étudiés scrupuleusement ave
livé, et dont la bonne foi ne devait guère être suspectée. Dans l'
observation
qui va suivre, on va trouver la confirmation de
t est donc étrange, presque mystère dans l'hystérie; cette dernière
observation
en est une preuve nouvelle. Observation XVII. E
'hystérie; cette dernière observation en est une preuve nouvelle.
Observation
XVII. Enfant de sept ans. Hystérie et dégénéresce
près, le même traitement employé a été suivi des mêmes résultats.
Observation
XVIII. Chorée rythmique chez un enfant de huit an
ue avec une affection médullaire. J'aurais pu ajouter bien d'autres
observations
, mais je devais me limiter. Je tenais à signale
urs éclate à chaque pas dans le cours de ce travail, en tête de mes
observations
, j'ai su du moins relever une série de faits se
lement simu- a u aj 1er les affections des autres organes. Dans les
observations
relatées plus haut, on l'a vue simuler (et avec
haut, on l'a vue simuler (et avec quelle préci- sion) la méningite (
observations
G, 7, 8, 9, '10) ; les paralysies et contractur
tions G, 7, 8, 9, '10) ; les paralysies et contractures organiques (
observations
1, 3,4, 5), lespara- lysies dues aux intoxicati
s (observations 1, 3,4, 5), lespara- lysies dues aux intoxications (
observation
2; elle donne la polyurie, la polydipsie du vra
polyurie, la polydipsie du vrai diabétique diabète hydru- rique (
observations
1'I, 12) ; elle simule la coxalgie (obser- vati
érie sait bien la copier ; aussi l'erreur est-elle facile. On a vu (
observation
7) que le premier accès de méningisme avait été
accidents hystériques associés à une méningite tuberculeuse. Dans l'
observation
XVII de ce travail on voit l'hystérie et la dég
les phénomènes dus à la dégénérescence mentale persister. Dans l'
observation
XVIII c'est de la chorée rythmique qui accompag
ie de l'enfance plus encore que l'hystérie de l'âge viril exige une
observation
très attentive du médecin, car elle peut, s'il
hérédité soit similaire, soit dissemblable. A la tête de toutes mes
observations
de la névrose infantile on la retrouve. C'est l
HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 389 « Etiologie » l'indique, et les
observations
II et V de ce mémoire le démontre de la façon l
battre ou éviter l'onanisme. On trou- vera un certain nombre de nos
observations
dans le mémoire de Clopatt et dans nos Comptes
on spontanée, sans coups, blessures ou contusions de l'oreille. -
Observation
(résumé). Antécédents héréditaires inconnus mais
on de l'écorce. » Avec les méthodes colorant la gaine de myéline, l'
observation
de tractus isolés de pareilles fibres peut fair
LE trional ; par N. GIERLICIi. (Neurolog. Centralbl., XV, 1896.)
Observation
montrant que le trional peut produire un complexu
rocédant sur des faits nettement observés, l'auteur a recueilli 130
observations
: 96 de ces paralytiques généraux avaient en so
généralement. 11 y asi peu loin qu'en consultant l'ensemble de nos
observations
, nous nous sommes trouvés souvent embarrassés pou
les obsédés se suicident-ils ou non ? Eh bien sur l'ensemble de nos
observations
, nous avons trois cas de suicide et plusieurs t
leçons cliniques de M. Raymond. Ce qu'il y a de nouveau dans cette
observation
c'est la présence du phénomène de l'hyperesthés
l'existence. Si cette constatation se trouve vérifiée dans d'autres
observations
d'affections trauma- tiques de la moelle, à l'e
artrésie, peuvent la provo- quer, ainsi que le démontrent nos deux
observations
dans lesquelles il ne s'est agi ni de gangrène
e deltoïde présentent les altérations connues. Pour con- trôler ces
observations
et y établir un parallèle, on fit des recher- c
t, en moyenne, un peu plus longue que chez ces derniers. Quelques
observations
sur la symptomatologie de la syringomyélie. 1 M
sous le type élevé par Kahler, Schultze et Schle- singer, quelques
observations
cliniques sont notées, qui méritent de l'intérê
la maladie de Raynaud, d'un cas compliqué de tahes et enfin d'une
observation
concernant la syringomyélie à type Morvan. Cont
ésion cérébrale en foyer; par le D'' G. DURANTE (Paris). Nouvelle
observation
d'altération des cordons postérieurs con- sécut
pendant que, comme celles que nous avons publiées antérieurement, l'
observation
que nons apportons est un nouveau fait d'altéra
Plusieurs cliniciens ont déjà fait ces diagnostics délicats, et les
observations
, dont les premières remontent à quelques années
vaincre. Très exact dans le service, toujours attentif aux moindres
observations
qu'on pouvait lui faire, il s'acquittait scrupu
de Bicêlre et de la Salpêtrière). Au pointde vue pathogénique, des
observations
très intéressantes tendent à établir que l'atta
oignait l'heure des repas. En comparant entre elles ces différentes
observations
cli- niques et physiologiques nous avons été am
ux doubles varialions quotidiennes examinées plus haut, et dont les
observations
suivent : II. Les solutions employées ont été s
Son état physique et mental est tel qu'il a été résumé plus haut.
Observation
V. - Mich... M..., vingt-sept ans, (épilepsie). P
itoire. du taux de l'alcalescence du sang après les injec- tions.
Observation
VI. Dela... A., seize ans (épilepsie). Pas d'anté
s injections. Aggravation de l'état dépressif post- paroxystique.
Observation
VIL- Nott... vingt-six ans (épilepsie). Débilité
ransitoire de l'alcales- cence du sang à la suite des injections.
Observation
VIII Ba... R..., vingt ans (épilepsie). Enfant na
cas des accès délirants à forme maniaque. RECUEIL DE FAITS. UNE
OBSERVATION
DEMANDE AIGUË CHEZ UNE ACROMÉGALIQUE; PAR LES
ant se rappeler la description de l'état physique du sujet de notre
observation
, on sera frappé des nombreux caractères' sur le
nt d'un accident tout à fait indépendant de l'acromégalie que notre
observation
surtout a pour but de mettre en relief. Les enf
stance (Souques in Charcot). Si nous avons pensé à recueillir cette
observation
, c'est que les cas d'acromégalie sont encore tr
decin à ILl m.lison de santé de Saint-Jean-de-Dieu (de Lyon). Les
observations
de psychoses survenant dans le cours d'une mala
qui ne le gêne en rien. Quel enseignement peut-on tirer de cette
observation
? Le goitre exophtalmique, au point de vue de l
tes, serviteurs et servantes, professeurs. Le plus généralement (13
observations
) une personne du sexe féminin abuse d'un petit
omiques),. par J. r ? rEnszr.a. (Neurolng. Centnrlbl, XV, lS9fi.)
OBSERVATION
. - Chez un jeune homme de vingt-trois ans, il se
rande tendance à l'amélioration et des oscillations brusques. Cette
observation
est comparable il celle de Kaliscller (Deulsche
s sans doute jusqu'à nouvel ordre' ? L'auteur a déjà recueilli deux
observations
dans lesquelles on constatait en même temps : d
te du tremblement intentionnel (Charcot), il y a un nombre énorme d'
observations
dans lesquelles les troubles moteurs des extrém
ue) ; par lli\ESLER. (Neurolog. Cenlralbl., XV, 18 ! )11.) Longue
observation
d'un jeune homme de vingt-quatre ans. Il présen
e-ci continue dans l'intervalle des attaques. L'auteur en donne une
observation
qu'il rapproche de celles de Russel Rey- nold e
ent suspendus depuis des mois). Seppilli a, lui aussi, publié trois
observations
de irnoclome fami- 508 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
seule- ment il l'impute à l'écorce du cerveau. P. KERAVAL. XLII.
OBSERVATION
DE maladie DE hlOIIV : 11 ; par M. Bielsciiowsky.
on absolue concernant les ren- seignements que l'on peut tirer de l'
observation
de l'épilepsie jack- sonienne. Je suis venu à c
e l'épilepsie jack- sonienne. Je suis venu à cette conclusion par l'
observation
d'un très grand nombre de cas dans lesquels, po
les cas qui peuvent entraîner la con- viction, je puis citer trois
observations
de tumeur : l'une du lobe frontal, l'autre du l
e et d'éther furent également impuissantes. L'auteur rap- porte des
observations
qui démontrent que ce phénomène a été observé d
'éclairer de quelques lueurs la genèse de ce délire. Enfin quelques
observations
, rares il est vrai, montrent manifestement l'ac
élèves ; il les dirige dans leurs fonctions, dans la rédaction des
observations
dont ils sont chargés, dans celle des ouvertures
pendant cinq jours, ou plus au besoin, aux asiles d'aliénés. 53S
observations
des médecins; ceux qui, déjà confiés aux soins du
anée plus sévère, y sont ramenés. , Les malades, après la période d'
observation
, sont placés dans les familles; ils en partagen
mental parliculier du malade, en raison aussi des difficultés de l'
observation
, elles passent facilement inaperçues. Les troub
des, Villac..., dont l'un de nos élèves, M. Julien Noir, a publié l'
observation
, que nous lui avons communiquée, dans sa thèse
l-Naquet, président du Conseil, prend alors la parole et résume les
observations
présentées par le secrétaire général. Il signal
tle, par Raymond, 47, par van Gehuchten, 324. .Maladie de Morvan.
Observation
de - , par Biel.cltowsly, 508. Maladie DE 'l'
énomène chez les paraly- tiques généraux. Nous publions ici trois
observations
de paralytiques géné- raux avec hallucinations
ent indistinctement tous les territoires, devrait être un champ d'
observations
fertile. Les hallucinations simples chez les pa
bien vu l'importance ; au cours de son travail, nous relevons trois
observations
où le caractère psycho-moteur de l'hallucinatio
p touchées pour qu'il en soit ainsi. Nous rassemblons ici les rares
observations
que nous avons pu recueillir dans les auteurs s
ce trouble morbide au cours de la paralysie générale. La première
observation
est tirée d'Esquirol, par Baillar- ger, qui l'a
ons à l'historique, dont Sérieux a fait précé- der sa très complète
observation
publiée dans les Archives de Neurologie de 1894
compliquée d'hallucinations psycho-motrices.» Sérieux a publié une
observation
personnelle complète avec examen microscopique
u rassembler dans la littérature médicale. Nous apportons ici trois
observations
nouvelles : - Observation I. L... (Henri), tren
ure médicale. Nous apportons ici trois observations nouvelles : -
Observation
I. L... (Henri), trente-cinq ans, entré à Villeju
cachexie paralytique. La famille ne nous a pas permis l'autopsie.
Observation
Il. fi..., âgé de quarante-sept ans, entre à Vil-
t l'affection est pour l'instant station- naire (démence simple).
Observation
III. 13r..., trente-huit ans, entré à Villejuif,
ssi satisfait de ce côté que de tous les autres. Qui lit ces sept
observations
avec impartialité sera con- vaincu que le délir
avec l'état des organes génitaux. Emile Turb... dans la première
observation
est impuissant et il a un délire génital expansif
and derechef l'impuissance s'établit. Emile Mail... dans la seconde
observation
est impuissant et il a d'abord un délire génita
pas quand l'impuissance revient. Alexandre Mau... dans la troisième
observation
est frappé d'impuissance du début à la terminai
dans une crise d'agitation pour ne plus revenir. Dans la quatrième
observation
nous voyons Louis Raff... avoir sans aucun déli
urs ce paralytique a un délire génital dépressif. Dans la cinquième
observation
, c'est avec de l'impuissance que se montre un d
génital des plus expansifs tandis 'qu'au contraire dans la septième
observation
le délire géni- tal est très dépressif alors qu
que le sens génésique est plutôt exalté. Sans doute dans la sixième
observation
le malade impuissant a gémi quelque temps sur u
iques aux trois périodes de la paralysie générale et en utilisant l'
observation
directe, les renseignements iournis par les mal
du manteau des hémisphères. Si la physiologie expérimen- tale et l'
observation
clinique ont quelquefois affecté de ne relever
IIEO13Rk- JENSKY. (OGorénié p51cltiatl'ii, IV, 1899.) La première
observation
est particulièrement importante, à cause d'arth
cet, 19 mai 1894), et Schlesinger (Die Syritzgomye- lie, 189,). Les
observations
publiées prouvent indubitablement que les artic
: CIJ. (Oborénié psichialrii, III, 1898.) Revue complétée par deux
observations
personnelles. Conclusions. Tout ce qui a été di
ersonnelles. Conclusions. Tout ce qui a été dit, en particulier les
observations
d'Hippel et de Bechterew, montrent que la sclér
e hypo-thyroïdienne; par LEY. (Journ. de neurologie, 1901, n° 9.)
Observation
d'une malade qui depuis sa jeunesse était sujette
ès étude d'un cas très intéressant observé par eux et analyse de 43
observations
d'ophtalmôplégies congénitales recueillies dans
interne (sphincter pupillaire et muscle ciliaire). R. C. VII. Une
observation
de trophoedème chronique héréditaire ; par LAN.
P. Hansualter. (Nouv. ]C01Wgl'. de la Sclpêtriére, n° 0, 1900.) ,
Observation
d'une forme anormale ayant pu faire croire tout
tendu unilatéral; par F. Sano. (Joum. de Neurologie, 1901, n° 8.)
Observation
d'un homme de trente-un ans chez lequel on cons-
ire et instabilité et maladie acquises associées au crime, avec une
observation
; par Henry - Lile WtTFR. (The New I'o· ! c Médi
e et leurs amis. Mais, avant la répartition, les malades restent en
observation
soit à l'hôpital, sont dans le famille, soit en
nt dans le famille, soit en prison. Les inconvénients de ce. mode d'
observation
sautent aux yeux, seule l'observation dans des
s inconvénients de ce. mode d'observation sautent aux yeux, seule l'
observation
dans des sections spéciales d'hôpitaux généraux
nécessité de soins plus intelligents} ainsi, dans les quar- tiers d'
observation
, dans ceux des agités, dans les salles de faibles
surtout de l'amélioration des résultats. Ainsi, jadis le quartier d'
observation
(vingt-trois malades) occupait sept serviteurs,
ndou : y ? 6t' ! Ke. SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 1 M. G. AUI3RY lit une
observation
de péî,ii2évi,ite qu'il considère comme étant d
l'établissement doit posséder une infir- . merie avec un service d'
observation
où l'on puisse faire des dia- gnostics précis.
amiotaxique, motrice, sensitive, psychique). En se basant sur huit
observations
, l'auteur conclut que le trouble en question s'
scolioses habituelles. Pour confirmer ses dires, l'auteur relate l'
observation
d'un syringomyélique, chez lequel l'autopsie a
athologie générale se serreut de plus en plus étroitement. Avec les
observations
74 VARIA. jointes à ce travail, l'auteur se d
e des hôpitaux de Lyon. Th. Lyon, 1900. Ce travail est basé sur 160
observations
du service des épilepti- ques du Perron dirigé
ndiquées une seule fois dans le chapitre de la lésion principale.
OBSERVATIONS
GYNÉCOLOGIQUES. 83 Or, ce chiffre de malades ex
ocho- lite ascendante mortelle. Les inflammations de l'utérus non
OBSERVATIONS
GYNÉCOLOGIQUES. 85 soignées à temps conduisent
nt antérieures; la même année, il publie dans la semaine médicale l'
observation
d'une jeune fille chez qui survint dans ces con
nfin l'un de nous= a présenté au congrès de psychologie de 1900 l'
observation
d'un homme atteint de syphilis cérébrale chez q
d'associations réflexes fort complexes, est aujourd'hui un fait d'
observation
scientifique. Ce sont ces modes d'activité, soit
sformer en actes ou en 100 REVUE CRITIQUE. actions adaptées ? Les
observations
et expériences portant même sur des mouvements
veaux centres et de nouvelles voies d'associa- tion. ' Toutes les
observations
des vingt dernières années ont démontré que ce
s les résultats d'une enquête qui a porté sur plusieurs centaines d'
observations
généralement bien conduites. Ces résultats témo
'homme et à d'autres mammifères, sont d'une admirable simplicité. L'
observation
de la vie psychique de ces animaux, à l'aide de
r l'ouïe, provoque la capture de la proie zip. 23). C'est un fait d'
observation
vu que la plupart de ces animaux ne s'emparent
-Clair Thomson, de Lon- dres. - M. Freudenthal rapporte d'abord l'
observation
d'un cas analogue par l'écoulement à celui qui
des sphères élevées de la spéculation dans le domaine positif de l'
observation
et de l'expérimentation; mais il ne faudrait pa
aillez à cette étude, d'une manière précise et pro- gressive, par l'
observation
des faits ; et parmi ces faits n'en excluez auc
déséquilibrés. En tous cas, toujours chez des dégénérés. Toutes nos
observations
concernent des psychoses dégénératives, ou des-
érique peut y pui-er un ton sentimental positif, comme dans une des
observations
du présent mémoire : cette femme conversait soi
S. la Lrouumow. (0&0'e)t ! epStC/t : a<t't ! V, 1900.) Dix
observations
, avec autopsies et examen microscopique, de mal
22 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. vagues. Dans l'
observation
IV. le père semble avoir été aussi épi- leptiqu
servation IV. le père semble avoir été aussi épi- leptique ; dans l'
observation
VII. les excès alcooliques sont niés. Dans tout
l'observation VII. les excès alcooliques sont niés. Dans toutes les
observations
, sauf la septième, les attaques avaient commenc
-ci, elles avaient débuté a trente ans, sans cause appréciable. Les
observations
IX et X mon- trent des lésions de la corne d'Am
orne faisait une grosse saillie dans le ventricule. Dans toutes les
observations
il y avait altérations microscopiques des corne
té tactile' ? La question n'a pas encore reçu de solution. Quelques
observations
paraissent cependant démon- trer qu'il en est a
xes; par le D1' de BURK. (JOUI-il. de Neu- urologie, 1891, n° 8.)
Observation
d'un malade qui présentait une atrophie muscu-
DE MUSGRAVE CLAY. V. Sur une méthode systématique de recueillir les
observations
; par A.-I3. NEwTn. (The Journal of Mental Scie
e Journal of Mental Science, avril 1900.) L'auteur regrette que les
observations
recueillies dans les asiles d'aliénés ne le soi
temps relativement court. Les remarques dont l'auteur fait suivre l'
observation
détaillée en résument suffisamment les points imp
enle au contraire des res- semblances avec la migraine. Plusieurs
observations
ont été présentées dans un travail du même aute
f Nerv. and Ment. Desease, Mars 1900). Après la relation de trois
observations
cliniques W. Leszynsky 142 REVUE DE PATHOLOGIE
taques convulsives jacksonniennes. L'auteur donne, de ce fait, deux
observations
personnelles. Avant de déterminer si, dans ces
nt corticale. C'est le cas dans la démence; c'était le cas dans une
observation
de tumeur cérébrale intéressant le cortex, rapp
ation locunaire bilatéral du putamen. ' MM. E. Dupré et Dcvaus. L'
observation
anatomique et cli- nique de ce cas présente un
vale, Dégénération pyramidal gauche. Intégrité du thalamus. Cette
observation
confirme, après celles de Brissaud, Remuno Riuz
taprèsl'âge de vingt ans, chez un syphilitique. Rapprochant leurs
observations
des autres cas authentiques, déjà publiés au no
me psycho-paralytique. * 1\1111. CESlAi'i et Lejeune rapportent l'
observation
d'une femme ayant présenté de la névrite optiqu
de vous signaler, en appelant sur elles toute votre attention, les
observations
auxquelles a été amenée la commis- sion de la t
cile exécution. En premier lieu, une mesure d'hygiène publique, à l'
observation
de laquelle vous devrez prêter - votre sollicit
guès. Un cas de spasme de l'oesophage de nature hystérique. Martin.
Observations
sur un cas de torticolis mental. - Pailhas. 1°
annois et G. Pau- tet. Hémimimie faciale d'origine otique. Lannuis.
Observation
de sein hystérique. P. Farez. Un cas de double
ie, par contre, l'est d'une façon beaucoup plus rare. A ce titre, l'
observation
que nous allons rapporter nous a paru intéressa
re M. le Prof. André Moussous, nous nous déci- dons à la publier.
Observation
(recueillie par M. Ludovic de Boucaud, externe du
aine, elle n'est qu'une question de plus ou moins de jours. Cette
observation
nous a paru intéressante à rapporter en son ent
l'hyst., p. 140. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. - 193 Notre
observation
, au premier abord, semble constituer une de ces
us n'avons dépisté la perte de l'ouïe qu'en prenant soigneusement l'
observation
: la fillette, jusque-là, ne s'était jamais dou
puisse étudier la vision monoculaire hystérique. A ce titre, notre
observation
(1 ? examen) est probante, et nous ne saurions
ppli- quer à tous les cas. C'est l'opinion de M. Lagrange : « Les
observations
d'hystériques amblyopes d'un oeil qui ne peuven
s lettres rouges, c'est-à-dire qu'elle ne voit que de l'oeil droit,
observation
conforme aux observations précédentes. Mais si
ire qu'elle ne voit que de l'oeil droit, observation conforme aux
observations
précédentes. Mais si on change les verres de fa
ision mono- culaire simultanée. Il y a plus. Antonelli rapporte l'
observation
d'un garçon de treize ans et demi qui, au stéré
out en étant un phénomène rare, n'en est pas moins assurée dans nos
observations
concernant des hystériques... elle pourrait se
et si, après avoir constaté la persistance de ' t. Dor (fils). Une
observation
de persistance de la vision binoculaire dans un
ou non part ; il nous a semblé simplement que, telle qu'elle est, l'
observation
de notre jeune hystérique était intéressante :
. Il Afin de mieux connaître les conditions, dans lesquelles l'
observation
a été faite et de juger ainsi de la valeur à ac
de la maladie, ou plutôt du trouble morbide, dans le cadre duquel l'
observation
cli- nique l'aura classé, ne tenant évidemment
intéressent d'une façon égale les deux iris : quelquefois durant l'
observation
, on note des o-cillalions du diamètre pupillair
hermiques a été vérifiée par les auteurs dans toutes les nombreuses
observations
.faites -sur. les individus nor- maux. Chez les
° Le réflexe de Babinski ne se voit jamais à l'état de santé et nos
observations
nous conduisent- à douter de son- existence dans
'il en existe parmi vous ? Rien que de ce côté quel immense champ d'
observation
? Messieurs, il serait téméraire, de la part d'
i complexes que la biologie, la découverte d'un nouvel instrument d'
observation
ou d'expérimentation rend beaucoup plus de serv
au délire aigu : l'une relativement bénigne et curable, rare (deux
observations
à l'appui); l'autre très grave et presque' toujou
tous les cas de délire aigu le bacille qu'ils ont décrit. Dans sept
observations
qu'ils rapportent, ils trou- vent dans quatre c
lcérations intestinales. Le Dr Audemard, en 1898, a rapporté quatre
observations
, sous la rubrique de cérébro-typhus à forme de
l.p.ublièI'ent un troisième mémoire dans lequel IIsTS'onnent trois
observations
nouvelles. Dans deux cas mortels, ils trouvèren
Elle s'observe dans le délire aigu, comme en témoigne la première
observation
du rapport de M. Carrier. J'ai pu en observer m
aigu. SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 1 M. Marchand. On ne trouva dans les
observations
du délire aigu aucun symptôme constant. L'agita
ns, il a recherché les microbes dans le cerveau, et sur près de 200
observations
, il n'a jamais pu en trouver. Les seuls microbe
tiques et hallucina- , tions d'images et de souvenirs antérieurs. L'
observation
que je rapporte rentre dans ce cadre clinique.
de tumeurs du cervelet non diagnos- tiquées sont rares; cependant l'
observation
suivante est intéres- sante par ce fait que mal
SOCIÉTÉS SAVANTES. Deux cas de torticolis mental chez des aliénées,
observations
relatives au traitement de cette affection. M
mois nous parait définitive. M. Martin fait remarquer que dans les
observation
? de torticolis mental publiées jusqu'à présent
jets longtemps méconnue, n'est plus contestée. Depuis la pre- mière
observation
de M. Régis, une centaine de cas ont été publiés.
ments. Mort à la suite d'une poussée aiguë de tuberculose. Ces deux
observations
, différentes par leur étiologie, dans l'une, la
remarquer l'auteur, chercher à tirer une signification absolue de l'
observation
du seul stigmate de l'oreille : il est indispensa
s caractères normaux et son inter- prétation physiologique. ` Des
observations
cliniques rapportées par M. Le Merle, et clas-
aralysie générale simple, démente ou sans délire. Du grand nombre d'
observations
rapportées par l'au- teur, il ressort que cette
ecte de la cocaïne sur les éléments nerveux. C'est le résumé de nos
observations
que nous nous proposons de faire ici. Nos rec
rs de faiblesse. Ces lois nous ont paru à peu près constantes : les
observations
con- tradictoires étant en très petit nombre.
auséeux, elle a suivi enfin la trépidation épileptoïde; 4° Dans une
observation
, il est noté l'apparition de mouvements fibrill
ation d'une cer- taine quautité de liquide céphalo-rachidien. Nos
observations
, moins nombreuses que les précédentes, ont port
cubes à duo centimètres cubes. Malgré le nombre restreint de nos
observations
, nous pensons être en droit de poser déjà les c
par V.-111. Becutkrew. (Obozrénié psiclzicatrü, IV, 1899.) Trois
observations
. Elles ont de commun que l'affection se déve- l
alade ayant été dans le coma vingt-quatre heures. Dans la troisième
observation
, la malade demeura sans connaissance cinq jours
t les fibres pyramidales sous forme d'un faisceau compact. Deux des
observations
permettent de penser à une maladie infectieuse.
rticale; par W. LARIONOW. (Obozrellié psichiutrü, IV, 1899.) Deux
observations
soigneusement prises et analysées, sans autopsi
es objets, sont d'ordinaire condamnés au silence, comme le montre l'
observation
I. Les deux observations prouvent que les faisc
ire condamnés au silence, comme le montre l'observation I. Les deux
observations
prouvent que les faisceaux du centre de Wernick
rveau; par 1\1.-1\1. Resnikow. (Obozrénié psichiatrii, IV, 1899.)
Observation
d'un homme de quarante-neuf ans. A. Phénomènes
ur rapporte un cas de paralysie familiale périodique, qui joint aux
observations
semblables déjà publiées, font de cette affecti
d'origine palustre ; par Broquit. (Revue le Médecine, mai 1901.)
Observation
prise à l'hôpital militaire de Marseille d'un mal
l'excitation sexuelle non satisfaite. L'auteur qui en rapporte une
observation
détaillée, se range à l'opinion de Frend quant
à ce propos que, quelques jours après la publication de ma dernière
observation
dans les Archives de neurologie, le malade est
fonctions d'un membre incomplètement paralysé. Ce sont des faits d'
observation
courante qu'il serait bon de retenir dans une é
iples et plus ou moins complexes. Du reste, il existe déjà quelques
observations
cliniques, dans lesquelles une lésion de la par
isme physiologique des réflexes. MM. L. Marchand et Cl. VURPAS. L'
observation
de plusieurs cas cliniques ont engagé les auteu
s aurons l'occasion probablement de revenir sur ce travail : Deux
observations
d'algidité centrale d'assez longe durée, chez deu
tc. Il 330 SOCIÉTÉS SAVANTES. donne ensuite le détail de ses deux
observations
relatives à des paralytiques généraux. Dans l
après la première constatation de l'algidité centrale. La seconde
observation
est relative à un paralytique général paraissan
sme, les professions insalubres. 1° Syphilis héréditaire. Sur 2.702
observations
de garçons atteints de maladies chroniques du s
qui s'intéressent à cette question pourront lire un grand nombre d'
observations
dé- taillées, au point de vue clinique et anato
ruse, le mercure, le phosphore, le cuivre, etc. Nombreuses sont les
observations
dans lesquelles nous avons relevé cette étiolog
. Nul doute que J. Callot, G. Doré et tant d'autres, n'aient dû à l'
observation
des phénomènes qui nous occupent, une part de l
achicocaïne Carrion à 0,5Ù p. 100 à chacun de nos malades. Nos deux
observations
contribuent à montrer la puissance anal- gésian
" f. \1 ? physiquement et'intellectuellement. Voici le résumé de l'
observation
de nos malades : Bign... (Georges), âgé de tr
passer inaperçue. MM. Lannois et Pautet présentent de nombreuses
observations
avec photographies à l'appui, lés unes tirées d'u
nation mentale. Epilepsie consciente, etc., par le Dr LALANKE.
Observation
de sein hystérique. M. Lamois présente la photo
ère; mais dans certains cas, tels que ceux dont l'auteur présente l'
observation
, elle trouve son interprétation dans une fausse
onnées actuelles de la science et y a apporté un cer- tain nombre d'
observations
personnelles. Après un court aperçu historique
scutées les opinions des Ecoles de Nancy et de Paris, avec quelques
observations
personnelles. L'hypnotisme semble avoir donné q
ection légale tendant à l'interdiction, pourront être ajournées. 12
observations
inédites. - DEVAY. Xfl. Médecine légale des ali
Irait à cet objet. Chaque caté- gorie de faits est éclairée par des
observations
très bien choisies. Le traducteur, .M. Hémond,
a cru devoir ajouter de nombreuses annotations, des compléments et
observations
de son chef ; très heureuse idée car en matière
graphie, a attiré l'attention et divers auteurs en ont rapporté des
observations
isolées. Seul, à ma connaisssance, M. Féré l'a
core entourée d'une grande obscurité; il semble, à en juger par les
observations
publiées, qu'une tare névropathique en favorise
ts de tout nervosisme héréditaire ou acquis. Il est vrai que quatre
observations
constituent un ensemble de faits insuffisant à
rs, soit dans la proportion de 20,96 p. 100 et ils ont groupé leurs
observations
dans le tableau suivant d'autant plus intéressa
r chez les individus qui en sont porteurs, en raison de l'absence d'
observation
long- temps poursuivie. Dans l'espace de un à d
le sujet de Dujardin- Beaumetz, surnommé la femme cliché, tenue en
observation
pendant six mois n'a pas présenté de modificati
malades de Michelson et celui d'Axenfeld, tous les autres dont les
observations
ont été publiées étaient des névropathes avérés
dant sur la plus grande partie de sa face externe, comme dans cette
observation
. Il est non moins rare de voir, dans cette affe
tion des sourds-muets dans l'ouest de l'Angleterre, publia quelques
observations
sur l'éducation des enfants idiots et faibles d
nsabilité légale des alcooliques, et il se borne à indiquer que les
observations
cliniques d'homicide alcoolique démontrent excell
a bouche et des orteils et de l'atrophie optique post-névritique. L'
observation
du malade dont il s'agit montre que la mydriase
ité varie. Le second groupe de l'auteur se compose lui aussi d'une,
observation
solitaire : il s'agit d'un cas de paresse pupil
in le troisième groupe comprend onze cas dont l'auteur rapporte les
observations
résumées, et qui portent sur huit gar- çons et
ommodation demeurant énergique. Un point important à noter dans ces
observations
, c'est la grande fréquence de l'absence simulta
- 1(al of Mental Science, juillet 1900.) Voici le résumé de cette
observation
: matelot de vingt ans, céli- bullaire, atteint
ous le rapport strictement légal, il en est de même des inculpés en
observation
au point de vue de l'état mental, malgré qu'en
visoirement dans les dépôts de police, les hospices, les cellules d'
observation
des hôpitaux, etc. 4° Quand l'assistance dans
fait évident, c'est que dans maintes grandes villes les quartiers d'
observation
réservés aux aliénés laissent considérable- men
omment doit être assuré le service de surveillance de ce quartier d'
observation
en miniature et donne les plans d'un pavillon p
r l'organisation défectueuse, pour ne pas dire plus, des cellules d'
observation
des hôpitaux. BIBLIOGRAPHIE. XV. La suggestio
rt aux discussions du Congrès, je présenterai ici sommairement deux
observations
cliniques qui, entre autres, me paraissent part
autres, me paraissent particulièrement favorables à mon opinion.
Observation
I. La nommée M..., femme G..., âgée d'environ c
ue, aucun symptôme n'orientât le diagnostic dans cette direction.
Observation
II. P..., quarante-un ans, est admis une pre- m
rigine uré- mique. , Bien plus, si on examine attentivement cette
observation
, on est conduit à une hypothèse des plus intére
seiller à la Cour de cassation, M. Prestat, 1 A. Cullerre. Quelques
observations
de folie briyhlique. (Congrès des aliénistes et
s que je viens de citer. La contradiction ne peut être due qu'à une
observation
incomplète, Si on varie les conditions de l'exp
sont net- tement dénommées. Enfin M. A. Marie en a cité quelques
observations
dues à notre maitre M. Séglas, qui nous a ins-
: 480 PATHOLOGIE NERVEUSE. typies dyspraxiq2tes. Pour exposer ses
observations
, il dresse le tableau suivant : -. . CONTRIBU
rugia et Marzocchi, Ricci, A. Marie en ont publié un grand nombre d'
observations
. On en trouvera d'autres dans la suite. Nous no
. 50' année. 1892. 71 série, t. XVI, p. 225-273. On trouvera là une
observation
complète de ce malade. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE D
» D'autres malades scandent leurs pas de paroles (voir plus loin l'
observation
du gémisseur de Morel). Un autre fait plusieurs
ement les idées de défense. Nous pourrions reprendre et citer les
observations
que M. A. Marie a publiées dans son mémoire déj
A. Marie a publiées dans son mémoire déjà cité. Presque toutes les
observations
relatent des sté- réotypies comme phénomènes ré
ue ses ennemis lui envoient pour le faire souffrir. Voici une autre
observation
citée par M. Séglas 1. Une systématique de qu
de la paralysie générale pro- gressive. » M. Séglas a publié une
observation
de stéréotypie (tic aérophagique) survenue au d
agique) survenue au début d'une paralysie générale. Voici une autre
observation
recueillie également dans le ser- vice de M. Sé
apique souvent utile et efficace. Citons en passant le résumé d'une
observation
de M. Fein- del 2. Il s'agit d'un garçon d'offi
é dans les travaux anciens... Si l'on voulait dépouiller toutes les
observations
de névrose hystérique, si l'on cher- chait dans
ome clinique. » - 1 Les faits relatés ici n'ont pas la valeur d'une
observation
médicale, il y manque des détails fort importan
xvite siècle, nous nous trouvons en présence d'un certain nombre d'
observations
importantes. L'une d'elles nous semble assez in
e par des moyens naturels. Nous en avons un exemple frappant dans l'
observation
suivante qu'un médecin de mes amis avait appris
pendant deux années de la surdité et du mutisme hystérique, cette
observation
est remarquable par la durée du mutisme qui est
ement puisqu'ils ne sont pas dissipés par les sens externes). - 1
Observations
rares de médecine, d'anatomie et de chirurgie, tr
t impossible de se faire entendre autrement que par signes. Cette
observation
de mutisme intermittent est analogue à celle tr
l'occasion et elle dit qu'elle a sa voix dans sa poche '. - Cette
observation
de Lemery père conduisit plus tard son fils à e
our sujets d'études des cas aigus qui représentent la pluralité des
observations
faites à cet égard. On a également tenté d'appl
lui-même : 522 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
Observation
I. -A. Deux états pathologiques coexistaient au m
ul symptôme pouvant suggérer la possibilité d'une leptoméningite.
OBSERVATION
II. -A. Deux états pathologiques coexistaient dan
rhose; par le D1' de BUCK. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 13.) L'
observation
qui sert de base à ce travail est celle d'une fem
OCQ. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 2.) Ce travail contient huit
observations
de lésions du faisceau pyra- midal soit dans sa
e et Thomas. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1900.) Deux
observations
dont une avec autopsie qui se trouvent résu- mé
l : nnsoN Brewer. (New- York MedlCal.Vews, 23 décembre 1899.) Six
observations
d'opérés du trépan dont trois pour traumatisme
sultats douteux ? - - A. M. VI. Traitement de la maladie de Little.
Observations
cliniques ; par D : 1N1&L. (Policlinique, B
ntuée, plus les lésions névro- gliques sont accusées. Il rapporte l'
observation
d'un paralytique, ayant été l'objet d'un examen
ude cytologique du liquide céphalo-mchidiell. M. JOFFROY rapporte l'
observation
d'un alcoolique nullement soupçonné de paralysi
pèces ? Tels sont les points que l'auteur examine. M. Pilez donne l'
observation
d'une mélancolique avec agitation anxieuse, idé
LOUSE fait, au nom de \L-Marchand et au sien, commu- nicàtion d'une
observation
de paralysie générale chez une jeune fille de q
s'agissait réellement d'un cas de paralysie générale juvénile. L'
observation
montre combien le diagnostic de paralysie géné-
que. M. Vallon. - 11 me semble que le diagnostic qui résulte de l'
observation
est celui de paralysie générale survenue chez une
ngite tuberculeuse ci forme mélancolique. M. Vigouroux communique l'
observation
d'un homme, ayant succombé à une méningite tube
TES. · Un cas de gliome cérébral. M. ViGouRoux rapporte une autre
observation
relative à un cas de gliome cérébral l'amenant-
gnel-Lavastine, 342. Méthode systématique pour recueil- lir les
observations
, par Newth, . 133. Migraine. Relations entre
en rien de la nature de l'appareil symptomatique, que je relate ces
observations
, sans toutefois négliger d'indiquer le lien de
Relevons tout d'abord les particularités les plus notables de ces
observations
. Le premier de nos malades ne présente pas d'anté
sensibilité can- tonnés dans la zone du nerf cubital. Dans notre
observation
II, on est frappé de la relation qui paraît exi
e topographie que dans les cas précédents.' Nous avons trouvé une
observation
analogue aux noires où l'influence étiologique
, presque aiguë dans le cas de l'auteur allemand, on \oit que cette
observation
est tout à fait analogue à celles que nous rela
que de formuler les réflexions que suggère le rapprochement de ces
observations
, nous rapportons ici quelque cas de névrite cubit
it se développer une'névrite dans le nerf radial ? ' ` Mais dans' l'
observation
suivante, le rôle`dti traumâtismédévi'e,n>;,
mois (en mai). A cette 1. Archives de physiologie, 1879. 2. Cette
observation
a été présentée à la Société clinique à la séance
sépare l'accident t de sa conséquence. J'ai retrouvé toutefois une
observation
de M. le NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL. Il
cette hypothèse avec moins d'appréhensions. M. Panas ' a relaté l'
observation
d'un malade atteint d'une paralysie du nerf cub
el du traumatisme ancien, pour inter- préter pathogéniquement celte
observation
. Le malade, prédisposé par ses antécédents héré
ffection se réaliser sous la forme d'une névrite cubitale. Dans l'
observation
suivante, le rôle du traumatisme n'existe plus,
n concevra par suite d'autant mieux la liaison qui existe entre ces
observations
et les précédentes où l'affection se présente ave
trer symétriquement. ' IV Les relations qui unissent les diverses
observations
que nous avons rapportées apparaissent avec ass
ue que paraisse le tableau clinique si uniforme dans chacune de nos
observations
, nous ne croyons pas pouvoir déterminer la natu
ntéressant d'en publier les dessins accompagnés de quelques courtes
observations
. Mais il est utile auparavant de rappeler le rô
vulsives et persister sans interruption pendant plusieurs mois. Son
observation
a été prise par M. lluet, interne des hôpitaux,
PARTICULIER DANS LES FRACTURES DU RACHIS S (Suite ') Les trois
observations
que nous avons déjà présentées se rappor- taien
tteints, et les troubles prédominent dans les membres supérieurs.
Observation
IV. - Fracture du rachis au niveau de la septième
atrophiés, c'est des deux côtés et d'une façon symétrique. Cette
observation
serait sans doute plus intéressante, au point de
ive. Nous allons d'ailleurs retrouver ce dernier phénomène dans une
observation
que M. le docteur Maygrier a bien voulu nous pe
s avons vus se dérouler dans l'histoire des PréCé7 dents malades.
Observation
V. Fracture de sacrum remontant à cinq ans. Paral
aussi, exclusivement dans le domaine du plexus sacré. Dans les deux
observations
qu'il nous reste à transcrire, nous aurons affa
ous en transmettre -28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'
observation
complète jusque-là inédite. Il en a l'ait récemme
nserver de voir les phéno- mènes nerveux guérir définitivement. L'
observation
qui va suivre a trait, comme la précédente, à une
observés, des désordres durables, plus ou moins graves. Nos cinq
observations
de fractures anciennes du rachis sont très démo
un nombre de faits aussi restreint, nous pouvons tirer de nos cinq
observations
les conclusions suivantes : Les fractures de
es lésions érythémateuses et ulcé- ratives des extrémités. Dans une
observation
, oedème des extrémités inférieures pendant la m
e observation, oedème des extrémités inférieures pendant la marche (
observation
V). Deux fois, nous avons rencontré des lésions
négalité pupillaire intermittente. Nous avons exposé, à propos de l'
observation
III, pourquoi nous n'osons attribuer nettement
cas unique de fracture de la colonne cervicale. Dans un des cas (
observation
I) la lésion était nettement unilatérale et sa
fut également bornée à un seul côté, le côté droit. Dans les autres
observations
, les lésions sont bilatérales, mais toujours il
éformation permanente du canal rachidien ? Il nous semble (mais nos
observations
ne sont pas assez nombreuses pour nous permettr
e la perma- nence des accidents nerveux. Signalons, à propos de l'
observation
VI, ce fait intéressant d'une subluxation de la
mouvements sont encore exagères en intensité et en fréquence. Cette
observation
met bien en lumière la possibilité de mettre en
cal Journal, 1° janvier 1885. (L'indication de l'existence de cette
observation
et d'un rapport possible entre elle et l'acroméga
, MM. IIadden et Ballance complétèrent sur quelques autres points l'
observation
de cette malade, ces nouveaux renseignements pr
ure du sternum qu'il avait cons- tatée chez les deux frères Hagner (
observations
publiées antérieurement par Friedreich et dont
BABÉ, ÉDITEURS .Il NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE UNE
OBSERVATION
DE MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE ! .. 1 ." q . f n :
ANCOLIE CATALEPTIQUE (stupeur) LECROSNIBR ET BABÉ, ÉDITEURS UNE
OBSERVATION
DE MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. G7 la sonde oesopha
EPTIQUE (état CATALEPTOtDE) .... S.I...1 BABÉ, ÉctTb.tJRS S UNE
OBSERVATION
DE MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. 69' ? Le.4 août, on n
t inintelligible; parfois se-balance comme les idiots. . II . 1 L'
observation
de cette malade présente plusieurs particularités
rch. neur., 1888). 2. Kahlbaum, Die Xalalonie, l3erlin, 1874. UNE
OBSERVATION
DE MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. 71 nomènes particul
erculose pulmonaire, etc... Si à cet exposé rapide nous comparons l'
observation
de notre malade, nous constaterons de nombreux
t bon toutefois de faire remar- quer à ce propos que bon nombre des
observations
que nous avons pu lire dans les ouvrages allema
d'ailleurs, cités par eux comme des cas de catatonie méconnue, des
observations
rapportées par des auteurs français tels que Bail
igne à la forme vésanique qu'il veut isoler. En face d'elles, notre
observation
serait presque un cas de catatonie typique. , ,
ament hysté- rique, qui ressort de la lecture d'un certain nombre d'
observations
, a été complètement laissée de côté par les aut
nt d'ailleurs notablement de celle qu'avait donnée Kahlbaum. Dans l'
observation
que nous venons de rapporter, cette existence d
action de Seize secondes et demie de 10 minutes consécufivos. UNE
OBSERVATION
DE MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. 75 procédés d'inves
inutes et : dcmiependa nt les 11 dernières minute ? , ,. 1 .. z UNE
OBSERVATION
DE MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. 71' identique à ell
système ner- veux avec lesquelles elles peuvent être en rapport.
Observation
. A. V. E..., âgé de 18 ans, sans profession, est
s ces spasmes par un lien commun que, nous l'espérons, de nouvelles
observations
ne feront que resserrer. Cette étude est donc u
ystérique à gauche et son blépharospasme de l'oeil gauche. l. Cette
observation
a été recueillie par M. Daniayc, externe du servi
s maintenant, en quelques mots, les faits saillants de cette longue
observation
qui nous restent à exposer. Les accidents choré
cembre la malade demande son exeal. Persistance du même état. Cette
observation
présente, en dehors du blépharospasme, plusieurs
, le blépharospasme est tonique et se caractérise, comme dans notre
observation
, par une contracture énergique et permanente de
l suffit, outre les caractères que nous lui avons assi- gnés dans l'
observation
, de considérer la planche XVII pour comprendre
ose complète ou incomplète est notée dans la presque tota- lité des
observations
de blépharospasme hystérique; c'est un phéno- m
renferment des détails assez explicites pour nous montrer que notre
observation
n'est pas isolée, bien au contraire. Toutefoi
ant donné que, même à l'époque où nous faisions ces recherches, ces
observations
nous fissent complètement défaut, nous avions e
é spontanément chez la malade hystérique qui l'ait l'objet de notre
observation
. 1. On .ait, d'après M. Charcot, que la parahsi
sensibilité qui se superposaient au spasme. L'étude de cette longue
observation
poursuivie pendant plus d'une année nous a mont
ue du blépharospasme. Nous avons bien mieux à faire en rapportant l'
observation
suivante qui montrera en toute évidence combien
portance de ce signe, que si le médecin consulté par la malade de l'
observation
II en avait connu la valeur, il n'eut prohahlem
oureux. Application de glace, le médecin diagnostique. une 1. Cette
observation
a été recueillie par M. Carre], externe du en ¡cc
si l'on était en mesure de faire un examen complet; toutefois cette
observation
nous a paru digne d'être signalée, parce qu'il
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE l'acromégalie l Après avoir rapporté les
observations
cliniques et étudié les symp- tômes et les cara
e ceux qui la distinguent au point de vue clinique. Autopsie de l'
Observation
V (Saucerotte). -A la mort de cet individu, sa
millimètres ; le poids de cet os est de 35 grammes. Autopsie de l'
Observation
VI (Verga). A l'autopsie dont la relation est d
l'attache des ligaments et des muscles propres ». ' Autopsie de l'
Observation
IX (Brigidi). La longueur totale du corps était
ent t'hydropisie, et la manière dont s'y prend le médecin est d'une
observation
fort juste. FIG. 51. -I.E MÉDECIN DE \ILL\l.E,
cieux parce qu'ils ont moins de chances d'être entachés d'erreurs d'
observation
. C'est à titre de documents à con- sulter que j
Il. 10 150 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LAS1LPI\THIÈHE. faits : une
observation
de Biture et Bonnet a eu la bonne fortune de pa
rforant du pied observé pour la première fois par M. Christian 3. L'
observation
suivante présente un nouvel exemple de mai perf
ut se présenter sous forme épisodique, comme le montre la troisième
observation
: -. Ons. 111 (recueillie par M. Ch. Simon) 2.
individus qu'elle frappe. La malade dont nous allons rapporter l'
observation
appartient, elle aussi, au type d'extension. El
tphal a publié dans les Annales de la Charité de Berlin, en 1877, l'
observation
d'un cas de paralysie agitante dans lequel il exi
de rapporter l'histoire, un redressement excessif de la tête. Cette
observation
et la nôtre sont, du moins à notre connaissance
nt au-dessous de l'ombilic par une zone transversale figurée dans l'
observation
rapportée par M. Charcot dans le troisième volu
nerveux (p. 441) (fig. 54 et 55). A l'époque où fut publiée cette
observation
, l'hémispasme glosso- labié qui existe aujourd'
de blépharo- spasme. Cherchant dans ses notes, il nous communiqua l'
observation
suivante, et, comme à cette époque, et bien ava
rrête les attaques mais non les cris. Le spasme n'a pas reparu. L'
observation
de M. P. llicher n'est-elle pas très intéressante
ervée chez notre malade Lelog... ? Il est vrai qu'il est dit dans l'
observation
de M. Richer que la contracture envahissait égale
difficile. . Il était donc nécessaire de s'appuyer sur de nouvelles
observations
et aussi sur de nouvelles expériences. Ces ob
nouvelles observations et aussi sur de nouvelles expériences. Ces
observations
ne devaient pas tarder à se produire. Déjà en l
178 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIËHH. triera trois nouvelles
observations
qui, comme on va le voir, n'ont fait que nous c
tement au spasme des muscles qui venaient de se contracturer. Cette
observation
est donc éminemment démonstrative, d'autant que
derniers phénomènes depuis le début de ses attaques d'hystérie. L'
observation
VII est intéressante en ce qu'elle réalise le typ
on de M.Charcot, le23 décembre 18871. Nous ne rapporterons de cette
observation
que ce qui a trait au spasme de la face et du c
de sensibilité. La muqueuse buccale est insensible à droite. Dans l'
observation
VIII nous notons, avec une hémiplégie gauche se
Le malade n'a jamais eu de crises nerveuses. III Aux précédentes
observations
qui toutes réalisent le type, soit du blépharos
pour le diagnostic différentiel, un intérêt de premier ordre. Ces
observations
ont trait à la contracture hystérique du sterno-
cas de blépharospasme hystérique, à commencer par notre malade de l'
observation
II, quand on n'a pas cru devoir pousser jusqu'à
8G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETiMËRE. Mardi ¡, rapportant une
observation
suivie d'autopsie. Ces hémianes- thésies organi
ntre la symphyse pubienne et le calcanéum, distance qui d'après les
observations
d'Orfila et de Devergie représente la longueur
résumer rapidement l'histoire pathologique, tout en signa- lant les
observations
qu'elles m'ont permis de faire. OBs. I. - R. L.
r Charles LAUFENAUEH, , Professeur à l'Université de Buda-Pestli.
OBSERVATION
DE CONTRACTURE HYSTÉRIQUE GUÉRIE SUBITEMENT APR
ations aimantées. Puis elle guérit tout à coup vers 1884. Voici l'
observation
détaillée. Ons. I. - A onze ans, contracture de
ment (en plusieurs semaines) et il n'y reste plus rien d'anormal.
OBSERVATION
DE CONTRACTURE HYSTERIQUE. 209 La contracture d
culeuse, mais elle n'y avait éprouvé aucun soulage- ment. Cette
observation
, intéressante à plus d'un titre, est consignée
signais sous le Fie. 50. Contracture du membre inférieur droit.
OBSERVATION
DE CONTRACTURE HYSTÉRIQUE. 211 nom de forme cér
rédominance tonique de certains muscles et à la parésie des autres;
OBSERVATION
DE CONTRACTURE HYSTÉRIQUE. 213 enfin, un des gr
les abandonner si quelqu'un en trouve de meilleures. Autopsie de l'
Observation
XI (IIenrot). - La peau est saine partout, elle
tats n'en étaient pas encore connus lors de la publication de cette
observation
. Dans celui fait à Reims, en attendant, on cons
spécimen consenti au musée de Bolognc, ce qui explique l'absence (l'
observation
clinique et d'examen des viscères, , ANATOMIE P
ied ne sont plus longs que normale- ment. AUTOPSIE DU MALADE DE L'
OBSERVATION
XI ('1'1 ès résumée) ' 1 (FnI'1SCIIE ET Bleus
nue sous beaucoup de rapports, pour laquelle on en est à la phase d'
observation
simple. Il est donc permis de n'omettre aucun d
LE MIRACLE OPÉRÉ SUR MARIE-ANNE COURONNEAU LE 13 JUIN 1731 1 Les
observations
que nous ont transmis les anciens auteurs, partic
nuit encore singulièrement à l'interprétation des faits c'est que l'
observation
est dans la grande majorité des cas tellement noy
nce, obtiennent tout de sa miséricorde. » Après la lecture de cette
observation
si bien exposée dans ses moindres détails par C
légie ; mais ce sont là des faits rares, dont on cite une à une les
observations
suivies d'autopsie. Dans l'hémiplégie hystériqu
n suivante, empruntée à Todd 2, ne se croit-on pas en présence de l'
observation
de M.-A. Couronneau. « La malade, dit le célèbr
e, sueurs de sang, ecchymoses spontanées, stigmates, etc., mais les
observations
étaient peu nombreuses et personne ne songeait
iplégie avec intégrité de la face; dans l'une de ces deux dernières
observations
il y a prédominance de la paralysie et de l'atr
reprendre la classifi- cation. Notre intention est de publier les
observations
des malades qui ont servi aux leçons de notre é
de contracture; c'est également ce que nous voyons exister dans nos
observations
II et III. Le malade de l'observation 1 semble,
us voyons exister dans nos observations II et III. Le malade de l'
observation
1 semble, il la vérité, faire exception à .cett
res atrophiés, la réaction de l'atrophie simple. Or, le malade de l'
observation
II, examiné électri- quement à plusieurs repris
la réaction de dégénérescence. III On a pu remarquer, en lisant l'
observation
III, que le membre inféj rieur gauche, siège de
arriver en 1880 pour le voir décrit à nouveau dans une remarquable
observation
de M. le professeur Damaschino l. En 1883, A. F
lu avec sa libéralité ordinaire nous en communiquer trois nouvelles
observations
tirées de sa pratique. Nous en donnerons deux
coup plus souvent que par le passé5. On voudra bien remarquer que l'
observation
II nous a été obligeam- ment communiquée par M.
n'airétc pas les attaques, mais elle les provoque toujours. Cette
observation
nous a été communiquée par M. Truffier, agrégé,
contracture ou de paralysie. lien a été ainsi dans l'une des trois
observations
suivantes que notre maitre, IL le professeur Ch
ème, cyanose et contracture hystérique du membre inférieur gauche. (
Observation
recueillie par M. le Dr Wallet à l'éta- blissem
tout cela peut aisément con- duire à un diagnostic erroné. Dans l'
observation
de M. Damaschino que nous résumons à cause de s
s d'augmentation et de diminution et tend à disparaître. Les deux
observations
de Fabre sont très incomplètes : nous les donno
aissée; Weir Mitchell a noté trois quarts de Fahrenheit. Dans notre
observation
I il y eut un moment (Troisier) 3 degrés de dif
La station debout prolongée ne paraît pas l'augmenter : dans notre
observation
III (Corn...) l'usage du membre inférieur gauche
icaire vraie. Dans la littérature française nous relevons plusieurs
observations
touchant le même sujet, faites princi- palement
. Enfin plus récemment, M. Chambard' en publiait une intéressante
observation
dans les Archives de neurologie et M. Lwoff prése
n longtemps poursuivie. La malade de M. Dujardin-Beaumetz, tenue en
observation
pendant six mois, n'a pas présenté de modificatio
ci ne survint normalement. Dans le mémoire de 1888, nous donnions l'
observation
d'une malade qui intriguait alors surtout le mo
ions pu compléter notre examen du 7 avril 1887 et établir, dans une
observation
détaillée, que Mlle B... était bien plongée, à
hologiques. Les premiers sont ceux qui ne présentent au moment de l'
observation
que les stigmates physiques nécessaires pour ét
. Négligeant l'ordre chronologique dans lequel ont été faites nos
observations
, il nous a paru intéressant de donner tout d'abor
A cette époque elle était soumise déjà depuis quelque temps à notre
observation
pour des vomissements hystériques qui avaient n
rectale moyenne a été de 37° 4, C. Nous empruntons la suite de l'
observation
à la Leçon du Mardi, 5 février, que notre maîtr
esdéchets urinaires peuvent, comme nous l'avons constaté dans notre
observation
I; n'être pas augmentés, ou même subir une diminu
-Loui... UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE Le malade dont nous rapportons l'
observation
a été présenté par M. le professeur Charcot dan
par le genou droit. , Pour toutes ces raisons, disons-nous, cette
observation
nous a paru intéressante et mériter d'être publ
ôpital militaire de Carlsruhe. Ce qui augmente l'in- térêt de cette
observation
c'est qu'on put tirer pendant une attaque qui d
lement, a' ec beaucoup de fruit, au point de vue de l'hystérie, les
observations
contenues dans le recueil suivant : Tmumatische,
de sommeil -), ), par Gilles de la Tourette et Cathelineau, 290 (
observation
de contracture - guérie subi- tement après une
l'art), par Charcot et Richer, 146. Mélancolie cataleptique (une
observation
de), par Séglas et Besançon, 65. Mesmer (docu
1890, t. XIX, p. 228, à la fin de notre mémoire intitulé : Nouvelle
observation
d'idiotie JIIyxoedémaleuse (ca- chexie pac/t(7e
iqua à l'Association française pour l'a- vancement des Sciences les
observations
de deux ? · Lannelongue. Sur la transplantation
) La malade en question est celle qui fait l'objet de notre seconde
observation
. 1 Consulter entre autres les travaux de MM. Wa
le 23 février 1890. Il s'agit d'un malade dont nous avons publié l'
observation
détail- lée dans les Archives de Neurologie et
t. X, p. 172), aussi nous bornons-nous à citer le som- maire de son
observation
. Les figures 1, 2, 3 et 4 ne laissent aucun dou
qu'une étendue très faible, correspondant à 2°, depuis la dernière
observation
l'enfant a gagné 4°.] Observation II. IDIOTIE M
ondant à 2°, depuis la dernière observation l'enfant a gagné 4°.]
Observation
II. IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE Père, fièvres interm
dée assez exacte de l'amélioration obtenue. , i ? j ....' .. , ..
Observation
III. IDIOTIE MYXOEDËMATEUSE. , , Enfant naturel
ine de Rennes, : a publié en détail dans les Annales de Lourdes*, l'
observation
de cette guérison, sous ce titre : A taxie loco
le se montre dans les scléroses combinées ', elle existait dans les
observations
de Minnich 2 au cours de l'anémie progressive;
s. , A. M. X. Archives cliniques. (dondon Clinical Society.) l.
Observation
de Sclérodermie ; par II EnllI1\GII.IM. C'est un
teurs normaux. III. Ispilepsie traumatique et trépan; par BUTLIN.
Observation
d'un homme atteint d'épilepsie consécutive à un
itent un cas semblable. IV. Acromégalie et maladies de Grâces. Deux
observations
, l'une d'acromégalie relativement récente et am
édical journal, 28 juin 1895.) L'auteur, groupant un grand nombre d'
observations
, décrit suc- cessivement, avec photographies à
teints de diverses psycho et névropathies. Voici le résumé de leurs
observations
. Eh bien, on n'en peut tirer de com- plexus sym
pas de névrose arthritique, et cependant dans les trois pre- mières
observations
on constate qu'il y a eu dépression, puis épui-
nges spinales; par A. Westpual. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 3.) -
Observation
avec anatomie pathologique. D'après les faits c
nels. Mais en général ils tuent très rapidement. Les deux tiers des
observations
concernent l'enfance ou les premiers temps de l
.) . Sur 80 cas de cette maladie, on compte 10 faits de récidive (
observations
) sur l'un ou l'autre côté de la face indifféremme
nfection parait établi, mais non celui de la syphilis. P. K. 11 ?
Observation
DE myélite aiguë dans la substance blanche; par
nce blanche; par K. KilsTERMANN. (AI'chiv f. Psychiat., XXVI, 2.)
Observation
de myélite transverse mais avec conservation de l
e, de même que les pédoncules cérébelleux supérieurs. Le sujet de l'
observation
est un vieillard de soixante-dix ans. Cette alt
la population féminine de l'asile que 3 cas de latah. Il donne huit
observations
se rapportant à celte maladie, et dit qu'on en
Es; par W. DE Becuterew. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 3.) Toutes ces
observations
concernent des lésions corticales et des lésion
iabète sucré ? par K. GRUBE. (Ncll1'olog. Centralbl., XIV, 48cJ.)
Observation
I. Tabes au début, avec glycosurie simultanée,
ractère précis de tabes s'observe aussi dans le diabète. La seconde
observation
est un exemple de ce genre, sans autre acci- de
a surdité fonctionnelle proprement dite. 111. Van Dyck rapporte une
observation
de surdité fonctionnelle sans la moindre trace
e. Les résultats semblent bons, si l'on en croit les sept premières
observations
de l'auteur. P. K. - in. Goitre exophtalmique
(British médical journal, 16 février 1895.) L'auteur rectifie une
observation
de décembre 1893 où il avait relaté une cure pa
e été généralement adopté dans les cas de goitre : il rapporte deux
observations
, toutes deux encourageantes, bien qu'inégales a
contenant chacune cinq grains (30 centigr.) d'extrait thyroïdien.
Observation
I. Il s'agit d'une femme qui a tenté de mettre le
revoir, et demande sa sortie. Elle est complètement transformée.
Observation
IL Elle a trait à une femme qui avait commis des
effets ont été similaires. L'auteur rapporte avec détail les quatre
observations
, dans cha- cune desquelles^ note une améliorati
ioration qui équivaut presque la guérison. La quatrième et dernière
observation
a trait à un cas d'hémia- trophie progressive d
dence et de la réserve, et en se guidant, pour les augmenter, sur l'
observation
du pouls et de la tempéra- ture. En agissant av
utique toute son énergie primi- tive. L'auteur rapporte ensuite l'
observation
d'un cas de crétinisme qu'il soumet actuellemen
il rapporte, à l'appui de cette manière de voir, une intéressante
observation
. H de IUSGR.1VE Clay. X. TÉTANIE TRAITÉE PAR L'
rg. (British médical journal, le"juin 1893.) Il est question dans l'
observation
d'un cas de tétanie consécutif à l'extirpation
onique proprement dite sans lésions ni localisation établie. Quatre
observations
de malades opérés dans ces conditions dans son
ot. L. A. Marie. XV. SUR la trépanation dans la méningite, avec UNE
observation
; par John laEAY (The Journal of Mental Science,
cal Jour., 7 juillet 1894.) Voici le résumé de cette inléressante
observation
: il s'agit d'un mineur nègre, âgé de trente an
ne intervention chirurgicale a donné de très heu- reux résultats.
Observation
I. Homme de vingt-six ans, charpentier. Pas d'h
nce de toute lésion pathologique, au moins d'ordre macroscopique.
Observation
II. Manie aiguë consécutive à un traumatisme. Il
us être espérée. R. 11. C. XX. Trépanation dans un cas d'épilepsie;
observation
clinique) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Jou
nfance par des nourrices indigènes. « Le point intéressant de cette
observation
, c'est que le trauma- tisme, subi à l'âge adult
20 p. 100 de sucré) et se borne à annoncer que le complément de l'
observation
sera probablement publié. Malgré ce que ces don
es provoquent : il rap- porte à l'appui de cette proposition quatre
observations
intéres- santes et très démonstratives : il a d
ces faits des cas de condamnation d'aliénés par décision du jury. L'
observation
de M. Au.ut comble cette lacune. Le malade es
semble. Hallucinations psycho-notriccs. M. A. Voisin communique l'
observation
d'une malade ayant reçu un traumatisme crânien
professeur Lipps, Du Cornelius et Du Wein- mann. Buts. Méthodes. -
Observations
et expériences. Psy- chologie des sens, sensati
es, relations psychiques (transmissions corporelles et psychiques).
Observations
faites au sujet de la dégénération, dégénératio
dien de la paix qui se trou- vait par là a voulu présenter quelques
observations
au débitant, qui l'a quelque peu rudoyé. L'agen
ordre de phénomènes, qui constituent l'intérêt prin- cipal de cette
observation
. Merc... a éprouvé des hallucinations de la vue
paraisse au point de vue physique, a conservé une grande netteté d'
observation
. Il nous fournit des renseignements très circon
acile de justifier la constitution du premier groupe, en citant les
observations
de Baillarger, Régis, Bail, Max Buch, Schule, M
ans le choix des preuves, c'est leur valeur et non leur nombre. Une
observation
de M. Régis me paraît présenter une réelle sign
S. 105 Sans m'attarder à critiquer le point faible de chacune des
observations
présentées comme exemples d'hallucinations uni-
- ment en illusions de la vue. M. Féré a rapporté de son côté une
observation
très instruc- tive. Il s'agissait d'un homme de
cinatoires. Et à ce point de vue il est intéres- sant d'étudier les
observations
d'hàllucinations unilatérales publiées jusqu'à
s particulièrement chez ceux qui ont fait des excès récents. Dans l'
observation
de Mer... que nous venons de relater, il y a bi
orbide principal qui a fendu son cerveau hallucinogène. La première
observation
de M. Régis est relative à un ivrogne d'habitud
e. A l'appui de cette opinion je pourrais, entre autres, invoquer l'
observation
que je recueillais dernièrément et dans laquell
ucinations. Mais cette notion générale, qui doit vous guider dans l'
observation
des faits en pathologie mentale, ne doit pas no
les comportent certaines exceptions que le peu de développement des
observations
de l'au- teur ne me permet malheureusement pas
ue par l'électricité galvanique et faradique. De la comparaison des
observations
publiées il se dégage nettement cette conclusion
ournis par sa propre histoire, ils ne peuvent plus l'être que par l'
observation
dont il est l'objet à la prison ou à la maison de
encourue; le minimum n'est pas fixé. Le criminel est mis d'abord en
observation
; puis suivant sa conduite, il passe des catégorie
e, t. I. 9 '130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Oppenheim a publié l'
observation
de dix-sept cas d'aphasie, soi- gneusement étud
gneusement étudiés au point de vue musical, et il résulte de ces
observations
que la faculté musicale survit généralement à la
ent dépourvus de toute capacité musicale. Le même auteur ajoute une
observation
intéressante : les gens du village de Stet- ten
peu incohérente. La folie avec hallucinations permet, suivant les
observations
de l'auteur, la conservation du sens musical; m
du cerveau, demeure dou- teuse. Il serait désirable de posséder des
observations
propres à démontrer si les maladies de l'hémisp
paralytique. R. DE )MUSGRAVE CLAY. , IV. Sur la mélancolie : TROIS
observations
; par Frank Hallek STE- PHENSON. (The New-York M
BUT- LER SCYTHE. (The Journal of mental science, octobre 1894.) L'
observation
dont il s'agit est rare ; elle est recueillie ave
les aliénées. R. M. C. 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XVIII.
Observation
d'un cas d'épilepsie avec aphasie; par Franck I
ranck IIAx. (The Journal of mental Science, avril 1895,) -~ Cette
observation
est extrêmement intéressante; mais elle est d'u
tète ; par Drapes. (The journal of Mental Science, avril 1895.) L'
observation
dont il s'agit ici est celle d'un homme de soixan
MENTALE. 141 l'usage des boissons alcooliques ; l'étendue de cette
observation
ne permet guère de la résumer ; mais les commen
d Nervenkrankheiten, t. XXVII, liv. II, 1895.) Etude basée sur sept
observations
personnelles ; les malades présentaient des obs
e des désordres fonctionnels des bran- ches pulmonaires. Il est d'
observation
fréquente en effet, que la tuberculose pulmo- n
ité DU cheval; par le Dr FÉRÉ. L'auteur rapporte une intéressante
observation
de troubles men- taux survenus chez un cheval e
n organique des muscles des nerfs ou des centres. Les intéressantes
observations
relatées par les auteurs sont des plus démonstr
t elle reprend ses habitudes d'onanisme. L'auteur trouve dans cette
observation
une confirmation de la clas- sification des per
teurs précédents à l'éléva- tion de la température; il rappelle les
observations
de Gerhardt, dans lesquelles on voit des troubl
aigu, les psychoses toxiques. Le mémoire se termine par dix-sept
observations
. P. Sérieux. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ MÉD
aité pratique des maladies mentales. Paris, 1862, p. 656, 657.) Les
observations
de Trélat et de Marcé sont encore d'actualité auj
t pronostic ne peuvent être précisés. Il lui faut aussi rédiger les
observations
, s'occuper activement du côté thérapeutique tro
rquer dans les sections « les mieux tenues, l'absence de feuilles d'
observations
, de cahiers a d'autopsie ; le plus souvent même
liénés DE la SEINE. 167 malades de sa division, de la rédaction des
observations
, de la correspondance avec les familles, etc. '
médecine de Belgique, XIV, fasc. 2, 1895.) Ce travail, basé sur 160
observations
personnelles, ne constitue pas seulement un ess
aux indigents provenant des communes ou du département. , Sur les
observations
d'un membre du conseil, M. Clauzet, que le proj
i le premier avait décrit un cas pareil. Il avait constaté dans son
observation
la lésion 'des faisceaux de Goll, dans la moell
ne furent pas partout égales. C'est ainsi que Eichhorst1, dans son
observation
de la polyné- vrite alcoolique, remarqua dans l
épinière des altérations qui ne furent pas égales dans différentes
observations
; mais, en somme, elles consistaient dans l'éla
IV, H. 1, p. 11-f0.) 180 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans sa seconde
observation
, Campbell remarqua la même chose dans la région
était gonflé. La faiblesse des muscles abdominaux s'accroissait. L'
observation
de l'état mental du malade indiquait qu'il avait
in, d'un côté, et Rocher, de l'autre, ont démontré, par une série d'
observations
, qu'un certain nombre d'individus ayant subi l'
la préférence à l'administration par voie stomacale. De nombreuses
observations
publiées en Angle- terre, Allemagne, Norvège, D
ne pouvoir rendre compte comme il conviendrait de cette remarquable
observation
. La partie cli- nique est un peu courte et un p
herches dans cette direction, et il a publié la très inté- ressante
observation
d'un malade qui se croyait double et chez leque
t isolément devient l'instrument de la folie. » Nous résumons ici l'
observation
publiée par l'auteur : 1\J ! lc X..., vingt-tro
un double abcès du cerveau, tel que celui qui fait l'objet de cette
observation
. R. DE )IUSGRAVE-CLAY. VI. LES altérations morb
théories physiologiques qui ont été proposées, et publie ensuite l'
observation
très détaillée d'un cas de lésion étendue du ce
tre dans les cas récents d'hématome de la dure-mère. R. M. C. IX.
Observation
d'un cas 1)'IIÉMIATROPHIE cérébrale; par John J
uelle des agents fixateurs de la libre ner- veuse. H. ;\1. C. XI.
Observation
DE déformation DU crâne due A la syphilis llÉItl3
he lVeiv-Yoz·lc Médical Journal, 2 mars 1895.) Le titre même de l'
observation
en résume utilement les points principaux : le
d'origine cérébrale pour que l'auteur a cru devoir rapporter cette
observation
intéressante, avec des détails qui échap- pent
ion intéressante, avec des détails qui échap- pent à l'analyse. Les
observations
de M. Peterson qui terminent ce travail ont sur
s remarques que l'au- teur a déduites de cette série considérable d'
observations
. Hémorrhagie. - Les symptômes qui peuvent résul
ont si va- riées, leur durée, quelquefois si courte, qu'il faut une
observation
très attentive pour poser le diagnostic avec qu
r A. HocHE. (Aelii-010g. Cent·albl., XIII, 1894.) Il s'agit de deux
observations
, dont l'une avec autopsie, qui témoi- gnent de
quadrijumeaux; par G. ILllERG. (Archio. f. Psychillt., XXVI, 2.)
Observation
avec autopsie. Céphalée, vertiges, insomnie, déma
nt avec le temps de plus en plus rebelles. L'auteur rapporte cinq
observations
personnelles. Dans deux cas, il s'agit de jeune
e com- plètement disparu ainsi que l'hémianesthésie. La troisième
observation
est celle d'une femme de vingt-deux ans, non hy
l'état mental, disparition des accès maniaques. Dans la cinquième
observation
le resultat a été également favorable. L'auteur
faits rapportés ne sont pas tous concluants, faute d'une période d'
observation
suffisamment longue (plusieurs années). Pour
uteur d'excellents résultats. Sur 19 malades longtemps maintenus en
observation
, les accès ont cessé dans 5 cas (depuis dix-hui
ig parait trop brève pour qu'on puisse parler de guérison. Dans les
observations
communiquées, cette période va de quelques mois
otassium), et n'employer que du bromure purifié. P. Sérieux. III.
Observation
d'empoisonnement par le TRIO,4.IL; par E. HECKER
aigus curables, servant en même temps de quartier d'admission et d'
observation
. Le service médical et la surveillance y sont p
la dégénérescence du muscle, est le ventricule. Sur un total de 89
observations
ressemblées dans les monographies d'Ollivier et
s'étend à la "surface de tout un lobe. » (Traité de niée.) Dans l'
observation
suivante le ramollissement intéressait l'hémisp
on de voisi- nage de nature à masquer les symptômes de la lésion.
Observation
. Bom... Cath..., soixante-quinze ans, pension-
et régulatrice ou simplement tonique et tro- phique ? Dans notre
observation
il s'agit de la suppression complète d'un hémis
physique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE, XXXVH. LA tétanie, avec
observation
d'un cas TYPE; par George J. PRESTON. (The New-
crite Trousseau, Dance, Corvisart, Steinheim et d'autres auteurs. L'
observation
que rapporte M. Pres- ton est conforme au type
dier surtout la névrite accidentelle ou isolée, et il publie quatre
observations
. Dans la première il s'agit probablement d'un c
cal Journal, 27 juillet 1895.) Le malade dont l'auteur rapporte l'
observation
n'a été vu par lui qu'après la disparition des
ple intoxication (alcool, tabac, plomb). Il entre à propos de celte
observation
dans quelques détails sur la nature et les symp
'une affection peu commune et l'auteur en a observé deux cas dont l'
observation
peut se résumer ainsi : Observation I. Négresse
en a observé deux cas dont l'observation peut se résumer ainsi :
Observation
I. Négresse de cinquante-deux ans : sa soeur est
pileptiformes, et meurt dans le coma qui succède à l'une d'elles.
Observation
IL - Femme de quarante-six ans, dont le père a
us tardivement qu'une diplopie passagère et de l'irido- plégie. L'
observation
des premiers symptômes du côté des yeux remonte
IIR1 ! ANN. (The New-York Médical Journal. 10 août 1895.) - Cette
observation
d'un cas rare est intéressante à divers points
ns cérébelleuses : ANALYSE CLI- NIQUE DE CENT CAS, SUIVIE DE QUATRE
OBSERVATIONS
PERSONNELLES ; par William C. KR : 1USS. (The N
nérales ont été notées dans 30 cas, elles ont manqué dans 14, et 56
observations
sont muettes à cet égard. On a souvent cru trou
e et à gauche un signe propre à préciser le côté de la lésion : les
observations
recueillies dans 35 cas montrent qu'il n'y a pas
xes tendineux. L'auteur termine son travail par le résumé de quatre
observations
Archives, 2° série, t. l. 18 274 . REVUE DE P
nc adopté, et vérifié par le résultat du traitement. La cinquième
observation
est celle d'une gomme de la protubé- rance, ave
e et d'autres auteurs est probablement rare. M. Diller rapporte l'
observation
d'un cas que ceux qui ont spécia- lement étudié
ication, rattacher le cas à l'épilepsie sensorielle. L'intérêt de l'
observation
qu'il publie réside surtout dans l'absence de c
manifestes, précédées d'une aura du goût. Voici le résumé de celte
observation
: Homme de vingt-deux ans, israélite, bonne san
dical Journal, 3 novembre 1894.) Nous résumons ici cette curieuse
observation
que l'auteur publie sans commentaires : Au mome
ombus, sont disséminés dans tout le système nerveux central. Dans l'
observation
personnelle, dont il donne une description anat
LET ; par L. Bruns. (Al'chiv f. Pschiat., XXVI, 2.) Etude de deux
observations
. L'auteur établit que l'association de l'ophlal
ratif; par G. ROSSOLI)10. (lVBt1- rolo. CeltGmal6l., XIII, 1804).
Observation
I. Il s'agit d'un homme arrivé à l'âge moyen de
sensibilité, qui sont de l'amyotaxie, de l'hyperkinésie réflexe.
Observation
II. - Il s'agit en ce cas d'une sorte d'alhélose
ngt-dix-neuf cas en question, soit G,1 p. 100. En voici néanmoins 5
observations
résumées. L'autopsie faite par Minkowski d'un s
are; en un demi-siècle on en a à peine recueilli 18 cas. Mais cette
observation
prouve bien la progression de la névrite ascend
DENCE DE M. Charpentier. Fausse mémoire. M. ARNAUD communique une
observation
d'illusions de 'N vu ou fausse mémoire. Il s'ag
mnésie continue, antérograde)' qui existent chez ce malade. Cette
observation
est encore intéressante au point de vue élio- ,
u de l'atrophie musculaire progressive. Ce travail se termine par l'
observation
d'un malade atteint d'hémiplégie cérébrale infant
commencé à apparaître, daus la littéra- ture française surtout, des
observations
plus ou moins détail- lées d'oedème bleu. L'épi
» que lui a ajoutée Charcot et qui a été conservée dans toutes les
observations
ultérieures semble préjuger de sa pathogénie, d
nt loin d'être purement fonctionnelles; telles sont par exemple les
observations
de Remak (Berlin ICI. Woch., 1889, N. 3) et de
ébauchée. Aucun cas, en effet, ne s'est terminé par la mort et les
observations
à ce sujet sont en général si peu nombreuses qu
nt le professeur Charcot, ainsi que le démontraient par exemple les
observations
du professeur Rosenthal ( Wiener Illedic. Press
t atteinte d'un accès de manie aiguë datant de quelques semaines. L'
observation
résumée de ces deux cas, par la netteté des phé
réflexions qu'ils suscitent, nous a paru digne d'être rapportée.
Observation
I. -D... Julienne vinft-six ans, entrée le 6 mars
trois semaines. Retour presque subit à l'état maniaque antérieur.
Observation
II. - F... Florine, vingt ans. Entrée le 29 avril
puis amélioration progressive. Entrer dans le détail des nombreuses
observations
que nous avons recueillies au cours des quatre
hypothèses, ne serait-il pas légitime de mettre en regard des deux
observations
que nous venons de rapporter les faits déjà nom
athologie ordinaire, de guérisons par antagonisme microbien, dont l'
observation
tout récemment publiée par le Dr Lalande (Hôpit
nstruction, cette femme fut atteinte d'aliénation mentale et, après
observation
, reconnue réellement folle. Il s'agissait de sa
IE MENTALE. 347 pathogénie de ces ecchymoses, l'auleur rapporte une
observation
intéressante ; c'est celle d'une femme d'enviro
ves, 2e série, t. I. 23 z354 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .XLVII.
Observation
DE paralysie générale associée A une atrophie m
prime aux convulsions le caractère épileptiforme. P. KERA\'AL, L.
Observation
DE métastase carcinomateuse D1`1S la CIRCONVO-
nvulsives nettes. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 357 LII. Une
observation
DE PSYCHOSE menstruelle avec GOITRE ET EIOPUTAL
ie de toutes pièces. A l'appui de cette idée l'auteur présente deux
observations
: Dans le premier cas, il s'agit d'une malade d
n par le D' I. Crock, rédacteur en chef du Journal de Neurologie.
Observation
I. La tumeur vue obliquement par derrière ajjrès
plèvre réclinée, à la partie inférieure de la tumeur. 1% i. 21.
Observation
1. Coupe de la moelle un peu au-dessus du point l
es îlots où la myéline désintégrée est restée sur place. Fig, 22.
Observation
Il. - Prolongement intra-rachidien de la tumeur q
H ta 0 r 0 cl s m M t4 cl en S Fig.'21,
Observation
II. Coupe de la moelle et de la tumeur; D M, dure
n cas D'HYSTliRO-\EUrt-15THÉN1E TRAUMATIQUE; par le Dr P. LADamE.
Observation
d'un malade qui, tombé d'un échafaudage placé e
rasthénie traumatique de forme classique. Le point intéressant de l'
observation
réside dans une calvitie précoce nettement loca
par B. S. GLIEIDENBERG. (. ! YeM)'0. Centmlbl" XIV, 1895.) Trois
observations
. Symptômes plus ou moins marqués de l'hys- téri
érie Le bégaiement survient toujours brusquement ; dans la première
observation
, après un très fort accès d'hystérie dans la de
la troisième, après du surmenage physique. Dans les deux premières
observations
, rapport étroit du bégaiement avec la mutilé ;
nt incomplet des éléments corticaux donne une parole choréiforll1e (
observation
111), le même phéno- mène a lieu quand la resti
migraine; par A. 13,Rr. (Neurolog. Cent1'albl" 1V, 1895.) C'est l'
observation
d'une dame de cinquante et un ans atteinte de mi-
DE l'enfance; par W. 1\IURATOW. (Neurolog. Centt'albl., XIV, 189J.)
Observation
1. Abcès cérébral à la base, ayant, chez une fi
nte de la base, finalement des attaques épileptoïdes (épend3·mite).
Observation
II. Jeune garçon de sèpt ans. Coxalgie tubercul
externe) ; par le Dr ESCAT. (Revue neurologique octobre 1895.) L'
observation
a été prise par l'auteur sur lui-même, fait d'aut
niquement subjectifs. Il est, du reste, à noter que plusieurs des
observations
de mé- ralgie paresthésique sont dues à des méd
e paresthésique sont dues à des médecins ayant rapporté leur propre
observation
. Il y a treize ans que l'auteur a éprouvé les p
(de Marc Island). (Occidental médical Times, avril 1895.) C'est l'
observation
d'un matelot opéré pour ganglion tubercu- leux
SHoLT (de Stockton). (Occidental medical Times, mars 1895.) C'est l'
observation
d'un ouvrier blessé par la chute d'une poutre a
tui- taire probablement (anosmie concomitante). Dans la quatrième
observation
présentée à la British médical Association, par
rchiv sur psychiatrie und Nervenkruzzkheiten, t. XXVII, liv. II.)
Observation
d'un malade qui, deux mois après le début de l'af
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 375 réflexes cutanés et de la sensibilité (
observation
). Cet épuisement du réflexe tendineux patellai1
ÉCORCE; WL. llul;a'row. (New'ol, JJent1'Ulul, L. XIV, 1895.) Deux
observations
avec analyses analomocliniques, propres à servi
el je protesterais si j'en avais le temps (F.). P. KERAVAL. XLIV.
Observation
DE GLIOME dans la partie POSTÉRIEURE DE la prot
. JAKOB. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) L'auteur tire de deux
observations
que l'interruption complète du ruban de Reil da
r S. LREeD. (Nezl1'olog, Centralbl., XLV, 1895.) L'auteur joint son
observation
personnelle au mémoire de Bern- hardt sur les p
rÜ1' Psychiatrie und Nervenkran- kheiten, t. XXVII, 1. 1, 1895.)
Observation
d'une malade, qui présentait à la suite d'une fra
DE LA CHORÉE DES ADULTES; par le Dr R. M.aSS.\LONGO. Dans les deux
observations
citées par l'auteur, et ayant trait l'une à un
nous avons regardées dans le travail précédemment cité, d'après les
observations
des auteurs et les nôtres, comme caractérisant
de guide pour l'étude de l'immense variété de cas que nous offre l'
observation
de chaquejour. RECUEIL DE FAITS. PARÉSO-ANA
t plus rai- sonnable, plus docile, et se soumet plus volontiers aux
observations
qu'on lui adresse. La tenue est meilleure. Ma
, MontpeUier et Paris, 1896. Nous ne pouvons pas, à propos de cette
observation
, refaire l'historique de ces deux maladies. Nou
niques et cellules sont les facteurs des fonctions. On arrive par l'
observation
combinée à l'expérimentation chez le nouveau-né
PUSATERI. (Ii.i'U. di pat. nerv. et ment., fasc. 2, 1896.) XCII.
Observations
CLINIQUES ET anatomo-pathologiques relatives A
teur, contrairement à l'opinion de Fournier, trouve que d'après ses
observations
personnelles, l'état intellectuel, celui de la
ce; par le Dr IOVELLO GiusEPPE. (Il manicomi 0, fasc. 1, 1895.) ·
Observation
d'un hystérique atteint de vigilambulisme avec
le D" Césare pIaNETT.1. (Il manicomio , fasc. 1, 1895.) Ces deux
observations
sont également des exemples du dédou- blement d
'hysté1'ie mâle et de neurasthénie,- Au sujet de cinq intéressantes
observations
, M. le professeur Grasset expose en une success
ations de ces deux grandes névroses. Un cas de maladie de Morvan. L'
observation
que relate ici M. Grasset est un cas type de ma
Mal de Pott et paraplégie flasque anesthésique. C'est une curieuse
observation
de mal de Pott avec paraplégie flasque anes- th
rt sur la sclérose primitive des cordons latéraux de la moelle; une
observation
d'ataxie locomotrice avec atrophie musculaire e
s psychiques, méthode expérimentale, méthode 496 BIBLIOGRAPHIE. d'
observation
. Il montre que la méthode expérimentale, « méthod
ette hypothèse en face des faits que peut nous fournir la méthode d'
observation
» ; il passe en revue toutes les formes de mala
tanie traitée par l'estrait thvroi- dien, par Byron Bramwell, 65.
Observation
d'un cas hpe de , par Preston, 262. Thyroïde.
sens, mais seulement au moyen de l'ex- périence intérieure ou de l'
observation
de soi-même. En d'autres termes les premiers pe
aité il cette place dans ce célèbre et ancien ouvrage (1664). (3)
Observations
par lesquelles on tâche de découvrir la partie du
SSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX' 5 4.) « Il résulte des
observations
que nous venons de rapporter, que les fonctions
erschiedener Beschaffenheit beziehen ? · » Passons maintenant aux
observations
pathologico-anatomiques des neurologistes. Dé
ir Everard IIome (2) communique au commencement du siècle passé les
observations
suivantes, faites par lui sur l'effet de la press
alure vivante, etc. Bd. VI, Abth. 1. P. ICI, Gôttingen, 1821. (2)
Observations
on the Functions of the Brain. Philosophical Tran
s plus anciens jus- qu'à notre époque, arrivent à la suite de leurs
observations
à la même con- clusion, c'est-à-dire que des ch
t accompagnées de troubles psychiques. Comme nous l'avons vu, les
observations
de De la Peyronnie donnaient déjà lé même résul
ogiques, qui parlent en faveur de la Neuronthéorie, par exemple les
observations
de M. le professeur V. Uschinsky (3). Ce savant
e le rôle de centre psychique ? Il parait résulter au contraire des
observations
des auteurs précédents et aussi de celles du Pr
rnicis lui-même. Enfin, comme nous l'avons cité antérieurement, des
observations
nom- breuses des neuropathologues depuis le com
te encore l'aire mention du centre des sentiments de douleur. Des
observations
chez des malades souffrant de névralgie, particul
centres des mouvements associés. Par contre Westphal a publié une
observation
d'hémiplégie chez un adulte avec mouvements ass
uvements associés (1) et rappelle dans son article de 1874. (2) une
observation
analogue d'Otaiaus,publiée le 27 septembre 1873
eux des lésions des ganglions de la base. Katz (1) a fait les mêmes
observations
. En résumé la présence des mouvements associés
SES FIBRES DE PROJECTION) (1). PAR E. LONG (de Genève). Les
observations
anatomo-cliniques qui suivent se rapportent toute
dégénérescences consécutives à ces lésions secondaires cérébrales.
Observation
I Résumé : Monoplégie crurale, à début brusque,
al de Genève, dans le service de M. le professeur Bard. Résumé de l'
observation
prise par le Dr Machard, assistant : Antécédent
ale. Remarques. A. Localisations cérébrales. On trouve dans cette
observation
une dé- monstration très évidente de la localis
ologie cérébrale est considérable, il est préférable d'utiliser des
observations
dans lesquelles la survie a été suffisante pour
avant sur la première fron- tale. Aussi, lout en enregistrant cette
observation
qui n'est pas sans va- leur et permettrait peut
est toujours plus tardif et très incomplet; on doit donc dans cette
observation
attribuer la permanence de l'impotence à l'âge av
plus ou moins rapide, pendant la phase d'organisation définitive.
