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1 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
t, fibres py- ramidales liomolatérales. - Ln, locus niger, - XC, noyau caudé. - XL, troisième seg- ment du noyau lenti
Ln, locus niger, - XC, noyau caudé. - XL, troisième seg- ment du noyau lenticulaire.- Xl', noyaux pontiques. - u' ! 1,
noyau caudé. - XL, troisième seg- ment du noyau lenticulaire.- Xl', noyaux pontiques. - u' ! 1, noyau rouge. - Oi, olive
eg- ment du noyau lenticulaire.- Xl', noyaux pontiques. - u' ! 1, noyau rouge. - Oi, olive bulbaire. - I'o, protubéranc
che optique, les corps genouillés, les tubercules quadrijumeaux, le noyau rouge de Stilling. Elles peuvent être désignées s
ibres cortico - prolubéranlielles) ; les autres se rendent dans les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres cérébrales d
. Une ligne oblique en bas et en dehors qui unit le bord externe du noyau caudé au bord supérieur du putamen représente l
rayons (rccclü de Reil), convergent vers la grande circonférence du noyau lenticulaire. Seule, la partie antéro-infé- rie
u putamen avec la base du cerveau antérieur, en particulier avec le noyau amygdalien et la substance perforée antérieure(Vo
aire externe du thalamus.< ? ) ! <', lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médullaire interne du
ace interne de la première circonvo- lution frontale. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. NC, tê
s Bibliothèque des Internes 1 en Médecine de la Salpêtrière; du noyau caudé. - 11' £ " NL" troisième et deuxième segmen
re; du noyau caudé. - 11' £ " NL" troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal, -
e et s'irradient (rOF) dans la capsule externe. - NL, Putamen. \'C, noyau caudé. \~l ventricule latéral. Sa division en
sceau occipito-frontal (Fig. et 6, OF + Pr), contournent la tète du noyau caudé, croisent le pied de la couronne rayonnante
nticulaire de la capsule interne. - CSC, colliculus ou tubercule du noyau caudé saillant dans l'espace perforé antérieur.
ace perforé antérieur. - Spa, substance perforée antérieure. - V.I, noyau amygdalien. Le noyau caudé est teinté en gris.
ur. - Spa, substance perforée antérieure. - V.I, noyau amygdalien. Le noyau caudé est teinté en gris. Ses fibres se ren-
moyen de la couronne rayonnante est tributaire de la thalamus et le noyau rouge en arrière de la circonvolution du crochet.
s. Lmi, lame médullaire interne du thalamus. Ln, locus niger. - Nv, noyau antérieur du thalamus. - A'C, tronc du noyau caud
Ln, locus niger. - Nv, noyau antérieur du thalamus. - A'C, tronc du noyau caudé. - A'C', queue du noyau caudé. - Ne, noya
antérieur du thalamus. - A'C, tronc du noyau caudé. - A'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NI ? no
s. - A'C, tronc du noyau caudé. - A'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NI ? noyau semi-lunaire de F
- A'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NI ? noyau semi-lunaire de Flechsig. - Ni, noyau interne d
yau externe du thalamus. NI ? noyau semi-lunaire de Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. - \-L3, putamen, A'7 ! , noy
Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. - \-L3, putamen, A'7 ! , noyau rouge. - OF, faisceau occipito- frontal. - Opl'
le bourrelet du corps calleux et la partie réfléchie de la queue du noyau caudé. - Méthode de Weigert. Alv, alveus. - C
n dedans et en avant, passent entre le putamen (NL3) et la queue du noyau caudé (NC') et se continuent avec le segment ré
e temporal ; sa limite antérieure est con- stituée par la fusion du noyau amygdalien (NA) avec la queue du noyau caudé (N
on- stituée par la fusion du noyau amygdalien (NA) avec la queue du noyau caudé (NC). En arrière il se confond si bien av
accentuée que les fibres sont plus antérieures et plus voisines du noyau amygdalien (Fig. 2, 6, 11, et 32). Arrivées au
re superficielle de la circonvolution de l'l,ippocampe ? G', queue du noyau caudé. ol, sillon collatéral. - P,, l'z, premiè
trou de Monro. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche optique. - SC, noyau caudé
érieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche optique. - SC, noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - Se, noya
antérieur de la couche optique. - SC, noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - Se, noyau externe de la couche optique.
che optique. - SC, noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - Se, noyau externe de la couche optique. - VL2, VL3, deuxi
de la couche optique. - VL2, VL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 01, première circonvolution occ
on de l'hippocampe. L ? ? ? s. lame médullaire superficielle. - NA, noyau amygdalien, RTh. radiations thalamiques de Gratio
par l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale et sectionnant le noyau amygdalien et le pédoncule cérébral. Méthode de
e et fibres du ttenia semi-circularis. - Ln, locus niger. - 1\"111, noyau de la troisième paire. - NA noyau amygdalien. -
ris. - Ln, locus niger. - 1\"111, noyau de la troisième paire. - NA noyau amygdalien. - NC', queue du noyau caudé. - A ? 3,
noyau de la troisième paire. - NA noyau amygdalien. - NC', queue du noyau caudé. - A ? 3, troisième segment du noyau lent
mygdalien. - NC', queue du noyau caudé. - A ? 3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Nie, noyau rouge. - P
- A ? 3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Nie, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule
a troisième paire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 19 noyau caudé (NC"), ces fibres se portent en haut, en de
e portent en haut, en dedans et un peu en arrière, passent entre ce noyau et le putamen, puis longent la face inférieure
nt entre ce noyau et le putamen, puis longent la face inférieure du noyau lenticulaire (Fig. 7). Ainsi s'explique l'aspec
t sur les coupes horizontales sériées, qui intéressent la région du noyau amygdalien : on les voit se recourber en dedans
g de la face inférieure du putamen et de la moitié pos- térieure du noyau amygdalien (Fig. 11 et T. Ier, Fig. 297). Les cou
/0'" face interne de la pre- mière circonvolution frontale. - NC, noyau caudé ; Ni sa queue. L3 troisième seg- ment d
ale. - NC, noyau caudé ; Ni sa queue. L3 troisième seg- ment du noyau lenticulaire. O, première circonvolution occi
<, face interne de la première circonvolution frontale. - Nil, noyau an- térieur Ne, noyau externe : Ni, noyau int
la première circonvolution frontale. - Nil, noyau an- térieur Ne, noyau externe : Ni, noyau interne du thala- mus. 1\
tion frontale. - Nil, noyau an- térieur Ne, noyau externe : Ni, noyau interne du thala- mus. 1\"C, noyau caudé. 1Y/
érieur Ne, noyau externe : Ni, noyau interne du thala- mus. 1\"C, noyau caudé. 1Y/.2, NL3, deuxième et troisième segm
\"C, noyau caudé. 1Y/.2, NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 0,. première circonvolution oc-
rine. , La, première, deuxième circonvolutions limbiques. - AC, noyau caudé. - VG,, NL2, XL3, les trois segments du
biques. - AC, noyau caudé. - VG,, NL2, XL3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NM, centre médian de Luys. -
psule interne. - CL , corps de Luys. CNC,tu- bercule inférieur du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. - F" pre
, lobule lingual. - NL,, i\'L3. premier, troi- sième segments du noyau lenticulaire. - VR noyau rouge. - 0,, 02 prem
i\'L3. premier, troi- sième segments du noyau lenticulaire. - VR noyau rouge. - 0,, 02 première, deuxième circonvolu
ulaire. et ne mesure que 15 à 20° sur les plans qui intéressent les noyaux rouges; l'axe de la capsule devient donc ici pr
variable suivant les régions, dépend essentiellement de la forme du noyau lenticulaire qui s'insinue entre les segments a
rps de Luys. - coa, commissure antérieure. - Ln, locus niger. - XA, noyau amygdalien. - XC, tète; NC, queue du noyau caudé.
- Ln, locus niger. - XA, noyau amygdalien. - XC, tète; NC, queue du noyau caudé. - \'L3, ,VL2, NL,. les trois segments du
NC, queue du noyau caudé. - \'L3, ,VL2, NL,. les trois segments du noyau lenticulaire. - PXL3, pédoncule du putamen. - X
segments du noyau lenticulaire. - PXL3, pédoncule du putamen. - XR, noyau rouge. - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv, zo
ne et formant la partie externe du pied du pédoncule cérébral. - Arc, noyau caudé. - NL3, iYI2, NL,, les trois segments du
rébral. - Arc, noyau caudé. - NL3, iYI2, NL,, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge. - Qa, tu- berc
. - NL3, iYI2, NL,, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge. - Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur
rts. Leur enchevêtre- ment avec les fibres lenticulo-caudées. noyau lenticulaire. - mF,, face interne de la première
sillon marginal postérieur. - ms, sillon marginal supérieur. - NC, noyau caudé. NL, nerf de Lancisi. - NL3, 1VI2, troisi
NL, nerf de Lancisi. - NL3, 1VI2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal.
terne est surtout formé de fibres horizontales qui passent entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire, et convergent v
formé de fibres horizontales qui passent entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire, et convergent vers l'extrémité an
icules de fibres qui séparent, dans la ré- gion sous-thalamique, le noyau caudé du noyau lenticulaire. Ces fascicules se
s qui séparent, dans la ré- gion sous-thalamique, le noyau caudé du noyau lenticulaire. Ces fascicules se continuent en a
t d'avant en arrière la région an- térieure et basale de la tête du noyau caudé (NC) (Fig. 213 et 281, T. 1er), la partie
g. 19, 244, T. 1er) et les fibres les plus antérieures de l'anse du noyau lenticulaire (Al) (Fig. 23). Elles sont en outr
ue par les nombreux ponts de substance grise qui relient la tête du noyau caudé au putamen (Fig. 19, 20). Entre le noyau
i relient la tête du noyau caudé au putamen (Fig. 19, 20). Entre le noyau caudé et le globus pal- lidus (NL1; NL2) enfin,
u thalamus, la partie supérieure du putamen, la tête et la queue du noyau caudé. z/1 grandeur nature. Méthode de Weigert.)
les du segment postérieur de la couronne rayonnante. fNC, fibres du noyau caudé. - la, circonvolutions antérieures; Ip, cir
circonvolutions postérieures de l'insula. - Nec, tête; Nu, queue du noyau caudé. - 1YL3, troisième segment du noyau lenticu
- Nec, tête; Nu, queue du noyau caudé. - 1YL3, troisième segment du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal.
onnante. - Pr, fibres de projection corticales longeant la queue du noyau caudé. - SI, septum lucidum. - Th (Strz) stratu
m. Zr, zone réticulée. lenticzclo-cauclées) qui, nées de la tête du noyau caudé, traversent la cap- sule interne pour se
dans le globus pallidus (NL,, NL,) et dans les lames médullaires du noyau lenticulaire (lme, Imi). Ces fibres sont sur- t
variables : Sur les coupes horizontales qui sectionnent le tronc du noyau caudé ou la partie supérieure de la couche opti
e médullaire externe du thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lme', lame médullaire supplémen
aire. - lme', lame médullaire supplémentaire du deuxième segment du noyau lenticulaire. ? t, lame médul- laire interne du
eur de l'insula. -mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche optique. - NC, tète du noy
e l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche optique. - NC, tète du noyau caudé. - \'C' queue du noyau caudé. - Ne, noyau
ur de la couche optique. - NC, tète du noyau caudé. - \'C' queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique.
ique. - NC, tète du noyau caudé. - \'C' queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne
queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche optique. -VLj, deuxième segm
. Ni, noyau interne de la couche optique. -VLj, deuxième segment du noyau lenticulaire. - NL3, troisième segment du noyau
deuxième segment du noyau lenticulaire. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Vm, centre médian de la
avec le segment interne du globus pallidus (NL,) et avec l'anse du noyau lenticulaire (Al) au-dessus de laquelle il est si
s. - lme, lame médullaire externe; lnai, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - NL" XL" NL3,
externe; lnai, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - NL" XL" NL3, les trois segments du noy
nticulaire. - NC, noyau caudé. - NL" XL" NL3, les trois segments du noyau lenticulaire. J'a Th , pédoncule antérieur de la
térieure du thalamus. Cette coupe sec- tionne les trois segments du noyau lenticulaire et le noyau amygdalien et intéresse
te coupe sec- tionne les trois segments du noyau lenticulaire et le noyau amygdalien et intéresse le segment antérieur de
description de cette coupe, T. Leur, Fig. 283, p. 536.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AU, avant-mur. - AU', partie de l
première circonvolution limbique. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lme', lame médullaire supplémentair
ulaire. lme', lame médullaire supplémentaire du deuxième segment du noyau lenticulaire, divisant ce segment en deux parties
isant ce segment en deux parties. - Imi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - nzF,, face interne de la première
eur de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de l'insula. - Nl, noyau amygdalien. - NC, noyau caudé. - Nul3, YI2, NL" t
illon marginal supérieur de l'insula. - Nl, noyau amygdalien. - NC, noyau caudé. - Nul3, YI2, NL" troisième, deuxième et pr
caudé. - Nul3, YI2, NL" troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. -
oncule inférieur du thalamus.PAs, pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire. - R, scissure de Rolando. - RTh, ra
el et l'anse lenticulaire. Coupe horizontale intéressant la base du noyau lenticulaire et la partie supérieure de la régi
scription de cette coupe T. ICI', Fig. 310, p.. 614.) Al, anse du noyau lenticulaire. - Alv, alvéus. - AU, avant-mur. bd,
et postérieur. - le, lame cornée. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - Lzni, lame médullaire interne d
e externe du noyau lenticulaire. - Lzni, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - lizi', lame médullaire supplément
', lame médullaire supplémentaire subdivisant le segment interne du noyau lenticulaire (XL,). - iîits, lame médullaire supe
l'insula. - sillon marginal postérieur de l'in- sula.- VC, tête du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - NL3, NL2,
ostérieur de l'in- sula.- VC, tête du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - NL3, NL2, Nui, ? troi- siège, deuxième
dé. - NL3, NL2, Nui, ? troi- siège, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le segment interne est subdivisé
- Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - lie, faisceau cortical dn noyau rouge passant par les radiations de la calotte.
Dans la région thalamique, elles passent d'abord entre le tronc du noyau caudé (NC) et le bord supérieur du putamen (NLj),
la face externe de la couche optique (Th) et les trois segments du noyau lenticulaire (.fla, NL iNl,, (Fig. 7). La limite
ule interne (Cip) est limité : en avant par les libres de l'anse du noyau lenticulaire (Al); en arrière, par le corps genou
et des parties ventrales du thalamus; avec les fibres de l'anse du noyau lenticu- laire (Al) qui contournent sa partie i
e corps de Luys (CL). Il n'affecte que des rapports médials avec le noyau rouge (NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (Fig.
e des rapports médials avec le noyau rouge (NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28). Dans la partie moyenne de la r
et libres du taenia semi-circularis. - /v ? : , locus niger. - \'lll, noyau de la troisième paire. - NA, noyau amygdalien.
- /v ? : , locus niger. - \'lll, noyau de la troisième paire. - NA, noyau amygdalien. - i\'C' queue du noyau caudé. - \'L3,
yau de la troisième paire. - NA, noyau amygdalien. - i\'C' queue du noyau caudé. - \'L3, troisième segment du noyau lenti
gdalien. - i\'C' queue du noyau caudé. - \'L3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, é
é. - \'L3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncul
Il se dirige obliquement de haut en bas et de dedans en dehors, du noyau caudé au sommet du noyau lenticulaire, puis se
de haut en bas et de dedans en dehors, du noyau caudé au sommet du noyau lenticulaire, puis se coude et entre dans le pi
cule cérébral. A un examen superficiel, ce faisceau paraît venir du noyau caudé et représenter le contingent strié du pied
u cortical qui s'est coudé une première fois au-dessous du tronc du noyau caudé, une seconde fois au niveau du sommet du
us du tronc du noyau caudé, une seconde fois au niveau du sommet du noyau lenticulaire. L'étude systématique des dégénére
radiées du putamen et du globus pallidus, et s'irra- dient dans le noyau externe du lhalamus. Dans la région .so2.v-tlalaz
is parles fibres ra(liées et parles fibres des lames médullaires du noyau lenticulaire. Toutes ces fibres se réunissent e
a partie postérieure du thalamus, le gan- glion de l'habenula et le noyau rouge. (Méthode de Weigert.) Alv, alveus.- Crf,
Les fibres de CI ! ' se rendent les unes dans le thalamus et le noyau rouge, les autres dans la pied du pédoncule e
icielle de la circonvolution de l'hippocampe. Ln, locus niger. - 1YC, noyau caudë ; A'C'. sa queue. NL3, troisième segment
; A'C'. sa queue. NL3, troisième segment du noN au lenticulaire. NR, noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi
s (radiations slrio -11l ! Jsienne,\), les autres forment l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le faisceau lenticulaire de
t dans le thalamus (fibres corlico-l/w- lamiques), d'autres dans le noyau rouge (fibres coîlico-î-tib,1'qiles), quelques
t horizontalement de dehors et en dedans, passent entre la queue du noyau caudé (NC) et le bord postérieur du putamen (NL
tance grise qui relient le bord postérieur du putamen à la queue du noyau caudé; les coupes vertico-transversales et les co
zone de Wernicke (\V) et occupe l'espace compris entre le tronc du noyau caudé (NC) et la partie recourbée de la queue (
du noyau caudé (NC) et la partie recourbée de la queue (NC,) de ce noyau (Fig. 26). Le taenia semi-circularis le sépare
zontales sous l'aspect d'une région rectangulaire, que la queue du noyau caudé et le taenia semi-circularis séparent du
rne sphénoïdale (Fig. 281, p. 309) : son sommet atteint en avant le noyau amygdalien (NA); sa base est ados- sée à la par
a semi-circularis (tsc) et par la partie recour- bée de la queue du noyau caudé (NC") (Fig. 281); sa face supérieure est
inar (Pul). - CL, corps de Luys. -NA,noyauamygdalien.-i1'C'yueue du noyau caudé. - Rm, ruban de Iteil médian. Sti, substa
cornée et tænia semi-circularis. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du n
aire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire.-Lz7s, lame médullaire superficiel
l'insula, - mp, sillon marginal postérieur de l'iusula.- SC, tète du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. - ""L3, NL2
l postérieur de l'iusula.- SC, tète du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. - ""L3, NL2, les trois segments du noyau l
dé.- \'C', queue du noyau caudé. - ""L3, NL2, les trois segments du noyau lenticulaire. - pCR, pied de la couronne rayonn
ne d'Ammon, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ve
u e interne. - Ln, locus niger. -.VC' partie recourbée de la queue du noyau caudé. - A7/.2, NL3, deuxième et troisième segm
eue du noyau caudé. - A7/.2, NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noy
2, NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau rouge. Rm, ruban de Heit
sième segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau rouge. Rm, ruban de Heit. SR, formation réticulée
Ln, locus niger. - A't2, NL3, les deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Th, thalamus. - lse, tamia semi-c
lvinar. - ft, fibres tangentielles de la circonvolution du crochet. - noyau amygdalien. - A'C', NC", partie recourbée et ex
- A'C', NC", partie recourbée et extrémité antérieure de la queue du noyau caudé dans la région où il se fusionne avec le
région où il se fusionne avec le pédoncule du putamen (VL,'). - A'71. noyau rouge. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thal
anse dont la convexité antérieure correspond à la partie externe du noyau amygda- lien (Fig. 31 et 32). Le faisceau tempo
dans la région sous-optique, pénètrent en partie dans la capsule du noyau rouge et en partie dans la région anléro-ventra
de la commissure antérieure et sectionnant le corps de Luys, et le noyau rouge. - Méthode de Weigert. (Voy. description de
description de cette coupe T. le', Fig. 312, p. 622.) Al, anse du noyau lenticulaire. - Alv, alvéus. - AU, avant-mur. bd,
ar- ginal antérieur. - 71p, sillon marginal postérieur. XC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - NL3 YL2, tr
sillon marginal postérieur. XC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - NL3 YL2, troisième et deuxième segments
queue du noyau caudé. - NL3 YL2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NG,(Al), premier segment du noy
xième segments du noyau lenticulaire. - NG,(Al), premier segment du noyau lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. -11'R
ulaire. - NG,(Al), premier segment du noyau lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. -11'R, noyau rouge. - P, étage in
r segment du noyau lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. -11'R, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncul
mamillaire. - Coupe horizontale du pédoncule cérébral sectionnant le noyau rouge, l'espace perforé antérieur et la bandele
lution godronnée. - CM, commissure de Meynert. - CNC, colliculus du noyau caudé. - ds, diver- ticule du subiculum. - eF,
nale[jembryonnaire. ma, sillon .marginal antérieur de l'insula. - Nl, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caude. - NR, noya
marginal antérieur de l'insula. - Nl, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caude. - NR, noyau rouge. - ol, sillon collatéral
de l'insula. - Nl, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caude. - NR, noyau rouge. - ol, sillon collatéral. - l', étage inf
ore ! . - Gip, ganglion interpédonculaire.- Lit. locus niger. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire. - l'cs, pédon
nd. lIlII, ruban de Reil médian. RL, ruban de Reil latéral. - NIIl, noyau du ruban de Reil latéral. - SgAq, substance grise
es. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus casruleus. A'cs, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral de la ca
nculaire. - Le, locus casruleus. A'cs, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire. - A'7, noya
l supérieur. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire. - A'7, noyau de la troisième paire. - Pes, pédoncule cérébel
apports de la partie supérieure du pied du pédoncule avec l'anse du noyau lenticulaire et le pédoncule du tubercule mamilla
, corps genouillé interne. - CL, corps de Luys. - CNR, cap- sule du noyau rouge. - cop, commissure postérieure. - 1 lp, fai
cipal. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noyau rouge. Niv, noyau du nerf pathétique. - l', pie
nglion interpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noyau rouge. Niv, noyau du nerf pathétique. - l', pied du pédoncule cér
fférente : 1° Les unes courtes relient la corticalilé cérébrale aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el moyen (fibre
CO-THALAMIQUES ET CORTICO SOUS-THALAMIQUES Ces fibres destinées aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire et moyen compre
du tubercule qlladrijll- meau posté ? leur ; 4° Les radiations du noyau rouge. 1. radiations thalamiques. Le thalamus (
e médullaire interne du thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - J'\'C, fibre
thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - J'\'C, fibres propres du noyau caudé.
u noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - J'\'C, fibres propres du noyau caudé. - Sa. noyau antérieur; Se, noyau externe;
e. - NC, noyau caudé. - J'\'C, fibres propres du noyau caudé. - Sa. noyau antérieur; Se, noyau externe; Si, noyau interne
- J'\'C, fibres propres du noyau caudé. - Sa. noyau antérieur; Se, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. Nul3, X
propres du noyau caudé. - Sa. noyau antérieur; Se, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. Nul3, XL3, les deux segmen
noyau interne du thalamus. Nul3, XL3, les deux segments externes du noyau lenticulaire. - 0/+ ? faisceau occipito-frontal
une dégéné- rescence des fibres radiées des parties antérieures des noyaux interne et externe du thalamus (cas Moriceau, p
weigoffer, p. 128, Fig. 106 à 128) déterminent la dégénérescence du noyau externe du thalamus, et la zone dégénérée occupe
ot, p. 121, Fig. 96 à 105), retentissent sur la partie postérieure du noyau externe du thalamus; celles du lobe occipital (
i recouvre toute la surface libre du thalamus et en particulier son noyau antérieur (Na) (Fig. 20 et T. I°r, Fig. 303, 305)
(Fig. 20 et T. I°r, Fig. 303, 305) ; 2° Les suivantes entourent le noyau antérieur du thalamus, concourent à la formatio
à la formation de la lame médullaire antérieure (Lma) et séparent le noyau antérieur (Na) des noyaux externe (Ne) et inler
médullaire antérieure (Lma) et séparent le noyau antérieur (Na) des noyaux externe (Ne) et inlerne (Ni) (Fig. 41 et T. ICI',
VA) traversent presque sagittalement toute la partie antérieure des noyaux externe et interne, ainsi que la partie corresp
base et de la partie adjacente du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le faisceau de
, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncule céré- belleux supérieur (Mé
de Broca. - Cc(511), bourrelet du corps calleux. - CVR, capsule du noyau rouge. - coa, commissure antérieure. - 1, champ
la, lame médullaire supérieure du thala- mus. Ln, locus niger. -Na, noyau antérieur; -Ye, noyau externe; Si, noyau interne
périeure du thala- mus. Ln, locus niger. -Na, noyau antérieur; -Ye, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. - NR, n
mus. Ln, locus niger. -Na, noyau antérieur; -Ye, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. - NR, noyau rouge. - ol,(G
antérieur; -Ye, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. - NR, noyau rouge. - ol,(Gc·), gyrus rectus, face orbitaire d
lamiques supérieu- res. Elles unissent la zone rolandique aux noyaux externe et interne du thalamus. Forment le st
d nombre de gros fascicules sectionnés en travers qui impriment aux noyaux interne et externe un aspect tacheté tout à fai
semi-circularis (lsc), puis se dédoublent au niveau de la queue du noyau antérieur (Na) du thalamus en formant la lame méd
supérieure. Les autres forment les fibres radiées, tra- versent le noyau externe (Ne) de dehors en dedans et un peu de hau
ées croisent la lame médullaire interne (Lmi) et s'épuisent dans le noyau interne (Ni), en s'entre-croisant presque à ang
celles en particulier qui appartiennent à la moitié postérieure du noyau externe (Ne) et proviennent de la partie antérieu
eure du lobe pariétal, croisent le centre médian de Luys (Nm) et le noyau semi- lunaire de Flechsig (NF), autour desquels
n bas, explique pourquoi, sur les coupes horizontales (Fig. 41), le noyau externe de la couche optique est tacheté par de
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 63 1'ic. 43. Les fibres radiées du thalamus ( noyaux externe, interne et pulvinar), la zone de Werni
amique et intéressant le centre médian de Luys, les trois segments du noyau lenticulaire et le trou de Monro. Méthode de We
externe et in- terne du thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lme', lame médullaire supplémen
aire. - lme', lame médullaire supplémentaire du deuxième segment du noyau lenticuleire. - lmi, lame médullaire interne du
me segment du noyau lenticuleire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - ma, sillon marginal antérieur de
nsula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - \'C, tête du noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - A'e, noyau
postérieur de l'insula. - \'C, tête du noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - A'e, noyau externe du thalamus. - XF, no
ula. - \'C, tête du noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - A'e, noyau externe du thalamus. - XF, noyau semi-lunaire de
- Nu, queue du noyau caudé. - A'e, noyau externe du thalamus. - XF, noyau semi-lunaire de Flechsig. - - Ni, noyau interne
externe du thalamus. - XF, noyau semi-lunaire de Flechsig. - - Ni, noyau interne du thalamus. - A'i3, NL" XL" troisième, d
lamus. - A'i3, NL" XL" troisième, deuxième et premier seg- ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau médian du thalamus (cen
isième, deuxième et premier seg- ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - p
y. description de cette coupe T. ICI', Fis.313, p. 620. Al, anse du noyau lenticulaire. -.l.ll, avant-mur. bd. bandelette d
a, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur. - NA, noyau amygda- lien. - A'C, tête du noyau caudé. - NC'
illon marginal postérieur. - NA, noyau amygda- lien. - A'C, tête du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, troisi
NA, noyau amygda- lien. - A'C, tête du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lentic
yau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - J"fI, noyau rouge. - P,
. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - J"fI, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncul
corne sphénoïdale. - Il, bandelette optique. moitié supérieure du noyau externe (Fig. 21 et T. le., Fig. 301, 305), dim
et T. le., Fig. 301, 305), diminue dans la moitié inférieure de ce noyau (Fig. 1a3, 7 et Fig. 7) ; l'obli- quité des fib
lerne (Cirl), puis abordent le pulvinar et la partie postérieure du noyau externe, dont elles forment la zone réticulée-
iblement coloré par la laque hématoxylinique à la partie externe du noyau amygdalien (NA) où elles FiG. 43. - Le segment
tique; l'anse lenticulaire (Al), sa continuation avec la capsule du noyau rouge. - Coupe horizontale oblique en bas et en
ique d'Arnold se portent en arrière et en dedans, -passent entre le noyau amygdalien (NA) et la partie morcelée de l' ava
ptique se recourbent en arrière et en dedans, contournent l'anse du noyau lenti- culaire (Al) et la partie inlerne du seg
du taenia semi-circularis (tsc), au-dessus et en avant de l'anse du noyau lenticulaire (Al), il forme avec cette dernière l
du taenia semi-circularis vus sur une coupe sagittale passant par le noyau antérieur du thalamus. La substance grise qui s
cule inféro-interne du thalamus de l'anse lenticulaire constitue le noyau de l'anse pédonculaire de Gra- tiolet ; elle ap
Lmi, lame médullaire interne du thalamus. - Ln, locus niger. - A'C, noyau caudé. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe
e interne du thalamus. - Ln, locus niger. - A'C, noyau caudé. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe du thalamus. - NIl,
- Ln, locus niger. - A'C, noyau caudé. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe du thalamus. - NIl, noyau rouge. - P, p
audé. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe du thalamus. - NIl, noyau rouge. - P, pied du pédoncule cérébral. - PiTh, p
ame médullaire externe du thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticu- 70 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Rad
laire externe supplémentaire, subdivisant le segment moyen (iVI2 du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médullaire interne du t
médullaire interne du thalamus. - lmi, lame médul- laire interne du noyau lenticulaire. - lmi', lame médullaire interne sup
re interne supplémentaire subdi- visant le segment interne (XL,) du noyau lenticulaire.- ma, sillon marginal antérieur. -
arginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur. - A'C, tête du noyau caudé. - 11-C', queue du noyau caudé. - A'e, no
on marginal postérieur. - A'C, tête du noyau caudé. - 11-C', queue du noyau caudé. - A'e, noyau externe du thalamus. NP, no
. - A'C, tête du noyau caudé. - 11-C', queue du noyau caudé. - A'e, noyau externe du thalamus. NP, noyau semi-lunaire de Fl
11-C', queue du noyau caudé. - A'e, noyau externe du thalamus. NP, noyau semi-lunaire de Flechsig. - Ni, noyau interne d
noyau externe du thalamus. NP, noyau semi-lunaire de Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. - \'L3, NL2, NL,, troisièm
halamus. - \'L3, NL2, NL,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - noyau médian du thalamus (centr
,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - PaT
rizontale oblique parallèle à la bandelette optique, passant par le noyau rouge, le corps de Luys, le pied du pédoncule cér
s de Luys. CM, commissure de Meynert. Ci\'C, tubercule inférieur du noyau caudé. - coa, commis- sure antérieure. - Epa, e
Ln, locus niger. - mp, sillon marginal posté- rieur. - Nu, queue du noyau caudé. - N1." troisième segment du noyau lenticul
sté- rieur. - Nu, queue du noyau caudé. - N1." troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - A7Î, noyau rouge. - P
é. - N1." troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - A7Î, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule
X. Bras du tubercule quadrijumeau posté- rieur. Radiations du noyau rouge. mière circonvolution temporale. Elles
au la partie ventrale de la couche optique, entre le pulvinar et le noyau externe, et s'irradient dans la partie du corps
Qa), dont la situation est plus super- ficielle. 4. radiations du noyau ROUGE. - Le noyau rouge reçoit des fibres de la
tion est plus super- ficielle. 4. radiations du noyau ROUGE. - Le noyau rouge reçoit des fibres de la corticalité céréb
dot, Fig. 101.). L'origine corticale et le trajet des radiations du noyau rouge dans la couronne rayonnanle et la capsule
e la calotte et s'irradient dans la partie supéro-anléro-externe du noyau rouge. Elles représentent un des chaînons de la
u voisinage de la région sous-optique), par les fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al) (Fig. 33, 120) et du pédoncule
ed du pédoncule cérébral a été identifié par Meynert avec l'anse du noyau lenticulaire (Voy. Historique, p. 81), puis tou
au faisceau geni ? ulé (Ci(g); il n'est pas constitué par l'anse du noyau lenticulaire, ainsi que Meynert l'a avancé; il
i que Meynert l'a avancé; il ne contient pas de fibres provenant du noyau caudé, comme le croyaient Meynert et Flechsig,
ransversales et abandonnent à la substance grise an- 1(,'i,ieti2,e ( noyaux politiques) de nombreuses fibres; elles descenden
le contingent des fibres du lobe occipital; la partie postérieure du noyau externe du thalamus et la région sous-optique,
au externe du thalamus et la région sous-optique, en particulier le noyau rouge reçoivent les fibres du lobe pariétal. Le
CL, corps de Luys. - FT, faisceau de Turck. Ln, locus niger. - A'C, noyau caudé. - NG,, jVj ! .3, A ? 3, les trois segmen
. - A'C, noyau caudé. - NG,, jVj ! .3, A ? 3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge. - Il pul- vina
NG,, jVj ! .3, A ? 3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge. - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-tha
e, et ses fibres se terminent dans la partie postéro-supérieure des noyaux politiques. Au- cune fibre ne descend dans la p
portion sensitive des pyramides et reliait, par l'intermédiaire des noyaux des cordons de Goll et de Burdach, les cordons
ses centrales, cela tient iL son trajet; car, passant au-dessous du noyau lenticulaire, il ne peu aborder la capsule inlern
ubéran- tielles qui détruisent la partie supéro-postéro-externe des noyaux pon- tiques ne rentissent pas sur la voie pyram
tielles, qui se terminent dans la partie supéro-postéro-externe des noyaux pontiques ; il représente un neurone lent- porn
et dont les terminaisons s'échelonnent aux différentes hauteurs des noyaux pontiques. Toute dégénérescence du pied du pédo
doncule cérébral contenaient de nom- breuses fibres originaires des noyaux caudé et lenticulaire. Il n'est donc pas inutile
t, en outre, que la destruction des premier et deuxième segments du noyau lenticulaire, surtout lorsqu'elle s'étend à la pa
fibres du pied du pédoncule, tiraient leur origine du corps strié : noyau lenticulaire et noyau caudé. Pour Meynert, en
ule, tiraient leur origine du corps strié : noyau lenticulaire et noyau caudé. Pour Meynert, en effet, les connexions d
uadrijumeaux) et la substance grise centrale (cornes médullaires et noyaux des nerfs crâniens). L'écorce cérébrale était rel
, - CO, couche optique. - FC, fibres pédoncu- laires destinées au noyau caudé. - FD, fibres directes. -' FK. fibres du
s destinées au noyau caudé. - FD, fibres directes. -' FK. fibres du noyau caudé qui vont à la corticalité cérébrale. -
la corticalité cérébrale. - FL, fibres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire.FV, fibres du noyau lenticulaire q
, fibres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire.FV, fibres du noyau lenticulaire qui vont à la corticalité céré-
lenticulaire qui vont à la corticalité céré- brale. FS, fibres du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphéno
alique ou de la calotte. - 5, racine descendante du trijumeau. - 8, noyau externe de l'acoustique. - Si, noyau interne de
descendante du trijumeau. - 8, noyau externe de l'acoustique. - Si, noyau interne de l'acoustique. - 83 (coupe 4), fibres
l'acoustique. - 83 (coupe 4), fibres arquées en connexion avec les noyaux de l'acoustique. 10, noyau postérieur du vague
), fibres arquées en connexion avec les noyaux de l'acoustique. 10, noyau postérieur du vague et fibres radiculaires de ce
stérieur du vague et fibres radiculaires de ce nerf (coupe 4). - 10a, noyau antérieur du vague. - 12, noyau de l'hypoglosse
laires de ce nerf (coupe 4). - 10a, noyau antérieur du vague. - 12, noyau de l'hypoglosse. sa couronne rayonnante par tou
ne rayonnante par toute l'étendue de son bord supéro-externe (FT); le noyau caudé (FK) et le noyau lenticulaire (1\) receva
'étendue de son bord supéro-externe (FT); le noyau caudé (FK) et le noyau lenticulaire (1\) recevaient chacun la leur le lo
s siennes dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 50). Les fibres du noyau caudé (FC) et les fibres radiées du noyau lenti
(Fig. 50). Les fibres du noyau caudé (FC) et les fibres radiées du noyau lenticulaire (FL) y arrivaient en suivant la voie
directe de la capsule inlerne. Les libres des lames médullaires du noyau lenticulaire prenaient la voie détournée de l'a
ires du noyau lenticulaire prenaient la voie détournée de l'anse du noyau lenticulaire : elles longeaient la face inférieur
posé au niveau du raphé du cerveau moyen puis se rendaient dans les noyaux des nerfs moteur oculaire commun (III- paire) e
) et pathétique (IVe paire), quelques fibres descendaient jusqu'aux noyaux des VI,, VUe et XIIe paires; ces fibres de l'an
cérébrales des nerfs moteurs crâniens. Les autres fibres de l'anse du noyau lenticulaire descendaient dans l'étage antérieu
ou sensitif des pyramides (Fig. 51, coupe 5), puis se rendaient aux noyaux des cordons de Goll et de Burdach et se continu
pied du pédoncule cérébral, outre les faisceaux du corps strié, du noyau lenticulaire et les fibres corticales directes
corticalité, qui traversent la capsule interne sans entrer dans les noyaux gris des masses centrales. Toutefois, il ne leu
u externe, contigu au faisceau pyramidal, qui renferme les fibres des noyaux moteurs bulbaires (facial et hypoglosse) et cor
tour à tour le faisceau interne du pied du pédoncule avec l'anse du noyau lenticulaire et avec le faisceau d'Arnold. Fig.
ne de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (fibres du noyau caudé) non encore myélinisé. - d, la partie inter
dor- sale du pied du pédoncule cérébral (fibres du lobe frontal, du noyau lenticulaire et du noyau caudé) non encore myél
doncule cérébral (fibres du lobe frontal, du noyau lenticulaire et du noyau caudé) non encore myélinisée. - b, la partie ex
uche supérieure ou dorsale du pied du pédoncule cérébral (fibres du noyau lenticulaire et de la queue du noyau caudé) non
du pédoncule cérébral (fibres du noyau lenticulaire et de la queue du noyau caudé) non encore myélinisée. - g, les radiatio
l'étage antérieur de la protubérance, n'abandonne aucune fibre aux noyaux ;pontidues, forme la pyramide bulbaire et se conti
e son segment postérieur et contient des fibres du lobe frontal, du noyau caudé et de la partie antérieure du noyau lenticu
ibres du lobe frontal, du noyau caudé et de la partie antérieure du noyau lenticulaire. a) Les fibres originaires du lobe
ne participent pas à la constitution de la pyramide, b) Les fibres du noyau caudé, provenant de la têle, du tronc et de la
du noyau caudé, provenant de la têle, du tronc et de la queue de ce noyau , se rendent directement dans la capsule interne
tielles antérieures sont devenues profondes. c) Quant aux fibres du noyau lenticulaire, les unes occupent la couche dorsale
eau cortico-protubérantiel antérieur et en dehors par les fibres du noyau lenticulaire (b). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCO
dégénérescence (VP (d) consécutive à un foyer de ramollissement du noyau lenticulaire ayant sectionné dans la région tha
onvolutions frontale et pariétale ascendantes, sans participation des noyaux gris centraux. Il existait en outre dans ce cas
in), des fibres arciformes inter- réticulaires gauches (firfa), des noyaux des cordons de Burdach et de Goll gauches (\G,
fibres venant du tubercule quadrijumeau antérieur, du cervelet, du noyau de Deiters, etc.). Les lésions sous-corticales,
s supérieurs de la couche optique, (en particulier le pulvinar, les noyaux externe et interne du thalamus), et les corps gen
lamus), et les corps genouil- lés externe et interne; une partie du noyau rouge et du tubercule quadri- Fig. 6.i. - Irrig
niger ; la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance ( noyaux pontiques). Qu'elle n'envoie au globus pallidus
ventrale du thalamus, sur la bandelette optique, sur une partie du noyau rouge et du tubercule quadrijumeau anté- rieur;
ieur et le bras de ce tubercule; sur le ruban de Reil médian et les noyaux des cordons de Z3ztrdacJt et de Goll; sur les p
de Goll; sur les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen; sur les noyaux moteurs et sensitifs des nerfs crâniens; sur la
t à la lésion corticale ; tels sont, dans le cerveau antérieur : le noyau caudé, le putamen, l'anse du noyau lenticulaire
, dans le cerveau antérieur : le noyau caudé, le putamen, l'anse du noyau lenticulaire; dans le cerveau intermédiaire : l
et ses fibres arcifonnes, le faisceau longitudinal postérieur , le noyau du ruban de Reil latéral, les olives supérieure
téral, les olives supérieure et inférieure, le corps trapézoïde, le noyau de Deilers, etc. Nous étudierons successivement
Dégénérescence complète des fibres radiées du pulvinar (Pul) et du noyau interne (Ni) du thalamus (Th). - Dégénérescence i
missure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la partie ventrale du noyau externe (Ne) du thalamus. Intégrité du ganglion
du thalamus. Intégrité du ganglion de l'habénula (Gh) intégrité du noyau lenticulaire (NLi, NL2, NL3) qui n'a subi qu'une
tie adjacente de la substance blanche, mais respecte complètement les noyaux gris centraux et la capsule interne qui ne sont
e du rhombencéphale et de la moitié droite de la moelle épinière. Les noyaux caudé et lenticulaire étaient de volume normal
) de la capsule interne, du pulvinar (Pul), de la partie interne du noyau interne (Ni) du thalamus (Th). Dégénérescence inc
du centre médian (Nm). Atrophie en masse du corps de Luys (CL), du noyau lenticulaire (NL3, NL2, NLi), du faisceau rétrofl
. 2° Il existe : une dégénérescence complète des fibres radiées des noyaux externe et interne du thalamus (Ne, Ni) (Fig. 6
atrophie con- sidérable de la zone réticulée (Zr) et des différents noyaux du thalamus; 3° une dégéné- rescence de la part
thalamus; 3° une dégéné- rescence de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NU) (Fig. 70-72) et de la partie supéro-
NU) (Fig. 70-72) et de la partie supéro-externe de la capsule de ce noyau (CN13) (Fig. 69). Par contre, le corps strie (n
a capsule de ce noyau (CN13) (Fig. 69). Par contre, le corps strie ( noyau caudé et putamen) (NC, NL3), le globus pallidus
s corps genouillés externe (Cge) et interne (Cgi), de la capsule du noyau rouge (CNR,), de la commissure antérieure (coa).
en est de même du faisceau lenticulaire de Forel (FI), de l'anse du noyau lenticulaire (AI) et de tout ce système de fibr
uperficielle du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescence du noyau rouge. Atrophie légère de la bandelette optique.
Que la corticalité cérébrale envoie des fibres à toute l'étendue des noyau externe et interne du thalamus, au pulvinar, au
thalamus, au pulvinar, aux corpb genouillés interne et externe, au noyau rouge de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel
orps genouillés externe (Cge) et interne (Cgi) du locus Niger et du noyau rouge. (Méthode de Weigert.) Cas Pradel. Vaste
scence complète des fibres longitudinales de la protubérance et des noyaux pontiques gauches. Atrophie indirecte des pédon
eil, IIIe partie) ; 4° Ce cas montre en outre que le corps strié ( noyau caudé, putamen, globus pallidus) et le corps de
s de la corticalité céré- brale, si toutefois ils en reçoivent. Ces noyaux étaient, il est vrai, diminués de volume comme
n ne pouvait y suivre de fibres dégénérées, et l'état sain de ces noyaux contrastaient singulièrement avec l'atro- phie
les con- nexions de la corticalité cérébrale avec le thalamus et le noyau rouge et l'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel.
Le tronc de l'artère cérébrale antérieure (rose) irrigue la tête du noyau caudé et l'espace perforé antérieur (artères st
rieures), le tronc de l'artère sylvienne (bleu) irrigue le tronc du noyau caudé (artères lenticulo-striées et lenticulo-opL
nvolution godronnée, le pilier postérieur du trigone et la queue du noyau caudé. L'artère communicante postérieure (jaune)
de la paroi externe et du plancher de la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygdalien (NA) (Fig. 83 à 8)); une partie des
utre partie (fibres de projection) se recourbe en anse au niveau du noyau amygdalien, entre dans la constitution du segment
de petits foyers lacunaires disséminés dans le seg- ment interne du noyau lenticulaire. L'un d'eux (Fig. 97) empiète sur le
le interne, s'ajoute une dégénérescence de la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), et du segment postéri
rve, en outre, une dégénérescenc( de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NR, Fig. 103 et 104). Le lobe pariéta co
de la capsule interne, du pulvinar et de la partie adjacente du noyau ovtcrne du thalamus (Pul), do la zone de Wern
s genouillé interne (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinqui
de la capsule interne- du pulvinar et de la partie adjacente du noyau externe du thalamus (Pul), de la zone de Wern
ps genouillé interne (Cgi, des radiations de la calotte et du noyau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinqui
, des fibres radiées du pulvinar (Pul) et de la partie adjacente du noyau externe du thalamus. Dégénérescence (de la part
ions de la calotte, de la partie supéro-antérieure de la capsule du noyau rouge (CNII) et de la partie supéro-antérieure
psule du noyau rouge (CNII) et de la partie supéro-antérieure de ce noyau (,Nll). Dégénérescence du deuxième cin- quième
de la capsule interne, du pulvinar et do la partio adjacente du noyau externe du thalamus (Pul), de la zone de "Wer
s genouillé interne (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau rouge iNR). Dégénérescence du deuxième cinqui
postérieure du segment poste- rieur do la capsule interne , du noyau externe du thalamus, du deuxième cin- quièm
ule cérébral, du pes lcm- niscus profond, du lo- cus niger, des noyaux pontiques. Dégéné- rescence très intense de
ig. 107), delalame médullaire externe (Lme) etdes fibres radiées du noyau externe (Ne) du tha- lamus dans la partie adjac
postérieure du segment posté- rieur de la capsule interne , du noyau externe du thalamus, du deuxième cin- quièm
é- rescence du segment postérieur de la cap- sule interne, du noyau externe du thalamus, du cin- quième moyen du
ntéresse, non seulement le faisceau en crochet (OF) qui surmonte le noyau caudé et (juicontient la fois des fibres FIG. 1
re externe, de la zone ré- ticulée (Zr), et des fibres radiées du noyau externe du thalamus dans la partie adjacente à
interne entre le bord posté- rieur du putamen (\La) et le tronc du noyau caudé (NC); quelques fibres passent en dehors d
le tronc du noyau caudé (NC); quelques fibres passent en dehors du noyau lenticulaire, appartiennent pendant un court traj
isant des fibres à la zone réticulée (Zr) et à la partie adjacente du noyau externe du thalamus (Ne) (Fig. 108), puis abord
ent, il existe une disparition des fibres radiées dans la partie du noyau externe du 'thalamus (Ne) (Fig. 1l4) adjacente
énètre dans le segment antérieur de la capsule interne (Cia) entre le noyau caudé (NC) et le putamen (NL3), puis se porte e
de Vicq d'lzyr (VA) et se rendent dans l'extrémité antérieure des noyaux ex- terne et interne du thalamus (Ne, Ni) (Fi
contourné en dedans parles fibres à trajet horizontal de l'anse du noyau lenticulaire(.11), puis forme le cinquième in
t au niveau du raphé, puis descendent dans la ca- lotte jusqu'aux noyaux des nerfs mo- teurs bulbo-protubérantiels. Leur
es et du stra- tum zonale (Strz) de la partie postéro-supérieure du noyau externe du thalamus (Fig. 125) et du pulvinar (
126), par des fibres saines ( ! le) qui s'étendent de la queue du noyau ca : <df'(NC) au noyau lenticulaire (NL3), e
nes ( ! le) qui s'étendent de la queue du noyau ca : <df'(NC) au noyau lenticulaire (NL3), el appartiennent au système
audées. Le pulvinar (Pul), la partie pos- térieure et supérieure du noyau interne du thalamus (Ni), le corps genouillé exte
adja- cente du segment postérieur (Cip), la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), la partie supérieure
, les radiations de la calotte et la partie supéro-posté- rieure du noyau rouge (Fig. 133). Une seconde zone de dégénéres
e la partie supérieure du pulvinar, de la partie postérieure du noyau externe du thalamus, du corpsgcnouiHë lu- t
uaùrl.1u- meau postérieur et do la partie postéro supérieure du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du faisce
one réticulée et des fibres radiées de la partie postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Le Se
uadriju- meau postérieur et de la partie postéro- supérieure du noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du faisce
drijumeau postérieur (BrQp) et de la partie postéro-supérieure du noyau rouge (NI3). Il existe dans ce cas une dégénére
ico-thalamiques destinées au pulvinar et à la partie postérieure du noyau externe du thalamus, une dégénérescence des fib
le cérébral (Fig. 133). Il existe en outre une dégénérescence des noyaux pontiques et une dégénérescence très intense de
capsule interne e t du faisceau de TÜrck (FT). Dégénérescence des noyaux pontiques, sans dégénérescence appréciable de
e de Cip, aboutissent à la partie inférieure et postérieure des noyaux externe et interne du tha- lamus (Ne, Ni) (fibr
et Ouf+ Pr), du segment antérieur de la capsule interne (Cia), des noyaux externe et interne du thalamus (Ne et Ni). (Voy.
du faisceau occipito-frontal (OF) et de l'extrémité antérieure des noyaux externe et interne du thalamus (Th). Pas de dég
. 3/2 grandeur nature. frontal, (OF) jusqu'à la hauteur du tronc du noyau caudé (NC) ; d'autre part, dans la partie infér
e la capsule interne (Cia), ainsi que de l'extrémité antérieure des noyaux externe et interne du thalamus, mais elles ne ret
ent antérieur de la capsule interne (Cia) et des fibres radiées des noyaux externe et interne du thalamus et respectent el
ieure du thalamus et concourent à la formation des fibres radiées des noyaux externe et interne. Les lésions du lobe front
projection destinées à la couche optique, aux corps genouillés, au noyau rouge, etc., pour ne considérer que les fibres
s la profondeur, elle atteint l'épendyme ventriculaire au-dessus du noyau caudé, sectionne les pieds des segments moyen et
n segment postérieur (Fig. 143 et 144). Cette lésion respecte les noyaux gris centraux, en particulier le noyau caudé (Fig
. Cette lésion respecte les noyaux gris centraux, en particulier le noyau caudé (Fig. 144) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ur do la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- Lor, des quatre cin- qu
e ; faisceau py- ramifIaI homolatéral. et le troisième segment du noyau lenticulaire; elle ne sectionne le bord postérieu
es fibres saines existent sur les cou- pes qui passent au-dessus du noyau caudé (Fig. 143) CR); plus bas, elles s'accol
Fig. 143) CR); plus bas, elles s'accolent à la face externe de ce noyau (Fig. 144 x, pCR), s'infléchis- sent ensuite et
tiers supérieur de l'hémisphère cérébral et passe au-dessus du noyau caudé et du tronc du corps calleux. Méthode de
atation de la cavité ventriculaire, le volume et l'aspect normal du noyau caudé. Méthode de Weigert. Même échelle (5/4 gr
resque complète des fibres cortico-thalamiques du pulvinar (Pul), des noyaux Fic. 144. - Cas Rivaud. Hémiplé- gie cérébral
ur, moyen et posté- rieur de la couronne rayonnante sans léser le noyau caudé. Remar- quer les quelques rares fibres
ur do la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre CII1- q
ur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
thalamus ,en par- ticulier des libres radiées du pulvinar et du noyau externe du thalamus (Ne). ' Dégénérescence ex
x- trémité antérieure du thalamus. Inté- grité remarquable du noyau caudé et du putamen (com- parer la Fig. 145
externe et interne du thalamus (Ne, Ni) (Fig. t4a, 146). Les noyaux externe et interne du thalamus contiennent un pet
e du pulvinar (Pul), de la zone de Wer- nicke (W), de la capsule du noyau rouge (CNR), de la partie antéro-supérieure du no
de la capsule du noyau rouge (CNR), de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NR), des corps genouillés interne (Cgi)
de la cou- ronne tayonnante. Dégénérescence du jllIlvlD31', des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
sversale sectionnant la partie supérieure de la protubérance et les noyaux du toit du'quatrième ventricule. Le faisceau de T
tage ne contient pas de fibres longitudinales (Py (d). Atrophie des noyaux pontiques. Atropine indirecte du ruban de Reil
do la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du 11 pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, delà partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
ur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe. de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
qui n'est représenté que par un petit amas névroglique contenant le noyau arqué. Les libres saines du pied du pédoncule c
),desfibres arcifor- mes inLerréLiculaires gauches (fai a), des noyaux des cordons de Goll (NCG a), et de l3ur- dach
N DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la partie supérieure et postérieure du noyau rouge (\R) (fin. 1 r8 et 149) du locus niger lu
eur de la cou- ronno rayonnante. Dégénérescence du pulvinar,des noyaux externe et interne (lu thalamus, des corps
corps genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatro cin- qu
ur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interno du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, de la partie inférieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
ur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
ur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du thalamus, des corps g
corps genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
s internes du bulbe, de Y entre-croisement sensitif du bulbe et des noyaux des cordons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13)
hie extrême de la partie supérieure de la couche optique (pulvinar, noyaux externe et interne) (Fig. 1 15 et 46) et le dév
t presque normal de sa partie ventrale (centre médian de Luys ]Il), noyau semi-lunaire (nif) (Iviô. li7). Le corps strié (\
sont les radiations strio- thalamiques et sous-thalamiqucs (anse du noyau lenticulaire [AI], fibres strio- lu y siennes, fa
coup- genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- qu
pyramidal homolatéral. Fil. 163 et 164. - Irrigation vasculaire des noyaux gris centraux et de la capsule interne représen
rontales, la partie interne de l'espace perforé antérieur, la tète du noyau caudé, la partie inférieure et antérieure du pu
rne de l'espace perforé antérieur, les segments externe et moyen du noyau lenticulaire, le tronc du noyau caudé, le tiers
r, les segments externe et moyen du noyau lenticulaire, le tronc du noyau caudé, le tiers supérieur du segment antérieur et
ère cho- roïdienne antérieure (colorée en brun) irrigue la queue du noyau caudé, le pilier postérieur et le tronc du Irig
le pilier postérieur et le tronc du Irigone, le segment interne du noyau lenticulaire, les trois quarts postérieurs du s
du globus pallidus, le tronc et la partie adja- cente de la tête du noyau caudé, sectionné la partie supérieure du segment
it le putamen, évidé le tronc et la partie supérieure de la tète du noyau caudé, sectionné la partie supérieure du segmen
ur du thalamus (PaTh) qui s'irradient dans la moitié antérieure des noyaux externe et interne du thalamus, et limitent en
phasie. Lésion con- tralo ; destruction du putamen, du tronc du noyau eau dé, section de la partie supé- rieure du
sie. Lésion cen- trame ; destruction du Il putamen, du tronc du noyau caudé, section de la partie supé- rieur du se
réliculée (Zr) et des fibies radiées des deux liers antérieurs des noyaux externe et interne (Ne, Ni) du thalamus. Intégrit
rs des noyaux externe et interne (Ne, Ni) du thalamus. Intégrité du noyau antérieur et de la partie postérieure du noyau
alamus. Intégrité du noyau antérieur et de la partie postérieure du noyau externe. Dégénérescence partielle de la partie
antérieur de la capsule interne, la moitié inférieure de la tôle du noyau caudé et de la partie adjacente du putamen (Fig
due des circonvolutions antérieures de l'insula. La partie lésée du noyau caudé ressemble à une coque, vide de son conten
aphasie. Lésion cen- trale, destruction du putamen, du tronc du noyau caudé, section de la partie supé- rieure du s
sie. Lésion cen- trale ; destruction du il putamen, du tronc du noyau caudé, soction de la partie supé- rieure du s
one réticulée (Zr), aes fibres famées aes aeux tiers antérieurs des noyaux externe et interne du thalamus (Ne, Ni). Dans l
que présente la Fig. 169, ces fibres saines ne proviennent pas du noyau caudé. L'examen en coupes sériées permet de les
phasie. Lésion cen- trale ; destruction du putamen, du tronc du noyau caudé, section do la partie supé- rieure du s
(Zr), de la lame médullaire externe (Lme) et des fibres radiées du noyau externe (Ne) du thalamus, dans toute la région ad
rès intense du locus niger (Ln), du stratum intermedium (Stri), des noyaux pontiques, une dégénérescence très intense du fai
ig. 170 et 171). 3° Il existe dans ce cas une intégrité parfaite du noyau antérieur du thalamus (Na) (Fig. 166), du tiers
et du tiers externe du pied du pédoncule cérébral. Une intégrité du noyau rouge, des radiations de la calotte et du ruban
re externe (Lme) et des fibres radiées de l'extrémité antérieure du noyau externe et du noyau interne du thalamus. Dégéné
t des fibres radiées de l'extrémité antérieure du noyau externe et du noyau interne du thalamus. Dégénérescence du segment
e volume des libres arci- formes internes gauches et du feutrage du noyau du cordon de Burdach gauche (.NI». Cas Cogery.
égénéres- cence des libres radiées de l'extrémité antérieure du noyau externe et du noyau interne du thala- mus ; e
libres radiées de l'extrémité antérieure du noyau externe et du noyau interne du thala- mus ; elle a entraîné enfin
diminution de volume des fibres arciformes internes croisées et du noyau du cordon de Burdach croisé, ainsi qu'une dispari
urdach croisé, ainsi qu'une disparition partielle du feutrage de ce noyau . c. Lésions du segment postérieur de la capsule
la partie moyenne du segment postérieur delà capsule interne et du noyau lenticulaire, et sectionne, en outre, la capsul
a capsule en arrière du genou. Dégénérescence des fibres radiées du noyau externe du thalamus dans la région adjacente à
partie antérieure du pulvinar (Pul) et de la partie postérieure du noyau externe du tha- lamus sectionnant le quart post
occupe la partie antérieure du pulvinar et la pallie postérieure du noyau externe du thalamus et détruit en particulier l
érieure du pulvinar (Pul), la partie postérieure et inférieure du noyau externe (Ne), la partie profonde du corps genou
ame mé- dullaire externe (Lme), et de la zone réti- culée (Zr) du noyau externe du thalamus (Fig. 190); dégénérescence de
rescence rétro- grade du ruban de Reil médian (Itiii). Intégrité du noyau rouge (P\R) et de sa cap- sule de fibres. Dégén
t de la lame médullaire externe (Lme) du thalamus dans la région du noyau externe située immédiatement en avant du foyer pr
interne du pied du pédoncule. Intégrité du ruban de Reil médian, du noyau rouge et de sa capsule de libres. Méthode de We
dans ce cas une intégrité parfaite du ruban de Reil médian (Rm), du noyau rouge (NR) et de sa capsule de fibres. 2° AGÉ
tre les deux couches optiques (Th) et la face intraventriculaire du noyau lenticulaire. 1 ic. 202. - Cas Longery. Coupe v
- Cas Longery. Coupe vertico-transversale passant parle corps strie ( noyau caudé (NC) et noyau lenticulaire ril3, i'iL2 ?
vertico-transversale passant parle corps strie (noyau caudé (NC) et noyau lenticulaire ril3, i'iL2 ? iLt) et le segment ant
leur épanouissement dans la membrane épen- dymaire qui recouvre le noyau caudé et le putamen. Méthode de Weigert-Pal. 5/
o-transversale passant à droite par le pédon- cule cérébral (P), le noyau amygdalien (NA), le corps de Luys (CL), la partie
e vertico-transversale passant par le pédoncule céré- hral (P), les noyaux rouges (NR), la partie postérieure du segment pos
Fig. 206. - Cas Longery. Coupe vertico-trausversale passant par les noyaux rouges (NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le
gan- glion de l'habenula (Gh), la commissure postérieure (cop), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil médian (Ilm). La
té du sillon médian a ntérieur du bulbe on ne trouve que les petits noyaux arqués appliqués sur l'olive bulbaire (Narc, Fig.
terne la couche optique ! (Th), et à leur partie inféro- externe le noyau amygdalien (NA). Le corps strié présente un noy
éro- externe le noyau amygdalien (NA). Le corps strié présente un noyau caude (NC), un putamen (NL3), un globus pallidus
un globus pallidus (NL2, NLi) de forme et de dimension normales. Le noyau caudé est relié au putamen par de nombreux pont
ce que l'on observe dans le cerveau normal et recouvert ainsi que le noyau caudé par une membrane épendymaire (Ep) remarqu
bosselée (Fig. 204 et 205), son bord inférieur se continue avec le noyau amygdalien (NA, Fig. 202, 203 et 204). Le globus
ème des fibres striées est très bien myélinisé. Les fibres radiées du noyau caudé et du putamen, les lames médullaires du n
bres radiées du noyau caudé et du putamen, les lames médullaires du noyau lenticulaire, le feutrage du globus mllidus son
ans ses deux tiers antérieurs un aspect normal; on y dis- tingue un noyau antérieur (Na, Cig. 203), un noyau interne pauvre
pect normal; on y dis- tingue un noyau antérieur (Na, Cig. 203), un noyau interne pauvre en fibres à myéline (Ni, Fig. `
à myéline (Ni, Fig. ` ? Or), une lame médullaire interne (Lmi), un noyau externe (Ne) remarquable par son développement
terne (Fig. 206, 207). Quant à^la partie postérieure et ventrale du noyau externe du thalamus (fin.205) elle est subdivisée
entrale du noyau externe du thalamus (fin.205) elle est subdivisée en noyaux aplatis, de dedans en dehors par une série de l
blement à la présence des nombreuses fibres radiées qui sillonnent le noyau externe du thalamus, traversent en s'enchevêtra
thalamus et le globus pallidus (Fig. 204 et L,0 : 3), puis entre le noyau caudé et le putamen pour s'épanouir en éventail
Forel (Fth, Fig. 203), le champ de Forel (F, Fig.20t). lacapsule du noyau rouge, les radiations de la calotte (RC, Fig. 20)
e, les radiations de la calotte (RC, Fig. 20), paraissent normaux. Le noyau rouge (NR, Fig. 205, ` ? 00, 20G) contient tout
226) du sommet du corps du trigone à la partie an 1 éro-iuféricme du noyau caudé où un diverticule inférieur et médian de
e, plus volumineuse, se recourbe en dedans, passe entre la queue du noyau caudé et le putamen, forme les segments rétro (Ci
obe orbitaire. Cette coupe sectionne le stratum zonale (Strz) et le noyau antérieur (ThXa) de la couche optique, la parti
e et antérieure du corps strié, en particulier, la masse commune au noyau caudé (NC) et au putamen (XL3), et la couronne
La partie inférieure, basale du septum lucidum (SI) sépare les deux noyaux caudés, et s'étend du pilier antérieur du trigo
ilier antérieur du trigone (Tge) à la partie inférieure de la tête du noyau caudé un diverticule médian, inférieur ou front
e ces coupes). La couche optique remarquablement petite présente un noyau interne (Th\'i) et un noyau externe (ThNe) bien
ique remarquablement petite présente un noyau interne (Th\'i) et un noyau externe (ThNe) bien développés, riches en fibres
tives (Roi), et le pédoncule du septum lucidum (PSI) entre les deux noyaux caudés. A la partie [postérieure de la coupe, o
(1\'111), le corps de Luys (CL), et la partie inférieure basale du noyau caudé (C ? sC). Ici encore, le segment postérie
A LE. 213 Les ganglions de la base (Fig. 220 à 230) comprennent un noyau caudé, un noyau lenti- culaire et un thalamus b
ganglions de la base (Fig. 220 à 230) comprennent un noyau caudé, un noyau lenti- culaire et un thalamus bien constitués e
ique passant par la région sous- optique, le corps de Luys (CL), le noyau rouge or), par le segment sous-lenticulaire de
où ses fibres sont adossées au premier et au deuxième segments du noyau lenticulaire et paraissent refoulées en dehors
nd néanmoins dans cette région du genou de la capsule à la queue du noyau caudé; mais, comme la partie supérieure du segm
ie supérieure du segment rétrolenticulaire fait défaut, la queue du noyau caudé occupe une situation un peu plus antérieu
s dans toute la région qui s'étend de la lame médullaire interne du noyau lenticulaire au segment rélro-lenliculaire de l
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. aux deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire ou n'en sont séparées que par quel
cales descendantes; les pyramides antérieures sont absentes, et les noyaux arqués directement appliqués sur la couche inter-
mite posté- rieure est constituée par la lame médullaire externe du noyau lenticulaire. A la partie postérieure du segmen
latérale et se carac- térise alors par de la cdrzt.· rorticnlr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau rou
ise alors par de la cdrzt.· rorticnlr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0, première circon-
cdrzt.· rorticnlr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0, première circon- volution occipital
17a', circonvolutions frontales ascendantes gauche et droite. - NC, noyau caudé. - NL3, NL2 les segments externe et moyen d
ite. - NC, noyau caudé. - NL3, NL2 les segments externe et moyen du noyau lenticulaire. Pc, Pc', plis courbes gauche et d
la zone motrice, - neurones de premier ordre, - vont actionner les noyaux des nerfs moteurs crâniens, - neurones de deuxi
ymétrique et siégeait dans le segment externe - put3men - de chaque noyau lenticulaire. Elle a été retrouvée par différen
(I894). Pour nous, celte localisation ne peut plus être admise. Le noyau lenticulaire, en effet, n'envoie pas de fibres da
symétriques - hémorrhagie, ramollissement, soit du putamen, soit du noyau lenticulaire en entier - se rencontrent fréquemme
nce d'une paralysie bulbaire dans ces cas de lésions symétriques du noyau lenticulaire, il existait dans la protubérance
riées, on trouve toujours que la lésion bilatérale et symétrique du noyau lenticulaire, a intéressé le genou et la partie a
riées n'avait été pratiquée, regarder la lésion symétrique des deux noyaux lenticulaires comme cause des accidents paralytiq
aralytiques. Pour nous, nous le répétons, une lésion symétrique des noyaux lenticulaires n'empiétant pas sur la capsule in
lésion de la partie antéro-latérale de la protubérance, au niveau du noyau du nerf cochléaire, et s'accompagner d'anesthés
, en avant du pulvinar, dans la partie postérieure et inférieure du noyau externe du thalamus (région du ruban de Reil). No
- ruban de Reil - s'arrête dans le thalamus et s'arborise clans le noyau externe et dans le centre médian de Luys. De là
t tacitement être suivie jusqu'à la circonvolution du crochet et au noyau amygdalien. Le plus sou- vent elle est unique,
ctif et ne possèdent que de rares libres de projection destinées au noyau amygdalien. Dans leur ensemble, elles con- stit
les du cerveau antérieur (partie inférieure et basale de la tête du noyau caudé (CNC) substance perforée antérieure, subs
factive en particulier l'extrémité inférieure, basale, olfactive du noyau caudé (CNC). - Coupe sagittale correspondant à
rtie de l'aire olfactive située en arrière du tubercule olfactif du noyau caudé (CNC) et comprenant la substance perforée a
Luys. - CM, commissure de Meynert. - CNC, tubercule ou colliculus du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. - FI, fais
u courtes d'association de la première circonvolution frontale. - NC, noyau caudé. - iVL2, deuxième segment du noyau lentic
onvolution frontale. - NC, noyau caudé. - iVL2, deuxième segment du noyau lenticulaire. 01'\, partie orbitaire de la premiè
volution de l'hippocampe. - Li, première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche optique. - NA, noyau a
olution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche optique. - NA, noyau amygdalien. - l'ol, pédoncule olfactif.- PSI, p
les, les uns se portent en dehors et se rendent directement dans le noyau amygdalien (NA) ; les autres se dirigent en ded
la commissure anté- rieure, ou encore le lobe olfactif d'un côté au noyau amygdalien du côté opposé, par l'intermédiaire
fibres de projection enfin, elles relient le lobe olfactif : 1' au noyau amyg- da lien du même côté, soit directement, s
soit par l'intermédiaire du toenia semicircularis ; 2° au thalamus ( noyau externe et pulvinar) par l'intermé- diaire du t
CL, corps de Luys. - C.ll, commissure de Meynert. - CNR, capsule du noyau rouge. - coa, commissure antérieure. - FI, faisce
Lmi, lame médullaire interne du thalamus. - Lzz, locus niger. - NC, noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau exter
e interne du thalamus. - Lzz, locus niger. - NC, noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau int
. - Lzz, locus niger. - NC, noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne. - Sm, centre médi
NC, noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne. - Sm, centre médian du thalamus. - Nii,
externe. - Ni, noyau interne. - Sm, centre médian du thalamus. - Nii, noyau rouge et sa capsule de fibres (CNlI). - P, pied
lis). Le l.enia semidrcu]al'is(tsc) relie l'aire olfactive (Aol) au noyau amygdalien (i\'A) età la couche optique. Il rep
et contient à la fois des fibres qui prennent leur origine dans le noyau amygdalien et se terminent dans l'aire olfactiv
érieur, le septum lucidum et les arborisations termi- nales dans le noyau amygdalicn. FiG. 254. - Les radiations olfactiv
féro-interne du thalamus vus sur une coupe sagittale passant par le noyau antérieur du thalamus, en dedans du plan des co
- Lmi, lame médullaire interne du thalamus. LI/, locus niger. - Na, noyau antérieur, vue, noyau externe du thalamus. NR, no
interne du thalamus. LI/, locus niger. - Na, noyau antérieur, vue, noyau externe du thalamus. NR, noyau rouge. l', pied du
s niger. - Na, noyau antérieur, vue, noyau externe du thalamus. NR, noyau rouge. l', pied du pédoncule cérébral. - Pt771,
riangulaire, s'enfonce à la façon d'un coin entre le thalamus et le noyau caudé. Son sommet mal déterminé atteint le geno
taenia semicircularis conserve ses rapports avec le thalamus et le noyau caudé jusqu'au niveau du carrefour ventriculaire.
orne sphénoïdale, il s'éloigne de la partie recourbée delà queue du noyau caudé, reste accollé à la couche optique et se
n des plexus choroïdes de la corne sphénoïdale, et il est séparé du noyau caudé par le faisceau temporo-thalamique d'Ar-
subdivise en trois, quatre ou cinq fascicules qui pénètrent dans le noyau amygdalien et le segmentent en plusieurs amas.
sceau naîtrait, chez la taupe et le lapin, de toutes les parties du noyau amygdalien, entrerait en connexion intime avec
parties du noyau amygdalien, entrerait en connexion intime avec le noyau caudé et se terminerait soit dans la sub- stanc
enia semicircularis prendrait son origine ou se terminerait dans le noyau amygdalien, dans l'avant-mur, le noyau lenticu-
ne ou se terminerait dans le noyau amygdalien, dans l'avant-mur, le noyau lenticu- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉB
orce de la pointe du lobe temporal. Il n'enverrait pas de fibres au noyau caudé, mais en enverrait probablement dans le tha
taenia semicircularis prendrait son origine (chez le lapin) dans le noyau lenticulaire, le noyau amygdalien. et la substanc
rendrait son origine (chez le lapin) dans le noyau lenticulaire, le noyau amygdalien. et la substance grise de la pointe
ance grise de la pointe de la corne sphénoïdale. Il ne recevrait du noyau caudé et du thalamus aucun contingent de fibres
e optique. - Lme, lame médullaire externe. - \'G2, segment moyen du noyau lenticulaire. - or, orifice vasculaire. - Llsl/
septum lucidum, substance innominée sous-lenticulaire de Reichert, noyau amygdalien. Les fibres de projeclion, enfin, unis
le interne, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alveus intraven
interne. - Ln, locus niger. - Ne', partie recourbée de la queue du noyau caudé,. - NL2, NL3, deuxième et troisième segment
ueue du noyau caudé,. - NL2, NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noy
2, NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau rouge. - Rm, ruban de Reil
sième segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau rouge. - Rm, ruban de Reil. - SI ? , formation ré
érieurs du trigone et se fusionne avec la partie basale de la tête du noyau caudé (Fig. 220, p. 209). Les coupes montrent
du corps calleux; 3° par le tronc du corps calleux dans le plan du noyau rouge et du centre médian de Luys; 4° dans le p
rel et de la zona inceita; 5° par le septum lucidum dans le plan du noyau an- térieur du thalamus. Alv, alveus intraven
andeur nature). Cc(g), genou; Ce (r), bec du corps calleux. NC, noyau caudé. - VI, ventricule latéral. Leur origine.
e du thalamus le long du tamia thalami, le tubercule mamillaire, le noyau rouge et la commissure postérieure. Méthode de
du tuber cinereum. - LI, première circon- volution limbique,. - NR, noyau rouge. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. -
(4/1 Grandeur nature). CM, commissure de Meynert. - CNR, capsule du noyau rouge.- coa, commissure anté- rieure. - eF, ent
fTc, faisceau du tuber cinereum de Gudden. - Ln, locus niger. - NR, noyau rouge. - CNR, sa capsule de fibres. - P, pied du
dum. - Te, tuber cinereum. Tga, pilier antérieur du trigone. - Tmi, noyau interne; Tml, noyau externe ou latéral du tubercu
ereum. Tga, pilier antérieur du trigone. - Tmi, noyau interne; Tml, noyau externe ou latéral du tubercule mamillaire. VA, f
de Reichert; 2° le faisceau lenticulaire de Forel (FI) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) au moment où ils contournent
cle tubercule mamillaire latéral. Pour éviter sa confusion avec le noyau latéral du tubercule ma- millaire, nous le dési
éro-externe du tubercule mamillaire et qui constitue le ganglion ou noyau externe du tubercule mamillaire . Ces connexions
tubercule mamillaire du côté correspondant est diminué de volume, son noyau externe est dégénéré; la capsule de la partie v
son noyau externe est dégénéré; la capsule de la partie ventrale du noyau interne et son feutrage ont en partie disparu.
r postérieur du trigone (Tgp) et la partie postérieure recourbée du noyau caudé (ni). Dégénérescence du bec postérieur du
ciation des circonvolutions temporales (dégénérées). - Nu, queue du noyau camlé. - / : \'C', fibres propres de ce noyau.
rées). - Nu, queue du noyau camlé. - / : \'C', fibres propres de ce noyau . - Oh", segment temporal du faisceau occipito-fro
-lenticulaire de la capsule interne la paroi externe de la queue du noyau caudé et mélangées aux fibres conservées du tapet
sphénoidale et compris entre le toenia semicircularis et la queue du noyau caudé. Une partie des fibres dégénérées (celles
de la voûte de la corne sphé- noidale jusqu'à la partie moyenne du noyau amygdalien où elles changent de direction, se p
ure antérieure constitue un faisceau fermé. Dans son trajet sous le noyau lenticulaire (fin. 269), la commissure antérieure
ventricule latéral, le long de la queue, du tronc et de la tête du noyau caudal. Elles occupent l'angle externe du ventric
n de l'habenula. - GSL, ganglion du septum lucidum. - Na, Ne, Ni, les noyaux antérieur, interne et externe du thalamus. - NC
Ni, les noyaux antérieur, interne et externe du thalamus. - NC, le noyau caudé. - P, pied du pédoncule cérébral. - aPcs,
hez l'homme, un petit nombre de fibres se terminent seules dans les noyaux externe et interne (Honegger, Cajal, Kôlliker, Vo
: l'un interne, l'autre externe (Tm, Tml, Fig. 275). Le ganglion ou noyau interne l'orme la partie principale du tubercule
ubstance grise cen- trale du troisième ventricule et du ganglion ou noyau externe du tuber- cule mamillaire. Le ganglion
ganglion ou noyau externe du tuber- cule mamillaire. Le ganglion ou noyau externe, beaucoup plus petit, est pyriforme, me
lus ou moins épaisse de fibres qui appartiennent à la capsule de ce noyau . Dans quelques cas rela- tivement rares, le noy
la capsule de ce noyau. Dans quelques cas rela- tivement rares, le noyau externe fait saillie à la base du cerveau dans le
pédonculaire, et un sillon plus ou moins profond le sépare alors du noyau interne. Le noyau externe est en rapport en dehor
n sillon plus ou moins profond le sépare alors du noyau interne. Le noyau externe est en rapport en dehors avec la partie
t du faisceau lenticulaire de Forel; dans l'espace compris entre le noyau externe, le pied du pédoncule cérébral et la su
ire principal (Fmp). - Ce faisceau lire son origine des cellules du noyau interne du tubercule mamillaire et de sa capsule
re dans la calotte du pédon- cule cérébral. II passe au-dessus du noyau rouge, entre dans la consti- tution de la parti
i- tution de la partie postérieure el interne de la capsule de ce noyau , se place en avant du faisceau lon- gitudinal
vre sur les coupes verlico-transver- FiG. 2;6. - Coupe sagittale du noyau in- terne du tubercule mamillaire de la souris
le mamillaire de la souris nouveau-née. (D'après Cajal, 1896.) A, noyau interne du tubercule mamil- laire. - b, ses cel
eau. - E, commis- sure intermamillaire. - F, région intérieure du noyau interne du tubercule mamillaire. FIBRES DE PROJ
bas en haut el un peu de dehors en dedans l'extrémité antérieure du noyau externe FIG. 277. - Le pilier antérieur du trig
f1'c, faisceau du tuber cinereum de Gudden. Ln, locus niger. - NR, noyau rouge. - C\-R, sa capsule de fibres. - P, pied du
isceau du tuber cinereum. Tria, pilier antérieur du trigone. - Tri, noyau interne. 1'ml, noyau externe ou latéral du tuber-
eum. Tria, pilier antérieur du trigone. - Tri, noyau interne. 1'ml, noyau externe ou latéral du tuber- cule mamillaire. -
'Azyr. 302 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa terminaison dans le noyau anté- rieur de la couche optique. Pédoncule
léchit en avant et en dedans, s'élargit en entonnoir et embrasse le noyau anté- rieur de la couche optique dans lequel il
croyait que le faisceau de Vicq d'Azyr prenait son origine dans le noyau antérieur du thalamus et se terminait dans le t
ceau de Vicq d'Azyr se termine par des arborisations libres dans le noyau antérieur du thalamus et qu'il prend son origine
et le locus niger; elles passent ensuite au-dessous et en dehors du noyau rouge (Fig. 277) vers la région du ruban de Rei
bres se portent en arrière et en dedans, longent la face interne du noyau rouge et arrivent à la substance grise de l'aqu
sceau longitudinal postérieur. Il est pro- bablement l'homologue du noyau central supérieur de l'homme (Voy. For- mation
STRIÉ Structure du corps strié. Le corps strié, en particulier le noyau caudé et le putamen, présente une structure très
sposeraient en couches stratifiées au voisinage de la face libre du noyau caudé et de la face externe du putamen. Les rec
nne et petite taille, on trouve irrégulièrement disséminées dans le noyau caudé et dans le puta- men quelques cellules de
fiées et velues existent surtout dans le globus pallidus et dans le noyau caudé. Dans le pulamen de l'homme, Külliher a d
. 278. - Cellule géante du type Il de Golgi (à cylindre-axe court). Noyau lenli- culaire du lapin adulte. Méthode de Golg
soit vers la capsule interne, traversant ainsi toute l'épaisseur du noyau caudé. Le noyau caudé est en outre traversé rad
sule interne, traversant ainsi toute l'épaisseur du noyau caudé. Le noyau caudé est en outre traversé radiairement par le
dant. 308 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres terminales. Le noyau caudé et le putamen ne re- çoivent pas de fib
vec la corticalité cérébrale. - Le corps strié, en particulier le noyau caudé et le putamen, ne reçoit, au moins chez l
er l'élude des coupes sagittales (Fig. 281 et 282), le corps strié ( noyau caudé et putamen) n'est donc pas en con- nexion
t leur siège, leur étendue et leur durée ne retentissent pas sur le noyau caudé et sur le putamen comme elles retentissen
FIG. 281. - Coupe sagittale passant par le pédoncule du putamen, les noyaux amygda- lien et préamygdalien, les segments sou
ur de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de l'insula. - ? 1, noyau amygdalien. \'C', Suc", queue et extrémité anlé
\'C', Suc", queue et extrémité anlérieure recourbée de la queue du noyau caudé et sa fusion avec le pédoncule du putamen
é et sa fusion avec le pédoncule du putamen. - SL3, putamen. j\'pA, noyaux préam3gdaliens. ol, sillon collatéral. l'SL3, p
VEUX. Fig. 282. - Coupe sagittale passant par les trois segments du noyau lenticulaire, le pulvinar, le corps genouillé e
onne rayonnante simule sur cette coupe une cou- ronne rayonnante du noyau lenticulaire (putamen et globus pallidus). Remarq
ne du thalamus. - lme, lmi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. - Lins, lame mé- dullaire superfi
, lame mé- dullaire superficielle de la corne d'Ammon. NC, queue du noyau caulé. - Ne, noyau externe du thalamus. - A ? 3
re superficielle de la corne d'Ammon. NC, queue du noyau caulé. - Ne, noyau externe du thalamus. - A ? 3, NL2, \'Lr , les t
yau externe du thalamus. - A ? 3, NL2, \'Lr , les trois segments du noyau lenticulaire. - ol, sillon collatéral. - Plch,
Rivaud (p. Cil, Fig. 142 à t62) en est un exemple très frappant. Les noyaux caudé et lenticulaire sont respectés par la lés
(Fig. 144 à li6), sauf au niveau du deuxième cinquième postérieur du noyau lenticu- laire, où la lésion fuse en dedans et
la première enfance et où le malade survécut 24 ans à sa lésion, le noyau caudé est remarquable par son volume qui ne le
e le cède en rien à celui du côté sain. [Comparez en particulier le noyau caudé droit de la figure 143 avec le noyau caud
mparez en particulier le noyau caudé droit de la figure 143 avec le noyau caudé du côté sain (Fig. 144) dessinés au même gr
e (Cia) font défaut, et grâce à l'absence de ces fibres, l'union du noyau caudé et du putamen paraît encore plus intime que
t les deux couches optiques de la Figure 1 Í : 7 entre elles.) Le noyau caudé et le putamen se comportent de même dans le
19 ans, à la lésion corticale. Ni dans l'un ni dans l'autre cas, le noyau caudé ou le putamen n'étaient altérés. Quelques
la mince couche de fibres il myéline sous-épendymaire qui tapisse le noyau caudé (f NC, Fig. 290), appartienne en propre à
tapisse le noyau caudé (f NC, Fig. 290), appartienne en propre à ce noyau et représente des fibres d'association inlercau
ui intéressent le tapetum (Fig. 2GG à 272)]. Elles n'abandonnent au noyau caudé que de très rares fibres, ainsi que le mo
u manteau cérébral. Radiations corticales du globus pallidus. Si le noyau caudé el le putamen ne reçoivent pas de fibres
les divergent et pénètrent, soit dans la lame médullaire externe du noyau lenticulaire, soit dans le deuxième segment de
externe du noyau lenticulaire, soit dans le deuxième segment de ce noyau . - Ces fibres peuvent être suivies encore avec
ent rétro-lenticulaire de la capsule inlerne et relient la queue du noyau caudé au globus pallidus (Fie) (cas Heudebert,
de la profondeur laisse absolument intact les coips opto-striés. Le noyau lenticulaire ne contient aucun foyer lacunaire.
tance grise antérieure de la protubérance. 2° Une dégénérescence du noyau externe du thalamus (Ne) dans la partie adjacente
e) et la substance grise fonda- mentale de la moitié postérieure du noyau externe; elle respecte la moitié antérieure du
postérieure du noyau externe; elle respecte la moitié antérieure du noyau externe, ainsi que le noyau interne (Ni), le pulv
; elle respecte la moitié antérieure du noyau externe, ainsi que le noyau interne (Ni), le pulvinar (Pul) et les corps geno
orps genouillés (Cgi Cge). Elle occupe en outre toute la hauteur du noyau externe, s'étend à la partie ventrale de ce noy
ute la hauteur du noyau externe, s'étend à la partie ventrale de ce noyau et au centre médian de Luys (Nm),et occupe en par
dian de Luys (Nm),et occupe en particulier cette partie profonde du noyau externe que nous avons désignée sur le nom de Rég
ncule céré- bral, du locus niger, du pcs lemniscus profond, des noyaux pontiques. du fais- ceau py ramdal. - Dégén
(PLp), Fig. 28 : i). Dé- générescence de la moitié postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), de la lame médullaire
très manifeste du globus pallidus (premier et deuxième segments du noyau lenticulaire NL2, ni, NI,/) avec intégrité du put
nérescence du globus pallidus occupe toute la substance grise de ce noyau , elle est en outre par- ticulièrement manifeste
ux pyramidaux direct, croisé et homo-latéral; ? Une dégénérescence du noyau externe du thalamus, du pulvinar, des corps gen
a région thalamique supérieure la dégénérescence intéresse les rois noyaux thalamiques, externe, interne et antérieur. Dans
), la dégénérescence se cantonne dans le rois quarts postérieurs du noyau externe et dans le pulvinar. Elle occupe toute la
noyau externe et dans le pulvinar. Elle occupe toute la hau- eur du noyau externe, en particulier sa couche ventrale, au ni
le peut être suiv ie jusque dans la partie exlerne de la capsule du noyau rouge. Inc. ? 87, ? 88, 289. - Cas Hilaire. Hém
tes postéro-externes de la voie pédonculaire. Dégé- nérescence du noyau externe du thalamus (Ne), du pulvinar (l'ul), d
ous-corti- cales entraînent en l'absence de tout foyer lacunaire du noyau lenticu- laire une dégénérescence toujours légè
brale, ses libres suivent le trajet de la lame médullaire interne du noyau lenticulaire, puis arrivent au corps de Luys en
arborescent, qui convergent tous vers certains points déterminés du noyau caudé el du noyau lenticulaire. Les fasci- GANG
onvergent tous vers certains points déterminés du noyau caudé el du noyau lenticulaire. Les fasci- GANGLIONS INFRAC013TIC
Les fasci- GANGLIONS INFRAC013TIC1U1 : CORPS STRIÉ. 319 cules du noyau caudé se dirigent vers son bord inféro-interne; c
es du noyau caudé se dirigent vers son bord inféro-interne; ceux du noyau lenticulaire émergent le long de son sommet et de
rgent le long de son sommet et de sa face inférieure. Radiations du noyau caudé. - Les fascicules ou radiations du noyau
ure. Radiations du noyau caudé. - Les fascicules ou radiations du noyau caudé ne présentent, suivant les régions, ni la m
de la couronne rayonnante, les fascicules de la tête et du tronc du noyau caudé affectent l'aspect d'un pointillé assez r
uche optique (Fig. 291, 21, 13 et 47), les fascicules de la tète du noyau caudé se trouvent sectionnés parallèlement à leur
tion, ces fascicules convergent tous vers le bord inféro-interne du noyau caudé, puis traversent sous le nom de fibres len-
yons d'une roue vers leur axe. Les libres originaires de la tête du noyau caudé traversent le segment antérieur de la capsu
nt dans la constitution des lames médullaires interne et externe du noyau lenti- culaire. Un petit nombre de fibres se te
oncourent à former les fibres radiées et les lames médul- laires du noyau lenticulaire. Les radiations du no) au caudé.
u thalamus, la partie supérieure du putamen, la tète et la queue du noyau caudé et les radiations du noyau caudé. Méthode d
du putamen, la tète et la queue du noyau caudé et les radiations du noyau caudé. Méthode de Weigert. 4/1 grandeur nature.
du segment postérieur de la couronne rayonnante. - f\-C, fibres du noyau caudé. - la, circonvolutions antérieures de l'ins
sula. - Ip, circonvolution posté- rieure de l'insula. - NC, tête du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, pu-
sté- rieure de l'insula. - NC, tête du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, pu- tamen. Ouf, faisceau occipito
yonnante. - Pur, fibres de projection corticales longeant la queue du noyau caudé. - SI, septum lucidum. - Th(Strz) stratum
réticulée. Toutes les fibres caudées ne traversent cependant pas le noyau lenticu- laire ; un petit nombre, provenant sur
tit nombre, provenant surtout de la partie inférieure de la tête du noyau caudé, suit dans le segment antérieur de la capsu
artie ventrale de l'extrémité antérieure du thalamus. Radiations du noyau lenticulaire. Les fascicules ou radiations du n
Radiations du noyau lenticulaire. Les fascicules ou radiations du noyau lenticulaire se disposent en deux groupes, les un
t le putamen et le globus pallidus, et convergent vers le sommet du noyau lenticulaire, fibres radiées du noyau lenticulair
convergent vers le sommet du noyau lenticulaire, fibres radiées du noyau lenticulaire; les autres séparent les trois seg
es du noyau lenticulaire; les autres séparent les trois segments du noyau lenticulaire, et subdivisent ses deux segments
du putamen (\TL3) présentent le même aspect arborescent que ceux du noyau caudé (Fig. 291, 21, 2Í, 43, 47). Arrivés au ni
e la région sous-tha- lamique. Plus étendue que les autres lames du noyau lenticulaire, mince en haut, un peu plus épaiss
e, mince en haut, un peu plus épaisse au voisinage de la base de ce noyau , elle est lovii : u. 21 Les deux groupes do
yau, elle est lovii : u. 21 Les deux groupes do radiations du noyau lenticulaire. Les fibres radiées; leur trajet
ique de la capsule interne Cette coupe intéresse les radial ions du noyau caudé et du putamen. La partie supé GANGLIONS I
- Lmi, lame médullaire interne. - lme, lame mé- dullaire externe du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - fVC, fibres pr
erne. - lme, lame mé- dullaire externe du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - fVC, fibres propres du noyau caudé. -
du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - fVC, fibres propres du noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe
ire. - NC, noyau caudé. - fVC, fibres propres du noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau inter
- fVC, fibres propres du noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne du thala- mus. - N
s du noyau caudé. - Na, noyau antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne du thala- mus. - NL3, NL2, les deux seg
au interne du thala- mus. - NL3, NL2, les deux segments externes du noyau lenticulaire. - OF + Pr, faisceau occipito-fron
dues; l'exlerne (lme') cloisonne incomplètement le segment moyen du noyau lenticulaire (Fig. 43, p. 63; Fig. 47, p. 69) ; Y
terne (lmi'), beaucoup plus accentuée, occupe le segment interne du noyau lenticu- laire, le cloisonne quelquefois complè
laire, le cloisonne quelquefois complètement, de telle sorte que ce noyau comprend en réalité quatre segments au lieu de
à ceux de la lame médullaire interne qu'ils renforcent à la base du noyau lenticulaire. Quelle que soit la direction des
la direction des fibres des lames médullaires dans l'épais- seur du noyau lenticulaire, elles deviennent toutes horizontale
eviennent toutes horizontales au niveau de la face inférieure de ce noyau , et la tapissent d'une dense couche de fibres,
e de fibres, d'autant plus épaisse que l'on s'approche du sommet du noyau lenticulaire, et partant du genou de la capsule
eur origine et leur trajet intra-strié, qu'elles appartien- nent au noyau caudé, au putamen ou au globus pallidus (fibres l
(fibres lenticulo- caudées, fibres radiées ou lames médullaires du noyau lenticulaire), con- vergent toutes vers le somm
aires du noyau lenticulaire), con- vergent toutes vers le sommet du noyau lenticulaire et affectent à leur Trajet des rad
long de la face interne du globus pallidus, au-dessus du sommet du noyau lenticu- laire, traversent le segment postérieu
lé, le globus pallidus, les lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. Méthode de Weigert. 4/1 grandeur
rne du thalamus. - lme, lmi, lames médullaire externe et interne du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - \'L,, NL2, 1
i, lames médullaire externe et interne du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - \'L,, NL2, 1YL" les trois segments du
culaire. - NC, noyau caudé. - \'L,, NL2, 1YL" les trois segments du noyau lenticulaire.- PaTh, pédoncule antérieur de la co
nfiniment plus nom- breuses ; à leur émergence le long du sommet du noyau lenticulaire, elles se concentrent en une couch
ure du thalamus et de la région sous- optique, en formant l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces trois groupes de fibres,
éro-ventrale du thalamus. Il est surtout formé de fibres radiées du noyau lenticulaire qui traversent en fascicules nombreu
e pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al). Il abandonne chemin faisant qu
c'est-à-dire à la partie antérieure et supérieure de la capsule du noyau rouge, puis s'irradie dans la partie antéro-infér
ne racine luysienne de la bandelette optique (Voy. p. 429). Anse du noyau lenticulaire (Al). L'anse du noyau lenticulaire
e optique (Voy. p. 429). Anse du noyau lenticulaire (Al). L'anse du noyau lenticulaire (ou anse lenticulaire, ansa lentic
ées et les lames médullaires externe, interne et supplémentaires du noyau lenticulaire concourent à la former, mais elle
re). - lme, lame médullaire externe ; lmi, lame médullaire interne du noyau lenticu laire. - NC', queue du noyau caudé - XL
mi, lame médullaire interne du noyau lenticu laire. - NC', queue du noyau caudé - XL" , XL2, VG3, les trois segments du noy
. - NC', queue du noyau caudé - XL" , XL2, VG3, les trois segments du noyau lentri culaire. - Nm, centre médian de Luys. -
. Dans celle partie de son trajet, elle longe la face inférieure du noyau lenticulaire (Fig. 23), appartient à la substance
ricule, puis pénètre dans la partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge (CNR) (Fig. 251^253 et 254, p. 268). Cont
-op- tique. Son irradiation dans le thalamus ot la capsule du noyau rouge. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dé
régionales variant suivant le siège. Bechterew, etc., l'anse du noyau lenticulaire n'envoie aucune fibre dans le ruba
tient évi- demment à la complexité de l'irrigation vasculaire de ce noyau , le corps strié recevant ses vaisseaux des artè
la lésion : ainsi les lésions de la partie supérieure et moyenne du noyau lenticulaire (domaine des artères lenticulo-str
ctent relativement l'anse lenticu- laire. Les lésions de la tête du noyau caudé et de l'e.x'6' ? ? ? e antérieure du puta
maine des artères lenticulo-striées) épargnent en général l'anse du noyau lenticulaire et le faisceau lenticulaire de Forcl
'anse lenticulaire, lorsque la lésion destructive occupe la base du noyau lenticulaire, en particulier du globus pallidus
qui, dans la constitution des radiations striées, revient, soit au noyau caudé, soit au putamen ou au globus pallidus. D
trio-luysiennes tireraient leur origine principale du putamen et du noyau caudé, tandis que l'anse lenticulaire proviendrai
trois seg- GANGLIONS INFII,ICORTICAUX : CORPS STRIÉ. 331 ments du noyau lenticulaire. Le noyau caudé (en particulier sa t
INFII,ICORTICAUX : CORPS STRIÉ. 331 ments du noyau lenticulaire. Le noyau caudé (en particulier sa tête) serait pour cet
du globus pallidus, le tronc et la partie supérieure de la tête du noyau caudé soient complètement détruits, il existe n
Carré (Fig. 186 à 188, p. 179) (section de la partie postérieure du noyau lenticulaire), la dégénérescence respecte l'anse
tha- lamus (Fig. 297) et la partie antéro-inlerne de la capsule du noyau rouge. Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux
yonnante, empiète un peu sur la partie supérieure et postérieure du noyau externe de la couche optique ; elle s'est manifes
Luys, de la partie antéro-infé- rieurs de la couche optique, du noyau rougo et de sa cap- sule de fibres. * 334
Luys, de la partie antéro-infé- rieure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres. externe
e (Zr) de la lame médullaire externe (Lme) et des fibres radiées du noyau externe (Ne) du thalamus. Dégéné- rescence du c
ces des fibres radiées et des lames médullaires (lme, Imi, Imi') du noyau lenticulaire, dégéné- rescence des radiations s
culée, de la lame médullaire externe (Lme) et des fibres radiées du noyau externe (Ne) de la couche optique dans toute la p
générescence particu- lièrement accusée de la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Fig. 29G), qui se continue
à la partie supé- rieure de la couche optique. Dégénérescence du noyau rouge et de sa capsule de fibres consécutives à l
stème de fibres striées a dis- paru ; le ruban de Reil médian et le noyau rouge ne contiennent que quelques rares grains
ys, de la partie antéro - iuré- rieure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres. 33G ANA
postérieur, situés dans le putamen (NL3) et le deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2, Fig. 296) et respectant le s
ostérieur dégénéré de la capsule interne et qui s'irradient dans le noyau externe du thalamus et dans la région occupée par
ntrent dans la constitution du champ de Forel (F) et de la capsule du noyau rouge (Fig. 298). D'autres fibres dégénérées
traversent pas la capsule interne, mais se détachent de la base du noyau lenticulaire et prennent la voie de la commissure
le le long du chiasma et des deux bandelettes optiques jusque dans le noyau lenticulaire du côté opposé (Fig. 301). Dans
le centre médian de Luys; 2° une dégénéres- cence de la capsule du noyau rouge et de la partie externe de ce noyau (NR), q
s- cence de la capsule du noyau rouge et de la partie externe de ce noyau (NR), qu. lfait suite à la dégénérescence du ch
de haut en bas et dans la région du pédoncule cérébral (Fig. 300), le noyau rouge (NR), le ruban de Reil médian (Rm), la fo
ées au corps de Luys, à la partie antéro-inférieure du thalamus, au noyau rouge, à sa capsule de fibres; et au noyau lentic
férieure du thalamus, au noyau rouge, à sa capsule de fibres; et au noyau lenticu- laire du côté opposé, par l'intermédia
s secondaires de la voie pédonculaire (p. 73). Certaines lésions du noyau lenticulaire entraînent en outre (Méthode de Ma
de Forel pouvait être suivie en amont de la lésion, jusque dans le noyau lenticulaire et en aval dans le champ de Forel
e champ de Forel et dans la partie anléro- interne de la capsule du noyau rouge. Nous avons pu suivre cette dernière dégé
toutefois déterminer si les fibres dégénérées se perdaient dans le noyau rouge ou dans les travées grises de la formation
nterne. Ce surcroît de dégénérescence qui occupe toute l'étendue du noyau externe du thalamus relève évidemment en grande p
ollissement avec perte de substance de la partie antéro-ventrale du noyau externe du thalamus (Fig. 305), s'étendant jusqu'
de dégénérescence qui s'étend à la partie moyenne et postérieure du noyau externe du thalamus, et au noyau interne dont l
a partie moyenne et postérieure du noyau externe du thalamus, et au noyau interne dont les cellules sont en voie de désin
culaire, du globus pallidus, du putamen et des lames médullaires du noyau lenticulaire, avec intégrité des radiations strio
nérescence du fais- ceau thalamique et du champ de Forel, du noyau rouge et de la capsule de ce noyau pouvant êt
e et du champ de Forel, du noyau rouge et de la capsule de ce noyau pouvant être suivie jusqu'à la ré- gion pédon
nérescence du fais- ceau thalamique et du champ de Forel, du noyau rouge et de la capsule de ce noyau pouvant êt
e et du champ de Forel, du noyau rouge et de la capsule de ce noyau pouvant être suivie jusqu'a la ré- gion pédon
erne du pied du pédon- cule cérébral. thalamique jusque dans le noyau lenticulaire. Elles traversent le segment postéri
e la capsule interne (Cip), longer sa face externe, puis la base du noyau lenticulaire et entrer dans la constitution des
nérescence du pes lemniscus superficiel (PLs). La dégénérescence du noyau lenticulaire intéresse, à la fois, le globus pall
érieure de la région sous-thalamique, cette dégénérescence s'étend au noyau rouge (\Il), et surtout il sa capsule de fibres
307) ; elle se confine ensuite à la partie interne delà capsule du noyau rouge (CNR) (Fig. 308), puis s'épuise très rapi-
nférieure, lorsque le pédoncule cérébelleux supérieur fait place au noyau rouge. i'ic. 30G et 307. - Cas Gardette (Salpêt
de la couronne rayonnante. Dégénérescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni), du centre médian de L
u noyau interne du thalamus (Ni), du centre médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire de Flechsig (nif), du ganglion de
érescence du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F), du noyau rouge (1\Il) et de sa capsule de fibres (CN13).
égénérescence du faiscean thalamiquo et du champ de Fo- rel, du noyau rougo et de la capsule de ce noyau pouvant
et du champ de Fo- rel, du noyau rougo et de la capsule de ce noyau pouvant être suivie jusqu'à la région pédoncu
nérescence du fais- ceau thalamique et du champ de Fore ! , du noyau rouge et de la capsule do co noyau pouvant êt
et du champ de Fore ! , du noyau rouge et de la capsule do co noyau pouvant être suivie jusqu'a la ré- gion pédon
rieur du trigone. Malgré la dégénérescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni) du centre médian de Lu
du noyau interne du thalamus (Ni) du centre médian de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire (NF) et de la partie interne du co
moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la capsule du noyau rouge, en particulier de sa pai Lie interne, co
couche optique et qui entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge sont des fibres de court trajet qui ne dé
r ne sont pas démontrées. 344 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les noyaux du thalamus. Les noyaux intrin- sèques. r
344 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les noyaux du thalamus. Les noyaux intrin- sèques. removal of the cérébral corte
t pas constituée par une masse homogène, mais bien par une série de noyaux gris, de volume et de struc- ture variables, qu
e (Strz, Fig. 290). Burdach distingua dans la couche optique quatre noyaux : les noyaux antérieur, exlerne, interne et le
290). Burdach distingua dans la couche optique quatre noyaux : les noyaux antérieur, exlerne, interne et le pulvinar. Luy
érieur, exlerne, interne et le pulvinar. Luys décrivit un cinquième noyau profondément enclavé entre les noyaux externe et
ar. Luys décrivit un cinquième noyau profondément enclavé entre les noyaux externe et interne, et le désigna sous le nom d
transversale, considéra sa partie ven- trale ou inférieure comme un noyau spécial qu'il désigna sous le nom de couche ven
Tschisch et Flechsig décrivirent dans cette même région ventrale un noyau aplati et arqué, d'aspect semilunaire sur la co
ale un noyau aplati et arqué, d'aspect semilunaire sur la coupe, le noyau en forme de coupe (Sc7calenfôrnzier 7 ? pp ? '),
), que nous avons désigné dans nos séries de dessins sous le nom de noyau semilunaire de Flechsig (NF). Nissl (1889) mont
s avec la cortica- lité cérébrale, décrivit, dans chacun des quatre noyaux lhalamiques prin- cipaux de Burdach, trois à qu
s quatre noyaux lhalamiques prin- cipaux de Burdach, trois à quatre noyaux secondaires. Les noyaux thalamiques sont donc e
s prin- cipaux de Burdach, trois à quatre noyaux secondaires. Les noyaux thalamiques sont donc en réalité beaucoup plus no
urdach et par Meynert, et nous décrirons à la couche optique quatre noyaux principaux, les noyaux antérieur, GANGLIONS INI
et nous décrirons à la couche optique quatre noyaux principaux, les noyaux antérieur, GANGLIONS INII ACORTICAU : COUCHE OP
, nous considérons le centre médian de Luys comme une dépendance du noyau interne, mais nous rattacherons au noyau extern
ys comme une dépendance du noyau interne, mais nous rattacherons au noyau externe du thalamus la zone grillagée ou réti-
s au noyau externe du thalamus la zone grillagée ou réti- culée, le noyau semi-lunaire et la couche ventrale du thalamus. L
es montre, il est vrai, que dans la partie supérieure ou dorsale du noyau externe la substance grise prédomine et que la
up de régularité, tandis que la moitié inférieure ou ventrale de ce noyau est remarquable par sa richesse en fibres vertica
et il s'agit plutôt dans l'espèce de deux régions d'un seul et même noyau , que de deux noyaux distincts. Outre ces noya
dans l'espèce de deux régions d'un seul et même noyau, que de deux noyaux distincts. Outre ces noyaux en quelque sorte in
d'un seul et même noyau, que de deux noyaux distincts. Outre ces noyaux en quelque sorte intrinsèques, le thalamus possèd
e ces noyaux en quelque sorte intrinsèques, le thalamus possède des noyaux surajoutés ou extrinsèques, tels sont les corps g
et le ganglion de l'habenula. Les cellules nerveuses des différents noyaux du thalamus appartien- nent aux deux types de c
courtes dendrites, qui s'arborisent en pinceau en donnant nais- Les noyaux extrin- sèques. Éléments cellu- laires des
t nais- Les noyaux extrin- sèques. Éléments cellu- laires des noyaux thalamiques. z46 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
46 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le feutrage inter- cellulairc. Noyau antérieur, aa forme. Sa structure. Ses conn
énicillées siègent surtout dans la partie interne du pulvinar et du noyau externe. Toutes ces cellules sont plongées au s
ollatérales et par les fibres et cellules de la névroglie. Dans les noyaux antérieur, externe, interne et dans le pulvinar
ert-Pal une apparence foncée spéciale et très caractéristique. 1. Noyau antérieur (noyau dorsal de Kolliker) (Na). Ce noy
arence foncée spéciale et très caractéristique. 1. Noyau antérieur ( noyau dorsal de Kolliker) (Na). Ce noyau occupe la pa
ctéristique. 1. Noyau antérieur (noyau dorsal de Kolliker) (Na). Ce noyau occupe la partie antérieure et supérieure de la
de la couche optique et s'enfonce à la manière d'un coin entre les noyaux externe (Ne) et interne (Ni) (Fig. 310). Il est
t (T. Leur, p. 381), une forme en massue, assez analogue à celle du noyau caudé. Son extrémité antérieure, plus ou moins vo
ure du thalamus (Fig. 310 et 7, p. 10). Les cellules nerveuses du noyau antérieur (Na) sont petites, étoilées et multip
at, le lapin, le chien, Nissl et v. Monakow ont décrit, il côté de ce noyau antérieur principal (ant. a.), plusieurs noyaux
écrit, il côté de ce noyau antérieur principal (ant. a.), plusieurs noyaux accessoires ; v. Monakow distingue un noyau int
pal (ant. a.), plusieurs noyaux accessoires ; v. Monakow distingue un noyau interne et un autre ventral. Le noyau accessoir
res ; v. Monakow distingue un noyau interne et un autre ventral. Le noyau accessoire interne (ant. c.), situé dans un dédou
par la richesse de sa substance fondamentale en fibres à myéline. Le noyau acces- soire ventral (ant. b.) est séparé du no
es à myéline. Le noyau acces- soire ventral (ant. b.) est séparé du noyau principal par de volumineux fascicules de fibre
de la couche optique. Ses cellules sont très analogues à celles du noyau principal, la substance fondamentale seule se dis
e seule se distingue par une moindre densité de son réticulum. Le noyau antérieur (Na) reçoit du segment antérieur de la
ssous du stratum zonale, traversent les couches super- ficielles du noyau externe (Ne), puis abordent le noyau antérieur pa
es couches super- ficielles du noyau externe (Ne), puis abordent le noyau antérieur par sa partie externe(Fig. 291). L'or
ces fibres sont encore inconnus. Proviennent-elles des cellules du noyau antérieur (fibres tha- Bibliothèque des Interne
tion limbique, et considère cette région comme la zone corticale du noyau antérieur. Nos recherches, basées sur l'étude d
suiv.), nous n'avons jamais con- staté une dégénérescence isolée du noyau antérieur, lequel est presque tou- jours respec
le cas Rivaud (p. 151). Il était toutefois dégénéré avec les autres noyaux thalamiques dans la vaste lésion corticale du cas
alamiques dans la vaste lésion corticale du cas Pradel (p. 100). Ce noyau entre donc chez l'homme en connexion avec la cort
s par le segment antérieur (Cia). Si les connexions corticales du noyau antérieur sont mal connues, nous savons, par co
e K61- liker (1896), et contrairement à l'opinion de Gudden, que ce noyau est le noyau terminal du faisceau de Vicq d'Azy
(1896), et contrairement à l'opinion de Gudden, que ce noyau est le noyau terminal du faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau
ule mamillaire (Fig. 274, 276 et 277) et traverse de bas en haut le noyau externe du thalamus, à peu près dans le plan ver-
o-transvcrsal de la commissure molle ou moyenne (com). 11 aborde le noyau antérieur par sa partie postéro-externe (Fig. 310
d'aspect des fascicules onduleux des fibres radiées corticales. Le noyau antérieur reçoit encore, dans sa partie inféro-
lques fibres du pédoncule inféra-interne de la couche optique. 2. Noyau interne (Ni). -- Le noyau interne n'atteintpas le
e inféra-interne de la couche optique. 2. Noyau interne (Ni). -- Le noyau interne n'atteintpas les limites anté- rieures
paraît sur les coupes vertico-transversales sériées, que lorsque le noyau antérieur commence à diminuer de diamètre. Limi
ance grise centrale (Sgc) qui le sépare du troisième ventricule, le noyau interne est intimement uni en avant au noyau an
oisième ventricule, le noyau interne est intimement uni en avant au noyau antérieur (Na) et se continue en arrière avec le
Pul) (Fig. 291 et 310), Sur les coupes horizontales supérieures, le noyau in- terne et le pulvinar se fusionnent sans lig
égion thalamique moyenne (Fig. t3, p. 63), la limite entre ces deux noyaux est constituée par le ganglion de l'habenula (G
abenula (Gh) et le centre médian de Luys (Nm). A l'état frais, le noyau interne présente la même couleur sombre que Ses
base et de la partie adjacente du tronc encéphalique intéressant le noyau antérieur de la couche optique, le faisceau de
, le faisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau rouge, le pédoncule cere- helteux supérieur. Mé
if de Broca. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux. CNR, capsule du noyau rouge. - coa, commissure antérieure. - F, champ d
ma, lame médullaire supérieure du thalamus.- Ln, locus niger. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe ; Ni, noyau interne
périeure du thalamus.- Ln, locus niger. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe ; Ni, noyau interne du thalamus. - NIl,
.- Ln, locus niger. - Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe ; Ni, noyau interne du thalamus. - NIl, noyau rouge. - ol',
térieur; A'e, noyau externe ; Ni, noyau interne du thalamus. - NIl, noyau rouge. - ol',(Gr), gyrus rectus, face orbitaire d
s. - II, bandelette optique. - VI, nerf moteur oculaire externe. le noyau antérieur et le pulvinar; il se colore comme ces
le noyau antérieur et le pulvinar; il se colore comme ces derniers noyaux intensivement par le carmin, et comme eux il ap
les méthodes de Weigert ou de Pal. Il se rapproche également de ces noyaux par sa structure. Comme le noyau antérieur, il co
Il se rapproche également de ces noyaux par sa structure. Comme le noyau antérieur, il contient un grand nombre de petit
plus rapprochées de la substance grise centrale (v. Monakow). Le noyau interne reçoit, surtout dans ses régions antérieu
postérieur (Cip) de la capsule interne et qui traversent toutes le noyau externe du thalamus (Ne) et la lame médul- lair
nduleux, se détachent avec beaucoup de netteté sur le fond clair du noyau interne (Ni) (Fig. 21). Ils affectent pour la p
t pour la plupart une direction presque sagittale et impriment t au noyau interne,vu sur les coupes vertico-transversales,
ntérieure des circonvolutions frontales et dégénèrent, ainsi que le noyau interne, à la suite de lésion destructive de ces
(Voy. cas Moriceau, p. 147). Pour v. Monakow, la zone corticale du noyau interne correspondrait aux deuxième et troisièm
ns antérieures de l'insula. Par sa partie inférieure et interne, le noyau interne reçoit de nom- breuses fibres du pédonc
gé- nèrent à la suite de lésions de la partie antéro-inférieure des noyaux interne et externe du thalamus (cas Gardette, F
x interne et externe du thalamus (cas Gardette, Fig. 302 à 309). Le noyau interne reçoit en outre quelques radiations str
halamiques qui traversent le segment postérieur de la capsule et le noyau externe du thalamus, dans les régions thalamiqu
inférieure. Centre médian de Luys (Nm), (Fig. 15, 43, 47, 311). Au noyau interne de la couche optique se rattache le cen
couche optique se rattache le centre médian de Luys (Nm); c'est un noyau irrégulièrement sphérique (Fig. 311), situé entre
lièrement sphérique (Fig. 311), situé entre le pul- vinar (Pul), le noyau inlerne (Ni) et le noyau externe (Ne) du thalamus
311), situé entre le pul- vinar (Pul), le noyau inlerne (Ni) et le noyau externe (Ne) du thalamus, au-dessus de la parti
noyau externe (Ne) du thalamus, au-dessus de la partie ventrale du noyau externe, en dedans de la lame médullaire intern
noyau externe, en dedans de la lame médullaire interne (Lmi) et du noyau semilunaire de Flechsig (NF), en avant et au-de
Ses connexions striées. Centro médian do Luys, dépendance du noyau interne. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa
e médullaire interne; en dedans et en avant, il se fusionne avec le noyau interne; en avant, il envoie un petit prolongemen
seur de la lame médullaire interne. Malgré la fusion si intime du noyau interne et du centre médian de Luys, ces deux n
on si intime du noyau interne et du centre médian de Luys, ces deux noyaux se distinguent très bien, soit à l'état frais, so
en fibres à myéline; il appa- rait par conséquent plus clair que le noyau interne sur les coupes prati- quées à l'état fr
l médian (Rm). Chez le chat, le chien, le lapin, la taupe, etc., le noyau homologue au centre médian de Luys affecte une
r sa structure de la zone réticulée ou grillagée. - Au-dessus de ce noyau , on trouve un petit groupe très bien différenci
uve un petit groupe très bien différencié de cellules nerveuses, le noyau Il grandes cellules, nucleus magno-cellu- laris
e nombreuses fibres radiées qui traversent la partie postérieure du noyau externe du thalamus, occupent la partie postérieu
me médullaire interne du thalamus. - ln7e, lame médullaire externe du noyau len- ticulaire. - Ne, noyau caudé. - Na, noyau
mus. - ln7e, lame médullaire externe du noyau len- ticulaire. - Ne, noyau caudé. - Na, noyau antérieur du thalamus. Ne, noy
édullaire externe du noyau len- ticulaire. - Ne, noyau caudé. - Na, noyau antérieur du thalamus. Ne, noyau externe. - Ni,
ticulaire. - Ne, noyau caudé. - Na, noyau antérieur du thalamus. Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne de la couche optiq
caudé. - Na, noyau antérieur du thalamus. Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne de la couche optique. - Nm, centre médian
médian de Luys, séparé de la lame médullaire interne (Lmi') par le noyau semi-lunaire de Flechsig. - ope, face orbi- tai
47, 310, 311, 323, 324. 325). La lame médullaire interne sépare le noyau interne du noyau externe. Sur les coupes verlic
3, 324. 325). La lame médullaire interne sépare le noyau interne du noyau externe. Sur les coupes verlico-transversales (
à concavité inférieure, loge la queue et l'extrémité antérieure du noyau antérieur qu'elle sépare des noyaux interne et
eue et l'extrémité antérieure du noyau antérieur qu'elle sépare des noyaux interne et externe et atteint de chaque côté le s
italique. La courbe antérieure (Fig. 21, p. 31) passe en arrière du noyau antérieur, la courbe postérieure circonscritle
e centre médiandu Luys. Sur les coupes plus inférieures, lorsque le noyau antérieur a disparu, la courbure anlérieure dis
médullaire supplémentaire, la lame médullaire moyenne qui limite le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF) et le sépare en deh
flexe de Meynert (FM) et du ruban de Reil médian (Rm), en dedans du noyau semi-lunaire de Flechsig. Elle envoie un grand
des régions antéro-externes du thalamus (Fig. 310), qui traversentle noyau externe et la lame médullaire interne avant d'a
ntle noyau externe et la lame médullaire interne avant d'aborder le noyau interne. Entre ces fibres, on trouve constammen
ennent leur origine dans le thalamus, d'autres qui s'y terminent. Noyau externe (Ne) (Fig. 7, 10, Il., 21, 41, 43, 47, 31
1, 41, 43, 47, 310, z1, 312, 323, 321, 325). Le plus volumineux des noyaux thalamiques, le noyau externe, occupe la partie
312, 323, 321, 325). Le plus volumineux des noyaux thalamiques, le noyau externe, occupe la partie supérieure et externe
ichesse en fibres à myéline, il est plus pâle à l'état frais que le noyau antérieur, le noyau interne et le pulvinar. 11
myéline, il est plus pâle à l'état frais que le noyau antérieur, le noyau interne et le pulvinar. 11 se colore moins inte
e sur celles qui sont pratiquées horizontalement sous l'aspect d'un noyau allongé, légèrement convexe en dehors, et qui o
et décrit une courbe autour des parties anté- rieure et externe du noyau interne (Ni). Il résulte de cette disposition q
s horizontales passant par les couches supérieures du thalamus, les noyaux externe et antérieur sont seuls intéressés (T. le
eur sont seuls intéressés (T. le ? TOME 11. 23 Sa constitution. Noyau externe. Son aspect. Son étendue. 3Cî4 ANAT
Ce n'est que sur les coupes plus inférieures et lorsque la queue du noyau antérieur a disparu, que l'on voit apparaître le
la queue du noyau antérieur a disparu, que l'on voit apparaître le noyau interne. Il en est de même lorsque l'on étudie
ar les régions antérieures du thalamus, elles n'intéressent que les noyaux externe et antérieur, et le noyau interne n'est
mus, elles n'intéressent que les noyaux externe et antérieur, et le noyau interne n'est pas entamé. Ce noyau interne n'ap
yaux externe et antérieur, et le noyau interne n'est pas entamé. Ce noyau interne n'apparaît en effet sur les coupes séri
u interne n'apparaît en effet sur les coupes sériées que lorsque le noyau antérieur commence déjà à diminuer de volume (F
e noyau antérieur commence déjà à diminuer de volume (Fig. 323). Le noyau externe (Ne) enveloppe donc en grande partie le
ig. 323). Le noyau externe (Ne) enveloppe donc en grande partie les noyaux antérieur et interne. Cette disposition, très m
. 310 et 311), est encore beaucoup plus accusée chez le chat, où le noyau externe recouvre en avant et en haut le noyau a
e chez le chat, où le noyau externe recouvre en avant et en haut le noyau antérieur à la façon d'un capuchon ou d'une sphèr
'une sphère demi-creuse. La lame médullaire interne (Lmi) limite le noyau exlerne en dedans et le sépare, d'avant t en ar
e le noyau exlerne en dedans et le sépare, d'avant t en arrière, du noyau antérieur (Na), du noyau interne (Ni) et du cen
ans et le sépare, d'avant t en arrière, du noyau antérieur (Na), du noyau interne (Ni) et du centre médian de Luys (Nm) (
u reste, ainsi que nous le verrons plus loin (p. 358), qu'un de ses noyaux acces- soires. La face supérieure du noyau exte
(p. 358), qu'un de ses noyaux acces- soires. La face supérieure du noyau externe est recouverte par le stratum zonale (S
ne (Tg) (Voy. T. le1", Fig. 216, p. 378). Par sa face inférieure le noyau externe repose sur la région sous- optique de F
t, p. 35). Il est en rapport d'avant en arrière : 1° avec l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le pédoncule infé- rieur d
ent au tiers antérieur de la couche optique; 3" plus en arrière, le noyau externe repose sur le champ de Forel (F), le corp
externe repose sur le champ de Forel (F), le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR) et reçoit ou émet le faisceau thalamiq
) aux confins du pulvinar (Pul) (T. Ie1", Fig. 287). En avant, le noyau externe concourt avec le noyau antérieur à limite
l) (T. Ie1", Fig. 287). En avant, le noyau externe concourt avec le noyau antérieur à limiter le trou de Monro (T1\J). Il
eur par le faisceau de Vicq d'Azyr (VA, Fig. 310). En arrière, le noyau externe se continue avec le pulvinar, mais la fus
GANGLIONS I\l'R : 1CORTICIUI : COUCHE OPTIQUE. Sa ! ) de ces deux noyaux est moins intime que celle du pulvinar et du noya
! ) de ces deux noyaux est moins intime que celle du pulvinar et du noyau interne. Sur les coupes traitées par les méthod
. Sur les coupes traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le noyau externe se distingue du pulvinar par son aspect p
foncé et par les rapports qu'il affecte avec la capsule interne. Le noyau externe corres- pond en effet au segment postér
psule. La lame médullaire externe (Lme) enfin envoie entre ces deux noyaux un éperon d'autant plus saillant, que l'on s'ap
s saillant, que l'on s'approclie davantage des régions ventrales du noyau externe (Fig. 21, p. 31 et u3 p. 63). Dans ces
du noyau externe (Fig. 21, p. 31 et u3 p. 63). Dans ces régions, le noyau externe est séparé du pul- vinar par le corps g
postérieur (BrQp) (Fig. 312, Fig. 17, p. 69 et Fig. 24, p. 35). Le noyau externe reçoit par toute sa hauteur et par toute
l 21, p. 31) et pénètrent en pinceau dans l'extrémité antérieure du noyau externe, le traversent dans toute sa largeur, a
noyau externe, le traversent dans toute sa largeur, aux confins du noyau antérieur (Na), lui abandonnent des fibres, cro
d'Azyr (VA) et la lame médullaire interne, puis s'épuisent dans le noyau interne (Ni) auquel elles sont en partie destin
parallèlement à leur axe sur les coupes horizontales el donnent au noyau externe, vu sur les coupes vertico-transversale
Particulièrement abondantes dans la moitié supérieure ou dorsale du noyau externe, elles existent néanmoins dans la moiti
fibres radiées. Constitution des )iht'osradt6os. Connexion du noyau externe : 11) avec la corticahté cérébrale ;
secteur moyen de l'hémisphère représente donc la zone corlicale du noyau externe; les recherches exposées plus haut (p. 62
volutions rolan- diques déterminent une dégénérescence partielle du noyau externe, dégé- nérescence qui correspond très e
fibres tlealamo-corticales prennent leur origine dans le thalamus ( noyaux antérieur, interne et externe), se terminent dans
tiennent aux radiations de môme nom (Voy. p. 321). Elles relient le noyau lenticulaire elle noyau caudé à la couche optiq
de môme nom (Voy. p. 321). Elles relient le noyau lenticulaire elle noyau caudé à la couche optique, croisent, dans le se
à angle plus ou moins droit et dégénèrent à la suite des lésions du noyau lenti- culaire (cas Ronse, p. 332) et à la suit
), la dégé- nérescence peut être complète dans la moitié dorsale du noyau externe, mais elle est toujours partielle dans
ments de la capsule interne, et partant, on trouve toujours dans le noyau externe des fibres radiées conservées. Dans la
fibres radiées conservées. Dans la partie inférieure ou venlraledu noyau externe, partie qui corres- pond à la couche ve
- pond à la couche ventrale du thalamus de Meynert et au groupe des noyaux ventraux de v. Monakow, il existe à côté des fi
moins verticale, qui occupent toute l'étendue antéro-postérieurc du noyau externe, depuis le faisceau de Vicq d'Azyr jusq
7, p. 69), faisceau volumineux qui occupe les deux quarts moyens du noyau externe, et qui se continue dans la région sous
UX : COUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. Les fibres postérieures sont comprises e
otte se caractérisent par leur aspect fasciculeux el onduleux. Au noyau externe du thalamus sont annexés la lame médullai
externe du thalamus sont annexés la lame médullaire externe et deux noyaux accessoires : le noyau semi-lunaire de Flechsig e
annexés la lame médullaire externe et deux noyaux accessoires : le noyau semi-lunaire de Flechsig et la zone réticulée o
face externe du thalamus : elle est située dans l'épaisseur même du noyau externe et du pulvinar, et sépare de ces noyaux
l'épaisseur même du noyau externe et du pulvinar, et sépare de ces noyaux la zone réticulée ou gril- lagée (Zr). Cette de
t une courbe à convexité externe, très peu pro- noncée au niveau du noyau externe, mais beaucoup plus accusée dans la rég
ent du segment postérieur (Cip) (Fig. 21, p. 31). Dans la région du noyau externe, la lame médullaire externe est for- mé
longent la lame médullaire externe (Lme) avant de pénétrer dans le noyau externe (,Ne), ainsi que le montrent nettement
ES NERVEUX. Ts o va semi-lu- naire de Flechsig, dépendance du noyau externe. Ses rapports Zone réticulce,de- pc
du noyau externe. Ses rapports Zone réticulce,de- pcuuance du noyau externe. Ses rapports. Son segment anté-
rts. Son segment anté- rieur. Son segment pos- térietir. 1. Noyau semi-lunaire de Flechsig (NF), (Fig. 47, 312, 311
Fig. 47, 312, 311), (Schalen- formigerKorper,v.Tschisli, Flechsig), Noyau cupuli forme. medialerNeben kern der ventralen
orme. medialerNeben kern der ventralen Gruppe (vent, b) v. Monakow, noyau arqué, Kolliker). Le noyau semi-lunaire occupe
r ventralen Gruppe (vent, b) v. Monakow, noyau arqué, Kolliker). Le noyau semi-lunaire occupe la partie ventrale du noyau e
rqué, Kolliker). Le noyau semi-lunaire occupe la partie ventrale du noyau externe; il est situé en dehors du centre média
, mais entouré par des régions qui en sont abondamment pourvues, le noyau semi-lunaire se présente sur les coupes traitée
es coupes traitées par la méthode de 1\'ei- gert ou de Pal comme un noyau très clair, et de ce fait se délimite très bien
comme un noyau très clair, et de ce fait se délimite très bien des noyaux avoisinants. En dedans, la lame médullaire intern
sur la région sous-optique et en particulier sur les radiations du noyau rouge. 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (Fig
ou grillagée (Zr) (Fig. 29, 43). La zone grillagée se rat facile au noyau externe (Ne) et au pulvinar (Pul). Elle se présen
ce lamelle de substance grise qui recouvre toute la face externe du noyau externe et du pulvinar, et sépare ces noyaux £
oute la face externe du noyau externe et du pulvinar, et sépare ces noyaux £ de la capsule interne. Située en dehors de
e, laquelle communique ainsi largement avec la sub- stance grise du noyau externe et du pulvinar. On peut considérer a la
la zone réticulée deux segments : l'un antérieur, compris entre le noyau externe et le segment postérieur de la capsule
ne légère courbe à convexité externe. Dans les régions ventrales du noyau externe, elle se place en dehors et au-dessous
COUCHE OPTIQUE. 359 Fic. 312. - La région ventrale du thalamus, le noyau semi-lunaire de Flechsig, les segments postérie
ulaire. - lnaé', lame médullaire supplémentaire du segment moyen du noyau lenticulaire (NL,). - Lmi, lame médullaire inte
e médullaire interne du thalamus. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - lmt, lame médullaire interne su
- 360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les cellules ner- veuses du noyau ex- terne. ment interne du noyau lenticulaire
Les cellules ner- veuses du noyau ex- terne. ment interne du noyau lenticulaire (ATi). - Lms, lame médullaire superf
insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - NC, tête du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé. - noyau sem
ostérieur de l'insula. - NC, tête du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé. - noyau semi-lunaire de Flech- sig. - \'
insula. - NC, tête du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé. - noyau semi-lunaire de Flech- sig. - \'L3, cVL, Xi, tr
h- sig. - \'L3, cVL, Xi, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire ; les premier et deuxième segments
a zone réticulée constituent chez le chat, le chien, le lapin, deux noyaux volumineux, relativement beaucoup plus épais et p
'homme, et en connexion avec deux territoires corticaux distincts. Le noyau postérieur, grâce au faible développement du pu
rme non pas une mince lamelle comme chez l'homme, mais un véritable noyau conique, situé entre le corps genouillé externe,
pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les cellules nerveuses du noyau externe sont en général volumineuses, beaucoup
t en général volumineuses, beaucoup plus volumineuses que celles du noyau antérieur. Elles sont étoilées, multipolaires,
s cellules multipolaires plus volumineuses. Le segment antérieur du noyau externe se rapproche par sa structure de celle
t séparées par de larges intervalles. Dans le segment postérieur du noyau externe, en par- ticulier au voisinage du centr
. Du côté de la lame médullaire externe et des régions ventrales du noyau externe, les cellules deviennent plus volumineuse
plus dense que l'on se rapproche davantage des régions ventrales du noyau externe et du faisceau thalamique de Forel, et
u noyau externe et du faisceau thalamique de Forel, et impriment au noyau externe, sur les préparations traitées par les
Pal, une colo- ration foncée. Celle distribution des cellules du noyau externe du thalamus, pour nette qu'elle soit, n
ser les divisions proposées par v. Monakow. Cet auteur subdivise le noyau externe en deux noyaux, l'un dorsal, l'autre ve
osées par v. Monakow. Cet auteur subdivise le noyau externe en deux noyaux , l'un dorsal, l'autre ventral. Le noyau ventral
e le noyau externe en deux noyaux, l'un dorsal, l'autre ventral. Le noyau ventral comprend quatre noyaux accessoires; le pr
aux, l'un dorsal, l'autre ventral. Le noyau ventral comprend quatre noyaux accessoires; le premier, ou central (centraler
e Reil médian (RgRm). Le troi- sième, ou interne, représenté par le noyau semi-lunaire de Flechsig (medialer i'lebenkern
ialer i'lebenkern der ventralen Cruppe, vent. b), constitue seul un noyau distinct; enfin le quatrième, ou antérieur (vor
gruppe, vent. ant.), n'est autre que la partie antéro-inférieure du noyau externe de Burdach. Pulvinar (Pul., Fig. 295, 3
, Fig. 295, 310, 311, 313). Rattaché suivant les auteurs, tantôt au noyau externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar f
). Rattaché suivant les auteurs, tantôt au noyau externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar forme il la partie postéri
e rudimentaire chez la plupart des animaux où il constitue un petit noyau mal délimité, situé à la partie supé- rieure du
il envoie un petit prolongement que v. Monakow considère, comme un noyau spécial, le noyau postérieur du thalamus. Cette
prolongement que v. Monakow considère, comme un noyau spécial, le noyau postérieur du thalamus. Cette disposition apparaî
t convexe, et fait une saillie beaucoup plus accentuée que celle du noyau externe du thalamus, de telle sorte que le segm
pais, forme une sorte d'éperon saillant qui sert de limite entre le noyau externe et le pulvinar. Le champ de Wernicke est
situation et à sa richesse en fibres radiées, semble faire suite au noyau externe. En réalité, il se continue avec le noy
le faire suite au noyau externe. En réalité, il se continue avec le noyau interne (Ni) dont il présente la struc- ture et
ieures (Fig. 21, p. 311 il est impossible de délimiter le pulvinar du noyau interne. Plus bas (Fig. 43, p. G3), la limite e
us-optique, le corps genouillé interne (Cgi) sépare le pulvinar des noyaux externe et interne du thalamus. La face libre d
ètre d'épaisseur et se prolonge en avant sur la face supérieure des noyaux interne, externe et antérieur du thalamus. Les
ère circonvolution limbique ou circonvolution du corps calleux. Ne, noyau caudé ; Nc, la partie recourbée de sa queue. NJ.3
a lame médullaire externe (Lme), elles abandonnent, au voisinage du noyau antérieur, de nombreuses fibres à la lame médul-
se portent dans l'écorce cérébrale. Le pulvinar contient, comme les noyaux externe et inlerne, des cel- lules nerveuses mu
éline qui forment ici un feutrage beaucoup moins dense que celui du noyau externe. Le pulvinar reçoit de nombreuses fibre
RTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 367 vinar représentent donc de véritables noyaux terminaux pour les fibres de la rétine. Les l
es, sont vésiculeuses et entourées d'un espace péricellulaire. Leur noyau se colore intensivement par le carmin, tandis que
res visuelles centrales divisent le corps genouillé externe en deux noyaux : l'un, dorsal ou supérieur, reçoit les fibres ré
, Ganser, etc., l'homologue du corps genouillé externe de l'homme. Ce noyau ventral comprend, d'après v. Monakow, quatre no
e de l'homme. Ce noyau ventral comprend, d'après v. Monakow, quatre noyaux accessoires en connexion avec des territoires c
s thalamique et sous- thalamique. Il se présente sous l'aspect d'un noyau allongé dans le sens transversal, compris entre
imite en avant et le sépare .de la partie inférieure ou ventrale du noyau externe du tha- lamus (Ne), et en particulier d
s (Ne), et en particulier du faisceau thalamique de Forci (FLh), du noyau semilunaire de Flechsig (NF) et de la région du r
upart des systèmes seisitivo-seisoi-iels. Par la partie ventrale du noyau externe et le centre médian de Luys, elle reçoi
- corticales qui, prenant leur origine dans les cellules des divers noyaux du thalamus, en particulier dans le noyau exter
les cellules des divers noyaux du thalamus, en particulier dans le noyau externe, le pulvinar, les corps genouillés inte
ennent surtout des fibres thalamo-corticales, tandis que les autres noyaux , en particulier le noyau externe, ne recevraient
thalamo-corticales, tandis que les autres noyaux, en particulier le noyau externe, ne recevraient que des fibres cortico-
rescence occupe, dans la région thalamique dorsale ou supérieure, les noyaux externe (Ne), interne (Ni), antérieur (Na) et l
érescence se cantonne dans le pulvinar (Pul), la partie ventrale du noyau externe, le centre médian de Luys (Nm), et occupe
Elle peut être suivie jusque dans la partie externe de la capsule du noyau rouge (CNR), mais elle ne s'étend ni au ruban d
indirecte, rétrograde et diminuant de haut en bas, du thalamus aux noyaux des cordons de Goll et de Burdach. Mais cette d
e thalamus, intéressent plus particulièrement la partie ventrale du noyau externe elle centre médian de Luys et détrui- s
sent d'abord entre le thalamus et le globus pallidus, puis entre le noyau caudé et le putamen, et se terminent sur la coupe
(1 tlc), qui n'est autre que la partie antérieure de la capsule du noyau rouge, s'irradie dans la partie antérieure et m
la calotte (nC) se détachent de la partie externe de la capsule du noyau rouge sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICA
gion du ruban de Reil mé- dian, et relient le thala- mus. aux noyaux des cordons postérieurs croisés par l'inter-
ec le cerveau moyen, situé à la partie postérieure et ventrale du noyau externe du thalamus et qui entoure le centre mé
ennent des fibres du pédoncule cérébelleux supérieur, des fibres du noyau rouge, des fibres longitudinales de la for- mat
qu'il se termine surtout dans la partie postérieure et ventrale du noyau externe en avant du pulvinar et dans le centre
is qu'il envoie en outre des fibres dans les parties supérieures du noyau externe du thalamus. Il assure ainsi les connex
lamus. Il assure ainsi les connexions de la couche optique avec les noyaux des cordons de Goll et de Burdach du côlé oppos
de Reil médian. Il s'irradie principalement dans toute la hauteur du noyau externe et des lames médullaires externe et int
e du thalamus, envoie quelques fibres dans la partie postérieure du noyau interne et dans le centre médian de Luys et éta
eux croisé, en particulier avec l'olive cérébelleuse. Les fibres du noyau rouge et celles de la formation réticulée de la c
établissent des connexions très intimes entre la couche optique, le noyau rouge et la substance grise de la formation rétic
radiations de la calotte. Le pédon- cule cérébelleux supérieur, le noyau rouge et sa capsule de fibres, la for- mation r
rmation réticulée de la calotte homolatérale et croisée et avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. (Voy. IIIe partie.
antérieur et la couche oplique (pulvinar et partie postérieure des noyaux externe et interne du thalamus), formant la par
qui détruisent ou sectionnent le pulvinar et la partie adjacente du noyau externe du thalamus. Dans ces cas les fibres dégé
en partie dans le pulvinar du côté opposé et la partie adjacente du noyau externe du thalamus, représentant ainsi une vér
. 255), donl une parlie des fibres, en prenant leur origine dans le noyau externe du thalamus ou en s'y terminant, assure
us ou en s'y terminant, assurent les connexions du thalamus avec le noyau amygdalien, la circonvolution du crochet et l'air
olfactive; 2° Par le faisceau de Vicq rl'Ayr qui se termine dans le noyau anté- rieur du thalamus et le relie au tubercul
de de la méthode de Golgi. FiG. 318. - Les éléments cellulaires des noyaux interne et externe du ganglion de l'habenula du
eau- né (d'après Cajal, lb9'r). Méthode de Golgi. ,1, cellules du noyau interne. - B, cellules étoilées du noyau extern
e Golgi. ,1, cellules du noyau interne. - B, cellules étoilées du noyau externe. - C. coupe transversale des libres du ta
aisceau rétrollexe de leynert. - (1, cylindre- axes des cellules du noyau interne. z, cylindre-axes des cellules du noyau
xes des cellules du noyau interne. z, cylindre-axes des cellules du noyau externe. - c, collatérales. GANGLIONS INFRACORT
masses grises, que l'on peut distinguer, avec Nissl et Cajal, en noyau inlerne et noyau externe. Le noyau interne, t
l'on peut distinguer, avec Nissl et Cajal, en noyau inlerne et noyau externe. Le noyau interne, très petit chez l'
uer, avec Nissl et Cajal, en noyau inlerne et noyau externe. Le noyau interne, très petit chez l'homme, et dont le
et en dehors par les fibres du lænia thalami, qui le séparent du noyau externe. Ses cellules sont caractéristiques e
plusieurs méandres, émet quelques collatérales dans l'épaisseur du noyau interne, puis se continue en une fine fibre amy
FiG. 319. - Arborisations terminales du tænia th al a- mi dans le noyau interne du ganglion de l'habenula du lapin de h
e de Meynert. \ oyau interne. 380 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Noyau externe. Tréma thalami. Son aspect sur les
ma thalami. Son aspect sur les coupes vertico-trans- crsales. noyau interne du ganglion de l'habenula, se trouvent ré
i entourent les cellules de Purkinje du cervelet. Les cellules du noyau externe (Fig. 318) sont très analogues à celles d
abenula. Leur cylindre-axe est volumineux, émet dans l'épaisseur du noyau externe deux ou trois collatérales, s'entoure d'u
coupes vertico-transversales qui inté- ressent la partie renflée du noyau antérieur du thalamus, le tænia thalami forme u
ec lui. Plus en arrière, sur les coupes qui intéressent la queue du noyau antérieur, le taenia thalami s'étale dans lésons
3, cas Hilaire, Fig. 287). Une autre partie provient des différents noyaux du thalamus, et chez le lapin en particulier, d
amus, et chez le lapin en particulier, d'après Kôlliker, d'un petit noyau intermédiaire au taenia thalami et au noyau ant
ès Kôlliker, d'un petit noyau intermédiaire au taenia thalami et au noyau antérieur. Les fibres corticales et les libres th
ganglion de t'habenula en suivant le trajet des fibres radiées des noyaux externe et interne du thalamus et du pulvinar. Il
sous-corticale sectionnant le pied de la couronne rayonnante et le noyau lenticulaire sans intéresser la couche optique. U
che optique. Une partie des fibres dégénérées se termine autour des noyaux cellulaires du ganglion de l'habe- nula (Gh) du
ut-être en connexion avec le faisceau longitudinal postérieur et le noyau de la troisième paire. Faisceau de Meynert (fai
ré au cordeau. Chez l'homme, grâce au développement considérable du noyau rouge, le faisceau rélro- Ilexe décrit de chaqu
'S (Fig. 3l). La courbe supérieure à convexité externe, traverse le noyau interne du thalamus aux confins du pulvinar, cont
é, le fais- ceau longitudinal postérieur et la partie supérieure du noyau de la troi- sième paire. La courbe inférieure,
i- sième paire. La courbe inférieure, convexe en dedans, entoure le noyau rouge et le traverse dans une parlie de son tra
en avant du tubercule quadrijumeau anté- rieur (Qa), en arrière du noyau interne du thalamus (Ni) et de la sub- stance g
ehors en dedans et d'arrière en avant, la partie postéro-interne du noyau rouge (NR), et sur les coupes liorizontales déter
. le ? p. 641 et suiv.) considérée à tort par Luys comme le hile du noyau rouge. Arrivé à la partie inféro-interne du noy
comme le hile du noyau rouge. Arrivé à la partie inféro-interne du noyau rouge (Fig. 323, T. le ? et Fig. 321), le fais-
ig. 321), le fais- ceau rétrollexe se confond avec la capsule de ce noyau et chez l'homme ne peut être suivi au delà. Pou
DIoT3, membrane obturatrice du troisième ventricule. - Ne, Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et centre médian de la cou
e obturatrice du troisième ventricule. - Ne, Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et centre médian de la couche optique. -
u externe, noyau interne et centre médian de la couche optique. - NR, noyau rouge, if\, pied du pédoncule. - PTm, pédoncule
I, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 386 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
carmin; elles représentent les cylindres-axes des petites cellules du noyau interne de l'habenula (Fig. 318 A); les autres,
revêtement myélinique, prennent leur origine dans les cel- lules du noyau externe de ce ganglion (B). Chez les mammifères
ion (B). Chez les mammifères autres que l'homme et les primates, le noyau interne du ganglion de l'habenula ainsi que le
eut être suivi au delà de la partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge; 2° le volume du faisceau rétroflexe n'est
mammifères inférieurs, d'un ganglion nettement délimité qui sert de noyau de terminaison au faisceau rétroflexe de Meynert
sommet regarde en arrière et la base en avant. Du volume d'un petit noyau de cerise ou d'un pois, aplatie de haut en bas,
qui est en arrière, à la calotte pédonculaire. Ce plan sectionne le noyau rouge qui se trouve ainsi à cheval sur les deux
e; 3° avec la partie inférieure de la lame médullaire externe et le noyau externe du thalamus; 4° avec les lames médullaire
4° avec les lames médullaires moyenne et interne du thalamus et le noyau semi-lunaire de Flechsig; 5° avec la partie ven
et le noyau semi-lunaire de Flechsig; 5° avec la partie ventrale du noyau interne et le faisceau rétroflexe de Meynert; 6
u pédoncule cérébral qui contient le corps de Luys, et la partie du noyau rouge situé en avant du faisceau rétroflexe de Me
ieure du thalamus au plan vertico-transversal qui passe en avant du noyau rouge et dans le sens transversal, de la zone r
ant en arrière, se continue avec la couche de fibres qui entoure le noyau rouge et avec les fibres longitudinales de la cal
culaire de Reichert dans la région où elle unit le globus pallidus au noyau amygdalien et à l'extrémité recourbée de la que
lidus au noyau amygdalien et à l'extrémité recourbée de la queue du noyau caudé. La région sous-optique, très étroite, es
ire exlerne de la couche optique. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lmi, lames médullaires int
lution du crochet. - ms, sillon marginal supérieur de l'insula. - SA, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur, Ni, noyau in
illon marginal supérieur de l'insula. - SA, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur, Ni, noyau interne de la couche optique
eur de l'insula. - SA, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur, Ni, noyau interne de la couche optique. - NC, noyau caudé
Na, noyau antérieur, Ni, noyau interne de la couche optique. - NC, noyau caudé. - 1\'C', la partie recourbée de la queue d
que. - NC, noyau caudé. - 1\'C', la partie recourbée de la queue du noyau caudé. - NL3, NL2, .\'G,, les (rois segments du
e la queue du noyau caudé. - NL3, NL2, .\'G,, les (rois segments du noyau lenticulaire. - OF + ]le-, le faisceau mixte de f
Fo- rel. Il représente la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. horizontale de substance grise, la zon
les nombreuses fibres verticales de la lame médullaire externe, du noyau externe, et des lames médullaires interne et mo
erne, et des lames médullaires interne et moyenne qui délimitent le noyau semilunaire de Flechsig et le centre médian de
le champ de Forel représente la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. Au voisinage de cet amas ganglionnaire, se
, entourent les faces supérieure, interne, inférieure et externe du noyau rouge, s'accolent aux radiations de la calotte et
- thalamiques, des fibres des pédoncules cérébelleux supérieurs, du noyau rouge, des fibres longitudinales de la formatio
ès bien déli- mitée, dont le volume est un peu inférieur à celui du noyau rouge de Burdach et de Stilling; il est entouré
au rouge de Burdach et de Stilling; il est entouré comme ce dernier noyau d'une capsule de fibres à myéline qui le relien
au d'une capsule de fibres à myéline qui le relient au corps strié ( noyau caudé, putamen et globus pallidus). Bien décrit
glionnaire; « l'olive supé- rieure » de Luys correspond en outre au noyau rouge de Burdach, de Stilling et de tous les au
protubérantiel. Situation. Le corps de Luys est situé au-dessous du noyau externe du thalamus, en dedans du segment posté
rtie supérieure du locus niger, au-dessus, en dehors et en avant du noyau rouge. Il a chez l'homme la forme d'une lentill
nt à son petit ou à son grand axe. Plus petit par son volume que le noyau rouge, il mesure 10 à 13 mil- limètres de longu
ne du thalamus. - lme, lmi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. - Lms, lame médullaire superficiell
cielle de la cir- convolution du crochet. - Ln, locus niger. - .VA, noyau amygdalien. - Na, Ni, Ne, les noyaux antérieur,
chet. - Ln, locus niger. - .VA, noyau amygdalien. - Na, Ni, Ne, les noyaux antérieur, interne et externe de la couche optiqu
noyaux antérieur, interne et externe de la couche optique. - NC, le noyau caudé. - NL3 NL2, NL,, les trois segments du no
ptique. - NC, le noyau caudé. - NL3 NL2, NL,, les trois segments du noyau lenticulaire. - Il, pied du pédoncule cérébral.
capsule de fibres, sépare le corps de Luys de la partie ventrale du noyau externe du thalamus, et d'avant en arrière du c
ns de la calotte (Fig. 28, p. 43) et de la partie antéro-externe du noyau rouge (Fig. 33, p. 49). La face ventrale ou in/
ontrent les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions du noyau lenticulaire et traitées suivant la méthode de Ma
outre en connexion très étroite et très active avec le corps strié ( noyau caudé, putamen, globus pallidus) par le riche s
énérescences secondaires de ces fibres, consécutives aux lésions du noyau lenticulaire et traitées par la méthode de Marchi
hologique ou expérimentale détruit le corps strié en particulier le noyau lenticulaire. Le degré de dégénéres- cence du c
elles sont les connexions admises : 1 Entre le corps de Luys et les noyaux des cordons de Goll et de Burdach par l'intermé
l la bandelette optique; 3° Entre le corps de Luys d'un côté, et le noyau lenticulaire du côté opposé, par l'intermédiair
es, le ruban de Reil médian, arrivé dans les régions supérieures du noyau rouge,se porte- rait en dehors vers le corps de
termi- nerait, assurant ainsi les connexions entre ce corps et les noyaux des cordons de Goll et de Burdach; la plus gran
et externe du corps de Luys et se continuerait soit avec l'anse du noyau lenticulaire, soit avec la commissure de Meynert
iculaire, soit avec la commissure de Meynert et relierait ainsi les noyaux des cordons postérieurs de la moelle avec le gl
il n'existe pas de neurone reliant directement le corps de Luys aux noyaux des cor- dons postérieurs et ces connexions, si
effectueraient les connexions croisées entre le corps de Luys et le noyau lenticulaire. Parmi les fibres du corps de Luys q
ec la corticalité cérébrale. Connexions dou- teuses. Avec les noyaux do Goll et de Bur- dach par l'intermé- diai
- dach par l'intermé- diaire du ruhan do Koil médian. Avec le noyau len- ticulaire croisé par l'intermédiaire do
et se rendrait après entre-croisement sur la ligne médiane dans le noyau lenticulaire du côté opposé. Les auteurs invoquen
ur de l'hypothèse de ces auteurs, car l'état du corps de Luys et du noyau lenticulaire n'est pas signalé. J. Stilling déj
estructives GANGLIONS INFRACORTICAU : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 403 du noyau lenticulaire, en particulier du globus pallidus.
trent donc que la com- missure de Meynert prend son origine dans le noyau lenticulaire. Dans ces cas, le système des radi
ig. 297, 298 et 301). Le corps de Luys est-il en connexions avec le noyau rouge ? Si elles existent, ces connexions ne pe
erta, du champ de Forel et de la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. En résumé, le corps de Luys dépend essen
: il dégénère chaque fois que le globus pallidus, le putamen et le noyau caudé sont détruits. Il envoie quelques fibres
substance grise, el dans laquelle on trouve clairsemées ur Avec le noyau rouge. Structure du corps de Luys. Son ri
ires et étoilées, quelquefois fusi- formes, qui possèdent toutes un noyau arrondi se colorant intensivement par le carmin
s au corps de Luys dégénèrent à la suite de lésions destructives du noyau caudé ou du putamen. Le corps de Luys est en
apillaire dont les mailles sont beaucoup plus serrées que celles du noyau rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV.
stance Fisc centrale se fusionne incomplètement à ce niveau avec le noyau nterne dont la séparent le pédoncule inféro-int
e des lobes inférieurs des poissons et sont connus sous les noms de noyau postéro-latéral du tuber cinereum (Lenhossek), ém
de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius, où elles forment un petit noyau décrit par Darkschewitsch. La méthode de Weigert-
lotte pédoncu- laire et occupe la partie postérieure et ventrale du noyau rouge (Voy. Région de la calotte, IIIe partie).
nnent probablement des fibres reliant le corps de Luys d'un côté au noyau rouge, ou à la calotte et au champ de Forel du cô
couche optique. - lme, lmi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. - Ln, locus niger. - Na, Ne, Ni,
interne du noyau lenticulaire. - Ln, locus niger. - Na, Ne, Ni, les noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NC,
Ne, Ni, les noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NC, noyau caudé. - Nit, NL2, Nez, les trois segments du n
thalamus. - NC, noyau caudé. - Nit, NL2, Nez, les trois segments du noyau lenticulaire. - P, pied du pédoncule cérébral. Il
champ de Forel croisé ? ou entre ce champ et le corps de Luys ? le noyau rouge ? la calotte pédonculaire croisée ? Au-
tions olfactives profondes, longent la partie interne de la tête du noyau caudé et de la zona incerta, s'entre-croisent d
ennes. Elle ne dégénère pas (méthode de Marchi) dans les lésions du noyau lenticulaire, et les nom- breuses fibres qu'ell
ONS INFRA CORTICAUX : REGION SOUS-OPTIQUE. 409 en connexion avec le noyau lenticulaire, le corps de Luys et le ruban de R
dmettent qu'elle contient deux systèmes de fibres : l'un reliant le noyau lenticulaire d'un côté au corps de Luys du côté o
e unissant le ruban de Reil médian d'un côté au corps de Luys et au noyau lenticulaire du côté opposé. Les connexions de
du côté opposé. Les connexions de la commissure de Meynert avec le noyau lenticu- laire sont faciles à constater sur une
y- nert est dégénérée (méthode de Marchi) par suite de la lésion du noyau lenticulaire (cas Ronse, Fig. 297, 298, 301), s
r celle des dégénéres- cences secondaires. Dans un cas de lésion du noyau lenticulaire avec dégénérescences de la commiss
connexion avec le feutrage du globus pallidus; une petite lésion du noyau lenticulaire ayant entraîné la dégénérescence de
erprétation est exacte, il faudra à l'ave- Ses connexions avec le noyau lenti- culaire. Ses connexions douteuses av
Darkschewitsch et Pribytkow, de la partie basale et postérieure du noyau lenticulaire; il longe la commissure de Meynert
s pas constaté de dégénérescence de ce faisceau dans les lésions du noyau lenticulaire qui s'accompagnent d'une dégénéres
G9, p. 733. Leur corps cellulaire est bipolaire et constitué par un noyau NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 413
sus-radiaire de l'écorce de la circonvolution du crochet ou dans le noyau amygdalien ; ces dernières fibres toutefois rep
x fibres (ve neurone) que le ganglion inter-pédonculaire envoie aux noyaux de Gudden (noyau profond (GGp) et noyau dorsal (G
ne) que le ganglion inter-pédonculaire envoie aux noyaux de Gudden ( noyau profond (GGp) et noyau dorsal (GGd)) de la calo
er-pédonculaire envoie aux noyaux de Gudden (noyau profond (GGp) et noyau dorsal (GGd)) de la calotte pédonculaire ; enfi
blissent les connexions entre les voies olfactives centrales et les noyaux des nerfs craniens. Le toenia semicircularis (t
des centres olfaotifs corticaux ou secon- daires (en particulier du noyau amygdalien (NA) et de l'écorce du crochet (U) a
adjacente) avec les centres olfactifs primaires et avec le thalamus ( noyau externe et pulvinar) par l'intermédiaire des fi
olution de l'hippocampe. -L(1), première circonvolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche optique. - noyau amygd
convolution limbique. Na, noyau anté- rieur de la couche optique. - noyau amygdalien. Pol, pédoncule olfactif. - Pal, péd
avec le tuber cinereum; 5, avec le tubercule mamillaire; 6, avec le noyau amygdalien. -sG, strie de Lancisi. - Spl, spleniu
és (Fig. 327) par la corne d'Ammon (CA), le fascia dentata (Cg), le noyau amygdalien (NA), la circonvolution du crochet (U)
ifurcation, le faisceau du Vicq d'1 .dr (VA) qui se termine dans le noyau antérieur du thalamus (NaTh), et le faisceau de
côté opposé, soit (connexion non encore démontrée chez l'homme) au noyau len- ticulaire du côté opposé. Les différente
a. -IC, scissure calcarine. -D" première circonvolution limbique. NC, noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau
-D" première circonvolution limbique. NC, noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge. - Oi, première circo
ution limbique. NC, noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge. - Oi, première circonvolution occipitale
croisé. De là, les impulsions pupillaires réflexes arriveraient au noyau du moteur oculaire commun en suivant le segment
pillaires (v. Monakow). Les connexions des fibres optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil sont indirectes et
latérale et abandonnent chemin faisant des collatérales (IIeld) aux noyaux des nerfs moteurs des yeux. (Voy. ces connexion
tée. Les connexions in- directes des fibres optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. Fibres optiques
les centres ganglion- naires de la vision ? Reçoit-il des fibres du noyau lenticulaire et du pied du pédoncule, comme l'a
lette optique avec le corps de Luys, le corps genouillé interne, le noyau lenticulaire et le pied du pédoncule cérébral.
optique qui se prolongerait, d'après Stilling, Perlia, etc., dans le noyau de la III0 paire, dans le cervelet, par la voie
omme une dégénérescence soit du pied du pédoncule cérébral, soit du noyau lenticulaire. Il est probable que les fibres di
rt. Nous avons vu en effet que cette commissure tire son origine du noyau lenticulaire, qu'elle dégénère à la suite de lési
du noyau lenticulaire, qu'elle dégénère à la suite de lésions de ce noyau et que les fibres qui lui donnent naissance, situ
se de la base du cerveau et que Schlagenhaufer a pu suivre jusqu'au noyau lenticulaire. Ce sont là les caractères de la c
Ll', lobe postérieur du cervelet. LS, lobe supérieur du cervelet. NC, noyau caudé. - Plch, les plexus choroïdes du ventricu
l lamelles ou circonvolutions. Les plus profonds pénètrent jusqu'au noyau blanc central du cervelet et séparent les lobes
inal postérieur. - fai, fibres arciformes internes du bulbe. - NCB, noyau du cordon de Burdach. - NCG, noyau du cordon de
formes internes du bulbe. - NCB, noyau du cordon de Burdach. - NCG, noyau du cordon de Goll. - Nci, noyau central inférieur
noyau du cordon de Burdach. - NCG, noyau du cordon de Goll. - Nci, noyau central inférieur. - Nfl, noyau du funiculus tere
CG, noyau du cordon de Goll. - Nci, noyau central inférieur. - Nfl, noyau du funiculus teres. - Noi, noyau juxta-ohvaire
i, noyau central inférieur. - Nfl, noyau du funiculus teres. - Noi, noyau juxta-ohvaire interne. - Nrl, noyau réticulé de l
oyau du funiculus teres. - Noi, noyau juxta-ohvaire interne. - Nrl, noyau réticulé de la calotte. - NXII, noyau de l'hypo
u juxta-ohvaire interne. - Nrl, noyau réticulé de la calotte. - NXII, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure. - 1'Ie
e. - Rm, ruban de Reil médian. - Sbc, substance blanche centrale ou noyau blanc central du vermis. - sef, grand sillon circ
be semi-lunaire inférieur. Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. - NC, noyau caudé. - Qa, tubercule quadrijumcau anté- rieur
sversale du cervelet passant par le culmen du vermis supérieur, les noyaux du toit, le bouchon, l'olive cérébelleuse, la par
e semi-lunaire supérieur. - Ses, embole ou bouchon. No, nodule. Nt, noyau du toit. - xNt, entre-croisement des noyaux du to
bouchon. No, nodule. Nt, noyau du toit. - xNt, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. scf, grand s
r. - Ep, épendyme ventriculaire tapissant la face infé- rieure du noyau du toit, le diverticule angulaire du 4" ventric
la membrane obturatrice du 4e ventricule. Aa, l'aire acoustique, noyau de terminaison de la branche vestibulaire du ne
laire du nerf acoustique. - tg, aile grise, fossette inférieure, ou noyau de terminaison des nerfs mixtes. CB. cordon de
. 490 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Pyianudes posté- rieures. Noyau du l'ordoll de Coll. Corps testiforutc. Dir
on- nées du bulbe (Cruveilhier), renferme un amas ganglionnaire, le noyau du cordon de Goll. Les corps restiformes (Crs
e leur trajet et contiennent iL ce niveau des amas ganglionnaires : noyaux des corps restiformes, noyau de Burdach, noyau de
L ce niveau des amas ganglionnaires : noyaux des corps restiformes, noyau de Burdach, noyau de Monakow (\'oy. Fig. 112 il
as ganglionnaires : noyaux des corps restiformes, noyau de Burdach, noyau de Monakow (\'oy. Fig. 112 il H7). Ils se porte
la lame fondamentale de His (voy. T. ? p. 85) et contiennent les noyaux d'origine des nerfs moteurs du rhombencéphale.
coustiques. 1 du calamus à l'aqueduc du Sylvius. Ils séparent les noyaux d'origine des nerfs moteurs des noyaux de termi
du Sylvius. Ils séparent les noyaux d'origine des nerfs moteurs des noyaux de terminaison des nerfs sensitifs (lame alaire,
acoustique, d'area aCll5tica (Aa, Fig, 352 et 355), et contient les noyaux de terminaison du nerf vestibulaire. Chez le fo
eint de Charpy, c'est-à-dire appliqué à une région qui contient les noyaux de terminaison du nerf vestibulaire, - prête à
e l'ex- ,rCmité supérieure du corps restiforme el représente un des noyaux de ter- ninaison du nerf cochléaire ou labyrint
fia teres (et, Fig. 352 et 355), saillie arrondie qui correspond au noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe et au
Fig. 441, .H2, 443, 444) que : l'aile blanche interne correspond au noyau de l'hypoglosse, l'aile grise extrême à la face
poglosse, l'aile grise extrême à la face interne, ventriculaire des noyaux des cordons postérieurs (Ncp); que le funiculus
gastrique, et l'aile blanche exlerne au corps juxtarestiforme et au noyau de Deiters. voûte ou toit du quatrième ventricu
use. L'extrémité renflée etlo trou de Luschka. ligne médiane un noyau irrégulièrement arrondi, qui doit à sa situation
un noyau irrégulièrement arrondi, qui doit à sa situation le nom de noyau du toit. De chaque côté du vermis la profondeur d
Pédoncules céré- belleux. Ramifications den- drinques. Les noyaux gris centraux. Substanco blanche centrale.
re. Cette masse compacte porte le nom de masse blanche centrale, de noyau médullaire du cervelet, de noyau blanc central
nom de masse blanche centrale, de noyau médullaire du cervelet, de noyau blanc central des hémisphères et du vermis. De
er- sant supérieur du toit du quatrième ventricule, se trouvent les noyaux gris centraux du cervelet formés de chaque côté
étriques, de forme et de volume variés; ce sont, dans le vermis, le noyau du toit, et dans chaque hémisphère, le corps dent
e, le corps dentelé ou ciliaire, ou olive cérébelleuse, et ses deux noyaux accessoires, le glo- Intle ou noyau sphérique e
live cérébelleuse, et ses deux noyaux accessoires, le glo- Intle ou noyau sphérique et l'embole ou bouchon. 1. SUBSTANCE
lus grande partie de la substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux et la substance blanche des lobes d
pe sagittale passant en dehors de la ligne sagittale médiane par le noyau du toit, les lamelles internes du lobe semi-lun
le. - FI ? ' faite. diverticule angulaire du 4° ventri- cule. - Nt, noyau du toit. - l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur.
d toutes quantitatives et consistent en un simple épaississement du noyau blanc central et de toutes ses branches, et dans
de toutes ses branches, et dans l'apparition dans son épaisseur du noyau du toit (coupe S2, Fig. 359); puis les branches
60), et l'on voit apparaître au-dessus du nid d'hirondelle (nh) les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse (Nem, Ngl)).
'épaississant, en se raccourcissant el en s'étalant à la surface du noyau blanc central, consi- dérablement augmenté de v
nce blanche centrale du vermis présente un aspect bilobé, grâce aux noyaux du toit qu'elle renferme. Sur les coupes plus p
.Malacarne. CONFIGURATION INTERIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 511 i 2. noyaux GRIS centraux. Au nombre de quatre, les noyaux gr
BENCÉPHALE. 511 i 2. noyaux GRIS centraux. Au nombre de quatre, les noyaux gris centraux du cervelet comprennent de chaque
noyaux gris centraux du cervelet comprennent de chaque côté : Le noyau du toit du quatrième ventricule qui appartient au
e qui appartient à l'hémisphère cérébelleux et, entre les deux, les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse, à savoir, le
deux, les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse, à savoir, le noyau sphé- rique ou globule, et le bouchon ou embole
ans la région de tran- sition entre le vermis et les hémisphères. Noyau du toit (NL), nucleus /cc, nucleus fasligii, subs
eure (v. IiGlliker). - Découvert et figuré par Stilling en 1867, le noyau du toit du i.e ventricule occupe de chaque côté d
ussens et la branche horizontale de l'arbre de vie médian. C'est un noyau brun ou gris clair, ovalaire ou triangulaire, arr
s H6, C4, Fig. 429, 435) qui inté- ressent sa partie supérieure, le noyau du toit se présente sous l'aspect d'un noyau ar
partie supérieure, le noyau du toit se présente sous l'aspect d'un noyau arrondi ou ovalaire, nettement circonscrit, qui m
u grand entre-croisement commissural (1 ? ca)(hig. 31.G et 465), le noyau du toit, très rapproché de la ligne médiane du
ternes du cervelet (fsmi) ainsi que les fibres qui relient les deux noyaux du toit. Sur les coupes horizontales plus infér
es, l'aspect change considé- rablement ; il ne s'agit plus ici d'un noyau régulièrement arrondi, mais d'une masse grise i
ont minces et longs, tandis que le moyen est épais et irrégulier. Noyaux dentelés accessoires. - Les noyaux dentelés acces
e moyen est épais et irrégulier. Noyaux dentelés accessoires. - Les noyaux dentelés accessoires occupent dans la région de
supérieure et interne de l'olive cérébelleuse. Ce sont deux petits noyaux irréguliers, homologues des corps juxta-olivair
s accessoires (gezackte Nebenkernc), et par Stilling sous le nom de noyau du bouchon ou embolus, et de noyau sphéricité ou
, et par Stilling sous le nom de noyau du bouchon ou embolus, et de noyau sphéricité ou globules. Noyaux gris cen- trau
de noyau du bouchon ou embolus, et de noyau sphéricité ou globules. Noyaux gris cen- traux. Noyau du toit. Situation.
us, et de noyau sphéricité ou globules. Noyaux gris cen- traux. Noyau du toit. Situation. Forme. Rapportsot aspec
uation. Forme. Rapportsot aspect sur coupes horizon- tales. Noyaux dentelés accessoires. .;i2 ANATOMIE DES CENTR
accessoires. .;i2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Noyaudubouchon. Noyau du bouchon (Nem). Embolus. Nucleus e22îbolifo2-nî
cleus e22îbolifo2-nîis. Embole T ? \.1 ? (coupe S5, Fig. 360). Le noyau du bouchon est le plus volumineux et le plus ex
. Le noyau du bouchon est le plus volumineux et le plus externe des noyaux dentelés accessoires. Il est situé en FIG. 360.
vermis et l'hémisphère cérébral. - Coupe sagittale passant par les noyaux dentelés accessoires, le pédon- cule cérébelleu
ternes. - fsmi, fibres semi- circulaires internes. - Nem, embole ou noyau du bouchon. - Sgi, globule ou noyau sphérique.
laires internes. - Nem, embole ou noyau du bouchon. - Sgi, globule ou noyau sphérique. - nh, nid d'hirondelle. - NVm, noyau
. - Sgi, globule ou noyau sphérique. - nh, nid d'hirondelle. - NVm, noyau masticateur ou moteur du trijumeau. - l'es, péd
RIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 513 dedans du corps dentelé, en dehors du noyau sphérique qui le sépare da noyau du toit, en ar
ans du corps dentelé, en dehors du noyau sphérique qui le sépare da noyau du toit, en arrière du pédoncule cérébelleux supé
ns le hile de l'olive cérébelleuse qu'il bouche en partie. C'est un noyau épais, compact, prismatique ou cylindrique, à som
e C2 à C4, Fig. 433 à 435). Il affecte sur ces coupes l'aspect d'un noyau volumineux, à con- tours lisses, renflé en avan
sée sur la plupart des coupes horizontales, et semble constituer un noyau indépendant du corps dentelé et qui s'in- sinue
orps dentelé ; elles montrent clairement que le bouchon n'est qu'un noyau accessoire de l'olive cérébelleuse. (Voy. aussi
cessoire de l'olive cérébelleuse. (Voy. aussi coupe S 6, Fig. 414.) Noyau sphérique (Ngl), nucleus globulus, globulus, glob
que (Ngl), nucleus globulus, globulus, globule. Le plus interne des noyaux dentelés accessoires, le noyau sphérique, est sit
bulus, globule. Le plus interne des noyaux dentelés accessoires, le noyau sphérique, est situé dans l'épaisseur de la bra
pédoncule indépendant du corps dentelé, mais adhérent en haut t au noyau du toit et en dehors au noyau du bouchon. Les cou
s dentelé, mais adhérent en haut t au noyau du toit et en dehors au noyau du bouchon. Les coupes horizon- tales le montre
e. ; Aspect sur coupes. Connexions avec l'olive cérébelleuse. Noyau sphérique. Forme. Connexions avec l'olive c
ourvue de festons et de zigzags. Chez la plupart des mammifères les noyaux gris centraux du cervelet se présentent sous l'
ventricule et que des fais- ceaux de fibres segmentent en plusieurs noyaux . Weidenreich y distingue un volumineux noyau in
gmentent en plusieurs noyaux. Weidenreich y distingue un volumineux noyau interne (nucleus medialis), l'homologue du noyau
ngue un volumineux noyau interne (nucleus medialis), l'homologue du noyau du toit, relié aux noyaux de 13echterewet de De
interne (nucleus medialis), l'homologue du noyau du toit, relié aux noyaux de 13echterewet de Deiters par des travées grises
ié aux noyaux de 13echterewet de Deiters par des travées grises, un noyau externe (l'olive, ou nucleus lalerali.s noyau lis
es travées grises, un noyau externe (l'olive, ou nucleus lalerali.s noyau lisse, dépourvu de dentelures et de noyau blanc
ve, ou nucleus lalerali.s noyau lisse, dépourvu de dentelures et de noyau blanc central), enfin un noyau antéro-externc (em
lisse, dépourvu de dentelures et de noyau blanc central), enfin un noyau antéro-externc (em- bole, nucleus antero-latera
un noyau antéro-externc (em- bole, nucleus antero-lateralis) et un noyau postéro-externe (globule, nucleus postero-later
es oiseaux et les reptiles où le cervelet se réduit au vermis et au noyau du toit, l'olive cérébelleuse fait défaut comme l
oncules cérébelleux moyens. Coupe horizontale passant au-dessous du noyau du toit, et sectionnant la protubérance un peu au
res internes. - Il' ! }, fibres de la pyramide de Malacarne. - NUl, noyau sphérique ou globule. - No, nodule. - xNt, entre-
noyau sphérique ou globule. - No, nodule. - xNt, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. - Pci, pédon
assage aux libres du pédoncule cérébelleux supérieur et loge un des noyaux dentelés accessoires, qui doit à sa situation le
de la face interne des festons, denlelures et denticules. C'est le noyau blanc central dit corps dentelé (nucleus medul-
le long des parois latérales du quatrième ventricule; il entoure le noyau du toit et s'entre-croise dans le vermis en for
ntre-croise dans le vermis en formant l'eièlîe-cî,oise2 ? îeiit des noyaux du toit (xNt coupes H 5, H 6, C 4, Fig. 428, 429,
eux supérieur et moyen, l'étage antérieur de la protu- bérance. Les noyaux d'origine et de terminaison du trijumeau et le fa
. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - Girl, lingula. - Nrf, noyau réticulé. - NI ? 7, noyau masticateur ou moteur
rculaires externes. - Girl, lingula. - Nrf, noyau réticulé. - NI ? 7, noyau masticateur ou moteur du trijumeau. - 1\Ts, noy
ticulé. - NI ? 7, noyau masticateur ou moteur du trijumeau. - 1\Ts, noyau sensitif du trijumeau. Os, olive supérieure ou
rième ventricule. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 5tJ noyaux pontiques (Np), de noyaux du pont, de substance g
URATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 5tJ noyaux pontiques (Np), de noyaux du pont, de substance grise antérieure de la pr
e profonde est tapissée par la substance grise antérieure [du pont ( noyaux pontiques antérieurs) (SgPo), qui dissocie tout
st cloisonnée par la substance grise antérieure de la protubérance ( noyaux pontiques postérieurs) zip), en un grand nombre
). Après épuisement des fibres corlico-protu- Léranliclles dans les noyaux pontiques, les fibres protubérantielles Couche
s, les fibres protubérantielles Couche superti- cielle du pont. Noyaux pontiques. Faisceau oblique du pont. Coucho
qui proviennent des fibres protubérantielles transver- sales ou des noyaux pontiques, pénètrent dans le raphé de la calotte
des Kleinhirns. Les pédoncules cérébelleux supérieurs s'étendent du noyau dentelé et du feutrage inlra- ciliaire au noyau
ieurs s'étendent du noyau dentelé et du feutrage inlra- ciliaire au noyau rouge de Stilling et à la couche optique du côté
a CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 321 Fie. 363. - Les noyaux rouges de Stilling et les pédoncules cérébelleux
ur origine dans l'olive cérébelleuse jusqu'à leur terminaison dans le noyau rouge et la couche optique du côté opposé. Méth
segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - CNR, capsule du noyau rouge. 1·'cc, faisceau central de la calotte. f
Lme, lame médullaire externe du thala- mus. Ln, locus niger. - iVC, noyau caudé. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et
e du thala- mus. Ln, locus niger. - iVC, noyau caudé. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. .VF,
Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. .VF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Sm, centre médian de
rne du globus pallidus. - nh, nid d'hirondelle. - No, nodule. - NR, noyau rouge. - Oc, olive cérébelleuse. - Pei, pédoncule
tissent à une petite distance au-dessus de leur entre-croisement au noyau rouge de Stilling (1'R). Sur un encéphale conve
doncule cérébelleux supérieur, soit dans le cervelet, soit dans les noyaux rouges. Sur des coupes obliques en haut et en ava
n origine dans l'olive cérébelleuse jusqu'à son irradiation dans le noyau rouge et la partie inféro-exlerne du thalamus d
el- leux supérieurs à deux branches de ciseaux à demi ouvertes. Les noyaux rouges figurent les anneaux, l'entre-croisement
2). Segment intra-cérébelleux. Dans la profondeur de la cavité du noyau dentelé, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs)
e sur les coupes horizontales qui passent dans la région du hile du noyau dentelé, où il présente une surface de section pi
en avant et en dehors du globule (Ngl) et de rentre-croisement des noyaux du toit (xNt) (Fig. 361); sa face antérieure ou
uxta-restiforme (Cj), en particulier avec l'extrémité supérieure du noyau de Deiters connue sous le nom de noyau de Becht
ec l'extrémité supérieure du noyau de Deiters connue sous le nom de noyau de Bechterew (NB) et avec l'extrémité supérieure
e nom de noyau de Bechterew (NB) et avec l'extrémité supérieure des noyaux sensitif (NVs) el moteur (NVm) du trijumeau; sa f
s semi-circulaires externes qui contour- nent la face supérieure du noyau dentelé et se fusionnent ace niveau avec les fi
ntervalle est comblé en bas (coupe H3, Fig. 3G2, côté droit) par le noyau moteur du trijumeau et l'extrémité supérieure d
roit) par le noyau moteur du trijumeau et l'extrémité supérieure du noyau sensitif, en haut (Fig. 362, côté gauche) par l'o
Fore). - Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - NI, noyau latéral de la formation réticulée. - NR1, noyau d
locus niger. - NI, noyau latéral de la formation réticulée. - NR1, noyau du ruban de Iteil latéral. - l'es, pédoncule cé
t de chaque côté du raphé deux volumineux fais- ceaux arrondis, les noyaux blancs de Stilling (Fig. 363 et 392, coupe n° 12
lement aux pédoncules cérébelleux supérieurs croisés en formant les noyaux rouges (NR) de Stilling. Un certain nombre de f
es du pédoncule cérébelleux supérieur pénètrent dans l'épaisseur du noyau rouge, lui impriment son apparence striée ou ta
tée particulière et s'y épuisent. Le plus grand nombre entourent le noyau rouge d'une véritable capsule de fibres, capsule
ourent le noyau rouge d'une véritable capsule de fibres, capsule du noyau rouge (CNR), entrent dans la constitution des rad
Voy. Constitution des pédoncules cérébelleux supérieurs, Chap. IV.) Noyau rouge (NR), radiations de la calotte (RC). - Le n
s, Chap. IV.) Noyau rouge (NR), radiations de la calotte (RC). - Le noyau Commissuro en foi àchevaldo'\Ver- nekinl :
tre-croise ment supérieur. Grand entre-croisé ment Infériour. Noyaux blancs d( Stillin ? Connexions avec 1, noya
ment Infériour. Noyaux blancs d( Stillin ? Connexions avec 1, noyau rouge du côti opposôctsacapsu)' de fibres.
TRES NERVEUX. Situation. Rapports. Aspect général. Capsule du noyau rouge. Radiations de la calotte. Pédoncul
leur gris-rougeâtre qui lui a valu son nom et affecte la forme d'un noyau très bien délimité, un peu ovalaire, à grand ax
4, p. 50). Ce dernier faisceau traverse la partie supéro-interne du noyau rouge (Fig. 321), de telle sorte que, sur les cou
e, sur les coupes intéressant la calotte pédonculaire (Fig. 34), le noyau rouge présente, à sa partie interne, une sorte
onsidérée à tort par Luys comme le hile de l'olive supérieure. Le noyau rouge présente, sur les' coupes colorées par la m
assez épaisse de fibres à myéline signalée par Reil, la capsule du noyau rouge, et de constitution fort complexe. Cette ca
nstitution fort complexe. Cette capsule enve- loppe complètement le noyau rouge, se fusionne en arrière, en bas et en deh
la calotte (Haubenstrahlung, Edinger, Flechsig), couche latérale du noyau rouge (latérales Mark des rothen Kerns, v. ulon
ses fibres qui participent à la Fig. 365. - Les ganglions centraux ( noyau du toit, embole, olive cérébelleuse) et les fib
hombencéphale passant par le tiers inférieur de la protubérance, le noyau réticulé de la calotte, le noyau d'origine du n
ers inférieur de la protubérance, le noyau réticulé de la calotte, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe et le
a calotte, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe et le noyau du toit. Méthode de Weigert. 3/2 Gran- deur nat
aires externes, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - ND, noyau de Deiters. - Sem, noyau du bouchon, embole. - Np
mi-circulaires internes du cervelet. - ND, noyau de Deiters. - Sem, noyau du bouchon, embole. - Np, noyaux pontiques. - Nrt
let. - ND, noyau de Deiters. - Sem, noyau du bouchon, embole. - Np, noyaux pontiques. - Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau d
rs. - Sem, noyau du bouchon, embole. - Np, noyaux pontiques. - Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau du toit. - 3 St, entre-croi
uchon, embole. - Np, noyaux pontiques. - Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau du toit. - 3 St, entre-croisement du noyau du toi
t, noyau réticulé. - NI, noyau du toit. - 3 St, entre-croisement du noyau du toit. - -Yvi, noyau du moteur oculaire exter
, noyau du toit. - 3 St, entre-croisement du noyau du toit. - -Yvi, noyau du moteur oculaire externe. - A'vn, noyau du faci
du noyau du toit. - -Yvi, noyau du moteur oculaire externe. - A'vn, noyau du facial. - Oc, olive cérébelleuse. - Os, oliv
ntre-croisement commissural antérieur et de l'entre- croisement des noyaux du toit. Sur les coupes horizontales sériées, il
ule cérébelleux moyen (Pcm) et se place en arrière et en dehors des noyaux sensitif et, moteur du triju- ' meau.Au-dessous
st en rapport avec le pédoncule du flocculus (PFloc) en arrière, le noyau du nerf cochléaire (NNvmc) en avant (coupe H 8,
el- leux direct. Corps juua-resti- forme. Sa constitution : noyau de Deiters. du bulbe. - fas, fibres arciformes
sceau solitaire. - Mo, membrane obturatrice rétro-bulbaire. - Narc, noyau arqué. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur d
o, membrane obturatrice rétro-bulbaire. - Narc, noyau arqué. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur du vague. - NI), noya
turatrice rétro-bulbaire. - Narc, noyau arqué. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur du vague. - NI), noyau de Deiters. -
oyau arqué. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur du vague. - NI), noyau de Deiters. - net, noyau du fumculus teres. - NI'
ambigu ou noyau antérieur du vague. - NI), noyau de Deiters. - net, noyau du fumculus teres. - NI', noyau du raphé. Nrp,
ague. - NI), noyau de Deiters. - net, noyau du fumculus teres. - NI', noyau du raphé. Nrp, noyau rétro-pyramidal. - Nixp, n
eiters. - net, noyau du fumculus teres. - NI', noyau du raphé. Nrp, noyau rétro-pyramidal. - Nixp, noyau postérieur du glos
s teres. - NI', noyau du raphé. Nrp, noyau rétro-pyramidal. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - avilit;, noy
yramidal. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - avilit;, noyau triangulaire ou terminal du nerf vestibulaire. -
-pY1'amidales), ou à travers les pyramides, puis se rendent dans le noyau arqué. Le groupe interne ou postérieur des fibr
a- latérale ; un petit nombre descend le long du raphé et aborde le noyau arqué de la pyramide contra-lalérale. A la ha
de le noyau arqué de la pyramide contra-lalérale. A la hauteur du noyau de Burdach, le corps restiforme, considérable-
s, entourés d'une gangue de substance. grise, connue sous le nom de noyau de Deiters (ND), el qui s'étend, le long CONFIG
du bord latéral du quatrième ventricule, de l'olive cérébelleuse au noyau de Burdach. Les fascicules sont d'origine fort
uns sont autochtones et prennent leur origine dans les cellules du noyau de Deiters, les autres sont la continuation, en
tion réticulée blanche ou grise du côté opposé. Olive bulbaire et noyaux juxta-olivaires. Aux voies cérébel- leuses infé
faisceaux de fibres verticales; ils séparent le hile de l'olive du noyau juxta-olivaire interne et s'adossent en partie
bres sagittales du raphé appartenant aux stries acoustiques. - Sa ? noyau ambigu. Narc, noyau arqué des pyra- mides se co
aphé appartenant aux stries acoustiques. - Sa ? noyau ambigu. Narc, noyau arqué des pyra- mides se continuant en arrière
Narc, noyau arqué des pyra- mides se continuant en arrière avec le noyau du raphé (NI'). Srt, noyau du faisceau arrondi
- mides se continuant en arrière avec le noyau du raphé (NI'). Srt, noyau du faisceau arrondi (funiculus teres). - Noe, n
phé (NI'). Srt, noyau du faisceau arrondi (funiculus teres). - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - Soi, noyau juxta-olivai
rrondi (funiculus teres). - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - Soi, noyau juxta-olivaire interne. - .\\ IIW, noyau triang
a-olivaire externe. - Soi, noyau juxta-olivaire interne. - .\\ IIW, noyau triangulaire de la branche vestibulaire de l'audi
, noyau triangulaire de la branche vestibulaire de l'auditif. - nixe, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - Oi, olive bu
t de celles de la formation réticulée qui la recouvrent en arrière. Noyau juxta-olivaire externe (Noe). Le noyau juxta-oliv
ui la recouvrent en arrière. Noyau juxta-olivaire externe (Noe). Le noyau juxta-olivaire externe est un noyau plat, verti
uxta-olivaire externe (Noe). Le noyau juxta-olivaire externe est un noyau plat, vertical et rectiligne, qui n'atteint pas l
e des fibres longitudi- nales de la formation réticulée grise. Le noyau juxta-olivaire interne (Noc) est beaucoup plus ét
sitif, coupe S 1 (Fig. 408, p. 590). Réuni en haut et en arrière au noyau juxta-olivaire externe, il longe le hile de l'oli
tico-transversales sont particulièrement favorables à l'étude de ce noyau et montrent la façon dont il embrasse l'extrémité
nsehel1, Kassel, 18G'r, 1867 et 1878. - Thomas. Le cervelet. Eludi , Noyau j u-,ta-oli- \aire externe. \oyau juxta-o}¡-
otte du pédoncule cérébral à la moelle cervicale, contient tous les noyaux d'origine et de ter- minaison des nerfs cranien
ébelleux moyen (p. 51'7); 3° Par une gangue de substance grise, les noyaux pontiques, qui enve- loppent les fibres longitu
tres par la substance grise du locus niger (Ln) et plus bas par les noyaux pontiques (coupe P 2, Fig. 393). La dissociatio
- G1ZJ, ganglion inter-pédonculaire. - Le, locus ceruleus. - ives, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral, compris e
laire. - Le, locus ceruleus. - ives, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral, compris entre le pédoncule cérébelleux
pédoncule cérébelleux supérieur et le ruban de Reil médian. - -Vin, noyau du nerf moteur oculaire commun. - l'es, pédoncu
um, ruban de Reil médian. - Sage, substance grise centrale. - SgPo, noyaux pontiques. - SR, formation réticulée. - l'po, t
s et postérieures de la protubérance. z - Lc,locus cwruleus. - Ncs, noyau central supérieur. - l'es, pédoncule cérébelleux
superficielles du pont recouvre seule le faisceau pyramidal, et les noyaux pontiques l'appliquent sur la région de la calo
se condense à la partie supéro-antéro-inlerne de la pyramide en un noyau irrégulier, connu Fibres de la voio pédoncula
CENTRES NERVEUX. Happol't> du fais- ccau y3 ramidal avec le noyau arqué et les fibres arciformes superficielles
u arqué et les fibres arciformes superficielles. sous le nom de noyau arC/fol'me ou de noyau arqué des pyramides (Narc)
arciformes superficielles. sous le nom de noyau arC/fol'me ou de noyau arqué des pyramides (Narc) (coupes H 8 à H 16,
t 138 à 416, p. 657 à 680). Le volume, la forme, la situation de ce noyau sont variables suivant les individus; il s'étal
fibres inter-réticulées du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. - NB, noyau de Burdach. ~NG, noyau de Goll
lées du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. - NB, noyau de Burdach. ~NG, noyau de Goll. - Nlla, noyau lat
isceau solitaire. - Narc, noyau arqué. - NB, noyau de Burdach. ~NG, noyau de Goll. - Nlla, noyau latéral anté- rieur du b
c, noyau arqué. - NB, noyau de Burdach. ~NG, noyau de Goll. - Nlla, noyau latéral anté- rieur du bulbe. - Nllp, noyau lat
noyau de Goll. - Nlla, noyau latéral anté- rieur du bulbe. - Nllp, noyau latéral postérieur du bulbe. - .\'.11, noyau de v
rieur du bulbe. - Nllp, noyau latéral postérieur du bulbe. - .\'.11, noyau de v. Monakow ou noyau externe de Burdach. Soi,
noyau latéral postérieur du bulbe. - .\'.11, noyau de v. Monakow ou noyau externe de Burdach. Soi, noyau juxta-olivaire int
be. - .\'.11, noyau de v. Monakow ou noyau externe de Burdach. Soi, noyau juxta-olivaire interne. - noyaut du nerf spinal
Soi, noyau juxta-olivaire interne. - noyaut du nerf spinal. - \'xm, noyau du nerf hypoglosse. - Oi, dernières dentelures de
nombre de ces fibres se terminent ou prennent leur origine dans le noyau arqué de la pyramide; les autres s'entre-croise
Cop, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croisé. - \'I3, noyau de Burdach. - NG, noyau de Goll. - T'scl, gross
- FPyc, faisceau pyramidal croisé. - \'I3, noyau de Burdach. - NG, noyau de Goll. - T'scl, grosse racine sensitive descend
et l'o- livo bulbaire. 540 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Avec le noyau juxta-olivaire in- terne et le cordon antér
et horizontal des fibres olivaires, mais encore par la présence des noyaux rétro-pyramidaux (Nrp), petits amas irréguliers d
aisceau plus ou moins arrondi qui s'adosse au segment horizontal du noyau juxta-olivaire inlerne (Noi); plus bas enfin (c
nt que des libres transversales séparées par les travées grises des noyaux pontiques; les libres sagittales du raphé média
ue par un petit amas névroglique, aplati ou arrondi, con- tenant le noyau arqué et situé au-devant de la couche inter-oliva
les obliques qui traversent le ruban de Reil médian au voisinage du noyau rouge, et que nous avons rattachés sur nos coup
. Dégé- nérescence de la substance grise antérieure du pont, du noyau arqué et des fibres sagittales du raphé bulbair
375 et 376) qui traversent le ruban cle Reil au voisi- nage du noyau rouge, et que nous avons rattachés sur nos co
es arciformes superficielles du bulbe refoulent dans l'épaisseur du noyau arqué (Narc). Au-dessous de l'olive bulbaire, à l
iculée, les autres se terminent (ou prennent leur origine) dans les noyaux gris de la calotte. Les fibres arciformes se di
aubenkreuzung), remarquable par ses courbes très accen- tuées ; des noyaux rouges se détache l'entre-croisement ventral de l
hile de l'olive bulbaire contra-latérale; d'autres se détachent des noyaux de Goll et de Burdach, forment l'entre-croisement
lbo-protubérantielle, el se détachent du corps juxta-restiforme, du noyau de Deiters, etc. Les fibres radiées ou sagittal
diculaires (fibres d'origine, fibres de terminaison) des différents noyaux des nerfs crâniens : fibres radiculaires des nerf
pneumogastrique, vestibulaire; d'autres fibres appartiennent à des noyaux spéciaux, tel le faisceau du hile de l'olive supé
stitutifs de la calotte, à savoir : 1° les voies cérébelleuses et les noyaux gris qui en dépendent; 2° la substance grise ce
noyaux gris qui en dépendent; 2° la substance grise centrale et les noyaux d'ori- gine el de terminaison des nerfs crânien
édiane. La colonne nu- cléaire latérale. Les deux colonnes de noyaux de nerfs crâniens situées dans la formation r
certains faisceaux de la formation réti- tulue. supérieur, le noyau rouge et les radiations de la calotte (voy. p. 52
te bulbo-protubérantielle : corps restiforme, olive bulbaire et ses noyaux juxta-olivaires (voy. p. 528); corps juxta-restif
are de l'épendyme ventriculaire. Elle contient un certain nombre de noyaux d'origine et de terminaison des nerfs cra- nien
a colonne cellulaire médiane forme, dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaire commun (II
tique (IVe paire); dans la partie inférieure de la protubérance, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe (7l'
gine du nerf moteur oculaire externe (7l' paire); dans le bulbe, le noyau d'origine du nerf grand hypoglosse (XIIe paire)
se (XIIe paire). La colonne latérale fournit, dans le pédoncule, le noyau d'origine de la petite racine motrice descendante
du nerf trijumeau et le locus ct7J1'Uleus; dans la protubérance, le noyau de terminaison du nerf vestibulaire, et le noya
a protubérance, le noyau de terminaison du nerf vestibulaire, et le noyau de terminaison des nerfs mixtes (glosso-plwryng
naison des nerfs mixtes (glosso-plwryngien, vague et spinal). Les noyaux de terminaison et d'origine des autres nerfs cran
e interne fournit, dans la région pro- tubérantielle supérieure, le noyau d'origine de la porlion motrice du nerf trijume
ijumeau (Ve paire) ; dans la région protubérantielle inférieure, le noyau d'origine du nerf facial (VIle paire); dans la ré
d'origine du nerf facial (VIle paire); dans la région bulbaire, les noyaux d'origine de la ortiozz motrice des nerfs mixtes,
ire), pneumogastrique (1° paire) et spinal (XIe paire) ; ce dernier noyau se prolonge jusque dans la moelle cervicale où il
ce gélatineuse de Rolando de la corne postérieure, et con- tient le noyau de terminaison de la parlie sensitive du nerf tri
de terminaison de la parlie sensitive du nerf trijumeau. Quant aux noyaux de terminaison du nerf cochléaire (VIIIe paire),
jet de certains faisceaux auxquels ils appartiennent; tels sont les noyaux des cordons de Goll et de Burdach qui servent d'o
rvent d'origine à la partie principale du ruban de Reil médian, les noyaux du corps restiforme, en connexion intime avec c
ubérantielle, CONFIGURATION INTERIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 353 les noyaux du corps trapézo'ide el les noyaux du ruban de Re
IEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 353 les noyaux du corps trapézo'ide el les noyaux du ruban de Reil latéral situés sur le trajet d
. TOPOGRAPHIE ET MORPHOLOGIE GÉNÉRALES DE LA FORMATION RÉTICULÉE. NOYAUX GRIS ET FAISCEAUX COMPACTS 1. Noyaux gris de la
S DE LA FORMATION RÉTICULÉE. NOYAUX GRIS ET FAISCEAUX COMPACTS 1. Noyaux gris de la formation réticulée. Dans son long t
en général, et qui, à proprement parler, ne méritent pas le nom de noyaux sous lequel elles sont générale- ment désignées
et se logent dans la concavité du ruban de Reil médian, enformantle noyau innominé de Bechterew(SR, coupen°12xbis, Fig. 3
392). Dans la protubérance ils forment : au voisinage du raphé deux noyaux superposés, le noyau central supérieur (Ncs, coup
ance ils forment : au voisinage du raphé deux noyaux superposés, le noyau central supérieur (Ncs, coupes Hl, H 2, Fig. 39
oyau central supérieur (Ncs, coupes Hl, H 2, Fig. 394 et 395) et le noyau réticulé (Nrt, coupes H3,H6,Fig. 362, p. 518; 3
,Fig. 362, p. 518; 365, p. 527); dans la région postéro-cxternc, le noyau circonflexe (Nef, coupe H 2, Fig. 395) et dans
et 39-1). Dans le bulbe enfin, ils forment au voisinage du raphé le noyau central inférieur (Nci, coupes H7,H8, Fig. 397,
e noyau central inférieur (Nci, coupes H7,H8, Fig. 397, 398), et le noyau du cordon antérieur (Nr, coupe H 11, Fig. 399)
u cordon antérieur (Nr, coupe H 11, Fig. 399) et plus en dehors les noyaux du cordon latéral (NI ta, Nltp, coupes H 16, H1
t les voies cérébel- leuses supérieures - radiations de la calotte, noyau rouge et pédoncule cérébelleux supérieur - avec
e Formation rcticlI- léu. Son aspect. La disposition 41(' ses noyau \ : 'al"lo suivant lc"ùllfél'f'lIh segments du
es coupes de la région un petit champ triangulaire compris entre le noyau rouge en avant, la substance grise centrale en
ugmente rapidement de volume; il s'étale en arrière et en dehors du noyau rouge (Fig. 33, p. 49 et G2, p. 73), se fusionn
s de l'entre-croi- sement des pédoncules cérébelleux supérieurs. Le noyau blanc de Stilling, les entre-croisements dorsal
ement de Forel (ne pas confondre cet entre-croisement originaire du noyau rouge avec l'entre-croisement sous-thalamique p
gitudinal postérieur. Lu, locus niger. - NIII, partie inférieure du noyau du nerf moteur oculaire commun. - l'es, pédoncu
l'es, pédoncule cérébelleux supérieur après son entre-croisement ou noyau blanc de Stilling. - Pul, pulvinar. - Qa, tuber
ALE. 555 ruban de Reil médian, et dans le sens antéro-postérieur du noyau rouge et du pédoncule cérébelleux supérieur, qu
Reil médian; elle est formée d'épais trabécules de substance grise ( noyau innominé de Bechterew) traversés par des fascicul
ban de Reil médian et a été désignée par v. K6111ker sous le nom de noyau latéral de la calotte (NI, coupe P2, Fig. 393).
m de noyau latéral de la calotte (NI, coupe P2, Fig. 393). Comme le noyau innominé de Bechterew, ce noyau latéral de la c
(NI, coupe P2, Fig. 393). Comme le noyau innominé de Bechterew, ce noyau latéral de la calolte n'est qu'une dépendance de
ec le pédoncule cérébelleux supérieur est facile il constater et le noyau latéral fait défaut en tant que noyau plus ou moi
est facile il constater et le noyau latéral fait défaut en tant que noyau plus ou moins nettement délimité. La zone posté
sionne avec la zone anlérieure. Dans sa partie interne particu- Ses noyaux . La formation r5V- culée du segment protubé
es cérébelleux supérieurs. 556 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau central supérieur lièrement riche en trabécul
central supérieur lièrement riche en trabécules gris, apparaît le noyau central supérieur J' de Bechterew(Ncs, hig. 39,
supérieure, existe sur toutes les coupes qui passent au-dessus des noyaux du trijumeau et forme avec le noyau du côté oppos
upes qui passent au-dessus des noyaux du trijumeau et forme avec le noyau du côté opposé une lentille biconvexe médiane,
es. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. - NI, noyau latéral de la for- mation réticulée. - l'cs, pé
ION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 357 de Wernekink; en bas, avec le noyau réticulé. De chaque côté enfin, il est assez bi
cus c;erulcus. - Lqa. lobe quadrilatère antérieur du cervelet. - Vcs, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral de la fo
latère antérieur du cervelet. - Vcs, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral de la formation réticulée. - Pes, pédoncu
partie supérieure de la valvule de Vieussens(coupe H2 Fig. 395), le noyau central supérieur parai ! élargi et mal délimit
formation réticulée de la région protubérantielle supérieure. - Les noyaux central supérieur et circonflexe. - Les rubans de
périeur et circonflexe. - Les rubans de Ileil médian et latéral, le noyau du ruban de Reil latéral et la partie supérieure
stérieures de l'étage antérieur du pont. - Le, locus ceruleus. Nef, noyau circonflexe. - Ncs, noyau central supérieur; Ncs'
rieur du pont. - Le, locus ceruleus. Nef, noyau circonflexe. - Ncs, noyau central supérieur; Ncs' son seg- ment externe.
e. - Ncs, noyau central supérieur; Ncs' son seg- ment externe. NUI, noyau du ruban de Reil latéral. - l'cnz, pédoncule céré
es. - Rl, ruban de Reil latéral. - Rm, ruban de Iteil médian. SgPo, noyaux pontiques. - spu, sillon post-central du cervel
ent riche en trabécules gris qui semble n'être qu'une dépendance du noyau central supérieur, lequel comprend ici un segment
l comprend ici un segment interne (Ncs) et un autre externe (Ncs') ( noyau central supéro-interne et noyau central supéro-
e (Ncs) et un autre externe (Ncs') (noyau central supéro-interne et noyau central supéro-externe de Bechterew). Dans la
dante du trijumeau en arrière, et que nous désignons sous le nom de noyau circonflexe (Nef, coupe H2, Fig. 395). Il résulte
ral de la calotte (Fcc). Très bien délimité en arrière par le petit noyau circonflexe, le faisceau central de la calotte se
avoisinent le ruban de Reil médian, et avec celles qui limitent le noyau central supérieur en dehors (coupe H2, Fig. 395).
2 p. 518 et 396) qui correspond à l'émergence du trijumeau et à son noyau moteur, les noyaux central supérieur et circonfle
ui correspond à l'émergence du trijumeau et à son noyau moteur, les noyaux central supérieur et circonflexe disparaissent.
gue trois amas cellulaires, l'olive supé- rieure (Os) en avant, les noyaux moteur (NVm) et sensitif (NVs) du triju- meau e
ît entre les deux rubans de Reil médians, au voisinage du raphé, le noyau réticulé de la calotte (Nrt), noyau très mal déli
ians, au voisinage du raphé, le noyau réticulé de la calotte (Nrt), noyau très mal délimité, remarquable par son aspect d
u sillon bulbo-protubérantiel (coupe H7, Fig. 397), la formation Le noyau circon- flexe, c. Son aspect dans la région
- La formation réticulée dans la région prolubéranl ielle moyenne, le noyau réticulé et les noyaux moteur et sensitif du tr
dans la région prolubéranl ielle moyenne, le noyau réticulé et les noyaux moteur et sensitif du trijumeau. - Les pédoncules
moyennes et postérieures de la protubérance. - Lig, lingula. - Nft, noyau du funiculus teres. - Np, noyaux pontiques. - Nrl
rotubérance. - Lig, lingula. - Nft, noyau du funiculus teres. - Np, noyaux pontiques. - Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noya
la. - Nft, noyau du funiculus teres. - Np, noyaux pontiques. - Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noyau du nerf masticateur ou
ulus teres. - Np, noyaux pontiques. - Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noyau du nerf masticateur ou noyau moteur du trijumeau.
iques. - Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noyau du nerf masticateur ou noyau moteur du trijumeau. - v\'l's, noyau sensitif du
, noyau du nerf masticateur ou noyau moteur du trijumeau. - v\'l's, noyau sensitif du trijumeau. - Os, olive supérieure o
rmation réticulée dans la région protubérantielle inférieure. -- Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian et le
corps trapézoïde, la branche vestibulaire du nerf acoustique et les noyaux d'origine des nerfs facial et moteur oculaire ext
ulbe. - fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - \'ci, noyau central inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI,
laires internes du cervelet. - \'ci, noyau central inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI, noyau d'origine du nerf moteu
et. - \'ci, noyau central inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI, noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - NVII
es. - NVI, noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - NVII, noyau d'origine du nerf facial. - Oc, olive cérébelle
ibulaire du nerf acoustique. 562 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau central inlérieur. La formation réti- culée
Reil médian, en dedans du faisceau central de la calotte, un petit noyau transversal, le noyau central inférieur (Nci),
s du faisceau central de la calotte, un petit noyau transversal, le noyau central inférieur (Nci), mieux délimité que le no
ransversal, le noyau central inférieur (Nci), mieux délimité que le noyau réticulé el qui appartient à la région bulbo-pr
a région bulbo-protubérantielle. Adossé de chaque côté au raphé, ce noyau n'atteint pas en arrière le faisceau longitudinal
nt la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance et le noyau arqué des pyramides. Le segment externe de la f
ent externe de la formation réticulée contient un certain nombre de noyaux qui sont, en allant de dedans en dehors et d'avan
avant en arrière (coupe H 7, Fig. 397), l'olive supérieure (Os), le noyau d'origine du facial (NVII), la substance gélati
se termine la grosse racine sensitive descendante du trijumeau, le noyau de Deiters ou noyau de terminaison de la racine
e racine sensitive descendante du trijumeau, le noyau de Deiters ou noyau de terminaison de la racine descendante du nerf v
terminaison de la racine descendante du nerf vestibulaire, enfin le noyau triangulaire du nerf vestibulaire, situé en arriè
upe H7, Fig. 397); elles se concentrent en épais fascicules dans le noyau de Deiters et s'amassent à la partie antérieure
.. 398. - La formation réticulée de la région bulbaire supérieure. Le noyau central inférieur, le ruban de Reil médian, le
; . .[se. longitudinal postérieur. - Le corps juxta-restiforme, le noyau de Deiters, le noyau du facial et le noyau anté
inal postérieur. - Le corps juxta-restiforme, le noyau de Deiters, le noyau du facial et le noyau antérieur ou de terminais
rps juxta-restiforme, le noyau de Deiters, le noyau du facial et le noyau antérieur ou de terminaison de la branche cochléa
juxta-restiforme, comprenant les fibres cérébello-vestibulaires et le noyau de Deiters. - Crsl, corps restiformes. - facl,
antérieures du pont. - fpt, fibres arciformes pré-triéminales. - ND, noyau de Deiters. .V ? noyau du raphé. .Y\;t, noyau d
pt, fibres arciformes pré-triéminales. - ND, noyau de Deiters. .V ? noyau du raphé. .Y\;t, noyau d'origine du facial. JVvni
ré-triéminales. - ND, noyau de Deiters. .V ? noyau du raphé. .Y\;t, noyau d'origine du facial. JVvnic, noyau de terminais
iters. .V ? noyau du raphé. .Y\;t, noyau d'origine du facial. JVvnic, noyau de terminaison de la branche cochléaire du nerf
uban de Reil médian. SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SgPo, noyaux pontiques. - stac, strie acous- tique. - Strs,
iculée. Dans la région bulbaire supérieure (coupe H8, Fig. 398), le noyau central inférieur (Nci) limite en arrière la couc
et la sépare du faisceau longitudinal postérieur (Flp); plus bas, le noyau disparaît et l'espace compris entre les deux fa
formation réticulée dans laquelle les processus réti- culés et les noyaux prédominent, et qui porte le nom de formation rét
la région inférieure du bulbe (Fig. 399), un amas gris, étroit, le noyau respiratoire de Mislawsky (Nr) ou noyau du cord
), un amas gris, étroit, le noyau respiratoire de Mislawsky (Nr) ou noyau du cordon antérieur (nucleus funiculi anleriori
avec l'olive bulbaire (Oi), la capsule de fibres qui l'enveloppe elle noyau juxta-olivaire externe (\'oc); en dedans, il es
les fibres radiculaires de l'hypoglosse (coupe Hll, Fig. 399) et le noyau juxta-olivaire interne (Noi, coupe H17, Fig. .00)
s, il est limité par le corps restiforme (Crst) dont le séparent le noyau de Deiters (Cj) et la substance gélatineuse de Ro
La formation réticulée blanche et la formation réticulée grise, le noyau respiratoire, le noyau ambigu. L'olive bulbaire e
blanche et la formation réticulée grise, le noyau respiratoire, le noyau ambigu. L'olive bulbaire et les noyaux juxta-oliv
se, le noyau respiratoire, le noyau ambigu. L'olive bulbaire et les noyaux juxta-olivaires. Le corps restiforme et ses fib
lo-olivaires, le corps juxta- restiforme, le faisceau solitaire, le noyau de l'hypoglosse. Coupe transversale du bulbe. -
ulbe. - fpo, fibres pré-olivaires. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué. - NCrst, noyau du
pré-olivaires. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué. - NCrst, noyau du corps restiforme. - No
sceau solitaire. - Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué. - NCrst, noyau du corps restiforme. - Noe, noyau juxta-olivaire
gu. - Narc, noyau arqué. - NCrst, noyau du corps restiforme. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - Nos, noyau juxta-oliv
oyau du corps restiforme. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - Nos, noyau juxta-olivaire interne. - 1\fI. noyau du funicu
uxta-olivaire externe. - Nos, noyau juxta-olivaire interne. - 1\fI. noyau du funiculus teres. - Nrp, noyau rétro-pyramidal.
au juxta-olivaire interne. - 1\fI. noyau du funiculus teres. - Nrp, noyau rétro-pyramidal. - noyau respiratoire. - v\'cuu
. - 1\fI. noyau du funiculus teres. - Nrp, noyau rétro-pyramidal. - noyau respiratoire. - v\'cuu, noyau de terminaison de l
eres. - Nrp, noyau rétro-pyramidal. - noyau respiratoire. - v\'cuu, noyau de terminaison de la branche vestibulaire du nerf
u de terminaison de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nxp, noyau postérieur du vague. - noyau de l'hypoglosse. - O
e vestibulaire du nerf auditif. - Nxp, noyau postérieur du vague. - noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulb
TRES NERVEUX. Son aspect dans la région bulhalro moyenne. Les noyaux du cordon latéial. Son aspect au niveau de
, des amas gris plus ou moins bien délimités, connus sous le nom de noyaux du cordon latéral ou de noyaux latéraux du bulbe
ien délimités, connus sous le nom de noyaux du cordon latéral ou de noyaux latéraux du bulbe (N1L) (coupes H 11 à H 17, Fi
térieure de la formation réticulée grise, on trouve, en arrière des noyaux du cordon latéral et dans toute la hauteur de l
s polygonales, l'usiformes ou arrondies et désignées sous le nom de noyau ambiguus de Clarke ou de noyau moteur des nerfs
rrondies et désignées sous le nom de noyau ambiguus de Clarke ou de noyau moteur des nerfs vague el glosso-pltarY1lgien (Na
ulée grise, et s'étend de la substance gélatineuse de Rolando et du noyau du cordon de Burdach au noyau juata-olivaire ex
ubstance gélatineuse de Rolando et du noyau du cordon de Burdach au noyau juata-olivaire externe (coupes H14 et H15, Fig.
t elles constituent les fibres arciformes, puis se rendent dans les noyaux des cordons de Goll (NG) et de Burdach (NB).
galement. Elle s'allonge dans le sens antéro-postérieur, s'étend du noyau juxta-olivaire interne (Noi), qui la sépare de
du bulbe, jusqu'à la substance gélatineuse de Rolando (SRg) et aux noyaux des cordons de Goll (NG) et de Burdach (NB). Le
e confond en arrière avec la substance gélatineuse de Rolando et le noyau de Burdach, et représente Fig. r00. - La format
u niveau de l'entre-croisement piniforme ou sen- sitif du bulbe. Le noyau juxta-olivaire interne, les noyaux de Goll, de Bu
iforme ou sen- sitif du bulbe. Le noyau juxta-olivaire interne, les noyaux de Goll, de Burdach et de v. Monakow. Coupe tra
e. - fil', fibres interré- üculées. - Fs, faisceau solitaire. - YB, noyau du cordon de Burdach. - VG, noyau du cordon de
es. - Fs, faisceau solitaire. - YB, noyau du cordon de Burdach. - VG, noyau du cordon de Goll. - Nom, noyau de v. Monakow,
, noyau du cordon de Burdach. - VG, noyau du cordon de Goll. - Nom, noyau de v. Monakow, ou partie externe du noyau de Burd
du cordon de Goll. - Nom, noyau de v. Monakow, ou partie externe du noyau de Burdach. - Vll, noyau latéral du bulbe. - No
noyau de v. Monakow, ou partie externe du noyau de Burdach. - Vll, noyau latéral du bulbe. - Noi, noyau juxta-olivaire int
externe du noyau de Burdach. - Vll, noyau latéral du bulbe. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. - Vw, noyau d'origine d
l, noyau latéral du bulbe. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. - Vw, noyau d'origine du spinal. - Nw, noyau d'origine du g
oyau juxta-olivaire interne. - Vw, noyau d'origine du spinal. - Nw, noyau d'origine du grand hypoglosse. - xpin, entre-croi
ocessus reticulares de [Lenhossek. - Cop, corne postérieure. - NI3, noyau du cordon de [Burdach. - NG, noyau du cordon de
- Cop, corne postérieure. - NI3, noyau du cordon de [Burdach. - NG, noyau du cordon de Goll. - Py, pyramide antérieure du
e rubanée ou ruban de Reil médian un segment interne, originaire du noyau de Goll (mediale Abtheilung der Hauptschleife, se
us le nom de mediale Schleife, et un segment externe, originaire du noyau de Burdach (latérale Abtheilung der Flrcuptschl
s, Kôlliker, que l'entre-croisement supérieur du bulbe provient des noyaux des cordons postérieurs, et on l'appela entre-c
blématique; pour les uns (Iluguenin, Roller, Flechsig) les fibres des noyaux des cordons postérieurs se rendaient après entr
de la méthode des coupes microscopiques sériées, que les fibres des noyaux des cordons postérieurs et de l'entre-croisemen
ctitude de l'hypothèse de Meynert sur la participation des fibres des noyaux des cordons postérieurs à la constitution de la
portant et le mieux différencié. Il tire son origine principale des noyaux des cordons postérieurs de la moelle épinière,
t se termine finalemenl dans la partie postérieure et inférieure du noyau externe de la couche optique, dans celle région
ous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil médian. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des co
du ruban de Reil médian. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des cordons postérieurs (NCp) ou noyaux de Goll
ons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des cordons postérieurs (NCp) ou noyaux de Goll (\`G) et de Burdach (NB), (coupes H 16
ssent d'abord sous les traits d'une masse informe qui fait suite au noyau de Deiters et Vue d'ensemble. Les noyaux d'or
informe qui fait suite au noyau de Deiters et Vue d'ensemble. Les noyaux d'ori- giiio du ruban de Reil. S-72 -) ANAT
iio du ruban de Reil. S-72 -) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. aux noyaux du corps restiforme (coupe H13, Fig. 402) et dont
e, de dehors en dedans, a la substance gélalinenes f ic. 402. - Les noyaux des cordons postérieurs aux confins des corps res
vaire. Coupe passant par le tiers inférieur de l'olive bulbaire, le noyau de l'hypoglosse et les libres radiculaires du ner
extrémité supérieure des cordons postérieurs. NCp, masse commune aux noyaux des cordons postérieurs. - Crsl, corps restifor
ra-olivaire. )-, fibres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons postérieurs et s'entre-croisant à l
). - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur du vague. - Narc, noy
latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur du vague. - Narc, noyau arqué prép3-ram
solitaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau antérieur du vague. - Narc, noyau arqué prép3-ramidal. - A7/, noyau latéral du bu
u noyau antérieur du vague. - Narc, noyau arqué prép3-ramidal. - A7/, noyau latéral du bulbe. - Noe, noyau juxta-olivaire e
c, noyau arqué prép3-ramidal. - A7/, noyau latéral du bulbe. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - Noi, noyau juxta-olivai
noyau latéral du bulbe. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. - 115·l, noyau réticulé
xta-olivaire externe. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. - 115·l, noyau réticulé, - Nxp, noyau postérieur du vague. - A'x
Noi, noyau juxta-olivaire interne. - 115·l, noyau réticulé, - Nxp, noyau postérieur du vague. - A'xn, noyau de l'hypogloss
- 115·l, noyau réticulé, - Nxp, noyau postérieur du vague. - A'xn, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulb
postérieurs de la moelle et segmente la masse grise commune en deux noyaux : l'un externe, ou noyau de Burdach (NB); l'aut
t segmente la masse grise commune en deux noyaux : l'un externe, ou noyau de Burdach (NB); l'autre interne, ou noyau de Gol
oyaux : l'un externe, ou noyau de Burdach (NB); l'autre interne, ou noyau de Goll (NG). Ces noyaux déterminent à la surfa
noyau de Burdach (NB); l'autre interne, ou noyau de Goll (NG). Ces noyaux déterminent à la surface du bulbe la saillie des
ées l'une de l'autre par les fibres des cor- dons postérieurs. Le noyau de Burdach (NB) (nucleus funiculi cznzeati, resli
réticulée; de sa partie postérieure et externe se détache un petit noyau irrégulièrement déchiqueté, plongé au sein des fi
s H13 à H17,Fig.402 et H4 à il-i, p. G17 il G8). Il porte le nom de noyau externe de Burdach (nucleus externes funiculi c
funiculi ciiiiedli), ou ter restiforme nucleus (Clarke) ou encore de noyau de v. Monakow ce[ auteur ayant démontré ses con
son indépendance complète d'avec le ruban (le Reil. fin. 403. - Les noyaux de Goll et de Burdach et l'entre-croisement pinif
s arc[formes interréticulées. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - NB, noyau de Burdach. - NG, noyau de Goll. - A\i, noyau d
es. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - NB, noyau de Burdach. - NG, noyau de Goll. - A\i, noyau du spinal. - Py, pyramide a
téral du bulbe. - NB, noyau de Burdach. - NG, noyau de Goll. - A\i, noyau du spinal. - Py, pyramide antérieure du bulbe.
spinal. , Le 1103 au de liur- dach. Son segment ov- terne ou noyau de Monakow. : ii4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
TRES NERVEUX. Son segment m. terne ou masso I)rjn- clpale, Lo noyau de Goll. Les conne\ ions des noyaux de Goll e
ou masso I)rjn- clpale, Lo noyau de Goll. Les conne\ ions des noyaux de Goll et de Burdach et les fibres arciforme
ictilées de la partio inférieure du bulbe. La masse principale du noyau de Burdach, désignée encore sous le nom de noya
asse principale du noyau de Burdach, désignée encore sous le nom de noyau de Burdach (NB) proprement dit, ou de noyau inter
e encore sous le nom de noyau de Burdach (NB) proprement dit, ou de noyau interne de Burdach, représente sur les coupes u
ouche de fibres du cordon posté- rieur qui la sépare, en dedans, du noyau de Goll, en dehors, de la sub- stance gélatineu
H16 à H20, Fig. 370, 400, 401, 403), et de la corne postérieure. Le noyau interne de Burdach diminue rapidement d'épaisse
urdach (coupes H18, H20, Fig. 403, 101). Tout autre est la forme du noyau de Goll (NG) (nucleus funiculi gara- cilis, pos
nhorn (Rei- che,t); de même volume et de même forme au début que le noyau de Burdach (coupes H16, H17, Fig. 370, 400), il
pédi- cule mince et étroit (coupes H18 à H20, Fig. 403, 401). Le noyau de Goll descend plus bas que le noyau de Burdach
H18 à H20, Fig. 403, 401). Le noyau de Goll descend plus bas que le noyau de Burdach ; au niveau de l'entre-croisement mo
mensions antéro-postéricurcs sont encore considérables alors que le noyau de Bur- dach tend il disparaître. Au voisinage
H22, Fig. 451 et 452, p. 687 et 688), le pédicule, disparait et le noyau de Goll se termine par une extrémité libre, apl
au sein du cordon postérieur de la moelle (Fig. 426, p. 630). Les noyaux de Goll et;de Burdach diffèrent l'un de l'autre n
non seulement par leur forme, mais encore par leur aspect; dans le noyau de Goll, la sub- slance grise et les fines fibr
fibres qui le sillonnent sont uniformément dissémi- nées ; dans le noyau de Burdach, la substance grise se rassemble en îl
s interréticulées et entre-croisement pini- forme (fir, xpin). - Le noyaux de Goll et les noyaux de Burdach (interne et ex
ntre-croisement pini- forme (fir, xpin). - Le noyaux de Goll et les noyaux de Burdach (interne et externe) représentent le
Goll et les noyaux de Burdach (interne et externe) représentent les noyaux de terminaison des libres des cordons postérieu
dans le corps restiforme et pro- viennent plus particulièrement du noyau externe de Burdach. Le noyau le Goll et le noya
pro- viennent plus particulièrement du noyau externe de Burdach. Le noyau le Goll et le noyau interne de Burdach sont en
articulièrement du noyau externe de Burdach. Le noyau le Goll et le noyau interne de Burdach sont en outre les noyaux d'ori
. Le noyau le Goll et le noyau interne de Burdach sont en outre les noyaux d'origine le l'important système des fibres arc
clées (fir). Ces dernières se détachent de la partie antérieure des noyaux de Goll et de Burdach sous CONFIGURATION INTÉRI
re cette dernière, la partie fondamentale du cordon antérieur et le noyau juxta-olivaire interne (coupe H17, Fig. 400), p
e. Méthode de Weigert-Pal. 1a/1 grandeur nature. f.Vl3, fibres du noyau de Burdach concourant à for- mer les fibres arc
réticulécs (fil'). - Ca. cordon antérieur. Coa, corne antérieure. - noyau du spinal. - XXII, noyau de l'hypoglosse. l'y,
cordon antérieur. Coa, corne antérieure. - noyau du spinal. - XXII, noyau de l'hypoglosse. l'y, pyramide antérieure. - xp
la face postérieure des pyramides dont le sépare incomplètement le noyau rélro-pyramidal (Nrp), et qui s'adosse, en deda
au rélro-pyramidal (Nrp), et qui s'adosse, en dedans au raphé et au noyau du raphé (Nr, coupes H9, H10, Fig. 366, 367,p.
phé (Nr, coupes H9, H10, Fig. 366, 367,p. 529 et 532), en dehors au noyau juxta-olivaire in- terne (Noi) et aux fibres ra
o-protubéranliel (coupe H8, Fig. 398, p. 563), avec l'apparition du noyau central inférieur (Nci), que le ruban de Reil (
itue un faisceau distinct, compris entre la pyramide antérieure, le noyau central inférieur, l'extrémité supérieure de l'
profundum (Strp), il sépare l'étage antérieur de la protubérance du noyau réticulé (Nrt), du faisceau central de la calotte
tance grise, oblong, souvent bilobé, situé en avant et au-dessus du noyau du facial, en dehors des fibres radicu- laires
rotuhéiance. L'olive cérébelleuse, l'embole et l'entre-croisement des noyaux du toit. Les fibres semi-circulaires externes e
e passant par la substance blanche centrale du vermis au-dessus des noyaux du toit et sectionnant la partie moyenne de l'éta
s externes et internes du cervelet. - Xem, embole ou bouchon. - Sp, noyaux pontiques. - xSt, entre-croisement des noyaux du
ole ou bouchon. - Sp, noyaux pontiques. - xSt, entre-croisement des noyaux du toit. - .\1-Il, noyau du facial. - Oc, olive
yaux pontiques. - xSt, entre-croisement des noyaux du toit. - .\1-Il, noyau du facial. - Oc, olive cérébelleuse. - Os, oliv
l latéral. Les libres aber- rantes de la \OIC pédonculaire. Noyaux du ruban de Iteil latéral. zoïde (Tr, coupe H
de Iteil latéral. zoïde (Tr, coupe H5, Fig. 405) qui proviennent du noyau antérieur du nerf cochléaire (VIII° paire), et
puisés dans la substance grise voisine (Voy. p. 513). Au-dessus des noyaux moteurs et sensitifs du trijumeau (coupes H2, H
au voisinage du sillon latéral de l'isthme et connus sous le nom de noyaux du ruban de Reil latéral (NR1, coupe H2, Fig. 3
ive supé- rieure (OS) et par la voie du corps trapézoïde (Tr), - le noyau de ter- minaison du nerf cochléaire (NVIIP) au
téral s'est épuisé et que la commissure de Wernekink fait place aux noyaux blancs, puis aux noyaux rouges de Stilling, le
e la commissure de Wernekink fait place aux noyaux blancs, puis aux noyaux rouges de Stilling, le ruban de Reil médian (Rm
une corne d'abondance, dont le pavillon coiffe la partie externe du noyau rouge (NR) et se fusionne avec la capsule de fibr
(NR) et se fusionne avec la capsule de fibres (CNR) qui entoure ce noyau , et dont l'extrémité mince et effilée atteint en
an de Reil se termine dans la partie posté- rieure et inférieure du noyau externe du thalamus (Ne) autour du centre média
au plus ou moins bien délimité, de la commissure postérieure et des noyaux de la troisième paire (coupes n° 6x à n° 10 x, T.
es n° 6x à n° 10 x, T. ICI', Fig. 321 à 323, p. 644 à 655) jusqu'au noyau central inférieur (coupes PI à P4 et coupes Hl
Fig. 419 à 438, p. 616 à 657). Il passe en arrière de la capsule du noyau rouge, de l'entre-croisement des pédon- cules c
, de l'entre-croisement des pédon- cules cérébelleux supérieurs, du noyau central supérieur et du noyau réticulé de la ca
don- cules cérébelleux supérieurs, du noyau central supérieur et du noyau réticulé de la calotte, et présente dans son tr
e et aplati, appliqué sur la partie supéro-internc de la capsule du noyau rouge; sa partie supérieure et externe comprend
llèlement; ces dernières forment la limite interne de la capsule du noyau rouge, la séparent de la substance grise qui do
6 g, T. le,, Fig. 321, p. 644). Sur les coupes qui intéressent les noyaux de la IIIe paire (1Tm), (coupes n° 7 x et n° 9
nce en bas et en dedans, fusionné encore intimement à la capsule du noyau rouge dont le délimitent d'au- tant mieux les é
insi un angle très aigu, ouvert en arrière, qui loge les différents noyaux de la Ille paire et s'insinue très en avant ent
s noyaux de la Ille paire et s'insinue très en avant entre les deux noyaux rouges : l'entre-croise- ment dorsal de la calo
T. ICI' Fig. 33 ti 326, p. 631 à 657). A la partie inférieure des noyaux de la IIIe paire (coupe n° 12 xbis, Fig. 392, p
s'épaissit, sa parlie externe se creuse en cupule pour recevoir le noyau de la IVe paire (Niv), et se fusionne de plus e
t dans la région sous-optt- que. Son aspect dans la région du noyau du Il moteur oculaire com- mun. Son aspect
n protubéran- ticlle supérieure. ' 1 Son aspect au ni- \ eau du noyau du nerf masticateur. Son aspect dans la rég
on des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Avec la disparition du noyau de la IVe paire (coupes P 1, P2, Fig. 419, 120,
étique, à l'extrémité supé- rieure de la valvule de Vieussens et au noyau central supérieur (coupes P2 à P4 et H1, Fig. 4
si que le pont d'union, et le faisceau se réduit, dans la région du noyau masticateur (NVm), du noyau sensitif du'trijume
e faisceau se réduit, dans la région du noyau masticateur (NVm), du noyau sensitif du'trijumeau (NVs) et du noyau réticul
noyau masticateur (NVm), du noyau sensitif du'trijumeau (NVs) et du noyau réticulé de la calolle (Nrt), à une petite mass
elles plus externes (NFlp). En avant, le Flp est toujours séparé du noyau réticulé de la calotte par une couche assez épa
ongitudinal dorsal qu'elle contient. En avant, le Flp est séparé du noyau réticulé (Nrt), et plus bas (coupe H7, Fig. 430,
noyau réticulé (Nrt), et plus bas (coupe H7, Fig. 430, p. 610), du noyau CONFIGURATION INTERIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 583
hématoxylinique, que l'on considère des coupes plus inférieures. Le noyau (1\Tm) et les fibres radiculaires de la VIe pai
e faisceau longitu- dinal postérieur; au-dessus et au-dessous de ce noyau , il se fusionne sans limites distinctes avec le
, faisceau longitudinal postérieur, faisceau central de la calotte, noyau réticulé, noyau du nerf masticateur et noyau se
gitudinal postérieur, faisceau central de la calotte, noyau réticulé, noyau du nerf masticateur et noyau sensitif du trijum
central de la calotte, noyau réticulé, noyau du nerf masticateur et noyau sensitif du trijumeau. 8/1 grandeur nature. Métho
live cérébelleuse. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du faisceau longitudinal postérieur se fusionna
du faisceau longitudinal postérieur se fusionnant en avant avec le noyau réticulé. - Fll, faisceau latéral du bulbe entran
eil latéral. fsme, fibres semicirculaires externes du cervelet. Y ? noyau réticulé. - Os, olive supérieure ou protubérantie
ruban de Reil médian. 7V, corps trapézoïde. - T', trijumeau. - \Vnr, noyau du nerf masticateur. - NVs, noyau sensitif du t
pézoïde. - T', trijumeau. - \Vnr, noyau du nerf masticateur. - NVs, noyau sensitif du trijumeau. - l'd, petite racine motri
escen- dante du trijumeau.' 1 ? fibres du raphé se rendant dans les noyaux du trijumeau. z84 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
a substance grise centrale du quatrième ventricule. Au-dessous du noyau de la VIe paire (coupes H8, H9, Fig. 438, 439),
, avec l'apparition de l'olive bulbaire (Oi) et la disparition du , noyau central inférieur, le faisceau longitudinal posté
firmer qu'il concourt à former la partie postérieure de la capsule du noyau rouge et qu'il est situé en dehors et en avant
oncule cérébelleux supérieur (Pcs), il est limité en arrière par le noyau circonflexe (Nef), en dedans par le noyau centr
limité en arrière par le noyau circonflexe (Nef), en dedans par le noyau central supérieur (nets) et le faisceau longitu
lace en dedans de l'olive supérieure ou protubérantielle (Os) et du noyau du facial (Nvu) et se délimite mal en arrière e
ceaux longitudinaux (le la formation réticulée (SR) qui limitent le noyau réliculé (Nrt) et le noyau central inférieur(Nc
formation réticulée (SR) qui limitent le noyau réliculé (Nrt) et le noyau central inférieur(Nci). Au voisinage du sillon
médian (Hm) un angle ouvert en arrière qui loge un prolongement du noyau central inférieur (Nci). Immédiatement au-desso
entrale de la calotte protubérantielle, et s'élend de la capsule du noyau rouge à la capsule de l'olive bulbaire. BI13L
h. Paris, 1899. - Mauaim. Recherches sur la structure anatomique du noyau rouge et ses COI1- ne21ons aiec le pédoncule cé
t par le tiers inférieur de la protubérance, le genou du facial et le noyau du toit - avec lignes pour le repérage des coup
son épaisseur et sa brièveté, se détache de la partie supérieure du noyau blanc central et se porte obliquement en haut e
s de ce profond sillon. Elle se détache de la partie postérieure du noyau blanc central, se porte horizontalement en arri
. FiG. 408. - L'arbre de vie du vermis, la formation réticulée, les noyaux de Goll et de Burdach, le hile de l'olive bulba
nternes du bulbe. Ilp, faisceau longitudinal posté- rieur. - V CI3, noyau du cordon de Hurdach. NCG, noyau du cordon de Gol
ongitudinal posté- rieur. - V CI3, noyau du cordon de Hurdach. NCG, noyau du cordon de Goll.- Vci, noyau central inférieu
CI3, noyau du cordon de Hurdach. NCG, noyau du cordon de Goll.- Vci, noyau central inférieur. - Nft, noyau du funiculus te
NCG, noyau du cordon de Goll.- Vci, noyau central inférieur. - Nft, noyau du funiculus teres. - Noi, noyau juxta-olivaire i
i, noyau central inférieur. - Nft, noyau du funiculus teres. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. - Ni-1, noyau réticulé.
au du funiculus teres. - Noi, noyau juxta-olivaire interne. - Ni-1, noyau réticulé. - -Vvit, noyau de l'hypoglosse. - Oi, o
Noi, noyau juxta-olivaire interne. - Ni-1, noyau réticulé. - -Vvit, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulbai
t. Le plus souvent, elle s'implante sur l'angle supéro-antérieur du noyau blanc central du vermis ; plus rarement, elle se
e. L'axe de la lingula se détache de la partie antéro-supérieure du noyau blanc central, et présente un trajet coudé; il
grêle que l'axe de la pyramide, se détache de la face inférieure du noyau blanc central, au voisinage de l'embouchure de la
rbre de vie du lobe médian. Il se déta che de la face inférieure du noyau blanc central, en un point diamétralement opposé
es des autres par des traînées verticales de substance grise, les noyaux pontiques (Np), dans lesquels apparaissent sur
ches et enche- vêtrés, du faisceau ]JYl'all11daL (Py) surmonté du noyau arqué (Narc) qui limile le trou borgne bulbo-
eur ric. 400. - Les fibres du raphé, les stries acoustiques et le noyau du cordon de Goll. Coupe sagittale médiane SI b
é s'étendant dans l'étage an- térieur de la protubérance. - iVct,c, noyau arqué. - NCG, noyau du cordon de Goll.- Np, noy
age an- térieur de la protubérance. - iVct,c, noyau arqué. - NCG, noyau du cordon de Goll.- Np, noyaux pontiques. - Nxn
érance. - iVct,c, noyau arqué. - NCG, noyau du cordon de Goll.- Np, noyaux pontiques. - Nxn, noyau de l'hypoglosse. 7 ?
ué. - NCG, noyau du cordon de Goll.- Np, noyaux pontiques. - Nxn, noyau de l'hypoglosse. 7 ? faisceau pyramidal. - : rI
raînées sagittales de substance grise en continuité directe avec le noyau arqué des pyramides, et désignées quelquefois sou
le noyau arqué des pyramides, et désignées quelquefois sous le nom de noyau du raphé. La calotle bulbaire contient déjà la
très serrées, qui a valu à cette formation son nom de réticulée. Un noyau gris allongé, le noyau central inférieur (Nci), s
u à cette formation son nom de réticulée. Un noyau gris allongé, le noyau central inférieur (Nci), sépare dans la région
tance grise situés à la limite supérieure de la coupe, au-dessus du noyau central inférieur, appartiennent [au noyau réti
e la coupe, au-dessus du noyau central inférieur, appartiennent [au noyau réticulé (Nrt). Dans le bulbe, le faisceau long
nte, renferme immédiatement en arrière de la pyramide antérieure le noyau juxta-olivaire interne (Noi), longue traînée de
oupe précédente; elle présente, échelonnés de haut en bas, le petit noyau du funiculus teres (Nfl), la section transversale
fl), la section transversale des stries acoustiques (Stra VIII), le noyau de l'hypoglosse (N xii), puis elle s'épaissit, co
rtie postérieure et inférieure du bulbe, on aperçoit la section des noyaux du cordon postérieur : le noyau du cordon de Burd
bulbe, on aperçoit la section des noyaux du cordon postérieur : le noyau du cordon de Burdach (NCB) adossé à la substanc
duquel se détachent un grand nombre de fibres arciformes (fai), le noyau du cordon de Goll (NCG), avec son extrémité effil
entouré par les fibres du cordon postérieur de la moelle (Cp). Le noyau du cordon de Goll est en réalité plus long qu'il
i Fig. 4 ? 6) ; sa brièveté tient à ce que la coupe SI sectionne ce noyau en dedans de son grand axe. -. Coupe S 2 (Fig.
(Fig. 410). Très voisine de la précédente, cette coupe passe par le noyau du toit (Nt) et le nodule, rase le bord interne d
e tronc encéphalique, la partie fermée de l'olive bulbaire (Oi), le noyau du nerf moteur oculaire exte1'lle (NVI), et le
prime légèrement le toit du qua- trième ventricule, et constitue le noyau du toit (Nt) de Stilling. L'augmentation de vol
e volume, et contient déjà FiG. 410. - L'arbre de vie du vermis, le noyau du toit. L'olive bulbaire. La calotte et l'étag
bres protubérantielles antérieures, moyenne» et postérieures. NCI3, noyau du cordon de Burdach. - Nit, noyau latéral du bul
moyenne» et postérieures. NCI3, noyau du cordon de Burdach. - Nit, noyau latéral du bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-oliv
au du cordon de Burdach. - Nit, noyau latéral du bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivaires externe et interne. - ni, noyau d
bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivaires externe et interne. - ni, noyau du funiculus teres. Nt, noyau du toit. - NVI, n
xta-olivaires externe et interne. - ni, noyau du funiculus teres. Nt, noyau du toit. - NVI, noyau du nerf moteur oculaire e
interne. - ni, noyau du funiculus teres. Nt, noyau du toit. - NVI, noyau du nerf moteur oculaire externe. - l'cs, pédoncul
baire par une traînée de substance grise qui appartient en haut aux noyaux rétro-pyramidaux, en bas au noyau juxta-olivair
grise qui appartient en haut aux noyaux rétro-pyramidaux, en bas au noyau juxta-olivaire interne (Noi); elle est longée en
noyau juxta-olivaire interne (Noi); elle est longée en arrière par le noyau juxta- olivaire externe (Noe) qui la sépare des
les faiblement colorés du faisceau longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe (Nw).
ou interréticulées (fai) qui se détachent de la base d'insertion du noyau de Burdach (\CB). Les fascicules longitudinaux
- L'arbre de v ie des parties latérales du vermis, la face externe du noyau du toit, la valvule de Tarin, le nid d'hirondel
térieur et postérieur du tronc encé- phalique, l'olive bulbaire, le noyau du facial, le noyau de Deiters et la substance
r du tronc encé- phalique, l'olive bulbaire, le noyau du facial, le noyau de Deiters et la substance gélatineuse de Rolan
missural du cervelet. - Fcc, faisceau central de la calotte. - NCB, noyau du cordon de Burdach. - ND, noyau de Deiters. -
sceau central de la calotte. - NCB, noyau du cordon de Burdach. - ND, noyau de Deiters. - Nt, noyau du toit. A ? noyau du f
e. - NCB, noyau du cordon de Burdach. - ND, noyau de Deiters. - Nt, noyau du toit. A ? noyau du facial. - Oi, olive inférie
cordon de Burdach. - ND, noyau de Deiters. - Nt, noyau du toit. A ? noyau du facial. - Oi, olive inférieure ou bulbaire.
e descendante de la branche vestibulaire de l'acoustique le long du noyau de Deiters. 598 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
598 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. l'olive bulbaire, représente les noyaux latéraux du bulbe ou les noyaux des cor- dons l
X. l'olive bulbaire, représente les noyaux latéraux du bulbe ou les noyaux des cor- dons latéraux (Nlt). Coupe S3 (Fig.
par lesparties latérales du vermis, sectionne la partie externe du noyau du toit (Nt), la valvule de Tarin (VT), le nid
lleux supérieur (Pcs); elle intéresse dans le tronc encéphalique le noyau du nerf facial (Nvu) et le noyau de Deiters (NL
esse dans le tronc encéphalique le noyau du nerf facial (Nvu) et le noyau de Deiters (NL». Cervelet. - La transformation
l'arbre de vie du vermis. Ils appartiennent à la partie externe du noyau du toit (Nt), plus accidentée et moins nettement
e quatrième ventricule (V.j s'enfonce jusqu'au-dessous des îlots du noyau du toit (Nt) et atteint sur cette coupe et la sui
La calotte renferme, au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel, le noyau moteur bilobé du nerf facial (Nvin). Les fibres
rmation réti- culée (SR) sont encore denses et serrées au-dessus du noyau , tandis qu'elles sont plus clairsemées dans la
lus grêles, se détachent d'une haute colonne de substance grise, le noyau de Deiters (ND), à laquelle fait suite en bas le
ance grise, le noyau de Deiters (ND), à laquelle fait suite en bas le noyau de Burdach (NCB). La colonne de substance gri
tance grise comprise entre la formation réticulée grise (SRg) et le noyau de Deiters (ND),correspond à la section longitudi
section longitudinale de la substance gélatineuse de Rolando (SgR), noyau de terminaison de la grosse racine sensitive de
gs fascicules de fibres qui peuvent être suivis jusqu'au-dessous du noyau du facial. G00 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
sillon longitudinal médian et qui comprend le nid d'hirondelle, les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse et le traje
on épaisseur des amas ganglionnaires qui sont : dans le vermis, les noyaux du toit, dans la région de transition, les noyaux
dans le vermis, les noyaux du toit, dans la région de transition, les noyaux accessoires cle l'olive cérébelleuse, à savoir
ition, les noyaux accessoires cle l'olive cérébelleuse, à savoir le noyau sphérique ou globule et le noyau du bouchon ou
l'olive cérébelleuse, à savoir le noyau sphérique ou globule et le noyau du bouchon ou embole, dans la région des hémisphè
enent la région de transition du cervelet. La coupe S4 intéresse le noyau sphé- rique (Ngl) et sectionne le tronc encépha
e du bord exleme de l'olive bulbaire (Oi). La coupe 85 passe par le noyau du bouchon (Nem) et le corps restiforme (Crst).
de transition entre le vermis et les hémi- sphères cérébelleux, le noyau sphérique, le pédoncule cérébelleux supérieur et
rculaires externes du cervelet. - Lig, freins de la lingula. - N13, noyau de Bechterew. ND, noyau de Deiters. - Nui, noyau
rvelet. - Lig, freins de la lingula. - N13, noyau de Bechterew. ND, noyau de Deiters. - Nui, noyau sphérique ou globule.
e la lingula. - N13, noyau de Bechterew. ND, noyau de Deiters. - Nui, noyau sphérique ou globule. - J\',11, noyau de Monako
ND, noyau de Deiters. - Nui, noyau sphérique ou globule. - J\',11, noyau de Monakow ou noyau externe de Burdach. - A')'7J"
s. - Nui, noyau sphérique ou globule. - J\',11, noyau de Monakow ou noyau externe de Burdach. - A')'7J", noyau du facial.
- J\',11, noyau de Monakow ou noyau externe de Burdach. - A')'7J", noyau du facial. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. Pe
du nerf facial. 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. centrale, des noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse à savoir : le
entrale, des noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse à savoir : le noyau sphé- rique ou globule (Ngl), et le bouchon ou
é, qui s'insère sur la substance blanche cen- trale au voisinage du noyau sphérique (Ngl). En avant de l'axe de la pyramide
ndelle (nh), deux amas ganglionnaires irrégulièrement arrondis, les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse. Le globule
ndis, les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse. Le globule ou noyau sphérique (Ngl) existe seul sur la coupe S 4 (F
roit pédicule au bouchon. La coupe S5 (Fig. 413) intéresse les deux noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse : le glo- b
e l'olive cérébelleuse : le glo- bule (Ngl) et le bouchon (Nem). Le noyau sphérique (Ngl) n'est plus arrondi comme sur la
imprimée aux coupes. L'embole (Nem) situé en avant et au-dessus du noyau sphérique (Ngl) est recouvert par les fibres se
oupes horizontales, séries H et C, Fig. 424 à 431) qui limitent les noyaux pontiques en dehors, et forment le pédoncule céré
riche en fibres à myéline et qui représente la partie supérieure du noyau de Deiters, désignée encore sous le nom de noyau
partie supérieure du noyau de Deiters, désignée encore sous le nom de noyau de Bechterew (NB). Les courts fascicules transv
fibres radiculaires du nerf moteur oculaire externe (VIe paire); le noyau gris situé dans le fond de la fossette sus-oliv
gris situé dans le fond de la fossette sus-olivaire du bulbe est le noyau du nerf facial (NVII). Dans la calotte bulbaire
rf facial (NVII). Dans la calotte bulbaire, on trouve en arrière du noyau du facial la section partielle de la substance
artie aussi au corps juxta ? esti- forme dont la substance grise ou noyau de Deiters (ND) borde en avant la cavité du qua
ie de la région de transition du cervelet, le nid d'hirondelle, les noyaux accessoires de l'olive cérébelleuse, les pédoncul
érébelleuse, les pédoncules cérébelleux supérieur et inférieur, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et la grosse raci
es fibres semi-circulaires externes et internes du cervelet. - Sem, noyau emboliforme ou bouchon. - \' ! Il, noyau sphéri
ternes du cervelet. - Sem, noyau emboliforme ou bouchon. - \' ! Il, noyau sphérique ou globule. - a/e, nid d'hirondelle. -
aire. - VT, valvule de Tarin. - Va, quatrième ventricule. - NI"1 ? 1, noyau mo- teur du trijumeau. - l'n, nerf masticateur.
rnes cérébello-oli- vaires qui se détachent du corps restiforme; le noyau gris de la partie inférieure de la coupe est le
estiforme; le noyau gris de la partie inférieure de la coupe est le noyau de Monakow situé dans la partie supérieure des
stance gélatineuse de Rolando (SgR), désignée encore sous le nom de noyau sensitif du trijumeau; au- dessus et en arrière
le nom de noyau sensitif du trijumeau; au- dessus et en arrière du noyau sensitif est le noyau moteur du trijumeau (NVm).
tif du trijumeau; au- dessus et en arrière du noyau sensitif est le noyau moteur du trijumeau (NVm). L'étage antérieur de
t aux hémisphères cérébelleux. La coupe S 6 (Fig. 414) passe par le noyau moteur du trijumeau (NVm), le hile de l'olive c
teur du trijumeau (NVm), le hile de l'olive cérébelleuse (Oc) et le noyau du bouchon (Nem) ; elle sectionne le pédoncule
se par la partie interne de l'olive cérébelleuse (Oc), en dehors du noyau moteur du triju- meau, intéresse le pédoncule c
érieure du diverticule latéral du quatrième ventricule (rlV4) et le noyau du nerf cochléaire (NVIIIc). La substance blanc
latérale de l'amygdale, le nid d'hirondelle, la valvule de Tarin, le noyau du bou- chon et l'olive cérébelleuse dans la ré
région du hile de l'olive. Le pédoncule cérébelleux inférieur et'le noyau moteur du trijumeau.- Coupe sagittale S 6, de la
bérance. - fsme, fibres semi-circulaires externes du cervelet. - Rem, noyau emboliforme ou bouchon et son pédicule d'insert
l'amygdale. 1 ? voie pédonculaire. - l'T, valvule de Tarin. - NI'm, noyau moteur du trijumeau. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHO
d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. - V, trijumeau. NVlllc, noyau de la branche cochléaire du nerf auditif. 610 A
e blanche centrale on trouve encore, sur la coupe S 6 (Fig. 414\ le noyau emboliforme ou bouchon, plus volumineux que sur l
, au-dessus du coude du pédoncule céré- belleux inférieur (Pci), le noyau moteur du trijumeau (Nvm), et on voit s'en déta
ous les sens ; c'est le corps ou feu- trage inlraciliaire (fie), le noyau blanc central de l'olive cérébelleuse. A la surfa
e Forel. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus mger. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire. - l'es, pédon
profond. - Rnz, ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil latéral. - noyau du ruban de Reil latéral. SgAq, substance grise d
iel. - Gih, ganglion inter pédonculaire. - Le, locus cteruleus. NI, noyau latéral de la calotte protubérantielle. - l'es,
éral (Rl) en dehors, et par une étroite lame de substance grise, le noyau latéral (NI), qui sépare le ruban de Reil du bord
fusionne en arrière avec les fascicules longitudinaux clairsemés du noyau latéral (NI). En dehors, le ruban de Reil média
ui contient dans son épais- seur quelques amas gris appartenant aux noyaux du ruban de Reil latéral (NR1). Le faisceau lon
longitudinaux postérieurs dans toute la région corres- pondant aux noyaux d'origine du nerf de la troisième paire (T. fer,
u faisceau longitudinal postérieur. Cette coupe passe au-dessous du noyau de la quatrième paire, aussi le bord postérieur
s'entourent d'une gangue de substance grise qui appartient déjà aux noyaux pontiques, et renforcent en partie le pes lemni
Wernekink, le ruban de Reil, le faisceau central de la calotte et le noyau central supérieur. - Coupe P 3, coupe horizonta
res. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus coeruleus. Ncs, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral de la ca
onculaire. - Le, locus coeruleus. Ncs, noyau central supérieur. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire. - Nui, noya
l supérieur. - NI, noyau latéral de la calotte pédonculaire. - Nui, noyau de la troisième paire. - Pes, pédoncule cérébel
du pont. La calotte pédonculaire, la commissure de Wer- nekink, le noyau central supérieur, les faisceaux compacts de la f
es et postérieures de la protubérance. - Le, locus ca'ruleus. Arcs, noyau central supérieur. - Pes, pédoncule cérébelleux s
avité de laquelle apparaît : en dedans, de chaque côté du raphé, le noyau central supérieur (Ncs) ; en dehors, les fibres f
t. - Le pédon- cule cérébelleux supérieur, la formation réticulée : noyau central supérieur et fais- ceaux compacts (fais
s c.eruleus. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur du cervelet. - Nes, noyau central supérieur. NI, noyau latéral. - 7'e;) :
rilatère antérieur du cervelet. - Nes, noyau central supérieur. NI, noyau latéral. - 7'e;) : , pédoncule cérébelleux moyen.
aphé, les trabécules gris de la formation réticulée (SR) forment le noyau central supérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'éte
formation réticulée (SR) forment le noyau central supérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du faisceau longitudinal p
g. 456, 630). Une étroite rangée de fibres longitudinales limite le noyau central supérieur (Ncs) en dehors et le sépare
en fibres et désigné quelquefois sous le nom de segment externe du noyau central supérieur. Le faisceau central de la ca
nent à la formation réticulée, et doivent être considérés comme des noyaux d'origine ou de termi- naison de certaines caté
, et du corps trapézoïde. On les désigne quelquefois sous le nom de noyaux du corps trapézoïde, de noyaux du ruban de Reil
s désigne quelquefois sous le nom de noyaux du corps trapézoïde, de noyaux du ruban de Reil. En dehors, le ruban de Reil m
de la pro- tubérance et l'émergence du trijumeau; elle intéresse le noyau central supérieur, le noyau du ruban de Reillal
ergence du trijumeau; elle intéresse le noyau central supérieur, le noyau du ruban de Reillaléral et les lamelles supérieur
teignent sur la coupe H3 3 (Fig. 125) un grand développement. Les noyaux pontiques (SgPo), c'est-à-dire la gangue de subst
toute la partie antérieure et moyenne de la calotte occupée par le noyau central supc- rieur (Ncs), son segment externe
te (Fcc). TOM ! : Il..\0 626 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Un noyau angulaire, le noyau circonflexe (Nef), formé comm
Il..\0 626 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Un noyau angulaire, le noyau circonflexe (Nef), formé comme les autres noyaux
n noyau angulaire, le noyau circonflexe (Nef), formé comme les autres noyaux de la formation réticulée (SR) aux dépens des t
. Le pédon- cule cérébelleux supérieur, la formation réticulée, ses noyaux central supérieur et circonflexe, ses faisceaux
es, moyennes et postérieures du pont. - Le, locus coeruleus. - Nef, noyau circonllexe. - Ncs, noyau central supérieur. - Nc
es du pont. - Le, locus coeruleus. - Nef, noyau circonllexe. - Ncs, noyau central supérieur. - Ncs', sa partie externe. -
. - Ncs, noyau central supérieur. - Ncs', sa partie externe. - NRl, noyau du ruban de Iteil latéral. - r, fibres sagittales
rise, qui occupe la partie externe du ruban de Reil et constitue le noyau du ruban de Reil latéral (NR1) . Sur la moitié ga
exion intime avec la voie centrale acoustique; il tire son origine du noyau antérieur de l'acoustique (Voy. Fig. 426, p. 63
ses connexions avec l'olive protubéraaztielle (Fig. 425) et avec le noyau antérieur de l'acoustique (Fig. 426). Le ruba
nt en arrière la valvule de Vieussens et s'étendent en avant jusqu'au noyau du ruban de Reil laléral situé au voisinage du
rtie postérieure en petits champs rectangulaires et constituent les noyaux du corps trapézoïde. Le faisceau longitudinal p
de volume; il représente un petit faisceau irrégulier qui limite le noyau central supérieur (Ncs) en arrière et en dehors e
ans le raphé médian. Coupe H3 (Fig. 425). Cetle coupe passe par les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et sectionne la
de ses couches superficielles et profondes. La substance grise, ou noyaux pontiques (SgPo), est plus abon- dante que sur
iphérie du pont; seuls au voisinage du sillon médian antérieur, les noyaux pontiques (SgPo) des deux moitiés de la protubé-
res semi-circulaires externes du cervelet. La formation réticulée, le noyau réti- culé, l'olive supérieure, les noyaux mote
a formation réticulée, le noyau réti- culé, l'olive supérieure, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau. Le ruban de Reil
ures. - fsme, fibres semi-circulaires externes. Lirl, lingula. - Nrt, noyau réticulé. - AI m, noyau moteur du trijumeau. -
circulaires externes. Lirl, lingula. - Nrt, noyau réticulé. - AI m, noyau moteur du trijumeau. - NIs, noyau sensitif du tri
a. - Nrt, noyau réticulé. - AI m, noyau moteur du trijumeau. - NIs, noyau sensitif du trijumeau. - Os, olive supé- rieure
agittales du raphé prennent très probablement leur origine dans les noyaux pontiques, et se terminent dans les travées gri
nage du sillon bulbo-protubéranliel. Calotte. - Dans la calotte, le noyau central supérieur a disparu, il a fait place au
a calotte, le noyau central supérieur a disparu, il a fait place au noyau réticulé (Nrt), noyau irrégulier, mal délimité, a
ntral supérieur a disparu, il a fait place au noyau réticulé (Nrt), noyau irrégulier, mal délimité, adossé au raphé en deda
des fibres sagittales du raphé, sillonnent ce faisceau ainsi que le noyau réticulé. Le faisceau central de la calotte (Fc
s gris de la formation réticulée (SR). Il limite en dedans un petit noyau irrégulièrement ovalaire, l'olive supérieure ou
plongent au sein d'une gangue de substance grise qui appartient au noyau réticulé (Nrt). En dehors, il est mal délimité
par le ruban de Reil médian (Rm) dans son trajet protubérantiel, les noyaux des cordons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13)
se 1° le corps trapézoïde (Tr) dans son trajet curviligne étendu du noyau de la branche cochléaire de l'auditif (NVIIIc) ju
ions à droite ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 631 avec les noyaux de Monakow (N.11) et de Burdach (\'13) et sa cont
éticulées du bulbe. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - NB, NCB, noyaux du cordon de Burdacli.- NCG, noyau du cordon de
itudinal postérieur. - NB, NCB, noyaux du cordon de Burdacli.- NCG, noyau du cordon de Goll. - NII, noyau externe de Burdac
noyaux du cordon de Burdacli.- NCG, noyau du cordon de Goll. - NII, noyau externe de Burdach ou noyau de v. Monakow. - Pc
.- NCG, noyau du cordon de Goll. - NII, noyau externe de Burdach ou noyau de v. Monakow. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen
u. - Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - NVII, noyau du facial. - A'ffe, noyau de la branche cochléa
nsitive descendante du trijumeau. - NVII, noyau du facial. - A'ffe, noyau de la branche cochléaire de l'auditif. - VI, ne
ulier au faisceau de Gowers (FG) et quelques fibres originaires des noyaux du cordon postérieur du côlé opposé; ces derniè
nnent au système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les noyaux moteur et sensitif du trijumeau constituent l'élé
n de Reil médian (Rm) et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pes). Le noyau nzolezvr(NVm) est constitué par une masse ovala
s obliquement et qui s'infléchit en avant et en dehors, séparant le noyau moteur (NVm) du noyau sensitif (NVs). La coupe
s'infléchit en avant et en dehors, séparant le noyau moteur (NVm) du noyau sensitif (NVs). La coupe intéresse la partie su
du noyau sensitif (NVs). La coupe intéresse la partie supérieure du noyau sensitif qui appa- raît comme une masse allongé
ppa- raît comme une masse allongée, située en dehors et en avant du noyau moteur (NVm). A sa partie antérieure, il existe
xterne de la calotte, une partie de ses fibres se ter- mine dans le noyau sensitif (NVs), les autres se coudent, se portent
substance gélatineuse de Rolando, qui n'est que la continuation du noyau sensitif du trijumeau et qui se fusionne en bas
est située à un niveau un peu plus élevé; elle passe au-dessus des noyaux du trijumeau. Elle intéresse sur les parties la
ruban de Reil médian (Rm), jusqu'au-dessous du plan passant par le noyau moteur du trijumeau. A ce niveau, il s'infléchit
te sa largeur, depuis sa pénétration dans la protubérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif situés dans la calotte. On r
précédente : l'étage antérieur avec la voie pédonculaire (VP), les noyaux ponti- ques (SgPo) et les fibres transversales
an de Reil médian (Rm), le faisceau central de la calolte (Fcc), le noyau réticulé (Nrt), le faisceau longitudinal postér
ivies de leur point de pénétration dans la protu- bérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif de ce nerf. Le noyau moteur
protu- bérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif de ce nerf. Le noyau moteur du trijumeau (NVm) présente la même surfac
de section ovalaire que sur la coupe précédente (H3, Fig. 125). Le noyau sensitif (NVs) est beaucoup plus volumineux et
ie centrale de la VIIIe paire, qui se rend en grande partie dans le noyau de Bechterew et dans ETUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RH
ar les fibres transversales du pont. - La forma- tion réticulée, le noyau réticulé, l'olive supérieure, le ruban de Reil mé
eau longitudinal postérieur et le faisceau central de la calotte. Les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et l'émergence
fibres semi-circulaires internes du cervelet. - Lig, lingula. - Nfl, noyau du funi- culus teres. A. noyaux pontiques. - ni
du cervelet. - Lig, lingula. - Nfl, noyau du funi- culus teres. A. noyaux pontiques. - nid, noyau réticulé. - Os, olive sup
ula. - Nfl, noyau du funi- culus teres. A. noyaux pontiques. - nid, noyau réticulé. - Os, olive supérieure. - l'ci, pédon
meau. - Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. NVm, noyau moteur du trijumeau. - NVs, noyau sensitif du tri
ve descendante du trijumeau. NVm, noyau moteur du trijumeau. - NVs, noyau sensitif du trijumeau. - 171>, voie pédon- c
- li, quatrième ventricule. 634 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. le noyau de Deiters situés au niveau de l'angle postéro-ex
ro-externe de la calotte, et qui n'abandonne que de rares fibres au noyau sensitif de la V° paire. Sur cette coupe, on vo
r du 4e ventricule (V,,), puis aborder la partie postéro-interne du noyau sensitif du trijumeau (NVs). Ces fibres constitua
it d'un neurone central, indirect, intercalé, reliant peut-être les noyaux pontiques au noyau sensitif du trijumeau, mais n'
ral, indirect, intercalé, reliant peut-être les noyaux pontiques au noyau sensitif du trijumeau, mais n'appartenant pas à l
he centrale du cervelet au-dessus de l'olive cérébelleuse et de ses noyaux accessoires, et intéresse les trois pédoncules
sur cette coupe, un faisceau étroit et allongé, adossé en avant au noyau sensitif du trijumeau (NVs), recouvert en dehors
H4 (Fig. 427), au-dessous de laquelle elle passe. Elle intéresse le noyau du bouchon (Nem), les méandres supérieurs de l'ol
érieures.-La calotte protubérantielle, ses fais- ceaux compacts, le noyau réticulé, l'olive supérieure, la grosse racine se
res semi-circulaires externes du cervelet. z L'entre-croisement des noyaux du toit, l'embole et l'olive cérébelleuse. - Coup
e. - Coupe horizontale H5 du rhombencéphale, passant au-dessous des noyaux du trijumeau par la ligne H5 de la Fig.418, p.
semi-circulaires internes du cervelet. - Nem, bouchon ou embole. Np, noyaux pontiques. - 1\'rl, noyau réticulé. - xNt, entr
cervelet. - Nem, bouchon ou embole. Np, noyaux pontiques. - 1\'rl, noyau réticulé. - xNt, entre-croisement des noyaux du t
aux pontiques. - 1\'rl, noyau réticulé. - xNt, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olhe cérébelleuse. - Os, olive s
e. - Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - NVII, noyau du facial. - )7, troisième segment ou segment hor
e. 636 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (Oc), passe au-dessous des noyaux du trijumeau et sectionne la grosse racine sens
oyen (Pcm) est des plus manifestes. Dans la calotte, les limites du noyau réticulé (Nrt) et du faisceau longitudinal post
lotte : elle présente une surface de section ovalaire et entoure un noyau irrégulier, la subslance gélatineuse de Rolando
ace interne recouvre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le noyau emboliforme ou bouchon (\cm); ce dernier déprime
centrale (Sbc) et intéresse la couche de fibres qui recouvrent les noyaux du toit et s'entre-croisent à angle droit sur la
it sur la ligne médiane du vermis en formant l'entre-croisement des noyaux du toit (xNt). A la partie postéro-externe de l
phère cérébelleux. Coupe H 6 (Fig. 429). - Cette coupe intéresse le noyau de la VI0 paire. (Nvi) et le noyau du loit (Nt)
429). - Cette coupe intéresse le noyau de la VI0 paire. (Nvi) et le noyau du loit (Nt) . L'étage antérieur de la protubér
ion directe comme sur la coupe précédente, mais sont séparés par un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire (Nvi) ou noyau
ur la coupe précédente, mais sont séparés par un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire (Nvi) ou noyau du nerf moteur ocu
nt séparés par un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire (Nvi) ou noyau du nerf moteur oculaire externe, dont les fibre
décrivent de légères courbes, se détachent de la partie interne du noyau , puis traversent d'arrière en avant la formation
nt être suivies sur la coupe jusqu'au ruban de Reil médian (Rm). Le noyau réticulé (Nrt), le faisceau central de la calotte
e faisceau central de la calotte (Fcc), l'olive supérieure (Os), le noyau du facial (NVII), le corps trapézoïde (Tr) et le
ente cette coupe portent sur la sub- stance blanche centrale et les noyaux gris centraux du cervelet. Les connexions du pé
ernes et internes du cervelet, l'olive cérébelleuse, le bouchon, le noyau du toit. - La calotte protubérantielle, le noyau
se, le bouchon, le noyau du toit. - La calotte protubérantielle, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - Co
externes. - fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - ND, noyau de Deiters. - i'\Iei7, embole. - Np, noyaux pon
ernes du cervelet. - ND, noyau de Deiters. - i'\Iei7, embole. - Np, noyaux pontiques. Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau du
, noyau de Deiters. - i'\Iei7, embole. - Np, noyaux pontiques. Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau du toit. xNl, entre-crois
- i'\Iei7, embole. - Np, noyaux pontiques. Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau du toit. xNl, entre-croisement des noyaux du to
Nrt, noyau réticulé. - NI, noyau du toit. xNl, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. - Os, olive
- )</, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - NVII, noyau du facial. - vils, genou du facial. - 1'11., le q
s, genou du facial. - 1'11., le quatrième segment du facial. -NI71, noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - VI,
ur la coupe pré- cédente. Ils sont séparés l'un de l'autre par deux noyaux arrondis, les noyaux du toit (Nt), situés de ch
dente. Ils sont séparés l'un de l'autre par deux noyaux arrondis, les noyaux du toit (Nt), situés de chaque côté de la ligne
e, en dedans et en avant, irréguliers et déchiquetés en dehors. Ces noyaux sont séparés l'un de l'autre par Y entre- croisem
Ces noyaux sont séparés l'un de l'autre par Y entre- croisement des noyaux du toit (xNt), dont les fibres contournent, apr
contournent, après leur entre-croisement, la face pos- térieure du noyau du toit (Nt), puis se portent en avant, traversen
substance grise du C01'PS juxta-l'esti{01'me connue sous le nom de noyau de Deiters (ND); une autre partie parcourt tout
otubérantiel, intéresse les fibres inférieures de la protubérance, le noyau du facial (Nvn), le nerf vestibulaire (VlIIv),
nt et sont en- tourées par une abondante gangue de substance grise ( noyaux pontiques) (Np). Calotte. - La calotte s'est ét
ttales du raphé (r) et par une étroite bande de substance grise, le noyau du raphé, qui n'estqu'une dépendance de la subs
cicules isolés de la formation réticulée (SR) et en arrière, par le noyau central inférieur (Nci) qui fait suite au noyau
en arrière, par le noyau central inférieur (Nci) qui fait suite au noyau réticulé et occupe tout l'espace compris entre le
es du corps trapézoïde se coudent dans cette région en bas, vers le noyau antérieur du nerf cochléaire dont elles pro- cè
lles représentent, en effet, une voie auditive centrale, qui relie le noyau de terminaison du nerf cochléaire aux olives su
eau central de la calotte; l'olive supérieure ou protubérantielle; le noyau cen- tral inférieur, les noyaux d'origine du fa
e supérieure ou protubérantielle; le noyau cen- tral inférieur, les noyaux d'origine du facial et du moteur oculaire externe
bulbe. fsmi, fibres semi-circulaires internes du cervelet. - i\'ci, noyau central inférieur. - Np, noyaux pontiques. Oc, ol
aires internes du cervelet. - i\'ci, noyau central inférieur. - Np, noyaux pontiques. Oc, olive cérébel- leuse. - Os, oliv
. Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - NVI, VI, noyau d'origine et fibres radiculaires du nerf moteur
gine et fibres radiculaires du nerf moteur oculaire externe. Nl'II, noyau d'origine, premier segment genou et quatrième s
e), la grosse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et le noyau du facial (NVII) ; de sa concavité, ou de son h
(SR) et que l'on peut suivre sur les coupes sériées jusque dans le noyau de là Vle paire (Nvi) ; elles relient en effet
e là Vle paire (Nvi) ; elles relient en effet l'olive supérieure au noyau du nerf moteur oculaire externe. Le noyau du fa
fet l'olive supérieure au noyau du nerf moteur oculaire externe. Le noyau du facial (Nvn) situé en arrière et en dehors de
coupe elles ne peuvent être suivies au delà de la partie externe du noyau de la VIe paire (Nvi). Les fibres radiculaires
la région inférieure de la protubérance un trajet très complexe. Du noyau d'origine situé au voisinage du sillon bulbo-pr
u .té ventricule ; elles se coudent une troisième fois, en avant du noyau de Deiters, puis se portent en dehors et en ava
merger finalement dans la fossette laté- rale du bulbe, non loin du noyau d'origine. Le facial décrit ainsi dans son traj
a-protubérantiel une anse dont les deux extrémités, c'est-à-dire le noyau d'origine et le point d'émergence, sont très vois
coupe H 8 (Fig. 438, p. 657), qui sectionne la partie inférieure du noyau du facial (NVII), intéresse ses deux segments e
egments extrêmes : à savoir, les fibres radiculaires à leur sortie du noyau d'origine et le facial (VII) à son émergence au
émergence au voisinage du sillon bulbo-protubé- rantiel (bp). Le noyau du moteur oculaire externe (Nvi) est volumineux e
eau pyramidal (Py). A la partie externe de la calotte, en dehors du noyau du facial (Nvn) et de la TOME II. 41 6H ANATO
anche vestibulaire du nerf auditif (VIIIv). Ces fibres aboutissent au noyau de Deiters; la majeure partie se coude, descend
n et inférieur, et la manière dont se présentent sur ces coupes les noyaux gris centraux du cervelet. Toutes ces coupes in
nférieurs de la protubérance et passent au niveau ou au-dessous des noyaux du trijumeau; on y trouve par conséquent tous l
Pcm) dans le sillon marginal antérieur du cervelet et intéresse les noyaux moteur et sensitif du trijumeau (NVm et NVs). C
use, sectionnant la partie moyenne de la protubérance au niveau des noyaux du trijumeau et passant par la ligne C 1 de la Fi
drilatères antérieur et postérieur des hémisphères cérébelleux. NB, noyau de l3echterew. - Nem, bouchon. Ni'ii, noyau moteu
phères cérébelleux. NB, noyau de l3echterew. - Nem, bouchon. Ni'ii, noyau moteur du trijumeau. - \'l's, noyau sensitif du
3echterew. - Nem, bouchon. Ni'ii, noyau moteur du trijumeau. - \'l's, noyau sensitif du trijumeau. - Oc, olive cérébelleuse
bérance. - Coupe horizon- tale C 2 du rhombencéphale sectionnant le noyau du bouchon et le tiers infé- rieur de la protub
central. - Lirl, lingula. -¡''la, lobe quadrilatère antérieur. - Nem, noyau emboliforll1e. - Np, noyaux pontiques. Oc, oliv
'la, lobe quadrilatère antérieur. - Nem, noyau emboliforll1e. - Np, noyaux pontiques. Oc, olive cérébelleuse. - Pci, Pcnz, P
dans et en avant de l'olive, on trouve, de chaque côté, l'embole ou noyau du bouchon (Nem), noyau triangulaire dont la base
ive, on trouve, de chaque côté, l'embole ou noyau du bouchon (Nem), noyau triangulaire dont la base regarde la région de
oupe passe par la substance blanche centrale du vermis au-dessus du noyau du loit et intéresse comme la coupe précédente
de l'étage antérieur du pont et avec le corps juxta-restiforme. Le noyau du bouchon et l'olive cérébelleuse. - Coupe 648
e postérieur du cervelet. - Nem, embole. - x\11, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. - Pei, Pcm,
arqué, s'effectue à angle presque droit, c'est l'entre-croisement des noyaux du toit (xNt). A chacun de ces entre-croisement
emi-circulaires internes (fsmi) procèdent de Y entre-croisement des noyaux du toit (xNt), traversent en fascicules onduleux
ellement à mesure que l'on approche de la base de la lingula et des noyaux du toit. La paroi antérieure ou plancher est con-
BENCÉPHALE. 649' Fig. 435. - Le cervelet; sa substance blanche, ses noyaux gris centraux, ses connexions avec l'étage anté
cervelet. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur. - Nem, embole. - Nt, noyau du- toit. - xNt, entre-croisement des noyaux du
r. - Nem, embole. - Nt, noyau du- toit. - xNt, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc, olive cérébelleuse. - Pei, l'cnz,
e, plus réduite, au co-î)s,jzixta-7-estifoî, ? ize, en particulier au noyau de Deiters. La disposition de la cavité du 4e v
Fig. 435). Très voisine de la précédente, cette coupe passe par les noyaux du toit. On retrouve sur cette coupe les partic
ore diminué, et qui présente de chaque côté de la ligne médiane les noyaux du toit (Nt). De ces noyaux arrondis se détache
de chaque côté de la ligne médiane les noyaux du toit (Nt). De ces noyaux arrondis se détachent un grand nombre de fibres f
colorées par l'hématoxyline, qui s'entre-croisent en arrière de ces noyaux , forment Yen ire- croisement des noyaux du toit
-croisent en arrière de ces noyaux, forment Yen ire- croisement des noyaux du toit (xNt), puis se continuent avec les fibres
pédoncule céoébcl- leux supérieur (Pcs). L' entre-croisement des noyaux du toit (xNt) entoure donc la face supérieure e
it (xNt) entoure donc la face supérieure et la face postérieure des noyaux du toit, les fibres de la coupe C 4 se continuent
lles de la coupe C3(Fig. 434). Cet entre-croisement occupe avec les noyaux du toit la presque-totalité de la substance blanc
tance blanche, ses libres semi-circulaires externes et internes, le noyau sphérique, l'olive cérébelleuse, les connexions d
tubérance au voisinage du sillon butbo-protubérantiel, intéresse le noyau d'origine du facial et passe par la ligne C 5 d
res internes. - fl'y, fibres de la pyramide du vermis. - globule ou noyau sphérique. - ont, entre-croisement des noyaux du
u vermis. - globule ou noyau sphérique. - ont, entre-croisement des noyaux du toit.- - Oc, olive cérébelleuse. - Pci, l'an
te bande on trouve les derniers vestiges de Y entre- croisement des noyaux du toit (xNt) sous forme de fascicules colorés, e
arrondis ou oblongs, très mal délimités, et qui appar- tiennent au noyau sphérique ou globule (Ngl). Dans la substance b
s deux moitiés ne sont pas symétriques. A droite, elle intéresse le noyau de le),- minaison du nerf cochléaire (NVIIIc),
o-olivaires. Les faisceaux compacts de la for- mation réticulée, le noyau central inférieur, le noyau d'origine du facial.
ompacts de la for- mation réticulée, le noyau central inférieur, le noyau d'origine du facial. - Le corps juxta-restiform
restiforme, la grosse racine sensitive descendante du trijumeau et le noyau de la branche cochléaire du nerf auditif; les s
de la protubérance. - fpt, fibres arciformes prétribéminales. - ND, noyau de Deiters. - '\ ? ,,noyau du raphé. - Oc, olive
fibres arciformes prétribéminales. - ND, noyau de Deiters. - '\ ? ,, noyau du raphé. - Oc, olive cérébelleuse. - Oi, olive b
au. - III, nerf moteur oculaire externe. - 1,Il, nerf facial. - 7VWY, noyau d'ori- gine du facial. - Ville, branche cochléa
e du facial. - Ville, branche cochléaire du nerf auditif; NVIIIc, son noyau de termi- naison. - VIIIv, branche vestibulaire
naison. - VIIIv, branche vestibulaire du nerf auditif; NVIIlv, son noyau de terminaison. - 1 ? quatrième ventricule. L
pour se rendre, en partie dans le corps juxta-restiforme (Cj) et le noyau de Deiters, en partie dans un noyau triangulair
rps juxta-restiforme (Cj) et le noyau de Deiters, en partie dans un noyau triangulaire, le noyau triangulaire ou noyau du n
j) et le noyau de Deiters, en partie dans un noyau triangulaire, le noyau triangulaire ou noyau du nerf vestibulaire; noy
ers, en partie dans un noyau triangulaire, le noyau triangulaire ou noyau du nerf vestibulaire; noyau postérieur de l'aco
triangulaire, le noyau triangulaire ou noyau du nerf vestibulaire; noyau postérieur de l'acoustique, (NVIIIV) situé sur le
e prolonge sur la face interne de chacune des pyramides, y forme le noyau arqué ou arciforme (Narc) et peut être suivie en
é jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Les noyaux arqués des pyramides (Narc) et les noyaux dits du
nal postérieur (Flp). Les noyaux arqués des pyramides (Narc) et les noyaux dits du raphé (Nr) ne sont donc que des dépenda
les noyaux dits du raphé (Nr) ne sont donc que des dépendances des noyaux pontiques (SgPo) dont ils présentent du reste l
s fibres trans- versales de la protubérance, contiennent, outre les noyaux arqués, le faisceau pyramidal (Py), c'est-à-dir
s de la forma- tion réticulée (S R) qui circonscrivent en dehors le noyau central inférieur (Nci). Moins étendu dans le s
du dans le sens sagittal que sur la coupe H7 (Fig. 430, p. 640), ce noyau est limité en avant par le ruban de Reil médian (
de la grosse racine descendante sen- sitive du trijumeau (Vsd), le noyau du facial (Nvn) intéressé à sa partie infé- rie
formes de la formation réticulée sont seules dessinées. En avant du noyau du facial (Nvii), la formation réticulée (SR) att
ui entoure les fascicules du corps juxta-restiforme et constitue le noyau de Deiters (ND) est refoulée à la partie extern
niveau du raphé avec celles du côté opposé. Elles sont destinées aux noyaux arqués des pyramides et aux olives bulbaires, e
ient de nom- breuses fibres sagittales, dont les connexions avec le noyau arqué des pyramides sont très manifestes sur ce
très manifestes sur cette coupe. Les moen>7es (fam) traversent le noyau central inférieur (Nci) et ne peuvent sur cette
a-restiforme (Cj) dont elles procèdent. Un petit nombre provient du noyau de terminaison du nerf vestibulaire (NVIIIv). D
, longer le sillon úulúo-p1'olllúénl11liel (bp), passer en avant du noyau du facial (NVII) et de la grosse racine sensitive
croiser le tronc du nerf vestibulaire (VIIIv). Elles proviennent du noyau antérieur du nerf acoustique ou noyau du nerf coc
(VIIIv). Elles proviennent du noyau antérieur du nerf acoustique ou noyau du nerf cochléaire (NVIIIc) situé en avant du p
. 661 gauche de la coupe n'intéresse que la partie supérieure de ce noyau (NVIIIc) qui sert de noyau de terminaison au ne
intéresse que la partie supérieure de ce noyau (NVIIIc) qui sert de noyau de terminaison au nerf cochléaire et de noyau d'o
(NVIIIc) qui sert de noyau de terminaison au nerf cochléaire et de noyau d'origine au corps trapézoïde; la moitié droite
sectionne suivant son grand axe. Il s'y présente sous l'aspect d'un noyau volumineux situé en avant du corps l'esti- form
et montrent mieux que les coupes horizontales les connexions de ce noyau avec le corps trapézoïde. (Voy. Fig. 426, p. 63
ciformes émises par le corps resti- forme (Crst); la disparition du noyau central inférieur cl )il remplacement par de no
ation réticulée grise (SRg) ne contient à cette hauteur qu'un petit noyau différencié, qui appartient au noyau antérieur du
nt à cette hauteur qu'un petit noyau différencié, qui appartient au noyau antérieur du vague, ou noyau ambigu (Nab). Les
t noyau différencié, qui appartient au noyau antérieur du vague, ou noyau ambigu (Nab). Les fascicules longitudinaux sont
particulièrement nombreuses à ce niveau; elle en est séparée par le noyau du raphé (Nr), mince et étroite lame grise qui
u longitudinal postérieur (Flp) et qui se fusionne en avant avec le noyau arqué des pyramides (Narc). Les rapports que la
vec le cordon latéral de la moelle, fibres qui se terminent dans le noyau central inférieur ou qui en proviennent. La for
iforme (Cj), de^ la partie adjacente du corps restiforme (Crst) et du noyau triangulaire du nerf vestibulaire (iNVI11v). Ce
blanche et la formation réticulée grise, le corps juxta-restiforme ( noyau de Deiters et fais- ceaux cérébello-vestibulair
aisceau solitaire. - Mo, membrane obturatrice rétrobulbaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau d'origine des nerfs mixtes. - N
e. - Mo, membrane obturatrice rétrobulbaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau d'origine des nerfs mixtes. - Na7'c, noyau arqu
. - Nab, noyau ambigu ou noyau d'origine des nerfs mixtes. - Na7'c, noyau arqué. - ND, noyau de Deiters. - Nit, noyau du fu
gu ou noyau d'origine des nerfs mixtes. - Na7'c, noyau arqué. - ND, noyau de Deiters. - Nit, noyau du funiculus teres. -
nerfs mixtes. - Na7'c, noyau arqué. - ND, noyau de Deiters. - Nit, noyau du funiculus teres. - Ni,. noyau du raphé. - Yi
ué. - ND, noyau de Deiters. - Nit, noyau du funiculus teres. - Ni,. noyau du raphé. - Yip, noyau rétropyramidal. Nvnio, noy
ers. - Nit, noyau du funiculus teres. - Ni,. noyau du raphé. - Yip, noyau rétropyramidal. Nvnio, noyau de terminaison de
s teres. - Ni,. noyau du raphé. - Yip, noyau rétropyramidal. Nvnio, noyau de terminaison de la branche vestibulaire du ne
de terminaison de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyn- gien. - Oi, olive
ure du bulbe (Py), (fibres prépyrami- dales), et se rendent dans le noyau arqué des pyramides (Narc) ou se continuent ave
) ou à travers le faisceau pyramidal (Py), puis abordent de même le noyau arqué ou les fibres sagittales du raphé. L'oliv
bulbaire, dont le sépare un amas irrégulier de substance grise, le noyau rét/'opymmidal (Nrp). Dans cette série de coupe
tie antéro-interne du faisceau pyramidal (Py) est recouverte par le noyau arqué (Narc), sa partie antéro-externe par les fi
lièrement nombreuses sur cette coupe et dont les connexions avec le noyau arqué (Narc) et les fibres prépara- midales son
, la substance grise centrale du quatrième ven- tricule contient un noyau triangulaire, volumineux, le noyau de terminaison
atrième ven- tricule contient un noyau triangulaire, volumineux, le noyau de terminaison du nerf vestibulaire ou noyau tr
ulaire, volumineux, le noyau de terminaison du nerf vestibulaire ou noyau triangulaire, ou noyau postérieur de l'acoustique
noyau de terminaison du nerf vestibulaire ou noyau triangulaire, ou noyau postérieur de l'acoustique (NVIIIv). Il est lim
en dedans, au voisinage du sillon longitudinal médian, par un petit noyau arrondi pauvre en fibres à myéline, le noyau des
l médian, par un petit noyau arrondi pauvre en fibres à myéline, le noyau des faisceaux arrondis, noyau des funiculi tere
rrondi pauvre en fibres à myéline, le noyau des faisceaux arrondis, noyau des funiculi teretes (Nft) qui fait saillie sur l
666 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. trième ventricule au-dessus du noyau de l'hypoglosse. En dehors, le noyau triangulai
trième ventricule au-dessus du noyau de l'hypoglosse. En dehors, le noyau triangulaire du nerf vestibulaire est limité pa
nerf vestibulaire) s'est déjà épuisée dans la su- bstance grise du noyau de Deiters (ND), particulièrement abondante à la
t au riche système de fibres sagittales du raphé qui aboutissent au noyau arqué (Narc.) La hauteur Bibliothèque des Inter
ibres arci- formes cérébello-olivaires. Les stries acoustiques, les noyaux arciformes et le noyau du raphé. L'olive bulbai
ébello-olivaires. Les stries acoustiques, les noyaux arciformes et le noyau du raphé. L'olive bulbaire et les noyaux juxta-
les noyaux arciformes et le noyau du raphé. L'olive bulbaire et les noyaux juxta-olivaires. La formation réticulée blan- c
- Fs, faisceau solitaire. - fsr, fibres sagittales du raphé. - Xab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué. - \'ft, noyau du fun
re. - fsr, fibres sagittales du raphé. - Xab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué. - \'ft, noyau du funiculus teres. - Noe,
ittales du raphé. - Xab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué. - \'ft, noyau du funiculus teres. - Noe, noyau juxta-olivaire
bigu. - Narc, noyau arqué. - \'ft, noyau du funiculus teres. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - i\oi, noyau juxta-oliva
au du funiculus teres. - Noe, noyau juxta-olivaire externe. - i\oi, noyau juxta-olivaire interne. - Ni; noyau du raphé. A
u juxta-olivaire externe. - i\oi, noyau juxta-olivaire interne. - Ni; noyau du raphé. A'fj7B, noyau de la branche vestibula
- i\oi, noyau juxta-olivaire interne. - Ni; noyau du raphé. A'fj7B, noyau de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nix
hé. A'fj7B, noyau de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - Oi, olive bu
ment sous- jacentes à l'épendyme ventriculaire; elles recouvrent le noyau du funiculus teres (Nft) et le noyau de termina
riculaire; elles recouvrent le noyau du funiculus teres (Nft) et le noyau de terminaison du glosso-pharyngien (Nixp). Par
partie moyenne des olives (Oi) et sectionne la partie supérieure du noyau de l'hypoglosse (Nxu), le noyau ambigu (Nab) et
t sectionne la partie supérieure du noyau de l'hypoglosse (Nxu), le noyau ambigu (Nab) et les fibres radiculaires du nerf v
ci encore des fibres arciformes prépyramidales en connexion avec le noyau arqué (Narc); elles s'enfoncent dans le sillon
supérieure au niveau de l'émergence du nerf pneumo- gastrique et du noyau de l'hypoglosse. Le corps restiforme, l'olive bul
Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - 1\'a6, noyau ambigu. Narc, noyau arqué. - NCrst, noyaux du cor
al du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - 1\'a6, noyau ambigu. Narc, noyau arqué. - NCrst, noyaux du corps restiforme. - n
aisceau solitaire. - 1\'a6, noyau ambigu. Narc, noyau arqué. - NCrst, noyaux du corps restiforme. - nove, Noi, noyaux juxta-
arc, noyau arqué. - NCrst, noyaux du corps restiforme. - nove, Noi, noyaux juxta-olivaires externe et interne. - Ni; noyau d
iforme. - nove, Noi, noyaux juxta-olivaires externe et interne. - Ni; noyau du raphé. - N'p, noyau rétropyramidal. - Ayv. n
ux juxta-olivaires externe et interne. - Ni; noyau du raphé. - N'p, noyau rétropyramidal. - Ayv. noyau du funiculus teres.
interne. - Ni; noyau du raphé. - N'p, noyau rétropyramidal. - Ayv. noyau du funiculus teres. - Nez, noyau postérieur du
N'p, noyau rétropyramidal. - Ayv. noyau du funiculus teres. - Nez, noyau postérieur du pneumogastrique. iY''U7t), noyau
iculus teres. - Nez, noyau postérieur du pneumogastrique. iY''U7t), noyau de la branche vestibulaire de l'auditif. - .Y.\'f
. iY''U7t), noyau de la branche vestibulaire de l'auditif. - .Y.\'f7, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulb
us clairsemés que sur la coupe précédente, et la substance grise du noyau de Deiters particulièrement abondante le long d
mais y sont irrégulières, plus ou moins mal délimitées, ce sont les noyaux juxta-olivaires ou par olives, les corps paroliva
ta-olivaires ou par olives, les corps parolivaires et externe. Le noyau juxta-olivaire externe (Noe) contourne l'extrémit
les fibres longitudinales de la formation réticulée grise (SRg). Le noyau juxta-olivaire inlerne (Noi) est plus important e
H9 et H 10 (Fig. 439 et 440) dans la partie moyenne, sous-jacente au noyau cen- f-al inférieur. Le noyau du raphé (Nr) a
la partie moyenne, sous-jacente au noyau cen- f-al inférieur. Le noyau du raphé (Nr) a presque complètement disparu, la
apparition et leur si- tuation, qui ont été désignés sous le nom de noyau du cordon antérieur (Bechte- rew), de noyau res
désignés sous le nom de noyau du cordon antérieur (Bechte- rew), de noyau respiratoire (Misslawsky), de noyau du raphé (Sti
don antérieur (Bechte- rew), de noyau respiratoire (Misslawsky), de noyau du raphé (Stieda et Laura). La formation réticu
- meau (Vsd), apparaît, plongé au sein de fibres longitudinales, un noyau allongé mal délimité. C'est le noyau antérieur
n de fibres longitudinales, un noyau allongé mal délimité. C'est le noyau antérieur du vague ou du pneumogastrique, le noya
délimité. C'est le noyau antérieur du vague ou du pneumogastrique, le noyau ambigu (Nab), qui fait suite à la colonne d'ori
(Vsd). La plupart des fibres du vague ne proviennent toutefois pas du noyau ambigu (Nab), mais prennent leur origine ou se
mbigu (Nab), mais prennent leur origine ou se terminent dans un petit noyau , ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 6-il
entrale du plancher du quatrième ventricule et connu sous le nom de noyau postérieur ou dorsal du vague (Nxp). Il occupe l'
se du plancher du 4e ventricule; il est situé par conséquent entre le noyau de l'hypoglosse (Nxii) et la partie inférieure
nt entre le noyau de l'hypoglosse (Nxii) et la partie inférieure du noyau du nerf vestibulaire (Nviiiv) en arrière et en
. La partie interne du plancher du quatrième ventricule contient un noyau volumineux arrondi, riche en grosses cellules m
yau volumineux arrondi, riche en grosses cellules multipolaires, le noyau de l'hypo- glosse (Nxu), situé de chaque côté d
té du sillon longitudinal médian dans l'aile blanche interne. De ce noyau se détachent quelques gros fascicules radiculaire
ban de Reil, incomplètement séparé de l'olive (Oi) par l'irrégulier noyau i,étî-o-I)y ? ,ai ? zidal (Nrp), est mal délimité
coupe intéresse la partie inférieure du corps restiforme (Crst), le noyau latéral du bulbe (net), les troncs radiculaires
lée grise (SRg). La pyramide (Py) présente les mêmes caractères, le noyau arqué (Narc) s'est un peu porté en avant et ne
t un peu porté en avant et ne limite plus la pyramide en dedans; le noyau rétro-pyramidal [Nrp) s'est accru ainsi que les
en dedans; le noyau rétro-pyramidal [Nrp) s'est accru ainsi que les noyaux juxta-olivaires inlerne (Noi) et externe (Noe). L
erne, de» amas irréguliers de substance grise connus sous le nom de noyaux du corps resti- forme (NCrst). La diminution de
ance grise centrale du quatrième ventricule; sa substance grise, ou noyau de Deiters, s'est considérablement accrue et tran
lement accrue et transfor- mée ; elle se fusionne en avant avec les noyaux du corps restiforme et contient un dense feutra
ti- Fic. 442. - La région bulbaire moyenne. L'olive bulbaire et les noyaux juxta-olivaires. La partie inférieure du corps
yaux juxta-olivaires. La partie inférieure du corps restiforme, les noyaux du corps restiforme et le fais- ceau cérébelleu
u cérébelleux direct de Flechsig. La formation réticulée grise et les noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transversale H 12 du
- Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NCrst, noyaux du corps restiforme. - Nfl
téral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NCrst, noyaux du corps restiforme. - Nfl, noyau du funiculus
ire. - Narc, noyau arqué. NCrst, noyaux du corps restiforme. - Nfl, noyau du funiculus teres. - Nlt, noyaux latéraux du bul
noyaux du corps restiforme. - Nfl, noyau du funiculus teres. - Nlt, noyaux latéraux du bulbe. - Noe, noyaux juxta-olivaire
, noyau du funiculus teres. - Nlt, noyaux latéraux du bulbe. - Noe, noyaux juxta-olivaire externes. - Nrp, noyau rétropyrami
ux latéraux du bulbe. - Noe, noyaux juxta-olivaire externes. - Nrp, noyau rétropyramidal. - Nxp, noyau postérieur du vagu
noyaux juxta-olivaire externes. - Nrp, noyau rétropyramidal. - Nxp, noyau postérieur du vague. - NXll, noyau de l'hypoglo
rp, noyau rétropyramidal. - Nxp, noyau postérieur du vague. - NXll, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulbai
entuent encore et sa substance grise se transforme petit à petit en noyaux des cordons postérieurs de la moelle. Quant aux f
livaire, ni du faisceau cérébelleux direct, elles s'épuisent dans les noyaux du corps restiforme (ou en proviennent) et dans
yaux du corps restiforme (ou en proviennent) et dans une partie des noyaux des cordons postérieurs qui leur sont homologue
rise (SRg), entre la sub- stance gélatineuse de Rolando (SgR) et le noyau juxta-olivaire extune (Noe), les trabécules gri
ment accrus, se réunissent en un amas irrégulier et polymorphe, les noyaux latéraux du bulbe. Sur la coupe H 12, ils forment
n : l'aile blanche interne, déterminée par la saillie du volumineux noyau de l'hypoglosse (Nxii); l'aile grise, constituée
ineux noyau de l'hypoglosse (Nxii); l'aile grise, constituée par le noyau dorsal du vague ou pneumogastrique (Nxp) sous l
n l'extrémité inférieure de l'aile blanche externe, sous-jacente au noyau de Deiters et à la racine descendante de Relier
artie inférieure de l'olive bulbaire (Oi), la partie supérieure des noyaux des cordons postérieurs (NCp) et les fibres radic
gélatineuse de Rolando (SgR) qui lui est annexée, sont apparus les noyaux des cordons postérieurs (\Cp), amas gris diffus,
rélro-trigéminales, traversent la formation réticulée grise (SRg), le noyau Floc. 443.- La région bulbaire moyenne au nivea
moyenne au niveau du trou de Magendie. - L'olive bul- baire et les noyaux juxta-olivaires, le corps restiforme, les noyaux
bul- baire et les noyaux juxta-olivaires, le corps restiforme, les noyaux des cordons pos- térieurs de la moelle, la form
ons pos- térieurs de la moelle, la formation réticulée grise et les noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transversale H13 pas
u bulbe. ? faisceau latéral du bulbe. -Ts, faisceau solitaire. Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué des pyramides. NCp, n
téral du bulbe. -Ts, faisceau solitaire. Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué des pyramides. NCp, noyaux des cordons pos-
litaire. Nab, noyau ambigu. - Narc, noyau arqué des pyramides. NCp, noyaux des cordons pos- térieurs. - Nlt, noyau latéral
arqué des pyramides. NCp, noyaux des cordons pos- térieurs. - Nlt, noyau latéral du bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivai
s cordons pos- térieurs. - Nlt, noyau latéral du bulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivaires externe et interne. - Nrp. noya
ulbe. - Noe, Noi, noyaux juxta-olivaires externe et interne. - Nrp. noyau rétropyramidal. .Yt/), noyau postérieur du vague.
a-olivaires externe et interne. - Nrp. noyau rétropyramidal. .Yt/), noyau postérieur du vague. noyau de l'hypoglosse. - O
terne. - Nrp. noyau rétropyramidal. .Yt/), noyau postérieur du vague. noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulb
formes intel'1'éticulaÏ1'es (fir), naissent du feutrage de fibres des noyaux des cordons postérieurs (NCp), traversent en fa
s fibres sensitives qui, prenant leur origine dans les cellules des noyaux des cordons postérieurs (NCp), montent dans la
La déformation de la cavité ventriculaire entraîne un déplacement des noyaux du plancher du quatrième ventricule qui s'étale
argeur. On trouve, de chaque côté du sillon longitudinal médian, le noyau de l'hypoglosse (\1u), noyau volumineux, arrondi,
côté du sillon longitudinal médian, le noyau de l'hypoglosse (\1u), noyau volumineux, arrondi, limité en arrière par un d
et en avant par un petit groupe de fibres arciformes originaires du noyau de l'hypoglosse, qui s'entre-croisent dans le r
gues des fibres arciformes dorsales ou profondes qui proviennent du noyau de Deiters. En dehors du noyau de l'hypoglosse, d
ales ou profondes qui proviennent du noyau de Deiters. En dehors du noyau de l'hypoglosse, dans la substance gris clair c
la substance gris clair correspondant il l'aile grise, on trouve le noyau dOl'sallou postérieur du vague (Nxp), puis le f
entrale du quatrième ventricule recouvre ensuite la face interne du noyau des cordons postérieurs. Coupe H 14 (Fig. 44t.)
par le tiers inférieur de l'olive (Oi) et la partie supérieure des noyaux des cordons postérieurs (NCp). La surface de se
e anté- rieure, très réduite et peu dentelée, semble faire suite au noyau ,juxla-olivairc interne (Noi) dont il n'est sép
ré que par un petit intervalle comblé par des libres arciformes. Le noyau juxta-olivai1'e interne (\oi) s'est en effet repo
t;a-ot)a : re externe (Noe) a disparu; plus court que l'interne, ce noyau n'atteint guère le tiers inférieur de l'olive. La
oloration par la laque hématoxylinique et leurs connexions avec les noyaux des cordons postérieurs (Ncp). Elles s'en- tre-
- ment accrus ; toute la région présente un aspect plus clair et le noyau laté2.al dit bulbe (Nlt) forme une masse volumi
région bulbaire inférieure. L'obex et le ventricule d'Arentius. Les noyaux des cordons postérieurs etl'entre-croisement pini
forme du bulbe. Les for- mations réticulées blanche et grise et les noyaux latéraux du bulbe; l'olive bulbaire et le noyau
he et grise et les noyaux latéraux du bulbe; l'olive bulbaire et le noyau .juxta-olivaire interne. Coupe transversale H14 pa
ra-ohvaire. fir, fibres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons postérieurs et concourant il l'en-
me. - Fil, faisceau latéral du bulbe. Fs. faisceau solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des cordons postérieur
l du bulbe. Fs. faisceau solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des cordons postérieurs. Nil, noyau latéral du bu
arc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des cordons postérieurs. Nil, noyau latéral du bulbe. - non, noyau juxta-olivaire i
noyaux des cordons postérieurs. Nil, noyau latéral du bulbe. - non, noyau juxta-olivaire interne. NI1), noyau retropyramida
noyau latéral du bulbe. - non, noyau juxta-olivaire interne. NI1), noyau retropyramidal. NI.lI, noyau de l'hy- poglosse.
non, noyau juxta-olivaire interne. NI1), noyau retropyramidal. NI.lI, noyau de l'hy- poglosse. - Oc. olive inférieure ou bu
il une mince fente sagittale et s'insinue en arrière entre les deux noyaux des cordons postérieurs. - Cette disposition, a
u'ils sont plus voisins de la face posté- rieure de la pyramide. Le noyau arqué (Narc), qui occupait à la partie supérieure
fibres arciformes intel'1'éticull : es (fir), et se portent vers le noyau des cordons postérieurs (NCp). Elle est adossée
e noyau des cordons postérieurs (NCp). Elle est adossée en outre au noyau juxta-olivaire interne (Noi), qui s'étale de plus
appartenant encore au système cérébello-olivaire, qui traversent le noyau juxta-olivaire interne et la partie antérieure
bulbaire du nerf spinal ou accessoire de Willis (XIe paire). Les noyaux des cordons postérieurs (NCp) présentent un aspec
nes fibres à myéline qui se con- centrent sur certaines parties des noyaux , entourant des îlots ou des cylindres plus ou m
ins tortueux de substance grise, pauvres en libres et imprimant aux noyaux un aspect spécial, rappelant d'une façon très élo
xiste non seulement dans la région antéro-externe qui appartient au noyau de Burdach, mais encore, quoique moins accentué
oique moins accentuée, dans la partie interne, c'est-à-dire dans le noyau de Goll. On la retrouve, quoique moins nette, s
e des cordons postérieurs, et qui d'aspect plus homogène, reliés au noyau de Burdach par quelques travées grises, sont co
elques travées grises, sont connus sous le nom de partie externe du noyau de Burdach, de noyau de. Monakow (NM); ils sont
, sont connus sous le nom de partie externe du noyau de Burdach, de noyau de. Monakow (NM); ils sont les homologues des n
de Burdach, de noyau de. Monakow (NM); ils sont les homologues des noyaux du corps restiforme, et ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU
ntre-croisement sensitif, enfin par une délimitation plus nette des noyaux des cordons postérieurs en noyau de Goll (NG) e
par une délimitation plus nette des noyaux des cordons postérieurs en noyau de Goll (NG) et noyau de l3uwlaclc (NB). FIG.
s nette des noyaux des cordons postérieurs en noyau de Goll (NG) et noyau de l3uwlaclc (NB). FIG. \,4,5. - La région bulb
de l3uwlaclc (NB). FIG. \,4,5. - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons postérieurs, les fibres arciformes
nt piniforme. - La partie infé- rieure de l'oli, e bulbai L'e et le noyau juxta-olivaire interne.-La formation réticulée
e noyau juxta-olivaire interne.-La formation réticulée grise et les noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transversale H 15 pass
- Fit, faisceau latéral du bulbe - Fs, faisceau solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des cordons postérieurs. A
éral du bulbe - Fs, faisceau solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des cordons postérieurs. Alla, noyau latéral an
. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des cordons postérieurs. Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Slip. noyau laléral
ordons postérieurs. Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Slip. noyau laléral postérieur du bulbe. NM, noyau de Monak
antérieur du bulbe. - Slip. noyau laléral postérieur du bulbe. NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxta-olivaire interne. -
Slip. noyau laléral postérieur du bulbe. NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxta-olivaire interne. - XXI, noyau du spinal. -
be. NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxta-olivaire interne. - XXI, noyau du spinal. - Non. noyau de l'hypoglosse. - Oi,
. Noi, noyau juxta-olivaire interne. - XXI, noyau du spinal. - Non. noyau de l'hypoglosse. - Oi, otivc inférieure ou bulbai
se réduit une simple encoche et ne sépare pas profondément les deux noyaux du cordon de Goll (NG). Entre ces noyaux, on tr
pas profondément les deux noyaux du cordon de Goll (NG). Entre ces noyaux , on trouve un prolongement étroit de la subslan
es par la méthode de Golgi montrent que la sépara- tion de ces deux noyaux est effectuée par un faisceau de cellules épendym
gglomération plus grande de substance grise permet de distinguer un noyau latéral poslérieur (Nltp) et un noyau laléncal an
grise permet de distinguer un noyau latéral poslérieur (Nltp) et un noyau laléncal anlé°ieu (Nlta). Ce dernier atteint pr
g. - La région bulbaire inférieure au-dessous de l'olive bulbaire. Le noyau juxta-olivaire interne. Les noyaux des cordons
u-dessous de l'olive bulbaire. Le noyau juxta-olivaire interne. Les noyaux des cordons postérieurs; les fibres arciformes
ibres arciformes interréticulées. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NI3, noyau du cordon de Burdach. NG, noy
interréticulées. - Fs, faisceau solitaire. - Narc, noyau arqué. NI3, noyau du cordon de Burdach. NG, noyau du cordon de Gu
olitaire. - Narc, noyau arqué. NI3, noyau du cordon de Burdach. NG, noyau du cordon de Gull. - Alla, noyau latéral antérieu
3, noyau du cordon de Burdach. NG, noyau du cordon de Gull. - Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Nltp, noyau latér
u cordon de Gull. - Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Nltp, noyau latéral postérieur du bulbe. Noi, noyau juxta-oli
antérieur du bulbe. - Nltp, noyau latéral postérieur du bulbe. Noi, noyau juxta-olivaire interne. NM, noyau de Monakow. N
latéral postérieur du bulbe. Noi, noyau juxta-olivaire interne. NM, noyau de Monakow. Nui, noyau du spinal. - A\ir. noyau d
ulbe. Noi, noyau juxta-olivaire interne. NM, noyau de Monakow. Nui, noyau du spinal. - A\ir. noyau de l'hypoglosse. - Oi,
ivaire interne. NM, noyau de Monakow. Nui, noyau du spinal. - A\ir. noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive inférieure ou bulb
faisceau lioi i- zontal, étendu des cordons postérieurs (CG, CB) au noyau arqué (Narc) et aux fibres arciformes pré-pyram
de l'olive bulbaire, et de sa capsule de fibres, elle intéresse le noyau juxta-olivaire inlerne (Noi), la partie moyenne d
moyenne de l'entre- croisement sensitif ou piniforme (xpin) et les noyaux de Goll (NG) et de l3ttrclaclc (NB). La pyram
re suivies jusqu'à l'épais faisceau de fibres qui longe la base des noyaux des cordons postérieurs (NB, NG). Ces fibres appa
es inter-réticulées ou leznniscales, prennent leur origine dans les noyaux des cordons postérieurs et entrent dans la consti
les dernières fibres radiculaires de l'hypo- glosse (XII) et par le noyau juxta-olivaire interne (Noi), et refoulées en deh
i), et refoulées en dehors par l' 'entre-croisement piniforme. Le noyau juxta-olivaire interne (Roi) affecte encore une f
ubstance grise mal délimités, et que l'on rat- tache en général aux noyaux des cordons latéraux (Nlt). A la périphérie lat
section irrégulière. Fir. il ? - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons postérieurs et l'en- tre-croisement
atéral du bulbe. - fil', fibres arciformes interre- ticulees. - NB, noyau du cordon de Burdach. - NG, noyau du cordon de Go
ciformes interre- ticulees. - NB, noyau du cordon de Burdach. - NG, noyau du cordon de Goll.-Nll,noyau latéral du bulbe.