Observation
II. Résumé. Etat dystrophique congénital de la
de la protubérance annulaire. Atrophie croisée du cervelet. Cette
observation
concerne une femme Dest... Amélie, célibataire, â
à la main. Nous avons trouvé les renseigne- ments suivants dans une
observation
antérieure, recueillie en 1888 (la malade était
onclusions. Nous avons rapproché dans une même publication ces deux
observations
, La première démontre après bien d'autres faits
pour éviter d'en tirer des conclusions erronées. ' Dans la seconde
observation
le centre cortical du membre supérieur est détr
ntes du syndrome Raynaud et méritant d'être individualisées.' Cette
observation
en est un remarquable exemple. La gangrène attein
ésion d'étiologie inconnue. gangrène symétrique DES extrémités 57
Observation
. Le malade est un de nos confrères étrangers, l
avec soin et un rare esprit critique tous les détails de son auto-
observation
. Antécédents. Rien à signaler dans ses antécéde
-mème avait entrevu le rôle de la mala- ria, rôle que de nombreuses
observations
ont cherché à confirmer (Mar- chand, Rey, Marro
CHRONIQUE. PAR FÉLIX ROSE Chef de clinique à la Faculté. «
Observation
. Mme G..., veuve L..., 67 ans, femme de ménage,
QUE PAR M. le Dr V. COURTELLEMONT. Le nombre encore restreint d'
observations
de cette dystrophie et cer- taines particularit
éréditaire et fami- lial. C'est la forme à laquelle appartiennent l'
observation
de M. Meige (1898) et celle de Lannois : la déf
res ou bien sans cause apparente. Rentrent dans cette catégorie les
observations
de Debove, Vi- ouroux, Mabille, deux de Rapin (
la famille. Ce type paraît le plus rare de tous (cas de Rapin-Long,
observation
III dti-ni-émoii-e de Rapin, le trophoedème fac
légèrement bleuâtres ; la femme dont Collet et BeuLter rapportent l'
observation
a le dos de la main rouge bleuâtre ; le gonflem
dont la peau est le siège, au niveau de l'infirmité. La plupart des
observations
de trophoe- dème chronique ne font pas mention
uvée abaissée chez plusieurs sujets (Prothon, obs. I de Rapin, deux
observations
de Valobra : obs. IV, un degré de différence, et
re aucune distinction, sa genèse en présente. J'ai déjà dit que mes
observations
se portent sur des exemples très purs, scolasti
à cette conviction que les unes comme les autres sont sorties de l'
observation
consciencieuse des modèles qu'offrait aux artis
, que des ré- suitats incertains et difficiles à interpréter. Les
observations
personnelles que j'ai pu faire sur 9 individus vi
ques très complexes que présente le crâne dans cette affection. Ces
observations
suivantes reposent donc sur 15 cas que j'ai per
ception faite pour les enfants au-dessous de 6 ans, j'ai relevé des
observations
faites sur 10 autres cas avec espaces membraneu
résentant la partie supérieure delà fontanelle astérique. Après ces
observations
, il est très intéressant d'examiner la radiogra
divisé en plusieurs fragments par des sutures anormales (2). Ces
observations
ne sont pas uniques. Le crâne dysostosique décrit
s lors, il est intéressant que j'aie pu constater l'exactitude de l'
observation
de Scheuthauer, non seulement pour ses deux crâ
ée juste de la configuration de la gouttière basilaire. Pourtant, l'
observation
de Villaret et Francoz, où la radiographie d'un g
bauche cartilagineuse. A propos des os du crâne, voici une dernière
observation
(et tout indi- que que ce détail est très carac
anomalies des os nasaux et malaires sont en parfait accord avec mes
observations
antérieures et postérieures sur des sujets dyso
oronoïde, mince, s'infléchit souvent en dehors ou en arrière. Aux
observations
souvent faites sur les irrégularités de la dentit
reviendrai sur ces caractères après avoir rapporté les détails de l'
observation
. Pierre Teiss...,65 ans, ancien cocher, ne prés
e ventricule latéral n'est pas davantage dilaté. L'intérêt de cette
observation
est d'ordre anatomique et clinique à la fois.
ois à celui d'un oeuf de pigeon. Il n'est pas fait mention dans les
observations
que j'ai parcourues de tumeur anévrysmale aussi v
LAIGNEL-LAVASTINE. Médecin des hôpitaux de Paris. L'intérêt de l'
observation
suivante est double, clinique et anatomique. En
he- val diagnostiqué par l'un de nous et confirmé par l'autopsie.
Observation
. Cliniquement, il s'agit d'une femme de 30 ans,
à Sv, atteintes de méningo-radiculite syphilique. Ce cas, dont les
observations
anatomo-cliniques se comptent (1), sug- gère qu
eure et de la région dorsale, mes coupes confirment tout à fait les
observations
de De- jerine et Spiller. Il existe donc des fi
e radiculaire syphiliti- que de hémi-queue de cheval analogue à cet
observation
et les sciatiques radiculaires syphilitiques de
modification dynamique du système nerveux périphérique. On doit aux
observations
de Joffroy (1879), Eisen- lohr (1879), Vierordt
névrite avec prédomi- nence des troubles.sensitifs. Depuis lors les
observations
de ces différents types cliniques se sont notab
ar conséquent il ne nous semble pas superflu d'ajouter une nouvelle
observation
à la sta- tistique connue, d'autant plus que no
s anatomiques que nous avons estimés dignes d'un certain intérêt.
Observation
clinique. Brussi Catherine, 18 ans, entrée à l'As
ie de polynévrite systématisée molrice amyotrophique aiguë. Cette
observation
est intéressante à plusieurs points de vue Il y a
maladie du neurone entier. 1 Astié (1898) ne put relever dans son
observation
aucune altération de la substance blanche, ni a
gine toxique. Mais ce qu'il y a encore de très important dans notre
observation
, c'est que ces deux catégories de lésions se tr
u'il en résulte de mouvement du membre. On trouve néanmoins par une
observation
rigoureuse sur des gens maigres que les réflexe
es entre eux qui resteront non excités, ce qui sera contraire à nos
observations
cliniques sur la propagation des réflexes. Même d
Mais avant de passer à un autre chapitre, nous devons dire que nos
observations
anatomiques et physiolo- giques concordent avec
fait l'extension de ces mouvements associés : « Quand on lit les
observations
qui précèdent,on voit en effet qu'à la suite de
inutile de charger notre travail en publiant complètement ces deux
observations
, parce qu'elles n'ont rien d'intéressant en dehor
T. XXI. Pl. XXVII DESSINS D'ALIÉNÉS CIRCULAIRES (Pailhas) . (
Observation
I) Masson et Cie, Éditeurs Phototypie Barthau
T. XXI. Pl. XXVIII DESSINS D'ALIÉNÉS CIRCULAIRES. (Pailhas) . (
Observation
I) A. Dans une période de calme relatif. DESS
ons pour la musique (jeu du piano où il est plus que médiocre). L'
observation
des croquis de X... montre assez bien la manifest
RE T. SYI. Nl. SX1Y DESSINS D'ALIÉNÉS CIRCULAIRES (Pailhas). (
Observation
1) Masson et Ce, Éditeurs Phototypte ilerllmu
u suicide. Une amélioration assez prompte, mais suivie d'une longue
observation
à l'asile, aboutissait à une deuxième sortie, e
l'évolution de la maladie, doré- navant soumise tout entière à mon
observation
, se montrait nettement cir- culaire et substitu
aux et assurent leur flexibilité (Pl. XXX). Et telles sont ces deux
observations
, intéressantes et tout au moins bien propres à
itale unique, page 68, lignes 2 et 3, lire : le cas de Rapin-Long-,
observation
III du mé- moire de Rapin, le trophoedème facia
, a été adressée au Guy's Hospital en 1906; elle avait été tenue en
observation
à Caversham antérieurement pendant 7 années. So
de l'infir- mité.^ - Alice, âgée de 18 ans, est la malade dont l'
observation
est le point de départ de tout ce travail ; son
nous pensons avec Milroy, Meige, et d'autres, que l'oedème dans ces
observations
n'est pas secondaire à des altérations grossières
ue absolument différentes,puissent être placées à côté d'elles. Nos
observations
ont peu de chose qui leur soit commun avec la m
e fâcheux à la grossesse. Cela n'a pas été le cas, et même dans une
observation
où les « attaques aiguës » avaient été fréquentes
l'hyper- trophie segmentaire qui fait l'intérêt principal de cette
observation
. Vous verrez sur les radiographies qui vous son
séquestre détaché de l'humérus ou du cubitus. J'ai cru que cette
observation
et ces documents valaient la peine d'être HYPER
rie basedowienne, dans lesquelles l'on peut ordonner de mul- tiples
observations
, qui présentent les symptômes de l'une et de l'au
a thyroïde serait seule touchée sans lésion des , para-thyroïdes. L'
observation
de J. Chalier, concernant un nain thyroï- f die
dans l'état mental des myxoedémateux. Voici, à titre d'exemple, une
observation
typique de Stoïgesco et Bacaloglu. 1 Une jeun
ien, que l'opothérapie thyroïdienne peut transformer comme dans une
observation
typique de L. Lévi et H. de Rothschild. On trou
aités par la thyroïde l'irritabilité s'accrut. Ferranini rapporte l'
observation
d'une jeune femme qui, tourmentée par un début
rement parler des phénomènes de basedowisme franc. De même dans l'
observation
de Béclère, i s'agit d'une malade hystérique, p
n maniaque est de beaucoup la plus fréquente, comme le montrent les
observations
de Trous- seau, Meynert, Robertson, Clark, Bart
onirique très caractérisé. Un exemple typique de cette forme est l'
observation
de 7.alplachta, où il existait simultanément tr
ubles. C'est aussi la conclusion que Parhon et Marbé tirent de deux
observations
de troubles maniaques et mélancoliques chez deu
e par Moebius, et en France par Hallion. Comme exemple je citerai l'
observation
1 du travail de Sainton etpisinte ; chez cette
l et la guérison put être considérée comme com- plète. De même, l'
observation
de Thomas (de Genève). Sur les conseils du prof
nne (tremblements, battements de coeur, éclat des yeux). Dans une
observation
de P. Marie, le thyroïdisme alimentaire avait p
et ses inconvénients qu'à un état morbide. Qu'on en juge par cette
observation
de L. Lévi. Il s'agit d'un homme de 60 ans. Une d
ionne facilement. Un grand nombre des caractères notés dans cette
observation
sont à l'opposé des troubles myxoedémateux. C
que de la série basedowienne. On trouvera dans leur livre plusieurs
observations
très suggestives de cette ins- tabilité thyroïd
v. Icon. de la Salp., an XV, n" 2, p. 124-130, 1902. FAURE (111.),-
Observation
de maladie de Basedow mortelle avec coexistence d
d., 1898, n° 81, p. 193-194. 1 230 LAIGNEL-f.A VASTI : iE Renaut.
Observation
pour servir à l'histoire des troubles cérébraux d
sidéré comme manifestation de l'hystérie. Th. 1899. Salage. Trois
observations
de gOÎl ! e exophtalmique avec aliénation mentale
anière que les malades organiques. 238 NERI . Dans une première
observation
que je dois à l'amabilité de M. le docteur Fran
ET A. GY Professeur la Faculté de médecine. Interne des hôpitaux.
Observation
. Le nommé Alfred M..., âgé de 30 ans, ciseleur,
robien pour tel ou tel segment de l'axe cérébro-spinal. Une foule d'
observations
ont prouvé que le même microbe pouvait avoir de
de l'hypoglosse : un cas . M. Scltmiergeld, lui-même, rapporte deux
observations
de poliencépha- 10myélite; dans l'une, outre la
ssible. Nous venons aujourd'hui relater un nouveau cas personnel.
Observation
CLINIQUE. Lucie M... entre à la Clinique infant
nomène hétérogène avait déjà été entrevu et signalé dans quel- ques
observations
. Ganault (1) cite le cas d' « un hémiplégique d
emment le professeur Raymond (2) a rapporté une très in- téressante
observation
, qui diffère notablement des deux précédentes e
, du pan- créas, des glandes surrénales et du corps pituitaire. L'
observation
du malade dont j'ai recueilli la colonne vertébra
me tuberculeux. Il n'est pas possible de tirer une conclusion d'une
observation
sem- blable à celle-ci ; vivant dans un milieu
gie, sous le titre de pseudo-tabès spondylosique le résumé de trois
observations
dans (1) BECIITEREV et RAYMOND, Cliniques des m
s du système ne ? veux, 5, série, p. 564. (2) BECHTFRFW, Nouvelle
observation
d'ankylose du rachis avec examen analomo- patho
erposition très nette d'un tabès vrai et d'un rhumatisme vertébral.
Observation
recueillie par M. J. Monges, interne du service
droite présente une ébauche de mobilité. Telle est cette curieuse
observation
. Faut-il considérer T... comme atteint de spond
alade du type ankylosant vertébral rhumatismal. Mais l'intérêt de l'
observation
siège dans la coexistence de l'ankylose vertébr
hysio-patholoiques les plus obscurs et les plus intéressants. Les
observations
qui font l'objet de ce mémoire sont caractérisées
dans les descriptions plus connues des auteurs. Les deux premières
observations
que nous donnons in extenso concer- nent deux s
dépister les symptômes frustes de la maladie familiale. Notre 3e
observation
a trait à un sujet cliniquement beaucoup moins
êmes preuves objectives en faveur de la thèse que nous soutenons.
Observation
familiale. Antécédents familiaux des saurs Se}'
sse couche au 2e mois. 118 Grossesse. Fausse couche au 3e mois. -
Observation
I (PI. LI). ' Marguerite Ser..., âgée de 20 ans
linique médicale générale de Florence où je pus prendre la première
observation
complète. La malade resta dans notre service de
était complète- j ment impubère. Je ne publie pas ici in extenso l'
observation
clinique corres- ' pondant à cette époque, car
ai trouvé si peu de variation dans son état qu'en publiant les deux
observations
entières je ne ferais que me répéter ; je vais
rellement tirer des conclusions que dans un an ou deux. 1 .' ...,
Observation
III. Eliséo Bian..., âgé de 21 ans et demi, de
comparativement chez les trois malades qui onl fait le sujet des
observations
précédentes (1). Marguerite SEn... Crâne. Epais
; je rendrai compte aussi de certaines recherches personnelles. '
Observations
. le, cas. Filippo Pierattini, âgé de 32 ans, né
à la suite de nombreuses recherches sur les échanges nutritifs et l'
observation
de (1) Vratchefnaia Gazeta, 1906, no 36, report
années, il n'aurait pas trouvé d'atrophie. Dans la suite, d'autres
observations
similaires ont-paru, quoique rares, et l'année
lé ,plus de 700 gr. Mais, comme j'ai déjà dit, en me basant sur des
observations
des échanges dans le Basedow, il faut admettre
oires en Allemagne est, croyons-nous, assez peu connue en France.
Observation
I (Pl. LVIII). P..., âgé de 61 ans. ttien de bi
Ces symptômes doivent être retenus : ils ne sont pas rares dans les
observations
recueillies par les auteurs, comme nous le verr
cause cérébrale : les symptômes paraissent être purement oculaires.
OBSERVATION
Il (PI. LVIII). G...,36 ans. Pas d'apparence de
s l'enfance. Ce phé- nomène a été noté par Patry dans 10 cas sur 74
observations
, dont 16 per- sonnelles (les autres sont surtou
trée 6 fois : elle serait, dit-il, beaucoup plus fréquente dans les
observations
rapportées par les auteurs si elle avait été re
TIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). ,
Observation
X CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GEN
et la mise en coupes sé- riées, il m'est impossible de grouper mes
observations
par régions céré- brales. Il ne me reste qu'à l
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1905, 1906, 19117. (2) L'
observation
à été mise à ma disposition par M. le professeur
ple qui m'a paru frappant, d'une tumeur restée longtemps latente.
Observation
XI (PI. LX). B ? entré le 24 juillet. Décédé le
- lucinations visuelles (personnes, animaux) et auditives. Dans l'
observation
de Bel-Air il est noté que B..fait l'impression d
ie. - Tuberculose pulmonaire et intestinale.Tumeur cérébrale. Notre
observation
clinique est, je dois l'avouer, fort pauvre ; mai
tal droit ne sont pas toutes les mêmes que celles décrites dans les
observations
précédentes. Il n'est pas question de vacuoles
otablement démenti que tout à la fin de son existence ; cependant l'
observation
est trop peu complète pour avoir grande valeur
pour avoir grande valeur à cet égard. Rappelons enfin que, sur XI
observations
, nous avons rencontré pour la seconde fois chez
A PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 367
Observation
XII (PI. LXI). Du t3 août 1906 au 22 janvier 19
tif et assez fréquemment du pigment de couleur brunâtre. Pour les
observations
XI et XII, je relèverai également que les altéra-
Professeur de Clinique Psychiatrique à l'Université de Bordeaux.
Observation
(1) (PI. LXIII LXV). Pierre X..., 28 ans, culti
Réflexions. Trois points nous paraissent surtout à relever dans l'
observation
qui précède : 1° les malformations des mains et
re, et que l'utilisation médicale de la radiographie a rendus d'une
observation
et d'une interprétation anatomique si exactes e
ible d'esprit. Le quatrième est celui de Pierre X......, sujet de l'
observation
ci-dessus. Il est vrai que Pierre a un frère et
des hopitaux, assistant de consultation à l'hôpital Saint-Louis,
Observation
. G. T..., 26 ans, est atteint d'une infirmité c
études de Bouvier, article Main-bote du Dictionnaire Dechambre (16
observations
dont 14 unilatéra- les et 2 bilatérales, la plu
opédie, 1903), Layral et Péhu (Province médicale, 1907).Le nombre d'
observations
ainsi réunies est voi- sin de la centaine. La m
ne atrophie du thorax et même de la mâchoire du même côté. Dans six
observations
, elle coïncide avec la malformation homologue d
e présente notre malade, est plus rarement notée. Toutefois, dans l'
observation
de Gayet, la rangée du carpe était représentée pa
tefois elle est parfois héréditaire et familiale. C'est ainsi que l'
observation
de Gayet concerne une mère et son enfant attein
s. L'association relativement fréquente des deux malformations (six
observations
) met d'autre part en relief leur parenté. Dan
AIN 427 lente du corps thyroïde, sont en effet très nombreux et les
observations
de Ferranini en sont une preuve évidente. , A
'un an et qui devrait être un exem- ple d'ossification précoce. L'
observation
des auteurs français serait au contraire d'accord
12 ans ; les mêmes faits furent vérifiés au coude et au pied. Cette
observation
ne- contredit pas cependant notre thèse, car il
a dysthyroïdie, mais pas ceux de l'infantilisme. Mais si dans cette
observation
on peut attribuer le retard de l'ossifica- tion
ujet je m'accorde pleinement avec M. De Sanctis et je crois que mes
observations
fournissent une preuve excellente des faits énonc
xamen radiographique du squelette de nos sujets que nous devons les
observations
les plus intéressantes. Nous avons vu en effet ch
es faits. Le lecteur aura en outre remarqué, d'après la lecture des
observations
de nos trois sujets, que l'altération des proce
graphie de la main de mon troisième sujet. Pour conclure, nos trois
observations
fournissent l'exemple le plus clair qui ait été
enne exclusive. Il nous suffira à ce sujet, de citer l'intéressante
observation
de Rose qui, dans un cas d'obésité familiale ch
oins avancé de l'ossification des car- tilages de conjugaison ; nos
observations
ont démontré en effet que chez les infantiles a
ersalis (Marburg, Parhon et Zal- plactu, etc.) ; mais de nombreuses
observations
anatomo-cliniques ont montré dans des cas appar
acromégalie devrait être attribuée à des lé- sions du thymus et les
observations
de Erb et de Sle1'llberg déposent en ce sens.
ille-môme ne serait que secondaire à une dystrophie quelconque. L'
observation
déjà citée .de Vigoureux et Delmas parle aussi en
itution squelettique de type féminin, et Schuller en commentant ces
observations
, admet que l'anomalie génitale dans ces cas n'éta
- daire, mais en rapport direct avec la maladie de l'hypophyse. L'
observation
de Achard et Démanche est très démonstrative rapp
le ta- bleau qui ressort de l'analyse strictement objective de nos
observations
personnelles, nous verrons tout de suite combie
diaires, etc. Ce fait qui est vrai en général pour toute forme d'
observation
clinique s'applique d'autant plus à l'analyse p
et d'entourage. Nous verrons au sur et à mesure que de rigoureuses
observations
d'in- fantilisme somatique et psychique viendro
résenté, dans les dernières an- nées, comme nous l'avons vu par son
observation
, des faits pathologiques nouveaux qui ne sont p
opique seulement montra trop tard la fatale erreur. En dehors des
observations
réunies dans mon mémoire, d'autres analo- gues
plus haut intérêt ; il a été démontré en effet, par quelques rares
observations
que les tumeurs de la base et surtout celles de
des arrêts du développement des organes sexuels. Dans les quatre
observations
de Jamagucki les premiers symptômes de tumeur d
yse apparte- nait au groupe des colestéatomes. ' Selon Nazari son
observation
, par l'évidente multiplicité des lésions des gl
oedémateux. Un cas tout à fait analogue à celui-ci est fourni par l'
observation
de VigOU1'OltX et Delmas, ce cas fut considéré
s cas très rares à un syndrome d'infantilisme général. Aucune des
observations
citées ne peut se dire cependant absolument CON
le a déterminé l'altération des autres. On peut en dire autant de l'
observation
de Vigouroitx et Delnaccs où la lésion testiculai
cécité par atrophie des nerfs optiques. Quincke a publié plusieurs
observations
d'individus tombés brusque- ment malades avec l
compromis secondairement l'hypophyse. L'étude générale de nos trois
observations
nous amène enfin aux conclu- suivantes. Nos t
une de ses caractéristiques cliniques. ' Sur la foi de nombreuses
observations
cliniques nous croyons en outre ne pas pouvoir
x indiscu- tables u. Nous avons vu au contraire qu'aussi bien les
observations
cliniques que les résultais de l'expérimentatio
ance pluriglaudulaire endocrinienne . lndividuali, sation clinique.
Observation
anatomique et histologique. Journal de physiol. e
nt documentaire et sans aborder aucune considéra- tion théorique, l'
observation
d'une « curiosité» qui s'est exhibée dans les f
facilement ces faits cliniques intéressants. Divers faits dans l'
observation
clinique sont à signaler. Tout d'abord c'est la
est pas chez l'enfant exceptionnelle, tant s'en faut. Le nombre des
observations
doit être égal à 120 ou à 130 au moins. Le ta
énérale tout au moins. Dans la thèse de Thiry (Nancy, 1898), sur 69
observations
de paralysie générale juvénile, seize fois nous
RIE par - I. VALOBRA Médecin de l'hôpital Umberto i,r (Turin)
Observation
. Mile Joséphine Z... 18 ans. Antécédents héré
te inutilement pour obtenir que la jeune fille reste à l'hôpital en
observation
, et elle rentre chez elle. Le soir même de ma vis
ais tellement frappé par l'identité des lésions que j'ai relaté mon
observation
dans le traité de rÕntgénulogie clinique que j'ét
nous a été impossible de pratiquer l'autopsie. I Telle est mon
observation
clinique. Malheureusement, il s'agit seule- men
mon observation clinique. Malheureusement, il s'agit seule- ment d'
observation
clinique : nous n'avons pas d'examen nécroscopiqu
s rapports d'analogie. II Je crois avoir démontré que, dans mon
observation
, il s'agit d'une gangrène spontanée de la peau
connus. Et dans mon analyse je ne mettrai en ligne décompte que les
observations
qui présentent une garantie plus grande d'avoir
ur l'argument (française, anglaise, italienne, allemande) dans deux
observations
seulement (./V< ? M7M ? ï,Jo. ? < ? A),tes
nes hystériques faisaient défaut, tandis que dans toutes les autres
observations
on observe toujours des phénomènes de cette natur
ossibles dans le but d'éviter toute cause d'erreur. En étudiant les
observations
relatées dans la littératuremédicaleâce pro- po
dans la littératuremédicaleâce pro- pos,à côté d'un nomhre énorme d'
observations
dans,lesquelles toute cause dedoute n'est pas e
ause d'erreur n'a pas été évitée, nous trouvons un certain nombre d'
observations
qui, par l'exactitude des cli- niciens et par l
ar la précision des circonstances, ne permettent aucun doute. Peu d'
observations
nous sont suffisantes pour la démonstration, pour
- sèrent deseschares réelles. M. Gilles de la Tourelle relate une
observation
qui présente une analogie frappante avec la pré
ation qui présente une analogie frappante avec la précédente. Ces
observations
nous donnent la démonstration absolue et directe
s temps de la ma- ladie l'intégrité absolue de l'épiderme (même à l'
observation
au micros- cope),tandis que les tissus sous-épi
e où la malade a en abondance des poils follets. » Est-ce que cette
observation
ne suffirait pas pour la démonstration de la sp
chez une hystérique pouvait produire par suggestion en (i) Dans mon
observation
il reste à expliquer la cause de la mort rapide d
oduit des phénomènes de perforation aiguë. Je possède moi-même deux
observations
de cette nature avec autopsie. Je rappelle enco
e nature avec autopsie. Je rappelle encore à ce propos que dans les
observations
de M. Balzer et de M. Bruchon on a remarqué la
isté la plaie initiale. Cet élément étiologique, si général dans le
observations
de gangrène cutanée, parle contre l'idée d'un cap
ransforme peu à peu en une plaque de gangrène. Dans nombre d'autres
observations
la gangrène cutanée se présente an contraire à
Je dis « je crois », parce que rien dans la littérature ni dans mon
observation
ne m'autorise à une affirmation plus précise. Et
luence de la suggestion. Pour rester dans le champ des névroses les
observations
de M. Dubois (de Berne) qui obtient rapidement
rie, bien que, cependant, je n'aie jamais pu le constater. » Si l'
observation
citée par M. Valobra avait toujours paru probante
intenant à ce qui constitue le fond du travail de M. Valobra, à son
observation
personnelle. Elle me parait fort suspecte, pour p
ent à la Salpêtrière pour l'étudier et c'est principalement sur des
observations
recueillies dans les hôpitaux parisiens qu'a été
VALOBRA 509 geons. C'est sur cette constatation, qui corrobore mes
observations
per- sonnelles, et non sur des idées théoriques
nom de myopsychies. Il publia, dans ce recueil, en 1898, une belle
observation
de Syndrome tem- polaire de Weber avec hémiopie
des caractères qui le séparent du même syndrome non hystérique. L'
observation
suivante sert de base à la démonstration, qui s
à la démonstration, qui s'appuie en outre sur la critique d'autres
observations
person- nelles ou empruntées. Observation. Ma
r la critique d'autres observations person- nelles ou empruntées.
Observation
. Maladie de Raynaud à la deuxième période, affec-
maladie générale dans son enfance. Elle commença à être réglée 1 L'
observation
a été prise sous ma direction par M. Turque, exte
ctères en augmentant de fréquence jusqu'à son entrée à l'hôpital. L'
observation
est prise à la fin de mars or : Etat actuel.
fférents modes. Elle est conservée partout ailleurs. Au moment où l'
observation
est prise, la malade a pendant le jour 10 à 12
qu'il a été possible de déterminer. Il est quelques points dans l'
observation
qui méritent de fixer l'attention. L'existence
humatisme articulaire aigu en 1892 qui dura trois mois.. Dans une
observation
que j'utiliserais plus loin, j'ai retrouvé de m
. La fréquence du rhumatisme apparaît d'ailleurs à la lecture des
observations
des auteurs, examinées à ce point de vue. La mê
on du cerveau; par Alex. 13RUCE. (Brain, part. IV, 1893, p. 465.)
Observation
accompagnée de quatre planches histologiques, p
au; par Ph. ZENNER. (Médical Record, New-York, juillet 28, 1894.)
Observation
de ramollissement aigu du cerveau se terminant
t petite et de peu d'importance dans la production des symptômes. L'
observation
publiée est un exemple d'infiltration gliomateu
er de Neurologie], t. II, f. 3, Kazan 1894.) L'auteur rapporte deux
observations
qui prouveraient l'utilité de l'emploi simultan
vue rapide de la théorie thyroïdienne de la maladie de Graves. Deux
observations
de cas traités par la thyroïdectomie, par J.-ArLh
SCHEDTLFR. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat, L. 3, 4.) Quarante et une
observations
, nombreux tableaux, de 1888-1890. Ce médicament
ts. Fritsch. Mélancolie irritable. DFSOELDEit. Etude clinique d'une
observation
de tumeur de la protubérance. LiNs- mener. Lési
n isolées. Les douze autres sont présentées par l'orateur comme des
observations
de psychoses de la motilité. Une publication co
malade qui, à l'instigation du tribunal, a été mis et est encore en
observation
à l'asile de Leubus. C'est à la suite d'un nomb
sique; cet état physique a une grande importance dans l'es- pèce. L'
observation
sera publiée dans les Archiv f. Psychiatrie. 1
hysique d'équiva- lence. Pour établir cette opinion, voici quelques
observations
: Observation I. Un homme de cinquante-huit ans
lence. Pour établir cette opinion, voici quelques observations :
Observation
I. Un homme de cinquante-huit ans, ayant fait l
lui a adressés, il collera ses factums à tous les coins de rues.
Observation
II. Homme de quarante-deux ans, sans tare hé- r
chez lui. En dehors de ce thème, il est laborieux, gai, paisible.
Observation
III. Demoiselle de cinquante-huit ans, très tarée
ent en ligne de compte an début cer- tains facteurs étiologiques. L'
observation
clinique nous montre, à mon sens, assez souvent
mais sans présenter la marche maligne de celle-ci. Je me souviens d'
observations
de ce genre de manie paralytique épouvantable d
tion de l'idéogé- nèse. Bien plus fréquentes sont naturellement les
observations
dans lesquelles il y a des combinaisons de plus
t l'épilepsie, Esqui- rol lui demanda de rédiger un mémoire sur les
observations
qu'il y avait recueillies. Il soumit, sans l'en
t à son arrivée dans le service, écoutant toujours avec intérêt nos
observations
. Sa physionomie reflétait, en même temps qu'une
ne lui avons vu un moment d'humeur ou de colère et s'il avait une
observation
à faire pour un manquement au service, il la fais
partiellement; 9° quelques cellules seront pourvues d'un guichet d'
observation
; 10° les parois offriront une résistance suffisan
5., > ? 96 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES
OBSERVATIONS
DU TROUBLE DE L ? 1LII ? DYSBASIES D'ORIGINE NE
pitaux, et J.-B. CIIARCOT, ' interne des hôpitaux. ' Les quelques
observations
que nous allons rapporter ont trait à des troub
rche, liés à des affections ner- veuses diverses. Nous rangeons ces
observations
, d'ailleurs très disparates, sous le titre géné
novembre 1893. , . Archives, t. XXIX. 6 82 ) CLINIQUE NERVEUSE.
Observation
I. Del..., soixante-sept ans, sculpteur sur bois.
ù se mani- festait l'hésitation. II. Dysbasie neurasthénique. L'
observation
suivante que M. Brissaud nous a obligeamment co
le diagnostic de neurasthénie, déjà évident à la seule lecture de l'
observation
auto-biographique. Observation H.A onze ans, j'
jà évident à la seule lecture de l'observation auto-biographique.
Observation
H.A onze ans, j'ai eu un rhumatisme aux genoux.
il se plaint. C'est encore la neurasthénie qui est en scène dans l'
observation
suivante. Observation III. -11. M..., trente an
ore la neurasthénie qui est en scène dans l'observation suivante.
Observation
III. -11. M..., trente ans, lieutenant de chasseu
ues ? ) non encore caracté- risée. Dans cette dernière hypothèse, l'
observation
de M. M..., se rangerait dans la catégorie de d
matisation délirante bien ordonnée de la folie systématique, ni les
observations
dans les- quelles le syndrome aigu en question
e donne satisfaction à tout le monde et permet de ranger toutes les
observations
sous l'une des rubriques proposées, en prenant
cle, décrite par Laycock, Paget, a été admise sans conteste après l'
observation
de Gharcot, bientôt suivie de celles de Fernet
ntait en outre de l'anesthésie d'un membre. D'autre part dans les
observations
, l'hystérie n'a pas toujours été recherchée ave
us, dans certains cas, l'hystérie apparaît en propres termes dans l'
observation
'et est déclarée absente quelques lignes aupara
teurs des plus autorisés attachent à ce côté de la question. Dans l'
observation
XIV de sa thèse, Raynaud dit : jamais aucun acc
t, dit-il, de véritables urines nerveuses. En outre dans nombre d'
observations
rapportées, toute la partie étiologique est pas
partie étiologique est passée sous silence. C'est tout un groupe d'
observations
inutilisables. En fin de compte, la statistique
pas des chiffres qui doivent juger la question. Reprenons quelques
observations
indiscutables. Relevons l'opinion incidente des
vec l'impression que nous avons eue à la lecture de très nombreuses
observations
. L'attention fixée sur ce point, la coexistence
-connaît la cause. Et d'abord, il est dans la science au moins deux
observations
à notre con- naissance qui viennent confirmer n
La première, qui entre autres mérites a celui d'être la première
observation
que nous ayons trouvée dans nos recher- ches où
phyxie locale des exl ? -é- mités chez un hystérique, par Burot'. L'
observation
a trait à Bel... Pierre, âgé de trente ans, ouv
yxie des extrémités; Burot a montré l'influence de l'hypnose. Notre
observation
prouve les liens hystériques de l'affection, in
RME HYSTERIQUE ET Î.ftYTHR0 : 1ZFLALGIE. Il 0 'q Dans de nombreuses
observations
on trouve étudiée tantôt une face du problème,
des émotions est notée. Nous avons recueilli à ce point de vue une
observation
que nous résumons : Il s'agit de Parm... Mêla
nfluence du froid ne se fait sentir sur ses mains. Voilà donc une
observation
qui nous montre chez, une ma- lade à hérédité n
ce exclusive des émotions apparaît encore nette- ment dans d'autres
observations
. M. Delta, externe du ser- vice, m'a communiqué
tres observations. M. Delta, externe du ser- vice, m'a communiqué l'
observation
suivante : A. Bic...t, cinquante-un ans, cuisin
rois quarts d'heure et ne se renouvela pas. Enfin, nous signalons l'
observation
de M. le Pu' Leloir (de Lille). « J'ai eu pou
est en général insuffi- sante. 112 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans l'
observation
V, il s'agit d'une jeune fille qui vit mourir s
, com- mença l'asphyxie. - On trouve, d'autre part, dans nombre d'
observations
signa- lées, la présence de l'hystérie. Le fait
ous prendrons sont tirés de la thèse de Raynaud. Il est d'abord une
observation
(III de sa thèse) bien intéressante : Il s'ag
e Raynaud chez un hys- térique avec anurie guérie par un sorcier. L'
observation
se rapproche par l'anurie de notre observation
ie par un sorcier. L'observation se rapproche par l'anurie de notre
observation
fondamentale. D'ailleurs, Raynaud, frappé des p
erficielle avec prédominance de l'élément nerveux. Nous détachons l'
observation
VIII, concernant une femme de vingt-deux ans, d
uisit de l'analgésie des avant-bras et des mains. A propos de cette
observation
, Raynaud dit : A mesure que la maladie se dével
par les émotions morales dont l'influence n'est pas douteuse. A l'
observation
IX c'est une femme de trente ans, souvent maltr
rait maintenant d'hystérie masculine traumatique. A la suite de l'
observation
II de sa thèse qui concerne une jeune fille de
le naît sous l'influence des émo- tions. Bien plus, il est quelques
observations
de maladie de Raynaud hystérique. (A suivre.)
exemples d'impulsions épileptiques à l'homicide ; dans la dernière
observation
un gardien de bétail fut condamné même malgré l
s ; , par NORS1AN KERR. (lVledico-legal Journal, XI, n° 3.) Trois
observations
recueillies par des tribunaux anglais. Dans un
des nombreux cas de ce genre. A son tour, M. Naoumotf rapporte une
observation
médico-légale concernant un nommé A..., inculpé
H. JAcEsoN et J. TAYLOR. (British Médical Journal, 23 juin 1894.)
Observation
à propos de laquelle les auteurs rappellent quelq
r Walter.-L. WOOLICOMBE. (British Médical Journal, 23 juin 1884.)
Observation
clinique suivie d'autopsie avec examen histologiq
et Jollye. (British Médical Journal, 23 juin 1894.) Ce sont trois
observations
de céphalées rappelant celle qui accom- pagne l
26 mai et 2 juin 1894.) Le professeur Grasset rapportant plusieurs
observations
d'hysté- rie consécutive à des maladies infecti
l'ataxie paralytique, du labes combiné. (Une planche est jointe à l'
observation
.) Reste à savoir si c'est le tabes qui a entraîné
9.) Se basant sur un certain nombre de symptômes relevés dans les
observations
de goitre exophtalmique, l'auteur pense que la né
ditaire; par Ca.-E. NAMMACK M. D. (Médical Record, 11 août 1894.)
Observation
bien nette de maladie de Friedreich chez une peti
ystériformes, d'angine de poitrine, de goitre exophthalmique. Les
observations
rapportées par l'auteur viennent à l'appui de l
uite d'une émotion. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 131 La dernière
observation
a traita à une hydarthrose intermittente de l'a
te, puis permanente des deux genoux, chez une épilep- tique : cette
observation
montre que s'il est des hydarthroses inter- mit
neurologique, 1893.) La malade dont M. Lacour relate l'intéressante
observation
pré- sentait très nettement le syndrome de Webe
'influence du traitement spécifique, qui amena la guérison. Cette
observation
montre que dans certains cas le syndrome de Web
mes : a, la forme nodulaire ; 6, la forme infiltrée ou diffuse. L'
observation
rapportée tout au long dans le présent mémoire
ieures ET extérieures. M. PAUL CARNIER, communique à la Société une
observation
rédigée en commun avec M. Le Filliâtre. Il s'ag
e l'inportance qu'il mérite et à dater de ce moment quelques autres
observations
ont été publiées. ' Nous avons pensé qu'il n'ét
s exemples entièrement comparables. M. Vallon donne lecture de deux
observations
d'alcooliquesayant présenté, au milieu d'un dél
du poison dans le sang. Cette hypothèse me paraît confirmée par une
observation
accom- pagnée d'expérimentation physiologique à
e temps de deux à trois ans. Discussion : M. Fitx.NKEL communique l'
observation
d'une malade traitée par le procédé de Flechsig
praticien nos traités de psychiatrie. Déjà les modalités aiguës des
observations
dont nous nous occupons comportent 28 termes sa
y a une paranoïa aiguë délirante non hallucinatoire Par contre, les
observations
qui servent de preuves à l'appui des termes de
ijumeaux et à un sarcome delamoelle lombaire et sacrée. La première
observation
a été publiée dans les 'Archiv f. Psychiat. XXV
dans le Neurolog. Centralbl., 1894 2. Voici maintenant une autre
observation
de tumeur de la moelle opérée le 25 avril 1894
ître. Mon éducation se fit d'abord bien plus par la clinique, par l'
observation
, que par la lecture des ouvrages spé- ciaux. Le
'intoxication par la liqueur d'absinthe. C'était le développement d'
observations
prises à la maison de santé. Par une curieuse c
e entendus, l'un avec les ressources du laboratoire, l'autre avec l'
observation
clinique, arrivaient au même résultat. A ce m
alie du cordon ombilical (Bulletin de la Société anatomique, 18'iü)
Observation
de Mule hydatique (Ibid., l81G); Note sur l'écl
n rôle sans défaillir et ce n'est qu'après une longue et minutieuse
observation
que nous avons pu arriver à la conviction que n
, Maumy se montre turbulent, il frappe à sa porte, n'écoute pas les
observations
qu'on lui fait, insulte ou frappe même les gard
spects de la folie simu- lée, c'est de ne se prononcer qu'après une
observation
prolongée, répétée, persévérante, qui nulle par
tout trouble de la sensibilité et delà motilité. En résumé : de l'
observation
patiente à laquelle nous avons soumis Maumy pen
ts de la maladie de Raynaud et de la scléro- dermie, la remarquable
observation
de GolclscLmidt, Rev. de iiéd., 1887. 2 L'obser
a remarquable observation de GolclscLmidt, Rev. de iiéd., 1887. 2 L'
observation
a été prise sous mon contrôle par M. Delta, exter
s'est endormie spontanément. Le sommeil a duré une heure*. Cette
observation
est concluante, car elle montre un cas com- ple
ent par l'hypnose. Il est utile de revenir sur quelques points de l'
observation
. Le rhumatisme articulaire aigu, sur lequel nou
'idée de la mort elle ressent pour la première fois des douleurs. L'
observation
est explicite à cet égard. Dans ce cas, il a
Dans la deuxième classe des névroses, Lewin et Benda ran- gent 7
observations
. Déjà dans la discussion qui suivit la présenta
phie, on dit que quelques cas devaient appartenir à l'hystérie. L'
observation
d'Auché et Lespinasse a trait à un homme de tre
puis Hénoch, Landgraf en publient des cas. Lewin réunit d'abord 33
observations
, puis Lewin et Benda, janvier 1894, en réunisse
ut présentée à M. le Pr Raymond'. C. Remarques générales Nos deux
observations
se rapprochent à un double point de vue. Elles
l'un de ces syndromes dans l'autre est possible. Lannois signale l'
observation
de Mills comme étant intermédiaire aux phénomèn
orter surtout sur la folie circulaire. Ritti* a publié en 1882 deux
observations
de folie circu- laire où pendant les périodes d
ues ou causée par les émotions sont nombreux. Nous avons ajouté des
observations
typiques. Parfois, il y a coexistence de ces ph
orie de la pa- ranoïa a germé en France. » 11 en rapproche et les
observations
de Morel sur les hérédi- taires successivement
st difficile d'établir s'il y a ou non de la mégalomanie. La même
observation
nous serait suggérée par la classifica- tion de
confusion, mais secondaire. Chaslin admet d'ailleurs que certaines
observations
de Kahlbaum (catatonie cataleptiforme) sont de
mme une maladie chronique, jusqu'ici tou- jours incurable. Mais les
observations
démontrent qu'il y a des circonstances dans les
meure et s'organise. Les formes mixtes sont représentées par les
observations
dans lesquelles coexistent les caractères de la
s exemples. M. Bourneville cite à la suite des faits de Terrien une
observation
parue en 1870 dans The Laiicet, où un malade z(
ême pas absolument rare. M. Régis à ce propos publie l'intéressante
observation
suivante : « Un matin du mois de novembre 1887,
l'influence est favorable; dans d'autres cas, elle est nulle, et l'
observation
qu'il a publiée rentre dans ce dernier cas; sans
différence. J. Noir. 204 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXVIII.
Observation
d'un cas DE NÉVROSE traumatique; par le Dr DERO
GBÉDO-S1PIIILITIQUE, A la suite D'UNE chute; par le Dr Blocs. Une
observation
d'hémiplégie motrice complète portant sur les m
rène spontanée DES ORTEILS chez un tabétique; par le Dr Pitres. L'
observation
présentée par l'auteur est un nouvel exemple de
evue neurologique, 1893.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE' I.
Observation
POUR SERVIR A l'histoire DU DÉLIRE DES négations;
(Bull. de la Soc. de Méd. ment. de Belgique, sept. 1894.) - Cette
observation
est celle d'un homme de trente-cinq ans, exempt
e la Soc. de Méd. ment, de Belgique, sept. 1894.) Le sujet dont l'
observation
sert de base à ce travail a présenté durant tou
remière partie de son travail, l'auteur passe en revue et donne des
observations
des différents types d'idées fixes. Dans la sec
ment et brusquement l'insuffisance éclate sous forme de délire. L'
observation
relatée dans le présent travail vient corroborer
squ'ici, les rapports avec la folie n'avaient pas été établis par l'
observation
clinique, bien qu'il soit depuis longtemps démont
lancer dans le champ des explications hypothétiques, que, pour deux
observations
publiées par lui dernièrement, il propose d'in-
Belgique, septem- bre 1894.) L'auteur relate dans ce travail les
observations
de deux femmes chez lesquelles des attouchement
'il s'agit d'hallucina- tions, de pseudo-hallucinations. Dix-sept
observations
étudiées sans parti pris n'enlèvent point l'ind
ée) ; par M. ScnOENFELDT (Archiv f. Psychiat., XXVI, 1.) .) Trois
observations
personnelles. Dix observations empruntées aux a
hiv f. Psychiat., XXVI, 1.) .) Trois observations personnelles. Dix
observations
empruntées aux auteurs russes. Autres observati
ersonnelles. Dix observations empruntées aux auteurs russes. Autres
observations
empruntées à la biblio- graphie. REVUE DE PAT
même rythme et ressemblant à des transmissions téléphoniques. Trois
observations
. P. K. XX. Démence paralytique sans paralysie;
, se rapprochent au contraire beau- coup des idées de possession, d'
observation
fréquente autrefois; mais les malades, plus au
; une des parties sert au séjour des malades, l'autre est la loge d'
observation
de l'infirmier. Il ne faut pas que le grillage
réquence de l'alcoolisme chronique chez les médecins. Sur les 1,500
observations
qu'il a mentionnées plus haut, M. Smith en a 43
té décrite jusqu'ici ? M. Beyer n'ose encore le faire parce que ses
observations
(qui ne concernent que des femmes) ne le lui pe
e vasculaire), plutôt qu'à la ménopause. 11 faut prendre d'autres
observations
pour décider de la justifi- cation de l'existen
. ASCIJAFFEN13OURG. Des délires initiaux de la fièvre typhoïde. Une
observation
très complète montre, chez une couturière de tr
d'exciter l'écorce du cerveau comme un alcaloïde narcotique. Dans l'
observation
que nous venons de résumer, les injections de c
néraux, des déments séniles, des alcooliques. Voici par exemple une
observation
d'urémie suraiguë caractérisée par une contusio
lit leurs travaux dans le texte,'et quand, surtout, on étudie leurs
observations
dans la langue où elles ont été rédigées.' Dans
re qu'il ne faille une certaine attention pour se rendre compte des
observations
, car dans le même pays les auteurs sont souvent
fort probable que grâce à l'esprit de discipline des Allemands les
observations
seront désormais classées sous les rubriques su
es, notamment aussi dans le traitement de l'épilepsie. Pourtant les
observations
publiées jusqu'ici de la trépanation pour épile
e sont encore si peu nombreuses que le cas suivant m'a paru digne d'
observation
. Je tiens à remercier ici le distingué chirurgi
ant du centre qui était le siège de l'irritation. Il y a dans cette
observation
, 298 RECUEIL DE FAITS. outre le côté thérapeu
d'e7eeyac/i'soMtetM ? e, et l'attaque d'épilepsie classique. Les
observations
ne nont pas rares où les attaques d'un malade c
atée lorsque la malade commençait à s'éveiller de la narcose. Cette
observation
me semble offrir de l'intérêt pour l'étude des
ocalisations corticales et de la patho- génie de l'épilepsie. - L'
observation
qui précède est très intéressante à différents
s noté cette généralisation à diverses reprises, notamment L dans l'
observation
de Laulai... REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
ile spinale ; par E. SIE11ERLING. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 1.)
Observation
I. Enfant de deux ans et demi. Rougeole à neuf
ltéré. Lésion des racines anté- rieures et postérieures. Figures.
Observation
II. Garçon de huit mois. Au commencement de déc
e saillie sur le clivus constituant un plan incliné très allongé (2
observations
) ; les ostéophytes de ce plan osseux (24 femmes
lus antérieure du lobe frontal à la convexité. P. KERAVAL. XXVII.
Observation
DE totale destruction traumatique DU SEG- ment
PEXUEIM et t IL-(I. LIOPPE. (Archiv f. Psychiat., XXV, 3.) ' Deux
observations
ayant ceci de particulier qu'il s'agissait d'une
. Malgré cela, il n'y avait pas de lésion des faisceaux pyramidaux (
observation
I) tandis que les cordons postérieurs présentaien
ervation I) tandis que les cordons postérieurs présentaient (dans l'
observation
II) les mêmes lésions diffuses et indéterminées.
écutive A UNE OVARO-SALPINGECTOMOE; par le Dr REGIS. Intéressante
observation
d'une femme prédisposée chez qui l'abla- tion d
du 2 juin 1894. Présidence DE M. HITZIG. M. Hoffmann communique une
observation
de aae2ta·oanosite ii2ltl-' tiple. Il s'agit d'
niennes qui ont nécessité l'intervention opératoire. La première
observation
a trait à un homme de trente-deux ans qui après a
e l'hyperostose, il' est impossible ' " de se prononcer. La seconde
observation
concerne un jeune gar- çon de dix ans qui sept
ou nerveuses chez des arthritiques. z M. SCHULTZE communique une
observation
de dermato-myosite chronique chez un enfant (vo
Séance du 3 juin tô9-t.-PIISIDENCE DE M. Struempell. M. E. HHCKER.
Observation
d'empoisonnement par le ti,iot2al. L'empoisonne
exactement dans les discours que l'on tient en rêve. Les quelques
observations
a peu près complètes que l'on arecue;l- lies ju
ils De la puberté dans l'hémiplégie spasmodique infantile (notes et
observations
). Prix : z fr. 50. Pour nos abonnés, 1 fr. 75.
èse de Bellouard -. Mais dans sa thèse de 1882 M. Féré4 discuta les
observations
qui avaient été présentées comme des cas d'hémi
ns l'hystérie, sans insister toutefois suffisamment sur ses propres
observations
, mais il déclare ces phénomènes très rares. Dan
onfirmer ou détruire notre supposition '. .. t, Quoi quilen soit, 1
observation
reste intéressante en elle- J' ite i l'O i 11,
s de la jambe pendant sa vie, dans des crises épilep- tiques. Cette
observation
témoigne'encore plus que les précé- dentes de l
,9l-lglLlà sieil ob £ ^Mais il est difficilè de conclured âprès une
observation
isolée ? l t ? 1 .n i ,r ? r< n ? t,r nt l'T
olonger assez longtemps comme dans celui que nous rapportons ici.
Observation
. Vaud... dix-neuf ans, épilepsie. Antécédents h
piques inflammatoires de ces mêmes cellules. Voici d'ailleurs trois
observations
dont nous rapportons quelques passages relatifs
ndant l'intonation y est encore; c'est ce que nous avons dit dans l'
observation
de Vaud... Plus tard tous ces phénomènes s'accu
ni sucre, ni albumine. Mort dans la nuit du 3 au 4 mars. ' Cette
observation
, qui peut bien être rangée au nombre des cas d'
a vérité que le problème n'est pas toujours facile à résoudre ; l'
observation
ci-dessous, intéressante à plus d'un titre, en se
rentrée de l'enfant à l'école. Les deux points importants de cette
observation
sont : 1° l'influence du traitement électrostat
e dans le système nerveux central ; 2° Voici maintenant en quoi l'
observation
est intéressante au point de vue étiologique :
ent nerveux. C'est du moins ce que me semble démontrer cette courte
observation
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLV. Plaie pén
XLVI.MONOPLÉGIE hystérique du grand dentelé; par le Dl VERHOOGEN.
Observation
intéressante de paralysie du grand dentelé gauche
e manière bien tranchée. Ainsi qu'en témoignent un certain nombre d'
observations
rangées, les unes dans la catégorie des chorées
complexe : on pourrait l'appeler syndrome athétoso-ehoréique. , L'
observation
, publiée par les auteurs, est un nouvel exemple
ie.- , ' L. Névrite MULTiPLE chez l'enfant; par nZ.ICEE1. C'est l'
observation
d'un enfant de six ans convalescent de rou- geo
. Zeitschr. f. Psychiat., L, 3-4.) . Très long mémoire basé sur 107
observations
, la plupart avec autopsies. Analyse de l'ensemb
ntest très tardive ou ne s'installe même jamais avec décision (deux
observations
). 2° L'hétérosexualité. La sensation physique d
nges n'aimant que les jeunes garçons non pourvus encore de barbe.
Observation
d'uranisme véritable. Tenir dans ses bras des i
liénation mentale. M. TnoMSEN. Elude clinique sur l'obsession. Cinq
observations
montrent que ce sont des accidents cliniquement
avec la neurasthénie; ils n'en sont pas fonction. M. Steiner. - L'
observation
du jeune homme de seize ans qui vient d'être lu
).- De la puberté dans l'hémiplégie spasmodique infantile (notes et
observations
). Prix : z fr. 50. Pour nos abonnés, 1 fr. 75.
uvent que l'hé- rédité similaire est le plus souvent indirecte. Les
observations
de MM. Bourneville et Féré plaident dans le mêm
de nos malades, Marthe Soliv..., dont nous avons donné plus haut l'
observation
, est régulièrement prise chaque mois à ce momen
car- diaques, tel encore l'érysipèle comme on peut le voir dans l'
observation
suivante : OBSERVATION. - Barth..., quarante-hu
e l'érysipèle comme on peut le voir dans l'observation suivante :
OBSERVATION
. - Barth..., quarante-huit ans. Épilepsie. DE l
rase des opinions anciennes, qui étaient le résultat d'une saine
observation
, pour ne vouloir chercher partout et toujours que
s en rien de celle préconisée par Vigoureux, en 1886, il donne deux
observations
intéressantes. Il note surtout comme résultat,
rsonnes dont l'alimentation est régulière et substantielle. La même
observation
est applicable au 6hazzg, etc., etc.; . ' 1 A
dérés comme agents thérapeutiques dans LES maladies NERVEUSES, avec
observations
; par GUST SANDBLOM. (The A'ezu-Yorls médical J
ent aux régions inférieures, et les lésions des racines. Première
observation
. Homme de vingt-deux ans, chute d'un toit, vive
passé, porter sur son dos des sacs de 75 kilo- grammes. Deuxième
observation
. Subluxalion antéro-latérale de la qua- trième
tes de M. Bour- neville, et qui ne contient pas moins de vingt-cinq
observations
d'hémiplégie spasmodique infantile, l'auteur fa
e expérimentale ne peut pas être donnée expérimentalement, mais l'
observation
clinique nous donne les plus grandes présomptions
'abandonnait avant de l'avoir atteint. Persévé- rant, persistant, l'
observation
des faits avec leur arrangement et leur enregis
de fureur maniaque calmée en huit jours. Il existe des centaines d'
observations
semblables. Par les additions calmantes de temp
s; il y circule toujours un méde- cin ; c'est là le vrai principe d'
observation
et d'inspection continue. Les locaux sont dispo
tes. tenace de Loyola était, en somme un dégénéré supérieur, dont l'
observation
vient à l'appui de la thèse de Moreau de Tours
intellectuelle. C'est ce qui me parait résulter de toute une série d'
observations
faites sur l'homme sain et sur l'homme malade.
la Turquie officielle, éditée il y a près de deux années, une série d'
observations
haschischéennes auxquelles je vous renverrais, si
uelles je vous renverrais, si je ne voulais vous donner, ici même une
observation
toute personnelle qui, en confirmant celles de mo
1* Lectures et communications diverse* : M. le Dr Hcmhclm : Deux
observations
de thérapeutique suggestive avec applications d
ication* annoncées figurent les suivantes : Bain. — Leconcours de l'
observation
intime et de l'expérimentation en psychologie.
ractère illusoire des faits invoqués à l'appui. En d'autres termes, l'
observation
qui a servi du fondement aux vastes déductions an
ce que. vu la rareté de ces anomalies, l'auteur n'a pas pu disposer d'
observations
personnelles. Aussi, et l'auteur est le premier
s, soit dan» la prison. L'auteur, se basant sur une série de septante
observations
rapportées dans son livre, conclut à la possibili
des manifestation» de lésion» anatomiques. Cependant, Il résulte des
observation
» du Dr von Schrenck Notzing que les causes occasi
pour en venir à exposer la psychothérapie qu'il fait suivre de vingt
observations
, dont neuf sont personnelles à l'auteur, tandis q
Sequard. Il fait suivre, comme dans la partie précédente, une série d'
observation
» de cas traités par la méthode suggestive, dont d
s améliorations et cinq échecs sur un nombre de dix-huit malades. Six
observation
» «ont personnelles k l'auteur, les autres lui son
enir au traitement psychique et suggestif. Un nombre de trente-deux
observations
recueillies dans sa propre pratique et dans celle
1891. Dans ce livre, l'auteur démontre les sources d'erreurs dans l'
observation
de malades hystériques, de la part d'un expérimen
ont été abordées. Parmi elles, nous citerons celles qui ont trait à l'
observation
des hallucinations dites télépathiques et des phé
supériorité incontestable sur tous les autres procédés. Les quelques
observations
que nous allons donner à l'appui de celte opinion
ertains cas que l'habitude et l'expérience permettent de discerner.
Observation
i. — Tremblement hystérique simulant la paralysie
ypnotisation pour confirmer la guérison, et, après un certain temps d'
observation
, il sort de l'hôpital no regrettant qu'une chose,
t vingt ans d'une infirmité qui pouvait être guérie en trois jours.
Observation
ii. — Hyperesthesie de tout le côté gauche, datan
es en même temps et ont toujours persisté. Pendant que l'on prend l'
observation
détaillée de la malade, on remarque, pendant l'ex
ent et sort quand on a pu constater que sa guérison est définitive.
Observation
iii. — Paraplégie hystérique guérie en une seule
l'hôpital; sa guérison s'est maintenue compléte et est définitive.
Observation
IV. — Hysterie, névralgie sciatique et parésie du
sa vue fut suffisante pour lui permettre de lire et de travailler.
Observation
v. — Hémichorée hystérique. La femme C... âgée
bout de huit jours, on put considérer la guérison comme définitive.
Observation
VI. — Hystérie, alcoolisme, aliénation mentale. A
tion par l'emploi de l'hypnotisme au moyen du miroir rotatif. Cette
observation
a trait à une femme D..., âgée de vingt-neuf ans,
cause qui l'avait empêchée d'être endormie par une autre personne.
Observation
VII. — Surdi-mutité hystérique avec paraplégie. G
si profondément altérée. Nous n'entrerons pas dans plus de détails, l'
observation
complète devant faire l'objet d'un travail spécia
rdi-mutité avait été guérie radicalement en une seule séance. Cette
observation
est intéressante, parce que, si les cas de mutism
mutisme hys-térique sont assez fréquents, nous ne connaissons guère d'
observations
dans lesquelles il ail été, comme dans ces cas, a
dus presque inaccessibles par la suppression du sens de l'ouïe. Ces
observations
, qui portent sur des sujets assez variés, montren
certaines formes de paralysie générale, on peut espérer, d'après les
observations
de M. Luys, que l'on pourra en partie réparer les
s les attributions du Congrès de Psychologie experimentale. C'est une
observation
recueillie sur une femme atteinte de monosanie im
nt avec M. le professeur Liégeois, chez la mono-mane dont il relate l'
observation
, l'on entreprend leur cure dans une période de te
ie continue pendant la vie de la malade, pourrait-on dire encore. L'
observation
la plus nette et la plus remarquable de cette mal
ibilité des différents organes des sens. — Aussi ai-je eu recours à l'
observation
clinique. Dans les affections do système nerveux
bleau que août faisons suivre [voir pages 94 et 95), un abrégé de tes
observations
. Il fait précéder la partie essentielle de son
grand mérite de MM- Liébeault et Bernheim. Suivent les vingt-quatre
observations
que nous ne suivrons pas en détail. Le Dr Brunn
rs autres, peuvent être améliorées par influence psychique seule. Les
observations
complètes de Liébeault, Bernheim, Bérillon, Lloyd
d et notre expérience personnelle, ne permettent pas le doute. Déjà l'
observation
de Delboeuf concernant l'amélioration notable d'u
nté. C'est dire que toute thérapeutique qui ne serait pas basée sur l'
observation
rigoureuse de l'état mental du malade, sera vouée
ose, pour arriver â la guérison des morphinomanes. A cet égard, les
observations
publiées par MM. Burkhard, Wet-terstrand (1), Aug
tenir. C'est pourquoi nous publions le résumé de quelques-unes de nos
observations
, qui nous semblent comporter un certain nombre d'
blent comporter un certain nombre d'enseignements utiles à retenir.
Observation
I. La première malade que nous avons eu l'occas
crainte, par moi suggérée, d'abréger les limites de son existence.
Observation
ii. La seconde malade que nous avons eu l'occas
tt rapide de la malade. Dix- huit mois après, la guérison persiste.
Observation
iii. Mme B..., âgée de trente-trois ans, mère d
le avait recouvré son appétit et une excellente apparence générale.
Observation
IV. Le 1er mars 1892, Pauline L..., âgé de ving
tait bien réellement guérie et qu'elle ne prenait plus de morphine.
Observation
V. Mme 0..., âgée de vingt-six ans, dans le cou
Tenue demander de temps en temps le secours de la suggestion. Celte
observation
est remarquable par la rapidité avec laquelle la
éceptes si justement formulés par le Dr Jennings. Dans trois autres
observations
, le traitement par la suggestion a été employé co
en un mot à en faire l'agent le plus actif de la guérison. De notre
observation
personnelle, nous croyons pouvoir déduire les con
t, chez d'autre», des caractères frappants de simulation hystérique d'
observation
que nous allons rapporter est remarquable, par sa
es hépatiques, absolument avéré, qui forme seul le premier terme de 1
observation
, et qui se trouve, dans le second, imité, d'une m
ersée par sa sœur. Ce jeune homme, qui est le second sujet de notre
observation
, est d'un tempérament faible, atteint de bronchit
de quatre, dans les quinze jours qui suivirent. L'intérêt de cette
observation
porte sur l'imitation parfaite, absolue, de la co
la presse ». (L'Indépendance bretonne, 27 août 1892.) BERNHEIN — «
Observation
de névrose traumatique de la nuque », (Rev. méd.
leurs fondamentales admises par Yung ? Si donc l'expérimentation et l'
observation
démontraient qu'au début et à la fin de la phase
tion de l'état mental exige souvent des examens répétés et une longue
observation
, nous devons faire quelques réserves. Il résult
r être affiramatifs à ce point, d'autres documents ci une plus longue
observation
du sujet. Quoi qu'il en soit, Angélina a pu for
du lundi 19 décembre, sont invités a se faire inscrire à l'avance.
Observation
de chorée guérie par la thérapeutique suggestiv
ement, font justice de toute autre objection. Du reste, la présente
observation
ne fait que confirmer ce que d'autres observateur
violente émotion morale. Pour s'en convaincre, il suffit de lire les
observations
des différents auteurs, et si l'émotion morale, c
lié, dans la Normandie médicale, page 333, 1892, la très intéressante
observation
d'une enfant de douze ans. guérie d'une chorée gr
nous bornons à ajouter une simple réflexion. Ne resulte-t-il pas de l'
observation
elle-même que l'enfant a subi un commencement d'h
mmeil chloroformique. La Normandie médicale a publié également deux
observations
de M. Gibert (du Havre} sur la suggestion dans le
uvenir du pas-'é, comme s'il n avait jamais existé. Dans sa seconde
observation
. M. Gibert rapporte l'histoire d'une jeune fille
mplètement guérie, pouvait faire plusieurs kilomètres à pied. Celle
observation
prouve encore une fois qu'on peut utiliser le som
ls à l'autre, d'expérimentateurs également précis et minutieux dans l'
observation
de toutes les règles de l'art. Du moment qu'on
courant fut intercepté quelque part. Je relève comme résultats des
observations
du Dr Delprat : 1° Qu'il n'y eut pas de différe
dessous, d'après le Dr Baelz. de l'Université impériale du Japon, une
observation
typique de kitsùne-tsüki. « Je fus appelé, dit
s capables de servir à éclairer la question, à la lumière des faits d'
observation
ou d'expérience. L'auteur s'est proposé de déte
état d'hypnotisme. Rappelons le malade du professeur Charcot, dont l'
observation
a été publiée par M. Bernard qui, frappé de cécit
'entreront pas dans l'exposé détaillé de cette longue et intéressante
observation
qui, ici, ferait hors-d'œuvre. Arrivons tout de s
pour rapporter les faits suivants. Voici le résumé très bref des deux
observations
qui Tonnent le fond de ma thèse. Il s'agit de d
scoliose, peut-être plus accentués : on recommença les douches et les
observations
sur un ton impérieux ; huit jours après, elle sor
eau : d'après ce début brusque et ces symptômes analogues à ceux de l'
observation
précédente, on porte le diagnostic de scoliose hy
ndres circonstances favorables pour lui faire accepter ses idées. L'
observation
suivante est instructive dans ce sens qu'elle nou
un besoin de notre temps, « à la direction tout expérimentale et d'
observation
de la psychologie moderne. « Le Musée psychologiq
ais, si nous délimitons plus strictement et plus nettement le champ d'
observation
, nous pouvons nous occuper seulement des objets q
ntairement ou de bonne foi les perceptions sensorielles d'un œil. L'
observation
suivante achèvera, je l'espère, de compléter cett
e répète l'expérience, elle ne réussit plus. Le sujet, instruit par l'
observation
que j'avais faite, neutralise de nouveau le sens
tion entre les deux variétés d'amblyopie. Vais-je conclure de cette
observation
et des observations analogues, que l'hémianesthés
variétés d'amblyopie. Vais-je conclure de cette observation et des
observations
analogues, que l'hémianesthésie sensitivo-sensori
dans la mor-phimanie, M. Bérillon rapportait récemment (1) plusieurs
observations
de guérîson de morphimanie. Il nous a semblé que
ieurs observations de guérîson de morphimanie. Il nous a semblé que l'
observation
suivante méritait d'être rapprochée de celles de
iété d'Hypnologie(l), où nous avons eu l'honneur de communiquer cette
observation
, insista sur l'intérêt que présentait la porto du
pas être toujours aussi facile à obtenir que pour notre malade. Cette
observation
nous a paru toutefois instructive et digne d'être
x, jetaient dans un émoi facile à comprendre. Quelle mine féconde d'
observations
curieuses pour un philosophe, pour un neuropathol
ue que nous revivons des âges à jamais écoulés, qu'un sourire, qu'une
observation
rendrait cette foule furieuse, qu'un sérait lapid
pas sans intérêt de remarquer que l'animal qui fait l'objet de cette
observation
avait une aptitude très marquée à l'imitation du
cran translucide, on prend l'ordonnée correspondant sur la courbe des
observations
au temps indiqué par le chronomètre et marqué sur
ités de teintes qui se produisent avant 1,400 secondes, la courbe des
observations
est immédiatement utilisable ; pour les éclaireme
ymptatique qui reproduise la plus fidèlement possible les dernières
observations
, et, en conséquence, offre toutes les garanties d
ptent pas dans les autres », se trouve complètement confirmée par mes
observations
. Je veux ici, incidemment remarquer, que la déf
Ladame, Ringier, Lloyd-Tuckoy, NeiLson et beaucoup d'autres. Les deux
observations
suivantes viennent confirmer leurs conclusions :
ervations suivantes viennent confirmer leurs conclusions : Première
observation
. — B. B.. , soixante ans, issu d'une famille sain
Malheureusement l'amélioration dura seulement trois mois. Deuxième
observation
. — Il s'agit aussi d'un cas de diplomanie périodi
tait guéri. Depuis un an et demi, il n'a plus eu d'accès. Troisième
observation
. — Un garçon de douze ans, faible. Issu d'uno fam
j'ai traité avec succès par la suggestion prœ-hypnotique. Quatrième
observation
. — G. L.... trente-cinq ans, capitaine de cavaler
M le Dr Ant. MAVROUKAKIS Messieurs, Avant de vous communiquer mes
observations
, je suis heureux de profiter de l'occasion qui m'
ent nos lecteurs : N° 1. Prix médecine. — Rapporter au moins quatre
observations
inédites, bien circonstanciées : (étiologie, symp
le BOURIOT. REVUE DE L'HYPNOTISME EXPERIMENTAL ET THERAPEUTIQUE
OBSERVATION
D'UN HYSTÉRIQUE CINQ TENTATIVES DE SUICIDE. — U
médecin principal de la A l'École de Médecine navale de Brest- L'
observation
suivante pourrait, a l'exemple de M. le professeu
ppant désormais h notre contrôle. Il est cependant probable que cette
observation
aura une suite; de nouveaux incidents d'ordre méd
sible qui rejettera ce malheureux en plein roman ou en plein drame.
Observation
. — E .. Lucien, soldat d'infanterie de marine, en
hystérique, plusieurs mois avant de commettre son mensonge. Ces deux
observations
m'ont paru intéressantes à publier, soit au point
au point de vue de la valeur du témoignage des enfants en justice.
Observation
I. E. C,.., âgée de dis ans, est amenée parsa m
s'agit pas de phénomènes d'ordre hystérique, et la ma ade est mise en
observation
. Le 5 mai, l'enfant est eu très bon état. L'e
i. Certains faits nous paraissent intéressants à relever dans cette
observation
; d'abord elle nous présente un cas assez intéres
l'enfant. Dufestel (2). qui rapporte dans sa thèse soixante-dix-neuf
observations
de maladies simulées chez les enfants, ne cite qu
uéris pour le moment. (1) Bulletin médical, (2) Lot. cit., p. 87.
Observation
48. (3)Journal de médecine et chirurgie pratiqu
(4) Voir notamment Burnet thèse, Paris, 1891), qui cite vingt-et-une
observations
, prises dans le service d'Ollivier. d'enfant hyst
Loc. cit. mais cachant sa maladie au lieu de )a simuler; en voici l'
observation
résumée : OBSERVATION II Élicane C... âgé d
a maladie au lieu de )a simuler; en voici l'observation résumée :
OBSERVATION
II Élicane C... âgé de dix ans. Tient à !a cons
chacun de ces livres sont relatés des faits qui, par leur caractère d'
observation
psychologique, rentrent dans le cadre d'études de
telles que Charcot les décrit, c'est que nous n'avons pas pu par nos
observations
en confirmer l'existence. Voici ce que nous obser
als transitoires qui existent entre cette névrose et l'état normal.
Observation
1. — Jeanne U... possède encore son père et sa mè
elant l'hypnotitation, je n'ai jamais pu obtenir d'autre phénomène.
Observation
II. — Jean S..., âgé de vingt-et-un ans, exerçant
et se réveille ; la sensibilité est conservée pendant le som -meil.
Observation
III. — Mme— M ... âgée de cinquante ans, est atte
pières et se réveillait : jamais on obtint un sommeil plus profond.
Observation
IV. — Anna M..., Agée de ans. est entrée en sep-
état ne se manifeste, même en répétant fréquemment l'hypnoiisation.
Observation
V. — Celestino B ... âgée de seixe ans, se trouva
d'inutiles effort* : malgré cela la malade était suggestion nable.
Observation
VI — Eudoxie m..., âgée de vingt-quatre ans, exer
meil plus profond; après son réveil Eudoxie ne se souvient de rien.
Observation
VIL — Julie M..., âgée de vingt-trois ans, exerça
tat somnambulolde les yeux ouverts que nous a présenté la malade de l'
observation
VI. Il a été impossible d'obtenir un état de somm
VI. Il a été impossible d'obtenir un état de sommeil plus profond.
Observation
VIII. — Mme B... est Agée do cinquante an». Son p
pu déterminer d'autre état que ces deux variétés de somnambulisme.
Observation
IX. — Marie P..., âgée de vingt-cinq ans, exerçan
n autre état hypnotique. Fig. 13. — Champs visuels de Louise T...
Observation
X — Louise T..., âgée de vingt ans, exerçant la p
répétant l'hypnotisation, nous n'avons pn amener aucun autre état.
Observation
XI. — Adrienne C....agée de vingt ans, est entrée
il plus profond. Noos pourrions multiplier a l'infini le nombre des
observations
dans lesquelles le sommeil hypnotique ne se manif
n somnambulisme plus ou moins caractérisé. Si l'on examine les onze
observations
que nous venons de rapporter, on voit combien les
es états hypnotiques dérivant du somnambulisme sont variables. Dans l'
observation
1. Jeanne U... ne présente qu'un engourdissement
lant ce que Pitres appelle la fascination et le charme; Jean S-, de l'
observation
II. et Mme M ... de l'observation III. se trouven
ination et le charme; Jean S-, de l'observation II. et Mme M ... de l'
observation
III. se trouvent dans un état un peu plus profond
s ils peuvent les ouvrir spontanément et se réveiller; Anna M ...de l'
observation
IV, et Célestine B.... de l"observation V. sont d
se réveiller; Anna M ...de l'observation IV, et Célestine B.... de l"
observation
V. sont dans le même état que les malades précéde
lles ne peuvent ouvrir les yeux si on les en défie Eudoxie M.... de l'
observation
VI. et Julie M..., de l'observation VII. présente
n les en défie Eudoxie M.... de l'observation VI. et Julie M..., de l'
observation
VII. présentent encore un état somnambuloïde avec
ransforme en état somnambuloïde les yeux ouverts. Enfin Mme B...,de l'
observation
VIII.Marie P....de l'observation IX. Louise T....
es yeux ouverts. Enfin Mme B...,de l'observation VIII.Marie P....de l'
observation
IX. Louise T.... de l'observation X, et Adrienne
l'observation VIII.Marie P....de l'observation IX. Louise T.... de l'
observation
X, et Adrienne C ... de l'observation XI, manifes
servation IX. Louise T.... de l'observation X, et Adrienne C ... de l'
observation
XI, manifestent le somnambulisme véritable, tel q
oïdes sont ceux que nous ont présentés les malades des sept premières
observations
; ils sont caractérisés par la conservation de la
itôt que les moyens hypnogènes sont suspendus, les yeux sont ouverts (
observation
I). 2° Engourdissement plus profond, sans perte
sont fermés; si on défie le sujet d'ouvrir les yeux, il se réveille (
observations
II et III). 3° Sommeil véritable, sans perte de
és: si on défie le sujet d'ouvrir les yeux, il fait de vains efforts (
observations
IV et V). 4° Sommeil véritable, sans perte de c
ïde les yeux fermés, se transforme en état analogue les yeux ouverts (
observations
VI et VII). Dans tous ces états somnambuloïdes
e il agit automatiquement, sans contrôle. Comme on le voit dans les
observations
VIII, IX. X. et XI. il y a deux variétés d'états
amais pu obtenir d'autre état que celui que nous venons de décrire.
Observation
XIII. — Collette EL.., âgée do vingt-trois ans, e
g- 24. — Expression de Collette H... lorsqu'on lui Joint les nains.
Observation
XIV. — Alice V..., âgée de seize ans, est entrée
ts chaque fois que la malade a été endormie. En résumé donc, dans l'
observation
XII, nous avons obtena d'abord l'état somnambuliq
lité et aadition des ordres et des suggestions. Collette H..., de l'
observation
XIII, présente également les deux états somnambul
existe plus entre la malade et le monde extérieur. Alice V..., de l'
observation
XIV, brûle les phases somnambulique et cataleptiq
ques suivies de sommeil comateux plus ou moins profond. D'après ces
observations
, on voit qu'outre les états bien définis de catal
, avec Luys, l'envisager comme le premier ? Dans nos onze premières
observations
, nous avons eu des sujets de plusieurs catégories
ivement les états somnambuliques puis cataleptiques : les malades des
observations
XII et XIII étant en somnambulisme, pour obtenir
t de la présente année, j'ai communiqué à la Société d'Hypnologie une
observation
de chorée chronique chez une jeune fille de tre
plet et durable par la suggestion hypnotique. A l'occasion de cette
observation
, qui a été publiée in extenso dans la Revue de l'
cœur, sans souffle organique au moment de mon examen. Dans plusieurs
observations
, on notait des troubles nerveux chez les ascendan
x chez les ascendants. L'éliologie rhumatismale, dans cette série d'
observations
, était donc exceptionnelle. Je sais bien qu'on po
, en voyant que Claude Bernard avait pris en grande considération les
observations
du clinicien. Le sage doit être content de son so
nelles. Fig. 28. — Zones hypnogènes de Anna M.. Dans les quatorze
observations
que nous avons rapportées au chapitre I, nous avo
ucune zone qui, comprimée, amenait le sommeil; mais dans la quatrième
observation
, chez Anna M..., nous avons pu déterminer de no
les résultats obtenus. La solution du problème posé doit ressortir d'
observations
accidentelles, réalisées dans des circonstances i
'endormir sans qu'il le veuille ? Oui, et en voici la preuve : Dans l'
observation
de Joséphine, nous avons dit que l'on pouvait pro
estion, voyons les phénomènes qu'ont présentés les personnes dont les
observations
précèdent. Jeanne U..., qui a présenté le premi
icielle. 1° Pseudo-extériorisation spontanée. — Collette H.... de l'
observation
XIII, a présenté, ainsi que nous l'avons dit, tro
ificielle, absolument semblable à la précédente. Joséphine D.... de l'
observation
XII, présente trois états distincts : état somnam
'un véritable éiat d'hypnotisme. Nous allons voir combien diffère l'
observation
suivante que nous devons à l'obligeance de M. le
sible de laisser passer inaperçue. Dans le récit de cette partie de l'
observation
il n*a été nullement question de ces phénomènes d
on sommeil les caractères de l'hypnotisme vrai. Pour terminer cette
observation
, ajoutons que. la nuit suivante, la malade simula
peu de temps, la parésie du membre inférieur disparut aussi. Celte
observation
nous prouve encore que l'hypnotisme peut servir,
ificiel dans les manifesta-lions de la névrose qu'ils offrent à notre
observation
, et a déjouer la simulation. Nous sommes loin,
uggestion, Par M. le Dr Antoine MAVROUKAKIS. Parmi les nombreuses
observations
que j'ai recueillies a la clinique de mon maître,
PUJADE. J'ai l'houneur de communiquer à la Société d'Hypnologie une
observation
du Dr Pujade. maire d'Amelie-les-Bains (Pyrénées-
gereux pour la sécurité publique, je le fis conduire à Perpignan pour
observation
, et de la a l'asile d'aliénés de Linnona, où il e
, tout en respectant les anciens, il veut qu'on accorde davantage à l'
observation
et l'expérimentation; il devient un véritable che
au traitement de l'), 256. Hystérique, traitement psychothérapique (
observation
d'un), par Brémaud. 289. Images motrices graphi
morphinomanie (le), par Bérilton, 129. Traitement psychothérapique.
Observation
d'un hystérique, par Brémaud, 289. Tremblemen
if de l'adulte, dysth- roïdie et dysorchidie, M. Gandy a relaté les
observations
fort intéressantes de deux malades atteints d'u
franc. D'après l'étude de ses malades et l'examen de quelqus rares
observations
analogues, M. Gandy suppose que la cause de cet é
on attribuer l'infanti- corps thyroïde et des organes génitaux. Son
observation
vient donc à l'appui de l'in- terprétation de M
à évolution subaiguë, dont elle meurt en avril 1905. Voici, de l'
observation
de cette malade, ce qui nous intéresse actuelleme
lisme n'est pas réversif ; d'autre part, s'il est vrai que dans ces
observations
il y a une apparence de retour vers l'état infant
er, lorsqu'il s'agit de myxoedème congénital (comme dans toutes les
observations
évoquées par 16 . BRISSAUD Santé de Sanctis),
dans le cours de la paralysie générale. En voici deux exemples :
Observation
1 B..., 38 ans. Syphilis; tabes antérieur, puis
itation avec idées de satisfaction et de richesses. Voilà donc une.
observation
de paralysie générale au cours de laquelle on v
e même dans le cas suivant, en raison de l'existence, au début de l'
observation
, de l'état catatonique et de l'impossibilité qui
, le diagnostic définitif dut rester un certain temps en suspens.
Observation
II M.. Georges, 35 ans, tapissier, entre à l'ho
on attention, ni pratiquer même un examen physique. Il est placé en
observation
. Les jours suivants, l'inertie reste la même ;
n'a présenté aucun autre épisode rappelant celui de l'entrée. Des
observations
de ce genre, on peut tout naturellement rapproche
qu'ils ont présentés. En voici encore deux autres exemples : '
Observation
III M... Julien, employé, 41 ans à l'entrée, le
plus, succombe dans le marasme paralyti- que le 21 juillet 1906.
Observation
IV B..., 40 ans, présentait depuis quelques moi
plus rares que les précédents dans la paralysie générale ; aussi l'
observation
suivante n'en est-elle que plus curieuse à cet
bservation suivante n'en est-elle que plus curieuse à cet égard :
Observation
V (PI. If) G... Cyprien, 28 ans, ébarbeur, entr
tremblement de la langue. Voici maintenant, pour terminer, quelques
observations
de paralytiques généraux chez lesquels on renco
son mémoire sur les stérétoypies (Arch. Neur., 1901, n°72). , Les
observations
suivantes en sont de nouveaux exemples : Observ
°72). , Les observations suivantes en sont de nouveaux exemples :
Observation
VI V... Paul, employé de commerce, 34 ans, entr
terrompt ce geste que pour se malaxer le cou avec la main droite.
Observation
VII D... Ferdinand, 53 ans, maître de lavoir, e
persisté jusqu'à la mort survenue dans un ictus le 16 avril 1906.
Observation
VIII L... Louis, voyageur de commerce, 40 ans,
ment en se frappant vio- lemment la poitrine avec le poing droit.
Observation
IX R... Joseph, 31 ans, entré le 24 mars 1905.
etait violemment un objet à terre à peu de distance devant lui. -
Observation
X M... Edouard, négociant en vins, 45 ans, entr
illiards, 999 millions pour M. 500 ion., 500 c., 500 q. pour M... »
Observation
XI (PI. I) S... Georges, 44 ans, chapelier, ent
tribu- tion à cette étude difficile que nous publions aujourd'hui l'
observation
d'une malade que nous avons pu suivre pendant p
e nous a paru présenter plusieurs particularités intéressantes. »
Observation
(1). , Bad... (Reine), âgée de 28 ans, mécanici
médicale des hôpi- taux, par M. Gasne, dont nous reproduisons ici l'
observation
. 30 RAYMOND ET BABONNEIX alitée pendant deux
ettrons donc que,de par l'anatomie comme- de par la clinique, notre
observation
mérite d'être considérée comme un cas un peu at
n étudier la physiologie pathologique. Considérée de cette façon, l'
observation
suivante peut avoir, croyons- nous, quelque int
uivante peut avoir, croyons- nous, quelque intérêt documentaire :
Observation
clinique. D... Pernette, née en 1836. Antécéd
l de Genève où on l'électrisa mais sans résultat appréciable. Pas d'
observation
prise à ce moment. Depuis lors la malade a aban
ciculaire est en partie transformé en tissu réticulé. Résumé de L'
OBSERVATION
clinique. - Pas d'antécédents héréditaires. Dés
ssi complet que possible. Il eût été intéressant par exemple dans l'
observation
qui fait l'objet de ., ce travail de rechercher
évidente avec les lésions décrites par Gombault et Mallet dans leur
observation
intitulée : « Un cas de tabes ayant débuté dans
anssonouvragesur «L'atrophie musculaire progressive »(3) donne deux
observations
anatomo-cliniques importantes pour le sujet qui
ions anatomo-cliniques importantes pour le sujet qui nous occupe. L'
observation
I (atrophie musculaire progressive de la main d
ue interstitielle et d'une névrite chronique interstitielle. Dans l'
observation
II (atrophie musculaire progressive des membres
l'existence d'une névrite interstitielle chronique. On sait que ces
observations
anatomo-cliniques de Virchow et Friedreich ont
iées en 1890 (2) et dont deux comprennent un examen histologique. L'
observation
I de ce travail est une atrophie qui atteignit
re des gaines vides est considérable. La moelle est normale. Dans l'
observation
II de Dubreuilh où l'atrophie' musculaire progr
e chez des sujets jeunes, ainsi qu'il le prouvait dans une nouvelle
observation
clinique (2). Des lésions des nerfs périphériqu
ntrer l'origine spinale de celle forme clinique. Inversement, des
observations
comparables à celles de Marinesco et de Sainton
s a évolué vers une conception générale plus satisfaisante et cette
observation
ne vient après beaucoup d'autres que montrer une
e sclérose conjonctive avec épaississement de ces troncs nerveux. L'
observation
I de Friedreich (atro- phie d'un membre supérie
étaient altérées, les antérieures plus que les postérieures. Dans l'
observation
II (atrophie des membres supé- rieurs et inféri
ais il n'y a pas de manchons fihreux autour des fibres nerveuses. L'
observation
de Marinesco qui se rapporte à un cas authentiq
e dissem- blances globales ou régionales. Si on considère ensuite l'
observation
de Gombault et Mallet et les deux observations
n considère ensuite l'observation de Gombault et Mallet et les deux
observations
étudiées dans la même famille par Dejerine avec
iter à l'examen des appa- reils nerveux et musculaires. Quant à l'
observation
que nous publions ici, elle peut, la chose est ce
r les auteurs que nous avons cités. En résumé, en. adaptant à cette
observation
ce que l'on sait aujourd'hui de l'anatomie path
s qu'il est d'un certain intérêt de donner ici, en même temps que l'
observation
clinique de notre cas, le résumé de celles des
lades présentés par M. Pierre Marie. De la comparaison de ces trois
observations
on verra que si quelques diversités existent en
des, ainsi que l'époque de début et l'évolution de l'affection. 1
Observation
I. - Il s'agit dans ce premier cas d'un nommé Ch
labes se précipitent les unes sur les autres. Intelligence intacte.
Observation
II (novembre 1906). -mal ? fondeur en étain, âgéd
ement conservé). La parole accroche un peu. Intelligence intacte.
Observation
III (décembre 1903). Mans..., cordonnier, âgé de
èrement spasmodique et zézayante. Les notes ultérieures jointes à l'
observation
montrent que l'affection avait progressé. Le ma
urrait avoir cette donnée anamnésique,car il s'agit ici du cas de l'
observation
III qui est l'objet de l'étude anatomique que,
artie de l'état de la couche des cellules de Purkinje ? Si quelques
observations
dans la littérature des atrophies du cervelet, mê
intossicazione enterogena » de Murri (2), publié en 1900. Dans son
observation
Thomas a pu constater dans beaucoup de lamel- l
al dans la démarche est consigné plus ou moins ouvertement dans des
observations
d'atrophie du cervelet sans qu'il y ait l'existen
nous manque donc même cette donnée anamnésique qui existait dans l'
observation
déjà citée d'atrophie lamellaire des cellules d
llaire des cellules de Purkinje de Thomas. Un fait particulier de l'
observation
de notre malade mérite cependant d'être signalé
ocessus déformant de la maladie de Paget à la sy- philis acquise.
Observation
(PI. X). Mme Vve V...., âgée de 55 ans, brodeus
répondant aux nodosités perçues à la palpation. Pour résumer cette
observation
, nous nous trouvons en présence d'une malade of
ont beaucoup plus rares. La littérature nous,en fournit cependant 4
observations
. La première est citée dans le mémoire même de
ous pensons que le cas de notre malade peut venir s'ajouter à ces 4
observations
: il s'agit donc chez elle d'un processus ostéo-
AVEC POLYSARCIE EXCESSIVE 93 C'est à ces données que se borne notre
observation
. Nous retiendrons les points suivants : 1° La
excessive. Tels sont les points importants qui se dégagent de cette
observation
. Discutons maintenant un peu la pathogénie des
s la dépendance de cette même lésion. D'autre part, Cyon a publié l'
observation
d'un enfant de 12 ans, atteint d'un développeme
n prises sur le vif.... Mais ne lui manque-t-il pas, pour faire une
observation
rigoureuse, de savoir discerner l'exception de
commençait le lendemain, au besoin les jours suivants, et, de cette
observation
minu- tieuse, visuelle surtout, - résultait sou
rement nouvelle pour apprécier la somme d'efforts, de recherches, d'
observations
et d'expériences qui y fut dé- pensée. Bien des
l'homme plein de vie. Son procédé est la synthèse ; son moyen est l'
observation
du nu ; son but est de découvrir les causes mul
corps humain. (3). Un livre et une statue furent les fruits de ses
observations
et de ses recherches. L'un et l'autre s'adresse
a figuration des muscles est cepen- dant encore bien imprégnée de l'
observation
du cadavre. En réalité, l'application rationnel
le même sujet, et j'attends avec confiance la publication de cette
observation
typi- que qui démontrera d'une façon irréfutabl
rie. On peut déjà remarquer, et nous les citerons, qu'il existe des
observations
prouvant, que ces deux types cliniques peuvent
u près la même et elles relèvent des mêmes processus anatomiques.