- NB, noyau du cordon de Burdach. - NG, noyau du cordon de Goll.-Nll, noyau latéral du bulbe. - NM, noyau de Monakow. Noi,
h. - NG, noyau du cordon de Goll.-Nll,noyau latéral du bulbe. - NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxla-olivaire interne. -
n de Goll.-Nll,noyau latéral du bulbe. - NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxla-olivaire interne. - A'xi, noyau du spinal
- NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxla-olivaire interne. - A'xi, noyau du spinal. - Nsm, noyau de l'hypoglosse. - Py, py
Noi, noyau juxla-olivaire interne. - A'xi, noyau du spinal. - Nsm, noyau de l'hypoglosse. - Py, pyramide antérieure du bul
me sur la coupe un faisceau très compact qui coiffe complètement le noyau de Burdach (NB), s'insinue profondément entre ce
plètement le noyau de Burdach (NB), s'insinue profondément entre ce noyau et la substance gélatineuse de Rolando (SgR) d'un
au et la substance gélatineuse de Rolando (SgR) d'une part, entre les noyaux de Goll (NG) et de Burdach (NB) d'autre part, e
e part, et subdivise ainsi nettement la masse auparavant unique des noyaux des cordons postérieurs. Noyaux de Goll et de B
ment la masse auparavant unique des noyaux des cordons postérieurs. Noyaux de Goll et de Burdach ne sont plus unis entre e
la substance grise centrale et sur la formation réticulée (SRg). Le noyau de Goll (NG) forme une masse volumineuse qui déte
es et fines fibres qui se portent en avant, et forment à la base du noyau un faisceau volumineux et horizontal en connexi
n connexion avec les fibres arciformes inlerréticulées du bulbe. Le noyau de Burdach (NB) ne le cède pas en volume au noyau
lées du bulbe. Le noyau de Burdach (NB) ne le cède pas en volume au noyau de Goll, dont il se distingue par les ilois arr
bulbe, il est rarement lisse et régulier, mais le plus souvent uni au noyau externe de Burdach ou de Monakow (NM), représen
(SRg). Il est en général facile de suivre ces fibres jusque dans le noyau de Goll (NG) et le noyau de Burdach (NB). La py
facile de suivre ces fibres jusque dans le noyau de Goll (NG) et le noyau de Burdach (NB). La pyramide bulbaire a changé
res à myéline, la substance spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux des cordons postérieurs sont moins proéminents et
éminents et moins volu- mineux que sur la coupe H 17 (Fig. 447). Le noyau de Burdach (NB) représente une sorte de monticu
don cunéiforme (CB) considérablement accru ; -, celui-ci entoure le noyau de Burdach d'une sorte de cupule. Sur la coupe H
Burdach sont si denses et nombreuses, qu'elles prennent la place du noyau de Burdach qui ne représente plus qu'une saillie
u'une saillie FiG. 448. - L'entre-croisement sensitif du bulbe. Les noyaux de Goll et de Burdach, le tubercule cendré de R
ou sensitif du bulbe (xpin). - FU, faisceau latéral du bulbe. - NB, noyau du cordon de I ! urdarh. SI;, noyau du cordon de
aisceau latéral du bulbe. - NB, noyau du cordon de I ! urdarh. SI;, noyau du cordon de Goll. - Nw, noyau du spinal. - ils
B, noyau du cordon de I ! urdarh. SI;, noyau du cordon de Goll. - Nw, noyau du spinal. - ils, pyramide antérieure du bulbe.
: )0. L'entre-croisement moteur et la région du collet du bulbe. Les noyaux des cordons postérieurs et la formation réticul
ol, corne postérieure. - fil', fibres inlcrréliculécs du bulbe. \'l3, noyau de Burdach. .\'G,Ynnyau de Goll. Nw, noyau du s
liculécs du bulbe. \'l3, noyau de Burdach. .\'G,Ynnyau de Goll. Nw, noyau du spinal 1',1, pyramide antérieure du bulbe. 3']
umeau. - 1'l, nerf spinal. 686 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le noyau de Goll (NG) affecte une forme en massue ; son bo
appartiennent encore au système, sensitif et leur connexion avec le noyau de Goll est des plus manifestes. La substance g
as à revenir sur la partie postérieure de la substance grise, sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdach (NB) et la corne pos
onne nucléaire de l'hypoglosse, et plus en dehors et en arrière, le noyau dorsal des nerfs mixtes (Nxi). Les fibres radi-
e. - Col, corne postérieure. - FPyc, faisceau pyramidal croire. NB, noyau du cordon de Burdach. NG. noyau du cordon de Go
Pyc, faisceau pyramidal croire. NB, noyau du cordon de Burdach. NG. noyau du cordon de Goll. - I's<7. grosse racine sens
e. Cop, corne postérieure. Fl' ! fc, faisceau pyramidal croisé. NG, noyau du cordon de Goll. l'sl, grosse racine des- cen
p). Elle contient les petites saillies mamelonnées très réduites du noyau de Burdach (,\'B), et le pédicule mince et étro
uites du noyau de Burdach (,\'B), et le pédicule mince et étroit du noyau de Goll (NG), lequel forme une lame étroite et ap
La disposition est un peu autre sur la coupe H 22 (Fig. 452). - Le noyau de Burdach a disparu, le noyau de Goll (NG) for
e sur la coupe H 22 (Fig. 452). - Le noyau de Burdach a disparu, le noyau de Goll (NG) forme un îlot gris, aplati, complète
de la substance blanche. fi9r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son noyau . Ses prolongements dendritiques. Us occupen
l'origine de la dendrite, elle esl striée ou fibrillaire, autour du noyau elle forme plusieurs couches concentriques très
riques très denses qui se prolongent en pointe dans la dendrite. Le noyau est volumineux et sphérique; il est parcouru pa
nerveuses, arrondies ou anguleuses, de G à 10 p., formées d'un gros noyau sphé- rique contenant souvent un nucléole et en
che, et a pu être suivi dans un cas par Cajal jusqu'au voisinage du noyau dentelé et du noyau du toit, où il se divisait à
ivi dans un cas par Cajal jusqu'au voisinage du noyau dentelé et du noyau du toit, où il se divisait à angle aigu et se p
ngle aigu et se perdait clans le feutrage de fibres qui entoure ces noyaux . Couche externe ou moléculaire (couche grise de
s, aux fibres terminales de l'écorce cérébelleuse. 2° Structure des noyaux gris centraux. - L'olive cérébelleuse el ses no
° Structure des noyaux gris centraux. - L'olive cérébelleuse el ses noyaux accessoires : le bouchon et le noyau sphérique, c
- L'olive cérébelleuse el ses noyaux accessoires : le bouchon et le noyau sphérique, contiennent de nombreuses cellules p
igent parallèlement à la surface des festons et des denticules. Les noyaux accessoires présentent la môme structure que l'ol
me structure que l'olive céré- belleuse. Il n'en est pas de même du noyau du toit qui contient - comme les noyaux de Bech
. Il n'en est pas de même du noyau du toit qui contient - comme les noyaux de Bechterew et de Deiters auxquels il est relié
es ou vésiculeuses, irrégulièrement disséminées dans l'épaisseur du noyau . Le corps cellulaire fortement pigmenté mesure 40
ps cellulaire fortement pigmenté mesure 40 à 90 p., possède un gros noyau et un nucléole et émet plusieurs épais pro- lon
-, termi- nalo.. Les volumineuses cellules multipolai- res du noyau du toit. i 08 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. F
es régions de l'écorce du vermis ou des hémisphères, les autres aux noyaux gris cen- traux (noyau du Loit, corps dentelé e
u vermis ou des hémisphères, les autres aux noyaux gris cen- traux ( noyau du Loit, corps dentelé et ses noyaux accessoires)
res aux noyaux gris cen- traux (noyau du Loit, corps dentelé et ses noyaux accessoires); d'autres encore sortent du cervel
les fibres dendritiques converger en nombre appré- ciable vers les noyaux gris centraux, noyau du toit, olive cérébelleuse,
es converger en nombre appré- ciable vers les noyaux gris centraux, noyau du toit, olive cérébelleuse, noyaux dentelés ac
e vers les noyaux gris centraux, noyau du toit, olive cérébelleuse, noyaux dentelés accessoires, et traverser le feutrage so
aire), traversent le feutrage sous-lobaire du vermis et abordent le noyau du toit par sa par- tie postérieure et inférieu
vant et en dehors, traversent le feutrage sous-lobaire en dehors du noyau du toit (Fig. Hl p. a997), puis se placent en a
internes, l'entre-croisement commissural et l'entre-croisement des noyaux du toit, les feutrages intra et extraciliaires.
ent des noyaux du toit, les feutrages intra et extraciliaires. - Le noyau du toit, l'olive cérébelleuse et l'em- bole. Le
ar [le tiers inférieur de la protubérance, le genou du facial et le noyau du toit. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature.
rvelet. - Lqp, lobe qua- drilatère postérieur. - Nem. embole. - Ni, noyau du toit. - xNl, entre-croisement des noyaux du
ur. - Nem. embole. - Ni, noyau du toit. - xNl, entre-croisement des noyaux du toit. - Oc. olive cérébelleuse. - Pci, Pcm, l'
hel- leux infcrienr. des libres des pédoncules cérébelleux et des noyaux gris centraux du cer- velet. Ces deux systèmes
du cer- velet. Ces deux systèmes entourent le corps dentelé et ses noyaux acces- soires de deux zones concentriques, dont
illing les noms de toison, de plexus extraciliaire, de cap- sule du noyau dentelé ; la couche qui tapisse la face interne d
ernes du cervelet séparent le feutrage sous-lobaire de la toison du noyau dentelé. Les deux formations communiquent néanmoi
externe du qua- trième ventricule et relient le vermis à différents noyaux bulbo-protubé- rantiels. Système des fibres s
ren Kleinhirnsclienlcels, Flechsig et Rechlercw), fibres reliant le noyau du Le feutrage intra- ciliaire. Sa fusion a
el il envoie la plu- part de ses fibres. Ses connexions avec le noyau den- telé, avec le pédon- cule cérébelleux in
es fibres semi- circulaires internes ctl'cntrc-croiscmont t des noyaux du toit. TABLEAU SYNOPTIQUE GÉNÉRAL DES FIBRES
rieur Grand entre-croi- sement commissural antérieur. toit au noyau de Deiters, fibres reliant le noyau du. toit ci l
ommissural antérieur. toit au noyau de Deiters, fibres reliant le noyau du. toit ci l'olive supérieure faisceau sensori
. Elles traversent le pédoncule cérébelleux supérieur, entourent le noyau du toit d'une véri- table capsule de fibres et
l'entre-croisement commissural, en formant l'enlre-croise- ment des noyaux du toit. Ces deux entre-croisements sont facile
e pa- rallèles, tandis que les fascicules de l'entré-croisement des noyaux du toit se coupent à angle droit ou à angle aig
q 1 ? zyr. sla, sillon transverse antérieur. V, trijumeau. .vVllle, noyau de la branche cochléaire du nerf auditif. 718 A
upe externe et groupe interne. Mais si l'on réfléchit à la forme du noyau dentelé, aplati de dehors en dedans et qui se t
nes, iL la manière dont elles s'étalent sur la partie supérieure du noyau dentelé, à la courbe à concavité inférieure qu'
croisement commissural antérieur est situé au-dessus et en avant du noyau du toit et séparé du petit entre-croisement commi
nt, situé dans la subslance blanche centrale du vermis au-dessus du noyau du toit et qui longe en s'effilant la base du l
ées parallèlement il leur axe et dont la plupart se rendent dans le noyau du toit. Très net sur la coupe sagittale médian
évie, la sub- stance blanche cen- trale du vermis au- dessus du noyau du toit, la base des axes du lobe central et
p. 649.) 1,'iG. 16. - La substance blanche centrale du vermis et le noyau du toit. Les libres en guirlande de Stilling, l
branche verticale de l'arbre de vie du vermis, la face supérieure du noyau du toit et l'axe du lobe central; il se prolong
zontale de l'arbre de vie. Coupe sagittale du vermis passant par le noyau du toit un peu en dehors du plan sagittal médian.
cule; elle tapisse l'axe de la lingula, se réfléchit au- dessous du noyau du toit, puis recouvre l'écorce des premières lam
fibres en guirlande. - (su, fibres sagittales de la lingula. - SI, noyau du toit. - ilchl, plexus choroïdes du 4' ventricu
2 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
isceau pyramidal, depuis les pyramides du bulbe, jusqu'au niveau du noyau appelé aujourd'hui noyau lenticulaire ('l'. l,
les pyramides du bulbe, jusqu'au niveau du noyau appelé aujourd'hui noyau lenticulaire ('l'. l, l'1. IX, XI, XII et XIII)
nt dans l'intérieur du ventricule latéral et rase la surface libre du noyau caudé. La section ne doit pas dépasser l'extrém
doit passer par le pied de la couronne rayonnante, et respecterles noyaux gris centraux. Dans ses pesées, Meynert séparai
ostérieure de l'insula. - LF, lobe frontal. LT, lobe temporal. .VA, noyau amygdalien. P, pied du pédoncule. - pFd, pli
dite de Flechsig est une coupe horizontale, passant par la tête du noyau caudé et par la partie moyenne de la couche optiq
t en arrière, et fait passer le couteau par le milieu de la tète du noyau caudé et par le point de réunion du tiers supér
ANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 21 intéresse les trois segments du noyau lenticulaire. Cette coupe, qui doit être pratiq
de la couche optique. On n'intéresse alors que deux des segments du noyau lenticulaire, le genou de la capsule interne es
bes nerveux, les septa conjonctifs, les tuniques des vaisseaux, les noyaux apparaissent colorés en rouge plus ou moins vif,
nnent indéfiniment. Si on désire obtenir une coloration intense des noyaux , on emploie le carmin boraté, aluné ou lithiné.
mposés colorants à base de carmin ont assez peu d'affinité pour les noyaux qui se colorent au contraire très bien par l'hé
Chaslin. Hématoxyline alu- Son omploi pour la coloration dos noyaux . 40 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.. Double col
le tissu conjonctif et imprègne particulièrement les cellules, leur noyau et leur nucléole, ainsi que le cylindre-axe. Ce
n obtient une bonne coloration des cel- lules nerveuses et de leurs noyaux , ainsi que des cellules de la névroglie et des
lindre-axiles et protoplas- miques, sont colorées en bleu-gris. Les noyaux et les nucléoles des cellules nerveuses sont ég
mise en place absolument exacte des faisceaux nerveux ainsi que des noyaux gris. Toutefois, comme avec cet appareil on obtie
ologiquement, l'analogue de la corne antérieure de la moelle et des noyaux moteurs de l'oeil (His). Les cinq vésicules enc
itié anté- rieure de la formation arquée (Fa), et renferme tous les noyaux d'origine des nerfs moteurs. Déformation de l
'aile blanche interne, la forme d'un triangle rectangle e.t répond au noyau d'origine du nerf grand hypoglosse. Dans sa par
rement dite, qui corres- pond au futur genou du nerf facial. . Le noyau d'origine du nerf grand-hypoglosse, est situé sur
. Cette colonne fournit en outre dans la région protubérantielle le noyau du nerf moteur Formation des ré - : cessus la
médian an- térieur. Sillon latéral. Lame fondamcn- 1. taie et noyaux d'ori- gine qui lui corres- pondent. : i
idaire externe et plus haut, au voisinage de l'aqueduc de Sylvius, le noyau Au nerf pathétique. Sur le prolongement de la
latérale de la moelle, on voit naître dans la région bulbaire, les noyaux d'origine des fibres mo- trices des nerfs spina
que et glosso pJtcrzz,/iezz; et dans là région protubérantielle, le noyau d'origine du facial et le noyau d'origine de la
dans là région protubérantielle, le noyau d'origine du facial et le noyau d'origine de la partie motrice du trijumeau. Ce
facial et le noyau d'origine de la partie motrice du trijumeau. Ces noyaux ne constituent dans la protubérance que des îlo
missure anté - rieure de la moelle; enfin, entre le raphé et le noyau d'ori- gine du grand-hypo- glosse, ces fibres
naissance : a) Dans la région bulbaire du quatrième ventricule, au noyau du cordon de Goll, à l'aile grise et au tubercu
rcule acoustique et adossé par sa base à l'aile blanche interne. En Noyaux qui naissent do la lame alairo dans le bulbe
ame alaire. émigration descel Iules de la lèvre rhom hoïdale; noyaux qu en naissent t avant et en arrière du tuber
avant de la couche grise disséminée de la substance réticulée et du noyau d'origine du grand-hypoglosse (fig. 33). Elles
ans la région bulbaire à l'olive bulbaire, ou olive inférieure, aux noyaux juxta-olivai2,es, aux noyaux du cordon de Burda
ive bulbaire, ou olive inférieure, aux noyaux juxta-olivai2,es, aux noyaux du cordon de Burdach, aux noyaux des cordons la
, aux noyaux juxta-olivai2,es, aux noyaux du cordon de Burdach, aux noyaux des cordons latéraux, aux noyaux arqués des para-
x noyaux du cordon de Burdach, aux noyaux des cordons latéraux, aux noyaux arqués des para- mides et à la substance gélati
du cervelet. Les olives bulbaire et protubérantielle, ainsi que les noyaux juxta- olivaires, sont donc morphologiquement l
ertébrés. Mais, si l'origine réelle est inva- riable, le volume des noyaux d'origine ou de terminaison, le trajet intra- e
par contre extrêmement variables. C'est ainsi, par exemple, que le noyau moteur du trijumeau s'hypertrophie considérable
le, où il forme les lobes électriques, et que chez les poissons, le noyau de terminaison du vague, très volumineux, forme
ent de la colonne nucléaire de la corne antérieure de la moelle, au noyau d'origine du mo- teur oculaire commun; elle fou
s ; elle donne naissance au globus pallidus, à la lame cornée et au noyau amygrlalien (fig. 52 à 63). Au-dessus de la surfa
vre dans le ven- tricule latéral, en avant de la base de la tête du noyau caudé. L'étroite base d 'insertion dulobe olfac
pement des éminences ganglionnaires, (Corps strié, Globus pallidus, Noyau amyqdalien, Avant-Mur.) de la Capsule interne e
ieur qui donne naissance au globus pallidus, à la lame cornée et au noyau amygdalien : il en résulte que la corne frontal
al (fig. 52 à 63). Le corps strié rudimentaire donnera naissance au noyau caudé, au putamen, au globus pallidus, à la lam
oyau caudé, au putamen, au globus pallidus, à la lame cornée, et au noyau amygdalien. Sa face libre fait une forte sailli
e, où cette partie libre du corps strié forme le collicuills du noyau caudé. (Voy. noyau caudé.) La plus grande parti
e libre du corps strié forme le collicuills du noyau caudé. (Voy. noyau caudé.) La plus grande partie du segment inte
e l'insula, et, le divisent en une partie intra-ventnicu- laire, le noyau caudé et une partie exlj,(i-veîil,icîilat*i-e, le
- laire, le noyau caudé et une partie exlj,(i-veîil,icîilat*i-e, le noyau lenticulaire. Lapartie intra-ventriculaire du c
noyau lenticulaire. Lapartie intra-ventriculaire du corps strié, ou noyau caudé(NC), présente une extrémité antérieure, r
u caudé(NC), présente une extrémité antérieure, renflée, la tête du noyau caudé située en avant du trou de Monro et de la
stance perforée antérieure. L'extrémité postérieure ou temporale du noyau caudé, en constitue la queue; elle est effilée,
elle se recourbe légèrement en arrière, et se renfle pour s'unir au noyau amyg- dalien. 8 tel'avez ^ftji^t--^'^'
vez ^ftji^t--^'^' La capsule interne divise le corys striu en noyau ('muté et nO'yal1'h'ntie111aÏl'1 \ov;m rwtdé.
el. - MB, masse blanche sous- ' jacente à l'écorce cérébrale. - NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NL3, putamon ou
e sous- ' jacente à l'écorce cérébrale. - NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NL3, putamon ou troisième segment du n
amygdalien. NC, noyau caudé. - NL3, putamon ou troisième segment du noyau lenticulaire. - nL, nerf de Lancisi. - ot, sillon
tie de la paroi externe du cerveau antérieur qui donne naissance au noyau caudé, au putamen, à l'écorce de l'insula et à l'
ie de la paroi externe du cerveau antérieure qui donne naissance au noyau caudé, au puta- men, à l'écorce de l'insula et
naire. - MB, masse blanche sous-jacente à l'écorce cérébrale. - A'C, noyau caudé. nu', queue du noyau caudé. - .VA., putam
ous-jacente à l'écorce cérébrale. - A'C, noyau caudé. nu', queue du noyau caudé. - .VA., putamen, ou troisième segment du n
nu', queue du noyau caudé. - .VA., putamen, ou troisième segment du noyau lenticulaire. - nL, nerfs de Lancisi. - 0, prem
al. - 1 ? troisième ventricule. 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Noyau lenticulaire. Capsule externe. Serment antéri
omprend plus particulière- ment le pzctanzera ou segment externe du noyau lenticulaire (NL3); le globus pallidus (GP) ou
aire (NL3); le globus pallidus (GP) ou segments interne et moyen du noyau lenticulaire, se déve- loppe, en effet, aux dép
mme une parcelle détachée de l'écorce insulaire. La séparation du noyau caudé et du noyau lenticulaire par les fibres de
détachée de l'écorce insulaire. La séparation du noyau caudé et du noyau lenticulaire par les fibres de la capsule inter
les fibres de la capsule interne n'est cependant pas complète ; le noyau caudé est en effet réuni au putamen par de nomb
encore plus intime à la base du cerveau, où la tète et la queue du noyau caudé, se fusionnent avec le noyau lenticulaire,
rveau, où la tète et la queue du noyau caudé, se fusionnent avec le noyau lenticulaire, Y avant-mur, le noyau <HMyy6/M
au caudé, se fusionnent avec le noyau lenticulaire, Y avant-mur, le noyau <HMyy6/MM, ainsi qu'avec la substance grise de
t d'avant en arrière et de dehors en dedans, et séparent la tôle du noyau caudé du noyau lenticulaire. Elles constituent le
rière et de dehors en dedans, et séparent la tôle du noyau caudé du noyau lenticulaire. Elles constituent le segment anté
peu en arrière, passent entre l'extrémité temporale de la queue du noyau caudé "^ et la face inférieure du noyau lenticu
té temporale de la queue du noyau caudé "^ et la face inférieure du noyau lenticulaire, et atteignent la partie inférieure
ptum lucidum ou cloison transparente, qui sépare les têtes des deux noyaux caudés (fig. 64). L'accollement des zones choro
l'étendue de la surface triangulaire, et donnent ainsi naissance à un noyau gris, médian et symétrique, qui prend un grand
crivent une courbe autour de la partie supérieure et postérieure du noyau caudé. Ils ne dépas- sent pas le trou de Monro
mée d'un ectoplasma clair et d'un endoplasma trouble et renferme un noyau ovalaire, volumineux, plus rap- proché de la me
t, se différencient très nettement des cellules épithéliales. Leurs noyaux , volumineux, sont les uns à l'état de repos, les
aires s'allongent et se compri- ment latéralement (fig. 72) ; les noyaux , plus petits, se placent à différentes hauteurs
couches strati- fiées sur les parties latérales du tube neural. Les noyaux des couches in- ternes, sont plus serrés les un
embryonnaire quelconque de Vertébré : une zone moyenne, la zone des noyaux , et deux zones latérales, claires et dépourvues d
la zone des noyaux, et deux zones latérales, claires et dépourvues de noyaux , dont l'interne porte, le nom de zone des colon
l'externe celui de voile marginal (Randschleier). (His) La zone des noyaux constitue Multiplication des cellules épithél
ion. Les trois zones du canal neural em- bryonnaire. Zone dos noyaux . Zone des colonnes. Voile marginal. Fw. 1J.
- surent chez l'embryon humain 10 au1 y., les grandes 13 à 1 ? le noyau des premières mesure de 4 à 5 y., celui des sec
cie nettement des cellules épithéliales environnantes (fig. 73). Le noyau de quelques cellules germinatives est à l'état
orpuscules chromatiques. Mais dans la plupart de ces cel- lules, le noyau présente les élégantes figures karyokinétiques, c
imprègne facilement par les réactifs co- lorants ; elle entoure les noyaux , forme à elle seule le prolongement central ou
f- fectent tous une disposition radiaire ; ils sont formés par un noyau ovalaire, présentant un réseau de chromatine et
blent constituer les prolongements. On peut ainsi rencontrer un noyau spongioblastique sur- monté de trois iL quatre
fondément si- tués. On peut également ren- contrer trois à quatre noyaux superposés, situés sur le trajet d'une fibre à
is.) ("G, cellules germinatives. La cellule de gauche présente un noyau en état de repos. Dlli, membrane limitante intern
chaîne de prolifération. - Mli, membrane limitante interne. - WCSp, noyau des corps spon- giolilastiques. - ZC, zone des
, aucune raison pour admettre l'existence d'une proli- fération des noyaux spongioblastiques. Les recherches récentes fait
les germi- natives typiques, sphériques ou ovalaires, présentant un noyau volumineux en état de karyokinèse, et entouré d
t des précédentes par voie de division cellulaire, et présentant un noyau allongé, irrégulier, mal délimité, entouré d'un
interne, la forme irrégulière et la richesse en chromatine de leur noyau , entouré partout d'une couche protoplasmique co
ment un peu plus avancé, ces cellules de tran- sitiou présentent un noyau nettement délimité, abandonnent la membrane lim
de matières colorantes et par la richesse en chromatine de leurs noyaux . Les neuroblastes une fois constitués, pré- s
ois constitués, pré- sentent un aspect pyriforme et renferment un noyau ovalaire peu riche en chromatine, qui s'imprègn
ême- ment mince et à peine visible autour de la moitié interne du noyau , se déjette sur la moitié externe, et y forme u
- ment du protoplasma, qui se déjette en s'eflilant sur un point du noyau pour constituer le cylindre-axe. La volumineuse
a vésiculeux des cellules germinatives, se déjette sur un côté du noyau pour contribuer à for- mer le neuroblaste. Il s
s toute la hauteur de la moelle, la largo colonne ininterrompue des noyaux d'origine des nerfs moteurs. Presque tous ces n
antérieures de la moelle. On'peut distinguer dans cette colonne de noyaux une partie médio- ventrale, la. zone de la co
facial. Plus en avant, la chaîne nucléaire est interrompue, et les noyaux d'ori- gine du moteur oculaire externe (vi° pai
tion morphologique et les fonctions sont tout autres que celles des noyaux pré- cédents. La racine motrice du trijumeau
es se portent par le chemin le plus court vers la face ventrale; le noyau du pathétique , situé dans la lame fondamen- ta
moins net- tement circonscrits. Ces îlots constituent donc les NOYAUX DE TERMINAISON de ces nerfs et non leurs 1tU
ur racines ou fibres centrales et s'aoGorisent librement dans leurs noyaux de terminaison. Les fibres périphériques des ga
ué par un nombre plus ou moins considérable de fibres dépourvues de noyaux , qui présentent au voisinage de leur origine un
nerf de Wris- berg est une longue racine caudale du ta- cial. Noyaux do termi- naison des racines postérieures.
r Ranvier, la cellule névro- glique adulte serait constituée par un noyau et un protoplasma; les pro- longements de la ce
s cellules épendymaires est cunéiforme ou fusiforme. Il renferme un noyau allongé ou arrondi, tou- jours situé au voisina
ôt la forme de cellules étoilées richement ramifiées, présentent un noyau volumineux, entouré d'un peu de protoplasma hom
91). Les cellules de la névroglie sont formées à cette époque d'un noyau insignifiant, entouré d'une mince couche de pro
e nerveuse pro- prement dite. A côté de cellules constituées par un noyau volumineux, à contours fort nets, entouré d'un
tions des prolongements très grêles, souvent ramifiés (fig. 95). Le noyau de ces cellules est toujours volumineux, et ren
strument tranchant comme dans les cas d'ablation de l'écorce ou des noyaux gris. Dans la méthode de Gudden, la fibre s'alt
les ramifica- tions arboriformes de Forel seules dégénèrent dans le noyau de terminaison du nerf sensitif (voy. p. 149);
s et les jeunes animaux, on voit l'atrophie se propager au delà des noyaux de terminaison du neu- rone dégénéré : il s'agi
nt, soit à un tassement des éléments cellu- laires contenus dans le noyau , soit à leur manque de fonctionnement. En effet
cylindres-axes sont t dégénérées, atrophiées et détruites, dans un noyau gris - que ce soit un noyau de la couche optiqu
érées, atrophiées et détruites, dans un noyau gris - que ce soit un noyau de la couche optique, un tubercule quadrijumeau,
oit un noyau de la couche optique, un tubercule quadrijumeau, ou un noyau de terminaison d'un nerf sensitif, - les cellul
ou un noyau de terminaison d'un nerf sensitif, - les cellules de ce noyau , qui constituent les cellules d'origine d'autre
ones, se rapprochent les unes des autres, au sur et à mesure que ce noyau se rétracte par suite de la disparition de son
érior (EcV); le nel/I'one IJ1lLbo-p7'oll/l)Ùanliel par la cellule des noyaux des cordons de Goll et de Burdach dont le cylin
nsversal. Ce sont des cellules aplaties, très minces, présentant un noyau volumineux, ovalaire, en voie de repos ou en ét
cellules connectives appliquées sur les fibres nerveuses et dont les noyaux sont seuls visibles. d, cellules lymphatiques.
ives enveloppant les 3/4 do la filtre ; l'une de ces cellules a son noyau en voie de di- vision, cette dernière est en pa
al.) a, fibre sans myéline à la surface de laquelle on voit des noyaux . - b et c, deux fibres sur lesquelles la myél
protoplasma est peu développé et no se voit qu'au voisinage du noyau . - d, un fibre dans la myéline s'est également
e myélino dans la masse de proto- plasma située au voisinage du noyau . HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 187 gueur de
nerf d'un enfant âgé de 10 jours. - a, segment intercalaire.-b, noyau . - c, protoplasma. - d, myéline développée
s, telles que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, de la substance ferrugineuse
i est située dans l'épaisseur de l'encéphale, con- stitue autant de noyaux de volume très inégal et de forme extrêmement v
se périphérique. Ganglions eCl'é- lraux ou cncyhali- ques, ou noyaux cen- traux. 192 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
blanche, comme la formation réticulée de la région de la calotte, les noyaux gris de l'étage antérieur de la protubérance, e
'une masse protoplasmique cubique, peu granuleuse; elle contient un noyau sphérique et volumineux, plus rapproché de la b
s aplaties et allongées, dont le corps mesure 20 à 25 u. et dont le noyau atteint 6 à 8 ? Ce noyau est en général sphériq
dont le corps mesure 20 à 25 u. et dont le noyau atteint 6 à 8 ? Ce noyau est en général sphérique et nettement délimité;
ois au voisinage immédiat de la masse protoplasmique qui entoure le noyau , et qui s'étend entre les pro- longements comme
la névroglie, et par une cellule aplatie, granu- leuse, munie d'un noyau , comparable aux cellules plates du tissu conjonct
trecroisent dans la masse cellulaire, et se perdent au voisinage du noyau , autour duquel elles circonscrivent souvent plusi
mcntaircsdupara- plasma. Réseau chromati- qncctkaryoptasma du noyau des cel- lules. Nucléolules. Les cellules n
lulaire, et se prolongent dans les dendrites, de telle sorte que le noyau représente le seul point clair de la cellule.
rte que le noyau représente le seul point clair de la cellule. Le noyau des cellules nerveuses est relativement volumineu
ne substance intermédiaire molle ou liquide, le ka1' ? foplasma. Le noyau , entouré d'une membrane très nette, riche en chro
rte d'une sorte de membrane très mince; quelques tubes possèdent un noyau saillant à leur surface et logé dans une masse
cylindre-axe. my, gaine do myéline. - g, enveloppe ln6riphlrirne ? c, noyau et protoplasma quo l'on observe à la surface de
ie moyenne d'un segment , intcrannulairc, soit avant, soit après le noyau de la gaine de Schwann. Ce fait pourrait être i
d'une capsule endothéliale et ne conte- nant en général qu'un seul noyau , dont le volume est en rapport avec celui de la
série de granulations, disposées en cercles concentriques autour du noyau . D'après Flemming, le corps cellulaire est form
18G î, d'une couche de cellules épithéliales polygonales, dont le noyau volumineux fait saillie à la face interne de la
occupe donc la partie centrale d'un segment intcr-annulaire, et les noyaux qui doublent sa capsule sont l'homo- logue du n
ulaire, et les noyaux qui doublent sa capsule sont l'homo- logue du noyau du segment inter-annulaire des nerfs périphérique
rine. ( D'après Ran- vier.) (', étranglement du tube en T. - n, noyau du premier segment de la branche cellulaire fin
ire fin T. ë. premier étranglement de la branche cellulaire. ttt, noyau ;mg ! ioni)an'c ? r,noyandc l'épithélium sous-c
capsule des cellules bipolaires ne présente, en général, qu'un seul noyau situé à sa face interne, et entouré d'une masse
yéline et s'épanouissant pour former la cellule ganglionnaire. - u, noyau de cette cellule. - y, gaine secondaire. - 91,
e secondaire. - 91, gaine de acI vaun épanouie sur la cellule. - a, noyau de la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES CEN
ltipolaires du névraxe. 11 n'est pas rare de les voir posséder deux noyaux volumineux, nettement déli- mités, plus ou moin
ormant cn 0 \ln nitl péri-cellulaire. s, capsule d'une cellule. Il, noyau d'une arborisation. C, cylindre-axe des fibres
raciens anoures sont unipolaires et encapsulées; elles possèdent un noyau volumineux, situé au sommet de la cellule et se
r-an- nulaires. Longueur des seg- ments inter-annulai- rcs. Noyau du segment intcr-annnlaire. Altérations cada-
s fonctions plus actives. Chaque segment inter-annulaire possède un noyau situé à peu près à égale distance des deux étra
près à égale distance des deux étrangle- ments qui le limitent. Ce noyau , légèrement aplati, est muni d'un nucléole et l
es colore à l'aide du picro-carminate d'ammoniaque, on voit que les noyaux des segments inter-annulaires ainsi que le cyli
ire de la cellule adipeuse, admet que le protoplasma qui entoure le noyau de chaque segment, double la membrane de Schwan
se continuerait avec la mince couche protoplasmique qui recouvre le noyau et double la face interne de la membrane de Sch
s de myéline, de diamètre variable et présentant à leur surface des noyaux ovalaires. Si on dissocie dans l'acide osmique
ceaux. De distance en distance, ces fibres sont recouvertes par des noyaux allongés et ovalaires et entourés d'une masse p
es à tort par certains auteurs comme des espaces Fibres de Remak. Noyaux des fibres do Remak. Différenciation dos fi
ien d'ana- logue à la membrane de Schwann. Pour le même auteur, les noyaux qui se trouvent sur les fibres de Remak n'appar
as à autant de cellu- les distinctes, et il serait possible que ces noyaux appartinssent à une masse protoplasmique unique
ne masse protoplasmique unique [et très étendue, sorte de cellule à noyaux multi- ples. Ranvier n'émet du reste cette hypo
anvier n'émet du reste cette hypothèse qu'avec réserve. D'après les noyaux appartiendraient, au contraire, à une sorte dégai
es par une seule fibrille nerveuse, le protoplasma qui entoure leur noyau se répand il leur surface et leur forme une sim
s fibrilles, il resterait une gangue protoplasmique possé- dant des noyaux et creusée de canaux parallèles (Ranvier). On voi
autre gaine entourant complètement cette dernière et présentant des noyaux sur sa face interne. Cette gaine a été désignée
ylindre-axe, au niveau de chaque étranglement inter-annulaire». Les noyaux que l'on voit à l'intérieur de la gaine de Henle
Elle est formée d'une masse granuleuse ren- fermant de nombreux noyaux de provenances diverses. Au voisinage de l'ém
n général les limites de l'éminence terminale. Quant aux nombreux noyaux de l'éminence terminale, ils sont grands, is
culaires et inter-cellulaires. 226 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Noyaux de l'émi- nence terminale. Variétés de pla-
u voisi- nage des premières ramifications ; ils con- stituent les noyaux cle l'arborisation de Ranvier,; les autres appa
appartiennent à la membrane qui recouvre l'éminence termi- nale : noyaux vaginaux de Ranvier; les au- tres enfin apparti
tiennent à la substance gra- nuleuse fondamentale de l'éminence : noyaux fondamentaux de Ranvier. Les plaques motrices s
pe il plusieurs couches hyalines concentriques, renfermant quelques noyaux . Le nerf sensitif. en abordant t le corpuscule,
t entourées d'un grand nombre de cellules marginales, présentant un noyau volumineux aplati de haut en bas. Tour à tour r
e, ana- logue à celle de la gaine lamelleuse des nerfs, et dont les noyaux volumineux sont saillants dans l'intérieur de l
lon du lobule lingual. - 22F,, circonvolution frontale interne. - NC, noyau caude. ot, sillon collatéral. Parc, lobule para
l (fig. 183). D'après quelques auteurs, elle se terminerait dans le noyau amygdalien,. l'anatomie comparée montre qu'elle
le de Broca tra- verse l'espace perfo- ré antérieur. La tête du noyau caudé fait saillie a la base du cerveau. Tr
e perforé antérieur fait partie de la face inférieure de la tête du noyau caudé (CNC) ; elle se prolonge à. la face inter
(NL,, NL2), la partie externe à la face inférieure du 3" segment du noyau lenticulaire (NL3) ; mais, tandis que la tète du
" segment du noyau lenticulaire (NL3) ; mais, tandis que la tète du noyau caudé fait directement saillie à la base du cerve
une lame de substance grise, le globus pallidus et le 3" segment du noyau lenticulaire sont séparés de la lame grise qui re
nt en partie lasub.stancc innommée de 7 ? e/c/« ? < et l'anse du noyau lenticulaire. (Voy. plus loin Coupes macro et mic
limbique. - Lg, lobule lingual. mp, sillon marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. - oP,(G¡'), partie orbitaire de la
ue avec le ventricule latéral, immédiatement en avant de la tête du noyau caudé. Plus tard, la cavité s'oblitère ; la bas
l, immédiatement en avant de l'extré- mité antérieure de la tète du noyau caudé. Chez les animaux dits anosmaliques par B
yonnaire. - Lg, lyre ou psaJterium. - No, nodule du cervelet. - Nt, noyau du toit du cervelet. - P, pied du pédoncule cér
iliers antérieurs du trigone et du faisceau de Vicq d'Azyr, et d'un noyau gris central, qui se continue en haut avec la s
le, qui tapisse le fond du ventricule moyen. Gudden a montré que ce noyau central renferme deux groupes cellulaires, l'un
ostérieur, l'entrecroisement du pédoncule cérébelleux supérieur, le noyau de la IVe paire et le tamia pontis. (Méthode de W
ieur. - Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locus niger. - N1V, noyau de la quatrième paire. - NQp, noyau du tubercul
ulaire. - Ln, locus niger. - N1V, noyau de la quatrième paire. - NQp, noyau du tubercule quadrijumeau postérieur. 7', étage
trouve, en outre, d'importants faisceaux de fibres nerveuses et un noyau volumineux bien circonscrit, le noyau rouge de
aux de fibres nerveuses et un noyau volumineux bien circonscrit, le noyau rouge de Stilling (NR, fig. 193) situé de chaque
ns inférieures de la calotte du pédoncule, on trouve, à la place du noyau rouge, le pé- doncule cérébelleux supérieur ou
à la place du noyau rouge, le pé- doncule cérébelleux supérieur ou noyau blanc de Stilling (Pcs, fig. 189). De chaque cô
de Stilling (Pcs, fig. 189). De chaque côté du raphé, en arrière du noyau rouge ou du pédon- cule cérébelleux supérieur,
sinage duquel on trouve, dans la région pédonculaire inférieure, le noyau d'origine du nerf pa- thétique (4e paire) (NI\"
re) (NI\" fin. 189) et dans la région pédonculaire supé- rieure les noyaux d'origine du nerf moteur oculaire commun (3° pair
f moteur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). En dehors du noyau rouge (NR) ou du pédoncule cérébelleux supérieur,
partie antérieure ou interne est comprise entre le locus niger et le noyau rouge; sa partie postérieure ou externe apparaî
cérébel- leux supérieur. Faisceau longitu- dinal postérieur. Noyaux de la troi- sième et de la qua- trième paires
ercules quadrijumeaux an- térieurs, le corps genouillé interne, les noyaux rouges, le noyau de la troisième paire, ., le t
aux an- térieurs, le corps genouillé interne, les noyaux rouges, le noyau de la troisième paire, ., le tubercule mamillai
Brqp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur.- CNR, cap- sule du noyau rouge. - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop, fa
ur. - FM, faisceau rètrof1exe de Meynerl. . Ln, locus niger. - /Vm, noyaux de la troisième paire; (na,nc), noyaux antérieur
l. . Ln, locus niger. - /Vm, noyaux de la troisième paire; (na,nc), noyaux antérieur et central; nEIV, noyau de Westphal-E
de la troisième paire; (na,nc), noyaux antérieur et central; nEIV, noyau de Westphal-Edingcr. - NR, noyau rouge de Stillin
noyaux antérieur et central; nEIV, noyau de Westphal-Edingcr. - NR, noyau rouge de Stilling. - P, étage inférieur ou pied
s'insère l'épendyme ventriculaire. le, lame cornée. - NC, tronc du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - l', pied du
culaire. le, lame cornée. - NC, tronc du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - l', pied du pédoncule. - Pcs, pédoncul
cule. Sillon de Monro. ".Septum lucidum. Couche optique et noyau caudé. l'hémisphère. Ces organes, étendus du si
nglions de substance grise, la couche optique (Th) en dedans, et le noyau caudé ou noyau izztra-zezztriculcciwr du corps
tance grise, la couche optique (Th) en dedans, et le noyau caudé ou noyau izztra-zezztriculcciwr du corps strié, en dehor
bryon- naire. Ly, lyre ou psalterium. - No, nodule du cervelet. Nt, noyau du toit du cervelet. - P, pied du pédoncule cér
psule interne et couronne rayon- nante. Les trois segments du noyau lenticu- ]aire. Capsule externe et avant-mu
ules latéraux (VI) ou premier et deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé, séparé de la couche optique par un petit
che optique par un petit sillon dit sillon intermédiaire à ces deux noyaux ou sillon opto-strié (si), fait saillie dans le v
leux (Ce), en bas par le trigone (Tg), la couche optique (Th) et le noyau caudé (NC), en dedans par le septum lucidum (SI),
(SI), et en dehors par un angle aigu, résultant de l'accolement du noyau caudé et du corps calleux. Ces ventricules, dan
aire des trous de Monro (TM) (fig. 19a, 198). La face inférieure du noyau caudé et la face externe de la couche optique,
la masse blanche des hémisphères (CO), le long du bord supérieur du noyau caudé, pour former la couronne rayonnante ou le
and soleil de Reil, dont la base, légèrement étranglée au niveau du noyau caudé, est connue sous le nom de pied de la cou
ayonnante (pCI3). La capsule interne sépare la couche optique et le noyau caudé d'un troisième noyau de substance grise,,
e interne sépare la couche optique et le noyau caudé d'un troisième noyau de substance grise,, de forme triangulaire, qui n
n avec aucune cavité ventriculaire, et qui est connu sous le nom de noyau lenticulaire (NL, LN2, NL,), ou noyau C.z7/'f<
qui est connu sous le nom de noyau lenticulaire (NL, LN2, NL,), ou noyau C.z7/'f<-ï.'<'M ? C/a'C6M corps strié. Il
s de dedans en dehors sous le non deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. Le troisième segment ou putamen (
aire. Le troisième segment ou putamen (NL3) est intimement uni . au noyau caudé par de nombreux ponts de substance grise qu
t la capsule interne ; il présente la même coloration foncée que le noyau caudé, la même structure, la même origine embry
n (Voy. Embryogénie, p. 110 à '119). Sur la face externe ou base du noyau lenticulaire (NL3), on trouve, appliquées de de
rne du thalamus. - lc, lame cornée. - Ime, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du n
aire externe du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. DIoV3, membrane obturatrice du troi
laire. DIoV3, membrane obturatrice du troi- sième ventricule. - NA, noyau amygdalien. Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe
rice du troi- sième ventricule. - NA, noyau amygdalien. Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NC
, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NC', queue du noyau caudé. - NL, nerf de Lancisi. - i\L3,-2, noyau le
mus. - NC', queue du noyau caudé. - NL, nerf de Lancisi. - i\L3,-2, noyau lenticulaire et ses trois segments. - OF, faisc
rié, lui a valu le nom de lobule du corps , strié. Les trois gros noyaux de la base du cerveau, sont encore décrits sous .
veau, sont encore décrits sous . le nom de corps opto-strie's ou de noyaux centraux des hémisphères ; ils appartiennent au
ôté opposé (lig. 199). Les formes, les connexions, les rapports des noyaux gris centraux soit - entre eux, soit avec la ca
° Ventricule moyen ou troisième ventricule. 6° Corps oplo-striés ou noyaux centraux. 7° Capsule interne. 1° Corps calleu
ère circonvolution limbique. - Il, lame terminale embryonnaire. NC, noyau caudé. l', étage inférieur ou pied du pédoncule c
interne de la première circonvolution frontale. - NC (T), tronc du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - OF, faisce
volution frontale. - NC (T), tronc du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal.- pcn, pic
), et se terminent, ainsi que Gudden et Forel l'ont montré, dans le noyau gris central de ce tubercule. Toute la partie d
lle de la corne d'Ammon (substance réticulée d'Arnold). NC', lueue du noyau caudé.-Ne, noyau externe du thalamus.As, 3, NL»
mmon (substance réticulée d'Arnold). NC', lueue du noyau caudé.-Ne, noyau externe du thalamus.As, 3, NL», troisième et deux
yau externe du thalamus.As, 3, NL», troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. ot, scissure collatérale. l', pie
mon (substance réticulée d'Arnold). Ln, locus niger. - Nu, queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, NI N
réticulée d'Arnold). Ln, locus niger. - Nu, queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, NI NLI troisième deux
du thalamus. NL3, NI NLI troisième deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - JV/f, noyau rouge. - ol, scissu
oisième deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - JV/f, noyau rouge. - ol, scissure collatérale. - P, pied du p
rne frontale proprement dite, embrasse dans sa concavité la tète du noyau caudé (NC); elle est d'aspect semi-lunaire, et
large en avant, étroit en arrière; sa paroi externe, par la tête du noyau caudé (NC), sur laquelle on rencontre, sous la
de la corne frontale, en avant de la partie recourbée de la tête du noyau caudé. La moitié postérieure de l'étage supérie
cérébral; son bord externe répond à la rencontre du bord externe du noyau caudé (NC) avec le corps calleux (fig. 122). La
e ; on y rencontre de dehors en dedans : 1° le corps et la queue du noyau caudé (NC, NC) ; 2° un sillon intermédiaire au
et la queue du noyau caudé (NC, NC) ; 2° un sillon intermédiaire au noyau caudé et à la couche optique, le sillon opto-stl'
ncher du ventricule latéral, et fait suite à la volumineuse tête du noyau caudé logée dans la corne frontale ; la queue se
ion de la voûte de la corne sphénoïdale (fig. 209). 2° En dedans du noyau caudé on trouve la couche optique (Th), dont la
nt la blancheur relative contraste avec la teinte gris-rougeàtre du noyau caudé. Le tiers externe de la face supérieure d
e interne de la première circonvolution frontale. - NC(T), tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. OF, faisceau
onvolution frontale. - NC(T), tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. OF, faisceau occipito-frontal. - pCli, pie
e n'est pas lisse et régulière; elle correspond en grande partie au noyau externe de ce ganglion (Ne) et présente en avan
ieur de la couche optique, constitué par la partie saillante de son noyau antérieur (Na) (fig. 213). 3° Le sillon opto-st
, chemin faisant, toutes les veines du corps strié et de la tète du noyau caudé, quitte la lame cornée au niveau du tuber
nt, la voûte de la corne sphénoïdale, peuvent être suivies jusqu'au noyau amygdalien, (\'.1), situé dans la circonvolution
la bandelette demi- circulaire (le), que l'on peut suivre jusqu'au noyau amygdalien (NA), et un FIG. 209. - Paroi inféri
age inférieur du ventricule latéral droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, couronne rayonnante et faisceau uncinatu
pédoncule cérébral. cm, sillon calloso-marginal. CNC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. - Csg, couche
épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse blanche du lobe fronta
ire. - LF, lobe frontal. LO, lobe occipital. - LT, lobe temporal. NA, noyau amygdalien. Na, noyau antérieur du thalamus. -
LO, lobe occipital. - LT, lobe temporal. NA, noyau amygdalien. Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tète du noyau caudé.
A, noyau amygdalien. Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - t'C", parti
yau antérieur du thalamus. - NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - t'C", partie recourbée de la queue du no
NC', queue du noyau caudé. - t'C", partie recourbée de la queue du noyau caudé. pCR, pied de la conronne rayonnante. Pul
latéral. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. z peu plus en dehors, la queue du noyau caudé (NC'), masquée souvent par une mince couc
s. Contiguë en arrière à la bandelette demi-circulaire, la queue du noyau caudé s'en sépare en avant, et s'unit, au nivea
queue du noyau caudé s'en sépare en avant, et s'unit, au niveau du noyau amygdalien, au troisième segment du noyau lenticu
, et s'unit, au niveau du noyau amygdalien, au troisième segment du noyau lenticulaire. (Voy. Coupes sagittales macroscop
res de longueur, étendu du bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), au noyau amygdalien (NA), et décrit une courbe à concavité
se de Henle. Ly, lyre ou psalterium. - No, nodule du cervelet. 11'l, noyau du toit du cervelet. l', pied du pédoncule cérébr
lame médullaire externe du thalamus. tme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lini, lame médullaire interne du
ire externe du noyau lenticulaire. lini, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - DloT'3, membrane obturatrice du t
ire. - DloT'3, membrane obturatrice du troi- sième vcntriculc.-N,1, noyau amygdalien. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, exter
ice du troi- sième vcntriculc.-N,1, noyau amygdalien. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus,- 11'
noyaux antérieur, externe et interne du thalamus,- 11'C', queue du noyau caudé. - NL, nerf de Lancisi. - NL"NL"NL" noyau l
s,- 11'C', queue du noyau caudé. - NL, nerf de Lancisi. - NL"NL"NL" noyau lenticulaire et ses trois segments. OF, faiscea
érieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête , du noyau ca
r et postérieur. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête , du noyau caudé. -onc ? queue du noyau caudé. NC", partie
antérieur du thalamus. - NC, tête , du noyau caudé. -onc ? queue du noyau caudé. NC", partie recourbée delà queue du noya
é. -onc ? queue du noyau caudé. NC", partie recourbée delà queue du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. Pclel,
rement dits de Willis, qui correspondent à la plus grande partie du noyau caudé. 2° Les c01'pom slniata superiora posteri
s cOl'pom striata inferna exteriora et posteriom qui correspondent au noyau len- ticulaire. 4" Les corpom striata infe1'1
. 4" Les corpom striata infe1'11a exteriora et anteriora séparés du noyau lenticulaire par la commissure blanche antérieu
rrespondre à la partie inférieure et sous-épendymaire de la tête du noyau caudé. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 369 5o Les corp
lenom décapsule interne. Pour Reil le corps strié comprenait trois noyaux , les nuclei caudatus, lentiformis et tseniaform
apsule interne, comme la paroi interne d'une cap- sule contenant le noyau lenticulaire et dont la paroi externe ou capsule
e et dont la paroi externe ou capsule externe était située entre le noyau lenticulaire et le nucléus tteniaformis. Ce derni
1° La couche optique ou thalamus. 2° Le corps strié formé de deux noyaux : A. Le noyau lenticulaire ou portion externe d
tique ou thalamus. 2° Le corps strié formé de deux noyaux : A. Le noyau lenticulaire ou portion externe du corps strié de
yau lenticulaire ou portion externe du corps strié de Vicq [d'Azyr ou noyau extra-ventriculaire du corps strié. B. Le noy
e Vicq [d'Azyr ou noyau extra-ventriculaire du corps strié. B. Le noyau caudé ou portion interne et supérieure du corps s
caudé ou portion interne et supérieure du corps strié de Vicq d'Azyr; noyau intra-ventriculaire du corps strié, éminence py
el).../ ? ii;;\ \0 v , A. CORPS STRIÉ Considéré dans sa totalité ( noyau caudé et noyau lentictilaii,6 ? strié forme une
\0 v , A. CORPS STRIÉ Considéré dans sa totalité (noyau caudé et noyau lentictilaii,6 ? strié forme une masse grise ov
stries ou de gros faisceaux blancs, et le divise en deux parties ou noyaux , l'un supérieur et interne, le noyau intra-vent
le divise en deux parties ou noyaux, l'un supérieur et interne, le noyau intra-ventriculaire du corps strié ou noyau caudé
upérieur et interne, le noyau intra-ventriculaire du corps strié ou noyau caudé, l'autre inférieur et externe, le noyau e
ire du corps strié ou noyau caudé, l'autre inférieur et externe, le noyau extra-ventriculaire du corps strié ou noyau len
inférieur et externe, le noyau extra-ventriculaire du corps strié ou noyau lenticulaire. La séparation de ces deux noyaux
ire du corps strié ou noyau lenticulaire. La séparation de ces deux noyaux n'est pas complète, ils sont en effet intimemen
rps itrici. La. capsule interne divise le corps strié en deux noyaux . 30 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Forme du
rié en deux noyaux. 30 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Forme du noyau caudé. unique située au-dessous du segment an
essous du segment antérieur de la capsule interne. , En arrière, le noyau lenticulaire ne dépasse guère le sillon postérieu
lenticulaire ne dépasse guère le sillon postérieur de l'insula; le noyau caudé, au contraire, s'effile, se recourbe en ava
phénoïdal du ventricule latéral, où il s'unit a la face inférieure du noyau lenticulaire, au noyau amygdalien, et à Y avant
atéral, où il s'unit a la face inférieure du noyau lenticulaire, au noyau amygdalien, et à Y avant-mur (fig. 214 et 215).
ticulaire, au noyau amygdalien, et à Y avant-mur (fig. 214 et 215). Noyau caudé. Le noyau caudé ou noyau intra-ventriculair
yau amygdalien, et à Y avant-mur (fig. 214 et 215). Noyau caudé. Le noyau caudé ou noyau intra-ventriculaire du corps str
et à Y avant-mur (fig. 214 et 215). Noyau caudé. Le noyau caudé ou noyau intra-ventriculaire du corps strié, apparaît du
t d'une émi- FiG. 214. - Représentation schématique du corps strié ( noyau caudé et noyau lenticu- ... laire) et de son un
FiG. 214. - Représentation schématique du corps strié (noyau caudé et noyau lenticu- ... laire) et de son union avec le noy
é (noyau caudé et noyau lenticu- ... laire) et de son union avec le noyau amygdalien et la substance perforée antérieure.
on avec le noyau amygdalien et la substance perforée antérieure. Le noyau caudé est coloré en rouge, le noyau lenticulaire
bstance perforée antérieure. Le noyau caudé est coloré en rouge, le noyau lenticulaire en bleu. NA, noyau amygdalien. - N
noyau caudé est coloré en rouge, le noyau lenticulaire en bleu. NA, noyau amygdalien. - NC, tète du noyau caudd. - NC', tro
le noyau lenticulaire en bleu. NA, noyau amygdalien. - NC, tète du noyau caudd. - NC', tronc et queue du noyau caude. NC
noyau amygdalien. - NC, tète du noyau caudd. - NC', tronc et queue du noyau caude. NC", extrémité antérieure recourbée de l
du noyau caude. NC", extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé. Ni, noyau len- ticulaire. - CNC, collicu
. NC", extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé. Ni, noyau len- ticulaire. - CNC, colliculus du noyau caud
ueue du noyau caudé. Ni, noyau len- ticulaire. - CNC, colliculus du noyau caudé.- El', ligne correspondant au point de réfl
ventriculaire et séparant la partie intra-ventriculaire de la tète du noyau caudé située au-dessus, de la partie extra-vent
es circonvolutions orbitaires. p, ponts de substance grise reliant le noyau caudé au noyau lenticulaire. Les lignes vertica
s orbitaires. p, ponts de substance grise reliant le noyau caudé au noyau lenticulaire. Les lignes verticales xx et 55, div
me et dont la limite postérieure est comprise entre le pédoncule du noyau lenticulaire (PNG,) et le noyau amygdalien (NA).
est comprise entre le pédoncule du noyau lenticulaire (PNG,) et le noyau amygdalien (NA). * La ligne horizontale y-/ qui
encore des libres qui passent en Cip', entre la face inférieure du noyau lenticulaire et l'extrémité antérieure recourbé
yau lenticulaire et l'extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé (NC"). Ces libres appartiennent, au faiscea
plus de 3 millimètres dans la portion réfléchie. On considère au noyau caudé deux faces, deux bords et deux extrémités.
son grand diamètre. Cette face est supérieure au niveau du tronc du noyau caudé, et répond à la face inférieure du tronc du
lleux (fig. 213). Au niveau du carrefour ventriculaire, la queue du noyau caudé se dirige en bas, en avant et en dehors,
répond dans toute son étendue à la capsule interne qui la sépare du noyau lenticulaire. Au niveau de la tête, elle est légè
rs en de- dans (fig. 241 à 245). Elle envoie au segment' externe du noyau lenticu- laire, dont la face supérieure lui est
hérente devient supéro-externe;. elle déborde le bord postérieur du noyau lenticulaire et en est séparée par le segment r
49 à.257), au-dessous de la face inférieure du troisième segment du noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une zon
s microscopiques, fig, 285, 286, 308 et 310.) .. Le bord externe du noyau caudé est à peu près rectiligne et correspond,
age inférieur du ventricule latéral droit. Carrefour ventriculaire, noyau caudé, couronne rayonnante et faisceau uncinatu
pédoncule cérébral. cm, sillon calloso-marginal. : CNC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. Csg, couche sa
épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse blanche du lobe fronta
re. LF, lobe frontal. LO, lobe occipital. LT, lobe temporal. JV<4, noyau amygdalien. Na, noyau antérieur du thalamus. NC
, lobe occipital. LT, lobe temporal. JV<4, noyau amygdalien. Na, noyau antérieur du thalamus. NC, tête du noyau caudé. N
t;4, noyau amygdalien. Na, noyau antérieur du thalamus. NC, tête du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NC", partie
noyau antérieur du thalamus. NC, tête du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NC", partie recourbée de la queue du noy
é. NC, queue du noyau caudé. - NC", partie recourbée de la queue du noyau caudé. pCR, pied de la couronne rayonnante. Pul
e diagonale de Broca, saillie connue sous le nom de colli- culus du noyau caudé (CNC) (lig. 281). L'extrémité postérieure
suivie jusqu'à l'extrémité antérieure de la cavité ventriculaire. Noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire ou noyau ext1
émité antérieure de la cavité ventriculaire. Noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire ou noyau ext1'a-ventl'i- crtlaire
cavité ventriculaire. Noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire ou noyau ext1'a-ventl'i- crtlaire du corps strié, situé
-ventl'i- crtlaire du corps strié, situé au-dessous et en dehors du noyau caudé, répond, assez exactement par sa situatio
tales, soit sagittales du cerveau. Considéré dans son ensemble, le noyau lenticulaire apparaît sous la forme d'un coin,
e externe est lisse et facile à énucléer ; elle ne donne La tête du noyau caudé fait saillie à la base du cerveau. La
queue n'est visi- ble qu'en partie dans le ventricule latéral. Noyau lenticulaire. Il répond l'in- sula. Sa face
ues, le sang peut décoller la capsule externe de la face externe du noyau lenticulaire, mais il n'existe ici ni fente vér
pond dans toute son étendue à la capsuleinterne. Elle est reliée au noyau caudé par de nom- breux ponts de substance gris
qui occupe le segment externe du pied du pédoncule et qui sépare le noyau lenticulaire, du tapetum (Tap), de la queue réflé
e le noyau lenticulaire, du tapetum (Tap), de la queue réfléchie du noyau caudé (ni), du taenia semi-circularis (le) et d
extrémité antérieure de la corne sphénoïdale, la face inférieure du noyau lenticulaire s'unit intimement au noyau amygda-
dale, la face inférieure du noyau lenticulaire s'unit intimement au noyau amygda- lien (NA) (fig. 248) et à l'extrémité a
NA) (fig. 248) et à l'extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé (NC"), par une lamelle de substance grise v
e grise volumineuse et constante connue sous le nom de pédoncule du noyau lenticulaire (PNL) (fig, 247). Plus en avant, l
pédoncule du noyau lenticulaire (PNL) (fig, 247). Plus en avant, le noyau lenticulaire est séparé de l'espace per- foré a
ts : la partie externe de la commissure antérieure (coa), l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le pédoncule infào-inte1'7
couche optique (PiTh) (fig. 244 à 246). Au niveau du colliculus du noyau caudé (CNC), la face inférieure du noyau lentic
Au niveau du colliculus du noyau caudé (CNC), la face inférieure du noyau lenticulaire repose sur l'écorce du pli falciform
ig. 281). Enfin au niveau de la face orbi- taire du lobe frontal le noyau lenticulaire (NL3) intimement uni au noyau caud
taire du lobe frontal le noyau lenticulaire (NL3) intimement uni au noyau caudé (NC), repose sur la masse blanche de ce l
terne et le faisceau uncinatus (Fu) (fig. 242 et 243). Les bords du noyau lenticulaire sont supérieur, inférieur et interne
ure, ainsi que le montrent les coupes sagittales, sur lesquelles le noyau lenticulaire apparaît sous la forme d'une lentill
t forme un angle obtus ouvert en dehors qui correspond au sommet du noyau lenticulaire. Cette forme du bord interne oblig
En avant du genou, le MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 375 bord interne du noyau lenticulaire se porte en dehors et en avant, il e
noyau lenticulaire se porte en dehors et en avant, il est séparé du noyau caudé (NC) par le segment antérieur ou segment Je
es cerveaux frais ou durcis dans les bichro- mates, montrent que le noyau lenticulaire n'est pas homogène comme le noyau
tes, montrent que le noyau lenticulaire n'est pas homogène comme le noyau caudé, mais qu'il est formé de trois segments con
s de substance blanche, les lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire (lme, lmi), segments qui se distin-
comme 1\'er- nicke l'a montré, la même origine embryonnaire que le noyau caudé; il porte depuis Burdach le nom de putame
le verrons plus loin, l'analogue de l'écorce grise et s'unit seul au noyau caudé. Les deux autres segments plus petits, pâ
t que sur les coupes qui intéressent les parties les plus larges du noyau lenticulaire. Ils forment le globus pallidus de
le globus pallidus de Burdach, ou les segments moyen et interne du noyau len- e; titulaire (nul, NL,) ; le segment moyen
pes vertico- transversales'qui intéressent les premières couches du noyau lenticulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 243). Il fo
, 242, 243). Il forme à lui seul l'extrémité postérieure effilée du noyau lenticulaire. A ce niveau, il est dissocié en un
interne (Cirl), et s'unissent à la portion réfléchie de la queue du noyau caudé (NC") (fig. 214, 224 à 230. 2;il à 255 et
ig. 214, 224 à 230. 2;il à 255 et 273-274). Lorsque l'on prépare le noyau lenticulaire par dis- sociation ou lorsqu'on l'
s- versales, ces prolongements donnent à l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire et à la face supéro-interne du put
tamen, un aspect pectine par- ticulier. L'extrémité antérieure du noyau lenticulaire est exclusivement formée par le pu
exclusivement formée par le putamen (NI,,), qui envoie à la tête du noyau caudé de nombreuses travées grises qui sillonne
umineuse, se soude directement à la partie inférieure de la tête du noyau caudé, et présente un véritable pont jeté d'un no
de la tête du noyau caudé, et présente un véritable pont jeté d'un noyau à l'autre, Le noyau lenticu- laire est formé
caudé, et présente un véritable pont jeté d'un noyau à l'autre, Le noyau lenticu- laire est formé de trois segments.
ibres du corps strié. Lames médullaires interne et externe du noyau lenticulaire. Fibres radiées. Couche optique
sule interne (Cia). - Sur les coupes vertico-transversales les deux noyaux affectent la forme d'un U majuscule, dont la co
antérieure du corps strié, exclusivement constituée par la tête du noyau caudé (NC) (lig. 240 à 242). Le corps strié d
érents systèmes. Les unes entrent dans la constitution de l'anse du noyau lenticu- laire, les autres relient le corps str
r (basales VurderhirnbÜndel) (loy. t. 11). Ces fibres traversent le noyau lenticulaire en deux sens, les unes affec- tent
l et forment les lames médullaires interne et externe (lme, lmi) du noyau lenticulaire. Les autres se portent de dehors en
ie nettement , MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. : 7 -i la couche optique du noyau caudé. Cette face est limitée en dehors par le
eur et médian. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête du noyau caud
eur et postérieur. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. j NC", partie
yau antérieur du thalamus. - NC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. j NC", partie recourbée de la queue du n
. NC', queue du noyau caudé. j NC", partie recourbée de la queue du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. l'chl,
ans le sillon opto-strié et par la portion réfléchie de la queue du noyau caudé; il est embrassé par les plexus choroïdes
ntérieure et se loge en grande partie dans la concavité de la tète du noyau caudé. Les coupes horizontales montrent qu'elle
es montrent qu'elle émet un faisceau volumi- neux, qui la sépare du noyau caudé et qui constitue la plus grande partie de
tage supérieur ou calotte du pédoncule cérébral. Elle renferme deux noyaux gris nettement délimités : le corps de Luys (CL)
ttement délimités : le corps de Luys (CL) en avant et en dehors, le noyau rouge (NR) en arrière et en dedans. Le corps de L
la région sous-thalamiquede la capsule interne (fig. 229, 230). Le noyau rouge représente un petit corps sphérique, qui ap
e et qui est entouré d'une couche de fibres blanches, la capsule du noyau rouge. Le -t corps de Luys et le noyau rouge so
bres blanches, la capsule du noyau rouge. Le -t corps de Luys et le noyau rouge sont séparés de la face inférieure de la
décrites par Forel et qui se confond en arrière avec la capsule du noyau rouge : c'est le champ de Forel (r) (Feld H, Fo
lobe frontal, se dirige en arrière et en dedans, sépare la tète du noyau caudé du noyau lenticulaire, forme le segment ant
se dirige en arrière et en dedans, sépare la tète du noyau caudé du noyau lenticulaire, forme le segment antérieur de la
e antérieur elle pulvinar, on peut reconnaître, avec Burdach, trois noyaux dans la masse grise qui constitue la couche optiq
is noyaux dans la masse grise qui constitue la couche optique. Un noyau interne qui répond au ventricule moyen, un noyau
couche optique. Un noyau interne qui répond au ventricule moyen, un noyau externe qui répond à la capsule interne et un n
icule moyen, un noyau externe qui répond à la capsule interne et un noyau antérieur ou supérieur, le plus petit des trois
éral, où il forme le tubercule antérieur de la couche optique. Le noyau externe est séparé des noyaux antérieur et intern
ule antérieur de la couche optique. Le noyau externe est séparé des noyaux antérieur et interne par une lame de substance
angle supéro-interne, se confond avec le stralum zonale et isole du noyau interne le petit noyau antérieur (Voy. Coupes h
e confond avec le stralum zonale et isole du noyau interne le petit noyau antérieur (Voy. Coupes horizontales et vertico-tr
et vertico-transversales miCroscopiques, fig.. 28 i, 304-305). Ces noyaux ne constituent cependant pas des masses distinc
effet par places et ne présentent pas alors de limites distinctes. Noyau antérieur ou supérieur (\Ta).-Sur les coupes sagi
. Noyau antérieur ou supérieur (\Ta).-Sur les coupes sagittales, le noyau antérieur présente une forme analogue à celle d
gittales, le noyau antérieur présente une forme analogue à celle du noyau caudé (Burdach). Plus ou moins volumineux suiva
doncule pos- térieur. Zone réticulée ou grillagée d'Arnold. f Noyaux du thala- mus et lame médul- aire interne.
du thala- mus et lame médul- aire interne. 1 I I 1 , Noyau antérieur ! ou supérieur. ! 1 382 ANATOMIE
térieur ! ou supérieur. ! 1 382 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Noyau externe, lame médullaire ex- terne et fibres
ire ex- terne et fibres ra- (liés. 1 Champ de Wcr- nickc. Noyau interne. D GanpUoadcl'hab6- nula et fascicu
ncrt. Centre médian de Lny". s. co la sépare nettement des noyaux externe et interne. Il reçoit au niveau de ; sa
à la façon d'un enton- noir, et le relie au tubercule mamillaire. Noyau externe (Ne). - Le noyau externe, le plus long, s
noir, et le relie au tubercule mamillaire. Noyau externe (Ne). - Le noyau externe, le plus long, s'étend en avant jusque
de l'extrémité antérieure du thalamus, en dehors et au-des- sous du noyau antérieur ou supérieur; en arrière, il se continu
e médullaire interne, dans la plus grande partie de son étendue, le noyau externe se confond en avant avec le noyau antérie
partie de son étendue, le noyau externe se confond en avant avec le noyau antérieur, près de la face supérieure de la cou
che optique, dans la région du faisceau de Vicq d'Azyr, où ces deux noyaux ne font qu'une seule masse. En de- hors il est
ation spéciale, rougeâtre JI0' et pâle, le distinguent nettement du noyau interne, plus foncé et de colo- '1 ration grisâ
t forment le champ de Wernicke (W.) (fig. 303-310 et 319-326). Au noyau externe se rattache le corps genouillé externe (C
pulvinar. Sa coupe présente un aspect lamelleux caractéristique. Noyau , interne (Ni). Situé en dedans de la lame médulla
au, interne (Ni). Situé en dedans de la lame médullaire interne, le noyau interne, moins long que l'externe, dont il ne pré
l'extrémité antérieure de la couche optique, n'intéressent que les noyaux externe et antérieur. Recouvert par la substance
e Meynert (FM). C'est il la partit; supérieure et postérieure de ce noyau interne, que se trouve situé le petit ganglion
7, 318). Luys a décrit en outre dans la couche optique un quatrième noyau , le centre médian de Luys (Nm), profondément en
de Luys (Nm), profondément enclavé dans la couche optique entre le noyau rouge, le noyau interne elle noyau externe, et ca
rofondément enclavé dans la couche optique entre le noyau rouge, le noyau interne elle noyau externe, et caractéristique
dans la couche optique entre le noyau rouge, le noyau interne elle noyau externe, et caractéristique par sa richesse en
éristique par sa richesse en fibres. Nous avons vu plus haut que ce noyau fait partie chez le foetus du troisième ventric
en arrière et au-dessous du centre médian'de Luys et au-dessous du noyau externe, au voisinage immédiat de la région sous-
externe, au voisinage immédiat de la région sous- optique, un petit noyau aplati de haut en bas et légèrement concave, c'es
bas et légèrement concave, c'est 1 . MOUPHOLOGIECËRËHHALE. 383 le noyau semi-lunaire de Flechsig (Schalenfôrmiger Korper)
de capsule interne une lame de substance blanche comprise entre le noyau lenticulaire d'une part, le noyau caudé et la c
substance blanche comprise entre le noyau lenticulaire d'une part, le noyau caudé et la couche optique d'autre part. Pour V
bas avec le pédoncule cérébral. A cause de ses connexions avec les noyaux gris de la base, la capsule interne ne peut êtr
iquement de haut en bas et de dehors en dedans, située en dedans du noyau lenticulaire, en dehors du noyau caudé, de la c
ors en dedans, située en dedans du noyau lenticulaire, en dehors du noyau caudé, de la couche optique et de la région sous-
et un angle obtus ouvert en dehors, dans le sinus duquel se loge le noyau lenticulaire, tandis que le noyau caudé et la cou
, dans le sinus duquel se loge le noyau lenticulaire, tandis que le noyau caudé et la couche optique sont situés sur sa p
ique en dehors et en avant passe, comme son nom l'indique, entre le noyau lenticulaire et le noyau caudé ; il est le plus c
t passe, comme son nom l'indique, entre le noyau lenticulaire et le noyau caudé ; il est le plus court, et se trouve fré-
t en avant, par les ponts de substance grise qui relient la tète du noyau caudé au putamen. Il est surtout formé de fibre
228 et 247 à 255), oblique en arrière et en dehors, passe entre le noyau lenticulaire et la couche optique; il est le pl
et la couche optique; il est le plus long et déborde en arrière le noyau lenticulaire dans une étendue de 12 il 1;) mill
dedans par la couche optique et la portion réfléchie de la queue du noyau caudé, la direction des fibres est horizontale.
antérieur ; ses fibres les plus antérieures passent au-des- sous du noyau lenticulaire, se jettent dans la partie postérieu
blement durci. Après ablation des circonvolutions de l'insula et du noyau lenticulaire, on voit les libres de la capsule
en avant et en arrière, s'épanouissent le long du bord supérieur du noyau lenticulaire, puis divergent dans tous les sens,
uissement de la capsule interne, compris entre le bord supérieur du noyau lenticulaire et le bord externe du noyau caudé,
entre le bord supérieur du noyau lenticulaire et le bord externe du noyau caudé, constitue le pied de la. couronne rayonnan
avant et repose sur la partie antérieure du corps strié, commune au noyau caudé et au putamen. Le bord posté- rieur de la
obliquement en bas, en arrière et en dehors, il passe au-dessous du noyau lenticulaire et correspond aux fibres de projec
le permet de nous rendre compte de la situation et des rapports des noyaux gris soit entre eux, soit avec la substance bla
Ce), l'extrémité supérieure du ventricule latéral (VI) et le tronc du noyau caudé (NC). Écorce. - : 1 la face externe de
. - n2l· ? face interne de la première circonvolution frontale. NC, noyau caudé.- 0" première circonvolution occipitale. -
faisceau occipito- frontal de Forel (OF), la couronne rayonnante du noyau caudé de Meynert. Ce faisceau n'a très probable
dé de Meynert. Ce faisceau n'a très probablement rien faire avec le noyau caudé (voy. Faisceau occipito-frontal, Chap. IV
es deux extrémités du faisceau occ ? <o-/7'o);/f<, on trouve le noyau caudé (NC) sectionné au niveau de son tronc; il
rande partie de la paroi externe du 1'cnll'Îwle latéral. En dehors du noyau caudé, on trouve la couronne rayonnante (CR) qu
t, sillonnée de prolongements de substance grise, que lui envoie le noyau caudé. Les fibres les plus externes de la couronn
émité supérieure de la couche optique (Th) et du segment externe du noyau lenticulaire (NLJ, ainsi qu'une partie du sillon
nt, à devenir apparents. En dehors, le ventricule est limité par le noyau caudé (NC) et la couche optique (Th). Corps opt
to-striés. Sur celte coupe et sur toutes celles qui vont suivre, le noyau caudé est sectionné en deux endroits : au niveau
optique (Th), sectionnée il sa partie supérieure, et qui présente un noyau gris central, la partie supérieure du noyau ext
ure, et qui présente un noyau gris central, la partie supérieure du noyau externe entouré d'une capsule blanche, formée,
en dehors par la zone réticulée ou grillagée (Zr). En dehors des noyaux opto-striés, se trouve l'extrémité supérieure de
L3) et quelques prolongements de la substance grise de la 1(t( ! du noyau caudé. La capsule interne (Cia, Cip) est limitée
tte coupe passe par la partie supérieure du septum lucidum (SI), le noyau antérieur de la couche optique (Na Th) et l'extré
érieure s'effile et se termine en pointe, en arrière de la queue du noyau caudé (NC'). Corps opto-strié. - La tète du noy
re de la queue du noyau caudé (NC'). Corps opto-strié. - La tète du noyau c(tiid ? (NC) a conservé il peu près les mêmes
e (Cia). La couche optique(7h) comprise entre les deux- segments du noyau caudé a augmenté de volume, on y reconnaît présen
noyau caudé a augmenté de volume, on y reconnaît présence de trois noyaux : le noyau antérieur ( : \a), le noyau interne (N
a augmenté de volume, on y reconnaît présence de trois noyaux : le noyau antérieur ( : \a), le noyau interne (Ni) et le no
reconnaît présence de trois noyaux : le noyau antérieur ( : \a), le noyau interne (Ni) et le noyau externe (Se), ce derni
is noyaux : le noyau antérieur ( : \a), le noyau interne (Ni) et le noyau externe (Se), ce dernier noyau esl beaucoup plu
( : \a), le noyau interne (Ni) et le noyau externe (Se), ce dernier noyau esl beaucoup plus volumineux que les deux autres
tion frontale interne. - mi, sillon marginal supérieur. NC, tête du noyau caudé. NC ? queue du noyau caudé. - 0,, première
, sillon marginal supérieur. NC, tête du noyau caudé. NC ? queue du noyau caudé. - 0,, première circonvolution occipitale.
des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par le troisième segment du noyau lenticulaire (\TL3), par le bourrelet du corps
sillon marginal supérieur.A'C,noyaucaude ? Ys,troisième segment du noyau lenticulaire ou putamen. - Na, Ne, Ni, noyaux a
s,troisième segment du noyau lenticulaire ou putamen. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, interne et externe de la couche optiqu
x antérieur, interne et externe de la couche optique.- \'C', queue du noyau caudé. - 0., première circonvolution occipitale
le faisceau occipito- frontal (OF). Corps opto-striés. La tête du noyau caudé (NC) est diminuée de volume, la (NC') n'e
e volume, la (NC') n'est intéressée que dans une petite étendue, le noyau lenticulaire présente un seul segment, le segme
st volumineuse et sectionnée il peu près dans sa partie moyenne; le noyau antérieur (Na) est très petit, le noyau externe
ès dans sa partie moyenne; le noyau antérieur (Na) est très petit, le noyau externe (Ne) affecte un aspect radié caractéris
e traversent et qui proviennent de la capsule interne (Cia,Cip); le noyau interne (Ni) présente un aspect plus homogène,
yau interne (Ni) présente un aspect plus homogène, il est séparé du noyau externe par la lame médullaire interne du thala
s (Lmi) encore très peu apparente. La couche optique est séparée du noyau caudé par un sillon profond, dans lequel on trouv
Fj,face interne de la première circonvolution frontale. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne de la couche opti
i, noyaux antérieur, externe et interne de la couche optique. - NC, noyau caudé. - : \'C', queue du noyau caudé. - NL3, t
interne de la couche optique. - NC, noyau caudé. - : \'C', queue du noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticul
caudé. - : \'C', queue du noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. - 0" 0" première et deuxième circ
a) est formé, de fibres horizontales, qui pénètrent toutes dans les noyaux anté1'iew'(Na) et externe (Ne) de la couche opt
ibres lcazticulo-llzalamziqucs, qui relient le troisième segment du noyau lenticulaire (nul;,) à la couche optique (Th),
218). Cette coupe passe par le deuxième et le troisième segment du noyau lenticulaire (NL=,NL3) et la partie moyenne de
COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 401 correspond à la convexité du noyau lenticulaire (NL3, XL2) qu'elle dépasse un peu
rise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito-fiontal (Or). Noyaux opto-striés. - La couche optique (Th) est netteme
l) de la cap- sule interne. La couche optique déborde en arrière le noyau lenticulaire (NL3, NL.,) et donne naissance au
, le stmtulll zonale (Strz), qui se dédouble en avant et entoure le noyau antérieur (\a). Le noyau interne (Ni) se distin
z), qui se dédouble en avant et entoure le noyau antérieur (\a). Le noyau interne (Ni) se distingue par son aspect homogène
Le noyau interne (Ni) se distingue par son aspect homogène d'avec le noyau , externe (Ne), dans lequel pénètrent les fibres
e la capside interne (Cia) d'autre part. Le corps strié comprend le noyau caudé (NC), qui ne diffère pas sensiblement de
nt de ce qu'il est sur la coupe précédente et surla suivante, et le noyau lenticulaire. Ce dernier présente deux segments
deux segments (NL3' NL2), le segment externe, troisième segment du noyau lenticulaire ou putamen (NL3), est relié par des
en (NL3), est relié par des ponts de substance grise, il la tête du noyau caudé (NC), et à la portion réfléchie de sa 26
i- zontales inférieures le démontrent. Le développement de ces deux noyaux est le même, et ils doivent morphologiquement e
oyen (NL,) existe seul ici, ne fait pas à proprement parler partie du noyau lenticulaire, mais représente avec le premier s
ulaire, mais représente avec le premier segment ou segment interne du noyau lenticulaire (NL,) que nous retrouverons sur de
ire (NL,) que nous retrouverons sur des coupes plus inférieures, un noyau gris distinct ayant ses connexions propres. Cap
ulaires. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl) déborde en arrière le noyau lenticulaire, dans toute l'étendue de la partie p
que de la capsule interne, et les deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire (NL,, KL2). Écorce. Ce qui caracté
res externe et interne du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. mFt, face interne de la première ci
frontale. - Mo, trou de Monro. znp, sillon marginal postérieur. - Na, noyau ' antérieur de la couche optique. - NC, tète du
érieur. - Na, noyau ' antérieur de la couche optique. - NC, tète du noyau caudé NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau ex
térieur de la couche optique. - NC, tète du noyau caudé NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique
optique. - NC, tète du noyau caudé NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - Ni, noyau interne
eue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - Ni, noyau interne de la couche optique. - 1'G, NG,, deuxi
de la couche optique. - 1'G, NG,, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - Oi, Os, première et deuxième ci
res externe et interne du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. Lins, lame médullaire superficiel
-111F" face interne de la première circonvolution frontale. - A'C, noyau caudé. - NC', queue du noyau chaude. - Ne, noyau
emière circonvolution frontale. - A'C, noyau caudé. - NC', queue du noyau chaude. - Ne, noyau externe de la couche optiqu
ion frontale. - A'C, noyau caudé. - NC', queue du noyau chaude. - Ne, noyau externe de la couche optique. AIL3, iN'12, troi
de la couche optique. AIL3, iN'12, troisième et deuxième segments du noyau lenticu- laire. 0,> Os, première et deuxième
genou du corps calleux (Ce), en dehors et en arrière par la tête du noyau cccudé (NC); il communique avec le troisième vent
ipital. Corps opto-striés. - Cette coupe intéresse deux segments du noyau lents- culaire, le putamen (NL.,) et le segment
xterne du globus pallidus (NL.,). Le putamen est relié à la tête du noyau caudé (NC) par quelques ponts de substance- gri
e segment antérieur de la capsule interne (Cia). La lame externe du noyau lenticulaire (lme) sépare le putamen (NL3) du seg
du segment externe du globus pallidus (NL.=). Ces deux segments du noyau lenticulaire sont traversés par de nombreuses f
ouverte par le stratum zonale. La couche optique est formée de deux noyaux , le noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce
le stratum zonale. La couche optique est formée de deux noyaux, le noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce dernier se
La couche optique est formée de deux noyaux, le noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce dernier se distingue du premie
son aspect strié qui tient il la présence des fibres radiaires. Ces noyaux sont sépa- rés l'un de l'autre par la lame médu
l'un de l'autre par la lame médullaire interne du thalamus (Lmi). Le noyau externe (Ne) est limité en dehors par la lame m
t du segment postérieur de la capsule interne (Cip). En arrière, le noyau externe se continue avec le pulvinar (Pul), qui
le latéral. La corne frontale (Vf), aplatie latéralement, sépare le noyau caudé (NC) du genou du corps calleux (Cc[g]); son
i-circularis. - Lg, lobule lingual. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du
re externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. Lms, lame médullaire superficielle.
,, face interne de la première circonvolution frontale. - NC, tête du noyau chaude. - NC , queue du noyau caudé. = Ne, noya
irconvolution frontale. - NC, tête du noyau chaude. - NC , queue du noyau caudé. = Ne, noyau externe de la couche optique.
ale. - NC, tête du noyau chaude. - NC , queue du noyau caudé. = Ne, noyau externe de la couche optique. - NL3, NL2, NL,,
ptique. - NL3, NL2, NL,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. 0,, 0 ? première et deuxième circ
temporale, et une partie antérieure qui recouvre la face externe du noyau lenticulaire (putamen) (NL.,) et se confond ave
leur plus grande largeur. La coupe porte sur la tête et la queue du noyau caudé (NC, NC') et sur les trois segments du no
e et la queue du noyau caudé (NC, NC') et sur les trois segments du noyau lenticulaire (NL3, NL, NL,). La tête du noyau can
r les trois segments du noyau lenticulaire (NL3, NL, NL,). La tête du noyau candi; (NC) est reliée au troisième segment, du
). La tête du noyau candi; (NC) est reliée au troisième segment, du noyau lenticulaire (NL) par quelques ponts de substan
e par le segment antérieur de la capsule interne (Cia). La queue du noyau caudé (NC') siège dans le carrefour ventriculaire
utre part, sur la ligne qui sépare le pulvinar (Pul) de la queue du noyau caudé (NC'). Le troisième segment du noyau lentic
nar (Pul) de la queue du noyau caudé (NC'). Le troisième segment du noyau lenticu- laire ou putamen (NL.,) présente une c
présente une coloration foncée, analogue il celle de l'écorce et du noyau caudé les segments moyen et interne de ce noyau (
e de l'écorce et du noyau caudé les segments moyen et interne de ce noyau (NL,, L1), présentent une coloration plus pâle
des lamelles blanches, les lames médullaires interne et externe du noyau lenticulaire (lmi, Finie). Ils sont sillonnés p
faisceaux de fibres blanches, qui traversent les trois segments du noyau lenticulaire (NL3, \L=,NLt) ainsi que le seunwnt
a couche optique (Th). Dans la couche optique (Th) on reconnaît les noyaux externe (Ne) et interne et le ganglion de l'hab
(Ci[g]) correspond à l'extrémité antérieure du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL). Les segments azrté- rieur et
segment t antérieur (Cia), oblique en avant et en dehors, sépare le noyau caudé (NC) du COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU.
pare le noyau caudé (NC) du COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 411 noyau lenticulaire (NL3,NL2) ; il appartient au corps s
oisentaang1e presque droit, avec des fibres striées qui naissent du noyau caudé (NC), traversent d'avant en arrière le segm
ère le segment antérieur de la capside intezwe etpénètrent clans le noyau lenticulaire dont elles forment les lame s ntc·
autre. Il se dirige obli- quement en arrière et en dehors, entre le noyau lenticulaire et la couche optique (Th), et débo
ntre le noyau lenticulaire et la couche optique (Th), et déborde le noyau lenticulaire en arrière, où il sépare le pulvinar
nt une zone réticulée qui se confond avec la zone réticulée (Zr) du noyau externe du thalamus (Ne). La partie lenticulo
ulée (Zr) avec les fibres des régions voisines et pénètrent dans le noyau externe de la couche optique (Ne), dont elles con
tème du corps strié; elles naissent dans les différents segments du noyau lenticulaire, traversent le globus pallidus elle
ule interne (Cip), et se rendent dans la couche optique (Th) et les noyaux de la région sous-thalamique. Coupe n° 63 (fig.
ire externe de la couche optique. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - Lmi, lame médullaire interne de
laire interne de la couche optique. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - Les, lame médullaire superficie
7 ? zF , face interne de la première circonvolution frontale. - NC, noyau caude. i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noy
remière circonvolution frontale. - NC, noyau caude. i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la-
frontale. - NC, noyau caude. i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la- couchc optique. - J\'
ue. - J\'1 ? NL" .V ? VL ? troisième, deuxième et premier segments du noyau len- ticulaire, le segment interne comprend à c
pitale (Voc) pré- sente en avant la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC'), en arrière le tapetum (Tap) dont l
ieur (Fli) en dehors. Corps opto-striés. - Cette coupe intéresse le noyau lenticulaire (NL3, Nul. NL" NL,') dans saplus g
NL,') est dédouhlé par une petite lamelle médullaire constante. Le noyau lenticulaire est donc formé en réalité par quat
la capsule interne (Cip) et qui impriment aux segments internes du noyau lenticu- lairc leur coloration pâle. La couch
ne (Lmi) est un peu plus accusée que sur les coupes précédentes. Le noyau externe (Ne) reçoit en avant le pédoncule antérie
apside interne (Cia) et s'irradie dans l'extrémité antérieure de ce noyau externe. En arrière du pédoncule anté- rieur de
lobule lingual. - lme, lui, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. - Lms, lame médullaire superficiell
l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula.-NC, tète du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. .Ye, Ni, noya
al postérieur de l'insula.-NC, tète du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. .Ye, Ni, noyaux externe et interne de la
nsula.-NC, tète du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. .Ye, Ni, noyaux externe et interne de la couche optique. - Nez,
ique. - Nez, NL" u'L,, ? troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, - ce dernier étant dédouble. Nm, no
er segments du noyau lenticulaire, - ce dernier étant dédouble. Nm, noyau médian de la couche optique (centre médian de L
olet (RTh) et le faisceau longitudinal (Fli). Corps opto-striés.-Le noyau caudé (NC) et le noyaulenticulaire (NL3, NL ? N
espond en effet à sa limite inférieure. On y reconnaît cependant le noyau interne (Ni), le noyau externe (Ne) et le pulvina
mite inférieure. On y reconnaît cependant le noyau interne (Ni), le noyau externe (Ne) et le pulvinar (Pul). Mais la couc
r (Pul). Mais la couche optique présente en outre ici deux nouveaux noyaux profondé- ment enclavés dans son épaisseur, le
enouillé interne (Cgi). Le centre médian de Luys (Nm), situé entre le noyau interne et le noyau externe, présente un aspect
. Le centre médian de Luys (Nm), situé entre le noyau interne et le noyau externe, présente un aspect arrondi, semi-lunaire
te un aspect arrondi, semi-lunaire, il se confond en dedans avec le noyau interne, tandis qu'il est nettement délimité du n
dedans avec le noyau interne, tandis qu'il est nettement délimité du noyau externe. Le corps genouillé interne (Cgi), situ
e; au lieu de s'irradier, comme sur les coupes précédentes, dans le noyau externe du thalamus, elles se réunissent il la
ticulaire de Forel (FI), qui appartient au système de la capsule du noyau rouge. Ce faisceau appartient déjà à la région
sse par la région sous-optique, intéresse le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR), l'anse du noyau lenticulaire (Al) e
ue, intéresse le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR), l'anse du noyau lenticulaire (Al) et les corps genouillés interne
ne 68 des figures 217 et 218. (Grandeur naturelle.) ' Al, anse du noyau lenticulaire. - Abf, avant-mur. - BrQa, bras du t
lobule lingual. - line, lmi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticu- laire. - Lms, lame médullaire superfic
in- sula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - NC, tète du noyau caudé. - NC. queue du noyau caudé. -NL3, NL" NL
l postérieur de l'insula. - NC, tète du noyau caudé. - NC. queue du noyau caudé. -NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et pr
yau caudé. -NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et premier segment du noyau lenticu- laire (le dernier segment est divisé e
noyau lenticu- laire (le dernier segment est divisé en deux). - NR, noyau rouge. - 0,, Os, 03, première, deuxième et troi
are la corne d'A 1111non (CA) du ta- petuzn (Tap) et de la queue du noyau caudé (NC'). En dedans elle fournit le diver- t
la corne frontale a disparu, mais on retrouve toujours, coiffant le noyau caudé (NC), la substance grise sous-épendymaire (
x Cc[gJ) et l'écorce de la première circonvolution limbique (L,). Noyaux opto-striés. Le corps strié présente encore sur c
strié présente encore sur cette coupe tous ses éléments. La tête du noyau caudé (NC) se confond avec le troisième seg- me
tête du noyau caudé (NC) se confond avec le troisième seg- ment du noyau lenticulaire (NL3), et n'en est qu'incomplètement
dernier vestige du segment antérieur de la capsule interne (Cia). Le noyau lenti- culai¡'( ! est formé de quatre segments,
par son aspect blanc et nacré. Les libres des lames médullaires du noyau lenticulaire se réunissent en un faisceau, l'anse
aires du noyau lenticulaire se réunissent en un faisceau, l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contourne l'extrémité anté
es du segment antérieur (Cia). La partie la plus large de l'anse du noyau lenticulaire est visible sur la coupe suivante
l ou d'anse pédonculaire de Gratiolet. Quelques fibres de l'anse du noyau lenticulaire traver- sent le segment postérieur
pulvinar (Pul), dans lequel apparaissent les premiers indices d'un noyau de nouvelle formation, le corps genouillé externe
prennent leur origine, ainsi que par la variété et la disposition des noyaux gris. Cette région représente en effet une régi
stance grise centrale (Sge) du troisième ventricule (Va) différents noyaux , à savoir : En dehors le corps de Luys (CL), en
avoir : En dehors le corps de Luys (CL), en dedans et en arrière le noyau rouge (NR), enfin entre le noyau rouge et le pu
s (CL), en dedans et en arrière le noyau rouge (NR), enfin entre le noyau rouge et le pulvinar (Pul), le corps genouillé in
transversent cette dernière. En avant, il est entouré par l'anse du noyau lenticulaire (Al), en arrière et en dedans il est
(Al), en arrière et en dedans il est en rapport avec la capsule du noyau rouge. Les radiations- de la calotte (RC) le sé
a calotte (RC) le séparent du corps genouillé interne (Cgi). , Le noyau rouge (NR) est arrondi, occupe la partie postéro-
rieure de la région sous-optique. Il se présente sous l'aspect d'un noyau ovalaire, situé en avant et en dehors du tuberc
-optique de Forel sont constitués sur cette coupe par la capsule du noyau rouge qui sur la coupe précédente reçoit le fai
8par les radiations de la calotte (RC) qui émanent de la capsule du" noyau rouge, enfin en avant et en dedans, par l'anse
capsule du"noyau rouge, enfin en avant et en dedans, par l'anse du noyau lenticulaire (Al). Dans la substance grise centra
u pied du pédoncule cérébral. En avant, il est limité par l'anse du noyau lenticulaire (Al), en arrière par le corps genoui
erne (Cge). Il est sillonné de fibres transversales,* s'étendant du noyau lenticulaire au corps de Luys et appartenant en
gnes 70 des fil{. 217 et 2t8. (Gran- deur naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. Aq, aqueduc de Syl
ne de la corne sphénoïdale. Le corps strié est réduit il la tète du noyau caudé (NC), fusionnée avec le putamen (NL.,). D
nnée avec le putamen (NL.,). Dans la corne sphénoïdale, la queue du noyau caudé (NC) fait encore saillie. Le globus palli
. - mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - NC, noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - NL,, troisièm
première circonvolution frontale. - NC, noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - NL,, troisième segment du noyau lentic
, noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - NL,, troisième segment du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. - Os, deuxième
noyau caudé. - NL,, troisième segment du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. - Os, deuxième circonvolution occipitale.
é du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa). A la partie moyenne, le noyau rouge (NR), le ruban de 7M médian (Rm), et près d
le corps genouillé externe et dont le sommet répond il la queue du noyau caudé (NC'). La face antérieure de cette zone est
Gratiolet, constituée en grande partie par les fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al) qui contour- nent en dedans l
ui contour- nent en dedans le pied du pédoncule cérébral. L'anse du noyau lenticulaire (Al) ne peut guère être suivie au
es libres entrent, en partie dans la capsule blanche qui entoure le noyau rouge (NR), en partie se dirigent en arrière, p
l former les fibres parallèles. Elles se confondent dans la région du noyau supérieur de la troisième paire, avec le faisce
perforée antérieure (Spa). Le corps strié est réduit à la tête du noyau caudé (NC) et à l'eatrrri'iikos é rieure du put
ce pédicule relie ce dernier à la partie recruta nee ae ia queue du noyau caudé Le noyau caudé et le putamen ne cons- tit
ie ce dernier à la partie recruta nee ae ia queue du noyau caudé Le noyau caudé et le putamen ne cons- tituent pas deux n
noyau caudé Le noyau caudé et le putamen ne cons- tituent pas deux noyaux gris complètement séparés ; ils sont réunis et fu
colo- ration plus ou moins foncée. La connexion intime de tous ces noyaux auxquels on peut ajouter l'avant-nUlI' (AM) n'a
nnée leur communauté d'origine. En dehors du troisième segment du noyau lenticulaire (nez) et de la queue du noyau caud
du troisième segment du noyau lenticulaire (nez) et de la queue du noyau caudé (NC'), se trouvent les fibres parallèles de
commissure antérieure (coa). Dans l'espace compris entre la tête du noyau caudé (NC), la substance inno- minée (Sti) et l
perforée antérieure (Spa), et relie la substance innominée (Sti) au noyau caudé (NC) ; elle est limitée en dedans par le
rforée antérieure (Spa) on trouve les dernières fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contournent la partie an
our occuper la partie la plus antérieure de la calotte, en avant du noyau rouge (NR), en dedans de la sub- stance perforé
vius (Aq), la région moyenne ou région de la calotte conte- nant le noyau rouge (NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le fa
. 217 et 218). Cette coupe passe par la bandelette optique (II), le noyau amygdalicoa (NA) et la partie inférieure du cor
rieur ou le pied du pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la région du noyau rouge (NR), séparé du précédent par le locus ni
ce interne de la première cir- convolution frontale. - NC, tronc du noyau caude. - VC', queue du noyau caudé. - \Z,. troi
- convolution frontale. - NC, tronc du noyau caude. - VC', queue du noyau caudé. - \Z,. troisième segment du noyau lentic
yau caude. - VC', queue du noyau caudé. - \Z,. troisième segment du noyau lenticulaire. - VR, noyau rouge. - Oi, deuxième c
noyau caudé. - \Z,. troisième segment du noyau lenticulaire. - VR, noyau rouge. - Oi, deuxième circonvolution occipitale
blement avec la substance grise de l'espace perforé antérieur et le noyau caudé (NC). Ce noyau ne forme qu'un très petit îl
ance grise de l'espace perforé antérieur et le noyau caudé (NC). Ce noyau ne forme qu'un très petit îlot qui appartient à l
Ce noyau ne forme qu'un très petit îlot qui appartient à la tête du noyau caudé. Sa queue (NC') se fusionne avec le noyau a
rtient à la tête du noyau caudé. Sa queue (NC') se fusionne avec le noyau amygdalien (NA) et avec la substance innommée d
) et avec la substance innommée de Reichert (Sti). En dehors de ces noyaux , on trouve les derniers vestiges de l'avat7t-ne
lon- gueur. Sa paroi externe est formée, d'avant en arrière, par le noyau amygdalien (NA) réuni à la queue du noyau caudé
'avant en arrière, par le noyau amygdalien (NA) réuni à la queue du noyau caudé (NC') et par le tapetum (Tap), en dehors
g. 217 et oh8).. Cette coupe passe par le seuil de l'insula (I), le noyau amygdalien (NA) marginal. - D, gyrus descendens
ire. mh ? face interne de la première circonvolution frontale. .VA, noyau amygdalien. - NC, noyau caudé. - 'C', queue du no
e la première circonvolution frontale. .VA, noyau amygdalien. - NC, noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - NR, noyau
frontale. .VA, noyau amygdalien. - NC, noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0" 03, deuxième et
yau amygdalien. - NC, noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge. - 0" 03, deuxième et troisième circonvol
continue avec celle de la circonvolution du crochet (U) et avec le noyau ou- dalien (NA). D'avant en arrière nous trouvo
dale en avant. La paroi externe de celte dernière est formée par le noyau a1l ? Jgdalien (NA), intimement uni à la queue du
formée par le noyau a1l ? Jgdalien (NA), intimement uni à la queue du noyau caudé (NC'), puis par le tapetum (Tap) recouver
. - mF,, face interne de la première circonvolution frontale. - NA, noyau amydalicn. -NC', queue du noyau caudé. - 0" 0" de
ière circonvolution frontale. - NA, noyau amydalicn. -NC', queue du noyau caudé. - 0" 0" deuxième et troisième circonvolu-
segment postérieur correspond au diverticule du. subiculum (ds). Le noyau caudé a dis- paru, on ne trouve, comme noyau ap
du. subiculum (ds). Le noyau caudé a dis- paru, on ne trouve, comme noyau appartenant à la base du cerveau antérieur, que
uve, comme noyau appartenant à la base du cerveau antérieur, que le noyau muyydalien (NA), qui se confond en dedans avec l'
- ml ? face interne de la première circonvo- lution frontale. - NA, noyau amygdaiicn. - 0" 03, deuxième et troisième circon
coupes nos 40 à 46 (lig. 240- 242) intéressent en outre la tête du noyau caudé (NC) ainsi que l'extrémité antérieure lib
ure de la face in- terne du lobe frontal. Ventricule latéral et noyaux gris de la base. La coupe n° 30 (fit. 237) pass
ico-transversale décrit une sorte de croissant autour de la tète du noyau caudé (NC). La paroi interne de la corne frontale
double le ventricule latéral (VI). Sur la coupe n° 40 {Hg. 2W), un noyau gris, la tête du noyau caudé (NC) apparaît dans l
atéral (VI). Sur la coupe n° 40 {Hg. 2W), un noyau gris, la tête du noyau caudé (NC) apparaît dans l'épaisseur FiG. 238.
) assez net au niveau de l'extré- mité antérieure de la tète du noyau caudé (NC), dimi- nue rapidement à mesure que
noyau caudé (NC), dimi- nue rapidement à mesure que la tête de ce noyau gran- dit, et disparaît complète- ment au niv
s coupes nls 40, 43 et 46 (fig. 240-242) intéres- sent la tète du noyau caudé (NC), qui fait saillie dans la corne fr
ne frontale dont elle forme en grande partie la paroi externe. Le noyau caudé (NC) est limité en dehors par le pied d
relié par des ponts de substance grise au troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) et les fibres du pied de la
grise. La coupe n° 46 et les suivantes démontrent nettement que le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenti
ntrent nettement que le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) appartien- nent un même et s
segment du noyau lenticulaire (NL3) appartien- nent un même et seul noyau , le corps strié, que la capsule interne divise en
terne divise en deux parties, l'une interne, intra-veulriculairc ou noyau caudé, l'autre externe, exlra- ventriculaire, o
riculairc ou noyau caudé, l'autre externe, exlra- ventriculaire, ou noyau lenticulaire. Substance blanche. Dans la masse
plus, il mesure que les coupes se rappro- chent de la tête du noyau caudé (NC) et du segment antérieur de la capsule
limbique. mF,, face interne de la première circonvolution. - NC, noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. - oF,, pa
la corne frontale. Sur la coupe n040 (fig. 240) apparaît la tête du noyau caudé (NC) qui s'insinue entre le système de proj
egment antérieur de la capsule ill/c1'1/C (Cia), qui passe entre le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau len
(Cia), qui passe entre le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3), et qui est traversé par les
est traversé par les ponts de substance grise qui relient ces deux noyaux . Le système des fibres commissurales est formé
. - 111fut, face interne de la première circonvolution frontale.fC, noyau caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticul
re circonvolution frontale.fC, noyau caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - OF, faisceau occipito
bique, z face interne de la première cirronvolution frontale. NC, noyau caudé. - Nul" troisième segment du noyau lenticul
rronvolution frontale. NC, noyau caudé. - Nul" troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-f
ment au-dessus du sillon olfactif (U)- Lorsqu'apparait la tète du noyau caudé (NC) (coupe n° 40, fig. 240), le fais- ce
t interne du nayaulellticulai/'e(NL1) et de l'extrémité antérieure du noyau COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 44 : , izte
44 : , izterne(Ci(b]),du tzibegciize2,ezi ? 21 (Te) et de l'anse du noyau lenticulaire (Al). Fie. 243. Coupe vertico-tran
ur de l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - NC, noyau caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulai
postérieur de l'insula. - NC, noyau caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-f
téral. \, pont de substance grise unissant la partie inférieure des noyaux caudé et lenticulaire. 446 Av : ITOVI1)J DES CE
emière circonvolution limbique. - linge, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - mai. face interne de la première
olution frontale. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - VC, noyau caudé. - NL3, NL ? troisième et deuxième segmen
a. - VC, noyau caudé. - NL3, NL ? troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. -
s fibres du système commissural, commissure antérieure (coa). " . Noyaux gris de la base et ventricule latéral. Coupe n°
gris de la base et ventricule latéral. Coupe n° 55 (fig. 243). - Le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire, dont le tr
ricule latéral. Coupe n° 55 (fig. 243). - Le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire, dont le troisième segment (NL,) a
formée par un large pont de substance grise (X) qui réunit la tête du noyau caudé (NC) au putamen (NL.,). La face superfici
é (NC) au putamen (NL.,). La face superficielle, libre, de la tête du noyau caudé fait saillie dans le ventricule, et forme
elle blanche, la capsule externe (Ce). Le point de jonction (X) des noyaux caudé et lenticulaire, correspond au trigone ol-
sa partie inférieure il se fusionne avec le troi- sième segment du noyau lenticulaire (NLg) (coupes nos 60, 69 et 71, fig.
aire à sommet inférieur. Sa paroi externe est formée par la tête du noyau caudé (NC), sa paroi interne par le septum luci
t le corps COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 449 calleux (Cc). Le noyau caudé (NC) ne forme plus que la partie supérieure
l. Lignes 63 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - Arc, faisceau ar
rieur de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de l'insula. NA, noyau amygdalien. XC, noyau caudé. - NL3, 1. i. trois
ms, sillon marginal supérieur de l'insula. NA, noyau amygdalien. XC, noyau caudé. - NL3, 1. i. troisième, deuxième et prem
oyau caudé. - NL3, 1. i. troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito- frontal. -
du trigone (Tga), appartient déjà au troisième ventricule (Va). Le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenti
ème ventricule (Va). Le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL3), sont séparés l'un
rne (Cia). Au niveau du bord externe du ventricule latéral (VI), le noyau caudé (NC) est recouvert par la substance grise s
nt la capsule interne, pour se rendre dans les lames médullaires du noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire est ici for
pour se rendre dans les lames médullaires du noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire est ici formé de deux segments : le
(NL3) est de coloration foncée ; sa structure est analogue à celle du noyau caudé. Le segment interne (NL2) fait partie du
il est séparé du putamen par la lame mé- dullaire externe (lme) du noyau lenticulaire et de la substance grise centrale (S
atteint la partie inférieure de la lame médullaire externe (lme) du noyau lenti- culaire. Sur toutes les coupes ultérieur
s ultérieures, nous la trouverons au-dessous du deuxième segment du noyau lenticulaire (globus pallidus) (NL2,). La face in
iques (II) et de l'extrémité antérieure dé la couche optique (Th). Le noyau caudé (NC) est relié au noyau lenticulaire (NL3
érieure dé la couche optique (Th). Le noyau caudé (NC) est relié au noyau lenticulaire (NL3' 2' 1)' par des ponts de substa
il est en rapport avec l'extrémité antérieure du thalamus (Th), Le noyau lenticulaire est ici formé de trois segments, l
lanches, qui font partie des fibres lés plus antérieures de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La.substance grise de l'espa
tal. Lignes 66 des fig. z et 236. (Grandeur naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - Arc, faisceau ar
on lim- bique. - lnté, lui, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. m.F\, face interne, de la premièr
F\, face interne, de la première circonvolution frontale. - NL 3, ? noyau lenticulaire et ses trois seg- ments. - NA, noy
ontale. - NL 3, ? noyau lenticulaire et ses trois seg- ments. - NA, noyau amygdalien. NC, tronc du noyau caudé. OF, faiscea
laire et ses trois seg- ments. - NA, noyau amygdalien. NC, tronc du noyau caudé. OF, faisceau occipito-frontal . - OpR, o
crochet (U) ; celle-ci s'épaissit en dehors et se fusionne avec le noyau anzygdalien (NA), lequel occupe l'ex- trémité a
vant. Dans toute cette série de coupes, nous trouvons, en dehors du noyau lenticulaire, la capsule externe (Ce) et l'ava
ibres inférieures s'épanouissent dans le lobe temporal en dehors du noyau arnygdalien (NA). Coupe n° 66 (fig. 246). -Le n
al en dehors du noyau arnygdalien (NA). Coupe n° 66 (fig. 246). -Le noyau cazcdé (NC) et le noyau lenticulaire (NLa, â1)
nygdalien (NA). Coupe n° 66 (fig. 246). -Le noyau cazcdé (NC) et le noyau lenticulaire (NLa, â1) présentent les mêmes con
aire (NLa, â1) présentent les mêmes connexions que précédemment. Le noyau caudé est seule- ment plus petit; il est intére
ment plus petit; il est intéressé en effet au niveau de son tronc. Le noyau lenti- culaire présente trois segments (ïTL3, ?
sure antérieure (coa) s'épanouit dans le lobe temporal en dehors du noyau amygdalien (NA). En haut et en avant, le noyau
emporal en dehors du noyau amygdalien (NA). En haut et en avant, le noyau lenticulaire est en rapport avec le segment antér
u de la capsule interne (Ci[g]); l'obliquité de la face supérieure du noyau len- ticulaire ainsi que de la capsule interne,
(Ci[g]). La face inférieure du globus pallidus (NL2;1) est réunie au noyau anzygda- lien (NA) par la substance grise de l'
rise de l'espace perforé antérieur. De cette substance grise et des noyaux environnants, partent des fibres qui contournent
ronnants, partent des fibres qui contournent l'extrémité interne du noyau lenticulaire et du genou de la capsule interne (C
ve un autre faisceau de fibres sectionnées parallèlement, l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres proviennent du noya
ement, l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres proviennent du noyau caudé (NC), traversent le segment antérieur de
concourent à former les fibres verticales des lanzes médullaires du noyau lenticulaire (lmi, lme). Au niveau de la face i
u noyau lenticulaire (lmi, lme). Au niveau de la face inférieure du noyau lenticulaire, elles se coudent, se portent eu d
e coudent, se portent eu dedans et embrassent sous le nom d'anse du noyau lenticulaire (Al), le genou de la capsule inter
e pédoncule inféro-interze de la couche optique (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) sont plongés dans la substance
ehors, le pédoncule iuféro- interne du thalamus (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al). Le noyau amygdalien (NA) a c
interne du thalamus (PiTh) et l'anse du noyau lenticulaire (Al). Le noyau amygdalien (NA) a considérablement augmenté de vo
t aux lignes 71 des figures 235 et 236. La coupe n° 69 passe par le noyau antérieur (Na) de la couche optique (Th), la pa
ue (L,dont l'écorce se confond en dehors avec la substance grise du noyau , amygdalien (NA). Cavités ventriculaires. - Le
re est formée par le corps calleux (Ce), la paroi inférieure par le noyau caudé (NC ! et la partie attenante de la couche o
l. Lignes 69 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-inur. - Arc, faisceau a
ne du thalamus. - lme, lmi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. - ml ? face interne de la première
l'insula. - nzs, sillon marginal supérieur de l'insula. - NL3,a, ,, noyau lenticulaire et ses trois segments. - Na, noyau a
l'insula. - NL3,a, ,, noyau lenticulaire et ses trois segments. - Na, noyau antérieur du tha- lamus. - NC, tronc du noyau c
trois segments. - Na, noyau antérieur du tha- lamus. - NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau ext
ntérieur du tha- lamus. - NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. - OF, fai
lamus. - NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. - OF, faisceau occipito-fr
- Pchl, plexus choroïde du ventricule latéral. - PNL3, pédoncule du noyau lenticulaire. - poi, sillon prérolandique infér
rès réduite de volume, elle est limitée en haut et en dedans par le noyau amygdalien (NA), en dehors par la--commissure a
corne d'Am- mon (CA) ; le diverticule supérieur sépare la corne du noyau amygdlliien (NA), l'inférieur incise profondéme
ions qui répon- dent aux incisures du sillon de l'hippocampe (h). Noyaux opto-striés. Le noyau caudé (NC) ne présente rien
aux incisures du sillon de l'hippocampe (h). Noyaux opto-striés. Le noyau caudé (NC) ne présente rien de particu- lier a
. Le noyau caudé (NC) ne présente rien de particu- lier a noter. Le noyau lenticulaire (NL3, 2'1) est triangulaire; il prés
ce inférieure, plane, qui repose sur la bandelette optique (II), le noyau amygdalien (NA) et la commissure antérieure (co
capsule interne (Cip) en haut, le pédoncule cérébral (P) en bas. Le noyau lenticu- lairc est divisé par deux lames médull
se, qui le relie il l'extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé (NC). Ce dernier ne fait pas encore saillie
idérable que le précédent, il est connu sous le nom de pédoncule du noyau lenticulaire (PNL,), relie le au noyau amygdalien
sous le nom de pédoncule du noyau lenticulaire (PNL,), relie le au noyau amygdalien (NA) et sépare ce dernier noyau du g
aire (PNL,), relie le au noyau amygdalien (NA) et sépare ce dernier noyau du globus pallidus (NL2, 1) (fig. 217). Le sommet
456 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. externe concourt à former avec le noyau caudé (NC) et le sillon oplo-strié le plan- F)
ne du thalamus. - lme, lmi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. - infi, face interne de la premiè
nterne de la première circonvolution frontale.-NA,noyauamygdalien.-Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tronc du noyau cau
-NA,noyauamygdalien.-Na,noyau antérieur du thalamus. - NC, tronc du noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau
antérieur du thalamus. - NC, tronc du noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. Ni, noy
mus. - NC, tronc du noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. Ni, noyau interne du thalamu
. - 'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. Ni, noyau interne du thalamus. NL3, 2, ,, les trois segment
us. Ni, noyau interne du thalamus. NL3, 2, ,, les trois segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. -
t le champ de Forci (F) situé au-dessus du corps de Luys (CL). Du noyau antérieur de la couche optique (Na) part un faisc
7, 248). II naît du tubercule mamillaire (Tm) et se termine dans le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce faiscea
'expérimentation, et v. Monakow par l'étude des dégénérescences. Le noyau interne de la couche optique (Ni) est très peu
nfond avec la substance grise centrale (Sgc) et n'appa- raît, comme noyau distinct, que dans la série des coupes suivantes.
aît, comme noyau distinct, que dans la série des coupes suivantes. Le noyau externe (Ne), au contraire, est bien développé
ètrent. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé CSC) et la couche optique (Th) du noyau l
terne (Cip) sépare le noyau caudé CSC) et la couche optique (Th) du noyau lenticulaire (NLa, 2' Il. Il se continue en bas
ame médullaire externe du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - Ln, locus niger. Na, Ne, Ni, noya
laire externe du noyau lenticulaire. - Ln, locus niger. Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - JV
, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - JVC, tronc du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NL.1, », trois
e et interne du thalamus. - JVC, tronc du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NL.1, », troisième et deuxième segment
queue du noyau caudé. - NL.1, », troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire (putamen et globus medialis). - OF,
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. par la lame cornée (le), la queue du noyau caudé (NC') et les trois couches de fibres qui
du thalamus. - Lms, lame médul-superficicllc.-Ln, locus niger. -NA, noyau antérieur du thalamus. NC, tronc dunoyau caudé.
yau antérieur du thalamus. NC, tronc dunoyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ni, noy
alamus. NC, tronc dunoyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ni, noyau interne du tha
. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ni, noyau interne du thalamus. - NL3, putamen. OF, faisce
st limité en bas par l'adossement des deux régions sous-optiques. Noyaux opto-striés. - Sur toutes les coupes qui passent
yaux opto-striés. - Sur toutes les coupes qui passent en arrière du noyau amygdalien, le noyau caudé (NC) est sectionné en
ur toutes les coupes qui passent en arrière du noyau amygdalien, le noyau caudé (NC) est sectionné en deux endroits, à savo
ph) dont il concourt à former la paroi supéro- externe. La queue du noyau caudé (NC) est toujours située en dehors de la li
n faisceau d'autant plus large que l'on se rapproche davan- tage du noyau amygdalien. Au niveau du carre four ventriculaire
iveau du carre four ventriculaire, la couche optique et la queue du noyau caudé sont rapprochées l'une de l'autre; elles ne
que par le sillon opto-strié. Au niveau de la corne sphénoïdale, le noyau caudé et le thalamus divergent; la couche optique
bandelette optique qui se porte en avant et en dedans. La queue du noyau caudé se porte au contraire dans la corne sphénoï
oi supérieure de la corne sphénoïdale et masque souvent la queue du noyau caudé. Sur ces coupes le noyau lenticulaire dim
oïdale et masque souvent la queue du noyau caudé. Sur ces coupes le noyau lenticulaire diminue considérablement de volume ;
ojection. La couche optique (Th) augmente de volume à mesure que le noyau leoli- culaire disparaît. On y reconnaît très n
et 80, fig. ? .49. 251). La couche optique jTh) est divisée en deux noyaux , l'un interne (Ni), l'autre externe (Ne), sépar
és par la lame médullaire iuterne (Lmi) (coupe n° 78, zig. 250). Le noyau externe est limité en dehors par la lame médullai
e supérieure de la couche optique présente sur cette coupe un mince noyau aplati, situé entre deux couches de fibres blanch
ouches de fibres blanches, et qui répond il bipartie postérieure du noyau antérieur (Na). (Voy. Coupes microscopiques hori-
intéresse le corps de Luys (CL) sur la coupe n° 75 (fig. ? .f9), le noyau rouge (NR) le locus niger (Ln) sur les coupes n
née. - Lzns, lame médullaire superfi- cielle. -Ln, locus niger. Na, noyau antérieur du thalamus. -NC, tronc du noyau caudé.
lle. -Ln, locus niger. Na, noyau antérieur du thalamus. -NC, tronc du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, noy
antérieur du thalamus. -NC, tronc du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. Ni, noyau
us. -NC, tronc du noyau caudé. - i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. Ni, noyau interne du thala-
- i\'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. Ni, noyau interne du thala- mus. NL3, troisième segment d
halamus. Ni, noyau interne du thala- mus. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. Nin, noyau médian du thalamus (ce
e du thala- mus. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. Nin, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - A
aire. Nin, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - A'R, noyau rouge. - Or, faisceau occipito-frontal. OpR, oper
ans la face interne du pédoncule. Au-dessus et en dedans on trouve le noyau rouge (\R) arrondi et entouré d'une capsule de
dre avec la lame médullaire externe du thalamus (Lme). En dedans du noyau rouge on trouve sur les coupes nos 80 et 83 (fi
n des fibres radiculaires de la troisième paire (III). Au-dessus du noyau muge on trouve sur la coupe n° 78 (lit, 250) le
faisceau de Meynert (FM), qui déprime légèrement la face interne du noyau rouge et qui sur les coupes nos 80 et 83 (fig. 25
ente le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et sépare le noyau lenticulaire (NL3) de la couche optique (Th), d
idé- rable, se porte en dehors, au-dessous de la face inférieure du noyau lenticulaire sous-épcndymaire. - 7't, T2, T3, p
te optique (II), de la lame cornée (le) et de la queue recourbée du noyau caudé (NC'). Ce faisceau représente le faisceau d
exlra-veniriculaire de la couche optique et la région du pédoncule. Noyaux opto-striés. Le noyau caudé est très réduit de vo
la couche optique et la région du pédoncule. Noyaux opto-striés. Le noyau caudé est très réduit de volume. Ces coupes n'i
ue (NC') dans la corne plu;- nodale (Vsph). Le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3), n'est plus repré- senté que
U. 4<Ki ligne courbe, qui relie les (leux)cGtiQns de la queue du noyau caudé (NC, NC'). FIG. 252. - Coupe vertico-tran
onvolution limbique. le, lame cornée. - Lzz, locus niger. - Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. - NL3, putamen. -
- OpR, opercule rolandique. - ot, sillon collatéral. - \'C ? tronc du noyau caudc. - NC', queue du noyau caudé. - ? pied du
t, sillon collatéral. - \'C ? tronc du noyau caudc. - NC', queue du noyau caudé. - ? pied du pédoncule cérébral. - Pi, circ
466 . X1'\ATOilllE'DES CENTRES'^ NERVEUX, ' ! % Ces îlots gris du noyau lenticulaire'. (NLJ- sont séparés par des fibres,
, lame cornée. - Lms, lame médullaire superficielle. - NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau
médullaire superficielle. - NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NL3, tr
lle. - NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NL3, troisième segment du no
u caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn).- NR, noyau rouge. OF, f
lamus. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn).- NR, noyau rouge. OF, faisceau occipito-frontal. - Opp" oper
, lame cornée. - Lms, lame médullaire superficielle. - NC, tronc du noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - XL" troisièm
édullaire superficielle. - NC, tronc du noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - XL" troisième segment du noyau lenticula
noyau caudé. - Nu, queue du noyau caudé. - XL" troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - OF, faisceau occipito
couche op/ique(Th) a diminué de volume. On y reconnaît cependant le noyau externe (Ne) et le noyau interne (Ni). Sur la c
nué de volume. On y reconnaît cependant le noyau externe (Ne) et le noyau interne (Ni). Sur la coupe n° 83 (fig. 252), la
édoncule cérébral; les radiations de la calotte (RC) la séparent du noyau rouge (NR) et du locus niger (Ln). Le noyau rouge
tte (RC) la séparent du noyau rouge (NR) et du locus niger (Ln). Le noyau rouge (NR) a diminué égale- ment. A sa partie i
n des fibres radiculaires de la troisième paire (III). Au-dessus du noyau rouge (NR), en dedans des radiations de la calo
ut et en dehors, passe entre le corps genouillé externe (Cge) et le noyau externe du thalamus (Ne). Le corps genouillé inte
Th), situé en dedans du corp genouillé externe (Cge), au-dessous du noyau externe du thalamus (Ne) et du pulvinar (Pul),
ouche nettement distincte, mais dissocie le li-oi- sième segment du noyau lenticulaire (NL3) et se continue en bas avec les
rne du thalamus. Lms, lame médullaire superficielle ? \'C, tronc du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. NL3, putame
dullaire superficielle ? \'C, tronc du noyau caudé.- \'C', queue du noyau caudé. NL3, putamen.OF, faisceau occipito-frontal
. - IV, zone de Weruicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. - Ill, noyau de la troisième paire. 470 ANATOMIE DES CENTRES
le, lame cornée. - Lrns, lame médullaire superficielle. NC, tronc du noyau caudé. - Ne,, queue du noyau cade. - ot, sillon
médullaire superficielle. NC, tronc du noyau caudé. - Ne,, queue du noyau cade. - ot, sillon collatéral. - I ? circonvoluti
s, lame médullaire superficielle. NC, partie réfléchie de la queue du noyau caudé. - ot, sillon collatéral. - ot', incisure
édullaire super- ficielle. - z\'C', partie réfléchie de la queue du noyau caudé. - ot, sillon collatéral. 7, circonvoluti
ier postérieur du trigone (Tgp), la lame cornée (le) et la queue du noyau caudé (NC'), parties qui forment le plancher de
occipitale et sphénoïdale et il l'étage supérieur du ventricule. Noyaux gris centraux. -Le,, coupes nos 92 et 93 (fig. 25
. 'r7;i port avec sa partie interne. Sa face externe est séparée du noyau caudé (NC) par le tænia se1/l'lcil'culaÍi'is si
refour ventriculaire et passent en arrière de la couche optique. Le noyau caudé est encore sectionné en deux endroits (NC,
mmédiatement en avant du carrefour ventriculaire. Aussi la queue du noyau caudé (NC') se préscnte-t-elle sur cette coupe so
- resse la partie la plus saillante de l'arc décrit par la queue du noyau caudé (\1G'). Substance blanche. La situation d
èlement à leur longueur, qui se confondent au-dessus de la queue du noyau caudé (NC') avec le faisceau d'association occi-
. Au niveau du carrefour ventriculaire et en arrière de la queue du noyau caudé (coupes nOS 97 et 99, (fig. 259 et 260) l
la surface de section tranversale. En dehors du tapetum (Tap) et du noyau caudé (ni) nous trouvons sur les coupes n°S 95,
e con- fondre directement avec la substance grise de la tête du noyau caudé (NC). En avant et en bas, la face inter
volution frontale. - NC + NL3, corps strié, formé par la réunion du noyau caudé NC et du putamen NL3. Na, noyau antérieur d
trié, formé par la réunion du noyau caudé NC et du putamen NL3. Na, noyau antérieur de la couche optique. -Ni,'noyau inte
-Ni,'noyau interne de la couche optique. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge. - Nt, noyau du toit. - 0), première circ
e la couche optique. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge. - Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolution occipitale
trigone et la surface extra- ventriculaire de la couche optique. Noyaux opto-striés et isthme de l'encéphale. - À la paro
ule latéral (VI) la coupe intéresse la partie saillante de la tète du noyau caudé, unie au troisième segment du noyau lenti
e saillante de la tète du noyau caudé, unie au troisième segment du noyau lenticulaire. Ces deux noyaux ne for- 490 ANATO
au caudé, unie au troisième segment du noyau lenticulaire. Ces deux noyaux ne for- 490 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nie
ES CENTRES NERVEUX. nient qu'une seule et même masse (NC ? NL3). Le noyau caudé (NC) fait saillie dans la cavité ventricu
llon, opto-strié (si). On reconnaît dans la couche optique (Th), le noyau antérieur (Na) et le noyau interne (Ni). Au-des
econnaît dans la couche optique (Th), le noyau antérieur (Na) et le noyau interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na),
h), le noyau antérieur (Na) et le noyau interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na), se voit un faisceau de fibres (
). La partie antérieure est intra-ventriculaire et concourt avec le noyau caudé a former le plancher du ventricule latéra
la situé en dedans de la coupe. La région de la calotte comprend le noyau rouge (NR) situé iL cheval sur la région de la,
la calotte (RC), en avant par le champ de Foret (F). En arrière du noyau rouge, nous trouvons la substance réticulée de
s), qui se dirigent obliquement en haut et en avant, du cervelet au noyau rouge. Au-dessous du tubercule quadrijumeau pos
orrespond il peu près il la région sous- optique, en particulier au noyau rouge (n) et ainsi s'explique la différence de
Comme elle passe assez près de la ligne médiane, elle intéresse un noyau gris irrégulier, le noyau du toit du cervelet (Nt
ès de la ligne médiane, elle intéresse un noyau gris irrégulier, le noyau du toit du cervelet (Nt). Coupe n° 7 (fig. 269)
hère. Ligne 7 de la figure 2G7. (Grandeur naturelle.) Al, anse du noyau lenticulaire. C, cunéus. CL, corps de Luys. - Cc,
cédente, s'élargit en arrière au niveau du carrefour ventriculaire. Noyaux opto-striés. - Le noyau caudé (NC) a augmenté de
ière au niveau du carrefour ventriculaire. Noyaux opto-striés. - Le noyau caudé (NC) a augmenté de volume, il fait une fo
première ébauche de la séparation du corps strié en deux parties : noyau caudé (NC) et putamen (troi- sième segment du n
deux parties : noyau caudé (NC) et putamen (troi- sième segment du noyau lenticulaire) (NLJ. Le noyau lenticulaire (\Ly),
NC) et putamen (troi- sième segment du noyau lenticulaire) (NLJ. Le noyau lenticulaire (\Ly), encore très réduit de volum
ichromate, faisceau qui s'étend, du premier indice de séparation du noyau caudé (21C) et du putamen (\L.,), vers la couche
a capsule. (Voy. fig. 267.) La couche optique (Th) est séparée du noyau caudé (NC) par un sillon assez profond, le sill
re. 711F,, face interne de la première circonvolution frontale. - Na, noyau antérieur de la couche optique. NC, noyau caudé
nvolution frontale. - Na, noyau antérieur de la couche optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique.