Observation
clinique. Bois..., âgé de 30 ans, entré à l'hospi
limités aux membres inférieurs sont fort rares. Il semble que notre
observation
en soit cependant un exemple. Autant que nous pou
tions théoriques ti- rées de la pathologie générale, appuyées sur l'
observation
clinique et l'étude anatomique,ont amené des te
s à l'intérieur de la moelle. Si nous demandons maintenant si les
observations
et les études ulté- rieures sont venues confirm
t encore réside dans l'allure épidémique qu'elle revêt parfois. Les
observations
d'épidémie de poliomyélite, rela- tivement rare
es deux affections trouvent leur meilleure confirmation et dans les
observations
qui prouvent que ces deux types cliniques peuve
e même individu. A la première catégorie de faits appartiennent les
observations
de Mô- bius,Medin, Pasteur, Buccelli, Hoffmann.
as de Beyer, Parkes Weber, Williams, Neurath, Calabrese, Negro. L'
observation
de Môbitis (1) (1884) a été déjà signalée en 1885
publie une intéressante statistique basée sur une grande quantité d'
observations
, établissant la fré- quence relative de ces aff
atteint son maximum en été et précisément au mois d'août. Dans l'
observation
de Hoffmann (1) (1898) il s'agit de deux frères q
s, avec leurs caractères distinctifs si tran- chés comme dans notre
observations
. Le cas de Beyer (2) est le seul de cette catég
lexes tendineux et de la R. D. dans les muscles de la jambe). Une
observation
particulièrement intéressante est celle publiée e
sculaire, exci- tabilité électrique partout intacte. . Toutes ces
observations
laissent présumer que l'analogie de la paralysie
Leichtenstern, Oppenheim, Friedmann, etc. Il existe avant tout des
observations
anatomo-cliniques prouvant la posai- bilité d'u
cine de Nancy, chargé de la Clinique des maladies des vieillards.
OBSERVATION
1 (1) (PI. XXIX). M. J. C... est un vieillard d
a desquamation qui le recouvre. , Le trophoedème occupe, dans notre
observation
, tout le membre supé- rieur gauche, atteint d'u
x cas de Rapin don t l'un impose une réserve, le cas de Testi, et l'
observation
IV de Vallobra concernant une jeune femme non h
comme une maladie du développement. Ce semble exact dans beaucoup d'
observations
, dans les cas héréditaires et familiaux notamme
sion traumatique ouverte et infectée. Dans certains cas, dans la 4°
observation
de Valobra, par exemple, le trophoedème chroniq
onsultation ex- terne de la clinique du professeur Heydenreich. ,
Observation
II Elle concernait une jeune fille âgée de 24 a
mais si différents comme étiologie et comme pathogénie. Les deux
observations
rapportées ci-dessus se rapportent incontesta-
me centripète dans nos cas de trophoedème acquis, traumatiques. L'
observation
de MM. Sicard et Laignel-Lavastine se rapproche b
Sicard et Laignel-Lavastine se rapproche beaucoup des nôtres : .
Observation
III (1). Une jeune institutrice de 28 ans, sans
oedème, précoce, après quelques jours, comme dans 's notre deuxième
observation
et dans celle de MM. Sicard et Laignel-Lavas- t
tardivement, un an après le traumatisme initial dans notre première
observation
. Puis l'oedème devient envahissant, progressiveme
, TROPHOEDÈME CONGÉNITAL (1) PAR E. LONG ' (de Genève). ' 1 L'
observation
clinique du cas sur lequel nous avons pu faire ce
volume et présentent un oedème semblable. Le Dr Rapin dit dans l'
observation
que cette femme l'avait consulté pour une ulcér
tions intrinsèques ; et nous rappelons que le Dr Rapin dit dans son
observation
clinique que la malade, lingère de profession, ma
ion casuistique à l'étude du trophoedème. Nous commencerons par l'
observation
du cas, que nous ferons suivre par les considér
pourrait le faire aucune description. Ainsi qu'il résulte de cette
observation
, il s'agit d'une jeune fille qui vers l'âge de
trophoedème est souvent familial. C'était le cas pour les premières
observations
de Henry Meige (8 cas échelonnés dans quatre géné
dans la répartition de l'oedème se retrouve encore dans d'au- tres
observations
. Mais d'habitude c'est de bas en haut que se fait
insi que d'une coloration rouge des téguments. ' De même dans une
observation
de Follet, les troubles ont débuté par des doul
cono- graphie de la Salpêtrière, ne 6, p. 496, 1901. 6. Maille. -
Observation
de trophoedème, Nouvelle Iconographie de la Salpê
est une affection relativement rare, cependant un certain nombre d'
observations
publiées depuis les premières descrip- tions qu
so-moteurs et trophiques nous semblent donner quelque intérêt à son
observation
. Observation (Service de M. le docteur Bessière
rophiques nous semblent donner quelque intérêt à son observation.
Observation
(Service de M. le docteur Bessière) (PI. XXXII),
histoire clinique et de l'étude anatomique que nous allons exposer.
Observation
CLINIQUE. Moi...mécanicien, âgé de 57 ans,entre
nons d'étudier est avant tout intéressant pai reté. Si en effet les
observations
cliniques ou anatomo-cliniques ue syn- drome de
e syndrome de Weber au cours d'une syphilis céré- brale. Dans cette
observation
en effet, la paralysie alterne supérieure n'éta
corne sphénoïdale,un deuxième au sommet du lobe occipital). Dans l'
observation
de Blessigs (2) il existait aussi un foyer pédo
ristique de l'oblitération de l'artère cérébrale postérieure. Une
observation
clinique analogue a été rapportée par Joffroy (3)
sement des vaisseaux non oblitérés ». D'Astros, au travail duquel l'
observation
de Blessigs est postérieure, admet aussi la pos
ris en consi- dération. Un premier digne d'être relevé dans notre
observation
est l'absence de troubles de la sensibilité gén
e la sensibi- lité, que quelques phénomènes dysesthésiques ; mais l'
observation
clini- que que nous rapportons n'a été recueill
ette date tous les renseignements que nous trouvons colligés dans l'
observation
, ne reposent que sur le dire du malade lui-même
oignée du début de l'affection. Nous ne retrouvons pas dans notre
observation
de renseignements re- latifs à la réaction hémi
ion nor- male. Le manque de renseignements précis à ce sujet dans l'
observation
clinique est regrettable, car nous trouvons rem
ux, selon Siebemann. Un autre point digne, d'être relevé dans notre
observation
, concerne la paralysie de la IIIe paire. Nous a
o-patboiogiques et sur l'examen de ce cas, dont voici l'histoire.
Observation
. Il s'agit d'un plongeur de 23 ans ; c'était la
t ne s'obtient pas toujours (cas 3, 4 et 5), soitpaf insuffisance d'
observation
, soit parce que réellement le début, quelquefoi
nguait soigneusement les unes des autres, nous pourrions dire que l'
observation
que nous rappor- tons ici est un exemple d'une
peuvent se combiner et se confondre chez un même malade (PI. XLI).
Observation
. Le jeune H... Roger, âgé de 10 ans, vint nous
les données que nous a fournies la radiographie. Voici d'abord l'
observation
de cette enfant : OBSERVATION. - lVlél... (Anto
es la radiographie. Voici d'abord l'observation de cette enfant :
OBSERVATION
. - lVlél... (Antoinette), née le 5 janvier 1891,
de scapulae atatae noté par MM. Villaret et Francoz (1) dans leurs
observations
. Les épaules ne sont pas tombantes ; le fait ti
al est normal ; mais, comme on l'a signalé dans un certain nombre d'
observations
de dysostose, il y a retrait du massif facial.
on des fontanelles. Ce retard est très carac- téristique dans cette
observation
. Notre sujet, âgée de 16 ans, ne présente pas t
cyphose et scoliose, projection du sternum en avant, etc. Quelques
observations
ont signalé la concomitance possible des défor-
ésentait également une dentition. irrégulière et mauvaise. Dans l'
observation
de l'homme de 49 ans, étudiée par Hirtz et Louste
ez le bébé de 21 mois- et la malade observée par Couvelaire, dont l'
observation
est rapportée dans le même mémoire, âgée de 3 a
n plus des anomalies particulières du carpe. Cet auteur apporte les
observations
d'Abbot qui a pu dans 4 générations d'une même
u radius (6). Les particularités que nous avons relevées dans cette
observation
de (1) Kirmisson, Traité des maladies chirurgic
Médecin de l'Asile de Vaucluse. Interne des Asiles de la Seine L'
observation
que nous apportons ici concerne un malade de 44 a
l'ont décrite Ancel et Boin (Presse médicale, 3 janvier 1906). ,
Observation
. B... Charles-Ernest, âgé de 44 ans, est entré
stence de la mydriase hystérique, nous ont engagé à pu- blier cette
observation
. Observation Albert R..., âgé de 34 ans, horl
driase hystérique, nous ont engagé à pu- blier cette observation.
Observation
Albert R..., âgé de 34 ans, horloger, vient a l
se, est absolument nulle, ainsi qu'on peut s'en rendre compte par l'
observation
à la loupe oculaire. Les réflexes à la converge
s permet d'expliquer certains faits, que nous avons signalés dans l'
observation
: la facilité avec laquelle nous avons provoqué
male, ils ont dû invoquer l'excitation du sympathique. Beaucoup d'
observations
de mydriase hystérique sont trop incomplètes ou
principal intérêt de l'étude clinique que nous entreprenons ici. ?
Observation
. ' Le malade F..., âge de 18 ans, exerçait la p
générale. Du reste, j'ai fait des constatations analogues dans une
observation
d'oedème cérébral aigu chez un syphilitique (Dr P
mène excessivement curieux de la déformation pupillaire conjugée.
Observation
XI (PI. LU et LUI). De M. le D1' Weber, médecin
RATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber).
Observation
IX NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T
plus violents, de troubles de la conscience, etc. Il semble que des
observations
du genre de celle-ci doivent être utili- sées a
phalanges. Pour marquer de suite l'intérêt que comporte une telle
observation
, nous dirons que dans ce cas il y avait non seu
vant en arrière. CHAPITRE II A.- Nous donnons ici la relation des
observations
d'hémimélie que nous avons pu recueillir dans l
aie de l'amputation congénitale, nous faisons précéder la série des
observations
d'hémimélie, d'un cas type d'amputation congéni
l'amputation (Horteloup, Fournier, Reclus). III. - J. Mouchotte,
Observation
d'amputation congénitale de l'avant~bras gauche
ur l'extrémité du moignon, on constate une cicatrice déprimée. C.
Observations
d'hémimélie. I. ALBRECHT, De infante trunco sin
oration est douloureuse. Mais c'est le moignon gauche qui offre à l'
observation
les particularités les plus in- téressantes : a
NGE, Contribution à l'étude de l'hémimélie, in thèse Paris, 1878.
Observation
PERSONNELLE Hémimélie thoracique gauche. Sujet
ès de psychose périodique, il est impossible de le définir, car nos
observations
ont été de courte durée et nous avons perdu de
et, élude anatomique, clinique et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159,
Observations
cliniques, atrophie, sclérose. (3) LÉRI, loc. c
» Cependant Andral (5), dans sa Clinique médicale, développe treize
observations
de (1) CATOLA, Etude clinique et anatomo-pathol
sidérations à propos de l'autopsie d'une démente pseudo- bulbaire ;
observation
communiquée à la Société d'anatomie et de physiol
quelque chose relève du cervelet sénile. Si pourtant la lecture des
observations
les mieux recueillies n'a pas été plus fructueuse
E PAR COMPRESSION DES FAISCEAUX PYRAMIDAUX, PAR A. SOUQUES. L'
observation
suivante est particulièrement intéressante par le
s du pied. Ces signes peuvent, du reste, faire défaut, comme dans l'
observation
publiée récemment par M. Babinski (1). La compr
heure actuelle mal connues. Nous ne connaissons pas, en dehors de l'
observation
déjà ancienne d'HolschevJnihoff (5), d'étude an
résultats, d'interpréter la genèse de ce phénomène pathologique.
OBSERVATION
CLINIQUE. Dans les antécédents du malade, maçon
e pas dans lesquels l'étude anatomique a pu être poursuivie. Dans l'
observation
d'Ilolschevnikoff, il s'agissait d'un malade âgé
ulté qu'il peut y avoir à faire la constatation de l'amyotrophie. L'
observation
de Curschmann (1), peut être rapprochée de notre
CunscnMANN.'Deutsche Zeitsch. f. Nervenhkeilunde, 1905. Voir aussi l'
observation
citée plus haut de Macfarlane. (2) Voir RAYMO
G. ÉTIENNE Professeur agrégé à la Faculté de médecine de Nancy. L'
observation
suivante d'ecchymoses zoniformes spontanées me pa
n est complètement normale. Le premier point à relever dans cette
observation
, c'est la disposition topographique remarquable
pour le zona. Elle paraît cependant fort probable dans la deuxième
observation
de la thèse de Faisans (1) : série de trois ecc
e crise douloureuse de névrite sciatique. Chez un autre malade (1re
observation
), une ecchymose analogue s'étendait à toute la ré
saisir l'ensemble de la question, nous rapprocherons de notre cas l'
observation
de purpura avec infinité de petites taches sur le
ffections congé- nitales. Le cas qui fait l'objet de cette nouvelle
observation
ne sort pas du mystère où se cachent ses sembla
même processus foetal, encore que ce processus reste introuvable.
Observation
. C... J.-B., 1 ans, emprisonné pour meurtre, en
e amputation congénitale n'est pas soutenable. Blain estima que son
observation
plaide en faveur de l'hypothèse d'une amputatio
ppement, on en trouve quatre d'habi- tude ; l'auteur estima que son
observation
s'écarte de la généralité des faits d'hémimélie
a production de bourgeons n'ait pas lieu ». Chaput pense pour son
observation
à « un étranglement du membre par une bride amn
biles, contenir des muscles et même des phalanges, mais ce sont des
observations
bien rares. Pour ces auteurs, la présence d'éléme
manifestes d'une évolution avortée. Commandeur dit de même : « Mon
observation
est un arrêt de dévelop- pement du membre et no
ce muscle. » Michel, Jean, Cousin pensent également que dans leurs
observations
, il s'agit non d'amputations spontanées intra-u
tique. Mouchotte pense que peut-être pourrait-on penser pour sa '28
observation
d'hémimélie à un arrêt de formation de l'amnios
rattacher la nature du processus à un arrêt de déve- loppement, les
observations
relatées n'ont point éclairci l'origine de ce p
ant nous efforcer de tirer les conclusions qui se dégagent de notre
observation
. Nous le ferons d'abord en ce qui concerne les
uelconque. Rabaud a corroboré ces recherches expérimentales par des
observations
précises qu'il a faites chez des foetus humains
. Smrsox. Monthly journal, juillet 1841. Tassin père (de Leugny).
Observation
d'hémimélie thoracique droite, Bull. Soc méd. d
rat de Labarraque (Paris, 1875) qu'il faut chercher l'épilogue de l'
observation
: « M. Manec a bien voulu nous apprendre que la
ce Vernet à son ami Manec. Une carte fixée dans un angle rappelle l'
observation
publiée par la Gazette des hôpitaux. Des troi
e Bicètre un malade atteint de porencéphalie vraie et la rareté des
observations
publiées jus- qu'à maintenant nous a engagé à p
ons publiées jus- qu'à maintenant nous a engagé à publier ce cas.
Observation
. G... Alexandre entre le 9 août 1880,n l'âge de
oute vrai- semblance s'appliquer aux exostoses de croissance. Les
observations
que nous avons recueillies dans lesquelles des ma
successives nous parais- sent favorables à cette interprétation.'
Observation
1 (PI. LXXIX, LXXX, LXXXI) Le F..., 43 ans, f
utres déformations du squelette sont très comparables dans les deux
observations
. Elles répondent, au point de vue topographique
i ont été établis par les faits cliniques et par les résultats de l'
observation
de l'anatomie pathologique, et qui démontrent q
peut-être pour chercher sa solution. Nous commençons par donner l'
observation
de la malade pour exposer ensuite les considéra
du même trouble mais d'un seul côté et dont l'un de nous a publié l'
observation
avec FLORIAN (2). On pourra de cette façon étab
ration et la justesse ne ressortent pas d'une façon claire de notre
observation
. En tout cas les poussées d'urticaire qu'elle a
n examen attentif, on peul en démontrer la présence dans toutes les
observations
de ce genre. Dans l'urticaire, l'oedème lymphatiq
la diminution de la coagulabilité du sang, car. dit-il, si dans les
observations
de Roos et dans une observation de PARAIlIOIOE,
du sang, car. dit-il, si dans les observations de Roos et dans une
observation
de PARAIlIOIOE, l'urticaire coïncidait avec une d
nu- tion de la coagulabilité du sang, n'y eut rien de pareil dans l'
observation
personnelle de PARAMORE où l'ingestion d'acide
d'acide oxalique ne modifia nulle- ment le temps de coagulation. L'
observation
personnelle dont il s'agit se réfère au fait qu
ur un terrain d'hypothyroïdie. Et de fait t HEIBERG (14) a publié l'
observation
d'une femme myxoedéma- teuse qui présentait une
t Descomps) A. B. Attitudes du malade dans la première période de l'
observation
. C. Appareil plâtré. D. E. Attitudes du malade
encore son évo- lution. Voilà pourquoi j'ai cru devoir relater l'
observation
suivante. Mais je dois d'abord m'excuser : '
é de nouveau, reparaissant encore, mais enfin guéri. De plus, celle
observation
est doublée d'une auto-observation : le pa- 462
je ne dis pas : il a guéri ; mais il s'est guéri. PREMIÈRE PARTIE.
OBSERVATION
1S décembre 1902. Taurone à 39 ans. 11 est de p
et d'autres considérés, peut-être à tort, comme se- condaires. Une
observation
clinique ne doit pas se limiter à la recher- ch
ter à la recher- che et à l'indication des signes énumérés dans des
observations
anté- rieures. Enfin, puisqu'il s'agit de tor
ristique des bulbes oculaires que nous avons décrit précédemment. L'
observation
est encore plus facile si l'on empêche mécaniqu
s et excellents de ce phénomène ; ce qui démontre bien la finesse d'
observation
des anciens maîtres du pinceau. Il suffit de
les conclusions des résultats obtenus seulement chez l'un d'eux). L'
observation
rapportée par M. Giannelli (27) réalise chez l'
BELL 515 centre de l'élévateur de la paupière. M. Giannelli, dans l'
observation
d'une femme, examinant les organes nerveux appa
rant sur sa production ; j'ai pu confirmer cela dans mes nombreuses
observations
à ce propos. M. Nagel observe en outre que le p
ligne directe sans éprouver aucune douleur. D'après cet auteur, une
observation
, faite sur un cas de paralysie double du facial
des cas de paralysie double du facial dans lesquels on eùt fait des
observations
sur la position de ce phénomène. M. Panegrossi
recueilli un grand nombre de ces cas, s'exprime ainsi à propos de l'
observation
I où il avait fait cette recherche : « ordinand
tes sur des chiens, des pigeons et des lapins, et d'un grand nombre d'
observations
faites chez l'homme (voy. Essai sur l'anat. patho
et que c'est à la suite d'expériences très nombreuses et de plusieurs
observations
faites sur l'homme {Essaisur Vanat.pathol. t8i6)
i mourut ^4 jours après la fracture, d'une maladie étrangère. Voici l'
observation
qui a été recueillie par M. Levaillant, externe t
acture extra-capsulaire que dans la fracture intra-capsulaire; mais l'
observation
n'a pas tardé à me démontrer que, sous le rapport
position des ligamens de l'articulation nouvelle. Le sujet de cette
observation
est une femme âgée de la Salpêtrière qui a succom
tent les mouvemens en tout sens: tel est le cas dont il s'agit. Une
observation
recueillie dans le service de M. le professeur Ge
ervicale. — Compression de la moelle. — Hémiplégie. — Algidité. L'
observation
suivante offre un exemple remarquable d'hémiplégi
qui fait le sujet de ces réflexions. Au moment où j'ai recueilli l'
observation
précédente, je n'avais eu occasion d'étudier qu'u
és de contractions spasmodiques ou crampes: cela doit être, d'après l'
observation
de cas analogues. La malade se tient couchée su
ardei-C Cancer aréolaire des os. (Planche i, xxie livraison.) L'
observation
qui fait le sujet de la planche i, xxie livraison
du crâne et dans les os de la face (i). Voici le texte littéral de l'
observation
et des réflexions qui la suivent. Dans une questi
la partie antérieure du crâne et de la face jusqu'à l'apophyse (i)
Observation
communiquée à l'Académie royale de médecine, dans
le rédacteur de la Gazette : « Les réflexions que fait naître cette
observation
sont d'abord relatives à la difficulté du diagnos
émotion physique et morale qui précipitait les battemens du cœur. Une
observation
, que Dupuytren rapportait souvent dans ses leçons
que sous le rapport clinique , entre les tumeurs décrites dans cette
observation
et les tumeurs variqueuses qui ont fait le sujet
e je n'ai pu déterminer le sexe de l'enfant. Là se sont bornées mes
observations
. M. Bardinet a fait de ce monstre une dissection
redit, l'inflammation des conduits excréteurs et des granulations : l'
observation
suivante appartient à cette dernière catégorie.
ans quelques cas, aux ganglions lymphatiques correspondans. Voici une
observation
de cancer de la glande parotide et des ganglion
maxillaires avec intégrité de tous les autres organes. Bien que cette
observation
ne se rattache pas directement à mon sujet, je cr
qu'il existe des rétrécissemens de l'œsophage sans lésion de tissu. L'
observation
qu'on va lire , recueillie, en 18:22, à la Maison
décrit par M. Cassan ou à celui représenté pl. 6, se présentait à mon
observation
, loin de repousser l'emploi des moyens dilatateu
de l'œsophage et des rétrécissemens du canal de l'urèthre (Practical
observations
on the treatment of the strictures in the urethra
aux lésions constatées après la mort, et jusqu'à ce que de nouvelles
observations
soient venues jeter quelque jour sur cette matièr
bservations soient venues jeter quelque jour sur cette matière, cette
observation
, dont il n'existe peut-être aucun exemple dans la
oies bien distinctes, mais qui convergent vers le même but : i° par l'
observation
clinique qui note les symptômes et leurs corrélat
ppés à l'extrémité libre d'un certain nombre de villosités ; mais une
observation
attentive m'a démontré que ces granulations n'éta
artie de celles qu'a présentées l'autopsie du sujet de cette curieuse
observation
, la plupart des ganglions lymphatiques du canal
mités avaient considérablement augmenté de volume. Voici, du reste, l'
observation
telle qu'elle a été publiée par M. Briquet dans l
ournal X Institut médical, n° du i5 juillet i83y : elle a pour titre:
Observation
d'adénite chronique avec altération spéciale des
membres. «Deux particularités fort remarquables dominent dans cette
observation
. La première est la transformation en kystes des
nemens pris ultérieurement m'ont fait connaître que le sujet de cette
observation
avait été remarquable par son grand appétit et la
r la description de M. Briquet lui-même, qui, après avoir donné à son
observation
le titre ai adénite chronique, décrit ainsi l'alt
ait, prouve suffisamment l'imperfection des phénomènes digestifs. L'
observation
suivante présente plusieurs traits d'analogie ave
mmation chronique de l'estomac : et voici comment j'analyserais cette
observation
. La malade a eu d'abord un ulcère chronique simpl
su cellulaire qui entoure le reste de la circonférence du rectum. L'
observation
suivante est remarquable par la difficulté que l'
de l'intestin grêle. Dans le colon transverse, on sent un corps (1)
Observation
recueillie par M. Grisolles, interne à l'hôpital
rapportais exclusivement aux faits qui me sont propres. Les premières
observations
qui m'ont donné l'éveil à ce sujet sont relatives
rmer que, dans les cas nombreux de ce genre qui se sont offerts à mon
observation
depuis vingt ans, lorsque les parois abdominales
lieu par l'anneau ombilical, et c'est en effet ce que m'a démontré l'
observation
et sur le vivant et sur le cadavre, et je crois p
des accidens inflammatoires purement locaux. Sous ce point de vue, l'
observation
suivante ne sera pas dénuée de quelque intérêt.
et il eut l'extrême bonté de le conduire chez moi. Voici d'ailleurs l'
observation
telle qu'elle a été publiée par cet estimable méd
e docteur Dupuy, professeur d'accouchement à Niort. Le sujet de cette
observation
est un fœtus femelle venu au monde naturellement
tion s'établit dans les enveloppes. Qu'on se rappelle le passage de l'
observation
si bien recueillie par M. Requin : * Le lendemain
Voyez C. F. Burdach, Traité de physiologie considérée comme science d'
observations
, trad. de l'allemand , par A. J. L. Jourdan , Pa
énum rempli de liquides, dont elle est séparée par un étrangle- (1)
Observation
et pièces pathologiques communiquées par M. Lafon
par les cylindres interne et moyen. Je crois devoir rapporter ici l'
observation
suivante, que M. le docteur Tuilier et moi nous c
e crois aujourd'hui que cette opinion était erronée. Je reviens à l'
observation
clinique : les jours qui suivirent l'expulsion de
au mode de cicatrisation des intestins invaginés se trouvent dans une
observation
de M. Millot (Bulletin de la Soc. philomatiq., t.
dans un travail fort intéressant, a recueilli et analysé trente-cinq
observations
disséminées dans les Annales de la Science, et qu
l'invagination a commencé par le cylindre externe ou invaginant. L'
observation
suivante, que j'ai recueillie en 1820 à l'hôpital
la gangrène de l'intestin? Une circonstance fort curieuse de cette
observation
, c'est qu'il existait derrière les deux bouts d'i
de ce bout. Une autre particularité non moins intéressante de cette
observation
, c'est que l'invagination s'était faite aux dépen
, rougeur très vive, arborisations, ecchymose sous-péritonéale. (1)
Observation
recueillie par M. Diday, interne dans mon service
vation recueillie par M. Diday, interne dans mon service. C'est cette
observation
, présentée à la Société anatomique , qui a été pu
éritoine était blanc. M. Thomson, qui a été chargé de faire sur cette
observation
un rapport à la Société anatomique, et qui a appo
le par le toucher. Un mois ou deux après que nous eûmes recueilli l'
observation
de la rétention des noyaux de cerises, plusieurs
e multitude innombrable d'ulcérations noir ardoisé. Le sujet de cette
observation
est une vieille femme de 81 ans, qui fut prise de
le vingt-et-unième jour de ses couches. Voici les détails de cette
observation
. Lorsque je pris le service de la Maternité, le 2
erratique, voilà les trois circonstances les plus saillantes de cette
observation
. Y a-t-il quelque rapport de cause à effet entre
tomique, n'ayant aucune espèce de renseignemens sur le sujet de cette
observation
. Sur le corps d'un enfant de cinq à six ans, mo
l'extrême obligeance de m'envoyer les intestins en même temps que les
observations
de ces trois sujets : sur les malades guéris ou c
onique ne laisse des traces ineffaçables(i). Voici le résumé des deux
observations
suivies d'autopsies, qui m'ont été adressées : ce
deux observations suivies d'autopsies, qui m'ont été adressées : ces
observations
compléteront l'observation précédente, avec laque
'autopsies, qui m'ont été adressées : ces observations compléteront l'
observation
précédente, avec laquelle elles présentent des ra
u'on les confond au lit du malade et même souvent sur le cadavre. L'
observation
suivante, qui a fait le sujet d'une de mes leçons
de l'intestin qui tend à se cicatriser, aurait été prévenu. Dans l'
observation
suivante , il était bien facile de prendre l'infl
e étant de 5 à 6 pouces de l'anus, put être sentie avec le doigt. L'
observation
suivante, qui a pour sujet un malade extrêmement
ctum dans le vagin ou plutôt du rectum dans la fosse naviculaire. L'
observation
suivante vient parfaitement à l'appui de celle qu
it en bas le rectum. Réflexions. Je crois être fondé à penser que l'
observation
qu'on vient de lire présente un exemple d'une i
oyens actifs de rétention des matières fécales. A la suite de cette
observation
, on me pardonnera d'en rapporter une que j'ai rec
ction, bien qu'elle se ressente de mon âge et de mon peu d'habitude d'
observation
. Je n'avais alors que vingt ans. Fistules à l'a
urviennent depuis cinq jusqu'à douze , quinze ans. Je ferai la même
observation
pour le cancer de la rate que pour les tubercules
ièces » ; tube intestinal sain ; reins sains. Voici le résultat des
observations
que j'ai pu faire sur le foie et sur la rate qui
très habituellement dans le cancer de l'estomac. Je possède plusieurs
observations
dans lesquelles les symptômes du cancer primitif
suggéra cette coïncidence de lésions au moment où je recueillis cette
observation
(au mois d'août 1820): « Ce qui me frappe, c'est
'il touche ou avec lesquelles il se « continue. » Aujourd'hui que l'
observation
m'a appris que le cancer des membranes séreuses s
nait le foie représenté pl. v, xxmc livraison, j'y suppléerai par les
observations
suivantes, que j'ai recueillies à l'hospice, de l
tré de suc cancéreux. Réflexions.— Ce qui frappe le plus dans cette
observation
, c'est : i° l'âge de la malade, 26 ans, qui contr
térin. — Rondelle cancéreuse formée aux dépens de l'os frontal. L'
observation
suivante est remarquable à beaucoup d'égards : el
e cause, du col de la vésicule biliaire. Or, voici le résultat de mon
observation
à cet égard. La bile ne pouvant plus pénétrer d
ésentent le foie d'un malade dont je suis heureux de pouvoir donner l'
observation
avec tous ses détails. Je fus appelé en consult
portance sous le rapport du diagnostic de l'hépatite. J'ai quelques
observations
pratiques à faire sur la douleur et sur le dévelo
ur hépatique atteigne le degré d'acuité dont il a été question dans l'
observation
précédente. Le plus ordinairement, elle est obtus
i dit ailleurs (i). Je ne puis résister au désir de rapporter ici une
observation
qui prouvera que la phlébite n'est pas la cause u
ancienne hémiplégie. Réflexions. Voici la manière dont je conçois l'
observation
qui précède. Un calcul biliaire, existant dans le
impossible de déterminer si c'était une artère ou une veine; mais mes
observations
établissent assez que ce ne peut être qu'une vein
et appuyant fortement contre cette paroi postérieure. Réflexions. L'
observation
précédente, indépendamment du cancer de la glande
de cancer mammaire. Ces plaques cireuses échappent quelquefois à une
observation
peu attentive, parce qu'elles sont demi transpare
trouve-t-on quelques exemples dans les fastes de l'art, et parmi ces
observations
, plusieurs me paraissent appartenir à des cas d'e
rigueur rejeter comme douteuses la plupart, sinon la totalité de ces
observations
. L'observation suivante est donc importante à bea
comme douteuses la plupart, sinon la totalité de ces observations. L'
observation
suivante est donc importante à beaucoup d'égards,
soumis à l'examen de la plupart des chirurgiens de Paris, et que son
observation
a déjà été publiée un grand nombre de fois. Elle
t comme tel, il a été lié et excisé sans le moindre inconvénient. Les
observations
de Fabrice de Hilden, de Tulpius, de Ruysh et de
avaux publiés dans ces derniers temps sur la pneumonie, le champ de l'
observation
sur ce genre de maladie , bien loin d'être épuisé
d'un fragment pulmonaire dans une caverne? J'ai dit, dans la première
observation
, que le son caverneux présentait y à la fin de ch
aux abcès multiples, observés dans le poumon affaissé de la deuxième
observation
, je ferai remarquer que, si la formation des abcè
d'ailleurs être douteux. A l'occasion de ce fait, je rapporterai une
observation
de fistule pulmonaire, occupant la partie latéral
plusieurs de nos bons élèves de la Salpêtrière suivent cette ligne d'
observation
avec une grande persévérance. Voici, en attendant
e cancer de l utérus, le sujet de sa dissertation inaugurale. Des six
observations
consignées dans cette dissertation, et qu'il a re
cteur Olivieri vient de mourir à Marseille. Sa dissertation, quelques
observations
lues à la Société anatomique attestent son excell
seule a besoin de quelque développement. D'après les résultats de mon
observation
, c'est par continuité de tissu que l'inflammation
ortante. XXVlI* LIVRAISON. 2 Je terminerai ces réflexions par une
observation
de cancer vaginal avec phlébite très étendue des
parent les cellules répondaient au bord adhérent des valvules; mais l'
observation
directe n'a pas confirmé ces prévisions de la thé
e femme comme affectée de gangrène sénile. On m'a même assuré que son
observation
avait été publiée sous ce titre. Voici d'ailleu
très petit calibre, et remplies de sang concret. Reflexions. Cette
observation
présente à considérer deux ordres de faits bien d
che de sang très dense le séparait de la surface de l'os. Troisième
observation
. Femme Lemaire, 84 ans, est entrée le 10 juin i83
XVIIe LIVRAISON.) Gangrène par oblitération des artères. première
observation
. — Gangrène spontanée de la jambe chez unefemme a
nt remplies par des caillots sanguins. xxviie livraison. 1 deuxième
observation
.— Gangrène spontanée chez une femme de 81 ans.— O
es artères, comme une cause de gangrène sénile. Il résultait de ces
observations
ce premier fait, que l'ossification peut envahir
s et pourtant la gangrène était extrêmement limitée. Dans la deuxième
observation
rapportée plus haut, l'oblitération était bornée
oblitération des grosses artères n'est qu'accessoire; aussi lisez les
observations
publiées sur la gangrène sénile ou spontanée, et
épuisé par la douleur. L'ouverture du cadavre n'a pu être faite. L'
observation
suivante (Thèse de M. Legroux 1827) est remarquab
t remarquable sous le rapport de la marche de la maladie. troisième
observation
. — 66 ans ; au mois de juillet 1826, quelques acc
, sous le doigt explorateur, à la manière de cordes dures. Les deux
observations
suivantes donnent un exemple remarquable des anal
t entre la paralysie nerveuse et la paralysie artérielle. quatrième
observation
. —Pneumonie. — Gangrène spontanée du membre infér
ides contenue dans le membre au moment de la mort locale. Cinquième
observation
. — Gangrène spontanée de la main droite, simulant
ment extrême du malade. Un des points les plus intéressans de cette
observation
, c'est le mode d'invasion de la gangrène , qui
s sans la moindre dilatation; je crois même être fondé à conclure des
observations
que j'ai faites à cet égard que si les plaques cr
termes M. Bérard jeune, rapporteur, fit connaître les résultats des
observations
de la commission. « Si, en isolant la tunique e
s dans l'économie vivante , que les prétendues exceptions sont ou des
observations
erronées, ou l'expression de lois positives encor
vrysme représenté planches n et ni appartient à un sujet dont voici l'
observation
détaillée : Leureux, 4.1 ans, employé, couché a
ans le canal rachidien et comprimé la moelle épinière. Soumis à une
observation
attentive depuis le ier juillet 18/jo jusqu'au 8
e, un eschare apparaît dans ce point ; bientôt trois eschares (1) L'
observation
vient d'être publiée par M. Herpin, élève interne
médecine, Paris, 1828, tome 1). Voici le résumé de ces faits : i°
Observation
de M. Paris. Sujet féminin très maigre, 54 ans, d
autres branches de l'aorte ventrale étaient dans l'état naturel. 2°
Observation
de M. Reynaud. Elle a pour sujet un cordonnier de
es verticales, disposées parallèlement suivant la (%) 3a dois cette
observation
à l'obligeance de M. Prus, médecin à Bicêtre. Les
péricardite , il y a toujours épanchement daus le péricarde ; mais l'
observation
démontre qu'il est un grand nombre de péricardite
tiques pris pour des points de côté pleurétiques. Il résulte de mes
observations
sur ce sujet, que la pleurodynie des auteurs n'es
atation avec hypertrophie du cœur, car je possède un certain nombre d'
observations
de dilatation hypertrophique du cœur, avec intégr
, les conséquences les plus graves. (1) On a dû être frappé, dans l'
observation
précédente, de la rapidité avec laquelle l'infilt
rure, et contrastait avec la fragilité des parties voisines. Dans l'
observation
qu'on vient de lire, l'infiltration du sang dans
Je n'ai jamais rencontré, comme Harvey, à qui nous devons la première
observation
qui ait été publiée sur les perforations spontané
e cette rupture à une érosion ou ulcère (i). Il rapporte à ce sujet l'
observation
d'un chevalier âgé de 65 ans, qui, ayant été guér
science, a réuni, sous le titre de déchirement sénile du cœur, quatre
observations
qu'il a fait suivre de réflexions sur les causes
dans le même temps que M. Blaud, M. Rostan publiait également quatre
observations
de rupture du cœur appartenant à des femmes septu
r cause réelle et dans la fragilité du tissu du cœur. Dans toutes mes
observations
, il y avait fragilité remarquable de ce tissu qui
use du cœur des vieillards : il est bien singulier de voir à côté des
observations
de M. Blaud, les observations non moins authentiq
l est bien singulier de voir à côté des observations de M. Blaud, les
observations
non moins authentiques de M. Rostan, qui accuse l
ne perforation interne du cœur tellement petite qu'elle échappe à une
observation
même attentive ; mais il est constant qu'il exist
ement « saillie à la face inférieure de la membrane.» Dans d'autres
observations
, la réunion de valvules sygmoïdes n'a pas lieu d'
nt noté le bombement et le rétrécissement du ventricule droit; dans l'
observation
de M. Burnet, il est même dit qu'il y avait hyper
rétréci. La persistance du trou de Botal a été notée dans plusieurs
observations
: il est certain que si le rétrécissement de l'or
s symptômes que le raisonnement indique et qui se retrouvent dans les
observations
, d'ailleurs toutes incomplètes, consignées dans l
ne connaissait pas l'auscultation à l'époque où j'ai recueilli cette
observation
); pouls tremblottant, mou, incertain, mais réguli
pratique, c'est que le malheureux soldat, qui fait le sujet de cette
observation
a été considéré par ses chefs comme un homme de m
e ou telle maladie du cœur ou de ses enveloppes. Je possède plusieurs
observations
dans lesquelles une maladie cancéreuse du foie qu
démateux dans toute son étendue. Point de tubercules. Réflexions. L'
observation
qui précède est un nouvel exemple du rapport si b
appelé à lui donner mes soins. J'ai dit plus haut le résultat de mes
observations
. Ouverture du cadavre. — J'avais noté que cette
vait remarqué une adhérence très (1) On consultera avec intérêt une
observation
de carie du rocher, avec abcès du cervelet, ménin
r, Bulletin de VAcadémie Boyaie de Médecine. Tome ier pag. 112. (2)
Observation
recueillie par M. Boullet, élève externe dans mon
onc dans l'imminence d'accidens mortels. Je me rappellerai toujours l'
observation
d'un jeune roulier qui, après des céphalalgies fr
vais recueillis pendant la vie de la (1) J'ai fait mention de cette
observation
à l'occasion des tumeurs fongueuses de la dure-mè
doit subir. Les accidens de compression que présente le sujet de l'
observation
suivante, bien qu'ils soient plus graves que dans
, j'espère, l'occasion de payer mon tribut à cette (i) Que penser d'
observations
sur des ramollissemens de moelle, dans lesquelles
connu la description de ces ramollissemens artificiels dans plusieurs
observations
, et nommément dans un cas, où, le coup de ciseau
des espèces de foyers gangreneux. Réflexions. La paraplégie, dans l'
observation
qu'on vient de lire, était donc le résultat d'une
dans cette catégorie que doivent être rapportées un certain nombre d'
observations
, dans lesquelles il est dit que des tumeurs de n
llissement blanc. Réflexions. Les traits les plus saillans de cette
observation
, sont l'abolition complète de (1) Obs. recueill
s un grand nombre de cas de ramollissement blanc du cerveau. Dans l'
observation
précédente, la paraplégie était accompagnée de pi
pas éprouvé la solution de continuité que nous avons observée dans l'
observation
qu'on vient de lire. La douleur est donc dans cet
oins de ce fait. Paraplégie par méningite rachidienne guérie. ire
observation
. —Mademoiselle Gault, élève sage-femme à la Mater
ame de paralysie et de douleur, qui m'avait si vivement frappé dans l'
observation
précitée. La tête resta parfaitement saine. Le ca
malade recouvra la plénitude de l'exercice de ses mouvemens. Cette
observation
, comme on le pense bien, était restée gravée dans
de la malade,et que les drastiques l'ont parfaitement remplacée. 2e
observation
.—Mademoiselle Honoré (Victoire), orpheline, 21 an
la faculté de mouvoir les membres douloureusement paralysés. Dans l'
observation
précédente, bien loin de noter, comme je l'avais
probablement moins à une différence réelle qu'aune différence dans l'
observation
. Je croyais que, chez mademoiselle Gault, il y av
musculaire. Voici d'ailleurs, sous ce point de vue, l'analyse de l'
observation
de Dance, la plus complète de toutes celles qui o
que, et qui le seraient peut-être encore au moment où je rédige cette
observation
. Quatre cautères, deux à la région lombaire, deux
assinet, des calices et par suite du tissu propre des reins. Dans l'
observation
qui précède, la dernière période delà maladie, qu
it difficile de faire la part de l'induration de la moelle dans cette
observation
, on ne saurait lui contester une grande influenc
les tubérosités de l'ischion dénudés. Les parties latérales du (t)
Observation
recueillie par M. Olivieri, mon élève interne, mo
dant le trois dernières années de sa vie, où elle a été soumise à mon
observation
, et il paraît d'ailleurs qu'il était resté identi
il aurait été possible de la guérir, en ouvrant le kyste. Puisse son
observation
n'être pas perdue pour la science et surtout pour
es épineuses, seule partie de cette colonne accessible à nos moyens d'
observation
; pas la plus légère inclinaison de l'épine; mais
outre la malade avait des crampes. Au moment où j'ai recueilli cette
observation
(octobre i83a), j'avais eu de rares occasions d'é
Mais la conséquence pratique la plus importante qui découle de cette
observation
est celle-ci : N'est-il pas évident que, si on av
s dans mon esprit. Une circonstance du plus haut intérêt dans cette
observation
, c'est que la paraplégie était excessivement doul
es nombreux effets, une suite éloignée d'un travail phlegmasique? Une
observation
ultérieure faite, dans le but d'étudier la généra
la lésion de la moelle, bien des réflexions sont suggérées par cette
observation
: i° La dégénération grise peut donc survenir dans
t quant à la marche de la maladie, une notable différence entre cette
observation
et la précédente. Maladie de la colonne vertébr
upérieure, et les pédoncules cérébelleux avaient été respectés. Les
observations
suivantes suppléeront aux renseignemens cliniques
rotubérance sont entourés d'une couche de sang. La protubérance (1)
Observation
recueillie par M. Godin, interne de la Salpêtrièr
oplectique ouvert dans le quatrième ventricule seulement, (i) • L'
observation
suivante, qui a été recueillie presque en même, t
n'offraient même pas l'œdème accoutumé de leur bord postérieur. (1)
Observation
recueillie par M. Diday, interne dans mon service
l'autre occupait le côté externe du corps strié. L'analyse de cette
observation
me parait extrêmement difficile, à raison des phé
lluleux anciens ajoutent encore à la complication des phénomènes. L'
observation
suivante montre les ressources de la nature pour
s; les larmes et les sanglots, voilà le seul moyen d'expression (1)
Observation
recueillie par M. Reignier, interne dans mon serv
e ne sont pas toujours mortelles : je possède un assez grand nombre d'
observations
de cicatrices de la protubérance qui établissent
lation des sons ou difficile ou impossible. Doit-on conclure de cette
observation
que l'organe exclusif de l'articulation des sons
pas en propre à l'apoplexie de la protubérance, car l'art possède des
observations
d'apoplexies cérébrales mortelles en moins d'une
s mouvemens, et que la force n'était que relative. En général, dans l'
observation
clinique des paralytiques, on ne donne pas assez
èrement jaunâtre. Je n'ai aucun renseignement sur le sujet de cette
observation
; mais, d'après des cas analogues, il est probable
l était le cas d'un individu dont M. le docteur Sestié a communiqué l'
observation
à la Société anatomique. Pendant trois mois de sé
it infiltré de pus. Les commémoratifs apprirent que le sujet de cette
observation
avait fait, trois ans auparavant, une chute sur l
raux qui résultent de la présence d'une tumeur cérébrale; telle est l'
observation
suivante : (i) Blanc (Jean-Baptiste), 27 ans, c
e détails sur les symptômes correspondans à la lésion précédente; les
observations
suivantes pourront y suppléer. Hémiplégie compl
elles que le signe manque à la pensée. C'est ainsi que les recueils d'
observations
sont pleins d'exemples d'individus qui paraissaie
faisait pas faux bond, ce qui lui arrivait souvent. La femme dont l'
observation
précède offrait le maximum de cet état; car elle
ment et aux cicatrices, qui en sont la conséquence. Voici une autre
observation
de cicatrice du cerveau, qui me paraît appartenir
catrice du cerveau, qui me paraît appartenir au ramollissement. Cette
observation
viendra à l'appui de la proposition précédente, s
ts, et, quand on considère la multitude de choses qui échappent à une
observation
ordinaire, et que révèle une observation plus pro
e choses qui échappent à une observation ordinaire, et que révèle une
observation
plus profonde, on ne désespère pas des progrès de
amener le même résultat pour le cerveau; et, en effet, la plupart des
observations
qui existent sur l'inflammation des sinus delà du
e fille de vingt-deux ans, et a été soumis à la Société anatomique. L'
observation
relative à cette pièce ne m'a pas été communiquée
étendue, formée aux dépens d'un grand nombre de circonvolutions. L'
observation
suivante, que j'ai recueillie avec beaucotip de s
coup d'analogie avec ceux de la méningite. Je ne connais aucune autre
observation
, dans laquelle cette céphalalgie avec élancemens
ens reconnaît-elle pour cause l'acuité extrême de la maladie, (i) L'
observation
suivante établira d'une manière encore plus posit
s circonvolutions: telles sont les circonstances principales de cette
observation
. Je ferai remarquer que jamais je n'ai trouvé d
on des circonvolutions ramollies ne m'a paru plus évidente que dans l'
observation
précédente. Ce gonflement se multipliant comme le
xiste une encéphalocèle ou une cystocèle cérébrale; je ne sais si des
observations
ultérieures confirmeront ce résultat de mes obser
sais si des observations ultérieures confirmeront ce résultat de mes
observations
, savoir, que dans tous les cas de microcéphalie p
re sous-arachnoïdien, n'avait d'autre but que de remplir ce vide. L'
observation
suivante, que M. Pruneau a présentée à la Société
par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. Voici le résumé de cette
observation
, qui a été rédigée avec beaucoup de soin et de dé
é rédigée avec beaucoup de soin et de détails sous le titre suivant :
Observation
a1'anencéphalie compliquée d'encéphalocèle. Une
hale, la moelle épinière non comprise, pèse soixante-huit (1) Cette
observation
a été faite en 1826. J'ai noté que la sérosité ét
quant à la description anatomique du cysticerque proprement dit, mes
observations
concordent exactement avec ce qui a été dit à cet
et de chirurgie pratiques, art. Estozoaires , tome vu, page 367; les
observations
de M. Calmeil [Journal hebdomadaire de médecine,
avité des ventricules était horriblement fétide. Le résumé de cette
observation
, comme d'ailleurs de l'immense majorité des obser
sumé de cette observation, comme d'ailleurs de l'immense majorité des
observations
du même ordre, est donc ceci : otite chronique av
s ventricules et l'os carié ; cependant il existe dans les recueils d'
observations
plusieurs exemples de suppuration fétide du cerve
ès qui se forment au voisinage du canal digestif. Un grand nombre d'
observations
bien positives établit que les abcès enkystés du
rmation de l'abcès jusqu'à sa terminaison funeste: sous ce rapport, l'
observation
suivante que j'ai recueillie avec un soin tout pa
éent pour l'articulation des sons. Au moment où je recueillis cette
observation
(en 1811), j'avais déjà rencontré plusieurs fois
re. Malheureusement je n'ai aucun renseignement sur le sujet de cette
observation
qui était une vieille femme de la Salpétrière.
emblable à celui qui succède à une apoplexie cérébrale ordinaire. L'
observation
suivante, qui a pour sujet la femme à laquelle a
nduration qui n'a souvent pas plus d'un millimètre d'épaisseur. Les
observations
suivantes, toutes incomplètes, à quelques égards,
tement des caillots, que ce foyer remontait à deux mois. Bien que l'
observation
suivante n'appartienne pas à l'apoplexie du cerve
ion, suite probable d'inflammation chronique. L'écueilde toutes les
observations
que je possède sur l'apoplexie cérébelleuse, c'es
e faire la part des unes et des autres dans la symptomatologie. Les
observations
suivantes sont entachées de cet inconvénient, et
nient, et néanmoins je crois utile de les consigner ici, soit que des
observations
ultérieures nous permettent de démêler un jour le
région lombaire d'un Indien par M. Faget, médecin à Bordeaux, (i) L'
observation
qui a trait à cette pièce pathologique est extrai
e pas à une hernie du cerveau enveloppé par la dure-mère qu'a trait l'
observation
d'Amatus, lequel raconte qu'un enfant vint au mon
erronées. On ne saurait néanmoins refuser créance à un bon nombre d'
observations
rapportées avec des détails trop circonstanciés,
it principal, pour que l'erreur puisse y être soupçonnée. Telle est l'
observation
du nommé François Trouillu, qui avait une corne p
de 35 ans (c'était l'âge qu'il avait au moment où il était soumis à l'
observation
), cette corne avait pris un accroissement de plus
(1) On est surpris des réflexions dont M. Dauxais fait suivre cette
observation
: « Cette « excroissance était-elle une végétatio
r de la dure-mère un certain nombre de ces productions, l'auteur de l'
observation
, M. Gastelier, a soin de noter que le noyau qui s
de toute lésion locale. Ainsi les annales de la science contiennent l'
observation
d'une jeune fille de 18 ans, du canton de Berne (
reille et la peau du col commençait à devenir calleuse, lorsque cette
observation
a été publiée. Cette jeune fille n'avait que le d
dire dans celle des produits puri-formes épaissis qu'il faut ranger l'
observation
publiée par Behrends, qui a décrit et fait figure
du qu'il n'existait pas de véritables productions cornées, et que les
observations
publiées sur ce sujet devaient être rapportées à
te inflammation Je dois faire remarquer que, dans un certain nombre d'
observations
rapportées par les auteurs, il est question d'ode
était très épaisse autour de la moitié supérieure du canal PP. (1)
Observation
et pièce pathologique communiquées à la Société a
du canal de l'urètre, c'est un fait constaté par un certain nombre d'
observations
. Il ne serait pas impossible que l'hypertrophie d
on col : n'ayant pu obtenir aucun renseignement sur le sujet de cette
observation
, il m'est impossible de dire s'il a éprouvé autre
nt devenir le noyau de calculs urinaires ; mais je ne sache pas que l'
observation
l'ait démontré. La théorie dit encore que ces cal
ig. 3 représente un rein converti et un kyste multiloculaire. Voici l'
observation
détaillée relative à cette altération, qui peut s
orifice supérieur de l'uretère. J'ai fait mention ,dans le cours de l'
observation
, d'une hernie de la ligne blanche ou éventration
compression large du cerveau et non point compression circonscrite. L'
observation
m'a démontré que, dans un certain nombre d'apople
et la figure i'" la coupe du noyau. Voici d'ailleurs un résumé de l'
observation
très exacte et très circonstanciée, qui m'a été a
une nature particulière. » (2) Je trouve le passage qui suit dans l'
observation
de M. Perrot, à la date du 11 novembre : «La mala
l'uretère : telles sont les circonstances principales qu'a fournie l'
observation
précédente. Quelques considérations générales s
, parce que le rein du côté sain suffit aux besoins de l'économie. L'
observation
de la femme Laberthe (Pl. m, xxxvi6 livr.) vient
certain nombre de cas, qui sont dans le domaine de la science. Dans l'
observation
suivante, publiée par Corvisart (i), et qu'on peu
lement mise en usage dans un cas analogue. Voici le résumé de cette
observation
. 62 ans, tumeur oblongue, étendue de fhypochond
vi6 livraison, démontre ce passage d'une manière incontestable. (i)
Observation
et pièce communiquées à la Société anatomique par
te de l'état normal. (i) M. le docteur Bouvier vient de publier une
observation
intéressante: Matière graisseuse d'un foie gras d
physionomie cancéreuse, le malade vint à Paris, où il fut soumis à l'
observation
de M. Manry, de M. Paul Dubois et de plusieurs au
ulu me l'adresser avec son obligeance accoutumée. Le sujet de cette
observation
est une femme âgée de 48 ans, d'une forte constit
cancer aréolaire gélatiniforme ne présente pas d'état de crudité : l'
observation
m'a prouvé depuis long-temps que la distinction d
récidive; l'expérience a besoin de confirmer cette vue à priori. L'
observation
suivante peut être considérée comme le type des c
x et séreux. Tous les autres organes étaient sains. Réflexions. — L'
observation
qui précède me suggère plusieurs réflexions, je f
ol utérin auquel elle a succombé. La femme qui fait le sujet de notre
observation
avait 83 ans, et la malade faisait remonter tout
ter pendant un certain temps sans entraîner aucun accident local. L'
observation
suivante donnera une idée du mode de formation de
t aux détails qui me manquent sur la femme qui fait le sujet de cette
observation
. Rien de plus fréquent que le double cancer mam
us tendre enfance, d'une déviation de la colonne lombaire. Elle (1)
Observation
recueillie par M. Diday, mon interne pendant l'an
adjacentes soient simplement maculées de sang. Je terminerai par deux
observations
, dont l'une a pour sujet une fille de 11 ans, et
ant l'automne de i83i dans le service de M. Ricord. Dans sa feuille d'
observation
, qu'elle a soustraite, il est question d'une ulcé
tra dans le service de M. Cullerier le ier mai i833. Sur sa feuille d'
observation
, qu'elle a également soustraite, sont notés : éco
neux de la surface examinée à l'aide du spéculum : voilà, d'après les
observations
que j'ai pu faire à cet égard, les caractères loc
ement semi-lunaire à concavité postérieure : dans un cas soumis à mon
observation
, l'orifice, au lieu de présenter son plus grand d
des ganglions lymphatiques dégénérés. Je vais rapporter ici ces deux
observations
. Cancer aréolaire pultacé de l'utérus et du vag
. Le poumon droit était le siège d'une pneumonie œdémateuse. Dans l'
observation
qui précède, on ne saurait admettre aucune connex
que : il y a eu rapport de coïncidence, mais non de dépendance. Cette
observation
me paraît établir que les vaisseaux lymphatiques
Relativement aux hernies de l'utérus pendant la grossesse, on cite l'
observation
de Sennert, dont voici le résumé. Une femme gross
t de quelques mois. Un sentiment pénible saisit à la lecture de ces
observations
, que l'on est tout étonné de voir rapportées sans
un fait acquis à la science (i). L'observa, tion de Chopart, les deux
observations
recueillies à la Salpétrière par le vénérable Lal
y trouvera les deux ovaires et les deux trompes. Or, dans la première
observation
de Lalîemant, il n'y avait que l'ovaire et la tro
de la gangrène semble militer en faveur de la gangrène primitive. L'
observation
suivante fournira un exemple de gangrène par éros
rales. Relativement à la forme du cancer qui fait le sujet de cette
observation
, j'ai dit que le cancer avait envahi primitivemen
ancer encéphaloïde était une vue de l'esprit et non le résultat d'une
observation
sévère; que le suc cancéreux était sécrété dès le
de la maladie, et se fondaient sur l'absence du suc cancéreux. Mais l'
observation
m'a appris que le suc cancéreux n'appartient pas
La femme allait parfaitement au moment où, M. Jolly m'adressait cette
observation
. La fig. i, pl. v, représente le fœtus double f
d'organisation un peu circonstanciés. Quelque incomplète que soit l'
observation
publiée par Valentin (Ephem. nat. cur. dec. 11, À
la place qu'ils doivent conserver le reste de la vie. « Mais, par une
observation
attentive, on reconnaît bientôt l'influence que l
es de cire, comme nous Lavons vu pour les cancers de la plèvre. Les
observations
qui suivent pourront servir à jeter quelque jour
iniques qui pourront suppléer à ceux qui manquent dans cette dernière
observation
. Hydropisie ascite symptomatique d'une dégénéra
nt dites, ainsi que j'aurai l'occasion de le démontrer plus tard. L'
observation
suivante fournira un exemple de cancer tuberculeu
.................. - Hernies ombilicales. Considérations générales.
Observations
..... --Déplacemens. Hernies. ................
ein..... Maladies de la mamelle. Cancer de la mamelle chez l'homme.
Observation
de cancer fungiforme................... --Cance
-cutanés et musculaires. Plaques cireuses de la plèvre. Réflexions et
observations
.............. --Double cancer mammaire. Cancer
gangrène de l'utérus : i° gangrène consécutive au cancer de l'utérus.
Observations
. 2° Gangrène primitive de l'utérus. Observations.
cancer de l'utérus. Observations. 2° Gangrène primitive de l'utérus.
Observations
. . . . # ---Déplacemens de l'utérus (genre des
que. Insuffisance des pièces d'anatomie conservées. Insuffisance de l'
observation
clinique pour la connaissance des maladies. Néces
s. 24e liv., pl. 1, 11, p. g. —Gangrène par oblitération des artères.
Observations
. Gangrène spontanée de la jambe chez une femme af
. — Symptomatologiedu cancer au foie. 12e liv., pl. 11, m, p.7. —
Observations
. C jliques hépatiques ; tristesse ; anorexie ; ma
ncéphaloïde des reins. 18e liv., pl. 1, p. /. — Cancer avec mélanose.
Observations
. Cancer mélanique à la paume et au dos de la main
omateuses dans le foie. 23e liv., pl. v, p. 2. — Réflexions sur cette
observation
. = Cancer mammaire terminé par gangrène. Mort par
ur le cancer pultacé aréolaire de l'utérus. 27e liv., pl. 11, p. 1. —
Observations
. Cancer aréolaire pultacé de l'utérus et du vagin
hémisphères en une membrane ténue, transformation en un kyste séreux.
Observation
: idiotie. Demi-flexion permanente avec rigidité d
— Ramollissement lie-de-vin du cerveau. 20e liv., pl. ni, iv, p. 5.—
Observation
. Invasion subite de paralysie de la langue et de
e circonvolution. = Ramollissement amaranihe et hortensia du cerveau.
Observation
. Affaiblissement ancien dans le côté gauche du co
ses des ramollissemens ; Symptomatologie. 20e liv., pl. m, iv,p. 8. —
Observation
. Ramollissement du cerveau ou apoplexie capillair
u cerveau. 20e liv., pl. ni, iv, p. g et /0; 36e liv., pl. 1, p. 6. —
Observations
: Grand nombre d'étour-dissemens. Hémiplégie droi
es cérébraux et cérébelleux : Fréquence et variété de ces apoplexies.
Observations
: Apoplexie de la protubérance mortelle en deux h
che. 33e liv., pl. 11, p. 4. — Apoplexie capillaire à forme sablée. —
Observation
. Deux foyers apoplectiques, l'un du lobule du cor
lésion chez les vieillards ; symptômes qui en résultent; caractères.
Observation
. Tumeur céré-briformede la dure-mère sans sympiôm
plexie des circonvolutions du cerveau. 36e liv., pl. m, iv, p. i, 3.—
Observations
. Accouchement naturel. Péritonite en voie de guér
'action. Ces tubercules soni le plus souvent consécutifs. Traitement.
Observations
. Coup reçu sur la tête. Au bout de six mois, hémi
e liv., pl. iv, p. /. — Symptomatologie de ces concrétions sanguines.
Observations
. Kystes purulens multiples dans le ventricule dro
. i. — Cause de la mort dans la rupture du cœur. Siège de la rupture.
Observations
. Rupture spontanée de l'aorte avec décollement de
—Paraplégie par compression de la moelle. 32° liv., pl. 1, n, p. 2. —
Observation
qui peut servir de type poulies symptômes résulta
CLOGÉPHALIE. 33e liv., pl. v, vi, p. y ( voyez Cyclopie). CYCLOPIE.
Observation
. 33e liv., pl. v, vi, p. 6. — Division de la cycl
lésion chez les vieillards, symptômes qui en résultent ; caractères.
Observation
. Tumeur cérébriforme de la dure-mère sans symptôm
clion ; ces tubercules sont le plus souvent consécutifs; traitement :
observation
. Coup reçu sur la tête; au bout de six mois, hémi
ion et de riiémorrhagie ; imminence de recrudescence el de récidive ;
observation
eonfirmati ve ; dangers des irriians. 20e liv., p
articulation ou par cicatrice ; causes de ces modes de consolidation.
Observations
. Fracture intra-capsulaire du col du fémur, avec
5. — Symptomalologie du cancer du foie. 12e liv., pl. ii, ni, p. y. —
Observations
: Coliques hépatiques; tristesse; anorexie; maras
n ou par cicatrice ; causes etmé-canisme de ce mode de consolidation.
Observations
. Fracture intra-capsulaire du col du fémur avec r
térin. 24e liv., pl. 1, 11, p. g. — Gangrène primitive de l'utérus. =
Observations
. Gangrène primitive • destruction de l'utérus par
24e liv., pl. 1, n, p. i2. — Gangrène par oblitération des artères. =
Observations
. Gangrène spontanée de la jambe chez une femme af
reur de diagnostic à laquelle peut donner lieu la gangrène spontanée.
Observations
. Pneumonie. Gangrène spontanée du membre inférieu
Division de la grossesse péritonéale en primitive et en consécutive.
Observation
. Foetus très développé dans la cavité péritonéale
Perforation de son extrémité libre. 37° liv., pl. vi, p. 3. HEWSON.
Observation
sur les vaisseaux lactés. 2e liv., pl. i., p. t.
s considérable avec intégrité du cerveau. 15e liv., pl. iv, p. 2. —
Observation
d'hydrocéphalie avec disparition de la plus grand
s de canalisation : Rétrécissement du gros intestin. Corps étrangers.
Observations
. Noyaux de cerises, arrêtés par un cancer encépha
atrisation des intestins invaginés. 22e liv. , pl. îv, v, vi, p. 4- —
Observation
. Anus contre nature. Invagination irréductible. E
par méningite rachidienne guérie. 32e liv., pl. 1, n, p.y. — Deuxième
observation
de la même affection. 32e liv., pl. i,u,p. 8. M
32e liv., pl. 1, n, p. /• — Paraplégie par compression de la moelle-
Observations
. Paraplégie avec flexion et rigidité permanente d
tèbre dorsale. 32e liv., pl. 1, n, p. 2. — Réflexions suggérées par l'
observation
précédente. 32e liv., pl. t, ii, p. 3.— Cas de pa
méningite rachi-dienne guérie. 32e liv., pl. 1, 11, p. 7. — Deuxième
observation
sur la même affection. Caractères de la paraplégi
32e liv., pl. 1, n, p. 12. — Paraplégie par induration de la moelle.
Observations
: 1° Immobilité générale, rigidité. Induration de
p- 18. — Paraplégie par dégénération grise des cordons de la moelle.
Observations
. Paraplégie incomplète*du sentiment et du mouveme
iv., pl. vî,J . 5.—Degeneration ou transformation grise de la moelle.
Observations
Insensibilité presque complète des membres inféri
p. 2, 4.— Division de la mouopodie en deux genres et cinq espèces.
Observation
. 32e liv., pl. v, vi, p. 4. —Théorie. 40e liv.,
es os aux parties molles, et réciproquement. 20e liv., pl. 1, p. 2. —
Observations
. Cancer de la mamelle gauche. Rupture spontanée d
— Théorie de la formation du cal. 23e liv., pl. i, n, p. 3, H, —
Observations
. Fracture exlra-capsulaire du col du fémur. Doule
rticulation ou par cicatrice Mécanisme de ces deux modes de guérison.
Observations
. Fracture intra-capsulaire du col du fémur avecro
2e liv., pl. 1, n, p. /. — Paraplégie par compression de la moelle.
Observations
. Paraplégie avec flexion et rigidité permanente d
rtèbre dorsale. 32e liv., pl. 1, n, p. 2. —Réflexions suggérées par l'
observation
précédente. 32e liv., pl. 1, n, p. 3. — Cas de pa
2e liv., pl. 1, n, p. 12. — Paraplégie par induration de la moelle. —
Observations
: 1° Immobilité générale, rigidité. Induration de
i5. — Fausse paraplégie produite par la rigidité des articulations. —
Observation
. Fausse paraplégie. = Cicatrices anciennes de ram
. iy, — Paraplégie par dégénération grise des cordons de la moelle. =
Observation
. Paraplégie incomplète du sentiment et du mouveme
e dans les maladies de la moelle. 38e liv., pl. v, p. 9. PERCY. Son
observation
sur les hydatides placentaires. lre liv., pl. 1,1
ssesse peritoneale primitive et en grossesse peritoneale consécutive.
Observations
: Fœtus très développé , libre dans la cavité per
t dans la direction du cours du sang. 11e liv., pl. 1, n, m, p. 14. —
Observation
de phlébite, suivie de suppuration et de perforat
e. = Phlébite consécutive au cancer utérin. 27e liv., pl. iv, p. a. —
Observation
• Phlébite spontanée du membre inférieur droit. 2
ccupe en même temps les veines collatérales. 27e liv. pl. iv, p. S, —
Observation
: Cancer du vagin et du museau de tanche. OEdème
érentiels de la pleurésie, de la pleuro-pneumonie et de la pneumonie.
Observations
. Pneumonie sub-aiguë occupant tout le poumon gauc
érentiels de la pleurésie, de la pleuro-pneumonie et de la pneumonie.
Observation
. Pneumonie sub-aiguë occupant tout le poumon gauc
étérisme forcé. 17e liv., pl. 11, p. 3, 6 ; 22e liv., pl. 11, p. 2. —
Observation
: Dysurie, puis rétention complète d'urine. Diffi
aisseaux lymphatiques. 13e liv., pl. 1,11,111, p. 40, 44, /2, i3. —
Observations
établissant que la présence du pus dans les vaiss
.,pl.m, ïv, p. g, 40,- 33e liv., pl. 11, p. 2; 36e liv., pl. 1, p. 6.—
Observation
. Grand nombre d'étourdissemens. Hémiplégie droite
cum de Sandifort. lrc liv., Avant-Propos, p. iij. RAYNAUD (M.). Son
observation
d'un rétrécissement par froncement de l'aorte san
u rein résultant de la présence d'un calcul rénal dans le bassincl.
Observation
. Urines purulentes. Tuméfaction considérable et d
Considérations générales sur les rélrécissemens du canal de l'urètre.
Observation
: Rétrécissement. Fausse roule à travers le corps
nt du choléra. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. Ôf. SANSON (L. J.).
Observation
relative à cet habile chirurgien. 38eliv, pl. v
pl. v,vi,p. 3.—Division de la sirénie en deux genres et cinq espèces.
Observation
. 33°liv., pl. v, vi,p.A.—Théorie de la sirénie. 4
ction ; ces tubercules sont le plus souvent consécutifs ; traitement.
Observation
. Coup reçu sur la tête. Au bout de six mois, hémi
v, p. p. —Causes du typhus puerpéral. 13e liv., pl. 1, n, ni, p. 3. —
Observations
. Typhus puerpéral mortel en quarante-huit heures.
émorrhagie de cet organe; imminence de recrudescence et de récidive ;
observation
confirma-tive ; dangers des irrilans. 20e liv , p
Considérations générales sur les rétrécissemens du canal de l'urètre.
Observation
. Rétrécissement. Fausse route à travers le corps
ns les vaisseaux lymphatiques utérins. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 3. —
Observations
. Typhus puerpéral mortel en quarante-huit heures.
ancer utérin. Age qui y est le plus exposé ; ignorance de ses causes.
Observations
. Cancer utérin ayant envahi la paroi antérieure d
de l'utérus consécutive au cancer utérin. 24e liv., pl. 1, n, p. 8. —
Observations
. Cancer de l'utérus et du vagin. Destruction gang
apillaire. 24e liv., pl. 1, n, p. g.— Gangrène primitive de l'utérus.
Observations
. Gangrène primitive. Destruction de l'utérus par
ur le cancer pultacé aréolaire de l'utérus. 27e liv., pl. 11 ,p. /. —
Observations
. Cancer aréolaire pultacé de l'utérus et du vagin
à la suite d'une plaie par arme à feu. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. 3. —
Observation
de phlébite suiviede suppuration et deperforation
ébite— Phlébite consécutive au cancer utérin. 27eliv., pl. iv, p. a.—
Observation
. Phlébite spontanée du membre inférieur droit. 27
ccupe en même temps les veines collatérales. 27e liv., pl. iv, p. 5.—
Observation
. Cancer du vagin et du museau de lauche. OEdème d
confusion regrettable cessera quand on pourra réunir des groupes d'
observations
complètes avec autopsies montrant des lésions i
es lésions identiques. C'est parce qu'il en est ainsi dans les deux
observations
suivantes que nous avons cru intéressant de les
tions suivantes que nous avons cru intéressant de les rapprocher.
Observation
I. Sommaire. - Père : excès de boisson (absinth
ne compres- sion et une atrophie plus intenses de cet hémisphère.
Observation
Il. Somr.unE.- Père, a quitté sa femme depuis 1
ar conséquent discutables. Les commentaires ,qui complè- tent les
observations
étudiées par Hirschl, Mackensie, llobertson, Jo
mettant qu'il soit rigoureusement établi n'est guère applicable aux
observations
dans les quelles les troubles psychiques précèd
une des manifestations somato-psychiques auxquel- les on assiste. L'
observation
suivante milite en faveur de cette interprétati
aveur de cette interprétation déjà soutenue par certains auteurs,
Observation
. Mme z ? 51 ans, est fille de père buveur et de
est asymétrique, et la voûte palatine manifeste- ment ogivale. L'
observation
précédente nous fournit un exemple as- sez net
ents héréditaires té- moignent d'une double tare familiale. Notre
observation
peut donc prendre place à coté d'autres analogu
n côté comme de l'autre ; mais le fait le plus intéressant de cette
observation
est la constatation d'une trépidation épileptoï
ulaire ; par le Dr Deroubaix [Journ. de Neurologie, 1905, n° 13.)
Observation
d'un homme de 72 ans qui avait été atteint à 12
M. Crocq, sont l'insomnie et les crises convulsives. Il relate les
observations
de plusieurs malades chez lesquels la suppressi
leur d'habitude, décrite par Brissaud. Un certain nombre d'autres
observations
démontrent que des phénomènes con- vulsifs peuv
le Dr 110UCHAUD (de Lille). [Journ. de Neu- rologie, 1905, n° 8.)
Observation
d'un homme de 62 ans, qui à la suite de deux ic
MM. Marchand et OLIVIER. [Journ. de Neurologie, 1\)05, n° 10.) L'
observation
qui fait l'objet de ce travail a trait à un par
scléreux. A l'appui de ces considérations l'auteur relate l'auto-
observation
d'un sujet atteint d'otite suppurée, qui com- m
'l'aTv et CHAUflER, (Journ. de Neurologie, 1905, n° 23.) Les dix
observations
d'états hypochondriaques relatés dans ce travai
ançaise, se plaît il, en louer « les incomparables qualités de fine
observation
, d'ordre, de méthode et de clarté ». Nous sousc
acques. (Thèse de Bordeaux, 1904-1905, ne 67. L'auteur a réuni 70
observations
publiées ou inédites qui 72 bibliographie.
uditives aux caractères desquelles elles empruntent leur contenu (2
observations
personnelles) ; quand l'affec- tion auriculaire
, (Thèse de Bordeaux, J ! JU4-1 ! JU3, no 2.ï.) L'auteur a réuni 57
observations
de complications ménin- gitiques dans la dothié
gitiques dans la dothiénentérie infantile, auxquelles il a ajouté 4
observations
inédites : ces accidents sont donc rela- tivemc
ution particulière, durant une période de 4 ans après l'accident.
Observation
, BDUd ? âgée de 30 ans; cuire le 5 juillet U)().-
s un fait accompli, on ne doit plus compter sur elles. Dans notre
observation
, ce n'est qu'au bout de n mois environ que la m
atation n'a pas de valeur absolue d'ailleurs. Nombreuses sont les
observations
de fracture grave où, à l'autopsie, on ne trouv
est que plusieurs mois, souvent davantage (un mois seulement dans l'
observation
de Touche) que se développent les troubles sens
loppent les troubles sensitivo-mo- teurs. Nous ne connaissons pas d'
observations
où une fracture ait entraîné une pachyméningite
Asile de Maréville, et LUCIEN, interne des Hôpitaux de Nancy. Les
observations
d'imbécillité consécutive à des tu- meurs endoc
s spéciales dignes d'intérêt, que nous rapportons le cas suivant.
OBSERVATION
. - C ? b8 ans. Imbécillité et épilepsie, hémiplég
e eu s'atténuant il mesure (lue le sujet, avance en âge. Dans notre
observation
, l'ossification s'est produite dans la couche d
ture avec les formations l,clatitfucs..\ous trouvons du reste une
observation
de M. Vigoureux, ayant trait à une tumeur du lobe
t, est disposé parfois à tirer de trop rapides conclusions de ses
observations
; cette faute a été commise par Char- cot. En 1
spina bifida et no- tamment dans le spina bifida latens. Dans nos
observations
, les maux perforants ont pré- cédé la paralysie
ts chez les paralytiques généraux semble également confirmé par l'
observation
de notre malade Bau ? Chez lui, en effet, le ma
nes (alcool, plomb, etc.), ou endo- gènes (syphilis, diabète) ; nos
observations
s'en rappro- chent par les antécédents spécifiq
de' suppuration pro- US CLINIQUE MENTALE. longée et apporté des
observations
de phlegmons dé- veloppés sous l'influence de c
ppurations et de leur cure pour la marche de la ma- ladie, nombre d'
observations
ont été publiées de paraly- tiques généraux, mê
utre côté et s'accompagnent de sensations désagréables. , Dans sept
observations
de lésions cérébrales organiques, carac- térisé
sulte que le pre- micp temps de l'urjnation doit, comme le montre l'
observation
clinique, être le relâchement du sphincter et n
s de la moelle, par L. de Dydynski. [Neurolog. Centralbl., XXII.)
Observation
de myélite transverse au niveau de la partie supé
, malade ; parZ. Bychowski. (Neurolog. Centralbl., XXIII, 1'JOi.)
Observation
d'une femme de 65 ans, chez laquelle le tabès a
le rétrécissement du champ visuel ella démarche héliopodu. Celle
observation
est intéressante un raison des difficultés de dia
s difficultés de diagnos- tic qu'elle a soulevées. L. WAHL, IV. -
Observation
d'un cas de basophobie à type myoto- nique ; pa
peuvent être modifiées et même guéries par la di- fiitalc.Plusieurs
observations
out été puhliées pat' LeIl1oine, Li lll'é, Dela
auvais jours, ce qui distingue l'affection delà chorée chronique. 3
observations
à l'ap- pui. P. Keraval i, X. Raideur juvénil
ommençant par douleurs névralgi- larmes violentes. Forme très rare.
Observation
à l'appui. P. KERAVAL. XII. Quelques considér
t délire des persécutions . MM. Dromard et LEVASSORT communiquent l'
observation
sui- vante. La femme P ? passe, auprès de ses
- gues, ce qui ne l'empêche pas de les aimer beaucoup. Dans cette
observation
, nous voyons un véritable cercle vicieux s'étab
, il n'y a jamais relevé l'aliénation des parents. Sur un millier d'
observations
directes, if n'a trouvé que 1 enfants Inar- tyr
o-inloxicalions organiques. M. GRI1ND. -On pourrait objecter, celte
observation
, que le malade qui en fait l'objet est tout sim
tagio- sité de la fièvre puerpérale, sa conviction, basée sur une
observation
scientifique, était et demeura inébranlable ; il
it être variable, et il ce propos il a rapporté un certain nombre d'
observations
dans lesquelles il nous montre ces manifestatio
tat et non pas d'un symptôme. Nous allons maintenant rapporter deux
observations
qui, nous l'espérons du moins, convaincront le
la sitiophobie du dément pré- coce à un symptôme bien déterminé.
Observation
i (1). P ? Eugène, entre à l'hospice de Licètrc
r la seconde fois à Bicêtre en février 1899. Voici maintenu ! (1) L'
observation
de ce malade ayant déjà été publiée dans la Nou
aliments, à l'exclusion des autres. Nous allons maintenant donner l'
observation
d'une malade atteinte de démence catatonique, e
tiophobie au négativisme ou à tout autre symptôme bien déterminé.
Observation
Il. Cette observation que j'ai recueillie en vi
isme ou à tout autre symptôme bien déterminé. Observation Il. Cette
observation
que j'ai recueillie en ville, dans la cliente l
e-même avec des potages et des oeufs. Il nous semble que ces deux
observations
paraîtront au lecteur suffisamment probantes po
bantes pour entraîner sa conviction. Prenons, en effet, la première
observation
: on y voit que le début du refus d'alimentatio
ts, puisque ces symptômes sont étroitemement associés. La seconde
observation
nous paraît tout aussi nette : la sitiophobie s
pilepsie s'influençaient réciproquement, comme va nous le montrer l'
observation
. Germaine S ? 35 ans, primipare, entrée à la Cl
ment volontaire. Son affectivité est très affaiblie : la suite de l'
observation
nous ap- prend qu'après la mort de son enfant,
ensité et leui fréquence, sont le premier symptôme qui s'impose à l'
observation
. Ils unt pour caractères essentiels d'être abso
onls avarié de 60 103, restant le plus souvententre CI. 80. Cette
observation
s'éloigne totalement de la chorée des femmes en
une autre catégorie du groupe des chorées que doit se ranger notre
observation
. Malgré l'affaiblis- sement moteur que nous avo
l d'une chorée antérieure ayant évolué dans l'enfance. Dans noire
observation
, et c'est ce qui en fait l'intérêt tout particu
ombre de la chorée gravidique, s'il pouvait être déduit d'une seule
observation
. Il serait désirable que d'autres cas semblable
e des contingences pour devenir de véritables cau- ses. La curieuse
observation
que nous allons rapporter servira de preuve à c
qui rétablit l'équilibre dans la compression des tissus. Dans leurs
observations
, les auteurs n'ont pas trouvé les nécroses par
't[ ! pe<;')<'')'6. 1 \10 ? n" 2.) Revue historique avec denx
observations
personnelles, faisant ressortir l'intérêt de ce
par Matignon. (1\'ouv. Icol1ogr, de la Salpêtrière, 1905, n" 2.1
Observation
de scoliose survenue deux mois après le début d
ne affection parasyphilitique. Puis il rapporte un certain nombre d'
observations
, dans les- quelles il montre le peu d'influence
lle fut certaine, et 17 où elle fut douteuse. 2o Sur un total de 70
observations
avec infection antérieure syphilitique certaine
cupant la périphérie de la cellule embryonnaire, est fondée sur des
observations
incomplètes et mal interprétées. J. S. XL1V.
d'hui, grâce aux recherches expérimen- tales sur les animaux et aux
observations
cliniques sur l'homme, recherches contrôlées pa
Meynerl, de François- Franck, et de Marey. Puis il donne vingt-cinq
observations
dé- taillées, accompagnées de tracés. De toutes
nervosa e mentale. Florence, août 1905, vol. X, fasc. 8. Par ses
observations
, l'auteur se dit en mesure de pouvoir affir- me
on des réflexes plantaires (15 %', M. Teissier, SI}. basant sur ses
observation
* pCl'sonlll'llL's, penseI1Ull : I'Ue dissocialion
la dénomination déforme délirante de la. méningite tuberculeuse.
Observation
I. Méningite tuberculeuse en deux étapes chez u
rénale. Granulations méningées surtoutau nivcau du lobe optique.
Observation
IL - Méningite ayant évolué en un mois chez enf
Pas de granulie. Infiltration fibrineuse du la hase de l'encéphale.
Observation
[Il. Syndrome méningé chez enfant de 9 ans. Dél
yroïdienne paraît admise aujourd'hui sans conteste. Il rapporte six
observations
: Observation 1. - Femme de 4G ans. présentant
admise aujourd'hui sans conteste. Il rapporte six observations :
Observation
1. - Femme de 4G ans. présentant tous les sympt
gmus, déviation de la langue, exagération des réflexes tendineux.
Observation
Il. - Garçon de l5ana. I)évelulrpcment physique
me, amélioration des fondions respiratoires et circulatoires. Cette
observation
est intéressante en ce sens qu'elle réalise un
use de Bourneville et l'infantilisme III)xoedémateux de Brissaud.
Observation
III. - Garçon âgé de 7 ans. Connue dans les dew
rvation III. - Garçon âgé de 7 ans. Connue dans les dew précédentes
observations
, il naît à terme, et ne présente à sa naissance
ent l'éveil de l'intelligence et la disparition de l'hypothermie.
Observation
IV. -Garçon âgé de 18 ans. Naissance et premier»
du développement du squelette et des fonc- tions intellectuelles.
Observation
V. Fillette de lù ans, ayant tous les caractère-
mélioration rapide et notable parles tablettes du corps thyroïde.
Observation
VI. -- Fillette de 7 ans, sans lare héréditaire,
re expliquée d'après les auteurs par ce ra- mollissement, certaines
observations
localisant un ce point le centre des muscles du
ièvretvphode intercurrente d'une façon absolument dissemhh ble. '
Observation
1.- Il\'pt"l'0-l;pllCl)sl(' datant de IIL11tI1701
des crises pendant toute la durée. Mastoïdite typhique, Dans cette
observation
, la lièvre typhoïde, a amené lacessaLion de cri
snla- tif du bacille d'Ebelthne lleutllasêtrc plus démonstratif.
Observation
IL Cldoro-anémie probablement syptomati- que d'
- ques, fièvre hystérique bizarre du la convalescence. Dans cette
observation
, la lièvre typhoïde développe du toute pièce un
congestion des contres encéphaliques. Les auteurs apportent deux
observations
à l'appui de cette hy- pothèse. Dans le premier
le que les phénomènes d'hystérie sont apparus. - Dans la deuxième
observation
, ils'agit d'un jeune homme de 22 ans, porteur d
intense, semblant augmen- ter immédiatement après les crises. Cette
observation
semble, d'après les auteurs, probante de l'orig
par I. Cotte. (Soc. des sciences médicales de Lyon, 7 juin 1905.)
Observation
d'une jeune fille de 1G ans recueillie dans le se
par la psychothérapie et la rééducation. M. 1\11'0t rapporté quatre
observations
de tics traités par la rééducation. - « OBS. I.
M. HAM EL communique, en son nom personnel et au nom de M. Wahl, l'
observation
d'un jeune idiot, atteint d'épilepsie et présen
nduite el elles «'y conforment automatiquement. Dr 11¡ : IULI.nN. L'
observation
de M. Rertillon entres juste. Tous ceux jus<
elu faciale) ; Parle Dr C. Clair (novembre 1904), 61 pages. Dix
observations
d'encéphalocèle, dont une personnelle, avec B
c considérations patho- logiques et thérapeutiques. Une trentaine d'
observations
, dont 'i nouvelles, complètent ce travail. 1
ou insolubles, suivant les in- tlications. Il apporte, l'appui,des
observations
,les unes nouvelles, lus autres extraites de tra
n post-infectieuse constitue une psychose spéciale : la lecture des
observations
, montre que l'aspecljcliiiique. est assez variabl
ant à la limile avec des affections voisines comme as- lu : cl. Dus
observations
précisent ces types : forme paraplégique, l'orm
ER. (Lyon Médical, novembre 1905, na 16-iî). 1. ' De l'ensemble des
observations
quel l'auteur a pu relever, il ressort les conc
s et neurologistes de Rennes, août 1905, complétée par de nouvelles
observations
. (2) Nombre, salaires, instruction professionne
en ce qu'on lui dit. Le caractère est meilleur, il tient compte des
observations
qu'on lui fait, l'amour-propre est éveillé, il
Dessert ? fait mainte- nant l'application de l'addition; l'esprit d'
observation
se forme, et en causant avec lui on est tout su
cile, sinon impossible de fixer l'attention de l'enfant, la moindre
observation
la fai- sait rougir et pâlir tour à tour et l'o
'elle avait été l'objet de mauvais traitements; avait-on la moindre
observation
à lui faire, aussitôt les membres étaient pris
re présager la moindre améliora- tion chez elle. L'enfant mise en
observation
dès le début et traitée immé- diatement pour le
mais elle est taquine, légère et étourdie, se souciant fort peu des
observations
qui lui sont faites; elle exige encore une cert
mes collaborateurs, MM. Viollet (1) et Chopart un certain nombre d'
observations
de psychoses chez d'anciens traumatisés acciden
nou- velle en matière d'accidents du travail. (1) Les principales
observations
détaillées servant de base à ce travail constit
clat ou projectile dont les directions peuvent être très variées.
Observation
I. C'est ainsi qu'un de nos malades a reçu une
ent puis décès, et autopsie confirmative des lésions pré- citées.
Observation
11. Un autre malade, dont l'observation nous a
des lésions pré- citées. Observation 11. Un autre malade, dont l'
observation
nous a été communiquée parle Dr Levet, de Casse
taux associés, mais pas de trou- bles moteurs, à la différence de l'
observation
précédente. D'autres de nos malades ont reçu de
suites pour la prévision des conséquences psychiques éventuelles.
Observation
III. Gu ? sans profession. Alcoolique, fils d'a
ion intercalaire, le 23 novembre 1904, âgé de cinquante-neuf ans.
Observation
IV. - math ? quarante-deux ans. Epilepti- que d
d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans troubles nerveux ou mentaux.
Observation
V. - Cerf ? quarante-neuf ans, comptable. Attaq
tardive. Dans le premier cas, elle est généralement transitoire :
Observation
VI. M. le D Sizaret a bien voulu nous com- muni
ts ; reste' savoir ce que l'avenir réserve à de tels traumatisés.
Observation
VII. .l'ai observé un autre mécanicien qui, à d
ans 20 p. 100 des cas suivant B. Lewis.) Les blessés des quelques
observations
précédentes peuvent être rangés dans cette seco
psychose caractéristique, sorte de démence pré- coce traumatiquc.
Observations
VIII. Gerv ? employé de commerce, qua- rante-qu
commençante, enlevant au jockey sa stabilité équestre habituelle.
Observation
IX. Aucun antécédent héréditaire connu. La spyh
e ses accidents, sauf toutefois pour l'incapacité mentale ultime.
Observation
X. - Un autre malade, toucheur de bestiaux, a s
maladresse préparaly- tiquepeut être pour l'ancien chauffeur dont l'
observation
suit : Observation XI. - Valent ? quarante-ne
tiquepeut être pour l'ancien chauffeur dont l'observation suit :
Observation
XI. - Valent ? quarante-neuf ans, stucateur. En
e Bor- deaux soutenue par M. Maigren, élève de M. Régis, avec des
observations
tirées du service de ce maître, donno à réfléch
essé dans le sauvetage d'un incen- die. C'est aussi ce que montre l'
observation
si intéres- sante de 1\1.Vallon concernant un o
nt un malheureux qu'un traumatisme rend dypsomane, comme ceux des
observations
précitées, ne l'est pas du fait de son traumati
dans leurs rapports avec les muscles de la cuisse. Dans les deux
observations
, vacuolisation dans les cellules des groupes po
IIUDOVERNIG. (Neurolog. Centralbl., XXIV, 1905.) Quatre nouvelles
observations
dont il résulte ce qui suit. On provoque le phé
de l'Université d'Athènes. Résume : Exposé synoptique des diverses
observations
se rap- portant à la microgyrie. Division de la
- rine, à la. Salpêtrière). Chez la malade dont l'auteur publie l'
observation
est survenue progressivement à 40 ans une titub
lle, indépendante de tout effet de dégénérescence. M. Bard publie l'
observation
d'un malade qui peut apporter une contribution
uel, c'est-à-dire par un réflexe de flexion. En tous les cas, cette
observation
permet de penser qu'il y a lieu de faire place
eux; par AtENFELD. {Centralbl. ? Nervenheilk, XXVIII, 1905.) Quatre
observations
d'inertie congénitale du droit externe, du droi
nd, PETIT et CoQUOT; [Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1905, n° 3.)
Observation
d'un chien qui ayant eu la « maladie du jeune â
e ; par GAUSSEL. (.i\7ouv. Icon. de la Scclpétnaére, 1905, n° 3.)
Observation
d'une femme de G3 ans chez qui les contractures
gravité restent REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 337 inconnues. L'
observation
de Dupré et Pagniez se rapproche des autres par
ournaux spéciaux. Le premier volume : Recueil de mémoires, notes et
observations
sur l'idiotie, contient la plupart des travaux
produire l'étal dans lequel se trouve Rous ? ; voici tout ce que l'
observation
clinique nous permet d'affirmer. 356 CLINIQUE
a présenté, le 28 décembre 1903 à la Société médico-psychologique l'
observation
d'une malade qui, à la suite d'un traumatisme l
en auraitpas moins nécessité les mêmes me- sures d'internement. ,
Observation
\'1 111azill ? trente-quatre ans, célibataire
1902. Mort en janvier 1905, au cours d'une attaque épileptiforme.
Observation
XVII. - welter, CI ans, démolisseur reçoit une
ble difficile qu'il puisse sortir et subvenir à ses besoins seul.
Observation
lVlll. - Ily a 27mois,a étéjeté au bas d'un esca-
un complot vis-à-vis duquel l'expert doit être en garde. Dans une
observation
de Dubuisson, entourée d'ailleurs d'obscurités,
at ,fut refusé.Le malade, d'ailleurs, pendant la courte période d'
observation
, n'avait présenté aucun signe bien net de la fo
er le dommage présent et à venir, sont un délai d'appréciation et d'
observation
bien succinct,même avec la révisabilité de l'in
ncore, Féré (1) vient d'appeler l'attention sur ce point. Selon ses
observations
, les accès épileptiques incomplets peuvent cons
nt justement de publier un fait semblable. En ce qui concerne notre
observation
à nous, c'est de l'équivalent épileptique qu'el
urs portée à faire ce qui était défendu, ne tenait aucun compte des
observations
qui lui étaient faites. Elle était propre, mais
Elle était répondeuse et. malhonnête, ne supportait pas la moindre
observation
. Elle avait une certaine mémoire pour les leçon
dans la Revue de Neurologie de lui)02. Ils rapportent aujourd'hui l'
observation
d'un nouveau cas chez un sujet pellagreux attei
e rémission est passa- gère et dure quelques jours ; elle est d'une
observation
courante dansla méningite tuberculeuse, mais il
nt durer des mois. Les auteurs en rapportent un certain nom- lire d'
observations
, les rémissionsayant été, dans ces divers cas, de
épileptique ; par M. Ch. Féré. (Reçue de médeeine, février 190G )
Observation
de plusieurs épileptiques chez, qui des crises de
énie sexuelle; par Ch. Féré. {Revue de médecine, mars 1905.) Deux
observations
, l'une d'un sujet prédisposé de 42 ans, avec an
par Grasset et GAUSSE ? les D" Grasset et Gaussel communiquent l'
observation
d'une malade, chez qui ils ont relevé, en plus
omoteurs oculogyres, des troxgyre et lévogyre. S'ap- puyant sur des
observations
de Parinaud, Foville, Prévost, Ray- mond, etc.,
terne du côté opposé : 3e Griinet- et l3ertolotti ont rapporté les
observations
de deux . malades qui présentaient une paralysi
LED1AIRE, interne du service. \I\l.Ilirtz etLemaire rapportent une
observation
de tabès ju- vénile. A cette occasion, ils font
jetant les cas douteux, ont ainsi dressé le tableau de quaranle-six
observations
, où le diagnostic de labes paraît certain. Il
tions, où le diagnostic de labes paraît certain. Ils ajoutent une
observation
personnelle concernant un jeune homme de 23 ans
triques, qui ontdébuté alors qu'il avait six ans. De l'élude de ces
observations
, les auteurs concluent qu'engé- néral, le labes
aurotique, forme de tabès fruste, est fréquemment réalisée dans les
observations
qu'ils ont compulsées. (Revue ne ? roloqique, 1
qu'il m'a été donné de recueillir dans ces dernières années. Ces
observations
tendent à démontrer que, dans la sclérose latér
pêcher de faire un malheur. Un rien la met en colère ; à la moindre
observation
elle lance à la ligure des gens ce qu'elle lien
assez sévère. - L'autopsie n'a pu être faite. Dans cette seconde
observation
, l'élément démentiel est tout à fait au second
alcoolique aliéné et soeur d'un idiot. Comme chez le malade de l'
observation
précédente, nous trouvons, à l'origine de sa ps
général de la psychopathie est à peu près le môme que dans les deux
observations
précédentes, mais avec prédominance marquée de
ès son entrée, trois ans après le début de la maladie. Dans cette
observation
, nous voyons évoluer à la fois l'affection médu
- raît éprouver une vive jouissance. Il s'agit encore, dans cette
observation
, d'un dégénéré porteur de stigmates. Sa conform
véritablement la place prépondérante. En résumé, il résulte de nos
observations
que la sclé- rose latérale amyotrophique peut ê
constitution de la paroi de l'abcès. Cependant Westphal, dans son
observation
II, décrit une zone névroglique ; mais pour lui
aractère, elle ne laisse rien à désirer; elle tient bien compte des
observations
qui lui sont faites, elle est obéissante, polie
ce que nous entendions parles mots améliorés, très améliorés : nos
observations
fournissent la réponse. Qu'on nous donne des ex
Noire communication au Congrès de Rennes, renfermanLseu- lement 19
observations
, a élé reproduite in extenso dans les Aii ? z.2le
oce : par G. Doutrebente et L. MARCHAND, - Les auteurs rapportent l'
observation
d'un cas de démence précoce avec exa- men nécro
ligo et tumeur centrale de la moelle ; par L. FERRIO. De nombreuses
observations
cliniques ont démontré l'existence de relations
ornil et Ramier. Il n'existe pas dans l'état actuel de la science d'
observation
probante de dégé- nérescence d'un angiome en tu
us toxiques aigus ; d) dans la cachexie phtisique.il rap- porte des
observations
cliniques et anatomo-pathologiques de ces diffé
intéressé, de l'interroger ou de le faire examiner, de comparer les
observations
ainsi soigneusement recueillies avec les déclar
Bordeaux, 1905-1906, n° 16.) Ce travail est basé sur l'étude de dix
observations
de parapha- siques, toutes inédites, six avec a
-, par Salmon, 418. Voir Dégé- nérescence mentale. Basophobie.
Observation
d'un cas de - il type myotonique, par Roger M
sé des détails de ces réactions électri- ques, rapportons d'abord l'
observation
du malade, que M. Raymond, qui l'avait observé
ois et nous permettre ainsi de poursui- vre nos recherches. Cette
observation
a déjà été publiée dans la thèse de Grenier, Pari
t pas pour la diagnose d'hystérie, un symptôme qui survint durant l'
observation
enlève chaque incertitude. Après sa troisième v
oir entrer ici dans de plus amples détails, mais on ne releva pas d'
observation
détaillée et le cadre thermique lui-même est inco
rimitive, marquant le commencement de l'hystérie. L'auteur publie 3
observations
de la dernière forme. Dans les trois cas, les f
qui n'a aucune im- portance grave comme phénomène hystérique. Les
observations
de Charcot(l),Fernet, Secouet, A.Fabre (2) ont dé
int les perturbations organiques des pyrexies. De même que dans les
observations
d'hystérie pathologique étudiées par Gilles de
étées (cas de Bour- neville et Pilliet (1), Ross (2), Delhomme (3),
observation
personnelle n° 1). C'est précisément en s'appuy
rouvons les mouvements de la face, signalés presque dans toutes les
observations
bien prises et nous partageons l'opinion de Massa
leurs malades aucune trace d'anomalie du masque facial. 11 est des
observations
qui sont muettes à cet égard. Clay Scllaw (2)
épétés ; un de nos malades est typique sous ce rap- port. Voici son
observation
: 013SEItV,TIO.1; I (Personnelle. Inédite). Ath
mouvements athétosiques. Cepen- dant il existe un certain nombre d'
observations
dans lesquelles leur ab- sence a été dûment con
servé que l'athétose s'est étendue au tronc. Nous trouvons dans les
observations
de Kurella (1) et Adsersen, que les mouvements
n, que nous n'avons pas trouvés signalés dans la plupart des autres
observations
. Ils consistaient principalement en ce que l'in
semble faire un effort considérable. Il n'y a guère que quelques
observations
exceptionnelles où l'on trouve noté que les mou
igne spasmodique des mouvements est signalé dan» presque toutes les
observations
et en particulier dans les faits de Charcot et
marche caractéris- tique de l'athétose double. Nous donnons ici son
observation
. Observation II. (Personnelle. Inédite). Athélo
is- tique de l'athétose double. Nous donnons ici son observation.
Observation
II. (Personnelle. Inédite). Athélose double, data
dépendant de l'athétose double; mais il existe un certain nombre d'
observations
dans lesquelles l'atrophie dépend d'une autre m
les de la parole ou du mouvement. Aujourd'hui on possède quelques
observations
dans lesquelles se trouve signalée la façon don
leur appa- rition, on trouve qu'ils ont été nettement congénitaux (
observations
de Clay Schaw, Huet, Joffroy, Warner, Rau, Ilal
ne sont pas beaucoup plus nombreux au total, à en juger d'après les
observations
, que ceux que nous venons d'étudier et qui gard
majorité ; mais il y a de fréquentes exceptions à cette règle. L'
observation
suivante, que nous avons recueillie à la consulta
fant de six ans, dans un état d'imbé- cillité à peu près complet.
Observation
III (Personnelle) ? Alhétose des quatre membres
forts, les électrodes maintenues en place, on peut constater dans l'
observation
III le phénomène snivant : des contractions muscu
s les détails, de vous présenter, en manière de préambule, quelques
observations
sur certains points de l'his- toire clinique et
ofesseur Four- nier, travaux qui ont complété et étendu, à l'aide d'
observations
nouvelles et plus nombreuses que celles que nou
on de vous montrer un cas tout à fait analogue. Vous en trouverez l'
observation
dans le 1er volume de mes Leçons du mardi. Il s
llir dans la littérature médicale, el nous y avons adjoint quelques
observations
et remarques personnelles. Il est frappant devo
Cruveilhier (1), Wenzel et d'autres auteurs aient démontré par des
observations
remarquables la merveilleuse tolérance de la moel
bout que difficilement et durant quelques instants seulement ». Des
observations
semblables sont trop peu explicites pour entraî
Leur importance a été d'abord mé- connue. Lancereaux (2), dans une
observation
ancienne (hypertrophie de l'épendyme) avait bie
i à constituer cette maladie nouvelle. Au contraire, la plupart des
observations
récentes signalent ce symptôme, sur la fréquenc
), ce chiffre esl bien au-dessous de la vérité ; et en effet sur 36
observations
relativement récentes que Briihl a annexées à s
récéder ces derniers de plusieurs années. C'est ainsi que, dans une
observation
de Briihl, elle se montre vers i'age de 16 ans
s rachidiennes consécutives a la syringomyélie ? On trouve dans les
observations
publiées des renseigne- ments peu explicites à
tiques musculaires. Nous avons, dépouillé, dans cette intention, 20
observations
suffisamment explicites et nous avons obtenu les
140 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP1 ? rItIRE. musculaires, des
observations
où fût neltement indiquée une prédominance unil
onrexité dorsale gauche, 2 cas; prédominance ci gauche. Ce sont les
observations
suivantes : Roth. Arch. de Neurol., 1887-1888.
... et St(ll'r. American Journal of med. sciences, 1888. Dans cette
observation
, l'auteur attribue la scoliose a l'a- trophie m
n'y a que de la thermo-anesthésie, nulle part d'atrophie. Dans une
observation
de Kahler (Prager medicinische Wochenschrift, n
qui ne saurait être acceptée qu'après un supplé- ment d'enquête.
Observation
I (personnelle). Syringomyélie. Début de la mal
ne leçon clinique de M. Char- cot dans le courant de cette année.
Observation
II (personnelle). Syringomyélie ayant débuté pa
xtenseurs du rachis est plus rare encore. Laborde en cite une seule
observation
, encore le diagnos- tic était-il, dans ce cas,
e. En raison de leur importance, nous donnerons un court résumé des
observations
cliniques de Pitres et Vaillard et de Kroenig.
ce, pour le moment du moins, dans une des- cription d'ensemble. 0
Observation
III. (Pitres et Vaillard, loc. cil.). C... Mari
deux articulations coxo-fémorales et de la colonne vertébrale ».
Observation
IV. (Pitres et Vaillard, loc. cit.). Bad... Jea
s. Nous rapporterons plus loin ce qui a trait au rachis. Les deux
observations
qui précèdent sont succinctes en ce qui concerne
ébrales, combi- nés sans doute à des arthropathies. La première des
observations
qui sui- vent est particulièrement typique. Aus
ent typique. Aussi la reproduisons-nous avec quel- que détail. 1.
Observation
V. (Kroenig, loc. cil.). Deplancltte, ancien em
rs l'ahdomen. DES DÉVIATIONS VERTÉBRALES N É VR OP ATH IQUES. 155
Observation
VI. (Kroenig, loc. cit.). Hoeckc, 35 ans, boula
tié droite du thorax appu3vc sur la crête iliaque correspondante.
Observation
VIL (Kroenig, loc. ci ? ). lleinricll, 52 ans,
suivant toute vraisemblance, le 5A corps vertébral lombaire. Les
observations
publiées diffèrent par quelques détails, mais ell
s deux autopsies ; celles qui existaient à n'en pas douter dans les
observations
purement cliniques de Kroenig, rentrent dans la
. Malheureusement nous ne possé. dons pas et n'avons pu retrouver l'
observation
correspondante. Nous avons examiné le rachis de
une anomalie notable. Nous avons, déplus, parcouru les nom- breuses
observations
reproduites par Topinard dans sa monographie (2).
s trouvons dans la monographie de Bourne- ville et Guérard (1) deux
observations
qui tendraient à le démontrer. L'une appartient
able que celui-ci n'a pas été constaté par l'examen direct. L'autre
observation
est celle du docteur Pennock, empruntée à The Ame
u'à un quart de pouce de la peau ». Tout isolées qu'elles sont, ces
observations
sont intéressantes. Elles prouvent qu'on doit e
r Duchenne se rapportent à cette étiologie. Il en est de même d'une
observation
de Landry (2). Enfin Grancher ( : 3), Duret (4),
nt des mois puis ils s'a- mendent, soit brusquement, comme dans une
observation
de Pravaz, soil plus lentement comme chez le ma
ttières vertébrales. Or cette inégalité de relief manquait dans les
observations
de Duchenne; elle faisait également défaut dans
urs de l'abdomen, qui étaient manifestement relâchés. Il existe une
observation
de Jasinski (1) dont nous n'avons pu consulter
mbaire compensatrice. b. De ces faits il convient de rapprocher une
observation
rapportée par Pravaz. Il s'agil d'une contractu
e du tronc causée par la sciatique avait élé signalée dans quelques
observations
, elle n'avait pas encore fait l'objet d'une étu
ues (-1-1). BonsdorlT (12), Gorllan (13), une revue générale et des
observations
de Lamy (14), des observations de Remak (15) et
llan (13), une revue générale et des observations de Lamy (14), des
observations
de Remak (15) et de Brunelli (16). Une mentio
des degrés divers, les facultés percepti- ves. Enfin, deux ou trois
observations
paraissent établir nettement l'inté- grité du s
nt fort peu fréquents. L'excitabilité électrique. Un grand nombre d'
observations
sont muettes à cet égard. Massalongo déclare qu
ue par les au-' leurs suivants (il n'en est parlé dans aucune autre
observation
) : Dreschfeld. (Cas du nommé 0. L.). Tête asymé
les auteurs qui se sont occupés de l'athétose double. En lisant les
observations
des auteurs qui ont noté les déformations crânien
scar- latine ; sur trois de mes malades parmi lesquels, ceux dont l'
observation
clinique et anatomo-pathologique m'a été si aim
le générale faibles et passent si rapidement qu'il faut parfois une
observation
très attentive pour les apercevoir. La parole n'e
nnaître en France celte nouvelle maladie el en publiait la première
observation
recueillie dans le service de M. le pro- fesseu
ef, il s'agirait ici de néualgies lomho-sacrées spasmodiques. Les
observations
sont encore trop rares pour permettre de tracer l
auteurs (G) ont produit des travaux sur le même sujet. Bien que les
observations
fournies ne soient pas toujours très explicites
qu'une hypothèse ; nous la donnons comme telle. Notons que dans une
observation
« d'ostéo- malacie survenue dans un cas de déme
ion « d'ostéo- malacie survenue dans un cas de démence chronique »,
observation
appar- tenant à Alpins (9), il est signalé des
cer d'arrière en avant le centre de gravité du tronc ». D'après les
observations
que nous avons faites surplu- sieurs malades de
, dans le mémoire de MM. Landouzy et Déjerine (1) et dans plusieurs
observations
de myopathiques que nous avons parcourues, il n
iose. Un troi- sième malade, dont nous avons communiqué récemment l'
observation
il la Société clinique (2), présentait au contr
ragraphe spécial. On les trouve signalées dans l'idiotie ; dans les
observations
appartenant à cette catégorie, on note surtout
s. M. Broca (2) a étudié le rachis d'une femme acromégalique dont l'
observation
avait été publiée par M. Marie. Il a trouvé une
re insuffisant, et nous ajournons la publication détaillée de cette
observation
, intéressante à plusieurs égards. CHAPITRE V
ôté ? D'après les des- criptions des auteurs et d'après nos propres
observations
, les déviations dues à cette cause n'atteignent
is (1) a récemment produit à l'appui de ce fait un certain nombre d'
observations
intéressantes, qu'on désirerait seulement plus
n voulu relever pour nous les traits saillants de son his- toire.
Observation
VIII (Personnelle). Hypertrophie des mains et d
cérébrale est conservée. Ce qu'il y a surtout d'intéressant dans l'
observation
de ce malade, c'est son habitus extérieur, son
de ce qu'on observe d'ordinaire; c'est surtout à ce titre que cette
observation
nous a paru présenter quelque intérêt. OBS. III
difficiles), ainsi que les troubles intellec- tuels. En prenant les
observations
"en bloc, Feer, sur 178 cas de tabes dor- sal s
es mouvements athétosiques. Il existe dans la science une dizaine d'
observations
des mouvements in- volontaires survenus au cour
es cas de ce genre : 258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Observation
de Rosenbach (1). Joanna H..., cinquante-sept a
mmeil et leur suspension pendant un érysipèle que la malade a eu.
Observation
d'Audry (2). A. D..., tailleur, cinquante-deux
5 octo- bre les mouvements involontaires ont à peu près disparus.
Observation
de Laquer (3). Employé, 36 ans. Ataxique. Parol
involontaires qui persistent jour et nuit. En comparant toutes ces
observations
d'ataxiques présentant des mou- vements involon
ions d'ataxiques présentant des mou- vements involontaires avec les
observations
des athétosiques doubles,. nous ne voyons en ré
il rapporte il l'athétose double symptomatique de ces névrites. L'
observation
de Lowenfeld a été l'occasion d'une polémique ent
l existe, d'après M. Audry, dans la littérature médicale, une seule
observation
des mouvements involontaires au cours de l'hystér
le-ci peul être transmise par l'hérédité. Massalongo a publié les
observations
cle trois frères et soeur qui en étaient attein
s parents parait assez fréquent et nous signalerons à ce propos les
observations
de Richardière, Mitchell, Grasset, Bourneville et
(Massalongo). Une frayeur plus ou moins vive est signalée dans les
observations
sui- vantes : Mitchell, Bourneville et Pilliet,
hell, Bourneville et Pilliet, Kussmaul et Schaede, la mère de notre
observation
n° 2 est tombée dans une rivière à son cinquième
nde partie des cas. Il suffit pour s'en convaincre de compulser les
observations
qui ont été publiées par les auteurs qui se son
laires dans la région cervi- cale, signalés très nettement dans les
observations
suivantes : d'Osier, Go- wers, Bourneville, Sol
action est durable ; les maladies neurasthéniques soumises à notre
observation
ont été toujours très améliorés ou guéris après
ndrai pas sur les symptômes qu'on trouvera au complet dans les deux
observations
suivantes, mais je dois signaler le besoin de loc
ROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS. 285 n'avons pas retrouvés dans notre
observation
: c'est le prélude par la syn- cope locale, ce
ertainement ce syndrome qui présente le plus de ressemblance avec l'
observation
que nous avons mentionnée. Du reste on a déjà,
stence d'une névrite périphérique. Depuis la publication de cette
observation
les troubles morbides ont évolué. Ce malade a e
ulier le traumatisme dont l'influence paraît très évidente dans les
observations
de Ross et de Hugues. Dans celle de Ross, une pet
pièces anatomiques. M. Huet a fait l'autopsie de la malade dont l'
observation
avait été pu- bliée par Blocq et Blin, et a bie
ucune place au doute. 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE
OBSERVATIONS
Observation IV (Personnelle). Athétose double
doute. 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE OBSERVATIONS
Observation
IV (Personnelle). Athétose double datant de la
Fonctions organiques normales sauf pour le pipi, mais jamais plus.
Observation
V (Inédite, due il l'extrême obligeance de M. B
(15 gr.), normal. Vessie, contient 200 grammes d'urine, normale.
Observation
VII (Inédite, due à l'extrême obligeance de M.
culs. Testicules infantiles (1). (1) Nous bornons là l'exposé des
observations
intéressantes non inédites qu'on trou-' vera da
s statistiques américaines (3) qui portent sur un si grand nombre d'
observations
. (1) M. Paul Richer va incessamment publier à l
s mensurations de M. Bertillon qui peuvent lui être appliquées. Les
observations
de M. Bertillon portent sur 4000 su- jets paris
mplifiés ? La réponse ne saurait être douteuse. Il est, en effet, d'
observation
vulgaire, que la tête ne change guère de volume
iologiques encore mal déterminées. Il résulte d'un certain nombre d'
observations
régulièrement prises qu'elle s'accélère, d'une
pour tout ce qui concerne la philosophie ; 4° des notes, documents,
observations
, pouvant servir de matériaux ou donner lieu des v
organiques de l'encéphale pour con- server un cadre naturel à notre
observation
primitive, éliminant ainsi les maladies organiq
ment plus incomplets ; quelques-uns même sont à peine ébauchés. Les
observations
nous manquaient, le sujet était encore trop vas
ritait, paraît-il, la faveur de ses con- temporains. Or, beaucoup d'
observations
rapportées par l'auteur en ques- tion offrent,
s de Ch. Lepois et de Sydenham, auxquelles Briquet avait ajouté ses
observations
personnelles. Ce pas décisif fut fait par M. le
seur de Berlin qu'on trouve, avec le moins de parti-pris, le plus d'
observations
de valeur. En France même, on peut retrouver un
élément essentiel de la né- vrose. En Angleterre, à part quelques
observations
de West, Roberts et Thomp- son, la littérature
s comme elle l'a été chez les adultes. Dans la seconde enfance, les
observations
d'hystérie deviennent plus rares. Raulin, nous
ve tous ses droits. Le plus souvent en effet, il ne s'agit dans les
observations
que de phénomènes légers, tels que vivacités, e
rl assez claire- ment pour l'hystérie infantile de plusieurs de nos
observations
. Quand on (1) Charcot, Leçons du mardi, 1888, p
evanciers sur le diagnostic ferme de la névrose. Cette pauvreté d'
observations
utilisables s'explique par ce premier fait que
r l'hystérie. Il y avait donc il leur égard une double difficulté d'
observation
, leur propre physionomie étant pres- que aussi
(2), de son côté, et M. Cénas (3) (de Lyon) ont rapporté plusieurs
observations
où l'hystérie avait suivi les lésions. La thèse
bles aux névroses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'
observation
clinique, en pensant anatomiquement et physio-
rganiques. Pour être jus- tes, nous ne devons pas oublier plusieurs
observations
de même nature publiées dans le Traité des névr
spécialement de l'hystérie si- mulatrice chez les enfants, et leurs
observations
ne concernent guère que des adultes. Il y a bie
ouvements athétosi- ques chez une jeune fille hystérique. Une autre
observation
, due à Perret (de Lyon) (2) mentionne, chez une
rtout quand il s'y joint de la contracture. Il n'y a pas encore d'
observation
qui signale nettement l'athétose vraie dans un
mmes donc plus aptes maintenant il comprendre les faits observés.
Observation
I (personnelle). Syndrome hystérique simulateur d
s n'avons pu les observer. Mais l'enfant qui fait le sujet de cette
observation
a vécu quelque temps auprès de sa grand'mère, a
ant à peu près impraticable à l'hôpital. ' ' ' Conclusions. Cette
observation
qui peut sembler un peu longue, nous a paru néan-
rmes de tremblement hystérique. La thèse de M. Dutil, les dernières
observations
de MM. Joffroy et Seglas, de M. Raymond, de M.
ule que nous devons les rapporter. (13 juillet 1892.) Nota. Cette
observation
fondamentale avait été rédigée avec ses con- cl
nche vient accompagné d'autres phéno- mènes de la vision. Suivant l'
observation
du D'' Parinaud, la macropsie et la micropsie s
en plaques et le tremblement mercuriel, qui, lui-même, d'après les
observations
de Letulle, serait très fréquemment un tremblem
pportant aux faits ob- servés par Charcot. D'autre part, dans ces
observations
, on ne voit pas bien clairement la manière dont
o- quent les phénomènes hystériques. Dans d'autres cas, selon les
observations
de Nieles (braira, -1890, p. 224) ces perturbat
qui surpassait ce que j'attendais était néanmoins frappant ! Notre
observation
démontre que la règle s'applique aux nerfs vaso
faradisation vaso-constrictrice thérapeutique en 1876. Ma première
observation
porte sur une jeune dame qui se plaignait d'une
stricteurs sur un tissu hype- rémié. J'ai choisi comme objet de l'
observation
l'hyperémie de la myringite et du catarrhe de l
lérateurs provenant du grand symphatique. Je reviens maintenant aux
observations
que j'ai faites avec mon collègue P. Dobrotvors
ns l'expérience physiologique n'est pas aussi prononcé que dans nos
observations
cliniques. Il en ressort qu'il est plus facile de
ur dégénéré. Quant à la méningite cérébrale et l'en- céphalite, les
observations
me manquent. Les altérations anatomiques qui co
électrique queje recommande n'étant pas du tout dangereuse, et les
observations
faites sur les animaux n'étant pas toujours irrép
r le traite- ment de la phthisie par le même procédé, parce que mes
observations
qui se rapportent à la phthisie concourent à ét
phores au-dessus et au-dessous de la clavicule. J'ai fait plusieurs
observations
tout seul et d'autres avec l'assis- tance d'un
aucoup plus fréquente chez nous. Je vais relater som- mairement les
observations
qui se rapportent à son traitement. La myélite
t quelque fois de la faiblesse des membres pelviens croissante. Ces
observations
et le cas Erb-Schultze parlent eu faveur de l'opi
ucune influence sur l'état du tissu péri-articulaire. Je n'ai pas d'
observations
se rapportant à l'arthrite tabétique qui est rare
l'intéressant mémoire de M. Parmentier (1), interne du service où l'
observation
de notre malade a été publiée avec tous les dév
a par l'exposé de mon cas si mon inter- prétation est admissible.
Observation
. Filippa Michèle, âgé de 48 ans, garde d'octroi
er seulement qu'elle constitue le côté le plus intéressant de notre
observation
. Avant de terminer cette étude radiographique d
étant donné l'âge de Michel. Le nouveau géant dont nous publions l'
observation
est intéressant à plusieurs titres. 10 O TEBT
e remarque qui n'a pas encore été faite et qui pourtant ressort des
observations
qui ont été pu- bliées jusqu'ici, c'est que dan
ropos, je ne crois pas inutile de relater ici même, le résumé d'une
observation
clinique ayant trait à un cas typique d'acromégal
rès sa mort survenue en oc- tobre de la même année. . Résumé de l'
observation
. - Bracco Guiseppe, 19 ans. A 1 ans ont débuté
cas d'acromégalie héréditaire chez des adolescents. La plupart des
observations
se rapportent à une époque où l'élude radiogra-
e qu'il faudra comblera à l'avenir, d'autant plus que même dans les
observations
les plus récentes, celte question n'est pas éluci
des théories hypothétiques. Dans ces derniers temps on a relaté des
observations
nombreuses sur le gigantisme, l'infantilisme et
antilisme et l'acromégalie et l'on s'est efforcé, à la suite de ces
observations
, de donner une interprétation théorique aux faits
i de mes anciens documents cliniques et sur les 24 4 ETTORE LÉVI-
observations
nouvelles que j'ai pu faire dans ces derniers tem
l me semble tout d'abord, à en juger d'après les photographies et l'
observation
, que la soeur aînée représente un type qu'il est
re quelques considérations étiologiquement et pa- thogéniquement.
Observation
(PI. V et VI). Jon Pierre, 21 ans, paysan deHec
ines, juste le temps de guérir de son abcès et pour lui prendre son
observation
, en sorte que nous n'avons pu essayer aucun tra
nte de la genèse de l'achondroplasie. Si on jette .les yeux sur les
observations
et surtout sur les photogra- phies des achondro
99 chez le malade observé par le D' Dunin et moi (Voir ci-dessous l'
Observation
XIII). Ensuite des opérations de tumeurs de la
DE la COLONNE vertébrale 49 PREMIÈRE PARTIE TUMEURS VERTÉBRALES
Observation
I. La malade A. K..., âgée de 54 ans, est entré
es résultats. On ne pouvait noter nulle part de foyer pathologique.
OBSERVATION
II. Le malade Zieutz., âgé de U3 ans. est entré
as et il part il Berlin où il reste pendant un certain temps sous l'
observation
du Prof. Oppenheim, qui nota (le 25 août 1908)
lonne vertébrale (endothéliome), avec une métastase hypodermique.
Observation
III. La malade Sz., âgée de 43 ans, est entrée
droite, la trépidation épileptoïde avec signe de Babinski léger.
Observation
IV. Le malade Su ? âgé de 54 ans, est entré à l
la voie anale n'était pas fait). Pas de symptômes de névrite. ' '
Observation
V. Le malade Jed, âgé de 40 ans, s'adressa à mo
sphère gé- nitale peuvent être mis sur le compte de la cachexie.
Observation
VI. La malade Sarok, âgée de 36 ans, est entrée
e et la paresthésie de la peau sur l'étendue de tout le membre (1).
Observation
VII. Le malade J. R..., âgé de 65 ans, est entr
ale qui comprimait la moelle. Le malade est mort le 30 juin 1909.
OBSERVATION
VIII. M. Dab (1), homme de 75 ans, est entré à
duelle apparition d'une saillie arquée (on note ce caractère dans l'
observation
II). Quant aux autres symptômes il faut mention
uerite (naissance à terme, pas de dystocie), vivante, ma- lade de t'
observation
I. 1887. Jean (naissance à terme, pas de dystoc
Aurélie (naissance à terme, pas de dystocie), vivante, malade de l'
observation
II. 1892. Marie (naissance à terme, sans dystoc
Elisabeth (naissance à terme, sans dystocie), vivante, malade de l'
observation
III. 100 BERTOLOTTI 1902. Charles (naissance
école et commence régulièrement ses premiers es- sais d'écoliers.
Observation
I. Résumé. Fièvres et attaques convulsives dans
elvienne ont donné des réactions électriques à peu près normales.
Observation
II. Résumé. Pas de convulsions dans la première
es à la normale sans altération de la formule. 116 BERTOLOTTI ·
Observation
111. Résumé. Rougeole dans la première enfance.
présent que nous avons relaté en détail l'histoire clinique de nos
observations
, il s'agit d'en discuter la valeur, de poser un d
plusieurs fois dans les maladies familiales. Dans notre première
observation
, nous avons relevé l'existence d'atta- ques con
laires dans la littérature médicale ? Nous avons passé en revue les
observations
cliniques des maladies fami- liales parues dans
e familiale semblable à celle que nous avons décrite. Deux ou trois
observations
pourtant méritent cependant d'être rappelées ic
une certaine analogie avec les miennes. , Citons en premier lieu l'
observation
d'IIigier (1) : . Cette observation est classiq
s. , Citons en premier lieu l'observation d'IIigier (1) : . Cette
observation
est classique, elle a été citée par beaucoup d'au
plégies spinales familiales. Voici en deux mots le résumé de cette
observation
: Il s'agit de quatre soeurs, chez lesquelles l
progressive de l'intelligence et de la vue. Ici aussi, dans cette
observation
d'Iligier, il y avait, en plus des phé- nomènes
rfaitement d'accord avec M. Dejerine (2) pour vouloirconsidé- rer l'
observation
d'IIigier comme un fait de transition entre la di
raplégie familiale. L'analogie entre les cas d'IIinier et mes trois
observations
est vraiment remarquable : même cause héréditai
myotrophie à type Charcot-Marie ; or il ne faut pas oublier que nos
observations
ont ceci de tout à fait caractéris- tique de pr
liographiques, l'on pourrait trouver quelque chose d'analogue à mes
observations
. Je dois dire que j'ai été dérouté dans mes rec
asser à cet ordre de discussion, je ne peux me dispenser de citer l'
observation
de Freud (I), observation qui a fait époque dans
ssion, je ne peux me dispenser de citer l'observation de Freud (I),
observation
qui a fait époque dans les annales neurologique
qui a fait époque dans les annales neurologiques. On connaît cette
observation
qui a trait à deux frères qui, dans leur premiè
tout de suite queles phénomènes amyotrophi- ques manquent dans les
observations
de Freud, de même que dans tous les autres cas
ère, on trouve dans la Deutcheï4ledical Wo- chenscrift, 1876 (2), l'
observation
de Seeligmüller ayant traita quatre cas (trois
musculaire, bradylalie, mouvements athétosiques et idiotie. Cette
observation
est analogue à celle d'IIigier et de même peut êt
et les paraplégies infantiles fa- miliales. ' Mais dans nos trois
observations
, nous le répétons encore, les symp- tômes spino
n détail quelles sont les analogies cliniques qui existent entremes
observations
personnelles et les formes plus nettes d'amyotr
rcot-Marie et les tableaux morbides présentés par les sujets de mes
observations
. Mais il y a encore plus ; voyons en effet si p
s atypiques de la forme Charcot-Marie, nous les retrouvons dans mes
observations
personnelles avec une analogie parfaite. 1 Je c
encore le cas de Brasch (3), celui de Gordon (4) et enfin mes trois
observations
personnelles. En résumé, comme il est aisé de le
qui n'a pas encore été relevé et qui pourtant ressort de toutes les
observations
publiées : savoir, que la déco- loration de la
cas de Ballet et Rose, de Brasch et de Gordon et en- core dans mes
observations
, nous avons constaté que l'atrophie des nerfs o
t, 1906 (1). La conclusion de notre travail, basé sur de nombreuses
observations
cliniques, était justement que en réalité les r
manière de voir. Il suffit encore de se rappeler que dans nos trois
observations
où le quadriceps fémoral était très atrophié et
controlatéral des adducteurs, voire même que dans un cas (deuxième
observation
) l'on pouvait provoquer lesdits réflexes par la
ance à la rigidité spasmodique constatée chez l'une de mes malades (
observation
II), les troubles bulbo- protubérantiels, les p
oir entrer dans cette discussion, il est certain que dans mes trois
observations
les tremblements, les troubles de la synergie mus
ations semblables ont été constatées par nous dans toutes les trois
observations
; chez mes malades, en effet, il existait seule-
d'après l'étude clini- que que j'ai entreprise, pouvoir ranger mes
observations
dans un cadre morbide qui rappelle absolument l
ans être très rares, ne sont jamais ni profonds, ni étendus. Dans l'
observation
suivante, outre quelques particularités relativ
e M. André, du moins en ce qui concerne les accidents aigus. Dans l'
observation
de M. André (1), il s'agit d'un sujet qui,attei
de ces troubles une lésion corticale très superficielle. De notre
observation
, comme de celle de M. André, il ressort nette-
PAR - Edouard FLATAU IIe PARTIE Les tumeurs extravertébrales.
Observation
IX La malade R. Lew. (1), âgée de 42 ans, est e
es sont dus à la pression exagérée du liquide céphalo- rachidien.
Observation
X. R. Nad., âgée de 4o aus, est entrée à l'hôpi
anémie pernicieuse, la carcinomatose, la néphrite chronique, etc.
Observation
XI. ' Le malade de 45 ans,est venu me consulter
et tourmentèrent le malade jour et nuit. Pendant tout le temps de l'
observation
on n'a pas noté de symptômes du côté de la moel
icule et la paraplé- gie qui ont fait changer le diagnostic. .. -
Observation
XII. Le malade M. Gas., âgé de 45 ans, est entr
les cylindraxes et ne provoque pas de dégénérescence secondaire.
Observation
XIII. La malade Paw., âgée de 18 ans, est entré
ent dans le canal rachidien il y a d'autres localisations. Dans nos
observations
XII et XIII les masses néoplasiques sortaient d
stinale avec envahissement de la moelle comme c'était le cas dans l'
observation
de l3reqman=Steinhaus). Là aussi la paralysie e
insignifiante à la destruction du tissu nerveux. En me basant sur l'
observation
personnelle je serais d'avis que les tumeurs cité
secondaires dans les cordons postérieurs (le cas de Pfeiffer, notre
observation
XIII). Les cellules des cornes antérieures mont
ois les notions fournies par ces recherches. Ce sont là des faits d'
observation
et d'expérimentation de grande valeur pour l'ar
t si, d'autre part, comme nous l'affirmons sur la foi de nombreuses
observations
, aucun des cerveaux provenant d'aliénés n'a été
96 LADAME En dépit des apparences, les faits d'expérimentation et d'
observation
ne sont ni assez nombreux, ni assez concluants
ne de la dermographie l'objet de mes études m'a été suggéré par une
observation
que jai eu l'occasion de faire dans mon service
sion forte, au contraire, produit son abolition. Revenons à notre
observation
. Le malade que nous étudions présente le phénom
énés dont la plupart étaient atteints de paralysie progressive. Mes
observations
m'ont conduit à des conclusions que je vais expos
arl'autre,fontpenserà à la neurasthé- nie de ce centre Toutes ces
observations
ont été faites en 1902 ( ! ). Les auteurs (2) qui
, n'est pas un hystérique. Le pathomime dont Dieulafoy a présenté l'
observation
à l'Académie de médecine était bien un hystériq
récis bien nets, bien contrôlés, mais avec une multitude de petites
observations
fugitives, d'où 218 ô , roux naît la convicti
d'infortune. Nous pourrions citer bien d'autres exemples ; ces deux
observations
suffisent. L. Le lépreux d'Orient, lorsqu'il
dues à l'infection lépreuse, avaient passé inaperçues jusqu'à noire
observation
deePsychose polynévritiqte delior- sakol ! publ
tion avec Rouhinowitcll, médecin de l'hospice de Bicétre (1). Celte
observation
a été le sujet de la première étude des Psychos
sant de poursuivre l'analyse et d'approfondir la pathogénie. Les
observations
que j'ai sont trop sommaires : , elles ne m'ont p
déviation verlébrale et de leur timidité. L'analyse plus serrée des
observations
n'a pas vérifié cette conjecture : les signes d
e nous interprétons comme le reliquat d'une ostéomyélite foetale.
Observation
I (PI. XIX, XX, XXI) Brachymélie métapodiale co
quence de la tuberculose et des méningo- encéphalites infantiles.
Observation
IL Brachymélie symétrique métatarsienne du 2e r
pporter un éclaircissement à la patho- génie de l'achondroplasie.
Observation
I (PI. XXII à XXV). Bernabé Andréa, âgé de 59 a
auche on observe la présence du même os cassé ou partagé en deux.
Observation
III (PI. XXVI, XXIX à XXXI). Otto B., de Posen,
uelque peu éfaufilée et porte latéralement des petites exostoses.
Observation
IV. D'un quatrième cas je ne peux dire que peu
sans vouloir généraliser ce fait, mais en partant seulement de nos
observations
, on peut dire que chez les achondroplasiques pl
oi qu'il en puisse advenir il résulte un fait très important de nos
observations
, celui de l'existence d'une véritable famille ach
L'historique de la maladie, dont nous allons relater brièvement une
observation
personnelle, a été si souvent résumé dans les tra
récentes publications. On peut seulement rappeler que le nombre des
observations
recueillies dans la littérature médicale depuis
mitation topographi- que assez particulière des lésions osseuses.
Observation
(PI. XXXII). Seraf... Cesira, célibataire, âgée d
s à ce propos, les caractères intrinsèques qu'elle présente à notre
observation
ne nous paraissent pas ceux absolument typiques
défaut de toute ten- dance se généraliser, font de noire malade une
observation
tout ci fait excep- tionnelle, et peut-être uni
09. ASilE D'ALIÉNÉS DE HOME Directeur : Prof. G. 111'(GA7.lIN[.
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA. SYPHILIS CÉRÉBRALE PRÉCOCE ET
INI Aide-Médecin des hôpitaux, assistant à l'Asile d'aliénés. Des
observations
de syphiligraphes et de névropathologistes ont dé
e plus du sujet, Ileubner qui rapporte quelques-unes de ses propres
observations
, dans lesquelles les premiers symptômes cérébra
ck, Magnons, Motter. T3eanloin n'a pas recueilli moins de 26 ohser-
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vati
ystème nerveux dans une période précoce n'est pas rare. Parmi les
observations
les plus détaillées de syphilis cérébrale précoce
je résumerai brièvement les suivantes, en ayant soin de séparer les
observations
corroborées par les données anatomo-patholo- gi
bservations corroborées par les données anatomo-patholo- giques des
observations
purement cliniques. Kahler, à l'autopsie d'un i
embres de droite, des dysarthries, des troubles psychiques, et mal-
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 289 gré un
des sujets et fournis de données anatomo-pathologiques. La première
observation
regarde un homme de 27 ans, lequel à 25 ans con-
ent la nature syphilitique des lésions des vaisseaux. La deuxième
observation
se rapporte à un homme de 49 ans, fort buveur,
de la partie antérieure du lobe temporal de gauche. La troisième
observation
regarde un homme de 40 ans qui en juillet 1900
7 ans, alcoolique, qui deux ans après l'infection, soignée au moyen
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 291 de comp
roscopique on trouva une mésoartérite et de l'endoartérite. L'autre
observation
regarde un homme de 49 ans, buveur, qui, un an
Homme de 40 ans, pris d'une hémiplégie gauche, dix mois après l'in-
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 293 fection
et Lanceraux, outre le cas déjà cité plus haut, rapportent les deux
observations
suivantes. 1° (Obs.113). Homme robuste qui, à 3
rnière édition (1909) de l'ouvrage rappelé plus haut, rapporte deux
observations
personnelles. La première (Beob. 45) se rapport
arition de l'ulcère dur, et coexistant avec une éruption maculo-pa-
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 295 puleuse
ontagion m'a été aimablement fourni par le professeur Mingazzini.
Observation
I. Anamnésie. S... Nazareno, âgé de 27 ans, né à
ns cette maison et l'examen psychi- que fait après quelques jours d'
observation
donnèrent les résultats suivants. Examen somati
l'avant-bras à 8 centimètres de j'épitrochiée : 22 centimètres. Le
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 297 patie
à sa parésie. Même dans des essais spéciaux, la suggestion est évi-
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 299 dente,
cure spécifique, mais le patient veut sortir quelques jours après.
Observation
IL - Jeune homme de 21 ans, ayant une tare hérédi
ux cas il s'agissait réellement de syphilis et selon toute probabi-
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 301 lité, d
mble devoir dire que, tant qu'il n'y aura pas un nombre suffisant d'
observations
et de recherches diri- gées vers ce but, nous n
e de l'examen des cas résumés plus haut, et qui a déjà été remarqué
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 303 par d'a
anifestèrent plutôt tard que tôt. Kron également, se basant sur les
observations
qu'il avait faites sur le tabes chez les femmes
rdive, un traitementnul, insuffisant ou énergique a la même valeur.
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 305 Rnmpf,
vent de nouveau ou il en apparaît d'autres qui sont rebelles à tout
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 307 traitem
mlung deutscher NalurforFcher und Ærzle. Vienne, 1894. Tageblatt.
OBSERVATIONS
CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 309 Juscurs
où les surfaces osseuses arrivent en contact, et encore, dans notre
observation
1, au bout de 39 ans, est-elle bien incomplète.
ant au foyer tuberculeux lui-même, il ne contient, dans la première
observation
, que du' tissu adipeux, avec çà et là, de petit
ouard FLATAU TROISIÈME PARTIE LES TUMEURS INTRA VERTÉBRALES · '
Observation
XIV. ' Le malade X. X., âgé de 50 ans environ,
. TUMEURS BIC LA MOELLE ÉPINIÈRE ICT DE LA COLONNE VERTÉBRALE 319
Observation
XV Le malade L., âgé de 30 ans, est entré à l'h
it assez vite en ascendant et en descendant le long de la moelle.
Observation
XVI. Ch. B., âgée de 58 ans, veuve, est entrée
argner les vertèbres dans des opérations pareilles (V. ci-dessous l'
observation
XXI). L'examen microscopique démontra que le ti
amélioration ait pu se produire si l'opération avait été réussie.
Observation
XVII. Le cas concerne une tumeur (le malade Bl.
côté opposé de la tumeur, il n'y a pas môme de ces faibles lésions.
Observation
XVIII. La malade S. Powe., âgée de 44 ans, est
che). Au point de vue hislopalhologique la tumeur est une rareté.
Observation
XIX. Le malade A. G., âgé de 49 ans, est entré
ne peut pas se lever sans aide. Il ne peut rester (1) Je dois cette
observation
à l'obligeance du Dr llfuliniak. * 350 FLATAU
ins résistantes au point de vue de la trophi- cité). Dans notre IXe
observation
il y avait un fait analogue. Il est impossible
Ici également on n'a pas pu constater de signes inflammatoires !
OBSERVATION
XX. ,. ' ' La malade H. L., âgée de 45 ans, est
eurs, mais aussi de la compression de la moelle. En tout cas, cette
observation
nous prouve évidemment que les gommes diffuses da
ch.ù. Neurol. vol. Il, 1903, p. 79. (6) SUF.RIIINGTON and Grunbaum.
Observation
on the Physiology of the Central Cortex of some
ans deux cas de sclérose latérale amyotrophi- que. Depuis, d'autres
observations
ont été faites par Probst, Franceschi, Spiller,
. jap. Univ. zu Tokio, vol. VI, 1902. (11) MOTT et TRETGOLD. Some
observations
on primary degeneralions of the motor tract. Br
du fais- ceau pyramidal tirent leur origine des cellules de Betz. L'
observation
de ce savant cadre assez bien avec mes constata
rd venaient de le faire pour les zonas. Depuis, un certain nombre d'
observations
intéressantes ont été publiées, notamment par M
nlllhuucl, ... l'or SUR LES NÆVI SYSTÉMATIQUES Voici d'abord mes
observations
: 401 OBS, I. Nævus-névrite du 2e nerf interc
ehuchten). La comparaison de la topographie des naevi dans ces deux
observations
(n°6 et 2) est intéressante,parce qu'elle met e
eraient développées suivant les lignes de Voigt. * .... Sur 7
observations
, 6 intéressent surtout les régions intercostales;
raître le plus fréquent au thorax, de même qu'à la face d'après nos
observations
antérieurement publiées. Et peut-être s'en rend
ériques, la senévrile nsitive des éthyli- ques, etc. ' Une de nos
observations
cependant (n° VI) nous parait plutôt d'origine
ins). Et cette origine nous paraît interpréter la très intéressante
observation
6 de MM. Klippel et Weill, si semblable au zona
bservation 6 de MM. Klippel et Weill, si semblable au zona de la 5e
observation
de M. Achard (1), plus facilement qu'une lésion
re d'émettre aussi une hypothèse analogue en ce qui se rapporté à l'
observation
5 du même mémoire, dont les figures 17, 18, 19
terprétation de divers symptômes observés dans le cours du tabes.
Observation
. M. G..., 40 ans environ, femme de service, mar
le nom de trophoedèl11e est localisé aux membres inférieurs. Les
observations
de trophcedème localisé aux membres supérieurs so
onier-Vinard, Achard.en ont rapporté quelques cas. Dans certaines
observations
de trophoedème, on a pu trouver l'origine du sy
énitale; Ouvry, en particulier, dans sa thèse, a rassemblé quelques
observations
où le début s'est fait au moment de la puberté.
près la cessation des règles ; est-ce une simple coïnci- dence ?
Observation
. ' Il s'agit d'une femme de 58 ans, confectionn
ance de l'oedème qui ne présente pas cette dureté signalée dans les
observations
de trophcedéme chronique de Meige sur la dispos
Infantilisme TUBERCULEUX. MAL DE POTT. TUBERCULOSE PULMONAIRE. L'
observation
de Vib... a déjà été publiée par 13ourneville dan
qu'elle soit attentive, pleine de bonne volonté et très sensible aux
observations
qui lui sont faites. Elle est douce, affectueus
és supé- rieures ». STE1NilERG (2) a étudié très complètement une
observation
de Raccourcisse- ment symétrique du squelette d
ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE - - [Suite) PAR Edouard FLATAU
Observation
X X J. Ce^cas a déjà été décrit en détail dans
ale- ment traitée ici ,est celle des tumeurs extra-médullaires, les
observations
personnelles ne nous ayant pas fourni assez d'e
but faisaient complètement défaut (Stertz, Oppenheim). Il y a des
observations
qui démontrent que ces douleurs quoique très fa
ent, les mouve- ments ou quand on se mouche (Schultze, Cushing, nos
observations
VII et XV). Arrivons au point 2) mentionné ci
is distales et apparaissent loin du lieu de compression. Dans notre
observation
Xi, la tumeur siégeaitdans le VIIIe segment cer
geaient même au niveau de la nuque et de l'occiput. Dans notre XXIE
observation
égale- ment,les douleurs frappaient la région d
urs elles paresthésies changent souvent de place. Dans notre XVIIIe
observation
, la malade se plaignait de sensation de brûlure
nt encore on pont voir des rémissions de quelques jours (notre XIVe
observation
). Quelquefois elles disparaissent pour de longs
atrophie des muscles abdominaux. Il est] étrange que, suivant les
observations
de Oppenheim et Bruns, les muscles atrophiés ne
die (jus- qu'à la mort) n'était que de 1/2 mois ! Dans notre XVIII,
observation
, un certain temps après le début de la maladie
ns le diagnostic. Nous citerons comme particulièrement importante l'
observation
faite dans beaucoup de cas où l'on supposait fa
des caillots incolores. Dans quelques cas, entre autre dans notre
observation
XXI, après la ponction lombaire disparurent les
s pupilles et des fentes palpébrales. Il faut encore mentionner ies
observations
exceptionnelles où, malgré cette localisation des
méningées) et nous joignons une table démontrant le résultat de nos
observations
personnelles. Eh bien, à part notre XIXe observ
sultat de nos observations personnelles. Eh bien, à part notre XIXe
observation
où les masses néoplasiques entouraient la moell
ins de la longueur de la tumeur que de son épaisseur. Dans la XVII"
observation
par exemple où la dé- formation de la configura
1. 3 ; 1. 5 (la longueur, la largeur, l'épaisseur), dans la XVIIIe
observation
où la configuration interne était partout plus
eur, des lésions un peu pronon- cées étaient rares. Dans notre XIXé
observation
par 'exemple (le sarcome de la région cervicale
nt de la périphérie vers la profondeur. Ce n'est que dans 1-t,XiV.e
observation
(tumeur au niveau de la VHP vertèbre dor- sale)
bles circulatoires et des hémorragies. Bielschovsky men- tionne des
observations
analogues dues à Dinkler, Müller, etc. Nous n'a
cences secondaires frappent par leur développement minime. A part l'
observation
XVIII où elles étaient bien prononcées, dans to
une atrophie du tapétum ; bien au contraire, ainsi qu'en témoigne l'
observation
de Paget, le tapé- tum peut être franchement hy
oits, et d'observer la dégénérescence consécutive. Dans la première
observation
, la section avait intéressé le splénium et la p
, un certain nombre de fibres calleuses dégénérées. Dans la seconde
observation
, la moitié antérieure du corps calleux avait ét
proposons d'appporter ici notre modeste contribution,fondée, sur l'
observation
de plusieurs cas qui nous semblent dignes de beau
antilismes un excellent mémoire, quoique malheureusemeut dépourvu d'
observations
person-, nelles, traite aussi nécessairement de
s que sur de bonnes descriptions cliniques ; en outre, les quelques
observations
que nous possédons sont presque toutes antérieu
arrivait à peine au-dessus du genou. En 174H, de Rensis publiait l'
observation
d'une femme de 30 ans qui en paraissait 10. Ell
t été considérés surtout à un point de vue anthropologique et leurs
observations
ne sont point détaillées au point de vue cliniq
pement de ceux d'un enfant de 8 ans. M. Manouvrier cite en outre l'
observation
du nain Delphin Sirvaux qu'il assimile au cas d
re l'observation du nain Delphin Sirvaux qu'il assimile au cas de l'
observation
précédente; l'auteur ne dit rien du développeme
nt en faveur LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HÉREDO-FAMILIALE 539 d'une
observation
très intéressante publiée tout dernièrement par M
equel l'infantilisme s'est amélioré, a rétrocédé. Nous trouvons l'
observation
de M. De Sanctis des plus intéressantes et en q
me déformation du nez que le nain qui fut l'objet de notre première
observation
. Les individus mâles nous ont affirmé qu'ils ét
essentielle hérédo-familiale, dont nous allons à présent donner les
observations
cliniques. Observation I (PI. LV11, LVIII) Ma
le, dont nous allons à présent donner les observations cliniques.
Observation
I (PI. LV11, LVIII) Magro Santo, âgé de 19 ans
t vivant, en excellente santé et qui forme l'objet de notre seconde
observation
. Deux années plus tard notre couple eut un nouv
chez le nain achondroplasique dont t j'ai publié dans ce journal l'
observation
. 1 Examen de la sensibilité. - Rien subjectivem
autres relatifs aux deux autres sujets étudiés à ce point de vue.
Observation
II (PI. LVIL, LVIII). Magro Giuseppe, âgé de 12
es parties molles. Nous ne constatâmes absolument rien d'anormal.
Observation
III (PI. LIX). - Gazzano Domenico,âgé de 33 ans
aît parfaite). Notre nain se différencie du sujet de notre première
observation
par les proportions plus harmoniques du crâne qui
manifester chez elle. Elle est fille du nain qui a été l'objet de l'
observation
précédente et porte l'empreinte de sa paternité
lmlil)ylr Ilnrlilllli ? 9n ! ÉTUDES SUit LES NERFS CILIAIRES 567
Observation
I Cette observation a été déjà partiellement pu
? 9n ! ÉTUDES SUit LES NERFS CILIAIRES 567 Observation I Cette
observation
a été déjà partiellement publiée (1 ),elle concer
tirer une conclusion ferme sur l'état des libres et des cellules. '
Observation
II. Elle concerne une femme âgée de 36 ans qui
ne peut rien affirmer de précis. Les nerfs optiques sont normaux.
Observation
III. La malade, âgée de 69 ans, à son entrée da
rfs optiques et le chiasma sont extrêmement dégénérés. De ces trois
observations
, la première est la plus complète et la plus dé
oculaire commun, du trijumeau et du sym- pathique. Les deux autres
observations
nous amènent aux mêmes conclu- sions. Dans ces
fficile lorsqu'il s'agit de cellules des ganglions. Si de ces trois
observations
on peut conclure que le signe d'Argyll- Roberts
essentielle, aucune différence notable même, si nous en croyons les
observations
publiées. Tl y a une analogie frappante entre l
rculeux, de méningitiques, et sans doute, bien que sur ce point nos
observations
se taisent, de syphilitiques. Ch... est une grand
iphyse à la diaphyse.Les cas de liocbheim, de Joacbims- thal, notre
observation
IV, ne laissent aucun doute sur la réalité de c
ssification du reste du squelette (1). Malgré le petit nombre des
observations
que nous avons recueillies, il ne parait pas in
associée à un système de raccourcissements plaa- lallgiens ; dans l'
observation
de Leboucq étaient brefs les deuxièmes pha- lan
es et le premier métatarsien. Est-il légitime d'en rapprocher notre
observation
III : aux deux pieds, le quatrième métatarsien, l
ccroissent plus que ceux du côté interne. On peut, à la lumière des
observations
récentes, concevoir ainsi le mé- canisme de l'a
métapodiale familiale : est-ce donc une anomalie héréditaire ? Les
observations
sont trop peu nom- breuses pour que l'on puisse
s, émis une hypothèse ingénieuse. Il suppose, étant donnée dans ses
observations
la constance de lésions sphénoïdales (inf1ammat
cas de Malgai- gne (3) est discutable. Rieffel (4) n'accepte que l'
observation
de Lucas (5). Les articles de Ricard (6), de Ki
tion. Dans 3 cas, l'opé- ration fut sans résultat (2 cas manquent d'
observations
bien précises). Les résultats les plus favorabl
s de la pression (bathyanesthésie) (Oppen- heim). Dans notre XXIe
observation
, le second jour après l'opération la ma- lade a
, etc. Cette amélioration est du- rable, comme nous le prouvent les
observations
. Ainsi, par exemple, une malade d'Oppenheim éta
es (du côlé des pupilles) sonl très lents à disparaître (notre XXIe
observation
, le cas d'Auerbach-Brodnitz, etc.); en outre, p
t et d'infection devenait moindre (obs. XVIII et XXI). Dans la XXIe
observation
il s'agissait d'une juive opérée par le Dr Oder
géné- ral, les altérations aortiques analysées dans cette étude.
OBSERVATIONS
CLINIQUES. T ? cas. Il s'agit d'un homme de 42
ntact en pareille circons- tance, ainsi qu'en témoigne notre propre
observation
. On se souviendra, en-effet, que le tapétum fai
. Nous nous proposons de pu- blier prochainement cette intéressante
observation
. Une absence totale du système calleux n'a jama
systématiquement par les modernes méthodes d'analyse clinique. L'
observation
détaillée de nos cas nous permettra d'être très b
uelques différences qui existent entre eux. Le sujet de la première
observation
, tout en étant en général de formes très harmon
ux putréfactions intestinales Chez les trois premiers sujets de nos
observations
nous avons prati- LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HMR
if dans un cas de nanisme achondroplasique dont nous avons publié l'
observation
dans ce même journal en 1909. Après avoir mis e
s cas, par un syndrome d'infantilisme (voir à ce propos la première
observation
dans mon mémoire sur l'infantilisme du type Lor
era pas résolue, il nous reste un fait fondamental qui ressort de l'
observation
clinique, c'est-à- dire que le défaut de tous l
même fruste ; tout ce que nous avons dit à ce sujet à propos de nos
observations
de microsomie,sans aucun signe de dysthyroïdie.
borie, l'autre par MAL Klippel et Cha- brol. Eh bien ! toutes les
observations
cliniques sur lesquelles se fondent ces auteurs
rappeler le cadre clinique du nanisme (voir surtout le malade de l'
observation
X). A propos des sujets de cet auteur, nous dev
oint de vue,l'appellation de nanisme; qu'on en juge : le sujet de l'
observation
IX, âgé de 27 ans, mesure 1 m. 41 ; le sujet de
de l'observation IX, âgé de 27 ans, mesure 1 m. 41 ; le sujet de l'
observation
X, âgé de 17 ans, mesure 1 m. 53, et le malade
e l'observation X, âgé de 17 ans, mesure 1 m. 53, et le malade de l'
observation
XI, âgé de 22 ans, mesure 1 m. 56 ! Eh bien !
exceptionellement se déterminer après la naissance comme dans notre
observation
III, mais le plus souvent il est évident dès la
CONCLUSIONS L'étude critique de la littérature et l'analyse de nos
observations
per- sonnelles, nous permettent de formuler que
. ne- vue de l'Ecole d'anthrop. de Paris, t. XII, 1902, p. 11-19.
Observations
sur quelques nains. Bull. de la Soc. d'Anthrop. d
ur tous les cas de polydactylie une explica- tion univoque. Notre
observation
contient quelques particularités qu'il est bon de
é la « déviation en coup de vent ». Ré- gis (5) nous communique une
observation
plus intéressante : il n'a trouvé que quatre do
i de pa- thogénie), par Bernard, 224. Syphilis cérébrale précoce (
Observations
cliniques sur la et maligne), par COSTANTINI,
malforma- tions digitales (13 pl.), 233,429, 5-il, 685. CosTwTm.
Observations
cliniques sur la syphilis cérébrale précoce et
été examinés ; sur ce nombre nous n'avons retenu que ceux dont les
observations
pri- ses sans aucune idée préconçue, nous ont s
possible à la monotonie par la reproduction intégrale de toutes les
observations
qui forment notre dossier, nous les avons group
E. Etats démentiels avec névrose. '10 Epileptique. Le nombre des
observations
complètes que nous pos- sédons actuellement sur
</;«'. Chez ces malades également (nous n'avons encore que peu d'
observations
complètes), l'éten- due du champ visuel ne nous
un signe plus fréquemment constaté (trois lois plus d'après notre
observation
37 % des cas) dans la paralysie géné- rale que
fférentes périodes de la paralysie générale appuyée surtout par des
observations
personnelles). D'après les Annales medico-psych
imbéciles, idiots, crétins » (p. ;6). A la p. 18, on lit : «Après l'
observation
du paralytique P, qui marchait beaucoup, ci- to
s l'observation du paralytique P, qui marchait beaucoup, ci- tons l'
observation
suivante que \i. llillod a classée dans la faible
» (id.), etc., elc... Sans doute, à l'appui de ces allégations, les
observations
sont rares ou absentes ; mais une d'elles, en r
n détail ; l'examen du malade parait superficiel ; enfin beaucoup d'
observations
très défectueuses sont admises sans aucune crit
moire sur les Fugues dans la démence precoce (2), j'ai donné huit
observations
et tenté une classification des fugues si intér
ume. La dé- mence précoce (Paris 1903), ont rapporté (p. 70-71) une
observation
de fugue chez un dément précoce, et en note, tr
une communication de M. Wahl à la Soc. méd. psych. de Paris. (Trois
observations
de dégénérés migrateurs. (Ann.méd. psych., XVII
du vagabondage par leur caractère accidentel et transitoire. Les
observations
qui suivent se rapportent à des ma- lades attei
atteints d'alcoolisme ou de diverses psychoses. Tous, sauf ceux des
observations
1 et IV ont été suivis à la Maison de Santé de
omme pour mon mémoire sur les Fugues dans la démence pré- coce, ces
observations
proviennent du service de M. le Dl Sérieux, méd
ecin en chef de la Maison de Santé de Ville-Evrard. C'est grâce aux
observations
de cet excellent Maître et à ses conseils préci
mitiale pouvait faire croire à l'existence de l'épilepsie larvée.
Observation
I. X. 37 ans, entre à l'asile pour « folie alcoo-
mal. On trouvera dans une communication de Dobrot- worsky (1), une
observation
assez semblable à celle de notre alcoolique.
et précisément en ce qui concerne les fugues. Je veux placer ici l'
observation
d'un malade pris pour un alcoolique par lui-mêm
u'il rentre sans efforts dans le cadre de la folie intermittente.
Observation
Il. X. 37 ans, entre à la Maison de Santé de Vi
nt encore souvent au début de la démence précoce. J'en ai cité deux
observations
dans mon mémoire précité et j'ai donné à ces ph
tal Science, janvier 1905.) Remarques intéressantes, basées sur des
observations
, sur les formes et les causes des délires toxém
névrysme cérébral de dimensions remarquables avec - remarques sur l'
observation
; par D. Rire (Th Journal of Mental Science, avr
e et sur le territoire de l'hyponlosse du même côté. 1 .1. S. VI.
Observation
d'une forme rare de pseudoesthésie ; par le Dr
ots les caractères généraux des pseudo-esthésies, l'auteur relate l'
observation
d'un sujet chez lequel, depuis l'enfance, certa
te. (Bull. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, 1906, n° 125.) L'
observation
qui fait l'objet de ce travail est celle d'un h
illet 1904.) Il n'est pas facile dans ce cas dont l'auteur publie l'
observation
clinique d'expliquer la perte soudaine et bilat
; par ? 10RAH KEMP, (The Journal of Mental Science, Janvier 1904)
Observation
intéressante d'un cas de manie aiguë, datant de
an RAw. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) Une longue
observation
des aliénés (2.500 certificats d'inter- 50 REVU
sentant des phénomènes très curieux de-double conscience, et dont l'
observation
abrégée a été publiée dans le Journal of Mental
égée a été publiée dans le Journal of Mental science de 1903 et l'
observation
intégrale dans le N° d'octobre 1904 du même jou
graduellement et reparaissaient ensuite de la même manière : cette
observation
s'applique plus spécialement à la paralysie des
st utile que pour la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. G3 lecture de l'
observation
indique la classification adoptée par la commis
ation des faits observés et se borne à demander la publication de l'
observation
intégrale avec fac- simile d'écriture dans le J
ile d'écriture dans le Journal of Mental Science. On trouvera cette
observation
avec tous ses détails dans le numéro d'octobre
Mental Science, avril 1904.) L'autour rapporte avec détails quatre
observations
d'auto- matisme alcoolique auxquelles il en a j
oppés sous une influence difficile à préciser. En se basant sur ces
observations
, il étudie et discute : 1° les conditions qui p
; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental Science, avril 1904.) L'
observation
que publie l'auteur montre qu'une maladie aiguë
Thomas Drapes. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) - ,
Observation
intéressante et publiée avec soin dans tous ses
esse qui fut universellement connue dans les rues de Londres. IX.
Observations
cliniques de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE.
janvier 1904.) L'auteur a pu recueillir et publier avec détail six
observations
de cette psychose intéressante et peu commune s
lysie générale ; par FERÉ, (Revue de Médecine ; avril 190G.) Deux
observations
de paralytiques généraux sujets à des accès d'a
icales de Lyon, 11 juillet. (Lyon médical, 30 septembre 1 ! IOG.)
Observation
d'un homme de 38 ans, paralytique général, par-
la maladie qui aujourd'hui porte son nom. Ils rapportent ensuite l'
observation
d'un lépreux âgé de 35 ans qui présenta de l'im
. GRAIIAN. (The Journal of men- tal Science. octobre 1905.) Cette
observation
très intéressante, rapportée avec détail et ave
ns ici parce qu'elles résu- men les points les plus importants de l'
observation
clinique elle- même que nous ne pouvons reprodu
nseignement scienti- liqueest la leçon de chose» ; le jugement et l'
observation
sont surtout développés. Le docteur Licht a fon
écès par paraly- sie générale. 4 décès par tuberculose. C'est à l'
observation
rigoureuse de la circulaire de juin 1901 que le
ur « anatomie physiologique du tronc cérébral étudiée au moyen de l'
observation
clinique », repré- sente non seulement les meil
an, commissaire du gouvernement, a présenté de très ju- dicieuses
observations
. Cette intéressante discussion est à rapprocher
r malade, soit pour le faire admettre, soit pour le faire sortir. L'
observation
m'en a été souvent présentée par les familles p
rapporter ces fugues à leur véritable cause. Commc le malade de l'
observation
II dans ses premiè- eres années, il y a, semble
e, des fugues rappelant celles du malade précédent. Voici une autre
observation
de fu- gues chez un maniaque non délirant : O
une autre observation de fu- gues chez un maniaque non délirant :
Observation
III. X., ingénieur civil. actuellement âgé de 53
onduite et l'attribue franchement à son dérangement cérébral. Les
observations
II et III se rapportent à des mania- ques non d
tions II et III se rapportent à des mania- ques non délirants ; les
observations
IV et Y à deux cas de manie délirante. LES FU
nie délirante. LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES ET LLS DÉMENCLS. 123
Observation
IV. X. représentant de commerce, actuellement â
ée, les yeux brillants ; il mange très peu et maigrit beaucoup. '
Observation
V. X., ingénieur, actuellement (le 33 ans. Gran
où le ma- lade entl dans une phase d'agitation maniaque. Voici l'
observation
d'un débile circulaire qui a fait de nombreuses
laire qui a fait de nombreuses fugues dans ses périodes de manie.
Observation
'I. X., 17 ans. entre à la maison de santé de V
sont morts de méningite. Un frère est interné à Ville-Evrard (noire
observation
VU). Le grand-père est un savant distingué, le
et le malade les ra- conte dans leurs moindres détails. Les deux
observations
suivantes sont des exemples de fugues accomplie
entale. Le premier est le frère aîné du circulaire précé- dent. ,
Observation
VII. X., 19 ans, entre il la maison de santé de
es fugues des explica- tions puériles semblables aux précédentes.
Observation
Vlll.X., employé J (13 (li- 30 ans en- tre il l
gues.- La folie morale donne fréquemment lieu à des fugue*. \. '
Observation
IX. X. 28 ans, entre à la maison desanL6 de ' V
ci un exemple de fugue chez un paralytique général con- firmé.
Observation
X.X.,ca : n : ]ie ! 'ra.nf, atteint de paralysie
t dont Mlle la doctoresse C. Pascal m'a obli- geamment communiqué l'
observation
, partit de Paris, fut retrouvée quatre jours ap
de basée à la fois sur la bibliographie de la ques- tion et sur les
observations
d'un certain nombre d'enfants dont il relate l'
talmique, par ToLOT et SAR- VONAT. (Revue de médecine, mai 1906.)
Observation
d'une femme de 12 ans avec symptômes thyroï- di
progressive d'origine syphilitique. Les auteurs en rapportent une
observation
suivie d'autopsie d'un syphilitique déjà présenté
e; par JoHx R. Lord. (The Journal of Mental Science, avril 1904.)
Observation
intéressante, mais ne différant par aucun carac-
ochées, les intervalles n'étant troublés par aucun pa- siiie. Les
observations
que rapporte l'auteur s'adressent à des sujets
et de l'impossibilité de les abréger sans supprimer leur intérêt, l'
observation
de trois malades. Il constate non sans surprise q
(The Journal of mental Science, janvier 1905.) L'auteur rapporte l'
observation
de quatre malades chez les- quels il y avait as
e est trop faible pour justifier descon- clusions précises ; mais l'
observation
de ces malades lui a suggéré les réflexions sui
idiot i épileptique. - illll. Hn,7EL et \\'.\111. communiquent l'
observation
d'un jeune idiot. épileptique, présentant une h
aco. , ., =· ,. =e%e Aphasie et tuberculose. M. PROV communique l'
observation
d'un tuberculeux devenu aphasique. '... -' M. B
ntent une malade du service de M. Briand et dont ils communiquent l'
observation
. Il s'agit d'une jeune fille, atteinte de sclér
arjmto-intoxication gastrique. MM. Sollier et DUIlEM communiquent l'
observation
d'un ma- lade atteint de délire infectieux, pui
l était t déjà antérieurement délirant. M. ARNAUD croit que celle
observation
vient à l'appui de ce qu'il pense sur la locali
voyages chez les neurasthéniques. M. Marcel Bncnrrn voit dans cette
observation
de M. Régis un appui à la théorie d'après laque
ar M. Régis. Simulation sur une 6ae morbide. M. TuivET rapporte l'
observation
d'un prédisposé névropathi- que, héréditaire, a
tentative de meurtre de la part du malade dont il a commu- niqué l'
observation
dans la dernière séance. Cet aliéné l'a frappé
que provoque par les pratiques d'un magnétiseur. M. Durrenr donne l'
observation
d'un homme, âgé d'une quaran- taine d'années, c
étisme, opérées par une guérisseuse. Le PRÉSIDENT rappelle qu'une
observation
analogue, recueillie dans son service, a été pu
fs à un accident de travail. MM. Vigouroux et Delmas rapportent les
observations
de deux hommes -ayant présenté des troubles int
rcel Briand. La phraséologie de certains dégénérés. M. WAHL lit l'
observation
d'une quérulente, où l'on retrouve une phraséol
. Paralysie générale traumatique. .\1. COLI ET donne lecture de l'
observation
d'un paralytique général du Service de.\1. Vigo
'une exostose d'origine cicatricielle. AI. Vallon considère celle
observation
comme caractéristique, parce qu'en dehors du tr
faut autre chose. 11 y a loul lieu de croire que le malade, dont l'
observation
vient d'être expo- sée, serait devenu paralytiq
etiologique avec leur ma- ladie ; mais il lui semble que. dans son
observation
, la cause dé- lerminanle de la maladie a bien é
tif, régime des dilatés et reconstituant, douches écossaises. (i2
observations
de sa pratique, suivies depuis 10 ans). Comme a
son de santé du Dr Parant : Dr Parant; pas d'interne. 3° Clinique d'
observation
à l'hospice de la Grave, à Toulouse : Dr Rémond
harles Despouy été conduit à l'hôpital de Tarbes où il a élé mis en
observation
. Il est redevenu absolument calme. Il semble n'
anormaux. Les théories faites sur ce sujet et basées surtout sur l'
observation
de troubles mentaux, notamment d'hallucinations
t toutes la même absence d'esprit critique ; voici l'indication des
observations
se- rapportant à la question de l'indépendance
ir l'index). C'est dans cette séance que fut communiquée la fameuse
observation
du sujet dont chaque moitié de la face présenta
nce de la circulation artérielle des deux hémisphères (p. 27) ; des
observations
de G. Delaunay, d'après lesquelles les Primates
on fondementalede vie, je parle 'de la synergie e * constatée par l'
observation
, tandis que la coordination inexpliquée de l'Au
à enregistrer. «Chaque fonction psyclt'ophy- sique arrivant à notre
observation
, dit \YÚWdt (1902, I. p. 229), est déjà éh soi
tons les an- SIC PSYCHOLOGIE.' très, ne sont accessibles à notre
observation
qu'à l'état centralisé, c'est-à-dire unies à d'
t du côté correspondant (croisé) dû cerveau moyen et du pont. Une
observation
d'Ugolitti (1905) est à ce point de vue tout à
départemental, ils sont une moindre peine. Je me permettrai deux
observations
sur cet article, dont le principe ne.mérite que
honoraires de cet expert administratif soit déterminé. La seconde
observation
porte sur la sélection des alié- nés condamnés
espoir que d'autres protestations se joindront aux'miennes, que des
observations
seront échangées en- tre nous, et que nos criti
un pour trois malades dans le pavillon des agités ; dm la section d'
observation
et dans le pavillon des semi-agités, la proport
o et de l'hyperthyroïdie. La conception à laquelle nous a conduit l'
observation
des faits cliniques peut s'exposer par une comp
tlryroidie. Déjà cette opinion s'appuie sur l'analyse de certaines
observations
. Un de nos malades hypothyroidiens a fait la re
on clinique, anatomique et pathologique des idioties méningitiques.
Observations
cliniques et anatomo-pa- thologiques ; par Al.
familiales pour les aliénés qui y seront envoyés après un séjour d'
observation
dans les asiles. Ces colonies familiales seront
té par la suggestion hypnotique. JI. DAMOGLOU (du Caire) rapporte l'
observation
d'un jeune homme à la fois alcoolique, cocaïnom
re de leurs causes déterminantes. ' - IL-Je formulerai ici diverses
observations
générales ; vous recommanderez aux auteurs de c
ence d'emblée. ! cas : délire hallucinatoire aigu. L'analyse des 20
observations
publiées dans lu thèse de Trepsat (1 nous perme
clinique une série de nuances spéciales il la démence précoce.
observation
1. Duc il l'obligeance de \IU. Lwo(l' et 13cnon.
nt le diagnostic de démence précoce posé par 11. le I)' L\\ 011'.
Observation
II. (Personnelle). Résumé. Troubles cénesthési-
mal à droite, aboli à gauche, sensibilité à la dou- leur normale.
Observation
111 Ziehen : Die dillerential Diagnose der lela
cas d'hypnose » (p. 26). C'est donc à la simple analyse de quelques
observations
de troubles de la personnalité que l'Auteur va
on générale dans de nombreux travaux psychiatriques récents que ces
observations
ne prouvaient rien en faveur de la*théorie pour
quel les sensations en question ont été reçues : ce mécanisme est d'
observation
couran te dans la vie psychique nor- male : un
gouverner» l'autre (1) et.par elle, tout l'or- (1) Une intéressante
observation
d'apraxie unilatérale parue le 1 : mars 1907) n
gnosies unilatérales (voir p. 000)7 Plus récemment, il propos d'une
observation
nouvelle, Bleuler a précisé son hypothèse : « D
s ce qui constitue le moi, ne fut-ce que temporairement. Or, dans l'
observation
d'A- braham, il propos de laquelle cet auteur e
nt nous parlons plus haut concernent des mouvements habituels, et l'
observation
démontre qu'elles sont inconscientes, ou du moi
etombe dans la conception classique, que justifie si exactement l'
observation
de tant de faits analogues. Le deuxième cas est
egré d'indépendance et de perfection. 3° On connaît de nombreuses
observations
de succes- sion de deux moi avec symptômes orga
l'ab- sence de ces symptômes : de quel droit faire alors de cette
observation
un argument en faveur de l'alternance d'action
cas cités par l'Auteur (p.27 à 29) à l'appui de sa thèse, celle des
observations
de simultanéité de deux moi avec symptômes orga
l'autre et ne sont donc pas en faveur de la théorie de l'Auteur ; l'
observation
de Louis V... montre qu'elles peuvent réaliser
pour- tant que le duplicisme eût la valeur d'un symbole, et aux «
observations
et classifications admises par les psycho- logu
é et cette cette indépendance sont d'accord avec les données de l'
observation
interne, seule bon juge en l'espèce. 2° Conscie
n animal à système nerveux simple, qu'il a vainement cherché ou d'
observations
faites sur un Artiozaire divisé,en ses deux moi
unité de la conscience : c'est du reste la donnée fondamentale de l'
observation
interne. En admettant même que le moi communiqu
sibilité est celui où la conscience du moi serait fermée, puisque l'
observation
interne affirme com- me constante l'unité de la
ablissement rédige et envoie un nouveau certificat où il consigne l'
observation
du malade et où il conclut au maintien ou à la
n de l'état'mental, hs incidents de la maladie, suivre en un mot, l'
observation
complète de l'aliéné (art. 12). - Dans le pre
ans les Parlements et il nous revient à l'esprit une intéressante
observation
de la thèse de Raoul Lcroy (1) où à piopos de l
r sur le registre, avec la date, leur visa, leur signature et leurs
observations
s'il y a lieu. AnT. 21. Toute personne placée d
ifférenciation du sens musculaire. Alcoolisme et thermogenèse. -Les
observations
calorimétriques faites sur des animaux (lapin)
aractères acquis soient transmissibles. » R. DE MUSGRAVE-CLAY. V.
Observations
et considérations sur un homicide commis dans u
vol. XXXI, fasc. III-IV.) - C'est la continuation et la fin d'une
observation
détaillée, dont le début se trouvait dans un préc
réclamant leur sortie. Le diagnostic de la dissimulation exige une
observation
personnelle prolongée, de préférence dans un ét
la méthode avec laquelle ila été conçu, Basé sur l'expérience et l'
observation
il généralise les faits cL çonstituc une synthè
urla température dans le stade initial de la fièvre ty- phoïde, une
observation
d'épilepsie a\ec asphyxie au cours d'un accès,
un accès, Une note sur les dangers du décubitus abdominal, et une
observation
d'idiotie traumatique chez un épileptique Iiérédi
e trouvait-il ainsi mis d'accord avec la don- née fondamentale de l'
observation
interne ? Non, car ce sentiment reste inexpliqu
la chose, il devait prendre l'idée telle qu'elle est fournie par l'
observation
interne ; il devait, du moins, ne pas se conten
mères (p. 122, 123 et 125) et aux instituteurs (p. 128), de fines
observations
de naturaliste : « L'enfant se saisit les mains,
REVISION DE' LA LOI DU 30 JUIM 1838. 399 différent, contiennent des
observations
, des désidérata dissemblables pour ne pas dire
gale dans un établissement d'aliénés ou dans un quartier ou local d'
observation
ou dépôt, conformément à l'arti- cle 28 ci-dess
l'état du sang peuvent accompagner des états Yesaniques simples. L'
observation
rapportée concerne un jeune homme, dégénéré hér
pie médul- laire ; par DUPRÉ et Camus. (L'Encéphale, 1000, n° 5.)
Observation
dont l'intérêt clinique réside dans l'association
réactions psychopathiclues constatées. Le sujet que concerne cette
observation
, présentait en outre une malformation médul- Ia
te qui est la lésion la plus probable. - 4° On voit aussi,par les
observations
rapportées.que les diverses couches de cellules
les dernières à dégénérer et à disparaître, ce qui concorde avec l'
observation
de Lewis qui a constaté que dans l'idiotie épilep
demeure sans change- ment. 5° Enfin un autre fait résulte de ces
observations
.c'est la faculté que possède la substance grise
er à des conditions mo- difiées, c'est ce que démontre la quatrième
observation
dans la- quelle l'idiotie était bien plutôt le
temps en temps sans élévation de la température. Il a conclu de ses
observations
que la paralysie générale est une mala- die dir
ntaux qui permettent de sou- tenir cette opinion, puis revenant à l'
observation
du malade, il montre que dans quelques cas une
Thomas Drapes. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1906.) L'
observation
que nous avons faite sur plusieurs travaux du m
scence artérielles très ac- cusées. L'auteur rapporte ici plusieurs
observations
. Les cas d'écholalie les plus difficiles à inte
ne signification étiologique. L'auteur rapporte ici une très longue
observation
. Comment se produit l'écholalie ? Pick interprè
par 11AILLARD et J\ ! ILHIT, (L'Encéphale, 1906,n° 3.) Dans cette
observation
, le sommeil fut le symptôme dominant, presque u
HINOVITCH. (Nouv. Icon. de la Salp, 1906, n° 3.) L'intérêt de cette
observation
réside dans ce fait que le ma- lade a pu reprod
ASIIDY ELKINS. (The Journal of mental Science, avril 1906.) Même
observation
. R. M. C. 432 asiles d'aliénés. IV. - La colo
tudes de chacun. Il lui ap- partiendrait en outre de désigner après
observation
suffisante les malades qui rassortissent du rég
enfin les dépulations permanentes, de- vraient veiller à la stricte
observation
des lois et des règle- ments. G. Deny. SOCIÉT
rome incomplet de paralysie pseudo-bulbaire. Il. LAMY présente deux
observations
de sujets âgés, arté- rioscléreux, ayant fait s
ets environnants. Hémiplégie avec atrophie croisée du cervelet.
Observation
présentée par NI. Thomas d'un vieillard hémi- p
lésions est rapporté, Ophtalmoplégie nucléaire chez un labélique.
Observation
rapportée par MM. GRENET et'l'ANON. Séance du 7
tion probable de poliomyélite. ' Il. CLAUDE et CHARTIER, lisent l'
observation
d'une malade de 17 ans frappée soudainement, ap
t du degré de l'engourdissement. Si je n'ai publié autrefois que 20
observations
comme base de ma théorie c'est que ce sont les
it propre pour les dégager des particularités de l'expérience par l'
observation
ulté- rieure de leur application dans un grand
hronologique- ment, précède l'induction et la déduction : la simple
observation
des faits, suivie de leur classement provisoire
en restreignant la portée de l'obser- vation : le sujet direct de l'
observation
ne saurait être autre qu' « une nation, considé
nomènes à observer acquièrent une durée incompatible avec une bonne
observation
: « Un peuple ayant une longévité de 12 à 15 si
embrassé par un seul observateur. Mais est-ce une raison pour qùe l'
observation
, non pas telle qu'on peut l'imaginer, mais tell
te pas moins d'être examiné. 2° Après avoir dénaturé le rôle de l'
observation
et du raisonnement dans la sociologie, l'Auteur
règles donnéees par l'intros- pection, il y a celles données par l'
observation
et dont la portée est ici tout autre ; on pourr
ste », non seulement les reproches injustifiés « d'échapper à toute
observation
de durée suf- fisante» (p.149), et de se confin
ncore pour lui seul le droit à la généra- lisation des données de l'
observation
intérieure, au double point de vue descriptif e
moins ce qu'ils en peuvent connaître en dépit du du- plicisme par l'
observation
et le raisonnement, au point de vue, et à ce po
alise à l'universalité des conscien- ces les données fournies par l'
observation
d'une seule,et, pour être juste, cette générali
a reconnu implicitement la stérilité.Que viendrait faire en effet l'
observation
interne suivie de la générali- sation la plus s
ontreusement la por- tée de l'induction et de la déduction : dans l'
observation
« d'une nation considérée isolément », d'une gu
des notions de bien et de mal communes à tous les hommes, est-ce l'
observation
inté- rieure qui donnera à la sociologie ce que
utre ? Du reste, la sociologie n'est-elle pas surtout une science d'
observation
en voie de progrès continuel, et n'est-ce pas l
r CLAUDE et LEJONNE. (Nouv.Icon.de la Salpê- trière, 1906, n° 2.)
Observation
d'infantilisme annangioplasique chez une femme
que trahit le caractère général et la nature toxique. A l'appui,
observation
d'un homme tuberculeux qui, au milieu de troubles
rchives de Neurologie 1906, n° 123, l'auteur apporte deux nouvelles
observations
avec autopsie, qui confirment en tous points se
; par Magalhaes LEMOS (Nouv. Icon, de la Salpêtrière, 1906 n° 1.)
Observation
très détaillée d'un cas d'infantilisme vrai, type
alcaline deux fois sur 100. 4° Consistance : varia- ble, mais pas d'
observations
précises. 5°Odeur : pas notée dans tous les cas
aillé pour être résumé : rappe- lons seulement que le malade dont l'
observation
a servi de base à ce mémoire était atteint de p
) ; par NOICA. (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 2.) A une
observation
publiée dans la Nouvelle Iconographie, z n° 4 e
s» ; par SocA. (Nouv. Icon de la Salpêtrière, 1906, n° 2.) De son
observation
très étudiée et discutée l'auteur tire des con-
. A propos de ce cas l'auteur a recherché dans la littérature les
observations
publiées de neuro-fibromatose généralisée dans la
ilisme ; par PEL (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 1.) . .
Observation
très fouillée dans l'exposé des symptômes, intére
ypique ; par DUFOUR (Nouv. Icon, de la Salpêtrière, 1906, nua 2,)
Observation
comportant l'existence de certains signes nets
IE R. (nous. Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 1.) Complément d'une
observation
antérieure publiée dans la Nou- velle Iconograp
de la syringomyélie dans quelques cas ; il apporte à l'appui trois
observations
dans lesquelles il a trouvé le début du process
'tôt. Mort rapide après ponction lombaire M. de LAPER SONNE lit l'
observation
d'un sujet de vingt-quatre SOCIÉTÉS SAVANTES. 5
hopathique, lI. Binet-Sanglé a dressé, pour sa démons- tration, les
observations
médicales de tous les membres de cette famille,
soient vérifiées, réunit dans le présent vo- lume un grand nombre d'
observations
d'idiots qui sont encore dans son service et qu
ysme cérébral de dimen- sions remarquables avec re- marques sur l'
observation
; par l31ce, p. 52. Angoisse. L'- au cours de
note clinique sur l'- alcoolique ; par Sulli- van, p. 63. Azam.