- Na, noyau antérieur de la couche optique. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - NF, noyau setrr
e. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne de
e de la couche optique. - NF, noyau setrri-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne de la couche optique. - NL3, pu- tamen.
ig. Ni, noyau interne de la couche optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau rouge. -
e. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,, première circon- volution occipita
nlri- culaire. Dans la région intra-ventriculaire, nous trouvons le noyau antérieur de la couche. optique (Na), qu'un déd
un dédoublement de slralum sonate (strz), sépare com- plètement des noyaux externe (N.e) et interne (Ni). Au-dessous du noya
- plètement des noyaux externe (N.e) et interne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na) de la couche optique, nous trouv
r (Na) de la couche optique, nous trouvons, d'avant en arrière : le noyau externe (Ne), facile il reconnaître grâce il se
equel s'irradie le pédoncule antérieur du thalamus (Pa Th), puis le noyau interne (Ni), limité en avant et en arrière par
deux fois. (Voy. Coupes horizontales microscopiques.) En arrière du noyau interne, le pulvinar (Pul) fait saillie dans la p
la partie moyenne de la fente cérébrale de l31claal. Au-dessous du noyau interne (Ni) se trouve le centre médian de Luys
us du noyau interne (Ni) se trouve le centre médian de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus. Les noyaux de la couche opt
ouve le centre médian de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus. Les noyaux de la couche optique reposent sur la région sous-
e optique reposent sur la région sous-optique. Celle-ci présente le noyau rouge (NR) et le corps de Luys (CL). Sur une lign
tubercule mamil- laire (Tm), on trouve, d'arrière en avant, quatre noyaux gris : le pulvinar (Pul), le centre médian de L
noyaux gris : le pulvinar (Pul), le centre médian de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et le corps de Luys (CL). Le corps d
Le corps de Luys (CL) est entouré en bas et en avant par l'anse du noyau lell- ticulaire (Al), qui le sépare de la. subs
arrière le locus niger (Ln) qui délimite, avec la série des quatre noyaux précédemment indiqués, un espace triangulaire, do
e (H). Elle inté- resse le genou de la capsule interne (Ci [g]), le noyau caudé (NC) et les trois segments du noyau lenti
sule interne (Ci [g]), le noyau caudé (NC) et les trois segments du noyau lenticulaire (NL, 2' ,), la partie moyenne du cor
, CERVEAU. 40o Luys (CL) et la couche optique (Th) au niveau de son noyau externe (Ne). L'isthme de l'encéphale est resté
ieure du prolongement sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph) et le noyau amygdalien (NA), dont la face postérieure fait
particulier aux parties latérales de la fente cérébrale de Bichat Noyaux opto-striés. Le noyau caudé (NC) fait une forte s
latérales de la fente cérébrale de Bichat Noyaux opto-striés. Le noyau caudé (NC) fait une forte saillie dans le ventr
effiler au-dessus de la couche optique (Th) pour former la queue du noyau caudé, séparée de la couche optique par le sill
e de la couche optique par le sillon opta-strié (si). Au-dessous du noyau caudé (NC), apparait ,49G ANATOMIE DES CENTRE
on calloso-m;rginnl. - COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 49' ? le noyau lenticulaire (NL : 1, ,), dont le troisième segme
le troisième segment (NL3) est encore très petit et décrit avec le noyau une courbe à concavité postérieure et infé- rie
quelle se loge le globus pallidus (NLz, ,). Le putamen (NL.,) et le noyau caudé (NC) sont séparés par des faisceaux de fibr
nt séparés par des faisceaux de fibres blanches, qui donnent il ces noyaux l'aspect strié auquel ils doivent leur nom de cor
bas et en arrière et traversent le deuxième et le premier segment du noyau lenti- wlail'c (;\/L" 1)' Elles appartiennent a
L" 1)' Elles appartiennent au système lenticulo-caudé et relient le noyau caudé (NC) au globus pallidus (NL,, ) et aux cent
es sagittales montrent très nettement les rapports qu'affectent les noyaux opto-striés entre eux. La couche optique (Th) est
ié. Sur la coupe n° 15 (fig. 271) elle est enclavée entre la queue du noyau caudé, et le pied du pédoncule cénrGral (P), ma
e n° 10 (fig. 270), le thalamus (Th) est sectionné au niveau de son noyau externe (Ne), facile il reconnaitre grâce à la
u thalamus. <) ? ! e, Imi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. NA, noyau anngdalicn. JVC, noyau
mi, lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. NA, noyau anngdalicn. JVC, noyau caudé. Ne, noyau externe d
xterne et interne du noyau lenticulaire. NA, noyau anngdalicn. JVC, noyau caudé. Ne, noyau externe du thala- mus. NI3, "
du noyau lenticulaire. NA, noyau anngdalicn. JVC, noyau caudé. Ne, noyau externe du thala- mus. NI3, " putamen et globus
ur de la capsule interne (Cia), en avant de la partie antérieure du noyau externe (Ne) du thalamus (Th). . Le cervelet ne
au de la paroi externe du ventricule latéral (PeVl) et sectionne le noyau caudé (NC) dans toute sa longueur, jusqu'au poi
n° 17 (fig. 272), cette continuité est interrompue par la fusion du noyau lenticulaire (NL,) avec le noyau amygdalien (NA),
é est interrompue par la fusion du noyau lenticulaire (NL,) avec le noyau amygdalien (NA), et l'écorce du lobe temporal e
d'avant en arrière, située entre la corne (1'tîiti)ioii (CA) et le noyau amygdalien (NA.) Noyaux gris centraux. Le noyau
tuée entre la corne (1'tîiti)ioii (CA) et le noyau amygdalien (NA.) Noyaux gris centraux. Le noyau caudé (NC) est sectionné
iti)ioii (CA) et le noyau amygdalien (NA.) Noyaux gris centraux. Le noyau caudé (NC) est sectionné dans toute sa longueur
une disposition rayonnée, et convergent vers les segments internes du noyau lenticulaire (nez, ,,) qu'elles traversent pour
nticulaire (nez, ,,) qu'elles traversent pour la plupart. La queue du noyau caudé est séparée de la couche optique (Th) par
ielle. mFi, face interne de la première circonvolution frontale. -"A, noyau amygda- lien. NC, noyau caudé. - Ne, noyau exte
e la première circonvolution frontale. -"A, noyau amygda- lien. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NL" NL2,
nvolution frontale. -"A, noyau amygda- lien. NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NL" NL2, ;>IL¡, noyau len
NC, noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. NL" NL2, ;>IL¡, noyau lenticulaire avec ses trois segntents.-0,, 0, p
. - L'écorce du lobe temporal se continue directement an-dessous du noyau lenticulaire (NL3' NL,, \L,) avec celle de la par
s'insèrent les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale (Pchsl'h). Noyaux gris centraux. Le noyau amygdalien (NA) limite la
oroïdes de la corne sphénoïdale (Pchsl'h). Noyaux gris centraux. Le noyau amygdalien (NA) limite la paroi anté- rieure de
al a disparu, il sa place on trouve, entre les derniers vestiges du noyau caudé (NC) et le corps calleux (Cc), une surfac
es plus claires qui appartiennent à la couronne rayonnante (CR). Le noyau caudé est sectionné une première fois au niveau d
dans le pulvinar (Pul). Ce dernier est séparé du segment interne du noyau lenticulaire (NL,) par les fibres du segment po
s du segment antérieur de la capsule interne (Cia) situées entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (NL,¡, 2' ,),
de la capsule interne (Cia) situées entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (NL,¡, 2' ,), présentent une directi
ond à la bandelette optique (II) et sa base à la limite supérieure du noyau caudé (NC). Lorsque d'autre part on se reporte
ttales fait comprendre éga- lement, comment Meynert a pu décrire au noyau lenticulaire un pôle central et un pôle périphé
périphérique à sa face interne. En réalité, le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) donne naissance à un grand nom
te de deux ordres, les unes constituent les fibres de projection du noyau caudé, qui traversent perpendiculairement le segm
terne, puis concourent à former les lames médullaires verticales du noyau lenticulaire (lmi, lme), entrent dans la constitu
lenticulaire (lmi, lme), entrent dans la constitution de l'anse du noyau lenticulaire, pour se porter de là dans la calott
t en bas et en arrière, dont le segment antérieur est limité par le noyau amygdalien (NA) et le segment supé- rieur par l
nt supé- rieur par l'extrémité antérieure recourbée, de la queue du noyau caudé (NC"). micr sillon frontal. ? incisure du
bule lingual. - lnae, lnzi, lames médullaires externe et intcrnc du noyau lenticulaire. - NA, noyau amygdalien. NC, tète du
, lames médullaires externe et intcrnc du noyau lenticulaire. - NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. - \'C', qu
intcrnc du noyau lenticulaire. - NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL,
. - NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL,, noyau lenticulaire et ses tr
C, tète du noyau caudé. - \'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments. Oi, premièr
nd aux parties latérales de la fente cérébrale de Bichat (B). - . Noyaux gris centraux. La tête et le tronc du noyau caudé
ale de Bichat (B). - . Noyaux gris centraux. La tête et le tronc du noyau caudé ont disparu, et ne sont plus représentés
le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et qui relient le noyau caudé au putamen (NL3). La queue du noyau caudé
e (Cip) et qui relient le noyau caudé au putamen (NL3). La queue du noyau caudé (NC') est intéressée en deux endroits; un
rise (NL3) qui s'irradient pour se porter en dedans vers la tête du noyau caudé qui est restée en dedans de la coupe. Le se
formé par le putamen (NL3) et l'extrémité antérieure de la queue du noyau caudé (NC"). Le thalamus (Th) est sectionné au
en avant par la zone réticulée (zr) et séparé du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2) par le segment postérieur de
le lingual. Lmm, lame médullaire moyenne de la corne d'Am- mon. NA, noyau amygdalien. 1VC', queue du noyau caudé. NC", part
moyenne de la corne d'Am- mon. NA, noyau amygdalien. 1VC', queue du noyau caudé. NC", partie recourbée de la queue du noy
n. 1VC', queue du noyau caudé. NC", partie recourbée de la queue du noyau caudé. NL3, i'L, troisième et deuxième segments d
la queue du noyau caudé. NL3, i'L, troisième et deuxième segments du noyau lenticu- laire. 02, deuxième circonvolution occ
27 de la figure 207. Cette coupe passe par le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3), le fond du sillon marginal
latie. Sa limite supérieure est formée par les derniers vestiges du noyau amygdalien (NA), par l'extrémité antérieure rec
mygdalien (NA), par l'extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé (NC") unie au pédoncule du putamen (PNL.,
et des fibres du tænia scmi-circularis (le), enfin par la queue du noyau caudé (NC') au niveau de sa réflexion. Quant à la
s que grâce il leur coloration et à la direction de leurs fibres. Noyaux gris centraux. Des trois segments du noyau lentic
ection de leurs fibres. Noyaux gris centraux. Des trois segments du noyau lenticulaire, le putamen (NL) est seul intéress
. ma, sillon marginal antérieur. ms, sillon marginal supérieur. NA, noyau amygdalien. - NC, queue du noyau caudé. - NC", pa
ms, sillon marginal supérieur. NA, noyau amygdalien. - NC, queue du noyau caudé. - NC", partie recourbée de la queuc du n
- NC, queue du noyau caudé. - NC", partie recourbée de la queuc du noyau caudé. - NL,, putamcn. - 0" deuxième circonvoluti
de la couronne rayonnante. - PNL" pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire. pri, sillon pré-rolandique inférieu
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. mité antérieure recourbée de la queue du noyau coudé (NC"). Ce pédoncule porte le nom de pédon
C"). Ce pédoncule porte le nom de pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire ou pédoncule du putamen (PNL3). Il
ns le sinus de l'angle formé par le pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire (Pi`1L) et le putamen, se logent l
logent la commissure arrtérieure (coa), l'extré- mité supérieure du noyau amygdalien (NA) et de nombreux orifices vasculair
la moitié antérieure de la face supérieure du troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) sont lisses, sa moitié postéri
stance grise qui se dirigent en haut et en arrière vers le tronc du noyau caudé, resté en dedans de la coupe. Ces languette
et qui siégeaient sur la moitié antérieure de la face supérieure du noyau , lenticulaire. Entre l'extrémité antérieure rec
lenticulaire. Entre l'extrémité antérieure recourbée de la queue du noyau caudé (NC") et la partie de la queue du noyau c
ourbée de la queue du noyau caudé (NC") et la partie de la queue du noyau caudé qui fait saillie dans le carrefour ventricu
n marginal postérieur.-ms, sillon marginal supérieur. NC', queue du noyau caudé. Os, 0,; deuxième et troisième circonvoluti
le de Meckel, (Ec, fig. 275). Sa paroi supérieure est longée par un noyau gris, mince et étroit, interrompu par quelques
ues faisceaux de fibres blanches et qui appartient ¡lia la queue du noyau caudé (NC'). Au-dessus du noyau caudé on trouve u
et qui appartient ¡lia la queue du noyau caudé (NC'). Au-dessus du noyau caudé on trouve une série de libres il directio
rc (fur) qui passe dans la région sous-optique supérieure, entre le noyau lenticulaire et la partie recourbée de la queue
, entre le noyau lenticulaire et la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC') pour se rendre dans la région des p
ième et troisième circonvolutions temporales. La queue recourbée du noyau caudé (NC') représente sur cette coupe le der-
e, située entre la circonvolution antérieure de l'insula (la) et le noyau lenticulaire. Il est séparé des circonvolutions
ciation interlobaire, le faisceau uncinatus (Fu). Il est séparé [du noyau lenticulaire sur la coupe actuelle, n° 33 (fig.
elle, n° 33 (fig. 275,) par une mince lamelle blanche, qui borde le noyau lenticulaire en avant et en bas, et qui entoure
ndant à la ligne 37 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors des noyaux gris centraux, elle est tangente au bord extern
nt-mur par les fibres du faisceau uncinatus. 4° La constitution des noyaux gris centraux -corps opto-striés et région sous
tude des transforma- tions successives de la capsule interne et des noyaux gris centraux. Nous y suppléons largement par n
intéressante au point de vue du faisceau uncinalus et de l'anse du noyau lenticulaire. Ce dernier faisceau est sectionné
r entrer dans la constitution de la partie interne de la capsule du noyau rouge. La coupe E indique la façon dont le fais
et montre les connexions du faisceau longitudinal inférieur avec le noyau amygdalien... III. La troisième série comprend
es coupes horizontales macrosco- piques. Ces coupes intéressent les noyaux gris centraux, la capsule interne, la région so
e du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, de l'anse du noyau lenticulaire, des faisceaux tlwlamlquc (II,) et l
t intéressé au niveau de sa partie antérieure, ou partie commune au noyau caudé et au putamen. Le noyau caudé (NC) forme to
rtie antérieure, ou partie commune au noyau caudé et au putamen. Le noyau caudé (NC) forme toute la paroi externe du vent
ntérieure de la capsule externe (Ce) et de Y avant-mur (AM). Ces deux noyaux sont incomplètement séparés dans leurs 3/ supér
ise et affectent la forme d'un U oblique en haut et en dehors. Le noyau caudé contourne, en bas et en crochet, l'angle in
t former, au niveau de l'espace perforé antérieur, le colliculus du noyau caudé (CNC). Le noyau caudé est recouvert en deda
l'espace perforé antérieur, le colliculus du noyau caudé (CNC). Le noyau caudé est recouvert en dedans par l'épendyme ve
érieure du corps calleux (Ce). Au-dessous du ventricule latéral, le noyau caudé est séparé de la substance grise du septu
mince couche de fibres tangentielles qui tapissent le colliculus du noyau caudé (CNC) et qui séparent seules ce noyau, de
issent le colliculus du noyau caudé (CNC) et qui séparent seules ce noyau , de la névroglie sous-pie-mérienne et de la pie-
ouche de fibres propres qui doublent le seuil de l'insula (1). Le noyau caudé (NC) et le putamen (NL3) sont formés par un
ent antérieur de la capsule. Du putamen (\TL 3) et du colliculus du noyau caudé (CNC), naissent un certain nombre de fasc
ermédiaire et au cerveau moyen. Ces fibres donnent au colliculus du noyau caudé un aspect lobule tout à fait spécial et fac
- Cing, cingulum. cm, sillon calloso-marginal. - CNC, colliculus du noyau caudé. - CR, couronne rayonnante. - Fi, F2, F3,
ère circonvolution frontale. - ms, sillon marginal supérieur. - NC, noyau caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulai
on marginal supérieur. - NC, noyau caudé. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). OF, faisceau occipito-f
t formé de trois segments nettement séparés; au putamen (NL3) et au noyau caudé (NC) qui a diminué considérablement de volu
é considérablement de volume, s'est adjoint le deuxième segment, du noyau lenticulaire ();L2) ou segment exlerne du globu
e) et en dehors avec l'écorce de la circonvolution du crochet (U). Le noyau caudé (NC), tapissé par Y épendyme comme dans l
est très abondante au niveau de la partie inférieure de la tête du noyau caudé (NC) et de l'angle inférieur du ventricule
angle inférieur du ventricule latéral. Bu corps strié (NC, [nul,]) ( noyau caudé et putamen) el du globus pallidus (NL2) p
el du globus pallidus (NL2) partent un grand nombre de libres : le noyau caudé donne naissance, COUPES MICROSCOPIQUES DU
segment antérieur de la capsule interne (Cia) et se portent vers le noyau lenticulaire. La plupart de ces fibres lenliculo-
ne du globus pallidus (NL) et forment la lame médullaire externe du noyau lenticulaire (lme). Un certain nombre de ces li
présentent le même aspect et la même coloration que les fascicules du noyau caudé (NC) ; les uns entrent dans la constituti
uns entrent dans la constitution de la lame médullaire l'Heml ? du noyau lenticulaire (Ime); les autres traversent le segm
térieur de la capsule interne (Cia) le long du bord supérieur de ce noyau , et sont faciles il reconnaître dans la capsule
e fortement colorées par l'hématoxyline, fibres qui impriment il ce noyau une coloration foncée toute spéciale, sur les c
idus sous forme d'un feutrage très dense. Au niveau du sommet de ce noyau , elles se groupent en fascicules clairsemés et
s obliquement. Ces fascicules appartiennent au système de l'anse du noyau lenticulaire et du faisceau lenticulaire de Forel
rt dans la couche optique, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Ys, noyau rouge) et le locus nir;e'; leur existence est c
fascicules séparés par les pouls de substance grise qui relient le noyau caudé (XC) au putamen (NLJ, par les fibres lenlic
ées et par les fibres qui entrent dans la constitution de l'anse du noyau lenticulaire. La capsule externe (Ce) est formé
L,, première circonvolution limbique. Ime, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. mF,, face interne de la première
illon marginal postérieur. - n ? s, sillon marginal supérieur. -NC, noyau c ! ).udc. ;V, nerf de Lancisi. - NL3, NL" trui-
;V, nerf de Lancisi. - NL3, NL" trui- sième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipiLn-17·nt : rl.
pique n° 63 (fig. 245). Cette coupe passe par les trois segments du noyau lenticulaire (NL3, Nul=, NL,) l'extrémité antér
=, NL,) l'extrémité antérieure de la couche optique (Th), l'anse du noyau len- ticulaire (Al), le genou de la capsule int
ng) ne présenteut rien de particulier à noter. Il en est de même du noyau caudé (NC), qui a diminué de volume, et du troi
yau caudé (NC), qui a diminué de volume, et du troisième segment du noyau lenticulaire ou putamen (NL3). En dedans du put
eux segments, séparés par les lames médullaires externe et interne du noyau len- ticulaire (lme, lmi). Ces deux segments du
et de l'angle interne du globus pallidus et qui constitue l'anse du noyau lenticulaire (Al). Sec- tionnées parallèlement
- tionnées parallèlement il leur longueur, ces fibres de l'flnse du noyau lenticulaire longent le bord inférieur du globu
la capsule interne et entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge. ' L'anse du noyau lenticulaire (Al) est
rent dans la constitution de la capsule du noyau rouge. ' L'anse du noyau lenticulaire (Al) est renforcée par des fibres pe
U. 535 l'hématoxyline et qui appartiennent aux lames médullaires du noyau lenticulaire. z La lame médullaire externe (lme
lame médullaire externe (lme) reçoit un fort contingent de fibres du noyau caudé (NC), fibres qui traversent le segment, a
eur et se portent, comme les précédents, vers la face inférieure du noyau lenticulaire où ils se recourbent, pour entrer da
où ils se recourbent, pour entrer dans la constitution de l'ansc du noyau lenticulaire (Al). Mais un certain nombre de fibr
région un petit faisceau assez isolé, situé au-dessus de l'anse du noyau lents- c2claire. Au-dessous du putamen (NL3),
les suivre jus- qu'au-dessous de la partie postérieure de l'anse du noyau lenticulaire. Suivi sur des coupes sériées, le
e qu'il borde au niveau de sa face interne. Au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire, on trouve, dans la substance gris
l'hématoxyline et séparant la bandelette optique (II) de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La substance grise centrale
férieure, ou région sous-optique, on trouve, en dedans de l'anse du noyau lenticulaire (Al), la section oblique de la par
i reçoit très manifestement sur cette coupe des fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al), fibres qui traversent la par
nt leur direction et qui se portent en bas et en dedans. Au niveau du noyau 536 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ho. 283.
ctement à la coupe macroscopique de la figure 2\'5, . Al, anse du noyau lenticulaire. - AJI, av;mt-rnur. - 1VI', partie d
ROSCOPIQUES DU CERVEAU. 53- -. caudé (NC) et du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL1), le segment, ont ? rieur de
e substance grise appartenant au pédoncule du putamen (PNL,) et. au noyau amygdalien (NA). L'écorce de la circonvolution
la circonvolution du crochet (U) se renfle pour donner naissance au noyau amygdalien (NA), traversé par des fascicules asse
et en dehors et segmen- tent le pédoncule du putamen (PNL.,). Le noyau amygdalien. (NA) fait saillie dans la corne sphén
s de substance grise qui relient le pédoncule du putamen (PNL.,I au noyau amygdalien (NA). Le faisceau longitudinal infér
, première circonvolution limbique. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. Ime' , lame médullaire supplémentai
laire. Ime' , lame médullaire supplémentaire du deuxième segment du noyau lenticulaire, divisant ce segment en deux parties
sant ce segment en deux parties. - lnzi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. M : Fi, face interne de la première
térieur de l'insula. 1ns, sillon marginal supérieur de l'insula.- NA, noyau amygdalien. A'C, noyau caudé. XL3. NL" NLI, tro
sillon marginal supérieur de l'insula.- NA, noyau amygdalien. A'C, noyau caudé. XL3. NL" NLI, troisième, deuxième et premi
yau caudé. XL3. NL" NLI, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. OpR,
édoncule inférieur du thalamus ? Y, pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire. - R, scissure de Rolando. RTh, ra
tique (PiTh), dont les fibres peuvent être suivies depuis l'anse du noyau lenticulaire (Al) jusque dans la substance blan
sceau occipito-frontal (OF) et de la couronne rayonnante (CR). Le noyau caudé (NC), très réduit de volume, se trouve sect
esse la corne sphénoïdale du ventricule latéral (Vsph). Le tronc du noyau , caudé (NC), recouvert par la substance grise s
se sous-épendymaire (Sge), émet des fibres de projection qui, de ce noyau , se rendent dans les lames médullaires (Ime, lmi)
i, de ce noyau, se rendent dans les lames médullaires (Ime, lmi) du noyau lenticu- laÍ1'e, après avoir traversé le segmen
ersé le segment postérieur de la capsule interne (Cip). La queue du noyau caudé (NC') est sectionnée au niveau du point où
ctionnée au niveau du point où elle s'unit aux derniers vestiges du noyau amygdalien (NA) et à la face inférieure du putame
mygdalien (NA) et à la face inférieure du putamen (NL.,). Ces trois noyaux ne forment sur cette coupe qu'une masse unique li
n située en arrière de la circonvolution du, cro- chet, la queue du noyau caudé (NC') est séparée du putamen (NLa) par une
ar les lames médullaires COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 539 du noyau lenticulaire (Ime, lmi). Le segment externe (NL2)
noyau lenticulaire (Ime, lmi). Le segment externe (NL2) repose sur le noyau amyu- dalien (NA), dont il est séparé parles de
psule interne. La couche optique (Th) représente sur cette coupe un noyau volumi- neux, irrégulièrement quadrilatère. Sa
l, elle est recouverte par Yépendymé ventriculaire et correspond au noyau externe (Ne) de la couche optique. Une couche épa
e,L'ii'OE-ventl'iculail'e de la couche optique; elle correspond au noyau , antérieur du thalamus (Na) qui se trouve compris
du stratum zonale. La face interne de la couche optique répond à son noyau interne (Ni) et limite le troisième ventricule.
e fibres, dont les uns, sectionnés parallèlement, pénètrent dans le noyau interne (Ni) du thalamus en formant les fibres
ale, la lame médullaire externe du thalamus (Lme), qui la sépare du noyau externe. (Ne) de la couche optique. La face inf
) et le corps de Luys (CL). La couche optique est formée de trois noyaux , présentant un aspect spécial, et faciles à rec
un aspect spécial, et faciles à reconnaître les uns des autres. Le noyau antérieur (Na), riche en sub- stance grise, reç
) quelques rares fibres qui le sillon- nent de dehors en dedans. Le noyau externe (Ne) est séparé du noyau interne (Ni) p
llon- nent de dehors en dedans. Le noyau externe (Ne) est séparé du noyau interne (Ni) par la lame médullaire interne du
t de toute la couronne rayonnante du thalamus. Ces fibres arrivent au noyau externe par l'intermédiaire du segment postérie
e l'écorce cérébrale. Outre les fibres radiaires qui impri- ment au noyau externe l'aspect caractéristique qu'il présente s
s colorées par les méthodes de Pal ou de Weigert, on trouve dans le noyau externe un feutrage extrêmement dense de fines
s sont particulièrement denses au niveau de la moitié inférieure du noyau C,x : tl ! l'l1C (Ne), où elles se réunissent pou
n sous-optique, où il constitue le faisceau thalamique de Forel. Le noyau interne (Ni) est surtout caractérisé par la prése
e a son extrémité antérieure, s'irradient dans toute la longueur du noyau externe et du noyau interne. (Voy. coupe C, fig
térieure, s'irradient dans toute la longueur du noyau externe et du noyau interne. (Voy. coupe C, fig. 295). Il reçoit en
n outre des fibres radiées qui lui arrivent après avoir traversé le noyau et la lame médullaire interne (Lmi) du thalamus.
édullaire interne (Lmi) du thalamus. A l'angle supéro-interne de ce noyau interne (Ni) on trouve la section transver- sal
exlra-venlriculaire de la couche optique. A la limite inférieure du noyau interne, au-dessus du sillon de Monro, on trouv
ne du thalamus (Lmi). La région sous-optique, située au-dessous des noyaux interne et externe du thalamus, en dedans du pi
ur cette coupe. La région sous- optique comprend sur cette coupe un noyau gris, le corps de Luys (CL) et une calloso-marg
médullaire interne du tha- lamus. lnze, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du n
aire externe du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. Ln, locus nier.- mp, sillon margina
illon marginal postérieur. - 112S, sillon marginal 1 supérieur. NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NC', queue du noya
eur. - 112S, sillon marginal 1 supérieur. NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Na, Ne, Ni,
1 supérieur. NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et
ygdalien. NC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NL,,
lamus. - NL,, NL" 11'L,, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le premier segment est subdivisé en
de la couronne rayonnante. P.VL3, pédoncule du troisième segment du noyau lenticulaire. p) ? sillon prérolandique inférie
on et comme origine ces fibres font suite aux fibres de l'ansl ! du noyau lenticulaire; les unes contournent la face inféri
é- mité externe de ce corps et se mélangent au feutrage dense de ce noyau , les autres forment un faisceau qui enveloppe,
iculaire de Forel, et entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge (Voy. fig. 309 il 311 et 318). En dedans
origine en grande partie de la lame médullaire externe (Lme) et du noyau exlerur. (Ne) du thalamus. Elles naissent du feut
xlerur. (Ne) du thalamus. Elles naissent du feutrage librillaire du noyau externe (Ne), forment il la limite inférieure de
rillaire du noyau externe (Ne), forment il la limite inférieure de ce noyau un faisceau assez compacte, le faisceau lhalami
ant plus oblique, qu'elles abordent des régions plus inférieures du noyau externe (Ne) de la couche optique. A côté de ces
veau du pied de la couronne rayon- liante (pCR) la face profonde du noyau caudé (NC), puis se coudent brusquement et desc
sorte que l'enche- vêtrement des fibres si accentué au voisinage du noyau caudé et du stratum zonale cesse complètement a
lerzficulo-crzu.décs. Elles constituent les fibres de projection du. noyau caudé, traversent la partie supérieure de la ca
abordent soit le putamen (NL3), soit la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (Lme). Elles se distinguent en génér
Elle intéresse le segment externe (NL,) et le segment moyen (GP) du noyau lenticulaire, le centre médian de Luys (Nm), le n
moyen (GP) du noyau lenticulaire, le centre médian de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et les radiations de la calotte (RC)
rrte (GR). Le pied de la cnitrrr>c-uâs- z rayonnante (pCR) et le noyau caudé (NC) ne présentent rien de particulier il
a bandelette optique et la couche des fibres du tapetum (Tap). Le noyau lenticulaire se réduit il deux segments : le puta
voisinage de la région rétro-lenticulaire de la capsule interne. Le noyau externe (Ne) de la couche optique (Th) est toujou
ame médullaire interne du thalamus, atteignent la partie moyenne du noyau interne (Ni). Le noyau externe présente toujour
du thalamus, atteignent la partie moyenne du noyau interne (Ni). Le noyau externe présente toujours le fin feutrage de libr
on ver- ticale, qui se portent en bas et entrent dans la capsule du noyau rouge (NR). Le noyau interne (Ni), riche en fib
e portent en bas et entrent dans la capsule du noyau rouge (NR). Le noyau interne (Ni), riche en fibres radiées, a vu dispa
ne du thalamus, ne présentent rien de particulier il noter. Entre les noyaux externe (Ne) et interne (Ni) du thalamus appara
e fusiforme. - CI', globus pallidus ou segments interne et moyen du noyau lenticulaire ? l, hippocampe. h, sillon de Diippo
me cornée et fibres du toenia scmi-circularis. Ln, locus niger. NC, noyau caudé. Ni, noyau interne du thala- mus. NL, ner
es du toenia scmi-circularis. Ln, locus niger. NC, noyau caudé. Ni, noyau interne du thala- mus. NL, nerf de Lancisi. NLa
terne du thala- mus. NL, nerf de Lancisi. NLa, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen1. Nm, noyau médian du tha
ancisi. NLa, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen1. Nm, noyau médian du thalamus. - XII, noyau rouge. OF, faisc
noyau lenticulaire (putamen1. Nm, noyau médian du thalamus. - XII, noyau rouge. OF, faisceau occipitn-fmntal. OpR, operc
nia tecta. 1 ? 7, trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. 771.Ve, noyau externe du thalamus. tth, t : enia tlialami.- U
nd nombre de fibres. Il reçoit la terminaison des fibres radiées du noyau externe du thalamus (Ne) et un certain nombre de
e du thalamus (Ne) et un certain nombre de fibres du feutrage de ce noyau , qui, traversant la lame médullaire interne, pénè
les gros fascicules des radiations de la calotte (RC) qui émergent du noyau rouge (NR), puis se portent dans la partie exte
rouge (NR), puis se portent dans la partie externe de la calotte du noyau rouge et entrent dans la constitution du ruban
ans la constitution du ruban de Reil médian. C'est il la capsule du noyau rouge que se rendent, de même, les fibres vertica
u rouge que se rendent, de même, les fibres verticales du feutrage du noyau externe du thalamus (Ne), ainsi que celles des
alamus (Ne), ainsi que celles des lames médullaires du thalamus. Le noyau rouge (NR) occupe la plus grande partie de la rég
doncule cérébral. Il se présente sur cette coupe sous la forme d'un noyau arrondi, très irrégulier, étranglé sa partie moye
nt particulièrement serrés au niveau de la partie inféro-interne du noyau rouge, où ils font suite aux fibres dû pédoncul
de la troisième paire (III) qui embrassent la convexité inférieure du noyau rouge. De la partie supéro-externe du noyau rou
convexité inférieure du noyau rouge. De la partie supéro-externe du noyau rouge (NR) se détachent les radiations de la ca
uys (Nm), soit dans les lames médullaires du thalamus, soit dans le noyau externe de la couche optique Ne). En dehors, le
soit dans le noyau externe de la couche optique Ne). En dehors, le noyau rouge est entouré par les fines fibres émanées du
ntrent dans la constitution du ruban de ]leiI1lu1dian. En dedans du noyau rouge, on trouve la section transversale d'un cer
éunies en fascicules serrés, fibres qui appartiennent à la capsule du noyau rouge et en particulier au faisceau longitudina
gent en haut et en dedans, passent au-dessous du segment externe du noyau lenticulaire (NL3)) et se trouvent sectionnées br
, V. Elle intéresse la partie moyenne de la couche optique (Th), le noyau ronge (NR), et le pédoncule cérébral. Elle pass
ame cornée (le) en dehors de la bandelette optique (II). La tète du noyau caudé (NC) ne présente rien de particulier il not
capsule interne (Cip) et qui se rendent dans la lame médullaire du noyau lenticulaire. De la partie recourbée de la queue
llaire du noyau lenticulaire. De la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC') située dans la corne sphénoïdale, par
bres qui se portent en haut et en dedans vers la face inférieure du noyau lenticulaire, pour entrer dans la constitution
pour entrer dans la constitution de la lame médullaire externe de ce noyau . Le noyau lenticulaire est surtout représenté p
dans la constitution de la lame médullaire externe de ce noyau. Le noyau lenticulaire est surtout représenté par le putame
en bas et en dedans, l'abordent dans la région lhalamique. Les deux noyaux de la couche optique, le noyau externe (Ne) et le
dans la région lhalamique. Les deux noyaux de la couche optique, le noyau externe (Ne) et le noyau in- terne (Ni), présen
. Les deux noyaux de la couche optique, le noyau externe (Ne) et le noyau in- terne (Ni), présentent les mêmes caractères
1',rtm-velltl'iculaÎl'e de la couche optique, on retrouve encore le noyau antérieur (Na), compris dans un dédoublement du s
tique (Th) repose sur la région sous-optique, en particulier sur le noyau rouge (NR). On voit encore sur cette coupe, les d
dullaire externe (Lme). Au-dessus de ce faisceau se trouve un petit noyau aplati, légèrement recourbé sur son axe, le noy
e trouve un petit noyau aplati, légèrement recourbé sur son axe, le noyau semi-lunaire de Flechsi ! 1 (NF). Du noyau rouge
recourbé sur son axe, le noyau semi-lunaire de Flechsi ! 1 (NF). Du noyau rouge (NR) ha1'tent un certain nombre de faisce
plan situé un peu en arrière de celui de cette coupe. En dehors, le noyau rouge est limité par des fibres section- nées p
ection- nées perpendiculairement, qui appartiennent à la capsule du noyau rouge et au pédoncule cérébelleux supérieur (Pc
s. Lmi, lame médullaire interne du thalamus. Lu, locus niger. - Na, noyau antérieur du thalamus. \'C, tronc du noyau caudé.
. Lu, locus niger. - Na, noyau antérieur du thalamus. \'C, tronc du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, noyau exte
oyau antérieur du thalamus. \'C, tronc du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. VF, noyau s
thalamus. \'C, tronc du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. VF, noyau semi-lunaire de Fl
caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. VF, noyau semi-lunaire de Flechsig. - Ni, noyau interne d
oyau externe du thalamus. VF, noyau semi-lunaire de Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. XL3, putamen. A'R, noyau rou
re de Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. XL3, putamen. A'R, noyau rouge. OF. faisceau occipito- frontal. - Coppa.
quement de direction, au niveau de la face inférieure de la tête du noyau caudé (NC) et au niveau du putamen (nul.,). La ré
, passent au-dessous du putamen (NL3) et le séparent de la queue du noyau caudé (NC), des fibres de la lame cornée (tænia
re les surfaces de sections de la Ir ? te (NC) et de la queue (NC) du noyau caudé, puis pénètrent dans la couche optique (T
ns, passent entre l'extrémité antérieure re- courbée de la queue du noyau caudé (NC') et les îlots inférieurs du putamen (N
dinal infé- rieur (Fli) sont traversées au voisinage de la queue du noyau coudé (NC'), par des libres sectionnées parallè
6', lame médullaire superficielle. - Ln, locus niger. NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, n
ielle. - Ln, locus niger. NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de l
r. NC, tronc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne de la couche optique. NU, troi
aux externe et interne de la couche optique. NU, troisième segment du noyau lenticu- laire (putamen). OF, faisceau occipito
corps genouillé externe (Cge) et la partie recourbée de la queue du noyau caudé (NC, La couche optique (Th), considérable
onsidérablement diminuée de volume, est surtout représentée par son noyau externe (Ne). La zone réticulée (Zr) et la lame m
ique n" 95, (fig. 258). Cette coupe passe en arrière de la queue du noyau caudé et sectionne le bourrelet du corps calleu
COPIQUES DU CERVEAU. 333 ventriculaire. Elle n'intéresse donc aucun noyau gris de la base, mais exclusivement la masse bl
et immé- diatement en arrière de la partie recourbée de la queue du noyau caudé. Le bourrelet du corps calleux (Ce), form
ubstance grise (NL,,) qui relient le putamen (NL ? I il la queue du noyau caudé (NC'), puis s'irradient dans la couche opti
irection. Ce faisceau s'arrête brusquement au niveau de la queue du noyau caudé (NC'). gert. 3/2 grandeur naturelle. Déta
nguai. Mo, trou de Monro. n : jo, sillon marginal postérieur. -.Va, noyau antérieur de la couche optique.. - NC, noyau ca
inal postérieur. -.Va, noyau antérieur de la couche optique.. - NC, noyau caudé. - v'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau
ntérieur de la couche optique.. - NC, noyau caudé. - v'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique.
he optique.. - NC, noyau caudé. - v'C', queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe de la couche optique. - 1 NL3, deuxième
ne de la couche optique. - 1 NL3, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire.-0,, première circonvolution occip
direction oblique en avant et en dedans. , La capsule interne, les noyaux gris de la base ne présentent ici rien de par-
interne et externe (Cgi, Cge), le corps de Luys (CL), la capsule du noyau rouge (NR(c) et les quatre segments du noyau lent
ys (CL), la capsule du noyau rouge (NR(c) et les quatre segments du noyau lenticulaire (NL3, GP). - Cf/i, corps genouillé
a postérieur. - Lg, lobule lingual. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médul- laire interne
externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médul- laire interne du noyau lenticulaire. - mp, sillon marginal postérieur. -
nterne du noyau lenticulaire. - mp, sillon marginal postérieur. - VC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. : 1'L3, tro
mp, sillon marginal postérieur. - VC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. : 1'L3, troisième segment du noyau lenticu
au caudé. - NC', queue du noyau caudé. : 1'L3, troisième segment du noyau lenticulaire ou putamen. - A(c), capsule du noy
isième segment du noyau lenticulaire ou putamen. - A(c), capsule du noyau l'auge. - 0" troisième circonvolution occipitalc.
s (T" T2, T : 1). En avant, il se perd sous le troisième segment du noyau lenticulaire f\L") et s'entre-croise avec les fib
ame médullaire externe du thalamus. Tme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. Lmi, lame médullaire interne du t
F, face interne de la première circonvolution frontale. Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. NC, tè
, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. NC, tète du noyau caudè. - NL3, NI,2, troisième et deuxième segme
tète du noyau caudè. - NL3, NI,2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal.
-dessous du genou du corps calleux. Elle intéresse deux segments du noyau lenticulaire (NL3' NL2), et la partie moyenne d
de la couronne rayonnante (CR) traversent l'extrémité antérieure du noyau externe (Ne) et la lame médullaire interne (Lmi)
i) du thalamus et peuvent être suivies jusqu'à la partie moyenne du noyau interne (Ni) du thalamus. Ce mode de pénétratio
nombre de gros fascicules sectionnés en travers, qui impriment aux noyaux interne et exlerne du thalamus (Ni, Ne) un aspe
e (mF,). D'autres fibres, enfin, traversent au niveau de la tête du noyau caudé (NC), le pied de la couronne rayonnante et
es circonvolu- tions frontales, la région sous-optique et l'anse du noyau lenticulaire (Al). On reconnaît au niveau de la
é est intéressant à étudier sur cette coupe. Le putamen (NLs) et le noyau caudé (NC) ne forment qu'une seule masse, qui app
inée de Reichert (Sti), mais on ne les voit pas atteindre l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres 572 ANATOMIE DE
ur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - CNC, colliculus du noyau caudé. - coa, com- missure antérieure. - CR, co
, insula antérieur et postérieur. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du
re externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. lmi·, lame médullaire interne suppl
re interne supplémentaire, divisant en deux le seg- ment interne du noyau lenticulaire (NI,). ll, lame terminale embryonnai
téressante parce qu'elle sectionne dans toute son étendue l'anse du noyau lenticulaire (Al). On voit cette dernière se cont
ette région les apparences du pied du pédoncule cérébral. L'anse du noyau lenticulaire (Al) passe entre le pied du pédoncul
is se confond avec les fibres de la partie interne de la capsule du noyau rouge (NR). La partie postérieure du segment po
oise avec le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Entre l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le faisceau, de TiiJ'ck (F
NL,) au corps de Luys (CL). De la partie externe de la capsule du noyau rouge on voit se détacher les fibres fortement
sse la bandelette optique (II), le corps genouillé externe (Cge) le noyau rouge (NR) et la partie moyenne du tubercule ma
sectionne la sur- stance innominée de Reichert (Sti) au-dessous des noyaux gris centraux, et au-dessus du noyau amygdalien
Reichert (Sti) au-dessous des noyaux gris centraux, et au-dessus du noyau amygdalien. Les fibres tangentielles ainsi que
hent un interne de la première circonvolution frontale. NC, tète du noyau caudé. XL3, XL;, NL,, noyau lenticulaire et ses
re circonvolution frontale. NC, tète du noyau caudé. XL3, XL;, NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments.-NR, noyau rou
caudé. XL3, XL;, NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments.-NR, noyau rouge. - 01, faisceau occipito-frontat. RC,radi
la capsule interne. CII, commissure de Meynert. - cxe, colliculus du noyau caudé. coa, commissure ;intérieure. - Epa, espa
ion frontale (gyrus reclus). mp, sillon marginal posté- rieur. Nui, noyau du moteur oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil
rieur. Nui, noyau du moteur oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau rouge. - oF,, oF,, partie orbitaire des premièr
morcelée de l'avant-mur (AM), et s'unissent en dedans à la tête du noyau caudé (CNC). Ils sont séparés par des fibres ne
nt aux fibres de projection du lobe temporal et qui passent sous le noyau lenticulaire ; 2° les fibres du loen.ia scmi-ci
hors entre le locus nigel' (Ln), le slralumintermedium (Stri) et le noyau l'auge (NIt), pour entrer dans la constitution
le pédoncule du tubercule mamillaire latéral (PTrnl). En dedans du noyau rouge (NR) se trouve le faisceau longitudinal pos
ouge (NR) se trouve le faisceau longitudinal posté- rieur (Flp), le noyau et les fibres radiculaires de la troisième paire
u-dessous du lobe frontal et n'intéresse que le lobe tem-, pond, le noyau amygdalien (NA) et la corne sphénoïdale (Vsph).
pond, le noyau amygdalien (NA) et la corne sphénoïdale (Vsph). Le noyau amygdalien (NA), qui fait saillie dans la corne s
ie dans la corne sphénoïdale (Vsph), se présente sous l'aspect d'un noyau ovalaire, sillonné par un certain nombre de lib
ues rares fibres à direction langentielle. En haut et en dehors, le noyau amygdalien (NA) est sillonné par un certain nombr
llaalanaiqucs(IT1), s'enchevêtre en partie avec elles, embrasse le noyau amygdalien. (NA) et s'irradie dans l'écorce adjac
ymaire (Sge). Celle dernière s'épaissit notablement au voisinage du noyau amygdalien (NA). Les radiations thalamiques (RT
sillon de l'hippocampe. - Gnts, lame médullaire superficielle. NA, noyau amygdalien. - RTh, radiations thalamiques de Grat
is- ceau occipito-frontal (OF), qui longe l'angle antéro-externe du noyau caudé (NC), dissocie les gros fascicules de fib
e 3 de la ligure 299. Cette coupe passe par la partie supérieure du noyau caudé (NC), le tronc du corps calleux (Ce), le
les du Uenia tecta. - L,, première circon- volution limbique. - NC, noyau caudé. NL, nerf de Lancisi. - OF, faisceau occipi
atement en avant de la substance grise s01ts-épcndymail'e (Sge). Le noyau caudé (NC) est intéressé sur une assez grande éte
angles latéraux du ventricule et qui recouvre d'une mince couche le noyau caudé. La face interne du noyau caudé est lisse
qui recouvre d'une mince couche le noyau caudé. La face interne du noyau caudé est lisse et assez régulière. Sa face exter
infé- rieures, et qui se dirigent tous vers la partie supérieure du noyau lenticulaire, reste au-dessous de la coupe. Dan
rieure du noyau lenticulaire, reste au-dessous de la coupe. Dans le noyau caudé naissent des libres disposées en fascicul
ps strié et relient dans toute la hauteur de la capsule interne, le noyau caudé au noyau lenticulaire, Au niveau de la gros
ient dans toute la hauteur de la capsule interne, le noyau caudé au noyau lenticulaire, Au niveau de la grosse extrémité du
oyau caudé au noyau lenticulaire, Au niveau de la grosse extrémité du noyau caudé, ces fibres Ümticulo-caudécs s'entre-croi
nt le lobe occipital au lobe frontal. Le long de la face externe du noyau coudé, on trouve entre les fibres lenliculo-cau
tue le pied de la couronne rayonnante (pCR), système qui s'étend du noyau caudé yÉS 1 ceau arqué de BUl'dach (Arc) et qui
ito-pariélal. Sur celle coupe et sur toutes celles qui suivront, le noyau caudé (NC) est sectionné deux fois; une fois au
iveau des angles du ventricule latéral (VI), la tète et la queue du noyau caudé sont recouvertes par une couche de substa
DES CENTRES NERVEUX. calleux. Dans la tête (NC) et dans la queue du noyau caudé (NC'), on voit un assez grand nombre de f
ine et qui abondent surtout au niveau du bord externe de la tête du noyau caudé (NC). Ces libres appartiennent aux fibres
Cip), pour se rendre dans les îlots de substance grise qui relient le noyau caudé (NC, NC') au noyau lenticulaire (NL3) et
es îlots de substance grise qui relient le noyau caudé (NC, NC') au noyau lenticulaire (NL3) et qui sillonnent, sur cette c
toute l'étendue de la capsule interne. Entre la tête et la queue du noyau caudé, on trouve la couche optique (Th) dont le
nnante de la coupe n° 3 (fig. 302). Elle s'étend du bord externe du noyau caudé (NC)et du thalamus (Th), jusqu'au faisceau
ent aux ponts de substance grise, qui relient la face inférieure du noyau caudé (NC) à la face supérieure du troisième se
re du noyau caudé (NC) à la face supérieure du troisième segment du noyau lenticulaire (NLJ)' Les fibres de la capsule in
enia semi-circularis. - mp, sillon marginal postérieur. - NC, tête du noyau caude. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, troi
lon marginal postérieur. - NC, tête du noyau caude. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticul
yau caude. - NC', queue du noyau caudé. - NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - 01',faisccau occipito
e). Au sur et à mesure que la couche optique (Th) grossit et que le noyau lenticulaire se développe, le genou de la capsule
tes. En arrière de la couche optique (Th), au niveau de la queue du noyau caudé (NC'), les fibres de la capsule interne s
érieur (ms) et postérieur (mp) de l'insula, la partie supérieure du noyau lenticulaire (NL3), le noyau antérieur de la co
mp) de l'insula, la partie supérieure du noyau lenticulaire (NL3), le noyau antérieur de la couche optique (Na), le corps d
sillon marginal postérieur. - ms, sillon marginal supé- rieur. Sa, noyau antérieur du thalamus. NC, tête du noyau caudé, N
marginal supé- rieur. Sa, noyau antérieur du thalamus. NC, tête du noyau caudé, Nu, queue du noyau caudé. - Ne, noyau ex
noyau antérieur du thalamus. NC, tête du noyau caudé, Nu, queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ara, pu
thalamus. NC, tête du noyau caudé, Nu, queue du noyau caudé. - Ne, noyau externe du thalamus. - Ara, putamen. - OF, faisce
a couche optique (Th) a augmenté de volume : la coupe intéresse son noyau externe (Ne) et son noyau antérieur (Na). Ce dern
gmenté de volume : la coupe intéresse son noyau externe (Ne) et son noyau antérieur (Na). Ce dernier est arrondi en avant
m de lame médullaire antérieure du thalamus (Lma), et qui sépare le noyau antérieur (Na) du noyau externe du tlw1nalus (Ne)
érieure du thalamus (Lma), et qui sépare le noyau antérieur (Na) du noyau externe du tlw1nalus (Ne) (Voy. iig. °3Sr et 28
(Na) du noyau externe du tlw1nalus (Ne) (Voy. iig. °3Sr et 286). Le noyau antérieur (Na) reçoit en avant un grand nombre de
sule interne (Cia). Il se. distingue faci- lement par son aspect du noyau externe du thalamus (Ne); il est lisse en effet,
mus (Ne); il est lisse en effet, peu riche en fibres, tandis que le noyau externe reçoit un 1res grand nombre de fascicul
s, dont la section lui donne un aspect pointillé tout particulier. Le noyau externe (Ne) est séparé de la zone réticulée (Z
ons thalamiques (RTh), et s'irradient dans le segment postérieur du noyau externe du thalamus (Ne). Sur cette coupe, la d
ostérieur du noyau externe du thalamus (Ne). Sur cette coupe, la du noyau caudé (NC) n'a guère changé de forme et de volu
érieure de la couche optique, immédiatement en avant de la queue du noyau caudé (NC'). La face externe de la queue et de la
ue du noyau caudé (NC'). La face externe de la queue et de la tète du noyau caudé (nu, NC), donnent naissance à de nombreux
ure du troisième segment COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 591 du noyau lenticulaire ou putamen (NL.,). Ces îlots sont tr
minent. Ce segment est compris entre la face externe de la queue du noyau caudé (ni) et les fibres pro- pres qui doublent
la couronne rayonnante (pCR), en dedans avec les îlots irréguliers du noyau lenticulaire (NL3). Un assez grand nombre de li
tales de la capsule interne (Cia, Cip) dépassent le bord externe du noyau lenticulaire, pour s'entre- croiser avec les fi
e par la partie postérieure de la couche optique (Th), intéresse le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenti
ique (Th), intéresse le noyau caudé (NC) et le troisième segment du noyau lenticulaire (NLa)' L'insula (la, Ip), sectio
(Ce) est nettement limi- tée en dedans par le troisième segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL'I); elle ne donne à
segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL'I); elle ne donne à ce noyau aucun gros faisceau de fibres. Cependant lorsqu'o
de les extrémités antérieure et postérieure du troisième segment du noyau lenticulaire. La partie postérieure de la capsu
le externe (Ce) et la partie correspondante du troisième segment du noyau lenticulaire (nul,,) présentent de gros fascicule
ond de la capsule externe, et qui traversent la partie postérieure du noyau lenticulaire pour aborder le segment rélro-lcnl
e des libres du segment antérieur de la capsule interne (Cia). Le noyau caudé (NC) est intéressé dans une grande étendue;
dans une grande étendue; la coupe porte en effet sur la tête de ce noyau (NC). Il est relié au troisième segment du noyau,
et sur la tête de ce noyau (NC). Il est relié au troisième segment du noyau , lenticulaire (ils) par un pont volumineux, et
.93 capsule interne (Cia). Dans le putamen (NL3) et dans la tête du noyau caudé-(NC), les fibres nerveuses' apparaissent
e externe de la couche optique. mp, sillon marginal postérieur. Na, noyau antérieur du thalamus. NC, tète du noyau caudé.
lon marginal postérieur. Na, noyau antérieur du thalamus. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau ext
noyau antérieur du thalamus. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, troisi
u thalamus. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, troisième segment du
yau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. PaTh, pédoncule antérieur de la cou
r, zone réticulée ou grillagée. 591 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. noyau caudé (NC) ou au putamen (NL.,), sont colorées in
la méthode de Weigerl. Elles se groupent à la partie postérieure du noyau caudé, traver- sent le segment antérieur de la
t le segment antérieur de la capsule interne (Cia), pour se rendre au noyau lenticulaire et appartiennent au système des fi
lus internes des radiations thalamiques (RTh) contournent la queue du noyau caudé (NC'), et pénètrent dans la couche optiqu
e postérieure de la capsule exlerne (Ce). Cette coupe intéresse les noyaux externe (Ne) et antérieur (Na) de la couche opt
e du thalamus, et délimitent avec le stralum zonale (strz) un petit noyau arrondi, le noyau antérieur de la couche optique
délimitent avec le stralum zonale (strz) un petit noyau arrondi, le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce noyau q
tit noyau arrondi, le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce noyau qui fait saillie sur le plancher du ventricule la
e rend facilement compte de la forme de la partie postérieure de ce noyau antérieur, en examinant soit les coupes ver- lr
l'e (Lma) dépendance du ssfratuzn zonale (strz), sépare toujours le noyau antérieur (Na) du noyau externe du thalamus (Ne).
ssfratuzn zonale (strz), sépare toujours le noyau antérieur (Na) du noyau externe du thalamus (Ne). Ce noyau externe (Ne)
jours le noyau antérieur (Na) du noyau externe du thalamus (Ne). Ce noyau externe (Ne) renferme un très grand nombre de fai
qui sépare la couche optique de la tête (NC) et de la queue (NC) du noyau caudé, on trouve plusieurs orifices vasculaires v
mi-circularis. L'épendyme du ventricule latéral recouvre la tête du noyau caudé, ainsi que la veine du corps strié et s'a
le carrefour vent riculaire (TgV), l'épendyme recouvre la queue du noyau caudé (NC') et la lame cornée (le), puis se réflé
re 299. Cette coupe intéresse les deuxième et troisième segments du noyau len- ticulaire (NL2, NL), le noyau antérieur de
euxième et troisième segments du noyau len- ticulaire (NL2, NL), le noyau antérieur de la couche optique (Na) et le pé- d
ne (Ce), ne présentent ici rien de particulier à noter. La queue du noyau caudé (NC') a diminué de volume, le troisième s
e du noyau caudé (NC') a diminué de volume, le troisième segment du noyau lenticulaire (pulamen) (NLJ s'est étendu en arr
arginal postérieur de l'insula (mp), et il est relié il la queue du noyau caudé (NC') par quelques ilôts de substance gri
de la capsule interne (Cirl). Il est relié également il la tête du noyau caudé (NC) par un large pont de 596 ANATOMIE DE
exe, son bord interne est concave, et reçoit le deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2), qui le sépare du segment po
pe intéresse une partie assez consi- dérable du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2), segment caractérisé par sa
nier est séparé du pulamen (NL.,) par la lame médullaire externe du noyau lenticulaire (lme), formée surtout de fibres se
du/zntavzeu affectent une disposition analogue, tandis que dans le noyau caudé (NC) au contraire, les fascicules sont sect
sule interne (Cia), pour se rendre dans la lame médullaire externe du noyau lenticulaire (Ime). Les étroits ponts de substa
nt le pédoncule antérieur (PaTh), ainsi que les fibres radiaires du noyau externe du thalamus (Ne). Les fibres internes che
sous la forme d'un gros faisceau, jusqu'à la partie antérieure de ce noyau externe, puis divergent et embrassent le noyau
tie antérieure de ce noyau externe, puis divergent et embrassent le noyau antérieur (Na) de la couche optique; les plus i
fascicules. Ces libres horizontales s'étendent du deuxième segment du noyau len- ticulaire (NL,) à la couche optique (Th);
direction oblique, qui longe le bord interne du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL.,), dans la région qui donnera
naissance sur les coupes suivantes à la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (mi). Ces fibres se dirigent toutes
la lame médullaire externe du thalamus (Lme), pour pénétrer dans le noyau externe du thalamus (Ne). ' Le segment rétro-le
ame médullaire externe du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lme', lame . médullaire supplémen
aire. lme', lame . médullaire supplémentaire du deuxième segment du noyau lenticulaire. Lmi, lame médul- laire interne du
érieur de l'insula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. Na, noyau antérieur de la couche optique. JVC, tête du noya
r de l'insula. Na, noyau antérieur de la couche optique. JVC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau ext
rieur de la couche optique. JVC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe de la couche optique.
e optique. JVC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne
, queue du noyau caudé. Ne, noyau externe de la couche optique. Ni, noyau interne de la couche optique. Aïs, deuxième segme
e. Ni, noyau interne de la couche optique. Aïs, deuxième segment du noyau lenticulaire. Ni.3, troisième segment du noyau
deuxième segment du noyau lenticulaire. Ni.3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la co
laire. Ni.3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la couche optique (centre médian de L
tre-croisées dans tous les sens; les unes s'étendent de la queue du noyau caudé (NC') au troisième seg- ment du noyau len
étendent de la queue du noyau caudé (NC') au troisième seg- ment du noyau lenticulaire (NL,), les autres proviennent des [r
ent la paroi externe du ventricule latéral, contournent la queue du noyau caudé (NC') et les fibres du tænia semi-circulari
bstance grise, faisant partie du corps strié et reliant la queue du noyau caudé (NC') au putamen (NL3). Lorsqu'on examine
ous la forme d'une couche étroite, limitée en avant par la queue du noyau caudé (NC'), en dehors par les radiations thalami
e latéral. Ces fibres s'infléchissent au voisi- nage de la queue du noyau caudé (NC'), deviennent onduleuses, traversent la
versalement, surtout dans sa partie moyenne. Dans le tiers moyen du noyau externe du thalamus (Ne), les fibres radiaires so
cules de fibres à direction horizontale ou oblique, qui sillonnent le noyau externe du thalamus (Ne). Le pédoncule antéri
'un pinceau, dont les fibres embrassent la partie pro- fonde de son noyau antérieur (Na). De la partie posléro-externe de c
fonde de son noyau antérieur (Na). De la partie posléro-externe de ce noyau . 600 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. part un fa
à l'origine du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), aborde par sa base le noyau antérieur (Na) et est croisé parles fibres radi
es radiaires du pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Le noyau antérieur (Na), a considérablement diminué de v
ntérieur (Na), a considérablement diminué de volume, par contre, le noyau externe (Ne) s'est allongé, et décrit une courb
) s'est allongé, et décrit une courbe à concavité interne autour du noyau interne (Ni), dont il est séparé par la lame mé
e (Ni), dont il est séparé par la lame médullaire interne (Lmi). Le noyau interne (Ni) se caractérise par sa moins grande
du pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). En arrière, ce noyau se continue avec le pulvinar (Pul). A l'union d
se continue avec le pulvinar (Pul). A l'union du pulvinar (Pul), du noyau externe (Ne) et du noyau interne (Ni), on voit
nar (Pul). A l'union du pulvinar (Pul), du noyau externe (Ne) et du noyau interne (Ni), on voit le premier indice d'un ci
et du noyau interne (Ni), on voit le premier indice d'un cinquième noyau thalamique, le centre médian de,L ? Iys (Nm), e
amiques inférieures. Il occupe une situation inférieure il celle du noyau antérieur, dont il est séparé par toute l'épais
lle du noyau antérieur, dont il est séparé par toute l'épaisseur du noyau interne, et ne devient nettement appa- rent que
du noyau interne, et ne devient nettement appa- rent que lorsque le noyau antérieur a disparu. Coupe n° 8 (fig. 307), pas
, le ganglion de l'habe'nzcla (Gh) et intéresse les trois segments du noyau lenticulaire (nul,, NL,, NL,). Les modificati
aire (nul,, NL,, NL,). Les modifications principales portent sur le noyau lenticulaire et sur la couche optique. Le pulam
comme forme, il s'est un peu rétréci, et n'envoie pas il la tête du noyau caudé (NC) un pont de substance grise qui trave
fectent toujours un aspect fascicule. La lame médullaire externe du noyau lenticulaire (hue) a diminué de volume; le deux
oyau lenticulaire (hue) a diminué de volume; le deuxième segment du noyau lenticulaire (.\'L2) s'est étendu et recourbé ; i
segment (NL,), dont il est séparé par la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi), très épaisse ici. Les trois
u noyau lenticulaire (lmi), très épaisse ici. Les trois segments du noyau lenticulaire présentent chacun un aspect carac-
raversent le globus pal- lidus (NL,, NL,). Le deuxième segment du noyau lenticulai,'e (NL2) présente un aspect finement
interne (NL,), quelques gros fascicules coupés transversalement. Ce noyau est généralement subdivisé en deux parties, par
dominent les fibres il direction horizontale. Le segment interne du noyau lenticulaire (NL,) présente un aspect pointillé,
s transversalement qui le traversent. La lame médullaire interne du noyau (Inii) est surtout formée d'une part, de gros f
res externe et interne du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lme', lame médullaire supplémenta
- lme', lame médullaire supplémentaire du deuxième segment (NL.) du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du n
egment (NL.) du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenti- culaire. ma, sillon marginal antérieur d
e l'insula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC'. queue du noyau caudé. Ne, noyau exter
inal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC'. queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NF, noyau
e l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC'. queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de
audé. NC'. queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne du th
noyau externe du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne du thalamus. lfL3, lIL2, NI troisième,
thalamus. lfL3, lIL2, NI troisième, deuxième et premier segments du noyau , lenticulaire. Nm, noyau médian du thalamus (ce
I troisième, deuxième et premier segments du noyau, lenticulaire. Nm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). pCR
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. zonlales qui relient entre eux les deux noyaux du globus pallidus (NL,, NL,). En avant, ces fi
Ci [g], qu'elles subdivisent en un certain nombre de fascicules. Le noyau caudé (NC) ne présente rien de particulier à note
n avant et en dedans, et forment les fibres radiées de la partie du noyau externe du thalamus (Ne) qui touche au pulvinar.
nnées dans la région comprise entre le putamen (NL3) et la queue du noyau caudé (NC), s'incurvent au niveau de la zone réti
axe, et subdivisées en fascicules par les fibres qui se rendent du noyau lenticulaire au thalamus. Ces fibres lenliculo-op
es, en partie par les fibres de la lame médullaire interne (lmi) du noyau lenticulaire, en partie également par les fibre
partie également par les fibres qui relient le deuxième segment du noyau lenticulaire (N1) à l'extrémité antérieure de l
ure de la couché optique (Th), entre le pulvinar (Pul) et la queue du noyau caudé (NC), on retrouvedans la lame cornée (le)
tés sur cette coupe, n° 8 (fig. 307), s'insinuent entre la queue du noyau caudé (NC') et l'alvélls (Alv) ou en d'autres t
é (NC') et l'alvélls (Alv) ou en d'autres termes, entre la queue du noyau caudé et la couche de substance blanche appar-
llon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la couche optique a disparu, et l'
aru, et l'extrémité antérieure de cette dernière est formée par les noyaux externe (Ne) el interne (Ni). A la partie antér
les noyaux externe (Ne) el interne (Ni). A la partie antérieure du noyau externe, toujours facile à distin- guer, grâce
e nous avons vu sur la coupe précédente n° 7 (fig. 306), aborder le noyau antérieur du thalamus (Na). Le noyau externe (N
n° 7 (fig. 306), aborder le noyau antérieur du thalamus (Na). Le noyau externe (Ne) est limité en' dehors comme sur les
mais bien par de nombreuses fibres radiaires, qui pénètrent dans le noyau interne. Cette lame médullaire interne du thala
noyau interne. Cette lame médullaire interne du thalamus limite le noyau externe en dedans et le sépare en avant, du noy
halamus limite le noyau externe en dedans et le sépare en avant, du noyau interne (Ni), en arrière, du pulvinar (Pul), et a
au niveau de sa partie moyenne, du centre médian de Luys (Nm). Le noyau interne du thalamus (Ni) reçoit quelques fibres r
dance de cette dernière en avant, il est par contre mal délimité du noyau interne (Ni) dont il se distingue cependant facil
ibres. Le centre médian de Luys se présente donc sous la forme d'un noyau plus ou moins irrégulièrement arrondi, enclavé
a couche optique, il est séparé du centre médian de Luys (Nm) et du noyau externe (Ne), par la par- tie postérieure de la
stérieure de la lame médullaire interne (Lmi). A l'union de ces trois noyaux , pulvinar (Pul), centre médian de Luys (Nm) et
de ces trois noyaux, pulvinar (Pul), centre médian de Luys (Nm) et noyau externe, du thalamus (Ne) on trouve un espace t
s thalamiques postérieures (RTh). A l'union du pulvinar (Pul) et du noyau interne du thalamus (Ni), on rencontre un petit g
ion sous- thalamique de Forel; elle passe par les trois segments du noyau lenticulaire (NL¡,NL2,NL : I)' par les corps ge
toujours très réduite, surtout au niveau de sa partie moyenne. Le noyau lenticulaire (NL3,NL2,;\;L¡) s'est encore agrandi
ire supplémen- taire (lmi') presque complète, de telle sorte que le noyau lenticulaire semble formé ici par quatre segmen
é ici par quatre segments. Le pzctaznerz (NL3) est réuni à la tête du noyau caudé (NC) par deux larges ponts de substance g
grise'. La substance grise sous-"pen- dymaÍ1'e recouvre la tête du noyau caudé (NC) s'épaissit en avant du genou de la c
grise qui entoure le pilier antérieur du trigone (Tga). La tète du noyau caudé (NC) est traversée par les fibres du segm
nombreuses libres, qui naissent, comme dans le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3), par de gros fascicules et qui
ômes que sur les coupes précédentes. La laine médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi) s'est élargie, elle est formée
ame médullaire externe du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lme', lame médullaire externe suppl
re externe supplémentaire, subdivisant t le segment moyen (N[12) du noyau lenticulaire. Lmi, lame médullaire interne du tha
lame médullaire interne du thalamus. lmi,lame médullaire interne du noyau lenticulaire. lmi', lamc médullaire interne sup-
nterne sup- plémentaire subdivisant lé segment intcl' ! lc (NLt) du noyau lenticulaire. ma. sillon marginal antérieur. mp
on marginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur. -NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau COUPES MICROSCOPIQUES
p, sillon marginal postérieur. -NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. fi07 caudé.
queue du noyau COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. fi07 caudé. Ne, noyau externe du thalamus.- NF. noyau semi-lunaire de F
OPIQUES DU CERVEAU. fi07 caudé. Ne, noyau externe du thalamus.- NF. noyau semi-lunaire de Flechsi ? Ni. noyau interne du
, noyau externe du thalamus.- NF. noyau semi-lunaire de Flechsi ? Ni. noyau interne du thalamus. NL" NU. NLI, troisième, de
du thalamus. NL" NU. NLI, troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau médian du thalamus (ce
troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luy). - PaTh
du thalamus (Lmi). Celte partie antérieure du thalamus comprend le noyau interne (Ni) considé- rablement diminué de volu
nd le noyau interne (Ni) considé- rablement diminué de volume et le noyau externe (Ne) qui correspond dans toute sa longu
ur de la couche optique (PaTh). Les fibres postérieures séparent le noyau externe du thalamus (Ne), d'un noyau qui n'exis
ibres postérieures séparent le noyau externe du thalamus (Ne), d'un noyau qui n'existait pas encore sur la coupe précédente
307), le corps genouillé interne (ci). . Vers la partie moyenne du noyau externe (Ne), les fibres radiaires sont beau- c
de faisceau lhalamique de, Forel (fla), occupe la partie moyenne du noyau externe (Ne), et se présente sur cette coupe, s
un peu en ar- rière du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et embrasse un noyau aplati et allongé, oblique en avant et en dedan
un noyau aplati et allongé, oblique en avant et en dedans, c'est le noyau en forme de coupe de Flechsig (Schalenfôrmiger
lenfôrmiger Korper), situé entre le centre médian de Luys (Nm), et le noyau externe du thalamus (Ne) et que nous désigneron
yau externe du thalamus (Ne) et que nous désignerons sous le nom de noyau semi- lunaire de, Flechsig (NF). · Le noyau i
nerons sous le nom de noyau semi- lunaire de, Flechsig (NF). · Le noyau interne du thalamus (Ni) reçoit en avant quelques
. Le corps genouillé interne (Cgi) se pré- sente sous l'aspect d'un noyau allongé, volumineux, curviligne, profondément e
é- cises. Ses fibres radiaires les plus postérieures le séparent du noyau externe du thalamus (Ne). Un champ irrégulier,
lieil médian (rg Rm), le sépare du centre- médian de Luys (Nm) et du noyau semi-lunaire de Flechsig (NF). Quant au pulvi
mé- dullaire externe du thalamus (Lme) qu'il concourt il former, le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF) et la lame médull
ie externe, il présente, au niveau de la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi) quelques fibres sectionnées
ia), qui sépare très incomplètement le pzetamen (NL3) de la tète du noyau caudé (NC). Sur cette coupe, on a nettement l'i
é (NC). Sur cette coupe, on a nettement l'impression que la tête du noyau caudé (NC) et le putamen (NL.,) ne sont qu'une
thalamus. Les fibres qui naissent de cette masse grise, commune au noyau caudé et au putamen (NC, NL.,), se rendent toutes
u putamen (NL.,) n'ont qu'a traverser la lame médullaire externe du noyau lenticulaire (lme), tandis que les libres de la
ne du noyau lenticulaire (lme), tandis que les libres de la tète du noyau caudé (NC) doivent traverser le segment antérieur
ar une lame médullaire supplémentaire (lmi'), de telle sorte que le noyau lenticulaire semble être formé par quatre segment
calotte et de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 611 la capsule du noyau rouge; sa terminaison inférieure est encore incon
u thalamus (PaTh), qui ne séparent que fort incomplètement les deux noyaux du 'C01'}JS strié. - . A la partie postérieur
o-lenticulaire de la capsule (Cirl) en arrière du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2), puis elles s'incurvent en d
ns la constitution de la région du ruban de Reil médian (rg Rm). Le noyau externe du thalamus a disparu également, il est
er vestige de la lame médullaire interne du thalamus (Lmi), et par le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF). Il est séparé en
cornée et taenia semi- circularis. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. m ? lame médullaire sup- plémenta
ticulaire. m ? lame médullaire sup- plémentaire du segment moyen du noyau lenticulaire (NL). Lmi, lame médullaire interne
rne du thalamus. lmi, lame médullaire interne du segment interne du noyau lenticulaire. - lmi ? lame médullaire interne s
erne supplémentaire divisant en deux segments le segment interne du noyau lenticulaire (NL,). Lms, lame médullaire superfic
de l'insula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tête du noyau caudé.. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 613
la ligne médiane le seplum lucidum (SI) et qui recouvre la tête du noyau caudé (NC). En arrière et en dehors du trigone,
ie moyenne de la com- missure antérieure (coa). Les dimensions du noyau caudé (NC) et du putamen CL3) n'ont pas changé;
'ont pas changé; il en est de même de celles du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL,), sous lequel s'engage la com
serrées, sectionnées toutes horizontalement. Le segment interne du noyau lenticulaire (NLJ est réduit de volume, surtout
noyau lenticulaire (NLJ est réduit de volume, surtout NC', queue du noyau caudé. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. .\/.3,
e (NLJ est réduit de volume, surtout NC', queue du noyau caudé. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. .\/.3, NL" NL" troisi
Flechsig. .\/.3, NL" NL" troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le premier et le deuxième segment
u-dessous de la coupe macroscopique de la figure 228. Al, anse du noyau lenticulaire. Alv, alvéus. AU, avant-mur. - bd, b
cor lée et taenia semi-circularis. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. -tri, lame médullaire interne du no
ire externe du noyau lenticulaire. -tri, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. / ? ) ? lame médul- laire supplém
laire supplémentaire divisant en deux segments le segment interne du noyau lenticulaire (NL,). COUPES MICROSCOPIQUES DU CE
. Ce système de fibres qui sépare, fort incomplètement du reste, le noyau caudé (NC) du;)«/«- 111('11 (NL,.), se voit enc
t son plus grand développement au niveau de la partie supérieure du noyau rouge (NR), puis disparait progressive- ment, e
l'insula. nzp, sillon marginal postérieur de l'insula. -NC, tète du noyau caudé. i\'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL
nal postérieur de l'insula. -NC, tète du noyau caudé. i\'C', queue du noyau caudé. NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et p
u caudé. NL3, NL" NL,, ? troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire, le segment interne est divisé en
vinar. Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rc, faisceau cortical du noyau rouge passant par les radiations de la calotte.
faisceau longitudinal inférieur (Fli) et en arrière par la queue du noyau caudé (NC) et les fibres du tænia .seHM-c ? cM-
les fibres postérieures proviennent également du segment interne du noyau lenticulaire (NL,); elles sont beaucoup moins nom
esl entouré par un gros faisceau de fibres horizontales, l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres font suite aux la
uite aux lames médullaires internes (lmi, lmi') du segment interne du noyau lenticulaire (NL,), contournent le bord antéro-
nte la partie corticale des radiations de la calotte des- tinées au noyau rouge. Il dégénère il la suite de lésions de l'éc
ébrale et ses fibres dégénérées peuvent être suivies jusque dans le noyau rouge (Voy. t. II). Le ruban de Reil (Rm) forme
de la région, aux radiations de la calotte (RC) et à la capsule du noyau rouge (NR) (Voy. Coupes suivantes). En dedans
nne du corps de Luys (CL), les couches supérieures de la capsule du noyau rouge (RC) et par l'extrémité postérieure de la
onvolution postérieure de l'insula (Ip). Le troisième serr- ment du noyau lenticulaire (NLJ)' intimement uni au noyau caudé
troisième serr- ment du noyau lenticulaire (NLJ)' intimement uni au noyau caudé (NC), est mor- celé par la commissure ant
xe sur presque toute sa longueur, et qui occupe le segment moyen du noyau lcnticu- 6d8 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
-dessus de la coupe macroscopique de la figure 229. 1 Al, anse du noyau lenticulaire. Alv, alvéus. ADT, avant-mur. - bd,
ame cornée et taenia semi-circularis. lme, lame médullaire externe du noyau lenticu- laire. lmi, lame médullaire interne du
re externe du noyau lenticu- laire. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. Lms, lame médullaire superficiell
l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. NLa, NU, NL,,
inal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. NLa, NU, NL,, premier, deuxième et trois
yau caudé. NLa, NU, NL,, premier, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - pCR, pied de la cou- COUPES MIC
st limitée, en avant et en dehors par la lame médullaire externe du noyau lenticulaire (lme), en dedans par la lame médulla
par la lame médullaire interne (Imi) et par le troisième segment du noyau lenticulaire (nul : ,). La commissure antérieure
ituée en arrière de la lame terminale embryonnaire et de la tête du noyau caudé (NC), elle est formée de fibres parallèles,
érieure (coa) divise ainsi en deux parties, le troisième segment du noyau lenticulaire (putu- men) (il;,) : l'une antérie
nticulaire (putu- men) (il;,) : l'une antérieure, unie à la tête du noyau caudé (NC) dont elle n'est séparée que par des
dedans, elle est en rapport avec ce qui reste du deuxième segment du noyau /en- ticulaire (N'L2), et par l'intermédiaire d
e de Meynert (CM). Sur les coupes suivantes, le deuxième segment du noyau lenticulaire (NL,) va disparaître, et sera rempla
e latéral (Vsph). C'est dans cette substance grise qu'apparaîtra le noyau amygdaliell (NA). Cette substance in- nominée d
il s'agit ici d'une masse de substance grise diffuse, non réunie en noyau , qui se confond avec la base du deuxième segmen
réunie en noyau, qui se confond avec la base du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2), avec le troisième segment du
egment du noyau lenticulaire (NL2), avec le troisième segment du même noyau (NL.,), avec l'extrémité antérieure de la queue
nt du même noyau (NL.,), avec l'extrémité antérieure de la queue du noyau caudé (NC) et avec le noyau alllygdoliell. Elle
c l'extrémité antérieure de la queue du noyau caudé (NC) et avec le noyau alllygdoliell. Elle est située au-dessous du fais
- fléchissent en avant et par l'extrémité antérieure de la queue Au noyau caudé (NC'). Ce segment rétro-lenticulaire est
xe, qui émergent de la partie postérieure du troisième segment 1 du noyau lenticulaire (NL3)- au-des- sous duquel elles p
séparées sur cette coupe par la optique (II). Le premier segment du noyau lenticulaire (NL,) est considérablement ré- dui
limité en arrière et en dehors par la lame médullaire in- terne du noyau lenticulaire (lmi), en dedans il donne naissance
allèles, plus faiblement colorées que la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi) et que la bandelette optique (
à la zona in- cala. De la partie antérieure du segment interne du noyau lenticulaire (NL,), partent des fibres transver
soit par la com- missure de Meynert (CM) et le troisième segment du noyau lenticulaire (NL.,). Au sur et à mesure que nou
sous-thalamique. La plupart de ces fibres ne font que traverser ce noyau , pour se rendre au corps genouillé externe (Cge
la. calotte (RC), et forment la partie supérieure de la cajisule du noyau , rouge. En avant des radiations de la calotte (
l'étendue de sa partie latérale. On la suit en effet, de la base du noyau caudé (NC) jusqu'à la partie antérieure du 622
tement à la coupe macro- scopiqué de la figure 231. · Al, anse du noyau lenticulaire. - Ala, alycus. - AM, avant-mur. - b
n marginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur. - NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NL,, IVL2, t
, sillon marginal postérieur. - NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau caudé. - NL,, IVL2, troisième et deuxième segme
ueue du noyau caudé. - NL,, IVL2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NL,(Al), premier seg- ment du n
aire. - NL,(Al), premier seg- ment du noyaù lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. P, étage infér
eg- ment du noyaù lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
DU CERVEAU. cl commissure antérieure divise le troisième segment du noyau lenticulaire (nul.) en deuxparties. La partie a
ire (nul.) en deuxparties. La partie antérieure, intimement unie au noyau caudé (NC), n'en est séparée que par des fascic
antérieure (coa) qui la sépare du deuxième et du premier segment du noyau lenticulaire (NL,, NL,). La tète du noyau caudé
me et du premier segment du noyau lenticulaire (NL,, NL,). La tète du noyau caudé (NC) est en rapport en arrière avee une l
infél'o-interne de la couche optique (PiTh). En avant, la tète -Au noyau caudé (NC) est coiffée par une laine de substan
corne frontale du ventricule latéral (Vf) et qui sépare la tète du noyau caudé, du genou ou bec du corps calleux (Cc[g])
). En arrière du bec (Cc[r]), l'angle postéro-interne de la tête du noyau candi; est en rapport avec un petit faisceau de
Sti) et séparée en arrière de l'extrémité antérieure de la queue du noyau caudé (NC'), par les derniers restes du segment r
ia semi-CÍI'wlaris s'infléchissent en avant. Le deuxième segment du noyau lenticulaire (;,\L2) a presque complètement dis
par la couche de fibres qui double sa base, et qui forme l'anse du noyau lenticulaire (Al). Quelques- unes de ces fibres
externe du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), le long du bord interne du noyau rouge (NR), jusqu'au voisinage du faisceau long
haut, que dans sa moitié anté- rieure, par les fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al) et de la commissure de Meyner
obliquement, et séparées en fascicules par les fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al) et de la commissure de Meynert
ceau thalamique de Forci et les radiations de la calotte, apparaît un noyau plus ou moins régulièrement arrondi, le noyau r
calotte, apparaît un noyau plus ou moins régulièrement arrondi, le noyau rouge de Stilling (NR). Il est carac- térisé pa
nes et les inférieures une direction transversale. Le bord interne du noyau rouge (NR) est légèrement déprimé par un faisce
faisceau rétroflexe de J/eynl1'l (FM). En arrière et en dedans du noyau rouge apparaît, à l'union de la substance grise
eur (Flp), auquel aboutissent quelques-unes des libres de l'anse du noyau lenticulaire (Al). En ar- rière et en dehors du
de l'anse du noyau lenticulaire (Al). En ar- rière et en dehors du noyau rouge (NR), on aperçoit le ruban de Reil médian
emi-lunaire. 11 se confond en avant et en dedans avec la capsule du noyau rouge, et on y reconnaît déjà très nette- ment,
bres de fin calibre, groupées surtout au voisinage de la capsule du noyau rouge, les autres fibres de gros calibre, entou
nce grise aux parties morcelées de l'/luanl-11wI' (AM). La queue du noyau caudé (nui) est intimement unie au noyau amygda
nl-11wI' (AM). La queue du noyau caudé (nui) est intimement unie au noyau amygdalien(NA), qui fait saillie dans la partie
et en dedans, sous forme de li4es en fascicules, passent entre le noyau /lm ! Jgdalien (NA) et tr#'.f\'ties morcelée^rie
ieur du trigone (Tga), on trouve les derniers vestiges de l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contourne l'extrémité in
avant et en dedans, entre le faisceau de Vicq d ? l;.r/r(VA) et le noyau rouge (NR), et se perd dans la partie interne d
u rouge (NR), et se perd dans la partie interne de la capsule de ce noyau . Quelques fibres de l'unse lenticu- laire s'irr
le faisceau longitudinal postérieur (Fin). En dehors de l'allse du noyau lenticulaire, la partie interne du pied du pédon-
r, vestige [du corps de Luys (CL). Entre ces faisceaux et l'anse du noyau lenticulaire (Al), apparaît un petit faisceau d
ssous de la coupe macro- scopique de la figure 232. . Al, anse du noyau lenticulaire. AM, avant-mur. bd, bandelette diago
sillon marginal antérieur. - mp, sillon - marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caudé. NC', queue d
mp, sillon - marginal postérieur. NA, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caudé. NC', queue du COUPES MICROSCOPIQUES DU C
l, se porte en arrière et en dehors entre le corps de Luys (CL) et le noyau rouge (NR), puis atteint le ruban de Reil média
e. Le pédoncule du tubercule mamillaire latéral (PTml) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) embrassent le noyau rouge (NR);
e latéral (PTml) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) embrassent le noyau rouge (NR); le premier contourne sa face extern
premier contourne sa face externe, le second sa face interne. Le noyau rouge (NR) constitue la formation la plus importa
t occupé par le faisceau rétro- flexc de Meynert (FM). En dehors du noyau rouge et du pédoncule du tubercule mamillaire l
des libres sectionnées parallèlement, qui s'irradient dans un petit noyau de substance grise, le ganglion du tubercule, (
cule cérébral au niveau du tubercule quadrijumeau postérieur Qp). noyau caude. NI,, troisième segment du noyau lenticulai
quadrijumeau postérieur Qp). noyau caude. NI,, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR. noyau rouge. P, éta
au caude. NI,, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR. noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
e l'hémisphère, apparaissent immédiatement en dehors de la queue du noyau caudé (ni). Ce sont des fibres à direction sagil-
s'arrêtent en général assez brusquement au niveau du bord externe du noyau amygdalien (NA). Sur la coupe n° 14 (lig. 3t3),
ne peuvent guère être suivies au delà de la limite anté- rieure du noyau amygdalien (NA) dans lequel elles s'irradient.
onvolution godronnée. CM, commissure de Meynert. CNC, colliculus du noyau caudé. ds, diverticule du subiculum. - eF, comm
minale embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. NR, noyau
n marginal antérieur de l'insula. NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. NR, noyau rouge. ot, sillon collatéral.
rieur de l'insula. NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. NR, noyau rouge. ot, sillon collatéral. P, étage inférieu
la coupe actuelle n° 15 (fig. 314) on voit l'amnl-In/II' s'unir au noyau amyr/dalien (NA). Ce fait, rapproché d'un autre
e, il savoir : l'union de plus en plus intime du troisième segment du noyau len- ticulaire (NL : .) avec la tête du noyau c
troisième segment du noyau len- ticulaire (NL : .) avec la tête du noyau caudé (NC), montre nettement la corrélation int
oi7ale(bd), où il forme une petite saillie grise, le colliculus du noyau caudé (ceci). La substance innominée de Reicher
allèles pour la plupart, qui forment en s'entre-croisant en avant des noyaux rouges (NR) une commissure décrite par Forel (e
bord interne du pied du pédoncule cérébral (P), le bord externe du noyau rouge (NR), et traverse le ruban de Reil médian (
d Au pédoncule (P) de l'étage supérieur ou région de la calotte. Le noyau rouge (NR) a encore augmenté de volume. Le faisce
fférent que sur celles des deux séries précédentes (Il et III), les noyaux gris centraux, la capsule interne et toutes les p
tendue que sur les coupes de la série précédente, et que la tête du noyau caudé (NC), plus petite également, est intéressée
la paroi inférieure de la corne, frontale du ventricule latéral. Les noyaux in- terne et externe de la couche optique (Ni)
tre, plus nettement que sur la série précédente, la continuation du noyau externe (Ne) avec le pulvinar (Pul). Toute la par
nes dépassent la lame médullaire interne (Lmi) et pénètrent dans le noyau interne du tlcalaizezcs (\Ti). Celui-ci reçoit, e
ame médullaire externe du thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. Inte', lame médullaire externe su
oyau lenticulaire. Inte', lame médullaire externe supplémentaire du noyau lenticulaire, divi- sant en deux parties (NU. l
médullaire interne du tha- lamus. - lui, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - Il, lame terminale embryon- nai
s'unissant a la première circonvolution limbique L,. - NC, tète du noyau caudé. - t\'C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni,
convolution limbique L,. - NC, tète du noyau caudé. - t\'C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne du t
- NC, tète du noyau caudé. - t\'C', queue du noyau caudé. - Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. iVL3, \'L, 2', NL
Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. iVL3, \'L, 2', NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments. - PaTh, péd
lr), entre le pédoncule antérieur (PaTh) et les fibres radiaires du noyau externe (Ne), on trouve la section trans- versa
st formé exclusivement par les libres horizontales, qui séparent le noyau caudé (NC) du noyau lenticulaire (NL : pNL2-2,NL¡
nt par les libres horizontales, qui séparent le noyau caudé (NC) du noyau lenticulaire (NL : pNL2-2,NL¡) et qui pénètrent
e porte, en avant, jusqu'au niveau de la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi). Les fascicules les plus anté-
de nombreuses fibres qui viennent de la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (Lmi) et du globus pallidus (NL ? NL
ppartiennent déjà au faisceau lenticulaire de Forel et il 1'(I ? r du noyau len- ticulaire. Le segment postérieur de la cap
égion un peu obliquement en avant et en dehors, relient la queue du noyau clu/(lri (NC') au troisième segment du noyau lent
ors, relient la queue du noyau clu/(lri (NC') au troisième segment du noyau lenti- culaire (NL.,), et représentent les fibr
ordent le pulvinar (Pul), soit au voisinage immédiat de la queue du noyau caudé (NC"), soit un peu plus en avant et en fo
utillnen (NL3), elles entourent toute l'extrémité postérieure de ce noyau . Un certain nombre de fibres du faisceau longitud
e. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Al, anse du noyau lenticulaire. - AM, avant-mur. - bd, bandelette d
e médullaire externe du thalamus. lztze. lame médullaire externe du noyau lenticulaire. - lme' lame médullaire externe supp
au lenticulaire. - lme' lame médullaire externe supplé- mentaire du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du noy
lé- mentaire du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. Il, lame terminale embryonnaire.
e terminale embryonnaire. mp, sillon marginal postérieur. NC, tète du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, Ni, noyaux
, sillon marginal postérieur. NC, tète du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, Ni, noyaux externe et interne du thala
térieur. NC, tète du noyau caudé. Nu, queue du noyau caudé. Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. NL3, NG. troisi
ne du thalamus. NL3, NG. troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. Nm. noyau médian du thalamus (cen
troisième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. Nm. noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). PaT
us importants de la région sous-thalamique. Le pulvinar (Pul) et le noyau externe du thalamus (Ne) ne présentent rien de
inué d'épaisseur; il sa place apparaît le centre médian de Luys, ou noyau médian du thalamus (Nm), que l'on intéresse tou
isceau lenticu- laire de Forel (FI), qui naît du segment interne du noyau lenticulaire (NL,), et qui traverse ce qui repr
e de son segment postérieur (Cip). De la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi), se détache un faisceau de fib
té antérieure de la capsule interne (Cip) et appartient à l'anse du noyau lenticulaire (Al). En dedans de lui, dans la su
ée obliquement, siège dans la partie externe du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2), assez en dehors duo·doncule
la commissure postérieure (cop), le centre médian de Luys (Nm), le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF) et la lame termin
lunaire de Flechsig (NF) et la lame terminale embryonnaire (Il). Le noyau externe du thalamus (Ne) se réduit dans son diamè
. Détails dessinés il un grossissement de 12 diamètres. Al, anse du noyau lenticulaire. AM, avant-mur. bd, bandelette diago
ame médullaire externe du thalamus. Une, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. Lmi, lame médullaire interne du tha
ame médullaire interne du thalamus. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. lnti', lamc médullaire supplémentai
nti', lamc médullaire supplémentaire divisant le segment interne du noyau lenticulaire en deux parties (nez, \'L,'). lt, la
rconvolution frontale. mp, sillon marginal postérieur. NC, toitc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne, Ni, noyau
llon marginal postérieur. NC, toitc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne, Ni, noyaux externe et interne du tha
eur. NC, toitc du noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé. Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. NF, noyau semi-
du noyau caudé. Ne, Ni, noyaux externe et interne du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni ? ? , noyau médian d
t interne du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni ? ? , noyau médian du thala- mus (centre médian de Luys). N
s). NL3, NL" NI ? NL ? troisième, deuxième et premier seg- ments du noyau lenticulaire, le premier étant divisé en deux par
Luys (Nm). La lame médullaire interne du thalamus entoure un petit noyau allongé, bien délimité en avant en dedans et en a
t noyau allongé, bien délimité en avant en dedans et en arrière, le noyau semi- lunaire de Flechsig (NF), situé entre le
isceau tlcalre- miquc de Forel (Fth). L'extrémité postérieure de ce noyau se termine insensible- ment dans le noyau exter
trémité postérieure de ce noyau se termine insensible- ment dans le noyau externe du thalamus (Ne). Le segment rétro-lent
inférieur coiffent l'extrémité postérieure du troisième segment du noyau lenticu- lail'e (NL3). Une lame médullaire in
laire interne supplémentaire (lmil) subdivise le segment interne du noyau lenticulaire (NL,, \L,'), de telle sorte que le n
nt interne du noyau lenticulaire (NL,, \L,'), de telle sorte que le noyau lenticulaire semble formé de quatre segments. D
ormé de quatre segments. De toute la longueur du segment interne du noyau lenticulaire, se détachent clés fascicules de fib
ceau len- ticulaire de Forel (FI) arrivent les libres de l'arzsc du noyau lenticulaire (Al), que l'on voit naître de la l
et se diri- gent en arrière et en dehors, en arrière de la tète du noyau caudé (NC). Elles ne sont plus seules il occupe
mbryonnaire (lt) de la première circonvolution limbique. La tête du noyau caudé (NC) s'est rapprochée de la surface extér
e. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Al, anse du noyau lenticulaire. AM, avant-mur. bd, bandelette diago
lame médullaire externe du thalamus. lme, lame médullaire externe du noyau lenti- culaire. lmi, lame médullaire interne du
re externe du noyau lenti- culaire. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. lmi', lame-médnllaire interne sup
me-médnllaire interne supplémentaire divisant le segment interne du noyau lenticulaire en deux parties NL,, NL ? It, lame
face interne de la première circonvolu- tion frontale. NC, tète du noyau caudé. Nu, NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau
rconvolu- tion frontale. NC, tète du noyau caudé. Nu, NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NF, noyau
frontale. NC, tète du noyau caudé. Nu, NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de
. Nu, NC', queue du noyau caudé. Ne, noyau externe du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne du th
noyau externe du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni, noyau interne du thala- mus. NL3, NL2, NL,, ? premier
a- mus. NL3, NL2, NL,, ? premier, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire, le. premier, segment est divisé e
L,, NL ? par la lame médullaire interne supplé- mentaire lmi'. Nvz, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). oF,,
CENTRES NERVEUX. substance grise, qui relient incomplètement la dit noyau caudé (NC') au pulamen U'{L3)' Le noyau lenti
ent incomplètement la dit noyau caudé (NC') au pulamen U'{L3)' Le noyau lenticulaire (NL., NL,, NL,, NL,') est formé de q
criblé de nombreux orifices vasculaires, se confond avec la tête du noyau caudé (NC), qui atteint la surface du cerveau,
e de la lame terminale embryonnaire. (It). En arrière de la tête du noyau caudé (NC), entre cette tête et l'ccnse du noya
ière de la tête du noyau caudé (NC), entre cette tête et l'ccnse du noyau lenticulaire (Al), on trouve la substance innomin
qui se continue en arrière et en dehors avec le deuxième segment du noyau lenticulaire (NL,) et qui reçoit en dedans les
bstance innominée de Reichert (Sti), aussi, ne verrons-nous l'anse du noyau lenticulaire (Al) que par fragments ; elle se d
e par fragments ; elle se détache des lames médullaires internes du noyau lenticulaire (lmi, lmi'), et contourne l'extrémit
p de Forel (F) formé, en effet, la partie supérieure de la capsule du noyau 1'(lUge, et nous verrons apparaître sur la coup
coupe suivante n° 5x (fig. 320), il la place du champ' de Forel, le noyau rouge de Stilling. En dedans du champ de, Forel,
ntricule (.,). En arrière du champ de Forel (F) on trouve encore le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF), le centre médian
e. Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Al, anse du noyau lenticulaire. AM, avant-mur. bd, bandelette diago
e. CL, corps de Luys. CM, commissure de Meynert. CXC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure anté- rieure. cop, commi
t fibres du t,enia semi-circularis. lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du noy
llaire externe du noyau lenticulaire. lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. lmi', lame médullaire supplémenta
ire. lmi', lame médullaire supplémentaire du segment interne (AL)) du noyau len- ticulaire, le divisant en deux segments, N
aire. mi., face interne de la première circonvolution frontale. SC, noyau caudé. NC . queue du noyau caudé. A'e, noyau ex
la première circonvolution frontale. SC, noyau caudé. NC . queue du noyau caudé. A'e, noyau externe du thalamus.- VI7, noya
volution frontale. SC, noyau caudé. NC . queue du noyau caudé. A'e, noyau externe du thalamus.- VI7, noyau semi-lunaire de
é. NC . queue du noyau caudé. A'e, noyau externe du thalamus.- VI7, noyau semi-lunaire de Flechsig. NL3, NI.J2, ¡VLI, 1',
alamus.- VI7, noyau semi-lunaire de Flechsig. NL3, NI.J2, ¡VLI, 1', noyau lenticulaire avec ses trois segments, dont l'inte
c ses trois segments, dont l'interne est divisé en deux i et ? A'm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). SB, n
eux i et ? A'm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). SB, noyau rouge. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire
e du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la partie supérieure du noyau rouge (NR) et par la commis- sure de Meynert (C
). En avant du faisceau de la commissure postérieure , on trouve le noyau rouge (NR), entouré de sa capsule de fibres; il r
rétroflexe de Meynert (FM) sectionné obliquement et qui traverse le noyau rouge. La partie posléro-in terne de la capsule d
raverse le noyau rouge. La partie posléro-in terne de la capsule du noyau rouge est formée de faisceaux de fibres section
e Forel (Fth); de la partie centrale et antérieure de la capsule du noyau rouge, se détachent de gros fascicules de fibres
rs et qui constituent les radiations de la calotte (1C). Les deux noyaux rouges (NR) sont reliés au niveau de la substance
e nombreuses fibres du glo- bus pallidus (NL,, NL" NL,'). L'anse du noyau lenticulaire (Al) a diminué de volume; on la vo
egment postérieur de la capsule. En avant et en dedans de l'anse du noyau lenticulaire, apparait la commissure de Meynert
à direction parallèle, qui semblent au début appartenir à l'anse du noyau lenticulaire (AI); mais, tandis que cette derni
riangulaire intercepté par la commissure de Meynert (CM), l'anse du noyau lenticulaire (Al) et le pilier antérieur du trigo
ceau de Vicq d'Azyr (VA), et se perdent au voisinage de la capsule du noyau rouge. La bandelette diagonale de Broca (bd)
(bd) a augmenté d'épaisseur et de longueur. La partie saillante du noyau caudé (colliculus du noyau caudé) (CNC) s'est a
r et de longueur. La partie saillante du noyau caudé (colliculus du noyau caudé) (CNC) s'est agrandie, et la tête du noya
udé (colliculus du noyau caudé) (CNC) s'est agrandie, et la tête du noyau caudé (NC) se confond en avant avec la partie m
par la partie supérieure du tubercule î2îaî ? îlllcii)-e(Tm) et du noyau rouge (NR) et par la partie inférieure du centre
a), apparaissent les trois couches de fibres caractéristiques de ce noyau , les superficielles appartiennent au bras du tube
hure de l'aqueduc de Sylvius dans le troisième ventricule (V.,). Le noyau rouge (NR) a augmenté de volume, et donne toujour
FM), tou- jours sectionné obliquement, occupe la partie centrale du noyau rouge. Le corps de Luys (CL) a augmenté d'étend
ent postérieur de la capsule interne (Cip) et le segment interne du noyau lenticulaire, formé encore de deux segments (NL
CL, corps de Luys. CADI, commissure de Meynert. CSC, colliculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. cop, commiss
? face interne de la première circonvolution frontale. 'C', queue du noyau caudé. 1YL3, NLi, -VL,, ? troisième, deuxième e
ième, deuxième et premier segments, ce dernier subdivisé en deux du noyau lenticulaire. NI ? , noyau rouge. or,, partie nrb
egments, ce dernier subdivisé en deux du noyau lenticulaire. NI ? , noyau rouge. or,, partie nrbitairc de la première circo
onale. Tc, tuber cinereum. Tga, pilier antérieur du trigone. Th\'e, noyau externe du thalamus. 7'AA'n : , noyau médian du t
antérieur du trigone. Th\'e, noyau externe du thalamus. 7'AA'n : , noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). Tm,
yline. Elles n'atteignent dans cette coupe ni le segment interne du noyau lenticulaire (NL,, ¡') en arrière, ni la ligne
tte substance grise correspond à la partie inférieure de la tête du noyau caudé (colliculus dit noyau caudé) (CNC), qui f
nd à la partie inférieure de la tête du noyau caudé (colliculus dit noyau caudé) (CNC), qui fait saillie dans l'espace perf
Luys a disparu, et à sa place on trouve, en dehors et en arrière du noyau î,oige (NR),Ie commencement du ruban de Reil médi
eure de la capsule interne (Cip) et la zone de 1,Veii ? icke(W). Le noyau rouge (NR) s'est peu modifié; en dehors et en a
ynert (FM), qui sur la coupe précédente occupait la partie moyenne du noyau rouge, s'est porté en avant et en dedans et éch
ne du noyau rouge, s'est porté en avant et en dedans et échancre le noyau rouge au voisinage de l'espace perforé postérie
vant, et qui limite en arrière les fibres qui forment la capsule du noyau rouge. La couche des fibres moyennes du tubercu
um zonale (strz). Dans l'angle qui sépare le pulvinar de la tête du noyau caudé (NC), on trouve la section transversale d
direction et l'origine sont variables; les unes relient la queue du noyau caudé (NC') au troisième segment du noyau lenli-
unes relient la queue du noyau caudé (NC') au troisième segment du noyau lenli- culaire (NL.j), et traversent en diagona
e. CL, corps de Luys. CM, commissure de Meynert. CNC, colliculus du noyau caudé. - coa, commissure antérieure. Epa, espac
s. Ln, locus ni.-or. - mp, sillon marginal postérieur. NC, queue du noyau caudé, NLl troisième segment du noyau lenticula
inal postérieur. NC, queue du noyau caudé, NLl troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn). - NR, noyau rouge. P, éta
caudé, NLl troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn). - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
té posté- rieure et entoure le corps de Luys (CL), qui le sépare du noyau rouge (NR) et de la capsule de ce noyau. Il tou
Luys (CL), qui le sépare du noyau rouge (NR) et de la capsule de ce noyau . Il touche en dedans au tubercule mamillaire (Tm)
Il touche en dedans au tubercule mamillaire (Tm), formé par un gros noyau gris situé très près de la ligne médiane, entouré
la substance innominée de Reichert (Sti) et le troisième segment du noyau lenticulaire (NL), en avant duquel on trouve la s
esse le chiasma des nerfs optiques (xll) et la partie supérieure du noyau de la troisième paire (Nm). Le pulvinar (Pul) a
, COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 649 Le troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) s'est encore réduit, et se c
encore réduit, et se continue en avant avec la partie supérieure du noyau amggdalien (NA). Dans l'angle que forment ces d
érieure du noyau amggdalien (NA). Dans l'angle que forment ces deux noyaux en se réunissant, on trouve la surface de secti
ornée et fibres du ttenia semi-lenticularis. LIl, locus niger. Nui, noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalien. NC
nticularis. LIl, locus niger. Nui, noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalien. NC', queue du noyau caudé. XL3, trois
i, noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalien. NC', queue du noyau caudé. XL3, troisième segment du noyau lenticul
au amygdalien. NC', queue du noyau caudé. XL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). .YR, noyau rouge. P, étag
caudé. XL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). .YR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
faisceaux de la commissure postérieure (Fcop) forment en arrière du noyau rouge (NR) un petit champ assez mal délimité et
c (Aq) qui sépare ces deux faisceaux l'un de l'autre, on trouve les noyaux de la troisième paire (III). Sur la ligne médiane
e la troisième paire (III). Sur la ligne médiane il existe un petit noyau impair, allongé, formant le noyau central; en deh
ligne médiane il existe un petit noyau impair, allongé, formant le noyau central; en dehors, de chaque côté du faisceau
du faisceau longitudinal postérieur. Il forme le groupe ventral du noyau latéral de la troisième paire. Le groupe dorsal
u noyau latéral de la troisième paire. Le groupe dorsal, de ce même noyau siège il la base du faisceau longitudinal posté-
isceau au niveau de la subs- tance grise de l'aqueduc. En dedans du noyau latéral, en arrière du noyau central ou médian,
tance grise de l'aqueduc. En dedans du noyau latéral, en arrière du noyau central ou médian, on trouve de chaque côté un
rière du noyau central ou médian, on trouve de chaque côté un petit noyau ovalaire, contenant des petites cellules et con
au ovalaire, contenant des petites cellules et connu sous le nom du noyau de WestJihal ou d'Edinger (Voy. t. II, Noyaux d
t connu sous le nom du noyau de WestJihal ou d'Edinger (Voy. t. II, Noyaux de la troisième paire). Le reste de la calotte
(Haubenstralilungen) décrites par Edinger ; elles sont destinées au noyau rouge et dégénèrent à la suite des lésions cortic
cornée et libres du taenia semi-circularis. Ln, locus niger. .V//7. noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalien. Nu,
ircularis. Ln, locus niger. .V//7. noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalien. Nu, queue du noyau caudé. A'7, troi
/7. noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalien. Nu, queue du noyau caudé. A'7, troisième segment du noyau lenticulai
yau amygdalien. Nu, queue du noyau caudé. A'7, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). XR, noyau rouge. l', ét
au caudé. A'7, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). XR, noyau rouge. l', étage inférieur ou pied du pédoncule
), de la partie postérieure du pied Au pédoncule cérébral (P). Le noyau rouge (NR) commence à diminuer de volume. Sa caps
érieur (Flp), avec les fibres de la partie interne de la capsule du noyau rouge, puis avec les fibres radiculaires de la lz
e grise de l'aqueduc (SgAq), on retrouve les différents groupes des noyaux de la troisième paire (NIII), séparés par de gr
érieur (BrQp). Compris entre le corps genouillé interne (Cgi) et le noyau rouye (NR), le ruban de Reil présente déjà la for
(Stri, Ilg. 193 et 297). En arrière, le locus niger est séparé du noyau rouge et de la capsule, de ce dernier, par une
l la base du cerveau, et reçoit au niveau du iroi- sième segment du noyau lenticulaire (pulamen) (nul,,) un volumineux fais
ngitudinal inférieur (Fli). En avant, le putamen se confond avec le noyau anzggdalien (NA), mal délimité d'avec la circonvo
l la surface extérieure du pédoncule cérébral, où il forme un petit noyau ovalaire de substance grise, entouré d'une capsul
direction presque antéro-posté- rieure, et qui relient la queue du noyau caudé (NC) a l'extrémité postérieure du noyau l
qui relient la queue du noyau caudé (NC) a l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire (putamen) (NLJ. Quelques-uns de ce
venir, 654 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. non pas de la queue du noyau caudé (NC'),mais des radiations thalamiques (RTIi
cularis. Lms, lame médullaire superfi- cielle. Ln, locus niger. NA, noyau amygdalien. -NC', queue du noyau caudé. NL3, troi
erfi- cielle. Ln, locus niger. NA, noyau amygdalien. -NC', queue du noyau caudé. NL3, troi- sième segment du noyau lentic
amygdalien. -NC', queue du noyau caudé. NL3, troi- sième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, é
dé. NL3, troi- sième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur du pédoncule cérébr
eynert. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. Hln, noyau de la troi- sième paire. - III, filets radicula
la constitution de la capsule externe (Ce). Le troisième segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL3), compris entre le
faisceau longitudinal inférieur (Fli), se fusionne en avant avec le noyau amygdalien (NA) qui forme la paroi inférieure et
u prolongement sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph). En dehors, le noyau amygdalien se fusionne avec l'avanl-l1wl' (AM),
ié en fragments par le fais- ceau uncinatus (Fu). L'avant-mur et le noyau amygdalien sont recouverts par l'écorce du seui
dix de la figure 315. Cette coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR), les corps genouillés interne et ext
de petits îlots de sub- stance grise, se fusionne en avant avec le noyau amygdalien (NA) et l'avant-11tw' (AM), et la ma
ant-11tw' (AM), et la masse de substance grise formée par ces trois noyaux se confond avec l'écorce du seuil de l'insu la
cornée et fibres du taenia semi-circularis. Ln, locus niger. NIII, noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalicn. 1\
circularis. Ln, locus niger. NIII, noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalicn. 1\"C', queue du noyau caudé. iVL3, tr
noyau de la troisième paire. NA, noyau amygdalicn. 1\"C', queue du noyau caudé. iVL3, troisième segment du noyau lenticu
u amygdalicn. 1\"C', queue du noyau caudé. iVL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR, noyau rouge. P, éta
caudé. iVL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cé
nte un aspect semi- lunaire caractéristique, et coiffe en dehors le noyau rouge (NR).Dans la concavité du ruban de Reil m
médian se loge le faisceau de la commissure postérieure (Fcop). Le noyau rouge (NR) a diminué de volume, il est refoulé à
rieur (Pcs). Ce faisceau augmente de volume et refoule en dehors le noyau rouge (NR), dont il occupe la place dans les régi
s régions pédonculaires inférieures. Cette disparition graduelle du noyau rouge et cet aspect si particulier du pédoncule
squ'on le considère à l'état frais, ont fait dire à Stilling que le noyau rouge des régions supérieures Au pédoncule fait p
e le noyau rouge des régions supérieures Au pédoncule fait place a un noyau blanc dans les régions pédonculaires inférieure
nal postérieur (Flp), le pédoncule cérébelleux supl'rieur (Pcs), le noyau rouge (-11) et l'extrémité interne Au locus niger
i se fait à angle extréme- .ment aigu, et en avant,' entre les deux noyaux rouges (NR), un entre-croisement de fibres tran
nâ). Les fibres qui forment ce dernier entre-croisement naissent du noyau rouge et entrent après entre-croisement sur la
partie antérieure de cette coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR); la partie postérieure intéresse le si
nt libre et n'adhère plus il aucun organe de la base du cerveau. Le noyau rouge (NR) a diminué de volume, et sa place est
titution des régions pédonculaires infé- rieures, et qui refoule le noyau rouge en avant et en dehors. Le pied du pédoncu
ure. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Ln, locus niger.- V7tl, noyau de la troisième paire. NQa, noyau du tubercule qu
stérieur. Ln, locus niger.- V7tl, noyau de la troisième paire. NQa, noyau du tubercule quadrijumeau antérieur. NR, noyau
roisième paire. NQa, noyau du tubercule quadrijumeau antérieur. NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cé
èrement excavé, et embrasse la partie inférieure et très réduite du noyau de la troisième paire (NIII). En avant de Ventr
vec le ruban de Reil médian (Rm) restent tou- jours les mêmes. Le noyau du tubercule quadrijumeau antérieur (NQa) est trè
jumeau antérieur (NQa) est très net sur cette coupe. En avant de ce noyau , et embrassé par la couche profonde des fibres du
postérieurs (Qp), au contraire, la substance grise se groupe en un noyau ovalaire, le ganglion du tubercule quadrijumeau
r du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Ce dernier, qui nait du noyau rouge (NR), ainsi que nous l'avons vu sur les c
térieur. Gip, ganglion inter-pédonculaire. L ? t, locus niger. XIV, noyau du nerf pathétique (4" paire). NQp, gan- glion
ur de ces faisceaux est légè- rement échancré, et embrasse un petit noyau arrondi qui envoie ses fibres en dehors et en a
tit noyau arrondi qui envoie ses fibres en dehors et en arrière. Ce noyau constitue le noyau du pathétique ou de la, quat
ui envoie ses fibres en dehors et en arrière. Ce noyau constitue le noyau du pathétique ou de la, quatrième paire (NI,),
e la base un amas de granulations pigmentaires d'un jaune clair. Le noyau de la cellule est volumineux, arrondi, parfois
de l'hippocampe. Lms, lame médullaire superficielle. NC', queue du noyau cattdé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, NL2
Lms, lame médullaire superficielle. NC', queue du noyau cattdé. Ne, noyau externe du thalamus. NL3, NL2, troisième et deuxi
oyau externe du thalamus. NL3, NL2, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - oi, sillon collatéral. l', pied
superficielle du subiculum. M, couche moléculaire. - i\'C', queue du noyau caudé. - 0, stratum oriens ou couche des cellul
en protoplasma, qu'on les a considérés pendant longtemps comme des noyaux ; ce sont les grains du fascia dentata, les myéloc
orce du rhinencéphalon se rattachent encore le septum lucidum et le noyau amydalien. La structure de ce dernier noyau est t
le septum lucidum et le noyau amydalien. La structure de ce dernier noyau est très analogue à celle de l'avant-mur et du
s (grand soleil de Reil), qui convergent le long du bord externe du noyau caudé et de l'angle externe du ventricule latéral
rémité antero-inférieure du cingulum entrerait en connexion avec le noyau amygdalien. Pour Beevor enfin le cingulum compr
aucune libre ne se porte en haut vers la corne d'Ammon, ou vers le noyau amygdalien, aucune ne se dirige vers l'espace p
e la capsule interne. CN, commissure de Meynert. CNC, col11culus du noyau caudé. z coa, commissure antérieure. - Epa, esp
ution frontale (gyrus reclus). mp, sillon marginal postérieur. - NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. NL" putamen. NR
ieur. - NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. NL" putamen. NR, noyau rouge. - oF 11, 0F3, partie orbitaire des premi
cinatus morcellent la substance grise qui relie l'avant-mur (AM) au noyau amygdalien (NA) et / b Trajet de ses libre :
ceau dé- crit par Meynert sous le nom de couronne rayonnante du noyau caudé, et par Wer- nicke sous celui de fais
u est situé en de- dans de la couronne rayonnante, au-dessus du noyau caudé, au- dessous et en dehors du corps call
our à tour décrit par Meynert sous le nom de couronne rayonnante du noyau caudé et par Wernicke, sous le nom de faisceau du
à la capsule interne. . D'après Meynert, la couronne rayonnante du noyau caudé est formée par de nombreuses fibres qui p
t formée par de nombreuses fibres qui prennent leur origine dans le noyau caudé, émer- gent le long de son bord supéro-ex
hippocampe. L,, première circonvo- lution limbique. - .YC, tronc du noyau caudé. - NC , queue du noyau caudé. - NLi, troi
vo- lution limbique. - .YC, tronc du noyau caudé. - NC , queue du noyau caudé. - NLi, troisième segment du noyau lenticul
yau caudé. - NC , queue du noyau caudé. - NLi, troisième segment du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal d
ET COMMISSURAUX. 761 .. fibres n'affectent aucune connexion avec le noyau caudé; à l'examen de coupes microscopiques séri
oit, en effet, nulle part, aucune de ces fibres se terminer dans le noyau caudé. D'après Wernicke, ces fibres constituent
imètre et demi d'épaisseur, qui longerait le bord supéro-externe du noyau caudé et dont les fibres pénétreraient dans la
t dont les fibres pénétreraient dans la capsule interne, entre le noyau caudé et le bord su- périeur du putamen, au niv
ises, qu'aucune fibre de ce faisceau n'entre en connexion avec le noyau caudé; or, comme aucun fait anatomo-pathologiqu
l'angle externe du ventricule latéral et se trouve situé au-dessus du noyau caudé, en dedans de la couronne rayonnante, au-
ntriculaire. Nettement délimité au niveau de la tète et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en partie dissocié au nive
eure. - F2t, faisceau uncinatus. - Gh, ganglion de l'hab("l1nla. .VA, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur du th;tlamus.
natus. - Gh, ganglion de l'hab("l1nla. .VA, noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur du th;tlamus.-lfC, tète du noyau caud ?
noyau amygdalien. - Na, noyau antérieur du th;tlamus.-lfC, tète du noyau caud ? -NC', queue du noyau caudé. - NC(T), tro
oyau antérieur du th;tlamus.-lfC, tète du noyau caud ? -NC', queue du noyau caudé. - NC(T), tronc du noyau caudé. - OF, fai
tète du noyau caud ? -NC', queue du noyau caudé. - NC(T), tronc du noyau caudé. - OF, faisceau occipito-frontal. 0(7'f7),
ure antérieure et l'extrémité antérieure du lobe temporal en avant du noyau amyg- dalien. Elle intéresse les principaux fai
re circonvolution limbique. - <n : e, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. mF,, face interne de la première
mp, sillon marginal postérieur. tns, sillon marginal supérieur. NC, noyau caudé. - NL, nerf de Lancisi. .Via, NL" troisième
- NL, nerf de Lancisi. .Via, NL" troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. - OF, faisceau occipito-frontal. -
e, passant par le carrefour ventriculaire en arrière de la queue du noyau caudé. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Dé
ées en arrière et au-dessous de- la partie recourbée de la queue du noyau caudé (Voy. séries I, II, 111, p. 33fi, fig. 28
ntourne la corne sphénoïdale (Vsph) et atteint la partie externe du noyau amygdalien (NA), où il mor- celle avec le faisc
le faisceau uncinatus, la substance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygdalien et à l'écorce cérébrale avoisinante (f
bule lingual. Mo, trou de Monro. mp, sillon marginal postérieur. .Va, noyau antérieur de la couche optique. - NC, noyau cau
rginal postérieur. .Va, noyau antérieur de la couche optique. - NC, noyau caudé. - VC', queue du noyau caudé. z Ne, noyau
antérieur de la couche optique. - NC, noyau caudé. - VC', queue du noyau caudé. z Ne, noyau externe de la couche optique
uche optique. - NC, noyau caudé. - VC', queue du noyau caudé. z Ne, noyau externe de la couche optique. NL-2, ,VL3. deuxièm
de la couche optique. NL-2, ,VL3. deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - 0,, première circonvolution occip
nt la façon dont le fais- , ceau longitudinal inférieur aborde ' le noyau amygdalien. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur na
illon de. l'hippocampe. - Lms, lame médullaire superficielle. - NA, noyau amygdalien. B7'A, radiations thalamiques de Grati
pulvinar. dans les corps genouillés externe et interne, et dans les noyaux externe et interne de la couche optique. Les pl
sphère droit passant par la partie moyenne de la couche optique, le noyau rouge et le pédoncule cérébral. Méthode de Weig
- Lmi, lame médullaire interne du thalamus. Ln, locus niger. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tronc du noyau caudé
Ln, locus niger. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tronc du noyau caudé. nit ? queue du noyau caudé. - Ve, noyau
u antérieur du thalamus. - NC, tronc du noyau caudé. nit ? queue du noyau caudé. - Ve, noyau externe du thalamus. - \'F, no
amus. - NC, tronc du noyau caudé. nit ? queue du noyau caudé. - Ve, noyau externe du thalamus. - \'F, noyau semi-lunaire de
nit ? queue du noyau caudé. - Ve, noyau externe du thalamus. - \'F, noyau semi-lunaire de Fleclisig. - Ni, noyau interne
externe du thalamus. - \'F, noyau semi-lunaire de Fleclisig. - Ni, noyau interne du thalamus. Axa, putamen. - NR, noyau ro
de Fleclisig. - Ni, noyau interne du thalamus. Axa, putamen. - NR, noyau rouge. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpPa,
adier dans le pulvinar, les corps genouillés interne et externe, le noyau externe du thalamus, la région sous-optique, le
(NL : 1), entre cette face et l'extrémité recourbée de la queue du noyau caudé (NC) (fig. 387), dans toute l'étendue com
le segment rétro-lenti- culaire de la capsule interne (Cirl) et le noyau amygdalien (NA) (Cip' lig. 21 1, p. 370). Cette
aisceau longitudinal inférieur, passer sous le troisième segment du noyau lenticulaire et aborder dans la région sous-thala
genouillé interne, les fibres temporales destinées au pulvinar, au noyau externe de la couche optique, etc., traversent de
nar. Ces fibres se rassemblent à la partie externe et supérieure du noyau amygdalielt, s'entre-croisent dans toute leur lon
r longueur avec le faisceau longitudinal inférieur, passent sous le noyau lenticulaire et se dirigent obliquement en arri
Détails dessinés à un grossissement de 12 diamètres. Al, anse du noyau lenticulaire. AM, avant-mur. Bra, bras du tubercu
entricule, puis s'infléchissent en dedans, au niveau de la queue du noyau caudé, pour s'irradier dans le thalamus et en p
s s'irradient en avant dans les circonvolutions temporales, dans le noyau amygdalien et dans l'écorce qui limite, en arri
première circonvolution limbique. bne, lame médul- laire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du n
aire externe du noyau lenticulaire. - lmi, lame médullaire interne du noyau lenticulaire. - , lutine médullaire interne sup
ullaire interne supplémentaire divisant en deux le segment interne du noyau lenticulaire (NL,). - NC, tète du noyau caudé.
deux le segment interne du noyau lenticulaire (NL,). - NC, tète du noyau caudé. - NC', queue du noyau c,¡rtld ? - ]\'L3,
oyau lenticulaire (NL,). - NC, tète du noyau caudé. - NC', queue du noyau c,¡rtld ? - ]\'L3, NL" Ni ? noyau lenticulaire
e du noyau caudé. - NC', queue du noyau c,¡rtld ? - ]\'L3, NL" Ni ? noyau lenticulaire et ses trois segments. - 0, lobe occ
antérieur. - RC, radiations de la calotte. Re, faisceau cortical du noyau rouge, passant par les radiations de la calotte
is que la corne frontale ne dépasse guère l'extrémité antérieure du noyau caudé. Sur les coupes vertico-transversales on co
ersales on constate toutefois, immédiatement en avant de la tête du noyau caudé et autour de la FAISCEAUX D'ASSOCIATION E
lobe frontal et du genou du corps calleux, longe le bord externe du noyau caudé et se rend dans la capsule interne. Nous
décrit par Wernicke serait un faisceau commissural reliant les deux noyaux caudés entre eux. De prime abord, cette hypothèse
eux. De prime abord, cette hypothèse n'à rien d'invraisemblable, le noyau caudé ne représentant, ainsi que nous l'avons d
par la partie moyenne de la couche optique et les deux segments du noyau lenticulaire. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur
e médullaire externe du thalamus. - lme, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. Lmi, lame médullaire interne du t
face interne de la première circonvolution frontale. - Na, Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NC,
Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. - NC, tète du noyau caudé. - \'La, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMI
es ou sagittales, aucun fas- cicule de ce faisceau pénétrer dans le noyau caudé et s'y irradier, quelques . rares fascicu
scicules traversent seuls les couches les plus superficielles de ce noyau . , Les radiations du bec du corps calleux naiss
e obliquement en dedans et en avant, passe au-dessous de la tète du noyau caudé (NC, fig. 242, p. 442), s'épaissit rapide
), par le pont de substance grise qui relie le putamen à la tête du noyau caudé (Voy. fig. 242 et 243, p. 442 et 4 ! â).
rrelet du corps calleux. s NLi, troisième et deuxième segments du noyau lenticulaire. OF, faisceau occipito-frontal. -
la paroi inféro-externe du ventricule et peut être suivie jusqu'aux noyaux gris centraux, où elle retentit sur les fibres
ntuée de ce faisceau qui peut être suivie en avant jusqu'au delà du noyau amygdalien; 2° une dégénérescence extrêmement mar
. 2)îF, face interne dc> fà première circonvolution frontale. .YC, noyau caudé. - Parc, lobule paracentral. - parc, sill
al est compris entre la substance perforée antérieure et la tète du noyau caudé (ng. 316), il sépare ensuite le globus pa
la face inférieure du putamen (fig. 230, 246, 283), longe ensuite ce noyau en dehors (fig. 231, 312, 40')), concourt à for
oise avec le faisceau longitudinal inférieur et limite en dehors le noyau amygdalien (fig. 246). La commissure antérieure
marginal postérieur de l'insula (lig. 401) et de la face externe du noyau amygdalien. Elle décrit une courbe analogue à c
e; sur une série de coupes horizontales parallèles à un Al, anse du noyau lenticulaire. Alv, alvéus. Ail, avant-mur. bd, ba
me cornée et Henia semi-circularis. Ime, lame médullaire externe du noyau lenticulaire. lnzi, lame médul- FiG. 401. - Cou
.) FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 800 1 laircinterne du noyau lenticulaire. Lins, lame médullaire superficielle
de l'insula. mi, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caude. NL3, NL" XL"
inal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queue du noyau caude. NL3, NL" XL" premier, deuxième et troisièm
u caude. NL3, NL" XL" premier, deuxième et troisième s'eg- ments du noyau lenticulaire. pC/t, pied de la couronne rayonnant
convolutions limbiques (L"L [II ), substance perforée anté- rieure, noyau amygdalien); pour Meynert, elle représentait le s
3 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
ntral est con-sacrée à l'étude de la substance blanche et à celle des noyaux de substance grise; à la constitution et au mode
t la direction des divers genres de fibres blanches; l'apparition des noyaux de substance grise, leur développement ou leur ef
e à la surface de l'encéphale, d'étudier la structure des amas et des noyaux qu'elle forme dans sa masse, de déterminer le rôl
é, reliés intérieurement par des faisceaux de fibres blanches, à deux noyaux de substance grise, principaux centres de l'ac-ti
pé-riphérique ou corticale des hémisphères et la substance grise des noyaux centraux. § 1. — La substance grise périphériqu
us ou moins profonde qu'elles occupent. Elles sont pourvues d'un gros noyau nucléole et de pro-longements. Elles sont disposé
composée de fibres de tissu conjonctif, renfermant un grand nombre de noyaux , appelés myëlocytes, de forme sphérique ou ovoïde
es cellules pyramidales, manque; elle est remplacée par une couche de noyaux analogue à la 4edu type général. La 4° renferme
ynert nomme cellules solitaires. La 5e est semblable à la couche de noyaux . La 6e est formée par un stratum englobant des
um englobant des cellules solitaires. La 7e contient des cellules à noyaux arrondis ; elle est semblable à la 3e et à la 5e
es ; elle est conforme à celle du type général. Les trois couches à noyaux correspondent à la traînée blanche médiane, nommé
pyramide allongée. Le corps a l'aspect fibrillaire et est pourvu d'un noyau et d'un nucléole. Le sommet du corps s'effile pro
es cellules arrondies ; ce qui permettrait de supposer que ces petits noyaux ronds sont en rapport avec la sensibilité (Microp
'une gaine très mince et transparente (1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise forme, dans la mass
édiane et centrale de la face interne de chaque hémisphère, deux gros noyaux juxtaposés, appelés les noyaux opto-striés, centr
nterne de chaque hémisphère, deux gros noyaux juxtaposés, appelés les noyaux opto-striés, centres générateurs de l'innervation
de 20 [¦ à 30 (x de longueur et de 5 à 10 $ de largeur, pourvues d'un noyau et de ramifications. Elle occupe le centre même d
optici. Ces deux saillies sont dues à la proéminence de deux petits noyaux gris contenus dans la substance de la couche opti
c'est le centrum médium Luysii. M. Luys considère ces tubercules ou noyaux , isolés dans la substance grise de la couche opti
l'aspect d'une petite masse de substance blanchâtre. Ces centres ou noyaux de la couche optique n'ont pas une structure hist
polaires, variant de 15 p.à 30 [a, de couleur jaunâtre, pourvues d'un noyau et de prolon-gements. Il occupe toute l'étendue
le interne. La portion contiguë à la couche optique porte le nom de noyau intra-ventri-culaire. Son extrémité antérieure es
fait désigner par Burdach cette portion du corps strié sous le nom de noyau caudè ou nucleus caudatus (Pl. X, 5). La partie
du corps strié est plus volumineuse que la précédente. Elle forme le noyau extra-ventriculaire ou noyau lenticulaire [nucleu
mineuse que la précédente. Elle forme le noyau extra-ventriculaire ou noyau lenticulaire [nucleus lentiformis). Sa masse repr
pect blanchâtre qui lui a valu le nom de globus pallidus, et celui de noyaux jaunes. Le segment externe, recevant beaucoup moi
le nom de putamen (Pl. XXIV, 8 et XLII, 2). La partie antérieure du noyau lenticulaire n'est pas complètement séparée de la
nférieure ces deux portions de la même masse. La face inférieure du noyau lenticulaire est convexe, elle est criblée de per
ntérieure de Vicq-d'Azyr (PJ. XXVIII, 6, 7 et LU, 11). En outre des noyaux centraux opto-striés, on aperçoit dans la substan
opto-striés, on aperçoit dans la substance mé-dullaire, en dehors du noyau lenticulaire, une traînée de substance grise, éta
'hémisphère opposé ; elles sont en outre en connexion intime avec les noyaux opto-striés. Ces trois ordres de connexions imp
s fibres convergentes reliant les cellules corticales aux cellules de noyaux opto-striés. § 1. Les fibres arciformes constit
outes ces fibres passent sur la ligne médiane, les unes au-dessus des noyaux opto-striés et constituent par leur juxtaposition
te du corps calleux (PL XVÏ, 3); les autres passent au-dessous de ces noyaux et concourent à la formation du genou en (1) Pr
mêlées aux fibres convergentes, qu'elles abandonnent au voisinage des noyaux opto-striés. Leur point de dissociation est nette
ceau arrondi qui se dirige en avant, passe sous la face inférieure du noyau lenticulaire, en se créant une gouttière nommée p
et que les fibres commissurantes, puis s'en séparent au voisinage des noyaux opto-striés, pour plonger en faisceaux rayonnes d
és, pour plonger en faisceaux rayonnes dans la substance grise de ces noyaux . En changeant de direction, ces deux ordres de fi
s la substance grise du corps strié, la séparent en deux segments, le noyau intra-ventriculaire et le noyau eœtra-ventriculai
rié, la séparent en deux segments, le noyau intra-ventriculaire et le noyau eœtra-ventriculaire, et vont aboutir aux parties
aire et le noyau eœtra-ventriculaire, et vont aboutir aux parties des noyaux opto-striés qui leur correspondent (PL XXI). Ce
faisceaux distincts. Burdach a désigné le faisceau intermédiaire aux noyaux opto-striés sous le nom de capsule interne; Reil
se juxtaposent en un fascicule qui s'implante sur le bord externe du noyau caudé et le séparent du noyau lenticulaire (Pl. X
e qui s'implante sur le bord externe du noyau caudé et le séparent du noyau lenticulaire (Pl. XVI, 4; XVII; XV11I, 6). Les fi
ennent des régions inférieures se dirigent en haut : les unes vers le noyau lenticulaire ; les autres, sous la forme d'un fai
parent de nouveau pour gagner leurs destinations respectives dans les noyaux opto-striés. Une partie pénètre dans la couche
vilignes. L'autre plonge verticalement dans la partie supérieure du noyau lenticulaire sous forme de lamelles qui cloisonne
s, croisent les fibres arciformes, s'inclinent sur la face externe du noyau lenticulaire du corps strié, gagnent les parties
que extérieure nommée capsule externe (Pl. XX, 7). La face externe du noyau lenticulaire n'a donc pas d'adhérences avec la su
s points de la substance grise périphérique avec le corps strié et le noyau lenticulaire, ce sont les fibres cortico-striées.
I, 7). Les tubercules mamillaires [corpus candicans) sont donc deux noyaux de ren-forcement de substance grise, recouverts d
de substance grise, reliée par des fibres nerveuses médullaires à un noyau central de substance grise. article i. - substa
la substance grise corticale ou périphérique et la substance grise du noyau central. § I. La substance grise du cervelet fo
dont chaque branche se ramifie. Le corps de la cellule renferme un noyau ovoïde, pourvu d'un nucléole; il envoie quelques
lules arrondies, pourvues de prolongements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise forme en outre à l'
de chaque lobe cérébelleux, comme dans chaque hémisphère cérébral, un noyau décrit par Vieussens sous le nom de corps rhomboï
oïdal, et par Vicq-d'Azyr sous celui de corps dentelé ou festonné. Ce noyau offre l'aspect d'une membrane de couleur brune ja
es de 30 [/. de long et d'environ 10 ^ à 15 ^ de large, pourvues d'un noyau ovoïde nucléole et de prolonge- ments nombreux,
boutir, sous la forme d'un petit faisceau, dans la substance grise du noyau des cordons grêles (Pl. XXXVII). Les fibres des
agglomération de sub-stance grise décrite par Stilling sous le nom de noyaux rouges. Une partie des fibres des pédoncules cé
s des pédoncules cérébelleux supérieurs contourne la face externe des noyaux rouges et va s'amortir dans les amas de substance
). Les pédoncules cérébelleux sont donc en connexion chacun avec un noyau de sub-stance grise appartenant aunévraxe. CHAP
interne et médiane, qu'on désigne sous le nom de colonne de Clarke ou noyau de Stilling. Ces cellules sont moins volumineuses
très petites cellules ovoïdes de couleur jaunâtre, pourvues d'un gros noyau , dispo-sées en séries sur le trajet des racines p
médiane; la base de la corne postérieure envoie un prolongement nommé noyau des cordons grêles, et plus haut un second prol
yau des cordons grêles, et plus haut un second prolongement, appelé noyau des corps restiformes (PL. XXXV). La tête de la c
Stilling a désigné le premier ces groupes de cellules sous le nom de noyau d'origine des nerfs. Cette expression, d'abord ap
d'origine des nerfs. Cette expression, d'abord appliquée seulement au noyau de l'hypoglosse, a été ensuite conservée et génér
e lieu d'origine des autres nerfs crâniens, quoiqu'il n'existe pas de noyau dans le sens propre du mot. § 1. Noyaux d'origi
s, quoiqu'il n'existe pas de noyau dans le sens propre du mot. § 1. Noyaux d'origine des nerfs crâniens. — Au-dessus du coll
plancher du quatrième ventricule ; elle renferme dans ce par-cours le noyau classique du nerf hypoglosse, le noyau du moteur
renferme dans ce par-cours le noyau classique du nerf hypoglosse, le noyau du moteur oculaire externe (noyau supérieur du fa
au classique du nerf hypoglosse, le noyau du moteur oculaire externe ( noyau supérieur du facial), le noyau du pathétique et c
, le noyau du moteur oculaire externe (noyau supérieur du facial), le noyau du pathétique et celui du moteur oculaire commun.
ial), le noyau du pathétique et celui du moteur oculaire commun. Le noyau classique de l'hypoglosse est situé sur l'extrémi
érieure du raphé médian, de chaque côté de la ligne médiane. Ces deux noyaux sont adossés l'un à l'autre et formés de grandes
à l'autre et formés de grandes cellules multipolaires, pourvues d'un noyau et d'un nucléole; ces cellules sont semblables à
rient de 30 y. à 70 p. de millimètre (Microph., Pl. D, fig. II). Le noyau du moteur oculaire externe se trouve dans un étag
rtie moyenne du sillon médian du plancher du quatrième ventricule. Ce noyau est en rapport avec le faisceau moyen du facial,
auquel il envoie quelques fibres, ce qui lui a fait donner le nom de noyau supérieur du facial. La substance grise présent
ntérieure, située sur un plan plus antérieur et externe, constitue le noyau antéro-latéral décrit par Stilling et Kôlliker, q
noyau antéro-latéral décrit par Stilling et Kôlliker, qui contient le noyau moteur des nerfs mixtes, le spinal, le pneumogast
ique et le glosso-pharyngien. Plus haut, cette colonne grise forme le noyau inférieur du facial et le noyau de la petite raci
us haut, cette colonne grise forme le noyau inférieur du facial et le noyau de la petite racine motrice du trijumeau ou nerf
au de la petite racine motrice du trijumeau ou nerf masticateur. Le noyau antéro-latéral du bulbe ou noyau moteur des nerfs
trijumeau ou nerf masticateur. Le noyau antéro-latéral du bulbe ou noyau moteur des nerfs mixtes contient des cellules ner
au, à l'extrémité d'une traînée de substance grise qui le rattache au noyau sensitif des nerfs mixtes (Microphotographie, Pl.
u sensitif des nerfs mixtes (Microphotographie, Pl. C, fig. IV). Le noyau antéro-externe ou accessoire de l'hypoglosse, déc
r M. Math. Duval (1), est formé des mêmes éléments anatomiques que le noyau antéro-latéral. Il est constitué par une formatio
nstitué par une formation réticulée de substance grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypoglosse sur les parties latéra
eur de l'hypoglosse sur les parties latérales du bulbe, en arrière du noyau juxta-olivaire externe, en avant du noyau antéro-
les du bulbe, en arrière du noyau juxta-olivaire externe, en avant du noyau antéro-latéral des nerfs mixtes. A la partie an
s ou quatre îlots isolés et accolés de substance grise constituent le noyau inférieur ou noyau propre du facial. Il est situé
solés et accolés de substance grise constituent le noyau inférieur ou noyau propre du facial. Il est situé entre l'olive et l
u, et se continue, par de faibles tractus de substance grise, avec le noyau accessoire de l'hypoglosse. Sa constitution anato
de l'hypoglosse. Sa constitution anatomique est la même que celle des noyaux précédents, c'est-à-dire de grandes cellules mult
s, c'est-à-dire de grandes cellules multipo-laires, contenant un gros noyau sphérique nucléole, pourvues de prolongements fin
teur prend son origine par des fibres radiculaires, qui émergent d'un noyau sphérique à grand diamètre vertical, situé dans l
la racine bulbaire pour former le faisceau sensitif du trijumeau. Ce noyau est formé de grosses cellules multipolaires et fa
sses cellules multipolaires et fait suite, sur un plan plus élevé, au noyau propre du facial, dont il est séparé par le passa
ites saillies qui contiennent les groupes de cellules constituant les noyaux sensitifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle forme
e nom de barbes du calamus scriptorius; et plus haut elle renferme le noyau des racines moyenne et supérieure du trijumeau.
nferme le noyau des racines moyenne et supérieure du trijumeau. Les noyaux sensitifs des nerfs mixtes forment une petite col
l'angle inférieur du plancher du quatrième ven-tricule, en dehors des noyaux propres du grand hypoglosse, renfermant des cellu
llongé constitue successivement, dès sa partie la plus inférieure, le noyau du spinal ou accessoire, le noyau du pneumogastri
ès sa partie la plus inférieure, le noyau du spinal ou accessoire, le noyau du pneumogastrique et celui du glosso-pharyngien
termine, ainsi que l'a démontré M. Math. Duval (1), par un très petit noyau ovalaire, situé en arrière et en dedans de la rac
arrière et en dedans de la racine bulbaire du triju-meau, en avant du noyau interne de l'auditif, qui émet les fibres radicul
lus gros, passe en avant et en dedans du pédoncule et va aboutir à un noyau de cellules. Ces deux groupes de fibres radiculai
rne. Une coupe pratiquée au-dessus du glosso-pharyngien, au niveau du noyau du nerf de Wrisberg, permet de suivre la grosse r
ogues aux cellules du trijumeau, qui occupe l'espace compris entre le noyau du nerf de Wrisberg, les racines du facial, le co
s la moelle les colonnes dites de Lockart-Clarke ; elles possèdent un noyau arrondi avec un ou plusieurs nucléoles et ont un
côté de la ligne médiane ; ce sont les tubercules quadrijumeaux. Le noyau de substance grise du tubercule quadrijumeau supé
tubercule quadrijumeau inférieur a une forme beaucoup plus nette. Ces noyaux renferment de petites cellules multipolaires, de
ôté sur ses parties latérales, au-dessus de la bandelette optique, un noyau contenant des cellules fusiformes de 30 [¿ de dia
re et quelques cellules multipolaires à prolongements ramifiés. De ce noyau émergent de petites fibrilles, les racines grises
rmations ganglionnaires de la base de l'encéphale, il faut ajouter un noyau de substance grise enclavé seulement dans la subs
nclavé seulement dans la substance corticale du lobe sphénoïdal. Ce noyau , désigné sous le nom de ganglion olfactif, de noy
sphénoïdal. Ce noyau, désigné sous le nom de ganglion olfactif, de noyau amygdalien (nucleus amygdaleus de Mandelkern), es
anatomique. Rolando et Foville ont déjà indiqué les rapports de ce noyau avec les racines externes des nerfs olfactifs; Se
laire, on trouve dans la partie encéphalique du névraxe de véritables noyaux de substance grise, qui possèdent un système prop
1. Dans la partie antérieure et supérieure du bulbe, on rencontre un noyau ovalaire, de couleur rouge, brun, jaunâtre, c'est
ovalaire, de couleur rouge, brun, jaunâtre, c'est ïolive bulbaire; ce noyau est formé par une membrane repliée en zigzag plus
les jaunâtres multipolaires, de 18 à 30 p. de diamètre, pourvues d'un noyau volumineux, de granulations pigmentaires et de pr
lle coudée de substance grise de même nature. Cet amas forme le grand noyau pyramidal de Stilling, ou noyau juxta-olivaire in
même nature. Cet amas forme le grand noyau pyramidal de Stilling, ou noyau juxta-olivaire interne de Sappey et Math. Duval,
ou noyau juxta-olivaire interne de Sappey et Math. Duval, qui nomment noyau juxta-olivaire externe la petite lamelle de subst
L, 31) (Microph., PL D, fig. III). A cette formation se rattache le noyau de substance grise qui sépare en haut, l'une de l
ère, terminée en fuseau à ses deux extrémités, con-nue sous le nom de noyau des corps restiformes (Pl. XXXVII) (Microph., Pl.
sidérable dans la partie antérieure de la protubérance. Ce volumineux noyau de substance grise est traversé par des fascicule
e chaque côté de la ligne médiane, dans chaque pédoncule cérébral, un noyau transversal curviligne. Ce noyau renferme des cel
, dans chaque pédoncule cérébral, un noyau transversal curviligne. Ce noyau renferme des cellules caractérisées par un grand
eure de chaque pédoncule cérébral, la substance grise se réunit en un noyau de couleur rouge-brun, jaunâtre, légèrement rosée
noyau de couleur rouge-brun, jaunâtre, légèrement rosée; ce sont les noyaux rouges de Stilling. Leur forme est régulièrement
se est composée de petites cellules ovoïdes, jaunâtres, pourvues d'un noyau rond et de nombreux prolongements très déliés, an
très déliés, anastomosés avec ceux des cellules voisines. Ces deux noyaux sont situés sur le trajet des fibres des pédoncul
re l'extrémité supérieure du locus niger et le bord antéro-externe du noyau rouge de Stilling. Ce noyau, que nous appellerons
locus niger et le bord antéro-externe du noyau rouge de Stilling. Ce noyau , que nous appellerons corpus Luysii, a une forme
nt pigmentées, dont le volume et l'aspect rappellent les cellules des noyaux rouges (Pl. IV, 17; XXVI, 12; XL1I, 16). Le cor
e torsion spiroïde, pour gagner le sommet de la pyramide que forme le noyau lenticulaire; une partie pénètre dans cette masse
le en éventail, sous l'aspect de filaments très déliés, à travers les noyaux jaunes jusqu'au putamen (PL V; XLIII). L'autre pa
e partie beaucoup plus abondante se dirige vers la face inférieure du noyau caudé et vers la tête du corps strié, qu'elle abo
on avec les cellules nerveuses que renferme la substance grise de ces noyaux . Les fibres les plus internes du pédoncule céré
ropres. Ce faisceau antéro-interne pédonculaire est sous-jacent aux noyaux rouges de Stilling. Il occupe le plan le plus inf
t va se confondre avec les fibres des lames médullaires verticales du noyau lenti-culaire. Il descend, par sa portion interne
mettrait par conséquent directement en connexion le corps strié et le noyau lenticulaire avec les régions antérieures de la m
anse pédonculaire par Gratiolet. Il est décrit sous le nom d'anse du noyau lenticulaire par Meynert qui le fait aboutir aux
nom d'anse du noyau lenticulaire par Meynert qui le fait aboutir aux noyaux moteurs de la moelle allongée. Il irait par consé
du pédoncule cérébral ne s'est pas épuisée dans le corps strié et le noyau lenticulaire. Un faisceau, situé vers la partie e
s la partie externe de cette portion du pédoncule, se porte entre les noyaux opto-striés, se dirige en avant, en haut et en de
te région et vont se distribuer aux cellules nerveuses des différents noyaux qu'elle renferme (PL XL1I, 21). Un faisceau s'inc
aisceau longitudinal postérieur affecte des rapports intimes avec les noyaux radiculaires des nerfs moteur oculaire externe, p
'étage moyen de la substantia innominata de Reil, situé au-dessous du noyau lenticulaire, et pour point de terminaison les co
érieures, ou portion motrice des pyramides, qui s'amortissent dans le noyau lenticulaire du corps strié. Les pédoncules cér
près leur entre-croisement, ainsi qu'il a été dit plus haut, dans les noyaux rouges de Stilling, le locus niger et le corpus L
noyaux rouges de Stilling, le locus niger et le corpus Luysii. Les noyaux rouges de Stilling reçoivent par leur segment pos
ébelleux supérieurs. Ces fibres pénètrent dans la substance grise des noyaux en petits filaments parallèles, qui con-servent l
lan plus inférieur, gagne les bords antérieurs du segment interne des noyaux jaunes et se distribue dans la substance grise du
interne des noyaux jaunes et se distribue dans la substance grise du noyau lenticulaire (Pl. IV, 14, 15, 16; XXVI, 13, 15, 1
ceau principal que les pédoncules cérébelleux supérieurs envoient aux noyaux rouges. Ce fascicule contourne le segment postéro
noyaux rouges. Ce fascicule contourne le segment postéro-externe des noyaux rouges (Pl. XXVI), aborde la face postéro-interne
ion des fibres spinales antérieures et gagnent la substance grise des noyaux jaunes, dans laquelle ces fibres se distribuent.
nt par conséquent une connexion intime entre les régions motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau central de la
me entre les régions motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau central de la substance grise des lobes du cervel
tubérance; elles représentent les fibres efférentes de ce volumi-neux noyau de la moelle allongée, qui établissent un rapport
p.; sa base donne naissance à des prolongements ramifiés. b. Gros noyau pourvu d'un nucléole. c. Amas de névroglie diss
angulaires de 6 ¡i à 10 p. Fig. V. — Cellule de Purkinje. a. Gros noyau nucléole. b. Prolongement caudal ramifié dichot
Leur corps, de 80 ¡l à 120 de diamètre, est fibrillaire, pourvu d'un noyau et d'un nucléole; il émet de nombreux prolongemen
ment au-dessus du collet du bulbe). a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures. Gavoy. — Encéphale.