Observations
et considé- rations sur un homicide com- mis
patho- logique ; par Pick, p. 50. Voir Glossoplégie, KORSAKOW.
Observations
cli- niques de psychose de ; par Tote, p. 65.
e chez un épileptique ; par Rowe .Icremy, p. 51. Pseudoesth ésie.
Observation
d'une forme rare de ; par Matlirolo, p. 53.
sistance PUBLIQUE.- C'EST inexact. M. DESPRÉS. - Je comprends votre
observation
. Tout mauvais cas est niable. Quoi qu'il en soi
s en plâtres faits après décès, l'album des cerveaux, les cahiers d'
observations
des malades décédés, les comptes rendus imprimé
e alors souvent avec la paralysie agitante, on en trouve encore des
observations
publiées sous les noms de chorea circumrntatori
coordonnés' de Romberg, etc., etc., sont tous des termes ' Les deux
observations
que Romberg a relatées en entier dans son Trait
st à Thomas Eraste', à notre con- naissance, qu'est due la première
observation
se rap- portant réellement à cette forme d'épil
observation se rap- portant réellement à cette forme d'épilepsie.
Observation
I. - Début de l'épilepsie si la suite d'une chute
ase propulsive était pré- cédée d'une rotation. Nous empruntons l'
observation
suivante à Bootius 2. Il en fait précéder l'exp
e ces cas ce que nous avons observé sur un enfant de douze ans. »
OBSERVATION
II. - Enfant de douze ans. Accès procursifs. -
lepsie procursive; mais quoique plus longue que la précédente cette
observation
est moins complète que celle d'Eraste. On ne sa
lepsie procursive, comme l'ont fait ce temps-ci quelques auteurs, l'
observation
publiée par Tulpius'. Il s'agit en effet d'un m
rait peur lutum et aquam. Le même auteur avait publié en 1687 une
observation
qui rentre peut-être dans le cadre de l'épileps
ion qui rentre peut-être dans le cadre de l'épilepsie procursive.
Observation
III. - Course suivie le plus souvent de chute.
pas assez détaillés pour que l'on puisse aussi les ranger parmi les
observations
d'épilepsie procursive. Le cas de Sagar est plu
tismo laboravit. » Caillau5 a rapporté en 1797 le fait suivant :
Observation
IV. Course, puis chute. Un citoyen, âgé de soix
en rond avant de tomber. - Voir aussi à l'article Chorée, p. 82î, l'
observation
rapportée à la note 29. 3 Bernt. - Afonographia
ent de notresiècle, Hufeland publiait dans son Journal une nouvelle
observation
d'épilepsie procursive. Observation V. Accès
dans son Journal une nouvelle observation d'épilepsie procursive.
Observation
V. Accès spasmodiques à dix ans, guéris en peu
mmencement du traitement, le malade fut parfaitement guéri. Cette
observation
paraît plutôt appartenir à un cas de chorée; se
ication, Lau' consi- gnait dans le même recueil le fait ci-après.
Observation
VI. - Enfant de quinze ans. - Courses. Henri S.
des furoncles au bras et au dos, et la guérison s'ensuivit. Cette
observation
, qui se rapproche delà précédente, nous paraît
travail très intéressant d'Itard' contenant un très grand nombre d'
observations
. Parmi elles, deux peuvent se rapporter à l'épi
Parmi elles, deux peuvent se rapporter à l'épilepsie procursive.
Observation
VII. - A cinquante ans, course sans perte de con-
même état, conservant toutes ses forces et ses facultés mentales.
Observation
VIII. - Homme de soixante ans, sujet depuis que
trochaica, l'histoire d'un malade atteint d'épilepsie procursive.
Observation
IX. - Début des accès procursifs à onze ans. -
ns pu trouver celte brochure ; mais 1101h, puis Berger ont publié l'
observation
com- plète. G de l'épilepsie PROCURSIVE.. n
se renouvellent. Tous les médicaments employés ont échoué.. Cette
observation
, des plus intéressantes, peut être approchée de
des divers traitements employés 1. Nous devons citer maintenant une
observation
de Bérard aîné 2, concernant un malade atteint
le décès. L'autopsie qui l'accompagne en fait surtout l'intérêt.
Observation
X. - Course, puis chute avec perte de connais-
e substance nerveuse ramollie et colorée par ce liquide. De cette
observation
, nous ne retiendrons, pour l'instant que, les p
réter. En 1855, M. llloynier' dans sa thèse inaugurale, donne une
observation
d'une malade épileptique présentant une aura pr
ervation d'une malade épileptique présentant une aura procursive.
Observation
XI. - Fille âgée de dix-sept ans. - Mère et tan
epsie. Quant aux causes de la chorée, M. Bastion, à qui est due l'
observation
, se demande si elles tiennent aux accès plus fré-
urvint que longtemps après le début des accès épileptiques. Cette
observation
nous fournit un bel exemple d'accès précédés d'
été publié par Romberg' dans son Traité des maladies nerveuses.
Observation
XII. - Homme de soixante-onze ans. - Cépha- lal
n de l'autopsie qui l'accompagne. Nous cite- rons encore, parmi les
observations
parues dans la première moitié de notre siècle,
ons comme appartenant à la chorée, le cas de Salgues (de Dijon)'.
Observation
XIII. Début à trois ans et demi. -Accès pro- cu
ait téméraire de croire avec Salgues à la guérison de sa malade ; l'
observation
sous ce rap- port est absolument incomplète.
port est absolument incomplète. Nous ne pouvons que mentionner l'
observation
de Roth; l'auteur n'a pas observé sérieusement
omme relevant de l'épilepsie. Voici d'abord un cas de Trousseau'.
Observation
XIV. Il s'agit d'un architecte de Paris, qui, é
PROCURSIVE. de cette forme de l'épilepsie. M. Hammond relate deux
observations
dans son Traité. Observation XV. - Accès ordina
l'épilepsie. M. Hammond relate deux observations dans son Traité.
Observation
XV. - Accès ordinaires d'épilepsie. Accès procu
toire plus loin, à un tremblement des lèvres. (OBS. XVII, p. 27.)
Observation
XVI. - Epilepsie procursive sans accès ordinaires
une minute et il n'y avait ni excitation ni délire. Cette seconde
observation
de M. Hammond est un cas d'épilepsie procursive
, 4, 2.) Unregelmdssige Formai der An/'dlle, p. 241. ' La quatrième
observation
de Cheneau, que J111. Sandras et Bourgui- gnon
classent parmi les vertiges épileptiques, et qu'ils rapprochent des
observations
d'itard, n'appartient pas au groupe de l'épilepsi
lasser et qui ne pourront l'être qu'à la suite d'une longue série d'
observations
suffisamment prolongées et appuyées sur de nomb
s de nombreux accès épileptiques : quo- tidiens à type procursif.
Observation
XVII. Epilepsie PROCURSIVE. Père neurasthénique
'a centigr. de nitrate de pilocarpine. 4 Cette première partie de l'
observation
a déjà paru sous le titre d'É- pilepsie procurs
fficile de faire réparer une erreur administrative et judiciaire.
Observation
XVIII. - EPILEPSIE PROCURSIVE; EPILEPSIE partie
ppocampe, le corps calleux ne présentent rien de particulier. Cette
observation
est très intéressante et elle peut se résumer e
tiques préépileptiques et n'en sont peut-être qu'une exagération.
Observation
XX. - Epilepsie. - Père, hémiplégie droite Mère
d'accès diffère de celle dont nous avons rapporté précédemment des
observations
, nous devons noter la transformation progressiv
M. Cullerre, médecin-directeur de l'asile de La Roche- sur-Yon, l'
observation
suivante : Observation XXII. - Fièvres intermit
recteur de l'asile de La Roche- sur-Yon, l'observation suivante :
Observation
XXII. - Fièvres intermittentes. - Attaques écla
cès caractérisés par une impulsion irrésistible à courir. - 1 Cette
observation
de sclérose tubéreuse s'ajoute 1 celles que nous
la suite du sommeil dans lequel il tombe après l'acte procursif.
Observation
XXIII. - Père tourneur en cuivre, alcoolique. G
ses centrales des deux côtés n'offrent rien de particulier. Cette
observation
que nous avons classée dans l'épi- lepsie post-
e PROCURSIVE. V. VERTIGES PROCURSIFS. Nous avons déjà vu dans les
observations
précé- dentes des malades présenter concurremme
épendant de l'accès. Tel est le cas du malade qui fait l'objet de l'
observation
suivante : Observation XXIV.- Père, múrt phthis
est le cas du malade qui fait l'objet de l'observation suivante :
Observation
XXIV.- Père, múrt phthisique. Mère migrai- neus
ue encore une des formes les plus communes de l'épilepsie larvée.
Observation
XXV. - Grand'mère paternelle morte d'apo- plexi
ive, l'autre correspondant à la période ménin- gotique terminale.
Observation
XXVI. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle,
it, parcourt la salle, puis va se coucher dans le premier lit venu.
Observation
XXVII. - Pas d'antécédents héréditaires. Incon-
ève parfois, va embrasser son père inconsciemment et se recouche.
Observation
XXVIII. - Père mort d'un cancer de la langue. C
e sous les tables, les armoires, de prétendus rats et des souris.
Observation
XXIX. - Père douteux. - Mère débauchée. - Début
le laisse tomber, prend sa verge, se touche et souvent s'endort.
Observation
XXX. - Grand'mère paternelle, névralgies. - Tenda
es accès, Lacro... déchire régulièrement ses draps et ses effets.
Observation
XXXI. - Epilepsie. - Légère déchéance intellectue
me si c'était un véri- table lit. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 11
OBSERVATION
la\Il. -Père, mort phtlcisique. - Un frère, mort
PI... cherchait à sortir, il fallait le maintenir, le surveiller.
Observation
XXXIII. - Père mort phthisique. - Un oncle patern
qu'il s'en doutât. Au bout de quelques minutes, il revint à lui.
Observation
XXXIV. Mère, nerveuse, inconduite, migraineuse,
'épilepsie PROCURSIVE. Ce malade, dont l'un de nous a déjà publié l'
observation
*, pré- sente de l'automatisme à la suite de ses
ce malade l'automatisme à la suite d'un accès le 8 février 1882.
Observation
XXXV. - Père diabétique. - Grand'mère paternelle
édents, mais leur importance en médecine légale est bien moindre.
Observation
XXXVI. - Mère, morte d'un cancer du sein. - Déb
ccès il fait le simulacre de coudre au moins pendant dix minutes.
Observation
XXXVII. Père alcoolique, céphalalgique, rhumatisa
onnait avec les mains, faisait mouvoir sa langue entre les dents.
Observation
XXXVIII. - Aura. Diminution des facultés intell
s les suivauts, observés chez des malades du service de Bicêtre :
Observation
XXXIX. - Père alcoolique. - Mère phthisique. - So
t marche en disant : « Oh ! j'ai mal à la tête, je vais tomber. »
Observation
XL. - Père alcoolique, colérique, eczémateux, mor
e (service de M. BOURNEVILLE) et y est décédé le 15 avril 1885. L'
observation
de ce malade a déjà été publiée par l'un de nous'
la langue, mais urine quelquefois sous lui; enfin il se rendort.
Observation
XLI. -Mère hystérique, intelligence peu développé
uve disséminées dans les journaux et les recueils de médecine des
observations
de malades atteints d'épilepsie accompa- gnée d
ileptoïdes, O. Berger 2 établit un rapprochement entre une de ses
observations
et celle publiée antérieurement par Sem- mola,
èrement, laissant au lecteur le soin de juger en dernier ressort.
Observation
XLII. - Mère morte maniaque. - Signes légers de
chétif. ' Nous n'avons pas la prétention de relater ici toutes les
observations
d'automatisme publiés par les auteurs; il nous
ut-être à lJerpin que nous sommes redevables du plus grand nombre d'
observations
de ce genre. (Loc. cit., p. 144, 153, làî, 155,
8, 159, 186, 193, 195, 199). - Voir encore pour l'auto- matisme les
observations
de Stevens et C. H. Hughes (The Aliellist and N
ions rencontrées à l'autopsie de malades dont nous avons rapporté l'
observation
; voici maintenant un cas d'épilepsie procursive
e de rattacher les phénomènes procursifs observés pendant la vie.
Observation
XLIII. - Tante paternelle sc ! 'o/Me : fsf.37e;'e
obser- vées sur l'encéphale de Duch... '. Nous rapprocherons de l'
observation
précédente une autre observation suivie égaleme
ch... '. Nous rapprocherons de l'observation précédente une autre
observation
suivie également d'autopsie; le malade n'avait
ropsie étaient l'atrophie cérébrale et la lnéJ/il1go-encéplwlite.
Observation
XL1V. - Atrophie cérébrale. - Hémiplégie gauche.
on cérébelleuse nous signalerons encore la tilubation. - Des deux
observations
qui précèdent, relatives à des malades atteints
t l'autre d'ac- cidents procursifs tardifs nous rapprocherons une
observation
de M. Meschede1. Toutefois nous devons faire re
on de M. Meschede1. Toutefois nous devons faire remarquer que cette
observation
diffère un peu des nôtres au point de vue clini
blir une comparaison exacte entre ce cas et les nôtres. Parmi les
observations
anciennes que nous avons publiées dans notre hi
organes environnants ne permettent pas de discuter avec fruit ces
observations
. Anatomiquement parlant, il semble donc, d'aprè
qui concerne l'anatomie pathologique, les détails contenus dans les
observations
anciennes sont loin d'être suffisants. Il est à
mémoire sur le tournis, lu à l'Académie de médecine en 1833, cite l'
observation
d'une demoiselle qui, à l'âge de quarante-sept
ntourées d'une très grande obscu- rité. Nous ne croyons pas que nos
observations
soient à l'abri de toute critique sous ces dive
ce, etc.) avec lesquels cet organe a des connexions si intimes. Des
observations
ulté- rieures peuvent seules confirmer ou infir
naissons rien de l'étiologie de l'épilepsie procursive. D'après nos
observations
, nous pouvons seulement dire que la lésion encé
e double avec imbécillité; par BOURNEVILLE et PILLIET. Les deux
observations
sur lesquelles nous allons appeler l'attention
ont le diagnostic précis nous paraît offrir quelque dif- ficulté.
Observation
I. - Deux frères ont eu des convulsions dans l'en
eur au point de vue du dia- gnostic et nous reprenons la suite de l'
observation
depuis l'époque où le malade est revenu dans le
uverts. Il déclare mieux marcher avec ses souliers que pieds nus.
Observation
II. - Père très nerveux, sujet ci des accidents p
ffort considérable absolument comme chez le malade de la pre- mière
observation
. Dans la marche, qui n'est possible qu'avec un
début, des symptômes et de la marche de la maladie dans nos deux
observations
. 1° Les phénomènes d'athétose auraient été rema
(t. I, p. 695), Gowers (t. IV, p. 90), Hammond (t. V, p. 117), et l'
observation
de M. P. Blocq (t. XIII, p. 217); le mémoire tr
ises convulsives, ainsi que le montrent les notes de la colonne des
observations
. En nous appuyant sur tous ces faits, nous somm
al, le lecteur trouvera aux pages 102 et 110 de ce Compte rendu une
observation
très intéressante avec deux tracés thermométriq
antes ? voilà ce qu'il nous a paru intéressant de re- chercher. Nos
observations
, tout à fait personnelles, ont porté sur 728 id
d'un petit travail d'ensemble. Nous en détachons au- jourd'hui une
observation
curieuse également à d'autres titres. OBSERVA
jourd'hui une observation curieuse également à d'autres titres.
OBSERVATION
. - Père débauché, alcoolique. - Grand père pate
côlique est assez fréquent. Il n'a certainement pas dû échapper à l'
observation
des ana- tomistes et des anatomo-pathologistes
permis de réunir en peu de temps, sur ce sujet, un certain nombre d'
observations
. Sur 89 autopsies, nous avons rencontré cette d
s le n° 38 (t. VI) du Progrès médical de 1887, nous avons rappelé l'
observation
suivante que nous avons recueillie en 1869 pend
inèrent pas d'éternuement. L'électrisation des muscles du (I) Cotte
observation
a été publiée dans The Lancer 1870, I, p, 446.
u 7 octobre. La particularité qu'il importe de relever dans cette
observation
, c'estlamarcho de la température centrale. Elle
de la précocité de la première dentition (13 ? ) et l'auteur cite l'
observation
d'un enfant qui présentait une dent à la naissa
s. Hier, au moment du dîner, un infirmier ayant voulu lui faire une
observation
alors qu'il était très bruyant et se disputait
n mérite d'être étudiée à nouveau. Si vous parcourez les nombreuses
observations
de paralysie agitante publiées en France et à l
IPIENS (1) PAR J. NAGEOTTE, Médecin-suppléant de Bicêtre. Les
observations
de lésion des racines de la queue de cheval sont
nal, j'ai cru devoir en faire une étude minutieuse. A côté de cette
observation
, qui donne des résultats précis concernant le t
c clinique : paralysie générale, atro- phie des nerfs optiques. L'
observation
clinique ayant été égarée, je n'ai pu savoir si l
orne par une zone margi- 26 NAGEOTTE nale qui n'existe pas dans l'
observation
I avec cette densité et qui, par consé- quent e
ques de la paralysie générale. Les notions qui se dégagent des deux
observations
précédentes doivent être divisées en deux catég
virai pour cela de l'ob- servation I principalement, et de quelques
observations
analogues em- pruntées à différents auteurs.
chaque racine dans la moelle ; pour cette partie de mon travail, l'
observation
II me fournira des documents précieux. I. Fibre
ion II me fournira des documents précieux. I. Fibres endogènes. L'
observation
I est extrêmement favorable à l'étude des fibres
neurone périphéri- que, sans envahir des fibres qui, dans d'autres
observations
étaient atteintes. Ainsi dans la très belle obs
s d'autres observations étaient atteintes. Ainsi dans la très belle
observation
de Sottas, qui concerne un cas de compression d
compression des racines par un noyau de cancer émané, comme dans l'
observation
I,d'un cancer primitif d'une capsule surrénale, i
de Lissauer et des fibres fines de la corne postérieure ; dans mon
observation
, au contraire, les zones de Lissauer sont absol
ntervient ici sans doute encore un autre facteur; tandis que dans l'
observation
de Sottas le cadavre était « squelettique », dans
suit presque immédiatement la dégénérescence secondaire; si dans l'
observation
I certains systèmes endogènes, habituellement att
e qu'il n'existe pas de dégénérescence tertiaire appréciable dans l'
observation
I et cette opinion est fondée précisément sur l
énérescences tertiaires n'ont pas eu le temps de se produire dans l'
observation
I.dece travail ; 2° qu'il n'existe, suivant tou
res fibres endogènes que celles qui sont conservées dans cette même
observation
et que je vais maintenant décrire. . A. FIB
, où les fibres fines se montrent avec la même abondance que dans l'
observation
I ; enfin on peut constater que dans le tabes c
s la description de ces fibres, telles qu'elles apparaissent dans l'
observation
I, après l'effondre- ment des fibres radiculair
res. -Cette proposition découle immédiatement de ce fait que dans l'
observation
I, sur toute la hauteur du renflement lombaire,
pothèse qui permettrait d'accorder les constatations si nettes de l'
observation
I avec la réalité d'une continuité entre les fibr
s de tabes incipiens, le seul tabes de cette catégorie parmi ses 13
observations
, la lésion de cette zone était tellement peu évi-
pI.VII, 3, montre que dans le tabes incipiens qui fait l'objet de l'
observation
II, les zones en question sont absolument in- t
que j'ai observée dans tous les cas de tabes anciens. Enfin dans l'
observation
II, où les zones de Lissauer sont intactes, le ré
; à la région sacrée elles se continuent l'une avec l'autre dans l'
observation
I, où elles sont conservées toutes les deux, sa
rt de ce qui revient à l'une et à l'autre, il faut s'a- dresser aux
observations
de lésions transversales de la moelle au-dessus d
nsversales de la moelle au-dessus du renflement lombaire ; dans ces
observations
, en effet l'une des formations endogènes à gros
les comparer avec celles de la pl. V. a) Triangle médian sacré. - L'
observation
de Souques et Marinesco, et surtout celles de H
ou par le carmin . C'est à ce type de moelle que répond celle de l'
observation
I où les fibres cessent pro- gressivement d'êtr
s l'immense majorité de ses fibres est de nature en- dogène. Dans l'
observation
de Dejerine et Spiller le néoplasme qui com- pr
me remontant au-dessus de l'extrémité inférieure de la moelle. Leur
observation
n'est donc pas propice à la délimitation des zo
où il est mis en évidence par la dégénérescence radiculaire. Dans l'
observation
I on peut constater que, sauf dans la région sacr
e possible, la zone de Westphal semble encore plus dense que dans l'
observation
I ; mais ici je crois qu'il s'agit d'une illusi
à la région lombo-sacrée, au cours de l'étude anato- mique des deux
observations
qui servent de base au présent mémoire. Avant d
e perdent bientôt dans le réseau des fibres à myéline fines. De l'
observation
I du présent mémoire, il résulte que toutes les f
olonne de Clarke à son origine, au niveau de la 2" lombaire, dans l'
observation
I. Ce fait prouve que si les raci- nes lombo-sa
s et les deux premières lombaires. II. - Fibres radiculaires. L'
observation
I montre le trajet intra-médullaire des racines l
continua- teurs. Pour faire cette étude je prendrai comme base l'
observation
II qui se rapporte à un cas de tabes incipiens
s très étendu en hauteur, mais très limité en largeur. De pareilles
observations
sont encore très rares; la plupart des cas publ
qui n'appartiennent déjà plus à la phase initiale du tabes. Dans l'
observation
relatée plus haut, les lésions paraissent au co
de ce cas une description minutieuse racine par racine. Dans cette
observation
, la sclérose intense s'accompagne de rétraction ;
stématique. Mais ce n'est pas le point le plus intéressant de celte
observation
, car la démonstration de la nature systématique
RIEURS 45 entre le renflement lombaire et la région dorsale. Dans l'
observation
II (PL VI, 1 1., 12 d., 11 d.), la bandelette p
lette est figurée, au même niveau. avec une forme analogue dans une
observation
de Westphal (1). D'autre part, il existe dans l
le inférieure, qui reproduit très exacte- ment la disposition démon
observation
II et l'on retrouve cette même conformation dan
externes dans les régions lombo-sacrée et dorsale inférieure ». L'
observation
IIprouvesans contesta tion possible que cette con
s inci- piens peut être étendu à toutes les racines de la moelle, l'
observation
II en est la preuve ; il peut également être an
, dans la région sacrée c'est un tabes avancé. , Le fait que dans l'
observation
II, le cordon de Goll est indemne, malgré une a
dront pas longtemps. Nous en signalerons un exemple plus bas dans l'
observation
deBit... Nous n'étudierons que les lésions syst
tique. Service de M. P. Marie à l'hospice de Bicètre. Résumé de l'
observation
clinique : Père syphilitique, serait mort ataxiqu
mbraneux gauche. Aucun d'eux ne présente d'altération. Comme dans l'
observation
I, la sclérose occupait surtout le territoire des
ent sous leur dépendance, du moins d'une façon complète. Les deux
observations
qui précèdent ne me paraissent donc pas nette-
le diagnostic pendant la vie » (1). Nous relaterons ici plusieurs
observations
avec examen anatomo-patho- logique dans lesquel
tabétique. Service de M. Pierre Ma- rie, à l'hospice de Bicêtre.
Observation
VI de la thèse de Sureau : douleurs des jambes, i
binée tabétique. Service de M. Piètre Marie (hospice de Bicêtre).
Observation
XVII de la thèse de Joliannes Martin. Chancre à 1
stématisation du processus des lésions. Nous relaterons enfin une
observation
que nous pouvons rapprocher des précédentes au
née tabétique. Service de M. Pierre Marie à l'hospice de Bicêtre.
Observation
33 de la thèse Sureau. Cécité datant de 1873. A
nulle part l'existence de corps granuleux. En résumé, sur les sept
observations
anatomiques qui précèdent, cinq nous paraissent
amplitude moindre que la flexion qui la précède. Elle a échappé à l'
observation
directe, elle n'est révélée que par l'analyse g
que : ceci explique pourquoi les auteurs, se ba- sant sur la simple
observation
clinique, ont pu affirmer que le réflexe des or
édecine Interne, médecin de l'Hôtel-Dieu. lauréat des Hôpitaux. L'
observation
suivante a trait à un cas de grande cyphose attei
ile évangélique d'Aix-les-Bains. I. sciatique avec CYPHO-SCOLIOSE
Observation
. M. Lab..., 40 ans, menuisier, Bourg (Ain) (PI.
ement légitime de ces cas sous le nom de spondylose rhumatismale.
Observation
I. M. C..., 34 ans. Département de l'Ain (PI. X
Il peut se retourner dans son lit. 3" Cure de douches-mas- sages.
Observation
Il. 'i M. J..., 33 ans. Vaucluse (PI. XVI). A
autres, faute de pouvoir faire les frais de sa cure à l'hôpital.
Observation
III. M. M... SI ans. Département de la Drôme (P
portant sur toute la hauteur du névraxe donne de l'intérêt à cette
observation
. Elle apportera peut-être une contribution à l'
er la théorie toxi-infectieuse émise récemment (2). . Résumé DE L'
OBSERVATION
. - Affection ayant évolué en 15 mois : début pa
Pierret et où nous avons pu suivre l'évolution de l'affection. -
Observation
. - Mme M..., femme B..., dévideuse, 36 ans, ent
de douleurs occipitales et de douleurs au niveau des lombes. (3) L'
observation
régulière et détaillée de la première partie de l
ien voulu nous rédiger cette note : l'intérêt et la valeur de notre
observation
se trouvent accrus de ce fait et en même temps
a pas trace de paralysie des membres et ce fait vient à l'appui des
observations
de Pitres (2),Nothnagel (3), Duchek (4),Lind, Lad
rimant ou atteignant directement la capsule interne. Par contre ces
observations
mentionnent l'existence d'une paralysie faciale
e Ladame), les tremblements (Lind), symptômes reproduits dans notre
observation
. Le spasme facial gauche de notre malade s'expliq
oisée portant encore sur l'olive bulbaire opposée, comme dans notre
observation
. Cette atrophie entraîne à son tour l'altératio
s associées à l'évolu- tion des néoplasies, du moins la lecture des
observations
publiées par eux confirme cette existence (Noth
lésions constatées. Le cerveau gauche et le cervelet droit de notre
observation
présentent des lésions à caractère inflammatoir
ubles si divers observés au cours de l'évolution des tumeurs. Des
observations
et des constatations récentes semblent donner rai
de faits particuliers qu'on peut induire des lois générales : notre
observation
et les explications qu'elle comportait n'ont pa
lté Médecin des hôpitaux de Lyon Interne des hôpitaux de Lyon Les
observations
de maladie de Friedreich sont encore assez rares,
ron, et dont nous avons pu pratiquer l'examen à peu près complet.
Observation
. Tardy Jean-Claude, 34 ans, salle Jacquard, n°
uns sont nettement en voie d'atrophie et de'dégénérescence. Notre
observation
est, comme on le voit, un cas typique de maladie
vessie et des fonctions urinaires, le début dans l'enfance. Notre
observation
présente cependant quelques particularités intére
orte trois cas sur cinq malades. Ladame (6) (de Genève) en cite une
observation
. Il en est de même d'un cas de Sczepinski, publ
isceau de Gowers, faisceaux qui ont été trouvés lésés dans quelques
observations
. En somme, notre cas est un cas typique de mala
de recueillir tous les cas aigus et représentant.un grand élément d'
observation
; mais alors, à plus forte rai- son, il faudrai
ion de l'infantilisme au gigantisme, nous rappelions l'intéressante
observation
publiée par M. Capitan (3) d'un sujet, qui, dep
SME 167 A l'appui de ces remarques, nous avons rapporté autrefois l'
observation
de Jean-Pierre Mazas de Montastruc, qui représe
radiographiques qu'ils ont faites sur le grand.; Char les (1), leur
observation
du géant Constantin, viennent confirmer de la s
dir, tandis qu'il a des chances de s'acromégaliser avec le temps. L'
observation
clinique et la radiographie soit d'accord pour co
die, avec ou sans obésité (1). Aujourd'hui, je désire relater une
observation
qui, non seulement con- firme mes publications,
st glycosurique, fait bien digne d'être commenté. Voici d'abord l'
observation
de ce malade (Pl. XXII) : G..., figé de 66 ans,
lusion de tout autre sucre. Un certain nombre de détails de cette
observation
méritent d'être rete- nus, commentés et discuté
ogowi tch (2), Gley (3), Boyce et Beadles (4) ; pour les mamelles l'
observation
de Djemil-Pacha est tout à fait démonstrative;
sseur'Dieulafoy, nous ont semblé intéressants à ce point de vue :
Observation
I (PI. XXIII). M..., 66 ans, salle Ste-Jeanne, n°
gime les résultats suivants : 25 février. 184 LOEPER ET CROUZON
Observation
III (PI. XXIV). - Mme Cord..., 67 ans, salle Sain
e Ber- nard, de Ranvier, de Chossat, etc., ont confirmé ces faits d'
observation
cli- nique. On peut réaliser l'oedème en excita
ous cas imperceptible. La succession des faits est inverse dans nos
observations
. 11 est vraisem- blable que le malade, cardiaqu
férents de ceux qui ont été constatés par les auteurs précédents. L'
observation
sui- vante nous parait importante pour éclairci
a bien voulu nous donner des renseignements précis sur son début.
Observation
. - F..., jeune garçon âgé de 15 ans, est amené
malades de l'asile d'Evreux. Chez la malade qui fait l'objet de l'
observation
suivante, j'ai eu l'occa- sion de suivre l'évol
lution d'un purpura venant compliquer un pseudo- oedème typique :
Observation
Service de M. le Dr Bessière. Hérédité. - Dem
D'ACHONDROPLASIE PAR R MAURICE DIDE et LEBORGNE (de Rennes).
Observation
(PI. XXYIII). Il s'agit d'un homme de 63 ans. I
TOSE GÉNÉRALISÉE PAR FERNAND RUDLER, Médecin-major à Belfort.
Observation
. D..., 23 ans, incorporé depuis six mois, occup
aître, il suffira aussi de grouper les symptômes cardinaux de cette
observation
et de se reporter aux photographies pour établi
ue la fatigue physique et les pertes de mémoire. Telle que, cette
observation
représente un type assez complet d'une affectio
t 5 juillet-août et sept. - oct. 1902. 208 f THOMAS ET HAUSER '
observations
que « si la majorité des cellules ganglionnaires
ganglions sui- vants : 2e et 3e lombaires, Il,, dorsal. (1) Cette
observation
figure déjà dans notre mémoire de 1902. . 218 T
ques rares cellules il existe quelques boules colorées en (1) Cette
observation
figure également dans notre mémoire de 1902. ,
vicale. L'examen du Se ganglion cervical droit donne lieu aux mêmes
observations
que celui du 1" ganglion dorsal. , 224 THOMAS E
cellule normalement petite ; mais dans le plus grand nombre de nos
observations
l'atrophie était suffisamment accusée pour que
r avec soin, avec de forts grossissements ; ils échapperaient à une
observation
trop ra- pide ; ce qui complique encore cette r
it nous retenir plus longtemps. En résumé, en nous appuyant sur nos
observations
personnelles et sur celles des auteurs qui nous
lons tirer de nos recherches que des conclusions générales, que les
observations
futures pourront sans doute préciser, mais qui
ons sympathiques dans l'hématomyélie cervicale. Voici, résumée, l'
observation
anatomo-clinique (1). Un homme de 20 ans, bien
on des hémorrhagies en hauteur rentre dans la règle de nom- breuses
observations
déjà publiées (1). Contrairement aux observatio
de nom- breuses observations déjà publiées (1). Contrairement aux
observations
de Quénu et Wickham (2) et Minor (3) mais comme
s la survie avait été de 10 jours. Ce qui fait l'intérêt de notre
observation
, c'est la rapidité d'apparition des altérations
clinique. Il s'offrit pour annexer à cette documentation imagée les
observations
cliniques et les travaux anatomo-pathologiques
cine vibratoire ; ses ap- plications, sa technique. En 1893, Deux
observations
pour servir au diagnostic des paraplégies syphi
d'interpréter avec les connaissances scienti- fiques actuelles ces
observations
tombées dans l'oubli. C'est ainsi qu'il a publi
il n'y manque que la parésie des muscles de la nuque, qui, depuis l'
observation
d'Erb, a toujours été signalée dans la plupart de
paralysie myasthénique. (1) Quelques auteurs, en se fondant sur des
observations
, avec ophtalmoplégie externe seulement, non sui
paralysie totale du moteur oculaire commun. Ceci s'accorde avec mes
observations
cliniques. (Hevista Médica de l'Uruguay, Jacqueca
DO-SYPH1LITIQUE tardive, PAR M. ROSE, , Interne des hôpitaux.
Observation
Le nommé Belb... Gaston, âgé de 33 ans, sellier
par A. CANGE, Chargé de cours à l'Ecole de médecine d'Alger.
OBSERVATION
. Le nommé Mouloud ben S'reir, jeune indigène de
e l'écriture rédigé en français et en arabe et annexé à la présente
observation
. Il n'existe aucune autre anomalie ni difformit
hôpital définitivement guéri. Deux points sont à retenir dans cette
observation
; 1° la nature de l'affection, 2° les résulta
s'agit de déformations rachitiques. Même dans cette hypothèse cette
observation
n'en demeurerait pas moins intéressante en rais
ille Rand ? Nous nous permettons de donner ici un court résumé de l'
observation
clinique et de l'examen radiologique du frère a
nence thénar et les muscles interosseux. Nous avons reproduit cette
observation
après les travaux de MM. Klippel et Durante (1)
oyau de Monakow particulièrement réduit en volume. Voilà,enfin, l'
observation
clinique du frère cadet des deux précédents, de L
ême que les noyaux, ne présentent pas anomalies. En comparant les
observations
cliniques de ces trois membres de la UNE FORME
, soit par leur présence seule, donne un caractère individuel à ces
observations
. C'est bien un exemple à l'appui des paroles de
antérieures plaident plus tôt dans le sens de cette dernière. Des
observations
semblables de cas intermédiaires entre ces deux
e ces particularités, nous nous permettrons de présenter une courte
observation
des malades auxquelles elles se rattachent. O
sforment entre les mains de la malade en une parodie pitoyable. Une
observation
attentive nous montre pourtant comme une tenta-
précédents littéraires, nous nous sommes cru autorisé à publier nos
observations
sur la question présente (1). (1) Il m'est un d
e cherche à ridiculiser; signalons seulement les réelles qualités d'
observation
de l'auteur. La présence du violoniste, esquiss
c les tics font encore l'objet de discussions (1). La plupart des
observations
ont trait à des spasmes unilatéraux, en particu
une rareté, aussi pouvons-nous con- sidérer comme exceptionnelle l'
observation
que l'on va lire et qui se rap- porte à un spas
uscles de la face (2). Ons. - Le malade, qui fait le sujet de cette
observation
, est un jeune homme de 23 ans, Jules F..., actu
xvii 22 338 GAUSSEL r. La maladie, pour laquelle il a été mis en
observation
, avant d'être présenté à une commission de réfo
a quitté l'hôpital le 6 juin 1904. Il s'agit, en somme, dans cette
observation
, d'un spasme fonctionnel survenant par crises,
on soit adaptée à un acte professionnel. Nous n'avons trouvé aucune
observation
pareille à la nôtre dans les articles de Veir-l
é et dans la thèse de Gauliez. Ce der- nier cependant reproduit une
observation
, publiée par Duchenne, de Bo Ù 1 ogne, dans son
il maniait la demoiselle (1). Mais, s'il y avait, comme dans notre
observation
, spasme des deux sterno-cléido-mastoïdiens, les
ractions, d'origine familiale, dont nous avons récemment publié les
observations
(1). Il s'agit de Léon L..., âgé de 25 ans, don
nt expliquer les caractères cliniques assez parti- culiers de notre
observation
. L'aspect objectif du malade était, nous l'avon
s surtout il explique les caractères cliniques si particuliers de l'
observation
; en effet, la rétraction en flexion des membre
.., etc. (1). Si nous ne l'avons pas noté plus fréquemment dans nos
observations
, c'est que nous n'avons eu l'attention attirée
autres cas elle était fort peu marquée malgré une disparition (1) L'
observation
clinique de ces malades a été publiée dans notre
de la syringomyélie elle-même. Etudions d'abord le résumé de cette
observation
clinique et les résultats de l'examen histologi
servation clinique et les résultats de l'examen histologique (2).
Observation
clinique. ' Dlme Poclr ? cardeuse,entrée à la S
t la lésion atteignant et pénétrant la corne antérieure , (1) Cette
observation
clinique a été relatée déjà à propos des troubles
s racines postérieures sous-jacentes. En somme il n'y a ni dans l'
observation
clinique, ni dans l'ensemble et l'as- 382 TUOMA
parti nous pouvons en tirer. Discussion générale. Voilà donc une
observation
que la clinique et l'aspect macroscopique des lé-
que nous avons noté dans la première observa- tion. Ces quelques
observations
histologiques nous montrent en somme que les ca
établissent d'abord que les caractères histologiques décrits dans l'
observation
de Poch..., se retrouvent, plus ou moins purs,
. Mais est-ce bien de syringomyélie authentique qu'il s'agit et ces
observations
cliniques sont-elles valables dans la discussion
a pathogénie que nous avons pu mettre en relief dans notre première
observation
. Mais on peut, croyons-nous, conclure que les aut
ient rencontrées. En parcourant les descriptions didactiques ou les
observations
, on peut se convaincre que certains de ces cara
sur l'hypertrophie de leur tunique externe. Il est même certai- nes
observations
où cette lésion paraît dominante, tandis qu'en d'
ant lui. L'hyperplasie conjonctivo-vasculaire attei- gnait dans une
observation
fort intéressante du Pr Raymond (2) des propor-
oi identique et reconnaissant une même pathogénie (voir notamment l'
observation
de F...). Donc la lésion semble pénétrer par la p
de le préciser avec soin dans les commentaires de notre pre- mière
observation
. Nous invoquons plus particulièrement l'écartemen
n lorsque 112111. Raymond et Cestan rappor- tèrent une intéressante
observation
d'anévrysme cirsoïde probable de la moelle cer-
elle aurait, d'après ces auteurs, une origine hématomyélique. Cette
observation
semble démontrer qu'un processus inflammatoire, c
a névroglie nous paraît suffisamment dé- montrée par notre première
observation
pour que nous leur imputions un rôle décisif. U
s expliquer, ainsi que nous l'avons vu dans les commentaires de nos
observations
. Seulement elle est un élément surajouté qui co
'hyperplasie névroglique, pouvant même la susciter directement. Les
observations
ulté- rieures permettront sans doute de précise
vertigineuse (fig. 19). Comme second exemple, je vous rapporterai l'
observation
d'un paraly- tique général mort dans le service
aly- tique général mort dans le service, et dont j'ai déjà publié l'
observation
. Ce malade présentait des attaques caractérisée
également vous parler de l'alexie en utilisant quelques-unes de mes
observations
. Mais il est un point sur lequel j'ai insisté et
. Nous avons pu de plus examiner les différents nerfs et muscles. L'
observation
clinique et anatomique du malade vaut, ce nous
ce de M. Pierre Marie à l'IIôtel-Dieu, le 8 octobre 1895, à 23 ans.
Observation
prise en octobre z. Antécédents héréditaires. -
mbolies dans le domaine de ces artères. . Quoi qu'il en soit, cette
observation
nous paraît démontrer d'une façon évidente l'ex
PAR le Dr M. LANNOIS, Agrégé, médecin des hôpitaux de Lyon. L'
observation
qu'on va lire pourrait aussi bien être intitulée
faveur de la nature myopathique de cette dernière. Voici d'abord l'
observation
. Atrophie musculaire à forme segmenlaire occupa
e Schoenborn (4), deFrohmann (3). Noguèset Sirol (5) ont publié une
observation
à laquelle la mienne est superposable dans ses
mouvements de mastication au début des repas. De même ordre esl l'
observation
de Bernhardt : un jeune homme de 19 ans présent
e prenait quelques précautions. Je crois intéressant de résumer son
observation
: Myopathie généralisée avec pseudo-hypertrophi
nombre sur une même malade. C'est ainsi que nous relevons dans son
observation
l'apparition d'oedèmes, de cyanose et de syncop
antemesse et Widal,Oulmont et Touchard, Léopold Lévy rapportent les
observations
, faisant de ces troubles des manifestations hysté
nce du pseudo-oedème chez les catatoniques (2). J'ai aussi publié l'
observation
d'un purpura (3) venant compliquer le pseudo-oe
Nouvelle Iconographie de la Salp. (mai-juin 1904). 466 TREPSAT r
Observation
I (Service de M. le docteur Bessière). Démence
jusqu'au coude, de l'autre à 7 ou 8 centimètres au-dessus du genou.
Observation
II. Démence précoce catalonique. Stupeur absolu
. Il s'est formé à son niveau une croûte épaisse et blanchâtre. Ces
observations
sont intéressantes à plus d'un titre : Dans l'o
e. Ces observations sont intéressantes à plus d'un titre : Dans l'
observation
1, le malade plongé depuis sept mois dans une stu
higoïde avec ulcération, éruption envahissant tout le corps. Dans l'
observation
II, le malade dément catatonique depuis cinq anné
Dans le même ordre d'idées, on peut citer, en médecine humaine, les
observations
de Palémon, d'Adamantius, le traité des Caractè
'elles seront absolument évidentes; mais elle n'empêche nullement l'
observation
d'ano- malies de forme, et celles-ci ont acquis
. de méd., 12 avril 1904. (2) Nous acceptons sahs restriction les
observations
de MM. 111BIG& et Feindel (op. cil., p. 51)
ent pas moins au complet chez le cheval, ainsi qu'en témoignent les
observations
de chevaux liqueurs et épileptiques. Nous n'avo
, in G. B\LLEI'¡ p. 103. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 489 d'
observations
, la fréquence de stigmates variés de la dégénéres
qu'à considérer les faits de méchanceté rapportés par G : Joly, les
observations
variées que nous avons recueillies dans lesquel
9^L,^m no ? sb eqff))J e'ilillo'l(i fl" ! A.' Cullerre. -4 Quelques
observations
de folie briglalique (Compte rendu du congrès d
sténose uréthrale; le'délire~et,la folie'aient été notés. ;Aussi l'
observation
[que, ! je. vaisrrapporterprésentera- t-elle au
as la seule, Il on1ple ? voit ? 1à- prendre le malade comme sujet d'
observations
psychologiques..... Jil l ^' 1l "i t ? i"\t'<
mages et proféré des blasphèmes contre Dieu et la Vierge. Sur les
observations
de M. Legoux, qui s'était d'abord refusé à insé
L ,l ? L..wlodicccl joLcrnal, janvier189, n f 73 ) si,l : -a ? *' L'
observation
rapportée est un type de la maladie' de Marie ave
its analogues à celui-ci, et la compa- raison de ces trois avec les
observations
de syringomyélie franche suscite les remarques
épines iliaques supérieures. ..Annoter, principalement, dans cette
observation
, la coïncidence des crises gastriques . et des
oubles oculaires présentés par le malade qui fait le sujet de cette
observation
sont comparables, sous beaucoup de rapports, à
tpétrière, 1894, no 1.)-' - ! 9 ? '' , " ' ' '' ' 1' r .. t." « T't
Observation
détaillée d'un cas de cette maladie étrange et as
étrange et assez rare, puisqu'on n'en connaît qu'un -petit nombre d'
observations
aussi bien en France qu'à l'étranger, et qui es
ions prédomi-, nent toujours sur l'un d'eux. ... ? , , ' 1 1. . L'
observation
de M. Gilles de la Tourette trait à un homme de '
ertrophie des,os'*du tarse à droite.. ' .. r, ? , ? , , ... Cette
observation
est suivie de deux notes relatives aussi à la m
. Meunier,' interne des hôpitaux. M. Meunier relate, lui aussi, une
observation
d'ostéite déformante' de Paget, prise dans le s
;$d ? · J.lllEr r . z REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 15 XXIV. Deux
observations
POUR SERVIR au diagnostic DES paraplégies syphi
ni, fl. "90 8f1 6HL$t w 37Dul Jn·2 ? I : : - ' ' - ... » .Ces deux
observations
sont .prises à,Saitit-Louis, dans le service de
nt spécifique est efficace........ , Les auteurs discutent ces deux
observations
et établissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' d
ise le plus souvent'par ta para- piégie spasmodique incomplète (tre
observation
), mais celle-ci est ordinairement tardive/en ou
ais moins souvent, des paralysies ,11s-ques, comme dans3 là seconde
observation
. . Ces , paralysies flasques ont des allures cl
v. Icon. de la Salpéÿrièty, 1893,ri n° 1.') ? ? t) L , ICI Ces deux
observations
confirment ce que nous disait Charcot en 1885,
gique : la myopathie pro,ressi-e.,9,1 ti'lqcr'Ui'.i K<jq ,"9rp"i
Observation
1. - Homme, quarante-deux ' ans."L'aS'ection a
cas d'origine certainement syphilitique, avec autopsie. - ' , Ire
observation
. Homme, cinquante ans, syphilis un an avant l'a
ments nobles des tissus's'atrophiant consécutivement ? '. " t .. 2e
observation
. Homme, vingt-six ans; alors que la syphilis est
ces lésions sont) des lésions identiques trouvées dans la première
observation
, mais arrivées à une période plus avancée de le
presque.au début de celui-ci. >'> " ' ? z ? F ? . t· ? z 3e
observation
. Il s'agit d'une syphilis qui date de huit ans et
rveau; ce que la clinique fait,, du reste, prévoir. (exemple, la 2°
observation
). ? Au. cerveau, on décrit : une méningite et une
ommeux microscopiques des méninges et des'vaisseaux (exemple,- la 1
observation
). II. Clinique : - Des trois observations inédi
'vaisseaux (exemple,- la 1 observation). II. Clinique : - Des trois
observations
inédites'et détaillées qui précèdent/ainsi que
bservations inédites'et détaillées qui précèdent/ainsi que d'autres
observations
assez nombreuses et suc- cessivement relatées;
rchives de Neurologie. Terminologie. 84 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE.
Observation
II. Meurtre. Obtusion mentale d'origine épileptiq
j« > it> > ff Ces préliminaires posés, M. Derode relate l'
observation
d'un dégénéré qui tenta ? sans'motif sérieux,'
leraient un, sursis.au jugement et .un examen médical ou même une
observation
préalable, spéciale. (Jlecdico-legal Juür»cel, X,
M aigu ou encore de paranoïa aiguë curable. On en exclura aussi les
observations
dans lesquelles il y'a délire plus ou moins coh
ubles portes; 9° on n'oubliera pas le guichet ou toute autre baie d'
observation
; 10°, Les parois devront êtres résistantes, facil
ttentat à la pudeur commis par un épileptique. M. Vallon rapporte l'
observation
d'un individu ayant commis un attentat à la pud
nerf optique. i, ' M. Charpentier. Ce qui me paraît bizarre dans l'
observation
, c'est que, comme toujours, l'attentat s'est pr
eux cas de délire de persécution avec auto- accusation. La première
observation
est relative à un homme de trente-huit ans, d'u
en même temps que les différentes hallucinations. Dans la seconde ,
observation
, il s'agit d'une femme âgée de quarante-sept an
' AUDIBERT. (Thèse de Bordeaux. »° 26.) ? ,lV - , ,, iA ...,v ? L'
observation
du visage au repos, quelles 'que'soient la' scien
l'étude de la paralysie générale, nous donnons d'abord, résumée, l'
observation
suivante, avec l'examen microscopique des zones
rticales pratiqué à l'aide du picro-carmin et de l'acide osmique.
Observation
. Paralysie générale progressive à évolution lente
pparaître cette dégénérescence possible et même probable dans des
observations
où jusqu'ici les autres méthodes permettaient de
ne légère anorexie ou une dyspepsie. Deux fois, sur mes cin- quante
observations
, il y avait une amyosthénie complète de tout le
de quelques semaines, pour reparaître plus tard. Il y a, parmi mes
observations
, des malades qui, dans l'espace de trois ans, n
de l'identité de nature de ces diverses plasmodies, vient encore l'
observation
d'une malade atteinte de neuras- thénie palustr
avec une rapidité vrai- ment merveilleuse. Nous insérons quelques
observations
des malades dont les quatre premières sont pris
mais elle a de temps en temps des troubles ana- logues à ceux de l'
observation
précédente. Depuis deux jours ses troubles psyc
r. Mais en dehors de ces troubles qu'on rencontre dans les autres
observations
, la malade à des accès de terreur, d'abord .plusi
tion des troubles respiratoires et phoné- tiques. A. Marie.' III.
Observation
d'hydrocéphalie chronique traitée par le draina
PS THYROÏDE dans LE traitement DU psoriasis; par BYR051 BRAMWELL.
Observation
très intéressante de jeune fille traitée et guéri
itement parait indiqué. Le numéro suivant du 14 avril contient deux
observations
de lupus traité et guéri par la même méthode du
isse rapidement et meurt dans le gâtisme vingt jours après. Cette
observation
est intéressante, car la tumeur siégeait en un
J. PLATÔNOW. (Centrul6l. f. iyei,venheilli. N. F. iv, 1893.) Quatre
observations
dont une très complète. Conclusion. 1° Le rappo
ques CHEZ les aliénés, par le professeur M. Bombarda. Les faits d'
observation
qui font le sujet principal de cette élude REVU
eux à l'étranger, l'auteur entre tout de suite dans le récit de ses
observations
personnelles. ' Le premier cas qu'il a observé
mbre 1879 et le dernier du 22 janvier 1892, ce qui porte le temps d'
observation
à treize ans environ. Pendant cette longue péri
puisement avec marasme dans deux 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
observations
; alimentation insuffisante et état de stupeur av
CHEZ DEUX ENFANTS LE FRÈRE ET LA SOEUR ; par le Dr BOUCHAUD. Deux
observations
très complètes empruntant un intérêt tout parti
vidu impliqué dans une affaire cri- minelle. Après quelques jours d'
observation
, M. Charpentier, ne le considérant pas comme al
en existe beaucoup faisant le mal pour le mal, qui répon- dent aux
observations
: « Moi, je suis irresponsable, j'ai le droit d
ux cas remarquables de folie systématique (para- noïa). La première
observation
est remarquable par sa genèse ; la seconde par
ent. C'est ce que dit aussi de Krafft-Ebing. Voici maintenant une
observation
qui s'est d'abord présentée sous l'aspect de la
l'intelligence absolument comme dans la paranoïa primaire. L'autre
observation
a pour cachet, sa terminaison extraordinai- rem
vaise intelligence. Il se base sur des faits de ce genre et sur les
observations
de folie à deux déjà publiées pour faire ressor
tion ; enfin il a proclamé la nécessité de créer désormais, par l'
observation
clinique, des espèces naturelles de maladies men-
ux qui suffiraient pour immortaliser son nom, et qui, basés sur une
observation
sérieuse et persévérante, défieront les atteintes
OC MORAL; Par EDOUARD TOULOUSE, médecin de l'asile Saint-Yon. Les
observations
circonstanciées d'amnésie ne sont pas encore tr
arcot et M. Féré en ont cité quelques cas. Encore la plupart de ces
observations
sembleraient devoir être rapportées à l'hystéri
re incriminée ni dans l'étiologie ni dans le mécanisme. - Voici l'
observation
de ce cas : Le 6 septembre 1891 était amenée à
Je me suis assez étendu sur chacun des points intéressants de cette
observation
pour n'avoir pas à les discuter de nouveau. De
e traumatique et rétro-antérograde ? - Pour l'affirmer dans chaque-
observation
/ il est nécessaire" de montrer <par ides art
ANUFACTURES D'EXPLOSIFS ; par Shnéon SNELL. L'auteur rapporte six
observations
d'ouvriers ou ouvrières des manufactures de l'E
agraphie, cécité, surdité verbale ; par HARDING TOMEINS. C'est l'
observation
d'un malade atteint d'liémorrlia"ie d'une des b
JOtll' ? 2., 2 juin 1894.) .. Revue de la question à propos d'une
observation
détaillée avec préparations microscopiques à l'
n. A. Marie. XXXIII. Epilepsie SÉNILE; par Mausel Sympson. , Deux
observations
d'épilepsie idiopathique sans lésion microsco-
rose ET aménorrhée avec troubles cérébraux, par CRAWFORD THOMSON.
Observation
d'une jeune fille de vingt-trois ans ayant présen
MARIE. XXXVII. Tabès ET diabète; par le Dr P. BLOCQ. Intéressante
observation
de tabes vrai coexistant chez le même sujet ave
DISSOCIATION DE LA SENSIBILITÉ par M. J.-B. CHARCOT. Intéressante
observation
d'une malade syringomyélique avérée, chez qui,
ègle dans les différents cas d'arthropathie signalés et la présente
observation
, plus qu'aucune autre, est démontrative de ce f
ôté droit présentait une atrophie considérable. Tout l'intérêt de l'
observation
se résume dans la présence simul- tanée d'une a
'agraphie. Dans cet ordre d'idées, le malade qui fait le sujet de l'
observation
, traçait facilement, correctement et d'un seul
la cécité verbale n'aurait pas entraîné chez lui l'agraphie. Cette
observation
semble donc plaider indirectement pour l'existe
muscle qui vide la vessie (d6()' : Mor vesiex). P. KERAVAL. XLV.
Observation
DE tabès A symptômes bulbaires ; par F. Chvoste
tômes bulbaires ; par F. Chvostek. (Nezarolog. Centralbl., 1893.)
Observation
, sans autopsie, de tabes avec une paralysie de
rnal en 1881 (t. Vil), prouvant que le tabes est bien syphilitique.
Observations
XIX à XXXIX. Chez la plupart des femmes tabétiq
preintes; de la contracture pharyngo- oesophagienne; de l'insomnie.
Observation
. En'pareils cas, c'est le' trouble somatique pr
die de Friedreich existent des formes de transition. L'intéressante
observation
rap- portée parles auteurs parait appartenir à
iner, ce cas rentre plutôt dans le type tardif de M. Marie. Cette
observation
se résume ainsi qu'il suit : perte de l'équilibre
e d'atrophie mus- culaire et de sclérose latérale. Plus tard, cette
observation
devint point de départ pour la description d'un
se ou un rétrécissement vasculaire s'est offert de lui-même à notre
observation
superficielle. Pourtant, nombre de cas négatifs
est le siège, est-il donc pour toujours hors de la portée de notre
observation
directe ? A vrai dire, je' ne le crois pas, mai
utes autres de précision. Si l'on parcourt, eu effet, les entêtes d'
observation
ou les certificats d'admission tels qu'on les r
omatologie spéciale et sa physionomie propre ? En aucune façon. L'
observation
clinique, même tout empirique, suffit déjà sinon
OCIÉTÉS SAVANTES. phénomènes dont il est le théâtre, et cependant l'
observation
ulté- rieure montrera que nous avons conservé-l
se souvient, veut comme une personne normale : les expériences et l'
observation
le démontrent ; mais elle a perdu la conscience
plupart des cas, hérédité simplement arthritique dans d'autres. L'
observation
démontre que la prédisposition fâcheuse qu'apport
ystériques une folie morale ou raison- nante. Quand on parcourt les
observations
sur lesquelles il s'est appuyé, on voit que l'h
est aller vite. Il serait utile de recueillir un certain nombre des
observations
qui s'y rappor- tent, d'en noter avec soin les
curateur joué par les rêves dans les temples d'Esculape et dans les
observations
de quelques hysté- riques anciennes, notamment
oFr.isoY. Si M. Brissaud veut se donner la peine de parcou- rir les
observations
d'hystéro-traumatisme qui ont été publiées, il
, des lésions plus ou moins marquées; c'est ainsi que dans quelques
observations
de paralysie saturnine on a noté l'existence d'
six mois au mi- nimum. A l'entrée un examen médical soigneux avec l'
observation
écrite de ses résultats : bains, hydrothérapie,
er recommence et 1111. LcnaIN, Vallon et Charpentier présentent des
observations
sur les mots ivrognerie et alcoolique. M. Bou
urs. Je rappellerai cependant qu'il n'existe pas encore une seule
observation
de névrite d'origine externe ayant donné naissanc
écillité. X... a été condamné à un an de prison. ' Après quelques
observations
de MM. Vallon et Charpentier, M. CHRISTI1N dema
tout. Pas un mot de pronostic. Réduits aux seules ressources de l'
observation
actuelle, vous êtes impuissants à le donner. Ma
ns circonscrites du cer- veau » (1890), M. Lwoff a publié plusieurs
observations
de DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES.. 28
après une très exacte recherche et une très curieuse et très fidèle
observation
de tout ce qui s'est passé en ces filles pendan
en s'y résolvant en de petits rameaux terminaux. P. KERAVAL. III.
Observation
DE tumeur DE la couche OPTIQUE; par PH. ZEKKER.
ouche OPTIQUE; par PH. ZEKKER. (Neurologisches Centnalbl., 1893.)
Observation
avec autopsie, sans examen microscopique. Jeune
a sécrétion DES larmes ; ' par le professeur Jendrassik. Quelques
observations
de M. Goldzieher ont amené cet auteur à la conc
qu'à présent, par le nerf trijumeau, mais par le nerf facial. Les
observations
recueillies par M. Jendrassik lui ont permis d'
sychiques ; par Sommer. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., L. 1 et 2.)
Observation
de stupeur dans laquelle on arriva à mesurer le r
) ; trépanation ; guérison. M. Levillain (de Nice) communique une
observation
de neuras- thénie (type Beard-Charcot) ayant dé
ouru la période que représente aujourd'hui l'état de son frère. Ces
observations
diffèrent, pourtant, par l'absence de troubles
maladie, tout à fait excep- tionnellement, il est vrai, d'après les
observations
de Dreschfeld. Origine OTIQUE D'UN certain NOMB
et anatomo- pathologique. Dans le premier ', nous avons rapporté l'
observation
d'un microcéphale de cinquante-neuf ans, nommé
quelque degré avec la périencéphalite ulté- rieure, comme dans les
observations
, aujourd'hui nombreuses, où l'on a signalé la c
sion de chaque absence. La litté- rature renferme un petit nombre d'
observations
analogues à la précédente, sinon identiques.
ienne, et lié à la présence d'une altération corticale localisée. L'
observation
que je viens de vous relater est la première, à
S DE délires systématisés anciens. 11111. IIrIMEL et Marie. Trois
observations
de démentes vésa- niques avec personnalité diss
issociée au cours d'un délire systématisé ancien. Dans l'une de ces
observations
la malade devenue méga- lomane présentait une p
de persécution dans la période mégalomaniaque. Dans les deux autres
observations
même dissociation de la personnalité mais sans
ltats que nous venons d'ex- poser. A un autre point de vue, notre
observation
vient à l'appui de l'opinion qui rattache l'ane
ui nous eût paru différent. Il nous semble donc résulter de notre
observation
en elle- même et comparée à celles des autres a
utre part revenant aux différences qui, d'après la lecture de leurs
observations
, ont certainement existé dans les conditions de
EUSE. L. OS'rL0-POROSE DE la voûte crânienne ; par Gorges SHERRY.
Observation
d'un vieillard avec arthrites déformantes des mem
généralement elles ne donnent lieu à aucun symptôme. A l'aide de 17
observations
, M. Schlesinger décrit le chatouillement et la
ritislv médical journal, janvier, no 1726.) Nous relevons parmi les
observations
, un cas de crétinisme spo- radique de vingt-qua
BECHEREW. (Neurolo- gisches Cetztralbl., 1894.) A l'aide de cinq
observations
, l'auteur essaie de constituer le complexus cli
ilis, sans que celle-ci ait rien à voir avec la neurasthénie. Six
observations
à l'appui. La neurasthénie syphilitique hérédit
ie DIPHTÉRITIQUE; par J. DONATH. (Neurol. Cc ? : <)'6 ? 1893.)
Observation
de paralysie diphtéritique chez un jeune garçon d
moteurs sans débilité mentale et la paralysie avec idiotie. Deux
observations
personnelles et six observations empruntées à l
et la paralysie avec idiotie. Deux observations personnelles et six
observations
empruntées à la bibliographie (Pelizoens; Sachs
n ligne de compte pour expliquer le facteur individuel. P. K. XX.
Observation
d'obnubilation POST-ÉPILEPT1QUECHEZ un enfant;
, la démence aiguë (amentia), l'idiotie (par syphilis héréditaire).
Observations
. Etiologie syphilitique de la paralysie général
moment des émotions, le tremble- ment des mains et de la langue.
Observation
de 125 hystériques se décomposant en : 45 femme
rence entre la perception interne et la perception externe, entre l'
observation
du monde et de sa propre personne. Les objets n
se qu'elle est plus impressionnante. Une autre conclusion tirée des
observations
de M. Marandon de Moutyel, c'est que la trans-
s sensibles que les hommes à la contagion mentale et il résulte des
observations
de M. Marandon, que celle-ci s'opère surtout de
'observer dans le cas d'exclamations spasmodiques, l'inté- ressante
observation
citée par l'auteur montre qu'on peut observer,
passionnel chez un dégénéré ; par le D'' Daguillon. Intéressante
observation
d'un dégénéré à antécédents héréditaires assez
ouffre beaucoup. Aucun traitement n'a amené de soulagement. Cette
observation
, qui montre qu'un état délirant n'est pas une c
ux. (112111. de la Soc. de mccl. ment, debelgiqzie, juin 1894.) @
Observation
d'une femme atteinte de paralysie générale qui,
NN.-I)e la folie menstruelle primordiale. L'orateur communique deux
observations
. Il s'agit de jeunes filles de qua- torze et se
sychoses périodiques typiques. M. Friedmann commu- nique encore une
observation
démonstrative et rare de l'action favorable exe
puberté, mais pas sous ce type. M. Wildermuth voit avec plaisir ces
observations
d'épilepsie qui n'a pas empiré à l'époque des r
qui n'a pas lieu dans l'hystérie. M. ScHOENTHAL rappelle que les
observations
de folie menstruelle qu'il a antérieurement déc
nsiste sur la contracture pharyngo- oesophagienne à l'appui de deux
observations
. Ces angoisses abor- tives ou incomplètes nous
onduit à traiter ce sujet dans sa thèse inaugurale à la suite d'une
observation
quotidienne à l'asile de Saint-Robert et d'une
rait « l'asile spécial ». Ce travail est basé sur un grand nombre d'
observations
person- nelles. En agissant ainsi, M. le D'' Tr
Géhin s'occupe plus particulière- ment et dont il relate plusieurs
observations
intéressantes, appar- tiennent la conscience co
ale. Systématisation du délire plus étroite et modes de réaction.
Observation
I. Délire chronique à la deuxième période : Hal
Réactions : déménagements, tentative de suicide, menaces de mort.
Observation
IL -Délire chronique à la deuxième période : Dé
on surajouté, mais effaçant peu à peu le délire des persécutions.
Observation
III. Délire chronique au début de la troi- sièm
riode : Modifications dans l'attitude, allusions à des richesses.
Observation
IV. Délire chronique à la troisième pé- riode :
ères périodes. - DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 441 1
Observation
I. M... femme R..., quarante-trois ans, sans alzt
éservée : c Je n'ai rien à dire, puisque vous ne me croyez pas. »
Observation
II. 0... veuve F..., cinquante ans. Père déséquil
891, p. 421, 5G8 et 582. . ÉTUDE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE. 449 d'
observations
de polyurie hystérique, pour attirer l'attention
d'ensemble très remarquable. Il est certain qu'avant 1891 plusieurs
observations
de même ordre avaient été mentionnées, mais il
ails. Il nous servira de témoignage pour avancer que la plupart des
observations
de polyurie ner- veuse, sine materia, relèvent
é- ment rigoureusement pesés. ' Pendant un mois D... est resté en
observation
. Durant ce temps, le taux des urines de vingt-q
éments indispensables à la critique font défaut dans la plupart des
observations
anciennes. Récemment M. le profes- seur Potain
l'un d'eux.. Tout dernièrement encore, M. Déjerine 1 relatait une
observation
de polyurie hystérique chez un homme de vingt-n
érés 1, qu'on pourrait peut-être confondre en une seule espèce. Les
observations
n'en sont pas rares et nous ne rappellerons que
leuse du médicament. Le taux de l'urine tombe à 3 litres. Donc, les
observations
anciennes de polyurie nerveuse simple, où la re
tériques polyuriques ? - Il est rationnel de supposer que les rares
observations
d'hy- perdiurèse hystérique, sans incontinence
e ou reparaître la polyurie à volonté, par suggestion hypnotique. L'
observation
de Thiro- loix, rappelée plus haut, montre que
st beaucoup plus fré- quente qu'on n'a cru. Plusieurs des anciennes
observations
de polyurie alcoolique, émotive, traumatique, e
rareté des autopsies, pratiquées dans des conditions favo- rables d'
observation
, fait comprendre comment l'histoire ana- tomo-p
philis spinale, la plus accessible au traitement. Dans une de nos
observations
, la guérison fut obtenue complètement en l'es-
ternational et rendre accessible à tous la lecture de mémoires ou d'
observations
toujours intéres- sants mais incompris, le dict
s contradictions entre la description nosographique du texte et les
observations
présentées. DE LA PARANOÏA. 477 En 1876, West
des contradictions entre le texte nosographique de l'auteur et les
observations
qu'il donne. 4° Avec Westphal, apparaît la nett
délire systématique, chronique, coordonné, cristallisé, d'après les
observations
présentées par les auteurs dans leurs mémoires.
t pas due à la lésion d'un centre de coordination des lettres. Deux
observations
dans lesquelles l'auteur voit la transition de
ssi faire un délire chronique sys- tématique (paranoïa chronica). L'
observation
ne présente aucune difficulté, on suit d'autant
procédé à celle-là, par suite, il est tout arbitraire de ranger ces
observations
dans une dos formes typiques. En conséquence, p
as l'ensemble symptomatique de la maladie. Pour beaucoup d'autres
observations
, il faut employer des termes plus compliqués si l
on ne peut se faire une idée nette de chaque cas. Mais il est des
observations
dans lesquelles, même à une phase ultérieure, il
raditions classiques. Il nous manque avant tout un arsenal commun d'
observations
à description suffisamment exacte; je serais bi
eur, mais il n'a pas développé ce point de pathologie générale; ses
observations
sommaires ne fournissent non plus aucun éclairc
sur ce sujet sont suffisamment importants pour fournir un arsenal d'
observations
capable de permettre de tenir le délire chroniq
remplie, elle exige d'une part de nouvelles descriptions exactes d'
observations
dans lesquelles on aura bien différencié les symp
t dans la folie systématique, échappent à toute recherche directe;l'
observation
immédiate du malade permet simplement d'en cons
x central et périphérique. M. Haury étudie une par une toutes les
observations
publiées jus- qu'à ce jour au triple point de v
sur six autopsies peu complètes et peu concordantes. L'étude des
observations
accompagnées de guérison montre d'ailleurs que le
troubles de motricité, de sensibilité et trophiques, montre que les
observations
sur lesquelles on s'est appuyé pour décrire la
annonçant les désordres psychiques. Cependant l'examen détaillé des
observations
permet à M. Haury de conclure que ce symptôme e
-méningite hystérique existent réelle- ment, mais le petit nombre d'
observations
montre aussi leur ra- Archives, t. XXVIII, 33
tirpation totale du corps thyroïde. J.-B. CIIARCOT. VU. Recueil d'
observations
de neuro-pathologie. Fasc. I, 2oS p. in-8°, ave
liénistes de Kazan en 1892 et 1893. En tête du recueil figure une
observation
relative à l'affection décrite par Moebius en 1
lectuelle, la sensation de douleurs au dos, etc.. Vient ensuite une
observation
très complète et très bien étudiée sur le rire
rire est dû dans ce casa une lésion des couches optiques. Dans l'
observation
suivante, il s'agit d'une lésion des radicules de
bitude : au niveau de la deuxième vertèbre lombaire. La quatrième
observation
est relative à une distribution singu- lière de
soldat âgé de vingt-quatre ans consti- tue le sujet de la cinquième
observation
. Enfin, dans la dernière, l'auteur, chaud parti
degré dans les symptômes de ces deux états morbides. De nombreuses
observations
, minutieusement recueillies et choisies avec so
o-enc6pha)ite chez un enfant de cinq ans, par Moussons, 41 ; deux
observations
pour servir au diagnostic des pa- raplégies -
dans notre pensée un simple recueil de faits; le plus souvent, nos
observations
seront accompagnées de réflexions qui feront de
rouvons encore il Londres dans le service du D Wilks qui publie son
observation
. Il était alors hémiplégique gauche sensilivo-
stitue l'homme vivant. Son procédé est la synthèse; son moyen est l'
observation
du nu ; son but est de découvrir les causes mul
r maintenant. Il s'agissait, comme on peut s'en rendre compte par l'
observation
détaillée que nous publions plus loin, d'un cas
resthésiques et hystérogènes. C'est ce que prouve très clairement l'
observation
prise avec beaucoup de soin que M. Gilles de la
et supérieure des cuisses, il contracta la syphilis (1879). 1. L'
observation
a été recueillie par M. Blin, externe du service.
nous semble indispensable auparavant d'exposer les faits. Outre les
observations
qui ont fait l'objet de la leçon précitée et qu
la malade alors que la guérison était complète. Voici également une
observation
du même genre, où l'on a dû faire pour ainsi di
r ainsi dire un diagnostic rétrospectif dont la malade a bénéficié.
Observation
I. - Contracture spasmodique de nature hystérique
ensitif ou sensoriel. Au surplus notre opinion était éclairée par l'
observation
presque analogue en tous points d'une autre mal
e soupçonnait pas avant que M. Charcot l'eût établie. Voici cette
observation
: Observation II. (Extrait d'une leçon de M. Ch
s avant que M. Charcot l'eût établie. Voici cette observation :
Observation
II. (Extrait d'une leçon de M. Charcot, recueilli
vements. L'événement, comme on a vu, a justifié cette prédiction.
Observation
III. Recueillie par M. Blin, externe du service.
la lésion fibreuse, dans la pro- duction de la déformation. Cette
observation
présente en outre une autre particularité intéres
minent pro- fesseur l'a montrée dans ses conférences cliniques. Son
observation
est d'ailleurs publiée in extenso dans le premi
uteurs de notre pays. Ils se répartissent ainsi qu'il suit : 1° L'
observation
I de la thèse de Carre : De l'ataxie locomotrice
a été rapportée par M. Brousse à la maladie de Friedreich. 2° Une
observation
personnelle, avec autopsie, servant de base à l
bliait dans le Progrès médical (10 juillet, p. 569) une qua- trième
observation
. 4 4G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
x, rapportait dans les Archives de Necrologie (mars 1887, p. 217) l'
observation
d'un cinquième malade qui fut, de la part de M.
e par M. Berbez dans le Progrès médical (no du 4 juin 1887). , 6" L'
observation
de M. Joffroy. 7° Enfin, antérieurement aux qua
vation de M. Joffroy. 7° Enfin, antérieurement aux quatre dernières
observations
, M. le professeur Charcot avait fait, le 15 fév
884), nous avions déjà l'honneur d'être attachés à son service et l'
observation
du malade que nous avions recueillie avec .tous
outefois nous ' inclinerions volontiers vers la rareté relative des
observations
. Le nombre de celles-ci publiées par la totalit
Judson Bury (de Manchester), qui, en 1886 comptait soixante-treize
observations
« susceptibles de sup- porter l'analyse ». De
3° un garçon de six ans, tous les deux bien portants au moment de l'
observation
. Angèle bien portante, si ce n'est l'affection
acée en dedans, la convexité des côtes est plus accentuée. 1. Les
observations
II et Vont été présentées par M. P. Blocq à la So
P. Blocq à la Société Clinique dans la séance du 5 avril 1888; les
observations
qui suivent ont été recueillies par 9111. Carrel
scopique. Négatif. Autres appareils. - Sains. Il La lecture des
observations
que nous venons de rapporter ne laisse aucun do
s avons eu tout le loisir de corroborer depuis cette époque par des
observations
nouvelles. Voici en effet ce que l'un de nous'
EUSES compliquant la contracture spasmodique . (Suile et fin').
Observation
IV. - (Leçons de M. Charcot, Résumé.) Pachyménk-
lle occasion, avait du reste rapproché ce sujet de la malade II... (
observation
II) comme appartenant à des groupes nosographiq
ient de la généraliser à tous les cas. Tout d'abord, dans certaines
observations
, les rétractions tendino- fibreuses de cet ordr
le Dr Terrillon1. Il nous sera permis d'ajouter que la lecture des
observations
justifie pleinement la ligne de conduite que nous
ment par contraction musculaire. - Ce mécanisme est 1 décrit dans l'
observation
d'IIergott, la première en date : Le 21 janvier
sujet, à l'occasion d'un malade dont ,' nous indiquons plus loin l'
observation
qui sera rapportée in extenso dans un mémoire que
- N. D. L. H. 76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dans l'
observation
de Duplay. Le premier des malades qu'il cite avai
us verrons tout à l'heure que cette explication est possible dans l'
observation
que nous allons relater. Il en est de même pour l
otence de la jambe et la douleur se trouvent au début de toutes les
observations
, douleur parfois très étendue, d'autres fois loca
'anode et con- traction lente (réaction de dégénérescence). Cette
observation
présente diverses particularités intéressantes. S
existait plus qu'une dépression, ce qui n'est pas le cas dans notre
observation
. Nous avons vu que les muscles intéressés par l
e M. Gérard Marchant. Voici du reste le titre de cette intéressante
observation
: Fracture de l'extrémité supérieure du péroné ga
si les défor- mations produites par la- fracture sont, comme dans l'
observation
citée plus haut, de médiocre importance et peuv
ressentait la piqûre aussi bien que dans les parties saines. Cette
observation
confirme ce fait DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTI
e du nerf sciatique poplité externe se trouve notée dans toutes les
observations
de fractures de l'extrémité supérieure du péron
aladies du système nerveux. 1. Nous ajouterons que le malade dont l'
observation
sertdebase à l'intéressant travail de nos colla
cilement aussitôt que les muscles sont relâchés. C'est là un fait d'
observation
générale et qui n'est pas douteux ; non seulement
en bonne intelligence avec tout le monde et ne donne lieu à aucune
observation
de la part du surveillant. Dans le milieu du
e du crâne ne présentaient aucune anomalie. Malgré ses lacunes, l'
observation
que nous venons de relater présente un certain
ement comprimés auraient t perdu leur aptitude fonctionnelle. Notre
observation
ne nous permet pas de trancher cette question;
nde partie des hémisphères font défaut, il n'en existe que quelques
observations
. , La première, en France du moins, si nos rech
du corps calleux. ' Riel, cité également par Tiedeman, rapporte une
observation
qui pré- sente avec la nôtre une certaine analo
é de biologie par M. le Dr Poterin-Dumotell : L'homme, sujet de l'
observation
suivante, est mort à soixante-douze ans. Il s'é
s attires fondions sensorielles étaient intactes. Le sujet de cette
observation
avait été conçu t Paris, t l'époque des pre- mi
ui-même, et qui consiste dans une scoliose également notée dans nos
observations
(pl. XI). La direction de cette scoliose nous a
des atrophies musculaires partielles notées par M. Joffroy dans son
observation
. L'instabilité pendant la marche et la station
de douze y compris les nôtres, atteints de cette affection, dont l'
observation
a été publiée en France. Chez la plupart d'entre
née et aux troubles de la vision. Si l'on veut bien se reporter à l'
observation
d'IIoud..., on y verra noté : « D'une façon gén
ade (Le Plen ? pl. XII) et quelques particularités afférentes à son
observation
. 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
de ce travail, la malade, Suzanne Desch..., qui fait le sujet de l'
observation
1, est entrée dans le service de la Clinique. L
la Clinique. Les notes qui suivent compléteront heureuse- ment son
observation
prise en 1885 pour la première fois, en même te
nce parti- culière, on peut provoquer la même forme arrondie. Mes
observations
ont été faites toutes dans les mêmes conditions.
aites toutes dans les mêmes conditions. Sauf de rares exceptions, l'
observation
a été faite sur la radiale droite, le membre re
e qui suit le paroxysme épileptique. Il n'y a'donc pas d'erreur d'
observation
dans son trayail. L'inexactitude de sa conclusi
autre. Telle est la déduction facile à prévoir, d'ailleurs, de mes
observations
. Quant à .a modification apportée par l'exer-
, sept cas d'arthropathie du , pied chez des ataxiques. Ce sont ces
observations
qui forment la base du présent travail. De plus
lc, lorsque, en 1808, M. le professeur Charcot publia la pre- mière
observation
d'arthropathie chez un alaxiquc. Depuis, les tra-
professeur Charcot décrivit le pied tabétique. « Presque toutes les
observations
publiées jusqu'à ce jour, disent MM. Charcot et
istingue les arthropathies ataxiques en précoces et tardives. Les
observations
de 1111. Joffroy et Bail ne sont pas relatives à
tement défaut, alors que l'arthropathie est très manifeste. Cette
observation
a déjà été faite à la Société médicale des hôpi-
férentes autopsies, le tibia et le pé- roné étaient malades. Dans l'
observation
Y de MM. Charcot et Féré il n'est cependant pas
l'empreinte du pied montre d'une façon très nette. Dans une autre
observation
d'arthropathie d'un orteil, la première phalang
s; leur traitement doit être basé sur les mêmes principes. - Il
Observations
. - Les observations de mes six malades répondent
oit être basé sur les mêmes principes. - Il Observations. - Les
observations
de mes six malades répondent il trois groupes d
Il s'agissait d'une pachyméningite cervicale hypertrophique, dont l'
observation
fut publiée par moi en )884', el qui fit le suj
phalanges. La déformation esl plus accentuée encore sur les gros 1.
Observation
déjà signalée par Il. Charcot. Leçon, l3ull. mM"
H 150 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. Réflexions. Cette
observation
démontre nettement que l'immo- bilisation du pi
n sous le chloroforme. Je pourrais à côté de ces faits signaler une
observation
à peu près sem- 1. Bulletin médical 1887, p. 10
en de la Salpêtrière. UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH Les
observations
de maladie de Friedreich publiées en France sont
savant maître, M. le docteur IIanot, nous permet de publier. Cette
observation
sert, du reste, de base à une monographie complèt
rtains points, marqués en noir sur le dessin qui accom- pagne notre
observation
, où la réponse a été constamment négative. Ces po
riginalité bien particulier et qui nous paraît puisé dans une juste
observation
de la nature. Telle déformation des membres qui
vateurs fût attirée sur ce point. J'avais dans ce travail donné les
observations
de deux malades du ! service de M. le professeur
fesseur Charcot; et, à cette occasion, recherché et ' reproduit des
observations
analogues publiées par différents auteurs. ! Quel
ls j'aurai plus d'une fois l'occasion de revenir; en Angleterre une
observation
très intéressante de M. Hadden. . 13 174 NOUV
t normales. X. Plusieurs particularités sont à relever dans cette
observation
. D'abord pour l'étiologie. Nous ne trouvons pre
publiés et purs, le caractère familial n'est présent que dans deux
observations
(Joffroy, Teissier). Dans tous les autres cas,
res cas, il n'y a qu'une personne malade dans la famille. Parmi les
observations
étrangères, au nombre de 120 que j'ai examinées
, cette coïncidence familiale n'est absente que dans quatre ou cinq
observations
nettes. La disproportion entre les observations
dans quatre ou cinq observations nettes. La disproportion entre les
observations
françaises et étrangères est donc énorme. Pourq
estion de série et rien de plus, et je ne serais pas étonné que les
observations
ulté- rieures donnassent un démenti à ces résul
i à ces résultats de la première heure. Cependant, en examinant les
observations
étrangères, je suis frappé d'un fait qui expliq
us assure que quelques-uns des frères épargnés jusqu'au moment de l'
observation
le seront toujours ? Ainsi, mon malade a un frè
sque tou- jours, ou du moins très souvent. Dans un grand nombre d'
observations
, on dit le contraire; mais les recherches n'ont
ve à ces affirmations. D'un autre côté, dans le plus grand nombre d'
observations
, la diminution de la force est indiquée, et cela,
se trouve cependant quelques indications partielles dans une belle
observation
de Galassi, de Rome. J'ignore quelle peut être
la coloration vio- lacée et le refroidissement du pied. Il y a des
observations
où seule- ment le refroidissement du pied est c
ale, on avait placé quatre cau- tères, ayant laissé, au moment de l'
observation
, des marques indélébiles. Dans notre service, à
les noies et les photo- graphies qui nous ont servi à rédiger cotte
observation
. ' .2. Voy. au point de vue des phénomènes hyst
de a été soigné en 188 dans le service du professeur Potain, et son
observation
a été publiée par MM. Gaucher et Duflocq, dans la
t ne pouvait laisser soupçonner. C'est ainsi que sur le malade de l'
observation
I, la déformation du pied était loin d'être en
qui ont bien fait con- naître ces névrites périphériques. Dansune
observation
de M. Pitres,il existait dans le sciatique gauche
ces spéciales du fait qu'il a su traduire avec une grande finesse d'
observation
. Nous ne saurions mieux faire que de rappeler i
à titre de variété ; mais nous pensons inutile d'y insister ici, l'
observation
ayant été publiée ailleurs in extenso1. Nous y
ssant d'étudier/chez quelques malades qui se sont présentés à notre
observation
, les troubles nerveux tardifs qui peuvent résul
variétés de lésions se ressemblent au point de vue des résultats.
Observation
I. - Fract1¿re du rachis au niveau de la douzième
pas de même chez les sujets dont nous allons maintenant rapporter l'
observation
. OBS. III. -Fracture du rachis dans la région d
uelque temps après la lésion médullaire. Il ' semble donc que notre
observation
doive s'ajouter à celles que Brown-Séquard a ra
et demi; le corps de la mâchoire 1. Voir le n" 5, 1888.. 2. Cette
observation
prise à la consultation externe de M. le professe
pas plus que l'état général, d'alté- ration notable. " 1 Les deux
observations
qui suivent ont été publiées dans mon pre- mier
erché à;retrouver depuis lors les deux malades qui font l'objet des
observations
II et III mais tous nos efforts à cet égard ont
tueux. Au contraire nous avons pu continuer à suivre la malade de l'
observation
IV et il nous a même été donné d'en faire l'autop
quelque chose, bien au contraire, comme j'en ai fait mention dans l'
observation
. L'A C Il 0 M É G ALI E. 213 Quant aux divers
es et glaireuses. En résultat de toutes les particularités de cette
observation
, ajoute Sauce- rotte, ne pourrait-on pas conclu
et cette seconde partie de son travail devait comprendre le résumé d'
observations
presque innombrables, sur la physiologie et la pa
l'interrompre, et ce livre pensé n'ayant point été écrit, le trésor d'
observations
précieuses qu'il avait depuis longtemps amassé es
r tous les anatomistes qui prendront la peine de les vérifier par des
observations
nouvelles que j'appelle de tous mes vœux, heureux
fs périphériques s'accommodent à leur tour à cette segmentation, et l'
observation
démontre qu'il y a également des segments dans le
ne manière complète aux opinions de Treviranus, en me fondant sur les
observations
suivantes : si l'on considère par exemple un segm
'arrangement et la distribution. Par suite de cette loi, fondée sur l'
observation
, le système nerveux supérieur descendu dans la sp
ment que présentent les deux autres systèmes. En conséquence de ces
observations
, les cordons médians postérieurs sont évidemment
t changeront peut-être encore, à mesure que s'agrandira l'horizon des
observations
, mais il serait désespérant de trouver faux des f
ainsi obtenues ont reçu le nom de coupes transversales. La première
observation
est celle-ci : la tige médullaire est formée de s
ce blanche à la périphérie, et de substance grise à son centre. Cette
observation
est immédiate, et de tout temps les anatomistes o
onsidération de ces choses une importance qui ressortira mieux de nos
observations
ultérieures. § 3. Structure Intime de la moelle
utres dont le diamètre est sept ou huit fois plus considérable. Cette
observation
est si facile, qu'on a quelque droit de s'étonner
iliker, qui cite ces anatomistes, ne croit pas à la solidité de leurs
observations
. Mais je puis affirmer qu'elles sont parfaitement
ures de l'axe communiquent entre elles par des réseaux plus fins. Mes
observations
sont complètement d'accord avec celles de Schilli
ui relient ces cellules au tranchant des faisceaux postérieurs. Ces
observations
, dont chacun pourra constater la justesse en étud
eption au milieu de l'échancrure du bord postérieur du grand lobe. » (
Observations
sur le cervelet, par J. Wenzel, traduites par Bre
comme fournissant les racines du nerf acoustique. Gall, profitant des
observations
des frères Wenzel, faisait naître ce nerf du renf
u'il aspire à connaître la nature en dehors des voies naturelles de l'
observation
et de l'expérience, et par une sorte d'intuition
ui-ci. Cette remarque est importante, parce qu'elle coïncide avec des
observations
faites sur la périphérie des hémisphères. J'ins
quer à la méthode d'exposition du cerveau, les données fournies par l'
observation
embryologique. Cette pensée, dans la comparaiso
son directe les uns des autres. Ces propositions donnent lieu à des
observations
nouvelles, savoir : 1° Que les parties médianes
d'autres enfin multipolaires, mais ces faits sont très-obscurs, et l'
observation
à cet égard donne beaucoup de résultats incertain
se trouve en relation avec les faisceaux moyens. Il résulte de ces
observations
que les corps restiformes ne comprennent pas seul
par d'autres anatomistes. Le microscope démontre la justesse de leurs
observations
. § «. Structure du noyau de l'encéphale dans la
par l'épaisseur de la pyramide au travers de la protubérance. Cette
observation
me fit, dès cette époque, pressentir la nécessité
inent dans un appareil surajouté. Une analyse fondée sur un système d'
observations
suffisant, eut dû en conséquence inspirer l'idée
es de petites fibres jointes ensemble (1). » Il est certain que ces
observations
de Malpighi sont inexactes. Mais on a proposé, de
tribuée en stries flexueuses à la manière des rubans rayés. » Cette
observation
a été répétée par MM. Cazauvieilh et Par-chappe;
s, alternativement blanches et grises, à partir de la périphérie. Les
observations
de M. Bail-larger ont porté sur un grand nombre d
ttention qu'on y mette, on ne peut en distinguer plus de trois. Les
observations
qu'on peut faire à l'œil nu ou simplement armé d'
intelligibles. Nous serons ici moins près des essences invisibles. L'
observation
et l'expérience pourront nous conduire un peu plu
ypothèses contraires. Le fameux anatomiste Sténon, se fondant sur les
observations
d'un des plus grands hommes qui aient jamais écri
ogiques, diamétralement opposées, peuvent en découler. Lorsque deux
observations
exactes sur le même sujet, donnent lieu à deux th
une d'elles étant nécessairement le résultat d'un système incomplet d'
observations
. Partant de cette idée, je n'ai poinl désespéré d
; 2° la voûte de Willis, de Stenon et de M. Foville. Ainsi les deux
observations
sont vraies, mais comment les concilier? à priori
usions générales ne sont point les mêmes. Le lecteur, en répétant mes
observations
, jugera si l'interprétation que je propose à mon
par lame, fibre par fibre, pour ainsi dire ; mais en rassemblant les
observations
, en les rapprochant, l'esprit coordonne tous ces
cerveau humain. Il y a là matière aux réflexions des philosophes. Les
observations
qui vont suivre n'auront pas moins de valeur à le
nche, l'expansion cérébrale acquiert un développement prodigieux. Ces
observations
prouvent qu'il y a un rapport direct entre la gra
question serait d'une haute importance; malheureusement les moyens d'
observation
dont on dispose ne nous ont point suffi. Gall,
regrettable d'être ainsi réduit à proposer des hypothèses, quand des
observations
positives seraient si nécessaires? toutefois, s'i
donneraient, suivant lui, naissance à la glande pinéale. Mes propres
observations
m'obligent de me rattacher à certains égards à ce
ment, l'accroissement de l'encéphale se (1) M. W. Vrolik a publié l'
observation
curieuse d'un cas de microcephalic compliquée d'h
ne subissent par conséquent aucune réduction. On peut conclure de ces
observations
, comme notre savant ami M. Trécul l'a parfaitemen
éexiste à toutes les autres. Il m'a semblé, par suite d'une série d'
observations
conscien-ii. 16 cieusement étudiées, que les de
é sur les développements de l'encéphale, a cru pouvoir déduire de ses
observations
que la série des formes transitoires qu'amènent c
e dans un animal. A. Cette proposition spécieuse est fondée sur une
observation
exacte. En général, a dit Leuret, les grands cerv
ans doute à une réduction congéniale du développement cérébral. Cette
observation
ne justifie en rien la proposition que le dévelop
leurs, le problème ne peut plus être attaqué par la voie simple d'une
observation
immédiate. Il y a ici matière à un calcul compliq
iElhiops nigerrimus... enjus cranium nostris erat consimile. » Celle
observation
ne détruit point absolument l'opinion ancienne, q
ologie, Encyclopédie anatomiqae. Paris, 1843, t. II, p. 82. (2) Mes
observations
, à cet égard, confirment pleinement l'opinion d'H
ales du cerveau puissent se substituer à ses parties frontales. Or, l'
observation
démontrant qu'elles ne se développent jamais simu
ont de valeur qu'à la condition d'être déduites d'un nombre immense d'
observations
. Quoi qu'il en soit, il parait vrai qu'en général
n der Hoeven donne le chiffre 0m,144, qui exprime la moyenne de vingt
observations
. Ces résultats sont bien vagues, et bien que d'un
teurs ne conviennent pas de certains points de repère, pour que leurs
observations
fussent réciproquement comparables. La longueur e
s concomitantes. Je vais essayer de résumer ici un certain nombre d'
observations
qui rendront sensibles quelques-unes des proposit
s-unes des propositions que nous venons d'énoncer. Résume moyen des
observations
de M. Van der Hoevcn. ¦ _ |.h-———— CRANES CRA
ient plus significatives encore. Quoi qu'il en soit, les moyennes des
observations
de M. Van der Hoeven me paraissent fort exactes,
atives, fort insuffisantes sans doute, mais qui, rapprochées d'autres
observations
, pourront entrer à leur tour en ligne de compte.