. b. Noyau des pyramides postérieures. Gavoy. — Encéphale. 7 c. Noyau des corps restiformes. d. Racine du nerf grand
formation de la portion sensitive des pyramides; apparition du grand noyau pyramidal de Stilling. /. Entre-croisement des co
n inférieure des olives bulbaires). a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures. c. Racines du nerf
s pyramides postérieures. c. Racines du nerf grand hypoglosse. d. Noyau des corps restiformes. e. Tête de la corne anté
on médian antérieur. i. Portion sensitive des pyramides. /. Grand noyau pyramidal de Stilling ; sur les côtés apparaît la
région moyenne de F olive bulbaire), a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures. c. Noyau des corps
. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures. c. Noyau des corps restiformes. d. Substance gélatineuse
es de la tête de la corne antérieure. f. Olive bulbaire. g. Grand noyau pyramidal de Stilling. h. Portion sensitive des
yau pyramidal de Stilling. h. Portion sensitive des pyramides. i. Noyau gris qui sépare les deux portions sensitives et s
e des pyramides. k. Racine du grand hypoglosse. /. Raphé médian. m. Noyau sensitif et fibres radiculaires du grand hypoglos
dian. m. Noyau sensitif et fibres radiculaires du grand hypoglosse ( noyau classique). n. Apparition du noyau du pneumogas
adiculaires du grand hypoglosse (noyau classique). n. Apparition du noyau du pneumogastrique. Répartition de la substance
de la région supérieure de Volive bulbaire). a. Raphé médian. b. Noyau sensitif du grand hypoglosse (noyau classique).
ulbaire). a. Raphé médian. b. Noyau sensitif du grand hypoglosse ( noyau classique). c. Noyau sensitif du glosso-pharyng
dian. b. Noyau sensitif du grand hypoglosse (noyau classique). c. Noyau sensitif du glosso-pharyngien divisé en deux port
poglosse. /. Olive bulbaire. k. Portion motrice des pyramides. /. Noyau gris qui sépare les portions sensitives, s'interp
e et la portion motrice. m. Portion sensitive des pyramides. n. Grand noyau pyramidal de Stilling. o. Cordons antérieurs, p
ulbe, par laquelle émergent les racines des nerfs acoustiques. q. Noyau moteur du grand hypoglosse (noyau accessoire de M
cines des nerfs acoustiques. q. Noyau moteur du grand hypoglosse ( noyau accessoire de Mathias Du val. r. Noyau moteur d
moteur du grand hypoglosse (noyau accessoire de Mathias Du val. r. Noyau moteur du glosso-pharyngien. s. Fibres arciformes
ans les cellules nerveuses qui forment la substance grise de ce petit noyau , d'où elles émergent ensuite en formant le faisce
m et le tubercule postérieur, qui se présentent sous l'aspect de deux noyaux de substance grise ; le premier prend le nom de
es tubercules mamillaires et les tubercules quadrijumeaux apparaît le noyau rouge de Stilling, en rapport avec un faisceau de
tage supérieur (tegmentum). La protubérance annulaire a la forme d'un noyau ovoïde de substance grise, traversé horizontaleme
la coupe du pilier posté-rieur du trigone. 5. — Substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié, formant, avec
re de la couche optique, le plancher des ventricules latéraux. Sur ce noyau apparaît la section de la commissure blanche anté
(13), dont l'extrémité inférieure est enlevée. En arrière apparaît un noyau à peu près arrondi, c'est le -centre moyen (10) e
port avec le centre postérieur (11) et le centre médian (12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il émet en avant un faisceau d
tes (16) qui émane des pédoncules cérébelleux supérieurs. En avant du noyau rouge existe un petit noyau ovoïde décrit par M.
cules cérébelleux supérieurs. En avant du noyau rouge existe un petit noyau ovoïde décrit par M. Luys sous le nom de bandelet
cavité des ventricules latéraux, en embras-sant dans sa concavité les noyaux opto-striés. La section a détaché la portion du
oncavité les noyaux opto-striés. La section a détaché la portion du noyau intraventriculaire du corps strié; on aperçoit la
u noyau intraventriculaire du corps strié; on aperçoit la queue de ce noyau se diriger en arrière, en enlaçant la région supé
upé-rieur et s'épanouissent dans l'intérieur de la substance grise du noyau intraventricu-laire en filaments blancs dont l'ex
plus fine. Ce faisceau reçoit le contingent des fibres efîérentes du noyau rouge de Stilling et celui du corpus Luysii. La c
d'une autre source qui vont s'atténuer dans la substance grise de ces noyaux . La protubérance annulaire conserve sa forme en
grise de ces noyaux. La protubérance annulaire conserve sa forme en noyau . Sa substance grise est traversée verticalement p
et montre, à l'intérieur de la substance médullaire, la présence d'un noyau formé par une lamelle de substance grise, plissée
optique, sous le nom de bandelette géminée. 4. — Substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié, s'effilant en
la couche optique (9); le centre médian (10) est situé entre ces deux noyaux , dans un plan inférieur et externe. 11. — Le no
entre ces deux noyaux, dans un plan inférieur et externe. 11. — Le noyau rouge est réduit à son segment externe ; en avant
l. 14. — Section de la bandelette optique. Au-dessus on aperçoit le noyau jaune du noyau lenticulaire (segment moyen). 15
ion de la bandelette optique. Au-dessus on aperçoit le noyau jaune du noyau lenticulaire (segment moyen). 15. — Faisceau de
n avant du locus niger, et va s'épanouir dans la substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié. 17. — Sectio
let par son bord interne (fibres de la lyre). La substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié (4, Pl. VI) s'a
eure (5, Pl. VI) conserve sa forme circulaire; elle apparaît dans les noyaux jaunes du noyau lenticulaire du corps strié que l
conserve sa forme circulaire; elle apparaît dans les noyaux jaunes du noyau lenticulaire du corps strié que les fibres blanch
corps strié que les fibres blanches de la capsule interne séparent du noyau intraventriculaire. Les fibres convergentes pén
ment externe (8, 9, 10, Pl. VI). Au-dessous est le dernier vestige du noyau rouge de Stilling(ll, Pl. VI) et de la substance
de la protubérance annulaire. Un groupe de fibres se dirige vers les noyaux jaunes; un autre continue son trajet di-rect; c'e
s scissures de la face externe de l'hémis-phère, convergeant vers les noyaux opto-striés. 2. — Ensemble des fibres commissur
e la corne d'Ammon est la substance grise du ganglion olfactif (7) ou noyau amygdalien (nucleus amygdaleus de Mandelkern).
gdalien (nucleus amygdaleus de Mandelkern). 8. — Substance grise du noyau intra ventriculaire se terminant en arrière en fo
ntriculaire se terminant en arrière en forme de queue, d'où le nom de noyau caudé. Les fibres convergentes des régions anté-r
(9) traversent sa masse et la séparent (10) de la substance grise du noyau lenticulaire, dont on aperçoit ici les deux noyau
substance grise du noyau lenticulaire, dont on aperçoit ici les deux noyaux jaunes. 11. — Faisceau spiroïde, tourbillonné,
es du centre médian (16) et du centre postérieur (17). Entre ces deux noyaux apparaît la substance grise du corps genouillé in
la substance médullaire ont toutes une direction convergente vers les noyaux opto-striés. Celles du lobule orbitaire se porten
ale descend moins bas et est presque effacée. La substance grise du noyau intra-ventriculaire est réduite à sa portion supé
ion oblique et parallèle des fibres optiques qui la sillonnent. Les noyaux jaunes du noyau lenticulaire ont acquis à peu prè
rallèle des fibres optiques qui la sillonnent. Les noyaux jaunes du noyau lenticulaire ont acquis à peu près tout leur déve
et vont aboutir au putamen situé dans un plan plus externe. Ces deux noyaux sont isolés de la couche optique par le groupemen
s fibres couvergentes cons-tituant la capsule interne. Au-dessous des noyaux jaunes apparaît la section de la com-missure blan
. — Coupe verticale antéro-postérieure passant par le bord externe du noyau caudé. 1. — Substance grise corticale des circo
es, supérieures et postérieures ont une direction rayonnée autour des noyaux opto-striés, connue sous le nom de couronne rayon
ou fibres cortico-thalamiques postérieures. 5. — Substance grise du noyau caudé, s'étendant en arrière jusqu'au prolonge-me
-ment occipital de la cavité ventriculaire. 6. — Substance grise du noyau extra-ventriculaire, ou lenticulaire du corps str
ne ou putamen (6), le segment moyen et le segment interne (7) appelés noyaux jaunes. 8. — Régions postérieure et externe de
e la commissure blanche antérieure au niveau de la substance grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vestige de la corne
ied de la couronne rayonnante, pes ou crusta. La substance grise du noyau lenticulaire du corps strié apparaît divisée en t
-rieures (Pl. VI et VII). La portion supérieure du segment externe du noyau lenticu-laire se voit à travers les interstices f
les interstices fibrillaires de la couronne rayonnante. Au-dessous du noyau jaune est la coupe de la commissure blanche antér
ticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. I. — Substance grise corticale de
divers ordres de fibres convergentes abordent la substance grise des noyaux opto-striés suivant le sens de la marche des fais
s lenticulo-striées. 14. — La substance grise du segment externe du noyau lenticulaire et du segment moyen (15) du noyau ja
du segment externe du noyau lenticulaire et du segment moyen (15) du noyau jaune du corps strié, est pénétrée par le système
es des régions supérieures et moyennes plongent verticalement vers le noyau lenticulaire ; les fibres convergentes des région
La substance grise du corps strié est réduite au segment externe du noyau lenticulaire, le putamen. Les artères lenticulo-s
es s'étalent en éventail dans l'épais-seur de ce troisième segment du noyau lenticulaire, où elles se divisent en ramuscules
ux. Arrivées en ce point, les fibres convergentes se portent vers les noyaux opto-striés, tandis que les fibres com-missurante
tinuent leur trajet en passant au-dessus de la face supérieure de ces noyaux . L'espace qui se trouve compris entre cette face
ux, montre, par cette couverture artificielle, la face interne (6) du noyau intraventriculaire, séparée de la face supérieure
ntale antéro-postérieure, passant au niveau de la région moyenne du noyau caudé. 1. — Partie antérieure ou réfléchie du c
rant l'intervalle compris entre les faces supérieures et internes des noyaux opto-striés des deux hémisphères. 4. — Fibres c
des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la substance grise du noyau intra-ventriculaire (5) du corps strié. 5. — Se
riculaire (5) du corps strié. 5. — Section de la substance grise du noyau intra-ventriculaire ou caudé, montrant la disposi
de son extrémité postérieure. 6. — Sillon intermédiaire séparant le noyau caudé de la face supérieure de la couche optique
rtion appelée bourrelet. Les fibres convergentes se dirigent vers les noyaux opto-striés. Elles ont pénétré à travers la subst
noyaux opto-striés. Elles ont pénétré à travers la substance grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord externe de la c
de la couche optique, en passant au-dessous de la portion moyenne du noyau caudé, qui a été détaché par la coupe (5, Pl. VI)
caudé, qui a été détaché par la coupe (5, Pl. VI). Il ne reste de ce noyau que l'extrémité postérieure ou caudale et la tête
des fibres convergentes et des fibres commissurantes. 5. — Tête du noyau caudé ou noyau intra-ventriculaire du corps strié
vergentes et des fibres commissurantes. 5. — Tête du noyau caudé ou noyau intra-ventriculaire du corps strié, en rapport en
vers l'écartement de ces faisceaux, on aperçoit la substance grise du noyau lenticulaire du corps strié. 7. — Fibres conver
tit amas de substance grise, qui appartient à la portion terminale du noyau caudé. 16. —Vermis superior apparaissant entre
convergentes pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses des noyaux opto-striés. Le trajet des fibres cortico-thalami
qui met à découvert une plus grande portion de la substance grise du noyau lenticulaire que l'on aperçoit sur la coupe précé
énètrent dans la substance grise du corps strié, qu'elles divisent en noyau intra-venticulaire et en noyau extra-ventriculair
e du corps strié, qu'elles divisent en noyau intra-venticulaire et en noyau extra-ventriculaire ou len-ticulaire ; les fibres
ou len-ticulaire ; les fibres cortico-thalamiques ont déjà détaché le noyau caudé du reste de la masse de substance grise. Le
couche optique (6, Pl. XX). Cette substance blanche intermédiaire aux noyaux opto-striés porte le nom de double centre demi-ci
térieure de la couche optique, en passant entre la portion caudale du noyau intra-ventriculaire et l'extrémité postérieure du
on caudale du noyau intra-ventriculaire et l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point à la rég
rne. Entre la substance grise des circonvolutions de l'insula et le noyau lenticulaire ap-paraît une traînée de substance g
e, appartenant au corps strié, appelée avant-mur; elle est séparée du noyau lenticulaire par un faisceau de fibres convergent
le antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure du noyau lenticulaire. 1. — Portion réfléchie du corps c
e la capsule interne. Un groupe de ces fibres suit la face externe du noyau lenticulaire, sans la pénétrer ou contracter aucu
antérieures, la capsule externe, qui contourne l'angle postérieur du noyau lenticulaire; le point d'intersection de la régio
nou de la capsule interne. 10. — Vestige de la portion terminale du noyau caudé. En avant, dans la corne frontale de la cav
dans la corne frontale de la cavité des ventricules latéraux, est le noyau intra-ventriculaire (11). 12. — Segment externe
ux, est le noyau intra-ventriculaire (11). 12. — Segment externe du noyau lenticulaire du corps strié ou putamen. Il est sé
corps strié. 14. — Centre antérieur de la couche optique, séparé du noyau intra-ventriculaire par les fibres du taenia semi
e; des fibrilles blanches traversent la couche optique, atteignent ce noyau et la paroi latérale du ventricule moyen. Un peti
cavité sphénoïdale. Les fibres convergentes sont groupées entre les noyaux opto-striés en un gros faisceau blanc appelé caps
rent sous la forme de petits filaments dans la substance grise de ces noyaux ; le centre antérieur présente des dimensions moin
e est le tœnia semi-circularis qui le sépare de la substance grise du noyau intra-ventriculaire. A égale distance à peu près
dedans, vers la paroi du ventricule moyen. 9. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié. 10. — Subst
culaire de corps strié. 10. — Substance grise du segment externe du noyau extra-ventriculaire du corps strié. 11. — Appar
ra-ventriculaire du corps strié. 11. — Apparition du segment moyen, noyau jaune. Il est séparé du segment ex-terne par une
qui pénétrent dans la capsule interne, plongent verticalement dans le noyau lenticulaire et s'épanouissent en filaments fins
e groupent dans la capsule interne pour se répandre en-suite dans les noyaux opto-striés. Le faisceau des fibres convergentes
nt en connexion avec la région postérieure de la couche optique. Le noyau lenticulaire (10, Pl. XXII) présente ses trois se
de de fibres nerveuses qui se distribuent à chacune de ces régions du noyau lenticulaire. Ils sont séparés l'un de l'autre pa
. 3. — Faisceau de fibres convergentes antérieures divisant en deux noyaux la substance grise du corps strié. 4. — Faiscea
ce faisceau n'ont que des rapports de contact avec la face externe du noyau lenticulaire et la substance grise de Pavant-mur
vers la substance grise centrale de l'axe. 7. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire du corps strié, parcourue par
faisceaux convergents cortico-striés et des faisceaux spinaux. 8. — Noyau lenticulaire composé de trois segments; en dedans
Noyau lenticulaire composé de trois segments; en dedans sont les deux noyaux jaunes (10). Ces trois segments sont séparés entr
edans du centre médian apparaît le faisceau des fibres efférentes des noyaux rouges de Stiiling se dirigeant en avant, où il s
apparaît le corpus Luysii (12, Pl. XXVI) et le segment supérieur des noyaux rouges de Stilling, qui émettent en avant un fais
bien nettement incurvées en arcades sur le bord externe de chacun des noyaux jaunes ; le segment interne est subdivisé par une
erne est subdivisé par une fine arcade peu apparente, de sorte que le noyau lenticulaire paraît en réalité composé de quatre
i forme la capsule externe (4) se porte le long de la face externe du noyau lenticulaire. 5. — Faisceau des fibres converge
faisceau croise la bandelette optique, passe à l'angle postérieur du noyau lenticulaire et plonge dans le pédoncule cérébral
rieures, entre le corps genouillé interne et le corpus Luysii. 6. — Noyau intra-ventriculaire du corps strié. Sa face inter
la corne frontale des ventricules latéraux. 7. — Segment externe du noyau lenticulaire. Le segment moyen et le segment in-t
aire. Le segment moyen et le segment in-terne sont constitués par les noyaux jaunes (8). Les fibres spinales antéro-internes (
la couche optique. 12. — Corpus Luysii ou bandelette accessoire des noyaux rouges de Stilling. Ce petit noyau a une forme se
ysii ou bandelette accessoire des noyaux rouges de Stilling. Ce petit noyau a une forme semi-lunaire, renflée à sa partie méd
es qui se mêlent au faisceau des fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux rouges de Stilling, de forme sphérique, constitué
g, de forme sphérique, constitués par un amas de substance grise. Ces noyaux présentent un hile tourné en haut vers la ligne m
a ligne mé-diane (14). 15. — Faisceau de fibres efférentes issu des noyaux rouges de Stilling : il cons-titue un contingent
ingent des fibres spinales antérieures. 16. — Fibres afférentes aux noyaux rouges. Ces fibres viennent des pédoncules cérébe
nt des pédoncules cérébelleux supérieurs; elles s'enroulent autour du noyau rouge, pénètrent dans sa substance grise, où elle
he antérieure. On aperçoit par transparence, dans le segment moyen du noyau jaune, les branches latérales de cette commissure
rié. Le faisceau qui forme la capsule externe suit la face externe du noyau lenticulaire. Le faisceau des fibres convergentes
tre, sous l'aspect d'un cordon blanc, dans l'angle postéro-externe du noyau lenticulaire, se dirige en avant et en dedans, pa
doncules cérébraux; en avant est le corpus Luysii, en dedans sont les noyaux rouges de Stilling qui ont acquis leur entier dév
s'entre-croisent sur la ligne médiane, puis de là se portent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux affé
noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents de ces noyaux . La cavité du quatrième ventricule est ouverte
ionné au niveau de la bandelette optique. 6. — Région inférieure du noyau intra-ventriculaire. 7. — Région inférieure du
inférieure du noyau intra-ventriculaire. 7. — Région inférieure du noyau extra-ventriculaire. 8. — Région inférieure des
inférieure du noyau extra-ventriculaire. 8. — Région inférieure des noyaux jaunes. Le segment externe du noyau lenticu-laire
re. 8. — Région inférieure des noyaux jaunes. Le segment externe du noyau lenticu-laire s'est accru en étendue, tandis que
ue, tandis que le segment moyen et le segment interne, formés par les noyaux jaunes, sont devenus plus petits. Les arcades ext
qui fait suite à son homologue du bulbe. 13. —Segment inférieur des noyaux rouges de Stilling. 14. — Faisceau de fibres ef
noyaux rouges de Stilling. 14. — Faisceau de fibres efférentes des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de fibres ef
côté opposé à celui de leur origine, ces fibres se dirigent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux affé
sa région antérieure les fibres radiculaires du nerf olfactif. Les noyaux jaunes et une portion du segment externe du noyau
rf olfactif. Les noyaux jaunes et une portion du segment externe du noyau lenticulaire sont détachés. A leur place, on voit
faisceau latéral du bulbe. En dedans apparaît le dernier segment des noyaux rouges de Stilling (13, Pl. XXVIII); le petit gro
tes et commissurantes du lobe sphénoïdal. 5. — Région inférieure du noyau intra-ventriculaire du corps strié, traversée par
cient. Les fibres convergentes se portent dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des régions postérieures ont
Cette lame de libres commissurantes repose sur la face supérieure des noyaux opto-striés. Elle forme ainsi un espace libre que
oïdes se dirigeant en avant vers le trou de Monro, la face interne du noyau lenticulaire et les artérioles qui la sillonnent.
t en dehors de la couche optique est la lame cornée, qui la sépare du noyau caudé du corps strié, situé plus en avant dans la
stance grise des pyramides postérieures (16, Pl. XXXIV) appelée aussi noyau des cordons grêles ou noyau post-pyramidal, les f
ostérieures (16, Pl. XXXIV) appelée aussi noyau des cordons grêles ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveuses des cordons
e, moyenne et inférieure prennent une direction conver-gente vers les noyaux opto-striés, en rapport avec leur point d'origine
he optique et le bord externe du corps calleux. La substance grise du noyau caudé se présente sous l'aspect d'un petit noyau
a substance grise du noyau caudé se présente sous l'aspect d'un petit noyau gris au bord externe de la cavité des ventri-cule
. Les fibres des cordons médians postérieurs se perdent, au delà du noyau gris des pyramides postérieures, dans le groupe d
ux inférieurs ; sur le bord externe des pyramides postérieures est le noyau gris des corps restiformes. La section du centr
s, dans l'intérieur de la couche optique et atteignent les différents noyaux qu'elle renferme, où ils s'amortissent. 5. — Fi
xterne est beau-coup plus volumineux que l'interne. 8. — Section du noyau caudé au bord externe de la cavité des ventricule
erne de la cavité des ventricules latéraux. 9. — Substance grise du noyau lenticulaire aperçue à travers l'écartement des f
Ce faisceau est en rapport avec la tête de la corne postérieure et le noyau du corps restiforme. 26. — Portion postérieure
eux; les fibres convergentes des régions supérieures passent entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire (8 et 9 ; Pl. XXXV
nvergentes des régions supérieures passent entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire (8 et 9 ; Pl. XXXVIII) ; les fibres
s et laissent apercevoir entre leurs faisceaux la sub-stance grise du noyau lenticulaire; les fibres convergentes du lobe sph
ilaments très fins, qui vont s'épanouir dans les divers centres de ce noyau ou sur la paroi du ventricule moyen. Le centre
dian en dessous et un peu en dehors du centre moyen et, plus bas, les noyaux rouges de Stilling. Ces noyaux présentent un hile
hors du centre moyen et, plus bas, les noyaux rouges de Stilling. Ces noyaux présentent un hile, tourné en haut et en dedans,
rent les fibres afférentes, après leur enroulement à la périphérie du noyau . Ils émettent un faisceau antéro-latéral de fibre
ormés par les cordons latéraux de la moelle ; ils sont séparés par un noyau de substance grise, situé sur les côtés du raphé.
ccupe les bords externes de ces faisceaux; en bas et en dedans est le noyau juxta-olivaire postero-externe. Volive bulbaire
. XL. — Coupe verticale transverse passant par le.segment moyen des noyaux rouges de Stilling. 1. — Portion moyenne ou v
gion lenticulo-optique delà capsule interne. 5. —Substance grise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de Pavant-mur (6)
mité antérieure de la corne d'Ammon ou hippocampe. 10. — Section du noyau caudé au bord externe de la cavité du ventricule
éral. 11. — Centre antérieur de la couche optique. 11 est séparé du noyau caudé parles fibres du taenia semi-circularis.
e-lettes géminées. 16. Substance grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs.
gine des nerfs moteurs oculaires communs. 18. — Substance grise des noyaux rouges de Stilling. Les fibres afférentes pénè-tr
e dans la capsule interne et va s'épanouir dans la substance grise du noyau lenticulaire et celle du corps strié. 20. — Arr
se du noyau lenticulaire et celle du corps strié. 20. — Arrivée aux noyaux rouges des fibres afférentes cérébelleuses. 21.
près leur entre-croisement. Elles sont séparées supérieurement par un noyau de substance grise. 26. — Substance blanche cor
tion sensitive des pyramides. Cette lame, connue sous le nom de grand noyau pyramidal de Stilling (31), a la forme d'une colo
interne, d'où elles s'irradient vers leurs centres d'im-mersion. Le noyau caudé (10; Pl. XL) occupe le bord externe de la c
cupe le bord externe de la cavité ventriculaire ; le segment moyen du noyau lenticulaire fait sa première apparition. Le segm
tre médian n'est représenté que par sa partie la plus antérieure. Les noyaux rouges sont également moins développés, les faisc
sont plus apparents et se dirigent vers la face interne et le hile du noyau . Le corpus Luysii (21 ; Pl. XL) est plus étendu;
rps olivaire s'étend moins bas que sur la coupe précédente ; le grand noyau pyramidal de Stilling est plus apparent ; les fib
II. — Coupe verticale transverse passant par le segment antérieur des noyaux rouges de Slil/ing. 1. — Portion moyenne ou v
er autour de la couche optique. Un fascicule longe la face externe du noyau lenticulaire, il constitue la capsule externe.
de la substance grise des corps genouillés. 7. — Substance grise du noyau lenticulaire, présentant ses trois segments et le
es convergentes et des fibres spinales antérieures. 8. — Section du noyau caudé formant le plancher du bord externe de la c
du centre médian. 14. — Portion antérieure ou segment antérieur des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de fibres ef
de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférentes antéro-latéral des noyaux rouges se portant dans la capsule interne. En bas
psule interne. En bas et en dedans sont les faisceaux afférents à ces noyaux . 16. — Corpus Luysii (bandelette accessoire).
parée de la portion sensitive des pyramides anté-rieures par le grand noyau pyramidal de Stilling qui longe leur bord externe
sont groupées en un cordon à l'angle postérieur du segment externe du noyau lenticulaire (voir 9, Pl. XLIV), qui constitue le
la capsule interne, puis se répartissent dans la substance grise des noyaux opto-striés. La substance grise de la corne d'A
n dehors avec les fibres du tsenia semi-circularis qui le séparent du noyau caudé ; il reçoit en dedans les pédoncules supéri
s antérieures s'inclinent en dehors pour gagner les trois segments du noyau lenticulaire et la substance grise du noyau caudé
ner les trois segments du noyau lenticulaire et la substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la substance gris
dans la capsule interne. Ces fibres se recourbent, pénètrent dans le noyau caudé, s'insinuent au niveau des arcades dans le
ètrent dans le noyau caudé, s'insinuent au niveau des arcades dans le noyau lenticulaire, serpentent dans la substance grise
6. — Faisceau qui forme la capsule externe. 7. — Segment externe du noyau lenticulaire. En dedans sont les deux noyaux jaun
7. — Segment externe du noyau lenticulaire. En dedans sont les deux noyaux jaunes, séparés par une arcade blanche. Le segmen
interne est subdivisé par une petite arcade blanche, de sorte que le noyau lenticulaire paraît composé de quatre segments, a
s la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise du noyau caudé, dans le plancher du bord externe de la cav
. — Fibres spinales antérieures se portant dans la substance grise du noyau caudé et du noyau lenticulaire. Un fascicule trav
s antérieures se portant dans la substance grise du noyau caudé et du noyau lenticulaire. Un fascicule traverse la capsule in
ont groupées en un faisceau arrondi sur le bord du segment externe du noyau lenticulaire (9 PL XLIV). Les fibres convergent
fibres convergentes antérieures pénè-trent dans la substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et delà couche optiq
tes antérieures pénè-trent dans la substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et delà couche optique. En dehors
bres qui composent la capsule externe, contournant la face externe du noyau lenticulaire. 7. — Segment antérieur du ganglio
missure blanche antérieure, en con-tiguïté avec la substance grise du noyau lenticulaire. 9. — Noyau lenticulaire présentan
en con-tiguïté avec la substance grise du noyau lenticulaire. 9. — Noyau lenticulaire présentant ses trois segments, sépar
rieur, qui se terminent en pointe effilée. 10. — Substance grise du noyau caudé; occupant le plancher de la cavité du ven-t
rondi que la section a coupé entre le putamen et le segment moyen des noyaux jaunes (8, Pl. XLVI). Les fibres convergentes d
en. Les fibres convergentes des régions antérieures émergent entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire ; leur direction c
vergentes des régions antérieures émergent entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire ; leur direction croise celle des fi
cipito-frontales. 7. — Fibres convergentes du lobe sphénoïdal. 8. Noyau lenticulaire composé de trois segments. De nombre
uisent en pointe effilée dans leurs masses. 9. — Substance grise du noyau eau dé du corps strié. Elle occupe presque la tot
médiane (voir PL VII). Les fibres convergentes se dirigent vers les noyaux opto-striés et atteignent la capsule interne, con
s. Ces divers ordres de fibres s immergent dans les trois segments du noyau lenticulaire, dans le noyau caudé du corps strié
es s immergent dans les trois segments du noyau lenticulaire, dans le noyau caudé du corps strié et dans la couche optique.
tion des fibres qui la constituent; ses rapports avec le putamen, les noyaux jaunes, la substance grise du quatrième ventricul
t antérieures se relevant en haut et en dedans (voir Pl. VII). 9. — Noyau lenticulaire. Il est composé du segment moyen et
nt externe; le segment interne est épuisé. 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du corps strié. Les f
fibres spinales antérieures rayonnent dans toute la masse de ces deux noyaux du corps strié. 11. — Section des piliers antér
la commissure blanche antérieure, en rapport avec le segment moyen du noyau jaune. 15. — Coupe prismatique du tronc des ner
esque toute sa hauteur, la masse du corps strié, qu'elles divisent en noyau intra-ventriculaire et en noyau extra-ventriculai
du corps strié, qu'elles divisent en noyau intra-ventriculaire et en noyau extra-ventriculaire (voir Pl. X et 3 Pl. XXIV). L
ulaire et en noyau extra-ventriculaire (voir Pl. X et 3 Pl. XXIV). Le noyau intra-ventriculaire, ou tête du corps strié, est
LU. — Coupe verticale transverse passant par la région antérieure du noyau lenticulaire. 1. — Portion réfléchie du genou d
e le genou du corps calleux (voir Pl. II). 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du corps strié. Les f
ment à leur direction. H. — Région antérieure du segment externe du noyau lenticulaire presque com-plètement isolée du noya
segment externe du noyau lenticulaire presque com-plètement isolée du noyau intra-ventriculaire. 12. — Coupe du tronc du ne
nfé-rieures et internes complètent l'isolement du corps strié en deux noyaux . Le noyau inlra-ventriculaire occupe toute la c
t internes complètent l'isolement du corps strié en deux noyaux. Le noyau inlra-ventriculaire occupe toute la cavité de la
ection, les autres serpentent et se terminent en pointe effilée. Le noyau extra-ventriculaire est réduit à une mince couche
s supérieures, la portion réfléchie ou genou du corps culleux. 7. — Noyau intra-ventriculaire, ou tête du corps strié ; occ
. Les fibres commissurantes se juxtaposent sur la face supérieure des noyaux opto-striés, qu'elles enserrent comme une voûte.
nce grise du cerveau.................... 8 § 2. Substance grise des noyaux centraux................. H a) couche optique..
corticale des lamelles................. 23 § 2. Substance grise du noyau central.................. 24 Article 2. — Subst
28 Article premier. — Substance grise.................... 28 § 1. Noyaux d'origine des nerfs crâniens................. 32
.. 38 § 2. Protubérance. Locus niger..................... 39 § 3. Noyaux rouges de Stilling..................... 39 Arti
X. Coupe verticale antéro-postérieure, passant sur le bord externe du noyau caudé. . . 74 XI. Encéphale dont on a détaché l
erticale antéro-postérieure passant au niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire..................... . *..........
ntale antéro-postérieure passant au niveau "de" la région moyenne "du noyau caudé..................................... 83
le antéro-postérieure, passant au niveau de la région supérieure du noyau lenticulaire................................ 91
130 XL. Coupe verticale transverse passant par le segment moyen des noyaux rouges de Slilling. 132 XLI. Encéphale dont on
XLII. Coupe verticale transverse passant parle segment antérieur des noyaux de Stilling. . . 136 XLI1I. Encéphale dont on a
LU. Coupe verticale transverse passant par la région antérieure du noyau lenticulaire. . . 153 LUI. Encéphale dont on a
4 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
a guère que dans l'hypothèse où l'on tiendrait à examiner de près le noyau du nerf pathétique qu'il conviendrait de sectionn
e; TM, tuljercule majnillaire; GIP, ganglion interpédonculaire ; NaC, noyau antérieur du thalamus; NiC, noyau interne du thal
, ganglion interpédonculaire ; NaC, noyau antérieur du thalamus; NiC, noyau interne du thalamus; GH, ganglion de l'habénule;
ement de substance blanche ou stratum zonale ; il se compose de trois noyaux : 1° un noyau antérieur (NaC) ou noyau antérieur
nce blanche ou stratum zonale ; il se compose de trois noyaux : 1° un noyau antérieur (NaC) ou noyau antérieur du thalamus, o
nale ; il se compose de trois noyaux : 1° un noyau antérieur (NaC) ou noyau antérieur du thalamus, ou corpus album subrotundu
, placé immédiatement en arrière du point de réflexion du trigone; ce noyau , de forme elliptique, est incliné en bas, en avan
de forme elliptique, est incliné en bas, en avant et en dedans; 2° un noyau beaucoup plus considérable que le précédent et pl
plus considérable que le précédent et placé en arrière de celui-ci : noyau interne du thalamus (NiC) ; il est très allongé d
C) ; il est très allongé dans le sens antéro-postérieur ; 5° un petit noyau en forme de massue, dont la grosse extrémité régu
rein de la glande pinéale. L'habénule se perd en avant, au-dessous du noyau antérieur (NaC), où ses fibres rejoignent, en s'é
ur (NaC), où ses fibres rejoignent, en s'éparpillant, au-devant de ce noyau , vers le pilier descendant de la voûte (DF). L'
doncule cérébral ; GE, corps genouillé externe ; Pul, pulvinar ; NiC, noyau interne du thalamus; SPL, splenium; Une, uncus ou
genou du corps calleux; ROS, rostrum; CA, commissure antérieure; NaC, noyau antérieur du thalamus; NeC, noyau externe du thal
um; CA, commissure antérieure; NaC, noyau antérieur du thalamus; NeC, noyau externe du thalamus ; C V, carrefour^ventriculair
: cette tuberosità est le pulvinar (Pul), en partie constitué par le noyau interne de la couche optique (NiC). Au-dessous
grise qui les double a contracté des connexions définitives avec les noyaux centraux (couche optique, etc.). Et ainsi s'établ
ection de Meynert. Ces premières connexions entre la surface et les noyaux du centre n'empêchent pas l'écorce de s'accroître
inage de la face interne de Tli, concile oi)lique ; i\C, tête tin noyau caudé ; NCC, queue du noyau caudé ; TJ, tuber
Tli, concile oi)lique ; i\C, tête tin noyau caudé ; NCC, queue du noyau caudé ; TJ, tubercule de jonction ; Ta;, ticn
udé ; TJ, tubercule de jonction ; Ta;, ticnia denii-circu- .NA, noyau aniygdalien: Une, crochet de l'hippocampe. Sc
ne masse de substance grise, renflée en avant, amincie en arrière, le noyau caudé (NC) ou noyau intra-ventriculaire du corps
e grise, renflée en avant, amincie en arrière, le noyau caudé (NC) ou noyau intra-ventriculaire du corps strié (schéma 46). O
noyau intra-ventriculaire du corps strié (schéma 46). On a comparé le noyau caudé à une virgule ou à une apostrophe; la porti
trophe; la portion antérieure, régulièrement arrondie, est la tête du noyau caudé; elle est attenante au tubeixule de jonctio
TJ). La portion postérieure, progressivement amincie, est la queue du noyau caudé (i\CC). Il n'y a pas de démarcation entre l
n'y a pas de démarcation entre la tète et la queue; l'ensemble de ce noyau gris décrit une courbe dont la concavité inférieu
dont la concavité inférieure contourne le thalamus (Tli). La queue du noyau caudé se réfléchit même derrière le thalamus, pas
se termine, au contact d'une masse grise (NA), connue sous le nom de noyau amygdalien et logée dans la profondeur du crochet
tite bandelette blanche, le tœnia demi-circulaire (Tœ), accompagne le noyau caudé dans toute sa longueur, en le limitant sur
sa longueur, en le limitant sur son bord interne ; il sépare ainsi le noyau caudé de la couche optique. Nous étudierons ultér
dedans (c'est-à-dire à droite sur le schéma), on distingue deux gros noyaux , proémiiiant dans les cavités ventriculaires sur
proémiiiant dans les cavités ventriculaires sur la ligne médiane; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur
avités ventriculaires sur la ligne médiane; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur est la couche optique.
aires sur la ligne médiane; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur est la couche optique. En dehors et
st la couche optique. En dehors et dans la profondeur, un troisième noyau , triangulaire et à base externe, se compose de tr
rne et un moyen. La masse totale des trois segments porte le nom de noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire est séparé
se totale des trois segments porte le nom de noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire est séparé du noyau caudé et de la c
e le nom de noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire est séparé du noyau caudé et de la couche optique par une lame blanch
ormant un angle ouvert en dehors, et dans lequel semble s'enfoncer le noyau lenticulaire à la manière d'un coin. Cette lame b
rayonnante de Reil. Elle renferme aussi les fibres qui réunissent les noyaux de l'hémisphère à ceux de la région bulbo - prolu
e concevoir que le genou de la capsule, étant toujours sous-jacent au noyau caudé et à la couche optique, répond nécessaireme
ia, en effet, est la ligne de démarcation de la couche optique; et du noyau caudé sur toute l'étendue antéro-postérieure de c
et du noyau caudé sur toute l'étendue antéro-postérieure de ces deux noyaux . Le schéma 50 est destiné à montrer les variati
oujours sous-jacent au tœnia, il est bien évident que la situa- iNC noyau caudé ; Tic, ta'iiia ; P, ])édonculo cérébral I
s postérieure sur les coupes horizontales supérieures. En dehors du noyau lenticulaire (schéma 49), dont la base répond exa
laine grise est Vavant-mur ou clauslrum; la lame blanche adjacente au noyau lenticulaii^e est la capsule externe; la lame bla
lande pinéale (G) et de la commissure postérieure (CP) ; il entame le noyau interne de la couche optique (NiC), passe en deho
e optique (NiC), passe en dehors de l'habénule (IIAB), et traverse le noyau antérieur de la couche optique (NaC). A mesure qu
du pédoncule cérébral. Il s'enfonce dans l'hémisphère au-dessous d'im noyau gris (fusiforme sur les coupes sagittales), le di
hors, toujours situé au-devant de la couche optique. ANL. L'anse du noyau lenticulaire est la moitié antérieure du tiers an
de fibres blanches qui sépare la couche optique (Pul) de la queue du noyau caudé (NCC). PLANCHE IX FACE INFERIEURE DU CE
e qui, à ce niveau, s'étend d'avant en arrière, entre l'écorce et les noyaux gris centraux, est la fosse de Sylvius; elle appa
obliquement en avant et en dehors, beaucoup plus loin que la tète du noyau caudé (NC) qui forme sa paroi externe. La corne
oïdal passe sous la couche optique (NiC). Substance grise. NC. Le noyau caudé homogène a la forme d'un ovoïde; il fait sa
dirigée obliquement en haut et en dehors. NaC, NeC, NiC. Les trois noyaux de la couche optique forment aussi, dans leur ens
e. "Le stratum zonale est cette lamelle blanche qui revêt les trois noyaux du thalamus dans la cavité ventriculaire. Il est
us dans la cavité ventriculaire. Il est moins visible à la surface du noyau interne (NiC), parce que ses fibres, vers l'extré
uche optique, sont coupées perpendiculairement à leur direction. Le noyau externe (NeC) est séparé de la couronne rayonnant
pelé la couche grillagée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les trois noyaux de la couche optique sont d'une teinte plus clair
rois noyaux de la couche optique sont d'une teinte plus claire que le noyau caudé ; le plus foncé des trois est le noyau anté
einte plus claire que le noyau caudé ; le plus foncé des trois est le noyau antérieur, ou tubercule antérieur (NaC). En arr
noyau antérieur, ou tubercule antérieur (NaC). En arrière, les deux noyaux externe et interne (NeC, NiC) se con- ' fondent e
fléchissent plus brusquement encore pour gagner la face inférieure du noyau caudé, mélangées aux fibres de la couronne rayonn
du noyau caudé, mélangées aux fibres de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC). Dans le lobe occipital, le corps calleux
voit un faisceau clair, situé en dehors de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC), se porter du lobe frontal à la parti
sur les pièces durcies dans les bichromates, la substance grise de ce noyau n'occupe jamais une étendue aussi grande qu'on po
e section de ces taches correspond aux fibres verticales de l'anse du noyau lenticulaire (ANL). Nous y reviendrons, d'ailleur
uité n'est qu'apparente. La bande grise en question est réellement un noyau gris, l'avant-mur (CL, fig. 2) ; mais il ne devie
a corne sphénoïdale, sous le pulvinar (Pul), en dedans de la queue du noyau caudé (NCC). On reconnaît à ce niveau la houppe v
la houppe vasculairc du plexus choroïde. Substance grise. NC. Le noyau caudé, convexe en dedans, n'est plus libre dans l
a corne frontale, et qui est constituée par la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). Cette couronne rayonnante s'insinue,
de haut en bas et de dedans en dehors. En dedans et en arrière, le noyau caudé se confond avec la substance grise du septu
stance grise du septum lucidum est donc la continuation de la tête du noyau caudé vers la ligne médiane, où elle se confond a
s mince couche de substance grise qui réunit ainsi les deux têtes des noyaux caudés, fait partie de la lame terminale. Elle se
encier de celle de la substance grise. PUT. Le putamen est ce vaste noyau gris qui semble faire suite, en arrière et en deh
vaste noyau gris qui semble faire suite, en arrière et en dehors, au noyau caudé (NC). Il lui fait suite en effet. Le contou
noyau caudé (NC). Il lui fait suite en effet. Le contour de ces deux noyaux n'est interrompu que par l'expansion antéro-exter
par l'expansion antéro-externe de la capsule interne (CIA). Les deux noyaux n'en font qu'un seul ; mais ils sont séparés l'un
utamen, sur les coupes horizontales où il ne fait pas corps avec le noyau caudé, présente la forme d'un quadrilatère : le c
, est limité par une lame blanche (MLE), cloison verticale externe du noyau lenticulaire, qui sépare le putamen des deux segm
yau lenticulaire, qui sépare le putamen des deux segments internes du noyau lenticulaire (GLP, GLM). Le côté antérieur est
onsidéré comme un bord ou une arête. En dedans du putamen, les deux noyaux gris, le glohus pallidus (GLP) et le glohus media
ituent avec le putamen la masse grise à laquelle on a donné le nom de noyau lenticulaire. Le glohus pallidus et le giobus m
on beaucoup plus claire que le putamen. Le putamen fait corps avec le noyau caudé; le giobus pallidus et le giobus medialis e
n sont indépendants. On ne peut donc considérer les trois segments du noyau lenticulaire comme un organe homogène. Le putamen
ents du noyau lenticulaire comme un organe homogène. Le putamen et le noyau caudé sont un seul et même organe. Le giobus pall
us et le giobus medialis réunis en sont un autre. Ces deux derniers noyaux sont quelquefois décrits ensemble sous le terme g
ination. Sur la coupe horizontale (2, Pl. X), les trois segments du noyau lenticulaire présentent la forme d'un triangle do
à la base du triangle, et légèrement convexes en dehors. Les lames du noyau lenticulaire s'appellent cloison verticale extern
après avoir présenté d'assez nombreuses ramifications dans ce dernier noyau . Le glohus medialis (GLM) est toujours adbérent
ubercule quadrijumeau antérieur (QA). On n'y reconnaît plus les trois noyaux (NaC, NiC, NeC) qui avaient été entamés par une c
(Hip). Le pulvinar est une masse grise qui correspond à la fusion des noyaux interne et externe. Mais on peut le considérer au
noyaux interne et externe. Mais on peut le considérer aussi comme un noyau isolé et indépendant de ces deux derniers. 11 en
endant de ces deux derniers. 11 en est séparé en réalité par un autre noyau profond, le noyau médian de Luys (voy. pl. XXIII,
derniers. 11 en est séparé en réalité par un autre noyau profond, le noyau médian de Luys (voy. pl. XXIII, fig. 75, 77, NmC)
édullaire externe (LML). Il n'en est pas de même pour le pulvinar; ce noyau en efl'et, quoique faisant partie de la couche op
n'est qu'une partie de cette couronne rayonnante. NCC. La queue du noyau caudé est sectionnée au moment où elle passe dans
erne de l'hémisphère. Il passera en avant, au-dessous et en dehors du noyau caudé (NC) et du putamen (PUT) pour se jeter dans
ale du ventricule, dont il est séparé par le tapetum (TAP), depuis le noyau lenticulaire jusqu'au pôle occipital (PO). Le fai
2° du bord postérieur du putamen (PUT) ; 3" de la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE); 4° du segment postérieur de l
urs très foncée. Il est facile de le reconnaître derrière la queue du noyau caudé (NCC). FPV. Le faisceau pariétal vertical
(IIL), à la partie interne duquel on reconnaît la substance grise du noyau amygdalien (NA). Le lobule de l'hippocampe se ter
isphère proprement dit. A sa partie moyenne on reconnaît la région du noyau rouge de la calotte (NR), et, à son extrémité pos
section oblique du taenia semi-circularis (Tse), celle de la queue du noyau caudé (NCC); enfin une surface blanche, qui appar
sillon occipito-temporal (o^J. La paroi supérieure est formée par le noyau amygdalien (NA). j La paroi interne, libre à sa p
coupe, non plus que le corps strié proprement dit. NCC. La queue du noyau caudé seule se reconnaît encore, adossée à la par
encore, adossée à la paroi externe du ventricule sphénoïdal. NA. Le noyau amygdalien, logé dans la profondeur du lobule de
grise de la vallée de Sylvius (IFS). Ce n'est là qu'une apparence. Le noyau amygdalien, en effet, est séparé de l'écorce par
allée de Sylvius. 11 est situé immédiatement au-dessous de la tête du noyau caudé, dont il n'est séparé que par le fasciculus
l devient tout à fait diflùs. En dedans, il est séparé de la queue du noyau caudé (NCC) par un petit tractus gris qui représe
bstance grise de la corne d'Ammon ne soit pas assimilable à celle des noyaux proprement dits, on peut l'étudier comme telle, v
u-dessus du corps strié et de la couche optique, en bas au-dessous du noyau caudô et du pédoncule cérébral. Elle s'allonge ég
s voir (pl. IX, fig. 52) que ces fibres prennent leur origine dans un noyau , d'où elles pénètrent dans le centre ovale horizo
férieure et interne, d'un gris homogène, est le pulvinar (Pul, 46) ou noyau postérieur du thalamus. 11 reçoit de la partie ex
ssif de sa partie moyenne. Ce rétrécissement est dû à l'apparition du noyau caudé (NC, fig. 50 etsuiv.) au milieu du tapetum
t de la couche optique (Th), qui se porte en dehors à la rencontre du noyau caudé (fig. 54). Dans sa partie supérieure comm
sse grise (NC) perdue dans la substance blanche du tapetum : c'est le noyau caudé, c'est la partie la plus reculée de la conv
st le noyau caudé, c'est la partie la plus reculée de la convexité du noyau caudé, entamée pour la première fois par le coute
caudé, entamée pour la première fois par le couteau. Sur Profil (lu noyau caudé du côté gauche, en-lamé en arrière par la c
uche, en-lamé en arrière par la coupe 49, au moment où la queue de ce noyau se réfléchit de haut en bas et d'arrière en avant
de ce noyau se réfléchit de haut en bas et d'arrière en avant. NC, noyau caudé. NCC, queue du noyau caudé. NA, noyau a
haut en bas et d'arrière en avant. NC, noyau caudé. NCC, queue du noyau caudé. NA, noyau amygdalien. Tse, tamia semi-
rière en avant. NC, noyau caudé. NCC, queue du noyau caudé. NA, noyau amygdalien. Tse, tamia semi-circulàris. les c
le tapetum lui-môme. Cependant on voit bientôt proéminer en dedans du noyau caudé (NC, fig. 54) Une petite bandelette blanche
sa direction générale, par ses tenant et aboutissant. Au-dessous du noyau caudé (NC, fig. 52), dans la lame blanche du tape
tant plus que les coupes intéressent des portions plus antérieures du noyau caudé (NC). Sur les figures 52, 55 on distingue e
uent transversal. Ses fibres passent de dehors en dedans au-devant du noyau caudé, pour aller se jeter dans la partie postéri
uillé externe (GE) et le corps genouillé interne (GI). Entre ces deux noyaux un prolongement des fibres de la bandelette optiq
demi-circulaire ou tœnia semi-circularis (fig. 56, 58, 60, Tae) et le noyau caudé du corps strié (NC). Cette portion frontale
s du corps genouillé interne (CJ, 55, 56, 57, 60). Gl. Ce dernier noyau gris est relié au tubercule quadrijumeau postérie
rne et postérieure qui s'appelle le pulvinar (Pul, fig. 59). NC. Le noyau caudé du corps strié (fig. 55, 56), allongé à la
plusieurs tron- Les coupes 55, 57, 60 représentées sur le profil du noyau caudé (NC), montrent la raison d'être de la dispo
n anato-mique figurée sur la planche 20. 55, section de la queue du noyau caudé (NCC)S 57, section du noyau caudé proprem
20. 55, section de la queue du noyau caudé (NCC)S 57, section du noyau caudé proprement dit et de la queue du noyau caud
(NCC)S 57, section du noyau caudé proprement dit et de la queue du noyau caudé au niveau du point où ces deux parties se c
niveau du point où ces deux parties se confondent ; 60, section du noyau caudé et de la queue du noyau caudé, séparés l'un
arties se confondent ; 60, section du noyau caudé et de la queue du noyau caudé, séparés l'un de l'autre par les fibres de
8, 59. Finalement il reste divisé en deux tronçons : un supérieur, le noyau caudé proprement dit (NC, fig. 60), un inférieur,
e noyau caudé proprement dit (NC, fig. 60), un inférieur, la queue du noyau caudé (NCC). Celle-ci aboutit à la région la plus
région la plus antérieure du ventricule sphénoïdal (VS, fig. 60); le noyau caudé proprement dit arrive jusqu'au cul-de-sac a
rofondeur et non pas seulement à la surface, une démarcation entre le noyau caudé et la couche optique (Tse, fig. 59). Subs
ente à la portion supérieure du ventricule, Au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 60), il présente encore dans sa
ntérieure. Nous pouvons dire dès à présent qu'elle se termine dans le noyau amygdalien du lobule de l'hippocampe, après avoir
rès avoir enveloppé toute la convexité supérieure et antérieure de ce noyau . Sur la coupe 60 la bandelette sous-optique pré
enouillé interne, et aussi en arrière de la couronne rayonnante de ce noyau (voy. Pl. XXI, fig. 61, RGI) avec laquelle il se
ressé sur-sout le stratum zonale qui le recouvre en arrière (ZGI). Ce noyau , régulièrement ovoïde, est entouré de tous côtés
delà du bord postérieur des corps genouillés. Pul, pulvinar. Npc, noyau postérieur du thalamus (voy plus loin). Pul, Pu
zonalis de la ban-lelette optique (Tractus opticus zonalis). NC. Le noyau caudé et NCC la queue du noyau caudé proé-nincnt
ue (Tractus opticus zonalis). NC. Le noyau caudé et NCC la queue du noyau caudé proé-nincnt tous les deux dans la cavité ve
anche postérieure ; GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; NiC, noyau interne de la couche optique. Schéma 94. CL.
nt obliques en haut et en dehors et vont se mettre en rapport avec le noyau de la III* paire (III). Elles sont pâles sur la c
LM3^ LM4, LM5). G, glande pinéale; GU, ganglion de l'habénule; NiC, noyau interne du thalamus; ZS, stratum zonale du gangli
VD, racine descendante du trijumeau; CP, commissure postérieure; NR, noyau rouge de la calotte; QA, tubercule quadrijumeau a
ors et en dessous des tubercules quadrijumeaux apparaissent deux gros noyaux : en dedans, le corps genouillé interne (Gl, GF)
le cérébelleux supérieur (Pes), et au milieu duquel on reconnaît le noyau rouge de Stilling (NR). Cette quatrième couche, q
97) qu'elles s'enfoncent sous ces pédoncules, par conséquent sous les noyaux rouges de la calotte ; immédiatement après, elles
superposés de substance grise qu'on peut le considérer aussi comme un noyau . Pour les besoins de la démonstration, il est pré
orment la couronne rayonnante du corps genouillé interne, abordent ce noyau par son extrémité antérieure (voy. pl. XXIV, fig.
s fibres transversales, concaves en bas et en dehors vers la queue du noyau caudé (NCC, fig- 64). Ces fibres transversales ap
qui se continue insensiblement avec le stratum zonale de la queue du noyau caudé, et qui même le constitue à peu près exclus
Tœ. Le taenia semi-circularis (fig. 62), accolé au bord interne du noyau caudé (NC), fait saillie dans la cavité ventricul
cule sphénoïdal. Il est situé immédiatement au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 63). TRp. Le pilier postérieur
e optique, depuis la face inférieure jusqu'à la face supérieure de ce noyau , et qui aboutissent toutes, en somme, à cette lam
) s'étend donc depuis le tsenia (Tse, fig. 64), qui sépare en haut le noyau caudé (NC) du thalamus (Th), jusqu'à la queue du
are en haut le noyau caudé (NC) du thalamus (Th), jusqu'à la queue du noyau caudé (NCC); elle va môme plus loin, puisqu'elle
postérieure et surtout de la lamina lateralis de Reil (Lmd). NC. Le noyau caudé (fig. 68) proémine dans la cavité ventricul
ig. 67, 71), formé de fibres aberrantes du tsenia. NCC. La queue du noyau caudé (fig. 68, 69, 71) ne présente pas partout l
e grise, beaucoup plus claire et beaucoup moins homogène que celle du noyau caudé. Elle est traversée de dehors en dedans par
70). Dans cette région le thalamus ne forme donc d'abord qu'un seul noyau (fig. 68). Mais bientôt on voit s'isoler un noyau
d'abord qu'un seul noyau (fig. 68). Mais bientôt on voit s'isoler un noyau interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la mass
ablir quelques divisions qui n'ont rien d'artificiel : en haut est le noyau interne (NiC, fig. 09, 72) formant le bord supéro
le bord supéro-interne de la couche optique. Plus en dehors, sera le noyau externe que nous étudierons plus loin. En dessous
e que nous étudierons plus loin. En dessous et en arrière de ces deux noyaux la substance grise pourrait être appelée noyau po
n arrière de ces deux noyaux la substance grise pourrait être appelée noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut distingue
pelée noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut distinguer ici le noyau postérieur du thalamus et le pulvinar. Celui-ci e
saillie à la paroi supérieure de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau postérieur parle bras du pulvinar (BP, fig. 69),
la substance grise de celui-ci (SG), et spécialement au niveau de ses noyaux (n, n', n"). fflent, sous l'aspect d'une petite
'aqueduc ou établissant des connexions entre les diirérents étages ou noyaux de la substance grise de l'aqueduc. Lem. La cou
illé; mais ce n'est là qu'une apparence, elle est destinée à un autre noyau . Sur les coupes 69 et 71, où est représentée la s
rejoint plus en arrière la région iritcrpédonculaire qu'au-dessous du noyau rouge de la calotte (NR). Or, en fait, le fascicu
ule; G, glande pinéale ; QA, QP, tubercules quadri- jumeaux ; !\'R, noyau rouge de Stilling;. La couclie à convexité antéri
al. que le faisceau rétroflexe est situé immédiatement en dedans du noyau rouge de la calotte, au lieu de courir d'avant en
u ventricule sphénoïdal, il longe la convexité interne de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 68) ; et comme sa direction géné
e est foncée. On peut la constater sur la coupe 68, entre la queue du noyau caudé (NCC) et la bandelette sous-optique (BSO).
etum (fig. 71) est cependant reconnaissable au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 71). Seulement, comme il est bea
formé des fibres que nous voyons apparaître au-dessus et en dehors du noyau caudé (fig. 69, TAP) et qui, sorties de la masse
ourbe au-dessus de la bandelette sous-optique (BSO) et de la queue du noyau caudé (NCC), pour aller se jeter dans le faisceau
s bientôt qu'elles vont se continuer dans la lame latérale externe du noyau lenticulaire, entre le globus pallidus et le puta
cation de la corne d'Ammon sur des coupes plus postérieures. NC. Le noyau caudé (fig. 74, 76, 77), libre dans la corne fron
e et qui seront étudiées ultérieurement en détail. NCC. La queue du noyau caudé (75, 74), adjacente à la portion réfléchie
cupe le bord interne de la corne sphénoïdale du ventricule. NIC. Le noyau interne du thalamus (fig. 78) est à l'angle supér
à l'angle supérieur et interne de la couche optique. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78) par une bande de fibres blanche
du segment postérieur de la capsule interne, CID, fig. 76). NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. 75) s'isole nettement.
ment circulaire ou elliptique. Elle est toujours située au-dessous du noyau interne (NiC) et du noyau externe (NeC) et seulem
que. Elle est toujours située au-dessous du noyau interne (NiC) et du noyau externe (NeC) et seulement à la partie postérieur
noyau externe (NeC) et seulement à la partie postérieure de ces deux noyaux . Les coupes successives, faites d'arrière en avan
ans une grande étendue antéro-postérieure. Il faut donc considérer ce noyau eomme aplati d'avant en arrière; il est permis, d
ve pas être envisagée seulement comme le lieu où s'opère la fusion du noyau externe et du noyau interne de la couche optique.
e seulement comme le lieu où s'opère la fusion du noyau externe et du noyau interne de la couche optique. Nous savons, en eff
du noyau interne de la couche optique. Nous savons, en effet, que les noyaux externe et interne du thalamus, si parfaitement d
mment distinctes l'une de l'autre et suffisamment distinctes des deux noyaux interne et externe, pour qu'on renonce à décrire
us. Plus en avant (fig. 73), alors que la coupe commence à entamer le noyau externe (NeC), le pulvinar ne forme plus que la f
ar de la substance médullaire. En haut et en dehors, il est séparé du noyau externe du thalamus (NeC) par la couronne rayonna
et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA, 75, 77), est un noyau de volume variable qu'on a quelquefois appelé noy
, 75, 77), est un noyau de volume variable qu'on a quelquefois appelé noyau postéro-basilaire. Il ne faut donc pas le confond
(ZS) appartenant à la commissure. 2° En haut et en dehors : les trois noyaux de la région postérieure du thalamus (noyau exter
et en dehors : les trois noyaux de la région postérieure du thalamus ( noyau externe XeC; noyau interne NiC; centre uiédian Nm
trois noyaux de la région postérieure du thalamus (noyau externe XeC; noyau interne NiC; centre uiédian NmC); ils sont recouv
coupes plus antérieures. plus claire la disposition des différents noyaux gris représentés sur la coupe 73. Le corps geno
me, au dire de certains anatomistes, plus loin encore, jusque dans le noyau lenticulaire du corps strié. FLP. Le faisceau l
ns intimes avec-la substance grise sous-épendymaire, qui renferme les noyaux moteurs des muscles de l'œil. Ce changement d'asp
nouillé externe (fig. 75, ZGE) indique déjà la forme extérieure de ce noyau , dont la substance grise, située plus en avant, n
iscus, renforcées de conducteurs nouveaux après leur passage dans les noyaux du tegmentum. CTE. Fasciculi marginales aqusedu
s, a une coloration foncée sur les coupes 73 et 74, entre la queue du noyau caudé (NCC) et la bandelette sous-optique (RSO, f
à sa partie externe (fig. 78) les fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC), qui le pénètrent d'arrière en avant,
énoïdal (FS). Sur la coupe 73, en dehors de la couronne rayonnante du noyau caudé, onvoitsorfir du corps calleux un faisceau
horizontale, et qui vont se perdre dans la lame verticale externe du noyau lenticulaire. FSi. Le faisceau sensitif interne
du thalamus (fig. 75) sort de la masse de la couche optique, entre le noyau thalamique externe (NeC, fig. 72), situé au-dessu
lles se jettent dans le segment inférieur de la capsule, en dehors du noyau caudé et du tapetum. Elles accompagnent alors le
bres du faisceau sensitif externe (FSe) qui vont à la lame externe du noyau lenticulaire; 2" par les fibres de la couronne ra
nante du thalamus semble sortir du centre médian (NmC), au-dessous du noyau externe du thalamus (NeC, fig. 77). En réalité, e
le sort de la partie antérieure du centre médian. Quant aux fibres du noyau externe (NeC), elles vont dans la lame latérale d
vec le stratum zonale (ZO, fig. 74). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fîg. 77, 78) est un système de fibres qui
78) est un système de fibres qui émergent de la face inférieure de ce noyau (NG, fig. 77) sur la plus grande partie de son ét
structure du crochet sont exposés plus loin (pl. XXV, XXVI). NC. Le noyau caudé (fig. 82), voy. pl. XXIII. NCC. La queue
). NC. Le noyau caudé (fig. 82), voy. pl. XXIII. NCC. La queue du noyau caudé (fig. 82), voy. pl. XXIIÏ. NiC. Le noyau
. NCC. La queue du noyau caudé (fig. 82), voy. pl. XXIIÏ. NiC. Le noyau interne du thalamus (fig. 81) est, sur quelques p
lamus (fig. 81) est, sur quelques points encore, assez bien séparé du noyau externe (NeC). Sur d'autres points, il l'est beau
oncées et se perdent sur le fond gris de la couche optique. NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. SI), voy. pl. XXlIL G
tance blanche qui le recouvre, une masse grise qui appartient à son noyau proprement dit. Cette masse est parcourue par des
nnexion de continuité ni môme de contiguïté apparente avec les autres noyaux gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge
té ni môme de contiguïté apparente avec les autres noyaux gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge de la calotte, oli
apparente avec les autres noyaux gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge de la calotte, olive supérieure, nucleus ru
ontale de la région de la calotte pour montrer la situation exacte du noyau rouge (NR). Pcs, pédoncule cérébelleux supérieu
ntre-croisement de la région de l'étage supérieur, où ils abordent le noyau rouge. Les pédoncules cérébelleux pénètrent fra
oncules cérébelleux pénètrent franchement d'arrière en avant dans les noyaux rouges, sans subir aucune déviation, sans se divi
ubissent simplement une certaine torsion en spirale sur leur axe : le noyau rouge, d'autre part, est assez régulièrement sphé
n d'une sphère par un cylindre dont l'axe passe par le Situation du noyau rouge de la calotte dans l'étage supérieur du péd
cii, chiasma optique ; QA, tubercule quadrijumeau antérieur ; NR, noyau rouge de la calotte; XX, direction d'une coupe
érieur du pédoncule cérébral, et permettant toujours de sectionner le noyau rouge. centre de la sphère. Le noyau rouge (NR)
tant toujours de sectionner le noyau rouge. centre de la sphère. Le noyau rouge (NR), ainsi qu'on peut le voir sur le schém
quatre millimètres, on commence à entamer la convexité interne de ce noyau . A l'état frais, il présente une coloration rose
présente une coloration rose brique qui lui a valu la désignation de noyau rouge, généralement usitée en France. Sur les cer
l'alcool ou dans les solutions de chromâtes, la teinte spécifique du noyau supérieur de la calotte s'atténue notablement et
sse le ganglion ou le respecte. Mais on est toujours sûr de couper le noyau rouge aux environs de sa partie postérieure en fa
oncule cérébral (schéma 118). C'est à partir de la figure 83 que le noyau rouge de Stilling commence à apparaître sur les c
a largeur est très limité. Il est certain que le locus niger est un noyau de renforcement très important pour les faisceaux
rtant pour les faisceaux de la calotte; ou, inversement, qu'il est un noyau de projection et de réduction pour les fibres cor
rs, se confondant, en partie avec le laqueus (Laq), à la rencontre du noyau rouge de la calotte dont la surface de section ap
la coupe 83 on voit les fibres les plus externes passer en dehors du noyau rouge : les plus internes passent en dedans]; l
érieures passent en dessous; en d'autres termes, elles enveloppent ce noyau de toutes parts, et un bon nombre d'entre elles s
sversale de l'étage supérieur du pédoncule à la partie postérieure du noyau rouge de la calotte (NR). PV, pont de Varole ; PP
tegmentum ; Th, thalamus; GH, ganglion de l'habénule. lopper le noyau rouge, elles vont directement en avant, en dedans
pper le noyau rouge, elles vont directement en avant, en dedans de ce noyau , vers la substance grise interpédonculaire ; dans
AP. On sait que la glande pinéale est reliée à la substance grise des noyaux de l'hémisphère par trois petits systèmes de fibr
lotte apparaît de plus en plus nettement comme un faisceau mélangé de noyaux ; en d'autres termes, le tegmentum proprement dit
ngé de noyaux; en d'autres termes, le tegmentum proprement dit est un noyau diflùs, interrompant les fibres du faisceau de la
genouillé externe; GI, corps genouillé interne; Pul, pulvinar; NR, noyau rouge de la calotte; Laq', couche superficielle d
pulvinar gauche (BP); — TEG, faisceau du tegmentum, se jetant dans le noyau rouge (NR). Avant d'aborder ce noyau, il émet en
du tegmentum, se jetant dans le noyau rouge (NR). Avant d'aborder ce noyau , il émet en dehors la lame latérale de Reil (Lmd)
et en dedans les fibres marginales de l'aqueduc (CTE). Il ressort du noyau rouge sous le nom de lamina tegmenti (LTE) ; — Lm
ligne médiane et poursuivant son chemin de bas en haut, en dedans du noyau rouge. Schéma 122. — Projection verticale schém
pour rejoindre les faisceaux plus antérieurs destinés à traverser le noyau rouge. CEO. Les fibres postérieures du pédoncul
bello-thala-mique, se jettent donc dans le thalamus sans traverser le noyau rouge; elles sont entourées des fibres de la calo
lement voisine du locus niger (LN) qu'elle semble faire corps avec ce noyau ou le traverser. Sa coloration, analogue à celle
érieur qui fournit au centre ovale (CO) ; un inférieur qui fournit au noyau caudé ou qui en reçoit des fibres (c'est la couro
dé ou qui en reçoit des fibres (c'est la couronne rayonnante (RNC) du noyau caudé) ; un moyen qui se réfléchit en arrière, en
ses fibres arriveront (TAP, fig. 82) jusqu'au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC). Nous avons déjà suffisamment insisté
E); un certain nombre d'entre elles passent à la partie interne de ce noyau et se fondent dans le faisceau de Tùrck-Meynert (
é par le stratum zonale (fig. 79, GE) et par la substance grise de ce noyau (fig. 80). Lorsque la coupe passe par le stratum
bliquement en bas et en dehors entre la bandelette sous-optique et le noyau caudé d'une part et le faisceau sensitif externe
La paroi interne est occupée dans sa presque totalité par la queue du noyau caudé (NCC fig. 90). La paroi supérieure est form
vec lequel il va se confondre (fig. 85, 86, 87, 88, 89, 90). NC. Le noyau caudé (fig. 86) émet des fibres, dirigées d'arriè
gées d'arrière en avant, qui s'ajouteront, plus en avant, à l'anse du noyau lenticulaire. Ces fibres appartiennent au système
noyau lenticulaire. Ces fibres appartiennent au système de l'anse du noyau caudé (ANC, voy. plus loin) ; à leur partie exter
e se trouvent les fibres, déjà décrites, de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). NCC. La queue du noyau ca
couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 85, 80, 90) diminue progressivement d
ire (SMT) fait suite à la lamina lateralis (Lmd), qui se perd dans le noyau externe de la couche optique (NeC, fig. 87). On c
ue bande ne représente donc en réalité qu'une demi-écaille. NiC. Le noyau interne du thalamus (fig. 85, 87, 89). Après la l
du ventricule moyen jusqu'au fond de la gouttière de Monro. NeC. Le noyau externe du thalamus. Sur la coupe 85 il était pén
mité la plus antérieure du ganglion de l'habénule (fig- 85). NR. Le noyau de la calotte (fig. 85 à 90), voy. pl. XXIV. LN
ne médiane avant d'aller se jeter, en décrivant une spirale, dans les noyaux rouges de la calotte (NR). Pcs. Le pédoncule Cé
ement de torsion en spirale (schéma 126). C'est ainsi qu'il aborde le noyau rouge (NR). 11 résulte de cette torsion que, sur
e de cette torsion que, sur quelques coupes verticales, en arrière du noyau rouge, la section du pédoncule cérébelleux supéri
e, tandis que les coupes 86 et 88 intéressent la substance grise du noyau rouge. Ces coupes font donc voir également que la
t que la disposition spiroïde se poursuit dans l'intérieur même de ce noyau . Le changement de direction du pédoncule cérébell
ue sa décussation transversale est achevée, se porte en avant vers le noyau de la calotte, permet enfin de reconnaître l'isol
que, si le pédoncule cérébelleux supérieur se jette en masse dans le noyau rouge de la calotte, il abandonne un assez grand
e de fibres à sa partie externe, lesquelles passeront en dehors de ce noyau pour se porter vers la face inférieure de la Vu
ontale du faisceau cérébello-thalamique (CEO). Th, thalamus ; NR, noyau rouge de la calotte ; Pcs, pédoncule cérébelleux
elleux supérieur dont les fibres se jettent en majeure partie dans le noyau rouge ; CEO, faisceau cérébello-thalamique formé
couche paraît faire défaut, m -n" -SG Schéma représentant les noyaux superposés (n, n'n") de la substance -n' grise
partie de ses fibres s'interrompent, d'étage en étage, au niveau des noyaux échelonnés à la surface de la substance grise du
e ventricule que se trouvent, de chaque côté de la ligne médiane, les noyaux de la troisième paire. Mais ceux-ci ne consistent
agglomération nodulaire ; ils forment une véritable colonne de petits noyaux superposés. Les noyaux (n, n', n") du schéma 28 r
; ils forment une véritable colonne de petits noyaux superposés. Les noyaux (n, n', n") du schéma 28 reçoivent précisément le
ans doute, s'établissent les connexions directes de l'écorce avec les noyaux de l'aqueduc, grâce à l'interposition du faisceau
le faisceau longitudinal postérieur situé à sa partie interne, et le noyau rouge de la calotte (NR) situé à sa partie extern
cs, 85) emprunte une forme circulaire à la convexité postérieure du noyau rouge de la calotte. Ce noyau n'est qu'à peine en
irculaire à la convexité postérieure du noyau rouge de la calotte. Ce noyau n'est qu'à peine entamé par le couteau; mais la s
rculaire correspondant au faisceau de la Projection liorizontale du noyau rouge (!VR) au niveau de la pénétration du pédonc
versale 85). Le faisceau de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le noyau rouge et le pédoncule cérébelleux supérieur. ca
a partie la plus large. Il n'en est rien. La convexité postérieure du noyau rouge efface, aplatit et élargit en quelque sorte
s dont ce dernier se compose se répandent à la surface postérieure du noyau et divergent en tous sens, comme les méridiens d'
alors, tout d'un bloc, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le noyau rouge (NR). Celles qui passent, d'arrière en av
au rouge (NR). Celles qui passent, d'arrière en avant, en dedans du noyau rouge, sont de beaucoup les moins nombreuses ; el
nombreuses ; elles s'entrecroi- TEG TEG Projection sagittale du noyau rouge de la calotte (NR). Ce ganglion est abord
te (TEG) enveloppe à la fois le pédoncule cérébelleux supérieur et le noyau rouge. sent presque immédiatement avec le fasci
haque moitié de l'isthme de l'encéphale, ne sont pas fournies par les noyaux de la calotte du côté opposé; elles subiraient do
quelques-unes même, en assez grand nombre, ont simplement traversé ce noyau de haut en bas pour se joindre au pied du pédoncu
enouillé externe (GE) ; ensuite il réapparaît à la face externe de ce noyau , sous la forme d'une crête rayonnante, foncée en
du ventricule latéral ; GE, corps genouillé externe ; NCC, queue du noyau caudé saillante dans la cavité ventriculaire. B
aisceau pyramidal (FP') s'épanouit à la face interne et supérieure du noyau lenticulaire que les prochaines coupes vont entam
sur la coupe 89, OÙ il est reconnaissable en dedans de la queue du noyau caudé (Tse, fig. 89). ce. Le corps calleux (fig
roupe inférieur forme une notable partie de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). TRI. Le trigone cérébral
Cela tient à ce que la coupe arrive au contact du bord postérieur du noyau lenticulaire : le putamen est tout près; les fibr
ing. VM, le ventricule moyen ; Th, la couche optique ; NC, la tête du noyau caudé ; Cl, la capsule interne ; ThA, racine anté
étale de bas en haut et de dedans en dehors sur la face interne de ce noyau . Elle est séparée de la couche optique (Th) par l
hauteur du claus-trum (CL, fig. 90) à la face externe du putamen ; ce noyau n'est pas encore désigné sur les coupes de la pla
n d'un élargissement de l'avant-mur. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 88) émerge de la face inférieure de c
ayonnante du noyau caudé (fig. 88) émerge de la face inférieure de ce noyau par faisceaux d'inégale importance; cela explique
de ce noyau par faisceaux d'inégale importance; cela explique que le noyau caudé lui-même présente des inégalités de volume
s: il est toujours sus-jacent aux fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé; d'autre part, sur les coupes 89 et 90, nou
e tout l'hémisphère; c'est là, au-dessus de la couronne rayonnante du noyau caudé, à l'extrémité externe du corps calleux, qu
nterne de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le noyau rouge de la calotte (NR) on reconnaît la dépressi
encore (fig. 96), entre la région de l'étage supérieur occupée par le noyau rouge (NR) et la région du pont de Varole (PV), o
les fibres de la bandelette optique qui se jettent en arrièrc-dans ce noyau (BOG, fig. 96) et aussi par la bandelette optique
orticale. Nous verrons plus loin apparaître un ganglion important, le noyau amygdalien (NA) à la terminaison la plus antérieu
s antérieure de la crête de l'uncus (fig. 105, 106et suiv.). NC. Le noyau caudé (fig. 92). NCC. La queue du noyau caudé (
105, 106et suiv.). NC. Le noyau caudé (fig. 92). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 94), arrivée au voisinage de l'extrém
un peu d'épaisseur. Th. Le thalamus (fig. 94), limité en bas par le noyau rouge de la calotte (NR) dont il est séparé par l
terne (LMl, 95) qui établit la démarcation la plus apparente entre le noyau externe et le noyau interne du thalamus. NiC. N
établit la démarcation la plus apparente entre le noyau externe et le noyau interne du thalamus. NiC. Noyau interne de la c
arente entre le noyau externe et le noyau interne du thalamus. NiC. Noyau interne de la couche optique (fig. 94, 95, 96).
. NiC. Noyau interne de la couche optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la couche optique (fig. 91, 92). NR.
6). NeC. Noyau externe de la couche optique (fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une couche de su
tiennent au nerf moteur oculaire commun. Au-dessous et en dehors du noyau rouge, la lamina tegmenti (LTE), participant à la
n avant et de dedans en dehors. C'est là que va apparaître un nouveau noyau gris que nous étudierons plus loin : le discus le
urtout par la lamina terminalis, et, un peu en dessous, par l'anse du noyau lenticulaire (ANL, voy. plus loin). GE. Le corp
it la bandelette optique (BO, fig. 96) faire suite immédiatement à ce noyau ; et comme les fibres de cette bandelette sont d
T. Le putamen (fig. 91, 92, 94, 95) est le segment le plus externe du noyau lenticulaire; il a plus d'étendue que les deux au
ficile de distinguer ici le putamen des fibres Vue scliéniatique du noyau lenticulaire gauche vu par sa face postérieure.
LM, le globus medialis ; CA, la commissure antérieure passant sous le noyau lenticulaire (elle ne commence h être visible que
idus (GLP, schéma 135) pour contribuer à former la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95, 96). La cloison
Presque toutes ses fibres ont subi la décussation, avant d'aborder le noyau rouge (NR). Il n'en reste plus ici cju'un très pe
ccolé à la face externe du faisceau longitudinal postérieur, longe le noyau rouge de la calotte sans lui fournir de fibres. 1
t externe se confond avec les fibres de la calotte qui enveloppent le noyau rouge; le prolongement interne se rapproche de pl
le locus niger, semble se confondre insensiblement en dehors avec ce noyau gris. Elle se divise, à ce niveau, en deux étages
au à section triangulaire, se prolonge en avant, à la face interne du noyau rouge (NR) et que nous retrouverons sur toutes le
timement adhérentes. Le nouveau faisceau dont il s'agit est l'anse du noyau lenticulaire (voy. plus loin). IS. Le stratum i
ant, et qu'on voit apparaître ici d'une façon très nette au-dessus du noyau rouge (NR). Sa'surface de section est transvers
En réalité, les connexions de ces deux faisceaux, juste au-dessus du noyau rouge, sont peut-être très étroites; mais, plus e
issent, sur les coupes vertico-transversales, les lames verticales du noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95) (MLE, MLI, fig. 9
t avec l'écorce cérébrale. Plus en avant (fig. 94), il envoie dans le noyau lenticulaire — ou reçoit de ce noyau — des fibres
ant (fig. 94), il envoie dans le noyau lenticulaire — ou reçoit de ce noyau — des fibres qui traversent la lame médullaire ou
aisceau pyramidal ; FM, faisceau de Tiirck-Meynert ; ANL, anse du noyau lenticulaire. de la capsule, est un faisceau si
atum intermedium (IS, fig. 91) et qui n'est autre chose que l'anse du noyau lenticulaire ANL. ... , ANL. L'anse du noyau le
re chose que l'anse du noyau lenticulaire ANL. ... , ANL. L'anse du noyau lenticulaire est le faisceau le plus interne du p
hors en dedans le faisceau pyramidal, le faisceau géniculé, l'anse du noyau lenticulaire, tandis que la coupe 96 n'intéresse
'intéresse que le faisceau géniculé et Vanse du Profil do l'anse du noyau lenticulaire (ANL) passant sous le discus lentifo
) et changeant brusquement de direction à la partie postérieure de ce noyau . La coupe 96 intéresse le faisceau géniculé (FG
-ci. L'anse et le faisceau géniculé s'entre-croisent au point X.| noyau lenticulaire. Cg dernier faisceau est ainsi désig
couche blanche de fibres sous-jacentes aux deux segments internes du noyau lenticulaire et au-dessus desquelles ce noyau par
ux segments internes du noyau lenticulaire et au-dessus desquelles ce noyau paraît suspendu comme par une sangle. Son trajet,
s et en dedans, vers la ligne médiane, où elles se terminent dans les noyaux de la protubérance et de la substance grise inter
un parcours analogue, mais se termine plus loin en arrière,-dans les noyaux bulbaires, et selon toute probabilité dans les no
rière,-dans les noyaux bulbaires, et selon toute probabilité dans les noyaux du facial et de l'hypoglosse. Sur la coupe 96, FG
sposition qu'on s'expliquera en examinant le schéma 139, où l'anse du noyau lenticulaire, vue de profil, change brusquement d
asse de fibres antéro-postérieures courant au-dessous et en dehors du noyau rouge de la calotte (NR). Il semble continuer la
corps genouillé externe, placés sur son bord interne, et la queue du noyau caudé placée sur son bord externe. Maintenant que
a queue du noyau caudé placée sur son bord externe. Maintenant que le noyau caudé devient moins dense et s'élargit, tendant à
recouvre même partiellement la convexité supérieure de la queue du noyau caudé; et il en sera ainsi jusqu'à l'extrémité an
du faisceau sensitif (fig. 92) convergent vers la cloison externe du noyau lenticulaire, en dedans du putamen (FSe, fig. 92)
erne du putamen. La lame médullaire externe du thalamus les sépare du noyau externe de la couche optique (NeC). La capsule
nsverse. 11 se perd dans le claustrum, à l'extrémité inférieure de ce noyau lamellaire, comme le faisceau arqué (ARC) se perd
ses libres (ARC) se jettent dans la capsule interne (Cl) en dedans du noyau lenticulaire (NLe). Th, couche optique ; PAR,
ux qui vont de la calotte au tlialanuis pénètrent dans les différents noyaux de la couche optique de bas en haut directement,
poral. Sa face externe est représentée exclusivement par la cpueue du noyau caudé (NCC, fig. 102); sa face supérieure est for
supérieure est formée, en dehors par la partie la plus postérieure du noyau amygdalien (NA, fig. 102), et par la bandelette o
ra plus représentée dorénavant sur les coupes plus antérieures. NC. Noyau caudé (fig. 98), voy. pl. XIX. NCC. La queue du
ieures. NC. Noyau caudé (fig. 98), voy. pl. XIX. NCC. La queue du noyau caudé (fig. 98, 99, 101, 102). Ses rapports avec
e à montrer ici d'une façon tout à fait nette sa subdivision en trois noyaux . Nous connaissons déjà son noyau externe et son n
fait nette sa subdivision en trois noyaux. Nous connaissons déjà son noyau externe et son noyau interne. On voit apparaître
ision en trois noyaux. Nous connaissons déjà son noyau externe et son noyau interne. On voit apparaître maintenant, à son ext
it apparaître maintenant, à son extrémité antérieure et supérieure le noyau antérieur (NaC). NaC. Le noyau antérieur du tha
xtrémité antérieure et supérieure le noyau antérieur (NaC). NaC. Le noyau antérieur du thalamus (fig. 97, 101), ou corpm al
de la substance blanche et faisant saillie au-dessus et en dehors du noyau interne (NiC, fig. 91). H a la forme d'une demi-s
ent le tubercule antérieur du thalamus sont loin de s'épuiser dans ce noyau . Elles ne font que passer au-dessus de lui pour a
s ce noyau. Elles ne font que passer au-dessus de lui pour aboutir au noyau interne (NiC, fig. 99). Très peu d'entre elles s'
par sa face inférieure, les fibres du faisceau de Yicq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus (fig. 99). NB. Le noyau rou
de Yicq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus (fig. 99). NB. Le noyau rouge de la calotte (fig. 97, 98, 100) diminue pr
ur (RFP, fig. 102). Nous avons déjà signalé la striation blanche du noyau de la calotte par de petits faisceaux de fibres d
9). Ces fibres appartiennent au nerf moteur oculaire commun, dont les noyaux les plus antérieurs siègent au-dessus et en dedan
dont les noyaux les plus antérieurs siègent au-dessus et en dedans du noyau rouge, au fond de la gouttière de Monro. PUT. L
e Monro. PUT. Le putamen (fig. 98, 100, 101), ou segment externe du noyau lenticulaire s'étend sur une hauteur de plus en p
sur une hauteur de plus en plus grande : Projection liorizontale du noyau lenticulaii'c indiquant le Heu do passage de la c
GIF). La face interne est adhérente à la cloison verticale externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 98), d'où partent des str
lles constituaient un faisceau important de la couronne rayonnante du noyau lenticulaire. GLP. Le globus pallidus (hg. 100)
globus pallidus est appliqué en général aux deux segments internes du noyau lenticulaire; pour éviter les confusions nous rés
n empruntant la voie des deux lames verticales qui séparent les trois noyaux . Elles sont toujours dirigées de haut en bas. C'e
peu plus en avant, le faisceau bien isolé, connu sous le nom à\mse du noyau lenticulaire. On peut s'étonner, à première vue
. On peut s'étonner, à première vue, que les cloisons verticales du noyau lenticulaire, composées exclusivement de fibres,
rizontales : les fibres verticales sont celles qui, sorties des trois noyaux , descendent vers le scgincrU inférieur de la ca
es fibres horizontales sont celles qui ne font que traverser les deux noyaux internes pour gagner le putamen, ou qui établisse
amen, ou qui établissent des connexions transversales entre ces trois noyaux , chacun à chacun. Les lames verticales sont ainsi
es verticales des cloisons, il en est Coupe vertico-transversale du noyau lenticulaire, montrant l'entre-croisement des lib
terne. CLP, globus pallidus; GLM, globus medialis; ANL, anse du noyau lenticulaire, formée par les libres verticales de
de l'insula, devient toujours plus apparent vers la région moyenne du noyau lenticulaire. DL. Le discus lentiformis (fig. 9
u lenticulaire. DL. Le discus lentiformis (fig. 98, 99, 101) est un noyau gris parfaitement isolé, de forme très régulièrem
-dessus du locus niger, au-dessous de la couche optique, en dehors du noyau rouge, en dedans et au-dessus du faisceau le plus
au-dessus du faisceau le plus interne du pied du pédoncule. Ce petit noyau auquel on a encore donné les noms de corpus subth
tit noyau auquel on a encore donné les noms de corpus subthnlamicuin, noyau ainygdaliforme, bandelelle accessoire de Volive s
ne traînée de substance grise avec la couche optique, ni môme avec le noyau rouge de la calotte. Il est toujours parfaitement
des connexions est celle que nous étudierons plus loin sous le nom de noyau de l'anse lenticulaire (GAP). Le discus lentifo
cas, d'une façon à peu près absolue, que le discus lentiformis est un noyau qui sert de centre de réduction au faisceau capsu
exité inférieure. Le diamètre antéro-posté- aux fibres de l'anse du noyau lenticulaire, continue donc son trajet,-de haut e
n'est pas représenté. Les coupes s'arrêtent à la partie inférieure du noyau rouge de la calotte (NR), au niveau de la pénétra
es coupes de Coupe Iriuisversale à Lravers la ]iailic antérieure du noyau rouge ; NR, noyau rouge de la calotte ; Th. t
Iriuisversale à Lravers la ]iailic antérieure du noyau rouge ; NR, noyau rouge de la calotte ; Th. tliahunus ; CXO, l'
et également convexe en haut. Celui-ci est immédiatement adhérent au noyau rouge de la calotte; et, comme le faisceau longit
comme le faisceau longitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus du noyau rouge, dans la région inférieure du thalamus. P
u thalamus. Profil du faisceau longitudinal postérieur au niveau du noyau rouge. 101, coupe vei'ticale de la planclie XXV
sceau longitudinal postérieur (FLP), on reconnaît par transparence le noyau rouge do la calotte (NR). Au-dessous de ce noyau,
par transparence le noyau rouge do la calotte (NR). Au-dessous de ce noyau , RFP indique le trajet de la couronne rayonnante
ieures, et reprennent une coloration foncée FLP'. Th, thalamus; — NR, noyau rouge. Schéma 1-47. _ Mais le faisceau longitud
l'agglomération de fibres qui se portent au-dessus et cri dehors du noyau rouge. Au-dessous de celui-ci, il envoie, en avan
ur, grâce à ce prolongement latéral, enveloppe donc du haut en bas le noyau rouge de la calotte. Ses fibres supérieures (FLP)
e consisterait à mettre en rapport direct l'écorce cérébrale avec les noyaux moteurs de l'œil à travers la capsule interne.
inement bien distincte des faisceaux de la calotte qui enveloppent le noyau rouge. On voit, sur ces deux figures, qu'elle se
ernier faisceau a une radiation (ou couronne rayonnante) au-dessus du noyau rouge, sous la couche optique (voy. pl. XXY, fig.
ésentée que par son faisceau supérieur, accolé à la partie interne du noyau rouge (NR) ; elle sépare, à ce niveau, les fibres
de Reil (Lin), l'autre situé en dehors. TB, Foramen caecum ; Nri, noyau rouge de la calotte. se terminer au-dessus et e
ina tegmenti (fig. 97) est toujours située, d'une part, au-dessous du noyau rouge (NR) et du faisceau cérébello-thalamique (C
cérébello-thalamique (CEO), et, d'autre part, au-dessus de l'anse du noyau lenticulaire (ANL). Nous avons vu s'amincir progr
amique est épuisé, un autre le remplace (NL) : le faisceau latéral du noyau rouge de la calotte, au-dessous duquel se glisse
n'est que très passager, car dès l'apparition du faisceau latéral du noyau rouge (NL), on voit aussi s'insinuer entre la lam
u rouge (NL), on voit aussi s'insinuer entre la lamina tegmenti et le noyau rouge un nouvel organe : le discus lenliformis (D
O. Le faisceau tegmento-thalamique (fig. 98, 99 et suiv.) recouvre le noyau rouge auquel il est très exactement superposé dan
s fibres cérébello-thalamiques (CEO, fig. 97). Limité en haut par le. noyau interne du thalamus (NiC, fig. 99), il enveloppe
le. noyau interne du thalamus (NiC, fig. 99), il enveloppe en bas le noyau rouge, s'étale à sa partie interne (fig. 101, CAO
rubro-thalamique représente l'ensemble des fibres latérales issues du noyau rouge de la calotte. Cette dési- gnation, loin
au ainsi baptisé est constitué exclusivement par des libres issues du noyau rouge et non pas d'une autre partie de la région
elleux supérieur, a dépassé, d'arrière en avant, la partie moyenne du noyau rouge à la face externe duquel il était situé, on
à la face externe duquel il était situé, on voit sortir de ce dernier noyau les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur (Pc
r; CEO, faisceau céréhello-t hala m i qu e ne pénétrant pas dans le noyau rouge; TEC, le tegnientum avec la lamina teg- m
faisceau cérébello-thalamique que parce qu'elles ont pénétré dans le noyau , tandis que ce dernier faisceau a simplement côto
dans le noyau, tandis que ce dernier faisceau a simplement côtoyé le noyau rouge. Les fibres latérales issues du noyau rouge
au a simplement côtoyé le noyau rouge. Les fibres latérales issues du noyau rouge sont-elles les mômes que renfermait le pédo
les mômes que renfermait le pédoncule cérébelleux avant d'aborder le noyau ? La chose est probable. En tout cas, il faut adme
ttre que le pédoncule cérébelleux subit une réduction notable dans le noyau de la calotte. Sur les coupes qui passent au de
ans le noyau de la calotte. Sur les coupes qui passent au devant du noyau rouge (fîg. 102), le tegmentum (TEC) et le faisce
tion horizontale du faisceau riihro-thalamique (iN'L), à sa sortie du noyau rouge (NR). fibres parcourent un long trajet. U
nombre d'entre elles cependant, sur la ligure 100 s'inclinent vers le noyau lenticulaire et y pénètrent. En (in, en dedans (f
es au maximum, tandis que le faisceau géniculé occupe, avec l'anse du noyau lenticulaire (ANL), la presque totalité de la sec
ntent le faisceau géniculé; les fibres claires représentent l'anse du noyau lenticulaire. ANL. L'anse du noyau lenticulaire
s claires représentent l'anse du noyau lenticulaire. ANL. L'anse du noyau lenticulaire, venue, comme nous le savons déjà de
yramidal (FPj, mais seulement le faisceau géniculé (FG), et l'anse du noyau lenticulaire (ANL). fig. 101, 102) dont il empr
1 où l'on voit apparaître la section du tœnia (Ta?) entre la queue du noyau caudé (NGC), et la laine blanche qui recouvre la
caudé (NGC), et la laine blanche qui recouvre la i'ace extérieure du noyau amygda-lien (NA). YS ventricule spliénoïdal : ~
ue (BSO) est maintenant située immédiatement au-dessus de la queue du noyau caudé (NCC). D'abord placée à sa partie interne,
on voit une partie du faisceau foncé (BSO) s'épuiser dans la queue du noyau caudé (NCC). Les quelques fibres qui proviennent,
la lamelle blanche qui recouvre la On doit supposer que la queue du noyau caudé (NCC) est en partie visible par transparenc
face supérieure; la projection de la figure est donc horizontale. Le noyau caudé (Ncc) s'avance d'arrière en avant, à la par
rière en avant, à la partie externe du ventricule sphénoïdal, vers le noyau amygdalien (N'A) qui ferme le cul-de-sac antérieu
bandelette sous-optique (BSo d'abord placée en dedans de la queue du noyau caudé, et suivant approximativement le même parco
'épanouit en éventail sur la convexité an-téro-externe de la queue du noyau caudé et du noyau amygdalien. La racine inférieur
ail sur la convexité an-téro-externe de la queue du noyau caudé et du noyau amygdalien. La racine inférieure du thalamus, ven
us la forme d'une lame horizontale ; arrivée en dehors de la queue du noyau caudé (NCC) et de la bandelette sous-optique (BSO
la bandelette sous-optique (BSO), elle se relève, enveloppe ainsi le noyau et la bandelette ; puis, finalement, redevenue ho
à leur coloration foncée sur la coupe 99 (ThI). face postérieure du noyau amygdalien (NA). Peut-être donc ne se mélangent-e
leux ; VS, ventricule sphénoïdal; EPA, espace perforé antérieur; NLe, noyau lenticulaire; Th, thalamus; NC, noyau caudé ; N'A
espace perforé antérieur; NLe, noyau lenticulaire; Th, thalamus; NC, noyau caudé ; N'A, noyau amygdalicn; CA, commissure ant
érieur; NLe, noyau lenticulaire; Th, thalamus; NC, noyau caudé ; N'A, noyau amygdalicn; CA, commissure antérieure ; Thl, raci
partir de l'écorce de la circonvolution de l'hippocampe, en dehors du noyau amygdalien (NA), contourner la cavité du ventricu
nférieure du thalamus (ThI) est bien située en dessus et en dehors du noyau caudé (NCC); elle s'étend même, en dedans, au-des
iangulaire (fig. 102) est situé au-dessus et en dehors de la queue du noyau caudé (NCC), en dehors de la bandelette sous-opti
va surtout, presque en totalité, se jeter dans la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 98). On doit toutefois re
efois remarquer encore que s'il abandonne la plupart de ses fibres au noyau lenticulaire et à sa cloison externe, quelques-un
asse du pédoncule dans le centre ovale, entre la couche optique et le noyau lenticulaire. Lorsqu'on étudie le cerveau sur les
coupe intéresse, en même temps que la couche optique, les deux seuls noyaux externes du noyau lenticulaire, c'est-à-dire le p
n même temps que la couche optique, les deux seuls noyaux externes du noyau lenticulaire, c'est-à-dire le putamen (PUT) et le
au segment postérieur (fig. 100). Quand la coupe intéresse les trois noyaux (putamen, globus pallidus et globus medialis), le
rieur de la capsule ; CA, commissure antérieure, située derrière le noyau caudé, et juste au-devant de la section circulair
ure antérieure a disparu, la capsule est interposée non plus entre le noyau lenticulaire et la couche optique, mais entre le
plus entre le noyau lenticulaire et la couche optique, mais entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire. CE. La capsule
au lenticulaire et la couche optique, mais entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire. CE. La capsule externe (fig. 101)
ent jusqu'à la couronne rayonnante. RJNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 97). FCF. Le faisceau compact du fo
ujours limité par le faisceau le plus interne du pédoncule ou anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 104). Plus en avant, les
La corne sphénoïdale seule est intéressante. Limitée en haut par le noyau amygdalien (NA, fig. 107) dans une large étendue,
rt il résulte de la communication apparente de l'écorcc grise avec le noyau amygdalien (NA, fig. 105), ce fait que le ventric
te, juste au-dessous de la bandelette optique (BO, fig. 98). NA. Le noyau amygdalien, situé au-dessus du cul-de-sac antérie
e (BO, fig. 108) par la fente de Bichat. Par places, la séparation du noyau amygdalien et de la bandelette optique est inco
6). Sur certaines coupes, on voit courir obliquement dans l'aire du noyau amygdalien, des stries blanches, dirigées en haut
n, proviennent de la bandelette sous-optique (BSO). La situation du noyau amygdalien à l'extrémité la plus antérieure de la
n du noyau amygdalien à l'extrémité la plus antérieure de la queue du noyau caudé a pu faire admettre que ce gros ganglion ét
qu'il en soit ainsi; toutefois on ne saurait négliger ce fait que le noyau amygdalien est toujours séparé de l'extrémité de
le noyau amygdalien est toujours séparé de l'extrémité de la queue du noyau caudé par les fibres de la bandelette sous-optiqu
sous-optique (BSO, fig. 107, 108), et quelques fibres du taenia. Le noyau amygdalien forme une sorte de voûte à paroi épais
lamus (ThI, fig. 106, 107, 108). C'est sur la convexité supérieure du noyau amygdalien que s'applique la partie postérieure d
e de l'anse pédonculaire de Gratiolet (voy. plus loin, THI). NC. Le noyau caudé (fig. 106) commence à émettre les fibres le
iculo-caudées (LCF) qui vont se jeter dans les cloisons verticales du noyau lenticulaire et contribuer à la formation de l'an
tion de l'anse pédonculaire (voy. plus loin, ANC). NCP. La queue du noyau caudé (fig. 105, 104) réduite à une toute petite
nt (fig. 107, 108) cette bandelette se porte en dedans de la queue du noyau caudé, et, accompagnée du taenia (Tae, fig. 108),
, et, accompagnée du taenia (Tae, fig. 108), borde la face externe du noyau amygdalien, de façon à séparer ces deux noyaux.
orde la face externe du noyau amygdalien, de façon à séparer ces deux noyaux . PUT. Le putamen (fig. 103) présente encore à s
is (GLM) et se confondre, en apparence du moins, avec la convexité du noyau amygdalicn (NA, 106,107). Ce prolongement inférie
ussi fines que possible. Wernicke l'a appelé prolongement temporal du noyau lenticulaire (Schlàfcfortsatz des Linscnkerns). 1
tz des Linscnkerns). 11 s'enfonce de dehors en dedans, sous l'anse du noyau lenticulaire, et va rejoindre, en dedans et en av
ber cinereum. Nous décrirons plus tard ce prolongement sous le nom de noyau de l'anse, qui lui a déjà été attribué, et qui es
pallidus (fig. 108). GLM. Le globus medialis (fig. 108). Ces deux noyaux se distinguent maintenant très aisément, grâce à
'enfoncer dans la capsule interne (CI) sans entrer en contact avec le noyau lenticulaire; mais, encore plus en avant, il s'in
is. Les fibres des faisceaux capsulaires qui semblent ainsi éviter le noyau lenticulaire n'appartiennent probablement pas au
pas au faisceau pyramidal. Elles font partie du système de l'anse du noyau caudé, que nous étudierons ultérieurement. Il est
ans pouvoir leur assigner une localisation dans la capsule. NaC. Le noyau antérieur du thalamus, sur toutes les coupes de c
le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig 108, voy. plus loin). NcC. Au noyau externe du thalamus (fîg. 105, 106, 107), section
isceau de Yicq-d'Azyr (FVA). Ainsi les fibres corticales destinées au noyau externe du thalamus aboutissent à la partie inter
es au noyau externe du thalamus aboutissent à la partie interne de ce noyau . La partie externe, au contraire, est occupée par
à voir sur les pièces fraîches que sur les pièces durcies. Quant au noyau interne du thalamus, il est occupé, presque en to
pédoncule. 11 est adossé à la face supérieure et interne de l'anse du noyau lenticulaire (ANL). Presque toujours difficile à
égions; mais ceux-ci ne pénètrent que très rarement d'emblée dans les noyaux dont les masses grises se composent. La plupart d
e blanche. Après un parcours d'une longueur variable à la surface des noyaux , ils s*y enfoncent obliquement. Cette disposition
tcrpédonculaire, comme le ganglion intcrpédonculaire faisait suite au noyau rouge de la calotte. Elle vient jusqu'à la surfac
squ'à la surface; elle est située au-dessus et en dedans de l'anse du noyau lenticulaire (ANL), en dessous et en dedans du di
). Ces fibres venues de l'écorce s'cntrc-croiscnt dans l'intérieur du noyau avec les libres venues de la calotte et qui appar
(SG), en avant et en dehors du ganglion intcrpédonculaire. GAP. Le noyau de l'anse (fig. 107) sera étudié à l'occasion des
tubérance. Il est traversé obliquement par les faisceaux de l'anse du noyau lenticulaire (AjNL), qui vont se placer à sa part
rnes du pied, c'est-à-dire par le faisceau géniculé CFG) et l'anse du noyau lenticulaire (ANL). CEO. Le faisceau cérébello-
antérieure du pont de Varole (PV), c'est-à-dire en avant de l'anse du noyau lenticulaire (ANL). De cette façon, il est légiti
a partie la plus interne du pied du pédoncule, en dedans de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) ; MOG, nerf moteur oculaire co
pédonculaires, et que ces fibres, en partie recouvertes par l'anse du noyau lenti- Fl\ Le faisceau pyramidal (fig. 105, 106
les fibres les plus internes s'enfoncent dans la partie inférieure du noyau thalamiquc interne, dans l'angle rentrant du fais
A) et du faisceau rubro-thalamique (NL). NL. Les fibres externes du noyau rouge de Stilling, que nous avons vues émerger de
vues émerger de la région de la calotte à la partie antéro-externe du noyau rouge, glissent obliquement au-dessus du discus l
bus pallidus. sente seulement par le faisceau géniculé et l'anse du noyau lenticulaire (FG et ANL). On le voit se porter, n
mme sur les coupes précédentes, dans la capsule interne, mais dans le noyau lenticulaire qu'il aborde par son sommet. Sur la
e grise du globus media-lis, comme s'il avait dépassé le sommet de ce noyau (schéma 159). FG. Le faisceau géniculé, représe
aucoup plus loin que précédemment entre la couche optique (ThA) et le noyau lenticulaire GLM (fig. 108). En effet, à ce nivea
era ce fait plus nettement sur les coupes suivantes. ANL. L'anse du noyau lenticulaire se porte en bas vers l'espace perfor
s lentiformis. Nous verrons plus loin quel est le trajet de l'anse du noyau lenticulaire, lorsqu'elle quitte le pédoncule cér
ire, lorsqu'elle quitte le pédoncule cérébral pour s'insinuer sous le noyau lenticulaire du corps strié. MF. Le faisceau ca
re du discus lentiformis et même à travers la partie supérieure de ce noyau , vont former dans la capsule interne la couche la
verse donc la capsule de dedans en dehors, et, parvenu ainsi jusqu'au noyau lenticulaire, il se divise en deux groupes de fib
les on reconnaît la lame médullaire externe du thalamus (LML). NLe, noyau lenticulaire; CL, claustrum ; CE, capsule ext
e, noyau lenticulaire; CL, claustrum ; CE, capsule externe; NC, noyau caudé ; NCC, queue du noyau caudé; ES. faisce
laustrum ; CE, capsule externe; NC, noyau caudé ; NCC, queue du noyau caudé; ES. faisceau sensitif interne. conlinu
); les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur ne traversant pas le noyau rouge (Pcs); le faisceau rubro-thalamiquc (NL);
ventricule moyen; Tes, pédoncule cérébelleux supérieur traversant le noyau de la calotte après s'être entre-croisé sur la li
ec le pédoncule cérébelleux du côté opposé ; Tli, couche optique; NC, noyau caudé; NCC, queue du noyau caudé; NLe, noyau lent
du côté opposé ; Tli, couche optique; NC, noyau caudé; NCC, queue du noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; ThA, racine antér
Tli, couche optique; NC, noyau caudé; NCC, queue du noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; ThA, racine antérieure du thalamus;
térieure du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau rouge de la calotte (faisceau rubro-thalamique) ;
ire. De cette façon, la couche optique pourra être envisagée comme un noyau presque absolument isolé par des faisceaux de sub
rise centrale (SG) que par un isthme de substance grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte. Les faisceaux que nous avo
couche optique, exclusivement dans l'étendue de la face externe de ce noyau qui correspond au segment postérieur de la capsul
les fibres capsulaires se portent dans le segment antérieur, entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (NL). Ces fib
se portent dans le segment antérieur, entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (NL). Ces fibres sont précisément ce
frontale; elles se jettent et se terminent dans la substance grise du noyau externe de la couche optique (NeC, fig. 107) ; à
ette sous-optique (fig. 103, 104) immédiatement accolée à la queue du noyau caudé situé au-dessous d'elle, est un faisceau bi
stingue des stries blanches verticales. Ces stries convergent vers le noyau caudé (NCC). Elles font partie de la bandelette s
nné, de haut en bas, pour envelopper la partie externe de la queue du noyau caudé. A mesure que ce dernier noyau diminue de v
la partie externe de la queue du noyau caudé. A mesure que ce dernier noyau diminue de volume et de consistance, elles le pén
en avant, envelopper de la même façon la convexité antéro-externe du noyau amygdalien (NA, fig. 107), et nous les y voyons s
du ventricule sphénoïdal, plus loin même, puisqu'elles recouvrent le noyau amygdalien (comme un stratum zonale profond) avan
re ces fibres; les coupes en question passent trop en arrière dans le noyau amygdalien pour les intéresser. Mais, plus on ava
es intéresser. Mais, plus on avance vers l'extrémité antérieure de ce noyau , plus elles deviennent évidentes. Nous les retrou
talent sur la voûte du ventricule sphénoïdal, à la face inférieure du noyau amygdalien. Tae. Le taenia semi-circularis (fig
Tae. Le taenia semi-circularis (fig. 108), situé entre la queue du noyau caudé et le noyau amygdalien, s'épuise dans ce de
semi-circularis (fig. 108), situé entre la queue du noyau caudé et le noyau amygdalien, s'épuise dans ce dernier noyau de deh
queue du noyau caudé et le noyau amygdalien, s'épuise dans ce dernier noyau de dehors en dedans. Mais il a ici une trop grand
dal. avec la bandelette sous-optique (BSO). Celle-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa partie supérieure. La partie
noyau amygdalien (NA) à sa partie supérieure. La partie inférieure du noyau amygdalien (NA) est au contraire enveloppée par l
ricule de la cloison; TRI, trigone cérébral ; ce, corps calleux ; NC, noyau caudé ; PUT, putamen; NA, noyau amygdalien; TM, t
ne cérébral ; ce, corps calleux ; NC, noyau caudé ; PUT, putamen; NA, noyau amygdalien; TM, tubercule mamillaire; DF, pilier
e inférieure du thalamus, provenant de la convexité antéro-interne du noyau amygdalien,décrivant une courbe au-dessous du ven
a substance grise du les deux suivantes (107, 108) la profondeur du noyau interne du troisième ventricule. Dorénavant nou
à gauche, passent sous la racine antérieure du thalamus, puis sous le noyau lenticulaire; jusque-là elles forment un faisceau
a lenticulo-striée) successivement sous les deux premiers segments du noyau lenticulaire et sous l'interstice du putamen et d
'interstice du putamen et du globus pallidus. Arrivée au voisinage du noyau amygdalien, qui est placé en dedans et au-dessous
ous-optique et à la racine inférieure du thalamus qui les séparent du noyau amygdalien, pénètrent avec ces deux derniers fais
endre à la voir se condenser immédiatement sous la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE), fig. 106). C'est seulement su
gment inférieur de la capsule interne (fig. 103, 108), étendu sous le noyau lenticulaire, fait suite, en avant, au faisceau s
le interne (fig. 106) s'étale à la face interne des trois articles du noyau lenticulaire (PUT, CLP, GLM); elle contient les f
raître l'ensemble de ces fibres qui sont en étroite connexion avec le noyau caudé (NC, fig. 106) et que nous avons appelées f
ement dite. Elles émergent de la profondeur ce, corps calleux ; NC, noyau caudé ; Tlil, thalamus ; PUT, putamen ; CL, claus
u [lied du pédoncule (PP), sans traverser le novau lenticulaire. du noyau caudé (NC, fig. 106), sortent de ce noyau par sa
le novau lenticulaire. du noyau caudé (NC, fig. 106), sortent de ce noyau par sa face inférieure, et, de cette façon, le fo
a capsule, avec les fibres du faisceau géniculé (FGr) et de l'anse du noyau lenticulaire (ANL). De là, elles gagnent le bord
iculo-caudées qui forment en grande partie les cloisons verticales du noyau lenticulaire, du moins dans la région antérieure
cales du noyau lenticulaire, du moins dans la région antérieure de ce noyau . Elles ne semblent pourtant pas en connexion dire
à celles de l'expansion capsulaire du pédoncule, dans le voisinage du noyau lenticulaire), car la coloration des unes et des
surface interne; ce sont ces dernières qui vont s'ajouter à l'anse du noyau lenticulaire, vers la pointe du globus medialis.
udées (LCF), une fois qu'elles ont pénétré dans la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE), se dirigent de dedans en deho
res d'origine, sortant du putamen pour passer au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire avec les fibres lenticulo-caudées, e
ment de la même façon que nous avons vu certaines fibres d'origine du noyau caudé se joindre à l'anse du noyau lenticulaire,
s vu certaines fibres d'origine du noyau caudé se joindre à l'anse du noyau lenticulaire, sans traverser ce dernier noyau. D'
se joindre à l'anse du noyau lenticulaire, sans traverser ce dernier noyau . D'ailleurs le putamen et le noyau caudé ne sont,
culaire, sans traverser ce dernier noyau. D'ailleurs le putamen et le noyau caudé ne sont, en réalité, qu'un seul et même noy
le putamen et le noyau caudé ne sont, en réalité, qu'un seul et même noyau , ininterrompu, creusé seulement, à sa partie supé
capsule interne. Il est donc absolument logique d'admettre que si le noyau caudé envoie au faisceau de l'anse des fibres q
dé envoie au faisceau de l'anse des fibres qui ne traversent pas le noyau lenticulaire, il en doit être de même du putamen
e, il en doit être de même du putamen qui n'est qu'un prolongement du noyau caudé. Sections vertico-transversales de la cap
des fibres len-tieulo-eaudées (LCF), avec les cloisons verticales du noyau lenticulaire (MLE, MLI). NC, noyau caudé ; Tb
avec les cloisons verticales du noyau lenticulaire (MLE, MLI). NC, noyau caudé ; Tb, couche optique ; PUT, putamen ;
noyau caudé ; Tb, couche optique ; PUT, putamen ; ANL, anse du noyau lenticulaire. Dans l'hypothèse du schéma 167, l
libres lenticule - caudées pénètrent dans les cloisons verticales du noyau lenticulaire (MLE, MLI), et s'enfoncent dans le p
de l'anse (ANL), qui ne traversent pas les deux segments internes du noyau lenticulaire. CE. La capsule externe (fig. 106)
la substance grise dans une petite masse ganglionnaire qu'on appelle noyau postéro-externe du tubercule mamillaire. Ce faisc
la coupe suivante (fig. 109), emprunte aussi des fibres nombreuses au noyau fondamental ou antéro-interne du tubercule1. DF
and nombre encore forment la capsule ou pénètrent directement dans le noyau antéro-interne du tubercule mamillaire. 1. Rapp
rcule mamillaire, apparaît le pied du pédoncule, occupé par l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 110, 111, 115); accolée à
du noyau lenticulaire (ANL, fig. 110, 111, 115); accolée à l'anse du noyau lenticulaire, la bandelette optique (BO, fig. 112
lus vaste. La moitié externe de sa paroi inférieure est formée par le noyau caudé (NC, fig. 114), et la moitié interne par l'
FLI); sa paroi supérieure n'est autre chose que la face inférieure du noyau amygdalien (NA, 111, 112, 115, 114). Lorsque cett
leur extrémité antérieure, dans le cul-de-sac ventriculaire. NA. Le noyau amygdalien, d'abord volumineux (109, 110, 111, 11
du tapetum et du faisceau longitudinal inférieur. Dans l'étendue du noyau amygdalien, on reconnaît sur le fond de la substa
ces fibres appartiennent à la bandelette sous-optique (BSO). NC. Le noyau caudé (fig. 114). NCC. La queue du noyau caudé
us-optique (BSO). NC. Le noyau caudé (fig. 114). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 109), à peine reconnais-sable, se per
(fig. 111, 112) sont sectionnés ici au niveau du diamètre maximum du noyau lenticulaire. C'est à ce niveau que les deux cloi
de gagner le pied du pédoncule, en dehors et au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire. NaC. Le noyau antérieur du thalam
e, en dehors et au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire. NaC. Le noyau antérieur du thalamus (fig. 109, 110, 112,113) re
Vicq-d'Azyr (FVA, fig. 109) par sa face inférieure; il est séparé du noyau externe par le stratum zonale (ZS, fig. 110) dont
'Azyr, pour lui constituer une sorte de capsule. Sur la coupe 114, le noyau antérieur n'existe plus; et à partir de ce point
mus tout entier change d'aspect : nous allons dire comment. NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. 110) est toujours celui
Le noyau externe du thalamus (fig. 110) est toujours celui des trois noyaux de la couche optique dont les limites sont le plu
ble paroi, concave en dedans, depuis le tubercule mamillaire jusqu'au noyau antérieur du thalamus. Au voisinage de l'extrémit
amus. Au voisinage de l'extrémité antérieure de la couche optique, le noyau externe est rempli, en quelque sorte, par la mass
L, fig. 112); toutes ces fibres s'entre-croisent dans la substance du noyau externe, de telle façon que la lame médullaire in
l n'est plus possible de reconnaître, isolément, ce qui appartient au noyau interne; celui-ci, du reste, est.également comb
bercule mamillaire (TM). Elle est toujours intercalée entre l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 109, 111) et le discus le
boucle du pilier attendu qu'il n'est blanc qu'à la surface; c'est un noyau gris, adhérent à la grande masse basilaire. D'a
Lenhos-sek), chaque tubercule mamillaire se composerait même de deux noyaux , un interne et antérieur (schéma 171, 4), et un e
2, pilier antérieur du trigone; 5, 5, substance grise basilaire; i, noyau interne et antérieur du tubercule mamillaire; 5
asilaire; i, noyau interne et antérieur du tubercule mamillaire; 5, noyau externe et postérieur du tubercule mamillaire ;
terminant dans la région antérieure de la calotte; — 12, faisceau du noyau externe se continuant avec la couche de Reil;— 13
antérieur du tubercule mamillaire. Schéma 171. postérieur (5). Le noyau interne recevrait une faible partie seulement des
te : La plus grande masse du faisceau de Vicq-d'Azyr (9) sortirait du noyau antérieur et interne. Du même noyau partirait un
u de Vicq-d'Azyr (9) sortirait du noyau antérieur et interne. Du même noyau partirait un petit faisceau dirigé d'avant en arr
rcule mamillaire (pedunculus anterior corporis mamillaris). GAP. Le noyau de l'anse pédonculaire (fig. 111, 112, 114). — Av
nculaire (fig. 111, 112, 114). — Avant de donner la description de ce noyau , il est indispensable de dire qu'il appartient à
omposent de deux plans superposés et séparés l'un de l'autre par le noyau de Vanse; or les fibres de ces deux plans ont des
foré antérieur; ANE, situation et étendue approximatives de l'anse du noyau lenticulaire; Tbl, situation et étendue approxima
n et étendue approximatives de la racine inférieure du thalamus; GAP, noyau de l'anse, étalé entre ces deux couches de l'anse
. thalamus ; les fibres du plan supérieur appartiennent à l'anse du noyau lenticulaire (ANL, schéma 172). C'est à Meynert q
une très faible partie de leur surface. La lame supérieure ou anse du noyau lenticulaire (ANL) appartient à la région du pédo
deux couches secondaires. La lame blanche supérieure (ANL) ou anse du noyau lenticulaire vient des cloisons du noyau lenticul
supérieure (ANL) ou anse du noyau lenticulaire vient des cloisons du noyau lenticulaire où elle suit d'abord un trajet desce
bus pallidus (GLP) et du globus medialis (GLM). Arrivée sous ces deux noyaux , elle se porte en dedans et en arrière; elle est
i adhère à la face supérieure du crochet de l'hippocampe (Une). — NC, noyau caude. la même épaisseur : le maximum répond ex
Puis on a réservé ce nom à la couche grise intermédiaire à l'anse du noyau lenticulaire et à la racine inférieure du thalamu
imètre d'épaisseur, et s'insinue de dedans en dehors, entre l'anse du noyau lenticulaire, située au-dessus, et la racine infé
artie postérieure, ne repose pas sur les fibres blanches de l'anse du noyau lenticulaire. Il se recourbe de dehors en dedans
lé formant le bord le plus interne du pied du pédoncule; ANL, anse du noyau lenticulaire; PUT, putamen, segment externe du no
le; ANL, anse du noyau lenticulaire; PUT, putamen, segment externe du noyau lenticulaire. En dehors du noyau lenticulaire exi
re; PUT, putamen, segment externe du noyau lenticulaire. En dehors du noyau lenticulaire existe une cavité flssuraire qui sép
hors du noyau lenticulaire existe une cavité flssuraire qui sépare ce noyau de la capsule externe; CE, capsule externe; CA, c
— Le putamen se prolonge en bas et en dedans, au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire (ANL). Ce prolongement, qui atteint
re (ANL). Ce prolongement, qui atteint le tuber cinereum (TC), est le noyau de l'anse. s'agit pas en effet à\mplan, au sens
nse. s'agit pas en effet à\mplan, au sens géométrique de ce mot. Le noyau de l'anse, comme toutes les couches de la base du
l va se confondre insensiblement avec la partie la plus inférieure du noyau caudé. Lorsque, toujours sous-jacent à la commi
sur la coupe 107 de la planche précédente s'est épuisé, soit dans le noyau lenticulaire (où il pénètre de dedans en dehors),
onfond en partie, dans la région interne du pédoncule, avec l'anse du noyau lenticulaire (ANL). Ce qui les différenciait, c'é
ter d'une manière évidente (fig. 113). Le faisceau géniculé aborde le noyau lenticulaire et la capsule de bas en haut et de d
a capsule de bas en haut et de dedans en dehors, tandis que l'anse du noyau lenticulaire remonte en dedans et d'arrière en av
nt, sous le faisceau capsulaire (MF, fig. 113, 114). ANL. L'anse du noyau lenticulaire (109, 110, 111, 112, 113, 114) devie
la face externe du faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, NaC, tubercule ou noyau antérieur du thalamus; NeC, tubercule externe;
e se divise en deux faisceaux : un externe (ThA') qui se perd dans le noyau externe, un interne (ThA") qui contribue à former
ui contribue à former le stratum zonale de la couche optique entre le noyau antérieur et le noyau interne ; il s'entre-croise
le stratum zonale de la couche optique entre le noyau antérieur et le noyau interne ; il s'entre-croise avec les libres termi
9). Elle occupe une bonne partie de la hauteur de ce faisceau dans le noyau externe du thalamus (NeC, fig. 110). Plus en avan
dans la capsule interne, où il longe la face interne et antérieure du noyau lenticulaire. Il va donc de dedans en dehors et d
s le tubercule mamil-laire (TM) font suite à la capsule blanche de ce noyau . Sur la fig. 115 un tout petit faisceau ramifié (
anglion, et particulièrement au stratum zonale qui s'insinue entre le noyau externe du thalamus (NeC) et le corpus album subr
ndum (NaC). BSO. La bandelette sous-optique a contourné la queue du noyau caudé de façon à être située maintenant (fig. 109
9) à la partie supérieure et externe de ce ganglion. Puis, lorsque le noyau caudé a disparu (fig. 110), elle se place à la pa
te sous-optique (BSO) au niveau de son épanouissement à la surface du noyau amygdalien (NA). VS, le ventricule sphenoidal l
112, 115), alors que la fente vcntriculaire a disparu, les limites du noyau amygdalien restent toujours très précises. Il s'a
tudinal inférieur (FLI, fig. 112, 113). Au-dessus de cette lamelle le noyau amygdalien a une coloration plus foncée. C'est là
antérieure (CA) et de la racine inférieure du thalamus (ThI), avec le noyau amygdalien (NA), sur une coupe vertico - transver
le noyau amygdalien (NA), sur une coupe vertico - transversale. je noyau amygdalien est situé dans la profondeur de la cir
e l'hippocampe (Hip). se diriger en haut et en dedans, au-dessus du noyau amygdalien, vers la bandelette optique (BO), mais
ont, dans cette partie de leur trajet, séparées des trois segments du noyau lenticulaire par la substance grise de Vanse (GAP
e (CA, 114) sortir de la gouttière que celle-ci s'est creusée sous le noyau lenticulaire. Les fibres de la commissure antérie
plus, elles s'incurvent de la même façon en bas et en dehors vers le noyau amygdalien, de telle sorte que la commissure anté
e inférieure du thalamus (ThI), comme celle-ci en forme une autour du noyau amygdalien (NA). CA. La commissure antérieure (
s de le dire, dans une gouttière sous-jacente à la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 110); mais elle franchit
ce supérieure de cette bande ganglionnaire, — que nous savons être le noyau de l'anse lenticulaire (GAP, fig. 114). Dans cett
rieur qui contient une partie des fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). TRI. Le trigone cérébral (fig. 114
en proprement dit, mais aussi dans la substance grise qui prolonge ce noyau vers la région basilaire et que nous avons appris
basilaire et que nous avons appris à connaître sous la désignation de noyau de l'anse pédonculaire (GAP, fig. 111, 112, 114).
toujours sous-jacente au putamen; et lorsque le putamen rejoindra le noyau caudé, elle passera encore sous le noyau caudé, t
sque le putamen rejoindra le noyau caudé, elle passera encore sous le noyau caudé, toujours au devant de la commissure antéri
les qui lui viennent du rostrum au devant et au-dessous de la tête du noyau caudé, à travers la moelle du lobe frontal. FU.
u faisceau sensitif externe (FSe) arrivant à la partie postérieure du noyau lenticulaire (NLe) et s'entre-croisant avec les f
antérieures du faisceau diffus du fornix (FDF). connexion avec les noyaux centraux. Il est dirigé d'arrière en avant, au-de
frontale, la capsule externe est elle-même sous-jacente à la tête du noyau caudé (NC). direction antéro-postérieure, qui e
le interne. Elles émergent ici en très grande abondance de la tête du noyau caudé. Dans l'intérieur de ce noyau elles sont mo
ès grande abondance de la tête du noyau caudé. Dans l'intérieur de ce noyau elles sont momentanément parallèles aux fibres de
sont momentanément parallèles aux fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 112, 114). RNC. La couronne ra
du noyau caudé (RNC, fig. 112, 114). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé est l'ensemble des fibres qui partent de la
udé est l'ensemble des fibres qui partent de la face inférieure de ce noyau , en dehors des fibres lenticulo-caudées, et qui s
r la face inférieure du corps calleux. Substance grise. . NaC. Le noyau antérieur du thalamus (fig. 115) n'existe plus en
sur sa convexité antérieure (Tae, fig. 117, 118, 119, 120). Quant aux noyaux externe et interne, les coupes passent devant eux
t eux. PUT. Le putamen (fig. 117, 118, 120), aussitôt après que les noyaux externe et interne ont disparu, augmente considér
parce qu'il émet en quantité des fibres (LCf, fig. 118) destinées au noyau caudé. Son bord inférieur s'allonge en dedans ver
ge en dedans vers le tuber cinereum (TC, fig. 120); il forme ainsi le noyau de l'anse (GAP, 120) et est croisé par la commiss
nce, se réfléchissent d'avant en arrière, pour se joindre à l'anse du noyau lenticulaire (ANL). GLM. Le globus medialis (fi
térieure, atteint son diamètre maximum. Il est traversé par l'anse du noyau lenticulaire, obliquement de haut en bas et d'ava
incomplètement par les fibres les plus internes de l'anse. GAP. Le noyau de l'anse (fig. 117, 118, 119, 120) établit une d
). Sur la coupe 116 il est, en quelque sorte, enveloppé par l'anse du noyau lenticulaire (ANL), qui est sectionnée en deux en
sante les rapports un peu compliqués dont il s'agit. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 115) est un faisceau de f
s. Mais, vers l'extrémité interne ou sommet de ce ganglion, l'anse du noyau lenticulaire change de direction. Elle se porte e
faisceau longitudinal postérieur; FG, faisceau géniculé; ANL, anse du noyau lenticulaire. sait qu'ils se perdent dans la ca
racine antérieure de la couche optique sur une coupe horizontale. NC, noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; Th, couche optiqu
de la couche optique sur une coupe horizontale. NC, noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; Th, couche optique ; CI, capsule
mble une grande masse fibreuse interposée entre les trois segments du noyau lenticulaire, d'une part, et le noyau caudé, d'au
sée entre les trois segments du noyau lenticulaire, d'une part, et le noyau caudé, d'autre part. En haut et en dehors, cette
ique (fig. 115) passe obliquement en avant et en dedans, au-dessus du noyau amygdalien (NA), qu'elle sépare de la substance g
elle (fig. 117), entre la substance grise de l'hippocampe (Hip) et le noyau amygdalien (NA). Puis le noyau amygdalien dispara
ance grise de l'hippocampe (Hip) et le noyau amygdalien (NA). Puis le noyau amygdalien disparaît, c'est-à-dire que la coupe p
s branches de l'artère lenticulo-striées sont coupées obliquement. Le noyau de l'anse lenticulaire (GAP), sur cette figure, n
t, en dehors du pilier descendant de la voûte (DF) et pénètre dans le noyau interne de la couche optique. Nous savons que ses
de son origine) dans la région antérieure de la couche optique. NC, noyau caudé ; NaC, tubercule antérieur du thalamus (cor
e-ci franchit le prolongement spliénoïdal (GAP) du putamen (PUT). NA, noyau amygdalien; ThI, racine inférieure du thalamus, e
tatera que la couche la plus inférieure du corps calleux contourne le noyau caudé et l'aborde par sa face inférieure ou son b
ns, et enveloppant ces fibres du corps calleux (RNC) qui vont sous le noyau caudé. Leur désignation est la même, RNC : elles
s sont en effet, elles aussi, des fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé. Seulement, au lieu de réunir le noyau caud
a couronne rayonnante du noyau caudé. Seulement, au lieu de réunir le noyau caudé, à travers le corps calleux, au noyau caudé
ent, au lieu de réunir le noyau caudé, à travers le corps calleux, au noyau caudé du côté opposé, elles vont d'arrière en ava
ompte assez facilement de ces connexions de la couronne rayonnante du noyau caudé. Il fallait les signaler ici à l'occasion d
des parties homologues de l'écorce. Mais l'écorce, à vrai dire, et le noyau caudé sont un seul et même système; leur développ
moses commissurales ne restent pas cantonnées au niveau de la tête du noyau caudé ; elles s'étendent sur toute la longueur de
orte, par Coupe vertico - transversale dans la région antérieure du noyau caudé (NC). ce, corps calleux ; TRI, trigone céré
trigone cérébral ; Th, couche optique ; R.NC, couronne rayonnante du noyau caudé dont les libres, d'abord transversales (et
pourra considérer le tapetum (TAP), situé en dehors et au-dessous du noyau caudé, comme destiné à la région la plus postérie
s du noyau caudé, comme destiné à la région la plus postérieure de ce noyau , peut-être môme à sa portion réfléchie sous le ve
ns sur les coupes de la planche suivante. On remarquera, en dedans du noyau caudé, la lumière vasculaire qui interrompt la co
ortent aussi en plus grande abondance dans les cloisons verticales du noyau lenticulaire. Sur la coupe 117 on les voit conver
ère coupe, la cloison interne se continuer directement avec l'anse du noyau lenticulaire (ANL) sous le globus medialis (GLM).
(ANL) sous le globus medialis (GLM). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 118, 119), mêlée aux fibres lenticulo
assent en avant du lobule de l'hippocampe, par conséquent en avant du noyau amygdalien qui a disparu depuis les coupes 117 et
a différence de direction de ses fibres, se termine en haut, entre le noyau caudé et la couche optique. Elle forme ici le fai
rsales de l'alveus et du tapetum (TAP, fig. 115, 116) étalées sous le noyau amygdalien (NA). En tout cas le faisceau longitud
tout cas le faisceau longitudinal inférieur n'a aucun rapport avec le noyau amygdalien : il se termine et s'épuise complèteme
23). Cavité ventriculaire. La corne frontale aplatie au-dessus du noyau caudé (NC, fig. 125) augmente de hauteur dans son
rrons que cette masse de substance grise n'est que le prolongement du noyau caudé vers la base de l'encéphale. Substance gr
u noyau caudé vers la base de l'encéphale. Substance grise NC. Le noyau caudé (fig. 125), en avant de l'extrémité antérie
fig. 121, 122, 123, 125) se rapproche de la ligne médiane et aussi du noyau caudé (NC, fig. 125). L'intervalle de ces deux no
iane et aussi du noyau caudé (NC, fig. 125). L'intervalle de ces deux noyaux diminue très rapidement; le segment antérieur de
nt en arrière par les fibres de l'anse, les deux segments internes du noyau lenticulaire semblent confondus dans la teinte un
t du globus pallidus, gagner la face inférieure du putamen. GAP. Le noyau de l'anse (fig. 121) s'amincit en avant; il forme
m (fig. 125) est le prolongement inférieur et antérieur de la tête du noyau caudé(NC), qui se relève dans l'épaisseur du sept
Il n'existe aucune démarcation entre la substance grise de la tête du noyau caudé et celle du septum. La petite strie blanche
postérieur de l'insula : il était donc tout naturel d'admettre que ce noyau gris, disposé comme une cloison verticale au vois
dre cette origine il faut se reporter à la coupe 121. Au-dessous du noyau de l'anse (GAP), à la partie la plus externe de l
L'isthme gris fronto-sphénoïdal est immédiatement situé au devant du noyau amygdalicn, puisqu'il fait suite à l'écorce du lo
fait suite à l'écorce du lobule de l'hippocampe; et l'on sait que le noyau amygdalien est logé profondément dans le lobule d
lobule de l'hippocampe. Mais il ne s'ensuit pas que l'avant-mur et le noyau amygdalien aient entre eux le moindre rapport. Me
t que l'extrémité inférieure de l'avant-mur entre en relation avec le noyau amygdalien. Il suffit d'examiner les coupes horiz
miner les coupes horizontales de la planche XLI pour s'assurer que le noyau amygdalien est séparé de l'avant-mur par la capsu
ns que tout semble démontrer que l'avant-mur est à l'insula ce que le noyau caudé est au reste de l'écorce. D'ailleurs l'insu
ation avec le putamen; et il n'en a probablement que fort peu avec le noyau caudé. Le rôle du claustrum vis-à-vis de l'insula
nt au rostrum du corps calleux; il est encore, en cela, comparable au noyau caudé dont les anastomoses coinmissurales avec so
se font par la couche inférieure du corps calleux. Enfin, comme le noyau caudé et le putamen, le claustrum reçoit des fibr
(fig. 125, 126), voy. FSL, SG, Substance blanche. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (fig. 121, 122, 125, 124) se confond
difficile l'étude de ce faisceau Coupe verticale montrant l'anse du noyau lenticulaire (ANL) serrant de près le globus medi
roprement dite, ou portion recourbée du faisceau, serre de si près le noyau lenticulaire au niveau du globus medialis, que ce
bus medialis (GLM), on ne voit plus que les deux segments externes du noyau lenticulaire, et à la place du globus medialis on
haut correspond à la portion la plus antérieure de l'arc. L'anse du noyau lenticulaire est sus-jacente à la commissure anté
de ce dernier faisceau, qui est en rapport avec la face inférieure du noyau lenticulaire. ANC. L'anse du noyau caudé (fig.
pport avec la face inférieure du noyau lenticulaire. ANC. L'anse du noyau caudé (fig. 122, 125,124) est une lamelle Proje
. 122, 125,124) est une lamelle Projection horizontale de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et de l'anse du noyau caudé
ion horizontale de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et de l'anse du noyau caudé de fibres blanches étalée au-dessous de l
dé de fibres blanches étalée au-dessous de la portion antérieure du noyau caudé, comme l'anse du noyau lenticulaire est une
e au-dessous de la portion antérieure du noyau caudé, comme l'anse du noyau lenticulaire est une lame de fibres (ANC). Ces
rié (NC), sont indiquées par des lignes ponctuées au-dessous des deux noyaux . Elles convergent vers le sommet du globus medial
noyaux. Elles convergent vers le sommet du globus medialis (GLM). Le noyau caudé (NC) se prolonge avec sa portion caudale (N
LP, globus pallidus. blanches, étalée horizontalement au-dessous du noyau lenticulaire. Seulement, tandis que l'anse du noy
ent au-dessous du noyau lenticulaire. Seulement, tandis que l'anse du noyau lenticulaire est dirigée de dehors en dedans, l'a
anse du noyau lenticulaire est dirigée de dehors en dedans, l'anse du noyau caudé est dirigée d'avant en arrière. Les fibres
lles se confondent toutefois, au-dessous de la masse grise commune au noyau lenticulaire et au noyau caudé ; ces deux masses
ois, au-dessous de la masse grise commune au noyau lenticulaire et au noyau caudé ; ces deux masses n'en faisant en réalité q
horizontale. On sait que la majeure partie des fibres de l'anse du noyau lenticulaire proviennent des deux cloisons vertic
du noyau lenticulaire proviennent des deux cloisons verticales de ce noyau (MLE, MLI). Mais elles ne prennent pas naissance
u'y passer ; elles ont leur origine réelle dans les segments mêmes du noyau lenticulaire. De la même façon, les fibres de l'a
êmes du noyau lenticulaire. De la même façon, les fibres de l'anse du noyau caudé sont fournies par la substance grise de la
nse du noyau caudé sont fournies par la substance grise de la tête du noyau caudé, dans la région inférieure de ce centre, qu
capsule externe ne renferme donc pas de fibres destinées à l'anse du noyau lenticulaire ; et comme la tête du noyau caudé n'
fibres destinées à l'anse du noyau lenticulaire ; et comme la tête du noyau caudé n'est que le prolongement antérieur du puta
ur du putamen, il serait inexact d'admettre que la face inférieure du noyau caudé fournit des fibres à l'anse. Le noyau caudé
que la face inférieure du noyau caudé fournit des fibres à l'anse. Le noyau caudé, jusqu'à son extrémité antérieure, est limi
en bas par la capsule externe ; et s'il envoie des fibres à l'anse du noyau lenticulaire, sous la forme d'une lamelle blanche
armi les faisceaux de la capsule interne. De là résulte que l'anse du noyau caudé n'est visible dans les plans vertico-trans-
4), c'est-à-dire seulement au niveau de sa convergence avec l'anse du noyau lenticulaire. Nous n'aurons plus, en étudiant les
oupes de la planche suivante, qu'à indiquer la situation de l'anse du noyau caudé, mais sans pouvoir la montrer à l'état de f
n dehors; cela tient à ce que les fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RISC, fig. 121 et 122) la traversent de pa
s de dedans en dehors ; outre les fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé, il faut signaler aussi les fibres lcnticul
ptum lucidum est constitué par une masse grise (GSL), prolongement du noyau caudé qui remonte avec le pilier de la voûte vers
bres les plus antérieures du taenia (fig. 121), parvenues en avant du noyau antérieur de la couche optique (qui n'est plus vi
nous avons vu le taenia pénétrer d'emblée dans le thalamus, entre le noyau antérieur et le noyau interne. D'ailleurs il suff
ia pénétrer d'emblée dans le thalamus, entre le noyau antérieur et le noyau interne. D'ailleurs il suffit de jeter les yeux s
eures du taenia quittent le stratum zonale (ZS) pour pénétrer dans le noyau interne de la couche optique et se mêler aux fibr
sée à la racine olfactive externe (OLE), passe en dedans de l'anse du noyau caudé (ANC, fig. 125 et 124), et, devenant brusqu
emporal en passant derrière l'espace perforé ; elle s'insinue sous le noyau amygdalien (NA), au point de jonction de la circo
, quand on la retrouve presque tout entière, épanouie à la surface du noyau amygdalien, dont la sépare seulement la racine in
elle devient lamellaire à la partie interne, inférieure et externe du noyau amygdalien. De là, en apparence, la complication
de son trajet en fera cheval. Elle se place entre la face externe du noyau caudé (NC) dont on a représenté ici la base, et l
périeure et externe, renferme les fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 122); à sa partie moyenne les fi
fig. 122) se confondent insensiblement avec la couronne rayonnante du noyau caudé, en haut et en dehors (RNC). Au contraire
ure du thalamus (ThA), qui se portent en avant et en dehors, entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (CLP, fîg. 12
qui se portent en avant et en dehors, entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (CLP, fîg. 125). Or il est facile de
tha-lamique antérieure (ThA, fig. 125), proviennent non-seulement du noyau caudé (NC), mais aussi d'une région intermédiaire
t du noyau caudé (NC), mais aussi d'une région intermédiaire entre le noyau caudé (NC) et le pilier descendant de la voûte (D
m lucidum. Nous savons qu'elle fait partie intégrante de la tête du noyau caudé; qu'elle n'est, en quelque sorte, que la ré
du noyau caudé; qu'elle n'est, en quelque sorte, que la réflexion du noyau caudé sur la face externe du septum lucidum. Elle
dé sur la face externe du septum lucidum. Elle fournit donc, comme le noyau caudé lui-môme, des fibres au faisceau lenticulo-
caudées, il en est qui gagnent le pied du pédoncule sans traverser le noyau lenticulaire. Celles qui émergent de la substance
. Il est aisé de constater, d'ailleurs, qu'elles rejoignent l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 124) au moment où celle-c
sse d'avant en arrière en dedans du globus mcdialis. ANC. L'anse du noyau caudé (fig. 122, 125) représente donc, au-dessous
L'anse du noyau caudé (fig. 122, 125) représente donc, au-dessous du noyau caudé, l'anse de fibres blanches qui fait suite à
du noyau caudé, l'anse de fibres blanches qui fait suite à l'anse du noyau lenticulaire (ANL, 122) au-dessous de la racine a
lle traverse en partie la racine antérieure du thalamus. Elle sort du noyau caudé et de la substance grise du septum, immédia
térieures du taenia (Tse, fig. 126). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 121), limitée en dehors par le claust
putainen (PUT), se moule sur la convexité inférieure et externe de ce noyau ; elle s'étend transversalement au-dessous de lui
as jusqu'à la surface de l'espace perforé; elle en est séparée par le noyau de l'anse (GAP). Celui-ci est réduit à une minceu
par la face inférieure du corps calleux ; la paroi inférieure par le noyau caudé (NC), et la paroi interne par le septum luc
) et la face supérieure du rostrum (ROS). Substance grise. NC. Le noyau caudé (fig. 128, 129, 130 et suiv.), après avoir
PUT. Le putamen (fig. 127, 128) se rapproche toujours davantage du noyau caudé (NC), avec lequel il se fusionne en bas et
pratiquées d'arrière en avant, le putamen disparaît toujours avant le noyau caudé; c'est ce qu'on observe sur les coupes 131
au caudé; c'est ce qu'on observe sur les coupes 131 et 152. GAP. Le noyau de l'anse (fig. 127), sous-jacent au putamen (PUT
yau de l'anse (fig. 127), sous-jacent au putamen (PUT) et à l'anse du noyau lenticulaire (ANL, 127, 128) se continue ici, en
ît, remplacé par l'écorce du tubercule de jonction (TJ, fig. 150), ce noyau de l'anse se confond définitivement avec le noyau
(TJ, fig. 150), ce noyau de l'anse se confond définitivement avec le noyau caudé (NC, fig. 150). Il est, à sa partie inférie
ne (OLM, 127). GS. La pyramide grise de Sœmmering (fig. 127) est un noyau confondu en arrière avec la substance grise de la
LAT) au-dessus du ganglion basai optique (GBO, 128). ANL. L'anse du noyau lenticulaire (fig. 127, 128) n'apparaît plus que
thalamus qu'il faut chercher, sur les coupes horizontales, l'anse du noyau caudé (ANC). On voit que l'anse du noyau lenticul
upes horizontales, l'anse du noyau caudé (ANC). On voit que l'anse du noyau lenticulaire et l'anse du noyau caudé, confondues
au caudé (ANC). On voit que l'anse du noyau lenticulaire et l'anse du noyau caudé, confondues à la partie inférieure du corps
nt nous avons précédemment signalé l'épaississement. ANC. L'anse du noyau caudé (fig. 127) occupe le fond de la gouttière l
antérieure du thalamus, bien nettement circonscrite, en dedans par le noyau caudé (NC, fig. 128) et en dehors par le putamen
lenticulo-caudées(LCf, fig. 128,131). Mais la couronne rayonnante du noyau caudé n'est plus visible. Il en résulte que la ca
les coupes passent au devant du putamen et n'intéressent plus que le noyau caudé (NC, fig. 132), la racine antérieure du tha
. Déjà sur la coupe précédente on les voit s'insinuer sous la tête du noyau caudé (NC) en dehors du cingulum (Cm), tandis que
tibuli (GVE). Une fois qu'elles ont doublé la convexité inférieure du noyau caudé, de dedans en dehors, elles remontent à sa
à la face externe du putamen (PUT), mince à la face inférieure de ce noyau , est toujours limitée en bas par le fasciculus un
s coupes (fig. 132) passent au devant de l'extrémité antérieure de ce noyau , la capsule externe ne peut plus être distinguée
de la couche optique, prolongée en haut par la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, iîg. 132). CI. La. capsule interne
, plaquée en quelque sortecontre la face inféro-externe de la tête du noyau caudé (NC), semble réduite à une très grande minc
ans en dehors, ainsi qu'il est facile de le Section horizontale des noyaux gris de l'hémisphère gauche ; au niveau de la cou
nes deviennent transversales, se portant directement en dehors. KG, noyau caudé; TH, thalamus; KLe, noyau lenticulaire
tant directement en dehors. KG, noyau caudé; TH, thalamus; KLe, noyau lenticulaire ; ce, corps calleux. constater s
à la capsule interne (CI, fig. 132). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé présente la forme et la direction qui ont é
il en fait partie intégrante, en dehors de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). Mais il abandonne bientôt la capsule
diminuant de calibre, surtout après que la section passe au devant du noyau caudé. Elle garde, jusqu'à son extrémité antérieu
nterne n'est plus exclusivement représentée par la face supérieure du noyau caudé : en dehors elle est formée par les fibres
e par les fibres les plus antérieures de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC, 155, 155) et par des fibres issues du corps
issues du corps calleux lui-même. Substance grise. NC. La tête du noyau caudé (fig. 154), de plus en plus réduite, finit
e. Il est situé immédiatement au-dessous de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). Sur la coupe (154), intéressant une
pas la paroi externe : celle-ci est représentée toujours, soit par le noyau caudé (NC) et sa couronne rayonnante (RNC, fig. 1
uronne rayonnante (RNC, fig. 154), soit par la couronne rayonnante du noyau caudé toute seule (RNC, fig. 135, 136). Rref le
nt en dehors de celle-ci, en dehors même de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC) pour former la capsule externe (CE).
tions vertico-transversales, d'arrière en avant, à travers la tête du noyau caudé, en commençant à un centimètre environ en a
erne (CE), séparée de la cavité ventriculaire par l'extrême sommet du noyau caudé, se montre Coupe vertico - transversale d
ue le changement de direction des fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (lîNG). prennent la forme, l'aspect et la
, l'aspect et la couleur que le faisceau de la couronne rayonnante du noyau caudé nous a présentée jusqu'à présent. CO. Le
t dans l'écorce du lobule orbitaire. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 155) se divise en deux portions facil
e nous avons déjà étudiées. Elles viennent d'une région de la tête du noyau caudé postérieure au plan de la coupe; 2° une por
même de la coupe. Nous savons en eflct que la couronne rayonnante du noyau caudé sort de ce noyau à sa face inférieure, c'es
savons en eflct que la couronne rayonnante du noyau caudé sort de ce noyau à sa face inférieure, c'est-à-dire au niveau de s
ficulté serait vaincue, il est rare que les différences de volume des noyaux gris centraux n'entraînent pas des différences de
ment, au plus près de la face inférieure. Substance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte occupe le milieu de la région
laire situé, immédiatement en dehors de la ligne médiane, en avant du noyau rouge (NR), reçoit un petit faisceau foncé, obliq
s et en haut, dans la substance grise de la base du cerveau. NC. Le noyau caudé, sur la figure 1, est presque confondu avec
sur la figure 1, est presque confondu avec le putamen (PUT). Ces deux noyaux , qui en réalité n'en forment* qu'un seul (voy. pl
lorsque le plan de section passe par la partie la plus inférieure du noyau caudé, — la substance grise n'est pas libre dans
ce blanche (OLl). Les fibres qui s'interposent ainsi entre la tête du noyau caudé et la substance grise du tubercule de jonct
bres profondes du rostrum (ROS) entre la face interne de la tête du noyau caudé (NC) et l'écorce du tubercule de jonction.
e segment antérieur de la capsule interne sépare plus complètement le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT). C'est le faisceau
t cette démarcation. Enfin sur ces mêmes coupes (4 et 2) la tête du noyau caudé (NC) est libre, par sa convexité interne, d
te une concavité inférieure où prennent place les fibres de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et celles de l'anse du noyau c
s fibres de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et celles de l'anse du noyau caudé (ANC). La portion du putamen qu'on voit, su
, sur la figure 1, à égale distance de la tête (NC) et de la queue du noyau caudé (NCC), représente l'extrémité la plus posté
e du noyau caudé (NCC), représente l'extrémité la plus postérieure du noyau lenticulaire. En dessous et en dehors de cette ex
ar la commissure antérieure (CA), qui passe au-dessus et en dehors du noyau de l'anse (GAP). GAP. Le ganglion ou noyau de l
u-dessus et en dehors du noyau de l'anse (GAP). GAP. Le ganglion ou noyau de l'anse pédonculaire est une couche grise très
base, au devant du faisceau de Yicq d'Azyr (FVA). NCC. La queue du noyau caudé occupe l'angle formé par la paroi externe d
est dissocié par les fibres de la capsule externe (CE), de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et de la commissure antérieure
ne striation à rayons convergents, dirigés dans leur ensemble vers le noyau rouge de la calotte (NR). Les fibres foncées, cou
s représentent le système des fibres du tegmentum à leur sortie de ce noyau . Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur (fig.
x supérieur (fig. 1), venu du côté opposé, s'épanouit à la surface du noyau rouge (NR), où il pénètre en se contournant sur l
dehors (fig. 2), les fibres du pédoncule qui ne pénètrent pas dans le noyau rouge se réunissent avec celles qui ont traversé
Le fasciculus retroflexus (fig. 1), accolé à la convexité interne du noyau rouge (NR) qu'il traverse parfois, marche d'arriè
en dehors de l'aqueduc, se dirige en avant, vers la partie externe du noyau rouge (NR), où, par l'intermédiaire de la lamina
le plan de section, au moment où elle émerge de la face inférieure du noyau rouge (NR). Elle se porte vers le discus lentifor
celles du pédoncule cérébelleux supérieur; elles ne traversent pas le noyau rouge; elles glissent à sa partie postérieure et
; elles glissent à sa partie postérieure et externe. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (fig. 1), issue de la face inférieur
fig. 1), issue de la face inférieure des deux segments internes de ce noyau , au-dessus du noyau de l'anse (GAP), se porte de
face inférieure des deux segments internes de ce noyau, au-dessus du noyau de l'anse (GAP), se porte de dehors en dedans ver
s du faisceau médullaire de la capsule (MF, fig. 3), pour aboutir aux noyaux moteurs supérieurs du bulbe.. L'anse du noyau l
3), pour aboutir aux noyaux moteurs supérieurs du bulbe.. L'anse du noyau lenticulaire est limitée en dedans et en bas (fig
t, en haut et en dedans; elle est, dans ce trajet, logée au-dessus du noyau de l'anse (GAP) qui la dépasse en dedans (fig. 5)
3), venue de la région sphénoïdale où elle a pris naissance entre le noyau amyg-dalien et l'écorce, apparaît ici, sur le pla
tie postérieure de l'espace perforé antérieur. Elle est au-dessous du noyau de l'anse (Gx4P), et consiste en un faisceau apla
d dans le thalamus en passant au-dessus de la racine inférieure de ce noyau (Thl). FS. Le faisceau sensitif parcourt d'avan
et en dehors dans l'espace perforé antérieur. Il passe au-dessous du noyau de l'anse (GAP), en avant de la racine inférieure
MENT AU-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE Substance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte n'est visible que sur la figu
isible que sur la figure 4- Les coupes 5 et 6 passent au-dessus de ce noyau . 11 est entouré d'une zone blanche qui appartient
es horizontales pour passer de la région de la calotte dans celle des noyaux gris centraux. QA. Le tubercule quadrijumeau su
Les unes et les autres prennent naissance dans le ganglion. NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fig. 4) par le fai
gment antérieur de la capsule interne (CIA) sépare de plus en plus le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT). NCC. La queue d
s en plus le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 4 et 5) est à l'extrémité la plus ext
t 5) est à l'extrémité la plus externe du pulvinar (Pul), derrière le noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 4), d'où émerge
septum lucidum se confond non seulement avec la partie postérieure du noyau caudé, mais avec la substance grise basilaire qui
du fond du troisième ventricule. PUT. Le putamen fait corps avec le noyau caudé (NC) sur la coupe la plus inférieure (fig.
e peut être constatée qu'à la partie la plus inférieure et interne du noyau lenticulaire. C'est sous le globus medialis que p
bus medialis que passent le plus grand nombre des fibres de l'anse du noyau caudé (ANC) pour gagner la région pédonculaire, e
alis avec le segment postérieur de la capsule sont immédiats; mais ce noyau n'est jamais en contact avec la partie la plus re
ente de Bichat jusqu'à l'angle externe du ventricule, au voisinage du noyau caudé (NCC, fig. 5). 11 se compose d'une grosse m
pulvinar (BP) et, à sa partie supérieure (fig. 5), se confond avec le noyau interne du thalamus pour constituer le noyau post
. 5), se confond avec le noyau interne du thalamus pour constituer le noyau postérieur de la couche optique (NpC). NmC. Le
borde par en bas, de dedans en dehors avant de s'y épuiser. NpC. Le noyau postérieur du thalamus (fig. 6) est, immédiatemen
anglion de l'habénule; c'est la masse grise où se confondent les deux noyaux interne et externe de la couche optique, au-dessu
diane. Il est coupé perpendiculairement à son axe; situé en dedans du noyau rouge, dont il n'est séparé que par le faisceau r
la fente de Monro; les fibres externes, visibles, juste en arrière du noyau rouge, représentent la couronne rayonnante du fai
n haut en avant et en dedans. Sur la première coupe, il est accolé au noyau , rouge, dont il traverse quelquefois la convexité
portent vers l'écorce. Il est plus volumineux en avant, où l'anse du noyau lenticulaire (ANL) le circonscrit dans son trajet
s fibres du faisceau rubro-thalamique (CAO, fig. 6). ANL. L'anse du noyau lenticulaire, très nette sur la coupe inférieure
la coupe inférieure (fig. 4), qui passe horizontalement au-dessous du noyau lenticulaire, arrive de dehors en dedans et d'arr
sse au-dessous du putamen (PUT, fig. 4), au niveau de la fusion de ce noyau avec la tête du noyau caudé (NC)., Thl. La raci
men (PUT, fig. 4), au niveau de la fusion de ce noyau avec la tête du noyau caudé (NC)., Thl. La racine inférieure du thala
Le ganglion de l'habénule (fig, 7) est encore représenté par un petit noyau gris anguleux qui, sur le profil de l'hémisphère,
chose que le triangle de Vhabénule. Ce ganglion est situé en avant du noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 7) et du noyau
st situé en avant du noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 7) et du noyau interne (NiC). Il se continue insensiblement avec
), qui passe par un plan horizontal supérieur à l'habénule. NpC. Le noyau postérieur du thalamus appartient à la région inf
sur les coupes 8 et 9, qui sont plus élevées que la coupe 7. Ce gros noyau homogène, résultat de la fusion des noyaux intern
ées que la coupe 7. Ce gros noyau homogène, résultat de la fusion des noyaux interne et externe (NiC, NeC, fig. 8), émet en de
du thalamus (Rth, fig. 7), destinées au faisceau sensitif. NiC. Le noyau interne du thalamus (fig. 8), séparé du noyau ext
eau sensitif. NiC. Le noyau interne du thalamus (fig. 8), séparé du noyau externe (NeC) par la lame médullaire interne (LMI
ar cons('!quent foncées, et que leur teinte se confond avec celle des noyaux . Au contraire, sur la figure 9 elles sont horizon
tion, qui concourent à la formation du faisceau rétrograde. NeC. Le noyau externe du thalamus (ûg. 8 et 9) est le centre de
r de la capsule interne (CIA, fig. 9), se répandent également dans le noyau externe du thalamus (NeC). NC. Le noyau caudé (
répandent également dans le noyau externe du thalamus (NeC). NC. Le noyau caudé (fig. 7 et 8) proémine dans la corne fronta
traversent de haut en bas et d'avant en arrière pour former l'anse du noyau caudé. Étant donné le sens de ce trajet, on s'exp
question doivent être de moins en moins abondantes sur les coupes du noyau caudé, à mesure que le niveau de la surface de se
. Elle n'est que la réflexion, sur le septum, de la substance même du noyau caudé. Tout à fait en arrière, elle livre passage
(fig. 7) étant beaucoup moins élevé que les deux segments externes du noyau lenticulaire, disparaît le premier sur la série d
une lamelle blanche le sépare du globus pallidus. NCC. La queue du noyau caudé (fig. 7 et 9) est plus volumineuse; elle es
alamus (ThA). ThA. La racine antérieure du thalamus pénètre dans le noyau externe (NeC) de la couche optique, où elle se cr
oration foncée qui se continue avec celle de la partie postérieure du noyau caudé. Le tsenia, confondu quelquefois — à cause
ueue du corps strié, jusqu'à la terminaison de celui-ci au contact du noyau amygdalicn. Dans cette portion ultime de son traj
oyau amygdalicn. Dans cette portion ultime de son trajet, la queue du noyau caudé sépare le taenia des fibres du tapetum, réd
uites à une couche d'une minceur extrême. Là, le taenia passe sous le noyau amygdalien et \a se jeter dans la substance grise
ant qu'elle gagne la partie interne du faisceau sensitif, en avant du noyau caudé (NCC). C'est là qu'elle se met en rapport a
le plan de section du segment inférieur. Substance grise. NaC. Le noyau antérieur du thalamus [corpus album subro-tundum)
lisse le tsenia (Tse). En arrière, il se termine en pointe, accolé au noyau externe du thalamus. — Plus haut (fig. 11) on le
et qui appartiennent à la couronne rayonnante du thalamus. NeC. Le noyau externe du thalamus forme, avec le noyau antérieu
nante du thalamus. NeC. Le noyau externe du thalamus forme, avec le noyau antérieur (NaC), toute la surface de section du t
le noyau antérieur (NaC), toute la surface de section du thalamus. Le noyau interne a en effet disparu progressivement. On n'
r les coupes plus supérieures (fig. 11) il n'y a plus à distinguer de noyaux . Le thalamus (Th) est constitué par une masse gri
a couche optique n'existe plus. Le plan de section n'intéresse que le noyau caudé (NC). NC. Le noyau caudé et NCC la queue
lus. Le plan de section n'intéresse que le noyau caudé (NC). NC. Le noyau caudé et NCC la queue du noyau caudé se présenten
esse que le noyau caudé (NC). NC. Le noyau caudé et NCC la queue du noyau caudé se présentent sur les coupes 10 et 11 comme
la dernière et la plus élevée de la série, ces deux portions du même noyau , la tête et la queue, se confondent. La partie
postérieure, n'entrant pas I immédiatement en contact avec la téte du noyau caudé, peut être j considérée k la rigueur comme
du noyau caudé, peut être j considérée k la rigueur comme la queue du noyau . Mais on remarquera qu'elle n'appartient pas à la
: c'est, en résumé, l'extrémité postérieure, allongée, de la tête du| noyau caudé. PUT. Le putamen (fig. 10) représente, à
| noyau caudé. PUT. Le putamen (fig. 10) représente, à lui seul, le noyau lenticulaire. Le globus pallidus et le globus med
aru. Ils sont inférieurs aux plans de cette coupe. Plus haut môme, ce noyau dispa- ¦ raît; la grande tache grise qui le rempl
e (fig. 11) dans l'angle j rentrant du thalamus en arrière (Th) et du noyau caudé en avant (NC) est constituée par les fibres
sceau sensitif externe ne répondent qu'à la région du putamen. Ici ce noyau a disparu; le faisceau sensitif externe s'enfonce
ntérieure du thalamus, qui sur la coupe 10 est encore située entre le noyau caudé (NC) et le putamen (PUT), devient adjacente
disparu. Elle reste toujours en arrière de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. il et 12). ARC. Le faisceau ar
endue de ce prolongement postérieur. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. il et 12) présente la double colorati
eps minor, accolé à la partie antérieure de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC) envoie à la capsule externe (CE) des
analogie, quant à la répartition et aux rapports réciproques de leurs noyaux . Ces deux premières coupes horizontales passent p
éral, elle est située au-dessus de la coupe; mais on observera que le noyau caudé (NC) est nettement arrêté à sa face interne
l, sur la coupe de la figure 1, la lacune ventriculaire qui sépare le noyau caudé (NC) des fibres profondes du corps calleux
s fibres profondes du corps calleux (ce). Substance grise. NC. Le noyau caudé, en arrière et en dedans, se confond avec l
de la commissure antérieure (CA) ; elle se continue en dehors avec le noyau caudé (NC) et avec la substance grise de la bas
ur la ligne médiane, s'enfonce obliquement sous la substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure postérieure forme
n bas vers la substance grise du troisième ventricule, au-dessous des noyaux du thalamus. Le segment postérieur de la capsule
es de la calotte, présente une teinte claire uniforme au contact du noyau lenticulaire. Cette coloration claire tient à la
e interne au niveau de leur pénétration, de dedans en dehors, dans le noyau lenticulaire. LML. La lame médullaire latérale
are de la face inférieure du corps calleux la convexité de la téte du noyau caudé (NC). VO. La corne occipitale du ventricu
iveau du pli de passage temporo-limbique. Substance grise. NC. Le noyau caudé, confondu en dedans et en arrière avec la s
res du faisceau d'Arnold et aboutissent aux deux segments internes du noyau lenticulaire (GLP, GLM), formant, dans cette dern
ensitif, est limité en avant par le bras du pulvinar (BP). Les autres noyaux de la couche optique sont situés au-dessus de la
ue la région inférieure, où l'on reconnaît la convexité supérieure du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule (GH). S
psulaires qui prennent la direction horizontale pour pénétrer dans le noyau lenticulaire : nous venons de signaler un aspect
e, placés au-dessus du faisceau d'Arnold, et qui se terminent dans le noyau interne du thalamus (NiC). 2" La réduction de v
Toutes les fibres de la couronne rayonnante ont pénétré dans les deux noyaux lenticulaires externes (GLP, PUT). Le noyau inter
nt pénétré dans les deux noyaux lenticulaires externes (GLP, PUT). Le noyau interne, ou globus medialis, est resté au-dessous
cularités méritent d'être observées avec soin : 1" La continuité du noyau caudé (NC) et du putamen (PUT) sur les coupes 1 e
du putamen (PUT) sur les coupes 1 et 2 ; 2" La fusion de l'anse du noyau caudé (ANC, fig. 1 et 2) avec l'anse du noyau len
La fusion de l'anse du noyau caudé (ANC, fig. 1 et 2) avec l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 1) ; 3° L'isolement et
rieur de la capsule. La commissure antérieure (CA, 1, 2) et l'anse du noyau caudé (ANC, 1 et 2) passent au-dessous de lui;
4° La situation du pied du septum lucidum (psp, fîg. 2) derrière le noyau caudé (NC) et devant la commissure antérieure (CA
nées à faire voir les rapports réciproques de la région basilaire. du noyau amygdalien et de l'espace perforé antérieur. Fi
en arrière du sillon orbitaire interne (soi) ; 6" La continuité du noyau de l'anse (GAP, fig. 3 et 4) avec la substance gr
collée, séparée de ses adhérences avec l'hémisphère; 7° Le siège du noyau amygdalien (M, fig. 4) en avant, en dehors et au-
du noyau amygdalien (M, fig. 4) en avant, en dehors et au-dessous du noyau de l'anse (GAP). Le noyau amygdalien, qui n'est q
ig. 4) en avant, en dehors et au-dessous du noyau de l'anse (GAP). Le noyau amygdalien, qui n'est qu'effleuré par la coupe au
est limité en dehors par la capsule externe (CE). Il n'est séparé du noyau de l'anse (GAP) que par une mince traînée blanche
isé tout le lobe sphénoïdal jusqu'à l'écorce, intéressant ainsi : IMe noyau amygdalien (NA) où la bandelette sous-optique (BS
circonvolution temporale (T*) ; 4" enfm, plus en arrière, la queue du noyau caudé (NCC) et le tapetum (TAP). On remarquera
ueue du noyau caudé (NCC) et le tapetum (TAP). On remarquera que le noyau amygdalien (NA) est entouré, sur tout son pourtou
ndelette optique (BO) et se confond avec le tuber cinereum (TC). Le noyau amygdalien (NAj, dans le lobule de l'hippocampe (
nt plus les fibres de la capsule externe qui enveloppent en dedans le noyau amygdalien : ce sont les fibres de la racine infé
ale dans le lobe sphénoïdal. En avant elle a pour paroi antérieure le noyau amygdalien (NA) où viennent s'épanouir les fibres
t destinée à montrer les rapports médiats de la corne d'Ammon avec le noyau amygdalien, au-dessous de la bandelette optique.
aspect d'une double bandelette grise qui n'a aucune connexion avec le noyau amygdalien, en dehors de celle qu'établit à la su
u niveau même de la pyramide grise de Sœmmering (GS). En dehors de ce noyau se voient les trous vasculaires de l'espace perfo
dernière coupe horizontale passe par la partie la plus supérieure du noyau amygdalien, presque tangentiellement à la convexi
amygdalien, presque tangentiellement à la convexité supérieure de ce noyau . Elle fait voir les rapports de la bandelette sou
ette sous-optique et de la racine inférieure du thalamus en dehors du noyau amygdalien (NA), où la bandelette sous-optique (B
es de haut en bas, sur un hémisphère gauche, dans toute la hauteur du noyau amygdalien (NA). C'est donc le segment inférieur
font voir dans son ensemble. Les dix autres montrent les rapports du noyau amygdalien à l'extrémité antérieure de la cavité
terne (CE) et de la bandelette sous-optique (BSO), d'une part avec le noyau amygdalien (INA), d'autre part avec la queue du n
ne part avec le noyau amygdalien (INA), d'autre part avec la queue du noyau caudé (NCC). On remarquera que ce dernier noyau e
part avec la queue du noyau caudé (NCC). On remarquera que ce dernier noyau est dissocié à son extrémité antérieure par les é
-inférieures du tsenia (Tse). Enfin, on retiendra la disposition du noyau amygdalien à la partie la plus inférieure du cul-
racine interne de la bandelette optique. ALY. Alveus. ANC. Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. Aq. Aqued
elette optique. ALY. Alveus. ANC. Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. Aq. Aqueduc de Sylvius. AR. Faisc
s lentiforinis, corps de Luys, corps de Forel, corpus sub-thalamicum, noyau amygdalicn de Stilling, bandelette accessoire de
ium. GAP. Ganglion do l'anse pédonculaire, prolongement temporal du noyau lenlieulaire (VVernicke), substance innominée sou
terne. GIP. Ganglion interpédonculaire. GLA. Globus accessoire du noyau lenticulaire. GLM. Globus medialis. GLP. Glob
e la capsule, zona incerta (Forel). MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire. MLL Cloison verticale interne du no
icale externe du noyau lenticulaire. MLL Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. MOC. Moteur oculaire commun, nerf d
ième paire. MOE. Moteur oculaire externe, nerf de la sixième paire. M. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus [c
aire externe, nerf de la sixième paire. M. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus [corpus album subrotundum).