; d'ailleurs M. Leu-ret (T. I, p. 561), en a assez dit en parlant des
observations
de M. Vimont, pour qu'il soit superflu d'y insist
s de physiologie ; mais nous essayerons d'exposer clairement ce que l'
observation
et l'expérience ont appris de plus certain toucha
erfs? Cette question a été récemment résolue par l'expérience; mais l'
observation
l'avait depuis longtemps soulevée. Le sophiste
e Galion, trad, par Cl). Darem- Ainsi la question est résolue par l'
observation
. Le mouvement étant conservé, la sensibilité peut
être abolie et réciproquement. Les commentateurs ont beau s'agiter, l'
observation
persiste, et les objections qu'on invoque ne peuv
, pour la sensation du froid et du chaud, pour le chatouillement. Les
observations
pathologiques ne permettent à cet égard aucun dou
les segments du tronc; c'est là un fait parfaitement constaté par des
observations
répétées de Redi, de Lancisi, de Haller et de mil
r, et même elle se meut spontanément et sans aucune irritation. Cette
observation
fut répétée sur des lapins naissants dont il entr
coup plus grande que l'irritation des troncs nerveux eux-mêmes. Cette
observation
prouve deux faits, savoir : 1° que des nerfs sens
centres d'activité nerveuse indépendants les uns des autres (1). Des
observations
pareilles ont souvent été faites. Chacun sait que
en réalité jusqu'à l'encéphale, par l'intermédiaire des cordons. Les
observations
anatomiques que nous avons résumées dans la premi
rt), et de M. Brown Séquard. M. Schiff a fort habilement résumé les
observations
faites avant lui; il les a conciliées avec beauco
s le membre opposé au côté divisé une certaine sensibilité (2). Cette
observation
s'accorde fort bien (1) Brown Séquard. Mém. cit
nes des nerfs pneumogastriques. M. Flourens a beaucoup étendu cette
observation
de Legallois, et donnant plus de précision à ses
nœud vital. M. Serres a, de son côté, confirmé ces résultats par ses
observations
pathologiques. M. Longet, qui à son tour a répé
tourne en manège sur le côté courbé. On pourrait conclure de cette
observation
que ces mouvements de manège qui se produisent da
s lobes antérieurs, aux mouvements des jambes. M. Serres, d'après des
observations
qui lui sont propres, accepte et soutient l'opini
; enfin Gall en fit le siège de l'instinct de propagation. Certaines
observations
ont été publiées à l'appui de cette hypothèse de
in, régularisent et coordonnent. M. Brown-Séquard, qui a répété les
observations
de M. Flourens, a été plus loin que lui, quant à
tre n'esl-il pas inutile de proposer les hypothèses qui découlent des
observations
premières, et qui ouvrent en toutes choses les po
. (2) Recherches, seconde édition. 1842. Page 115. Il résulte des
observations
de cet habile médecin, et de celles qu'il a recue
hères étaient atrophiés, et cependant le cervelet était énorme; cette
observation
ne détruit point celles de M. Turner, mais elle f
un des hémisphères du cerveau. Thèses de Paris, 5 janvier 1856. Ces
observations
pourraient paraître, au premier abord, aussi favo
rables à l'hypothèse de Gall qu'à la théorie de M. Flourens; mais des
observations
précises ont décidé la question. Le cervelet ne s
t subi cette mutilation. Cette remarque n'est point combattue par les
observations
des auteurs qui ont observé dans certains êtres,
ar les expériences que M. Flourens a faites sur des cochons d'Inde. L'
observation
conduit aux mêmes résultats. On a vu certains cas
M. Schiff, ont soutenu celte manière de voir qui est appuyée sur des
observations
anatomo-pathologiques, dont l'une, empruntée à de
ntée à de Lassonne est surtout fort remarquable; mais on oppose à ces
observations
une multitude de faits cliniques qui sont fort co
'est mieux prouvé. Gall en a été un curieux exemple, que confirme une
observation
récente de M. Alph. de Saint-Germain, dans Annale
(2 Serres. Analomie comparée du cerveau. T. II, p. 664. Les mêmes
observations
pourraient s'appliquer à tout ce que les médecins
tiques s'épanouissent directement dans les hémisphères cérébraux. Les
observations
de mon savant maître, M. le professeur Serres, do
soit avec l'absence congéniale des lobes olfactifs, et insiste sur l'
observation
dont M. le docteur Prcissat a fait le sujet de
us suivrons dans ces difficiles recherches les voies rigoureuses de l'
observation
et de l'expérience; et là où ces voies s'arrêtent
pour conclure. Rien n'est certain en dehors des faits que l'âme par l'
observation
constate soit au dehors, soit au dedans d'elle-mê
s ont pris le nombre pour l'unité. L'analyse fait voir en eflet, et l'
observation
pathologique démontre, que le toucher comprend un
singulières maladies du système nerveux dont on avait trop négligé l'
observation
sont devenues l'objet de recherches assidues. Par
sujet qui nous occupe, un travail fort remarquable de M. Landry. Des
observations
curieuses et fort bien faites le conduisent à dis
sont pas des sensations, ce sont des sentiments localisés. De môme, l'
observation
démontre que le sens du froid et de la chaleur pe
st pas par la peau seule que nous apprécions la figure des corps? L'
observation
de la nature nous inspire en général bien mieux q
manière immédiate d'agir sur nous, les corps sont chauds ou froids. L'
observation
et le raisonnement démontrent que ces impressions
les recherchent avec passion dans le temps de leurs amours, et cette
observation
n'est pas sans utilité pour la morale. Elle dit a
le de Cheselden semble donner gain de cause à la théorie de Buffon, l'
observation
des animaux ne lui est pas favorable. Qui n'a vu
tomie nouvelle et plus heureuse. On peut d'ailleurs prouver par des
observations
précises que les objets sont vus droits, que leur
n des idées adéquates et parfaites. Ces jugements sont fondés sur des
observations
immédiates et très-simples. C'est ainsi qu'une
nous cache un autre objet, nous paraît plus rapprochée de nous. Cette
observation
est une des bases de l'art de rendre les paysages
hés, et les plus petites, d'objets de plus en plus éloignés ; sur ces
observations
si simples est fondé en partie l'art de la perspe
ées sont influencées l'une par l'autre suivant certaines lois; de ces
observations
découlent certaines règles à suivre dans l'emploi
mais une explication positive de la mémoire, elle sera fondée sur des
observations
de la nature de celles-ci. 11 est d'autres illu
ourons à notre gré le passé, et, grâce à cette faculté admirable, nos
observations
successives, nos expériences, nos idées, nos plai
essairement l'idée de l'autre. M. Baillarger a raconté à ce sujet des
observations
curieuses, et des faits du même genre abondent, s
eux élémentaires reviendront-ils à cet équilibre un instant perdu ? L'
observation
semble démontrer que cette tendance se manifeste
s prolongements à parois finement granuleuses, suivant un ordre que l'
observation
n'a pu jusqu'à présent découvrir, mais que la rai
aliment dont aucune sensation actuelle ne trahissait la présence. L'
observation
des animaux domestiques, et plus particulièrement
l s'agira surtout des idées visuelles et auditives. Si par hasard des
observations
exceptionnelles indiquaient dans quelques individ
nsations imaginaires. Cette proposition mérite d'être appuyée sur des
observations
positives. J'étais un jour occupé à transcrire
ai, comme M. Lelut l'admet et comme M. Macario l'enseigne d'après une
observation
du docteur Encontre, de Montauban, que dans cet é
mnambules de Cardan et de Beattie, entendent à coup sûr, et certaines
observations
, celle de (I) J. Horstius. In libello de somnam
ourrait à la rigueur comprendre le somnambulisme automatique, car nos
observations
anatomiques sur le nerf optique et la belle expér
ne minute ou deux dans ma mémoire. J'ai fait sur moi-même une autre
observation
qui a son importance. Un individu racontait une h
elui de son rêve et voulut se retirer. Retenu malheureusement par les
observations
de ses amis, il l'ut tué en effet par cet homme a
serrez-vous le bras? Celui-ci s'excuse et nie. Un moment après, même
observation
, même réponse. Le coiffeur achève enfin son œuvre
extérieur. Mais cette condition n'est point essentielle, comme des
observations
nombreuses et positives le prouvent surabondammen
reçût pas de lumière. On a cru trouver un exemple analogue dans une
observation
de Thomas Minadoius, rapportée par Marcellus Dona
inadoius, rapportée par Marcellus Donatus (3) ; mais évidemment cette
observation
a été mal comprise, et il n'y est point question
s. Mon ami M. le docteur Labourdette a bien voulu me communiquer deux
observations
de ce genre. Nous aurons à dire quelques mots de
histoires semblables, mais ces prodiges sont tout au plus des faits d'
observation
, et l'expérience volontaire ne peut les démontrer
pratique de l'entendement humain ; aussi s'est-on borné à invoquer l'
observation
et l'histoire. Au nombre des hommes qu'on a cru
um maleficio affici credunlur, cap. xxxv. -- Rondelet raconte la même
observation
. (2) Voy. Ant. Deusingius, Fœtus mussipontani,
nature même de la question, réduits à observer et à raisonner sur nos
observations
. Quand les objets extérieurs frappent nos sens,
refois acceptée par Meyer, trouve un merveilleux appui dans certaines
observations
de Gruithuisen, qui a vu se produire à la suite d
ies sensorielles dans un cerveau prédisposé. M. Esquirol a publié une
observation
qui vient merveilleusement en aide à cette manièr
lité à cette opinion, qui trouve un appui singulier dans une curieuse
observation
de Pierquin. Le sujet de cette observation était
ingulier dans une curieuse observation de Pierquin. Le sujet de cette
observation
était une femme qui avait perdu, par suite d'une
de cette poursuite idéale. Mais descendez plus avant encore dans l'
observation
de vous-même. Observez pendant une longue inspira
mble abandonner la terre. M. le docteur Sénéchal m'a communiqué une
observation
curieuse qui vient merveilleusement en aide à ces
équents. Nous n'insistons point sur la valeur de cette preuve, mais l'
observation
qu'il invoque est réelle. Un habile observateur
n habile observateur, M. le Dr Caudmont, a bien voulu me faire part d'
observations
qui lui sont personnelles. Il s'est assuré en plu
'était, à mon insu, gravée dans mon esprit. M. Moreau a raconté une
observation
analogue, mais il faut noter qu'il était sous l'i
raison, la Folle de la maison fera des siennes. Dans la première des
observations
que je viens de raconter, j'étais préoccupé; dans
seconde, j'étais inquiet et excité; dans la troisième, le sujet de l'
observation
, M. Moreau, était enivré de hachisch. Dans ces tr
e générale qui cherche un but'et* souvent lerencontre ait hasard. Dès
observations
du plus haut intérêt démontrent la vérité dé cett
teur Archambault, a lu à la Société des Sciences médicales, plusieurs
observations
où sont consignées des substitutions pa reilles
incrédules, et arriveront au maximum, au moment même où le sujet de,l'
observation
pensera garder l'immobilité la plus grande. Si
ment foi au mouvement. J'ai bien souvent vérifié la justesse de cette
observation
; le pendule ne se meut point dans les mains des i
celles que l'on voit blesser dans un autre. » Il .cite, à ce sujet, l'
observation
suivante : « Un homme d'âge étant malade, une j
d, qu'elle « fut obligée de garder le lit pendant ce temps. » Celte
observation
est curieuse, mais conforme aux procédés généraux
), ressentit au même instant une douleur très-vive à l'oreille. Cette
observation
est d'autant plus concluante, qu'il n'était préoc
de cette fréquentation ? Ces choses ne sont-elles pas prouvées par l'
observation
de tous les lieux et de tous les temps ? Ces ob
vées par l'observation de tous les lieux et de tous les temps ? Ces
observations
pourraient peut-être servir de clef à l'explicati
ètrent par les oreilles et par les yeux. Je ne sais, par suite de ces
observations
, si les aveugles-nés ou les sourds, auxquels écha
é et rétracté ne pouvait être étendu (1). J. Nie. Pechlin, dans ses
observations
physico-médicales, a cité plusieurs cas analogues
publié plusieurs cas de ce genre, et le grave Boerhaave ajoute à ces
observations
le résultat de sa propre expérience. Une femme, é
cccxuii. (5) De morbis nervorum, t. 11, p. 555. niais de simples
observations
ne peuvent suffire pour établir une théorie, tant
nstances, au milieu desquelles ces phénomènes se produisent. Mais une
observation
curieuse, qui m'a été communiquée par M. le docte
Pétetin. Électricité animale. Paris et Lyon 1808, p. 8. Une curieuse
observation
de M. Lelut servira peut-être à l'interprétation
iquement démontrée; malheureusement il est difficile d'écarter de ces
observations
tout prétexte au soupçon de jonglerie, tant l'art
us, on doit leur accorder une foi absolue. Dans ces conditions, toute
observation
positive est impossible. La Foi, dit-on, est aveu
une influence directe. Cette influence est mise hors de doute par des
observations
si nombreuses qu'il serait superflu d'y insister
dit trop poétiquement Cuvier. C'est une corrélation nécessaire que l'
observation
démontre, mais dont l'explication se cache dans l
s l'état actuel des animaux. M. Chevreul a recueilli sur ce point des
observations
du plus grand intérêt, dont nous parlerons dans u
lic ses idées sur un sujet auquel je sais qu'il a appliqué ce génie d'
observation
, dirigé par une méthode si sûre, que chacun de se
sœpe ralione utanlur melius homine. Hemsladii, il. M On cite des
observations
plus récentes. M. de la Boussa-nelle, capitaine d
enue et mettaient en-« suite devant lui. C'est là, ajoute l'auteur, l'
observation
et le « témoignage d'une compagnie entière , offi
lorum. Operà et studio Jenkinii Thomasii Britanni, 1713, p. 23. (1)
Observations
militaires. Paris, 17G0, citées par Saint-Foix. E
e docteur subtil, accordèrent aux animaux une âme immatérielle (5). L'
observation
, en effet, dit assez clairement qu'ils sentent ;
s, ne pouvait être jugé à priori. Les bêtes n'étant connues que par l'
observation
, il est évident que pour les mieux connaître, il
is du raisonnement s'exer-çant sur un système de faits indiqués par l'
observation
, et vérifiés par l'expérience. Les actions de l
stinct dans le paragraphe précédent. Cette distinction fondée sur l'
observation
, et si évidente par elle-même, n'avait point été
hypothèses. Ni Descartes, ni Georges Leroy (1), malgré ses curieuses
observations
, ni Réaumur, ni Condillac, ni Buffon ne sont sort
l la perfectibilité des animaux, 2" édition. Paris, 1802, in-8. (2)
Observations
physiques el morales sur l'instinct des animaux.
du moins sa chaîne est brisée du jour où il quitte son berceau. Les
observations
de Frédéric Cuvier ont été racontées et résumées
n'est point un résultat de la méthode à priori. Tout, ici, vient de l'
observation
et de l'expérience. Il en résulte une distinction
utre chatte, dont mon collègue, M. Eugène Desmarets, m'a communiqué l'
observation
, tirait, pour se faire ouvrir, le cordon d'une so
ré maître, M. Chevreul, a bien voulu me communiquer sur ce sujet deux
observations
dont le sens profond ne saurait être trop médité
in pour les dévorer (1). On est revenu de ces fables; mais quelques
observations
semblent démontrer que certains mammifères ne son
ssent pas s'instruire entre eux, quant à ces faits exceptionnels. Les
observations
recueillies par M. Chevreul en sont la preuve.
ence du corps calleux n'anéantit point l'intelligence; mais comme les
observations
anatomiques l'indiquent, elle doit diminuer singu
a pathologie des nerfs périphériques, sans parler des névralgies, l'
observation
récente de MM. Chantemesse et Widal, n'est-elle
urrait nous répondre, avec juste raison, que lire les détails d'une
observation
et avoir sous les yeux le malade sont deux chos
nicien qui a observé le cas. Aussi ne rapporterons-nous pas ici ces
observations
. Au surplus, nous risquerions d'être incomplet
ayerons d'aborder, sinon de résoudre. Nous espérons démontrer, avec
observations
à l'appui, que, dans des cas déterminés, les si
bles aux névroses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'
observation
clinique, en pensant anatomiquement et physiolo
moins grande les traits multiples de la sclérose en plaques. Les
observations
que nous allons rapporter nous paraissent décisiv
é par M. le professeur Charcot à ses auditeurs du mardi (1889). Son
observation
a été prise par notre ami M. Dutil qui doit la
professeur Charcot. Ons. III (inédite). (La majeure partie de cette
observation
nous a été communiquée par notre collègue et am
, si Fir. 1. - Spécimen d'écriture clic/ un trembleur hystél'iqlle (
Observation
III). ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULAT
e, nous ne répéterons pas ce que nous avons déjà dit à propos des
observations
précédentes. Le nystagmus n'a pas été constaté de
on de porter un verre à la bouche). Fic. 5. Tremblement hystérique (
Observation
Y). Le tremblement existe au repos et s'exagère p
honation, il y avait occlusion complète de la glotte. La suite de l'
observation
confirma ces renseignements et fit recon- naîtr
'hôpital Saint-Thomas. Elle était alors tout à fait guérie. Cette
observation
, ainsi que le fait remarquer l'auteur, est intére
ces dernières années, divers auteurs ont appelé l'attention sur des
observations
paradoxales; les symptômes et l'évolution delamal
n, furent trouvés complètement sains. Vestphal fait suivre ces deux
observations
de la réflexion suivante : « Il y a une névrose g
roscopiques restèrent négatifs. De son côté, Oppenheim ' publie une
observation
de névrose bul- baire ayant simulé la paralysie
. A l'autopsie, absence de lésions du système nerveux. C'est là une
observation
que nous ne faisons que mentionner, elle sort u
l'examen approfondi auquel nous nous sommes livré que ces diverses
observations
ne sont pas comparables entre elles, et qu'un c
ciables. Or, c'est précisément parce que, dans quelques-unes de ces
observations
, on trouve des symptômes irréfra- gables d'hyst
e; 3° L'hystérie ne peut être incriminée. I. Et d'abord, les deux
observations
de Westphal relèvent sans aucun ÉTUDE DES SYNDR
conséquences, les rapports que les auteurs établissent entre leurs
observations
et celles de Westphal, on serait tenté de les c
doivent se diviser en deux groupes : d. Dans l'un, les détails de l'
observation
, étudiés à lalumière de nos connaissances actue
ion très notable pro- dnite par l'application de pointes d.- feu. L'
observation
dont nous allons donner le résumé est doublemen
aitement inutile d'insister sur ce point. La lecture seule de cette
observation
étrange nous dispensera d'autres commentaires.
combe le 7 octobre. Autopsie négative. Westphal rapporte ces deux
observations
avec grand luxe de détails. Nous les avons lues
ce du repos, du bromure et des bains sulfureux. « En relisant cette
observation
, dit M. Rendu, prise il y a neuf ans et considé
, mais de névrose tremblante (schuttelneurose). A propos de cette
observation
, le professeur Eichhorst rappelle qu'il a connu
der une affection que j'avais supposée incurable. » Ce sont là deux
observations
très instructives qui relèvent sans nul doute d
ste depuis plusieurs années M. le professeur Charcot. Du reste, les
observations
citées par l'auteur anglais manquent trop de déta
associé à la sclé- rose en plaques. Nous connaissons cependant des
observations
et Vulpian, dans ses Leçons, p. 67'1 \ en rappo
e diagnostiquer sûrement à première vue chez le malade dont voici l'
observation
. Ons. - L..., Georges, âgé de trente-cinq ans,
t très vite au niveau primitif (en dix à quinze secondes dans notre
observation
). Ce serait donc plutôt un oedème élastique.
use au niveau des parties tuméfiées est en effet signalée dans deux
observations
de M. Charcot rapportées par MM. Gilles de la Tou
t rapportées par MM. Gilles de la Tou- rette et Dutil. Toutes les
observations
jusqu'ici publiées d'oedème hystérique signalen
publiées prochainement, nous avous eu l'occasion de faire quelques
observations
dans le même ordre d'idées pendant l'hypnose. C
même ordre d'idées pendant l'hypnose. Ce sont les résultats de ces
observations
que nous consignons ici, sans en tirer d'autres
our toutes, avant de commencer, que nous avons fait usage, pour ces
observations
, uniquement de sujets présentant ce qu'on appel
s qui surviennent chez les enfants. Je trouve dans plusieurs de mes
observations
que les enfants ont eu de la diarrhée tenace, l
lations brèves, rapides, en un mot, véritablement vibratoire. Les
observations
que nous venons de rapporter démontrent que ce
t relativement rares, presque exceptionnels. A ce point de vue, nos
observations
confirment donc pleinement la remarque formulée
ut de ce travail nous conduit à réunir dans le présent chapitre les
observations
d'hystériques qui, tout en tremblant sur un rhy
tel du moins que le dépeignent dans sa forme la plus accomplie, les
observations
les plus précises, les descriptions les mieux c
ssible. Et de fait, un des malades dont nous rapportons plus loin l'
observation
a été ainsi et bien il tort diagnostiqué : scléro
rappelant ainsi le tremblement de la sclérose en plaques (Voir les
observations
II, III, IV, IX du mémoire de M. Letulle2, l'ob
(Voir les observations II, III, IV, IX du mémoire de M. Letulle2, l'
observation
XIV du nommé Schumach... qui figure dans la thè
bjet d'une leçon de M. Charcot. -On pourrait citer aussi toutes les
observations
communi- quées par M. Letulle qui figurent dans
caractères des tremblements mercuriels proprement dits. Voici les
observations
sur lesquelles repose la description précé- den
ours. OBS. IV. Tremblement hystérique, rémittent-intentionnel1. L'
observation
suivante est encore un bel exemple de tremblement
ntionnel portant sur la langue et les quatre membres. OBs. V (Cette
observation
nous a été communiquée très obligeamment par no
esque complètement connaissance durant une demi-heure environ. 1. L'
observation
de ce malade figure résumée dans la note de Mi Re
REMBLEMENT SIMULANT LA TRÉPIDATION DES PARAPLÉGIQUES SPASMODIQUES L'
observation
suivante est un exemple de tremblement hystérique
n'avons pu, pour notre part, en recueillir aucun exemple. Les deux
observations
qui vontsuivre sont empruntées, l'une à la leço
atteint d'une lésion organique des centres ner- veux. La deuxième
observation
est empruntée au travail de M. Souques auquel n
tres maladies organiques et inorganiques du système nerveux. Si les
observations
tant de fois citées de M. 7estplialt étaient exac
typique combinée avec l'hystérie. M. Oppenheim fait précéder ces
observations
démonstratives des réflexions suivantes : « J'a
'te paralysie est caractérisée par un ensemble de symptômes que les
observations
suivantes mettront en lumière. Oss. XXVII (ré
gérés. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 141 Cette
observation
se passe de commentaires. M. le professeur Charco
fig. 29, 30). 142 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans l'
observation
de M. Berbez, comme dans le cas précédent, la s
i sont moins sales et moins purulentes. Nous avons rapporté cette
observation
comme terme de compa- raison, pour montrer les
ont pu être recherchées, le malade ne s'étant trouvé soumis à notre
observation
que pendant un temps fort court. Il retourna au
urs. Il se peut qu'il ait succombé de cette manière. Bien que cette
observation
soit un peu incomplète à certains égards, elle
e ne permet pas le doute un seul instant.. z Voici maintenant une
observation
empruntée à Rosenthal. Ces. XXIX. Ophthalmoplég
a moitié gauche de la moelle n'est que très légèrement touchée. L'
observation
de Bristowe se rapproche de la précédente par la
t croire que l'artiste a été plus guidé par ses souvenirs que par l'
observation
directe des faits. Ce reproche n'est pas mérité
ci nos plus sincères remerciements, la communication d'une première
observation
et de deux photographies (Pl. XXI) de cette mal
acte et des débuts et de l'évolution de la maladie. Voici d'abord l'
observation
que notre maître M. Lailler a si libéralement m
Exeat le 20 mai. Diagnostic : problème. Telle est l'intéressante
observation
de M. Lailler. Voici maintenant celle que nous
on hystérique du tremblement de la maladie de Parkinson est une des
observations
qui figurent dans la note communiquée par M. Re
de l'interprétation aussi simple que logique qu'il en a donnée, une
observation
publiée par M. Oppenheim, à peu près la même ép
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. M. Oppenheim rapporte, à la suite de cette
observation
, l'histoire d'un sècond malade, chez lequel le
ment pseudo-mercuriel, la pseudo-para- plégie spasmodique, etc. L'
observation
suivante est un exemple de tremblement lent local
ts post-hémiplégiques ou symptomatiques d'une tumeur cérébrale. L'
observation
qui va suivre donne une idée assez nette des diff
nt elle a été victime, et, si l'on s'en rap- porte aux détails de l'
observation
, d'une façon inopinée, subite, tandis qu'elle é
e dans ses observa- tions par mon excellent maître, M. Bourneville,
observations
dont vous trouverez de nombreux et intéressants
ire des muscles symétriques bulbo-cérébraux (Seelimüller). Dans l'
observation
suivante, la paralysie bulbaire inférieure fait,
égorie dont il ne constitue pas l'un des types les moins curieux. L'
observation
de Peyn..., celle du médecin polo- nais (Obs. X
raient été envahies en même temps, à en juger par cette phrase de l'
observation
: « la malade souffrait depuis quatre ans d'une
es ou intestinaux, les phénomènes fébriles, signalés dans certaines
observations
de paralysie générale spinale antérieure subai-
énérale spinale antérieure subai- guë, firent défaut dans les trois
observations
de polioencéphalomyélite que nous étudions. D
ne vint qu'en second lieu. Il en fut de même chez notre malade de l'
observation
XXVII. Début par la paralysie des membres infér
, ne permettra pas longtemps le doute. Nous avons relevé dans les
observations
publiées de polioencéphalite et nous avons cons
e que dans celui des polynévrites. Nous citerons en particulier une
observation
rapportée dans la thèse de 111 ? Déjerine-Klump
qui la maladie semble, en raison des renseignements fournis dans l'
observation
, avoir débuté vers quarante ou quarante-cinq ans.
riode de santé de deux ans et demi, le malade fut repris en 1883. L'
observation
faite à cette époque montre qu'il existait un d
une ébauche de paralysie glosso-labio-laryngée. A en juger par les
observations
de Sachs, de Bristowe, de Rosenthal, il semble qu
Eisculolir l'autopsie resta négative. Voici un résumé succinct de l'
observation
. Eisenlohr, Ein Fall von Ophthalmoplegia e,t,te
1101'LÉGIE EXTERNE. 211 nucléaires donne le plus grand prix à celte
observation
que nous citons presque in extenso. OBs. XL.
DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 243 Voici un résumé succinct de son
observation
, qui est un bel exemple de polioencéphalite sub
, puis un troisième; enfin en 1887, Kojewnikoff publia une nouvelle
observation
, ce qui fait au total sept cas. L'histoire clin
uccédé à une contracture due à une myélite transverse. La seconde
observation
concerne une réfraction des muscles de la cuiss
ination de syringomyélie, type Morvan. » Voici les détails de cette
observation
. La plupart d'entre eux sont empruntés à une le
se- contractent, le courant s'étant diffusé jusqu'à eux. Toutes les
observations
précédentes ont trait 11 l'éminence. thénar. Les
ecrosnier & BABBÉ EDITEURS UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 261 l'
observation
si complète que nous venons de rapporter, l'état
nte-huit heures. Les considérations intéressantes que soulève cette
observation
ont été magistralement exposées par M. Charcot.
tes de l'hérédo- syphilis. Quant à la conclusion à tirer de cette
observation
si pleine d'ac- tualité, nous l'emprunterons à
pelons en passant que Uhthoff paraît avoir publié une des premières
observations
, sinon la première, d'ophthalmoplégie externe d
eur caractère et leur dis- tribution, dit Kojewniloff propos de son
observation
, ces altérations offrent une analogie parfaite
pathogénique nous ont paru dignes d'être relevées. Voici donc son
observation
et les reproductions photographiques que nous d
s particuliers aux races supérieures (Darwin, Mantegazza). Pour l'
observation
de l'état actuel du système dentaire, la denture,
égies hystériques. Elles ressortiront avec évidence de l'exposé des
observations
qui suivent. OBs. XXX (inédite). llémiparaplégi
III (Ozeretzkowsky, in Arcltiv. de Neurologie, 188G). Dans ces deux
observations
, la nature hystérique de la paralysie ne semble
ue par auto- suggestion. Guérison à la suite d'une émotion. Cette
observation
intéressante est un type parfait de paraplégie
une paraplégie syphilitique. L'auteur fait suivre cette remarquable
observation
d'une discussion contradictoire et conclut à l'
ne doivent plus aujourd'hui faire écarter l'hypothèse d'hystérie. L'
observation
suivante est un exemple manifeste de la longue
ques. OBs. XXXVII (Hirt, Deutsche med. Woch., 1887, n° 30). Cette
observation
est surtout remarquable par la durée de la para-
dans des cas analogues, cette hypothèse a été admise. Deux ou trois
observations
prises au hasard, parmi tant d'autres, vont nous
nous le remercions vivement, a bien voulu compléter cette curieuse
observation
en y ajoutant les détails suivants que nous cop
L'examen microscopique ne fut pas fait. Nous avons rapporté cette
observation
telle que nous l'avions con- signée dans nos no
é au microscope. Si l'on veut bien considérer qu'il est noté dans l'
observation
que la malade avait de l'hémianesthésie gauche, q
s observé nous-même cette malade. Nous avouons volontiers que cette
observation
présente quelques contradictions, mais les trou
du même coup, faire voir que tout relève de la névrose. Dans les
observations
suivantes, nous nous efforcerons, en nous basan
e bimamelonnaire. Pas de troubles fonctionnels. Dans la troisième
observation
due à Flesch2, la malformation a débuté à sept
des accès épileptiques, à la suite d'une scarlatine. La quatrième
observation
a été rapportée par IIagmann3 et concerne un en
elle constituerait un des nombreux stigmates physiques.' Voici les
observations
: . . Ces. VIII (personnelle). T...; quatre-vin
nes physiques de dégénérescence, les traits caractéristiques de nos
observations
ainsi que ceux de tous les cas que nous avons pu
littératures française et étrangères. Certaines particularités des
observations
précédentes méritent d'être étudiées de plus pr
cas 40 millim., dans l'autre 72, de la base au sommet. La première
observation
publiée porte que la profondeur était de 8 il 9
e-ci était congénitale ou remontait à la première enfance. Dans les
observations
rassemblées' par Ebstein, le thorax en entonnoi
l'appareil respiratoire, ni pour l'appareil circula- toire. Dans l'
observation
de la Gazette des Hôpitaux on signale bien l'ex
éformation. Le rétrécissement aortique constaté chez le malade de l'
observation
XII n'est évidemment qu'une coexis- tence, une
ence thoracique maxima n'est point diminuée. Nous trouvons dans les
observations
VIII et IX les chiffres de 78 et de 89; or Sapp
s frap- pent en effet à la lecture et à la comparaison des diverses
observations
publiées : c'est, d'une part, cette coexistence
rapporte évidemment à l'état de diathèse de contracture. Il cite l'
observation
d'une malade dont le membre supérieur droit con
é de cas dans lesquels- cet état se soit montré généralisé; aussi l'
observation
suivante m'ai paru présenter un certain intérêt
'approche, du coma semblaient faire redouter, ne soit survenue. L'
observation
que nous venons de rapporter présente quelques
ue par la peine à mouvoir la langue; dans la pluralité des cas, les
observations
ne permettent pas de conclure si l'hypoglosse e
t en mon- trait un exemple remarquable dans ses Leçons du -mardi. L'
observation
de cette malade a été rapportée ici même par MM
euve que ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 371-) l'
observation
rapportée par M. Charcot dans ses Leçons du, mard
te trois cas manifestes. M. F. Iluchard en rapporte également trois
observations
convaincantes, etc. Non seulement l'anesthésie pe
pporter à la névrose manquent de données positives. llurd2 cite une
observation
dont le titre seul résume la symptomatologie. Y
rions mieux faire que de les imiter. Par contre, Webb' publie une
observation
qu'il intitule hystérie simulatrice du tabes. L'h
tionnelle de l'hystérie. Mais si on veut bien admettre que.d'autres
observations
nous les résumerons plus loin où l'hystérie a é
signée sous le nom de « pseudo-tabes », puis nous citerons quelques
observations
d'asso- ciation hystéro-tabétique, et enfin nou
vrose avec des caractères de siège et d'in- tensité analogues : les
observations
de Iluchard, Pitres, Michaut en sont des exempl
DE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 393 Il manque à cette
observation
quelques détails; nous l'avons rédigée d'après
Auguste P..., trente-trois ans, marchand des quatre-saisons. Les
observations
précédentes ont trait à des cas de faux tabes hys
rancher les difficultés. 11 nous faut maintenant résumer quelques
observations
d'hystérie simulatrice méconnue, pour faire voi
de-malade. M. Mader, qui n'a pas songé à l'hystérie, intitule cette
observation
: myelitis spontané heilung. Or, il nous semble
lésions diffuses dans le tabès. Il serait difficile de trouver une
observation
plus typique et plus in- structive. D'un côté,
lérose systématique des cordons posté- rieurs ; il résulte de celte
observation
que l'ataxie locomotrice progres- sive doit plu
ond, dans un mémoire resté inéditfaisait en 1874, au sujet de cette
observation
, la réflexion suivante : « C'est un exemple bie
saturnisme est hors de doute. Aussi M. Raymond pense-t-il que cette
observation
ne vaut plus et qu'il faut n'y voir actuellemen
l y a deux choses qui attirent l'attention dans* cette intéressante
observation
. Tout d'abord, il s'agit d'un tabes fruste par ex
on erreur en ces termes : « En relisant après coup les détails de l'
observation
, on reconnaît bien quelques anomalies qui aurai
t les stigmates n'avaient pas été suffisamment recherchés. De cette
observation
on peut rapprocher le cas sui- vant : OBs. LX
es. De ce cas de Thomsen nous rapprocherions volontiers une récente
observation
de E. Siemerling1. Il y est question d'une femm
névroses graves ». Il nous semble cependant que cette intéressante
observation
est justiciable d'une interprétation. Il est no
et se manifestant de deux manières différentes. Mais revenons à l'
observation
de Thomsen. Tout est-il hystérique- dans ce cas
me, et que Levy' rejette au con- traire cette hypothèse; et, dans l'
observation
qu'il rapporte, Thomsen incrimine l'alcoolisme.
diagnostic de tabes avec anesthésie hystérique. D'après lui, cette
observation
démontre que, dans toutes les affections orga-
hystérique con- firme pour son propre compte. Vu le petit nombre d'
observations
publiées jusqu'ici, l'étude en est à peine ébau
baut0, Chantemesse et Widal10, sont venus fournir leur contingent d'
observations
et de travaux. Tous ces faits nouveaux rentrent
mond rappelait le 9 mai 1890, à la Société médicale, à propos d'une
observation
de M. G. Ballet', que, depuis la thèse de son int
et l'avenir pourrait bien se charger de le démontrer, comme dans l'
observation
que nous allons maintenant rapporter. Ces. LX
n dégénérative paraît plus grave que l'amyotrophie simple. Mais les
observations
sont trop peu nombreuses pour qu'on puisse se p
phie avec réaction dégénérative. Cette variété repose sur i, quatre
observations
convaincantes. Il ne faudra donc plus s'autoriser
action de dégénérescence. En effet, électriquement par- lant, cette
observation
rentre dans la catégorie des atrophies simples.
vaniqucment est à peu près normal. En somme, atro- phie simple. L'
observation
précédente est un cas extraordinairement complexe
semble nécessaire de souligner le double intérêt que présente cette
observation
. On voit ici coïncider, chez un môme individu, la
volution des accidents ; elle ne saurait résister à la lecture de l'
observation
clinique pas plus qu'aux divers arguments que n
e remonte qu'il quatre ans. Or, un hystérique amyotrophique, dont l'
observation
se trouve dans le mé- moire de M. Babinski, a é
rophie musculaire. Et même lorsqu'elle esl symétrique, comme dans l'
observation
LXVIII, c'est encore du côté des troubles de la s
rétation aussi bien que de faire la part, comme chez le malade de l'
observation
LXXII, de ce qui revient à la névrose hystérique
e, le premier, l'a diagnostiquée sur un malade dont il communiqua l'
observation
à la Société médicale des hôpitaux, le 22 févri
rompe normal et que, si ce résultat n'avait pas été consigné dans l'
observation
, c'est parce qu'à cette époque il n'était pas e
i que peut-être cela est fort possible en somme un certain nombre d'
observations
produites par les auteurs sous le nom de syring
simulateur de la syringomyélie. P...eyn, quarante-six ans. Cette
observation
est un type d'hystérie simulatrice. Si, aujourd'h
., trente-quatre ans, fille du clergé. Après avoir rapporté cette
observation
, M. Roth fait remarquer qu'avant que M. Charcot
atose médul- laire, etc. Nous croyons, pour notre pari, que cette
observation
est susceptible d'une interprétation toute diff
cou, 1890). M..., étudiant, vingt-quatre ans. Telle est en résumé l'
observation
XII du mémoire de Roth, qui, malgré l'anesthési
taloire. Marie P..., vingt-quatre ans. L'auteur fait suivre cette
observation
de cette réflexion : « Selon le point de vue au
ystérie et de la syringomyélie sera mise hors de doute par les deux
observations
suivantes, que vient tout récemment de publier
quelques lignes donnent une explication anticipée de la remarquable
observation
de M. Oppenheim. Ces associations « hystéro-s
champ vi- suel, etc., sont mis sur le compte de la syringomyélie. L'
observation
de M. Roth que nous avons mentionnée plus haut
et qui n'avait été qu'incomplètement reconnue. Quelques points de l'
observation
de ce malade méritent d'ailleurs de fixer l'att
èrement intéressantes. Dans le tableau ci-dessous nous résumons les
observations
de 3G au- teurs. TRAITEMENT DES MALADIES DU S
cherchées dansles effets physiologiques de la suspension. Parmi les
observations
avec issue fatale parvenues notre connais- sanc
r et les fonctions génitales éteintes réapparaître en partie. Les
observations
de plusieurs autres médecins confirment ce que
aralysie agilante, les névralgies et dans les méningo-myélites. Les
observations
de ce genre ont été rapportées par Motschoutkov
e porte sur les paresthésies, comme l'ont fait remarquer dans leurs
observations
Mendel et Eulenburg. Dans les paralysies spasmo
e diminuer la pression atmosphérique tout en continuant à faire mes
observations
manométriques au même endroit, j'étais obligé d
es substances grise et blanche de la moelle épinière. Cependant les
observations
de Lombroso ne me paraissent pas démonstratives
s qu'on mettait sur le compte de la suspension. Pour la netteté des
observations
il fallait remplacer la suspension par une exte
tendon dans les maladies nerveuses, c'est à peine si une dizaine d'
observations
à notre connaissance relatent les modifications
vralgie. Un des faits les plus intéressants qu'on relève dans les
observations
de MM. Charcot, Ballet et Babinski consiste dan
ois d'une façon très notable. Il en était probablement ainsi dans l'
observation
de M. Ballet, autant qu'on en peut juger par la
illeurs étant assez complexe, nous n'hésitons pas à en donner ici l'
observation
in e.xtenso, d'après les notes détaillées qui n
illées qui nous ont été fournies par notre externe, M. Thévenard.
OBSERVATION
. - Névrite sciatique avec légère contracture spas
leurs. Il est incontestable que le malade dont on vient de lire l'
observation
était atteint d'une sciatique. Cette sciatique
asmodique de cause spinale ; mais en parcourant un grand nombre d'
observations
de sciatiques simples, nous nous sommes assuré
ne chan- gerait rien aux conclusions que nous voulons tirer de l'
observation
, puisqu'il s'agit surtout de l'attitude de notr
es particu- larités des treize cas dont on a publié jusqu'ici les
observations
? L'histoire de ce malade, qui me consulta en m
eux eût été aggravée dans de semblables conditions ! La plupart des
observations
d'abasie rapportées par les auteurs concernent
esseur Grasset, a UN cas d'abasie-astasie. - 47 Î repris les onze
observations
du mémoire de M. Blocq et t les a ramenées à tr
ique trépidante Ahasie ataxiquo trépidante ( chorei forme Notre
observation
ne rentre ni dans l'une ni dans l'autre de ces
ttaque abasique, dont nous pensons avoir démontré l'existence par l'
observation
que nous venons de rapporter. Je ne terminera
la pression barométrique». Ce travail intéressant est basé sur une
observation
avec autopsie que je rapporte textuellement ici
que ce chapitre est forcément incomplet parce qu'il nous manque des
observations
avec examen micros- copique du système' nerveux
aitement bien rendre compte de l'amnésie motrice d'articulation des
Observations
XXXII, XXXIII et XXXIV, en déterminant par l'is
nner lieu au fait si original qui s'est passé chez le malade de l'
OBSERVATION
XXXI qui a été atteint d'une vraie série d'apha
de l'écorce détermine l'hémiplégie. Le fait du scaphandrier de l'
OBSERVATION
XLV est très curieux, dans ce sens que l'on voi
NTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 67 -1 rieur gauche du malade de l'
OBSERVATION
XLVIII n'a pas été fugitive. Le cinquième jour
ide). Quant à expliquer pourquoi le malade qui fait le sujet de l'
OBSERVATION
LI ne pouvait plus continuer son travail dans l
après la montée, immédiatement après l'enlèvement même du casque, (
Observation
L), dix minutes après la décompression (OBs. LI
). Si nous avons défendu sévèrement au plongeur à scaphandre de l'
OBSERVATION
LI letravail dans l'air comprimé jus- qu'à sa g
isément expliquer le mode de produc- tion de l'accident mental de l'
OBSERVATION
XLIX. Est-il difficile, en effet, de concevoir
sinon impossible, pour les scaphandriers. Le scaphan- drier de l'
OBSERVATION
XXXVI a retrouvé la parole par la recompressiol
mprimé, à preuve l'efficacité de ce traitement chez les malades des
Observations
I, III, IV, XXVII, LIX, etc. Fort de ces donnée
nées, j'ai ordonné le traitement par l'air comprimé aux malades des
Observations
XIII, XIV, XXI, XXII, XXIII, XXV. Celui de l'OB
ment considérable qui équivaut presque à la guérison du malade de l'
OBSERVATiON
XXII. Enfin le malade de l'OBSERVATION XXV est
la guérison du malade de l'OBSERVATiON XXII. Enfin le malade de l'
OBSERVATION
XXV est complètement guéri grâce à ce traitemen
itué sur l'homme vivant des expériences, à l'effet de contrôler les
observations
de la clinique et de vérifier les résultats de
n fait très général et, très constant ait pu longtemps échapper à l'
observation
même des plus clairvoyants. Pendant des siècles
ensibilité générale siégerait dans les régions de l'hippocampe, « l'
observation
cli- nique, dit Seppilli, n'a jusqu'ici apporté
., 1881, H sq. Cf. les réflexions de Charcot et de Pitres sur cette
observation
, « assurément la meilleure parmi toutes celles
bes pariétaux, la seconde coïncidant avec la zone dite motrice. Les
observations
cliniques recueillies jus-' qu'ici montrent en
e et des paralysies motrices. Quant à la profondeur de la lésion, l'
observation
cli- nique démontre, ainsi qu'il résulte des ca
de l'écorce les paralyse, une lésion irritative les exalte'. Les
observations
cliniques d'altération de la sensi- bilité géné
s circonvolutions. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS TROIS NOUVELLES
OBSERVATIONS
D'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE CHEZ LES JEUNES GARÇONS;
P. SOLLIER. UNE FAMILLE D'HYSTÉRIQUES ' 1 Nous devons compléter l'
observation
de notre malade Lav... (Eugène) jusqu'à ce jour
artielle; par M. BERNHARDT (Centralbl. f. Ner- ve7zheilk ? 1887).
Observation
sans autopsie. Pas d'étude expérimentale. Névrite
ns convulsives » (Erb). Ce qui, d'après l'auteur, dis- tingue cette
observation
de celles de Erb, c'est que, par l'excita- tion
f. Nervenheilk, 1887). Ces mémoires ou notes, parmi lesquelles cinq
observations
(Eu- lenburg) confirment en somme la manière de
f. Psych., XVII, 3; XVIII, 1,2.) Travail personnel basé sur seize
observations
relatées in extenso prises chez des alcooliques
D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. sujet de cette curieuse
observation
était une femme épileptique, idiote, de treize
du cours des idées : état fréquent chez les épileptiques. Quinze
observations
personnelles. P. K. II. De l'immobilité, DE la
teurs ou protopathi- ques. Il cite en particulier plus de cinquante
observations
classées. Sur 1,900 cas, on a trouvé 56 malades
autant moins fondé que M. Moeli a observé un malade dont il donne l'
observation
suivie d'autopsie, chez lequel on trouve une tu
ants, mais trop longs pour que nous puissions les reproduire ici, l'
observation
de deux malades dont l'un était sous-constable
Geo.-H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science, janvier 1886.) L'
observation
de ce malade, rapportée en détail dans ce mé- m
r cas seulement la guérison complète fut obte- nue. R. M. C. VII.
Observations
POUR SERVIR A l'étude DE QUELQUES maladies ment
The Journal of Mental Science, juillet 18S i .) Voici le résumé des
observations
de l'auteur sur ce sujet : Dans la paralysie gé
t délire maniaques à certains moments. Il faut voir dans toutes ces
observations
combien l'impression maternelle au moment de la
scussions dans l'espoir que chacun de vous apportant des éléments d'
observation
personnelle la Société pourra enfin fixer ce po
ience, qui lui sont suggérées par deux malades dont il rapporte les
observations
. La maladie se caractérise par la fréquence des
du pouls et irrégularité des battements du coeur; les trois autres
observations
constituent une énigme en ce sens qu'on ne s'ex
diction de l'acquittement tel qu'il a été prononcé ! Vous mettez en
observation
vous, autorité judiciaire; vous n'en avez pas le
er son état mental peut avoir lieu soit dans le quartier ou local d'
observation
et dépôt provisoire établi à l'hô- pital ou hos
des asiles que vous êtes obligés de créer ! M. LE rapporteur. Les
observations
de M, de Gavardie viendront sénat 145 plus ut
ire du gouvernement sur l'article 48. Le Sénat n'a pas oublié les
observations
critiques portées à la tribune par M. le minist
, M. de Gavardie aura l'occasion de repro- duire plus utilement ses
observations
, et la commission lui don- nera alors des expli
à M. Casimir Fournier. M. Casimir Fournier. Je désirais faire cette
observation
de ma place, car elle est très simple. Le texte
ême esprit de saine BIBLIOGRAPHIE. 147 critique et de judicieuses
observations
, laissant avant tout la place aux faits, sans s
ans les Archives deNeu- rologie. Nous avons, entre autres, relaté l'
observation
de la dor- Incuse de la Salpétrière, complétée
ure et moyenne de l'écorce. J'avoue que je ne puis voir en quoi ces
observations
sont contraires aux faits et aux doctrines que
ns des trois couches stratifiées de Golgi. Voilà pour les faits d'
observation
susceptibles d'être notés. Quant aux fonction
nfin une base scientifique aux hypothèses, aux expériences et aux
observations
des physiologistes et des clini- ciens. Tamburi
eux qui constituent ces centres résulte déjà avec évidence de cette
observation
vulgaire que la destruction des aires corticale
draient à rapprocher ces faits ana- tomiques des expériences et des
observations
. Ce n'est pas que l'on manque d'indices caracté
de constater ce fait, sans affecter de rejeter en bloc toutes les
observations
antérieures. Les cellules pyra- midales ne sont
eçu de Golgi une base anatomique, est en accord avec les faits de l'
observation
anatomo-cli- nique. Cionini a noté, à la fin de
gauche l'emportait en poids sur le cer- veau droit. Cette dernière
observation
est, on le voit, en désaccord avec le résultat
ue du cerveau (Luys), serait chose normale. Il suit encore de ces
observations
que la prédominance fonctionnelle attri- buée à
ur ce sujet les travaux les plus étendus et les plus solides. Les
observations
dont elles résultent ont été commencées au mani
iatria, 1886, VII, 168. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS NOUVELLE
OBSERVATION
D'IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE (CACHEXIE P.\CIIYDERMI
(CACHEXIE P.\CIIYDERMIQUE); Par BOURNEVILLE. Depuis les dernières
observations
que nous avons insérées, dans les Archives de N
iques, mérite d'attirer sérieusement l'attention de nos lecteurs.
OBSERVATION
. - Père tuberculeux ( ? ). Oncle maternel paralys
tirer l'attention sur les cas dans lesquels il a répété et étendu l'
observation
fondamentalement importante du professeur Schif
cou, et conséquemment sauve la vie à l'animal. Il me semble que ces
observations
du professeur Schiff, et du D'' Eiselsberg ont
ssante étude de psychiatrie rétrospective. R. M. C. 111. Quelques
observations
propres A MONTRER LES effets sédatifs DE L'ACÉT
nté l'hypnone que par la voie hypoder- mique, et le résultat de ses
observations
chez les aliénés l'a con- duit à considérer ce
e d'une tumeur. R. M. C. 41.. ` REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IV.
Observation
de cécité TOTALE par lésion corticale; par L. 1
r lésion corticale; par L. 13ouvFRi.T. (Lyon méd., 1887, t. LVI.)
Observation
d'un malade chez lequel Je principal symptôme o
ET la polydipsie ; par P. BUTTERSACK. (Arch. j' Psych., XVII, 3.)
Observation
relative à une famme de trente et un ans. Soudain
la manière d'être des nerfs périphériques chez quatorze tabétiques (
observations
complètes et très étudiées) les auteurs recherc
oelle; par A. Erlicki et J. Rybalkin. (Arch. f. Psych., XVII, 3.)
Observation
avec autopsie concernant une fillette, enfant-tro
mbre de travaux intéressants. Dans le recueil de 1887 se trouve une
observation
deParamyoclo- nus multiplex, publiée plus tard
abilité analogue des cellules bulbaires. En 1888, nous trouvons une
observation
intéressante de M. Saltzmartn sur un cas d'épi-
a paralysie saturnine; par 0. VIERORDT. (Arch. f. Psyc. XVIII, L)
Observation
avec nécropsie et étude histologique. Intégrité d
victime d'une pneumonie infectieuse. Élections. Après un échange d'
observations
sur l'épidémie régnante, il est procédé à l'éle
loir aborder le fond du débat relatif à la mélancolie, communique l'
observation
d'un jeune mélancolique dégénère dont il se ser
profonde avec ou sans douleurs névralgiques, il n'y a qu'un pas. L'
observation
indique aussi que le début des psychoses, les ins
lfi\f. L.4QU1'sn et BUCHIIOLZ. M. Got·rz (de Strasbourg) détaille l'
observation
d'un chien auquel il avait, en deux séances rés
est pas exact qu'il s'en suive de l'ataxie. Voici, par exemple, une
observation
de parésie considérable de tous les modes de la
rébrale, 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de psychoses séniles, 3
observations
de vésanies (délire général hallu- cinatoire-fo
demande plusieurs années chez l'adulte. M. Schultze (de Bonn) lit l'
observation
d'un cas de tabès dorsal avancé caractérisé par
périphérique des fibres correspondantes. - Voici maintenant deux
observations
d'acromégalie. Le premier fait comportait des d
PPEN (de Strasbourg). De la paralysie ostéomalaciyuc. - Voici trois
observations
de paralysies pendant la grossesse qui, après s
nnellement les bienfaits à la Salpêtrière. Voici mainte- « nant six
observations
de suspensions instituées en commun avec M. Hof
suppuré, aussi bien qu'au ramollissement céré- bral ordinaire. Les
observations
publiées dans ce but, les unes isolées, les aut
titiel et la genèse de cellules granuleuses. L'étude analytique des
observations
relatives à l'encéphalite spontanée non suppuré
morrhagique aiguë, un autre genre, dont M. Friedmann communique une
observation
, et l'encéphalite à kystes et plaques jaunes co
mmunique à la place de M. MAMRUTH, empêché, un travail sur quelques
observations
formant le chaînon intermédiaire ci la paralysi
S : 1U11 lit un mémoire sur la folie juvénile, à la lumière de deux
observations
. Il formule les conclusions que voici : 1° Il e
s portaient l'empreinte de sa débilité intellectuelle. La troisième
observation
est remarquable par le fait que la maladie en q
imulation voile en quelque sorte le fond vrai de l'individualité en
observation
, ce qui nuit au jugement de l'expert. Voici par
Schwelz portant différentes dates2. M. WENDT, de Berlin, lit une
Observation
de démence paralytique guérie. - Il s'agit d'un
rangères. La rémission dure donc depuis 17 ans. M. iVtUFLLRR. - L'
observation
de M. Wendt ne rentre pas dans la paralysie gén
alement aussi se compliquent dès le début d'aphasie. M. ZENKER. L'
observation
de M. Wendt est celle d'une démence paralytique
réquente; c'est une opinion que j'ai déjà développée. M. Wendt. Mon
observation
est sans nul doute celle d'un dément paralytiqu
ée. M. Neuendorff (de Bernbourg). Communication casuistique d'une
observation
de diplopie monoculaire prise à l'asile de Bernbo
o- spasme, pendant la convalescence d'un morphinisme. - C'est une
observation
d'accidents d'épuisement nerveux tenant au surmen
ralgie symétrique apparaissait en pleine évolution de la maladie. L'
observation
de M. Worms ` a été maintes fois reproduite soi
ble du salicylate de soude employé -contre elles; en Allemagne, les
observations
de Drasche (1882) et surtout celle de Ziemssen
chez les ataxiques a été signalée maintes fois en France et qu'une
observation
de ce genre a été publiée en 1881 par MM. Raymo
e presque absolue. D'ailleurs, je ne vois pas généralement dans les
observations
pu- bliées de pseudo-tabes alcooliques la preuv
tat actuel des choses, tout prêt d'ailleurs à changer d'avis si les
observations
ultérieures me donnent tort : dans la paraplégi
roduite par un phénomène d'auto- intoxication. Voici tout d'abord l'
observation
de ce malade : Il s'agit d'un nommé B... (Fer
au plancher du quatrième ventri- cule. On notera souvent, dans ces
observations
de tabes avec glycosurie, la présence de crises
té pratiquée par l'un de nous ; elle se rapporte à un malade dont l'
observation
fut publiée dans cette revue en 1887, et qui fo
sons précéder la relation de notre autopsie de la reproduction de l'
observation
de la malade, telle qu'elle a été publiée, il y
entre à la clinique en 1887, et à cette époque, on peut compléter l'
observation
précédente, prise en 1885. - Suzanne D..., actu
lules des cornes antérieures, nous ont paru saines, à rencontre des
observations
de Rùti- meyer et de Friedreich qui les ont vue
s lois, celles de la dégénérescence, et c'est pourquoi les quatre
observations
les mieux étudiées semblent cal- quées les unes
clérose qui s'élargissait au niveau du faisceau pyramidal. Dans l'
observation
de Babesiu2, on constatait que les faisceaux po
able. Un des traits qui se reproduit le plus fré- quemment dans les
observations
, c'est la forme et la distribution de la dégéné
nes postérieures. On retrouvera ces caractères notamment dans les
observations
de Westphal', de Popoff3, de Fried- reich \ S
issu sain. Cette même condition est également réalisée dans notre
observation
. En outre, il arrive que la lésion des cordons
e développent d'une façon tout à fait indépendante. Ainsi, dans l'
observation
de Jàderholm b, la dégénérescence n'attei- 1 Ar
aire descendante. Nous ne trouvons donc pas réalisés dans notre
observation
les caractères d'une sclérose systématique. Cep
par A. R. TUHDULL, (The Journal of Mental Science, octobre 1886.)
Observation
très intéressante au point de vue médieo-lé-al ;
l'acte délictueux se trouve guéri, peut être mis en liberté sous l'
observation
discrète de la police ;- 3° Nécessité de vulgar
(The Journal o(menlal Science janvier 1887.) Voici le résumé de l'
observation
: J. 1V ? âgé de quarante-deux ans a assassiné
a été soigné par le Dr Clouston, et l'autre par le Dr Savage. I.
Observation
du docteur Clouston. L'auteur résume ainsi les
Clouston. L'auteur résume ainsi les points les plus saillants de l'
observation
: to le malade était un jumeau; 2° il y avait d
ptômes et de la durée, la maladie a eu une évolution normale. II.
Observation
du docteur Savage. Il s'agit du frère, du malade
ement chez l'épileptique enfant, comme chez l'épileptique adulte. L'
observation
rapportée par M. Audry concerne une enfant de o
ni avant leur sortie de l'asile, ni après leur réintégration. Ces
observations
permettent de conclure qu'on doit de préférence
ion momentanée du sujet en expérience, et, dam ce but, préluder aux
observations
définitives par quelques examens. Il est bon au
'organisent sans cependant entraîner l'incurabilité; en réalité les
observations
de Griesinger rappellent surtout la manie grave
pas lieu de conserver Valcnsimt; on a sous cette rubrique rangé des
observations
qui appartiennent à une terminologie classique
réliminaires de la démence secondaire que les accès de manie. 22. L'
observation
montre que presque tous les cas de démence seco
r Sanger UIONN. (Tlee Journal of Mental science, avril 1887.) Les
observations
de l'auteur s'appliquent surtout aux hôpitaux q
L'auteur s'occupe ensuite des malades agités, et, ici encore, ses
observations
sont fort judicieuses. Il rappelle tout d'abord q
tabac, obtenu à l'aide de l'hypnotisme et de la suggestion. Chaque
observation
devra faire connaître l'âge du sujet, depuis co
ourir des dangers aux malades qui y sont soumis, j'ai accueilli les
observations
de M. le D Bérenger- Feraud. « En conséquence
Lymphangiôme de la pie-mère spi- nale, par Taube, 112. Maladies (
observations
de - men- tales), par Percy Smith, 121 ; - hô
RAPEUTIQUES SUR . L'EPILEPSIE & L'HYSTÉRIE COMPTE-RENDU DES
OBSERVATIONS
RECUEILLIES A LA SALPÉTRIÈRE DE 1872 A 1875 .
intervalles des accès et s'accroît même alors qu'ils ont cessé. ?
OBSERVATION
. - Antécédents : frères et soeurs morts de con-
ère chaque oreille et on fait des inhalations d'am. (1) Clouston. -
Observations
on the or the Body it th9 Insane (Journal of Me
s, puis très-conffuentes au voisinage de la valvule iléo-coecale.
Observation
III. - Phil..., Louise, 19 ans est entrée à la
tolérance remarquable pour le médicament. ? SULFATE DE CUIVRE. 23
Observation
IV. - Lamb..., 19 ans. (Voir plus haut, pages 1
uel elle suc- combe le lendemain. 2t RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.
Observation
V. - Convulsions à 15 mois. Etourdissements à 5
nous voyons que ni dans l'une (Etat de mal, p. 2), ni dans l'autre (
Observation
II, ci-dessus), nous n'avons trouvé trace d'alt
le foie. - Lorsque nous avons pratiqué l'autopsie de la malade de l'
observation
II, une affaire judiciaire émou- vait encore l'
hercher, pardes personnes compétentes, si le foie de la malade de l'
Observation
II, renfermait du cuivre et quelle était la qua
portance; nous passerons donc brièvement sur ce qui les concerne.
Observation
I. - Bl..., 25 ans; à la Salpétrière depuis le 10
l'affection remonte, cependant, déjà à une époque assez éloignée.
Observation
IV. - E. Vint ? 18 ans, entrée le 2 avril 1872.
rtiges ont disparu. Son poids s'est accru d'un kilogr. (57 à 58).
Observation
V. - Ducret ..., 28 ans. Admise en 1868. Malade
des accès; diminu- tion des vertiges. Le poids est resté le même.
Observation
VI. - Lob... Marie, 25 ans, entrée le 11 juillet
entation de poids depuis qu'elle prend du bromure de camphre (1).
Observation
VIII. - Convulsions dans l'enfance. - Arrêt de
able, aussi continuera-t-on le trai- tement en élevant la dose. -
Observation
IX. - Père alcoolique. - Grand'mère maternelle
. MONOBROMURE DE CAMPHRE. 49 Laissant de côté les trois premières
observations
, nous avons à relever dans les six autres une d
our avoir négligé d'établir cette comparaison, qu'un bon nombre des
observations
publiées par les auteurs, n'ont qu'une valeur r
ails assez complets sur les effets de la glace dans ces deux cas.
Observation
I. - Début de l'épilepsie à 7 ats. - Aum. - Ver
n aussi défavorable, il y a eu une amélioration assez; prononcée.
Observation
II. - Brul.... C. Joséphine, 40 ans, est entrée
e femme, un effet favo- rable. Tandis que dans les deux premières
observations
nous avons eu à signaler une influence heureuse
e encore par des troubles psychi- ques consécutifs à leurs accès.
Observation
III. - Ko..., Eugénie, 25 ans, est entrée à la
d'accès en 1873 qu'en 1872, aurait plutôt entravé cette tendance.
Observation
IV. - Incontinence nocturne d'urine. Epi- lepsi
urs été légers et n'ont jamais justifié, même chez le malade de l'
OBSERVATION
IV, la moindre répugnance à poursuivre le trait
us. (Bulletin de thérap., t. LXXVIII, p. 193-200.) Elle résume neuf
observations
de malades soignés par Herpin, et chez lesquels o
n accélération serait, au contraire, un phénomène consécutif. Les
observations
faites sur les malades, du moins les nô- tres,
ans l'inhala- tion de l'éther, de l'ammoniaque (1), etc. Dans les
observations
qui composent la seconde partie de ce travail,
t a inséré dans sa thèse inaugurale la traduction de la plupart des
observations
publiées par les médecins améri- cains et angla
à se servir du nitrite d'amyle dans le traitement de l'épilepsie. L'
observation
clinique a justifié ces prévi- sions, ainsi que
hell a rapportés et que nous croyons utile de résumer brièvement.
Observation
I. - Excès vénériens. - Premier accès suivi d'u
ntellectuelles (Loc. cit., p. 156). 86 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.
Observation
II. - Accès hebdomadaire. - Aura spasme du pouc
ue l'on ait le temps d'intervenir avant la perte de connaissance.
Observation
III. - Epilepsie remontant à 7 ans. - Aura : .'
à recourir au nitrite d'amyle. Entre la publication de la première
observation
de M. S. Weir Mitchell (1872) et celle des deux
'empêcher l'éclosion des con- vulsions. Voici l'abrégé de ce cas.
Observation
IV. - Epilepsie, - Irritabilité extrême. Accès
uel de la malade est beaucoup plus satisfaisant qu'il y a 6 mois.
Observation
V. -Epilepsie remontant à 18 ans ; aura ; nitrite
t les sanglots reparurent. Alors, pour vérifier l'exactitude de l'
observation
de la garde, on ne permit pas à la malade de sor
cet auteur nous permet de la rappor- ter à peu près in extenso. '
Observations
VI, VII, VIII.- Chez trois malades, les inha- l
tes. Dans aucun de ces cas, il n'y eut de résultats avantageux. -
Observation
IX. - Homme ; un accès la nuit ; 4 avant 11 1 h
trite d'amyle. Malgré cela, un accès survint à 3 heures et demie.
Observation
X. X... a des accès qui offrent quelques ca- ra
eures avant l'inhalation, il en eut un autre quatre heures après.
Observation
ZI. - Homme ; 6 accès dans la matinée. A 10 heu
res ce même jour, nouveaux accès. 90 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.
Observation
XII. - Femme; inhalation de cinq gouttes de nit
ît avoir été plus heureux que M.Philip, si l'on en juge d'après les
observations
qu'il rapporte et dont voici le sommaire : Ob
après les observations qu'il rapporte et dont voici le sommaire :
Observation
XIII. Homme de 53 ans. Trois accès par semaine.
ration. Le médicament ayant été sus- pendu, les accès ont reparu.
Observation
XIV. - Homme de 31 ans; pas d'aura. Ni- trite d
qua une hémorrhagie au moment de l'inhalation du'nitrile d'amyle.
Observation
XV. - Homme, âgé de.2,i ans. Il a parfois 20 ac
, pendant six mois, du nitrite d'amyle. Amélioration remarquable.
Observation
XVI. Homme, 53 ans. L'épilepsie est sur- venue
l'épilepsie. . B. Faits relatifs ci l'état de mal épileptique, L'
observation
détaillée qui figure en tête de nos Reclzer- el
ille ma- tière, il soit prudent de se tenir sur une sage réserve.
OBSERVATION
XVII. Etat demal épileptique, Coma profond. Aug
7°,7. A partir de ce moment, il ne survint plus au- cune attaque.
Observation
XVIII. Epilepsie; accès de furie. -Etat de maul
uelques jours toutes les traces de l'état de mal s'éva- nouirent.
Observation
XIX. Epilepsie; excitation. - Etat de mal : auc
conti- nuées toutes les trois heures. Guérison de l'état de mal.
Observation
XX. Epilepsie; accès fréquents, suivis de dé- l
ava plus la guérison de l'état de mal. L'intérêt que présentent ces
observations
n'échappera à personne. Dans toutes, il s'agiss
onheur de les voir tous revenir à la guérison. Si l'on ajoute à ces
observations
deux autres de M. Me Bride relatives à des état
aut maintenant rapporter, sont loin d'être aussi en- courageants.
Observation
XXI. Etat de mal épileptique; élévation de la t
l'autopsie ne nous ait révélé la cause de la terminaison fatale.
Observation
XXII. Etat de mal épileptiqu(3)' Nombre des acc
aussi grave et qui surprend toujours les médecins peu habitués à l'
observation
des épileptiques, une intervention plus énergiq
mpérature qui a diminué de 3/10 de degré. ' NITRITE D'AMYLE. P7
Observation
YYIII. - Etat de mal épileptique. Fréquence des
ure. Si maintenant, nous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les
observations
d'état de mal épileptique que nous avons analys
'annon- cent par des signes précurseurs plus ou moins durables. L'
observation
clinique confirme cette prévision et les résul-
consignerons ici avec quelques détails. nitrite d'amyle. ' " 99
Observation
XXIV. Hystérie. - Hyperesthésie ovarienne et hé
àprés~l'altaque étaient claires, pâles, sans dépôts, sans sucre.
Observation
XXV. Hystérie. - Hyperesthésie ovarienne et llé
ion régulière du nitrite d'amyle s'est encore offerte à nous dans l'
observation
sui- vante. Nous insistons sur ce point parce q
avantage qu'il a d'étudier l'action du médi- cament sur lui-même.
Observation
XXVI. .Z7C/'0 ? s' : g. Hyperesthésie ovarienne
ne et des rouas remplis d'étoiles l' Tle t . ~ ' . 4tfk 1 ? E ? ?
Observation
11%II. - Hysté1'o-é)Jilepsie : Hyperesthésie oza-
-i r ? 1l-U-7 /Ulf £ .LL '`l'CC-(G ? ltOr> / ;1ld/d<Æ;.À et-,
Observation
IVIIII/. - Hstcio-c21lc2sie. -Hciestlaésie ova- s
ses effets ordinaires. La malade reprit rapidement connaissance.
Observation
XXIX. Epilepsie partielle et crises hystériques.
ment des lèvres et un claquement des en comme dans Je trisson.- -
Observation
111. ? Hystérie et epilepsie. Nitrite d'amyle H
/4 d'heure : T. V. 38°,3. - Nitrite d'amyle : arrêt de l'attaque.
Observation
XXXI. Ilystéro-épilepsie avec hyperesthésie ova
de repousser la compresse. Nous retrouvons ces mêmes visions dans l'
observation
de Mar... qui, elle, ac- cepte les inhalations
de nitrite d'amyle sans difficulté. NITRITE D'AMYLE < 1 o-i i
Observation
ÎZZII. - lf1j$téro-épilepsie, Hyperesthésie et
le réactif de Mulder, sans qu'on n'y ait jamais trouvé de sucre.
Observation
XXXII. Hstéro-épile2sie. Hyperesthésie ovarienn
s de leurs attaques dans la même journée. 6° Quelques-unes de nos
observations
indiquent avec quelle facilité l'accoutumance s
es qui ont fourni les éléments de ces leçons, il en est deux dont l'
observation
peut être considérée comme à peu près complète,
contractures, contraire- ment à ce que nous verrons dans la seconde
observation
, sont passagères, même le crucifiement. Cette d
impent le long des murs, etc., etc. . Si maintenant nous mettions l'
observation
de Ler... en regard de l'histoire des convulsio
bûchers. (1) Calmeil. - De la folie, etc., t. II, p. 23. DEUXIÈME
OBSERVATION
. I. Antécédents. Débuts de l' ltysté1'o-épile
sement de ce qu'on appelle les devoirs religieux. La suite de cette
observation
expliquera pourquoi nous mentionnons ces détail
ision. Ces inconvénients ne se retrouveront plus dans la suite de l'
observation
, car tous les phénomènes que nous al- lons expo
et frappent davantage l'imagination des personnes peu habituées à l'
observation
des hystériques. Elles n'ont pas non plus chez
nsignées avec des détails suffisamment minutieux dans le cours de l'
observation
pour que nous n'y revenions pas de nouveau. e
te de tableaux où sontconsignés les résultats disséminés dans notre
observation
. J'en résume ici les traits princi- paux. En ju
ie. - » Après une rémission qui a été signalée dans le cours de l'
observation
, une nouvelle période d'oligurie reparaît (jan-
d'autre part que d'après les expériences de M. Léon Bernard 1 et l'
observation
de M. Charrin il y a le plus souvent concordanc
aler chez un individu indemne de tout alcoo- lisme '. - Parmi les
observations
que nous rapportons, soit complè- tes, soit bri
t dépendre du mauvais fonctionnement de plusieurs appareils (voir
observation
D...). Il est donc très difficile dans ces cond
faire dans le passé de ces malades. Pourtant quelques-unes de nos
observations
semblent bien démontrer la réalité d'un lien en
ne personnelle à connaître l'exis- tence de cette prédisposition.
Observation
I. (Jean), cinquante-huit ans, est entré dans l
nalyse les résultats suivants : DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. '13
Observation
IL R... Ernest-Albert, 36 ans, entre dans le ser-
e volontiers avec ses camarades de salle. Au bout de quinze jours d'
observation
, le régime lacté absolu a été remplacé par un r
rrespondance des aliénés. Ce médecin est chargé de tenir à jour les
observations
avec le concours du troisième assistant ou du m
élevée et assure ainsi aux malades une surveillance médicale et une
observation
scientifique assidues. Personnel DE surveillanc
t de combler ainsi les lacunes de l'examen clinique des faits par l'
observation
. On a voulu faire bénéficier la psychopathologi
decine d'heureux résultats, et ajouter aux données fournies par une
observation
consciencieuse et par l'enregistrement des mani
t l'expression rapide et fugace, souvent confuse, a pu échapper à l'
observation
; mais on peut aussi le reproduire a volonté, de
2- par ordonnance de l'autorité judiciaire : inculpés à mettre en
observation
. 3° par demande de l'administration pénitentiai
e à faire ses besoms. . Réflexions. Il s'agit évidemment dans cette
observation
d'un exemple de rachitisme grave et plus spécia
u compte d'arrêts de développement, mais il nous semble que notre
observation
est singulièrement démonstrative de la RACHITIS
bser- vations complètes des enfants idiots améliorés ou guéris. L'
observation
que nous allons relater, choisie entre beaucoup
grise, de la névroglie, des vaisseaux et des méninges. Voici cinq
observations
dans lesquelles les ventricules latéraux étaien
nique, anatomiquement, à l'atrophie générale du cerveau. Dans les
observations
4 et 5 (sarcome de la région du quatrième ven-
drocéphalie interne inflammatoire. Les différences marquées entre l'
observation
3 d'hydrocéphalie interne idiopathique ( ? ) et
al of Mental science, juillet 1902). C'est une affection rare : l'
observation
et l'autopsie suggèrent à l'auteur les réflexio
. (The Journal of Mental science, janvier 1902). Le malade dont l'
observation
sert de base à cette note avait séjourné à l'as
moteurs tant dans les expérimentations physiologiques que dans les
observations
clinico-pathologiques; 7° La mentalité est sous
comme le centre bulbaire du goitre exophtal- mique. Suit ensuite l'
observation
d'une malade atteinte de cette affection qui a
l'eedème de la pupille, soit encore à une neuro-rétinite. Dans l'
observation
qui fait l'objet de ce travail les troubles vis
e ou de l'aphasie sensorielle. L'auteur rapporte une intéressante
observation
où le diagnostic se pose entre une hémiplégie o
sauraient être classées dans aucune des formes précitées. Dans l'
observation
qui fait l'objet du présent travail, à un ensem
enir la main en l'air, sans la raidir, et de fermer les yeux. Les
observations
de tabes avec mouvements athétosiques intenses
portions variables aux effets de la compression directe. Les trois
observations
rapportées par les auteurs viennent à l'appui d
les (Revue neurologique, avril 1901). E. B. XI. Amnésie, avec une
observation
; par S. D. HopMNs. (Tile New- York Médical Jour
ie en général, et conclut que chez le malade qui fait le sujet de l'
observation
, la perte de la mémoire est nettement sous la d
e même ordre, mais inverse, dont sans doute, on retrouvera d'autres
observations
similaires. Un cas de tabès ayant débuté cinqua
res pour la latéralité. MM. Raymond ET CESTAN, ont recueilli une 3e
observation
anato- mo-clinique de paralysie des mouvements
atisme, et qu'il existe clini- quement un tabes traumatique. Parles
observations
relatées dans ce travail il ressort que le trau
entretenu deux fois nos lecteurs. En z1889, nous avons donné son
observation
complète, antécédents et descrip- tions détaill
ccombé le 18 février 1902. Après avoir reproduit le sommaire de son
observation
, nous allons résumer les particularités notées
é à Bicêtre dans notre service le 23 février 1890. Pour compléter l'
observation
nous n'avons que quelques mots à ajouter sur le
ntérieure était encore ouverte lorsque Deb... avait vingt ans (voir
observation
) elle s'est donc obturée fort tard. Mais lors-
tout avait été très marqué au début, comme l'indique des faits de l'
observation
clinique (persistance de la fontanelle) et les pa
rapport avec celle de la colonne vertébrale qu'on a décrite dans l'
observation
prise durant la vie du sujet. Nous donnons néan
'Voir sur les os du crâne des myxoedémateux infantiles nos autres
observations
: Compte rendu de 1891, p. 35 ; 1894, p. 35, etc.
s le service en février 1890. Mais en raison de l'importance de son
observation
, nous l'avons insérée à la fin du Compte rendu
IOTIE MIlQ,DBM.1TEUSE. 125 lcistologigare du cerveau1 font de cette
observation
l'une des plus complètes, sinon la plus complèt
ons personnelles que nous croyons devoir rappeler à la fin de cette
observation
: '1° Note sur un cas de crélinisme avec 9 ? iy
française pour l'avancement des sciences (août 1889); 5° Nouvelle
observation
d'idiotie zzayxeedémcclezcse ou cachexie pachy
bservalion de l'élicie T... Compte rendu de 1900, p. 22. Toutes ces
observations
ont été illustrées de nombreuses figures et de
de l'oeil dans la paralysie générale. Nous rapportons aujourd'hui l'
observation
d'un paralyti- que qui, outre une atrophie papi
mais d'autres lésions plus intéres- santes s'offrent alors à notre
observation
; elles sont particulière- ment marquées à un de
ef. ET 1'. JUQUI<,I,IEII, interne. à l'asile de Vaucluse
Observation
III. - D... Alexandre-François, 74 ans, mécani-
autant plus que malheureusement l'autopsie n'a pu être pratiquée.
Observation
IV (résumée).M..., Eugène, quarante-sept ans, e
- cool dans la genèse des accidents hallucinatoires et délirants.
Observation
V. Seh... (Louis), jardinier, cinquante-cinq ans,
active que possible 1. (A suivre.) ' On peut rapprocher de cette
observation
le fait suivant : Un homme de 18 ans, entre dan
générale et au tabes ; par le prof. LEmoiNE. L'auteur rapporte six
observations
de paralysie générale dans lesquelles l'amélior
une sorte de négation en thérapeutique. Il communique à ce propos l'
observation
d'un tabétique avec trou- bles psychiques améli
njections de calo- mel et l'iodure de potassium à haute dose. Cette
observation
est intéressante à divers points de vue : 1° de
sur l'emploi de ces divers médicaments et termine en rapportant une
observation
de syphilis cérébrale sérieusement améliorée pa
(The New-York Médical Journal, 15 mars 1902). L'auteur rapporte une
observation
de cette affection aussi rebelle que douloureus
hygiéniques et rapportent à l'appui de leur thèse une intéressante
observation
. Une femme de trente-six ans, ayant de 1 hérédi
liques, Talon n'a rencontré que douze fois la forme expansive. Même
observation
pour l'intoxication saturnine (Devouges, Régis);
, par lésion du faisceau solitaire ( ? ) : 3 cas. P. Keraval. XV.
Observation
de myasthénie pseudoparalytique grave; par L. M
olimo. (l'eUi-0109. G'eairal6. XX, 1901). Long mémoire basé sur 8
observations
, duquel il résulte qu'il existe une dysphagie n
obsession relative à l'acte de la déglutition. P. KERAVAL. XVII.
Observation
de tabès infantile, par M. l3LOCa. (IYeli ? '010g
e l'étiologie est fort étudiée dans le mémoire. - P. Keraval. XX.
Observation
de myélite ou d'encéphalomyélite aigué dissémi-
ation du liquide céphalo-rachidien dans différentes affections. Des
observations
publiées par ces au- teurs se dégagent les fait
le. A l'appui de cette manière de voir on peut invoquer une récente
observation
de Lagner et Weifert, de Francfort. Un homme, q
en même temps une phase rétrogade. M. Se- glas a déjà rapporté deux
observations
de ces faits dans une com- munication à la Soci
rrhagie traumatique. Le point particulièrement intéressant de cette
observation
(bien qu'un certain nombre de cas analogues ait
ne les grandes cellules pyramidales de la zone motrice. La nouvelle
observation
de M. Ballet montre que les choses, se passent
bles des sphincters. Pas d'hystérie. Santé géné- rale excellente.
Observation
intéressante par l'origine lointaine et traumatiq
l'épilepsie. même récentes. Mais le fait qui ressort nettement de l'
observation
des auteurs etd'autres cas cités par M. G. Ball
paroxystique chez une hystérique . MM. Ernest DoraÉ et J. Camus. L'
observation
concerne un cas d'association, chez un hystériq
1903. Présiuence de M. JULES Voisin. De la : <e< : 6tH<e;
observations
de psychothérapie. M. VAN VFLSKN (de Bruxelles)
logie descriptive, la réalité clinique telle qu'elle se dégage de l'
observation
impartiale des faits, et ici les occasions n'ont
al'étiologie, alasymptomatotogie, à l'anatomie pathologique. Or, l'
observation
clinique a démontré qu'on avait mis trop de hâte
e la conscience et de la personnalité, en les appuyant sur quelques
observations
médico- juridiques très intéressantes et typiqu
anie. Le fait suivant prouve la possibilité de cette coïncidence.
Observation
I. La malade est une jeune fille, quatrième enf
analyser les phases. J'ai eu l'occasion d'observer le sui- vant :
OBSERVATION
IL-Avocat de trente-quatre ans, marié, héréditair
une profonde tristesse. Je n'ai plus eu de ses nouvelles. Ces deux
observations
, les seules que j'ai eu occasion de rencontrer,
sme habituel, une grande docilité. . Le détail intéressant de cette
observation
est, qu'à diverses reprises, sur le fond de dém
ngt-quatre ans, de tuberculose pulmonaire; 3" une fille, sujet de l'
observation
. Antécédents personnels. Notre malade. Concepti
olalie qu'une véritable écholalie. Exemples : S'il s'agissait d'une
observation
faite à une enfant, elle la répétait tout en y
e qu'elle tenait et en se donnant une claque au visage. On fait une
observation
à une compagne de ne pas se contrarier entre el
stupeur, de cette confusion, de ce délire. Les méthodes nouvelles d'
observation
qui se multiplient, les en- quêtes qui embrasse
s notions que nous avons acquises, et oblige à un travail immense d'
observation
et d'analyse. N'aurait-il eu que ce seul mérite
e. Ce à quoi il faut s'attacher, c'est à réunir un certain nombre d'
observations
dans lesquelles les antécédents des sujets sero
sse pas y avoir le moindre doute sur le diagnostic. Jusqu'ici ces
observations
font défaut ; c'est une lacune qui demande à êt
ice de la sec- tion. Il tient sous sa responsabilité les feuilles d'
observations
de tous les malades de la section et y inscrit
ysiques et morales que présente le ménage. Le mé- decin inscrit ses
observations
sur un rapport questionnaire et envoie celui-ci
s plus âgés de la Colonie, il peut alors confirmer pratiquement ses
observations
concernant le nou- veau nourricier, et lui donn
lle aiguë ou subaiguë des ganglions. Ce qui parait ressortir de ces
observations
, c'est que l'atrophie -de l'élément noble est s
i notablement améliorée. Elle raisonne assez bien, tient compte des
observations
qui lui sont .faites, comprend que c'est dans s
t sensibles au rouge comme excitant et au bleu comme déprimant. Des
observations
dans la clientèle me montraient, dès 1890, que
aralysie générale juvénile. M. LALANNE (de Bordeaux) communique une
observation
avec examen histologique concernant un paralyti
ique des maladies mentales à la Faculté de Lyon. De très nombreuses
observations
de troubles nerveux, en relation avec'les malad
s de délire de lIé(littii2nilé. MM. Ballet ET DIIEUR communiquent l'
observation
d'un malade qui a été en proie à un délire des
e considérablement grossi chez des médiums (semblables à celui de l'
observation
) qui obéissant aveuglement à l'esprit, fait des
ard donnent lecture des remarques suivantes : Chez le malade dont l'
observation
a été présentée, aux phénomènes ordinaires de l
ique de tous ces troubles. M. Ballet fait remarquer combien cette
observation
est intéres- sante au point de vue de la psycho
- cription complète dans une séance ultérieure. M. CHRISTIAN. Les
observations
de médiumnité ressemblent toutes, plus ou moins
s observations de médiumnité ressemblent toutes, plus ou moins, aux
observations
dedémonomanio publiéee par Esquirol, Michéa, Ca
llet partage l'opinion de 111. Christian. Ce qui est à retenir de l'
observation
communiquée/c'est que chez les médiums, il y a
ns la Paralysie générale. MM. Klippel et Vigouroux présentent trois
observations
de para- lytiques généraux, qui bien que n'étan
oppement, la marche et le repos le faisaient disparaître. Les trois
observations
se rapportent à des paralytiques généraux avéré
ns la paralysie générale. » M. Trénel a communiqué dernièrement l'
observation
d'une malade chez laquelle un oedème transitoir
hez l'animal. Troubles utérins guéris par la suggestion hypnotique;
observations
d'orthopédie morale. M. Bourdon (de Méru). La
alités. les causes, les aboutissants; . il montre par de nombreuses
observations
que le traitement héroï- que du trac des artist
abétiques; par le Dr Rail- lard. Les recherches ont porté sur 348
observations
. Voici les conclu- sions de l'auteur. Dans le t
lus fréquemment des familles à un seul ou à deux enfants. » XX. L'
observation
médicale chez les écrivains naturalistes; par le
éjour de quatre mois deux religieux le ra- menèrent à Paris. Mis en
observation
au Val de Grâce avant sa comparution au Conseil
lques jours après, à la suite de nouvelles menaces, est-il placé en
observation
a l'asile de Bonneval. Il y lit un séjour de ci
rave au point de vue psychique, un état de confu- sion mentale. Ces
observations
de Janet sont, croyons-nous, les premières où l
Berger le démontrent une fois de plus, et prouvent, en outre, que l'
observation
directe est loin de vérifier les suppositions q
moelle. Cette hypothèse de Duchenne fut bientôt confirmée par une
observation
anatomo-patllologique de Gombault; mais la valeur
ntral, noyau à grosses cellules ou noyau ambigu, conformément à nos
observations
, publiées en 1898. Nerf accessoire de 11'illis.
ar marasme progressil ou plutôt affection intercur- rente. Suit l'
observation
d'un individu atteint de délire systématisé, SO
e guérit d'ailleurs par le traitement psychique. Voici encore une
observation
: Une jeune dame brésilienne avait à la suite d
on sur place en dehors de toute réunion avec le bout central. Cette
observation
de régénération autogène chez l'homme concorde
artagé les dépouilles de l'ancienne amyotrophie Aran- Duchenne. Des
observations
personnelles cliniques et anatomiques et des re
ives, soit qu'elle ait été avouée par les malades et notée dans les
observations
, soit qu'elle ait coïncidé avec une affection r
de grande importance : nous n'en voulons pour preuve que l'auto-
observation
, déjà très ancienne, d'un médecin syphilitique ch
65, cinq seulement présentent parfois des accès épilep- tiformes. (
Observations
). Ces accès se reproduisent iL intervalles asse
ofondie des troubles mentaux, ne peut pas encore être généralisé.
Observations
sur la catatonie. M. Paul Masoln (Gheel). L'aut
Lf Henry Meige (Paris) communique au Congrès un cer- tain nombre d'
observations
personnelles qui peuvent contribuer à fixer plu
a- tions de syringomyéliques présentant des troubles analogues. L'
observation
suivante, jointe à celles des auteurs précités vi
rès marquées de la névroglie. Vaisseaux normaux. L'intérêt de cette
observation
réside dans ce fait que les troubles mentaux pr
t du cheval. MM. F. RUDLER et C. CIIOllEL (d'Héricourt). - Il est d'
observation
courante que beaucoup de chevaux sont lécheurs
ques et l'agitation périodique, ainsi que cela existe dans d'autres
observations
, peuvent en être une conséquence indi- recte.
guéries par la suggestion hypnotique. M. Jules Voisin (Paris). -
Observation
. Crises d'hyparalgésies hystériques, datant de
jours depuis deux ans, guéries par la suggestion hypnotique. Cette
observation
est intéressante à plusieurs points de vue : 1
t hypnotique, il s'en occupe depuis 1886. Il a publié ses premières
observations
relatives à la psychothérapie en 1888 et depuis
anatomique chez un de nos jeunes malades. Voici le résumé de son
observation
: âgé de quatorze ans, l'en- fant est entré dan
d'une ma- nière irrationnelle, a fait preuve depuis que je l'ai en
observation
de facultés psychiques certainement suffisantes
ation et de guérison que se rapporte le cas suivant : Résumé de l'
observation
: X..., célibataire, âgé de quarante et un ans,
dant rapidement à la phase de catatonie proprement dite, toutes les
observations
ne justi- fiant pas la dénomination « démence p
tat catatonique ; ce n'est pas une hystérique. Voici, du reste, son
observation
résumée : Originaire d'un pavs où l'alcoolisme
ente, entrecoupée de nombreu- ses rémissions de durée variable. Son
observation
atteste qu'une phase de chronicité très longue
ervées antérieurement pouvait être le fait d'un simple hasard ; les
observations
nouvelles que nous appor- tons aujourd'hui -mon
examens serait fastidieux ; nous nous bomerons à rapporter quelques
observations
de façon à carac- tériser chaque espèce. A la
re de la méthode, a rang de signe diagnostique pratique. Dans une
observation
toute récente de nécrose cardiaque trau- matiqu
au ascendant, c'est un faisceau descendant, comme en témoignent les
observations
de Meyer (Leitungsbahnen p. 302) et de Reinliol
ours du même côté (Iteinhold). Spiller (Brain 1900, XXII), dans une
observation
d'hé- inori-liagie de la base ayant attemt la c
ment fines, pauvres en myéline. M. Obersteiner fournit une nouvelle
observation
de dégénéres- cence descendante du faisceau d't
et ne pas aller jusqu'à l'extrémité des fibres. P. Keraval. XXXI.
Observation
de ramollissement superficiel de tout le terri-
angent les unes aux autres déjà dans la capsule interne. En somme l'
observation
est curieuse par les détails anatomopa- thologi
surprendre une réaction à la dou- leur. Respiration et pouls. Dix
observations
accompagnées de tracés. Dans la plupart des cas
! 'o)'<;') ! tf; piclciatrü, VII, 1902). , Revue suivie d'une
observation
personnelle. La syringomyélie évolua sous la fo
Journal of Mental Science, janvier 1902). L'auteur rapporte quatre
observations
dont une seule est accom- pagnée d'autopsie : l
ournal o/ Mental Science, janvier 1903.) Nous résumons ici les deux
observations
que l'auteur publie surtout à cause de leur rar
l'état anémique qui les a provoqués. L'auteur termine par quelques
observations
sur le traitement, qui doit être surtout dirigé
ui doit être surtout dirigé contre l'état du sang, et il relate six
observations
intéressantes. Il. ni; LUSG2a\ ? CL ? , 442 REV
nal of Mental Science, avril 1902). L'auteur rapporte avec détail l'
observation
de ce malade, à l'au- topsie duquel on trouva u
t l'étude d'ensemble dans le numéro de décembre 1902, p. 542. Il.
Observations
sur la démence précoce et la catatonie; par le
Abraham. (Centralbl. ? Nervcnlieilk. XXV. N. F. XIII. 1902.) De l'
observation
de l'auteur il semble résulter que le delirium
est le fond de l'état de négativisme de certains cata- toniques.
Observation
. Une institutrice de trente ans, à tare héréditai
rentiel avec la paralysie générale. Ce travail se termine par six
observations
détaillées et intéressantes. H. de llossaavr,-C
nu, mouvement que les moyens actuels mettent sous le champ de notre
observation
. Passant maintenant à la formation et au renouv
, avait, depuis longtemps, opéré un classement nosographique, que l'
observation
géniale du savant était en 450 VARIA. ' train
le caractère systémati- que ? Nous avons pensé qu'un cas, dont l'
observation
clinique avait pu être répétée plusieurs fois à
sans qu'aucun phénomène particulier ait donné lieu à de nouvelles
observations
. 11 rentre à 1'llôtel-Dien en mai 1901. On l'ap
us aucune lésion primitive. Il est intéressant de rapprocher de l'
observation
clinique du malade les constatations faites au
automatique la pensée intime du malade, est un excel- lent moyen d'
observation
de son délire, de son état mental réel. On n'a
par exemple l'étude des hallu- cinés, le monologue est un procédé d'
observation
des plus précieux. Cela ne veut nullement dire
tion, selon la classification de Kraepelin. Mais l'intérêt de cette
observation
réside surtout dans les troubles auditifs, leur
é du conduit auditif un grain de blé entouré de cérumen. Dans cette
observation
les hallucinations étaient Mabille. Cas de guér
r le fait suivant noté dans certains cas et en particulier dans une
observation
de M. Joll'i-oy et dans la nôtie : l'hallucinat
ucinatoire, ne se décharge que grâce à un choc d'origine externe. L'
observation
jointe à cet article en est une preuve : au cou
s trouvons précisément une confirmation de cette hypothèse dans une
observation
de Pick, citée par M. Séglas comme contradictoi
phénomènes hémorrhagiques. Les points les plus remarquables de l'
observation
sont l'abaissement de la pression sanguine, l'éta
à faire penser à l'alcoolisme, lequel, tou- tefois, est nié dans l'
observation
. R. ne llosca.wr : -Cr.w. XXX. Sur la manière d
ises irrésis- tibles de sommeil survenant d'une façon soudaine. L'
observation
rapportée a trait à un homme de quarante-trois
çon momentanée, grâce à un subterfuge de leur choix. L'intéressante
observation
publiée par M. béglas en est un bel exemple. Ic
u Congrès de Limoges, par \l. 13n ? md, les auteurs rapportent deux
observations
absolu- ment yn-rposables; dans chaque ca,, il
malades qui ont besoin d'une attention spé- ciale, la quatrième les
observations
. Le registre du surveillant en chef de nuit est
s simple : sur une page, ordinairement presque blanche, il note ses
observations
spéciales; sur l'autre il inscrit les heures où
tre observé et manié suivant les indications qui résultent de cette
observation
. Il faut ajouter qu'ils doivent être étudiés no
ales de l'ouïe chez un paralytique général. M. Sémkhigne rapporte l'
observation
d'un paralytique général présentant des halluci
tenant des propos grossiers. M. D'Houx communique aussi quelques
observations
de paralyti- ques généraux ayant eu des halluci
tions de l'ouïe chez un paralytique général. M. Vallon communique l'
observation
d'un paralytique général ayant des hallucinatio
érique ne s'est pas atrophié. Il rapporte à ce propos de nombreuses
observations
semblables empruntées à divers auteurs et tenda
ue médicale à la Faculté de Lille). Parmi les états pathologiques d'
observation
courante, il en est peu qui furent l'objet de m
it plus ses rnembiei, il oublie donc de bouger. L'auteur cite des
observations
où la guérison'survenue est due à l'auto-sugges
pas jusqu'ici suffisamment attiré l'attention en psychiatrie. Trois
observations
servent à en préciser les caractères cliniques :
bre 1903.) D'où la nécessité de l'hospitalisation jusqu'à ce qu'une
observation
attentive per- mettent d'assister dans la famil
pays de Galles, bli. A\lIUIiOSC hystérique. Voir Cécité. avec une
observation
, par 'lloplcms, 73. Voir Epilepsie L'- au poi
ontrlbuttonàlapsycllo- logie dee symptômes de la -, par Vos ! 59.
observation
de la-, par \Iasoln,34S Contribution à l'étude
Morpiiimstes. Voir Deliiu ? ? z Ire- mens. lloarumonawe. Auto -
observation
d'un médecin morphinomane, par llebove. 167.
rs chez les ataxiques, par Miralbé et Desclaux, 5-29. MïAsnii'ME.
Observation
de - pseudo-paraivtique grave,'par Mendel. 16
tion de - pseudo-paraivtique grave,'par Mendel. 160. " 3lwa.tre
Observation
de-ou d'en- céphalomyélite aiguë disséminée c
a colonne ver- tébrale, par Léri et Mocquot, 180. Ramollissement.
Observation
de superficiel de tout le territoire ir- par
Paralysie générale. - Voir, Le - chez la lemme, par Dlendrl, 160.
Observation
de - infantile, parBloch, 163,- et Ilv.térleche
coliques, par Dubois, 276 utérins rinét par lit tion hypnotique ;
observations
d'orthopédie morale, par Bourdon, 1180. - tio
it digne d'intérêt, c'est l'origine et la nature de cette tumeur.
Observation
clinique. La malade, hospitalisée iL la Salpe-
s et veilleuses, il nous a été possible d'obtenir chaque jour une
observation
détaillée sur l'état pendant la nuit des malade
ls rendent saisissante l'action de celui-ci. Les malades dont les
observations
suivent n'ont pas été choisis, nous avons pris
dans l'eau ou le lait ou même mélangé aux aliments. Mélancolie. -
Observation
1. - JI ? ? Li3 ail', est atteinte ' depuis 180
tonique, t1 la période initiale de la maladie, le véronal a eu dans
observations
de démence précoce une action bienfaisante sur
ès 71 jours d'emploi, aucun signe d'accoutu- maure. ' De ces deux
observations
nous ne pouvons tirer aucune déduction, nous le
us les rapportons à simple titre documen- taire. Conclusions. Des
observations
précédentes nous croyons pouvoir tirer quelques
généraux dépri- més ou simplement déments. 3° Dans aucune de nos
observations
, même en em- ployant pendant longtemps un gramm
'un seul cas d'intolérance vis-à-vis de ce médicament, en voici l'
observation
: Ops. XX. )1110 U., 33 ans, soignée une premiè
ennent plus facilement à écrire qu'à lire. (2) On trouvera dans les
observations
de nos Comptes-rendus de nombreux détails sur l
guérison de l'état de mal convulsif ou même s'amé- (1) Voir cette
observation
à la page 249 du n* de décembre 1904, des Archi
comme moyen d'évaluer des altérations ana- tomopalbologiques : les
observations
prises par celte méthode doivent êlre soumises
on de la régénération de la moelle ; par A. Eicrler (Ibid). ' Les
observations
I et 111 de M. Bielschowsky, caractérisées par
gnent des effets mécaniques dus au refoulement du sang veineux. L'
observation
11 fournil le tableau du ramollissement jaune R
tres organes au pourtour des infarctus. On a encore constaté dans l'
observation
Il des trousseaux ner- veux dans le sillon anté
y avait un bien plus grand nombre de ces . (rousseau\ que dans les
observations
de Fichier. D'autre pari, l'expérimentation nou
lablir la communication interrompue par la compression. Si, dans l'
observation
l31elchowsky, il n'ya pas eu d'amélioration, c'
s successivement créées el non d'un trousseau prédestiné. Enfin l'
observation
111 de .\1, Cieischowsky éclaire la genèse de l
kCK, (Bull, delà Soc. de 111éd. ment, de Belgique, février 1904.)
Observation
d'un homme de 4G ans qui était atteint d'un de-
dèmes spéciaux de la main ou du pied, etc.), ,\1, ,\1asoin relate l'
observation
d'une femme de 48 ans, idiote et épilelllirtue, d
périmentant sur les deux globes COI ! vC1'geal1t en avant. Quatre
observations
il l'appui. Discussion. « C'est, dit l'auteur,
nier facteur étiologique de la démence précoce, )1. Crocq, cite les
observations
de quatre malades (3 hommes et 1 femme) le déve
uns sur les autres ; par P. Xaecke. (Neurolog. Centmlúl" XX, 1901.)
Observation
{l'infection musicale. Les délires se communiqu
autre affaire. Ce sont en réalité l'introspection directe, l'auto-
observation
et l'observation d'autrui, dont nous nous servons
e sont en réalité l'introspection directe, l'auto- observation et l'
observation
d'autrui, dont nous nous servons et devons cont
fs, de Pologne, de Lithuanie, de la Ilussiedu Sud. L'auteur donne l'
observation
de deux nou- velles familles : 3 types. On ne
alblatt f. Na- cf)t/,c'f0tu(i'<', XXVI, N. F. XIX, 1903.) Deux
observations
dont voici le résumé : Les nerls de la tèledein
terne ; elle était demeurée dans les muscles du mollet. L'une des
observations
(OITS.I), trahit quelque atrophie des mains notam
horique séparément, quant au système nerveux. Et cependant les deux
observations
précéden- tes prouvent que le phosphate de créo
es nc venant qu'à la suite (); . 31. Féru a récemment publié deux
observations
, l'une d'un neurasthénique âge dont les crises
prochaine. Elle est sortie améliorée au bout de deux mois. Celle
observation
esl intéressante parla multiplicité des phénomè
émiseurs. - .Ic ne contribuerai a l'étude de ce groupe que par deux
observations
, mais elles me paraissent suffisamment intéress
n'en plus sortir. En décembre 188G, nous trouvons il son sujet l'
observation
sui- vante : Alternatives de calme et d'excitat
on après dix uns de maladie. Le malade dont nous venons de donner l'
observation
a eu au bout de trois ans et demi, un intervall
chelle de la Jégénél'es- cence. Cette remarque n'a pas échappé il l'
observation
profonde de : : \[OI'l'1. « Ces sortes de panop
facile a mettre en lumière. C'est pourquoi nous nous bornerons aux
observations
suivantes, où il a pu être établi d'une façon i
cadre des vésanies; l'excitation sexuelle, constatée an cours de l'
observation
, ne nous semble pas davantage se rattacher à un
alement combattue, ne saurait être invoquée dans l'espèce. Dans nos
observations
, en effet. l'excitation sexuelle se produit, no
ite pour les trois parents décédés an- lérieuremeul il l'asile. L'
observation
ci-dessus nous a paru d'autant plus in- téressa
est. au point de vue étiologique.' plus complète que la plupart des
observations
de paralysie générale conjugale publiées, et pe
La marche de l'infection syphilitique, déjà mise en relief dans l'
observation
, mérite encore qu'on s'y arrête, en raison de c
vouloir maintenant insister sur la richesse étio- logiquc de notro
observation
, il nous sera cependant bien permis de faire ob
. paralytiques, do leurs ascendants et collatéraux, alors que les
observations
publiées jusqu'à ce jour manquent précisément,
Men- del (AU. Zeitschrift sur Ps5·c11, 1888) avaient rapporté des
observations
do paralysie générale chez des conjoints infect
(Psiis, 1807) et de Creté (Paris, 1899), se trouvent rapportées les
observations
connues et la bibliographie qui a trait il la q
(Archives de Neurologie, 1904, Il° 98) d'une quarantaine environ. L'
observation
nouvelle cpie nous venons de l'apporter ne peut
multiples variétés que la pratique courante fait rencon- trer. L'
observation
que nous rapportons ici est du même ordre. '
'assurer l'exécution de ses prescriptions ( ! ) et la rédaction des
observations
, qui, ne l'oublions pas, sont l'a;uvrc du médec
l'Ucipalion d'autres nerfs crâniens de la base. Quelques très rares
observations
témoignent d'une emlartérile syphilitique avec
tranglée de se développer. Dans la tuberculose inlra-cranienne ((.l
observations
), la pa- pille étranglée indique la complicatio
tion suffisante. - Le fort gonflement des pupilles, relaté dans une
observation
de conjonctivite diphthèrilique avec nécrose de
ne déterminent de (roubles que dans 5 il 10 % des cas ; dans celle
observation
, elles ont etesi peu importunes qu'elles n'ont,
mnésique ; par S. Poporr. (Xeurolog. Centralblatt, XX 111, 1904.)
Observation
avec autopsie d'un homme de 31 aus. 112 REVU :
'ro-infé- 144 REVUE. DE PATHOLOGIE NERVEUSE. rieuredupti courbe ;
observation
de Ilenaclten). Ainsi s'exprime l'auteur, après
alivenient rapportablesa il ces mêmes régions. P. Keraval. - X\ .
Observation
d'agraphie isolée et d'amnésie ; par \\'. ËRBSL
ulatoire dont la loca- lisation reste indécise. P. 11ERAVAL. XVI.
Observation
de paralysie de l'oculomoteur ex- terne et de p
en faveur de l'autonomie de la maladie. M. Jaroschkwsky publie une
observation
qui constitue le type lopins simple de la Clltl
strainl, in- conciliable avec l'alitement, est plutôt nuisible il l'
observation
des malades. 11 eaL directement el indirectemen
es d'aliénés. - soignés pour ainsi dire un il \111 : c't'sl par une
observation
atten- tive, parmi savoir-faire prudent qu'on p
drome paralytique. MM. DOUTarBI : NT1 ? l'L Marchand communiquent l'
observation
d'un malade suivi pendant 17 ans. Il s'agiL d'u
s. Paralysies générales de longue durée. M. BRUNET communique les
observations
de quatre malades chez lesquels la paralysie gé
la paralysie générale. MM. A. VIGOUROUX et Saillant rapportent les
observations
de deux paralytiques généraux, v l'aululr.ie de
ge des gâteux. Aliénés simulateurs. M. 1·rcouaou communique, deux
observations
d'aliénés simu- Jall'l11's. L'une est celle d'u
n chez une morphinomane. JIJI. Rov et Jaquelin donnent lecture de l'
observation
d'une vieille morphinomane qui, il la suite de
l1lenL brisées. Alcoolisme et dipsomanie. M. GI11BAL communique l'
observation
d'une dipsomane chez laquelle les accès se prod
ne lecture en son nom personnel et au nom de JI. llalhel'sLadL de l'
observation
d'une femme qui, travaillant depuis de nombreus
tôt entretenue par une sorte d'exaltation du désir. Dans ces quatre
observations
, l'étiologie présentait des différences marquée
détaillée ne peut donner qu'une idée bien vague de Ions les faits d'
observation
contenus dans l'ouvrage. Aussi après avoir fait
- serieusemens examinés d'hémia- nopsie soi-disant corticale. Notre
observation
vient continuer cette règle. Avant de passer
es signalées à titre d'élihlic- nomène dans un assez grand nombre d'
observations
; les 190 ' CLINIQUE MENTALE autres - et ce s
comme fréquent au cours des démences vésani- ques secondaires. Les
observations
de F. Sec;las (5) et de. A. Marie (6) nous en f
SUR LA ST1 : R1 : OT1'PIL; DES DÉMENTS PRÉCOCES. 191 plupart des
observations
de démences vésaniques dites secondaires et de
le Dl' Sérieux. Les considérations qui vont sui- vre découlent de l'
observation
de 75 cas. 1. Classification. Nous ne cherchero
e n'est pas là une sim- ple vue de l'esprit et nous trouvons dans l'
observation
de quelques-uns de nos malades des raisons qui
nage posthume de cette activité émotionnelle désormais éteinte. L'
observation
de Mme N.... nous en fournit le plus bel ' exem
t pourtant un sé- rieux appoint au contingent des stéréotypies. L'
observation
de M. M.... nous en a fourni un exemple. Ce mal
sait volontiers sur les traits ou le costume de son en- tourage des
observations
dont quelques-unes ne man- quaient pas d'à prop
elle-même plusieurs jours auparavant. Aujourd'hui, le nombre des
observations
qu'elle fait, se réduit à trois ou quatre ; ces
des observations qu'elle fait, se réduit à trois ou quatre ; ces
observations
ne varient plus. Pendant qu'elle parle, sa phys
La fréquence globale nous a paru considérable ace point que sur 75
observations
, une cinquantaine environ nous en ont fourni de
antés les clous et portés les coups de lance ». L'auteur rappelle l'
observation
de Saint-François, de la dame : mollis, de Mars
RAVAL. 234 REVUE d'.ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LU.
Observation
de dégénérescence ascendante des fi- bres du fa
P. Krause. (Centralbl. ? \\'r- venheilh, XXV, N. l. Xlll, 1902.)
Observation
de parésie musculaire des deux psoas iliaques, de
ez eux et réaliser ainsi le y lm familial ordinaire. L. W. XXXIV.
Observation
de dystrophie musculaire congéni- tale à forme
h) pl'¡'élliie inflammatoire. » M. llUllO\el'lli donne une nouvelle
observation
, avec radio- grammes, caractérisée par du nysta
implement au phleg- mon et non à la syringomyélite, car, dans notre
observation
, c'est M. lIudo\el'l11g qui parle, il n'y avait
par N. N. TOPORKOW. (Obosrcnié ]Jsichiatrii, VU, 190' ? .) Belle
observation
encadrée d'une revue bien l'aile, démontrant l'
édico-légal, tel est le but de l'auteur. 11 nous donne d'abord deux
observations
personnelles dont la première a Irait à la ques
articularités suivantes. L'amaurose bilatérale n'est pas rare : ? G
observations
contre 23 unilatérales. Sur les 23 unilatérales
Uriquet et,Landouxvsur l'apparition de l'hystérie. - Sur les 4\1
observations
, il n'y l'ut Iii fois aucune antre main- festat
t l'immobilité des pupilles à la lumière et à la convergence. Cette
observation
a paru intéressante à rappor- ter par ce fait q
1'1 cas de démence pré- coce, dont il. 13l'sière rl'latl' plusieurs
observations
intéressan- Les, avec stéréotypies analogues à
alade ; . Par le IY HaGEn ])CPOUY, illierile Ú l'Asile Clinique. (
Observation
recueillie dans le service de ;\1. \Ltov.w.) La
f- fert par lui dans ses sensibilités générale et spéciale. Cette
observation
était écrite et sur le point d'être publiée qua
gnostic en matière de psychiatrie canine. , P. 11ERA\'.1L. LXI. -
Observation
de tumeur de la protubérance avec dégénérescenc
oid ; par f'. K, TELIATNIK, (Obo;rel11è ysichiatrii, VI, 1901.) .
Observation
de névrite de quelques nerfc intercostaux du côté
ar le Dr A, CRiSTiANi.(7 ! eu. sp. di fren., t. XXIX, fasc. 111.)
Observation
très curieuse d'un individu alieelé de délire sen
in dans un dernier article, Giglioli rapporte une très intéressante
observation
qu'il a recueillie à Lucques sur un jeune chant
drome de Korsakoff. A l'ap- pui de cette opinion, l'auteur relate l'
observation
d'un homme de 35 ans, a hérédité très chargée,
ale ; par Cour- TELLEMONT et TOUCHARD. (Bull, méd., 1004, n° 25.)
Observation
d'une fillette de 10 ans du service du professeur
nll'lIlbllltt f'. 1`ur- venlieilh, XXV, X. F. XIII, 1(10 : .) Six
observations
prouvant ([lie de fortes excitations mÚca- niqu
para- lysies faciales avec contracture des muscles paralysés. Une
observation
montre, qu'absent dans la paralysie faciale toute
Forestier. (Nouv. Iconogn. de la Salpètrièl'e, no '2, 1904). Une
observation
de « sciatique avec cyphose très marquée et sco
fi- sance cardiaque ou rénale,.et appuient leur opinion sur (rois
observations
dans lesquelles l'oedème se monli ail associé soi
tremblement des mains, émolivilé. Hérédité alcoolique. Fi. C. L.
Observation
de paralysie arsenicale ; par ,1. KRON. (Neurol
par S. O. 1 \ROSCHF : WSKY, (0/'n.;)'f)'e psichiatrii. VU. 1902.)
Observation
de chorée n Mimique du membre supérieur droit s
ons. Migraine et épilepsie sont des états morbides proches parents (
observation
à l'appui), car toutes deux se peuvent montrer
M. Haillot et Viardon (Bull, méd., 1901, n°72.) Très intéressante
observation
d'un homme de 33 ans, qui con- sullale médecin
eçon de M. le Prof. 130UDET (de Lvon). [Bull, méd., H)04, n° 74.)
Observation
d'une malade de 50 ans qui, à la suite d'une chut
de certaines branches du nerf honteux interne. Malheureusement, ses
observations
ne nous renseignent nullement sur l'étal préala
cote, troubles de la sensibilité cutanée) (assurent le diagnostic :
observation
à l'appui. Ces douleurs sont non seule- ment le
ique; par r1. Feinberg. (lTeeerol.CelxtralLl : , XXI, 1902.) Deux
observations
minutieusement analysées, dans lesquelles l'acc
des troubles cérébraux précèdent ou suivent l'atta(me. Deux autres
observations
d'épilepsie jacksonienne syphilitique, égale- m
du diagnostic. Observa- tion à l'appui avec autopsie. La dernière
observation
a trait au diagnostic différentiel de l'é- pile
.'1. Lievvkovvskv. co&o ? c;)t0.s't'c/t;ct ? vi, 1901.) Trois
observations
avec ligures. Dans la première, il s'agit d'un
ontre que c'est une hystérique guérison complète. Méningisme. Ces
observations
sont finement analysées el discuLéea d'après le
de l'application du no-restraint. et de l'open-door. ' R. C. XVI.
Observation
d'empoisonnement parle véronal ; par P. T. IIAL
etc., etc.), et, à titre temporaire, pour l' y subir une période d'
observation
, les aliénés du département du Douhs à interner
d'office'à l'asile de Dole (Saint-Ylic, Jura). Le temps de mise en
observation
des aliénés varie de 4 à 5 à 15, 20 et 30 jours
ngestion cérébrale. - Dans un second chapitre, l'auteur rapporte 27
observations
dé- taillées minutieusement, portant sur les fo
ant comme interceptrice des rayons lumineux. , Voici auparavant l'
observation
, résumée, pour tout ce qui n'intéresse pas dire
ésumée, pour tout ce qui n'intéresse pas directement l'amblyopie.
Observation
. Valentine M., âgée de 14 ans 1/2, entre à l'hô-
er raison pour le cas consi- déré. Aujourd'hui, dans cette nouvelle
observation
qui, elle, correspond, aux données classiques d
11'I'II[Olll'a l'l l'on 1lI'(,I111111'na ail poste de police. » L'
observation
précédente est intéressante a divers égards. lu
lente et la peur morbide ren- dent difficiles, sinon impossibles. l'
observation
et le rai- bonnement ; et leurs gestes impulsif
est une cire molle qui reçoit toutes les empreintes. Incapables d'
observation
et de réflexion soutenues, ils acceptent comme
, et emprunte leur méthode. Cette méthode comprend quatre temps : l'
observation
, la com- paraison, la généralisation, l'inducti
'observation, la com- paraison, la généralisation, l'induction. L'
observation
se divise en hétéroobservation et en autoobserv
dé- pouiller des documents historiques, à établir d'après eux des
observations
analogues aux observations cliniques, et à comp
s historiques, à établir d'après eux des observations analogues aux
observations
cliniques, et à comparer ces observations j'ai
bservations analogues aux observations cliniques, et à comparer ces
observations
j'ai analysé de préférence lcs documents présen
une certaine époque de sa vie, assez développés pour que sa propre
observation
'ait une grande valeur. Du moins, tels qu'ils f
en effet, cette année, de vous soumettre les plus intéressantes des
observations
que j'ai prises, et, pour suivre l'ordre du tem
ondairement peut se rompre et donner lieu à une hémorrhagie. Dans l'
observation
de M. Gallavardin, la présence d'une cause d'em
tique de la paraplégie dans leur cas, qui s'ajoute à la trentaine d'
observations
dejàpubliees. G. C. LXXXVI11. Coexistence d'un
un. (Société mé- die, des Hôpitaux de Lyoti, 25 nov. 1904.) Cette
observation
présente un certain intérêt en raison de sa loc
s consacrés à l'historique de la question, les auteurs publient une
observation
excellente rela- live à un microcéphale de 17 a
t IOURIQU1UD.Soc..1léd, de.c llrî- pitaux OcLon, -2-2 nov. 1904.)
Observation
d'un cas de tétanos insolite dans son début et so
r M. CHAVIGNY. (Soc. méd. des hôpitaux de Loa,13 décembre 1'.10.)
Observation
d'un jeune soldat atteint de crises de sommeil. L
NNOIS et Feuillade. (Lyon médical, p. 25G, 5 février 190.').) Une
observation
de mutisme survenu chez un dégénéré mi- grateur
rnal de Neurologie, 1905, n°2.) L'auteur relate dans ce travail les
observations
de deux ma- lades, un mélancolique et un catato
t; La jalousie elle; l'enfant. M. BN : an.oorr rapporte plusieurs
observations
d'enfanssqui pré- sentaient de la jalousie morb
sonnalité subconscient ? . M. El. Jourdan (de Marseille) rapporte l'
observation
d'une e jeune lille qui, à la suite d'une lièvr
lignes de la rééducation psychique. M. 13;RILLON rapporte plusieurs
observations
de sentiments affectifs suggérés et passe en re
la théorie de la conscience subliminale. M. Demonchy rapporte une
observation
de douleurs urélhl'a-, les chez un hyperesthési
miers à parler de l'inversion sexuel- le; j'ai trouvé, depuis, deux
observations
antérieures dans la « I)t- monomanie » tl'Istlu
ants chroniques que de vé- ritables invertis. M. ITTt. La seconde
observation
au moins ressemble absolu- ment il celle de)1.
rect du malade. Son embarras est hien plus grand encore quand son
observation
doit s'exercer sur des vicieux délinquants et mêm
s étrangers expose le malade a de graves acci- dents. De nombreuses
observations
de cas mortels s'opposent à un petit nombre de
é- ritent d'attirer l'attention des médecins aliénistes. Les deux
observations
suivantes, empruntées à lu pratique CORPS ÉTRAN
tion et il l'aide de sondes pouvant donner des résultats erronés.
Observation
1. M1"" G..., âgée de quarante-deux ans, est pl
oires sont normales, sans élévation de j température. ' (1) Celte
observation
a élé communiquée par M. Touberl il la Société
birurgie (séance du 15 décembre 1903). 436 CHIRURGIE DES ALIENES.
Observation
Il. - B..., Joséphine, placée à l'asile Ville-
s étranger et faire croire, comme nous l'avons vu dans l'une de nos
observations
, que le corps étranger est descendu dans l'esto
nre que succomba l'un des ma- lades dont M. Bourncvillca rapporté l'
observation
dans le Progrès médical du 29 juin 1 ',)0 1. Ce
par Kinnel' WiLssoN (d'Edimbourg), (Rev. cdeméd., 14 mai l'J04.)
Observation
d'un malade du service de Pierre Marie, très co
pal' Dalous, (Rev. de mal., janvier 1904.) L'auteur rapporte des
observations
personnelles d'accident spécifiques observés su
ielles et secondairement des démène- rations. L'auteur rapporte une
observation
avec examen histo- logique.. L. \VAH . LXXX.
oll1alt'ue. , Anurie hystérique. M. Cestan (de Toulouse) envoie l'
observation
d'une ly.Léritluo prise d'anurie progressive à
is que l'occasion s'est présen- tée, recueillir nous-mêmes dans les
observations
de son service, les documents que nous désirion
était arrivé. A l'Ecole de Lasègue, il avait pris des ha- bitudes d'
observation
sévère, et il avait reçu de ce maî- tre incompa
son service et avait fait bénéficier l'enseignement des richesses d'
observations
que renfer- me le foyer de l'Infirmerie spécial
l'intérêt de son enseignement, et qui s'inspireront de sa méthode d'
observation
. Ainsi s'accomplissait dans la régularité d'une
confié, et que l'on ne pouvait mettre en doute ni la sûreté de son
observation
, ni ses sentiments de compassion pour les misèr
re des gâteuses s'est abaissé de 80 % (1). - Mais je crains que l'
observation
et le traitement des chroniques n'exercent pas
ibu- tion à la pathologie de l'- amnésique, par Quensel, 143. .
Observation
d'agraphie isolée et d ? par Erbslcch, 145; -
oyer de ramollissement de la région calcarine, par Weber, p. 177.
Observation
de - as- cendante des fibres du fais- ceau py
enne hé- réditaire, par Villaret et Fran- coz, 450. DYSTROPHiE.
Observation
de musculaire congénitale à for- me hypertrop
rale et hystérie, par Jolfroy, 309. - faciale. Voir Symptô- me.
Observation
de arséni- cale, par Kron, 312. Paraplégie, s
, 452. table des auteurs. 509 Tumeurs vertébrales. Voir Moelle.
Observation
de - de La protubérance avec dégénéres- cence
s aliénés, par Mignot, 9. Du comme hypnotique, par Francotte, 69.
Observation
d'empoisonnement par le -, par Raid, 322. V
ons ne sont certes pas à dédaigner. Les types cliniques s'offrent à l'
observation
représentés par de nombreux exemplaires qui perme
V. Mais cette méthode ne doit pas nécessairement se restreindre à l'
observation
des phénomènes extérieurs de la maladie ; elle pe
difficultés que présente son étude. D'ailleurs, Messieurs, seule une
observation
superficielle a pu conduire à l'opinion que je vi
même titre que les autres états morbides, des règles, des lois qu'une
observation
attentive et suffisamment multipliée permettra to
cables aux névroses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'
observation
clinique en pensant anatomiquement et physiologiq
durée même suffise à écarter tout soupçon de simulation. D'après nos.
observations
, cela ne serait point exact : au bout de 10, 15 m
résente l'abrégé. Chez la cataleptique, pendant toute la durée de l'
observation
, la plume qui correspond au membre trace une lign
tions redoutées, pénétrés que nous sommes de la sûreté des méthodes d'
observation
qui sont entre nos mains. Le temps presse et je
le prépondérant, la juridiction suprême devra toujours appartenir à l'
observation
clinique. Par cette déclaration, je me place so
mais, en dehors de l'hystérie, autant qu'on en peut juger d'après les
observations
publiées, ces contractures généralisées à toute l
s doute, que, même dans ces cas, du moins à en juger par les quelques
observations
que je vous ai présentées, les conditions qui pré
l'adolescent, on la voit encore chez l'enfant, avant la puberté. Des
observations
bien constatées le prouvent. Il semblerait, d'apr
vers 24 ans ; je crois que le fait mérite confirmation ; suivant mes
observations
, la maladie serait, chez les jeunesjgarçons, plus
s que les accidents nerveux se fussent reproduits. Parmi toutes les
observations
connues d'hystérie chez les jeunes garçons, celle
tement. Si nous considérons, en outre des autres circonstances de l'
observation
, que ce jeune sujet est atteint d'une céphalée pe
résultat, parce que, chez les jeunes garçons, l'hystérie, suivant mes
observations
, du moins, ne se montre certainement pas aussi re
— Contracture spas-modique permanente "d'origine traumatique. — Deux
observations
rela" tives l'une à une femme, l'autre à un homme
tion sur deux cas pathologiques qui se sont offerts récemment à notre
observation
et que plusieurs d'entre vous ont eu déjà l'occas
tre en parallèle deux cas qui se sont présentés en même temps à notre
observation
, et dans lesquels il s'agit de contracture de nat
durée seule suffise à écarter tout soupçon de simulation. D'après nos
observations
, cela n'est pas exact. Au bout de 10 à 15 minutes
ous l'inspiration de M. Ollivier, a pu recueillir dans les auteurs 77
observations
d'hystérie mâle, auxquelles il a ajouté 3 faits p
chez le fils. Une autre notion qui résulte de la comparaison de ces
observations
, c'est que les accidents hystériques, chez l'homm
hysteria major, grande hystérie. L'an passé, je vous citais plusieurs
observations
parfaitement propres à mettre en lumière la réali
e modification psychique à signaler. Mais, si nous nous reportons à l'
observation
qui a été faite par M. Debove, le 1er octobre, et
e conclure que, chez notre malade, tous les phénomènes soumis à notre
observation
appartiennent, comme nous l'avons annoncé, à l'hy
vez, être mise sur le compte du repos prolongé. En effet, d'après les
observations
de M. Landouzy, elle se manifeste de bonne heur
ent directement des premières paires sacrées. Quoi qu'il en soit, l'
observation
courante montre que, dans la sciatique spontanée
mmaire. — Définition de(^aphasTe^ — Cécité verbale (Wortblindheit). —
Observation
: Début brusque ; hémiplégie droite et aphasie mo
lus près et mieux traité, et il y est resté plusieurs mois sous notre
observation
. Il est intelligent et actif. Il parle et écrit a
erbale: MM. Gendrin, Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16
observations
. — Cas cliniques. — Cas suivis d'autopsies. — Loc
r l'intérêt qui s'attache à ce cas, d'en rapprocher quelques-unes des
observations
appartenant au même groupe, publiées dans divers
s tracée, le malade n'est plus capable de la reconnaître ». Une des
observations
dont Trousseau parle dans une de ses cliniques 4
consacré à la cécité des mots, qui renferme l'exposé d'une douzaine d'
observations
, dont une appartient à l'auteur et deux autres à
es à M. Magnan. Depuis la publication de ce travail, cinq nouvelles
observations
ont été publiées, trois suivies d'autopsie et don
i la désigne sous le nom iïasyllabie. L'étude et la comparaison des
observations
, au nombre de i Mathieu. — Arch. gén. de méd.,
lle existait chez notre malade, se trouve mentionnée dans une seule
observation
, celle qui appartient à M. Westphal2. 3° Cette
ule observation, celle qui appartient à M. Westphal2. 3° Cette même
observation
de M. Westphal contient encore un autre fait qui
2. Westphal. — ZeistckrUt fur Ethnoloyi 1874, 4 mai, p. 94. dans l'
observation
de M. "Westphal et dans une observation de-Mlle S
1874, 4 mai, p. 94. dans l'observation de M. "Westphal et dans une
observation
de-Mlle Skwortzoff. Fig. 33. — Étendue du champ
rniers temps, il a fait à cet égard des progrès assez rapides. Dans l'
observation
de MUe Skwortzoff, la malade hémiplégique à droit
uée, dans une forte mesure, de surdité des mots. Toutefois, ces trois
observations
, les seules, si je ne me trompe, sur lesquelles o
ornerai, pour aujourd'hui, à relever qu'il existe un certain nombre d'
observations
, 7 ou 8 peut-être, suivies d'autopsie, qui semble
nes parties de l'écorce cérébrale Or, il semble résulter aussi de ces
observations
que, presque constamment dans l'hémianopsie de ca
aitement passer inaperçu, s'il n'est pas recherché régulièrement. Des
observations
ultérieures permettront seules de juger la valeur
on partielle des diverses formes de la mémoire. - Mémoire visuelle. —
Observation
de Gallon. — Cas de suppression brusque de la vis
ses plus brillantes facultés, d'une grande activité intellectuelle. L'
observation
, fort intéressante à divers points de vue, vaut l
uiries into human Faculty; mental lmagery, p. 83. London 1883. 2. L'
observation
a été recueillie par M. le Dr Bernard (de Marseil
ar le malade, à ma sollicitation, complétera sur plusieurs points l'
observation
qui vient d'être relatée, et elle fera mieux comp
s ses yeux, de façon à ne le point perdre de vue un seul instant. L'
observation
de M. X. pourrait se passer de tout commentaire ;
s 1. Cette leçon a été recueillie par MM. Marie et Guinon. 2. Ces
observations
sont rapportées in extenso dans un travail de MM.
eux. Il y a, disais-je alors, des myopathies primitives et toutes les
observations
ultérieures ont démontré que j'avais raison. Elle
ine de cas,. et, dans la Revue photographique des hôpitaux, on 1. L'
observation
decotte malade se trouve in extenso dans un mémoi
s dans une espèce d'état lipothymi- 1. Voir à PAfpendice (p. 441) l'
observation
plus détaillée de cette malade. que, d'engourdi
s. Dans l'hystérie, dit-on alors, en se fondant naturellement sur des
observations
prises chez la femme, les phénomènes sont mobiles
rès une longue période de 34 ans ! — Cette malade est soumise à notre
observation
depuis 15 ans, et jamais l'hémianesthésie en ques
aladie. J'en viens maintenant à l'étude de nos hystériques mâles.
Observation
I. — Le nommé Rig..., garçon de magasin, âgé de 4
s accidents de chemins de fer. C'est ce dont témoignent plusieurs des
observations
rapportées par M. Page2: j'ai, pour mon compte, r
s, ainsi que vous pourrez en juger en vous reportant aux détails de l'
observation
. J'en viens maintenant à l'examen d'un troisièm
passer sous vos yeux ; au fur et à mesure les principaux détails des
observations
qui les concernent vous seront communiqués. Je la
mmentaires, les enseignements les plus importants que fournissent ces
observations
. • Obs. IV. — Le sujet qui va vous être présent
a puberté. A cet âge, c'est là du moins ce qui me paraît résulter des
observations
nombreuses que j'ai eu l'occasion de recueillir,
femme, cette variété de l'attaque hysléro-épileptique 1 ; 1. Voir l'
observation
de Geneviève B... et de Parm... (Iconogr. photogr
édecin des hôpitaux, l'objet d'une étude attentive En rapprochant des
observations
contenues dans ce travail, le cas qui vient de no
ne valeur, sur quelques-uns des faits que contient celte intéressante
observation
, à propos d'une étude sur les paralysies hystériq
, chez l'homme l. — Monoplégies hy stér o-traumatiques. Sommaire. —
Observation
de Porcz...: Antécédents, rhumatisme articulaire.
raît-il, dura trois heures. Lorsque Deb.,. re- i. Tout récemment, l'
observation
de ce malade a été donnée in extenso, par Mlle Kl
e, comme elle l'est encore aujourd'hui ; seuls les Fiy. 51 etiia. —
Observation
de Porcz... mouvements d'élévation de l'épaule
nts et en particulier à l'électrisalion. Celle-ci, Fig. 56 et î7. —
Observation
de De'j... a, analgésie. — b, ancstliósie absolue
ns les cas de section chirurgicale, ainsi que cela est établi par les
observations
recueillies par M. le Dr Ross (de Manchester), da
n rapport avec la distribution cutanée des nerfs de Fig. 58 et 50. —
Observation
tirée du travail de M. Ross. la sensibilité dan
e d'une simple « commotion » du plexus, car on sait par de nombreuses
observations
, qu'en pareille circonstance, contrairement à ce
noculaire avec macropsie, rétrécissement bilatéral du champ visuel.
Observation
de Pin.... Monoplégie flasque et perte de la sens
unir une dizaine de cas de ce genre dans la collection de plus de 250
observations
que nous avons rassemblées, M. Pitres etmoi, dans
clinique, M. le Dr Ballet, dans sa dissertation inaugurale 1 par une
observation
que M. Ferrier vient de publier dans le journal l
hèse de Paris, 1881,p. 61). 2. Brain, avril 1883. Il s'agit, dans l'
observation
de M. Ferrier, d'un cas de monoplégie crurale.
ns musculaire, etc.). Mais il paraît établi, néanmoins, par ces mêmes
observations
que toujours, si l'altération est restée limitée
t, suivant Briquet, dans plus d'un tiers des cas chez la femme. Notre
observation
vient démontrer qu'elle peut faire défaut égaleme
sie occupe le membre supérieur gauche, et c'est la partie 1. Voir l'
observation
détaillée du nommé Pin... pages 289 et suiv. an
rs de notre premier examen, la paralysie était com- Fig. 58]et 59 —
Observation
de Greuz... plète, absolue, comme elle l'est en
près de 10 mois. L'anesthésie cutanée et profonde Fig. 60 et 61. —
Observation
de Pin .. est portée au même degré que chez Por
ères cérébraux. Personne ne saurait contester, je pense, que dans l'
observation
qui vient d'être rappelée, tout se rapporte à l'h
ier fait seule la différence. Sous tous les autres rapports, les deux
observations
sont de tout point assimilables et l'on peut dire
limite l'anesthés„ie commence au niveau de la base Fig. 64 et 65. —
Observation
de Greux... du cou; elle s'étend, en avant, jus
ion presque verticale et s'étend depuis la base du Fig. 66 et 67. —
Observation
de Porcz... cou jusqu'à trois ou quatre travers
s doigts, laquelle est, vous le voyez, immédiatement Fig. 68, 69. —
Observation
de Greuz... suivie de la perte de tous les mode
re expérience, c'est-à-dire exactement assimilable Fin. 70 et 71. —
Observation
de Pin... à la monoplégie observée chez notre d
vraiment digne d'être examinée de plus près et soumise au contrôle d'
observations
plus nombreuses. Je vais d'ailleurs vous rendre t
e, au coude, en avant et eu arrière, dans une hauteur de Fig. 74. —
Observation
de Porcz..., du 5 juin au 16 juillet. 10 à 12 c
à 12 centimètres environ. Il est remarquable de voir que Fig. 75. —
Observation
de Porcz..., du 5 juin au 11 juillet. du côté d
sister pendant l'évolution des lésions organiques plus ou 1er cas. (
Observation
communiquée par M. le professeur Lannelongue). Ga
ra mettre en œuvre. — Mais comment s'y prendre ? Nous savons, par les
observations
de divers auteurs, que ces arlhralgies psychiques
s personnels, dans un mémoire intéressant1, fondé sur une vingtaine d'
observations
dont six nous appartiennent. Le mutisme hystéri
nt, à ce propos, l'histoire d'un jeune espagnol dont vous trouverez l'
observation
in extenso dans le mémoire de M. Cartaz. On me le
que par les personnes non initiées. Il est clair, néanmoins, que l'
observation
resterait incomplète si l'examen du malade n'étai
er delà verdure qu'il rapportait à l'aide d'une petite voiture à 1.
Observation
recueillie par M. Berbèz, interne du service br
d'un autre côté, on n'aperçoit pas, au premier abord du moins, dans l'
observation
, les conditions d'une suggestion. Yoici ce que l'
ue stupide, parfois anxieux. Il est irascible, s'emporte aux moindres
observations
qu'on lui fait, 1. Il s'agit là, en général, d'
uraient existé immédiatement après son réveil: 1° Sa respiration 1.
Observation
recueillie par M. Babinski, chef de clinique de l
ar M. le Dr Babinski dans les Archives de Neurologie^. Un abrégé de l'
observation
de Mouill... figure dans ce travail. 1. Voir le
e à la sensibilité, celte suggestion, dis-je, est suivie, d'après nos
observations
, non seulement de la paralysie du mouvement, maU
ues. Un travail ultérieur comprendra l'exposé complet de ces diverses
observations
; mais nous croyons qu'il ne sera pas sans intérê
, trop peu nombreux pour permettre une pareille généralisation. Les
observations
sont, comme nous venons de le dire, au nombre de
miplégie avec intégrité de la face ; dans l'une de ces deux dernières
observations
, il y a prédominance de la paralysie et de l'atro
trophie semble pouvoir être rapide, comme son développement. Dans une
observation
de monoplégie brachiale, 10 jours après la dispar
rcot s'est fondé pour établir cette variété de paralysie, et dont les
observations
ont été publiées dans le Progrès médical de 1880)
nt, du reste, les hypothèses que l'on puisse soulever au sujet de ces
observations
, un fait important et incontestable s'en dégage,
e quelques malades dont il a bien voulu me permettre de rapporter les
observations
. De ces observations, je rapprocherai quelques fa
nt il a bien voulu me permettre de rapporter les observations. De ces
observations
, je rapprocherai quelques faits recueillis dans d
nné dans les travaux anciens sur ce sujet et dans un certain nombre d'
observations
plus récentes, il a été en partie confondu avec l
ire admettre cette confusion. Si l'on voulait dépouiller toutes les
observations
de névrose hystérique, si l'on cherchait dans les
t-être un exemple de mutisme hystérique. Nous nous en tiendrons à des
observations
plus modernes. Briquet, dans son Traité, dit qu
de la paralysie des muscles du diaphragme. » Briquet cite cependant l'
observation
suivante de mutisme due à Watson (Philosoph. Tran
avec le mutisme plus ou moins obstiné de certaines malades. Dans l'
observation
intéressante qu'ils ont publiée et que je résume
endant longtemps dans son service l'hystérique qui fait le sujet de l'
observation
I, cherche dans une paralysie d'un nerf spécial l
u recueillir un certain nombre de faits de ce genre ; en joignant aux
observations
prises dans le service du professeur Charcot les
nt à Genève. Nous empruntons les détails de son séjour à Genève à l'
observation
rédigée par le Dr Revilliod. C'est dans cet état
aroles. Il n'y a plus d'apparences de déviation de la bouche. Cette
observation
peut prêter à discussion et M. Charcot, au moment
té commença à s'atténuer. Je ne fais que résumer en quelques mots l'
observation
sui-Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerv
nt jusqu'à guérison, et la malade, au moment où l'auteur publiait son
observation
, n'avait pas eu de rechute depuis dix mois. Obs
d'autres et depuis, tout est rentré dans l'ordre. La lecture de ces
observations
que j'ai rapportées un peu longuement, montre, qu
les troubles observés chez le malade qui fait le sujet de la première
observation
. Ch.. a passé plusieurs mois dans le service du d
aralysie d'un abducteur. Dans certains cas, comme dans cette dernière
observation
, on peut voir des variétés dans les troubles lary
, de ce symptôme, qui nous a fait classer à part, comme dubitative, l'
observation
de S... (obs. IV). Il est, du reste, facile de re
mo *). En effet, tandis que, d'une part, notre maître fournissait une
observation
où l'agraphie se présentait à l'état de pureté, d
s sur les maladies du système nerveux, t. III, p. 154. 2. Une autre
observation
d'agraphie pure a été publiée par M. le professeu
ait un bien intéressant passage'¥ulivre de Hartley, médecin à Balh (
Observations
on man, 1749), précurseur de la grande école psyc
s. — Contracture spasmodique permanente d'origine traumatique. — Deux
observations
reía tives l'une à une femme, l'autre à un homm
maire. — Définition de l'aphasie. — Cécité verbale (Wortblindheit). —
Observation
: Début brusque; hémiplégie droite et aphasie mot
rbale : MM. Gendrin, Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16
observations
. — Cas cliniques. Cas suivis d'autopsies. — Local
ion partielle des diverses formes de la mémoire. — Mémoire visuelle. —
Observations
de Galton. — Cas de suppression brusque de la vis
atique chez l'homme : monoplégies hystéro-traumatiques. Sommaire. —
Observation
de Porcz... : Antécédents, rhumatisme articulaire
noculaire avec macropsie, rétrécissement bilatéral du champ visuel.
Observation
de Pin... : Monoplégie flasque et perte de la sen
le, 154, 1G6; — Hemianopsie dans la —, 159, 173; — historique, 166. —
Observations
, 155, 166. — Autopsies, 172. Chloroforme (Actio
ire ; nous préférons développer quelques considérations sur celle
observation
, car elle montre, une fois de plus, le besoin de
servé ces étals maladifs, dans lesquels, comme dans mu pré- mière
observation
, la phobie du regard d'autrui sc mu- nifestait
ait dans sa forme simple, très pénible pour le malade ; parmi ces
observations
plus récentes, je ne citerai que celles (uionL
ns de la vie champêtre, la société ne l'inquiéterait pas. .Dans l'
observation
que nous venons de citer, nous avons un sujet d
tion psychopalhique commença à l'âge de 12-13 ans. Au moment de l'
observation
, presque pas d'autres symptômes neurasthéniques,
de, et tout confus il se détournait avec des larmes aux yeux ». L'
observation
suivante de la crainte du regard d'au- trui app
rit en 1899 dans la Revue de Psychiatrie (2). où j'avais décrit une
observation
cor- respondante. Mais dans certains cas, lapho
on en approche telles ou telles parties de l'organisme vivant. 2° L'
observation
40 REVUE d'anatomie ET de PHYSIOLOGIE pathologi
it exercer l'extension brusque de l'avant-bras fléchi. De nouvelles
observations
lui ont montré l'apparition de phénomènes analo
ar W. M. BECHTEREW. (<3o : )VM ! f-'pM- rhiatrii IX,1\JOL) . L'
observation
de M. (ISTAN1C0\\' concerne un homme de 59 ans
ésion anatomi- quedela moelle occupe un étage aussi élevé. Dans l'
observation
de M. HECHTEREW, il s'agit d'un homme de : 18 ans
rescence ; pathologie comparée. MM. RAYMOND et 'l'HAON présentent l'
observation
de deux fai- sans adultes, nés de parents consa
ssion dans la paralysie générale. M. le 1), A. Marie communique une
observation
de paralysie générale où survint unerémisson no
. 7')'rc)'<'t0)) ? <'.rt(f ? Le D1' Viollet communique deux
observations
de perversion . sexuelle sadisme sur les animau
' - 62 BIBLIOGRAPHIE. A signaler aussi tout particulièrement une
observation
d'épi- lepsie hémiplégique avec imbécillité par
ar sclérose atrophique hémi- plégique, et l'auteur profite de cette
observation
très intéres- sante pour établir la différence
git d'une encéphalite ou d'une méningo-encéphalite localisée. Celle
observation
doit être rapprochée d'une autre observation d'
ite localisée. Celle observation doit être rapprochée d'une autre
observation
d'imbécile, avec hémiplégie et épilepsie, et état
. Un article du The Leisure Hour, du mois d'octobre, traitant des
observations
de M. : 3medley, a montré qu'il y avait une cor-
cheval et du cône terminal, 1896. (2) CES1'AN et Uaboxneix. Quatre
observations
de lésions des lici-i's (le lit (j tieu e de e
- des dans les services de chirurgie explique aussi le man- que d'
observations
détaillées au point, de vue du système nerveux.
cines de la queue de cheval. La description qu'on donnait, dans les
observations
et les traités de chirurgie, de cette complicat
nus et de la queue de cheval. A la suite, ont été publiées quelques
observations
cliniques complètes sur la lésion de la queue d
une de Bregmann(5), et deux de Bartels (3). Peut- être la rareté d'
observations
, même purement cliniques, ¡le ce genre dépend e
me facteur étiologique de cette affection, il est à prévoir que les
observations
du même genre seront plus nombreuses. Jusqu'i
tuberculose sacrée avec lésion secondaire de la queue de cheval.
Observation
clinique (résumée d'après les notes prises dansle
adiculaires se manifestèrent. Dans la littérature neurologique, les
observations
pu- bliées de lésion de la queue de cheval par
ans le seul cas avec autopsie, de Ces- tan et ]3aboniieix, dans les
observations
cliniques de Du- four, Bregmann, Cestan-13abonn
complète la symptomatologie de la queue de cheval, comme dans les
observations
des auteurs cités : toutefois, del'étudehis- -
s'ilest permis de s'exprimer ainsi. Cette conviction. puisée dans l'
observation
des malades, ne suffit pas néanmoins pour donne
e les troubles physiques et les troubles psychiques. C'est encore l'
observation
qui nous a renseigné. Dans la majorité des cas,
ppel (5).Joffroy (6), Léopold Lévy (7), ont publié des travaux avec
observations
, qui concluent à un rapport entre les affection
e. nous pouvons citer IIammond (1), qui, s'appuyant sur plusieurs
observations
personnelles, a démontré que les abcès du foie
» Dans un travail consciencieux de Cullere, nous trou- vons deux
observations
de mélancoliques, ayant des an- técédents hépat
nt que les aliénistes soient d'accord sur ce point, notons ce que l'
observation
nous démontre. Les mélancoliques que nous avons
s et ses propres investiga- lions. On y trouve des tableaux et (les
observations
soignées. Vomi- ci d'abord le bilan de 1 8 cas
es malades seraient en faveur d'une irritation des méninges. Cinq
observations
prouvent que la lymphocytose peut dans les cas
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES 113 Vingt et une
observations
accompagnent ce travail qui a le «rand mérite d
niques ; par E. E. Foss. (Obo ? rénié psichwtrii. IX. 1904.) Deux
observations
. Dans la première il s'agit d'un tailleur de 17
congénitale très faible ; d'une tétanie surajoutée à celle-ci. L'
observation
Il concerne un jeune homme de 18 ans. Elle est
PILTZ. (-ATeu2-olog. Centralbl., XXIV, 1906.) Etude détaillée de 3
observations
et des travaux des auteurs. 1. Les troubles d
ves de Neurologie, 2série,L.Vlll, p. 420, etc. ! Enfin voici deux
observations
. Celle de Meinertz concerne des. contractions l
s et à la fesse droite, sur le territoire des 3e lombai l'es. La 2e
observation
porte sur une adulte, hémiplégique et syphili-
sions organiques latentes. MM. VIGOUROUX et Collet communiquent les
observations
de deux malades, l'un atteint d'hypochondrie, e
a paralysie générale. (Voir p. 55). MM. MAME et Violet rapportent l'
observation
d'un paralyti- SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 que gén
usion mentale et otite suppurée. 3131. Boy et Cuisez communiquent l'
observation
d'une jeune fille atteinte d'une confusion ment
uction d'un corps étranger dans l'oesophage. M. Azémar rapporte l'
observation
d'un délirant mystique,ayant tenté de se suicid
sée par des difformités acquises des organes génitaux. - Des deux
observations
présentées par M. Violet, l'une a Irait à un je
le guérie par l'hypnotisme. M. Lloyd TucKEY (de Londres) rapporte l'
observation
d'un homme, plusieurs fois condamné pour attent
et le service des bureaux. Dans un autre pavillon, dit pavillon a"
observation
, où l'on met les entrants dont les antécédents
que 2 gardiennes pour les surveiller. Dans un autre, dit quartier d
observation
et comprenant 22 malades en moyenne, la plupart
, et on y trouve encore pas mal de possédées. Le mémoire contient 5
observations
extrêmement ins- LrucLives. Toute malade de ce
plus souvent la même possédée n'a qu'une scutecatégoried'attaques.
Observations
d'une possédée prise d'une attaque sans chute p
M. Eu- gène Bernard-Leroy (de Paris) rapportent d'inté- ressantes
observations
. Puis la question des lies est, cette année enc
pi- nions adverses, avec quelque précision, Pierre Roy oppose les
observations
et les travaux des deux auteurs qui lui semblent
t anatomo-pathologiques. En dehors des travaux de Ilead, beaucoup d'
observations
confirment que les troubles sensitifs de la par
si justement remarqué do M. Roy viennent éclairersingulièrementles
observations
que j'ai pu faire; c'est qu'enfin le distingué
chirurgical de l'hypochondrie et qu'il y a discuté plusieurs do mes
observations
. Certes, la situation du chirurgien est délicat
i, d'ailleurs, je me suis jusqu'alors abstenu de publier foules mes
observations
personnelles dans un travail d'ensemhlc,me cont
x dans certains cas, et je n'en veux pour preuve que la remarquable
observation
que nous a signalée le prof. Brissaud de ce mal
on de la lésion n'ar- rive pas à modifier le délire. Je possède une
observation
de ce genre bien intéressante que je publierai
raissaient inutiles au premier abord. Je ne rappellerai ici que l'
observation
d'une femme publiée ailleurs, qui, pendant plus
entrale ou périphérique de l'hypochondrie. Enfin, à part quelques
observations
isolées, les prétendues zones de douleur viscér
16 à G2 ans et suivies jus- qu'à la fin de l'évolution. Deux de ces
observations
sont ac- compagnées d'autopsie. Il résulte de c
Remarques sur les délires du « parasitiférisme », appuyées sur cinq
observations
inédites. Dr LEROY (Eugène - 13ernard).- Parasi
'être habité par un parasite peut se rencon- trer chez les débiles (
observation
d'une malade qui croyait avoir dans le crâne un
obsédantes de l'ouïe ou de l'odorat. D'-LEROY (Eugène-Bernard). -;
Observation
d'une malade actuellement âgée de 41 ans, ayant
ypocondrie ; mais il n'y a pas là de règle absolue ; sur les quatre
observations
personnelles et inédites que j'ai choi- sies pa
driaques et les convictions délirantes de persécu- tion, ces quatre
observations
peuvent être réparties dans trois catégories di
e phénomènes sensitifs ou moteurs. Peut-être même, dans les rares
observations
où quelques troubles nerveux localisés et rayon
e diffusion gan- glionnaire. Peut-être, y aura-t-il lieu, après des
observations
plus précises, à une troisième phase ultime 1'a
évrite. Sous le bénéfice de ces réserves, je dois ajouter que les
observations
cliniques des malades chez lesquels ont eu lieu
as sur un total de 46, soit une proportion d'environ 6 °/0. Voici l'
observation
d'un semblable cas. Homme, bonne santé habituel
inale de la maladie et 2 étaient à la phase d'état. Enfin sur nos 4
observations
recueillies chez des hommes, c'était à la phase
lésion du cerveau ou des ménin- ges cérébrales. Il résulte de ces
observations
que le signe de Kernig pos- sède une grande val
elles comparables à l'éreuthose et à- l'éreuthophobie habituelle.
Observation
d'un homme de 42 ans, opéré d'un strabisme inte
publier le cas suivant : 11 s'agitd'un malade,âgé de 64 ans, dont l'
observation
a été faite par M. le docteur Olivier, interne
convulsifs, brusques, qui caractérisent le tic. M. RGIs. Dans les
observations
de M. Sabrazès, il y avait le caractère obsédan
tièrement rétablie." Et il ajoute : «J'ai par devers moi quel- ques
observations
de cette espèce que je suis obligé de tenir sec
bains tièdes et les enveloppements froids ou chauds. Toutefois, les
observations
et la pratique de Bon- nefous (de Leyme) et de
. XX. 15 22 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Une
observation
de troubles mentaux liés à l'existence de lésio
nx. D''5Royet et Roussit. - Le malade qui a fait l'objet°de cette
observation
a présenté à la suite de lésions du rhino- phar
r.qu'il lui fait, et accepte la présidence du Congrès de Lille. '
Observation
de troubles mélancoliques d'origine t"hino-phar
troubles mélancoliques d'origine t"hino-pharyngienne. - D" HOZET.
Observation
de vertige. Discussion : D1' Régis. Concours de
s sans aucune trace de désordres généraux, comme la malade de notre
observation
, incoordination des muscles de la respiration.
aques et la syringomyélie. MM. Parton et Goldstein (de Bucarest).
Observation
240 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOG
cer- veau nous a montré une lésion de la couche optique. Dans une
observation
que MM. Gruner et Bertolotti ont publiée récemm
outre les autres altérations, une lésion de la coucheoptique. Notre
observation
, ainsique celle des auteurs italiens, montrent
que celui de la nommée I...dont nous avons publié antérieurement l'
observation
. Les différences cliniques relevées dans les de
é l'organisation, dans chaque grand hôpital de salles ou chambres d'
observation
spéciales, et que le Congrès des aliénistes et
5), Moi- ZARD (1890), Fontaine lcg.9cS), etc. Il résulte de leurs
observations
et de leurs travaux, très concordants, que la p
are, il-est placé entre deux doigts consécutifs. Or, les nombreuses
observations
faites sur le jeune enfant par Preyer (1), Strü
s faire seulcs'défaut. Mais- si nous faisons appel aux précédentes-
observations
sur la myé- linisation du cerveau et de la moel
ue, 30 juillet, 1903, p. 689-GU2.) La moyenne est l'aile Il après 1
observation
de 116 enfants. Il est signalé des cas exception-
uv, 1903). Nous citerons comme présentant le plus grand intérêt les
observations
rapportées par PREYER. (Physiologie spéciale de
s permettent à l'enfant de vivre des heures et des jours (1). Les
observations
des neurologistes sur les anencépha- les ne son
e leur activité soit rudi- mentaire, nous ne possédons qu'une seule
observation
complète, où les réactions vitales soient soign
comme phénomène psychologique, sur ces faits. (1) Maximum 20,jours(
observation
Durante, Bull. Soc. anat. Paris, 1847, cité par
essivement depuis la période em- bryonnaire. A ce point de vue la,l'
observation
a une grande valeur, car, malgré la durée relat
le substratum anatomique de la position assise ». Il résulte de l'
observation
pathologique qu'une dispo- sition semblable exi
rchives ouvertes iL ceux de nos collègues qui auraient de nouvelles
observations
pour ou contre]» projet. (Voir la lettre de 51.
o-ataxies cérébelleuses, cette atrophie manque ; bien plus une même
observation
est publiée par deux auteurs différents comme m
ive ; par M. Rose (ivotio. Iconogr. de lu Salpètrière 1904 ,n°4.)
Observation
, avec photographies, intéressante parla localisat
onofli-. de la Scil- pètrière, 1904, no 4.) , Trav ail basé sur l'
observation
de troisfrères et soeur d'une même famille chez
et des lésions de ces deux affections se retrouvant dans les trois
observations
. F. TissoT. VII. Etude de la rétine dans l'amau
; par GAUSSE ? (A'OMu. Iconog., de la Salpètrière, 190'I, n" 5.)
Observation
intéressante vu la rareté des cas de spasmes fonc
eur de la selle turcique ou de son voisinage. P. Keraval. XI. Une
observation
de syringomyélie avec chéiro- mégalie ; par A.
ar A. SCHLITTENHELTf. (Neurolog. Centralbl., XXII, 1903.) " Cette
observation
présente les particularités suivantes. L'examen
N. (C6«tra ! &< ? Nercenheilhundc, XXVIII, N. F. XVI, 1905.)
Observation
minutieuse et soigneusement analysée propre à r
. G. ROSSO LI ? 1 0.(IVe tt)'010giSCib. CccLtrcclbl, XXII, 1903.)
Observation
accompagnée d'autopsie et d'examen microscopi-
entàlastatistique. Il existe actuelle- ment, y compris notre cas, 9
observations
de poliomyélite an té- rieure chronique ; 6 sim
e Neurologie), 1904. lie 20.) L'auteur relaie dans ce travail les
observations
de quatre en- fants âgés de l à 3 ans qui sont
pas, après la discussion très serrée dont l'auteur fait suivre son
observation
, qu'un autre diagnostic puisse être posé que ce
ésenté à la Clinique du P1" Lépine en 1893-94 et dont il ré- sume l'
observation
. L. WAHL. \\'lll. Le pellagro typhus ; par le D
uneauectionautunome, encore moins une association pathologique. Une
observation
ori- ginale fort bien prise sert d'introduction
nécessaire à la constitution delà maladie. L'auteur cite plusieurs
observations
où la blessure parut intervenir principalement
ar U;¡U et Wilson. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 190 11- 6.)
Observation
d'un homme de 23 ans syphilitique, ayant présenté
vaisseaux (théorie classique) concourent à sa production. De leurs
observations
, Cestan et Lejonne concluent à l'existence d'un
fatale, en offrant parfois des rémissiuns plus ou moins longues. L'
observation
suivante peut être considérée- comme tout à fai
pparaître quand les accès sont compliqués * de cerliges et enlin, l'
observation
actuelle en fournit la preuve, quand les accès
rale du sujet, pour se rendre compte du degré de la mélancolie. Les
observations
suivantes démontreront la part que fournissent
ne sont pas directs entre le délire et l'intensité delà cholémie.
Observation
. 111 - Mélancolie an.rieuse. Cholémie (Résumée).
'Qbili]1ul'ie nette. Sérum sanguin renfer- mant de la bilurihine.
Observation
IV.J/)ter)'f/H/pnco ! t'/Watfc.C/to ? (l{ésumée).
albumine, ni indican. Sérum peu leiiité. très léger. ' i Cette
observation
est intéressante. Louise B... ne parait pas app
é avant l'examen chimique des urines. CHOLÉMIE ET MÉLANCOLIE. 301
Observation
\ ? Mélancolie hypocondriaque avec hallucinations
line très nette. Sérum assez foncé : Gmelin de moyenne intensité.
Observation
. \'1. Mélancolie acec hallucinations ; idées de
ll- mine. Urobilinurie légère. Sérum peu teinté ; Gmelin léger. '
Observation
1-Il. Mélancolie anxieuse. Cholémie. (Résumée).
mélancoliques stupides. Elle existe à un léger degré dans les trois
observations
sui- vantes : OnSFRVATfOX \111. - Mélancolie
iun, examiné il différentes reprises, a donné le signe de Gmelin.
Observation
IX. Folie il double forme ; mélancolie stnhirfe
rsion. Le l'oie et la rate sont normaux. Pas de souille au coeur.
Observation
X. ? f'o/if .siu/Of/c. (7/cf).s';<r ! 'e. Chol
teinté. (me; lin poailif (léger) à 2 reprises. Il résulte de ces
observations
que le rôle du foie est t prépondérant dans la
ons trouve le foie lésé dans beaucoup d'autres cas Le nombre de nos
observations
s'élève à plus de 70. Nous osons presque affirm
11ll diminuait d'intensité jusqu'à la Misltaritioucomltlètc. Dans l'
observation
IX, où l'alt'cc- tion mentale a été de courte d
ramené la discussion sur le terrain psychologique en communiquant l'
observation
d'un sujet complètement insensible la douleur e
en regrettant de ne pouvoir nous y arrêter, plusieurs intéressantes
observations
de M. Glorieux sur la 378 SOCIÉTÉS SAVANTES.
fs, c'est excessif. M. Slransky cite à l'appui de son objection une
observation
très détaillée qui montre en outre que certains
il v a peu de temps, ,"Iail d,eH'l1u alil'né à vingt-deux ans; son
observation
a pour inlt'" rL principal des périodes halluci
les prédisposés, parfois même chez des aliénés confirmé-. Dans l'
observation
que publie il il s'agit d'une jeune névropathe il
ques, e'I ? [ le puél'ilii'II1P r ! tl'Oniqup. L'auteur l'apporte l'
observation
illustrée d'une femme de SIl an", llt"lIlenlp,
a morl, une thrombose du sinus longitudinal supérieur. Dans celle
observation
, deux points sont à mettre en relief 1° La La 1
,wvae. (Soc. 11l, : d. des hôpit. de Lyon, ! 7 janvier 1 ! .JOj.)
Observation
d'un malade avanl présenté une maladie de ! ! d\-
In.uu : ],,\IJE. (Soc. mèd. des hop. de Lyon, 17 janvier l'Jllj.)
Observation
d'un ca.. de mutisme cliez un dégénéré, datant de
.1. I'romknt (Soc. de mèd. des hôpitau.r de Lyon Hte\rierl"0.j.)
Observation
d'atrophie musculaire progressive nnélopalhique
ty- piques possédant quelques-uns. des caractères des mvopathies.
Observation
I. Myopathie avant débuté il t'.ine de (i ans.
de causalité doit être pleinement admis en matière de certificat.
Observation
Il. - Homme de 53 ans, présentant une paralysie
aux sources, compulsant et interpré- tant soigneusement toutes les
observations
recueillies sur ce su- jet, prenant eux-mêmes l
les observations recueillies sur ce su- jet, prenant eux-mêmes les
observations
complètes des géants qu'ils ont l'occasion d'ex
lète de l'oem l'e magistrale de MM. Launois et Roy. Soixante-quatre
observations
scientifiques de géants, dont un grand nombre p
on complète des psychoses pol) nén'itiques, mais s'appuyant t sur 8
observations
atypiques qu'il donne en détail et sur d autres
e de troubles circulatoires, est un fait qui tend il être admis ; l'
observation
de Long et Machard, déjà citée, est une confirm
t la déformation, doit être, parles statistiques données et par les
observations
publiées, très fréquente : ScHMu's (/. c.) obse
ons donné avant l'exposé de chaque cas qu'un résumé succinct de son
observation
clinique, d'après les notes prises dans le serv
respondant et d'en présenter l'analyse à laquellej'au- rai quelques
observations
complémentaires à ajouter. Déjà, en avril 100.-
égalie simple ou combinée an gigantisme. i Avec un certain nombre d'
observations
de ce genre, on pourrait peut-être arriver à l'
4LLAVARDIN et VAR.1L (Rec. de médecine, juin l'J03.j Une première
observation
est relative e une femme de 60 ans afteinlod'un
e façon uniforme par le^ injections d'hermophényl à hautes doses.
Observation
1 ? Syphilis cérébrale, céphalée en un point fixe
omplète, après injection de 1 gr. 52 d'hermophényl en 13 piqûres.
Observation
IL- Syphilis. Hémiplégie droite transitoire avec
e 1 gr. 52 d'hermophényl en 13 piqûres. Très grande amélioration.
Observation
IV. Hystérie ancienne.Syphilis conjugale datant
e syphilitique après examen histologique. D'après ces différentes
observations
, les injections d'hermoplu- nyl constituent un
lam- matoire induré. ' "> ,. Abstraction faite de la quatrième
observation
, l'efficacité du traitement apparaît incontesta
scope et une salle d'autopsie, où le médecin dispose d'un cahinet d'
observation
, où existe un semblant d'installation hydro- th
r aux objections tirées par M. Arnaud du fait que le malade, dont l'
observation
nous a été présentée par M. Roy, a eu une rechu
ne sautais, cependant, voir une relation de cause à effet dans les
observations
qui font l'objet delà discussion de M. Pic- qué
une psychose. 1 1 M. PicQuÉ n'a pas entendu parler seulement de l'
observation
de M. Roy,sur laquelle y a lieu de formuler des
d'attirer l'attention sur les psy- choses d'origine infectieuse.
Observation
d'un dément précoce avec autopsie. - MM. LEGRAI
nt précoce avec autopsie. - MM. LEGRAIN et Vigouroux communiquent l'
observation
d'un jeune homme de 23 ans qui succomba six moi
toute lésion vasculo-conjonc- tive. - M; Vigoureux communique une
observation
personnelle qui a plusieurs points d'analogie a
et examen histologique. MM.G.DoUTREBENTE etL. Marchand rapportent l'
observation
de deux autres déments précoces. Il s'agit de
it de deux cas de démence précoce à forme hébéphréni- que. Ces deux
observations
ont plusieurs points de ressemblance : pas de t
d'un délire présentant les caractères de la chronicité. Dans celte
observation
, il s'agit d'un malade exempt de toute lare hé-
05. Iml). F CadoreL.) L'auteur a rassemblé dans sa thèse toutes les
observations
de migraineophtalmoplégiquequi ont été publiées
légiquequi ont été publiées depuis la tht-be de l'Alché (1890). Ces
observations
, au nombre de z2, rapportées presque toutes in
mmé, l'année suivante, interne des hôpitaux de Paris. Les premières
observations
qu'il rédigea dans le service de son maître,NI.
géants (Paris, Mas- son, 1904). Ce travail important réunissait les
observations
détaillées de soixante-quinze géants vivants ou
. Remarques sur les - du « parasitiférisme », ap- puyées sur cinq
observations
inédites, par Leroy, p. 184. Sur un cas de -
Maichand, p. 489. DÉMENTS CATATONIQUES. Voir : Gl- c6/1tfiol/s.
Observation
d'un précoce avec autopsie, par Legrain et Vi
Roque et Corneloup, p. 484. Syringomyélie. VoÍI'l1ysté, ¡t. Une
observation
de avec cliéiromégalie, par Schlit- tenbelm,
com- parée, par Raymond et Thnon, p. 53. - et ophtal- moplégie.
Observation
de hystérique. Trépidation 3 : PILEP1'OIIJE.
chro- niques du rhino - pharynx, par Royet et Rousset, p. 226.
Observation
de - mélancoli- ques d'origine rhil1o-pharvn-
s chez deux déments catatoniques, par Trepsat, p. 384. VERTIGE.
Observation
de -, par Régis, p. 234. ZIEOEV. Voir Maladie
us analyserons plus loin le court passage où cet auteur formule ses
observations
. Mais Kupffer avoue n'avoir pu saisir le mode d
doctorat en médecine Paris, 1878, p. 97-98. 41 . ANATOMIE. des
observations
physiologiques sont parfaitement d'ac- cord ave
carac- tères principaux de cette singulière disposition morbide.
OBSERVATION
! . Tendance nêvropathique des ascendants ; dis-
DE LA CACHEXIE PACHYDER)IIQUE. (11j·xmdbme des auteurs anglais).
OBSERVATION
NOUVELLE AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ;
n'est pas cet oedème spécial, c'est ce double fait que toutes ses
observations
se rapportent à des femmes et que ces dernières
observé chez l'enfant. Nous devons déclarer que la lecture de cette
observation
ne nous a pas entière- ment convaincu en ce qui
l, M. Ballet' publie, sous le titre de Cachexie pachdernai jue, l'
observation
d'un malade de M. Charcot. Il s'agit d'un homme
evue mensuelle un travail d'ensemble intéressant. On y trouve une
observation
nouvelle, concernant une dame, qui lui avait ét
ngtemps avant l'apparition des phénomènes cérébraux. Or, aucune des
observations
publiées par Ord et Gull ne présente cette subo
rticulier. La fin de ce travail comprend la reproduction de trois
observations
: une première de Gull ; une deuxième (avec aut
e de Gull ; une deuxième (avec autopsie) de Ord; la troisième est l'
observation
de M. Charcot, publiée par M. Ballet. Quelque
rugineuses. L'attention est attiréesur le myxoedème, de nouvelles
observations
ne tardent pas à paraître. Le z5 septem- bre 18
ts récents, et dégradation des facultés intellectuelles. La seconde
observation
de Ch. Inglis se rapporte à une femme de 39 ans
on n'arrivait qu'avec peine à la rassurer. » Pour terminer cette
observation
intéressante d'Ham- mond, dont nous avons tenu
trouve encore cà et là, éparses dans les recueils de médecine, des
observations
contradictoires dont on pourrait s'autoriser co
e cas appartient à la première catégorie; on peut en rapprocher une
observation
de M. Peter, où les lésions corres- pondent exa
ptômes multiples correspondaient également des lésions multiples.
Observation
II (résumée). - (Gazette des Hôpitaux, 1879.) 1
érébrale ». A l'appui de cette,;hypothèse, on peut fournir les deux
observations
suivantes : H,y ., , Observation III (résumée).
thèse, on peut fournir les deux observations suivantes : H,y ., ,
Observation
III (résumée). Wodhmn (Saint-George' Hospital '
ve. Destruction presque totale de l'insula de Reil du côté droit.
Observation
IV. Aphasie avec hémiplégie gauche. Embolie de
la 3° frontale, du £ lobule de l'insula et de la corne sphénoîdak. (
Observation
de Le- double et Viollet. (Tribune médicale, ma
s lombaires obstruées. Nous répétons, après avoir rapporté ces deux
observations
, ce que nous avons déjà dit en commençant cet a
uns, nous aurions dû placer la réserve vraiment scientifique ou les
observations
confirmatives des autres. Réparons brièvement c
Anderson a communiqué à la Société médico-chirurgicale de Glascow l'
observation
d'une malade hystéro-épileptique traitée par le
tc. On trouvera d'ailleurs dans le Progrès médical le résumé de ces
observations
et de quelques autres. il. V. REVUE DE PATHOL
E); parAug. Eickholt. A9'CIt. f. Psych. il. 1\'e·uenla., 1880.) L'
observation
longuement rapportée qui forme la base de cette
vet7reaZ7unde, n° 12 du 15 juin 1880.) L'auteur présente quelques
observations
relatives à la .pro- position de deWatteville e
SERV,TIO,41.' I. -Parésie du droit supérieur gauche ; Posis tran- t
Observation
I. JParésie du droit supérieur gauche,; pLosis ra
f ? ? " °nnt.y tttTRT 17Li 7· .t' ·^-to lt 'tl ? 9'7 ? 1 ? îti' '
Observation
IL .Parasie de la troisième paire"droite et du
, ;t ;^ r I , ? t2 c . t' ? fr;= c;71 21T.1, r y,btlT9f17 m '4t·
Observation
IV. -Ptosis du cû6 gauche,, névrite optique doubl
es mêmes lésions et quelquefois la déchirure du cylindre-axe. Mêmes
observations
surle sciatique d'un homme élongé un jour avant
endant toute la durée de la maladie, deux de mes cas, ainsi que les
observations
de Galezowski, tendent à prouver que l'amaurose
doute; car on ne trouve pas, à l'appui de son, existence, une seule
observation
clinique complète; mais comme on a observé l'am
ns cette justice, qu'ils ont merveilleusement,tiré parti du champ d'
observation
quedeur a fourni la guerre de la Séces- sion. C
1 . U't'.t.tû 'ii Cinq nouveaux faits portent à neuf le nombre des
observations
personnelles de M.' 1 Séguin;irelatives aux loc
'obsérvation` 1 ' t')') - - 1 M. 'II TIAN communique à la société l'
observation
un déli- rant chronique présentant des idéës' d
tout le cours de sa variole. M. LEGRAND du, SnoLr.n, revenant sur l'
observation
rapportée par M. Christian, repousse l'administ
1 sur 4 ou 5 au plus. Il est vrai que les malades soumises à notre
observation
à la Salpêtrière, sont toutes des sujets attein
e se montre à la face. Nous nous contenterons de rapporter les deux
observations
suivantes : Dans les récentes expériences que n
) ont été prises d'après elle. Entre autres détails intéressants, l'
observation
suivante nous montre également une différence e
er aux diverses phases de son évolution. Nous rapporterons ici deux
observations
dans lesquelles les caractères du sommeil hypno
a suivi l'expérience est un fait tout à fait exceptionnel. Dans l'
observation
suivante à l'exagération des ré- flexes tendine
SE DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. (Mvxoedème des auteurs anglais).
OBSERVATION
NOUVELLE AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE '
é qu'il était utile de donner un compte rendu complet des dernières
observations
publiées par les auteurs anglais et américains,
observations publiées par les auteurs anglais et américains, ces
observations
n'étant pas relatées dans les recueils français
assez restreint. Bien que l'on puisse citer déjà une vingtaine d'
observations
, les documents sont encore z Voir le n 7, p. 60
s le service de notre excellent maître, M. le professeur Grasset.
Observation
(personnelle). Honorine A..., lingère, âgée de
t une amélioration réelle dans l'état général de la malade. Cette
observation
présente plusieurs particularités remarquables
r malade. Enfin l'amélioration qui se trouve notée dans plusieurs
observations
ne paraît nulle part aussi mar- quée que chez n
rap- peler la forme particulière des extrémités des membres. Les
observations
de cachexie pach) dermique publiées jusqu'à .ce
fisants pour édifier une histoire clinique complète. Cependant, les
observations
nouvelles ont considérablement élargi le cadre
que l'affection était propre à l'âge adulte et à la femme. Mais les
observations
publiées successivement par Savage, Charcot, Bo
l'affection n'était héréditaire. Du côté de l'hérédité, certaines
observations
parlent d'antécédents nerveux, tels qu'apoplexi
ue la figure du malade est recouverte d'un masque. Dans plusieurs
observations
on a signalé la chute des cheveux et des poils
d'y faire un pli. Les mamelles sont dures, gonflées. Dans plusieurs
observations
, on a signalé la présence de tumeurs molles, qu
d'albumine. Quant aux troubles digestifs signalés dans plusieurs
observations
, ils ne relèvent pas forcément de l'infil- trat
t ferrugineuses ont donné des résultats très satisfaisants. » Notre
observation
semble particulière- ment remarquable sous ce r
de L'HYS'l'BItO-1'ILEPSIi : . Kil I malade qui fait le sujet de l'
observation
qu'on va lire nous montre une période de grands
présentées par séries de le à 1 depuis qu'elle est soumise à notre
observation
et toutes se ressemblent. Dans les séries d'att
at- taque ; elle revient ensuite lentement à l'état normal. Cette
observation
présente plusieurs faits intéressants à noter.
parler du zona hystérique. C'est la malade qui fait le sujet de l'
observation
précédente qui en a été atteinte. Le 3( ! févri
de {'Iconographie photographique de la Salpètrière rapportent deux
observations
danslesquelles ils ont vu l'anesthésie et les a
truit entière- ment toutes les digitations du lobule de l'insula.
OBSERVATION
. Attaque apoplectique. - Hémiplégie gauche; Con
nent une idée exacte : 181 î- RECUEIL DE FAITS. Réflexions. Cette
observation
nous offre un exemple remarquable de l'enchaîne
les maladies du cerveau , travaux où sont consignées la plupart des
observations
connues ielatives aux lésions du lobule de l'in
pirant non seulement de nos recherches personnelles, mais aussi des
observations
rapportées par nos devanciers, Tardieu, Moreau
l'étrangeté l'inté- ressent vivement ; il rédige soigneusement son
observation
, prend des notes, reste près d'elle pendant plu
s ne confondons pas ces deux états morbides si différents, mais nos
observations
nous auto- risent à penser que le plus souvent
ux en corrélation avec une minutie extrême du squelette crânien ? L'
observation
décrite en détail par le Dr Jensen démontre qu'
logie mentale. 215 surations crànio-faciales relatées au cours de l'
observation
, présentait aussi un bec-de-lièvre supérieur mé
es d'anémie céré- brale, l'hypothermie, la pneumonie lobulaire. Une
observation
récente de Turner (Journal of Anatomy and Physi
une douzaine de villages ( ! ,5u0 habitants), relate deux séries d'
observations
. Les unes empruntées en partie au Dl Heinemann
- me, d'leyd'oplaobzé pendant deux jours. Une seconde catégorie d'
observations
a trait également à des individus auparavant bien
iers qu'ils se terminent presque nécessairement par la guérison ; l'
observation
suivante, intéressante surtout par ses phases v
(Flic Journal of mental Science, n° de jan- vier 1881, p. 551.) L'
observation
de ce malade peut se résumer de la façon sui- v
demande qu'on nomme une commission chargée de recueillir toutes les
observations
d'aliénés qui, mis en liberté après un premier
et 78), fait ressortir les différen- ciations cliniques de ces deux
observations
. Elles ont de commun l'hémianesthésie croisée l
se chez une jeune fille de vingt ans. Le principal intérêt de cette
observation
réside dans la marche de la maladie, l'affectio
physiologique de l'un d'eux entraîne la divergence rapidement; même
observation
pour la vision bino- culaire à distance. Quoi q
éflexe même quand il y a dilatation pupillaire chez le tabétique; l'
observation
lui paraît plus difficile quand les pupilles so
nomalie de formation particulière du cerveau et de la moelle. Cette
observation
qui sera publiée in exteîîsol concerne une défe
ecte, ni d'une réflexe, mais bien d'une excitation musculaire. Même
observation
dans la paralysie faciale alors que, l'excitabi
d'ailleurs trois branchies bien développées et fonctionnant. Cette
observation
vient à l'appui de l'hypothèse de Gegenbaur que
'ophth(tlinie sympathique. Après avoir repris les communications et
observations
de Knies etAlac-Gillavry qu'il considère comme
m anatomique l'état local de cette membrane. Or, une grande série d'
observations
lui ont depuis démontré que les perturbations f
t le sommeil chloro- formique, par le Dl BnjMSARTNER (de Bade). Les
observations
de l'auteur concernent deux individus. C'est ai
écrit au Congrès deux cas d'élongation de nerfs céphaliques et deux
observations
de ligature de l'artère carotide dans i ! 'M !
ur qui sera publié. Enfin, après avoir entendu la lecture de deux
observations
inté- ressantes des D6 KAST (de Fribourg) et Sc
aires et les affections des organes génitaux; il rapporte plusieurs
observations
d'affec- tions aiguës de la vulve du vagin de l
u nerf vague. CH. F. IX. Hallucinations dans la paralysie générale (
Observations
); par J. Girma. Thèse de Paris, 1881. Les hal
cations, l'alcoolisme aigu et chronique, le saturnisme. (Vingt-deux
observations
.) Cn. F. VARIA LE SABBAT' Si les Sorcières
étaient déduites de l'étude et de la comparaison, de vingt-quatre
observations
. A celles-ci bientôt vinrent s'en ajouter d'aut
ne part importante, puisqu'il en existe à notre connaissance treize
observations
rappor- tées par Boyer, Hutin, Maunder, Wood, V
r le suivant que M. le professeur Richet nous a engagé à publier.