NaC. Noyau antérieur du thalamus [corpus album subrotundum). NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NcC. Noyau
alamus [corpus album subrotundum). NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NcC. Noyau externe du thalamus. NEL. N
subrotundum). NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NcC. Noyau externe du thalamus. NEL. Nerfs de Lancisi. N
e du thalamus. NEL. Nerfs de Lancisi. NG. Nudeus gracilis. NiC. Noyau interne du thalamus. NL. Fibres latérales du no
gracilis. NiC. Noyau interne du thalamus. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro-thalamique. N
térales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro-thalamique. NLe. Noyau lenticulaire. NmC. Centre médian (Luys). NO. Nerf
yau lenticulaire. NmC. Centre médian (Luys). NO. Nerf optique. NpC. Noyau postérieur du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau
erf optique. NpC. Noyau postérieur du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de Stilling, noyau de la calotte, ganglion
postérieur du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de Stilling, noyau de la calotte, ganglion du pédoncule cérébelleux
putamen, radialio infc- rior puiaminis. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. RNL. Couronne rayonnante supérieure du noy
nne rayonnante du noyau caudé. RNL. Couronne rayonnante supérieure du noyau lenticulaire. RNm. Couronne rayonnante du centre
C. Ventricule de la cloison. V(l. Racine supérieure du trijumeau et noyau de la branche descendante du trijumeau. VF. Corne
1 Ansa intergenicularis de Rauber (AI).......... 226, 252 Anse du noyau caudé (ANC)................. 396 Anse du noyau
. 226, 252 Anse du noyau caudé (ANC)................. 396 Anse du noyau lenticulaire (ANL).............61, 300 Anse péd
sparente (PEL)................xx, xxii Cloison verticale externe du noyau lenticulaire (MLE).. . . 298, 550 Cloison verti
oyau lenticulaire (MLE).. . . 298, 550 Cloison verticale interne du noyau lenticulaire (MLI)....... 350 Colliculum (voy.
y).................... vii Corps strié (portion frontale ou tête du noyau caudé) (GS). . lxxix, 421 Corpus album subroiun
sceau longitudinal postérieur (RFP) 515, 555 Couronne rayonnante du noyau caudé (RNC)....... . 255, 424 Couronne rayonnan
aisceau géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faisceau latéral du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 Faisceau l
s'adjoindre au lemniscus................. 245 Fibres externes du noyau rouge de Stilling (NL)........ 557 Fibres infér
inférieures du forceps (FOi).............. 102 Fibres latérales du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 Fibres len
du carrefour frontal (LMV).......... 414 Lame médullaire externe du noyau lenticulaire (MLE).. . . 298, 550 Lame médullai
latérale du thalamus (LML). . . 222, 285 Lame médullaire interne du noyau lenticulaire (MLI)....... 550 Lame médullaire i
..................... x Nerf optique (NO)..................... vu Noyau amygdahen (NA)..............lxxx, 329, 356 Noya
............. vu Noyau amygdahen (NA)..............lxxx, 329, 356 Noyau amygdahen de Stilling (DL).............. 511 No
lxxx, 329, 356 Noyau amygdahen de Stilling (DL).............. 511 Noyau amygdahforrae (DL).................. 511 Noyau
.............. 511 Noyau amygdahforrae (DL).................. 511 Noyau antérieur de la couche optique (NaG)......... 69,
. 511 Noyau antérieur de la couche optique (NaG)......... 69, 557 Noyau caudé (NG)..................... lxxix Noyau de
NaG)......... 69, 557 Noyau caudé (NG)..................... lxxix Noyau de l'anse (GAPj.................. 551, 560 Noya
.......... lxxix Noyau de l'anse (GAPj.................. 551, 560 Noyau de la branche descendante du trijumeau (DV)......
560 Noyau de la branche descendante du trijumeau (DV)....... 251 Noyau externe du thalamus (NeC)............. 69, 552
)....... 251 Noyau externe du thalamus (NeC)............. 69, 552 Noyau interne du thalamus (NiG)........... 69, 241, 258
... 520 Pédoncules du tubercule mamillaire (Tmp)........ 559, 566 Noyau lenticulaire (NLe)..................lxxxui Noya
....... 559, 566 Noyau lenticulaire (NLe)..................lxxxui Noyau lenticulaire (prolongement temporal, Wernicke), (
yau lenticulaire (prolongement temporal, Wernicke), (GAP), aol, 505 Noyau , postérieur du thalamus (NpC)............. 225
P), aol, 505 Noyau, postérieur du thalamus (NpC)............. 225 Noyau postéro-basilaire................... 245 Noyau
)............. 225 Noyau postéro-basilaire................... 245 Noyau rouge (Stilling) de la calotte (NR)......... 214,
Pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P") . 11 Q Queue du noyau caudé (NCC).. . . . . . . . . . . . . . . lxxix
rebelli ad testes (Pcs)............... 208 Prolongement temporal du noyau lenticulaire (GAP)....... o31 Psalterium (LY)..
5 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
quelques os surnumé- raires et en plus une anormale répartition des noyaux d'ossification com- '- plémentaire (4). Analogu
t altérés, les deuxième et troisième cunéiformes sont réduits à des noyaux osseux des di- mensions d'un pois. Le Ve méta
rofonds, 'qu'ils ont retenti encore sur l'époque de comparution des noyaux d'ossification complémentaires qui sont très pr
s cas de lésions protubérantielles. En effet, en admettant que le noyau protubérantiel du facial donne des fibres homo-
-latérales du côté atteint, dans les cas de lésions unilatérales du noyau du facial. Ces fibres, au contraire, sont détruit
te partie des fibres de la voie centrale du facial aillent aussi au noyau du même côté, d'autre part les études de Bechte
ine du facial d'un côté,, existent aussi des fibres qui dérivent du noyau du côté opposé. Cependant, cette opinion n'a pa
rhose du foie, des altérations dans le cerveau, qui se limitent aux noyaux lenticulaires, l'écorce intacte, ou' , presqu'i
rte description va suivre : Pas d'infiltrations inflammatoires. Les noyaux des cellules névro- gliques avaient en partie s
ype ordinaire, pauvres en chromatine et souvent déformés. Outre ces noyaux , dont le protoplasma ne se colorait pas par le
e cas d'Alzheimer des cellules névrogliques gigantesques aux grands noyaux riches en chroma- tine. Les cellules nerveuses
tait' presque partout bien conservée. Les ganglions centraux et les noyaux dentelés montraient les mêmes altérations que l
broblastes parfois fusiformes, le protoplasma groupé aux pâles, des noyaux , souvent à formes très irrégulières. Quelques l
rs nor- maux, les prolongements protoplasmiques bien conservés, les noyaux sans Fio. 1. - Noyaux pathologiques de l'écorce
ongements protoplasmiques bien conservés, les noyaux sans Fio. 1. - Noyaux pathologiques de l'écorce et des noyaux dentelés.
, les noyaux sans Fio. 1. - Noyaux pathologiques de l'écorce et des noyaux dentelés. Les nucléoles sont couvent déformés.
es noyaux dentelés. Les nucléoles sont couvent déformés. Le premier noyau eu haut et à gauche est le type normal. 46 WOER
, et c'est le plus grand nombre, sont en forte dégéné- ration : les noyaux ont les contours irréguliers, souvent indistincts
rveuses sont sur le point de dis- paraître : on reconnaît encore un noyau , ou plutôt un nucléole, autour duquel se 'trouv
du pigment jaune dans les cellules. Névroglie. Un grand nombre de noyaux névrogliques ont des dimen- sions considérables
on ne trouve qu'un petit amas de pigment jaune clair autour de ces noyaux , parfois on est en état de suivre les contours
s d'un corps protoplasmique très volumineux, faiblement coloré. Ces noyaux sont distribués entrés grand nom- bre dans les
circonvolution de l'hippocampe ne les présentait pas.Entre les autres noyaux névrogliques on retrouve le type petit, compact
dont quelques-uns se rapprochent des spécimens les plus petits des noyaux décrits. En suivant la méthode d'Alzheimer pour
vrogli- ques. Dans les couches sous-jacentes ce sont les cellules à noyaux grands et clairs qui attirent notre attention.
igment jaune. - Graisse (Herxheimer). Est trouvée autour des grands noyaux névrogli- ques, dans les cellules nerveuses et
rsemées à ces places. Substance blanche sous- corticale. Le type du noyau clair et vésiculeux n'est pas retrouvé ou du mo
e ne font pas défaut. Corps striés (van Gieson). -1 côté des petits noyaux névrogliques du type ordinaire on remarque beau
oyaux névrogliques du type ordinaire on remarque beaucoup de grands noyaux vésiculeux ayant les mômes caractères que ceux
ement. Couches optiques. Cellules nerveuses en forte dégénération ; noyaux à la périphérie d'un protoplasma mal coloré, tr
ions que nous avons trouvées en examinant les corps striés ; grands noyaux névrogliques, parfois très déformés, foyers à p
ogliques, parfois très déformés, foyers à perforations multiples. Noyaux dentelés du cervelet. Ici les altérations sont pe
. Ici les altérations sont peut-être les plus prononcées. Entre les noyaux névrogliques on trouve à côté du type normal le
ns énormes.. Les cellules nerveuses sont en forte dégénération, les noyaux sont petits, déformés, fortement colorés, le pr
olongements multiples. Ils contiennent un pigment jaune autour d'un noyau , qui, par ses amas chromatiques plus abondants,
dans la couche plexiforme, ni dans la couche des grains le type du noyau névroglique sus-décrit n'est retrouvé. Les cellul
tion plus ou moins forte ; entre elles une forte pro- lifération de noyaux névrogliques à formes ovoïdes, arrondies ou plus
ogliques à formes ovoïdes, arrondies ou plus irrégu- Fio. 2. Grands noyaux névrogliques (x) dans un des noyaux dentelés '
ou plus irrégu- Fio. 2. Grands noyaux névrogliques (x) dans un des noyaux dentelés ' du cervelet. Fia. 3. Quelques noya
s (x) dans un des noyaux dentelés ' du cervelet. Fia. 3. Quelques noyaux névrogliques comparés au type ordinaire. CIRRHO
de la névroglie, se manifestant surtout par la production de grands noyaux clairs, souvent déformés, dans l'écorce cérébra
n : perte des blocs chromatiques, struc- ture spongieuse du plasma, noyaux gonflés ou très petits, ronds ou déformés. Beau
ntzellen. Neurophagie très fré- quente. Augmentation très forte des noyaux névrogliques : le type ordinaire, parfois en gr
ion bien connus nous remarquons dans les couches profondes quelques noyaux se distinguant par le volume de leur nucléole ;
seul nu- cléole qui prend des dimensions considérables, le reste du noyau est très pauvre en nucléïne, parfois il y a deu
as chromatiques ou plus. Dans la couche des cellules fusiformes ces noyaux ont des dimensions énormes, dépassant le type o
t souvent très grand et déformé. Dans la proximité immédiate de ces noyaux se trouve un petit amas d'uu pigment jaune. L'i
ritabilité, les trémulations; anatomiquement la présence des grands noyaux névrogliques clairs et déformés dans l'écorce et
és dans l'écorce et surtout dans les ganglions centraux et dans les noyaux dentelés le rapproche également de ces cas. I
ce qui rapproche les deux cas surtout, c'est la présence des grands noyaux clairs dans les couches profondes de l'écorce ; d
es fibres des faisceaux de Goll se terminent les premières dans les noyaux correspondants; celles des faisceaux de Burdach,
dans le faisceau de Goll, ; elles se terminent plus haut, dans les noyaux des cordons de Burdach et vont jusqu'à la subst
ES DE LA MOELLE CERVICALE 71 la capsule de l'olive, en entourant le noyau juxta-olivaire postérieur ; un certain nombre d
ord visible en avant de la corne postérieure (fig. 12) puis devant le noyau sensitif du trijumeau (Sg R) et sa racine desce
partie la plus reculée de la substance ré- ticulée grise, autour du noyau et de la racine descendante du glosso-pha- ryng
deux groupes : l'un le plexus collatéral ventral se termine dans un noyau placé en dedans et en avant de la racine 72 LON
e du trijumeau et se termine dans la substance grise qui entoure le noyau du glosso-pharyngien et le faisceau solitaire. D'
c la partie ventrale de la formation réticulée, avec l'olive et son noyau accessoire postérieur, les plus internes allant
elèvent l'existence d'uneterminaison collatérale du Gowers dans les noyaux latéraux du bulbe, dans le nucleus ambiuus, ou
s les noyaux latéraux du bulbe, dans le nucleus ambiuus, ou dans le noyau de Deiters (Petren, l3umke, etc.); enfin Schaff
isceau ou plexus dorsal aboutit à la substance grise, au-dessus des noyaux des cordons postérieurs ; ses terminaisons préc
, en particulier, nous n'avons pas pu voir quelle part en reçoit le noyau de Deiters. Mais nous avons noté que cette régi
occupe dans la substance réticulée (fig. 16) la zone limitée parle noyau du facial, l'olive supérieure et le faisceau cent
re quelques fibres. C'est un peu plus haut, à la face inférieure du noyau externe du thalamus, près du noyau médian, que
us haut, à la face inférieure du noyau externe du thalamus, près du noyau médian, que la dernière trace de cette voie as-
es, très-grêles d'a-itleUl ? Des terminaisons plus élevées, dans le noyau lenticulaire, et mimé dans le cortex out élé trou
partie postérieure de la formation réticulée et pro- bablement aux noyaux avoisinants (noyau du corps restiforme ? noyau
de la formation réticulée et pro- bablement aux noyaux avoisinants ( noyau du corps restiforme ? noyau de Deiters ? ).C'es
pro- bablement aux noyaux avoisinants (noyau du corps restiforme ? noyau de Deiters ? ).C'est ce troisième groupe seulem
géminales) ; . avec la région sous-optique et la partie ventrale du noyau externe du thalamus. Ces fibres spino-thalamiqu
cendante. Le, locus caeruleus. - Lig, ligula. LII, locus niger. NB, noyau du cordon de Burdach. Ncp, noyau des cor- dons
Lig, ligula. LII, locus niger. NB, noyau du cordon de Burdach. Ncp, noyau des cor- dons postérieurs. Ncrst, noyaux du cor
du cordon de Burdach. Ncp, noyau des cor- dons postérieurs. Ncrst, noyaux du corps restiforme. NFt, noyau du funi- culus
des cor- dons postérieurs. Ncrst, noyaux du corps restiforme. NFt, noyau du funi- culus teres. NG. noyau du cordon de Go
t, noyaux du corps restiforme. NFt, noyau du funi- culus teres. NG. noyau du cordon de Goll. NR, noyau rouge. NRt, noyau
. NFt, noyau du funi- culus teres. NG. noyau du cordon de Goll. NR, noyau rouge. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérie
ni- culus teres. NG. noyau du cordon de Goll. NR, noyau rouge. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérieur du Reil latéral
oyau du cordon de Goll. NR, noyau rouge. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérieur du Reil latéral. NV, noyau sensitif du
ge. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérieur du Reil latéral. NV, noyau sensitif du triju- meau. NVII, noyau du facial.
supérieur du Reil latéral. NV, noyau sensitif du triju- meau. NVII, noyau du facial. NVlll, noyau de l'acoustique. NXp, noy
l. NV, noyau sensitif du triju- meau. NVII, noyau du facial. NVlll, noyau de l'acoustique. NXp, noyau postérieur du pneum
ju- meau. NVII, noyau du facial. NVlll, noyau de l'acoustique. NXp, noyau postérieur du pneumogastrique. NXII, noyau de l
au de l'acoustique. NXp, noyau postérieur du pneumogastrique. NXII, noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive bul- baire. Os, ol
s épaisse, et constituée par plusieurs couches de fibres cellules a noyau allongé et disposées parallèlement les uns aux au
Le sang contient des leucocytes vacuolisés et des lymphocytes à un noyau . 7° K. F , âgée de 31 ans. Malade 4 ans, a été
de la pellagre. Le sang contient beaucoup de gros lymphocytes à un noyau ainsi que des cellules de Fiirex, des leucocytes
phocytes. Le protoplasma est fortement coloré, parfois avec de gros noyaux , et parfois consiste sans différenciation d'un no
avec de gros noyaux, et parfois consiste sans différenciation d'un noyau ; sou- vent le protoplasma est plus intensément
noyau ; sou- vent le protoplasma est plus intensément coloré que le noyau même. Parfois on y rencontre des cellules avec
er celle circonstance, qu'on y trouve de très grosses cellules à un noyau , qui surpassent la grandeur des grands mononucl
a nommé les macrolymphocytes; parfois ces cellules contiennent des noyaux neu- trophiles et alors elles correspondent ain
lles dont le protoplasma était coloré d'une couleur bleu foncée; le noyau est placé excentriquement; il est coloré plus fai
y- philis une augmentation (relative) numérique des leucocytes à un noyau et une diminution (relative des leucocytes) à p
à un noyau et une diminution (relative des leucocytes) à plusieurs noyaux (p. 27). On observe, comme on le sait, les myél
xions nerveuses connues de tous, qui relient ces orga- nes avec les noyaux vestibulaires. Mais, en ce moment, nous devons
aux ressources de la thérapeutique. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE PAR LA. SALLE ARCHAMBAULT Professeur-
lle des notions assez nombreuses et exactes sur les rapports que le noyau rouge affecte avec le cervelet, le bulbe rachid
us sommes encore peu renseignés sur les connexions corticales de ce noyau . Cela tient sans doute à ce que ce chapitre parti
vation, dans laquelle se trouve signalée l'atrophie dégénérative du noyau rouge à la suite d'une lésion de l'hémispllère cé
eaucoup trop vaste pour pouvoir servir la localisation corticale du noyau rouge. z Plus tard, von Monakow (2) publia troi
és à l'hémisphère cérébral avaient entraîné une atrophie notable du noyau rouge. Dans ce premier travail, toutefois, von Mo
lamica, Archiv. f. Psych. XXV, 1893. ' LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 189 9 Stôsel, von Bechterew, et d'autres.
plupart de ces cas, il s'agis- sait d'une atrophie très marquée du noyau rouge déterminée par des lésions cérébrales trè
n d'observer des réactions dégé- nératives très nettes au niveau du noyau rouge. Il s'agissait, tantôt de dégénérescence
ge. Il s'agissait, tantôt de dégénérescence limitée à la capsule du noyau rouge, tantôt de dégéné- rescence et d'atrophie
tteignant d'une façon plus ou moins globale la substance même de ce noyau . En général, ces réactions secondaires étaient
isonnant par exclusion, à admettre que les radiations corticales du noyau rouge pro- viennent essentiellement de l'écorce
llement de l'écorce pariétale. Pour cet auteur, les radia- tions du noyau rouge « occupent probablement la partie supérieur
e la calotte et s'irradient dans la partie supéro-antéro-externe du noyau rouge. Elles, représentent un des chaînons de l
e point d'origine de la réaction dégénérative observée au niveau du noyau rouge. Dans le second cas (cas Leudot), uii ram
as, une dégénérescence très nette de la partie antéro-supérieure du noyau rouge portant à la fois sur la capsule et sur la
uge portant à la fois sur la capsule et sur la substance même de ce noyau . Nous ferons remarquer que, dans l'un et l'autr
pliquer les phénomènes dégénéra tifs qu'il a constatés au niveau du noyau rouge ? A cet égard, il est intéressant de note
inal, Dejerine a encore observé une dégénérescence appré- ciable du noyau rouge bien qu'il eût affaire cette fois à une lés
une dégénéres- cence très nette de la partie postéro-supérieure du noyau rouge. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE
tie postéro-supérieure du noyau rouge. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE lui Voilà donc trois cas dont les lésions
cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence se- condaire du noyau rouge et dans lesquels le foyer de ramollissement
qu'à notre grand étonnement, Dejerine n'à rien à dire sur l'état du noyau rouge lorsqu'il fait la description d'un autre
semblent démontrer que ces localisations ne retentissent pas sur le noyau rouge. Peu de temps après Dejerine, Mingazinni
e ses ob- servations, des phénomènes de dégénérescence au niveau du noyau rouge. Les quelques cas dans lesquels Mingazinn
dans lesquels Mingazinni a observé la dégénérescence secondaire du noyau rouge avaient trait des lésions (kystes hémorragi
ins accusée au niveau des circonvolutions frontales. La réaction du noyau rouge dans ces diver- ses observations se carac
- ses observations se caractérisait par une atrophie en masse de ce noyau , dont le volume était quelquefois notablement r
i-capsulaire latéral. Pour Mingazinni, cette réaction atrophique du noyau rouge doit être attribuée plutôt à la dégénéres
s, et ne décrit aucune altération portant sur la charpente grise du noyau rouge. ' (1) htlNOA2111\I, Experimetttelle wul
entifiques que nous ayons acquises sur les connexions corticales du noyau rouge, c'est Ù von Monakow (1) que nous les dev
ticales et sous-corticales, et portent sur toutes les connexions du noyau rouge, tant cérébelleuses et bulbo-spinales que t
ts qui se rapportent tout spécialement aux connexions corticales du noyau rouge. Les idées émises par von Monakow sur l'o
gmanti, Wiesbaden, 1909 u. 1910. - : LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 193 domaine des circonvolutions centrales
. Dans les dix cas dont les lésions n'ont aucunement retenti sur le noyau rouge, il s'agissait de foyers strictement limi
secondaires très marquées au ni- veau de la capsule interne et des noyaux de la couche optique, von Mona- kow considère q
ux de la couche optique, von Mona- kow considère que l'intégrité du noyau rouge constatée dans chacun de ces cas prouve n
oyau rouge constatée dans chacun de ces cas prouve nettement que ce noyau ne reçoit pas de libres des régions situées en
pital. L'auteur élimine également du territoire cortical affecté au noyau rouge, les circonvolutions du bord inférieur de l
aracentral qu'avec la plus grande réserve. L'atrophie secondaire du noyau rouge n'ayant été constatée que lors- qu'il s'a
n de ces mêmes régions que proviennent les radiations corticales du noyau rouge. Quant à la part que prend chacune de ces
s deuxième et troisième circonvolutions frontales sans atteindre le noyau coudé, la dégénérescence secondaire observée par
rtico-protubérantielle frontale, ainsi que sur la couche opti- que ( noyau antérieur, noyau ventral antérieur et noyau média
ielle frontale, ainsi que sur la couche opti- que (noyau antérieur, noyau ventral antérieur et noyau médian b), la région
ur la couche opti- que (noyau antérieur, noyau ventral antérieur et noyau médian b), la région sous-thalamique et le noya
ntral antérieur et noyau médian b), la région sous-thalamique et le noyau rouge. La dégénérescence intéressait surtout le
dégénérescence intéressait surtout le tiers antérieur ou frontal du noyau rouge et à un degré moin- 194 LA SALLE ARCHAMBA
ique, on observa également une réaction très manifesie au niveau du noyau rouge mais à topographie net- tement différente
particu- larités. Alors qu'on constatait une intégrité parfaite du noyau médian de la couche optique et de la zone capsu
au médian de la couche optique et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge, on z ohsema, par contre, une atrophie li
thalamique de Forel (Balh. ou Ih) et du champ capsulaire latéral du noyau rouge. Ce noyau, dont le volume était réduit d'
rel (Balh. ou Ih) et du champ capsulaire latéral du noyau rouge. Ce noyau , dont le volume était réduit d'un quart au moins,
l'auteur). De l'étude de ces quatre cas, von Monakow conclut que le noyau rouge affecte des rapports aussi bien avec la r
fois, que dans tous les cas où il a cons- taté la dégénérescence du noyau rouge, la partie operculaire de la troi- sième
t surtout au niveau de cette région que siège le centre cortical du noyau rouge. Que le pied de la troisième circonvoluti
e représente pas à lui seul toute l'étendue de la zone corticale du noyau rouge ressort nettement de ce fait, que, dans l
que, dans les lésions centro-operculaires, la dégénérescence de ce noyau affecte une topographie sensiblement différente d
nt à la presque totalité d'un hémisphère, la réduction de volume du noyau rouge est de beaucoup plus considérable que celle
aucoup plus considérable que celle qui LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 1 usa résulte de la lésion isolée, soit d
oper- cuio-cenlrale. Von Monakow est donc conduit à admettre que le noyau rouge possède deux sphères de représentation co
totalité d'un hémisphère cérébral, on observe toujours au niveau du noyau rouge une atrophie et une dégénérescence très acc
une dégénérescence très accusées. La réaction secondaire atteint le noyau rouge en suivant le trajet des radiations de la
e, en traversant les zones péri-capsulaires frontale et latérale du noyau rouge, et porte surtout sur le tiers antérieur, m
le tiers antérieur, mais, en partie aussi, sur le tiers moyen de ce noyau . Les phénomènes dégénéra- tifs se limitent asse
s. Les seules régions dont la lésion détermine la dégénérescence du noyau rouge sont : a) la région préfronlale, et, en
érieur ou'ienticuio-strié de la capsule interne, atteint d'abord le noyau antérieur, le noyau ventral antérieur et le noy
strié de la capsule interne, atteint d'abord le noyau antérieur, le noyau ventral antérieur et le noyau médian de la couc
tteint d'abord le noyau antérieur, le noyau ventral antérieur et le noyau médian de la couche optique, puis, après avoir tr
raversé la région sous-thalamique et la zone capsulaire frontale du noyau rouge, elle s'épuise au niveau du tiers antérie
le du noyau rouge, elle s'épuise au niveau du tiers antérieur de ce noyau dont elle intéresse surtout la zone grise dorso
stérieur ou lenticulo- optique de la capsule interne, porte sur les noyaux du segment inférieur on ventral de la couche op
, elle se rend jusque dans la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge : Les radiations corticales du noyau roug
térale du tiers moyen du noyau rouge : Les radiations corticales du noyau rouge se répartissent donc en deux 196 . LA SAL
de la lame médullaire externe et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge, et se termine dans la moitié antérieure
ntale du noyau rouge, et se termine dans la moitié antérieure de ce noyau . Les fibres s'épuisent au niveau - des zones gr
s'épuisent au niveau - des zones grises médiane et dorso-médiane du noyau rouge et entrent en relation surlout avec la su
voie est renforcée par un contingent thalamo-rubrique provenant du noyau interne, du centre médian et de la zone réticul
ar les lésions frontales, la réaction que l'on observe au niveau du noyau rouge est de beaucoup plus intense que lorsqu'il
pour entrer dans la constitution de la zone capsulaire latérale du noyau rouge. Les fibres operculo-rubriques pénètrent al
es operculo-rubriques pénètrent alors dans l'épais- seur même de ce noyau et se terminent, au niveau de son tiers moyen,
te d'une lésion limitée à la région thalamique ventrale, et même au noyau ventral antérieur une dégénérescence très nette
le s'épuisait au niveau de la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge. t <]tt'* r, LES CONNEXIONS CORTICAL
CALSv T4(A GF 197 L'ensemble des amas cellulaires dont est formé le noyau rouge peut être divisé en deux noyaux constitnt
cellulaires dont est formé le noyau rouge peut être divisé en deux noyaux constitntifs élémentaires phylogénétiduement dis-
élémentaires phylogénétiduement dis- tincts-et indépendants : t le noyau primitif, ou le nucleus magnocellu- laris de Ib
yau primitif, ou le nucleus magnocellu- laris de Ibtschek, et 2° le noyau principal, ou le nucleus parvocellularis de Hat
u le nucleus parvocellularis de Hatschek. Dans la série animale, le noyau principal augmente de volume proportionnellemen
éveloppement. On pourrait donc, d'une façon générale, considérer le noyau principal comme étant le segment cérébral z ant
r le noyau principal comme étant le segment cérébral z antérieur du noyau ronge (Grosshirnanteil de von Monakow). Le segmen
ieur du noyau ronge (Grosshirnanteil de von Monakow). Le segment du noyau rouge affecté aux connexions corticales constitue
nexions corticales constitue environ le quart du volume total de ce noyau . Quant au champ de fibres qui entoure de toutes
e ce noyau. Quant au champ de fibres qui entoure de toutes parts le noyau rouge de façon à former une véritable zone péri
t assez considérable est constitué par les radiations corticales du noyau rouge. Cette partie qui recouvre en avant le' p
Cette partie qui recouvre en avant le' pôle antérieur ou frontal du noyau rouge, c'est-à-dire la zone péri-capsu- laire f
Kerns de von Monakow); est formée par les fibres qui retiennent le noyau rouge à la lame médullaire externe (partie médi
ui en est des fibres qui proviennent de la région operculaire et du noyau ventral de la couche optique, ces fibres concou
laire qui recouvre en bas et en dehors les deux tiers antérieurs du noyau rouge, c'est-à- dire la couche péri -rubrique v
latérale. - Nos travaux personnels sur les radiations corticales du noyau rouge ont été inspirés par un fait observé pure
- cariniennes, nous avons constaté une dégénérescence très nette du noyau rouge. A vrai dire, ce cas fort intéressant mér
séparé de l'hémisphère cérébral en un point beaucoup trop élevé, le noyau rouge fait défaut sur les coupes frontales de l'h
exactement du trajet qu'affecte la dégénérescence pour atteindre ce noyau . Nous devrons donc nous con- tenter de reprodui
e cas. On voit très dis- tinctement que la dégénérescence aborde le noyau rouge près de son an- gle postéro-exlerne et qu
o-médianë. Nous pouvons affirmer que cette réaction dégénérative du noyau rouge résulte du ramollissement temporal, car il
rconvolution tempo- rale entrainent la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Nous avons pu réunir six cas de ramollis
nt concordants. Nous avons, en effet, constaté la dégénérescence du noyau rouge chaque fois que la lésion intéressait le lo
nt siégeait surtout au niveau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 199 du lobe occipital (cunéus, lobule lin
ulement l'extrémité postérieure de celui ci, la dégé- nérescence du noyau rouge était minime. D'autre part, voulant savoir
e était minime. D'autre part, voulant savoir comment se comporte le noyau rouge lorsque les lésions siègent en d'au- tres
qui se dégagent de nos recherches sur les connexions corticales du noyau rouge reposent sur l'élude détaillée de dix-hui
, en détruisant toute la région de l'insula sans toutefois léser le noyau lenticulaire; dans deux autres, elles n'impliquen
que trois qui se caractérisent par une réaction nette au niveau du noyau rouge ; ce sont les lésions : a) de la face inf
u au lobe pariétal n'entraînent pas la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Quant aux lésions de la convexité temporal
x lésions de la convexité temporale, elles ne reten- tissent sur le noyau rouge que lorsqu'elles atteignent l'épendyme de l
ALLE ARCHAMBAULT Parmi les cas que nous avons examinés à l'égard du noyau rouge, nous avons choisi ceux qui nous paraisse
e ne disparaît que sur les coupes intéressant le pôle postérieur du noyau rouge, Il Schéma 1'\° I. Hémisphère gauche, fac
I. Hémisphère gauche, face interne. LES CONNEXIONS COI\'11CALES DU NOYAU ROUGE 201 1 n'existe dans ce cas aucune autre l
ité antérieure du corps genouillé externe et du tiers postérieur du noyau rouge. On remarque à l'angle supéro-externe de ce
postérieur du noyau rouge. On remarque à l'angle supéro-externe de ce noyau une raréfaction très nette de la capsule de fib
loration appréciable de toute la capsule dorsale ou supé- rieure du noyau rouge. En même temps on note que la substance méd
oyau rouge. En même temps on note que la substance médullaire de ce noyau n'est pas indemne et que la dégénérescence second
préciable. Il en est de même Fic. 3. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 203 du champ de fibres situé immédiatemen
é immédiatement en dehors du corps genouillé externe, au-dessous du noyau lenticulaire et au-dessus du prolongement sphénoï
us du noyau lenticulaire et au-dessus du prolongement sphénoïdal du noyau caudé ; ce territoire, qui appartient avant tout
partie infé- rieure du pulvinar et peut-être aussi à l'extrémité du noyau rouge. Sur la coupe suivante (Fig. 3), laquelle
r la coupe suivante (Fig. 3), laquelle passe par la partie moyenne du noyau rouge, on ne voit plus, au niveau du champ juxt
n grossière observée sur la coupe précédente, et, grâce a ce fait, le noyau rouge dans sa totalité parait fort mieux délimi
limité. En revanche, la dégénéres- cence de la substance même de ce noyau devient encore plus évidente qu'au- paravant et
la décoloration siège encore de préférence la partie supérieure du noyau rouge où elle atteint surtout les zones margina
rement en bas et en dehors jusque dans la partie ventro-latérale du noyau rouge. Les autres détails n'ont guère changé.
au niveau du pôle antérieur Fic. 4. 204 LA SALLE ARCHAMBAULT du noyau rouge, traverse le tubercule antérieur de la couc
ation intense et généralisée de la substance médullaire centrale du noyau rouge. En outre, la capsule de ce noyau est not
ance médullaire centrale du noyau rouge. En outre, la capsule de ce noyau est notablement raréfiée, surtout dans ses partie
pêtrière. T. XXVII. PL. XXXV A B C CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE (Lastille-Archainbaull) Masson &. C
du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne et en dehors du noyau caudé, augmente progressivement de volume, et att
de développement sur les coupes intéressant l'extrémité antérieure du noyau rouge. A ce niveau, la lésion s'étend dans un s
pied de la couronne rayonnante et à détruire le tiers supérieur du noyau lenticulaire. On voit donc que ce foyer in- ter
rps genouillés externe et interne et par l'extrémité postérieure du noyau rouge. Le ramollissement . ancien du lobe tempo
en dedans et semble pénétrer directement dans la partie latérale du noyau rouge. En raison de la forte coloration de tout
ue la dégénérescence s'épuise au niveau de la zone dorso-médiane du noyau rouge, laquelle est notablement décolorée. On r
remarque en outre une déformation atrophique assez accentuée de ce noyau . Nous croyons que la réaction dégénérative que
ce noyau. Nous croyons que la réaction dégénérative que présente le noyau rouge à cet endroit résulte essentiellement de
serve, déjà assez d ! S- tinctement la dégénérescence rii ! ru1\ du noyau latéral et du stratum zonale de la couche optiq
orps genouillé externe et un ppu en arrière de la partie moyenne du noyau rouge, on voit que la dégénérescence est beauco
e suivie à travers la capsule interne jusqu'à la partie latérale du noyau rouge. Cette dégénérescence linéaire est très v
e forme en réalité le segment inférieur. Immédiatement en dehors du noyau rouge, la zone dégénérée semble se bifurquer, une
capsule ventro-latéral'i. On voit très nettement, en effet, que le noyau rouge e est dépourvu de fibres nerveuses au niv
rès manifeste des zones mar- ginales dorsale et dorso-médiane de ce noyau . La zone ventro-lalérale n'est que légèrement t
touchée. Il est très probable qu'à cet endroit la dégénérescence du noyau relève non seulement du ramollissement temporo-oc
- tale ascendantes. Cette dégénérescence de la partie supérieure du noyau rouge s'observe sur toutes les coupes passant p
s'observe sur toutes les coupes passant par la partie moyenne de ce noyau , mais elle devient de moins en moins intense et
teur de la lame médullaire externe, ainsi que le stratum zonale, le noyau latéral et le bord su- périeur de la couche opt
a couche optique, lesquels contribuent LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l'atrophie du bord supé
r la bandelette optique, le corps de Luys et le pôle anté- rieur du noyau rouge. On remarque que tandis que la substance mé
. On remarque que tandis que la substance médullaire centrale de ce noyau est notablement dégénérée, sa capsule est pourvue
omme occupant la capsule ventro-latérale s'irradie à l'intérieur du noyau rouge, alors que la capsule de celui-ci se trou
s. De même, sur les coupes plus antérieures, la capsule frontale du noyau rouge est parfaitement saine. La capsule dorsal
e. En haut, cette dégénérescence s'épuise dans la partie externe du noyau latéral de la couche optique ; en bas elle aban
ndonne un prolongement qni passe au-dessus du corps de Luys vers le noyau rouge, puis elle descend directement dans le pied
veau de la couche optique, on remarque outre la dé- générescence du noyau latéral, une dégénérescence rétrograde et une atr
antérieur ainsi qu'une légère décoloration de la partie médiane du noyau interne. Dans le lobe pariétal, on note encore la
nne rayonnante et de la sub- stance blanche profonde. Au-dessous du noyau lenticulaire, le domaine du fais- ceau temporo-
t jusqu'au niveau d'un plan vertical passant par le bord antérieur du noyau rouge. Dans le lobe occipital, le ramollissemen
es intéressant le corps genouillé externe et le tiers postérieur du noyau rouge (F'I. XXXVI). La première coupe de cette
pocampe; elle passe un peu en avant de l'extré- mité postérieure du noyau rouge. La lésion a déterminé la soudure des deux
tII : RE. T. XXVII. PL XXXVI D E F CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE ( Lasl111e-Al'cblllll bl1 11/1) Masson
bl1 11/1) Masson & Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 209 proportionnellement marquées. C'est a
on nette mais peu pro- noncée du champ de fibres situé en dehors du noyau rouge; elle est surtout marquée près de l'angle
-ci. C'est à cet endroit, en effet, que la dégénérescence aborde le noyau rouge, et on voit très nettement qu'elle s'épui
o-laté- rale. On note une dégénérescence assez légère et diffuse du noyau latéral de la couche optique. Sur les coupes pa
ie très notables du corps quadrijumeau antérieur, du pulvinar et du noyau interne de la couche optique, ainsi que de la par
corps genouillé externe. La deuxième coupe (PI.XXXVI-E) traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers moyen et
ne du champ juxta-rubrique latéral, mais c'est surtout au niveau du noyau rouge lui-même que la dégénérescence s'impose. On
le- quel occupe toute la zone marginale sous-capsulaire latérale du noyau rouge. La décoloration de la zone dorso-médiane
a décoloration des zones mar- ginales dorsale et ventru-latérale du noyau rouge est encore nettement appré- ciable mais e
oins intense. Par contre la raréfaction de la capsule dorsale de ce noyau persiste ainsi qu'un certain degré de défor- ma
eure du corps de Luys et par la partie antérieure du tiers moyen du noyau rouge, on voit que l'aspect de celui-ci s'est s
e raréfaction très nette de la partie correspondante de la capsule du noyau rouge et une raréfaction moins accentuée de sa
r le tiers antérieur, le pôle anté- rieur et la capsule frontale du noyau rouge, l'état de ce noyau paraît être par- fait
ôle anté- rieur et la capsule frontale du noyau rouge, l'état de ce noyau paraît être par- faitement normal. Observatio
ésion dans ce cas, sauf quelques lacunes de la couche optique et du noyau lenticulaire. On constate une dilatation très mar
insi que du troisième ventricule. La réaction observée au niveau du noyau rouge n'intéresse que ses deux tiers an- térieu
e fusiforme et la circonvolution de l'hippocampe ; elle traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers postérie
ALPHTRIÈRE. T. XXVII. PL, XXXVII G H CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE (Lasalle-Archanibiiult) Masson & Ci
nibiiult) Masson & Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 21 t sillon calloso-marginal, le foyer se
la lame mé- dullaire externe et de la partie supérieure surtout du noyau latéral. Il est pas- sible, cependant, que ces
tion très considérable du champ de fibres qui recouvre en dehors le noyau rouge. Quant à ce noyan lui-même, il présente u
mêmes particularités que la première, sauf que la dégénérescence du noyau rouge est déjà plus intense et plus éten- due.
radiations de la calotte, qu'elle atteint la cap- sule latérale du noyau rouge et qu'elle s'épuise surtout dans la zone ma
rale, et, en plus faible partie, dans la zone ventro-latérale de ce noyau . La coupe suivante (PI.XXXVII-I) traverse le no
latérale de ce noyau. La coupe suivante (PI.XXXVII-I) traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers moyen et
de ses tiers moyen et antérieur. Le champ de fibres qui recouvre ce noyau en dehors s'est en'grande partie reconstitué et
intense observée sur les coupes précédentes. Par contre, an niveau du noyau rouge lui-même, la dégénérescence persiste et a
gulière ; elle se limite assez étroitement au quart supérieur de ce noyau et intéresse les zones marginales dorso-latérale
t; on y constate, en effet, une décoloration très considéra- ble du noyau latéral ainsi qu'une dégénérescence et une atroph
décoloration généralisée de la substance médullaire centrale de ce noyau ainsi que la raréfaction très notable de sa capsu
he optique, on constate la dégénéres- cence de la majeure partie du noyau latéral et une décoloration particulière- ment
hé- misphère ainsi que des nayaux caudé et lenticulaire. Ce dernier noyau cepen- dant renferme quelques lacunes. Sur le
se de la presque totalité de la capsule frontale ou anté- rieure du noyau rouge et une dégénérescence assez accentuée de la
rière. T. XXVII. PL. XXXVIII J K L CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE (Lasa llc-A rcbambault) t M < ? no ?
t M < ? no ? Çi ? F'/¡'(>I11 ? LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 213 téresser que légèrement l'écorce de l
on dégénérative assez nette au niveau de la moitié posté- rieure du noyau rouge (1). Les deux coupes affectées à la descr
coupes (PI. XXXVIII-J) est prise au niveau de la partie moyenne du noyau rouge. On remarque une dégénérescence peu intense
escence peu intense, mais nette toutefois, du quart supérieur de ce noyau . La dégénérescence atteint en particulier la zo
ulier la zone marginale grise dorso-latérale et la capsule dorsale du noyau rouge, mais respecte à cet endroit le champ de
rouge, mais respecte à cet endroit le champ de fibres qui recouvre ce noyau en dehors. Au niveau de l'écorce et de la zone
eur. On note également une légère dégénérescence du bord externe du noyau latéral de la couche optique ainsi que de la la
. La seconde coupe (Pl. XXXVIII-K) passe par le tiers postérieur du noyau rouge et par les corps genouillés externe et in
voit assez distinctement toutefois que la partie supéro- externe du noyau rouge renferme un petit lobule nettementdécoloré
vation. Quant au champ de fibres situé immédia- tement en dehors du noyau rouge, il présente une raréfaction manifeste de
coupe précédente. Sur les coupes passant par le tiers antérieur du noyau rouge, on ne note rien de particulièrement inté
ge, on ne note rien de particulièrement intéressant à l'égard de ce noyau , sauf une certaine pâleur relative de la substa
elative de la substance médullaire centrale. La capsule frontale du noyau rouge est parfaitement saine. Observation VI (S
ésion implique la majeure partie de l'insula, tout en respectant le noyau lenticulaire, et, so dirigeant en haut vers la
on Schéma ? VI. Sixième observation. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 21 S a déterminé une dégénérescence très
a déterminé une dégénérescence très marquée de la majeure partie du noyau u rouge. ' Les coupes servant à illustrer cet
passe par le corps genouillé externe et par le tiers postérieur du noyau rouge. A cet endroit, le ramollissement détruit c
moins généralisée de ce ganglion, une décoloration très intense du noyau interne et une dégénéres- cence diffuse de la l
cence diffuse de la lame médullaire externe, du stratum zonale et du noyau latéral Quant au noyau rouge, on voit très bien
médullaire externe, du stratum zonale et du noyau latéral Quant au noyau rouge, on voit très bien qu'il est atrophié et an
sière au niveau du champ de fibres qui recouvre le bord externe du noyau rouge, c'est-à-dire une dégénérescence très con
pes passant plus en arrière, c'est-à-dire par le pôle postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire de ce noyau s
pôle postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire de ce noyau se traduit par une dé- coloration plus ou moins
orso-médiane. La deuxième coupe (Fig. 6) traverse le tiers moyen du noyau rouge. Dans le lobe temporal, le ramollissement
quiert une étendue beau- Fio. 6. , , LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 217 coup plus considérable et forme un fo
et enfoncement de son bord supérieur, une décoloration accentuée du noyau interne et une dégénérescence très intense du str
u stratum zonale, du tubercule autérieur et de la majeure partie du noyau latéral. Quant au noyau rouge, on voit que la c
ercule autérieur et de la majeure partie du noyau latéral. Quant au noyau rouge, on voit que la configuration quadrangulair
ertaine raréfaction au niveau du champ de fibres situé en dehors du noyau rouge et au-dessus du corps de Luys. La capsule
uge et au-dessus du corps de Luys. La capsule dorsale de ce dernier noyau est sensiblement moins fournie qu'à l'état norm
à l'état normal. ' Sur les coupes passant par le tiers antérieur du noyau rouge, tout ce qu'on relève d'anormal à l'égard
ieur du noyau rouge, tout ce qu'on relève d'anormal à l'égard de ce noyau , c'est une décoloration nette et géné- ralisée,
, de sa substance médullaire centrale. A cet endroit, la capsule du noyau rouge paraît parfaitement saine, et il en est de
, et il en est de même pour la capsule antérieure ou frontale de ce noyau . Nous venons de faire l'exposé nécessairement s
x cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Nous avons vu, en effet, que ce noyau dé
rescence secondaire du noyau rouge. Nous avons vu, en effet, que ce noyau dégénère à la suite de lésions atteignant la fa
par von Monakow, les localisations temporales retentissent sur le- noyau rouge. Il convient de spécifier ai nouveau, cep
é temporale ne déterminent des phénomènes dégénératifs au niveau du noyau rouge que lorsqu'elles impliquent les couches sag
tre qu'elles ne produisent aucune réaction appréciable au niveau du noyau 218 LA SALLE ARCHAMBAULT rouge. Nous pouvons
ritoire se carac- térisent par une dégénérescence très accentuée du noyau rouge. Pour ce qui en est des lésions atteignan
on limbique, et, dans ce cas, la réaction dégénérative au niveau du noyau rouge est des plus nettes. On se souviendra tou
lus grande réserve, le lobule paracentral dans sa zone corticale du noyau rouge. Donc, si d'une part nous pouvons appor
d des rapports qui existent entre la région operculo-centrale et le noyau rouge, nous devons, d'autre part, différer sens
ique. D'après nos propres recherches, en effet, nous croyons que le noyau rouge reçoit des radiations corticales de différe
n, de la région operculo-cenlrale. Nous ne saurions soutenir que le noyau rouge ne reçoit aucune fibre du reste de l'écorce
au lobe pariétal (exception faite de la pariétale ascen- dante), ce noyau ne présentait aucune réaction dégénérative manife
Lorsqu'il s'agit de décrire le trajet que suivent les radiations du noyau rouge, on se trouve en présence d'un problème p
exe et délicat, étant donné que les lésions qui retentissent sur le noyau rouge déterminent également la dégénérescence s
iations du corps quadrijumeau antérieur que sur les radia- tions du noyau rouge. Toutes ces libres se trouvent intimement m
cei tain c'est que, pour la plupart, les radiations tempo- rales du noyau rouge accompagnent les radiations thalamiques pro
ur, une dégénérescence également de la partie postéro-supérieure du noyau rouge. La dégénérescence aborde ce noyau à la par
rtie postéro-supérieure du noyau rouge. La dégénérescence aborde ce noyau à la partie postéro- supéro-externe en passant
ce territoire, la dégénérescence secondaire s'étend à la capsule du noyau rouge, surtout au segment dorsal ou supérieur de
ur de cette capsule, puis elle pénètre dans la substance même de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les zones marginales
, la dégénérescence secondaire intéresse la moitié posté- rieure du noyau rouge mais elle est surtout accentuée au niveau d
s marginales dorsale et dorso-médiane. Près de la partie moyenne du noyau rouge, la dégénérescence porte encore essen- ti
escence porte encore essen- tiellement sur les zones dorsales de ce noyau , mais fréquemment elle implique nettement aussi
ique nettement aussi la zone ventro-latérale. Le tiers antérieur du noyau rouge demeure généralement -intact, sans zone de
a capsule interne. La dégénérescence s'étend ensuite d'une part aux noyaux de la couche optique, et d'autre part au noyau
uite d'une part aux noyaux de la couche optique, et d'autre part au noyau rouge. Au niveau de la couche optique, elle attei
ne sur toute sa hauteur, le stratum zonale, la partie supérieure du noyau latéral ainsi que le tubercule antérieur et les a
ure du noyau latéral ainsi que le tubercule antérieur et les autres noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce ganglion. Qua
autres noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce ganglion. Quant au noyau rouge, la dégé- nérescence secondaire intéresse
rès totalement son tiers postérieur. La dégénérescence atteint t ce noyau en passant d'abord par la lame médullaire externe
De ce territoire la dégénérescence s'étend à la capsule latérale du noyau rouge et s'épuise ensuite surtout dans les zones
es zones margi- nales grises ventro-latérale et dorso-médiane de ce noyau . Ici encore on constate, surtout au niveau du t
noyau. Ici encore on constate, surtout au niveau du tiers moyen du noyau rouge, que la zone grise neutro-tatérate partic
zone dorso-tatérate. Quant à la capsule anté- rieure ou frontale du noyau rouge, elle se trouve très notablement dégénéré
ence surlout de la lame médullaire externe, du stratum zonale et du noyau latéral, et retentissent également sur les deux
atéral, et retentissent également sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge. Dans ces cas, la dégéné- rescence second
oyau rouge. Dans ces cas, la dégéné- rescence secondaire atteint le noyau rouge en passant par la lame médul- laire exter
radiations de la calotte et aborde alors la capsule dorso-latérale du noyau rouge pour s'irradier ensuite à l'intérieur de
latérale du noyau rouge pour s'irradier ensuite à l'intérieur de ce noyau . Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge,
ensuite à l'intérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire intéresse s
égénérescence secondaire intéresse surtout la capsule dorsale de ce noyau et les zones marginales grises dorso- latérale
le et ventro-latérale. Le tiers antérieur et la capsule frontale du noyau rouge sont en général parfaitement sains. Donc,
ta- tions personnelles à l'égard de la dégénérescence secondaire du noyau rouge, nous dirons que la réaction dégénérative
ée au niveau de ce LES CONNEXIONS COHTICALES DU NOYAU ROUGE 221 1 noyau , à la suite de lésions de l'hémisphère cérébral,
lemporo-occipital retentis- sent sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers postérieur de
térieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers postérieur de ce noyau . Au niveau du tiers postérieur, la dégéné- resc
lobe fronto-pariétal retentissent sur les deux tiers antérieurs du noyau rouge. Au niveau du tiers anté- rieur de ce noy
ers antérieurs du noyau rouge. Au niveau du tiers anté- rieur de ce noyau , la dégénérescence intéresse la capsule frontale
on operculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers moyen de ce noya
s postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers moyen de ce noyau . Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge,
ut sur le tiers moyen de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénérescence porte sur la capsule d
stologiques de la dégénérescence secondaire ob- servée au niveau du noyau rouge, nous avons essayé de nous en rendre comp
n Monakow. On constate, en effet, au niveau des zones dégénérées du noyau rouge, la disparition plus ou moins complète des
ins complète des fibres à myéline qui pénètrent à l'intérieur de ce noyau , la résorption de la substance moléculaire, l'a
fondie et la connaissance plus précise des connexions corticales du noyau rouge ne nous permettraient pas d'élucider, dans
ose et 1'li6mi-clioi-ée à des lésions siégeant dans le voisinage du noyau lenticulaire, au niveau du bord externe de la moi
tout dans son serment po-Lél'o-inrél'ieur. Or, nous avons vu que le noyau rouge reçoit des libres de, la face médiane du
rticularité commune de compromettre l'intégrité des con- nexions du noyau rouge, qu'il s'agisse des connexions corlicales o
sse des connexions corlicales ou des connexions cérébelleuses de ce noyau . Or, tout semble démontrer aujour- d'hui que le
lleuses de ce noyau. Or, tout semble démontrer aujour- d'hui que le noyau rouge exerce une influence très importante sur le
ante sur le mécanisme de la molililé. Nous savons, en effet, que ce noyau affecte des rapports d'une part avec les noyaux
ns, en effet, que ce noyau affecte des rapports d'une part avec les noyaux moteurs du bulbe et les cornes anté- rieures de
Médecine, 1914, n" 1, p. 18. , ? s t LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROCSË"^' '" lit se transforment en zones foncti
aussi bien s'expliquer par la lésion, dans le voisinage immédiat du noyau rouge, des fibres operculo-ruhriques, el, en part
ble que le rire et le pleurer sont uniquement sous la dépendance du noyau rouge, puisqu'il est démontré que ce noyau envoie
nt sous la dépendance du noyau rouge, puisqu'il est démontré que ce noyau envoie des fibres direc- tes du noyau du facial
puisqu'il est démontré que ce noyau envoie des fibres direc- tes du noyau du facial ; ce n'est que plus tard que ce noyau l
ibres direc- tes du noyau du facial ; ce n'est que plus tard que ce noyau lui-même est activé par des fibres provenant de
ussi bien des connexions rubriques que des connexions corticales du noyau d'origine du nerf facial. Lorsque les connexion
u d'origine du nerf facial. Lorsque les connexions corticales de ce noyau sont partiellement compromises, ce qui se trouv
e réalisé dans les lésions thalamiques attei- gnant le voisinage du noyau rouge, il se fait un retour vers l'automatisme.
encontrés dans les lésions atteignant tan- tôt la partie médiane du noyau lenticulaire tantôt la couche optique ou la cal
lésion, soit des voies afféren- tes, soil des voies efférentes, du noyau rouge, joue un rôle très important dans le déte
s situées sur le trajet de l'une quelconque des voies afférentes du noyau rouge. On peut donc se demander si dans ces cas l
trouble de la motilité ne relève pas, soit de l'irritation directe du noyau rouge, soit de l'mlerruption des fibres cortica
moins de régulariser, le fonctionnement purement automatique de ce noyau . Quanta l'aspect clinique si différent que revê
connaissent pour cause principale la lésion des voies afférentes du noyau rouge, on conçoit très bien aussi que la physio
que ces troubles de la motilité ne se LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 225 rencontrent pas chaque fois que les c
t pas chaque fois que les connexions corticales ou cérébelleuses du noyau rouge se trouvent compromises. Toul ce que l'on p
ritent d'être signalés et d'être soumis à l'étude. Conçu SIONS Le noyau ronge reçoil des radiations corlicales de différe
face externe du lobe temporal ne semblent pas envoyer de fibres au noyau rouge. Les fibres qui tirent leur origine du
e. Les fibres qui tirent leur origine du lobe frontal se rendent au noyau rouge en passant par le bras antérieur de la ca
on sous-thalamique. Elles se terminent dans le segment antérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les
t naissance au niveau de la région operculo- cenlrale se rendent au noyau rouge en traversant le bras posiétieui, de la c
adiations de la calotte. Elles s'irradient dans le segment moyen du noyau rouge et entrent en relation surtout avec les z
s qui proviennent de la face médiane du lobe temporal se rendent au noyau rouge en passant par le segment sous-lenticulaire
mp de Wernicke. Elles s'épuisent au niveau du segment postérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec le
atérale. Il est possible que la lésion des connexions corticales du noyau rouge joue un rôle assez important dans la genè
e la présence d'une image céneslhér sique fixe se comporte comme un noyau de cristallisation à l'égard de l'énergie nerve
es changea complètement. Dans les cas où la capsule in- terne et le noyau lenticulaire sont frappés simultanément, les trou
nombre de cas où l'autopsie montra des altéra- tions soit dans les noyaux rouges, soit dans les couches optiques, a per-
on de certaines parties de l'écorce cérébrale en connexion avec les noyaux rouges peut provoquer les mêmes symptômes que l'a
ctions musculaires toniques par l'excitation de parties caudales du noyau caudé et des contractions cloniques par l'ex- c
une dégénérescence du faisceau pyramidal. Alors les excitations du noyau caudé n'avaient ancun effet. C'est l'excitation d
tations du noyau caudé n'avaient ancun effet. C'est l'excitation du noyau lenticulaire seul qui provoquait des contractio
0) est d'un avis contraire. Après ablation de l'écorce il trouve le noyau lenticulaire du lapin inexcitable. Les contract
observé des cas où la capsule interne était intacte et la lésion du noyau lenticulaire seule était capable de provoquer une
culaire n'est pas démontré. Une minorité fait une exception pour le noyau lenticulaire, dont la stimulation provoque- rai
ce'cerveau. Coupe /(intéressant la moitié antérieure de la tête du noyau caudé). Il I y a une réduction du corps strié j
rié jusqu'au tiers du volume normal. La proé- minence de la tête du noyau caudé a presque disparu. La surface ventricu- l
. Les coupes d'après Van Gieson montrent dans la substance grise du noyau 282 VAN WOERKOM caudé et du noyau lenticulair
rent dans la substance grise du noyau 282 VAN WOERKOM caudé et du noyau lenticulaire une forte prolifération du tissu név
par la présence d'un grand nombre de cellules araignées. Autour des noyaux névrogliques il se trouve un petit amas de pigm
liques il se trouve un petit amas de pigment jaune. Au milieu des noyaux névroglique, on remarque quelques cellules nerveu
rties du corps strié. Il y a encore une réduction des fascicules du noyau caudé. Dans le noyau lenticu- laire, les fascic
Il y a encore une réduction des fascicules du noyau caudé. Dans le noyau lenticu- laire, les fascicules qui restent se s
cence pigmentaire très forte. Il y a beaucoup de pigment autour des noyaux névro- gliques. La capsule externe et l'avant-m
aux yeux. La capsule interne est intacte. La surface épendymaire du noyau caudé est fortement plissée, mais dans son intéri
Coupe V (intéressant la partie antérieure de la couche optique). Le noyau caudé, le putamen et le globus pallidus sont en r
on corticale. Coupe VII (en arrière du corps de Luys). Le volume du noyau rouge n'a pas diminué, l'aspect fibrillaire dan
normal. Nous remarquons le manteau de fibres à myéline autour de ce noyau se conti- nuant dans un faisceau volumineux, qu
nti- nuant dans un faisceau volumineux, qui aboutit dans la base du noyau externe de la couche optique. Comme dans la cou
ous remarquons l'affaissement de cet organe. Microscopiquement, les noyaux de la couche opti- que ne montrent pas une dimi
st intacte ; nous remarquons les faisceaux fibrillaires entourant le. noyau externe de la couche optique ; la zone reticula
individu de cet àâe, en très bon état. Les cel- lules nerveuses du noyau rouge contiennent beaucoup de pigment, on en re
ennent beaucoup de pigment, on en remarque qui sont accompagnées de noyaux névrogliques nombreux. Il y a dans le noyau rou
i sont accompagnées de noyaux névrogliques nombreux. Il y a dans le noyau rouge une légère augmentation de la névroglie, su
de VIle et VIIIe. Coupe VIII (intéressant la partie postérieure du noyau rouge). Nous remarquons l'intégrité de la capsu
n'est constaté : la capsule interne, dont les faisceaux entourent le noyau externe, le stratum zonale, le ganglion haberiu
générescence pigmentaire plus ou moins forte, mais en général leurs noyaux sout bien conservés. C'est le même cas avec la
es signes légers d'involution généralisée. Parmi les cellules des noyaux de la VU' paire, on en rencontre qui sont en dé
usieurs d'entre elles ont pourtant conservé leur forme typique. Les noyaux de Deiters,les noyaux ambigus et les noyaux de la
ont pourtant conservé leur forme typique. Les noyaux de Deiters,les noyaux ambigus et les noyaux de la XIIe paire ont le m
leur forme typique. Les noyaux de Deiters,les noyaux ambigus et les noyaux de la XIIe paire ont le même aspect. Les olives
es coupes d'après Weigert-Pal, rien d'anormal n'est cons- taté. Les noyaux dentelés et les noyaux du toit ue montrent pas d'
rt-Pal, rien d'anormal n'est cons- taté. Les noyaux dentelés et les noyaux du toit ue montrent pas d'altérations microscop
éré, c'est à peine si on peut constater une légère augmentation des noyaux névrogliques dans le stratum zonale ; autour de
tion des noyaux névrogliques dans le stratum zonale ; autour de ces noyaux , uu peu de pigment est accu- mulé. Les vaisse
tion vasculaire, la densité du réseau capillaire et la présence des noyaux à formes très allongées ne laissent aucun doute
fortes. 0 A gauche, le corps strié est en réduction. Le nombre des noyaux est en forte augmentation, surtout autour des c
ssif est plus rare ; parfois un peu de pigment se trouve autour des noyaux névrogliques. D'après la méthode d'Alzheimer (col
roits. Les cellules nerveuses sont souvent entou- rées par quelques noyaux névrogliques, les cellules du globus pallidus son
ris un caractère très aigu : c'est la base de la partie antérieure du noyau lenticulaire. Ici tous les vaisseaux sont entou
te place les cellules névrogliques sont également en réaction : les noyaux sont plus grands et plus clairs, les corps sont
. Ce foyer d'inllammation occupe la partie antérieure de la base du noyau lenticulaire, il s'étend dans la substance innomi
s, le foyer a dis-' paru. Les altérations y sont peu prononcées. Le noyau lenticulaire, la couche optique et le noyau rou
sont peu prononcées. Le noyau lenticulaire, la couche optique et le noyau rouge ont, dans ces coupes, un volume à peu près
s cellules ner- veuses ont beaucoup de pigment, mais en général les noyaux sont eu bon état, la névroglie est en proliféra
uche on trouve un foyer de désintégration. Dans 'l'étage ventral du noyau caudé et du noyau lenticulaire nous remarquons un
foyer de désintégration. Dans 'l'étage ventral du noyau caudé et du noyau lenticulaire nous remarquons un réseau capillaire
à une lésion directe du cervelet, des brachia conjunc- tiva ou des noyaux ronges. Ces parties sont dans notre premier cas s
us-thalamiques. Dans la seconde observation. des lésions aiguës des noyaux lenticulaires sont constatées en des sièges sym
teux pas plus grands qu'un pois. En dehors des organes génitaux, un noyau calcifié, lipome épiploïque, s'était fixé sur l
es ont un protoplasma coloré en jaune clair par le van Gieson et un noyau ovalaire de dimensions variées. Les uoyaux les pl
prises dans les cellules des tumeurs en question. Le contenu de ces noyaux devient plus clair aux dépens de la substance c
e d'apparence vide et enveloppée par la membrane de chromatine. Les noyaux avec cette métamorphose « vacuolaire » peuvent av
embrane plissée ou par places enfoncée. Ils rappellent beaucoup les noyaux remplis de glycogène des cellules hépatiques ;
vif par le van Gieson. Ces traînées fibreuses sont très pauvres en noyaux . C'est dans ces bandes fibreuses souvent hyalin
dans une mesure appréciable; pour chacun des métacarpiens existe un noyau mesurant à peine 1 centi- mètre dans toutes ses
er que certaines parties du système nerveux central (par exemple le noyau du valgus, le noyau du moteur trijumeau), à l'opp
ties du système nerveux central (par exemple le noyau du valgus, le noyau du moteur trijumeau), à l'opposé 396 BOLTEN d
évrose traumatique (Arrêt du pouls dans la -), par IIASKOVEC, 55. Noyau rouge, connexions corticales, par La SALLE Arch
. La Salle AHCIIA\fB\ULT (d'Albany). Les connexions corticales du noyau rouge 188. et Benon. Asthénie traumatique e
nilatérale (Roubinovitch et REGNAULT de la SOURDIÈRE), LIV et LV. Noyau rouge, connexions corticales (La Salle ANCIIwAt
6 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
es noms abrégés des organes, plis corticaux, faisceaux d'association, noyaux ou commissures. 11 nous semble permis d'espérer q
culaire externe, nerf de la sixième paire. NG. Nucleus yracilis. NT». Noyau rouge de la calotte. 02. Deuxième circonvolutio
mmon, substance réticulaire d'Arnold. M. Gouttière de Monro. NaC. Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrolun-dum)
NaC. Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot. Premier sillon occipital
_ LE CERVEAU PL.7 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 61. BGI. Bandelette de Giacomini,
Scissure limbique. LMA. Substance réticulaire d'Arnold, 59. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NCC. Queue du noyau caud
ire d'Arnold, 59. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NCC. Queue du noyau caudô. NiC. Noyau interne du thalamus. O3. Tr
NaC. Noyau antérieur du thalamus. NCC. Queue du noyau caudô. NiC. Noyau interne du thalamus. O3. Troisième circonvoluti
U PL. 9 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE X ANL. Anse du noyau lenticulaire. Aq. Aqueduc de Sylvius, 79. C.
s, 70. M. Gouttière de Monro, 75. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire, 75, 77. MLI. Cloison verticale inte
erne du noyau lenticulaire, 75, 77. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire, 75. NA. Noyau amygdalien, 79, 80, 8
75, 77. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire, 75. NA. Noyau amygdalien, 79, 80, 81. NaC. Noyau antérieur du
e du noyau lenticulaire, 75. NA. Noyau amygdalien, 79, 80, 81. NaC. Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrotun- d
yau antérieur du thalamus (corpus album subrotun- dum), 69, 70. NC. Noyau caudé, 69, 74. NCC. Queue du noyau caudé, 74, 77,
lbum subrotun- dum), 69, 70. NC. Noyau caudé, 69, 74. NCC. Queue du noyau caudé, 74, 77, 80, 81. NeC. Noyau externe du thal
Noyau caudé, 69, 74. NCC. Queue du noyau caudé, 74, 77, 80, 81. NeC. Noyau externe du thalamus, 69, 70. NiC. Noyau interne d
u caudé, 74, 77, 80, 81. NeC. Noyau externe du thalamus, 69, 70. NiC. Noyau interne du thalamus, 69, 70. NR. Nucleus ruber, n
s, 69, 70. NiC. Noyau interne du thalamus, 69, 70. NR. Nucleus ruber, noyau rouge de Stilling, 79. O1. Quatrième circonvoluti
69. RC. Couronne rayonnante de Reil, 71. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 74. RQ. Recessus antérieur de la scissure
nce sur un plan plus antérieur, 187. LST. Stratum lacunosum, 187. NC. Noyau caudé, 187, 189, 190. P. Circonvolution pariétale
pariétal inférieur. Laq. Laqueus, 199. Lem. Lemniscus, 199. NC. Noyau caudé, 197. NCC. Queue du noyau caudé, 197. o
, 199. Lem. Lemniscus, 199. NC. Noyau caudé, 197. NCC. Queue du noyau caudé, 197. ot,t. Quatrième sillon occipito-tem
Tractus opticus zonalis, 202. Vd. Racine supérieure du trijumeau et noyau de la branche des-cendante du trijumeau. VF. Corn
s. LML. Lame médullaire externe ou latérale du thalamus, 222. NC. Noyau caudé, 207. NCC. Queue de noyau caudé, 207. O
ou latérale du thalamus, 222. NC. Noyau caudé, 207. NCC. Queue de noyau caudé, 207. OP. Opercule pariétal de Sylvius, o
il, ou fibres directes de la couche latérale de Reil, 224, 251. NC. Noyau caudé, 224. NCC. Queue du noyau caudé, 256. NiC.
che latérale de Reil, 224, 251. NC. Noyau caudé, 224. NCC. Queue du noyau caudé, 256. NiC. Noyau interne du thalamus, 224.
224, 251. NC. Noyau caudé, 224. NCC. Queue du noyau caudé, 256. NiC. Noyau interne du thalamus, 224. OP. Opercule pariétal d
thalamus, 255, 254, 255. LN. Locus niger. LTE. Lamina tegmenti. NC. Noyau caudé, 240. NCC. Queue du noyau caudé, 240. NeC.
ocus niger. LTE. Lamina tegmenti. NC. Noyau caudé, 240. NCC. Queue du noyau caudé, 240. NeC. Noyau externe du thalamus, 240.
tegmenti. NC. Noyau caudé, 240. NCC. Queue du noyau caudé, 240. NeC. Noyau externe du thalamus, 240. NiC. Noyau interne du t
Queue du noyau caudé, 240. NeC. Noyau externe du thalamus, 240. NiC. Noyau interne du thalamus, 240. NmC. Centre médian, 240
corps genouillé externe, 244, 252, 255. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 241, 252, 255. Rth. Couronne rayonnante de
amus, 271. LN. Locus niger, 261, 268. LTE. Lamina tegmenti, 267. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queu
268. LTE. Lamina tegmenti, 267. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau exte
267. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau
térieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalam
audé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 258. NR. Noyau rouge de la c
. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 258. NR. Noyau rouge de la calotte, 259. OP. Opercule pariétal d
rayonnante du corps genouillé interne. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 269. Rth. Radiatio thalami. T1. Premiè
er G. Masson Edit PLANCHE XXV ALV. Alveus, 274, ANC. Anse, du noyau caudé, 274. ARC. Faisceau arqué, 287. RSO. Ba
entum, participant à la formation du stratum interme-dium, 282. NC. Noyau caudé, 274. NCC. Queue du noyau caudé, 275. N
du stratum interme-dium, 282. NC. Noyau caudé, 274. NCC. Queue du noyau caudé, 275. NeC. Noyau externe du thalamus. N
282. NC. Noyau caudé, 274. NCC. Queue du noyau caudé, 275. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thal
. Queue du noyau caudé, 275. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 275. NR. Noyau rouge de St
yau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 275. NR. Noyau rouge de Stilling, 277, 281. OP. Opercule parié
nnante du corps genouillé externe, 285. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 285, 288. S'. Branche postérieure de la
E CERVEAU P L . 2 5 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 500. ABC. Faisceau arqué, 504. AR
capsule, zona incerta (Forel), 501. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire, 294, 298, 502. MLI. Cloison vertica
noyau lenticulaire, 294, 298, 502. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NCC. Queue du noyau caudé, 292. NeC
. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NCC. Queue du noyau caudé, 292. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC.
e interne du noyau lenticulaire. NCC. Queue du noyau caudé, 292. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalam
NCC. Queue du noyau caudé, 292. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Mi. Noyau rouge de Stilling,
. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Mi. Noyau rouge de Stilling, 292, 295. OF. Opercule frontal
nte du corps genouillé externe, 295, 502. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. S'. Branche postérieure de la scissure de
Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV. Alveus, 507/ ANL. Anse du noyau lenticulaire, 519. ARC. Faisceau arqué, 526.
, zona incerta (Forel), 512, 519. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire, 509, 524. MOC. Moteur oculaire co
. MOC. Moteur oculaire commun, nerf de la troisième paire, 509. NA. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus (c
commun, nerf de la troisième paire, 509. NA. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrolun- d
Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrolun- dum), 508. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé, 508, 521. NiC
(corpus album subrolun- dum), 508. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé, 508, 521. NiC. Noyau interne du thalamus,
m), 508. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé, 508, 521. NiC. Noyau interne du thalamus, 508. NL. Fibres latérales
, 521. NiC. Noyau interne du thalamus, 508. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro- thalamique
oyau rouge de la calotte, faisceau rubro- thalamique, 517, 526. NR. Noyau rouge de la calotte, 508, 516. OP. Opercule parié
ceau longitudinal postérieur, 509, 515. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. SH Sillon de l'hippocampe au niveau de l
Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV. Alveus, 529. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 554, 558, 549. ARC. Faisceau arqu
zona incerta, 552, 555, 558, 541. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire. MLI. Cloison verticale interne du
le externe du noyau lenticulaire. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NA. Noyau amygdalien, 529, 544.
ulaire. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NA. Noyau amygdalien, 529, 544. NaC. Noyau antérieur du t
terne du noyau lenticulaire. NA. Noyau amygdalien, 529, 544. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 551, 554. NC. Noyau caud
dalien, 529, 544. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 551, 554. NC. Noyau caudé, 550, 549. NCC. Queue du noyau caudé, 550
r du thalamus, 551, 554. NC. Noyau caudé, 550, 549. NCC. Queue du noyau caudé, 550. NeC. Noyau externe du thalamus, 552
NC. Noyau caudé, 550, 549. NCC. Queue du noyau caudé, 550. NeC. Noyau externe du thalamus, 552, 545. NL. Faisceau rub
8 Héliog. Lemercier G. Masson Edit AL Y. Alveus. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 562, 566 AR. Faisceau d'Arnold, 5
ance innominôe sous-lenticulaire, 560, 562. GLA. Globus accessoire du noyau lenticulaire, 557. GLM. Globus medialis, 557. GLP
au médullaire de la capsule, 566. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire. MLI. Cloison verticale interne du
le externe du noyau lenticulaire. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NA. Noyau amygdalien, 556, 569.
ulaire. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NA. Noyau amygdalien, 556, 569. NaC. Noyau antérieur du t
terne du noyau lenticulaire. NA. Noyau amygdalien, 556, 569. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 357. NC. Noyau caudé.
amygdalien, 556, 569. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 357. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé, 556. NeC. N
Noyau antérieur du thalamus, 357. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé, 556. NeC. Noyau externe du thalamus, 557
mus, 357. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé, 556. NeC. Noyau externe du thalamus, 557. NEL. Nerfs de Lancisi
rayonnante inférieure du putamen, 572. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 575. SG. Substance grise centrale sous-é
VEAU P L . 2 9 iHéliog. Lemercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire, 378. AR. Faisceau d'Arnold, 380. AR
rne ou latérale du thalamus, 588. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire. MLI. Cloison verticale interne du n
cale externe du noyau lenticulaire. MLI. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. \A. Noyau amygdalien. NaC. Noyau an
n verticale interne du noyau lenticulaire. \A. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 577. ot,t. Quatrième sillo
olandique inférieur. PUT. Putamen, 577. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 586, 587. Sr. Branche postérieure de la
E CERVEAU P L . 3 0 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ANC. Anse du noyau caudé, 596, 404. ANL. Anse du noyau lenticulair
r G. Masson Edit ANC. Anse du noyau caudé, 596, 404. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 595, 404. BO. Bandelette optique,
, 405. LES. Capsula extrema, 408. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire, 597. NC. Noyau caudé, 591, 592, 404
408. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire, 597. NC. Noyau caudé, 591, 592, 404. OLC. Fibres commissurales
olandique inférieur. PUT. Putamen, 591. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 591, 598, 404. S'. Branche postérieure d
CERVEAU P L . 31 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ANC. Anse du noyau caudé, 411. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 41
cier G. Masson Edit ANC. Anse du noyau caudé, 411. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 410. ARC. Faisceau arqué, 418.
f. Fibres lenticulo-caudées, 411, 416. LFS. Capsida extrema, 416. NC. Noyau caudé, 409. OLM. Racine olfactive moyenne, 410. P
m lucidum, 412, 415. PUT. Putamen, 409. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. ROS. Rostrum, fibres transversales du be
Reil. L. Scissure limbique, 421, 425. LFS. Capsula extrema. NC. Noyau caudé, 421. ttF. Grand pli de passage fronto-li
nd pli de passage fronto-limbique, 420. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 422, 424. ROS. Rostrum, fibres transvers
.33 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXIV ANC. Anse du noyau caudé, -450. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 4
Edit PLANCHE XXXIV ANC. Anse du noyau caudé, -450. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 450, 452. Aq. Aqueduc de Sylvius.
MF. Faisceau médullaire de la capsule, zona incerta, 428, 452. NA. Noyau amygdalien. NC. Noyau caudé, 429. NCC. Queue
de la capsule, zona incerta, 428, 452. NA. Noyau amygdalien. NC. Noyau caudé, 429. NCC. Queue du noyau caudé, 450. N
452. NA. Noyau amygdalien. NC. Noyau caudé, 429. NCC. Queue du noyau caudé, 450. NR. Noyau rouge de Stilling, 428.
lien. NC. Noyau caudé, 429. NCC. Queue du noyau caudé, 450. NR. Noyau rouge de Stilling, 428. 02. Deuxième sillon occ
er G. Masson Edit PLANCHE XXXV ALV. Alveus, 458. ANC. Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 431*.
E XXXV ALV. Alveus, 458. ANC. Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 431*. AR.f Faisceau d'Arnold. B
de la capsule, zona incerta, 459. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire. ML1. Cloison verticale interne du
le externe du noyau lenticulaire. ML1. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NC. Noyau caudé, 456. NCC. Queu
ulaire. ML1. Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NC. Noyau caudé, 456. NCC. Queue du noyau caudé, 456. N
nterne du noyau lenticulaire. NC. Noyau caudé, 456. NCC. Queue du noyau caudé, 456. NL. Faisceau rubro-thalamique. Nm
6. NL. Faisceau rubro-thalamique. NmC. Centre médian, 457. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 456, 457. NR. Noyau rou
tre médian, 457. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 456, 457. NR. Noyau rouge de la calotte, 455. O2. Deuxième circonvo
Tubercule quadrijumeau antérieur, 455. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. Rth, Radiatio thalami, couronne rayonnan
Lame médullaire externe du thalamus, 441. LY. Lyre de David. NC. Noyau caudé, 441. NCC. Queue du noyau caudé, 442. N
us, 441. LY. Lyre de David. NC. Noyau caudé, 441. NCC. Queue du noyau caudé, 442. NeC. Noyau externe du thalamus, 441
vid. NC. Noyau caudé, 441. NCC. Queue du noyau caudé, 442. NeC. Noyau externe du thalamus, 441. NiC. Noyau interne du
ue du noyau caudé, 442. NeC. Noyau externe du thalamus, 441. NiC. Noyau interne du thalamus, 440. NpC. Noyau postérieur
terne du thalamus, 441. NiC. Noyau interne du thalamus, 440. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 440. 01. Première circo
amus, 445. LML. Lame médullaire externe ou latérale du thalamus. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 445. NC. Noyau caudé, 445.
e ou latérale du thalamus. NaC. Noyau antérieur du thalamus, 445. NC. Noyau caudé, 445. NCC. Queue du noyau caudé, 445. NeC.
Noyau antérieur du thalamus, 445. NC. Noyau caudé, 445. NCC. Queue du noyau caudé, 445. NeC. Noyau externe du thalamus. 01.
amus, 445. NC. Noyau caudé, 445. NCC. Queue du noyau caudé, 445. NeC. Noyau externe du thalamus. 01. Première circonvolutio
. Lobe carré. R. Scissure de Rolando. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 448. S'". Branche verticale de Sylvius.
455, 456. LTE. Lamina tegmenti. MLE. Cloison verticale externe du noyau lenticulaire. MLL Cloison verticale interne du
ale externe du noyau lenticulaire. MLL Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NC. Noyau caudé, 451. NCC. Queu
culaire. MLL Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. NC. Noyau caudé, 451. NCC. Queue du noyau caudé. NiC. N
nterne du noyau lenticulaire. NC. Noyau caudé, 451. NCC. Queue du noyau caudé. NiC. Noyau interne du thalamus, 456. N
iculaire. NC. Noyau caudé, 451. NCC. Queue du noyau caudé. NiC. Noyau interne du thalamus, 456. NR. Noyau rouge de St
C. Queue du noyau caudé. NiC. Noyau interne du thalamus, 456. NR. Noyau rouge de Stilling. 02. Deuxième circonvolution
érieur, 452, 455. R. Scissure de Rolando. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. ROS. Roslrum. Rth. Radiatio thalami, cou
8 Héliog. Lemercier G. Masson Edit PLANCHE XXXIX ANC. Anse du noyau caudé, 457. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 45
Edit PLANCHE XXXIX ANC. Anse du noyau caudé, 457. ANL. Anse du noyau lenticulaire, 457. AR. Faisceau d'Arnold, 457.
édullaire ou substance réticulaire du carrefour frontal, 457. NA. Noyau amygdalien, 458. NC. Noyau caudé, 457. NeC. N
laire du carrefour frontal, 457. NA. Noyau amygdalien, 458. NC. Noyau caudé, 457. NeC. Noyau externe du thalamus. N
tal, 457. NA. Noyau amygdalien, 458. NC. Noyau caudé, 457. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thal
458. NC. Noyau caudé, 457. NeC. Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Or Deuxième sillon occipit
E CERVEAU P L . 3.9 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ANL. Anse du noyau lenticulaire. BO. Bandelette optique, tractus o
issure calcarine. LC. Lamina convoluta. EST. Stratum lacunosum. NA. Noyau amygdalien, 459, 460, 461. NCC. Queue du noyau ca
Stratum lacunosum. NA. Noyau amygdalien, 459, 460, 461. NCC. Queue du noyau caudé, 459. NR. Noyau rouge de la calotte. O1.
Noyau amygdalien, 459, 460, 461. NCC. Queue du noyau caudé, 459. NR. Noyau rouge de la calotte. O1. Quatrième circonvoluti
mmon, substance réti- culaire d'Arnold. LST. Stratum lacunosum. NA. Noyau amygdalien, 463. NCC. Queue du noyau caudé, 463.
old. LST. Stratum lacunosum. NA. Noyau amygdalien, 463. NCC. Queue du noyau caudé, 463. otk. Quatrième sillon occipito-tempor
réti- culaire d'Arnold, 464, 465. LN. Locu* niger de Sœmmering. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NR. Noyau rouge
64, 465. LN. Locu* niger de Sœmmering. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NR. Noyau rouge de Stilling. 0'. Quatriè
* niger de Sœmmering. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NR. Noyau rouge de Stilling. 0'. Quatrième circonvolution
42 Héliog. Lemercier G. Masson Edit ALV. Alveus. ANC Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. AR. F
Masson Edit ALV. Alveus. ANC Anse du noyau caudé. ANL. Anse du noyau lenticulaire. AR. Faisceau d'Arnold. Bf. Fent
ubstance réticulaire dn carrefour frontal. LY. Lyre de David. NA. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus.
arrefour frontal. LY. Lyre de David. NA. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC.
id. NA. Noyau amygdalien. NaC. Noyau antérieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau
NaC. Noyau antérieur du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau externe du thalamus. NEL. N
r du thalamus. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NeC. Noyau externe du thalamus. NEL. Nerfs de Lancisi. N
dé. NeC. Noyau externe du thalamus. NEL. Nerfs de Lancisi. NiC. Noyau interne du thalamus. NmC. Centre médian (Luys).
NiC. Noyau interne du thalamus. NmC. Centre médian (Luys). NPi. Noyau rouge de la calotte. Oi. Scissure perpendiculai
7 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ées les cavités ventri-culaires et où apparaissent comme enclavés les noyaux gan-glionnaires centraux, à savoir les couches op
— P, P, capsule interne ou pied de l'expansion pédonculaire ; — L, L, noyau lenticulaire; — K, capsule externe ; — M, M, avan
L la petite ou queue est en arrière et en dehors, nous l'ap-pellerons noyau caudé du corps strié; l'autre, interne et pos-tér
isième ventricule. Ces deux masses grises, intra-ventriculaires, le noyau caudé du corps strié et la couche optique reposen
éventail, plus volumineux que les deux autres se trouve un troisième noyau , ayant à peu près la forme d'une lentille plane-c
yant à peu près la forme d'une lentille plane-convexe, d'où le nom de noyau lenti-culaire (Burdach) (1). Comme il occupe d'av
en connaître pour l'anatomiste, au-quel elle indique les rapports des noyaux entre eux et avec le pédoncule, et, pour le clini
ve la sec- (1) Dans la nomenclature, usitée chez nous, on l'appelle noyau extravenlt'i-culaire du corps strié. lion de la
corps strié (C). En dehors de la capsule interne, vous rencontrez le noyau lenticulaire du corps strié (L) avec ses trois se
e noyau lenticulaire du corps strié (L) avec ses trois seg-ments. Ces noyaux gris sont, peut-être., autant de cen-tres doués d
upé par un foyer hémorrhagique, — la cap-sule externe ou interne, les noyaux de la substance grise, le pied de la couronne ray
e la moelle épinière (cellules motrices). — Dimensions, forme, corps, noyau , nucléole, protoplasma, fibrilles et granulations
lules géantes. — Constitution de ces cellules : configuration, corps, noyau , nucléole; — prolongements cellulaires; pro-longe
e , et Schultze déclare y avoir reconnu la structure fi-brillaire. Le noyau , suivant beaucoup d'au-tres, est anguleux et re-F
ve des cor-dons latéraux, la paralysie bulbaire par lésion isolée des noyaux d'origine des nerfs, etc. Mais, au-dessus de ce p
ésions systématiquement limitées aux couches optiques, aux différents noyaux du corps strié, aux diverses circonscriptions de
ioles qui le composent nourrissent la partie antérieure de la tête du noyau caudé. Le second — groupe médian postérieur, 2,
e pratiquée dans le domaine de l'artère sylvienne, la circulation des noyaux gris paraît confondue avec celle de l'é-corce gri
des noyaux gris paraît confondue avec celle de l'é-corce grise et des noyaux blancs sous-jacents: mais c'est là une illusion,
s ganglions centraux. Artère sylvienne ; ses branches : artères des noyaux gris centraux ; — bran-ches corticales, ramificat
quel est formé par delà substance blanche. Ce sont là les artères des noyaux gris centraux ou, d'une façon plus spéciale, les
corps strié. Nous laisserons de côté, pour l'instant, le sys-tème des noyaux gris pour ne nous attacher qu'au système cortical
circonvolutions de l'insula. — P, branches perfo-rantes destinées aux noyaux gris centraux. — 1, artère de la circonvolution d
proprement dit. SEPTIÈME LEÇON Circulation des masses centrales ( noyaux gris et capsule interne). Sommaire. — Circulati
ux gris et capsule interne). Sommaire. — Circulation artérielle des noyaux gris centraux. — Hémorrhagie intra-encéphalique.
ébrales antérieure et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur forme et leurs rapports. — Considérat
propose d'appeler votre atten-tion sur la circulation artérielle des noyaux gris centraux. Vous savez que, sous ce nom, on dé
éclamer tous nos soins; car les phénomènes qui se produisent dans ces noyaux , en con- séquence des lésions vasculaires, ne l
férence entre les artères nourricières corti-cales et les artères des noyaux gris centraux : les premières, en effet, sont, à
ntraire, des vaisseaux d'un certain calibre. Un autre caractère des noyaux centraux c'est que, selon l'acception donnée à
épondérant. Ces artères donnent toutes les branches qui se rendent au noyau caudé, à l'exception du petit domaine des branche
es inconstantes de la cérébrale antérieure, et aux divers segments du noyau lenticulaire. Nous prendrons en conséquence les
théorie des loca-lisations cérébrales, à savoir la couche optique, le noyau caudé, le noyau lenticulaire et enfin la capsule
-lisations cérébrales, à savoir la couche optique, le noyau caudé, le noyau lenticulaire et enfin la capsule interne : tels s
éventail. Sur cet éventail, laissez-moi continuer la comparaison, les noyaux de substance grise sont disposés ainsi qu'il suit
la couche optique ; en dedans encore, mais en avant et au-dessus, le noyau caudé ; en dehors de l'éventail et au-dessous de
dé ; en dehors de l'éventail et au-dessous de la couche optique et du noyau caudé est situé le noyau lenticulaire qui s'étend
ail et au-dessous de la couche optique et du noyau caudé est situé le noyau lenticulaire qui s'étend en avant et à peu près a
faire qu'indiquer en passant, la forme et les principaux rapports des noyaux gris que je viens d'énumé-rer : 1° La couche op
très multipliées et très étroites avec les parties contiguës. 2° Le noyau caudé a la forme d'une virgule — ou encore d'une
rtie, appliquée sur l'extrémité su-périeure de la capsule interne. Ce noyau est très facile à détacher par la dissection ; to
, les nombreux faisceaux qu'il reçoit par la capsule interne. 3° Le noyau lenticulaire, bien que recouvert dans toute sa pé
ubstance grise, se confond à son extrémité la plus antérieure avec le noyau intra-ventriculaire du corps strié; —b) La second
rié; —b) La seconde portion, qui répond aux deux tiers postérieurs du noyau lenticulaire, est aplatie de haut en bas, de mani
ant-mur et la capsule externe ; on tombe enfin sur la face externe du noyau lenticulaire. Sur des pièces durcies, la sépara
durcies, la séparation entre la capsule externe et la face externe du noyau lenticulaire s'opère pour ainsi dire sans artific
e vaisseaux — qui re-lient la capsule externe au troisième segment du noyau len-ticulaire. On peut dire, d'après les relati
, d'après les relations qui viennent d'être indi-quées, que les trois noyaux ou masses grises centrales, couche optique, noyau
ées, que les trois noyaux ou masses grises centrales, couche optique, noyau caudé, noyau lenticulaire, sont en quelque sorte,
trois noyaux ou masses grises centrales, couche optique, noyau caudé, noyau lenticulaire, sont en quelque sorte, comme l'a di
re de cotylédons. Du côté des ventricules, la couche optique et les noyaux caudés sont isolés, le noyau lenticulaire est iso
s ventricules, la couche optique et les noyaux caudés sont isolés, le noyau lenticulaire est isolé, lui aussi, virtuellement
st isolé, lui aussi, virtuellement du moins, du côté de l'insula. Ces noyaux de substance grise forment donc comme un système
pour le moment, sur les détails de structure relatifs aux différents noyaux ; j'y reviendrai quand l'occasion se présentera.
provenant du pied s'arrêtent en chemin pour pénétrer dans les divers noyaux . Cependant, j'estime qu'ils sont allés beaucoup t
vers l'isthme, jusque dans les régions les plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0, couche optique. — N L, noyau lentic
plus in- Fig. 18. — N C, noyau caudé. — C 0, couche optique. — N L, noyau lenticu-laire avec ses trois segments. — A M, ava
'Amman. — N I, insula de ReiL — F L, fibres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire. — F G, fibres pédonculaires desti
ées au noyau lenticulaire. — F G, fibres pédonculaires destinées au noyau caudé. — F S, fibres du noyau lenticulaire qui se
F G, fibres pédonculaires destinées au noyau caudé. — F S, fibres du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïd
lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdal. — F N, fibres du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. — F K, fib
bres du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. — F K, fibres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de
s striés qu'ils abordent par la face inférieure ; les autres vont aux noyaux lenticu-laires qu'ils pénètrent par le premier se
'est due la différence de couleur des trois segments qui composent le noyau lenticulaire. (1) Henle. — Nervenlehre, p. 261.
ébral d'autres faisceaux que ceux du tegmentum. Fig. 19. — 1, 2, 3, noyau lenticulaire. — B, portion basilaire du noyau cau
. Fig. 19. — 1, 2, 3, noyau lenticulaire. — B, portion basilaire du noyau caudé — I n, insula. — K, substance blanche inter
manées du tapehim. — F3, fibres émanées des deux segments internes du noyau lenticulaire. — S Th, S ch 1 et Z, les quatre cou
Meynert.) A ces faisceaux qui, du pied du pédoncule, se rendent aux noyaux gris centraux, succèdent dans la partie supérieur
e de la capsule interne des faisceaux qui, prenant origine dans les noyaux gris, vont concourir à la formation de la couronn
ayonnants de la couche optique ; 3° les faisceaux rayonnants issus du noyau lenticulaire, lesquels se détachent principalemen
rayonnants de la couche optique ; 2° ceux du corps strié ; 3° ceux du noyaux lenticulaire — ces divers faisceaux rattachent à
x lenticulaire — ces divers faisceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centraux ; 4° les faisceaux directs qui, du
ied du pédoncule, se rendent à l'écorce grise sans s'arrêter dans les noyaux gris centraux. On peut, dans la capsule interne
UITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris Sommaire. — Origine du système artériel de
agieintra-encé-phalique. — Diagnostic régional. Lésions isolées des noyaux gris, sans participation de la capsule interne. —
nce. Elle fournit : 1° à la plus grande partie du noyait caudé, 2° au noyau lenticulaire tout entier; 3° à une portion de la
sma des nerfs optiques ; — B, section de la bandelette optique ; — L, noyau lenticulaire du corps strié ; — I, capsule intern
— I, capsule interne ou pied de la cou-ronne rayonnante de Reil; — C, noyau caudé ou intra-ventriculaire du corps strié; — E,
dé ou intra-ventriculaire du corps strié; — E, capsule externe ; — T, noyau taeniforme, avant-mur; — R, cir-convolution de l'
es attributions fort modestes. Elle artérialise seule-ment la tête du noyau caudé et encore sa participation n'est-elle pas c
— P, P, capsule interne ou pied de l'expansion pédonculaire ; — L, L, noyau lenticulaire ; — K, capsule externe; —M, M, avant
et enfin la capsule externe. On met ainsi à nu la surface externe du noyau lenticulaire dans toute son étendue. Si la prépar
réparation est facile parce que, dans sa partie frontale au moins, le noyau lenticulaire est, pour ainsi dire, naturellement
ce à cet artifice, qu'elles forment comme un éventail à la surface du noyau gris. Mais, à une assez courte distance de leur o
, pratiquée en arrière du chiasma (Fig. 20), nous montre seulement le noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la couche optiqu
ière du chiasma (Fig. 20), nous montre seulement le noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la couche optique étant plus posté
on décou-vre d'autres artérioles plus petites à lasurface externe du noyau lenticulaire, et qu'on peut appeler internes ; ap
s s'élèvent presque verti-calement dans les deux premiers segments du noyau lenticu-laire et dans les parties attenantes de l
ans la première partie de leur trajet, rampent sur la face externe du noyau lenticulaire. Elles doivent être divisées en deux
tie supérieure de la capsule interne, puis arrive dans l'épaisseur du noyau caudé. Elle se continue ensuite jus-qu'aux région
lle se continue ensuite jus-qu'aux régions les plus antérieures de ce noyau , en se diri-geant d'arrière en avant. La distri
c artériel principal. Alors, le ramollissement porte sur la masse des noyaux gris tout entière ou peu s'en faut, — les distric
mptômes particuliers les destructions de la couche optique, celles du noyau caudé, celles du noyau lenticulaire et, à plus fo
s destructions de la couche optique, celles du noyau caudé, celles du noyau lenticulaire et, à plus forte raison, celles de s
465, n°s 808-^09; #10, t?t ». 478. n° 830. de la surface externe du noyau lenticulaire, entre celte surface et la capsule e
oites, linéaires, dirigées à peu près verticalement, parallèlement au noyau gris de l'a-vant-mur. (Fig. 22). Quandl'épancheme
ianesthésie. — A, corps calleux ; — B, B, ventricule latéral; — C, C, noyau caudé ; — D, D, noyau lenticulaire; — E, E, ré-gi
s calleux ; — B, B, ventricule latéral; — C, C, noyau caudé ; — D, D, noyau lenticulaire; — E, E, ré-gion antérieure ou lenti
u. 1° Pour ce qui regarde d'abord les lésions isolées de chacun des noyaux gris centraux, sans participation de la capsule i
'impossibilité de distinguer, pendant la vie, une lésion limitée au noyau lenticulaire, d'une lésion circonscrite dans le n
sion limitée au noyau lenticulaire, d'une lésion circonscrite dans le noyau caudé et les lésions de la couche optique, — bien
orps strié. Les symptômes qui accompagnent ces lésions limitées aux noyaux gris centraux, sont ceux Yhémiplègie cérébrale vu
les. b) Dans la majorité des cas, la paralysie liée aux lésions des noyaux gris centraux porte sur le mouvement seul; les tr
c) L'hémiplégie, liée aux altérations ainsi circonscrites dans les noyaux gris, est communément transitoire, passagère, peu
tion. La bénignité relative des lésions limitées à la substance des noyaux gris tient sans doute pour une part à cette circo
yaux gris tient sans doute pour une part à cette circonstance que ces noyaux ne sont à peu près jamais lésés dans leur tota-li
ne sont à peu près jamais lésés dans leur tota-lité. Ainsi, jamais le noyau caudé, par exemple, — et ce fait s'explique par l
st-à-dire, sans la participation de la capsule in-terne ou des autres noyaux gris. D'un autre côté, le caractère transitoire d
nelle pouvant s'établir au besoin, soit entre les diverses parties du noyau caudé, soit entre le noyau caudé et les di-vers s
besoin, soit entre les diverses parties du noyau caudé, soit entre le noyau caudé et les di-vers segments du noyau lenticulai
du noyau caudé, soit entre le noyau caudé et les di-vers segments du noyau lenticulaire. 2° En revanche, les lésions de la
à ce tractus blanc, et qu'elles n'intéressent enrien la substance des noyaux gris, ces lésions dis-je, produisent l'hémiplégie
capsule, région où ce tractus blanc sépare l'extré-mité antérieure du noyau lenticulaire de la tête du noyau eau-dé, et qui a
nc sépare l'extré-mité antérieure du noyau lenticulaire de la tête du noyau eau-dé, et qui appartient, comme vous le savez, a
B, cavité des ventricules latéraux. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, région postérieure ou lentic
essant par en haut la capsule interne. — SS, extrémité postérieure du noyau caudé. Si, au contraire, ayant envahi le domain
e, dans la région où celle-ci passe entre l'extrémité pos-térieure du noyau lenticulaire et la couche optique, la présence de
d'un phénomène de voisinage, en conséquence d'une lésion limitée aux noyaux gris qui l'environnent de tous côtés. Ainsi, la d
ris qui l'environnent de tous côtés. Ainsi, la distension d'un de ces noyaux dans un cas d'hémorragie interstitielle pourrait
fois commise — de rapporter à la destruction de l'un quel-conque des noyaux gris, couches optiques ou corps striés, des sym
interne. (Hémiplégies.) — Rupture d'e l'artère lenticulo-striée. — G, noyau caudé du corps strié. — I, uipsule interne.— E, c
r. (Des-truction de la capsule externe, refoulement ou destruction du noyau caudé.) Permettez-moi — le sujet en vaut la pei
e dans le lieu d'élection. Le sang se sera donc épanché, en dehors du noyau lenticulaire, dans l'espace virtuel dont il a été
été question plusieurs fois déjà ; en outre, le troisième segment clu noyau lenticulaire autrement dit put a- men sera le p
capsule externe, résisLe à l'effort du sang extravasé, tandis que les noyaux gris sont le plus souvent refoulés dans leur Ei
tère lenticulo-optique. — 0, couche optique. —I, capsule interne. —L, noyau lenticulaire —E, capsule externe. — T, avant-mu
e. —L, noyau lenticulaire —E, capsule externe. — T, avant-mur. — G, noyau caudé. — I, foyer primitif (au lieu d'élection) d
er. 2334 Tantôt le foyer sanguin reste circonscrit aux parties du noyau lenticulaire qui correspond à la moitié ou aux de
foyer se sera répandu jusque sur les parties les plus postérieures du noyau lenticulaire , la compression portant alors aussi
hémianes-thésie et post mortem l'existence d'un foyer intéressant le noyau lenticulaire, irez-vous conclure du rapprochement
ez-vous conclure du rapprochement de ces deux ordres de faits, que le noyau lenticulaire tient sous sa dépendance, à la fois
et même la paralysie motrice, mal-gré la destruction d'une partie du noyau lenticulaire, auraient sans doute disparu dans le
s. Ce qui vient d'être dit, Messieurs, au sujet de l'hémorrhagie du noyau lenticulaire, s'applique également aux hémorrhagi
capsule interne, le faisceau des fibres pédonculaires se ren-dant au noyau caudé. Les fibres appartenant également à la caps
fibres appartenant également à la capsule interne, qui se rendent au noyau lenticulaire, occupent un plan situé au-dessous e
rte détaché de l'ensemble, et qui, sans pénétrer dans l'épaisseur des noyaux gris, se recourbe en arrière, où d atteint le bor
oyaux gris, se recourbe en arrière, où d atteint le bord inférieur du noyau lenticulaire. (Fiy. 26). C'est là, vous le voye
ceau direct, puisque les fibres Fig. 26. — A, corpus striatum. — B, noyau lenticulaire. —C, fibres pédonculaires se rendant
sions intéressent seulement la partie de la capsule comprise entre le noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé, i'anes-th
rtie de la capsule comprise entre le noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé, i'anes-thésie fait défaut. Cesdonnées,four
q millimètres en avant du chiasma des nerfs optiques. —S, S, les deux noyaux caudés du corps strié. — L, noyau lenticulaire, —
es nerfs optiques. —S, S, les deux noyaux caudés du corps strié. — L, noyau lenticulaire, — P, P, expansion pédonculaire (cap
niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0, couches optiques. — S, S, noyaux caudés. — L, L, noyaux lenticulaires. — P, P, c
millaires. — 0, 0, couches optiques. — S, S, noyaux caudés. — L, L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région po
ont concourir directement, sans être entrés en communication avec les noyaux gris des masses centrales, à la formation de la c
fibres centripètes directes, c'est-à-dire ne s'arrêtant pas dans les noyaux gris des masses centrales et qui, à l'issue de la
ou plusieurs amas de substance grise, qu'on est convenu d'appeler les noyaux d'origine, et ce sont des expansions nées dans ce
appeler les noyaux d'origine, et ce sont des expansions nées dans ces noyaux , qui, d'une façon indirecte, mettraient ces nerfs
tance grise corticale. — S ii, Sulcus hippocampi. — ll, 2- segment du noyau lenticulaire. — G T, l'avant mur. — C s, la queue
, dans la topographie, un rôle important (Fig. 32). On a détaché le noyau caudé dont les contours se trouvent représentés p
ne relation entre le lobe frontal et le sphénoïdal. Fig. 31. — N G, noyau caudé. — GO, couche optique. — N L, noyau lenticu
hénoïdal. Fig. 31. — N G, noyau caudé. — GO, couche optique. — N L, noyau lenticu-laire avec ses trois segments. — A M, ava
Ammon. — N I, insula de Reil. — P L, libres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire. F G, fibres pédonculaircs destiné
inées au noyau lenticulaire. F G, fibres pédonculaircs destinées au noyau caudé. — F S, libres du noyau lenticulaire qui se
F G, fibres pédonculaircs destinées au noyau caudé. — F S, libres du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïd
lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdal. — F N, fibres du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. — F K., li
res du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. — F K., libres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, fibres de
nt de prendre un détour et d'étudier ce qu'on sait relativement à ces noyaux de substance grise, où les nerfs optiques prennen
ps genouillés internes et externes sont notoirement les deux premiers noyaux de substance grise avec lesquels les nerfs optiqu
t elle-même plusieurs faisceaux qui se mettent en rapport avec divers noyaux gris. 1° On peut dis-tinguer d'abord un faisceau
que la racine externe des nerfs optiques prend son origine dans trois noyaux de subs-tance grise, à savoir : 1° la couche opti
Cm, commissure moyenne. Aq, aqueduc. Li, Lti, Lui, les segments du noyau lenticulaire. — Na, tête et Ne, queue du noyau ca
, Lui, les segments du noyau lenticulaire. — Na, tête et Ne, queue du noyau caudé. Th, partie de la couche optique située e
es masses centrales (cap-sule interne dans ses deux tiers antérieurs, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lé
rales (cap-sule interne dans ses deux tiers antérieurs, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces r
les faits de la pathologie humaine. — Différence entre les lésions du noyau caudé et celles de la partie antérieure de la cap
I, insula. —L, foyer de ramollissement ancien de la partie moyenne du noyau caudé et de la capsule interne. Le foyer, qu cons
ule interne; 2° en dedans de celle-ci, la grosse extrémité ou tête du noyau caudé ; 3° en dehors, du côté de l'insula, les de
en dehors, du côté de l'insula, les deux tiers antérieurs environ du noyau lenticulaire. L'observation — et il s'agit ici
, même étendues et profondes, qui restent limitées dans la sphère des noyaux gris (noyau caudé ou noyau lenticulaire), ne dé-t
es et profondes, qui restent limitées dans la sphère des noyaux gris ( noyau caudé ou noyau lenticulaire), ne dé-terminent, en
, qui restent limitées dans la sphère des noyaux gris (noyau caudé ou noyau lenticulaire), ne dé-terminent, en règle générale
e, com-parée à leur faible degré dans le cas des lésions limitées aux noyaux gris, après quoi, j'envisagerai le caractère tran
inférieur du pédoncule cérébral sans s'être mises en rapport avec les noyaux gris lenticulaire ou caudé ; 2° des fibres pédonc
s indirectes, lesquelles, au contraire, prennent leur origine dans le noyau lenticulaire ou caudé et n'ont aucune relation av
des faisceaux de fibres qui s'étendent de la substance corticale aux noyaux gris des masses centrales. Nous supposerons que
motrice développée soit dans l'écorce grise du cerveau, soit dans les noyaux gris lenticulaire et caudé. Dans cette hypothès
pprimer du même coup l'influence de l'écorce grise, et celle des deux noyaux gris, tandis qu'au contraire, une lésion limitée
e des deux noyaux gris, tandis qu'au contraire, une lésion limitée au noyau lenticulaire, laissera subsister l'action du noya
lésion limitée au noyau lenticulaire, laissera subsister l'action du noyau caudé, de cer-taines régions de l'écorce grise, d
ion du noyau caudé, de cer-taines régions de l'écorce grise, des deux noyaux gris à la fois, avec ou sans participation des fi
-raire dans les membres du côté opposé du corps ; 2° L'extirpation du noyau caudé détermine une pa-résie analogue, mais plus
mais plus accentuée. Il ne saurait être question, quant à présent, du noyau lenti-culaire dont l'ablation isolée, en raison d
millimètres en avant du chiasma des nerfs optiques. — S, S, les deux noyaux caudés du corps strié. — L, noyau lenticulaire. —
s nerfs optiques. — S, S, les deux noyaux caudés du corps strié. — L, noyau lenticulaire. — P, P, expansion pé-donculaire (ca
u niveau des tubercules mamillaires. — 0, 0, couches optiques. —S, S, noyaux caudés. — L. L, noyaux lenticulaires. — P, P, c
amillaires. — 0, 0, couches optiques. —S, S, noyaux caudés. — L. L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région po
égies résultant des lésions destructives, limitées à la substance des noyaux gris, en règle générale, sont passagères, tandis
urables. On conçoit aisément, dans l'hypothèse proposée, comment le noyau lenticulaire, le noyau caudé et les régions dites
isément, dans l'hypothèse proposée, comment le noyau lenticulaire, le noyau caudé et les régions dites motrices de l'écorce g
blance, la supplé-ance peut s'établir, non-seulement entre les divers noyaux gris, mais encore entre les diverses parties d'un
divers noyaux gris, mais encore entre les diverses parties d'un même noyau gris. Il est démontré, tout au moins en ce qui co
même noyau gris. Il est démontré, tout au moins en ce qui concerne le noyau caudé du corps strié, que les lésions destructive
tructives par-tielles portant sur les régions les plus diverses de ce noyau , se traduisent uniformément par une hémiplégie pl
différence à relever entre la tête, la queue et la partie moyenne du noyau caudé. Il semble, d'après cela, ainsi que l'a f
'observation clinique, en mon-trant que les excitations partielles du noyau caudé, produi-sent toujours, quoiqu'on fasse, des
sent les faisceaux de la capsule interne, dans leur trajet entre le . noyau lenticulaire et le noyau caudé : c'est-à-dire dan
capsule interne, dans leur trajet entre le . noyau lenticulaire et le noyau caudé : c'est-à-dire dans les deux tiers antérieu
le. Par contre, les lésions qui demeurent limitées à la substance des noyaux gris des masses cérébrales, à savoir : le noyau l
s à la substance des noyaux gris des masses cérébrales, à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé, et enfin la couche
yaux gris des masses cérébrales, à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé, et enfin la couche optique, ne produisent
mollissement. — J, la scissure de Sylvius. — E, capsule interne. — D, noyau lenticulaire. — F, capsule ex-terne. — G, avant-m
du pédoncule, traverseraient la capsule interne sans entrer dans les noyaux gris des masses centrales, et ne s'arrêteraient,
onculaires indirectes, c'est-à-dire se terminant dans l'épaisseur des noyaux gris cen-traux. Chez le chien, le hasard a fait
toutes les parties frontalesd'un lobe, sans affecter directement les noyaux gris centraux non plus que la capsule interne. Da
avait complètement respecté les masses centrales : couches optiques, noyau caudé, noyau Fiç/. 45. — Fa, vaste foyer de ram
tement respecté les masses centrales : couches optiques, noyau caudé, noyau Fiç/. 45. — Fa, vaste foyer de ramollissement c
u bulbe sont déjà parvenues à un développement avancé ; tels sont les noyaux de l'hypoglosse avec les filets intra-bulbai-,res
ens de l'étage inférieur. se montrent sur la coupe sous la forme de noyaux rouges (Rothe Kerne, V. Stilling.) Ces diverses p
tale de l'hémisphère droit, parallèle à la scissure deSylvius. -- Ne, noyau caudé. —Sa, segment antérieur de la capsule inter
Ne, noyau caudé. —Sa, segment antérieur de la capsule interne. — n1, noyau lenticulaire. — G, genou de la capsule. — Sp, seg
ne, est la couche optique ; en avant de la couche optique, la tête du noyau caudé : en dehors, le noyau lenticulaire dont les
en avant de la couche optique, la tête du noyau caudé : en dehors, le noyau lenticulaire dont les bords internes forment par
union, comme une sorte de coin qui s'avance dans l'angle formé par le noyau caudé et Ciiaiicot. Œuvres complètes, t. iv, Lo
s (couche optique et corps strié) sont séparées de la masse ex-terne ( noyau lenticulaire) par un gros tractus blanc coudé qui
une partie antérieure comprise entre la face interne et antérieure du noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé ; 2° une p
tre la face interne et antérieure du noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé ; 2° une partie postérieure, intermédiaire
à la face externe de la couche optique et au bord postéro-interne du noyau len-ticulaire. Ces deux parties se réunissent sou
de la capsule interne dirigé obliquement en haut et en dehors ; — le noyau lenti-culaire accolé à son bord externe, la couch
pariétale de l'hémisphère (Pitres). — 8, corps calleux. --9, queue du noyau caudé. -- 10, couche optique. -- 11, capsule inte
0, couche optique. -- 11, capsule interne (segment postérieur). — 12, noyau lenticulaire.—13, capsule externe. --14, avant-mu
ux centres de formation : l'un siégerait dans un point quelconque des noyaux centraux, il serait le premier par l'âge ; l'autr
térieurequ'on appelle la capsule interne; en dehors de ce tractus, le noyau lenticulaire ; en dedans, la couche optique et le
e tractus, le noyau lenticulaire ; en dedans, la couche optique et le noyau caudé. Il n'est pas rare, tant s'en faut, Messi
destructives étroitement localisées dans l'un ou dans l'autre de ces noyaux . Cela est très vulgaire, particulièrement pour ce
aux. Cela est très vulgaire, particulièrement pour ce qui concerne le noyau lenticulaire et surtout la partie externe de ce n
qui concerne le noyau lenticulaire et surtout la partie externe de ce noyau . C'est là que siègent le plus communément, vous l
mités à la couche optique, ceux qui se circonscrivent dans la tête du noyau lenticulaire ne sont pas non plus fort rares. Or,
ns ne se produisent jamais lorsque la lésion, restant limitée dans le noyau de substance grise, quel qu'il soit, ne s'étend p
fonde de toute cette zone grise, Fig. 60. — A, coupe horizontale du noyau caudé. — B, du noyau lenticulaire. — G,de la couc
zone grise, Fig. 60. — A, coupe horizontale du noyau caudé. — B, du noyau lenticulaire. — G,de la couche optique.— D, lobul
ieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-cher du quatrième ve
qui se voit sur le'plancher du quatrième ventricule et qu'on appelle noyaux des faisceaux de Goll. Remarquez encore que les f
J'appellerai surtout, cette fois, votre attention sur les rapports du noyau lenticulaire. Si, en dedans, il est limité par la
ies dans l'alcool, il serait facile de montrer que la face externe du noyau lenticulaire, dans son tiers antérieur surLout, n
natomiques intimes entre la bandelette blan-che et la face externe du noyau gris. Il existe en ce point comme une sorte de ve
xterne ; on met ainsi à nu la surface convexe du troisième segment du noyau lenticulaire, et l'on voit alors s'épanouir sur c
arrière et de bas en haut, pénètrent vers l'extrémité supé-rieure du noyau dans son épaisseur, et, là, on les perd de vue.
ltérieur de ces vaisseaux et leurs ramifications dans l'épaisseur des noyaux gris, il con vient de pratiquer maintenant à trav
r des noyaux gris, il con vient de pratiquer maintenant à travers ces noyaux des coupes transversales. L'examen d'une de ces c
raverse la partie supérieure de la capsule interne et arrive jusqu'au noyau caudé. Les autres artérioles sont disposées à peu
ans le ventricule virtuel dont nous parlions tout à l'heure, entre le noyau lenticulaire et la capsule externe qui se trouve
orme d'une cicatrice ocreuse linéaire, limitant le contour externe du noyau lenticulaire. Quand le foyer en question est en
que l'épanchement soit notable, il devra nécessairement repousser les noyaux gris vers les ventricules, en raison delà résista
rise spinale se retrouvent dans le bulbe. Vous savez en effet que les noyaux d'origine de l'hypoglosse, du facial, qui représe
le bulbe, la grande distance qui sépare les pyramides antérieures des noyaux moteurs, on est bien obligé d'admettre que la scl
de la moelle épimère (cellules motrices). — Dimensions, forme, corps, noyau , nucléole, protoplasma, fibrilles et granulations
lules géantes. — Constitution de ces cellules : configuration, corps, noyau , nucléole; — prolongements cellulaires; pro-longe
es ganglions centraux. Artère sylvienne: ses branches : artères des noyaux gris centraux; — bran-ches corticales, ramificati
............ 5~ SEPTIÈME LEÇON. Circulation des masses centrales ( noyaux gris et capsule interne). Sommaire. — Circulati
ux gris et capsule interne). Sommaire. — Circulation artérielle des noyaux gris centraux. — Hémorrhagie intra-encéphalique.
rales antérieure et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur forme et leurs rapports. — Considérat
ITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS. Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris. Sommaire. — Origine du système artériel d
gie intra-encé-phalique. — Diagnostic régional. Lésions isolées des noyaux gris, sans participation de la capsule interne. —
es masses centrales (cap-sule interne dans ses deux tiers antérieurs, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lé
rales (cap-sule interne dans ses deux tiers antérieurs, noyau caudéet noyau lenticulaire)- — Influence des lésions de ces r
es faits de la pathologie humaine. •— Différence entre les lésions du noyau caudé et celles de la partie antérieure delà caps
ieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des faisceaux de Goll. — Noyaux de ces faisceaux sur le plan-cher du quatrième ve
Burdach, 184 ; — leur développement, 264, 265. — de Goll, 264 ; — Noyaux des —, 264 ; — leur développement, 263, 264; leur
-né (Cerveau du), 192; — Absence de contracture chez le —, 340. Noyau caudé, 6; — sa circulation 78: — ses rapports ave
a circulation 78: — ses rapports avec la cou-ronne rayonnante, 136. Noyaux gris de l'encéphale, 4 ; — leur circulation, 78 ;
leurs lésions indépendantes de celles de la cap-sule interne, 102. Noyau lenticulaire, 8 ; — au point de vue des localisat
8 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
érations secondaires. EXPLICATION DE LA PLANCHE I Coupe A. NCG, noyau du cordon de Goll. CG, cordon de Goll. NCB, n
Coupe A. NCG, noyau du cordon de Goll. CG, cordon de Goll. NCB, noyau du cordon de Burdach. CB, cordon de Burdach.
itif ou du ruban de Reil médian il ses débuts. Coupe B. A'.\7/, noyau de l'hypoglosse. NXd, noyau dorsal du vague.
ian il ses débuts. Coupe B. A'.\7/, noyau de l'hypoglosse. NXd, noyau dorsal du vague. Fcv + NdcR, faisceaux céréhell
e. Fcv + NdcR, faisceaux céréhello-vestibu- laires (Thomas), plus noyau dorsal du corps restiforme (Gudden). cR, corp
endante de la vue paire. Fcd, faisceau cérébelleux direct. i\amb, noyau ambigu. NU, noyau du cordon latéral. FG, fais
ire. Fcd, faisceau cérébelleux direct. i\amb, noyau ambigu. NU, noyau du cordon latéral. FG, faisceau de Gouers. Fe
res de l'hypoglosse. ? J pyramide. io, couche interolivaire. Noi, noyau jnxta-olivaire interne. Oia, olive inférieure g
rophiée. Fcca, faisceau central de la calotte atro- phié. Nlld, noyau du cordon latéral dégénéré. (ebo. faisceaux cér
fai, fibres arciformes internes. fs, faisceau solitaire : NclcRd, noyau dorsal du corps restiforme dégénéré. NCud, hé
s restiforme dégénéré. NCud, hémisphère droit du cervelet. Ndl, noyau dentelé. )'s,vermis. Ilcvff, reste de'l'hémis
p; ci", I : .htl.'ur EXPLICATION DE LA PLANCHE Il Coupe C. NI', noyau du toit atrophié à gauche. Nglb, nucleus globos
C. NI', noyau du toit atrophié à gauche. Nglb, nucleus globosus ( noyau sphérique). IICv, hémisphère du cervelet. Emb
ue). IICv, hémisphère du cervelet. Emb, embolus (bouchon). Ndt, noyau dentelé. Stras, stries acoustiques. Fcv, fais
acoustique latéral. Floc, llocculus. cR, corps restiforme. NIX, noyau du nerf glosso-pharyngien. l'ds, racine descend
glosso-pharyngien. l'ds, racine descendante de la Ve paire. Namb, noyau ambigu. io, couche interolivaire (diminuée à ga
. Vdsg, racine descendante de la V paire gauche déformée. Nacu, noyau ventral de l'acoustique. Pcm, pédoncule cérébel
périeur gauche atrophié ou dégénéré. GYII, genou du facial. NB, noyau de Bechterew. ND, noyau de Deiters. ;V/f, noy
ou dégénéré. GYII, genou du facial. NB, noyau de Bechterew. ND, noyau de Deiters. ;V/f, noyau de la Vile paire. VII
du facial. NB, noyau de Bechterew. ND, noyau de Deiters. ;V/f, noyau de la Vile paire. VIII, racine de la VIlle pair
l'em, pédoncule cérébelleux moyen. Ctrap, corps trapézoide. NVI, noyau du nerf moteur oculaire ex- terne. Fli), fais
au longitudinal postérieur. Pyg, pyramide gauche déformée. Ntrap, noyau du corps trapézoide. Os, olive supérieure. Na
. Ntrap, noyau du corps trapézoide. Os, olive supérieure. Nacv, noyau ventral de l'acoustique. VII, racine descendant
(locus coeruleus). fMtY, fibres de la Ve paire de Meynert. NmV, noyau moteur de la V paire. NsV, noyau sensitif du tr
de la Ve paire de Meynert. NmV, noyau moteur de la V paire. NsV, noyau sensitif du trijumeau. /mV, fibres motrices sec
l'on, pédoncule cérébelleux moyen. Ctrap, corps trapézoïde. NPt, noyaux du pont. Flp, faisceau longitudinal postérieur.
éticulée. VII, branche radiculaire descendante du facial. Ni·t, noyau réticulé de la calotte. Coupe F. Rm, ruban de
ère gauche du cervelet sont 'presque entièrement disparues). NPt, noyaux du pont. Py, pyramide. Nouv. ICONOGRAPHIE DE
ÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 9 On remarque d'abord que les noyaux des h ! /JJO,91osses, à gauche comme à droite,
ite, sout très bien conservés et que leurs cellules sont normales. Le noyau dorsal gauche du pneumogastrique est de même ab
trique est de même absolument normal. Par contre on trouve dans son noyau dorsal droit, ainsi que dans le noyau terminal de
Par contre on trouve dans son noyau dorsal droit, ainsi que dans le noyau terminal de KoelliJ.'e ! ' (dans la substance g
llules pigmentées et d'autres dégénérées d'une antre manière. Les noyaux ambigus n'offrent'pas de modifications apparentes
des 9° et 10e pai- res qui sont un peu comprimés et disloqués. Le noyau du glosso-pharyngien (c'est-à-dire la partie prox
Le noyau du glosso-pharyngien (c'est-à-dire la partie proximale du noyau dorsal du vague) est normal des deux côtés. L
use de Rolando à gauche est plus pauvre en fibres et amincie. Les noyaux du facial et du narmoteur oculaire externe sont a
t d'une atrophie considérable par compression. Il en est de même du noyau ventral de l'acoustique qui est repoussé tout à
stibulaire est déformée, sans s atrophie notable (PI. II, C). Les noyaux médians de Burdach de même que les noyaux de Goll
notable (PI. II, C). Les noyaux médians de Burdach de même que les noyaux de Goll sont t égaux de chaque côté (PI. 1, A).
des cellules dégénérées ou pigmentées, dispersées dans le tissu des noyaux . A gauche la partie externe du noyau de Burdach
ispersées dans le tissu des noyaux. A gauche la partie externe du noyau de Burdach ou noyau de lllonalrom (Thomas) est
tissu des noyaux. A gauche la partie externe du noyau de Burdach ou noyau de lllonalrom (Thomas) est fortement atrophiée,
lllonalrom (Thomas) est fortement atrophiée, tandis qu'à droite le noyau correspondant est parfaitement normal. Le cordo
uses et leur disparition en masse, dans la région où se continue le noyau de Monakow, ainsi que dans le noyau du corps re
ans la région où se continue le noyau de Monakow, ainsi que dans le noyau du corps restiforme (c'est-;i-dire dans les gro
e région de substance grise que Gudden et Mingazzini ont appelée le noyau dorsal du corps restiforme (segment interne du pé
générées ou pigmentées, à tel point que le caractère réticulé de ce noyau ne se reconnaît plus que diffici- lement. On pe
ans toutes les coupes du côté cérébral jusqu'à la terminaison de ce noyau , dans la région où le noyau de Deiters commence
ôté cérébral jusqu'à la terminaison de ce noyau, dans la région où le noyau de Deiters commence ai apparaître. La partie mé
où le noyau de Deiters commence ai apparaître. La partie médiane du noyau du corps res- tiforme dont nous parlons est rel
ellules complètement normales; c'est la partie dorso-latérale de ce noyau qui est- surtout dégénérée. La région corresponda
de ce noyau qui est- surtout dégénérée. La région correspondante du noyau dorsal du corps restiforme droit est tout à fai
eau cérébelleux direct de droite, et de celles qui le réunissent au noyau du cordon latéral, tandis que le contingent des
comme nous venons de le dire, on constate que la portion dorsale du noyau du cordon laté- ral gauche est remarquablement
ite et en partie atro- phié par la compression de l'anévrysme. Le noyau du cordon latéral gauche n'atteint guère que la m
ui du côté droit. On y trouve de nombreuses cellules dégénérées. Le noyau ventral n'a pu être examiné. Remarquons enfin
uue atrophie très nette à droite de ses cellules ganglionnaires. Le noyau de Deite/'s est sensiblement moins développé à
e, tandis qu'on ne remarque aucune différence appréciable entre les noyaux de Bechterew (noyaux vestibulaires) à droite et à
marque aucune différence appréciable entre les noyaux de Bechterew ( noyaux vestibulaires) à droite et à gauche. Les stries
en partie atrophiés par la compression. Le corps trapézoïde et son noyau sont moins développés à droite qu'à gau- che (P
me paire est plus mince à gauche qu'à droite, du reste normale. Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs ainsi que l
ince ;i gauche par suite de la compression (voir les figures). - Le noyau de la substance réticulée de la protubérance (nuc
é. Le corps dentelé gauche a disparu presque en entier ; de même le noyau du toit à gauche (PI. 11, C). Le pédoncule céré
oite. Nous dirons bientôt les conséquences de cette atrophie sur le noyau rouge. ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉBRALE GAUCUE
plus occipitales du cervelet, on trouve à gauche un petit reste des noyaux du toit qui est assez normal (PI. II, C). En ré
dant qu'il gauche. Thalamus ET région sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans les régions les plus postérieures
en to- talité un peu plus petit que le gauche et un peu aplati. Le noyau rouge est d'un tiers plus petit à droite qu'à g
es cellules ganglionnai- res dégénérées. Dans l'hémisphère droit le noyau rouge n'est visible que sur G2 coupes, tandis q
gauche il existe dans 72 coupes. La substance médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa substance mé- dullaire laté
ron un tiers de fibres de moins que celles de l'autre côté. Dans le noyau ventral du thalamus à droite, les fascicules de f
passablement disparu ; d'où il résulte que la structure réticulée du noyau ven- tral est devenue extrêmement indistincte.
s les radiations de la ca- lotte et dans les faisceaux de fibres du noyau ventral, de même que dans la couche grillagée.
du corps de Luys, surtout dans la substance médullaire frontale du noyau rouge. Toutefois on trouve ici encore dans le noy
ire frontale du noyau rouge. Toutefois on trouve ici encore dans le noyau ventral droit du 14 P. LADAME t'1' C. nio·. ,ow
ticulaire est normale et égale des deux côtés. Il en est de même du noyau latéral et du tubercule antérieur de la couche op
res très dilatées et remplies de sang. Les régions voisines dans le noyau ral du thalamus font aussi partie de ce foyer d
l du thalamus font aussi partie de ce foyer de ramollissement. Le noyau postérieur de la couche optique (v. Monakow) e gé
s genouillé externe et le pédoncule cé- rébral et qui fait suite au noyau postérieur du thalamus. Le foyer de ramollis- s
end comme un coin dans la couche ventrale du côté interne. Dans les noyaux internes des couches optiques les artères sont di
de quelques jours avant la mort, se voit à la hauteur du milieu du noyau rouge dans la partie lenticulo-optique de la caps
ont tout à fait analogues à celles que nous avons décrites dans les noyaux internes des couches optiques. ANÉ'iRYSME DE AR
sion et non par une interruption des fibres radiculaires sortant des noyaux , car ces fibres ont été trouvées absolument nor
Conformément à l'intégrité relative des nerfs du bulbe et de leurs noyaux , on n'observa pas des symptômes d'une lésion prop
e son volume du côté de la principale lésion cérébelleuse. Quant au noyau du corps restiforme, il se borne à dire qu'il est
droit. Edinger, que nous avons déjà cité, ne fait pas mention du noyau dorsal du corps restiforme. Il est possible tou
stiforme. Il est possible toutefois qu'il le désigne sous le nom de noyau descendant de l'acoustique, ou peut-être comme no
sous le nom de noyau descendant de l'acoustique, ou peut-être comme noyau terminal du nerf vague ( ? ) ce qui serait une
t cas il se borne à in- diquer qu'il existe dans les environs de ce noyau des dégénérations qui sont marquées (sur la fig
15 octobre 1898, no 19, p. Fi2. (10) Edinger confond évidemment le noyau dorsal du vague et le groupe cellulaire assez d
'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 23 3 cervelet » la région où se trouve le noyau dorsal du corps restiforme de Gudden. La dégéné
es observations. La première flèche indique la région du soi-disant noyau terminal du pneumogastrique, sans qu'on puisse
du pneumogastrique, sans qu'on puisse savoir de quelle partie de ce noyau il s'agit (noyau dorsal, substance gélatineuse
e, sans qu'on puisse savoir de quelle partie de ce noyau il s'agit ( noyau dorsal, substance gélatineuse ou noyau terminal d
artie de ce noyau il s'agit (noyau dorsal, substance gélatineuse ou noyau terminal deIilli- ker). On constate assurément
in- thique). C'est ce groupe que Gudden et Mingazzini ont appelé le noyau dorsal du corps restiforme. Mais le noyau dorsa
Mingazzini ont appelé le noyau dorsal du corps restiforme. Mais le noyau dorsal du nerf vague n'a rien à faire avec la sub
.pas constaté sur nos coupes d'atrophie du réseau fibril- laire des noyaux sensibles du bulbe et de la protubérance. La subs
tout au plus un léger degré-d'atrophie. . La substance grise des noyaux de la couche optique à droite, dans notre cas,
s-thalamique et dans les radiations de la calotte qui se rendent au noyau ventral (faisceaux médullaires frontal et latéral
ndent au noyau ventral (faisceaux médullaires frontal et latéral du noyau rouge, etc.). Par contre Edinger affirme que da
dans son cas il n'y avait pas de dif- férence appréciable entre les noyaux du thalamus à gauche et à droite. Il ajoute cep
inger attribue ce fait à une déformation provenant de l'atrophie du noyau rouge, et non pas à une atrophie des fibres ner
uge, et non pas à une atrophie des fibres nerveuses elles-mêmes. Le noyau rouge était tout à fait atrophié, bien que le p
pas aussi compromis que dans notre cas. Cette atrophie complète du noyau rouge croisé dans le cas de Edinger est bien re
stance extrêmement minime,et tout à fait dégé- nérée, tandis que le noyau rouge du côté opposé, bien que plus petit que l
ieur correspondant. Ceci prouve que, chez l'homme tout au moins, le noyau rouge a certainement d'autres connexions importan
s cérébraux CI).. (1) Voir M. et Mme Déjerine sur les connexions du noyau rouge avec la corticalilé cérébrale. Comptes-re
du côté opposé s'accompagne toujours d'une lésion du thalamus et du noyau rouge siégeant du même côté que la lésion cérébra
i, car Edinger n'a constaté aucune différence appréciable entre les noyaux des couches optiques à droite et à gauche. Il n
de forme irrégulière; 3, tissu interstitiel homogène parsemé de noyaux ; 4, tissu conjonctif interfasciculaire avec r
léments cel- lulaires nombreux. Ce sont des cellules conjonctives à noyaux irrégulière- ment fusiformes. D'assez nombreux
rotoplasma un peu granuleux. La gaine de sarcolemme n'a pas plus de noyaux qne d'ordinaire. Entre ces fibres atrophiées l'
morphe ; pas de graisse ; au sein de ce tissu sont d'assez nombreux noyaux , des fins vaisseaux et quelques faisceaux nerveux
dans une masse interstitielle vaguement fibrillaire assez riche en noyaux . Un autre point assez mal connu de la question
s tumeurs en pleine couche musculaire et sur l'existence dans ces . noyaux fibreux de corps volumineux polygonaux à substanc
ater, au mi- lieu de la masse encore peu développée, l'existence de noyaux mal isolés et résistants, noyés dans une atmosp
dipeux. D'autres fois on sent, vers le centre de la tumeur, un seul noyau plus ferme. La compa- l'aDÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTR
variable; en remontant vers la partie supérieure, il semble que ces noyaux indurés aillent s'attacher à la colonne par un pé
s in sitll autour de corps étrangers divers, concrétions biliaires, noyaux , parasites ayant séjourné longtemps dans l'intest
derniers cas, la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius ( noyaux des 3e et 4° paires) et la substance du même type
s'engageait entre les pédoncules comprimant vraisem- blablement les noyaux des 3° et 4" paires, compression cependant insuf-
laires. Il est probable que, par leur accroissement respectif, ces noyaux , d'a- bord séparés les uns des autres, finissen
ment, séparés parle locus neiger qui semble intact : l'un occupe le noyau rouge et coupe les fibres de l'oculo- moteur, l
léreux situé au niveau du quart interne du pied du pédoncule. Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs sont respecté
11111dle. Aq, Aqueduc de Sylvius. - T ? Tubercule quadrijumcau. NR. Noyau rouge. - LN. Locus nigcr. - PP, Pied du pédoncule
ns symétriques, indolentes, molles, dans lesquelles on retrouve des noyaux mal isolés et indurés ; à la périphérie on cons
tait celui d'un volumineux lipome dans le- quel on sentait quelques noyaux arrondis durs. Après l'extirpation, on trouva au
sentir soit nettement des ganglions lymphatiques, soit au moins un noyau central dur. Chez le malade de i}1. IIayem, deu
rmes et roulant sous le doigt. Ces petites masses ressemblent à des noyaux ganglionnaires durs, noyés dans une masse gélat
bleu de méthylène permet de localiser dans les centres nerveux les noyaux d'origine des nerfs d'une façon abso- lument in
nous autorise en outre à affirmer la nature motrice ou sensible des noyaux , affirmation, du reste, qui est basée tout autant
tant sur la réaction physiologique expérimentale des éléments de ce noyau que sur leur mor- phologie. Nous n'insistons
sont pas suffisamment différenciées des autres éléments et que les noyaux d'origine des nerfs ne ressortent pas nettement
chromes, selon que les couleurs basiques d'aniline se fixent sur le noyau ou sur le pro- toplasma cellulaire. Les cellu
a- ryochromes n'entrant pas dans la composition des ganglions etdes noyaux moteurs du pneumogastrique. Le neurone. Les
ules du type moteur de la formation réticu- lée du bulbe et dans le noyau du nerf hypoglosse, chez le lapin. Tout neurone
u du nerf hypoglosse, chez le lapin. Tout neurone possède encore un noyau sphérique, vésiculeux, volumi- neux, dont les c
es en blocs chromatiques : elle apparaît dans la chromatolyse. Le noyau renferme un ou plusieurs nucléoles basophiles. Le
e, avec une turgescence du corps de la cellule et un déplacement du noyau . La désagrégation et la fonte des blocs chromat
t de la chromatolyse. Tous les auteurs constatent le déplacement du noyau , mais ils l'inter- prètent diversement. Selon l
du noyau, mais ils l'inter- prètent diversement. Selon les uns, le noyau est passivement refoulé à la périphérie, comme
corps étranger, par la turgescence cellulaire ; selon d'autres, le noyau est lui-même actif dans son déplacement. C'est
des blocs, la turgescence du corps cellulaire et le déplacement du noyau , constituent la ire phase de la chromatolyse.
, analyse et discussion des préparations. a) Moelle allongée. - Les noyaux des nerfs réséqués se distinguent déjà à un fai
atolyse. Quelques-unes en effet sont parfaitement normales, dans le noyau dorsal et dans le noyau ambigu. Ce phénomène es
en effet sont parfaitement normales, dans le noyau dorsal et dans le noyau ambigu. Ce phénomène est dû, non pas à une rési
des blocs non encore désagrégés (Pl. XLV, b. c.). Le pourtour du noyau est de même plus foncé que le centre de la cellul
r du noyau est de même plus foncé que le centre de la cellule. . Le noyau est bordé d'une couronne de blocs de substance ch
ment une bordure plus ou moins continue, très foncée, encerclant le noyau en tout ou en partie. D'autres groupes de blocs
mes. Aussi n'insisterons-nous pas pour le moment sur ce point. Le noyau des cellules en chromatolyse est refoulé à la pér
hernie. Le'nucléole est vivement coloré ; il est resté au centre du noyau . Afin de nous rendre compte de la turgescence m
rtain nombre de cellules normales et pathologiques, appartenant aux noyaux dorsaux du vague et aux noyaux ambigus. Les men
es et pathologiques, appartenant aux noyaux dorsaux du vague et aux noyaux ambigus. Les mensurations ont été faites avec l
lule, le dénominateur étant le chiffre de son plus grand diamètre : Noyaux dorsal et ambigu normaux. Lapin, 7 jours. 51 ce
portion. La cellule s'étire, s'allonge dans le sens de migration du noyau , ce qui me paraît témoigner en faveur du déplac
difficile de l'interpréter dans le sens d'une expulsion passive du noyau causée par une turgescence qui en réalité est bie
rée. La déformation des cellules s'observe déjà facilement dans les noyaux mo- teurs du pneumogastrique, mais elle atteint
matique péricellulaire et périnucléaire plus ou moins complète ; le noyau est excentrique, faisant souvent une forte hernie
encore plus de relief à la substance chromatophile. A ce moment, le noyau est déplacé déjà plus ou moins vers la périphér
ule apparaît ainsi foncée avec une tache claire dans son milieu, le noyau émigré à la périphérie et commence déjà à faire s
ellulaire, car les blocs chromatiques font défaut à cet endroit. Le noyau est encore normal et globuleux. Le nucléole centr
us clair avec une bordure foncée en forme de cupule qui enchâsse le noyau . Celui-ci a complètement émigré à la périphérie
riphérie cellu- laire. D'après nos mensurations les dimensions du noyau n'ont pas changé. Il est déformé et sa position
changé. Il est déformé et sa position n'est pas normale. Dans les noyaux normaux les rapports des deux principaux diamètre
: 4/4, 5/5, 3/3, presque sans exception sur plusieurs centaines de noyaux , tandis que pour les cellules dont le noyau est
plusieurs centaines de noyaux, tandis que pour les cellules dont le noyau est déformé ou fait hernie, nous avons noté dan
/3, 5/2. On voit donc que si les diamètres sont devenus inégaux, le noyau a conservé son volume normal. On rencontre en
gris bleu sale, sans bordure péri- nucléaire ou péricellulaire, le noyau fait une forte saillie à la périphérie. Ces cel
n 7 jours. 105 cellules mesurées sur 4 coupes. 322 CHARLES LADAME noyau est central ou légèrement déplacé; la cellule, de
ou moins envahissante, fond en est semé de granulations ténues ; le noyau est nettement excentrique, le corps cellulaire
corps cellulaire se déforme et s'allonge du côté de la migration du noyau . Le nucléole, vivement coloré, est central. L
tres ; par leur disposition, ils forment une capsule qui enserre le noyau excentrique. Plus la bordure s'amincit et se fr
a réaction, des cellules pâles, uniformément gris-bleu sale avec un noyau presque expulsé. La déformation cellulaire marc
ne concomitant, on a encore l'expulsion ou la mi- gration active du noyau . Nous ne rechercherons pas pour le moment quell
rcherons pas pour le moment quelle est la cause du déplace- ment du noyau , nous en avons dit un mot plus haut, mais nous no
une cellule allongée, ayant un pôle libre et l'autre occupé par le noyau , qui fait plus ou moins saillie hors de la cell
disparaître aussi si la réaction est très violente et brusque. Le noyau est vésiculeux, plus ou moins déformé, surtout qu
ie. Sa membrane est très évidente, ce qui donne encore du relief au noyau ; le nucléole est très foncé. Les coupes du gan
l'atrophie (Pl. XLV, p). Parmi ces éléments, les uns ont perdu leur noyau , leur protoplasma se chiffonne, se recroquevill
sent pas entièrement leur capsule. D'autres éléments possèdent un noyau et un corps cellulaire. Le noyau est LE PHÉNOMÈ
le. D'autres éléments possèdent un noyau et un corps cellulaire. Le noyau est LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE z23 presq
s répandus au hasard, très foncés, volumineux et très distincts. Le noyau était si excentrique qu'il ne tenait à la cellule
ainsi que leur refoulement à la périphérie cellulaire et nucléaire le noyau est excentrique, plus ou moins saillant hors de
otoplasmique s'est déformé, allongé dans le sens de la migration du noyau , qui est comme enchâssé dans une cupule formée
e composée de blocs entassés aux confins de la cellule ou autour du noyau ; cette bordure est sou- vent interrompue dans
u ; cette bordure est sou- vent interrompue dans son parcours. Le noyau est encore fréquemment normal, gros, vésiculeux;
nucléole est foncé, de forme parfaitement régulière. Cependant le noyau est parfois aplati du côté du corps cellulaire et
bleu-pâle, il est déformé, allongé dans le sens de la migration du noyau ; le protoplasma est fréquemment rempli de très
sein d'une nuée de granulations très denses.. Dans ces cellules le noyau est encore périphérique'; il fait très rarement h
NE DE LA CHROMATOLYSE 327 bleue uniforme, il est redevenu clair. Le noyau a repris fréquemment sa place au centre de la c
étendue du protoplasma, qui a une teinte bleu sale, très pâle. Le noyau est excentrique ou fait même fortement hernie ; s
s ne sont plus représentées que par des lambeaux de protoplasma. Le noyau est presque toujours hors de la cellule, parfois
ncontre dans les coupes des ganglions (Pl. XLVI, G. p. d. III), des noyaux de cellules nerveuses, isolés de tout protoplasma
anglions entre eux et dans leurs rapports avec le diamètre de leurs noyaux . Les mensurations ont été faites comme précédem
xamen du cervelet. 2° Examen des pédoncules cérébelleux et de leurs noyaux d'origine, de leur trajet médullaire, bulbaire,
m né- vroglique à larges mailles, dans lequel on distingue quelques noyaux névrogli- ques au point d'entrecroisement des f
rtement le carmin. A un plus fort grossissement, on constate que le noyau et le nucléole sont- déformés, ils sont irrégul
ancées et on peut saisir le processus d'atrophie de la cellule : du noyau peu apparent partent des filaments protoplasmique
sonnent la cellule et lui donnent un aspect vacuolaire : ailleurs le noyau a disparu et il n'existe plus qu'un corps cellu
rs elles sont atrophiées, leurs prolongements peu nets, obscurs, leur noyau irrégulier ou mal coloré. Dans cette région i
moins large, l'organe semble rétréci, dans son ensemble; comparé au noyau dentelé d'un cervelet normal, il paraît petit,
llaires et les cellules paraissent en aussi grand nombre que sur un noyau sain, ce sont les dimensions de l'organe, consi
rne du corps dentelé sont toutefois plus petits que les autres. Les noyaux du toit sont très petits et ne peuvent être vus q
rent sont plus rares que celles du corps dentelé ; le bouchon et le noyau sphérique sont égale- ment plus petits dans tou
n qu'un examen histologique détaillé n'ait pu être pratiqué sur ces noyaux à cause de l'épaisseur de la coupe, on peut néa
ux limitesde la couche granuleuse et de la couche moléculaire. 2° Noyaux gris centraux. - Il a été dejà dit plus haut que
eur, sont très intensivement colorées. Les fibres qui entourent les noyaux du toit, le bouchon et le noyau sphérique sont be
rées. Les fibres qui entourent les noyaux du toit, le bouchon et le noyau sphérique sont beau- coup moins nombreuses : on
ant des fibres qui peuvent être suivies soit sur le bord interne du noyau dentelé, soit à travers la valvule de Tarin jus
ermis, se continue en partie avec un beau faisceau qui contourne le noyau dentelé en 338 ' J. DEJERINE ET A. THOMAS arr
isceau en crochet. 2° Examen DES pédoncules cérébelleux ET DE LEURS noyaux D'ORIGINE. A. Pédoncule cérébelleux inférieur.
VII, C, D) ; au-dessous de l'olive elle est difficile à suivre. Les noyaux des cordons postérieurs (noyau de Goll et de Bu
ve elle est difficile à suivre. Les noyaux des cordons postérieurs ( noyau de Goll et de Burdach, noyau de Monakow), les f
e. Les noyaux des cordons postérieurs (noyau de Goll et de Burdach, noyau de Monakow), les fibres arciformes internes et le
leur entrecroisement sont bien colorés. Les olives bulbaires et les noyaux juxta-olivaires sont extrêmement atrophiés, dans
ure que dans la moitié supérieure. Les cellules des olives et des noyaux juxta-olivaires sont rares, petites, ra- tatiné
ophie de la substance réticulée de la calotte protubérantielle. Les noyaux arciformes du bulbe ou prépyramidaux ont disparu,
yramidaux ont disparu, la substance grise réticulée du bulbe et ses noyaux semblent diminués. A l'extrémité supérieure du
bulbe et ses noyaux semblent diminués. A l'extrémité supérieure du noyau de Monakow (noyau de Burdach externe), le corps
ux semblent diminués. A l'extrémité supérieure du noyau de Monakow ( noyau de Burdach externe), le corps restiforme commen
ERINE ET A. thomas dullaire du corps restiforme, plus les fibres du noyau de Monakow et peut- être quelques fibres du noy
lus les fibres du noyau de Monakow et peut- être quelques fibres du noyau du cordon latéral du bulbe : elles occupent le ce
restiforme. Les fibres qui apparaissent dans le bulbe au niveau du noyau de Monakow sur son bord interne et qui forment
eut être poursuivie sur toute la hauteur de ces faisceaux jusqu'aux noyaux de Deiters et de Bechterew. B. - Pédoncule cé
ipalement dans l'étage antérieur. Il existe une atrophie totale des noyaux du pont, toutes les cellules nerveuses ont disp
es ont disparu et sont remplacées par des cellules araignées ou des noyaux et fibrilles névrogliques. (Le tissu névroglique
out le système acoustique - corps trapézoïde, olives supérieures et noyaux juxta-olivaires, ruban de Reil latéral et son noy
supérieures et noyaux juxta-olivaires, ruban de Reil latéral et son noyau - sont intacts. Les stries acoustiques qui norm
ées ; sur les z coupes traitées par le picrocarmin, les cellules du noyau de Deiters et de Bech- terew apparaissent nombr
- terew apparaissent nombreuses, mais, dans leur ensemble, ces deux noyaux ainsi que le noyau triangulaire de l'acoustique
nombreuses, mais, dans leur ensemble, ces deux noyaux ainsi que le noyau triangulaire de l'acoustique (noyau qui est en ra
e, ces deux noyaux ainsi que le noyau triangulaire de l'acoustique ( noyau qui est en rapport avec la racine vestibulaire
es se conti- nuent avec les fibres de la racine vestibulaire. Les noyaux de la 7e, de la 6° et de la 5° paire sont sains.
e paraissent pas aussi volumineux que des pédoncules normaux. Les noyaux rouges sont plus petits, leurs cellules conservée
tions thala- miques, la lame médullaire externe, aussi bien dans le noyau externe et le centre médian, que dans le noyau
, aussi bien dans le noyau externe et le centre médian, que dans le noyau interne, mais on n'y découvre pas de dégé- nére
le noyau interne, mais on n'y découvre pas de dégé- nérescence. Les noyaux et les faisceaux sont simplement plus petits, mai
petits, mais bien proportionnés les uns aux autres. Intégrité des noyaux de la 3e et de la 4° paire et des nerfs correspon
` , , L'atrophie totale de l'étage antérieur de la protubérance ( noyaux du pont), du ... pédoncule cérébelleux moyen et
s, - c'est-à-dire le fais- ceaux cérébelleux direct, les fibres des noyaux des cordons postérieurs et du noyau de Monakow,
belleux direct, les fibres des noyaux des cordons postérieurs et du noyau de Monakow, les fibres du noyau du cordon latéral
oyaux des cordons postérieurs et du noyau de Monakow, les fibres du noyau du cordon latéral entrent toutes en rapport ave
doit être compté parmi les fibres de projection de l'écorce sur les noyaux gris centraux. A son entrée dans le cervelet,
croisement du vermis est elle-même la conséquence de l'atrophie des noyaux gris centraux et principalement du noyau du toi
équence de l'atrophie des noyaux gris centraux et principalement du noyau du toit, du bouchon et du noyau sphérique. En r
gris centraux et principalement du noyau du toit, du bouchon et du noyau sphérique. En raison de leur degré de dégénéres
eur et l'absence de dégénération dans ce faisceau ; la réduction du noyau dentelé est proportionnelle à la petitesse du noy
la réduction du noyau dentelé est proportionnelle à la petitesse du noyau rouge et du tha- lamus. Résumé. - Le névraxe
efférentes, des fibres de projection, avec atrophie des principaux noyaux d'origine des fibres afférentes : olives bulbaire
cipaux noyaux d'origine des fibres afférentes : olives bulbaires et noyaux pontiques, avec atrophie relativement beaucoup mo
pontiques, avec atrophie relativement beaucoup moins accentuée des noyaux gris centraux (noyau dentelé, noyau du toit, bouc
hie relativement beaucoup moins accentuée des noyaux gris centraux ( noyau dentelé, noyau du toit, bouchon, noyau sphéri-
t beaucoup moins accentuée des noyaux gris centraux (noyau dentelé, noyau du toit, bouchon, noyau sphéri- que). Il s'ag
ée des noyaux gris centraux (noyau dentelé, noyau du toit, bouchon, noyau sphéri- que). Il s'agit d'une atrophie cellul
phères que sur le vermis, contrastant avec l'intégrité relative des noyaux gris centraux : noyau dentelé, noyau du toit, n
s, contrastant avec l'intégrité relative des noyaux gris centraux : noyau dentelé, noyau du toit, noyau sphérique et bouc
avec l'intégrité relative des noyaux gris centraux : noyau dentelé, noyau du toit, noyau sphérique et bouchon ; 2° l'atro
é relative des noyaux gris centraux : noyau dentelé, noyau du toit, noyau sphérique et bouchon ; 2° l'atrophie totale de la
e pé- doncule cérébelleux supérieur, qui prend ses origines dans le noyau dentelé, est au contraire relativement bien con
conservé; 3° l'atrophie très prononcée des olives inférieures, des noyaux juxla-olivaires, des noyaux (l1'ci(of1nes, la d
s prononcée des olives inférieures, des noyaux juxla-olivaires, des noyaux (l1'ci(of1nes, la dégénérescence des fibres ac2
lleuse. Cette atrophie systématique de l'écorce cérébelleuse et des noyaux d'origine de ses principales voies afférentes,
des lésions pour l'écorce cérébelleuse, les olives bulbaires et les noyaux du pont, nous ne saurions mieux définir cet état
sivement les olives, la substance grise du pont et le cervelet (les noyaux gris centraux exceptés) ; cependant il existe ent
u notre attention ; les atrophies cérébelleuses dans lesquelles les noyaux centraux sont profondément lésés, au même degré
s lames et des lamelles de même que la structure de l'écorce et des noyaux n'ont subi aucune modification. Dans la substance
ument abo- lies, ce qui tient d'une part à l'intégrité relative des noyaux centraux ou la conservation de quelques régions
ion fonctionnelle des fibres qui relient normalement le cervelet au noyau de Deiters Bechterew et par l'intermédiaire de ce
yau de Deiters Bechterew et par l'intermédiaire de ce der- nier aux noyaux oculomoteurs. Il ne faut pas oublier toutefois
rescence partielle du corps restiforme, par l'ntégrité relative des noyaux gris cen- traux : c'est une atrophie primitive
Mais cette hypothèse est surtout admissible pour les vaisseaux des noyaux centraux et de la capsule interne à cause de leur
geant dans le sens le plus direct, se fait sentir aussitôt dans les noyaux gris centraux, dans la capsule interne et la po
orte que le point de sortie est moins large que celui d'entrée. Les noyaux gris sont de par le fait de la lésion plus fortem
temporal à la face inférieure du cerveau, tra- verse une partie du noyau cause, pénètre dans le ventricule latéral droit e
ntale d'un cerveau droit : BO, bandelette optique; P, pédoncule ; NC, noyau caudé, portion postérieure du ventricule latéra
ire à la première. Cela nous donne la figure VI tel' (PI. LII). Les noyaux gris centraux sont atteints en plein, le' corps s
ingtième expé- riences. Nous y voyons sur la coupe de rlechsing les noyaux gris-centraux et la capsule interne directement
gauche, un peu oblique d'avant en arrière et do bas en haut : l'iC, noyau caudti (extrémité antérieure); l', pédoncule, l
: En L se trouve une lésion affectant la forme d'une déchirure; NC, noyau caudé; A1\I, avant-mur; i\1,, no3 a lenticulair
lésion déchirant largement la substance grise et atteignant NC, le noyau caude; 1L, lo - ii ' - T fii 1 i <-w~ -~ ? -
teint la partie antérieure du lobe temporal, la substance grise des noyaux centraux et principalement du noyau caudé, ains
mporal, la substance grise des noyaux centraux et principalement du noyau caudé, ainsi que la partie supérieure des fibre
la lésion on doit éliminer une lésion et une tumeur comprimant les noyaux des nerfs malades, parce que les autres symptômes
ma- ladies manquent. C'est donc une affection isolée, autonome des noyaux . Le fait que toutes les branches du moteur ocul
ment. t. ' Il s'agit donc chez notre malade d'une lésion isolée des noyaux de la troisième et de la septième paires gauche
probablement récente du nerf facial. Comme c'est spé- cialement le noyau du nerf facial qui est le point de jonction entre
é par une paralysie bulbaire supérieure restreinte sur la lésion du noyau de la troisième paire gauche, à laquelle s'est
isième paire gauche, à laquelle s'est joint plus tard une lésion du noyau du nerf facial : nous inclinons à supposer qu'il
rveuses sont remplies de globules noirs, surtout les cellu- les des noyaux des nerfs hypoglosses, des noyaux ambigus et laté
noirs, surtout les cellu- les des noyaux des nerfs hypoglosses, des noyaux ambigus et latéraux. Par places on rencontre de
ongements des cellules de ce genre souvent ne sont pas visibles. Le noyau de ces cellules assez souvent est disposé exceutr
ne claire périnucléaire ou une chromolyse centrale. Les contours du noyau souvent ne sont pas nets ; par places on voit u
t ne sont pas nets ; par places on voit une position excentrique du noyau . .111. Région lombaire (coloration par le bleu
sont conservés parfois seulement sur la périphérie des cellules. Le noyau dans ces cellules conserve une position centrale
gions périphériques du corps cellulaire ; assez souvent on voit des noyaux dépourvus de nucléoles ; ces cellules sans nucléo
n peut voir un point coloré. Il y a des cellules où les contours du noyau sont irréguliers ; dans beaucoup de cellules le
contours du noyau sont irréguliers ; dans beaucoup de cellules les noyaux sont diminués en volume. Coloration par l'hémat
basiques d'aniline, nous ne ferons attention ici que sur l'état des noyaux . Ces derniers dans certaines cellules, sont d'une
e (terme nouveau de Van Gehuchten) avec une position excentrique du noyau , une chromolyse partielle, une colo- ration dif
colo- ration diffuse des cellules, une modification de la forme du noyau , des vacuo- les dans le corps cellulaire et un
un grand nombre de cellules avec une chromolyse centrale et avec un noyau disposé excentriquement, nous fait douter que ce
s dans certaines cellules une-coloration très foncée et intense des noyaux . Cela a été observé dans les cellules dont le vol
a été observé dans les cellules dont le volume était diminué et le noyau présentait une forme irrégulière. Cas II. A.
l est impossible de dire de quel côté a été faite l'opération. Le noyau dorsal du vague, pas plus que le noyau ambigu, ne
a été faite l'opération. Le noyau dorsal du vague, pas plus que le noyau ambigu, ne présentent d'altérations quelconques
endant la période de réparation. Le nombre des éléments composant e noyau dorsal droit est très approxi- Nouv. Iconograph
LE PHÉNOMÈNE DE LA CUROMATOLYSE 519 mativement le même que celui du noyau gauche, et les cellules ne sont pas plus resser
l'impression que le chiffre total des cellules est normal dans les noyaux dorsaux à droite et à gauche. Il n'en est pas d
s de même lorsqu'on considère chaque coupe séparément, car les deux noyaux droit et gauche, ne sont que rarement symétriques
que rarement symétriques sur la même coupe. Alors c'est tantôt le noyau dorsal gauche qui semble plus riche en cellules
lules que son congénère, tantôt c'est l'inverse qui a lieu, car les noyaux ne consti- tuent pas une colonne cylindrique, m
dont la surface est polygonale. On rencontre, il est vrai, dans le noyau dorsal droit, de temps à autre, des cellules en
ma in- forme, très foncé, au sein duquel on ne voit que rarement le noyau ; les autres (PI. LXXVI,b,c) sont très pâles, d
mophyles reconstitués; la cellule est privée le plus souvent de son noyau . Quand celui- ci existe, il est comme appendu à
ormé, souvent allongé en un seul mot en serrant à l'un des pôles le noyau presque entièrement énucléé. Le protoplasma de
lulaire, quelques amas de blocs ne formant pas un ruban continu. Le noyau est souvent vésiculeux, normal, mais assez fréque
es épars dans un protoplasma saupoudré d'une fine poussière avec un noyau ex- centrique. D'autres cellules (PI.LXXVI,f)
ellules (PI.LXXVI,f) reviennent à une forme plus régulière, avec un noyau plus central et un protoplasma contenant de nombr
les autres qu'on a de la peine à distinguer le proto- plasma et le noyau qui occupe de nouveau une position centrale (PI.L
en est encore au stale de dissolu- tion des blocs chromatiques : le noyau est périphérique, faisant souvent hernie ; le c
est déformé, quelquefois allongé dans le sens de la migra- tion du noyau ; d'autres fois le noyau fait une brusque saillie
allongé dans le sens de la migra- tion du noyau ; d'autres fois le noyau fait une brusque saillie hors de la cellule (1)
ns du plus petit diamètre (PI. LXXVI, i, k.). Quoi qu'il en soit le noyau n'est jamais central. Le protoplasma est semé ç
(PI,LXXVI, 1). La plupart de ces cellules sont déjà privées de leur noyau . Mais nous avons ici également un certain nombr
ême, mais peu nombreuses (PI. LXXVI, n) ont réparé leurs pertes. Le noyau est revenu au centre de la cellule. Ces éléments
VII, A). Les cellules sont toutes revenues à l'état normal, pour le noyau dorsal comme pour le noyau ambigu, si bien qu'i
toutes revenues à l'état normal, pour le noyau dorsal comme pour le noyau ambigu, si bien qu'il est impossible de dire de q
é réséqué. Le nombre des éléments nerveux est le même pour les deux noyaux dor- saux, autant du moins, qu'une observation
une plus grande richesse en tissu conjonctif du côté opéré dans les noyaux d'origine des nerfs et les cellules ne sont pas r
ontré sur une même coupe horizontale une symétrie complète des deux noyaux dorsaux. Tantôt l'un, tantôt l'autre sur les co
s que celui du côté opposé. Mais, le nombre total des éléments d'un noyau ne diffère pas sensiblement de celui de son con
conclusion ferme soit en faveur de la nature motrice ou sensible du noyau en question, soit en faveur de la dispari- tion
e. Nous dirons en passant qu'on ne constate rien d'anormal dans les noyaux d'origine du vague à droite, bien que le nerf a
ttent de se. rendre compte des diamètres respectifs des cellules du noyau dorsal droit et du noyau dorsal gauche. Les m
e des diamètres respectifs des cellules du noyau dorsal droit et du noyau dorsal gauche. Les mensurations ont été faites
ensurations ont été faites comme précédemment. 524 CHARLES LADAME Noyau dorsal du dixième droit. Côté non opéré. Chat a
rtout à la périphérie cellulaire et nucléaire (PI. LXXVII, c). Le noyau de ces cellules reprend peu à peu sa place au cen
ormées, presque complètement privées de blocs chromatiques, avec un noyau faisant le plus souvent hernie. Un bon nombre d
recroquevillées, difformes et fon- cées. On ne peut y distinguer un noyau ; elles se rapetissent de plus en plus et finis
sparaître. Les autres, de volume normal, également dé- formées sans noyau pour la plupart, sont pâles, transparentes ; elle
gmentent, se pulvérisent et disparaissent. On rencontre parfois des noyaux ayant toute l'apparence normale parmi des fragm
rmale parmi des fragments de protoplasma en voie de régression, ces noyaux viennent de quit- ter leur cellules, ils se flé
et discussion des coupes. a) Moelle allongée.. 1 Les cellules des noyaux du pneumogastrique n'offrent aucune apparence p
t parfaitement rentré dans l'ordre, aussi bien pour les cellules du noyau dorsal que pour les éléments du noyau ambigu. O
ssi bien pour les cellules du noyau dorsal que pour les éléments du noyau ambigu. On ne voit même plus la teinte bleu fon
on constate une diminution très sensible du nombre des cellules du noyau dorsal droit. Cette diminution porte sur le moi
cellules ont l'apparence d'é- léments normaux : Elles possèdent un noyau central, un protoplasma clair, une grande riche
antôt enfin ils sont répandus au hasard dans toute la cellule. Le noyau est central ; dans quelques cellules il n'est tou
en régulier et coloré d'une façon in- tense qui occupe le centre du noyau . Un petit nombre de cellules nerveuses (Pl. LXX
corps est déformé, allongé, en voie d'atrophie. Le plus souvent leur noyau a disparu ; leur protoplasma devient de plus en
paraître aussi en se. détachant par lambeaux qui se désagrègent. Le noyau de ces cellules, que l'on rencontre çà et là isol
s chromatiques de néo-formation qu'il renferme. , Il enveloppe le noyau qui fait parfois une assez forte saillie hors de
int seulement, à l'un des pôles de la cellule, celui où s'est logé le noyau . La distension finalement gagne même l'îlot pro
finalement gagne même l'îlot protoplasmique dans lequel estlogé lé noyau , cette masse protoplasmique s'aplatit sur la vacu
ors pêle-mêle les débris du protoplasma, les blocs chromatiques, le noyau encore normal et englobé dans une très petite cou
particules qui disparaissent finalement avec les dernières traces du noyau sans néoformation d'éléments figurés du tissu c
a seule expérience qui nous ait fourni un tel résultat tant pour le noyau dorsal que pour le ganglion. Nous avons fait qu
cellules névrogliques , réaction consistant dans la tuméfaction du noyau et du corps cellulaire; Fiv. 5. - Coupe transve
a région lombaire, à l'état d'achromatose relative avec atrophie du noyau . Elle contient à son intérieur un gros corpuscu
ction de la cellule avec nécrose de coagulation, homogénéisation du noyau , etc. On peut dire d'une façon générale que les
cellule radiculaire, avec déplacement et atro- phie considérable du noyau dans un cas de myélite aiguè chez l'homme. L'alté
atose. J'ai rencontré cette altération pour la première fois dans les noyaux médullaires ou bulbaires après l'arrachement de
s cellules atteintes d'achromatose sont vouées à la mort. L'état du noyau est va- riable, parfois sa membrane est peu app
radiculaire à l'é- tat d'achromalose relative avec émigration du noyau et atrophie des prolongements. Fio. 23. - Ach
vation sont sinueux, les prolongements sont comme amputés, enfin le noyau , qui a la forme d'une ellipse allongée, est hom
partielle de la cellule nerveuse, atrophie avec homogénéisation du noyau . NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 593
gli- ques, lesquelles tout d'abord commencent par se tuméfier, leur noyau augmente de volume, puis il se divise et donne
moins ils ne sont plus bien colorables et on ne voit pas bien leur noyau . Au niveau de la région lombaire ces microbes s
617 7 lui, il faut invoquer une aphasie des centres portant sur les noyaux bul- baires des nerfs moteurs des yeux. Lucanus
et de l'état des muscles de l'oeil, des nerfs de l'orbite, de leurs noyaux bulbaires et de leur trajet intra-cérébral ains
s n'ont pas été poursuivis dans leur trajet intua-crânien jusqu'aux noyaux bulbaires, et rien n'est dit sur l'état du cerv
s yeux compliquée de paralysie faciale congénitale, dans lequel les noyaux bulbaires étaient entièrement normaux. Iteubner'a
minent dans leur cas la paralysie ou le défaut de développement des noyaux bulbaires qui président au fonctionnement des n
ens et sur les cellules multipolaires. La lésion atteint d'abord le noyau qui devient plus petit, puis les blocs chromati
r du bout central du nerf (1) Marinesco, Contribution à l'élude des noyaux , sections des noyaux moteurs dans la moelle épi
nerf (1) Marinesco, Contribution à l'élude des noyaux, sections des noyaux moteurs dans la moelle épinière. Revue neurolog
orel et V. Monakow et d'autres savants ont déterminé exactement les noyaux d'origine des nerfs moteurs et Forel en particu
el en particulier avait déjà reconnu en 1881 la nature mo- trice du noyau dorsal du Vague. Tous les auteurs sont d'accord
insi arrivé à pouvoir reconnaître la nature sensitive ou motrice du noyau d'origine d'un nerf par les différences que prése
même parachevée, aussi bien dans les ganglions noueux que dans les noyaux moteurs de la moelle allongée. - Pour Marines
nomène dans les cellules des ganglions noueux comme dans celles des noyaux moteurs. Chez les chats, en effet, nous avons t
n effet, nous avons trouvé au 118e jour une réparation complète des noyaux moteurs. D'autre part le ganglion plexiforme répa
difficile d'interpréter sûrement l'action de la chromatolyse sur le noyau . On sait que celui-ci est un organe indispensable
sur les prolongements de la cellule retentit-il directement sur le noyau ? Provoque-t-il sa migration active à l'un des
lement ou les autres troubles dans la substance achromatique que le noyau est expulsé passivement ? Nous avons fait rem
remarquer que la cellule s'allonge dans le sens de la migration du noyau , ce qui indiquerait, à notre avis, que le noyau e
de la migration du noyau, ce qui indiquerait, à notre avis, que le noyau est ac- tif et qu'il attire à sa suite le proto
éformé. En tout cas nous ne pouvons pas admettre que l'expulsion du noyau est due à la turgescence, puisque nous démontro
pas. Nous admettons par contre sans conteste l'expulsion passive du noyau dans les cas de vacuolisation cellulaire que no
asma pour connaître exactement les vraies causes de la migration du noyau , mais à l'heure actuelle on ignore abso- lument
ous semble que dans la théorie de la migration ou de l'expulsion du noyau dans les cellules en chromatolyse, on n'a pas jus
uffi- samment compte du rôle physiologique si important que joue le noyau dans la vie cellulaire. Les observations ont
on ne peut être résolue, selon nous, que si l'on fait intervenir le noyau lui-même. Nous avons déjà longuement parlé du p
es cellules en chromatolyse en les comparant aux cellules saines du noyau correspondant. Nous avons fait cette constatati
rrespondant. Nous avons fait cette constatation aussi bien pour les noyaux moteurs que pour les gan- glions plexiformes.
ation et la dissolution des blocs chromatophiles et la migration du noyau . Remarquons encore à quel point sont divergente
comparer à un vol d'oiseau, pour ainsi dire, sous le microscope, le noyau sain avec le noyau pathologique, sans donner de
'oiseau, pour ainsi dire, sous le microscope, le noyau sain avec le noyau pathologique, sans donner des chiffres qui auraie
t pourquoi nous avons me- suré un grand nombre de cellules et leurs noyaux . Nous avons déjà donné pour chacune de nos expé
naguère encore la possibilité de distinguer les noyauxmo- teurs des noyaux sensibles par le fait que les moteurs réparaient
organisation de la substance chromatique comme c'est le cas pour le noyau dorsal du vague chez le lapin, par exemple. La
ffet, si nous étudions attentivement, dans la série des coupes, les noyaux moteurs dorsal et ambigu, il est impossible d'y t
ambigu, il est impossible d'y trouver une lésion quelconque de ces noyaux . Toutes les cellules ont parfaitement réorganisé
lus, aucune diminution dans le nombre des éléments en comparant les noyaux opposés entre eux. L'autopsie des animaux n'ava
l'opinion que l'on avait de- puis Stilling de la nature sensible du noyau dorsal du vague, opinion qui 'était en outre co
n qui 'était en outre corroborée par la précocité de réaction de ce noyau au trau- LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 655
on et l'absence de réparation caractérisait la nature sensible d'un noyau . Cette préparation du lapin concorde ainsi parf
. (1) V AY. Gehuchten, Contribution à l'élude des localisations des noyaux moteurs dans la moelle lombo-sacde el de la vac
tes. THÈSES . 1. La chromatolyse des ganglions plexiformes et des noyaux bulbaires du vague est un phénomène constant ap
n'est nullement un phénomène régulier de la chroma- tolyse. 4. Le noyau est actif dans son déplacement pendant le phénomè
jour et chez le chat au 147" jour après la résec- tion du vague, le noyau dorsal pathologique de la 10e paire ne présente p
n que dans celui dont le pneu- mogastnque a été réséqué. ' 11. Le noyau dorsal et le ganglion plexiforme du nerf vague, c
9 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
n, contourne la corne sphénoï- dale et atteint la partie externe du noyau amygdalien où il morcelle avec le faisceau unci
c le faisceau uncinatus la substance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygda- lien et à l'écorce cérébrale avoisinant
pulvinar, dans les corps genouilllés externe et interne et dans les noyaux externe et interne de la cou- che optique. Les
de la partie inférieure du noyau'latéral de la couche optique et du noyau principal du pul- vinar ; à cet endroit ses fib
ehors. Le faisceau longitudinal commence à se dessiner au niveau du noyau amygdalien et de la circonvolution du crochet...
se rendent au pulvinar, aux corps genouillés externe et interne, au noyau latéral (partie supérieure) de la couche optique
es seraient destinées au pulvinar, au corps genouillé externe et au noyau latéral de la couche optique ; la partie supérieu
res une origine plus étendue, non seulement dans la couche optique ( noyaux latéral et posté- rieur), mais aussi dans le co
e qui atteint la couche optique mais aussi la capsule interne et le noyau lenticulaire. Le faisceau longitudinal inférieur
de partie dégénéré ; cette dégénérescence tient à la destruction du noyau latéral de la couche optique dont les fibres pa
es du pulvinar et du corps genouillé externe, et dans ce cas, £ ces noyaux sont in- demnes. ' Les lobes pariétal et occi
gnées d'autres fibres ayant la même origine et qui se rendraient au noyau médian de la couche optique et aux circonvoluti
n- cephale, il en est'd'autres que l'écorce cérébrale enverrait aux noyaux moteurs des régions inférieures du névraxe. Ain
ques primaires tirent leur origine du'corps genouillé externe et du noyau latéral de la couche optique,' se dirigent irrégu
ochet et des trois circonvolutions temporales. Dans la région des noyaux centraux, un bon nombre de fibres se détachent z
uillés externe et interne, dans le putamen et le globus pallidus du noyau lenticulaire. Enfin d'autres fibres passent dan
e, mais la coloration de Weigert ne permet pas d'établir avec quels noyaux de la couche optique ces relations ont lieu.
se termine dans le voisinage de la circonvolution du crochet et du noyau amygdalien. L'auteur considère que, d'une façon
uillé externe, on constate une décoloration du stratum zonale de ce noyau ; les altérations du côté de la couche optique
telles que l'atrophie simple,la dégénérescence, la multiplication des noyaux , les débris de tissus, les altérations conjonct
éparations traitées par double coloration on voit très bien que les noyaux des gaines deSchwann sont plus longs et plus nomb
e gênant pas' la position assise ; tumeur molle renfermant quelques noyaux indurés, pen- UN CAS DE NEURO-F1BR0111ATOSE GÉN
t troisième circonvolutions temporales et le troi- sième segment du noyau lenticulaire, puis se cantonne à l'insula de Reil
antérieure grandement dégénérée se dessine net- tement au niveau du noyau lenticulaire. La partie antérieure du lobe tempor
nvolution temporale. La capsule externe et la plus grande partie du noyau lenticulaire ont disparu. La couche optique est é
tration de la partie supérieure du corps genouillé externe, mais ce noyau est très peu touché. D'autres foyers siègent au
est très peu touché. D'autres foyers siègent au niveau du corps du noyau caudé et du pied de la couronne rayonnante et d
et du pied de la couronne rayonnante et de la partie supérieure du noyau lenticulaire. Toutes ces lésions occupent l'hém
atteint ; c'est à ce niveau que siège le maximum de la lésion de ce noyau . Bien que très limité, ce foyer a entraîné une
e siégeant dans le lobe pariétal est en rapport avec les lésions du noyau caudé et de la couronne rayonnante que nous avons
ue cette dégénérescence correspond mathématiquement à une lésion du noyau lenticulaire, que cette lésion a sectionné les fi
venant du corps genouillé et qui traversent la partie inférieure du noyau lenticulaire avant d'entrer dans la constitutio
égénérée de la couche sagittale externe remonte petit à petit vers le noyau lenticulaire. Enfin (Planche XXIX, 6) cette d
6) cette dégénérescence s'engage dans la partie infé- rieure de ce noyau en passant par la capsule externe. On note la des
passant par la capsule externe. On note la destruc- tion totale du noyau lenticulaire, les fibres dégénérées de la couche
ison de la dégé- nérescence d'un certain nombre de radiations de ce noyau . On voit que les couches sagittales se sont ent
niveau de la partie antérieure du corps genouillé externe, là où ce noyau fait place à la bandelette optique, il n'existe
; elle ne pro- vient donc pas de l'écorce cérébrale, mais bien des noyaux centraux. Nous voyons ainsi le contingent corti
ent rétro-lenticulaire de la capsule interne, on voit au-dessous du noyau coudé un petit fascicule rond qui se détache ne
uche externe et la couche interne ; une ligne imaginaire reliant le noyau coudé (partie sphéuoïdale) à l'angle inféro-ext
e confond plus ou moins avec les fibres qui recouvrent en dehors le noyau caudéet entre avec ces dernières dans la consti
t dans le corps genouillé interne représentent les radiations de ce noyau et proviennent de la première circonvolution te
rne de Meynert et qui sont en relation avec la partie antérieure du noyau interne de la couche optique. Mais toutes ces r
e d'irradiation, on parvient à établir les connexions corticales de noyaux déterminés. Les radiations thalamiques occipita
supérieure et externe du pulvinar et dans la partie postérieure du noyau LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISSE
ppocampe) sont en relation avec la partie interne du pulvinar et le noyau interne de la couche optique. Nous avons déjà p
l'angle supéro-externe du corps du ventricule latéral, au-dessus du noyau caudé et en dedans du pied de la couronne rayon-
ue nous venons de décrire brièvement, et qui est situé au-dessus du noyau caudé. On a donné plusieurs noms à ce faisceau :
On a donné plusieurs noms à ce faisceau : « Couronne rayonnante du noyau caudé » (Meynert),« faisceau du corps calleux s
es fibres pas- sent par la capsule externe et entre les segments du noyau lenticulaire. Donc, il ressort de ces considéra
agittale interne fronto-pariétale dégénère à la suite de lésions du noyau caudé qui intéressent la capsule interne ou le pi
d de la cou- ronne rayonnante. Les lacunes, même considérables, des noyaux caudé et len- ticulaires, à condition qu'elles
audé et len- ticulaires, à condition qu'elles soient limitées à ces noyaux , ne retentissent pas sur la couche sagittale in
rale, d'une lacune, siégant immédiatement au-dessus et en dehors du noyau caudé et qui ne sectionne que les fibres de la
ue et que ces fibres tirent leur origine du tubercule antérieur et du noyau interne de la couche optique. Occupons-nous m
14 et PI. XXX) ; nous l'avons vu dégénérer à la suite de lésions du noyau lenticulaire, du corps genouillé ex- terne, de
nouillé externe. Les fibres provenant de la partie antérieure de ce noyau se portent obliquement en bas et en dehors, longe
capsule interne, traversent l'angle inférieur du troisième segment du noyau lenticulaire, se coudent au niveau de la partie
compacts qui embrassent la partie inférieure et le bord externe du noyau caudé sphénoïdal. Ces fibres sont extrêmement d
entral sont refoulées, par les fibres corticifuges se ren- dant aux noyaux centraux et à la capsule interne, dans l'angle qu
corps genouillé externe (et plus en avant, la bandelette optique) du noyau caudé sphénoïdal, il concourt à former la presq
et en dedans, et plus loin en avant, dès que la partie recourbée du noyau caudé apparaît le long de la paroi ventri- cula
st portée en dedans et correspond à une ligne imaginaire reliant le noyau caudé à l'angle inférieur du segment vertical d
ISCEAU OPTQUE CENTRAL 207 et en dedans, côtoient le bord externe du noyau caudé sphénoïdal, puis s'arrê- tent brusquement
u corps genouillé externe. Enfin, au niveau du bord antérieur de ce noyau , c'est le faisceau de Turck qui établit la limi
terne pour passer dans la capsule in- terne et se terminer dans les noyaux centraux, elles sont remplacées par les fibres
re de la capsule externe (fig. 3),traver- sent l'angle inférieur du noyau lenticulaire et se recourbent' vers le corps ge-
oi ventriculaire externe, et enfin, au niveau du globus pallidus du noyau lenticulaire, elles n'occupent guère que la par
antage et fixe son origine dans le corps genouillé externe et dans le noyau latéral de la couche optique. Pour nous, le f
ppé et que le corps genouillé externe ne peut guère représenter son noyau d'origine. A cela nous répondrons que le faisce
ent considérable des gaines conjonctives dont le tissu est riche en noyaux arrondis ; il existe des lésions inflammatoires
oupes colorées à l'hématoxyline ne montrent de mul- tiplication des noyaux à l'intérieur des fascicules nerveux que dans des
tement certaines fibres très fines groupées, en faisceaux riches en noyaux allongés (Pl. XXXV, fig. 3). La nature de ces d
ns une membrane conjonctive qui leur forme un étui et qui porte des noyaux allongés espacés de distance en distance (gaine
formée d'une membrane souvent assez lâche ; elle porte de nombreux noyaux allongés et recourbés, qui se modèlent sur la mas
fibre dont on voit l'origine au niveau du glomérule d'une cellule. Noyaux des capsules des massues. Fig. 7. - Obs. II (ta
portion glo- mérutaire est très simple. Capsule péri-cellulaire et noyaux des cellules sous-capsu- laires. Plusieurs coll
ce plus accentuée et aux fines granulations qui les recouvrent ; le noyau , clair, est un peu plus gros que normalement. P
e le bleu de méthylène teinte en bleu sale tirant sur le violet. Le noyau , toujours excentrique, de petite dimension par
des parois constituées par une ou plusieurs couches de cel- lules à noyau volumineux allongé, très clair, riche en chromati
à se diriger vers la périphérie. Sur bon nombre de ces éléments le noyau est en kinèse. Au milieu de ces cellules modifi
e mousse présentent de véritables lacunes renfermant, enclavés, des noyaux de leucocytes et du tissu nécrosé. Ce réseau No
couleurs basiques et devient surtout très visible avec l'éosine. Le noyau occupe le plus souvent le centre. Sa membrane ren
e karyokinèse. Dans la gitterzelle en dégénérescence, on observe un noyau beaucoup plus petit, entouré d'un protoplasma cre
rence circoncrivant un espace clair, au milieu duquel on aperçoit le noyau , qu'entourent encore des débris du réseau proto
esquels se trouve un tissu formé de cellules allongées arrondies, à noyaux très foncés. Les vaisseaux apparaissent, au for
naires, constituées par une ou deux couches de ces gros éléments à noyau clair, surmonté aux deux pôles d'une houpette p
ère, est tantôt ovoïde, tantôt polygonale à angles très accusés. Le noyau toujours excentrique, est plus clair. La chromati
e à la membrane. L'arrangement régulier de toute la péri- phérie du noyau de ces masses rappelle l'aspect d'une rosace. A c
tine nucléaire permet de différencier ces jeunes plasma- zellen des noyaux des lymphocytes. Les gitterzellen sont très abo
lé ; on ne retrouve plus ces grandes lacunes avec des enclaves; les noyaux sont moins volumineux et plus foncés. Il semble
du cylindraxe est devenue colorable parles couleurs basi- ques, les noyaux sont foncés, irrégulièrement teintés. Les noyau
basi- ques, les noyaux sont foncés, irrégulièrement teintés. Les noyaux névrogliques sont plus nombreux que normalement,
sont pas moins importantes. De forme arrondie ou allongée, tous les noyaux sont très colorés, et il est impossible de différ
noyaux sont très colorés, et il est impossible de différen- cier le noyau d'un petit élément, foncé à l'état normal, de cel
foncé à l'état normal, de celui d'une pyrami- dale. Les limites du noyau sont très imprécises ; la membrane, à peine perce
n est représentée par toute une série de pe- tits éléments, dont le noyau arrondi possède une coloration métachromatique,
mique est à peine indiqué par un très mince liseré clair et dont le noyau présente un aspect très particulier. La membrane
dont la coloration et la forme rappellent l'aspect du nucléole d'un noyau névroglique. Cet aspect, difficile à interpréte
d'une Içitièso, plaide l'absence des stades ultérieurs de division du noyau , et de la teinte métachromatique. L'interprét
des cellules nerveuses, les modifications profondes des contours du noyau , du nucléole, qui intéressent tous les éléments,
La nécrose de la cellule se déduit beaucoup plus des altérations du noyau que de celles du protoplasma. Du côté des cel
. L'état vacuole cesse à 3 centimètres du pôle frontal. Thaï, opt., noyaux caudés et noyaux lenticu- laires paraissent nor
cesse à 3 centimètres du pôle frontal. Thaï, opt., noyaux caudés et noyaux lenticu- laires paraissent normaux. Le nombre
abord dilaté et le tissu environnant vacuole (com. post. et moelle du noyau r.). Plus tard l'aqueduc ne subsiste plus qu'à
e est aplati mais pas détruit du tout (PI.IL) ;il en est de même du noyau de la 3° paire, plus déformé à droite qu'à gauche
plus comprimé dans sa moitié postérieure que dans l'antérieure. Le noyau du pathétique se retrouve parfaitement, enclavé
la plus grande du néoplasme : c'est un sarcome, subdivisé ici en 4 noyaux principaux. Il n'a que fort peu détruit directe
ceau. 3. Il est remarquable que, la tumeur étant à gauche, c'est le noyau de de l'oculomoteur commun droit qui a le plus
lumière est peu en accord avec le fait quela partie postérieure du noyau de la 3° paire fut directement plus comprimée que
ore le Weigert. Cette région est riche en grosses cellules à 1 ou 2 noyaux , chargées de détritus (Koernchenzellen). Enfi
rique des fibres musculaires, une proli- fération assez marquée des noyaux du sarcolemme avec une très légère sclérose int
pourrait-on dire, de cha- que fibre musculaire ; prolifération des noyaux du sarcoplasma et du tissu conjonctif interfasc
de très banal dans l'encéphale d'un vieillard. Sur les coupes des noyaux gris et de la capsule interne aucune lésion ne
la sclérose constituée par des fibres épaisses renfer- mant peu de noyaux allongés entoure des paquets de faisceaux muscula
yper- trophiée et souvent l'adventice entourée d'un grand nombre de noyaux . Toutefois, nous devons ajouter que dans un cas
e fibres ayant l'apparence normale sans la proli- fération de leurs noyaux , certaines présentent la dégénération trouble par
ar hyperplasie de leur sarcoplasma masquant ainsi la striation. Les noyaux du sarcolemme en prolifération très active pénè
ls d'un pinceau. Au sommet aminci de quelques fibres s'amassent des noyaux qui don- nent l'apparence d'un capuchon ; peut-
tion et leur dia- mëtre normaux on observe une extrême abondance de noyaux allongés, ovoïdes, sériés en file sous le sarco
n rapport avec une dégénérescence et cependant la prolifération des noyaux , l'atrophie des fibres, les divisions dont elles
aisé de noter de plus, dans cette même zone, la multiplication des noyaux , ce qui implique un certain degré de réaction int
oit sur cette figure l'intégrité des cellules ganglionnaires, de leur noyau et de la capsule péri-cellulaire. Les fibres à
. En même temps, il existe un cer- tain degré de multiplication des noyaux (même technique, obj. 5, ocul. 2). 1 fit. 1.
l prolongement dirigé vers la moelle. Un tissu conjonctif pauvre en noyaux s'étendait à la place occupée par les cel- lule
ins signes de dégénérescence cellulaire, tels que l'excentricité du noyau , sa coloration, la chromatolyse du protoplasma, l
venues sur elles-mêmes. Cette atrophie porte si- multanément sur le noyau et le protoplasma, et fait capital, les rapports
nu- cléaires, enfin des nappes de tissu conjonctif dense, semées de noyaux allongés et dont les travées se glissent jusqu'
presque complètement, l'atrophie portant assez souvent aussi sur le noyau . Les capsules endothéliales étaient assez souve
fiées. En même temps on notait un certain degré de multiplicité des noyaux (fig. 7, planche XLVIII). La numération a donné,
ganglionnaires sont d'aspect normal, de la grandeur habituelle, le noyau est central. Il n'existe aucune prolifération des
tBielschowsky),l'épais- sissement de la paroi, la prolifération des noyaux de l'intima, l'infiltration de la paroi et l'es
- cune lésion. Les coupes faites à travers le cervelet montrent les noyaux den- tés atrophiés, rabougris et d'une couleur
e occupe seulement un peu le stratum superficiale. Les cellules des noyaux centraux supérieurs, des noyaux latéraux et de la
atum superficiale. Les cellules des noyaux centraux supérieurs, des noyaux latéraux et de la substance grise du pont sont
Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 349 noyau central inférieur, de l'olive supérieure et des n
SYPHILIS 349 noyau central inférieur, de l'olive supérieure et des noyaux du pont sont pres- que complètement conservées.
re supérieure. La zone de sclérose occupe les deux pyra- mides, les noyaux arqués, la couche plus superficielle du corps res
oitié gauche, la pyramide, les deux tiers antérieurs de l'olive, le noyau rétropyramidal, la racine descendante du trijum
es. Dans la moitié droite l'olive est moins touchée (fig. 3). Les noyaux de la XIIe paire et les noyaux postérieurs de la
live est moins touchée (fig. 3). Les noyaux de la XIIe paire et les noyaux postérieurs de la XI" paire montrent avec des c
ace de l'entrecroisement piniforme.. Mal- gré cela les cellules des noyaux de Goll et de Burdach et de la substance gélati-
iveau sur un bulbe normal. On peut dire la même chose à l'égard des noyaux latéraux antérieurs et postérieurs du bulbe et de
égard des noyaux latéraux antérieurs et postérieurs du bulbe et des noyaux de la XlIe paire.Au niveau de l'entrecroisement m
lymphocytes, par des éléments polynucléaires et par des cellules à noyau assez grand, rond ou ovalaire, entouré d'une couc
aississement de la paroi des petits vaisseaux avec augmentation des noyaux et rétrécisse- ment de la lumière vasculaire.
l- laires est complètement obstrué et remplacé par un petit amas de noyaux po- lymorphes de grandeur différente. Dans la
reux, d'une façon plus ou moins prononcée. En certains endroits les noyaux y figurent trois ou quatre fois plus nombreux qu'
yers scléreux nous n'avons trouvé que du tissu tibril- laire et des noyaux de névroglie de grandeur moyenne ; les cellules g
L'examen histologique du cervelet a mis en relief que les régions des noyaux dentés sont envahies par une gliose assez prono
ent déplacées et situées plus ou moins irrégulière- ment. Parmi les noyaux de névroglie il y en a un grand nombre de petits
A leux, variables en dimension, mais, en général, assez grands. Ces noyaux parfois sont très nombreux (fig. 13). Les vai
repré- sentée par un anneau de névroglie fibrillaire très pauvre en noyaux . Cependant la paroi de ces formations cavitaire
aucoup plus régulière que dans les lacunes de désintégration. Les noyaux qui constituent les infiltrations périvasculaires
us son intégrité, car on les retrouve remplacés par un amas de 8-10 noyaux à forme et à dimension va- riable. Cette cons
. Cette constatation d'une sclérose assez prononcée des régions des noyaux dentés nous semble fort intéressante, d'autant
une zone claire remplie d'un tissu très mou et contenant parfois des noyaux ronds ou ovalaires. Tout autour de cette zone l
one la névroglie est plus dense et contient un plus grand nombre de noyaux que dans les autres parties des pla- ques. Au n
- sement. Ocul. 4 comp., Ob. DD. Zeiss. FIG. 12. Augmentation des noyaux de névroglie dans la corne antérieure d'une zon
sement : Ocul. 6 comp., Ob. A. Zeiss. Fig. 13. - Augmentation des noyaux de névroglie dans la région des noyaux dentés '
Fig. 13. - Augmentation des noyaux de névroglie dans la région des noyaux dentés ' du cervelet. Coloration : hématoxyline
munications entre le centre des représen- tations graphiques et les noyaux des nerfs moteurs destinés à l'écriture. Elle d
s communications entre le centre des représentations motrices et le noyau moteur des nerfs qui fonctionnent pour l'émission
e l'écriture ; mais, la lésion était limitée et n'affectait pas les noyaux des muscles respiratoires et buccaux qui consti
rébrales (1), il est vrai, mais spécia- lement dans les lésions des noyaux gris centraux (2) ainsi que J. F. Guyon l'a tou
mme leur cône d'origine sont dépourvues de gaines médullaires et de noyaux marginaux. Il s'agit là sans doute d'arborisati
on. On y voit des colonies de cellules apotrophiques, fusiformes, à noyaux oblongs constituant des faisceaux réunis entre
es régénérées entourées d'une couche de protoplasma granuleux et de noyaux Quelquefois, mt FiG. 2. Détails de structure
es, d'autres fois, elles paraissent rondes, on ne voit alors que le noyau , enfin elles sont étoilées, etc. En outre, on o
ion, elles sont volumineuses, jaunâtres, pourvues d'un ou plusieurs noyaux qui, suivant leur siège,en modèlent la forme (Fig
it un grand nombre de massues terminales, volumineuses, pourvues de noyau à siège variable. Presque toutes ces massues, m
il n'y a que la massue,mh. qui est rétrograde ; à remarquer que les noyaux se logent dans des espèces de cavités creusées
par deux, trois, ou même davantage les gaines de proto- plasma. Le noyau des cellules des bandes protoplasmiques est allon
compression par des fibres fines flanquées de distance en distance de noyaux oblongs ou fusiformes, riches en chromatine. Ce
ais elles s'entrecroisent et affectent différents rapports avec ces noyaux . Assez souvent -les fibres passent à côté des noy
ports avec ces noyaux. Assez souvent -les fibres passent à côté des noyaux , d'autres fois, au contraire, réunies par deux
is, au contraire, réunies par deux ou trois, divergent au niveau du noyau qu'elles embrassent. Parfois les unes s'enroule
areil spiral entre les spires duquel on peut distinguer parfois des noyaux oblongs. De plus, on rencontre encore par ci, par
ellules fusifor- mes juxtaposées et superposées et qui possèdent un noyau fusiforme riche en granulations de chromatine.
rtaines conditions, ces cellules s'allongent et possèdent plusieurs noyaux , méritant ainsi le nom qui leur a été donné de
xtrêmes, les fibres sont extrêmement grêles ou même filiformes, les noyaux sont extrêmement abondants et en certains points
st atrophiée, souvent à l'extrême, avec une prolifération intense des noyaux ; il existe de plus un certain degré de scléros
tes sont en voie d'atrophie simple avec prolifération excessive des noyaux . On constate aussi sur quelques faisceaux mieux
trophie simple, mais elle est moins prononcée, la prolifération des noyaux est également moins abondante. Il existe des es-
fibres ont leur aspect, leur dimension et leur striation normaux, les noyaux sont cependant un peu plus abondants que normal
omme étranglées, elles se colorent mal et d'une manière diffuse, le noyau et le nucléole sont difficilement visi- bles. C
tolyse centrale et souveut état poussiéreux de toute la cellule. Le noyau est trouble, poussiéreux, le nucléole est excentr
ertain degré de dégénérescence graisseuse et de prolifé- ration des noyaux . Hoffmann a publié, en 1893, sous le nom d'atro
icro-carmin. La tumeur est formée de petites cellules rondes à gros noyaux . Ces cellules sont espacées les unes des autres
le système radial. A ce système doit correspondre chez l'embryon un noyau spécial qui préside à son développement. Il s'a
oppement. Il s'agit vraisemblablement d'une agénésie complète de ce noyau radial et d'une agénésie partielle d'un certain n
l'atrophie est extrême, la striation n'est plus reconnaissable : les noyaux sont rares, les fibres disparues sont remplacée
d'atrophie simple, le sarcolemme est très légèrement épaissi et les noyaux ne sont guère mul- tipliés. Ailleurs ce sont
hets protoplas- miques, à des amas pigmentaires, le tout entouré de noyaux nombreux et très gros ; quelques-uns même sont
re. Entre la fibre simplement atrophiée et cette fibre encombrée de noyaux et de déchets, qui donne l'impression d'une fib
qui donne l'impression d'une fibre en quelque sorte digérée par les noyaux hypertrophiés et multipliés (myophagie), il exist
des fibres creusées de petites logettes occu- pées par de nombreux noyaux , quelquefois volumineux, mais souvent mal color
ou moins abondant. Ces divers aspects donnent l'impression que les noyaux contribuent à achever la dislocation de la fibr
le est entourée d'une gaine conjonctive plus ou moins-épaisse ; les noyaux sont extrêmement rares. Le périnèvre est relati-
s autres par un tissu cellulaire lâche dans lequel il existe peu de noyaux et peu de fibres conjonctives ; les noyaux sont
lequel il existe peu de noyaux et peu de fibres conjonctives ; les noyaux sont également rares dans les gaînes conjonctives
iques : sur les coupes du crural il existe peut-être un peu plus de noyaux dans la gaîne conjonctive de, chaque fibre nerv
ettes et les fibres sont engaînées par un tissu conjonctif riche en noyaux . · Le grand sympathique présente des altération
fin il existe, d'une façon générale, une multiplication intense des noyaux ; mais la dégénérescence wallérienne (segmentatio
ésence d'un tissu conjonctif plus ou moins abondant en fibres ou en noyaux ; les noyaux sont volumineux, le plus souvent de
issu conjonctif plus ou moins abondant en fibres ou en noyaux ; les noyaux sont volumineux, le plus souvent de forme circu
e, mais assez irréguliers, et se distinguant par ces caractères des noyaux allongés des gaines de Schwann, qui sont eux auss
cs de myéline entremêlés à des débris pigmentaires et à des amas de noyaux . Il n'est pas facile d'isoler complètement une fi
spect enchevêtré,en nattes que nous avons décrit précédemment ; les noyaux volumineux et irréguliers sont plus nombreux et
s de myéline le sont également. , Toutefois cette prolifération des noyaux ne se voit pas sur toute la longueur de la fibr
PROGRESSIVE DE l'ENFANCE 491 ce sont les fibres conjonctives ou les noyaux qui prédominent ; ces constatations tendent à d
si ce n'est que les gaines de Schwann paraissent plus grosses, les noyaux plus gros et plus nombreux ; il n'est pas facil
s nattes, sont plutôt rares ; par places il existe des amas de gros noyaux ou de tissu con- jonctif ; plusieurs faisceaux
nent le plus souvent des fibres adultes, mais quelquefois aussi des noyaux , surtout dans le bout central des racines antér
tte fibre est entourée d'un manchon constitué par des fibres et des noyaux dispo- sés sur plusieurs couches concentriques
alibre des cylindres est en effet très réduit ; les vacuoles et les noyaux sont rares autour de chaque fibre et le manchon
ses de plus petit calibre, des vacuoles, du tissu conjonctif et des noyaux , répondent aux faisceaux enchevêtrés, en nattes
moins éloignés de la moelle, la plus grande richesse de la gaine en noyaux et en éléments jeunes dans les par- ties plus c
à la désintégration de la libre musculaire, après prolifération des noyaux du sarcolemme; mais l'atro- phie peut rester si
centre : là la gaine conjonctive est formée de tissu jeune, riche en noyau et le centre n'est plus occupé par une fibre à
paissie, comme tuméfiée, granuleuse, mais sans multi- plication des noyaux . Les vaisseaux sanguins sont, en général de volum
désorientation des cellules nerveuses. Multi- plication diffuse des noyaux névrogliques. Rien aux méninges ; quelques rares
yse et pigmentation légères de certaines cellules des olives et des noyaux du plancher du' IVe ventricule. A la partie infér
englobée dans un tissu très dense avec multiplication discrète des noyaux . b) Des lésions probablement tuberculeuses se r
quelques vaisseaux des grains de pigment hématiques mélangés à des noyaux , noyaux leucocytaires ou noyaux névro- gliques.
s vaisseaux des grains de pigment hématiques mélangés à des noyaux, noyaux leucocytaires ou noyaux névro- gliques. Sur l
e pigment hématiques mélangés à des noyaux, noyaux leucocytaires ou noyaux névro- gliques. Sur les coupes passant par la
voit le pédoncule cérébelleux supérieur, la formation réticulée, le noyau central supérieur, le faisceau longitudinal pos
vacuoles dans leur protoplasma et du pigment jeune et souvent leur noyau a subi la migration périphérique (PLLXXX,C). Dans
iliaires ; 2° la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Detiers avec la moelle, faisceau de Marchi,
car d'une part, les fibres que la corticalité occipitale envoie aux noyaux centraux occupent la couche sagittale interne e
de la paroi externe et du plancher de la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygda- lien ; une partie des fibres dégénérées
à la dégénérescence de l'écorce temporale qui se poursuit jusqu'au noyau amygdalien, elle tient (croyons-nous) à la sect
uillé externe sont méconnaissables au superlatif ; dans l'autre ces noyaux mêmes sont respectés, mais deux foyers siègent co
ce qu'il puisse passer par la capsule du corps genouillé externe ; noyau que l'on sait joliment plus gros que ne le lais
Le faisceau optique central tire son origine du plus important des noyaux de la base, du noyau le plus riche en cellules,
entral tire son origine du plus important des noyaux de la base, du noyau le plus riche en cellules, le corps genouillé ext
plan postérieur du corps genouillé externe ; entre ce niveau et le noyau amygdalien, les fibres qui occupent le segment la
« le segment perpendiculaire de la couche sagittale compris entre le noyau caudé sphénoïdal au-dessus et l'angle saillant
rieurs au corps genouillé externe, les fibres situées au-dessous du noyau lenticulaire se disposent de nouveau en deux couc
s îlots de substance grise qui se détachent de l'angle inférieur du noyau lenticulaire ou qui relient l'avant-mur au noya
angle inférieur du noyau lenticulaire ou qui relient l'avant-mur au noyau amygdalien; la partie recourbée du noyau caudé y
qui relient l'avant-mur au noyau amygdalien; la partie recourbée du noyau caudé y est aussi pour une bonne part. Enfin ce
tre pédoncule de même façon que le locns niger s'iuterpose entre le noyau rouge et le pied dn pédoncule cérébral. La réun
579 externe de ces fibres verticales entre le corps genouillé et le noyau amygda- lien, renferme surtout des fibres corti
ramidales, mais contrairement à ce qui se passe pour celles-ci, les noyaux principaux du premier neurone visuel sont très
ristique pyramidale : « décussation entre le centre d'origine et le noyau terminal du premier neurone ». A un point de vu
e surtout dans la partie inférieure du corps genouillé externe ; ce noyau reçoit, d'après von Monakow, environ 80 0/0 des
partie inférieure du corps genouillé externe devient comparable au noyau pontique de la racine sensitive du trijumeau, ou
u pontique de la racine sensitive du trijumeau, ou mieux encore, au noyau acoustique ventral. D'après nos connaissances a
avant et au- dessus du corps genouillé externe pour arriver à leur noyau pédonculaire. Ces fibres quadrigéminales aborde
ous nous rallions à l'idée qu'un petit nombre de fibres passent des noyaux centraux dans la bandelette optique ; nous croy
terne, corps quadrijumeau antérieur et pnlvi- nar, c'est-à-dire aux noyaux mêmes qui reçoivent les fibres rétiniennes. Mais,
adrijumeau antérieur les libres qui forment le stratum zonale de ce noyau , ou, la couche superficielle. 3° Au pulvinar, u
-quadrigérninales. Elles concourent à former le stratum zonal de ce noyau , mais se rendent surtout à la couche moyenne. 3
soriel, il est préférable de comparer le ganglion visuel central au noyau acoustique ventral (nerf cochléaire) dont il a ce
tral (nerf cochléaire) dont il a certaine- ment l'aspect. Comme les noyaux sensitifs des nerfs crâniens, le corps ge- noui
céphalique, mais au niveau de la base, c'est le mieux développé des noyaux thalamiques ; il devient donc en même temps et au
donc en même temps et au point de vue fonc- tionnel, l'analogue du noyau ventral de la couche optique qui reçoit les fibre
l. Mais le corps genouillé externe diffère beaucoup de ce der- nier noyau , car il ne reçoit que le premier neurone ; s'il e
nière de voir peut paraître étrange, mais il faut bien dire.que les noyaux de la couche optique ne sont contraires qu'au poi
, le ruban de Reil, a comme centre terminal de prime importance, le noyau central du thalamus. Nous ne croyons pas que la
us. Nous ne croyons pas que la voie sensitive in loto reparte de ce noyau central pour s'irradier dans l'écorce; certaine
raie. D'ailleurs, la lésion se trouve rapprochée du thalamus, et le noyau ventral perçoit un ébranlement qui suffit à sus
temporairement sa susceptibilité. Le corps genouillé externe est un noyau lhalamique sensoriel ; son siège et son caractè
el ; son siège et son caractère fonctionnel le rapprochent donc des noyaux sensitifs. Mais, ainsi que le noyau ventral de
ionnel le rapprochent donc des noyaux sensitifs. Mais, ainsi que le noyau ventral de la couche optique est (pour nous) l'an
du pulvinar et du corps quadrijumeau anté- rieur) et réagit sur les noyaux du mésencéphale, et sur la corticalité calcari-
me la sphère sensitive corticale. Le corps genouillé externe est le noyau d'origine du faisceau optique central et c'est da
descendant et que les voies visuelles di- vergent en se rendant aux noyaux centraux. La bandelette passe donc dans l'hémis
et la substance grise de l'aqueduc de Sylvius qui représentent son noyau terminal de prime importance. Nous ne nions pas
nférieures du tronc encéphalique ou entre en relation avec certains noyaux du thalamus. Ainsi, nous revenons à notre idée
nicus par rapport à l'ensemble des libres qui se terminent dans les noyaux des cordons postérieurs. Cependant le faisceau
ais elle ne reçoit aucun contingent des ganglions de la base ou des noyaux du tronc encéphali- que. Elle se sépare au nive
sépare au niveau du pédoncule, des fibres corticales destinées aux noyaux moteurs des nerfs crâniens et aux masses grises d
rieur de la protubérance que des libres qui se ter- minent dans les noyaux pontiques. Bien que dissociée à cet endroit, la v
dal direct et pyramidal croisé, de même une lésion circonscrite des noyaux centraux ou de la partie antérieure du lobe tem
10 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ns isolées de muscles de fixer avec une précision mathématique, les noyaux moteurs médullaires. Et cependant l'expérimenta
chten, Mari- nesco, etc. D'après Sano, chaque muscle doit avoir son noyau d'innerva- tion distinct dans la corne antérieu
r ». Pour Marinesco (Rev. Neurol., 1901), les nerfs du bras ont des noyaux dis- tincts occupant une certaine hauteur. Le n
u bras ont des noyaux dis- tincts occupant une certaine hauteur. Le noyau musculo-culané est cons- titué par une masse de
les qui apparaissent au niveau du sixième segment cervical avant le noyau du radial. Lorsque les cellules de ce dernier n
rvical avant le noyau du radial. Lorsque les cellules de ce dernier noyau font leur apparition, elles sont situées en dehor
bas, au niveau du tiers supérieur du septième segment cervical, le noyau du radial se développe de plus en plus, tandis
n seul muscle de ce segment (la main), à l'abducteur du pouce, a un noyau différent du groupe qui représente les noyaux du
ducteur du pouce, a un noyau différent du groupe qui représente les noyaux du mé- dian et du cubital »; de même, le noyau
qui représente les noyaux du mé- dian et du cubital »; de même, le noyau commun du bras se divise en noyaux du musculo-c
dian et du cubital »; de même, le noyau commun du bras se divise en noyaux du musculo-cutané et du radial qui gardent à l'ég
rtaine indépendance; de même le centre de l'avant-bras comprend les noyaux du médian et du cubital d'une part, et du radial
avons vu, des segments, tel le bras par exemple, qui possèdent deux noyaux absolument différents constituant des groupes na-
sont les plus lésées. Si on juge l'altération d'après le nombre des noyaux du sarcolemme, on ne trouve pas une seule fibre
pas une seule fibre normale sur les préparations. L'hyperplasie des noyaux est ici le phénomène le plus caractéristique et
e ; voilà pourquoi dans les fibres hypertrophiées l'hyperplasie des noyaux est très faible et dans les fibres atrophiées e
. Ce phénomène se présente sous des formes différentes : tantôt les noyaux multipliés se dispo- sent sous le sarcolemme en
'épaisseur même de la fibre ; voilà pourquoi on trouve une sorte de noyaux isolés dans la masse de la substance contractile
ire un aspect d'une peau de léopard (c, fig. 5) ; tantôt enfin, les noyaux , se multipliant dans la direction longitudinale,
ulière (d, fig. 5). Dans les fibres fort atrophiées la quantité des noyaux arrive à un tel de- gré qu'au lieu d'une fibre
u lieu d'une fibre on ne voit qu'une gaine de sarcolemme remplie de noyaux (e, fig. 5). La forme des noyaux n'est pas consta
une gaine de sarcolemme remplie de noyaux (e, fig. 5). La forme des noyaux n'est pas constante : s'ils sont isolés, ils so
stance de la striation parallèlement à la prolifération extrême des noyaux , que nous avons affaire à une atrophie de (t) F
a striation trans- versale, proportionnelle à une prolifération des noyaux . Cette circons- tance seule, sans parler d'autr
n organique ou potentielle du système nerveux, particulièrement des noyaux des neurones moteurs périphériques : on a décou
, par la méthode de Nissl, une chromatolyse intense aux Vacuoles et noyau excentrique des cellules motrices sacrées et cocc
UNES. · Siège. - Le siège le plus habituel des lacunes est dans les noyaux gris du cerveau. Quelle que soit la dimension d
pôle antérieur et de son pôle postérieur que se trouve la masse des noyaux gris. Ils sont environnés de toutes parts, en ava
t en dehors de lui. La connaissance de cette situation exacte des noyaux gris n'est pas indiffé- rente car elle règle le
ie les artères striées antérieures qui vont se perdre dans la tête du noyau caudé. La cérébrale moyenne ou sylvienne donn
nne deux groupes artériels : les Striées internes qui traversent le noyau lenticulaire, atteignent la capsule (1) Nous av
s, 1902, Rousset, édit. 102 FERRAND interne et se perdent dans le noyau caudé et les striées externes elles-mêmes divis
le segment antérieur de la capsule interne pour se terminer dans le noyau caudé : dans ce groupe se trouve la branche con
à la base du cerveau et se dirigent verticalement pour atteindre les noyaux gris où elles se terminent sans s'anastomoser.
Sur les deux faces de cette coupe nous avons en effet la masse des noyaux centraux dans leur partie la plus large. Or c'e
ction de la coupe de Flechsig. Lorsque nous sectionnons ainsi les noyaux gris environ à leur 'partie moyenne nous sommes
ec- tion, ou celles qui sont parallèles sectionnent les artères des noyaux centraux perpendiculairement à leur axe et que
r quand on les soupçonne. On les voit alors très bien, occupant les noyaux centraux, c'est-à-dire les segments du noyau le
ès bien, occupant les noyaux centraux, c'est-à-dire les segments du noyau lenticulaire, la couche optique ou le noyau caudé
-à-dire les segments du noyau lenticulaire, la couche optique ou le noyau caudé. Elles se limitent parfois à un seul de c
tique ou le noyau caudé. Elles se limitent parfois à un seul de ces noyaux , mais d'autres fois s'étendent plus ou moins en
r et coupent en totalité ou en partie la capsule interne. Parmi les noyaux gris les lacunes ont encore des préférences : ell
encore des préférences : elles affec- tionnent particulièrement le noyau lenticulaire, sur nos 88 cas il y avait 64 fois
au lenticulaire, sur nos 88 cas il y avait 64 fois une lésion de ce noyau . 39 fois la lésion était limitée à un seul hémisp
ésion était limitée à un seul hémisphère, mais dans 25 cas les deux noyaux lenticulaires étaient atteints à gauche et à dr
gements ou les extrémités d'une lacune qui a pris naissance dans le noyau lenticulaire, la couche optique on le noyau caudé
pris naissance dans le noyau lenticulaire, la couche optique on le noyau caudé. Elle est alors atteinte par ses bords qu
noyau caudé. Elle est alors atteinte par ses bords qui longent les noyaux gris. Quelques-unes de ses fibres sont dissocié
ctionnellement parlant l'importance de cette capsule par rapport au noyau lenticulaire, il pa- raitrait rationnel que les
-t-il persistance de la paralysie. Donc que la lacune siège dans le noyau lenticulaire, dans la couche optique ou dans la
omatique. Il en sera encore de même quand les lacunes occuperont le noyau caudé. Nous avons trouvé ce dernier atteint seu
ier atteint seulement 18 fois. C'est donc lui qui dans la masse des noyaux gris est le plus souvent intact. Les lacunes ne
ntact. Les lacunes ne siègent d'ailleurs pas exclusivement dans les noyaux cen- traux des hémisphères, on peut en rencontr
peut en tirer que, sur 100 lésions lacunaires, il y en a 87 dans les noyaux cen- traux et 13 seulement dans la substance bl
fréquence nous pouvons dire que le siège des la- cunes est dans les noyaux gris du cerveau, dans la protubérance et dans la
volumineuses : du reste elles ne détruisent jamais complètement le noyau gris dans lequel elles ont pris naissance ce qui
n partie la capsule interne et font partie d'une lacune née dans un noyau gris. Ce sont les parois de la lacune qui lui d
soit isolée, elle est bien souvent multiple. On voit .alors dans un noyau gris une foule de points noirâtres qui remplacent
distingue il l'état normal. A l'état normal en effet, la coupe des noyaux centraux montre le tissu gris comme piqueté d'u
un peu affaissé et grisâtre laissant ainsi sur la surface même des noyaux gris une série de taches miliaires. L'étude his
res, tantôt de volume moyen, uniques ou multiples siégeant dans les noyaux gris ou la protubérance. , IL - Histologie DE l
s claire dans laquelle le tissu semble raréfié, moins coloré et les noyaux moins abondants. Au centre de cette zone se trouv
grossissement une lacune de cette nature dans le segment externedu noyau lenticulaire par exemple, on voit très nette- m
exces- sivement mince, composée de cellules très allongées dont le noyau très distinct se colore très bien et prend lui
ébrales des pe- tits troncs vasculaires que l'on rencontre dans les noyaux gris comme les bran- ches des artères lenticula
nce,et bien qu'ils se colorent en bleu par l'hématoxyline comme les noyaux cellulaires des tuniques on les distingue facil
ont presque noirs. De plus, ils sont beaucoup plus arrondis que les noyaux des cellules conjonctives. Ile se disposent aussi
ment à son aspect de mince membrane hyaline présentant par place un noyau bleu saillant sur une de ses faces et allongé d
'aspect n'en sera pas très différent suivant que la lésion occupe les noyaux gris ou qu'elle siège en pleine substance blanc
es faisceaux blancs de fibres et des cellules nerveuses. Dans les noyaux gris normaux du cerveau comme partout dans la sub
peu nombreuses et qui se voient à un faible grossissement avec leur noyau et leurs divers prolongements parmi lesquels le
voit souvent ces cellules chargées d'un pigment assez abondant. Le noyau est relégué à un pôle du corps cellulaire, dans l
unaire. On remarque que la coloration est beaucoup plus claire, les noyaux sont moins nombreux, les éléments semblent dissoc
rande quantité de globules rouges reconnaissables à leur absence de noyau et à leur affinité pour l'éosine. Ils se dispos
olorer quelques-unes ; mais elles prennent malles cou- leurs ; leur noyau a souvent totalement disparu et il ne reste plus
n moins visibles et l'abondante infiltration embryonnaire formée de noyaux de cellules jeunes et fortement colorées qui en
es névrogliques deviennent plus apparentes, se colorent mieux, leur noyau est plus visible et si l'on continue à s'éloigner
ue du vaisseau dont on reconnaît les grandes cellules plates à leur noyau allongé transversalement. Il en reste souvent p
s dans un angle de la cavité. On les reconnaît bien à leur absence de noyaux et à leur affinité pour l'éosine. Même par la m
ucocytes. Ce sont de petits globules blancs ne contenant qu'un seul noyau très fortement coloré par les couleurs basiques.
u'un seul noyau très fortement coloré par les couleurs basiques. Ce noyau paraît homogène et ne laisse pas apercevoir de
ui une bande de protoplasma s'étend irrégulièrement de sorte que le noyau est souvent excen- trique. Ce protoplasma prend
ucocytes nous n'en avons jamais rencontré qui contiennent plusieurs noyaux , même dans les cas où de grandes quantités d'héma
lacunes d'autres éléments globulaires. C'est d'abord une variété de noyaux qui ont été décrits par MM. Dupré et De- vaux (
petites pour être des cellules complètes : sont-ce seu- lement des noyaux dont nous ne voyons pas le corps cellulaire ? Nou
c. cit. 120 1 FERRAND titué par des cellules volumineuses dont le noyau seul est coloré. Ces cellules sont de dimension
culaires et limitées par une membrane d'enveloppe assez nette. Leur noyau est petit, analogue à un noyau de lymphocyte et
mbrane d'enveloppe assez nette. Leur noyau est petit, analogue à un noyau de lymphocyte et bien coloré en bleu par l'hémato
é en bleu par l'hématoxyline. Mais tandis que dans un lymphocyte le noyau remplit tout le corps cellu- laire, il est ici
protoplasma. Dans quelques cas très rares, nous avons vu plusieurs noyaux à ces cellules. Mais il est en géné- ral unique
lique que souvent sur des coupes ces cellules paraissent manquer de noyau . Il C'est qu'en raison de leur grand volume et
qu'en raison de leur grand volume et de la situation excentrique du noyau celui-ci est resté dans une autre coupe. Le pro
toujours eu en vue jusqu'ici la lacune la plus fréquente, celle des noyaux gris. Mais elle peut siéger en d'autres points de
oujours un peu plus volumineuse que les autres. Elle débute dans un noyau gris et s'étend par une de ses extré- mités qui
particularités la différence est inap- préciable entre la lacune du noyau lenticulaire et celle de la capsule interne. Il
gnifiants, et la description que nous ayons donnée des lacunes des noyaux gris reste vraie et entière pour celles des aut
les cellules ganglionnaires sont en voie de dégéné- rescence, leurs noyaux ne sont plus nettement délimités. Le cerveau pr
ations, il y a beaucoup de névro- glie également répartie et non en noyaux déterminés, les vaisseaux san- guins sont égale
part, des faisceaux vestibulaires d'autre part se rendent vers les noyaux cérébelleux, le vermis supérieur et les circonvol
177 tions postérieures du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette
ux de l'épithé- liome lobulé (fig. 2). Ces cellules présentent un noyau assez volumineux, granuleux, fixant avec beauco
ne, on peut nettement distinguer dans ces cellules étoilées un gros noyau clair avec nucléole très coloré, un protoplasma
e partie achromati- que, de coloration jaunâtre, disposée à coté du noyau , dans l'un des angles de la cellule. Ces cell
e lisse. Sur des coupes, on constate que ces masses sont formées de noyaux blancs grisâtres d'un tissu assez résistant, ra
ng sur 15 à 20 de large. Le corps de ces cellules est occupé par un noyau volumineux, qui forme à Fig. 3. - Sarcome. Coup
protoplasma aux extrémités de la cellule et contre la paroi. c Ce noyau est d'aspect très granuleux. A son centre, on voi
e nucléole est parfois double ; d'ailleurs un certain nombre de ces noyaux se montrent en karyokinèse. Sur des coupes de
'aspect d'éléments arrondis ou ovalaires, quelquefois polygonaux, à noyau arrondi, volumineux, emplissant presque à lui s
ation plus ou moins dense de petites cellules rondes ou ovalaires à noyau volumineux dans toute la substance corticale, e
pes, ils apparaissent sous forme de petites cellules arrondies a gros noyau , à protoplasma peu abondant,offrant l'aspect et
dant,offrant l'aspect et la dimension d'un lympho- cyte du sang. Le noyau fixe énergiquement l'hématéine alunée ou le bleu
ts se montrent également constitués d'un corps arrondi et d'un gros noyau , mais certaines de ces cellules sont fusiformes
ions pouvoir suivre dans leur trajet et étudier dans leur forme les noyaux centraux, les noyaux optostriés. Mais grande fut
ans leur trajet et étudier dans leur forme les noyaux centraux, les noyaux optostriés. Mais grande fut notre sur- prise de
nuance un peu sombre ou grisâtre dans toute son épaisseur. Que les noyaux optostriés existent, nous n'en doutons nullement,
yéline, mais aussi d'une façon diffuse sur le tissu conjonctif, les noyaux cellulaires etc. ; et les coupes mal différenciée
ien la configuration de la cellule, les contours et la structure du noyau . Ce sont aussi les méthodes de choix pour l'étu
sont réduites à la gaine de Schwann revenue sur elle-même, dont les noyaux ne paraissent pas sensiblement multipliés. Cette
plus écartées les unes des autres, et leurs interstices logent des noyaux assez volumineux et des fibrilles conjonctives, r
e plus ou moins épais, con- tenant un plus ou moins grand nombre de noyaux de forme variable, repré- sentant les uns des é
, repré- sentant les uns des éléments embryonnaires, les autres des noyaux des cellules Bouleversement des Cbres radiculai
très pigmenté se colorant mal.Par endroits se détachent des amas de noyaux irré- guliers concentriques qui correspondent à
malades, la lumière rétrécie, la paroi hypertrophiée, hyaline, les noyaux plus nombreux ; sur quelques-uns de ces ganglions
paissie ; on ne peut affirmer, avec la coloration employée, que ses noyaux conjonctifs ont proliféré ; mais sur les coupes
rmales. La principale altération consiste dans la prolifération des noyaux de leur capsule, qui forment autour du globe ce
ritable couronne d'éléments nu- cléés. Ces éléments comprennent des noyaux bien arrondis, assez gros, vési- culeux avec un
peut en rencontrer dans quelques cas, mais à la multiplication des noyaux conjonctifs de la capsule et à l'atrophie conco
ité, et leur capsule conjonctive présente une multiplication de ses noyaux qui d'abord forment à la cellule une couronne a
s est réduite à une gaine de Schwann, sur laquelle se détachent des noyaux allongés ; ceux-ci paraissent beaucoup plus nombr
re, mais il y a là plus qu'une apparence, et il est évident que les noyaux sont plus nombreux dans les racines postérieures
cence calcaire,'on y voit encore des capillaires entourés de nombreux noyaux , ou des amas embryonnaires dont les rapports av
inter-fasciculaires présentent des altérations très analogues; les noyaux forment des amas ou sont infiltrés irrégulièremen
fascicule radiculaire n'est séparé de l'anneau fibreux que par des noyaux disposés en plusieurs couches, les uns arrondis e
spondantes ne sont pas atrophiées ; mais la gaine est épaissie, les noyaux souvent proliférés au contact de la racine ; ce
les noyaux souvent proliférés au contact de la racine ; ce sont des noyaux arrondis ou allongés ; il existe aussi quelques a
caire. Sur les coupes coloriées par l'éosine et l'hématoxyline, les noyaux des gaines de Schwann sont un peu plus nombreux
, que dans des plans plus rapprochés de la moelle, et par place les noyaux de la gaine de Schwann paraissent plus nombreux e
érinèvre et le fasci- cule il existe un tissu amorphe contenant des noyaux qui se colorent irrégu- lièrement par l'hématox
prononcée, et il subsiste encore beaucoup de fibres à myéline. Les noyaux sont plus nombreux sur les coupes de la racine po
est due à la disparition de la plupart des gaines de myéline ; les noyaux des gaines de Schwann semblent proliférés (Voir
geotte, xv 21 t 314 ' THOMAS ET IIAUSER on voit des traînées de noyaux , les uns ronds, les autres allongés, disposés soi
coupes passant par la région de Nageotte et un peu au- dessus, les noyaux et le tissu conjonctif sont proliférés et dissoci
ngainée par un tissu d'aspect amorphe, contenant cependant quelques noyaux et quelques faisceaux conjonctifs, tissu qui fa
un peu plus marquée et à ce niveau les fibres sont plus grêles, les noyaux de la gaine de Schwann un peu plus nombreux. A
bre de fibres nerveuses sont réduites à une gaine de Schwann et aux noyaux des seg- ments iuterannulaires ; mais, malgré c
la limite de la racine et de sa gaine fibreuse, un grand nombre de noyaux pour la plupart allongés : de même les gaines f
art allongés : de même les gaines fibreuses contiennent des amas de noyaux arrondis, dispersés en ilots et en traînée (fig
ves sont malades, leur paroi est plus épaisse, ils sont entourés de noyaux plus ou moins nombreux. Dans le ganglion, les c
llulaires sont notablement augmentées, elles sont sclérosées et les noyaux y sont très abondants : les capsules cellulaires
très malades. A la sortie du ganglion, les fibres sont parsemées de noyaux appartenant à des cellules conjonctives, les tr
s racines postérieures à leur sortie du ganglion sont épaisses, les noyaux y sont abon- dants ; ils le sont également auto
r des vaisseaux. La racine antérieure paraît également infiltrée de noyaux du tissu conjonctif. Observation YI. Baud...,
extrêmement ténu, le cylindre-axe. On trouve encore quelques rares noyaux et du protoplasma amorphe. Dans la plupart des
dont la gaine de myéline a disparu, cylindraxes nus. Fibrilles et noyaux con- jonctifs interstitiels. LÉSIONS RADICULA
doute au tassement des gaines de Schwann. On y voit quelques rares noyaux . Ce sont là des lésions exclusivement parenchymat
'myéline il existe encore un cylindraxe plus ou moins atrophié. Les noyaux sont plus nombreux dans la ra- cine postérieure
ctus conjonc- tifs. - Mésonévrite intense. 328 THOMAS ET BAUSER noyaux conjonctifs, la distinction peut être difficile,
lindraxe subsiste encore. A leur surface se disséminent de nombreux noyaux conjonctifs allongés appartenant à la gaine de
ns le cervelet, Brissaud dans le locus niger, Von Gehuchten dans le noyau rouge. Quel est le siège des lésions chez nos m
it de l'existence de débris protoplasmiques amorphes et de nombreux noyaux . A un stade plus avancé, le cylindraxe finit pa
, totale des fibres. Quant à la gaine de Schwann, il semble que ses noyaux conjonctifs se mul- tiplient : sur les préparat
assement des fibres peut-il donner l'illusion d'une hyperplasie des noyaux conjonctifs ? Cette dernière explication ne nou
fascicules comptent sur une coupe transversale 3 ou 4 fois plus de noyaux que ceux de la racine anté- rieure correspondan
; il faut donc qu'il y ait un véritable accroissement du nombre des noyaux qui, en raison de leur disposition parallèle au
en émanent. Nous avons signalé plusieurs fois l'exislence d'amas de noyaux embryonnaires, surtout à la périphérie. Peut-êt
ptihle cependant de nous renseigner sur l'état du protoplasma et du noyau . Avec les métho- des techniques ordinaires, et
cellule ganglionnaire se montre environnée de plusieurs assises de noyaux conjonctifs qui lui forment une couronne épaiss
e proliférée qu'un débris protoplasmique déchiqueté, informe, et un noyau à peine distinct. Et même le corps cellulaire p
nglionnaire est alors entièrement envahie par une agglomération des noyaux conjonctifs. Il est possible que ces éléments c
glionnaires, sectionnées forluitemenlpar leur pôle, et l'absence du noyau sur une telle coupe permet d'écarter cette cause
cellules sont manifestement atrophiées sans aucune hyperplasie des noyaux ou épaississement de la zone fibreuse de la capsu
de la zone fibreuse de la capsule. Cette diminu- tion porte sur le noyau et le protoplasma cellulaire d'une façon sensible
es segments grêles sont plus courts que ceux de gros calibre, et le noyau au lieu d'occuper le milieu de la longueur est pl
isation, aspect trouble et sombre, surcharge pigmentaire, ou de son noyau (disparition lente) ; enfin sur sa capsule périce
des grosses cellules claires ; parfois rétraction, homogénéisation du noyau avec conservation du volume ou atrophie du nucl
tions du protoplasma (chromatolyse, vacuolisation, atrophie), ou du noyau (atro- phie, disparition) qui n'offrent aucun a
rect, qui passe très tôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le faisceau latéral du bulbe sont nat
, ce foyer a atteint plus particulièrement les fibres provenant' du noyau grêle (PI. LVII, LVIII, fig. 0, P,Q). En effe
rew assigne à celles des fibres du ruban de Reil qui proviennent du noyau grêle une topographie spéciale ; ces fibres const
élinise- raient à une époque plus tardive que les fibres émanées du noyau cunéi- forme, qui occuperaient la partie antéri
uperaient la partie antérieure de la couche interolivaire. Comme le noyau grêle répond' aux membres inférieurs et le noyau
olivaire. Comme le noyau grêle répond' aux membres inférieurs et le noyau cunéi- forme aux membres supérieurs, cela revie
nt les fibres sectionnées par le foyer F. - Lorsque, au-dessus du noyau masticateur, le ruban de Reil a pris une forme
énéré forme ùmtriangle curviligne, dont la base concave embrasse le noyau , rouge, tandis que l'angle externe effilé se re
ptique. Ces amas dépendent de la portion antérieure (inférieure) du noyau externe de la couche optique, dans laquelle une p
ées s'épuise rapidement; beaucoup d'entre elles pénè- trent dans le noyau médian, qui est situé en arrière (en haut) et en
ué en arrière (en haut) et en dedans. Ces deux groupes cellulaires, noyau externe et noyau médian, sont les seuls aboutis
haut) et en dedans. Ces deux groupes cellulaires, noyau externe et noyau médian, sont les seuls aboutissants des fibres
nce cesse à quelques millimètres au-dessus dû point où disparaît le noyau médian et nous avons pu nous assurer qu'aucune
e de Meynert, comme Bechterew le suppose pour les fibres émanées du noyau cunéiforme ; ces fibres forment, est vrai, dans n
le interne ; en arrière et en dedans elle pénètre largement dans le noyau médian ; en arrière et en dehors, elle répond à
et en dehors, elle répond à la région postérieure' (supérieure) du noyau externe. Dans leur trajet, les fibres du ruban de
trajet, les fibres du ruban de Reil traversent la moitié externe du noyau semi-lunaire de Flechsig (PI. LIX, fig. S). Au-
s dans leur entre-croisement (fibres arciformes internes) jusqu'aux noyaux grêle, cunéiforme et du trijumeau. Parmi ces fibr
cunéiforme et du trijumeau. Parmi ces fibres, celles desti- nées au noyau grêle paraissent être les plus nombreuses'. S'agi
vant exactement le trajet des libres ascendantes et desti- nées aux noyaux d'où partent celles-ci ? Nous ne le croyons pas.
pé, et encore mieux arraché à son émergence, toutes les cellules du noyau se modifient et un certain nombre d'entre elles
si que des fibres ascendantes, libres du ruban de Reil, émanées des noyaux grêle (membres inférieurs), cunéi- forme (membr
i- forme (membres supérieurs), du trijumeau (face) et destinées aux noyaux de la couche optique (PI. LVI, LV, fig. I, J, K
ant les auteurs, proviendrait en partie du cervelet, en par- tie du noyau de Deiters. Nos figures reproduisent, en particul
l est vraisemblable que, dans notre cas, aux fibres descendantes du noyau de Deiters se surajoutent des fibres d'origines d
n postérieure de la substance réticulée grise pour pénétrer dans le noyau de Deiters où elles s'arrêtent. Ces fibres sont
es comme des fibres ascendantes venant de la moelle et destinées au noyau de Deiters. On doit se demander ces fibres ne r
aisceau longitudinal non dégénéré, qui va en se renforçant jusqu'au noyau central supérieur de la calotte, dans lequel il
r ensemble un triangle dont la base s'adosse au ruban de Reil et au noyau réticulé ; le côté interne ré- pond à ce faisce
énéré que nous venons d'indiquer, plus haut à la portion interne du noyau central supérieur qui prend sa place ; le côté
jusqu'à l'extrémité supérieure du faisceau, sur la face interne du noyau rouge (PI. LVI, fig. J, K, L). Enfin nous arriv
s embolus ; 2° une interruption de la voie descendante qui relie le noyau de Deiters gauche (et peut-être le cervelet gau
e l'axe médullaire; s'il existe une voie ascendante de la moelle au noyau de Deiters (Probst), cette voie est également s
a couche interolivaire où siègent les fibres nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutissent les fihres longues des
sées et des fibres qui ne le sont pas encore ; ajoutons à cela que le noyau du trijumeau gauche ainsi que la portion descen
au longitudinal postérieur, qui a de nombreuses connexions avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. Dans l'observation d
iliaires ; 2° la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Deiters avec la moelle ; 3' l'interruption d
te lésion le tremblement intentionnel des membres supérieurs ? Le noyau de Deiters dont le faisceau efférent vers la moel
le, on trouve une couche régulière de cellules ovales, pâles, dont le noyau a son grand axe dirigé perpendiculairement à l'
grains. A un fort grossissement, on ne distingue nettement que les noyaux de ces cellules : ils sont ovales, d'un bleu pâ
, outre leur nombre, changent un peu d'as- pect, en ce sens que les noyaux des cellules sont plus colorés. De plus, on voit
ehors de la couche des grains, de cette couche de cellules ovales à noyau pâle et à 1 ou 2 nucléoles. Sur les deux séries
e augmentation du nombre des cellules fixes : il y a des cellules à noyau rond assez nombreuses, les capillaires sont gorgé
breuses cellules fixes; ces cellules fixes n'offrent pas cependant de noyaux en bâtonnets ou en croissants grêles comme dans
ellules et dans l'axe blanc des circonvolutions une infiltration de noyaux , les uns ronds, les autres ovales, à chromatine p
uns ronds, les autres ovales, à chromatine plus ou moins dense. Ces noyaux sont très régulièrement disséminés, n'offrant a
nnaissables à un fort grossissement au travers de l'infiltration de noyaux ronds ou ovales. En somme, les signes histologi
re trop petit. On est là aussi frappé d'une infiltration diffuse de noyaux ovales ou ronds, beaucoup plus nombreux que les
s transversales du pont et dans les ilots de cellules nerveuses des noyaux du pont. Et, par contre, les noyaux ronds devie
ilots de cellules nerveuses des noyaux du pont. Et, par contre, les noyaux ronds deviennent rares dans la substance nerveuse
omme sur celles de la moitié inférieure. Les cellules nerveuses des noyaux du pont sont, par places au moins, net- tement
voit manifestement à côté de cellules nerveuses à limites nettes, à noyau bien serti, à protoplasma avec grains chromatophi
visibles même la safranine), d'autres cellules à contours flous, à noyau peu visible, à protoplasma opaque et finement g
protoplasma opaque et finement granuleux. En somme, infiltration de noyaux dans la portion ventrale de la protubé- rance p
res transversales et au niveau des amas cellu- laires nerveux, dits noyaux du pont; altération inégalement répartie des cel-
yaux du pont; altération inégalement répartie des cel- lules de ces noyaux , mais nette. Bulbe. Recueilli dans l'alcool. In
rme d'un épaississement léger fibrillaire assez riche en cellules à noyau rond ou ovale de leur tunique adven- tice. Il n
partie sclérosée; elle est constituée par 5 à '10 de ces cellules à noyau ovale, à chromatine peu colorée, piqué d'un ou de
en- dante. La substance blanche est très réduite de volume et les noyaux centraux 524 LANNOIS ET PAVIOT font une saill
ns à ces cellules de la couche innommée les mêmes caractères. Leurs noyaux sont ovales à grand axe dirigé de la profondeur v
d axe dirigé de la profondeur vers la sur- face de la lamellle. Ces noyaux sont deux fois plus volumineux que ceux des gra
nt comme un peu poussiéreux. Ils sont aussi plus volumineux que les noyaux des cellules de la couche moléculaire, bien que
t séparée d'elle, une couche innominée de cellules ovales, pâles, à noyau formé de chromatine peu dense, à 1 et 2 nucléoles
e chromatine peu dense, à 1 et 2 nucléoles fortement co- lorés. Ces noyaux , dont l'atmosphère de protoplasma se distingue ma
des dimensions variables ; les plus petits ayant le double d'un des noyaux des grains, les plus gros atteignant trois ou qua
ules de cette couche ? Leur volume, les ca- ractères et l'aspect du noyau ne permettent pas de penser qu'il s'agisse de c
11 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
gane, on observe une masse souvent homogène ou parsemée de quelques noyaux et se continuant dans les espaces interfolliculai
en général d'un peu de protoplasme dont l'aspect est uniforme et le noyau diminué de volume. Les cellules sont disposées
examinés. La capsule surrénale. - Dans la substance glandulaire les noyaux cellu- laires sont bien colorés. Par contre, le
dulaire les noyaux cellu- laires sont bien colorés. Par contre, les noyaux de la substance trabéculaire 42 MABINKSCO, PARH
ve pas la disposition trabéculaire. Les cellules sont petites, leur noyau est pâle et le protoplasme pâle également, peu di
marque des masses noires dans l'intérieur desquelles on observe des noyaux de lympho- cytes. Avec un plus fort objectif, o
tour cellulaire dans l'in- térieur duquel il existe une quantité de noyaux et du pigment noir. Il s'agit probablement des
is que le cinquième ou même moins de celui des fibres normales. Les noyaux sont proliférés et disposés en chaînettes ou en
lach montre des granulations lipoïdes surtout dans le voisinage des noyaux . Dans les fibres moins altérées, la striation t
e indiquée. . Bulbe. - On ne trouve aucune lésion; les cellules des noyaux des nerfs crâniens sont normales. Cervelet.-
véla qu'il s'agissait d'une sarcomatose généralisée ; on trouva des noyaux néoplasiques dans le mésentère, la capsule surrén
taux qu'ils sont ou le plus grands, ou le plus denses. Le plus gros noyau est à gauche. Le planimètre indique les rapport
rès tôt déjà, le lobe occipital droit se distingue du gau- che. Les noyaux sont plus denses et plus grands dans la substance
puis la base et déposées dans les parois des artères terminales de ce noyau gris. Quoi qu'il en soit~ce phénomène était nou
'hexagone de Willis, et assez nom- breuses petites lacunes dans les noyaux centraux des deux hémisphères. Observation Il (
te : l'un dans la région pariétale inféro- externe, l'autre dans le noyau lenticulaire de l'hémisphère droit.Sur une coupe
be pariétal droit. Il existe de nombreuses petites lacunes dans les noyaux gris centraux. Pas d'athérome des gros vaisseau
pétéchiale des derniers jours. 2'' Ramollissement récent, rose, du noyau lenticulaire gauche, empiétant sur les faisceau
E D'HYDROCÉPHALIE VENTRICULAIRE Foyers lacunaires multiples dans le noyau lenticulaire. (Alquier et Klarfeld). Masson &
n gliome gros comme un pois, situé dans le canal, à proxi- mité des noyaux oculaires. A part la déviation conjuguée pendant
La toilechoroïdienne adhérait au plancher du ventricule à partir du noyau du facial, sur une longueur de 13 millimètres.
tClt.1$13f; Galalescu et Urechia qui ont trouvé quelques cellules à noyaux fortement colorés el si protoplasma acidophile,
ules pinéales au repos. b. Cellules pinéales avec des boules dans les noyaux . c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du n
oules dans les noyaux. c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du noyau , d. Cellules pinéales en régénéres- cence. c. C
d'une cloison élargie colorée par bleu de toluidine. a. Vaisseaux. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. il. Cellule
périvasculaires, la méthode deUnmf-Pappenheim pour la sécrétion des noyaux et celle I-Ieidenhain au rouge de Bordeaux pour l
mme celle-ci a essentiellement son fondement dans la contenance des noyaux en chromatine, et non pas dans ce qui nous semb
partie des cellulesparencllymateuses, est caractérisé par un grand noyau dont la forme est variable, ordinairement ovale
toplasma est relativement peu abondant ; tantôt il n'entoure que le noyau comme un anneau mince, tantôt le noyau y est si
; tantôt il n'entoure que le noyau comme un anneau mince, tantôt le noyau y est situé excentriquement, et quelquefois on
ionné les sortes de boules singu- lières qui existent dans quelques noyaux du parenchyme ; elle déclare le problème non ré
résolu en ce qui concerne ces boules; elle mentionne aussi quelques noyaux en forme de fer à cheval. Certains auteurs, apr
conjonctif et du tissu névro- glique. Dans tous les autres cas, les noyaux en fer à cheval ont été trou- vés constamment,
a méthode de coloration qui montre le mieux ces formations dans les noyaux est la méthode de Unna-Pappenheim utilisée pour l
llules du plasma. Par cette méthode, on voit ce qui suit : dans les noyaux la chro- maline prend une coloration bleuâtre ;
Dans SUR LA GLANDE PINÉALE CIIFZ L'HOMME 261 un grand nombre des noyaux on \ oi t des formations qui sont ordinairement
ba tonnées ; il n'y a ordinairement qu'une seule boule dans chaque noyau , quelquefois pourtant deux ou trois. Le diamètr
iamètre des houles varie du quart jusqu'à la moi- tié de celui d'un noyau ; labouleestgranuleuseet souvent on voit que les
ssi qu'il peut y avoir des granu- les rouges au fond des coupes des noyaux en fer à cheval et dans le proto- plasma. L'o
ais à l'égard de leur situation on voit ce qui suit : dans quelques noyaux on voit la boule ap- puyée sur la membrane du n
dans quelques noyaux on voit la boule ap- puyée sur la membrane du noyau .Ensuite on voit des cas où la membrane est romp
sont disséminés dans le protoplasma et sont d'abord situés près du noyau ,sur le côté par où la boule s'ouvre. Dans quelq
ous regar- dons un point comme certain ; c'est que les produits des noyaux ne sonl pas ramassés par les cellules granuleus
ait détruit, et où par conséquent il n'y avait pas de sécrétion des noyaux . Il est impossible de dire si toutes les granul
ne voit aucune différence entre les granules qui sont évacués d'un noyau et ceux qu'on trouve dans le protoplasma d'une
d'un noyau et ceux qu'on trouve dans le protoplasma d'une cellule à noyau « au repos ). Le problème suivant est intéressa
). Le problème suivant est intéressant : comment se comportent les noyaux 2P¡2 -) KRABBE après l'évacuation ? Comme nou
rès l'évacuation ? Comme nous l'avons mentionné, on trouve quelques noyaux échancrés. Dimitrova incline vers l'opinion qu'il
noyaux échancrés. Dimitrova incline vers l'opinion qu'il s'agit de noyaux ayant évacué leur boule, mais ellene rejette pa
e pinéale celles-ci ont un aspect tout différent des cel- lules aux noyaux échancrés ; on voit dans ce cas deux noyaux unis
rent des cel- lules aux noyaux échancrés ; on voit dans ce cas deux noyaux unis par un pont plus mince qui appartient égal
oyaux unis par un pont plus mince qui appartient également aux deux noyaux .Secondement, comme Dimitrova l'a mentionné, on
mitrova l'a mentionné, on trouve toutes sortes de degrés depuis les noyaux qui évacuent leur boule jusqu'à ceux qui ont la f
bien quand les granules proviennent d'une boule qui était sortie du noyau et ne sont pas encore disséminés dans le proto-
duite par un pro- cessus amitotique. Il faut donc supposer que le noyau est régénéré après avoir évacué le contenu de s
é après avoir évacué le contenu de sa boule. En effet on trouve des noyaux qui ont une boule et une échancrure; mais ceux-
qui ont une boule et une échancrure; mais ceux-ci peuvent être des noyaux qui ont contenu plusieurs boules et qui en ont
Enfin rien n'empêcherait que la sécrétion soit répétée par le même noyau ; et nous regardons cela comme le plus vraisemb
omme le plus vraisemblable. Rien de plus variable que le nombre des noyaux des cellules mentionnées, qui contiennent des bou
oupes de cellules qui diffèrent des cellules pinéales parce que les noyaux sont plus petits, plus riches en chromatine, que
les sont situées plus profondément, qu'on ne voit entre elles aucun noyau à boules ou à échan- crures. Ces cellules resse
liques, ce qui ne se voit jamais pour les cellules pinéales; 2° les noyaux sont différents des noyaux des cellules pinéale
amais pour les cellules pinéales; 2° les noyaux sont différents des noyaux des cellules pinéales; ils sont plus riches en
directions ; mais on voit assez souvent des cellules fusi formes à noyaux oblongs qui émettent seulement dans deux direct
artiellement identiques celles que Dimitrova appelle des cellules à noyaux foncés. s'agit de cellules dont les noyaux se col
a appelle des cellules à noyaux foncés. s'agit de cellules dont les noyaux se colorent très inten- sivement ; seulement pa
ivement ; seulement par une différenciation plus forte on voit due le noyau n'est pas homogène, mais qu'il contient plusieu
ntient plusieurs grosses granulations indistinctement limitées. Les noyaux ont ordinairement une forme triangu- laire. Il
e les cellulles que Dimilrova considère comme des cellules avec des noyaux clairs à granulations plus grosses sont identiq
avons cherché s'il existait quelque relation entre la sécrétion des noyaux et l'augmentation du tissu ' conjonctif, mais n
sseaux de la glande pinéale. Ces cellules sont rondes ou ovales aux noyaux fortement colorables, situés au milieu d'un pro
KRABBE quelquefois il est si dense qu'on ne peut pas distinguer le noyau . Les auteurs pensent que ces cellules se rappro
pe les caractères sont les suivants : il y a des cel- lules dont le noyau est petit et contient des granules de chromatine
nt des granules de chromatine dispo- sées le long de la membrane de noyau et un protoplasma relativement abondant, distin
t distribués dans le protoplasma ; enfin on voit des cellules où le noyau est entouré de granules pendant que la périphér
deuxième groupe diffère du premier par les qualités suivantes : le noyau est beaucoup plus grand ; le protoplasma est colo
f et dans le protoplasma des cellules pinéales et dans celles où le noyau est divisé. Le pigment est lipochrome. Dans les
tion sécrétoire ; c'est la formation des boules granuleuses dans le noyau des cellules pinéales et l'évacuation des granu
qui plaide contre cette opinion, ce sont les faits suivants : 1° le noyau régénère après avoir évacué sa boule; 2° on trouv
es pro- cessus semblables d'évacuation des produits de sécrétion du noyau dans le protoplasma ; 3° le processus se contin
pinéales disparaissent. Si le processus d'évacuation des boules des noyaux était l'expression d'un anéantissement de la glan
a glande ; mais comme on ne trouve pas chez le lapin les houles des noyaux et que nous n'avons vu qu'une granulation 'du p
us sécrétoire se fait de la manière suivante : il se forme dans les noyaux des boules à granulations faiblement basophiles;
es pinéales au repos. - b. Cellules pinéales avec des boules dans les noyaux . c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du n
oules dans les noyaux. c. Cellule pinéale dont la boule s'évacue du noyau . d. Cellules pinéales en régéuérescence. - e. C
n septum élargi, coloration par bleu de toluidine. a. Vaisseaux. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. d. Cellules d
1° les lésions cellulaires (altérations de l'appareil nucléolaire, du noyau , du cytoplasme et de la subtance chomatophile);
hidiens de la région malade portent sur l'appareil nucléolaire, les noyaux , le cytoplasma et les corps chromalophiles de Nis
l nucléolaire normal. Aperçus cylologiques. Dans la constitution du noyau des cellules uervpu- ses ganglionnaires entre :
habitude, chaque noyan n'a qu'un seul nucléole, mais on peut voir des noyaux à deux nucléoles de taille à peu près identique
es où on ne peut déceler aucune trace de lésion du cytoplasma ou du noyau , le nu- cléole est de règle situé presque au ce
ou du noyau, le nu- cléole est de règle situé presque au centre du noyau . Par les méthodes ordi- naires de coloration (h
tte situation s'observe surtout sur les nucléoles émi- grés hors du noyau dans le cytoplasma. Au point de vue des réactions
lle, et beaucoup plus petits que les granulations fuchsinophiles du noyau tandis que, au sujet des corpuscules paranucléo
éral, à cette hypertrophie nucléolaire correspond l'hypertrophie du noyau , mais on peut voir dans quelques cellules que ce
lules que ce rapport n'est pas conservé, c'est-à-dire qu'il y a des noyaux à dimensions normales ou (1) Mamnesco, La cellu
érieur un nucléole hyper- trophié : ce désaccord entre le volume du noyau et celui du nucléole se présente surtout dans l
t, très souvent, ce phénomène de bourgeonnement est si actif que le noyau nous apparaît bourré d'un grand nombre de sphér
us atteint son maximum et que le nucléole reste dans l'intérieur du noyau , la basichromatine passe dans le cytoplasma ou bi
de désin- tégration granuleuse et d'acUromalose partielle, dont les noyaux sont hypertrophiés. Dans les petites cellules g
ourgeonnement, quittent leur situation normale qui est au centre du noyau et viennent loger à la périphérie contre la mem
llules normales, le nucléole est tou- jours situé vers le centre du noyau et, jamais on ne peut le trouver à la périphéri
ébrale. Marinesco n'admet pas une position fixe du nucléole dans le noyau des cellules normales, mais lui aussi constate qu
si constate que : «... on ne le rencontre jamais à la périphérie du noyau ». Mais si dans les cellules normales la positi
acuolaire du cytoplasma, le nucléole est situé à la péri- phérie du noyau , contre la membrane nucléaire ; d'habitude, il la
d'habitude, il la repousse en dehors ou bien quitte complètement le noyau en passant dans le cyto- plasma cellulaire. Dan
useej l'autre en achromatose complète ; au centre de la cellule, le noyau hypel trophié est tout à la périphérie, le nucl
le, mais il présente des phénomènes intenses de bourgeonnement ; le noyau est hypertrophié et contient un grand nombre de
rps cellu- laire, le nucléole se trouve toujours situé au centre du noyau ; dans les cellules à substance chromatophile a
ritifs s'effectuent normalemenl, on trouve le nucléole au centre du noyau : de même si des facteurs nocifs interviennent en
le est, le plus souvent, excentrique ou rejeté à la périphé- rie du noyau ; de même dans les petites et moyennes cellules py
lasma pré- sente des sortes d'anneaux plus ou moins réguliers, avec noyaux défor- més et diminués de volume, le nucléole e
de volume, le nucléole est très souvent déplacé à la périphérie du noyau . Au sujet de ce déplacement nucléolaire, l'auteur
cléole accompagné de ses corpuscules polaires vers la périphérie du noyau . Quelquefois il trouve le nucléole engagé dans
rane nucléaire comme s'il était repoussé par la force centrifuge du noyau . Cerlelli a pu constater ce môme phénomène dans l
s ganglionnaires normales, le nucléole se trouve situé au centre du noyau . 2° Dans les cellules qui présentent une altéra
e celte SIlVS- tance, le nucléole se déplace t'ers la périphérie du noyau , et le plus souvent (I) Von UGo CEnLETTI : Die
dire suivre, étape par étape, le chemin parcouru par le nucléole du noyau jusqu'au cytoplasma ; b) exclure la possibilité
surface de la coupe, c'est-à-dire au nucléole, les entraîne hors du noyau et même hors du cytoplasma. (t) COU.¡ : -¡, lor
rtaines cellules qui, au lieu d'avoir leurs nucléoles au centre des noyaux , le possèdent dans leur cytoplasma, à quelque dis
es noyaux, le possèdent dans leur cytoplasma, à quelque distance du noyau . A première vue, on serait tenté de croire qu'i
n qui pourrait s'appeler sillon d'émigration, commence au centre du noyau , passe par la solution de continuité de la membra
léole déplacé. Plus celui-ci sera entraîné à une grande dislance du noyau , plus le sillon sera long et vice versa. Mais d
st constant c'est son point de départ qui est toujours au centre du noyau . Ce point de départ central prouve que le nuclé
ter dans la même position que sur le microtome. Dans l'intérieur du noyau , le sillon apparaît limité par les filaments du
aît délimité par les corpuscules chromatophiles de la périphérie du noyau jusqu'au nucléole où il se termine. Enfin, sur to
, il présente une largeur identique à celle du nucléole. Du côté du noyau , on observe un orifice dû à la rupture de la memb
que le nucléole émigré. L'orifice reste toujours béant. Le reste du noyau ne présente rien d'anormal ; il a ses dimension
rane nucléaire garde son épaisseur normale surtout t le pourtour du noyau . RECHERCHES CYTOPATHOLOGIQUES SUR LES GANGLIONS
canique est très typique dans les cellu- les ganglionaires dont les noyaux présentent l'altération connuesousle nom d'homo
aux présentent l'altération connuesousle nom d'homoénéisalion(1).Le noyau atteint d'une telle lésion a une memhrane nuclé
efois un nucléole de volume normal ou très atrophié. Si dans un tel noyau , il y a eu un entraînement mécanique du nucléol
pée par la partie du nucléole qui se trouve encore à l'intérieur du noyau . La membrane nucléaire est déchirée, mais la dé
la déchirure n'apparaît pas aussi nettement que dans les cellules à noyaux normaux car il s'agit d'un noyau atrophié à mem
nettement que dans les cellules à noyaux normaux car il s'agit d'un noyau atrophié à membrane nucléaire très ratatinée et q
s : 1- Rupture de la membrane nucléaire. (1) L'homogénéisation du noyau s'observe très souvent dans les ganglions rachidi
sence du sillon d'émigration qui a son point de départ du centre du noyau , quand le phénomène a lieu dans une cellule norma
cherche à réagir contre ce dernier en transportant son nucléole du noyau dans le cytoplasme; ce déplacement parait s'eff
ous fait soupçonner la possibilité de la sortie du nucléole hors du noyau par un mécanisme ignoré. Pour pouvoir se rend
voir se rendre compte de la manière dont le nucléole est expulsé du noyau , il faut recourir à l'analyse histologique d'un g
éole. Le plus souvent hypertrophié, le nucléole quille le centre du noyau et vient se placer au voisinage de la membrane
tion des filaments de linine est analogue à celle observée dans les noyaux à nucléole central ; 2° Les filaments de linine
au lieu de converger vers le nucléole se dirigent vers le centre du noyau et aboutissent à une ceinture granuleuse identi
Les filaments de linine sont disposés sans aucun ordre dans tout le noyau mais de tout cet enchevêtre- ment se dégagent d
rane nu- cléaire n'a plus la même épaisseur sur tout le pourtour du noyau . Du côté où se trouve placé le nucléole, on tro
e étendue variable, mais ne dépassant jamais le quart du contour du noyau . Cette partie amincie, proémine dans le cyto- p
vif tandis que la por- tion amincie prend une teinte rose pâle. Le noyau qui possède une sembla- ble membrane prend, dan
droit un orifice de sortie par lequel il quittera définitivement le noyau . Dans ce dernier cas, on peut voir des cellules
n tout cas d'une certaine perméabilité. Elle peut laisser sortir du noyau des corps solubles puisqu'on a observé et que j
co (2) t< ... il est impossible de s'imaginer que la membrane du noyau puisse constituer un barrière impénétrable entr
oyau puisse constituer un barrière impénétrable entre le contenu du noyau et le cytoplasma. L'augmentation rapide de volu
ntenu du noyau et le cytoplasma. L'augmentation rapide de volume du noyau et du nucléole après les sec- tions nerveuses m
embrane permet le passage de substances nutritives à l'intérieur du noyau . D'autre part, la diminution aiguë du volume nu
ette membrane nucléaire n'y laisse passer entre le cytoplasma et le noyau que des subs- tances dissoutes et que les sorti
quer le fait suivant : lorsque le nucléole a quitté complètement le noyau , le segment de la membrane ainsi modifié ne lai
Pl. XLI, fig. d, e, f). - Le nucléole qui a quitté complètement son noyau , se trouve dans le cytoplasma. Du côté du noyau,
té complètement son noyau, se trouve dans le cytoplasma. Du côté du noyau , on voit que le segment de la membrane qui a su
nes cel- lules, on le trouve à une distance plus ou moins grande du noyau et du même côté que son point de sortie ; dans
hérie du nucléole, même lorsque ce dernier a quitté complètement le noyau . Dans quelques cellu- les, nous avons pu consta
l'avons observée, il s'agis- sait de cellules malades ; cellules à noyaux et nucléoles hypertrophiques, corps de Nissl en
le apparaît quelquefois à peu près deux fois plus grand que dans le noyau et, comme probable- ment, ce travail d'hypertro
geonnement est identique à celui du nucléole encore contenu dans le noyau . Lorsque le nucléole se trouve dans l'amas pigm
de Marinesco, les sphérules du nu- cléole et certaines granules du noyau se colorent de la même manière : ainsi, par le
allory., nous tombons sur une cellule à nucléoles contenus dans son noyau et possédant des granu- lations oxyneutrophiles
on voit la partie acidophile du nucléole, certaines granulations du noyau et les granulations du cytoplasma, colorées en
nom de granulations oxyneutrophiles et ce; faines gra- nulations du noyau présentent les mêmes affinités tinctoriales. D'ap
ondi. Mais, comme nous venons de le voir, certaines granulations du noyau se comportent de la même manière vis-à-vis des su
me nom de granulations oxy- neutrophiles à celles contenues dans le noyau qui se comportent de la même manière en face de
tions colorantes de ces granulations avec certaines granulations du noyau et des sphérules nucléolaires nous parait démon
arait démontrée d'après ce que nous venons de dire. Altérations DES noyaux . Dans la majorité des cellules les noyaux se tr
e dire. Altérations DES noyaux. Dans la majorité des cellules les noyaux se trouvent situés vers le centre du corps cell
du corps cellulaire. Un nombre plus restreint de cellules ont leurs noyaux situés tout à fait à la périphérie. D'une façon
s les cellules ganglionnaires volumineuses ou de taille moyenne les noyaux se trouvent de règle vers le centre de la (1) G
a)hypertrophie nucléaire ;6)disparition ; c) dégénérescence acidedu noyau . L'hypertrophie nucléaire est manifeste dans gr
anifeste dans grand nombre de cellules. On se trouve en présence de noyaux à contours réguliers, de forme ronde ou ovalair
rapport avec l'état de la substance chroma- tophile. Rares sont les noyaux en étal d'atrophie et d'habitude sur chaque cou
u'un nombre restreint de petites cellules gan- glionnaires avec des noyaux atrophiés et même dans ce cas on trouve tou- jo
trouve tou- jours l'hypertrophie du nucléole. ' La disparition du noyau s'observe dans les cellules à vacuoles multiples
multiples et surtout dans les cellules à nucléoles émigrés hors du noyau . Dans cer- taines cellules à nucléoles protopla
du noyau. Dans cer- taines cellules à nucléoles protoplasmiques, le noyau ne présente d'aulres modifications que de la pa
re et le réseau de linine disparaître et, à la place occupée par le noyau , se trouve une zone claire qui se confond insen
is cette disparition n'est que partielle, car on voit une moitié du noyau qui se confond avec le cytoplasma et l'autre mo
ine et quelques granulations fuchsinophiles. Dans la majorité des noyaux nous constatons les faits suivants : a) les noy
la majorité des noyaux nous constatons les faits suivants : a) les noyaux hypertrophiés ou de volume à peu près normal à me
ES SUR LES GANGLIONS RACHIDIENS 293 hypertrophié ; b) dans d'autres noyaux on voit la membrane nucléaire rata- tinée ou fe
les nombreuses granulations fuchsinophiles ; c) enfin dans d'autres noyaux on ne peut plus distinguer ni membrane, ni rése
Sarbo, Marinesco, Lugaro, etc... sous le nom de homogénéisation du noyau par la manière de se comporter en face des subs
ce des substances colorantes ; en effet dans les deux cas l'aspect du noyau est le même, mais les affinités tinctoriales so
inctoriales sont différentes. Ainsi dans la dégénérescense acide du noyau le contenu a une grande prédilection pour les c
s (vieil hémiplégique, tabétiqueetc...)on peut voir grand nombre de noyaux en état d'homogénéisation, si sur de pareilles
crésille, rubineS, orange ou fuchsine acide, bleu de méthylène, les noyaux ainsi altérés ont une grande affinité pour les
colora- tion,mais sur des coupes de ganglions de polyomyélite, les noyaux en état de dégénérescence acide prennent le col
. De plus on peul rencontrer sur des coupes colorées au Mallory des noyaux homogénéisés colorés en bleu et un peu plus loin
ory des noyaux homogénéisés colorés en bleu et un peu plus loin des noyaux homo- généisés colorés en rouge. 2,) i JONNES
le bleu polychrome ou le bleu de toluidine (état chromophile). Le noyau est aussi altéré souvent, on le trouve vers la pé
ns ajoutai' que l'aspect vacuolaire avec substance chromatophile et noyaux altérés s'ob- serve surtout dans les cellules n
ongés et disposés à peu près sur un seul rang. Dans ces cellules le noyau garde sa position normale, hypertrophié, homogé
substance chromatophile de la périphérie est la moins atteinte, le noyau n'est pas déplacé, il n'y a pas de surcharge pigm
plus en contact avec leur capsule que par un ou deux points. Leurs noyaux apla- tis, de forme à peu près fusiforme ou inc
l'intérieur d'une cellule, détaille égale ou inférieure à celle du noyau elle est susceptible d'occuper dans le cytoplasma
mais d'une manière générale toujours à une distance assez grande du noyau . Au point de vue structural la formation apparaît
olue (PI.XLIIJ,flg, 1) la formation en rosace acquiert la taille du noyau ou môme la dépasse, chaque si iamentou branche, i
. 2), la forma- tion est d'habitude de taille inférieure à celle du noyau , les filaments au lieu de se ramifier comme dan
ux cas la formation se trouve située à une distance assez grande du noyau et le plus souvent au voisinage de l'amas pigment
une'soi-disant plasmosphère, sont de taille variable et séparés du noyau par une zone plus ou moins large de cytoplasma, M
, sa taille, sa structure, et sa situation a une grande distance du noyau il nous semble peu probable que ce soit l'une d
de Nissl d'apparence normale présentant seulement l'hypertrophie du noyau et de son nucléole ; 2° la formation n'apparaît q
érent : ainsi à côté des cellules constituées par un 300 JONNESCO noyau et une mince couche de protoplasma on remarque de
a abondant et granuleux ou d'aspect homogène et très basophile et à noyau excentrique. A l'intérieur de ces cellules prolif
iphérique les cellules ganglionnaires présentent les altérations du noyau du nucléole, et de la substance chro- matophile
ellules se trouve très atrophiée et envahie par le pig- ment, leurs noyaux sont atrophiés et déplacés vers la périphérie des
du processus d'émigration active du nucléole. En (e) on voit que le noyau n'est plus représente que par son réseau de linin
phile en état de désintégra- tion granuleuse irrégulière (a) en (b) noyau central hypertrophié et contenant un grand nomb
) en état de désintégration granuleuse. Au centre de 1.1 cellule le noyau (m) hypertrophié avec nucléole consi- dérableme
hromatophile la moins altérée. Fie. 3. Cellule ganglionnaire avec noyau (n) sans membrane nucléaire et sans réseau de l
reux, (p) plasmosphère, (f) filaments axiaux (dans cette cellule le noyau n'est pas visible). Fto. 7. - Fixation au Domin
subs- tance chromatophile en état de désintégration granuleuse, (b) noyau d'aspect normal. Autour du nucléole entle deux
minici. Triple coloration de Mallory en (c) formation en rosace (b) noyau et nucléole hypertrophiés. NOUVELLE ICONOGRAPHI
re. S'agit-il d'une polio-encéphalile inférieure ? L'atteinte des noyaux est ici progressive et presque toujours bilatéral
facial si elle était placée en ce point du plancher bulbaire où le noyau de la 12e paire est si rapproché de celui de la 6
et la moelle allongée dans sa partie droite, et à peu près tous les noyaux de la région étaient plus on moins intéressés p
aties à protoplasma acidophile peu abondant sans différenciation, à noyau compact ; le colloïde l'intérieur ne présente p
de grosses cellules dissociées vaguement arrondies ou polygonales à noyau unique, foncé, plutôt petit, à protoplasma larg
e, formée de fibrilles collagènes, treillisées. avec fibroblastes à noyau fusiforme; à l'intérieur du tube, les assises c
ge bande hyaline fibrillaire plissée, épaisse, presque dépourvue de noyaux prenant le rouge vif du mélange du Van Gieson.
ulaire il cellules plates disposées sur un seul rang et munies d'un noyau ovalaire foncé ; exceptionnellement dans l'étroit
lumière du tube séminipare se pressent quelques cellules petites à noyau foncé ovalaire ou rond, à protoplasma étroit. t
ma est homogène, granuleux, fortement chromo- phile, acidophile, le noyau unique rarement double est petit, arrondi, foncé
rares, elles sont nettement granuleuses. - De petites cellules à noyau rond foncé, à protoplasma éosinophile sont in-
ltrés en grand nombre. On note çà et là de grosses cellules à large noyau clair, ponctué, presque vésiculeux, à protoplas
Hydrocéphalie ventriculaire. Foyers lacu- naires multiples dans le noyau lenticu- laire (Alquier et Klarfeld), XXIX et X
12 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
nsmise aux voies motrices par les centres acoustiques subcorticaux ( noyau bulbaire du nerf acoustique) ; mais on peut aus
de substance grise qui s'étale de dedans en dehors il la base de ce noyau : elle confine ainsi Ù l'épendyme ventriculaire
insi Ù l'épendyme ventriculaire; en dehors, elle Louche la queue du noyau caudé (NCC). Enfin, en haut, elle est limitée p
sphénoïdal (V.s). Elle esl encore limitée en dehors par la queue du noyau cauclé (NCC), au-dessus duquel elle s'étale de de
(CID). Plus en avant encore (Pt. XIV, C) elle arrive au contact du noyau lenti- culaire, situé au-dessus d'elle. La queu
ontact du noyau lenti- culaire, situé au-dessus d'elle. La queue du noyau caudé (NCC), toujours au-dessous, se rapproche
té antérieure du ventri- cule, l'uncus s'est fondu dans la masse du noyau amygdalien (NA). Ce gros uoyau sépare désormais
rne concave embrasse dans sa courbure toute la convexité externe du noyau amygda- lien. Sur une coupe encore plus antér
qu'on voit sur la coupe E appartiennent à la convexité antérieure du noyau amygdalien : leur direction générale est telle
phénoïdal, entre la pointe de ce lobe et la convexité antérieure du noyau amygdalien. Le nom de faisceau temporo-thalamid
orts de la bandelette sous-optique On doit supposer que la queue du noyau caudé (NCC) est en partie visible par trans- pa
ce supérieure ; la projection de la figure est donc horizontale. Le noyau caudé (NCC) s'avance d'arrière en avant, à la par
e en avant, à la partie ex- terne du ventricule sphénoïdal, vers le noyau amygdalien (NA) qui ferme le cul-de-sac antérie
delette sous-optique (BSO), d'abord placée en dedans de la queue du noyau caudé, et suivant approximativement le même parco
anouit en éventail sur la con- vexité antéro-externe de la queue du noyau caudé et du noyau amygdalien. La racine inférie
sur la con- vexité antéro-externe de la queue du noyau caudé et du noyau amygdalien. La racine inférieure du thalamus, v
a forme d'une lame horizon- tale ; arrivée en dehors de la queue du noyau caudé (NCC) et de la bandelette sous- optique (
bandelette sous- optique (BSO), elle se relève, enveloppe ainsi le noyau et la bandelette ; puis, finale- ment, redevenu
l, avec la bandelette sous-optique (BSO). Celle-ci va envelopper le noyau amygdalien (NA) à sa partie supérieure. La partie
noyau amygdalien (NA) à sa partie supérieure. La partie inférieure du noyau amygda- lien est au contraire enveloppée par le
t les conducteurs labyrinthiques, des fonctions des papilles et des noyaux et enfin une homologation assez complète des cond
noyaux et enfin une homologation assez complète des conducteurs et noyaux labyrinthiques avec ceux d'une racine spinale pos
ser ou à faire varier cette atti- tude. Le nerf vestitulaire et ses noyaux ne manquent pas de correspondants cérébelleux q
le. L'orientation vestibulaire exige l'intégrité des conducteurs et noyaux des nerfs ampullaires ; le sens des attitudes s
ntaires dépend de celle des cordons postérieurs de la moelle et des noyaux correspondants. Sui- vant que l'un ou l'autre,
dans l'organe périphérique, ou clans ses conducteurs, ou clans ses noyaux cérébelleux ou cérébraux (2). Le malade ne sent p
d'attitude céphalique. Bechterewy fait aboutir les fibres issues du noyau des cordons grêles, provenant du cordon de Goll,
xé par la vision et n'obéit qu'à l'ocnlomotricité réflexe issue des noyaux labyrinthiques. De plus l'orientation visuelle ob
nous pouvons utiliser les rapports du nerf vesti- bulaire avec les noyaux bulbaires oculomoteurs et peut-être aussi avec la
be. il) Enfin la continuité et la contiguïté qu'on ohserve entre le noyau in- terne et les noyaux du glosso-pharyngien et
uité et la contiguïté qu'on ohserve entre le noyau in- terne et les noyaux du glosso-pharyngien et du pneumogastrique expli-
ion des lois de Pfliiger, les irradiations de l'un à l'autre de ces noyaux , avec l'association si fré- quente du vertige s
val et Laborde sont situés dans le bulbe à la hauteur de l'union du noyau in- terne et du noyau glosso-pharyngien. Ce noy
tués dans le bulbe à la hauteur de l'union du noyau in- terne et du noyau glosso-pharyngien. Ce noyau, noyau central de Rol
eur de l'union du noyau in- terne et du noyau glosso-pharyngien. Ce noyau , noyau central de Roller ou central inférieur d
l'union du noyau in- terne et du noyau glosso-pharyngien. Ce noyau, noyau central de Roller ou central inférieur del3ecla
ge du faisceau vestibulaire décrit par Bruce. Sa proximité d'un des noyaux du nerf vestibulaire et ses rapports nécessaire
e transsudation liée à la vasomotricité, nous porte à croire que le noyau interne est en rapports avec le noyau vasomoteu
é, nous porte à croire que le noyau interne est en rapports avec le noyau vasomoteur et que ce noyau contient les centres m
le noyau interne est en rapports avec le noyau vasomoteur et que ce noyau contient les centres manoes- ihésiques de la ré
ension doivent nous faire examiner les rapports possibles entre les noyaux du nerf vestibulaire et les centres de pneumogast
nductrices dans l'intimité de la masse grise complexe qui forme les noyaux juxtaposés de la VIIIe paire, de la IXe et de l
trice du rythme respiratoire et circulatoire. Mislawsky a décrit un noyau respiratoire, qu'Obeisteiner appelle le noyau d
Mislawsky a décrit un noyau respiratoire, qu'Obeisteiner appelle le noyau des colonnes antérieures. C'est un noyau moteur q
qu'Obeisteiner appelle le noyau des colonnes antérieures. C'est un noyau moteur que les expérien- LE NERF LABYRINTIIIQUE
uses des stries acoustiques, mais sûrement par l'in- termédiaire du noyau antérieur et du tubercule acoustique d'abord, et
ique d'abord, et aussi, par l'olive supérieure, l'anse latérale, le noyau du ruban de Reil, le tubercule quadrijumeau pos
et que le nerf labyrintique se conduit, répétons-le, vis-à-vis des noyaux médullai- res comme une racine spinale postérie
bulbe et de la protubérance, et de racines secondaires unissant ces noyaux à d'autres amas gris de l'axe cérébro-spinal.
xaminerons ensuite sous le nom de formations médullaires les autres noyaux et conducteurs secondaires contribuant à former
engaînement précoce, qui se dirigent aussi pour la plupart vers les noyaux postérieurs, prolongement de la base des cornes
ieures, et particulièrement vers une formation de grosses cellules, noyau de Deiters, d'où partent des fibres centrales qui
res externes minces, tardivement engainées qui se terminent dans le noyau antérieur Ci le tu- bercule acoustique, prolong
ellules sont encapsulées dans de petites loges formées d'éléments à noyaux que Coyne et Cannieu regardent comme un endothéli
et à l'épithélium de son- tènement et d'isolement des papilles. Le noyau de ces cellules est remar- quablement gros. L
Corti (ganglion spinal des racines postérieures), et les cellules du noyau antérieur (tête des cornes postérieures), avec
Nous étudierons leurs faisceaux constituants après avoir décrit les noyaux primaires du nerf labyrinthique. IV Formati
estiforme. La base des cornes postérieures donne successivement les noyaux sen- sitifs du pneumogastrique et du glosso-pha
ux sen- sitifs du pneumogastrique et du glosso-pharyngien, puis les noyaux conti- gus du nerf veslibulaire, c'est-à-dire l
n, puis les noyaux conti- gus du nerf veslibulaire, c'est-à-dire le noyau interne, le noyau de Bech- terew et le noyau de
conti- gus du nerf veslibulaire, c'est-à-dire le noyau interne, le noyau de Bech- terew et le noyau deDeiters. Ce dernie
laire, c'est-à-dire le noyau interne, le noyau de Bech- terew et le noyau deDeiters. Ce dernier, avec ses grosses cellules
antérieurs. La tête des cornes postérieures, après avoir fourni les noyaux de la ra- cine inférieure ou bulbaire du trijum
vant du corps restiforme et donne les deux amas qui constituent les noyaux du nerf co- chléaire, noyau antérieur et tuberc
onne les deux amas qui constituent les noyaux du nerf co- chléaire, noyau antérieur et tubercule acoustique. Quanta la su
'elle s'est chez nous ab- sorbée dans la partie protubérantielle du noyau antérieur. Noyaux de la base. 1° Le noyau int
us ab- sorbée dans la partie protubérantielle du noyau antérieur. Noyaux de la base. 1° Le noyau interne (VIII i) (Clark
tie protubérantielle du noyau antérieur. Noyaux de la base. 1° Le noyau interne (VIII i) (Clarke, Meynert, IIubuenin), no
la base. 1° Le noyau interne (VIII i) (Clarke, Meynert, IIubuenin), noyau dorsal médian, noyau principal de Schwalbe, noy
interne (VIII i) (Clarke, Meynert, IIubuenin), noyau dorsal médian, noyau principal de Schwalbe, noyau central de Stieda, n
nert, IIubuenin), noyau dorsal médian, noyau principal de Schwalbe, noyau central de Stieda, noyau médian de la racine po
orsal médian, noyau principal de Schwalbe, noyau central de Stieda, noyau médian de la racine postérieure de Krause, part
noyau médian de la racine postérieure de Krause, partie médiane du noyau supé- Nouv. ICONOCIt DE LA SALPÊTRIÈRE T. VII
L BATTAILLE ET C1" LE NERF LABYRINTHIQUE 31,9 rieur de IIenle, noyau triangulaire, etc.) s'étale sous le plancher du q
.) s'étale sous le plancher du qua- trième ventricule, au-dessus du noyau sensitif des nerfs vagues, qu'il 1 continue d'a
agues, qu'il 1 continue d'ailleurs en dehors, s'étend au-dessus des noyaux du glosso- pharyngien et du vague à mesure qu'i
gien et du vague à mesure qu'ils s'enfoncent et atteint presque les noyaux de l'hypoglosse en dedans, recouvrant les noyaux
tteint presque les noyaux de l'hypoglosse en dedans, recouvrant les noyaux de l'abducens et du facial placés au-devant de
postérieures, petites (20 f'-) et de forme variée (Fig. 90). 2° Le noyau de Bechterew (B), noyau vestibulaire, noyau angul
20 f'-) et de forme variée (Fig. 90). 2° Le noyau de Bechterew (B), noyau vestibulaire, noyau angulaire, noyau d'origine
variée (Fig. 90). 2° Le noyau de Bechterew (B), noyau vestibulaire, noyau angulaire, noyau d'origine dit nerf vestibulair
2° Le noyau de Bechterew (B), noyau vestibulaire, noyau angulaire, noyau d'origine dit nerf vestibulaire de Fleclsig, es
de Fleclsig, est situé en arrière du corps restiforme, en dehors du noyau interne. Il jette un grand nombre de pro- longe
s le tronc du corps restiforme dans la direction du cervelet. 3° Le noyau de Deiters (D), est placé en dedans du corps rest
Deiters (D), est placé en dedans du corps restiforme et en avant du noyau interne. C'est le noyau externe de Meynert, de Cl
n dedans du corps restiforme et en avant du noyau interne. C'est le noyau externe de Meynert, de Clarke, le noyau médian
du noyau interne. C'est le noyau externe de Meynert, de Clarke, le noyau médian des racines antérieures de Krause, le noya
t, de Clarke, le noyau médian des racines antérieures de Krause, le noyau latéral de Stieda et Schwalbe, la partie extern
rause, le noyau latéral de Stieda et Schwalbe, la partie externe du noyau supérieur de IIenle, le noyau dorsal latéral, l
tieda et Schwalbe, la partie externe du noyau supérieur de IIenle, le noyau dorsal latéral, le noyau à grosses cellules, et
e externe du noyau supérieur de IIenle, le noyau dorsal latéral, le noyau à grosses cellules, etc. Celles-ci peuvent attein
ur ces raisons l'ho- mologue de la colonne vésiculeuse de Clarke. Noyaux de la tête. ' 4° Le noyau antérieur (VIII a) d'
e de la colonne vésiculeuse de Clarke. Noyaux de la tête. ' 4° Le noyau antérieur (VIII a) d'IIu;uenin et Meynert, l'acce
ieur (VIII a) d'IIu;uenin et Meynert, l'accessoire de Sclnvalbe, le noyau latéral des racines antérieures de Krause, l'infé
latéral des racines antérieures de Krause, l'inférieur de Henle, le noyau acoustique, est placé entre les deux racines du n
sentiel, et, comme le montre très bien Cannieu, c'est en réalité un noyau terminal, homologue selon nous de la tête d'une
e bulbaire. La première con- tient de grosses cellules avec de gros noyaux et peu de prolongements. Ce caractère seul, ave
. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 5° En arrière de ce noyau , sur le flanc du corps restiforme et superfi- c
glion acoustique superficiel, formé de petits éléments, de 10 f. Ce noyau (TA) n'est qu'un prolongement latéral du noyau
léments, de 10 f. Ce noyau (TA) n'est qu'un prolongement latéral du noyau antérieur. Tels sont les cinq noyaux primaires
t qu'un prolongement latéral du noyau antérieur. Tels sont les cinq noyaux primaires du nerf labyrinlhique, correspon- dan
rinlhique, correspon- dant aux cornes postérieures de la moelle. Le noyau interne, le noyau de Bechterew et le noyau de D
on- dant aux cornes postérieures de la moelle. Le noyau interne, le noyau de Bechterew et le noyau de Deiters, qui sont l
rieures de la moelle. Le noyau interne, le noyau de Bechterew et le noyau de Deiters, qui sont les prolongements de la base
respondent aux grosses fibres internes des racines postérieures. Le noyau antérieur et le tubercule acoustique, prolongemen
d'avant en arrière, laissant en dedans l'olive supérieure' (OS), le noyau du facial (VII), la racine sensible du trijumeau
ijumeau (V), en de- hors le corps restiforme et se jettent clans le noyau de Deiters (D), le noyau de Becblerew(B) et sur
s le corps restiforme et se jettent clans le noyau de Deiters (D), le noyau de Becblerew(B) et surtout le noyau interne (VI
ans le noyau de Deiters (D), le noyau de Becblerew(B) et surtout le noyau interne (VIII i)(Fig.90). D'après Edin- ger, d'
restiforme et parviennent en le suivant dans le cervelet jusqu'aux noyaux du toit (NT) et au noyau globuleux (G). Ce fais
en le suivant dans le cervelet jusqu'aux noyaux du toit (NT) et au noyau globuleux (G). Ce faisceau n'est pas admis par
olongement direct des cellules du ganglion de Scarpa atteignant les noyaux cérébelleux. S'il existe réellement, il n'a pas
avant tout cérébelleux. En effet, après son in- terception dans les noyaux de la base, c'est-à-dire l'interne, celui de Bech
la base, c'est-à-dire l'interne, celui de Bech- terew et surtout le noyau de Deiters, on voit partir, mais surtout de ce,
e la colonne de Clarke remonte vers le même vermis supérieur. De ce noyau de Deiters partent encore deux faisceaux cérébel-
, l'un vers ]'embolus (E) et le corps dentelé (CD), l'autre vers le noyau du toit du même côté et vers celui du côté opposé
du nerf vestibulaire, et d'un grand nombre de fibres provenant des noyaux cérébelleux, fibres que nous n'avons pas fait f
fibres se dirigent par le pédoncule céré- belleux supérieur vers le noyau rouge (NB) du côté opposé, et de celui-ci NOUV
rnes de la moelle, et nous avons poursuivi l'homologation au delà des noyaux primaires. Celui des fibres grises comprend le
estibulaire et les grosses racines internes de la moelle. VIII a. Noyau antérieur.- TA. Tubercule acoustique.- VIII i. No
oelle. VIII a. Noyau antérieur.- TA. Tubercule acoustique.- VIII i. Noyau interne. D. n de Deiters. B. n. de Bechterew. S
rew. Str. Stries médullaires. V. Racine sensitive de trijumeau. VI. Noyau de l'abducezs. VIf. Noyau du facial. IX. N. Gloss
es. V. Racine sensitive de trijumeau. VI. Noyau de l'abducezs. VIf. Noyau du facial. IX. N. Glosso- pharyngien.- OS. Oliv
- pharyngien.- OS. Olives supérieures.- T. Noyaux trapézoïdes.- NG. Noyau des cor- dons grêles. - NC. Noyau des cordons c
res.- T. Noyaux trapézoïdes.- NG. Noyau des cor- dons grêles. - NC. Noyau des cordons cunéiformes. NI. Noyau du toit. G. No
oyau des cor- dons grêles. - NC. Noyau des cordons cunéiformes. NI. Noyau du toit. G. Noyau globuleux. te. Embolus. CD. C
t devoir aboutir particulièrement à la pariétale ascen- dante. Du noyau de Bechterew et de l'interne partent encore d'aut
de l'interne partent encore d'autres fibres cérébelleuses vers les noyaux du toit et peut-être les autres. Ces fibres cér
u toit et peut-être les autres. Ces fibres cérébelleuses issues des noyaux de la base sont les homolo- gues de celles qui
élèvent, dans le cordon de Burdach, passent du côté opposé jusqu'au noyau des cordons cunéiformes (n C) et se dirigent ensu
é appropriée au maintien ou il la variation des attitudes (1). Du noyau interne et du noyau de Deiters partent d'autres s
tien ou il la variation des attitudes (1). Du noyau interne et du noyau de Deiters partent d'autres systèmes de fibres,
base des cornes médullaires et qui par le faisceau de Burdach et le noyau des cordons cunéiformes d'une part, par la comm
rce pariétale desservent-elles ? Dans le bulbe, un faisceau part du noyau de Deiters et aboutit au noyau de l'oculomoteur
? Dans le bulbe, un faisceau part du noyau de Deiters et aboutit au noyau de l'oculomoteur externe (VI), et par celui-ci
nir dans toute l'oculomotricité ré- flexe, grâce aux connexions des noyaux oculomoteurs entre eux. Or l'in- fluence des pe
et des perceptions d'attitudes segmentaires de tout le corps. Du noyau interne (et peut-être aussi de celui de Deiters)
celui de Deiters) partent des fibres que Ileld a pu suivre jusqu'au noyau du facial (VII). Nous trouvons (1) V. La Pariét
ion et de l'inter- ception stapédienne. Ces fibres qui unissent les noyaux de la base aux noyaux moteurs ont pour homologu
tion stapédienne. Ces fibres qui unissent les noyaux de la base aux noyaux moteurs ont pour homologues les fibres médullaire
ant les cornes postérieures aux cellules motrices antérieures. Du noyau interne et du noyau de Deiters, des fibres gagnen
térieures aux cellules motrices antérieures. Du noyau interne et du noyau de Deiters, des fibres gagnent l'olive su- péri
le faisceau décrit par Edinger, unissant cette olive supérieure du noyau de l'abducens (VI). Enfin de la partie antéro-i
e du noyau de l'abducens (VI). Enfin de la partie antéro-interne du noyau de Deiters et d'îlots situés en dedans de lui,
ler ou racine descendante vestibulaire, qui par l'intermédiaire du noyau de Deiters unit les cordons postérieurs au cerv
s un faisceau cérébelleux des cor- dons postérieurs qui traverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechterew). Bruce a décrit
eiters (Edinger, Bechterew). Bruce a décrit un faisceau unissant le noyau de Deiters à l'olive infé- rieure. VI Nerf
byrinthique. La plus grande partie de ses fibres se jettent dans le noyau antérieur (VIII a) ; d'autres, plus externes, a
a- trième ventricule, dépassent et contournent les masses grises du noyau 354 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE i
ent, les autres au tubercule quadriju- meau postérieur (Q P). De ce noyau partent des fibres soit vers le corps postéro-b
ique, des fibres, décrites par .Monakow, s'en- gagent à travers les noyaux de la base et se divisent en deux faisceaux don
périeure du même côté. Nous verrons plus loin les connexions de ces noyaux . Du noyau antérieur, des fibres partent en arri
ême côté. Nous verrons plus loin les connexions de ces noyaux. Du noyau antérieur, des fibres partent en arrière, en deho
s restiforme, le contournent, reviennent en avanl, passent entre le noyau du facial (VII) et la racine du trijumeau (V) e
ker admet un faisceau parallèle au dernier et qui semble aboutir au noyau du facial. Un second faisceau se dirige en arri
l'olive su- périeure du même côté. Un cinquième se termine dans le noyau trapézoïde opposé (lleld), un sixième aboutit a
mine dans le noyau trapézoïde opposé (lleld), un sixième aboutit au noyau trapézoïde correspondant. Enfin un faisceau ent
rale vers l'écorce temporale. Ce faisceau qui unit t directement le noyau antérieur à l'écorce du côté opposé est homologue
ée. De l'olive supérieure part un important faisceau qui atteint le noyau du toit du même côté (Edinger, Bechterew). Un d
u du toit du même côté (Edinger, Bechterew). Un deuxième aboutit au noyau trapézoïde correspondant (lfeld) ; un autre tra
(Ileld). Un autre, parti de l'olive su- périeure se termine dans le noyau du ruban de Reil ; un autre encore quitte le no
termine dans le noyau du ruban de Reil ; un autre encore quitte le noyau trapézoïde opposé pour une destination analogue.