Observation
. - Iléniil)a7-aplégie avec troubles de la sensibi
rinaire, ni trouble circulatoire ou digestif. Comme on le voit, l'
observation
que nous venons de rapporter ne diffère que par
par Aurran, dans un cas d'hémilésion de la moelle dorsale; notre
observation
prouve une fois de plus que ce trouble génital
ques, ni par sa localisation, des arthro- pathies relatées dans les
observations
de Viguès et de Joffroy et Salmon. C'est du res
'Voir le n° 8, p. 160. La malade qui fait le sujet (le la dernière
observation
(p. 170) a suc- combé à une nouvelle attaque de
é de la conjonctive, nous paraît encore trouver une preuve dans une
observation
que nous avons pu faire récemment à la Salpêtri
des points hys- térogènes. Tel est, en résumé, le résultat de nos
observations
. Au début de la première phase, de la phase épi
tes à des attaques incomplètes, qui augmentent les difficultés de l'
observation
de l'état de la pupille, surtout pour la contra
leures conditions : mais les attaques subintrantes rendent encore l'
observation
très difficile. Cependant, dans un de ces cas,
l'influence du chloroforme. Deuxième cas. La nommée Y..., dont l'
observation
est rapportée en détail dans l'Icoîzogi,ariltz»
de la ma- laxation du membre. Pour terminer, nous rapporterons l'
observation
sui- vante qui met bien en relief et les différ
Michand en 15î0', M. Déjerine en 1875 en ont rapporté chacun une
observation
très démonstrative. Le fait qu'on vient de lire
ent pas des mêmes conditions pathogéniques. Il existe en ell'et des
observations
très régulières de pied bot anciens, dans lesqu
l y avait une anesthésie plus ou moins complète du côté opposé. L'
observation
suivante est un exemple très net de cet ensembl
e était conservée dans tous ses modes, à droite comme à gauche. L'
observation
qui précède nous paraît remarquable à plusieurs
ne s'exerçait-elle que sur cette moitié ? Quoiqu'il en soit, cette
observation
démontre une fois de plus la disposition de la
ie générale progressive. Et, depuis que nous avons communiqué notre
observation
à la So- c/e<e<MM<om ? <e (novembre
n ; l'expérimentation ne peut que servir à guider et à corroborer l'
observation
clinique. Les faits tirés de la pathologie huma
radictoires cités par 1M. Bellouard et Rosenthal; il n'existe pas d'
observations
prouvant l'existence de l'hémianopsie d'origine
ence d'une amblyopie liée à une lésion cérébrale dé- terminée : une
observation
de M. Charcot concernant une hé- miplégique hém
été considérée par tous comme irré- futable. Mais, depuis lors, les
observations
de Pitres, de Muiler, de Bernhardt, de Petrina
ur faciliter sa lésion dans les fractures du crâne. Une remarquable
observation
de Jacobi corrobore par l'autopsie l'opinion de
arités de son évolu- tion importante pour le pronostic, d'après les
observations
prises surtout à la consultation de M. Charcot
articulations douloureuses, pour en explorer l'état. Il rapporte l'
observation
d'une malade non hystérique offrant une contrac
e présenté déjà par M. Bail à l'Académie de médecine. Le sujet de l'
observation
est un jeune homme de dix-huit ans qui présente
nsée qu'il faut les cher- cher ; de plus, le véritable intérêt de l'
observation
porte sur la dis- 368 bibliographie. tinctiou
ou expérimentaux, attendu que l'oeuvre entière ne renferme que des
observations
déjà publiées; et encore l'auteur s'est-il arrê
ine de la doc- trine localisatrice : on conçoit que la totalité des
observations
em- ployées à une pareille enquête fournisse de
eils médicaux. L'auteur n'a conservé de cet immense dépouillement d'
observations
que celles qui concernaient des lésions cortica
bras et la main. Exner, a rencontre de celte opinion, signale douze
observations
de paralysie des membres sans lésions du lobule
t la démontre même, répond à cette objection .souvent faite par des
observations
d'attaque hystéro-épileptique prises, la premiè
s malades de la clientèle civile à Paris et ailleurs, enfin par des
observations
puisées dans les annales de la science, auxquel
il est dans les sciences un terrain dont le défricltement exige une
observation
et une expérimentation opiniâtres autant que judi
a névrose, et l'on peut se convaincre par la lecture des nombreuses
observations
du mémoire que, malgré l'ancienneté de la malad
ion considérable tant pour les accès que pour les vertiges. Telle l'
Observation
XUX, caractérisée par l'aggravation constante d
après la rétrocession totale des accès et vertiges. Suivent quinze
observations
dont la première 373 i BIBLIOGRAPHIE. (Observ
uivent quinze observations dont la première 373 i BIBLIOGRAPHIE. (
Observation
XXXII) équivaut à une guérison complète au moins
s des os du crâne', par Mercieh-Yalen- Tov; thèse, 1881. Quelques
observations
derhiimalisme céreLrol; par\Lllnnntcox; thèse 188
ert à toutes les nations ; 2° les mémoires doivent s'appuyer surdos
observations
et des expériences originales recueillies sur l
ce extrême. XVI 1 2 PÉHU Jusqu'à ces dernières années, quelques
observations
en ont été publiées sous des épithètes disparat
mités. A cette occasion, j'ai réuni dans le présent travail, avec l'
observation
dé- taillée du malade. les faits semblables qui
convenir le nom d'acro-cyanose chronique hypertrophiante (1). Les
observations
antérieurement publiées sont les suivantes, rédui
. G. Humbert, interne de la clinique, qui m'a fourni les détails de l'
observation
et m'a aidé dans mes recherches avec la plus en
ues et Gasne sont indécis pour mettre une étiquette sur la présente
observation
. Leur hésitation est fort admissible, car nous ne
nuèrent de volume, de même que les pieds. L'auteur a classé cette
observation
sous l'étiquette d'acromégalie com- pliquée de
u'on observe aucun changement. A ces cas, M. Cassirer ajoute deux
observations
publiées en 1896 par M. Crocq (1) et concernant
tal cantonal du 29 mars au 10 mai 1902 et le diagnostic porté sur l'
observation
est : épilepsie essentielle. La cadette âgée de
en deux heures environ. 16 péuu Malgré que dans quelques-unes des
observations
citées plus haut, on ait relevé la présence de
est question ici, la cyanose est permanente. Et cependant certaines
observations
produites sous le nom de maladie de Raynaud parai
Tel le cas récem- ment publié par M. Souques (4); s'agit dans cette
observation
d'un sujet de 27 ans qui, depuis l'âge de 12 an
s au nôtre. Rien n'autorise un sem- blable rapprochement : dans les
observations
de ce dernier, le syndrome est complexe et repr
r son histoire, je puis donc utiliser certains documents : des neuf
observations
citées, toutes n'ont pas une égale valeur. Le cas
IANTE 19 renseignements qui y sont fournis. Ou bien encore quelques
observations
ont été publiées en se plaçant à un autre point
s antérieures, elles ne sont pas explicitement mentionnées dans les
observations
. Cependant MM. Souques et Gasne disent que leur m
et surtout, semble-t-il, du tissu cellulaire sous-cutané. Dans mon
observation
personnelle,j'ai noté la présence de petits nod
comme on a coutume de le voir dans la maladie de Raynaud. Dans deux
observations
publiées par M. Cassirer, et dans la nôtre aussi,
al habile aux travaux exi- geant quelque minutie : et dans deux des
observations
ci-dessus rappor- tées, le malade a été contrai
: les mains elles pieds diminuèrent de volume. Mais dans toutes les
observations
où le patient peut être suivi pendant un temps
QUE HYPERTROPHIANTE - 3 3 proximative, on ne peut le faire, car les
observations
n'ont pas été suivies pendant un temps assez lo
? Quelle en est la pathogénie ? Deux constatations se dégagent des
observations
3 et 9 dans lesquelles l'examen viscéral est co
l'interprétation de sa pathogénie, nous ne pouvons con- clure : des
observations
détaillées sontencore nécessaires pour mieux con-
TTE, ET , PAGES, Chef de clinique médicale. interne des hôpitaux.
Observation
. Notre malade est une jeune fille, âgée de quin
uleurs dans le côté atteint ainsi qu'on a pu le noter dans quelques
observations
. Toutefois depuis lors, la malade a éprouvé que
être héréditaire et fami- lial et trophaedéme acquis. D'après les
observations
que nous avons compulsées, nous pensons en effe
orbides. C'est au type de « ll'ophoetlème acqitis que se rapporte l'
observation
suivante intéressante par son allure symptomati
articulière et par la précision du point de départ des accidents.
Observation
. Mlle Lucie J... âgée de 28 ans, institutrice,
hâtive du doigt-géant n'ait pas enrayé le processus gigantiqueet l'
observation
de Fischer (1) est bien connue : chez un garçon
yens de locomotion : elle compte, au premier rang de ses procédés l'
observation
et l'expérimentation. Nous verrons tout à l'heu
principe de parallélisme. Il est à la fois l'expression d'un fait d'
observation
et un artifice de méthode, grâce auquel est opp
st non à la psychologie, dont les données tombent facilement sous l'
observation
, mais à la physiologie du cerveau, dont on est
va (1), au travail de Frster, ci-dessus mentionné, qui contient une
observation
typique de stéréo-agnosie, et à une note de moi
D Professeur à la Faculté et BRUANDET Interne des Hôpitaux.
Observation
E. P..., âgé de 49 ans, vendeur aux Halles, gra
iné autrefois par M. Dejerine qui a bien voulu nous communiquer son
observation
clinique. Nous sommes très heureux d'adresser à
e Marie et G. Guillrrin). LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 83 Cette
observation
est intéressante, au point de vue anatomique, en
anatomique des lésions qu'il faut demander leur véritable nature. L'
observation
suivante se rapporte à cette catégorie de faits;
de l'étude anatomique des lésions et de certaines malformations.
Observation
(due à l'obligeance de M. le professeur agrégé Ha
enus Gasne par l'examen anatomique de nombreux foetus et à d'autres
observations
rapportées par lui avec détail, telles que celle
que nous voudrions noter rapidement. Si nous sommes loin dans notre
observation
des Cij extrêmes, ou mé- ninges et moelle sont
gnostic histolo- gique très délicat ont été mis en lumière dans des
observations
récentes. A côté de la production de gros tuber
lète des deux lobes occipitaux ajoutent encore à l'intérêt de cette
observation
. B..., âgée de 19 ans, entre à l'asile de Baill
ellu- les affectées aux sensations lumineuses en second lieu. Notre
observation
s'accorde au contraire avec l'opinion de Vialet
la vision, Paris, Alcan, éd., 1893, p. 331. xvi 8 106 MARCHAND
observation
montre qu'aucun territoire ne peut être considéré
s, cependant, la suppléance se produit et Touche (1) a rapporté des
observations
de cécité psychique dans lesquelles les malades
u'il parcourait avant sa maladie. Le même fait se retrouve dans une
observation
de Foerster (3). Les malades peuvent donner le no
r le cas à une myopathie. Elles sont maintenant très nombreuses les
observations
de myopathie, bien classiques par l'ensemble de
ophie nerveuse sont signalées dans la même famille, dans beaucoup d'
observations
on trouve des antécédents nerveux, des stigmates
des cas mixtes où le sys- tème nerveux doit sûrement intervenir.
Observation
. R... Philippe, 38 ans, entre à l'hôpital St-Po
s restent intéressants à signaler à cette époque de révision. Notre
observation
s'ajoutera au nom- bre toujours croissant des a
dée pathogénique, l'étayait sur une assise imposante d'un millier d'
observations
. Moins nombreux sont les faits dans lesquels le
ale des hôpi- taux de Paris. Il donne le relevé bibliographique des
observations
encore peu nombreuses qui en ont été publiés. I
deux des symptômes nombreux et indiscutables de labes. C'est une
observation
de ce genre que nous avons recueillie ; elle pré-
ls nous n'avons pas pu obtenir de renseignements précis. Dans notre
observation
, le tabes ne s'est révélé qu'à t'age moyen de la
1, relevait les chiffres suivants d'os intéressés dans les diverses
observations
: 8 os, plus le crâne ; 2 os ; 5 os, plus le cr
ment des accidents ont présenté des caractères bien intéressants.
Observation
. Il s'agit d'une jeune fille de 19 ans, brodeus
es cas (I). Nous nous sommes efforcés de le faire au cours de notre
observation
; les arguments qui suivent sont en faveur de l
Origine de la tumeur. Nos coupes, les photographies annexées à l'
observation
, nous montrent le canal épendymaire et ses cellul
ingite cervicale étudiées par Gull, Charcot et Joffroy, et quelques
observations
personnelles, distinguent nettement dans leur tra
s carac- tères de ces troubles sensitifs ne sont pas précisés par l'
observation
, et l'on peut se demander s'il ne s'agissait pa
manquait toutefois un symptôme important, consigné dans toutes les
observations
de paraplégie cervicale (D. I) mydriase ou myosis
vation des masses musculaires. 11 est fait mention également dans l'
observation
de Rendu, de trois crises vertigineuses, sans con
lus intéressantes. La première et non la moins importante est que l'
observation
de K. se rapproche en tous points de celles, dé
umé, K... est un géant acromégalique : il ressemble à ceux dont t l'
observation
a été publiée par les déformations de son squelet
Sans chercher à le résoudre, nous nous contenterons de rappeler les
observations
de Rogowitch (1), Gley (2), Boyce et Beadles (3),
u, restait encore exacte deux ans après, c'est-à-dire pendant notre
observation
dans les derniers mois de la vie. S'il en était a
nt les points qui sont en rapport avec notre cas. Le fait que notre
observation
date de quelques mois ne nous permet pas de con-
enfant qui n'a pas encore six ans, justifie la publication de cette
observation
. On a dit en effet que la torpeur sexuelle, l'inf
'il est de bonne humeur il nous arrache des mains les instruments d'
observation
pour s'en faire un jouet. On ne peut le faire t
nant des gâteaux ou du sucre. Deux faits sont incontestables dans l'
observation
de notre cas ; d'abord j'enfant, d'une taille d
'est-à-dire « Orient ». Il y a, dans ce passage, une intéressante
observation
d'accouchement t gémellaire : d'abord la présen
peut être épileptique, ou hystérique, ou psychasthénique. Nos deux
observations
nous montrent qu'un spasme, ne portant pas seulem
MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT PAR le Dr Fernand RUDLER, médecin-major.
Observation
. L..., jeune soldat, ajourné un an pour faibles
u côté maternel. Histoire de la maladie. - L... se présente à notre
observation
pour une affection du membre supérieur droit qu
nt ceux de l'avant- bras ; or, ces derniers sont intacts dans notre
observation
. Nous ne consta- tons pas davantage de troubles
ormale et pathologique des différents muscles » en cause dans cette
observation
dans le chapitre, ainsi intitulé, des maladies
épineux et du grand dorsal. Et il semble à premier examen que cette
observation
puisse être rappro- chée du cas de Giraudeau :
élé- vateurs de l'épaule et rotateurs du bras occupent, dans cette
observation
, le premier plan, alors qu'un certain degré d'a
uscles élévateurs de l'épaule et rotateurs du bras répond mieux à l'
observation
clinique. Les antécé- dents héréditaires du mal
bide que MM. Henry Meige et Feindel ont parfai- tement établie. « L'
observation
fait voir, disent-ils, la coïncidence ou l'al-
e ces fonctions. Le diagnostic de tic se vérifie encore, dans notre
observation
, par la réunion d'autres caractères. Les mouvem
légère atrophie du biceps et du grand pectoral signalée dans notre,
observation
? En réalité, cette amyotrophie est bien peu ac
famille du malade devant un miroir. Sans entrer dans le détail de l'
observation
, nous pouvons affirmer que la gêne dans les mouve
s qu'on a appris à la reconnaître. Nous avons signalé au cours de l'
observation
, tous les éléments de ce diagnos- tic (2). No
tteint de ma- ladie de Recklinghausen. Dans une très intéressante
observation
intitulée : Infantilisme dégéné- ratif (type Lo
s contentons de poser ces questions, auxquelles de nouveaux faits d'
observation
apporteront peut être la réponse. (i) Voy. 1\'o
l'on se trouve actuelle- ment en présence d'un assez grand nombre d'
observations
. Si de ces ob- servations se dégagent déjà quel
ses connexions. C'est ce que montre, par exemple, la très curieuse
observation
que nous avons publiée il y a quelques années (
u, dans tous les cas, n'acquièrent qu'un volume restreint. Si notre
observation
se rapportait à une ectrodactylie pure et simpl
onsidéré, jusqu'ici, l'anomalie du membre su- périeur gauche. Notre
observation
signale, en outre, une atrophie marquée de l'ém
modifiant sensiblement leur siège d'implan- tation. En outre, une
observation
de Laren, rapportée par G. Vuillaume (1), montr
ues des processus formateurs du type téra- tologique sujet de cette
observation
, il resterait à rechercher la cause (1) Voir ET
s faits positifs. Nous devons cependant indiquer que l'ensemble des
observations
actuellement connues ne paraissent pas démontre
ar le D' Tamrhoni. LANGUE CÉRÉBRIFORME CHEZ UN ALIÉNÉ ÉPILEPTIQUE
OBSERVATION
SUR UN CAS DE TÉRATOMORPHISME CONGÉNITAL DE LA
arthropathies traitées ainsi, nous croyons utile de rapporter cette
observation
. Observation. RÉSUMÉ. Syphilis ancienne. - Il
raitées ainsi, nous croyons utile de rapporter cette observation.
Observation
. RÉSUMÉ. Syphilis ancienne. - Il y a dix-huit m
plus discutées. I. De tous les signes cliniques décrits dans cette
observation
on peut conclure que cette affection articulair
ettre un tabes fruste. IL En dehors de ce point de diagnostic cette
observation
soulève une question plus directement chirurgic
e telle intervention. Dans la première catégorie, nous trouvons des
observations
comme celle-ci. Blasius en 1848, chez une syrin
rosée et luxée à travers la peau. Sokoloff (l), en 1896, rapporte l'
observation
d'un malade atteint de syringomyélie avec arthr
ontient les véritables résections, nous trouvons seulement quelques
observations
. Czerny (2), dans un cas de syringomyélie, fit
lorsqu'on s'est adressé aux arthropathies du mem- bre inférieur ; l'
observation
de M. Jaboulay parait être la première, uti- li
importante est la question histopathologique. Nageotte, d'après ses
observations
, conclut que les lésions des cordons postérieurs
des altérations mentales non paralytiques (cela est prouvé par les
observations
de Eigges, Bey et d'au- tres) tantôt avec un ca
sur cette question de pathologie nerveuse tant discutée, et si une
observation
isolée ne pourra faire pencher la balance dans un
étant donné le nombre peu élevé des cas publiés jusqu'à présent.
Observation
. L. M... âgée de 58 ans, veuve, brodeuse, entre
té et apportera de nouvelles lumières. Le jour où les intéressantes
observations
de P. Marie et Guillain seront confirmées, à sa
ellement de 64 ans, cette femme, depuis qu'elle est soumise à notre
observation
,est dans un état complet de démence, mais et c'
ous cette dénomination, Henry Meige a proposé de réunir une série d'
observations
d'oedème blanc, dur, indolore, à répartition se
ques, à la vérité d'origine alcoolique, comme le montre la fin de l'
observation
: ' C'est à l'âge de 37 ans, à la suite de son
alade que par les troubles psychiques dont elle est atteinte, notre
observation
se rapproche de celle qui a été récemment prése
vorisés par l'alcoolisme. Drummond, cité par H. Meige, a rapporté l'
observation
d'un homme qui fut atteint d'un oedème alcooliq
n particulier, à laquelle semble bien de- voir être rattachée notre
observation
, on peut se demander si l'alcoolisme ne constit
qui se traduit par l'adipose douloureuse. En attendant de nouvelles
observations
, il nous a paru intéressant de faire connaître
ismes, logement et'nourriture, pratiques religieuses, comptabilité,
observations
médicales, rapports avec les auto- rités laïque
forme d'une infil- tration graisseuse dissociant les faisceaux. .
Observation
clinique. Grâce à une heureuse coïncidence, nous
lipome diffus du médian, par le D'' Péraire. Celui-ci en a publié l'
observation
avec Mignot et Meslay à la Société ana- tomique
t ne se plaignait d'aucun trouble fonctionnel. Nous renvoyons à l'
observation
du Dr Péraire pour tous les détails con- cernan
sses perles de volume irrégulier (Voy. pl. LXIV, fig. Let). Cette
observation
peut se résumer dans les points principaux suivan
continuité entre eux. Différents points sont à discuter dans cette
observation
: La nature de la lésion primitive du nerf; la
était édifiée toute la théorie classi- que : L'étude minutieuse des
observations
, l'emploi de techniques mieux appropriées ont m
'observe en général dans des conditions analogues. En résumé, cette
observation
concerne un cas de névrome diffus du mé- dian a
breux et plus souvent interrompus que dans le bout central. Cette
observation
est en opposition avec la loi de Waller et la doc
mais que l'interprétation plus ou moins parfaite de nos coupes. L'
observation
que nous publions ici étant sujette à discussion,
s'en rendre compte par la lecture des mensurations faites dans les
observations
, il n'est pas exceptionnel d'observer au lever
s'est glissé quelques erreurs, je serai heureux de les rectifier.
Observations
résumées de 45 cas de pseudo-oedèmes catatoniques
ccasion de pratiquer qu'une seule au- topsie chez une malade dont l'
observation
clinique se trouve dans la thèse de Chenais (1)
e l'infiltration embryonnaire. (1) Thèse de Chenais, Paris, 1902,
observation
III. 358 MAURICE DIDE Des cellules ayant plut
implement d'une malade très analogue à celles qui figurent dans nos
observations
. Nous reviendrons sur ce point dans notre essai
radoxaux, de gestes stéréotypés, de verbigérations qui, d'après mon
observation
, sont des phénomènes psycho-moteurs, la stupeur a
atations si l'on se reporte aux photographies qui sont annexées aux
observations
II, III, IV, XI, XII, XIII de Jeandelize z1) et a
mmes sont beaucoup plus prédisposées que les hommes. Les nombreuses
observations
qui en ont été publiées dans l'Ico- nographie d
indubitablement souvent manquer. Cependant, récemment, une série d'
observations
ont signalé la possibilité de coïncidence entre l
es mains; les lipomes multiples symétriques circonscrits qui sont d'
observation
courante et que Queinnec (2) a récemment réunis d
s, nous fixerait sur la nature des troubles mentaux, la plupart des
observations
présentant de notables lacunes psychiatriques.
s catatoniques. Mais, comme on pourra le voir par la lecture de nos
observations
résumées, les cas frustes ne sont pas rares et
ez nom- breux que nous avons trouvés dans les auteurs ou dans notre
observation
personnelle, le tissu graisseux ne fait saillie
nt la langue sur tous les objets qui les en- tourent. t. Il est d'
observation
courante que beaucoup d'animaux sont lécheurs.
chez le cheval. Elle justifie tout au moins l'identité de méthode d'
observation
que nous appli- quons à l'étude de ces deux cat
sse de tics ou de stéréo- typies, et il ne semble pas, à la suite d'
observations
déjà nombreuses et variées, que l'animal, et en
es chez certains sujets, sous l'influence des bons traitements. Nos
observations
indiquent donc nettement, chez tous nos chevaux,
este fréquemment chez l'homme^; le fait est signalé dans beaucoup d'
observations
et l'un de nous l'a observé récem- ment chez un
sme que leur activité corti- cale (2) ».Nous possédons d'ailleurs l'
observation
très curieuse d'un cheval atteint d'un tic de g
e, une asymétrie des arcades dentaires que nous désignons, dans les
observations
sous le nom de saillie des barres, gauche ou dr
chez les équidés épilep- tiques ; il importe donc de multiplier les
observations
, et les stigmates de dégénérescence reconnaîtro
' hippométrie (4) dont les conclusions sont encore incer- taines.
OBSERVATIONS
Ons. I. Gade. 13 ans. Cheval de selle, ancienne
s, n'est nullement pathologique. Cette opinion repose sur le fait d'
observation
que beaucoup d'animaux et en particu- lier de c
d'automatisme et de subconscience des actes moteurs des animaux, l'
observation
clinique autorise du moins cette tentative d'in
s d'une comparaison qui pourra être faite utilement si de nouvelles
observations
d'habitudes vicieuses de léchage, prises sur le
t, les flexions de l'encolure. Et voici, en pathologie humaine, une
observation
que nous avons recueillie récemment et qu'il no
récemment et qu'il nous paraît utile de relater ici avec détails :
Observation
. F..., 24 ans, jardinier, a une santé habituell
Telle est l'origine de l'habitude morbide qui fait l'objet de cette
observation
. Cette périostite débuta au niveau de la premiè
à gauche et à droite. L'un de nous a eu l'oc- casion de faire cette
observation
, et F... interrogé aujourd'hui, reconnaît qu'il
ment ourlé avec tubercule de Darwin d'ailleurs peu développé. Cette
observation
, publiée intégralement en raison de sa rareté, ét
éel (éruption des dents, carie den- taire, blépharite ciliaire. » L'
observation
de F... est caractéristique à cet égard. Elle
e chiquer » (2). Il ressort de la comparaison de ces faits avec les
observations
que nous avons faites sur le cheval, que les pl
52-53 ans et dans 1 cas à 36 ans. Autant qu'un nombre restreint d'
observations
permet de conclure, on peut penser que le délir
res et 1 étu- diant. Il est intéressant de noter que, d'après les
observations
de Bonhoeffer 1' « hallucinose aiguë des alcool
Pinel et Esquirol n'ont fait à ce point de vue que con- firmer les
observations
de leurs devanciers, et dans la périodicité ou
' excitation ». « En rapprochant et comparant un certain nombre d'
observations
, dit Baillarger dans ce mémoire, on re- connaît
des accès dépressivo-maniaques à prépondérance dépressive. « Une
observation
attentive desmalades, dit à ce sujet Rogues de
smes, crampes, etc. Il ne m'est pas possible encore de tirer de mes
observations
des conclusions générales, mais dès maintenant,
e chirurgie de Lyon, 1er février 1900. Lyon merl. 2 avril, 190G.)
Observation
de spina hilhla occulta chez une jeune tille de 2
e n'est pas l'éclairage à l'arc \olLaiquc qui réussit dans les deux
observations
en question ici ; ce fut la chaleur lumineuse d
s ; par 31. 1)saou- 13AIX (Journal de neurologie, 1906; n 5.) Des
observations
de deux malades qui présentaient le phéno- mène
des travaux antérieurs, les ailleurs étudient dans trois nouvelles
observations
les lésions spinales de la dé- mence précoce ;
ues que par des traînées de fibres nerveuses en fascicules. Cette
observation
concourt à l'étude de la forme psycho-mo- trice
gressive ; par Klippel et AN- THEAUME. (L'Encéphale, 1900, n° 1.)
Observation
d'un homme qui présenta un délire systématique
lique ; par DUPRÉ et Charpentier. (L'Encéphale, 190G, 11- 1.) Deux
observations
d'ivresse délirante passagère dont l'une, for-
Paralysie générale tuberculeuse ; par Flippez, 31. Klippel publie l'
observation
d'un malade ayant présenté, de la façon la plus
a conclusion qui se dégage du rapprochement de ce cas avec d'autres
observations
est que la paralysie générale la plus incon- te
lésion sont toujours les mê- mes, comme le voulait Bayle, dont les
observations
ne semblent comprendre que des formes inflammat
générale progressive, pal Joseph Ingegnieros. L'auteur public une
observation
de pseudo-paralysie générale progressive et fai
ation de pseudo-paralysie générale progressive et fait suivre cette
observation
des conclusions sui- vantes. Le diabète produit
forme stationnaire de la démence paralytique. L'auteur rapporte l'
observation
d'un malade chez qui les premiers troubles se mon
. Georges CAR- RIER. (Soc. Méd. des lIop, de Lyon 11 avril 1905.)
Observation
d'un cas de psychose de l'état puerpéral, chez un
signale une particularité qui s'est montrée dans le cours de cette
observation
; le défaut de pa- rallélisme entre la courbe t
veil est complet et définitif en janvier 1902. M. FARBz. De cette
observation
ressortent plusieurs pointsin- t3ressants. D'ab
vées comme des réalités morbides. La des- cription s'appuie sur des
observations
; on trouve un exemple de chaque idée délirante
ule, la conséquence d'une inhibition créée par la douleur morale (2
observations
). Comme troubles intellectuels, il y a en- core
c Dumas. 11 est très pauvre, monotone ; 'son analyse, basée sur des
observations
, conduit à le considérer comme un délire affect
re mandataire devra-t-il exiger, s'il le juge utile, le maintien en
observation
dans l'étahlissement pénitentiaire de tout alié
Directeur de l'établissement, et que vous l'invitiez à le mettre en
observation
pendant un certain temps, en lui recommandant d
rop vagues pour permettre un diagnostic précis. Les trois premières
observations
sont rapportées plus au long par Thomas (Le cer
tance du flocculus beaucoup moins frappante. On peut rapprocher des
observations
précédentes, celle de \Icn2e1 (rapportée par Th
rhagie méningée, n'avait présenté que de la lenteur de la marche. L'
observation
de Hitzig per- met de saisir le mécanisme delà
e rencon- tre pas, et c'est en vain que l'on chercherait dans les
observations
de lésion unilatérale de ce dernier organe une
illai- res dans la paralysie générale ne peut s'établir que par l'
observation
, non pas d'un très grand nombre de ma- lades, p
en extension dans les hémiplégies et paraplégies lacunaires.De mon
observation
il résulte,au con- traire,que le réflexe de Bab
communications de 31. Joire sont absolument dé- monstratives. Ces
observations
montrent l'emploi utile que l'on peut faire du
te trace de névrose est ellacée comme dans les cas de Massin et nos
observations
personnelles. Tous les cas d'ictus survenant ch
éducation. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES IX.
Observation
histologique de glio-endothéliome kystique du l
logia. tapies, 1J0 ? fasc. VI.) Cette élude, basée, sur plusieurs
observations
, amène son au- leur à formuler ceci : quand les
len- htMt7'')-<'KtC[t)-t'c[, 1904. Vol. XXX, fasc. Il, 111.) L'
observation
rapportée par l'autour est intéressante en ce q
La littérature médicale est peu riche en faits de ce genre ; celle
observation
apporte un cas nouveau et tendrait à confirmer ce
a mémoire, de l'imagination, du mouvement volontaire, de t'esprif d'
observation
, delà réflexion, el dfJ lï'mH'a- tion des sens.
aire à mailles plus ou moins larges..1. Ségus. XXXIII. Critiques et
observations
anatomiques sur la région sous-épendymaire du b
Neurologie. 1900, no 'i.) Les auteurs relatent dans ce travail deux
observations
dans lesquelles le tic rappelle, par son début,
s, tantôt au niveau du nerf et tantôt au niveau de la moelle. 1 L'
observation
rapportée par les auteurs plaide en faveur de c
par 11.1 nan : . (Jour¡¡, de Neurologie, 190G, n" tri.) Des deux
observations
auxquelles est consacrée cette note, la premièr
t reconnaisse son erreur. La fausse reconnaissance, dans la seconde
observation
, était associée à un état de fatigue et a dispa
préter les faits et en tirer des conclusions. M. Hos51 rapporte une
observation
de celle affec- tion, avec examen clinique et h
es auteurs qui se sont occupés delà question. Puis il rapporte deux
observations
de cas typiques d'atrophie musculaire progressi
mps. Babinski (1), s'associant aux auteurs précédents, cite trois
observations
avec autopsie, dans lesquelles il n'a pas trouv
., etc., Archives de Neurologie, février 1905, p. 104) a rapporté l'
observation
intéres- sante d'un malade chez lequel existaie
onostic des divers états et de la nécessité qu'il y a, en matière d'
observation
, à conserver une bonne tenue aux descriptions c
ans un cadre qui ne lui convient pas. Pour éviter cela, il faut des
observations
très complè- tes, très raisonnées, où rien ne s
ejeter provisoirement celles dont les données sont incomplètes. L'
observation
qui suit pourrait peut-être ne pas échap- per c
des travaux antérieu- rement produits, d'en tirer une conclusion.
Observation
. -Le 17 juin 1901, Antoine C ? se présente à la
e, nous n'avons pu le conserver que pendant très peu de jours, et l'
observation
dont il fait l'objet n'a pu être aussi complète
nd ! \ devenir un calcul de cer- ti tude, a, cc, comme critérium, l'
observation
interne. Or, à côté de celle théorie qui tend t
uter le délire plus net qui constitue le point cou- argent de celle
observation
. Il se trouve là, vivant à la campa- gne, presq
an- tiles du Dr II.de Rothschild, comme conclusion d'une nouvelle
observation
de myxoedème (Bon ? ) et d'une nouvelle observa-
ilÍj1le), ainsi que les photographies du cerveau de l'un d'eux. Les
observations
, rédigées en collaboration avec son interne, Ml
férents de la descriptionclas. sique, et l'auteur en rapporte trois
observations
des plus in- téressantes. Tout en présentant le
alité un caractère constant de la nymphomanie. Si, dans la première
observation
, il s'agit bien d'une amorale, le fait est bien
riologique. MM. T1TY et Chaumier (Lyon) présentent au Congrès les
observations
de deux cas de confusion mentale d'origine in-
on syphilitique secondaire tardive constitue l'originalité de cette
observation
. Syndrome associé de paralysie faciale gauche e
ermis de me faire une opinion rationnelle sur ce sujet. Parmi les
observations
que j'ai eu l'honneur de publier, il en est qui
t d'autres où l'anémie ne pouvait être en cause ; du reste dans les
observations
de neurasthénie s'accompagnant d'ané- mie, trai
lle épinière ; par Cajola. (Nouv. Jean. Salpêtrière, 1905, n° 5.)
Observation
intéressante par l'étiologie (les signes de sclér
Laurens dans sa thèse et de Pionnier. Les auteurs en rapportent une
observation
nouvelle. Observation : Otite moyenne suppurée
de Pionnier. Les auteurs en rapportent une observation nouvelle.
Observation
: Otite moyenne suppurée droite datant de l'en-
la paralysie de l'abducteur deux mois après l'intervention. Cette
observation
montre bien l'évolution parallèle des symp- tôm
ralysie et de sa rétrocession après deux mois. Il est une série d'
observations
pour lesquelles on doit invoquer un réflexe par
essive ; par ? oi ? \. (Nouv. Jean. de la Salp., 1905, n" 4.) Cette
observation
présente quelques particularités intéressantes :
re. Au cours de leur travail, Iluchard et Fiessinger rapportent une
observation
très intéressante. L, W AH ? XXII. Atrophie m
s. (Nouv, Icon. Salpêtrière, 1905, no 5.) L'auteur rapporte cette
observation
pour démontrer une fois de plus le rôle indiscu
ement ; par StMOUtNt. (Nouv. Icon. Salpêtrière, n° 6, 1905.) Huit
observations
originales à propos desquelles l'auteur éta- bl
littérature a le plus souvent méconnu cette affection et à parties
observations
de Lenoble et Aubineau on n'en peut ci- ter que
reniatria, 1904. Vol. XXX, lascicule 1.) Les auteurs publient cette
observation
, d'abord parce qu'elle peut avoir un intérêt to
une cause directe perturbatrice, il semble ré- sulter, des quelques
observations
publiées qui la concer- nent véritablement, qu'
e à se montrer au moment de la puberté, vers 14 ou 15 ans. Mais les
observations
sont encore trop rares pour permettre d'asseoir
appeler que nous ne sommes plus seul aujourd'hui à avoir publié des
observations
de folie communiquée ; beaucoup d'aliénistes ém
croyance des savants ; aussi qu'on nous permette de rappeler deux
observations
dues à deux aliénistes éminents en qui on est c
it, car le phénomène lui paraissait bien étrange et contraire à ses
observations
, attendu qu'il avait tou- jours vu les malades
nt observée que par exception.Dans la leçon de Bail,il n'y a qu'une
observation
personnelle et également LA FOLIE GÉMELLAIRE.
i peuvent se développer chez les jumeaux. En conséquence, parmi les
observations
qu'il cite, il y a des cas où la maladie du sec
explique qu'il ait pu arriver à rassembler un nombre aussi élevé d'
observations
, vu, je le répète, que la vraie folie gémellair
au de Tours, 47 ans auparavant, M. Rush a rapporté, en 1sol ? , une
observation
de folie gémellaire. Elle n passé complètement
sh ce qui lui appartient ; mieux vaut tard que jamais. Dans cette
observation
il y a, comme on voit, héré- dité vésanique par
lie gémellaire très rare, il faudra donc du temps pour entasser des
observations
. Quoi qu'il en soit, à en juger par les faits r
minerons par la relation détaillée et très exac- te de notre unique
observation
, recueillie en trente ans 2G : ? PATHOLOGIE M
avec émotion et reconnaissance de tout ce que nous lui devons. L'
observation
qui suit, recueillie à cet âge et sous une tell
a forte tension de l'attention au com- mencement. Dans N II la même
observation
a été faite. Après ces épreuves, il n'y a plus
euse : les épreuves sont peu comparables entre elles, et le temps d'
observation
trop court. Dans le 2e groupe on a l'ait une
rre, après les travaux du prof. Clouston, ce sont les études et les
observations
publiées principa- lementdans les périodiques d
l'Intérieur, une Commission de la tuberculose ; ses enquêtes et ses
observations
se traduisirent par une cir- culaire ministérie
pulmonaire chez les insensés; elle déterminait la mort, disent les
observations
de Georget, de plus delà moitié des aliénés qui
r le deuxième thème général : De l'organisation des compartiments d'
observation
, de surveillance et d'isolement dans les asiles
ir soin de traiter individuellement les malades dans les stations d'
observation
, autrement le traite- ment au lit pourrait être
rapeutique du travail. Il est nécessaire d'organiser des stations d'
observation
pour les tranquilles, les agités, les gâteux et
vue psychiatrique.il serait recommandable de placer les stations d'
observation
pour les tranquilles et celles pour les gâteux
les pour les agités avec les quartiers de cellules. Une station d'
observation
doit contenir : une salle d'obser- vation, une
en, une chambre de garde, un office et des closets. Avec la salle d'
observation
doivent toujours communiquer direc- tement les
n continuera ses recherches et nous fera profiter du fruit de ses
observations
patientes et minutieuses, exposées dans des pub
D' Lallemand : - Madec était couché dans un dortoir du quartier d'
observation
, occupé par huit malades sous la surveillance d
er l'interrogatoire des malades, tâche réservée aux médecins, par l'
observation
continue pratiquée par le per- sonnel et d'obte
e la périodicité des interrogatoires médicaux et la mise à jour des
observations
. On ne saurait trop louer la clarté, la précisi
broge la durée des mala- dies mentales, ce serait contraire à notre
observation
; mais nous pouvons affirmer qu'elle on atténue
Les aliénés à qui convient le mieux l'alitement sont, d'après mon
observation
, les alcooliques, les maniaques agiles, les mé-
hésie suggérée et expéii- mentale, il rapporte longuement plusieurs
observations
clini- ques d'anesthésies nerveuses et iladmel
eille l'ayant trouvé plus anxieux, je le lis passer au quar- tier d'
observation
, pour qu'il couche au dortoir ; le surveillant de
l se refusait t à traire les vaches, M. Cochepin lui fit une simple
observation
, est ordonna à un autre domestique de faire ce
es cas d'aphasie hystérique nous autorise à rapporter aujourd'hui l'
observation
suivante qui diffère de nombre d'autres par la
ge. Pour plus de clarté, au lieu de laisser dispersés au cours de l'
observation
, les points intéres- sant chacune d'elles, nous
aucun des symptômes que l'on trouvera signalés au cours de cette
observation
, il travaille à nouveau de son métier' de menui
'oeil est normal. TROUBLES MOTEURS. On a trouvé au début de cette
observation
l'histoire de la paralysie flasque du bras droi
ntion n'est pas d'insister sur les diverses particularités de cette
observation
; nous ne voudrions cependant pas manquer de fai
la variété des phénomènes observés, nous ont invité à publier cette
observation
qui montre bien que l'hystérie peut réaliser le
e gauche, ceci sans aucun doute parce que Menzel était gaucher. Ces
observations
prouvent que l'atrophie sénile n'est pas synony
es membres ; par VALOBRA. (Nouv. Icon. Salpéti'ière, 1S05, no 5.)
Observation
d'un homme qui présente les altérations squelet-
neurologique, juillet 1905.) MM. Ilaymond et Guilain, publient l'
observation
d'un malade atteint d'hémalomyélie, ayant déter
e supérieur, avec thermo- anesthésie croisée. Ils rapprochent cette
observation
de celle de MM. Déjerine et Gauckler, sur un ca
apest. (Neural, Ctrbl., XXV, fas.3, p. 99 à 107, 1 février 1906.;
Observation
tout àfail remarquable de lésion des trois nerls
qu'il serait illogique de conclure du parti - ailier au général, l'
observation
de cas analogues pourra peut- être justifier la
bles du caractère, insuffisance mentale) confirment nettement les
observations
de Binet. Sur les 22 enfants atteints d'insuffisa
e de Belgique, 1905. nos 123 et 124.) Travail enrichi de nombreuses
observations
et d'expériences, qui toutes tendent à démontre
ue approprié à leur cas. Elle est, en ou- tre,un champ d'étude et d'
observation
pour les pédagogues et les psychologues. La S
parfaire notre oeuvre, nous allons vous communiquer une nouvelle
observation
de mongolisme illustrée, commes les précédeii -
ogiste dû à M. le Dr ITALO Rossi. L'une des particularités de cette
observation
consiste en ce que nous avons pu instituer ici
(1) Revue d'hygiène et de médecine infantile, 190d, no G. (2) Celle
observation
note communiquée au Congrès de Lille im- Iu ? l
ription détaillée de la maladie, par lesfigu2-es qui accompagnent l'
observation
; attitude en tailleur, etc. V. Le traitement l
Friedreich ; par Launois et hOROT. (Revue de médecine, nov. 1905.
Observation
d'une jeune malade de 15 ans atteinte de maladie
dllam ? par LECLERC et AR1'ONAT. (Reurre de Médecine, nov. 1905).
Observation
d'une malade de 23 ans atteinte depuis quelques
Paul Courmont. (Soc. méd. des hôpitaux de Lyon. 16 mai 1905.) 1 L'
observation
rapportée par l'auteur est remarquable par la c
organi- que. C'est, avec celle le seul fait avec cécité verbale.
Observation
: Alcoolisme. Hystérie chez une femme de ? 2 ans
ral; par NI. Ch. DouRRET. (Lyon médical, '21 juin 1906, p. 1270.)
Observation
d'un enfant de 13 ans qui présenta à la suite d'u
oncen- trique des champs visuels et aux zones hysterogenes. Celte
observation
estun cas<t'in'stero-tahes combinés, rentrant
sciences méd. de Lyon. J mai 1J0 ? in Lyon méd. 8 juillet t906.)
Observation
d'une malade guérie parles injections d'antip;-
: YSlh : l2, (Lyon méd., 15 juiliet 1906 nu 28.) Dans la première
observation
, il s'agit d'une jeune fille de 25 40 i REVUE
honie, phénomène qui sans être rare, mérite d'être signalé. Celle
observation
est celle d'une hystérie bien caractérisée et b
agé, qui dans une famille, avait mordu huit personnes. La seconde
observation
est celle d'un enfant de 9 ans né d'une mère va
rose. Elles ont une souche commune : l'arthritisme. Cette seconde
observation
est intéressantes par les deux affec- lions ner
ar MM. DEVic et XopDMANN. (Lyon médical, 22 juillet 1906, n° 29.)
Observation
d'une femme de 48 ans, ayant présenté les symp-
la malade ait présenté aucun trouble fonctionnel apparent. Cette
observation
montre qu'il faut de plus en plus renoncer aux
is d'obte- nir une amélioration manifeste des accidents méningés.
Observation
. Résumée ; olorrhée bilatérale datant de l'en-
des abcès cérébelleux otogè- nes. Au point de vue clinique cette
observation
est un cas d'amélio- ration manifeste ou plutôt
bot et LARL.1TIER. (Lyon met ! . 26 août 1906 34.) L'intérêt de l'
observation
publiée par les auteurs réside dans la coexiste
ite tuberculeuse est aussi assez rare chez le toutjeu- ne enfant. L'
observation
ne diffère par ses symptômes des cas classiques
er- siste alors la méningite se constitue. L'auteur rapporte deux
observations
de méningite spinale avec syndromes raidiculair
buccal; par M. PALLIASSE. (Lyon médical, 7 octobre 1906, n° 40.)
Observation
d'un homme (le )6 ans, syphilitique, présentant
isposée de façon identique. La thèse de Ilenry reproduit toutes les
observations
du mal perforant buccal, ce qui porte actuellem
ent à un degré de plus dans l'atteinte du système nerveux. Quatre
observations
ont trait à des sujets atteints d'accidenls méd
isme chronique secondaire à un rhumatisme aigu. Dans trois autres
observations
il s'agit de malades présentant des accidents m
gie de certains syndromes médullaires. Il ne s'agit pas, dans les
observations
,de grands rhumatisants chroniques à ankyloses mul
nt : pacliyméninâite et méningo-myélilo. Dans la première série d'
observations
, les accidents nerveux sont à localisation radi
qui vous concerne, démêles faire parvenir immédiatement avec vos
observations
et votre avis. En outre, chacun de vous voudra
nt au point de vue : -des conditions dans lesquelles s'effec- tue l'
observation
des nouveaux arrivants, - de l'organisation du
par celles que vous aurez déléguées à cet effet, avec le relevé des
observations
apposées par ces visiteurs sur le registre delà
se et l'aliénation mentale, il conclut à une influence réciproque :
observation
de Dupré - cérébro- scléroses l'rnolade, rôle d
sont mis en évidence à la lumière de la patho- logie mentale par l'
observation
d'un grand nombre de malades. 1° La personnalit
oir Poisons. BRO : I1URAT10N. Voir Epilepsie. Bulbe. Critiques et
observations
anatomiques sur la région sous- épendymaire d
dienne. pituitaire. - Voir Sommeil. GLlO'ENDOTHÉLlOME kystique.
Observation
de - - - du lobe occipital droit, par Raven-
fait, le premier, ressortir sa remarquable puissance eurative : « Les
observations
que je publie, suffiront, dit-il, pour prouver qu
alade à l'esprit plus inventif a pu se servir pendant des années. L'
observation
est également importante au point de vue des trou
occasion nous sera probablement offerte plus tard de reproduire cette
observation
, a ce dernier point de vue. D'ores et déjà, il fa
iminel ». Cinq ans plus tard, il publiait un livre unique, bourré d'
observations
et de faits, éloquent plaidoyer en faveur d'une i
eois, après avoir narré ses démêlés avec l'Institut, nous apporte des
observations
et des expériences confirmatives de sa théorie. N
psychothérapie de Lille a donné lieu celte année à un grand nombre d'
observations
variées, que j'ai fait relever par mes élèves, ma
e genre de faits vous est trop connu. Toutefois, s'il est vrai qu'une
observation
quelconque, faite judicieusement, porte toujours
en elle-même un enseignement utile, à plus forte raison, des séries d'
observations
, groupées et comparée s méthodiquement, nous perm
ie, et qu'il est de leur devoir de l'indiquer au malade. La seconde
observation
que je ferai, très brièvement, concerne les choré
cédé. Je veux maintenant vous citer avec un peu plus de détails une
observation
dont certaines particularités méritent d'attirer
r le détail des symptômes neurasthéniques que présentait ce malade, l'
observation
serait trop banale pour que j'en parle ici. Je
arrive au phénomène intéressant pour lequel je vous ai présenté cette
observation
. M. F. se trouvant donc déjà en bonne voie de
i démontré ailleurs, exclut tout souvenir après le réveil. De cette
observation
, chacun pourra tirer certaines conclusions pratiq
e et des autres anesthésiques que nous allons tous entretenir : Les
observations
que nous publierons d'autre part ont été faites d
ications de l'hypnotisme qui donne des résultais incomparables. 1re
observation
. — Jeune homme, 24 ans : racines abcédées (dent d
injection de cocaïne et d'adrénaline : le malade est enchanté. 2me
observation
. — Mlle Alice X., présentée au Cercle Odontologiq
« vons me brûlez la lèvre » ; et ce fut tont. Même sommeil que dans l'
observation
précédente. J'annonce que la sensibilité ne revie
e provoque le réveil et tout se passe comme il avait été prévu. 3me
observation
. — Hyperesthésie dentaire dans une dent atteinte
Hyperesthésie dentaire dans une dent atteinte de second degré : ici l'
observation
est intéressante pour nous dentistes car j'ai
trêmement sensible chez une malade suggérée à l'état de veille. Ces
observations
sont des observations types prises dans celles qu
z une malade suggérée à l'état de veille. Ces observations sont des
observations
types prises dans celles que je possède et montre
ention. J'ajoutais que si on soumettait à une critique rigoureuse les
observations
dans lesquelles des médecins ont affirmé qu'ils a
ormuler et sera subordonné aux qualités du médecin. Toutefois, de l'
observation
des malades, il semble résulter certaines particu
. Je laisse à notre confrère le D* Bérillon le soin de tirer de cette
observation
les conclusions psychologiques qu'elle comporte.
e prolongée. 2° Une période assez longue devra être consacrée à son
observation
clinique et psychologique. Cette période dans laq
d'origine mystique, mais qui à notre époque n'a plus cours que comme
observation
médicale, est celui de la convulsionna ire de Teb
la prépondérance à donner aux méthodes actives qui mettent enjeu les
observations
personnelles et l'activité propre de l'élève, de
e est susceptible. Il en fournit de nombreux exemples et rapporte des
observations
extrêmement curieuse et intéressantes Les perso
correspondent à aucune réalité effective et ne sont que le résultat d'
observations
-superficielles. T.a croyance à nne efficacité
II nous sera facile de le démontrer plus loin, d'un défaut complet d'
observation
scientifique. Il est également la preuve que l'
s astronomiques, mais elle me semble encore trop étroite. Des faits d'
observation
(les sciences mimienlea en fournissent un grand n
retour de façon mathématique. (1) Sur ln distinction des sciences d'
observation
et d'expérimentation C. Flammarion : L'Inconnu et
roduit expérimentalement est plus facilement contrôlable qu'un fa!t d'
observation
et surtout d'observation intermittente. Mais on n
est plus facilement contrôlable qu'un fa!t d'observation et surtout d'
observation
intermittente. Mais on ne saurait nier que certai
ion intermittente. Mais on ne saurait nier que certains faits de pure
observation
ne soient parfaitement et rigoureusement attestés
vera certainement des cas fréquents d'Algomanie dans le cercle de ses
observations
quotidiennes. Est algomane. le morphinomane qui
anes, ces voleuses de grands magasins, dont Lacassagne a rapporté les
observations
et qui chaque jour reviennent voler pour éprouver
ants des classes spéciales. De ce dernier chapitre nous extrayons les
observations
suivantes qu'on lira avec intérêt et profit. Da
ntermittences ». C'est là un fait qui ressort très nettement de nos
observations
et de celles des maîtres. TJn autre fait à sign
statistique d'Eulenburg porte sur une période de vingt-six ans et ses
observations
médicales exactes se rapportent ? 1.258 cas bien
e, par mépris de l'individualité, etc. On ne peut que souscrire à ces
observations
ainsi qu'aux suivantes : Qu'on fasse une sélectio
avant qui cherche à se convaincre avant de-convaincre les autres, les
observations
journalières que lui rendait plus facile la fréqu
rce de son travail, basé sur l'argumentation la plus irrésistible : l'
observation
, résista à tous les chocs et se révéla bientôt, p
mme une science naturelle, basée exclusivement sur la raison et sur l'
observation
-objective. Mais, son titre de gloire sera part
e hasard vient de nous remettre sous les yeux, h ce propos, l'une des
observations
les plus intéressantes que nous connaissions parm
la Réunion libre des Chirurgiens de Berlin, le Dr Kausch a rapporté l'
observation
d'un malade de 38 ans, employé, qui souffrait dep
un esprit méthodique. C'est un ensemble informe d'idées inexactes, d'
observations
souvent puériles, de moyens illusoires, de formul
es manifestement erronées ont leur point de départ dans des erreurs d'
observation
, je terminerai cette étude critique en recherchan
de l'état d'esprit de l'observateur, des circonstances générales de l'
observation
, enfin de la démilitation des faits eux-mêmes.
s de l'observation, enfin de la démilitation des faits eux-mêmes. L'
observation
exacte n'est pas à la portée du premier venu : «
'attention, sang-froid, patience et prudence, il n'est guère de bonne
observation
scientifique. Les auteurs de récits miraculeux ét
érale dont nous avons parlé ne suffit même pas pour obtenir de bonnes
observations
. Un homme bien doué et bien entraîné fera des mau
observations. Un homme bien doué et bien entraîné fera des mauvaises
observations
s'il ne prépare chaque observation particulière e
bien entraîné fera des mauvaises observations s'il ne prépare chaque
observation
particulière en se plaçant dans les conditions sp
en se plaçant dans les conditions spéciales requises pour le genre d'
observations
qu'il entreprend. C'est généralement dans le calm
es foules et chacun sait leur influence déplorable sur la plus simple
observation
. Les grandes floraisons de faits miraculeux ont t
érer d'un observateur a l'autre. C'est là une infirmité inhérente à l'
observation
. Les savants d'offorcent d'y remédier par l'appli
médier par l'application de règles essentielles. Ils demandent qu'une
observation
soit complète et directe. Or, tel n'est pas le
e sont que les échos de traditions plus au moins lointaines : non des
observations
directes, mais de simples racontars. Les faits ex
ue rédigent des savants, et semblent fournir de véritables exemples d'
observation
scientifique* Il n'en est rien. Ce sont des obser
es exemples d'observation scientifique* Il n'en est rien. Ce sont des
observations
incomplètes. Voici ce qu'en dit. en effet, Huysma
arrhée, d'insommie. etc. Nous n'insisterons pas davantage sur cette
observation
: nous faisons seulement cette remarque que nous
sympa-thectomie . Nous avons cru intéressant de faire connaître cette
observation
et quoique n'apportant qu'un cas unique, nous cro
de « la suggestion a l'état de veille > ne sont que le résultat d'
observations
incomplètes. Les erreurs dont ils sont les victim
é intellectuelle des malades d'hôpital et le défaut d'intérêt de leur
observation
psychologique ; 4° La suggestibililé et la créd
ale à la faculté libre de Lille. Ce savant clinicien, dont toutes les
observations
relatives à l'hypnotisme témoignent d'un sens psy
n des cliniciens. En effet, lorsqu'on examine avec un peu de soin les
observations
deB auteurs qui prétendent avoir obtenu des effet
nt plongés par eux dans J'état d'hypnose. Dans un grand nombre de ces
observations
il ne s'agit même pas d'hypnose fortuite mais d'h
me parait utile de reproduire ici, car depuis ce moment, de nouvelles
observations
n'ont fait que me confirmer dans mon opinion :
ant attention. » « Si l'on soumettait à une critique rigoureuse les
observations
dans lesquelles des médecins ont affirmé qu'ils a
estion, ainsi que cela résulte de leurs propres descriptions. » Une
observation
détaillée du Dr Gibert, du Havre, dans laquelle i
De la suggestion à l'état de veille. Thèse, Lyon 1897. décrit des
observations
d'action thérapeutique réalisés par suggestion à.
s scientifiques par M. Saint-Yves (Suite) §2. — Les qualités de l'
observation
scientifique. Ainsi, c'est entendu, même à Lour
Lourdes, ce laboratoire, les miracles ne se présentent pas comme des
observations
scientifiques. ¦ Ne nous laissons pas duper par
d'un zèle trop exalté : police des miracles, non pas étude (1). » L'
observation
dn fait miraculeux péchera toujours en effet par
aits certains et emprunter leur certitude à la valeur de la méthode d'
observation
; mais ils no sont pas des faits de rigoureuse ob
méthode d'observation ; mais ils no sont pas des faits de rigoureuse
observation
scientifique. § S. — De l'observation des faits
t pas des faits de rigoureuse observation scientifique. § S. — De l'
observation
des faits rares et du préjugé que l'on tire de le
rouvait en présence d'un supérieur. Voici d'ailleurs le résumé de son
observation
absolument caractéristique. Alcoolisme d'habitu
, et dès lors je n'ai plus rien pu en faire. 31. Dacbiac rapporte l'
observation
d'un homme de 35 ans qui était sujet à des crises
ition de M. P.-P. Podiapolsky, à trouver une occasion de vérifier ses
observations
sur les vésicules, provenant des brûlures imagina
té de brûlure avec ou sans vésicule. Ce fait négatif, corroborait l'
observation
de M. Podiapolsky. (1) Le cas suivant est celui
importance dans le traitement des psychonévroses. Dr Douglas Biiyan :
Observations
psychologiques sur la vie sexuelle des femmes. Mo
l n'est pas étonnant que l'on ait déjà relevé un assez grand nombre d'
observations
dans lesquelles les sujets se sont trouvés soudai
Carlier, aprésenté à la Société de Médecine du département du Xord. l'
observation
d'un cas d'anesthésie que l'auteur qualifie à tor
illeurs le texte de la communication : « Je présente à la Société l'
observation
d'un cas d'anesthésie par suggestion pendant une
Seul, Lasègue auquel, en ce qui concerne l'hypnotisme, on doit tant d'
observations
ingénieuses, en avait-compris l'importance. II
intervention d'un tiers opérateur. Le malade seul, livré a. sa propre
observation
, atteint d'un malaise qui lui interdit de s'obser
éducatives, psychologiques, propres au sujet qui les présente. L'
observation
de Lasègne. peu applicable aux habitants des cité
sommeil profond dans les positions les plus incommodes (1). La même
observation
a été faite dans plusieurs pays tropicaux de l'Am
errannée témoigne d'une disposition mentale analogue. C'est un fait d'
observation
réelle que Proudhon a noté lorsqu'il a écrit : «
uasion » ou par la « suggestion à l'état de veille. » (A suivre.)
Observations
sur le « transfert » dans les fonctions motrice
l'idée que l'aimant soit doué d'une action spécifique. Beaucoup d'
observations
cliniques contribuèrent à appuyer cette théorie.
i Scozzi. Tout en admirant ses belles expériences, je crois que mes
observations
personnelles pourraient aboutir à une conclusion
vés par Schôffer, Dôl-wen. Charcot. Binet et Vogt. Il publie quatre
observations
, en les accompagnant d'une discussion de laquelle
ystérie et sur l'hypnose. Je ne veux pas insister davantage sur les
observations
des sujets au nombre de quatre, dont trois hystér
mes demi-spontanés. • Les idées de l'auteur bien appuyées sur les
observations
publiées, ne sont pas tout à fait nouvelles ; lui
i d'une imagination déréglée. Ils ont cette sorte d'imagination que l'
observation
populaire considère avec raison, de même qu'elle
ience livresque absorbe des heures qui seraient mieux utilisées par l'
observation
du monde extérieur et par l'exercice des facultés
ction à Sarlat, avait trouvé, dans le champ si restreint soumis à ses
observations
, le moyen de se révéler comme un criminólo giste
ervenir tous les artifices de la parole. Il n'est plus question d'
observations
réfléchies, ni de documents positifs : tout l'int
xprimée par nous dans notre enseignement, et chaque jour de nouvelles
observations
viennent lui apporter des confirmations. L'hyst
e des cas isolés. Ils permettent cependant de s'assurer qu'aucune des
observations
faites par Charcot. par Paul Bicher, et par Pitre
lecteur sur les données suivantes, qui sont le résumé de près de 6000
observations
faites patiemment dans le cabinet d'anthropométri
enfant n'est pas anatomiquement semblable deux jours de suite. Les
observations
sur l'état de leurs sens sont aussi curieuses et
tous on retrouve un affaiblissement de la volonté. Cbavigny donne l'
observation
Intéressant d'un militaire, atteint d'un tic conv
cation psychologique en accord avec l'expérience. 11 est vrai que les
observations
qui servent de base à la belle conception de Lama
ligée de faire un choix parmi les données innombrables qu'entassent l'
observation
et l'expérience, et de subordonner les descriptio
l'étude que je poursuis aujourd'hui. Je me bornerai à dire que les
observations
d'Azani, de Macnisch, de Camuset, de Jules Voisin
onsécutifs à des séances de spiritisme ont été publiées (2). Deux des
observations
les plus remarquables de ces cas de folie survenu
dre du jour sont faites dans l'ordre suivant : Io D' Jennings : Cne
observation
de morphinisation d'habitude : Discussion Dr Béri
la méthode de contrainte. De malade dont je rapporte succintement l'
observation
, est connu du Dr Bérillon. qui l'a vu avec moi au
rtaine, si le malade n'est pas soumis à une surveillance constante.
Observation
. — Le Dr S. (car nos malades sont toujours des mé
Après le sevrage, mon ex-malade est resté volontairement un mois en
observation
, et sauf la persistance d'une qnantité moindre d'
ier apporté à ses recherches le contrôle de la méthode graphique. Ses
observations
ont mis en lumière les réactions présentées par l
autres. J'ai suivi le confrère Anglais, dont vous venez d'entendre l'
observation
pendant tout le cours de son traitement, et j'ai
en pis. Il est utile que les hommes de science prennent avec soin l'
observation
des cas d'anomalies sexuelles chez la femme et qu
s traiter d'une façon satisfaisante. Le cas suivant se rapporte aux
observations
que je viens de faire : Une femme, âgée de 3S a
articulièrement par ceux qu'il exécute avec les mains. Cette curieuse
observation
autorise presque à croire que le grand poète a ét
ustifier le titre de cette étude, et pour bien délimiter le cadre des
observations
sur lesquelles je voudrais attirer l'attention, j
eux, sans sortir appré-ciablement du domaine physiologique, ajouter l'
observation
suivante : P..., ûgé de 28 ans, intelligent et
s pénibles, etc. » Plus pies de l'état pathologique est cette autre
observation
, déjà mentionnée ailleurs (1) : B..., infirmier
eut-être improprement (Il désigné, n'en répond pas moins u une exacte
observation
et mérite d'être décrite comme la phase de transi
s, suggestions, simples représentations obsédantes ou non. ete...
observations
sont des exemples, qui. par une sorte d'intrusion
rapeutes de Munich. DT Lowenfeld et Seif, j'ai communiqué une série d'
observations
sur la même question Aujourd'hui, devant la hau
oliques guéri par la suggestion narcotique par M. le Dr Bévalot L'
observation
que je présente à la Société d'hypnologie démontr
er jusqu'à l'épuisement de l'audition. On comprend l'intérêt de cette
observation
lorsqu'on sait avec quelle difficulté on arrive à
iens de dire. Mais je me bornerai à vous exposer brièvement une seule
observation
, qui montre combien souvent des états très connus
onostic très favorable. Ces cas ne font que confirmer la justesse des
observations
de Muthmann (2), à ce point de vue classiques.
clair, a l'inconvénient d'être longue et de demander plusieurs mois d'
observation
. Aussi trouve-t-elle mieux sa place dans les sana
olongé de 25'-30\ après quoi nous avons procédé de nouveau, aux mêmes
observations
qu'à l'état de veille. Enfin nous avons suggéré
fin de laquelle nous avons procédé une dernière fois, à de semblables
observations
. Tous les résultats ont été constants et sont c
nctionnement de l'organisme entier. Discussion : Dr Bérillos. Mes
observations
sur l'action exercée par le sommeil provoqué, san
ncer etc... entrent dans le cadre des obsessions maladives. Tel eBt l'
observation
d'un malade, que nous a envoyé le Dr Gillard (de
e présent et l'avenir. Il incarne le passé avec les solides assises d'
observation
qu'il nous a léguées ; n'avons-nous pas vu, lors
nner constamment les données maladroites et dissociées dn langage à l'
observation
synoptique du monde réel. Les fossés arbitraires
ux exemples typiques vont nous servir à démontrer la supériorité de l'
observation
réaliste, qui s'efforce d'harmoniser la connaissa
el et de sa doctrine nous offre un exemple typique à l'appui de cette
observation
. Au lieu de quitter sa bibliothèque et de poursui
ait de subordonner les formules dissociées du symbolisme littéral h l'
observation
synoptique des phénomènes, sa noble conception de
a première place dans la recherche et l'enseignement scientifiques. L'
observation
globale du monde et l'aperception du rapport qui
eur étude des fonctions minérales. Mais nous réservons actuellement l'
observation
psychologique du rythme ; car le problème de l'an
onnée littéralement comme l'une des lois formelles de la nature. Or l'
observation
nous apprend qu'aucun mouvement ne se poursuit da
de comprendre et d'enseigner la dynamique n'est pas compatible avec l'
observation
du devenir physique esthétique et mental. Dans
des Pharaoniennes, chacun dirait : « C'est un cerveau malade. • Car l'
observation
nous apprend que les normes du passé ne peuvent s
ysique détermine un mouvement extérieur musculaire ; et sur cette
observation
physiologique que toute pensée se traduit au deho
nt à la rougeur émotive, avec préoccupation, mais sans obsession.
Observation
1. - J. X..., vingt-quatre ans, étudianten médeci
e inspiration et reste aussi longtemps que possible sans expirer.
Observation
II. P. X..., étudiant, frère du précédent. Se r
ur tor- ture morale. Nous nous bornerons à donner ici deux de nos
observations
d'obsession de la rougeur. Elles sont particuli
vécue, les divers symptômes qu'ils éprouvaient. La première de ces
observations
nous a été communiquée par notre ami le D'' V.
int des asiles d'aliénés, que nous remercions bien sincè- rement.
Observation
III (communiquée par M. le Dr V. Dubourdieu). V
elle est entrée pour une certaine part dans un acte de désespoir '.
Observation
IV.-R... M... vingt-un ans, intelligent, instruit
'ereuthophobie. Il a rédigé lui-même sur sa maladie, l'intéressante
observation
suivante, à laquelle nous laissons exactement s
sam- ment attirée sur ce point au moment où nous recueillions nos
observations
, étudier expérimentalement les réflexes vaso-mo
emaladeabeau penseràrougir il n'y arrive pas. Un des obsédés dont l'
observation
est rap- portée plus haut (observ.IV) dit lui-m
les délires hallucinatoires ont été étudiés et, à leur propos, une
observation
répondant au type que nous décrivons. ' 1 Voi
rilish médical Journal, 28 sep- tembre 1895.) L'auteur conclut, d'
observations
et autopsies nombreuses, que la force de la côt
d'Oxford. (British médical Journal, 17 avril 1896.) L'intérêt de l'
observation
réside en ceci, que l'alcoolisme fut pro- duit
idées prédominantes, il faut encore considérer le terrain. Dans les
observations
cliniques données par Wernicke l'auteur n'a pas
du prochain. Leurs arguments varient, attaquent n'importe qui (une
observation
; procès Ileyelmaier d'Heiibroun; rapport de Sch
agea le rapporteur à conclure non malade. Et pourtant le reste de l'
observation
démontre que le malheureux était aussi malade.
tion de l'acide 40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. phosphorique. Ses
observations
n'ont encore porté que sur un malade unique, ma
pport de l'acide phosphorique à l'uree. Pendant toute la durée de l'
observation
, le malade avait tous les jours le même régime.
or- mal : 1,73 - 1,79. On remarque même que le neuvième jour de l'
observation
, c'est-à-dire au début du stade de rémission de l
un sujet étrange, un fan- tasque, un rêveur. Tel ce malade, dont l'
observation
est rapportée par l'auteur. Il s'agit d'un ho
u centre cortical du larynx. (Masini, Brissaud.) P. KERAVAL. VII.
Observations
DE tumeur cérébrale ayant procédé par DES ATTA-
sion des symptômes : gomme du lobe temporal. P. 1\ÉIIA YAL. VIII.
Observation
DE paralysie isolée DE L'IITPOGLOSSE DU côté DROI
d'un homme de cinquante-un ans, dont la photographie est jointe à l'
observation
, qui, sans cause appréciable, fut atteint. d'un
brusque restauration de la vue ; par le Dl' Vaughop. Intéressante
observation
d'un homme de quarante-quatre an<, dégénéré,
111u1GazzINI. (Anrt. eli neu1'ol., anno XIII, fasc.1, 2.) Nouvelle
observation
de troubles de la sensibilité hygrique chez un
er, car la malade - n'en a pas conscience. P. 11E11AV : 1L. XXXI.
Observation
DE paralysie facule datant DE la première EN- F
acule; par L.-E. f3Rl : c.w. (Ncurolog. Ceit ? -albl., XX, 1896.)
Observation
I. Paralysie faciale consécutive à une méningite
bé- rance ; le facial gauche est complètement englué de ce magma.
Observation
II. Jeune cultivateur ; paralysie faciale droite,
DU CERVEAU, par Ablecoff. (iVell1'olu ! J. Cenlralbl., XV, 1896.)
Observation
aussi longue qu'intéressante accompagnée de figur
e et ignorée, l'épilepsie par exemple, il aurait néanmoins publié l'
observation
dans son intégrité. M. TouLousE. De deux chos
vue. Félix Flatter, de Baie, au xvni0 siècle, inaugure le goût de l'
observation
clinique dans le domaine de l'aliénation mentale
sur cet antagonisme du sensualisme et de l'animisme. La méthode d'
observation
clinique et anatomique donna lieu en France aux
ence primaire curable de Krafft-Ebing et s'appuyant sur l'analyse d'
observations
, il con- clut qu'elle n'a pas un équivalent uni
continuaient dans les prolonge- ments de la cellule. Ce sont là des
observations
dont la portée n'échappera à aucun des histolog
à une base scientifique aux expériences des physiolo- gistes et aux
observations
des cliniciens sur les fonctions du sys- tème n
délicats que ceux que l'on con- naît pourront un jour permettre à l'
observation
directe de mieux voir ces rapports. Le peu qu'o
, convergeant vers la cloison, composent le champ ovale. Voici deux
observations
de lésion transverse par compression entre la 4
chez l'homme; par A. Marguliès. (Neurolog. Cei2ti-albl.,XV, 1896.)
Observation
de lésion isolée des racines postérieures ; figur
pénible dans le tubes dorsalis. M. l\IAROEL BRIAND communique deux
observations
, rédigées en collaboration avec M. Cololian, in
de l'influence qu'ils exer- cent même longtemps après le réveil. L'
observation
en fait foi. 2° Les rêves ont chez les hystériq
upart des cas, la psychose évoluant sur un terrain sénile offre à l'
observation
des caractères particuliers, une modalité diffé
chique comme mé= canique. Elle a pour origine un acte volontaire. L'
observation
de' chaque jour nous montre comment les actes v
l'état embryon- naire constituerait un sarcome. Témoin la troisième
observation
. E. Margouliès. VARIA. INTERNES dans LES AS
tait des idées de gran- deurs et qu'il était très agressif. Notre
observation
du malade date du troisième accès de délire qui
utre pour lui indiquer qu'elles le pendraient au plafond '. » 1 L'
observation
détaillée de ce malade a été publiée dans notre t
que nous croyions que cela soit extrêmement difficile. ' Voir les
observations
publiées, pour n'en citer d'autres, de Bail- la
ez l'homme normalement constitué. Qui plus est, il résulte de nos
observations
que, quelque 'élevé que soit le degré de perfec
t ce qu'on observe dans les rêves. Nous donnons comme preuves les
observations
suivantes : Observation I. - J. P... sourd-muet
es rêves. Nous donnons comme preuves les observations suivantes :
Observation
I. - J. P... sourd-muet de naissance, vingt-huit
rêves pour ne pas donner une trop grande extension à cette étude.
Observation
II. - Gregoria G.-A. Enfant de treize ans; à deux
ylologie; ils emploient - avec elle le même langage 1. A part nos
observations
personnelles, M. Blasco, directeur de l'Ecole n
eur en avions exprimé, pratiquèrent sur leurs élèves respectifs des
observations
qui concordent essen- tiellement avec ce que no
ents. IV. Nous ne voulons pas terminer cette étude sans tirer des
observations
pratiquées quelques déductions qui ont un certa
autres quant aux symptômes qui nous occupent, lesquels Les autres
observations
au nombre de dix sont en tout analogues aux pré
les sourds-muets : les moteurs, les visuels et les mixtes. Dans l'
OBSERVATION
I, nous avons vu que J. P., très bon peintre lo
les délires hallucinatoires ont été étudiés et, à leur propos, une
observation
répondant au type que nous décrivons. 1 Voir
Tel est par exemple le cas suivant rapporté par Leuret. Il 1 Celte
observation
a été publiée en entier par un de nous A. Marie
eux. Verge très développée. - Gland, peu Cette première partie de l'
observation
a été déjà publiée dans la thèse de l'un de nos
° L'idiotie, comme le prouvent les détails donnés au cou- rant de l'
observation
, existait à un degré prononcé. Le carac- tère é
as où la folie relève d'une dégénérescence des éléments nerveux). L'
observation
tant clinique que nécroscopique d'un grand nomb
gnements. R. DE 1VIUSf,R.IVE CLAY. III. SUR la CRANIECT0111E ET l'
observation
DE SES SUITES CHEZ DEUX opérés ; par TELFORD-SM
une opinion sur cette opération; mais pour cela il faudrait que les
observations
fussent plus complètes et plus explicites au po
par F.-Ii. Ferguson. (tYew-I'oIv Médical Journal, 12 sept. 1896.)
Observation
intéressante et instructive; en effet, la blessur
gie ventricu- laire, 1 ; hémorrhagie spinale, 1 ; manie aiguë, 3; l'
observation
des autres cas n'a pas été recueillie. Le pro
THÉRAPEUTIQUE. 'L.N7 15 l'appui de ses assertions, il rapporte onze
observations
de cas exceptionnellement difficiles, et dans l
ental Science. Avril 1896.) - Ce travail est accompagné de dix-huit
observations
et de plu- sieurs tableaux statistiques; les co
gestion. La morphinomanie ne l'est guère, malgré d'assez nombreuses
observations
de guérison ; l'habitude du chloral et des autr
sie où la craniectomie a été pratiquée et qui sont venus sous notre
observation
, après une rémission 220 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
) - L'auteur s'est proposé dans ce travail de faire connaître ses
observations
sur l'alimentation forcée; sur l'emploi de la son
ments qu'il convient d'in- troduire, et enfin de rapporter quelques
observations
. R. M. C. XV.DE l'alimentation thyroïdienne : N
et régicide sans être fou, il rapporte tout au long l'intéressante
observation
d'un malheureux qui, en janvier dernier, commit
lie épileptique et hystérique et même dans la paralysie géné- rale.
Observations
; expériences. P. K. XXVI. SUR QUELQUES caractèr
ur a pu en rassembler trois cas, dont il publie dans ce travail les
observations
, et qu'il fait suivre de quelques remarques sur
Journal of Mental Science, janvier 1896.) Ce travail renferme cinq
observations
dont nous relevons ici, d'après l'auteur, les p
émiplégie infantile et une paralysie de la naissance congénitale. L'
observation
ne révèle aucune cause ordinaire, non plus que
s épileptiformes bien nettes, sans para- lysie consécutive, enfin l'
observation
ultérieure du malade confir- ment pleinement ce
nal of Mental Science, avril 1896.) L'auteur rapporte d'abord une
observation
de manie aiguë, au cours de laquelle survint un
ournal of Mental Science, octobre 1896.) Le sujet de cette curieuse
observation
est un homme de cin- quante-quatre ans, qui, du
mental Science, janvier 1896.) L'auteur est amené par de nombreuses
observations
à formuler les conclusions suivantes ; la Il
(New-York médical Journal, 30 mai 1896.) L'auteur a déjà publié l'
observation
d'un des enfants de cette famille, qui, d'appar
par divers médecins et par l'auteur lui-même qui rapporte plusieurs
observations
, person- nelles ou recueillies dans les auteurs
huit ont été directement observés par lui. En étudiant les diverses
observations
, aussi bien celles des ocu- listes que celles d
VGILLIA3t B. NOYES. (New-Y01'k médical Journal, 14 mars 1896.) L'
observation
du petit malade peut se résumer ainsi : petite fi
et il aboutit au bout d'un temps assez court à la guérison. Cette
observation
est suivie d'une foule de considérations sur l'
TOV etW. S. BIrO\VN. (New-Yo1'k médical Journal, 4 avril 1896.) L'
observation
peut se résumer ainsi : jeune homme de dix-huit
essionnelle parce que ce n'est pas comme médecin qu'il a publié son
observation
sur M. Zola, mais plutôt comme publiciste. Pour
est médecin. S'il n'a pas attendu la mort de Zola pour publier son
observation
, c'est parce que les héritiers n'auraient peut-
exa- men morphologique et à leur classification, communique deux
observations
de tumeurs cérébrales. Dans le premier cas, intér
nt une couche unique d'un épithélium cubique. L'auteur rappelle les
observations
analogues de Buchholz et Stroebe sur la présenc
encore en traitement à l'asile. BIBLIOGRAPHIE. o3 Une troisième
observation
est celle de deux soeurs entrées à l'asile en 1
sur leur compte etc. Une seule présentait des hallucinations. Les
observations
qui précèdent doivent être rangées dans la folie
d'une même cause chez des sujets vivant ensemble. Dans la première
observation
on observe d'une façon nette l'influence exercé
ychique et des réactions déterminées par le délire. Dans la seconde
observation
, il s'agit de sujets vivant isolés, en étroite
es de grandeur à son entourage. Il en est de même daus la troisième
observation
où l'on voit l'une des deux soeurs, plus intell
- dienne dans quelques formes de troubles mentaux, par Clarkee; -
Observations
cliniques sur l'usage de la glande thyroïde dans
use sans mettre en doute, dans la mesure où elles sont fondées, les
observations
faites sur quelques criminels par des auteurs com
ssez rares, peu accusés et mal connus. » Topinard 6 note dans son
observation
CCIII que « le goût était obscur depuis un an e
rche soit dans les monographies sur le tabes, soit surtout dans les
observations
publiées çà et là, on rencontre encore assez so
st ainsi que dans la monographie de M. Pierret nous trou- vons deux
observations
, l'une 3 où le goût est aboli d'un côté; l'autr
e par MM. Joffroy et Hanot au Congrès d'Alger, on trouve aussi deux
observations
où les mêmes symptômes existaient. Dans le prem
d cas il y avait diminution de la sensibilité guslative. Dans une
observation
du Dr Magnan 6 un ataxique préten- dait que son
les leçons cliniques du professeur Raymond comme contenant quelques
observations
où sont relatés des troubles de l'odorat et du
troubles de l'odorat et du goût. Le même auteur cite également une
observation
de Erben 9 où par ' Topinard. P. lui. 1 Topin
en 9 où par ' Topinard. P. lui. 1 Topinard. P. 27t., ' Pierret.
Observation
IV. ' Pierret.- Observation X. h Joffroy et H
ui. 1 Topinard. P. 27t., ' Pierret. Observation IV. ' Pierret.-
Observation
X. h Joffroy et Hanot. Accidents bulbaires à dé
es. Nous n'avons certes pas la prétention de connaître toutes les
observations
où un auteur a pu relever des troubles du goût
n totale et bilatérale-de la sensation, comme dans une autre de nos
observations
où le tabétique était dans l'impossibilité abso
ura paresthésique dans la sphère du trijumeau s'est montrée à notre
observation
au cours d'un tabès à symptômes évidents, chez
sus morbide. Lorsque le goût et l'odorat se sont rencontrés à notre
observation
notablement altérés, il y TROUBLES DU GOUT ET D
ès précoce de la participation du bulbe à la maladie. Dans les deux
observations
citées plus haut et dues à MM. Jof- froy et Han
idu dont le gan- glion de Gasser était dégénéré. Senator a fait une
observation
qui plaide dans le même sens en constatant simu
s chromatiques un rapport existe, ainsi que l'a vu Nissl. Ce fait d'
observation
général est contraire à l'hypothèse d'après laq
ux exposés plusieurs heures au soleil). Toutefois, il résulte des
observations
de Ramon y Cajal, obser- vations entreprises po
ir : elles reposent sur l'in- terprétation scientifique des faits d'
observation
et d'expérience. Toutefois, d'après les dernièr
oglie; ceux-ci échappent en effet à la réaction et par conséquent l'
observation
. Si, avec cette méthode, on n'aperçoit point de
exacte et sur une psychologie défectueuse, car il n'est autre que l'
observation
du processus psychologique chez l'homme sain d'es
ère que de conclure de l'homme sain à l'homme aliéné ? Voilà pour l'
observation
inexacte : psychologiquement le critérium n'est
déré le malade comme responsable, et l'a condamné. Les détails de l'
observation
sont intéressants. M. R. C. REVUE DE MÉDECINE L
physiques et moraux de la question doivent être mis en balance et l'
observation
médicale de l'inculpé établie, comme le demande
e Liège. (Journal de Neurologie et d'Hypnologie, 1897, n° 2.) Les
observations
contenues dans ce travail tendent à prouver qu'il
ent certaines anomalies, mais celles- ci échappent facilement à une
observation
superficielle. Le somnambulisme alcoolique ne s
ANCIS EDWIN Park. (New- Yo1'l¡]Uedical Journal, 0 juin 189G.) Les
observations
de tétanie sont rares ; celle-ci peut se résumer
moment où M. Park la vit pour la première fois. Les résultats de l'
observation
directe sont les suivants : le médecin est appe
e se rattacher à une pneumonie : l'un des points à noter dans cette
observation
, c'est la paralysie du grand dentelé ; deux aut
. R. DE Musgrave CL\Y. XLIV. Lésions DES nerfs PÉRIPHÉRIQUES : CINQ
observations
; par L.-L. Williams. (Nezv-Yorlc Médical Journ
L.-L. Williams. (Nezv-Yorlc Médical Journal, 18 janvier 1896.) Ces
observations
sont publiées sans commentaire : la première a
resssnt à un double point de vue : d'abord à cause de la rareté des
observations
d'hémi-atrophie faciale; ensuite parce qu'il co
(Nezv-Yok Médical Journal, 26 septemhre 1890.) L'auteur publie cinq
observations
, deux de paralysie unilatérale thyréo-aryténoïd
r Pearce Bailey. (New-York Médical Journal, 9 mars z5.) Ces trois
observations
intéressantes sont relatées avec soin et avec d
abolition du réflexe cilio- spinal du côté de la lésion ; les trois
observations
qu'il publie montrent aussi que l'hyperesthésie
à une lésion unilatérale; et, en réalité, devant l'absence de toute
observation
d'hémianesthésie cérébrale complète, on manque
aussi éten- dus que dans le sujet atteint d'ictère. L'intéressante
observation
d'Alt sur l'existence de nombreuses hémorragies
donné les résultats intéressants que nous publions à la suite de l'
observation
clinique. La nommée Jeanne B... âgée de trente-
. 23 354 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXIII.
Observations
SUR LE DÉVELOPPEMENT HISTOLOGIQUE DE L'ÉCORCE C
ratoire de physiologie du D'' Stefani, de Padoue. De ses nombreuses
observations
l'auteur conclut que les éléments qui se dévelo
ctes, en même temps qu'il est désirable que l'enregistrement de ces
observations
soit fait d'après un système uniforme, afin de
in la fusion entre l'érotisme et l'ascétisme qui se retrouve dans l'
observation
. Cela explique pourquoi les délires de possession
se présenter chez les cardiaques. L'auteur en rapporte une nouvelle
observation
, montrant de plus que la névrose peut quelquefo
ne influence heureuse sur le décours de la lésion valvulaire. Cette
observation
concerne une dame atteinte d'hystéro-neurasthén
o- ments divers. Cette influence réciproque est démontrée par les
observation
^ inverses de modifications de l'état mental, à la
e JOll1'nal oOIental Science, juillet 4896.) L'auteur rapporte sept
observations
intéressantes et très propres à démontrer les r
avelock ELLIS. (The Journal of Mental Science, avril 1896.1 Cette
observation
concerne un homme de trente ans, qui en pleine
acrée à une des rubriques suivantes : nom de l'auteur et titre de l'
observation
; sexe du malade; âge auquel est survenue la mor
te du début de la maladie : probablement quinze ans. 2° La deuxième
observation
peut être ainsi résumée : Enfant naturel; mère
démence progressive, idées de gran- deur. III. De l'examen des 41
observations
actuellement connues de paralysie générale à dé
hérédité similaire se rencontre donc dans 25 p. 100 des cas. Dans 6
observations
le père était un alcoo ! ique avéré, dans 3 la mè
respective, ces différentes catégories se classent ainsi d'après l'
observation
de 240 cas : '388 SOCIÉTÉS SAVANTES. Chez ces
cas p. 100, et même dans 78 p. 100 si l'on ne tient compte que des
observations
complètes. Ces formes des états épileptoïdes so
'hystérie et sur- tout de l'attaque hystérique. Il résume ainsi ses
observations
sur les attaques hystériques chez les enfants j
e, dans la substance blanche du lobe occipital. III. La troisième
observation
est celle d'une héréditaire âgée de cinquante-d
heim) : état maniaque spécial (moria) avec euphorie. Dans les trois
observations
précé- dentes, on a observé trois psychoses dis
r que les psychoses survenant à l'âge dont il est question dans les
observations
précédentes, présentent souvent ce caractère hy
l'axe spinal, des lésions de la syphilis héréditaire. Rappelant les
observations
que M. Gilles de la Tourette a publiées dans la
nt les affections de la queue de cheval. M. Gasne rapporte même une
observation
d'amyotrophie survenue chez une fillette indisc
de l'état des fonctions motrices. J'indiquerai ensuite, d'après mes
observations
, comment ces malades meurent le plus sou- vent
elle ou telle modalité de la période terminale de la mala- die. Mes
observations
me portent à croire qu'il existe un rap- port d
absolument impossible au clini- cien de les prévoir '. 1 Voir une
observation
de Paraplégie spasmodique infantile; par Bourne
ature pathologique de cette maladie. Les points intéressants de l'
observation
personnelle que publient les auteurs peuvent se
pique et en outre de démontrer l'efficacité du traitement ioduré L'
observation
peut se résumer ainsi : homme de trente-neuf an
, le régime et l'élec- tricité. L'auteur termine cette intéressante
observation
par des considérations étendues sur la pathogén
ux de publier un second cas, suivi de guérison, et il en rapporte l'
observation
détaillée. R. M.-C. LXI. UN cas DE CIIORÉE co
suivis d'autopsie, sont relative- ment rares : d'où l'intérêt de l'
observation
rapportée par les auteurs. Les figures montrent
stion D1N3 l'hypnose ; par les docteurs Saurazès ET CADANNES. Des
observations
rapportées par les auteurs se dégagent les con-
l' des analogies avec les déformations du rhumatisme chronique. L'
observation
rapportée par M. Feindel en est un exemple. Il
ère d'étiologie, on doit parfois être éclectique : l'inté- ressante
observation
citée par l'auteur en est une preuve. Les parti
l'auteur en est une preuve. Les particularités importantes de cette
observation
sont les suivantes grossesse normale chez une f
NICIEUSE ; par le docteur Herrick. L'auteur rapporte l'intéressante
observation
d'un homme qui, à la suite d'une chute sur le d
ismale ; . par J. NEUMANN. (Ne.urolog. Centrnl6l. XIV. 1895.) Des
observations
soumises à une minutieuse étude l'auteur conclu
uns. (Archiv. sur Psychiatrie, t. XXVIII, liv. I, 1896.) Première
observation
: femme de vingt-quatre ans. Hérédité chargée.
cines jusqu'à la partie supérieure de la moelle dorsale. Deuxième
observation
: homme de vingt-huit ans, pas d'héré- dité. Op
n de 8 jusqu'à 9 dioptries. Une longue lecture fatigue le malade.
Observation
II. M. G... est un camarade du gymnase du premi
tation d'origine émotive chez des can- didats. M. Hecker cite une
observation
faite par le Dr Iiüni qui, en examinant les uri
s qualités et les défauts du savant italien. Les docu- ments et les
observations
sont souvent incomplets et gagneraient à être s
▲