tte le noyau trapézoïde opposé pour une destination analogue. De ce noyau du ruban de Reil partent des fibres vers le tuber
tant avec l'écorce les rapports que nous avons vus plus haut. De ce noyau part un autre faisceau qui passe dans l'hémisph
les fibres originaires du faisceau de Goll, par l'intermédiaire du noyau des cordons grêles (I3ecIIterew) et il est aisé
s anatomiques en vue d'une interprétation du rôle physiologique des noyaux et conducteurs de l'appa- reil labyrinthique, i
esté de Paralysie glosso--lll,ùio-larYlIgée.. 1 . ' La lésion des noyaux bulbaires inférieurs qui en est le substratum ana
ieurs états pathologiques (1); on le retrouve toutes les fois que les noyaux inférieurs de la colonne grise motrice bulbaire
parfois le tabès (2). Enfin le même syndrome s'ohserve sans que les noyaux du bulbe soient intéressés : dans les paralysie
13 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
amide antérieure. V, éminence olivaire. Y, Z, faisceau postérieur. 0, noyau cérébelleux. PL.2 PL. 3 Cette planche conti
, en sus d'une dissection de la moelle allongée, une coupe médiane du noyau cérébral ; elle montre même, en dehors de ce noya
e coupe médiane du noyau cérébral ; elle montre même, en dehors de ce noyau , le cercle fibreux de l'ourlet qui appartient à
upe médiane du corps calleux. C'', prolongement conoïde postérieur du noyau cérébral. +, lieu de concours de l'extrémité anté
eux par lequel la région fasciculée du pédon-cule se prolonge dans le noyau cérébral. bbbbN', prolongements en éventail de
. bbbbN', prolongements en éventail de la région fasciculée dans le noyau cérébral. N 0, face profonde de la région fascicu
ébelleux a été enlevée et avec elle ses prolongements à la surface du noyau céré-belleux. Les parties profondes de ce noyau s
ments à la surface du noyau céré-belleux. Les parties profondes de ce noyau sont mises à découvert; on voit des prolongements
erf auditif et des prolongements du nerf triju-meau se porter dans le noyau cérébelleux, de plus on a découvert la doublure f
culaire du cerveau. H, trijumeau. H', prolongement de ce nerf dans le noyau cé-rébelleux. H", Prolongement de ce nerf dans le
rme. h, émanations de ce prolongement allant aux parties profondes du noyau cé-rébelleux. E, nerf auditif. E', membrane émané
tif, ee, prolongement direct de ce nerf dans les parties profondes du noyau cérébelleux. Y V, ut supra. FIGURE 5. Dans ce
ncule cérébelleux. R', convexité de ces rayonne-ments à la surface du noyau cérébelleux, r r r r, tiges fibreuses fournies pa
e orbitaire. FIGURE 2. Cette figure représente la face externe du noyau cérébral dont la saillie centrale est encore revê
a A A J A A b, couches fibreuses excentriques de la face la-térale du noyau cérébral, a, tubérosilé temporale de la circonvol
IGURE Cette figure a pour objet de faire comprendre les rapports du noyau cérébral avec les hémisphères. Le cerveau, repo
ure fibreuse immédiate , est séparée des par-' ties superficielles du noyau cérébelleux. La doublure fibreuse de la cou-che c
nerf. Q, membrane nerveuse d'union de l'auditif et du trijumeau. R, noyau cérébelleux. On voit en dedans ce noyau se rattac
auditif et du trijumeau. R, noyau cérébelleux. On voit en dedans ce noyau se rattacher à la protubérance. En dehors il prod
H, grande portion du trijumeau. FIGURE 4e. Cette figure montre le noyau cérébelleux d'un nouveau-né , tenant à la protubé
eussens. H, trijumeau. C, prolongement radiculaire de ce nerf dans le noyau cérébelleux O et jusque dans les parties fibreuse
rf auditif. Plusieurs ra-cines de ce nerf se prolongent aussi dans le noyau cérébelleux. Cette planche contient deux figure
ère. N -f- -f-, ruban fibreux de l'ourlet. A', pointe pos-térieure du noyau cérébral Cette planche présente deux figures de
he présente deux figures destinées à faire comprendre les rapports du noyau cérébral avec l'hémisphère. FIGURE 1re. Cette
connus, présente en K K K la face interne de l'hémisphère séparée du noyau cérébral ; en V V la doublure fibreuse de l'insul
se de l'insula, séparée de la saillie centrale des faces latérales du noyau ; en h h h L L, la section des couches fibreuses
ui, de la circonférence de la saillie centrale de la face latérale du noyau , rayonne à la face interne de l'hémisphère. N N
émisphère du côté droit est resté dans ses rap-ports naturels avec le noyau cérébral; celui du côté gauche a été séparé du no
naturels avec le noyau cérébral; celui du côté gauche a été séparé du noyau cérébral. La moitié gauche du noyau est à découve
ui du côté gauche a été séparé du noyau cérébral. La moitié gauche du noyau est à découvert. Pour les mêmes raisons qui ont
e ce corps. K O Q K' R, parties excentriques des faces latérales du noyau , qui se continuent dans la partie transversale du
la bosse frontale. K', pointe du prolongement conoïde postérieur du noyau cérébral. Cette pointe correspond au prolongement
porale du ven-tricule. N L, saillie centrale des faces latérales du noyau . R', faisceau fibreux qui se porte de cette sai
couches fibreuses qui, de la circonférence de la saillie centrale du noyau , se portent à la face interne de l'hémisphère re-
ient deux figures destinées à représenter les surfaces extérieures du noyau cérébral. FIGURE **e. Cette figure montre tou
E **e. Cette figure montre toute l'étendue de la face supérieure du noyau cérébral, et laisse voir en raccourci une partie
osités antérieures du corps calleux, a', sommet du cône postérieur du noyau cérébral. J, partie fran-chement transversale du
nnantes de l'hémisphère. L L, saillie centrale des faces latérales du noyau , b, tubérosité temporale de la circonvolution de
tubérosité temporale de la circonvolution de l'ourlet. R , partie du noyau cérébral répondant à la corne temporale du ventri
Cette figure représente une vue de face des parties inférieures du noyau cérébral, et une vue fuyante de quelques-unes de
sversale, a, tubé-rosité antérieure, a', pointe du cône postérieur du noyau . 6, région de ce noyau répondant à la corne tempo
é antérieure, a', pointe du cône postérieur du noyau. 6, région de ce noyau répondant à la corne temporale du ventricule. B',
ourlet. B", son crochet. 0, saillie centrale des faces latérales du noyau , -+- +, fibres passant de la surface de cette sai
montrer, d'une part, les connexions de l'hémisphère cérébral avec le noyau cérébral; et, d'une autre part, la disposition de
ui appartiennent à l'hémisphère. FIGURE 1". Dans cette figure, le noyau cérébral partiellement séparé de l'hémi-sphère ,
intrinsèque de l'hémisphère. Ce tronc s'insère à la partie externe du noyau cérébral dans l'intervalle des couches fibreuses
et de celles qui re-vêtent la saillie centrale des faces latérales du noyau . Les couches fibreuses qui succèdent au tronc d
ban fibreux de l'ourlet. L, saillie centrale des faces latérales du noyau . J J, parties transversales du corps calleux, d
i de la figure 1re. On a divisé avec lui la moitié correspon-dante du noyau cérébral. On voit en H' le tronc fibreux qui fa
trié. H montre les prolongements de ce tronc fibreux à leur sortie du noyau cérébral; H"H" H", les prolongements de ce tronc
é. g g, couche fibreuse de la saillie centrale des faces latérales du noyau issue de la marge du quadrilatère perforé. V V, f
estinées à faire comprendre la structure de la partie fondamentale du noyau cérébral. FIGURE \™. Cette figure montre la f
cérébral. FIGURE \™. Cette figure montre la face inférieure de ce noyau . Du côté gauche , l'on voit en I r r C B la par
chaque côté, S S désignent la saillie centrale des faces latérales du noyau . 1 Sur le côté droit de la même figure, l'on vo
14 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
e la pyramide pétreuse, au milieu d'une masse de tissu éburné, nommée noyau ou capsule labyrinthique. Elle comprend le vestib
lules mastoïdiennes, laquelle se continue en dedans et en haut par le noyau labyrinthique et en dehors par la corticale préma
t entourent de leurs ramifications terminales les grandes cellules du noyau bulbo-protubérantiel. Ce dernier forme une colo
un peu en avant de la racine descendante du trijumeau, en arrière du noyau latéral; plus haut, il se trouve placé derrière l
adiculaires qui s'apprêtent à quitter le bulbe. D'après Marinesco, le noyau est constitué dans sa partie inférieure par une m
cellules multipolaires. Dans sa partie moyenne, on peut dissocier ce noyau primaire en un segment ou noyau secondaire extern
partie moyenne, on peut dissocier ce noyau primaire en un segment ou noyau secondaire externe, un autre moyen ou noyau secon
primaire en un segment ou noyau secondaire externe, un autre moyen ou noyau secondaire médian, et un troisième interne. La ré
romalolyse des cellules nerveuses au niveau de la zone postérieure du noyau secondaire médian. Les fibres émanées de ce noy
ne postérieure du noyau secondaire médian. Les fibres émanées de ce noyau bulbo-protubérantiel remontent obliquement en arr
rantiel remontent obliquement en arrière et en dedans, contournent le noyau de l'oculo-moteur externe — genou du facial forma
de Wrisberg, et qui se termine dans le bulbe autour des cellules d'un noyau accolé au faisceau solitaire. La solidarité ana
en, pourra encore entraîner une hémiplégie faciale par compression du noyau bulbaire, et aussi du faisceau intra-bulbaire du
age. Centre de l'audition. — La voie centrale de l'audition part du noyau ventral ou antérieur de l'acoustique, forme le co
, qui dégénère de haut en bas et aboutit sans aucune interruption aux noyaux pontiques postérieurs (dans ce trajet, il travers
r thalamique étendu entre le segment antérieur du lobe temporal et le noyau interne du thalamus. Couronne rayonnante.du lob
e rétrécie qui relie le segment supérieur à la capsule interne et aux noyaux gris centraux. Elle livre passage au pied de la c
reille et aux muscles de la tête et du tronc. Par l'intermédiaire des noyaux pontiques et de la voie centripète ponto-cérébcll
veau, on doit considérer séparément la substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la substance blanche. Si l'on
s'élargit (commissure antérieure) et renferme dans son épaisseur les noyaux du toit, sphérique et les bouchons. Ecorce. — E
s parallèles. (Ramon y Cajal, Structure du système nerveux, 1 8q5.) Noyaux gris centraux. — Ils sont au nombre de huit, quat
lé ou olive cérébelleuse, reconnaissable à son aspect festonné; 20 Le noyau du toil : nucleus tegmenti; 3" Le noyau sphérique
à son aspect festonné; 20 Le noyau du toil : nucleus tegmenti; 3" Le noyau sphérique ; nucleus globulus ; 4° Le bouchon ou e
e noyau sphérique ; nucleus globulus ; 4° Le bouchon ou embolus. Le noyau du toit est accolé à la ligne médiane; le corps d
s dentelé appartient à l'hémisphère : entre les deux on rencontre les noyaux sphénques et les bouchons. Substance blanche. —
euses, et longues ou extra-céré-Ueuses. Les premières unissent chaque noyau gris central à l'écorce de l'hémisphère correspon
supérieur pour s'entre-croiser et aboutir au vermis supérieur et aux noyaux du toit. (Mott et Tooth, in Thomas.) c) Les fai
Tooth, in Thomas.) c) Les faisceaux des cordons postérieurs et des noyaux de Goll et Burdach. — Les cordons postérieurs ren
ui se rendent directement au cervelet, ou bien relaient au niveau des noyaux de Goll et de Burdach. Les fibres qui naissent de
veau des noyaux de Goll et de Burdach. Les fibres qui naissent de ces noyaux , par voie soit directe (arciformes externes), soi
elleux inférieur et se terminent dans le vermis supérieur et dans les noyaux du toit. Chemin faisant, elles abandonnent des co
oyaux du toit. Chemin faisant, elles abandonnent des collatérales aux noyaux vestibulaires de Deiterset de Bechterew. d) Le
— Il prend son origine au niveau du verrais supérieur (Teljatnik), du noyau dentelé (Thomas), traverse le pédoncule cérébelle
es cornes antérieures de la moelle. f) Le faisceau en crochet. — Le noyau dentelé et probablement l'écorce du vermis sont r
fférente cérébello-médullaire donne, au passage, des collatérales aux noyaux dorsaux du vestibulaire. Plusieurs auteurs identi
signalé un faisceau cérébelleux descendant qui, sans relais, irait du noyau dentelé aux cornes antérieures de la moelle. Selo
rte à croire, dit-il, que les fibres de ce faisceau proviendraient du noyau de Deiters ». Ces fibres efférentes Deiters-médul
spinal. Le faisceau cérébral, voie afférente, tire son origine des noyaux politiques supérieurs, s'entre-croise et aboutit
'écorce cérébelleuse, et, en partie aussi, au vermis supérieur et aux noyaux centraux. (Bechterew.) Le faisceau spinal, voie
sue des régions antérieure et moyenne de l'écorce cérébelleuse et des noyaux centraux, se termine dans les noyaux politiques i
de l'écorce cérébelleuse et des noyaux centraux, se termine dans les noyaux politiques inférieurs des deux cotés. D'après Tho
s les noyaux politiques inférieurs des deux cotés. D'après Thomas, le noyau dentelé est relié au noyau réticulé de la calotte
érieurs des deux cotés. D'après Thomas, le noyau dentelé est relié au noyau réticulé de la calotte par l'intermédiaire de fib
ent en deux branches, l'une ascendante et l'autre descendante vers le noyau réticulé de la calotte. Système rubro-cérébelle
res pédonculaires supérieures qui dérivent de l'écorce du vermis, des noyaux centraux et surtout du noyau dentelé. Après entre
qui dérivent de l'écorce du vermis, des noyaux centraux et surtout du noyau dentelé. Après entre-croisement, presque toutes c
lé. Après entre-croisement, presque toutes ces fibres se terminent au noyau rouge. D'autres ont pu être suivies jusqu'au thal
ers l'angle externe du plancher du IV' ventricule, où se trouvent les noyaux , triangulaire, Deiters, Bechterew et descendais.
escendante du nerf vestibulaire, qui s'enfonce dans le bulbe jusqu'au noyau de Goll ; ses collatérales et ses ramifications t
t ses ramifications terminales s'épanouissent autour des cellules des noyaux triangulaires, Deiters et descendens. Pour quelqu
aussi se terminer, du moins chez l'homme, au niveau des cellules des noyaux de Deiters et de Bechterew, reliés par un second
s noyaux de Deiters et de Bechterew, reliés par un second neurone aux noyaux et à l'écorce du cervelet. Bamon y Cajal a vu ces
mme vestibulo-cérébelleux, continuer directement leur trajet vers les noyaux sphérique et du toit et vers l'écorce du vermis s
vermis supérieur. Ce faisceau fournirait de simples collatérales aux noyaux bulbaires du vestibulaire. A côté de ces fibres
s de sclérose unilatérale du cervelet avec atrophie très prononcée du noyau dentelé. Ces deux voies de conduction centripète
eliés entre eux par des neurones intermédiaires ou d'association. Les noyaux de Goll et de Burdach, véritable carrefour des de
l'intermédiaire du ruban de Reil médian, avec l'olive inférieure, le noyau réticulé de la calotte, le corps parabigéminé, la
moelle l'action du faisceau central. Les cellules multipolaires des noyaux de Deiters et de Bechterew envoient leurs forts a
viennent longitudinales dans une zone située en dehors et en avant du noyau de la VIe paire, et s'incurvent en pleine formati
eminent en dedans, passent en avant du genou du facial en tamisant le noyau de l'abducens, lui fournissent des collatérales,
nt en rameaux ascendant et descendant. Le rameau ascendant aboutit au noyau de l'oculo-moteur commun. Cette connexion du syst
teur commun. Cette connexion du système vestibulo-cérébelleux avec le noyau de l'oculo-moteur commun explique les déviations
ns les différents troubles de l'équilibration (nystagmus, etc.). Le noyau rouge est l'origine du faisceau descendant rubro-
on, — avec des centres comme le cervelet, les olives bulbaires, les noyaux de Goll, Burdach, Deiters, Bechterew, politiques,
fluence perdue du cervelet ». Les voies qui descendent directement du noyau vestibulaire vers la moelle (faisceau longitudina
teint directement ou indirectement les parties centrales de l'organe, noyaux gris et gros faisceau pédonculaire (Luciani), on
blit on ces termes la physiologie pathologique de ce symptôme : « Les noyaux de Deiters, reliés au cervelet par le faisceau ve
ervelet par le faisceau vestibulo-cérébelleux, envoient des fibres au noyau de la sixième paire du même côté et au noyau de l
, envoient des fibres au noyau de la sixième paire du même côté et au noyau de la troisième paire du côté opposé, plus des fi
t avec la déviation oculaire. Cette force est bilatérale, et les deux noyaux de Deiters doivent se faire équilibre à l'état no
duit par les muscles du même côté; c'est-à-dire que la destruction du noyau gauche de Deiters (nous appellerons ainsi désorma
du noyau gauche de Deiters (nous appellerons ainsi désormais les deux noyaux réunis du vestibulaire) entraînera une déviation
dineux s'explique par les connexions anatoiniques de l'organe avec le noyau rouge, et par la physiologie expérimentale qui a
l'abcès cérébral (Bourgeois.) Elle résulte d'une compression, soit du noyau sous-jacent au plancher du IVe ventricule, soit d
cer à plus de 2 I/a centimètres, pour éviter à coup sûr la lésion des noyaux centraux ainsi que des nerfs et vaisseaux qui pén
le des déviations conjuguées des yeux et des rapports anatomiques des noyaux de la troisième et de la sixième paires. Société
, la corne spbénoïdale du ventricule latéral, le tronc et la queue du noyau caudé, la couche optique, le noyau lenticulaire,
e latéral, le tronc et la queue du noyau caudé, la couche optique, le noyau lenticulaire, l'avant-mur, le noyau rouge de Stil
oyau caudé, la couche optique, le noyau lenticulaire, l'avant-mur, le noyau rouge de Stilling ; 2° sur l'écorce : les circonv
l'aqueduc de Sylvius, le pulvi-nar de la couche optique, la queue du noyau caudé, le patamen, les corps genou illés interne
lés interne et externe, les tubercules quadrijumeaux antérieurs et le noyau de l'oculo-moteur commun ; 2° sur l'écorce : le p
un assez grand volume, sans atteindre le corps dentelé et les autres noyaux centraux du cervelet. A droite, on remarque deu
veine jugulaire interne, le sinus occipital, l'avant-mur, la queue du noyau eau dé, les cornes sphénoïdale et occipitale du v
15 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
dans le cas de la névrite optique tabétique ; la mul-tiplication des noyaux est plus accusée, l'exsudation plus abon-dante, e
comporte anato-miquement le cancer vertébral. Il est des cas où les noyaux cancéreux développés en petit nombre au sein des
récédents, renferment en outre, de distance en distance, dég-ainas de noyaux du sarcolemme. On rencontre enfin, çà et là, un t
tion : çà et là quelques gaines du sarcolemme renfer-ment des amas de noyaux . Ces faisceaux primitifs, atrophiés, sont séparés
aite à la région lombaire. — A, corne anté-rieure gauche, saine. — a, noyau ganglionnaire sain. — B, corne antérieure droite
ine. — a, noyau ganglionnaire sain. — B, corne antérieure droite — b, noyau ganglionnaire médian dont les cellules sont détru
ogiques de la myélite aiguë avec multiplication des myélocytes et des noyaux des gaines vasculaires, telle, en un mot, qu'elle
t, dans les cellules nerveuses de l'encéphale, une multiplication des noyaux (Joliy) qu'ils considèrent comme la marque d'un p
ncéphale et dans le système du grand sympathique, la présence de deux noyaux dans une cellule nerveuse est un fait rare sans d
nts courts et grêles. Enfin, au der-nier degré, ils disparaissent. Le noyau de la cellule subit une atrophie conco-mitante. C
, ou absents. Le corps cellulaire est opa-que, d'aspect brillant : le noyau est petit, inégal et ratatiné. J'ignore si cette
te. (Atrophie presque complète des cellules ner-veuses, un seul petit noyau ganglionnaire (6) persiste.) tes d'un travail d
l existe, dans cette partie des centres nerveux, un certain nombre de noyaux de substance grise que l'on considère comme les a
ctation n'est guère douteuse, particulièrement en ce qui concerne les noyaux d'origine de l'hypoglosse, du spinal et même du f
Coupe transversale du bulbe, faite au niveau de la partie moyenne du noyau de l'hypoglosse. — A, B, (à droite de la ligne fi
(à droite de la ligne fictive R,'R') représentent l'état normal. — A, noyau de l'hypoglosse composé d'une agré-gation d'une t
tipolaires. — V, un vaisseau qui circonscrit en avant et en dedans le noyau . — C, plancher du quatrième ventricule. — D, fasc
u. — C, plancher du quatrième ventricule. — D, fasciculus teres. — B, noyau du pneumogastrique. — A', B', etc., (à gauche de
existe à peine cinq ou six cellules nerveuses intactes dans l'aire du noyau de l'hypoglosse. — A', fasciculus teres. — B', no
s dans l'aire du noyau de l'hypoglosse. — A', fasciculus teres. — B', noyau du pneumogastrique ne présentant aucune altératio
de ceux des membres, en consé-quence de l'altéra-tion des cellules du noyau de l'hypo-glosse. La langue, cependant, en pareil
es cor-nes antérieures à la région cervicale de la moelle et dans les noyaux d'origine des nerfs bulbaires. Les préparations,
é de salive vis-queuse ; 4° Enfin, en raison de l'envahissement des noyaux d'ori-gine des pneumogastriques, des troubles gra
ion en travers la mieux accen-tuée. Ni la gaine du sarcolemme, ni les noyaux qu'elle ren-ferme ne présentent d'altération, et,
: extrémité postérieure de la couche optique; — partie postérieure du noyau caudé ; — partie postérieure de la couronne rayon
érieure de la couche optique ; — 2° La partie la plus posté-rieure du noyau caudé. Il est noté expressément que les deux tier
expressément que les deux tiers ou les trois quarts antérieurs de ces noyaux gris étaient restés parfaitement indemnes; — 3° E
s, d'un côté, on a vu maintes et maintes fois la couche optique et le noyau lenticulaire, atteints dans leurs diverses partie
oplasma. Quel-ques-unes de ces cellules rudimentaires renferment deux noyaux . Sur les vaisseaux capillaires, dont les parois n
sentent d'ail-leurs pas traces d'infiltration granulo-graisseuse, les noyaux sont volumineux, et plusieurs offrent des traces
ent dessinées qu'à l'état normal ; quelques-unes renferment deux gros noyaux . Les cellules conjonc-tives ne se montrent pas pl
On trouve dans les points ramollis, des corps granuleux avec ou sans noyaux , de nombreux myélocytes libres. Il n'y a pas de l
présentent d'ailleurs un léger de-gré d'infiltration graisseuse ; les noyaux sont plus nombreux qu'à l'état normal. On trouv
istance des dilatations monili-formes, et dont les parois chargées de noyaux très nombreux offrent çà et là des amas de granul
, car l'œil pénè-tre difficilement jusqu'à la masse pigmentaire et au noyau . Ce dernier, toutefois, ainsi que le nucléole, on
ontre, de distance en distance, à la face externe de cette paroi, des noyaux volumineux prenant par le carmin une coloration
ie notable à la surface du vaisseau, et se distinguent facilement des noyaux de l'en-dothélium qui sont plus pâles, et, dans c
la prolifération se produit : on trouve alors tantôt trois ou quatre noyaux réunis dans une masse commune de protoplasma ; ta
ues-uns présentent les caractères de la mul-tiplication par scission ( noyau en bissac) et enfin par l'abondance insolite du t
lus petites qui soient encore reconnaissables sont constituées par un noyau volumineux se colorant très bien par le carmin, p
ites, ont conservé des angles, vestiges de leurs prolongements ; leur noyau est normal comme celui des précédentes, et leur p
igment jaune, persistance pendant longtemps des caractères normaux du noyau et du nucléole, tels sont les caractères du proce
naient, à l'état frais, aucun corps granuleux. —Quelques fragments du noyau de l'hypoglosse, examinés par dissociation, ont m
es nerveuses y sont nombreuses, pourvues de prolongements, réunies en noyaux distincts, presque toutes contiennent un amas con
artie moyenne des olives. — Les pyramides antérieures sont saines. Le noyau de i'hy-poglosse est rempli de nombreuses cellule
s cellules assez fortement pig- méritées, mais de volume normal. Le noyau du pneumogastrique est assez fortement vascularis
e des gaines vides, pourvues à des intervalles très réguliers de gros noyaux granuleux et ovoïdes, et accolées les unes aux au
tubes et montre de larges ban-des conjonctives parsemées de nombreux noyaux séparantceux qui ont survécu. (Pl. VII, fig. 5.)
s les intervalles des blocs qu'elle forme, on constate l'existence de noyaux soit isolés, soit réunis au nombre de deux ou tro
il ne se produit d'ordinaire au-cune pigmentation dans le nombre des noyaux musculaires pro-prement dits. On rencontre cepe
e musculaire est interrompue de distance en distance, par des amas de noyaux au nombre de 5, 10, quelquefois davan-tage. Ce so
our. Epaississement des parois des gros vaisseaux, multiplication des noyaux des capillaires, pro-lifération des cellules de l
orsale. — Au bulbe, atrophie et destruction des cellules nerveuses du noyau de l'hypoglosse, atro-phie des racines spinales a
acun clans leur lobe inférieur, des granulations tuberculeuses et des noyaux de pneumonie caséeuse commençante. Les sommets ét
'atrophie progressive, récemment publié, trouvé de multiplication des noyaux dans les tubes du sarcolemme. Les vaisseaux, da
abondant qu'à l'état normal; on y observe une proportion exagérée de noyaux arrondis ou fusiformes. En outre des altération
fibres, on aper-cevait une grande quantité de tissu conjonctif et de noyaux arron-dis ou fusiformes. Pour les muscles de la
nservé leur forme étoilée, leurs prolongements et possèdent encore un noyau et un nucléole dis-tincts. Les autres ne sont plu
ngements, jaunes, brillantes, d'aspect vitreux, et, en pareil cas, le noyau , en géné-ral, n'est plus distinct. Toutes ces alt
spect d'une masse finement grenue, nous n'avons pas remar-qué que les noyaux de la névroglie y fussent plus abondants que dans
ait pas de même aux commissures antérieures et postérieures : là, les noyaux nous ont paru nom-breux, surtout au voisinage du
ent des parois manifestement épaissies, couvertes parfois de nombreux noyaux . — Les cornes postérieures de la substance gris
avons pu constater, delà manière la plus nette, que les cellules des noyaux d'origine de Vhypoglosse, dans toute l'étendue de
ules des noyaux d'origine de Vhypoglosse, dans toute l'étendue de ces noyaux , sont pour la plupart profon-dément altérées, atr
criptorius et réprésentant l'état normal, on pouvait compter' dans le noyau de l'hypoglosse, qui dans cette région est volumi
entre les cellules qu'une masse amorphe, finement gre-nue ; enfin le noyau de l'hypoglosse, considéré dans son ensemble, par
les mêmes coupes, on pouvait reconnaître, immédiatement en dehors du noyau de l'hypoglosse, le petit groupe de cellules que
ont paru en nombre normal. Plus en dehors encore, on rencontrait le noyau d'origine du pneumogastrique. La plupart des cell
tactes ; un petit nombre seulement d'entre elles (7 ou 8 pour cha-que noyau et pour chaque préparation), les plus antérieures
lamus. — En avant et de chaque côté du canal central, on retrouve les noyaux de l'hy-poglosse. Là encore, les cellules sont at
égénérées. En arrière et de chaque côté du canal, on peut étudier les noyaux du spinal ; ils présentent tous les deux quelques
noire et qui sont en même temps déformées. Les autres cellules de ces noyaux sont normales. Coupe faite au-dessus des olives
e ces noyaux sont normales. Coupe faite au-dessus des olives. — Les noyaux d'origine du facial, du moteur oculaire externe e
les avaient en grande partie perdu leur striation transversale et les noyaux du tissu conjonctif interstitiel s'étaient extrêm
èles, séparés les uns des autres et masqués en partie par des amas de noyaux . Les mus-cles du tronc et des membres inférieurs
cylindre de myéline, étaient réduites à leur gaine et recouvertes de noyaux plus nombreux que d'habi-tude. Pas plus que les r
substance blanche et de la substance grise. 1° Substance grise. Les noyaux d'origine des nerfs bulbaires sont ici le siège d
cutive des cel-lules nerveuses qui entrent dans la composition de ces noyaux , est surtout très prononcée dans celui du nerf hy
possible de découvrir une augmentation évidente dans le nombre de ses noyaux . Les groupes cellulaires, appartenant aux diffé
e bien rares exemples de cet envahissement pigmentaire si net dans le noyau de l'hypoglosse. Les olives se montrent normale
traste d'une manière frappante avec l'atrophie très prononcée de leur noyau d'origine. La région de l'entre-croisement offr
tiés de la moelle, la lésion cellulaire qui a été décrite à propos du noyau de l'hypoglosse. Frappant indistinc-tement, et co
ns transparent, sans qu'on y remarque une multiplication évidente des noyaux de la névroglie. Note sur un cas de paralysie g
nombre de faisceaux primitifs, une multi-plication très évidente des noyaux du sarcolemme. Le tissu con-jonctif, interposé en
nctif, interposé entre ces faisceaux, présente à peu près partout des noyaux plus nombreux que dans l'état normal. Il est re
que dans l'état normal. Il est remarquable que la prolifération des noyaux du sarco-lemme est peut-être plus prononcée sur l
arcolemme, vides de substance contractile et remplies par des amas de noyaux . Ceux-ci présentaient quelquefois la forme en bis
e effacée, que des granulations d'apparence graisseuse ou des amas de noyaux . L'altération granulo-graisseuse des faisceaux
ifs, l'ab- sence de lastriation en travers, et la prolifération des noyaux du périmysium et du sarcolemme se rencontrent sur
s évidemment l'altération granulo-graisseuse et la multiplication des noyaux du sarcolemme ou du périmysium. On peut appliquer
diminution dans le diamètre des tubes nerveux, ni multiplication des noyaux de la névroglie, ni, enfin, aucun épaississement
nte, tout au plus, que des traces peu évidentes de multiplication des noyaux . Quelques-unes de ces cellules nerveuses ont co
le elle-même, se colorent vivement et unifor-mément par le carmin. Le noyau et le nucléole sont bien distincts : la petite qu
gment se colorent, au contraire, à peu près comme à l'état normal. Le noyau et le nucléole sont encore plus visibles et colo-
n'est plus représentée que par un petit amas de granules jaunes. Le noyau et le nucléole ont entièrement disparu en général
e l'altération. En pa-reil cas, on ne trouve plus la moindre trace du noyau ou du nucléole. L'altération des cellules gangl
re. — a) Coupe faite immédiatement au-dessous du bec du calamus. — Le noyau d'origine de l'hypoglosse, visible à ce niveau da
nt, sont-elles plus nombreuses qu'ailleurs, vers la limite externe du noyau . En arrière et en dehors du noyau de l'hypoglos
lleurs, vers la limite externe du noyau. En arrière et en dehors du noyau de l'hypoglosse, on peut étu-dier le groupe de ce
s l'altération pig-mentaire, principalement vers la région externe du noyau . On sait qu'à l'état normal il existe, en ce poin
e n'offrent pas d'altérations appréciables. Celles qui constituent le noyau de l'hypoglosse à ce niveau sont, au contraire, l
eumogastrique ne paraissent pas aussi profondément altérées. Entre le noyau de l'hypoglosse et celui du pneumogastrique se tr
ans cette région le petit groupe cellulaire que L. Clarke rattache au noyau du facial. Les cellules de ce groupe paraissent r
partie la plus supérieure des oli-ves. — Cette coupe qui contient les noyaux du facial et du moteur oculaire externe ainsi que
organites. Dans le bulbe, l'altération porte particulièrement sur les noyaux d'origine de l'hypoglosse et du spinal ; mais ell
nal ; mais elle s'observe aussi, bien qu'à un degré moin-dre, sur les noyaux du pneumogastrique et du facial. Dans la moelle é
t le fait initial. L'atrophie des prolongements cellulaires, celle du noyau , et enfin du nucléole sont des phénomènes consécu
sseuse, tantôt l'atrophie simple des faisceaux avec prolifération des noyaux du sarcolemme. Mais elles ne sont pour ainsi dire
ques musculaires qui trouvent leur raison d'être dans l'altération du noyau de l'hy-poglosse, mais bien l'existence d'une par
a proposé plusieurs fois déjà de rattacher à une lésion primitive des noyaux gris étages dans le bulbe l'ensemble symptomatiqu
ent que les cas dans lesquels l'altération porterait non plus sur les noyaux originels, mais bien sur les cordons nerveux aprè
re trace de la dégénération granulo-graisseuse. La multiplication des noyaux du sarcolemme et la réduction plus ou moins prono
a compres-sion exercée par une tumeur du médiastin ; l'altération des noyaux d'origine des nerfs pneumogastriques, que l'exame
ent au grand axe des faisceaux musculaires, sont entremêlées avec des noyaux embryoplastiques et des cellules fusiformes en as
ro-lombaires, où l'évolution de l'altération paraît plus avancée, les noyaux et les cellules ont diminué de nombre ou semblent
lion en travers la mieux accentuée. Ni la gaîne du sarcolemme, ni les noyaux qu'elle renferme ne présentent d'altération, et,
rvalle desquels se sont ac-cumulés des amas plus ou moins nombreux de noyaux qui distendent la gaîne du sarcolemme. Mais, en s
e, la segmentation de la substance musculaire avec multiplication des noyaux du sar-colemme, sont peut-être ici plus fréquents
de la moelle au niveau de la sixième vertèbre dorsale. a, a, Petits noyaux de sclérose situés dans les rubans externes des c
mort avec une paraplégie complète. — a, Trabécules de sclérose. — b, Noyaux disséminés dans le tissu scléreux. — e, Coupe d'u
— a, Portion interne saine. — a, Portion interne offrant des amas de noyaux dans l'intervalle des faisceaux de libres. — d, C
u. — e, Coupe du tissu végétant. — f, Eléments de nouvelle formation, noyaux , cellules et corps fusiformes. — g, Capillaires e
antérieure. —? a, Cellule tuméfiée. — b, Cellules contenant plusieurs noyaux . — c, Noyau d'une cellule endotbéliale. Fig. 7.
? a, Cellule tuméfiée. — b, Cellules contenant plusieurs noyaux. — c, Noyau d'une cellule endotbéliale. Fig. 7. — Vaisseau
. — Un tube du nerf phrénique malade {névriteparemhymaieuse). — a, a, Noyaux contenus dans l'intérieur de la gaine de Scawann.
: extrémité postérieure de la couche optique; —partie posté-rieure du noyau caudé : — partie postérieure de la couronne rayon
16 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
la couche, décrite tout d'abord, et la des-truction concomitante des noyaux cartilagineux qu'elle pos-sède, jouent, d'après l
reconnais-sable sur le fond des alvéoles et qui présente ça et là des noyaux ovalaires (Schultze), nullement entourés de granu
al. Poumon d'un homme adulte. — a, Orifice d'un infundibulum. — b, b, noyaux de fibres musculaires lisses. abondantes, surto
essinent sous l'aspect d'un réseau dont les mailles laissent voir les noyaux ovalaires du tissu conjonctif. Les altérations
asus).— a, capillaires.— b, contours des cellules épitliéliales. — c, noyaux des cellules épitholiales. — d, un noyau qui semb
ellules épitliéliales. — c, noyaux des cellules épitholiales. — d, un noyau qui semble appartenir à deux cellules. (D'après E
njection. Dans cha-cune de ces fossettes, on remarque un ou plusieurs noyaux arrondis : ce sont les noyaux des cellules épilhé
fossettes, on remarque un ou plusieurs noyaux arrondis : ce sont les noyaux des cellules épilhéliales pulmo-naires. Jamais il
es par un artifice de prépa-ration et on peut constater alors que les noyaux seuls font à la surface un certain relief qui s'a
méthodique faite per-pendiculairement au grand axe de l'alvéole, les noyaux sont logés dans la fossette intercapillaire, tand
e est faite dans la direction de la ligne ab. — aa, ca-pillaires.— c, noyaux . — dd, cellules epitheliales aplaties. Voilà un
le-ment la même. Il y a lieu de relever seulement que, chez elle, les noyaux ont une tendance à siéger sur les angles ou sur l
ètes, c'est-à-dire possédant un protoplasma plus ou moins grenu et un noyau ; mais, dans les intervalles des fossettes et sur
. — 6, membrane limitante.— c, tissu embryonnaire. n'offrent pas de noyau . Ces plaques résulteraient de la fusion d'un cert
e cellules qui, en même temps que leur individualité, perdraient leur noyau . En pareille circonstance, on dit que le revêteme
quent, d'une manière très nette, au type cylindrique et présentant un noyau sphéroïde bien accentué, recouvre la paroi de la
ales, on les voyait sous l'apect de cellules fusiformes, possédant un noyau très saillant, et, quand l'œil rencontrait de fro
omposé pour la plus grande par-tie des cellules polygonales, ayant un noyau central, sphéri-que et un protoplasma grenu. Quan
là par des plaques claires, plus ou moins larges, sur lesquelles les noyaux peuvent rester appa-rents ou être, au contraire,
ôt dans les mailles intercapillaires et, par contre, les plaques sans noyaux recouvrent les vaisseaux. Fig. 14. — Revêtement
rencontre de profil, l'appa-rence de cellules fusiformes, munies d'un noyau allongé ; Gharcot. Œuvres complètes, t. y, Poum
ires. Au niveau des légers renflements cellulaires, on dis-tingue les noyaux , sphériques ou légèrement ovalaires et en-tourés
e en distance, sur cette espèce de pellicule plissée, on aperçoit des noyaux ou des vestiges de noyaux, souvent semi-lunaires,
spèce de pellicule plissée, on aperçoit des noyaux ou des vestiges de noyaux , souvent semi-lunaires, réfractant assez fortem
cet épithélium est composé de cellules unifor-mes portant toutes des noyaux ou des vestiges de noyaux. Nous verrons bientôt q
é de cellules unifor-mes portant toutes des noyaux ou des vestiges de noyaux . Nous verrons bientôt que les faits du domaine pa
morphologiques, les cellules aplaties, soudées les unes aux autres, à noyaux rudimentaires, n'ont sans doute qu'une vitalité o
ivision par scission. Elle porte sur le nucléole d'abord, puis sur le noyau , puis sur le protoplasma de la cellule. Une varia
nte de ce processus est la formation de grandes cellules ou plaques à noyaux . Elle a lieu quand le protoplasma ne se divise pa
forme souvent, dans ces circonstances, de grandes plaques à plusieurs noyaux . — Chez l'homme, dans la péritonite rele-vant de
e : leur protoplasma est trouble, grenu (tuméfac-tion trouble). Leurs noyaux se colorent vivement par le car-min. Les cellul
ents cellulaires. Il n'est pas rare de rencontrer alors des plaques à noyaux , — une variété des cellules géantes. M. Friedland
e de l'épaississement des parois de l'alvéole, il se forme des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l'état frais, se di
paration, le cloisonnement de ce revê-tement endothélial; scission du noyau , scission de la cellule ; formation de plaques
scission du noyau, scission de la cellule ; formation de plaques a noyaux ou cellules géantes. Je répé-terai que, dans cett
es et desquamées, et telle est la raison de l'existence de ces petits noyaux d'induration dont il a été question tout à l'heur
uamées, der-niers vestiges de l'ancien revêtement1. Dans les petits noyaux de pneumonie lobulaire subaiguë ou chronique, qui
8)2, absolument la même disposi-tion. Fig. 19. — Coupe à travers un noyau d'hépatisation. — A, Tissu conjonctif du poumon e
es de Malpighi, il est difficile de décider s'ils sont plus riches en noyaux qu'à l'état normal. Seulement l'endothélium de la
ntiennent des cellules épithé-liales volumineuses à un ou à plusieurs noyaux , et des leuco-cytes. Si le cas est ancien, les ce
éliale, des globules sanguins et quel-ques rares leucocytes. Dans les noyaux gris, on trouve surtout des leucocytes et quelque
mme, l'état fœtal ne diffère de la splénisation que par l'absence des noyaux d'hépatisation disséminés, par l'absence de friab
rémités et prenant ainsi une disposition fasciculée très élégante. Le noyau n'est sou-vent visible que sur un petit nombre de
ou moins larges, dans lesquelles on voit des gra-nulations masquer le noyau de chaque cellule. Il y a des leu-cocytes, la plu
a pneumonie chronique; elle renferme soit des cyloblastions, soit des noyaux fibro-plastiques ovoïdes, plus ou moins nombreux,
813, p. 316. 2 Note communiquée par l'auteur. et renfermerait les noyaux particuliers dits corpuscules du tu-bercule. A
ments fibro-plastiques très allongés, présen-tant pour la plupart des noyaux distincts, ces éléments sont as-sez rares ; 5° on
it ulcéré ; ce qui établit alors autour de l'ulcé-ration une sorte de noyau dur, tandis que dans toutes les par-ties qui en s
Les deux poumons présentaient une coloration uniformément noire, sans noyaux d'induration. A la coupe, il s'en écoulait un liq
ze et en fonte. — État du poumon: 1° coloration noire généralisée; ï° noyaux d'induration ; 3° cavernes pulmonaires. Pneumon
ie des aiguiseurs (Holland, Hall, Desayrre). — Anatomie pathologique; noyaux d'induration, hypertrophie fibroïde delà gangue c
l'examen microscopique montrait : 1° des cellules épithéliales et des noyaux remplis de particules fines, noires par transpare
noire des ganglions bronchiques. 2° Présence au sein des organes de noyaux d'induration composés de deux éléments bien disti
tus char-bonneux ; — b) hyperplasie fibroïde du tissu conjonctif. Ces noyaux sont de volume variable; parfois très petits, ils
iples et disséminés irrégulièrement dans l'épaisseur des poumons; ces noyaux offrent une coupe lisse, sèche; le tissu pulmonai
stion un peu plus haut, l'apprend. Cette bande est constituée par des noyaux tassés les uns contre les autres et qui se colore
ont subi la dégénérescence granulo-graisseuse. À un moment donné, les noyaux eux-mêmes subissent la même dégénérescence, et le
, que l'état général est proportionné à l'étendue non pas de quelques noyaux broncho-pneumoniques dissémi-nés çà et là, mais d
rondies, appartenant au type embryonnaire, c'est-à-dire présentant un noyau volumineux, par rapport au protoplasma ; cellules
le bord de laquelle on peut compter régulièrement rangés 20, 30 ou 40 noyaux ; c'est la cellule géante, à laquelle on a, dans c
ent à l'appui de l'opinion de M. Brodowsky ; une cellule étoilée, à noyaux parié-taux, se voit appendue à un cordon angiopla
caverne qu'on peut appeler latérale. Les alvéoles qui confinent à ce noyau tuberculeux ainsi ramolli sur un point, dans le c
rtées à cette forme et où la lésion aurait abouti à la formation de noyaux caséeux ne présentent, en réalité, le caractère q
ri-tuberculeuse indiquées dans la figure 39. II, bronche. rences de noyaux de pneumonie vulgaire, représentent en réalité, l
remplies de leucocytes, de tractus fibrineux, d'exsudats gélalifmnes ( noyaux à7iépatisatio?i broncho-pneumonique). Il est asse
s des corps volumi-neux de 20 à 200 j- de diamètre, munis de nombreux noyaux périphériques, souvent de prolongements multiples
un certain nombre de corps cellulaires, pourvus d'un ou de plusieurs noyaux et entraînant avec elles un certain nombre de ces
lle. Leur protoplasma se renfle au moment où ils abordent la zone des noyaux ; à ce niveau, ils sont encore assez souvent disti
e, en un certain nombre de masses plus petites, pourvues de plusieurs noyaux , et dont la structure cellulaire ne saurait faire
ences suivantes: sur la première, on rencontre une véritable plaque à noyaux mul-tiples. Ces noyaux, serrés les uns contre les
première, on rencontre une véritable plaque à noyaux mul-tiples. Ces noyaux , serrés les uns contre les autres au centre delà
de prolongements qui, épais à leur base où souvent ils enveloppent un noyau , vont se perdre par une extré-mité plus mince dan
fixant forte-ment l'acide picrique ; en dehors, zone très épaisse de noyaux ; plus en dehors enfin, de nombreux prolongements
rayonnants dans toutes les directions. Sur un seul point, la zone de noyaux est interrompue dans une certaine étendue et, dan
ble indiquer, une fois déplus, que des relations intimes unissent les noyaux et les prolongements de la cellule. La troisièm
s. Les éléments cellulaires augmentent de volume, et tandis que leurs noyaux prolifèrent, leur protoplasma prend les caractère
demillim., ils sont très finement granuleux et toujours dépourvus de noyau . B. Globules blancs. — Nous en distinguerons de
qui distingue surtout l'état normal, c'est-à-dire qu'ils manquent de noyau . Leur diamètre varie entre 0,0003 et 0,0009 de mi
fférant de ceux que l'on rencontre à l'état normal par la présence du noyau . Les globules de cette catégo-rie diffèrent des p
dale ou polyé-drique. Ce qui les distingue particulièrement, c'est un noyau sphérique ou, plus rarement ovoïde, dont le diamè
t ovoïde, dont le diamètre varie entre 0,0004 et 0,0005 de millim. Ce noyau est pourvu de fines granulations, mais il n'a pas
es granulations, mais il n'a pas de nucléole proprement dit. Entre le noyau et le contour du globule se trouvent soit de fine
un peu plus foncées, à centre brillant. Les globules, porteurs d'un noyau , étaient bien plus abondants que les nodules sans
porteurs d'un noyau, étaient bien plus abondants que les nodules sans noyaux . L'acide acétique donnait aux noyaux une teinte r
s abondants que les nodules sans noyaux. L'acide acétique donnait aux noyaux une teinte rougeâtre; le même acide, mis en conta
ugeâtre; le même acide, mis en contact avec les glo-bules blancs sans noyaux , déterminait une coagulation de leur contenu, sou
rminait une coagulation de leur contenu, sous forme de deux ou quatre noyaux plus petits que ceux qui ont été décrits ci-dessu
plus petits que ceux qui ont été décrits ci-dessus (n°2), ces petits noyaux présen-taient, d'ailleurs, également la coloratio
sang à l'état normal, c'est l'existence, au centre des premiers, d'un noyau qui manque dans les globules normaux ou que l'on
aractère-de l'état morbide, le grand volume des globules blancs et du noyau qu'ils renferment. 4. V. Fuller. — The Lancet,
ésentant de 0,012 à 0,015 de millimètre de diamètre, et ayant tous un noyau sphérique, sans nucléole du volume de 0,005 à 0,0
tique qui les rendaitbienmoins transparentes et necommuniquait pas au noyau de coloration rougeâtre. Tableau des observatio
de l'irrégularité même de leur forme et de l'absence habituelle d'un noyau distinct, ces corpuscules ne paraissent avoir ave
ules pigmentaires qui présentaient tous les caractères des cellules à noyau . Le pigment se rencontre en- core sous iorme de
mpagnent quelquefois la fièvre intermit-tente ou lui succèdent. — Les noyaux inflammatoires qu'on rencontre parfois çà et là d
inférieure des cellules de la couche muqueuse. C'est au voisinage des noyaux que le dépôt légère, la coloration anormale est
— Ces éléments sont de deux sortes : les uns offrent immédiatement un noyau , les autres n'en présentent pas avant l'emploi de
sont beaucoup plus nom-breux que les seconds. a) Globules blancs à noyau . — Ces globules ont des dimensions peu variées et
un peu moins considérable; d'autres un diamètre un peu plus grand. Le noyau , qui est unique, a en moyenne un diamètre de 0mm,
cétique et l'acide lactique font pâlir les cellules, en rendant leurs noyaux encore plus apparents, et en les contractant un
plus apparents, et en les contractant un peu. Les granulations des noyaux paraissent devenir aussi plus accentuées. b) Gl
x paraissent devenir aussi plus accentuées. b) Globules blancs sans noyau immédiatement visible. — Les glo-bulins sont extr
e. — Les glo-bulins sont extrêmement rares ; les autres globules sans noyau ont des dimensions qui se rapprochent de celles d
que). Dans les uns apparaissent un, plus souvent deux ou trois petits noyaux généralement rassemblés en groupe, et offrant tou
à cette réaction. D'autres globules ne font que pâlir, sans qu'aucun noyau se montre. Il en est quelques-uns, rares, dans le
re. Il en est quelques-uns, rares, dans lesquels on aperçoit alors un noyau assez grand, mais presque aussi effacé que le glo
es qui sont libres dans le liquide ambiant; ils ne contiennent pas de noyau distinct. Quelques-uns de ces glo-bules sont parf
tion, la consistance et le volume de l'état normal. Il renferme trois noyaux blanchâtres, du volume d'une noisette, d'aspect s
on remarque que les parties cen-trales sont occupées par de nombreux noyaux d'apoplexie pulmo-naire granuleuse, arrondis, cir
ra-tions. Le foie assez volumineux et un peu bosselé, était semé de noyaux blanchâtres, diaphanes, de consistance gélatineus
lles contien-nent un dépôt fibrineux fibrillaire, avec quelques rares noyaux oblongs et des éléments fusiformes plus rares enc
ussi quelques rares corps granuleux. Il n'y a ni globules purulents à noyaux , ni glo-bules pyoïdes. On a examiné aussi le sang
rulents et pyoïdes, ainsi que d'assez nombreuses cellules à plusieurs noyaux . Il y a aussi quelques éléments fibro-plastiques
sions de bronchite, on rencontre un nombre considé- rable de petits noyaux pneumoniques, renfermant pour la plupart des abcè
des de la valvule tricuspide ne renfermaient ni globules purulents ou noyaux , ni globules pyoïdes, qu'enfin les symptômes géné
le dépend d'un rétrécissement du vaisseau que comprime une tumeur, un noyau d'induration pulmonaire, etc. D'autres fois, au c
parfaitement sains. On n'y rencontre en particulier ni tubercules, ni noyaux d'hépa-tisation. A lexamen microscopique, les c
décoloré, mais ferme. A la base du poumon gauche, on trouve plusieurs noyaux de pneumonie lobulaire à t. I, liv. u, pl. 2 et 3
résente habituelle-ment pas une texture homogène ; il se compose d'un noyau central et, à l'extérieur, de couches fibrineuses
tion très récente, tandis que les plus profondes sont, ainsi que le noyau lui-même, de date plus ou moins ancienne. Or, il
erment çà et là, sur-tout au voisinage de leurs bords antérieurs, des noyaux durs, du volume d'un œuf de pigeon, d'une colorat
e d'un brun noirâtre. Cet organe présente, vers son bord supérieur un noyau d'une coloration rou-geâtre, de 2 centimètres de
e violet-foncé du reste de l'organe. Reins. Un très grand nombre de noyaux analogues à celui qu'on a vu dans la rate, et de
e tissu propre du rein, infiltration surtout évidente au pourtour des noyaux fibrineux décolorés. Le foie est volumineux, d'
ang noir quand on l'incise. Il renferme çà et là un certain nombre de noyaux ou plaques fibrineuses analogues à celles qui ont
celles qui ont été signalées dans les reins et dans la rate. Mais ces noyaux sont ici moins bien déli-mités, et ils ne consist
oires de la Société de biologie, t. III, p. 89, 1851)l, de semblables noyaux fibreux disséminés dans divers viscères, coexiste
s-séreux, sous-muqueux, etc. Dans ce dernier cas, quelques-uns de ces noyaux s'étaient ramollis à leur centre, transformé dès
les ou alvéoles pulmonaires; c'est même à celte particularité que les noyaux indurés doivent l'aspect gra-nuleux qu'ils ont en
rouge. On sait aussi que les vaisseaux capillaires qui traversent ces noyaux , les veines qui en partent et les artères qui s'y
ans celles des ramifications de l'artère pulmonaire qui se rendent au noyau hémoptoïque, sont l'indice d'une inflammation de
ois à des degrés divers d'une même altéra-tion. Ce sont d'abord des noyaux dont le volume varie depuis celui d'un pois jusqu
s colorés (héma-toïdine). On observe des cellules épithéliales à deux noyaux , des globules de pus, mais en petite quantité. Qu
ne saurait méconnaître, suivant le docteur Heschl, qu'il s'agit là de noyaux pneumoniques. Ces noyaux siè-gent en général, sur
uivant le docteur Heschl, qu'il s'agit là de noyaux pneumoniques. Ces noyaux siè-gent en général, surtout au voisinage du hile
ans la cavité même de l'al-véole. Mais souvent aussi, au centre des noyaux qui ont passé par celte deuxième phase de l'altér
constituée. Elle peut envahir toute ou à peu près toute l'étendue du noyau pneumoni-que, qui présente ainsi les caractères d
iété particulière d'inflammation paren-chymateuse. Quelques-uns des noyaux pneumoniques, arrivés au deuxième degré de l'alté
doute sur son existence. La pneumonie qui prépare la formation des noyaux hémoptoï-ques est donc d'une nature spéciale. Ell
ques et dans les vésicules pulmonaires elles-mêmes. Il en résulte des noyaux indurés, de couleur noire, grenus, bien circonscr
ois plus grandes qu'à l'état normal et à surface bosselée. a, c, d, Noyaux de ces cellules entourés de fines granulations.
six fois plus larges qu'à l'état normal et renferment de deux à douze noyaux environ. Fig. 4. — Faisceaux de corps fusiforme
c des granula-tions jaunâtres en chapelets le long de fibrilles. e, Noyaux devenus irréguliers et granuleux, pris à la face
um. — 3, parois alvéolaires. Fig. 4. — 1, grande plaque à plusieurs noyaux . — 2, 21 tissu élastique de la paroi alvéolaire.
ze et en fonte. — État du poumon: Io coloration noire généralisée; 2° noyaux d'induration ; 3° cavernes pulmonaires. Pneumon
ie des aiguiseurs (Rolland, Hall, Desayrre). — Anatomie pathologique; noyaux d'induration, hypertrophie fibroïde de la gangue
ions, 289 ; — structure, 289; — prolongements, 291; — siège, 291; — noyaux , 292; — forme, 293; — accotement, 294. Cellule
— de la grenouille, 43; — imprégnation par le nitrate d'argent, 42; — noyaux , 4:1: — continuité et uniformité, 43, 51 ; — de
Gibbosité par compression d'un anévrisme, 489. Globules blancs, à noyaux dans 'la leucocylhémie, 351; — sans no-yau, 352.
a —, 322; — globulins, globules blancs, 323, 352; — globules blancs à noyau , 324, 351 ; — cris-taux du sang, 349. Lobules p
43; — aspect microscopique, 2P0; — secondaires, 260, 2/5, 284, 286. Noyaux pneumoniques, 628. O Oblitération artérielle ch
Pneumonies des apoplectiques, 111,' — des vieillards, 99, 631 ; — à noyaux hémoploïques, 629. Tneumonokoniose, 66; — expér
17 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
n 56 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE voit un volumineux noyau , de consistance ferme, de couleur blanc-jaunÙ-
es faites au- dessus et au-dessous de la précédente montrent que le noyau gommeux FIG. 14. Coupes en perspective de la mo
pe 16). - En résumé, les altérations macroscopiques consistent en 2 noyaux gom- meux, situés de part et d'autre du sillon
rée par une remarquable prolifération de petites cellules rondes, à noyaux arrondis ou elliptiques, fortement colorés. Cet
nfiltration embryonnaire de leur adventice; en certains points, les noyaux se grou- pent en amas qui flanquent un des bord
unique moyenne est envahie par les cellules embryonnaires, dont les noyaux arrondis se mêlent aux noyaux allongés des élémen
les cellules embryonnaires, dont les noyaux arrondis se mêlent aux noyaux allongés des éléments musculaires ; cette mésar
es que par leur confluence et leur dissémination désordonnée. Leurs noyaux sont généralement bien colorés : cependant il e
lieu de la végétation médullo-méningée, des zones plus pâles où les noyaux ont perdu l'affinité colorante et où les cellules
re, on observe de magnifiques cellules géantes, dans lesquelles les noyaux groupés en couronne et orientés suivant les rayon
e la cellule, sont au nombre de 20, 30, 50 et plus (Fig. 15, B). Le noyau gommeux est richement vascularisé ; dans toutes l
ble du reste, pour que, étant donnée l'épaisseur verticale des deux noyaux , il existe une région où la coupe les intéresse
iaires. A ce niveau, les cellules nerveuses paraissent saines, leur noyau est normalement coloré, leur protoplasma régulièr
dinal postérieur.fortes productions fibreuses, nombreuses cellules à noyau , multiplication des noyaux dans les cordons qui
ductions fibreuses, nombreuses cellules à noyau, multiplication des noyaux dans les cordons qui bordent des 2 côtés le sil-
nce grise, attaquant le canal central qui est entouré de cellules a" noyaux . Epaississement des tuniques de la basilaire et d
n'est plus représenté que par un faible résidu granuleux autour du noyau . Dans d'autres, on ne voit que le noyau au mili
ésidu granuleux autour du noyau. Dans d'autres, on ne voit que le noyau au milieu d'un protoplasma homogène peu différe
sont ratatinées et atrophiées, mais laissent encore apercevoir leur noyau et leur nucléole. Sur les coupes de la partie sup
période initiale. Rien d'impossible à ce qu'elles nous révèlent un noyau d'ostéo-sarcome dès son début, alors que l'interv
cent des parties malformées de la surface cérébrale, tandis que les noyaux centraux sont restés intacts. 4° Tous les ventr
t pas distincte. Il y en a qui laissent voir un corps atrophié sans noyau , tandis qu'en général les prolongement sont cou
) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE · térieurs du bulbe, les noyaux de ces derniers faisceaux n'offrent aucune anom
anomalie. lies ! , très difficile de se former une opinion sur les noyaux arciformes et les fibres qui en émergent, car c
on sur les noyaux arciformes et les fibres qui en émergent, car ces noyaux se trouvent en groupes de volume différent. Il
uadrijumeaux, ce qui est regrettable surtout en ce qui concerne les noyaux rouges de Slilliîèfl. L'atrophie du pédoncule c
faisceau médian entre en connexion avec le lobe frontal et avec le noyau strié de Flechsig (3). (1) Cfr. 01EIISTEINER, A
passent directement, sans interposition des cellules nerveuses des noyaux centraux, dans l'écorce cérébrale, ou du moins
s des noyaux centraux, dans l'écorce cérébrale, ou du moins que ces noyaux centraux ne font pas obstacle à la dégénération
ans la tuberculose, sonl constitués par de petites cellules dont le noyau semble occuper toute la massse, ce noyau est rond
e petites cellules dont le noyau semble occuper toute la massse, ce noyau est rond d'où le nom souvent employé de cellule
al postérieur, fortes productions fibreuses, nombreuses cellules il noyau , multiplication des noyaux dans les cordons qui
uctions fibreuses, nombreuses cellules il noyau, multiplication des noyaux dans les cordons qui bordent des deux côtés le si
nce grise, attaquant le canal central qui est entouré de cellules à noyaux . Epais- sissement des tuniques de la basilaire
mbaire. Les cellules ganglionnaires très peu pigmentées présentent un noyau très visible et des corpuscules nucléaires ains
n'est plus représenté que par un faible résidu granuleux autour du noyau . Dans d'autres, on ne voit que le noyau au milieu
résidu granuleux autour du noyau. Dans d'autres, on ne voit que le noyau au milieu d'un pro- toplasma homogène peu diffé
sont ratatinées et atrophiées, mais laissent encore apercevoir leur noyau et leur nucléole. Sur les coupes de la partie sup
les fissures ré- sultant de ce relâchement sont peu emplies par des noyaux . La pie-mère et l'arachnoïde font tout à fait c
scence fihrinoïde mais habituellement on y reconnaît facilement les noyaux conjonctifs fusiformes ca- ractéristiques. Ces
ices sont remplis par d'immenses masses de cellules rondes dont les noyaux sont très gros et placées si étroitement les un
colorent beaucoup mieux à l'hématoxyline d'alun que par exemple les noyaux de la névroglie qui se trouvent sur des coupes tr
ique adventice désorganisée est épaissie et infiltrée par des amas de noyaux . Moindres sont les lésions de la tunique intern
sque tou- jours intacte et ne présentait que très rarement quelques noyaux infiltrés çà et là. Les veines aussi sont d'a
ouve la tunique adventice désagrégée et fortement infiltrée par des noyaux , la tunique interne est habi- tuellement saine.
ints en ce que le périuèvre est élargi et plus ou moins infiltré de noyaux ; quand l'affection est plus avancée il y a d'a
dissociant ainsi les faisceaux qui forment la racine. En outre des noyaux isolés, en nombre assez considérable, ont pénétré
nt en' partie d'une teinte très pâle, elles étaient gonflées, leurs noyaux figés, défor- més ou totalement disparus. Moe
lle. Les septa conjonctifs partant de la pie-mère sont infiltrés de noyaux en quantité très abondante, et ces noyaux envah
ie-mère sont infiltrés de noyaux en quantité très abondante, et ces noyaux envahissent le tissu voisin de la né- vralgie.
aux, l'infiltration nucléaire devient si forte que de gros cônes de noyaux serrés, leur hase à la périphérie, leur sommet
que au milieu des amas nucléaires, on trouve de petites cellules à noyaux graisseux. Je crois qu'il ne s'agit pas la d'un
gaines vasculaires. et ces tuniques sont, elles aussi, bourrées de noyaux . Les tuniques de beaucoup de vaisseaux, surtout d
olées, dégénérescence granuleuse ou encore disparition complète des noyaux , de sorte qu'à la place de cellules on ne voit
'un amas de détritus ; d'autres cellules bien qu'ayant encore leurs noyaux manquent de prolongements, sont rabougries et f
i-cellulaires de nombreuses cellules ganglionnaires sont remplis de noyaux . Ce sont les colonnes de Clark qui ont payé le
conjonctives au milieu desquelles il y a peu de vaisseaux et pas de noyaux pour ainsi dire. Elle adhère de temps en temps
space clair autour d'eux, leurs parois très minces portent de rares noyaux allongés et espacés. Les racines, par le Pal, m
s qui séparent les fasci- cules entre eux ne montrent ni cellules à noyau , ni tissu conjonctif appré- ciable, ce n'est qu
ne la dépasse, son tissu conjonctif esfmince, délié, avec quelques noyaux mais peu abondants. ' L'arachnoïde est éloignée
du septum médian, mais le tissu conjonctif est mince, délicat, sans noyau et assez souple pour que les vaisseaux ne soien
e de re- connaître l'artère de la veine; complètement infiltrées de noyaux elles se confondent à la périphérie avec les li
a lame élastique, l'irrégularité des contours, la prolifération des noyaux empêchent toute distinction. Une fois, nous avo
ine, dans lequel l'hém : 1toxyliile colorait à peine quelques rares noyaux . Mais le plus souvent on peut étudier et reconnaî
ulaire de LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE " 299 noyaux allongés et parallèles, Tarière montre sa tunique
tre plus ou moins distendues, mais parfois le nombre des cellules à noyaux est très considérable et nous avons noté l'exis
ur nombre, leurs dimensions, quant aux différences de coloration du noyau ou du nucléole, quant il l'aspect plus ou moins g
alibre, la lumière vide de sang ne contient plus que des cellules à noyaux allongés, entassés en désordre. Autour des vais
à noyaux allongés, entassés en désordre. Autour des vaisseaux, les noyaux embryonnaires se multiplient. ' Cet as- pect se
c de ce côté on ne distingue plus de tubes nerveux, ni les nombreux noyaux névro- gliques qui parsèment le reste de la cou
une ligne mince légèrement sinueuse, contenant quelques cellules à noyau dans un stroma conjonctif léger. , Arachnoïde
elle est entièrement fibreuse et ne contient pour ainsi dire pas de noyaux . Au niveau de l'insertion du septum médian anté
mailles, formé d'un réseau très délié supportant un grand nombre de noyaux et surchargé de vais- seaux distendus par le sa
nt saines, mais l'adventice considérablement épaissie, infiltrée de noyaux et principale- ment de noyaux réunis en amas et
nsidérablement épaissie, infiltrée de noyaux et principale- ment de noyaux réunis en amas et non uniformément dispersés sur
au, mais 308 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE un véritable noyau formé par un amas d'éléments embryonnaires sembla
rs. La pie-mère et l'arachnoïde, comme plus haut, sont infiltrés de noyaux qui emplissant l'espace sous-arachnoïdien, form
s reconnaissable, est remplie par une masse grenue contenant peu de noyaux colorés par l'hématoxyline. Région dorsale. L
ci on trouve sur le fond général de couleur gris de lin de nombreux noyaux ^ peine colorés, de place en place ces cellules ne
structure apparente; en d'autres endroits au contraire, un amas de noyaux fortement colorés en violet tranche sur la tein
eaux englobés par le néoplasme et reconnaissables à la longueur des noyaux de leurs tuni- ques. Quelques globules rouges p
x sont peu malades, leurs parois sont bien infiltrées de cellules à noyaux mais peu- épaissies. Les vaisseaux de plus petit
lules rondes qui emplissent-lès travées des cellules nerveuses, ces noyaux se réunissent parfois en véritables gommes mili
-mère est extrêmement épaissie, elle est fibreuse, contenant peu de noyaux ; le septum médian antérieur est très large, fibre
transversale, il contient un exsudat grenu et beaucoup de globules à noyaux . Les cellules des cornes grises sont encore dis
La pie-nière est moyennement épaissie, elle est parseméedenombreux noyaux , elle n'adhère pas à la moelle mais en est sépa
g et ses parois sont très épaisses, l'hématoxyline ne colore pas de noyaux dans les parties périphériques de son contour, ma
que tout le cerveau gauche est détruit, réduit en pulpe, seuls les noyaux centraux persistent,reconnaissables. Le cerveau
inte uniforme gris bleutée où l'hématoxyline ne colore plus un seul noyau ; et dans la corne grise les cellu- les ont les
cellu- les ont les unes conservé leur protoplasma granuleux et leur noyau clair, les autres sont plus foncées, brillantes
oyau clair, les autres sont plus foncées, brillantes, uniformes, le noyau impossible à voir, ou bien au contraire pâles,
voir, ou bien au contraire pâles, à contours vagues et arrondis, à noyau violacé sans nucléole. Le sillon médian antér
e antérieure et quelques parcelles de la corne postérieure. r Des noyaux très abondants réunis en lignes serrées le long d
les cellules nerveuses. La pie-mère est très épaisse, infiltrée de noyaux en grande abondance. Elle adhère intimement à l
noïde n'est visible qu'en de rares endroits, épaissie, infiltrée de noyaux . f La dure-mère épaisse surtout en avant, est d
ette, qui détruit les assises musculaires reconnais- sables à leurs noyaux allongés et pénètre jusque dans la cavité du vais
ié la lumière des vais- seaux, est colorée en rose clair sans aucun noyau violet. Un peu plus bas dans cette même région
nt un magma grenu coloré en gris bleuâtre dans lequel sont quelques noyaux colo- rés en violet intense. L'épendyme est n
entre la pie-mère et l'arachnoïde. La pie-mère épaissie bourrée de noyaux adhère comme nous l'avons vu à la moelle et for
x, creusé de vastes lacunes il parois épaissies, par places amas de noyaux en foyers. Vaisseaux. Dans la moelle, manchons
de leur endothélium, leur lumière est complètement obstruée par les noyaux al- longés caractéristiques, il n'y a plus de g
a moelle par un exsudat grenu assez épais, contenant quelques rares noyaux . Espace extradural comblé par un tissu fibreux,
naît seulement la pie-mère qui est mince, mais contient beaucoup de noyaux . , L'artère spinale antérieure est absolument a
re est absolument aplatie, la lumière est seulement marquée par les noyaux de l'endothélium facilement reconnaissables, les
visibles mais le protoplasma est d'une teinte trouble uniforme, le noyau indistinct au lieu d'être clair est coloré en v
ent des éléments variés : cellules embryon- naires en grand nombre, noyaux allongés de capillaires très fins parcourant la
fins parcourant la masse en tout sens, mais semblant vides de sang, noyaux plus volumineux, plus clairs, rappelant les noy
t vides de sang, noyaux plus volumineux, plus clairs, rappelant les noyaux des grands leucocytes connus en anatomie pa- th
rps granuleux. Sur certains espaces mal limités les cellules et les noyaux ont perdu leur affinité pour la matière coloran
distingue mal dans leurs contours et dans leur structure infime, le noyau en particulier est souvent invisible. Ici il n'
t teinté en rose par l'éosine et contenant de très rares cellules à noyau . Les vaisseaux spinaux antérieurs sont manifest
mince de tissu conjonctif très serré et très infiltré de cellules à noyau l'en sépare. La tumeur est, nous-l'avons vu, co
substance grise. Queue de cheval. Le microscope montre au centre un noyau granuleux qui représente sans doute la filum te
elle, du reste, elle est surtout fibreuse, avec relativement peu de noyaux . L'arachnoïde est également extrêmement épaissi
également extrêmement épaissie, mais surtout par l'abon- dance des noyaux embryonnaires qui l'infiltrent et la débordent no
distinctement l'artère spinale antérieure et la veine, de nombreux noyaux parsèment leurs tuniques et rendent très diffu-
res. Dure-mère épaisse, fibreuse. Es- pace extradural : beaucoup de noyaux , peu de tissu fibreux. Observation XXII, juin 1
e libre, lisse, face externe de même, non épaisse, non infiltrée de noyaux . Arachnoïde mince, sineuse, assez nombreux glob
obules rouges entre elle et la dure-mère. Dure-mère épaisse, sans noyaux . Espace extradural contenant un réseau très dél
térieur un septum volumineux, entièrement fibreux, contenant peu de noyaux . ' Les vaisseaux spinaux antérieurs sont sains,
sont absolument englobées, sans paraître pénétrées du reste par les noyaux . La pie-mère reste bien distincte de la moelle.
e de la moelle est très épaisse, elle est fibreuse, contient peu de noyaux colorés, le septum médian antérieur est très la
tères dont les tuniques adventices surtout sont très infiltrées des noyaux et très épaissies. Enfin l'espace sous-arachnoï
aissies, mais dans lesquelles l'héll7a- toxyline ne colore plus les noyaux d'infiltration. La moelle lorsqu'on l'enlève du
18 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
le problème de la constitution de la moelle épinière, du bulbe et du noyau cérébral, un nouveau mode de description de ces p
x céphalo-rachidien forme une longue tige renflée dans le crâne en un noyau terminal. Cette tige est faite de deux moitiés sy
cervical : l8 Cochon d'Inde. . 2* Chat domestique, 38 Vache...... Noyau . 0m01.. 0m02. , 0m025. Nucléole. 0m0025. O^OOôO
andeur sont sensibles, et s'expriment dans le même sens que celles du noyau . Les cellules rayonnées ne sont point uniformém
ls il est à tous moments employé. CHAPITRE II. i ± du bulbe et du noyau de l'encéphale. § 1. Prolégomènes et esquisse p
pédoncules du cerveau. Chaque pédoncule traverse d'abord un premier noyau de substance grise appelé couche optique ; puis u
emier noyau de substance grise appelé couche optique ; puis un second noyau qui est le corps strié. Ces deux corps sont les d
du ventricule intermédiaire est le fait fondamental de l'anatomie du noyau nerveux encéphalique. Nous verrons plus loin qu'u
ommissure molle qui unit le centre de ces couches est le centre ou le noyau de cet enroulement. Nous donnons le nom d'étage
nt logés deux cordons terminés en deux bandelettes qui, de la base du noyau cérébral, se portent à sa face supérieure, en s'e
leux. Quatre formations accessoires sont annexées au côté dorsal du noyau encéphalique. La première est le cervelet qui r
loppe de deux coiffes plus ou moins plissées, ces deux renflements du noyau qui répondent aux deux ventricules latéraux. On d
étudiant en particulier chacune de ses régions. § S. Description du noyau cérébral. Ce noyau est dès à présent divisé pou
er chacune de ses régions. § S. Description du noyau cérébral. Ce noyau est dès à présent divisé pour nous en plusieurs r
s différentes régions sont surtout distinctes à la face inférieure du noyau cérébral, nous décrirons en premier lieu cette fa
escription une préparation dans laquelle les terminaisons des axes du noyau ont été soigneusement énu-cléées (1). A. Face i
u noyau ont été soigneusement énu-cléées (1). A. Face inférieure du noyau . 1° Région du bulbe. Le bulbe semble, au premie
illeurs purement idéale, le bulbe formant, avec les autres parties du noyau encéphalique, un tout continu. Elle est déterminé
qui apparaît immédiatement au-devant du bulbe à la face inférieure du noyau cérébral. 2a Deuxième région, ou région de la p
ire contient une grosse masse convexe ellipsoïde, qui en est comme le noyau . La limite postérieure de ce noyau répond au bord
xe ellipsoïde, qui en est comme le noyau. La limite postérieure de ce noyau répond au bord antérieur de Yanse pédonculaire, à
diaire. Cette masse est le tubercule cendré, tuber cinereum. Quant au noyau gris ellipsoïde, il a reçu des auteurs le nom d
e corps strié extraventriculaire. Nous lui donnerons encore le nom de noyau gris d'enroulement du cornet pédonculaire. Ce noy
encore le nom de noyau gris d'enroulement du cornet pédonculaire. Ce noyau forme le bouton terminal de chacune des moitiés d
ne des moitiés de l'axe nerveux. 4° Région du bouton terminal. Le noyau gris d'enroulement présente des particularités in
plus épais, se mêle au plan de ces fibres et se porte à la surface du noyau dans la paroi postérieure du cornet 5 ce faisceau
'un blanc nacré, émane d'un cordon fibreux logé dans la profondeur du noyau , et que nous décrirons plus tard, sous le nom de
ches, nées surtout de l'anse pédonculaire, traversent en rayonnant le noyau gris. Il y a une telle relation entre toutes ces
e toutes ces fibres, qu'en essayant de les dissocier, on décompose ce noyau en une multitude de disques juxtaposés. Ce résult
el. C'est là un problème curieux de structure. La majeure partie du noyau d'enroulement est recouverte et comme enveloppée
du nerf olfactif. Nous donnerons à cette colline le nom de couche du noyau d'enroulement. Ceci posé, nous pouvons nous fai
s pouvons nous faire une idée assez complète de la face inférieure du noyau cérébral considéré dans son ensemble. Sur les c
ce, les deux pédoncules avec leurs pyramides, l'anse pédonculaire, le noyau gris d'enroulement et le cornet fibreux de l'éven
m. Ce dernier corps, dont nous avons indiqué les relations avec les noyaux gris d'enroulement, peut être comparé au pavillon
obe antérieur et un petit une lame grise est étendue entre les deux noyaux qui terminent l'axe. Cette lame, qui appartient à
asculaires sanguines. Quant au lobe postérieur il contient, outre des noyaux et des vaisseaux sanguins, des tubes variqueux Ir
ères Wenzel a aujourd'hui peu de partisans. § 3. Face supérieure du noyau . Les parties supérieures du noyau cérébral, la
tisans. § 3. Face supérieure du noyau. Les parties supérieures du noyau cérébral, la plupart enveloppées par des parties
e. Ces deux amas, que nous désignerons l'un et l'autre sous le nom de noyau central des couches optiques, communiquent entre
édonculaire. — Au-dessous de cette écorce blanche, entre elle et le noyau , une bande épaisse, formée de fibres blanches ent
re, entoure le centre de la couche optique; d'abord très-adhérente au noyau , elle s'en distingue bientôt sous forme d'un cord
sorte par la gouttière de l'anse pédonculaire, s'avance à la base du noyau encéphalique sur les côtés du tuber cinereum au-d
uteurs désignent sous le nom de corps strié intra-ventriculaire ou de noyau crochu. Ce nouveau corps strié répond assez exact
désignaient sous le nom d'anus. (2) Cf. Note sur la comparaison du noyau de l'encéphale et de la moelle épinière (l'Instit
dans le sens du plan médian de l'encéphale, entre les deux moitiés du noyau cérébral, les autres se développent latéralement,
ricule (membrane de Vépendijme des auteurs modernes), qui touchent au noyau (1) Ce prolongement occipital du ventricule est
sous le nom de bandelette cornée, tœnia cornea. Cette adhérence aux noyaux d'enroulement rend la description' de la paroi in
pe de bas en haut, puis d'avant en arrière. Une coupe transversale du noyau cérébral fait bien voir la première courbure. Une
cérébral fait bien voir la première courbure. Une coupe médiane de ce noyau fait apprécier la seconde. Elle permet de constat
ibres ces filaments se rattachent. Pour compléter cette histoire du noyau cérébral, nous devons indiquer maintenant les rap
d'une manière générale les parties qui entrent dans la composition du noyau de l'encéphale. M. Foville en a donné une prépara
e Willis, la plus belle qui ait jamais été faite sur le cerveau. Le noyau de l'encéphale est au crâne ce que la moelle épin
t de toutes les parties de l'axe dans le crâne. § 5. Comparaison du noyau de l'encéphale et de la moelle épinière. On a l
d, à l'aide de la magnifique préparation de M. Foville, on a isolé le noyau de l'encéphale, il est impossible de n'être pas f
céphale, il est impossible de n'être pas frappé de cette idée, que le noyau est dans le crâne ce que la moelle est dans le ra
ns des parties fondamentales qui composent la région intermédiaire du noyau encéphalique. Ce ventricule enroulé est le troisi
ue, n'établit point une différence fondamentale entre la moelle et le noyau de l'encéphale. C'est là un fait accessoire qui r
d'une façon vraiment merveilleuse l'aspect d'une coupe transverse du noyau encéphalique. Fig. 6. Imaginons, en effet, un
vement d'enroulement ne modifie pas seulement les parties médianes du noyau , il se retrouve encore dans les parties qui repré
les différences de détail, nous pouvons affirmer avec certitude qm h noyau »lo 1'ençéphaje est une moelle dilatée et enroulé
aje est une moelle dilatée et enroulée sur elle-même, en un mot, ce noyau est la moelle du crâne. C'est autour de cette moe
que les courbes du crâne se développent. Aux saillies antérieures du noyau répondent les bosses frontales, à ses cornes infé
ncéphale. Ces bourses coiffent, en quelque sorte, les deux moitiés du noyau cérébral, auquel elles sont attachées par une mas
rs rapports véritables. Chaque hémisphère coiffe une des moitiés du noyau cérébral en se moulant, pour ainsi dire, autour d
il recouvre très-exactement. Puis elle recouvre toute cette partie du noyau cérébral qui enferme le ventricule latéral et s'a
libre de la grande ouverture en fer à cheval, contourne la couche du noyau d'enroulement (voir p. 57), et se porte obliqueme
e du ventricule latéral entourent une région centrale qui recouvre le noyau d'enroulement. Cette région porte le nom de lobe
enoidal. Ainsi le fond de la vallée répond aux parties inférieures du noyau cérébral et touche au champ olfactif. La face i
obes sphénoïdaux. Entre ces deux saillies, on aperçoit les parties du noyau cérébral que ne recouvrent point les poches des h
nt dans cette somme. Il faudrait s'enquérir aussi de la proportion du noyau encéphalique. Mais quoi! tous les cervelets, tous
hale tout entier. Il faudrait donc déduire de cette somme le poids du noyau de l'encéphale et celui du cervelet ; or je ne co
e partie du bord de la grande ouverture de l'hémisphère qui adhère au noyau cérébral au devant des couches du corps strié ext
us la discuterons ailleurs. CHAPITRE IV. structure du bulbe et du noyau de l'encéphale. § *. Structure du bulbe. J'ai
Structure du bulbe. J'ai déjà dit quelques mots de la structure du noyau de l'encéphale. Ces données générales étaient néc
e et chiffonnée. Leur substance a pour éléments de petites cellules à noyaux , très-rapprochées les unes des autres. Les unes s
es du bulbe peuvent donner une idée exacte. Elle est flanquée de deux noyaux accessoires, l'un interne, l'autre externe. Celui
toutefois de celle de l'homme et des singes, par la prédominance des noyaux accessoires sur la bourse elle-même qui n'est plu
live donne la figure d'un S très-irrégulier et flanqué de deux petits noyaux accessoires. Cet organe n'est donc pas particulie
, que, vue à de forts grossissements, la paroi de la bourse et de ses noyaux accessoires paraît formée de petits ganglions gri
autour de ces petits fascicules. Cela est surtout manifeste pour les noyaux accessoires, au travers desquels les fibres nerve
Ces fibres traversent toute l'épaisseur de la commissure, et vont des noyaux gris qui touchent au ventricule à la face inférie
scope démontre la justesse de leurs observations. § «. Structure du noyau de l'encéphale dans la région de la protubérance
iformes enveloppant le pédoncule, se prolongent dans la profondeur du noyau des couches optiques. Leurs interstices donnent p
igine de gros faisceaux gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noyau gris de la couche optique. 11 est si marqué qu'il
n une cupule dont la concavité regarde le plan médian et embrasse les noyaux gris des couches. Ces noyaux gris sont en communi
é regarde le plan médian et embrasse les noyaux gris des couches. Ces noyaux gris sont en communication d'un côté à l'autre pa
onge de chaque côté dans les interstices des fibres de la cupule. Les noyaux gris peuvent être considérés comme le centre de l
rties externes. 11 y a donc une sorte de correspondance au travers du noyau cérébral tout entier, entre les deux corps striés
entier, entre les deux corps striés externes, par l'intermédiaire des noyaux gris, des couches optiques et de la commissure mo
rsales de cette commissure, qui se prolongent de chaque côté dans les noyaux gris, se terminent-elles, en effet, dans les corp
tés. Quand on a séparé par un écartement mesuré les deux moitiés du noyau cérébral, le noyau gris de la couche optique étan
éparé par un écartement mesuré les deux moitiés du noyau cérébral, le noyau gris de la couche optique étant pris comme centre
parties, les unes font partie intrinsèque des deux axes rayonnants du noyau de l'encéphale, les autres s'enroulent autour d'e
llaire, dont les fibres se portent en traversant toute l'épaisseur du noyau gris compris dans l'intérieur de la cupule, à l
s, proprement dites, sont intermédiaires à cette écorce blanche et au noyau . Elles s'enroulent autour de lui d'avant en arriè
eur qui se dirige vers les champs olfactifs, il chemine au-dessous du noyau de la couche optique, et après avoir passé sous l
et latéral, sont beaucoup moins élégantes et donnent l'idée d'un gros noyau blanc à la périphérie duquel sont implantés une m
lobe. Ainsi, d'une manière générale, le cervelet comprend un grand noyau blanc tout couvert de feuillets, et une écorce
. La couche la plus profonde est formée de petites cellules dont le noyau est bien distinct. Ces cellules sont nombreuses e
elle comprend de grandes cellules multipolaires très-claires avec un noyau bien distinct. De ces cellules sortent des prolon
velours, ou mieux encore comme les fibres de l'émail à la surface du noyau de la dent. Ces éléments se continuent-ils avec
mais pour le plus petit nombre des prismes. Peut-être les fibres des noyaux blancs du cervelet se continuent-elles dans le ce
natomiques, presque impossible à résoudre. B. Noyau du cervelet. Ce noyau est formé de deux parties, savoir : 1° l'olive du
anatomistes lui ont donné le nom de corps rhomboïdal (1). C'est un noyau oblong compris dans une enveloppe jaunâtre, et lo
courbe en haut et en dehors, se rétrécit un peu, puis se renfle en un noyau qu'on peut aisément énucléer. Ce noyau contient d
t un peu, puis se renfle en un noyau qu'on peut aisément énucléer. Ce noyau contient dans son intérieur l'olive du cervelet,
Arnold. Tab. analom., fasc. 1, Tab. VIII, fig. 4.» 2° Structure du noyau blanc. Les fibres du pédoncule cérébelleux supé
recte du développement de ces régions. Ceci posé, la description du noyau blanc sera facile. Nous remarquerons, en premier
que ce nom de centre ovale conviendrait mieux à la masse entière des noyaux blancs des hémisphères. Quoi qu'il en soit, il
hémisphères. Quoi qu'il en soit, il y a, dans chaque hémisphère, un noyau blanc et une écorce. Nous traiterons successiveme
iterons successivement de la structure de cette écorce et de celle du noyau qu'elle enveloppe. A. Structure de l'écorce des
rondie fort petite qui ne m'a point paru émettre de prolongements. Le noyau et le nucléole de cette cellule sont bien distinc
expérience pourront nous conduire un peu plus loin. B. Structure du noyau blanc des hémisphères, ou du centre ovale de Vieu
nts ordres de fibres qui composent ces amas blancs intermédiaires aux noyaux terminaux de l'axe et aux couches corticales, qu'
santes sur lesquelles il est important d'appuyer ici. La portion du noyau terminal qui tient encore à l'hémisphère en occup
de l'hémisphère embrassant et ceignant exactement une des moitiés du noyau cérébral. 11 serait superflu de revenir sur ce
Willis, dans une préparation hardie, ou, énucléant d'un seul coup le noyau cérébral tout entier à l'aide du doigt rapidement
préparation fait voir, d'une manière admirable, la forme générale du noyau cérébral, et serait parfaite, à coup sûr, si malh
he de la couche optique et s'enroule d'arrière en avant autour de son noyau gris. Cette branche contient une assez grande pro
aux antérieurs, de celle des faisceaux moyens, et se termine dans les noyaux gris à cel- (1) Encyclopédie analomique. Paris,
les voir se prolonger à travers la masse du faisceau moyen, jusqu'aux noyaux à cellules multipolaires qui représentent l'axe g
paroi grise du quatrième ventricule, où ils se terminent en dehors du noyau gris des racines de l'hypoglosse. Ces habiles ana
distinctes. 1° La première remonte avec le corps restiforme dans le noyau cérébelleux ; 2° La seconde rayonne en un évent
s deux premières catégories appartiennent à la moelle, au bulbe et au noyau encéphalique. Mais ceux de la dernière catégorie
au, et quelle qu'ait été ma persévérance, je n'ai pu aller au delà du noyau gris des couches optiques. C'en est assez sans do
issée à l'intérieur par un epithelium formé de cellules polygonales à noyau plat. Le ligament dentelé n'a point d'épithélium.
tes celles qui pénètrent dans des parties blanches qui recouvrent des noyaux de substance grise, sont dans le même cas. Nous s
développement poussé aussi loin que possible, eu égard à la masse du noyau cérébral et des centres blancs des hémisphères. L
er. CHAPITRE III. DE L'ENCÉPHALE. § 1. Fonctions du nulhe et du noyau de l'encéphale. Le bulbe participe à coup sûr a
eaux postérieurs de la moelle. Ce physiologiste admet en outre que le noyau gris qui occupe le centre de cet organe est un ce
corps genouillés externes sont une dépendance ; 3° enfin son centre, noyau de substance grise que traversent en sens divers
blanche ; car, nous ne pensons pas qu'en elle-même la destruction du noyau gris qui en constitue le centre, ait sur la visio
le du corps pituitaire, et de la plupart des parties constituantes du noyau cérébral. Depuis que l'hypothèse cartésienne sur
pinière, les autres dans la moelle allongée, d'autres, enfin, dans le noyau de l'encéphale par le corps calleux. Mais dans ce
dans cette inextricable complication de fibres et de cellules dont le noyau de l'encéphale se compose, qui pourra dire hoc se
e développent en l'absence de toute cause actuelle et adéquate. Qu'un noyau dentaire libre dans la cavité d'une dent détermin
éial, relativement au volume du corps, mais relativement au volume du noyau de l'encéphale, du bulbe, de la moelle et du syst
ndit, et plus les plis se multiplient. Mais il ne s'ensuit pas que le noyau encéphalique grandisse en proportion ; ainsi, de
, de deux cerveaux également développés, l'un peut être grand par son noyau , l'autre par le développement de ses couches cort
le développement de ses couches corticales. Or, plus la moelle et le noyau sont grands eu égard au cerveau proprement dit, e
e dans ses différentes régions...... 36 CHAPITRE II.—»u bulbe et du noyau de l'encéphale. ... 41 § 1. Prolégomènes et esq
légomènes et esquisse première............. ib. § 2. Description du noyau cérébral............... 44 § 3. Face supérieure
ription du noyau cérébral............... 44 § 3. Face supérieure du noyau ................. 60 § 4. Des ventricules du cer
antérieure et du corps calleux............. 72 § 5. Comparaison du noyau de l'encéphale et de la moelle épinière..........
..... ÏSS II 44 Pages CHAPITRE IV. — Structure du bulbe et du noyau de l'encéphale................................. 1
§ 1. Structure du bulbe..................... ib. g 2. Structure du noyau de l'encéphale dans la région de la protubéranc
De l'encéphale.................. 353 § 1. Fonctions du bulbe et du noyau de l'encéphale....... ib. § 2. Fonctions des ga
19 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
l'olive et la pyramide antérieure. Envisagés dans leur ensemble les noyaux d'origine des filets moteurs des nerfs crâniens
l'aqueduc de Sylvius, dans la protubérance et dans le bulbe, et ces noyaux qui sont en rapport avec des centres supérieurs c
côté qu'eux (exception faite pour le pathétique). Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur cérébra
sser et le faisceau pyramidal non encore en- trecroisé, et l'un des noyaux d'origine des nerfs crâniens situés à son voi-
s situés à son voi- sinage, ou même le tronc nerveux qui part de ce noyau d'origine. C'est ainsi qu'en allant de bas en h
protubérance, une lésion intéres- sant le faisceau pyramidal et le noyau ou le nerf du facial, ou encore le nerf moteur
u pyramidal (le pied) et le nerf moteur oculaire commun ou même son noyau d'origine. Examinons successivement ces trois c
on du nerf hypoglosse lui-même il se fut produit une destruction du noyau bulbaire de l'hypoglosse; tandis qu'au . contra
ts ner- veux intra-protubérantiels du nerf facial, parfois môme son noyau d'ori- gine. Très souvent, la lésion protubér
filets du nerf facial et ceux du moteur oculaire externe, ou bien le noyau du facial et celui du moteur oculaire externe,
e rappelant les rapports anatomiques de ces deux nerfs, ou de leurs noyaux . (Fig. 5.) Dans cette variété d hémiplégie alte
du côté même de la lé- sion, puisque c'est le nerf lui-même ou son noyau qui sont atteints. Et comme la lésion du nerf
ou son noyau qui sont atteints. Et comme la lésion du nerf ou du noyau en- traîne fatalement à sa suite une dégénéra l
La lésion concomitante du nerf moteur ocu- laire externe ou de son noyau , amènera égale- ment une paralysie avec atropin
Fig. 5. P, protubérance ; B, bulbe ; G, genou du nerf facial; F, noyau du nerf facial; f, nerf facial ; E, noyau du
ou du nerf facial; F, noyau du nerf facial; f, nerf facial ; E, noyau du moteur oculaire externe ; e, nerf moteur o
Weber. De là, on peut con- clure qu'il n'y a pas eu destruction des noyaux du moteur oculaire com- mun ou des fibres nerve
convient de mentionner spécialement les artères des racines et des noyaux d'origine des fibres du moteur oculaire commun de
rieur du pédoncule céré- bral (1). Les artères qui se rendent aux noyaux d'origine des muscles accommo- dateurs et irien
collatérales de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun. La circulation ralenti
noyaux du moteur oculaire commun. La circulation ralentie dans ces noyaux ne permettra plus leur fonctionnement, mais perme
ales qui en partent et qui en particulier assurent la nutrition des noyaux du moteur oculaire commun, ainsi que de la partie
conjonctives anastomosées, dans l'intervalle desquelles on voit des noyaux et un petit lacis capillaire. Tout le pourtour de
tte sorte de coque fibreuse est représenté par une nouvelle zone de noyaux accumulés en nodules circulaires fusiformes. Ce
accumulés en nodules circulaires fusiformes. Ces agglomérations de noyaux franchement inflammatoires, et dépourvus manifest
flammatoires, et dépourvus manifestement de tous les caractères des noyaux névrogliques, sont groupés autour des vaisseaux
e profonde attenante à la substance blanche, une pullu- latitin des noyaux de la névroglie. Pour conclure, la lésion kysti
aux masses grises du pont et au delà à l'écorce cérébelleuse et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs périphériques. La
'aucune lésion en foyer, ni au niveau de l'écorce, ni au niveau des noyaux gris centraux. On' note en l'enlevant un oedème s
ues transversaux. Mays a trouvé une prolifé- ration remarquable des noyaux ; ils étaient rangés par séries jusqu'au nombre
ont souvent entourées d'amas leucocytiques, et la prolifération des noyaux musculaires forment, çà et là, de pareils amas de
le périmysium interne, tout autour des fibres atrophiées, dont les noyaux et le sarcolemme se serrent contre la substance
s, il se forme de petites brèches ou des fentes, alors même que les noyaux musculaires, encore visibles par place, s'atrop
rte que si l'on y fait alors une coupe, on trouve : 1° Au centre un noyau osseux ; 2° Plus en dehors se voit une couche plu
uts. Pour Munchmeyer, la couche de tissu conjonctif qui avoisine ce noyau se transforme en périoste normal ; l'ossificati
cas). Plusieurs observateurs ont constaté au début la formation de noyaux indurés à la tête qui ont disparu sans laisser
de multiples céphalhoematomes ; le malade de Rabek a présenté trois noyaux de ce genre : à la partie supérieure de la tête
a suppuré ; tous les trois ont disparu sans laisser de trace. Ces noyaux primitifs peuvent se montrer dans l'enfance,. bie
ue ce muscle offre des ossifications, celles-ci forment souvent des noyaux séparés donnant au muscle un aspect moniliforme.
pour cela. C'est surtout pendant les temps d'accalmie que plusieurs noyaux s'unissent les uns aux autres, que se développe
e processus; dans notre cas et dans celui de Pinter, il y avait des noyaux cartilagineux sur le tendon du long extenseur pro
ain droite était dans l'extension forcée. Munchmeyer a constaté des noyaux indurés dans les espaces inter-osseux, inter-mé
rès la naissance, une série de phénomènes analogues : apparition de noyaux , tumeurs à la tète, qui disparurent sans laisse
rale ou médullaire, peut être d'un simple trou- ble fonctionnel des noyaux trophiques centraux. De plus on ne conçoit pas
ur un os, sur le pariétal, le frontal ou l'occipital, tandis que le noyau primitif de myosite ossifiante progressive peut
DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 169 nettement fluctuant, le noyau de myosite est pâteux, pseudo-fluctuant; enfin
lement avoir obtenu quelques bons effets du traitement ioduré ; les noyaux , dit-il, disparaissaient en quelques mois, et la
moins pendant très longtemps : Gybney, ayant en effet opéré un petit noyau osseux du tendon d'Achille, ne le vit plus se r
territoire du faisceau de Gowers. (PI. XXI, B.) Bulbe. Sclérose des noyaux de Goll et de Burdach, au niveau du collet du b
ble commencer au niveau de la troisième sacrée et se ter- miner aux noyaux bulbaires des cordons. On peut dire que, d'une ma
noire et Fie. 3 et 4. Cellules de la corne antérieure (cas 111). Le noyau est entouré d'un réticulum protoplasmique très
nous observons ce qui suit : la plu- part des cellules n'ont qu'un noyau avec une quantité insignifiante de protoplasma
plasma d'un aspect réticulaire très net ; le protoplasma entoure le noyau sur un espace très petit, ou bien présente l'aspe
ons de 2 à 3 mois la plupart des cellules consistaient seulement en noyaux (Fig. 6). Le grand noyau avait une forme ronde.
rt des cellules consistaient seulement en noyaux (Fig. 6). Le grand noyau avait une forme ronde. Il n'y avait pas depro-
peu ; plus tard nous voyons apparaître le protoplasme d'un côté du noyau (Fig. 7), puis SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES
un aspect réticulaire. Le réseau est disposé inégalement autour des noyaux ; les contours de la cellule ne sont pas en- co
déjà au cinquième mois de la vie embryonnaire nous voyons autour du noyau une accumulation considérable du proto- plasme
e est encore très bizarre (Fig. 10). La cellule est compo- sée d'un noyau entouré d'un réseau achromatique très lâche de so
hes en chromatine qui a l'aspect de points menus disposés autour du noyau . Dans une période plus avancée la substance chr
embryon de 12 centimètres de longueur. La cellule est réduite à un noyau de forme ronde autour duquel on ne distingue pa
. - On aperçoit le protoplasma qui se développe d'un seul côté du noyau . FiG. 8. - Cellule de la corne antérieure d'un
imètres delongueur.- Le protoplasma est visible des deux côtés du noyau et l'entoure presque complète- ment. 196 N. S
polygonale et contiennent beaucoup de chromatine disposée autour du noyau , comme cela doit être dans une cellule. Un fa
erf acoustique, en sa qualité de nerf exclusivement sensitif, a son noyau d'origine réelle en dehors de l'axe cérébro-spi
se terminer dans un amas de substance grise, qu'elle divise en deux noyaux : le noyau dit accessoire de l'acouslique, et l
dans un amas de substance grise, qu'elle divise en deux noyaux : le noyau dit accessoire de l'acouslique, et le tubercule
es racines du nerf acoustique. 1, racine externe ou postérieure. 2, noyau antérieur de l'auditif, et 3, tubercule acousti
if, et 3, tubercule acoustique. 4, racine externe ou antérieure. S, noyau dorsal interne. - 6, noyau dorsal externe ou de
tique. 4, racine externe ou antérieure. S, noyau dorsal interne. - 6, noyau dorsal externe ou de Deilers. 7, noyau de Becht
, noyau dorsal interne. - 6, noyau dorsal externe ou de Deilers. 7, noyau de Bechterew. 8, ruban de Reil. - 9, racines in
ième ventricule et désignés sous les noms de 'noyau dorsal externe, noyau dorsal interne et noyau de J3ec ! iferelO. Mais l
nés sous les noms de 'noyau dorsal externe, noyau dorsal interne et noyau de J3ec ! iferelO. Mais là n'est pas sa termina
détruites à droite et gauche, ou que la destruction a porté sur les noyaux gris situés sur le plancher du quatrième ventri
pariétal droit ; celle-ci est irrégulière, de forme large comme un noyau d'abricot, et présente le même aspect criblé de p
voisins, encerclé par des cellules embryonnaires ou plus anciennes, à noyau volumineux et fixant vivement le colorant. Quan
tégration de la chromatine avec fragmentation - sans déplacement de noyaux mais nous les avons retrouvées il peu près anal
non spécifique, la dégénérescence du bout central avec atrophie du noyau , secondairement aux lésions périphériques. Il est
toïdien est ossifié jusqu'à sa partie moyenne, il offre plu- sieurs noyaux . Plusieurs ossifications au dos ayant une apparen
la région loinbiîre, des deux côtés, des masses osseuses. Un petit noyau d'une noix sur le calcanéum droit, à l'insertion
endante de l'humérus, douloureuse, allant jusqu'au creux axillaire. Noyau ossifié dans le deltoïde gauche, La plus grande
rands dorsaux fixant les bras au tronc. Deltoïde droit contient des noyaux , gros comme des pois. Articulations du coude et d
niveau, donne une contraction fibrillairc seulement. For- mation de noyaux dans le deuxième radial ; il diminue d'étendue da
comme du cartilage ; dans les espaces interosseux du métacarpe des noyaux indurés. Août 1864. Gonflement de tout le membr
868. - Dos transformé en une masse dure, recouverte de saillies, de noyaux , d'angles, de dentelures, de vallées, et, çà et l
nible de déchirement et de tension à la mastication et formation de noyaux indurés, avec de l'oedème, à la région sus-hyoï
. Épaississement t considérable des aponévroses antibrachiales. Des noyaux osseux dans le flé- chisseur commun superficiel
vers la 3e côte, vers l'apophyse coracoïde et une 3e vers le sternum. Noyau osseux au niveau de l'insertion du deltoïde. No
vers le sternum. Noyau osseux au niveau de l'insertion du deltoïde. Noyau osseux sur le segment du deltoïde qui s'insère
es ossifications moniliformes. Sterno-mastoïdiens traversés par des noyaux osseux. Il en est de même des muscles qui s'insèr
te avec le biceps dans une masse osseuse, à gauche il contient deux noyaux osseux. Bassin poussé vers la droite ; la han
s restent libres. Muscles de la mimique normaux, masséters fibreux, noyaux osseux dans les temporaux. Mobilité abolie dans
portion du biceps, très atrophiée, t peine reconnaissable, offre un noyau osseux,qui se réunit avec la portion bra- chial
physe coracoïde sans s'y insérer. Sur le chef externe du triceps un noyau osseux. v1Sur l'aponévrose du bras une lame oss
ur. Sur l'obturateur externe une membrane épaisse traversée par des noyaux osseux. Ossification complète du muscle crural.
sur le tendon commun du quadriceps; le tendon contient également un noyau osseux. Atrophie des muscles de la jambe ; su
s'étendant du rebord costal jusqu'à l'os pubien ; à gauche quelques noyaux durs, isolés. Ankylose des épaules, les bras sont
extrémités supé- rieures restent attachées au thorax; on y voit des noyaux osseux dans leurs muscles. Pas de changement da
n a fait des 'progrès. Dans les fessiers on trouve actuellement des noyaux cartilagineux appréciables, il en est de même d
Pas d'affection semblable dans la famille. A 6 ans, formation de noyaux durs et indolores a ta tête, ils persistent 3 m
une bandelette qui suit le bord externe du triceps. Dans le triceps noyau osseux mobile, gros comme une noisette. L'ankylos
eux, sont transformés en une masse fibreuse ; à côté des tendons,nn noyau osseux comme une noisette. Flexion de la jambe
vécu dans de bonnes conditions. Dans son enfance, il a eu quelques noyaux il la tête qui disparurent sans laisser de trac
dans les masséters ; en 1883, dans les muscles de la cuisse. Les noyaux osseux sont ronds, coniques, pointus, tranchants,
niveau ; la tuméfaction est un peu sensible et laisse après elle un noyau osseux dans les muscles. Ainsi, dans l'ossifica
comme des oreillons par le vulgaire, elle a laissé il sa suite des noyaux petits et ronds. Le malade est bien développé,
uvements de l'avant-bras limités. Atrophie des muscles char- gés de noyaux osseux. A peine peut-on découvrir trace du cal da
les profonds du cou et de la région hyoïdienne sont durs, mais sans noyaux osseux. Le côté gauche du thorax semble bosselé,
veau de l'articulation métacarpo-phalangiennedu pouce, il existe un noyau osseux sur le tendon du long extenseur propre du
Le ligament dj la nuque, les splénius et les trapèzes, renferment des noyaux osseux. Le thorax est immobile dans la respir
stérieure de la cuisse droite, dans le tendon du biceps, ou trouve un noyau de 3 cent. 1/2. Tubérosités osseuses sur la fac
constata, huit mois après l'ap- parition des premières douleurs, un noyau osseux à la partie supérieure et externe de l'a
ne pierre, s'il écrase brusquement sous son pied quelque objet dur ( noyau de fruit), s'il marche sur un petit caillou qui
le côté; la couche optique, recouverte du plexus choroïdien, et le noyau lenticulaire y font saillie librement dans les ve
la cavité crânienne à l'intérieur. Quanta la couclie optique et au noyau lenticulaire ils sont xi 1 25 Fig. 1. - Coupe
mides manquent tout à fait; à leur place apparaissent seulement les noyaux du faisceau de Burdach, la racine spinale du tr
live interne et l'olive externe qui sont aussi bien développées, le noyau de NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. X
meau, le nerf hypoglosse, le faisceau longitudinal posté- rieur, le noyau central inférieur, le ruban deReil, qui est très
f glosso-pharyngien, tenerspneumo-gastrique, le nerf hypoglosse, le noyau olivaire, les olives accessoires, les faisceaux
les olives accessoires, les faisceaux longitudinaux postérieurs, le noyau central inférieur, le ruhan de Reil, qui est bien
et les libres occipito-protubérantielles manquent ; au-dessous des noyaux rouges est disposée la substance noire de Soemm
assant dansle pédoncule, manquent encore. Plus liant, au niveau des noyaux rouge à l'endroit du tronc cérébral où, du côté l
ue la lamina medullaris medialis divisant la couche optique en deux noyaux : le noyau médian et le noyau latéral ; dans le
medullaris medialis divisant la couche optique en deux noyaux : le noyau médian et le noyau latéral ; dans le premier se
s divisant la couche optique en deux noyaux : le noyau médian et le noyau latéral ; dans le premier se trouve le ganglion d
bi- nula d'où part le ténia du : 3e ventricule ; sur cette pièce le noyau antérieur de la couche optique est mal développ
ontient pas de voies pyramidales, ni cortico-protuhérantielles ; le noyau lenticu- laire, le corps sous-thalamique, les f
s haut ; mêmes constatations V. Coupe au niveau de la formation des noyaux rouges. Absence de toutes les voies de l'étage in
de Reil était très peu développé) ; GO développement incomplet des noyaux de la couche optique; 7° le pulvinar et le corps
ces cellules ner- veuses présente les particularités suivantes : le noyau et le nucléole se voient très nettement, mais l
as- pect tout particulier. La plupart sont constituées par un seul noyau , en- touré d'une petite quantité de protaplasma
de la corne antérieure sont constituées presque uui- quement par un noyau ; les contours du protoplasma qui l'entoure ne so
nt présentait des plaques osseuses dans le grand dorsal droit et un noyau induré à la partie externe du genou droit. En 1
la paroi antérieure des aisselles. 3$$A. 4\'1's1L ET J. ISS1DI Un noyau osseux mobile devant la tubérosité externe du tib
de G mois on s'aperçut pour la première fois que l'enfant avait des noyaux indurés au dos, dans les régions scapulaires, e
mes très durs ; la moitié inférieure est très peu mobile. De petits noyaux ronds, gros comme des pois, se rencontrent dissé-
iculation sterno-claviculaire. Saillie des sterno-mastoïdiens sl4ns noyaux osseux ; les muscles latéraux de la nuque sont
ue de la crête iliaque aux côtes. Un peu au-dessus et en arrière un noyau osseux plus petit, mobile. Pas d'ossifications
tes qu'à l'état normal. Dans la paroi postérieure de l'aisselle des noyaux osseux irréguliers, mobiles plus développés à g
rigeant en dehors et en haut vers l'omoplate gauche. Plusieurs autres noyaux dans différentes parties du dos. ans. XL. GIl
ux, au niveau de la paroi antérieure de l'aisselle, se trouvent des noyaux osseux irréguliers se déplaçant légèrement avec l
ment avec les 476 A. WEIL ET J. NISSIM muscles. Du côté droit ces noyaux sont placés sous le muscle et surtout au niveau
trouvant sous le deltoïde et le grand dorsal. On trouve aussi des noyaux à l'origine du grand dentelé. Le grand dorsal p
gauche. Infiltration osseuse aussi dans le pectoral, il y a plus de noyaux que du côté droit, ils sont plus proéminents au n
is on ne cons- tate pas d'os dans ses fibres, excepté un tout petit noyau sur son bord anté- rieur, à un pouce de la clav
urel. A 8 ans, difficulté de la marche par suite de la formation de noyaux indolo- res qui disparurent après cinq à six se
dans les mouvements du cou et des bras par suite de la formation de noyaux à leur niveau. Etat général bon. Actuellement
e la nuque. Les muscles cités sont durs, mais ne contiennent pas de noyaux . Epaississement osseux dans les muscles longs d
ment semblable dans le bif" droit avec. les mêmes phénomènes ; les noyaux se sont formés lentement; on a constaté toujour
ée à cette prolifération du périmysium interne dans l'épaisseur des noyaux . Ons. XLIV. - LEXER, Arch. f.lllin. Chir., 1895
ger état fébrile ; le malade remarqua sur les endroits douloureux des noyaux mous, mobiles; comme des noisettes, qui disparu
re attaque en 1890. Depuis, formation entre temps, sans fatigue, de noyaux dans différents endroits, à côté de la tumeur du
ieure du dos ; à 14 ans, 9 mois après l'accident, formation de deux noyaux comme des glandes à la nuque : ils devinrent bien
mais la raideur alla en augmentant s'accompagnant, de formation de noyaux qui envahirent également le bras gauche. En mêm
cation. A la partie supérieure du masséter droit se voient quelques noyaux durs, arrondis ou anguleux de la grosseur d'une l
brale, surtout à gauche, on sent un épaississement périostique sans noyaux séparés. La portion acromiale du trapèze est du
eure et le bord postérieur de l'os. Omoplates fixées et pourvues de noyaux sur leurs bords. Les muscles sous et sus-épineu
réditaires. A 6 mois, la tète était penchée vers la gauche, et deux noyaux se montrèrent : à la nuque et au bras droit, il
s, plus grande qu'à droite. Pas de fracture. Depuis 1895, plusieurs noyaux , dont deux consécutifs à des chutes sur le dos
ESSIVE 4>J5 normaux. Muscles sterno-mastoïdiens tendus. Un petit noyau sur la portion sternale du gauche et un autre s
la région bicipitale et se prolonge dans le creux axillaire. Un petit noyau os- seux dans le grand palmaire. A gauche, mo
es doigts. Le pisiforme semble plus gros qu'à l'ordinaire; un petit noyau semblable dans le tendon du grand palmaire. Atr
ar et hypothénar. Le coude flé- chisseur du pouce contient un petit noyau dans son tendon. Mouvements des extrémités infé
20 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
agmentés en amas irréguliers de chromatine : dans quelques-unes, le noyau n'avait plus de membrane et se réduisait à une
nsistant en pigmentation, vacualisation, déplacement ou atrophie du noyau , destruc- tion partielle des dendrites, princip
rt d'heure après la mort, il constate une prolifération intense des noyaux interstitiels allon- gés, sans cellules rondes,
domen et les viscères étaient noyés dans la graisse. Il existait un noyau de cancer gros comme une noisette dans la capsule
une masse cancéreuse volumineuse au hile du poumon droit, plusieurs noyaux de cancer sur trois côtes, sur les plèvres, dan
ncer sur trois côtes, sur les plèvres, dans le foie; il existait deux noyaux secondaires dans l'estomac; l'un d'eux était ul
comprimant les ganglions et les racines de la 40 paire lombaire. Le noyau principal compri- mait énergiquement la queue d
ïde, et ayant, suivant toute vraisemblance, pour point de départ le noyau de la cap- sule surrénale droite, sans-qu'il fû
ant en arrière. La sclérose aboutit à la partie postéro- interne du noyau grêle ; les fibres bondant la face externe du noy
éro- interne du noyau grêle ; les fibres bondant la face externe du noyau sont in- tactes ; elles appartiennent sans dout
distance, c'est-à-dire sont gonflées, en chromatolyse centrale avec noyau périphérique ; à partir de la 3e lombaire inclu
oissant qui, à la partie inférieure du bulbe, entoure à distance le noyau cunéiforme, séparé du noyau et de la périphérie
érieure du bulbe, entoure à distance le noyau cunéiforme, séparé du noyau et de la périphérie par deux zones d'aspect norma
on de Sottas, qui concerne un cas de compression des racines par un noyau de cancer émané, comme dans l'observation I,d'u
, que quelques cylindraxes de ce territoire, en particulier ceux du noyau basai interne et de la sub- - stance de Rolando
eint. Il est beaucoup plus probable que le réseau myélinique de ces noyaux gris, qui est radiculaire, suivant toute vraise
oursui- vre la dégénérescence du cordon de Goll jusqu'au niveau des noyaux . La lésion des faisceaux cérébelleux a pu être
Cervelet. Pas de lésions appréciables. Hémisphères cérébraux. Les noyaux gris centraux du côté gauche ne présentent aucu
ucune lésion. De même, le deuxième frontal gauche est normal. Les noyaux gris centraux et la capsule interne examinés à la
ur aspect dans la partie ventrale et dans la partie périphérique du noyau . Tubercules qüadrijlt1llaux' antérieurs , parti
CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARALYTIQUE DESTRUCTION DU NOYAU CAUDÉ ; ATROPHIES CROISÉES DU CERVELET PAR RAPP
TION DU NOYAU CAUDÉ ; ATROPHIES CROISÉES DU CERVELET PAR RAPPORT AU NOYAU CAUDÉ, DU BULBE ET DE LA MOELLE PAR RAPPORT AU
de consistance osseuse, logée dans le lobe frontal sur la pointe du noyau caudé. Atrophie cérébelleuse croisée par rappor
pointe du noyau caudé. Atrophie cérébelleuse croisée par rapport au noyau caudé, atrophie bulbaire et médullaire croisée pa
nt dans le lobe frontal droit, au niveau du sillon de Ro- lando, un noyau dur complètement isolé de la corticalité. On fait
isolée dans la substance blanche, cette tumeur occupe la pointe du noyau caudé et pénètre dans le lobe frontal au-dessou
stante et son lobule quadrilatère donne la sensation tac- tile d'un noyau diffus. Le poids total du cervelet et du bulbe es
(1). La tumeur de l'hémisphère cérébral droit est constituée par un noyau calcaire et une coque fibreuse. Le noyau calcifié
roit est constituée par un noyau calcaire et une coque fibreuse. Le noyau calcifié présente une apparence ostéoïde ; on d
voie de destruction ; quelques-unes sont remplacées par des amas de noyaux . Région motrice droite (partie moyenne). Même
e sont plus reconnaissables ; beaucoup de cellules sont réduites au noyau ; le protoplasma n'est visible à aucune coloratio
is elles sont plus déformées et au- tour d'elles il y a de nombreux noyaux (Fig. 4). Cervelet droit. - Cet hémisphère est
r a obtenu un pleurosthonos opposé par l'excitation électrique d'un noyau caudé. La tumeur siégeait nettement sur la tête
rique d'un noyau caudé. La tumeur siégeait nettement sur la tête du noyau caudé et l'altération de cet organe comme les a
physiologistes. D'après Ferrier, Carville et Duret l'ablation d'un noyau caudé entraînerait des mouvements de manège, sa l
le faisceau moteur se trouvant hors de son atteinte. Au surplus le noyau de l'hypoglosse manquerait dans la moitié gauche
et Turner, Thomas n'a pu préciser le trajet de ces fibres au delà du noyau rouge. Quoi qu'il en soit, la clinique confirme
e re- marquer la disproportion évidente existant entre la lésion du noyau caudé et la dégénération du cervelet et du névr
régnation diffuse des toxines; Lannois (8) dans un cas de tumeur du noyau caudé, constate des plaques opalines de méningi
lement en tête de clou. Dans les faisceaux latéraux ou remar- que 3 noyaux de sclérose grise moins faciles à voir que celle
t été fixés au formol. Bulbe. - Sur une coupe passant au niveau des noyaux de la Xe et de la XIIe paire, on constate à la
nt très petits. A la partie antérieure, sclérose assez accenluée du noyau de la XII,, et de la VII 10 paires, sclérose inte
uée du noyau de la XII,, et de la VII 10 paires, sclérose intense des noyaux de la Xe paire, avec disparition complète des f
ses. Dans les corps rectiformes, la partie intense correspondant au noyau de Goll est très scléro- sée ; la lésion est au
t au contraire très minime dans la partie externe conespon- dant au noyau de Burdach. Intégrité complète du ruban de Roi, d
'au niveau du bulbe. On constate également une sclérose intense des noyaux et des faisceaux de Goll, une com- mençante et
et des faisceaux de Goll, une com- mençante et moins accentuée^ des noyaux et du faisceau de Burdach. Enfin, on commence à
aisceau cérébelleux latéral. Le fais- ceau de Gowers est intact. Le noyau de la XIIe paire est toujours sclérosé. Au nive
égère des pyramides extérieures, et des lésions très accentuées des noyaux des XIIIe, Xe et XIIe paires. Dans toute la haute
s en voie de disparition. Disparition complète de la striation. Les noyaux sont, pour la plu- part ou volumineux arrondis,
ie de Friedreich, où l'on ne voit ordinairement que la sclérose des noyaux de Goll et de Burdach. Ces lésions ont deux origi
cendante, produite par le ramollissement cérébral ; les lésions des noyaux de Goll et de Bur- dach, des corps restiformes,
s des noyaux de Goll et de Bur- dach, des corps restiformes, et des noyaux du IVe ventricule, sont au contraire d'origine
r l'évolution même de la ma- ladie de Friedreich. La sclérose des noyaux de l'hypoglosse, de l'auditif et du pneumogas-
rovoquent l'oedème chez les hémi- plégiques au niveau de la tête du noyau caudé, du segment antérieur de la capsule inter
tête du noyau caudé, du segment antérieur de la capsule interne, du noyau lenticulaire dans sa partie interne : Ces oedè-
ATOSE GÉNÉRALISÉE ' 205 masse de consistance gélatineuse, de 2 ou 3 noyaux indurés, non douloureux, de la grosseur d'une l
ranuleux) ; en outre, les cellules et les capsules cellulaires, les noyaux sont bien colorés, le pig- ment est généralemen
capsule peuvent s'observer pour les cellules en voie d'atrophie. Le noyau des cellules nerveuses est plus ou moins bien col
pigment : d'ailleurs toutes les cellules sont très pigmentées. Les noyaux sont également altérés et leur degré d'atrophie
et nettement proliféré, c'est un tissu adulte, fibreux, hyalin, les noyaux y sont plutôt rares. La paroi des vaisseaux est
'un grand nombre de cellules dont la place est occupée par quelques noyaux capsulaires. Epaississement et transformation h
oit, il existe des boules noires plus volumineuses. L'atro- phie du noyau est proportionnelle il celle de la cellule. Certa
ulaires proliférées, leur place est seulement indiquée par quelques noyaux qui représentent les vestiges delà capsule. Par p
fig. 2). Ces capsules gigantesques contiennent en effet fort peu de noyaux et sont constituées par un tissu fibro-hyalin d
ndre-axe subsiste encore. A leur surface se disséminent de nombreux noyaux conjonctifs allongés appartenant la gaine de Sc
ne trouve à leur place que des débris protoplasmiques, ou quelques noyaux capsulaires. Toutes les cellules sont très pigmen
lules sont en voie de dégénérescence graisseuse (fig. 3). L'état du noyau est proportionnel à celui de la cellule. Les même
de cellules normales on voit des cellules en voie d'atrophie, dont le noyau est également plus petit. Le tissu interstitiel
et même extrêmement petites, réduites à un amas de pigment et à un noyau très atrophié, le noyau même n'est pas toujours
ites, réduites à un amas de pigment et à un noyau très atrophié, le noyau même n'est pas toujours visible. Cette atrophie
s, déformées, réduites parfois à un petit amas protoplasmique et un noyau dont la masse totale ne dépasse pas les dimension
ont les bords bien décou- pés et partiellement occupés par de rares noyaux laissent reconnaître des capsules également atr
La réduction simple de la cellule nerveuse, sans prolifération des noyaux constituant les cellules dites endothéliales, e
sa place peut être encore indiquée par la réunion de quelques rares noyaux ou par un amas concen- trique de nombreux noyau
de quelques rares noyaux ou par un amas concen- trique de nombreux noyaux capsulaires, soit par un mélange de fibres 'con-
ux capsulaires, soit par un mélange de fibres 'con- jonctives et de noyaux , soitparun bloc fibreux, quelquefois hyalin : enf
tiel, épais et hyalin, dans lequel des petits amas de deux ou trois noyaux indiquent les places occupées par les cellules
ble dans les ganglions normaux, surtout chez les sujets* âgés. Le noyau de la cellule nerveuse subit ordinairement des mo
ma, la prolifération des cellules de la capsule, la dégénération du noyau et des corpuscules nucléaires, la dis- parition
'acide osmique. Le pigment se dispose parfois en couronne,autour du noyau , mais sur d'autres cellules il occupe aussi une
e un artifice de préparation), le pro- toplasma est plus coloré, le noyau est souvent peu net ou même tout à (1) `VOLLENU
dans ce cas les cellules capsulaires deviennent volumineuses,et le noyau est entouré d'un amaspro- toplasmiqueplus ou mo
s ne pouvons que nous ralliera l'opinion de celte transformation du noyau ne peut être considérée comme pathologique que
e sont pour bien fixer leur morphologie générale et la situation du noyau ; or, dans tous les cas que nous avons examinés
ous avons examinés, nous avons très rarement observé l'excursion du noyau à la périphérie, comme cela s'observehabituelleme
ines et dans la dure-mère et que le canal épendymaire est rempli de noyaux dont les uns ovales et pâles ont les caractères
rempli de noyaux dont les uns ovales et pâles ont les caractères de noyaux névrogliques, mais dont les autres, ronds et plus
dont les autres, ronds et plus fortement teintés, ressemblent à des noyaux de cellules inflammatoires ; autour du canal ép
sont altérées, toutes sont en chromatolyse totale avec diffusion du noyau ; le noyau est très souvent périphérique; les ce
ées, toutes sont en chromatolyse totale avec diffusion du noyau; le noyau est très souvent périphérique; les cellules glo
ion progressive ou son état stationnaire, et quand elle envahit les noyaux bulho-prot.ubé- rantiels, par les signes d'amyo
ures. La paroi des vaisseaux épais- sie. Diminution des cellules du noyau de Goll. Le corps restiforme se colore moins bi
- tance réticulaire de bulbe présente une atrophie considérable. Le noyau de Monakow particulièrement réduit en volume.
4 FUEL sont réduites de volume, se colorent très intensément, leurs noyaux et leurs granulations démontrent d'une façon no
eux direct à cette hauteur. Dans les coupes passant à la hauteur du noyau de Goll et de Burdach on s'aperçoit que les fib
e Goll et de Burdach on s'aperçoit que les fibres situées entre ces noyaux et la périphérie sont raréfiées (dans le faisce
de la substance blanche. Les cellules de Purkinje, de même que les noyaux , ne présentent pas anomalies. En comparant le
Fibres d'apparence normale avec simplement léger épaississement des noyaux et cependant hypertrophie du périmysium interne
). Hématoxyline carmin. a) Fibre musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chapelet b) Fibre musculaire donnant 1 aspec
cuntmute avec une travée hbreuse. - Travée fibreuse avec de nombreux noyaux sériés. Cestan et 7.C/0 ? C. , Masson et C'
n carac- tère qui frappe immédiatement, c'est la multiplication des noyaux ; ceux-ci sont excessivement abondants déjà dan
ur une coupe transversale, on peut compter parfois jusqu'à 12 ou 15 noyaux par fibre musculaire, et sur des coupes longitudi
5 noyaux par fibre musculaire, et sur des coupes longitudinales les noyaux par leur grand nombre donnent parfois l'aspect d'
leur affinité pour les matières colorantes; nous n'avons trouvé ni noyaux géants, ni noyaux contournés ou en croissant.
r les matières colorantes; nous n'avons trouvé ni noyaux géants, ni noyaux contournés ou en croissant. 346 CESTAN ET LEJON
is fois plus volumineuses qu'un globule rouge ; à ce niveau-là, les noyaux se colorent très mal ou même ne sont plus visib
ant, de telle sorte que l'on observe des travées fibreuses avec des noyaux , dans lesquelles se voient, de UN CAS DE MYOPAT
ts est essentiellement fibreux, peu dense cependant, assez riche en noyaux , formé de fins tractus enserrant la fibre muscu
illier. Elle a été coupée en séries de façon à pouvoir comparer les noyaux des muscles les moins atteints avec ceux des mu
prédominantes ; de même, dans chaque seg- ment il n'existait pas de noyau dont les cellules fussent particulièrement ma-
rvé d'ail- leurs sa forme polygonale, ses prolongements, et dont le noyau se colore très bien ; peut-être y a-t-il un peu
- minale. (Pl. XLVIII, C), d'une part,renferment de très nombreux noyaux arrondis formant des séries linéaires et rappel
noyaux arrondis formant des séries linéaires et rappelant ainsi les noyaux multipliés de la fibre musculaire, d'autre part
aire se diviser en fibrilles primitives (fig. 1) avec accotement de noyaux entre ces fibrilles ; la striation transversale d
dès lors apparaissent des aspects de longues cellules fusiformes, à noyaux allongés, se colorant en rose par le carmin et qu
rescences du sarcoplasma, soit comme une phase de mortification des noyaux , en un mot comme une manière de mourir de la ce
occipitale du ventricule latéral et semblant partir de la queue du noyau lenticulaire. Les artères de la base du cerveau
sus-mentionné, ne décelaient aucune lésion grossière au niveau des noyaux centraux. Seuls les noyaux lenticulaires présen
nt aucune lésion grossière au niveau des noyaux centraux. Seuls les noyaux lenticulaires présentaient des petites lacunes
lt;f/e/. (4) Decacoau, Calcification dans le centre oval el dans le noyau lenticulaire. An- nales médico-psychologiques,
tes en noir, qui présentent un volume tout à fait pareil à celui du noyau des cellules de névroglie. Ces boules sont tantôt
ntôt réunies en des petits groupes et plus ou moins mêlées avec les noyaux sus- mentionnés. Dans le voisinage il n'existe
es interstitiels du tissu nerveux. Les cellules ganglionnaires du noyau lenticulaire n'étaient pas envahies par le proc
gliose périvasculaire prononcée ni formation de lacunes. Si dans le noyau lenticulaire existent, comme nous l'avons dit,
ent tous les caractères. Elles paraissent for- mées uniquement d'un noyau plus ou moins sombre ; elles se colorent en ble
365 coupe colorée à l'hématoxyline-éosine on y voit une infinité de noyaux : ces noyaux ressemblent à des lymphocytes, mai
orée à l'hématoxyline-éosine on y voit une infinité de noyaux : ces noyaux ressemblent à des lymphocytes, mais comme d'une p
loin dans le nerf au pourtour des vaisseaux, comme d'autre part ces noyaux n'entourent pas les nodules vasculaires même in
clérosés, il nous parait bien plus vrai- semblable qu'il s'agit des noyaux de cellules névrogliques, qu'il y a dans le ner
erméable ou occupée par un ou deux globules rouges, Fond parsemé de noyaux nombreux, probablement névro- gliques. Presque
ins à certains niveaux), et donne lieu à un manchon épais, riche en noyaux et surtout en fibrilles ; et dans cette zone le
remplacée par un tissu ne prenant pas les colorants, contenant des noyaux colorés par la cochenille, moins nombreux que d
et à/son centre on voit un gros vaisseau dont la gaîne contient des noyaux , mais pas d'amas nucléaires ; on ne voit plus dan
écial : on n'y constate plus que de larges va- cuoles avec quelques noyaux épars, il y a un vrai trou traversé par des tra
elles sont plus volumineuses, mais unipolaires pour la plupart et à noyau presque indivisible. Cellules petites dans les no
a plupart et à noyau presque indivisible. Cellules petites dans les noyaux de Clarke, surtout à gauche, et dans le noyau i
les petites dans les noyaux de Clarke, surtout à gauche, et dans le noyau intermédio-latéral gauche. 2°-3" dorsale. Toute
le groupe intermédio-latéral et quelques-unes, rares, peu colorées, à noyau excentrisé, dans les colonnes de Clarke ; une o
re assez volumineuses, mais déformées, unipolaires et globuleuses à noyau peu visible. Cellules assez nombreuses et assez
es faisceaux et ses fibres sont normaux, ses fibres n'ont pas leurs noyaux prolifè- rés. Seules quelques portions présente
res musculaires sont plus altérées. Il est difficile de dire si les noyaux des cellules fixes de ce tissu sont augmentées de
issu sont augmentées de nombre, car on ne peut les différencier des noyaux restant des fibres musculaires disparues. Çà et
une division intrinsèque des fibres. « L'augmentation numérique des noyaux est très nette; non seulement ils augmentent so
and la substance musculaire diminue, quand la libre s'atrophie, ces noyaux paraissent proportionnellement augmentés de nombr
t plus qu'un mince amas de substance mus- culaire semée de nombreux noyaux . Un degré de plus, les noyaux seuls exis- tent
stance mus- culaire semée de nombreux noyaux. Un degré de plus, les noyaux seuls exis- tent dans la gaine du sarcolemme, d
éantes. Au degré extrême, il ne reste plus que de petits groupes de noyaux dans la substance hyaline fondamentale. Tous ces
ême champ microscopique. Ajoutons, en terminant que quelquefois les noyaux musculaires isolés et encore entourés de substa
21 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de l'épendyme est comblé par une substance hyaline avec de nombreux noyaux . Racines. Les racines an lérieures sont normale
u même ordre, les unes et les autres' sont infiltrées de nombreux noyaux . Moelle dorsale (/i. i, 3 et 4). a) Moelle dors
canal de l'épendyme est comblé par une niasse hyaline avec nombreux noyaux . Les racines antérieures sont saines; dans les
es parois vasculaires sont épaissies et infiltrées d'assez nombreux noyaux . Le bulbe est sain. Nous ne reviendrons pas s
près de la pariétale as- cendante, et entouré d'une zone de petits noyaux d'aspect inflam- matoire ; aucune autre lésion.
inférieure (lésion bulbaire intéressant le faisceau pyramidal et le noyau de l'hypoglose), hémiplégie alterne faciale (lé
sus- pension des fonctions physiologiques et non destruction des noyaux . Tous les symptômes observés peuvent s'expliquer
collatérales de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun ». R. C. XIII. Goitre
iques; celles-ci seraient dues il l'ischémie simultanée de tous les noyaux d'origine de l'oculo- moteur. Dans certains cas
its par la répétition d'ischémies fonctionnelles dans la région des noyaux , on à des lésions endartéritiques des artères o
inisme, puisque le même syslème artériel fournit à la nutrition des noyaux et'des fibres du nerf de la troisième paire. A.
duisent une destruction profonde de la substance achromatique. Le noyau prend la faculté de se colorer au bleu de méthylè
janv. 1898. LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 87 I le noyau déformé, autour duquel les granulations chromato-
tres aspects; elle a la forme arrondie, sans prolongements, sans noyau et comme sans membrane d'enveloppe. Elle ne rep
e, deux au maximum, appli- quées contre la membrane d'enveloppe, le noyau , lui, ne disparaît pas toujours. Quelquefois, i
r dont on distingue à peine les contours. Souvent, au contraire, le noyau , au lieu de se modifier sur place, émigre vers
granulations sont rares même au pourtour du corps cellulaire, et le noyau , quand il persiste, est presque toujours appliq
du même côté sont expliquées par l'inflammation hémor- ragique des noyaux correspondants des nerfs. Peut-être, vu l'inté-
des noyaux correspondants des nerfs. Peut-être, vu l'inté- grité du noyau de l'oczclomotezvr externe droit paralysé, bien q
ité du noyau de l'oczclomotezvr externe droit paralysé, bien que ce noyau soit extrêmement congestionné, [pourrait-on pense
longitudinal supé- rieur en rapport intime, très probable, avec le noyau de la sixième paire. Observation II. Absence
tout des systèmes de fibres qui servent à unir les divers plans des noyaux moteurs (nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du
oteur péri- phérique ; c'est-à-dire du conducteur moteur qui va des noyaux des nerfs craniens et spinaux à l'extrémité mus
l- leurs complètement guéri. Il y eut, dans l'espèce, atteinte du noyau du nerf vague (accélération du pouls) expliquant
prédominent; leur contenu est composé presque uniquement d'un grand noyau , pas trop forte- ment coloré, souvent granuleux
constitués par la plupart des fibres bien colorées et parsemées de noyaux ; mais on trouve aussi des fibres mal colorées,
e composé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE NERVEUSE. noyau mal coloré, de corps granuleux, de détritus et d'
L'autre segment du bulbe, conservé incomplètement, correspond au noyau du nerf hypoglosse. La partie dorsale de la coupe
radiculaires ont été reconnues nor- males. De même les cellules des noyaux du bulbe. Dans le cerve- let, les cellules de P
périphérique, du moins bulbaire, par - infiltration parasitaire des noyaux correspondant au nerf vestibu- )aire'2° Intégri
su nerveux. Ce sont : a) de petites cellules de 6 à 9 fi, avec gros noyau , disséminées dans la substance céré- brale, pla
dach (surtout à droite), depuis la deuxième racine dorsale jusqu'au noyau de Burdach. Lésions récentes, insignifiantes, d
latéraux s'accroîs- sant de bas en haut. Atrophie très marquée des noyaux des neu- vièmes aux douzième paires craniennes;
es, ont conservé leur striation transver- sale ; multiplication des noyaux ; surcharge et dégénérescence graisseuses. En
te l'association d'altérations dans les racines, les cordons et les noyaux sensitifs à une atrophie chronique des cornes ant
ions encore controversées sont celles de savoir de quelle partie du noyau d'origine naissent les fibres croisées et quels s
res croisées occupent la partie postérieure et inférieure de chaque noyau . Ces fibres se rendent en partie au muscle droi
directes. On ignore toutefois si ces fibres directes se rendent du noyau d'origine dans le nerf périphérique sans passer p
s chromatolysés les auteurs croient pouvoir conclure : 1° Que les noyaux d'innervation des muscles de la jambe et du pie
nférieure du quatrième segment t sacré ; 2° Il existe deux grands noyaux d'innervation de ce segment du membre inférieur
noyaux d'innervation de ce segment du membre inférieur : un premier noyau très grand s'étend de l'ex- trémité supérieure
jusqu'à la partie inférieure du troisième segment sacré; un second noyau , également assez volumineux, surtout vers son m
Une photographie du monstre. A. M. XXVI. Relations anatomiques DES noyaux centraux DES nerfs cochléaires ET vestibulaires
cule ; à la base du cerveau il ne reste que la couche optique et le noyau len- ticulaire. Quant au cervelet, celui-ci se
a moelle épinière occupe sa place habituelle, reçoit, au niveau des noyaux des cordons de Goll dans le bulbe, de petits fa
de petits faisceaux-de fibres non croisées qui pro- viennent de ces noyaux .. Dans le bulbe il occupe, sur sa périphérie la
temps en temps, mais rarement, quelques fibres dans la direction du noyau latéral du tegmentum, tandis qu'il se déplace lui
du ruban médian, à mesure que celui-ci s'aplatit, mais au niveau du noyau latéral du tegmentum, il fléchit brusquement da
e faisceau rend un bonne partie de ses fibres (environ un quart) au noyau posté- rieur du corps quadrijumeau (il est impo
a capsule interne et rentrent dans les segments interne et moyen du noyau lenticulaire, où elles se terminent. En outre l
cordon antéro-latéral, en haut, jusqu'au niveau du bout proximal du noyau de la douzième paire, où il se termine dans la
es cylindraxes sont d'un bleu net, la myéline d'un bleu tondre; les noyaux de la gaine de Schwann d'un bon bleu ; les fibr
d'un bon bleu ; les fibrilles des cellules neuves, bleu-clair ; les noyaux du tissu conjonctif et des éléments musculaires
ite A1GUE. 435 (t\issl), ni celle des modifications progressives du noyau cellulaire (lemming), Mais en ce qui concerne l
sma (subs- tance filaire et interfilaire de Flemming), qui après le noyau constitue l'élément cellulaire essentiel, n'en
és. Le protoplasma cellulaire est tantôt homogène et dans ce cas le noyau est difficilement reconnaissable, tantôt il est g
yau est difficilement reconnaissable, tantôt il est gra- nuleux, le noyau alors bien visible. Mais dans les deux cas le pro
dans certaines coupes les cellules névrogliques renferment un seul noyau , mais dans d'autres coupes et en particulier dans
corps cellulaires à protoplasma granuleux on en rencontre à deux noyaux , quelquefois plus. Le noyau ou les noyaux sont to
lasma granuleux on en rencontre à deux noyaux, quelquefois plus. Le noyau ou les noyaux sont toujours ronds ou ovalaires
ux on en rencontre à deux noyaux, quelquefois plus. Le noyau ou les noyaux sont toujours ronds ou ovalaires et occupent le
lules à proto- plasma transparent (ftg. 1), nous constatons que les noyaux sont riches en chromatine se présentant sous fo
dernière est le siège d'une véritable prolifération cellulaire. Les noyaux de cette tunique, bien colorés par le carmin, o
d'autres, et le plus grand nombre, ne sont représentées que par un noyau siégeant à l'endroit de l'entrecroisement d'une
es est très for- tement coloré par le car min, mais transparent. Le noyau , dans n'importe laquelle des différentes formes
est situé à leur extrémité la plus large. Chez beaucoup d'elles le noyau pa- rait extérieur, uniquement accolé au corps
e contient jamais de myéline ou d'autres substances étrangères. Les noyaux de ces cellules sont très gros, d'une forme ova
s par le carmin. Dans une pareille cellule nous avons trouvé deux noyaux . Sans aucun doute nous avons affaire ici à des ce
utrefois ils sont fine- ment granuleux. Jamais ils ne renferment de noyaux . On trouve ces petits foyers rarement en dehors
n rose pâle. Leurs contours sont difficiles à saisir. En général le noyau est très grand, ovalaire. pas ou peu coloré et
ments de chromatine. On rencontre assez souvent des cellules à deux noyaux . Les prolongements que ces dernières présentent
nombreux, fins et très longs. On n'observe plus de cellules à deux noyaux . A quoi tient celte diffé- rence dans la colora
es proliférées se distinguent difficilement; mais en revanche leurs noyaux sont très bien colorés et visibles. L'endo-- tl
s sont repiésentées dans nos préparations par la pro- lifération du noyau cellulaire. Le protoplasma cellulaire, vu les m
étudié. Dans cette zone donc nous trouvons des cellules nerveuses à noyau riche en chromatine, des cellules dont le noyau
ellules nerveuses à noyau riche en chromatine, des cellules dont le noyau renferme deux, trois, jusqu'à quatre nucléoles. C
x, trois, jusqu'à quatre nucléoles. Certaines cellules possèdent un noyau excessivement long; enfin nous en trouvons qui
oyau excessivement long; enfin nous en trouvons qui renferment deux noyaux . Un grand nombre de cel- lules nerveuses de cet
s. Nous avons même un exemple où la cellule nerveuse possédant deux noyaux se trouve déjà en état de dégénérescence avancé
istence de grosses cellules rondes et multinucléaires (jusqu'à huit noyaux dans la même cellule). Il fait provenir ces cel
fait secondaire, puisque les éléments essentiels de la cellule : le noyau et le protoplasma, ne paraissent pas sensibleme
ariokynétiques abondantes. Elle renferme souvent un grand nombre de noyaux , ce qui la fait ressembler à une cellule géante
ment pas nous baser, comme l'a fait Ilayem, sur la multiplicité des noyaux , ni sur des propriétés mal définies du protopla
es du protoplasma cellulaire (Friedmann), mais sur la forme même du noyau de ces cellules. Ce dernier est très gros, oval
met aucune confusion : jamais les leucocytes ne possèdent un pareil noyau . Et puis dans la même préparation et à côté des
cotement des cellules névrogliques à la paroi des capil- laires. Le noyau d'une des cellules présente un abondant réseau de
a, les bandelettes ; les cellules inter- calaires (H) au niveau des noyaux gris centraux ; les radia- tions optiques (1),
ers neurones que nous avons étudiés plus haut. Arrivé au niveau des noyaux gris centraux V, ((lg. 26) il se réfléchit et v
it de ce réflexe est aujourd'hui assez bien connu ; il comprend les noyaux gris centraux de la vision (pulvinar, corps gen
rieurs), le ganglion de l'babenula, la commissure postérieure, le noyau irien, la troisième paire, le ganglion ophtalmiqu
flexe irien rend très probable l'hypothèse suivante : au niveau des noyaux gris de la couche optique, réflexion de l'influ
ux gris de la couche optique, réflexion de l'influx nerveux vers le noyau de la troisième paire, puis trajet centrifuge p
nant le mécanisme de ces phénomènes. L'influx nerveux a franchi les noyaux gris centraux, est arrivé au niveau du centre c
'à l'écorce (A), puis s'est réfléchi pour venir mettre en jeu les noyaux (B) tenant sous leur dépendance la contraction de
de l'iris, l'accommodation, la convergence. De l'écorce (A) à ces noyaux (B) l'influx suit les fibres centrifuges mêlées a
ttention consciente. Le premier a son point de réflexion dans les noyaux de la base, le second dans l'écorce cérébrale. La
464 PSYCHOLOGIE. III. Ajustement des neurones intercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la couche opt
Ajustement des neurones intercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la couche optique sont des stations où
s sont donc absolument comparables aux cellules intercalaires des noyaux gris centraux, ou aux spongioblastes de la rétine
PATHOLOGIQUES. XXXII. Contribution A L'ÉTUDE des localisations DES noyaux MOTEURS dans la moelle épinière ; par le D Mari
réaction ainsi produite peut servir à déterminer la topographie des noyaux des nerfs médullaires ; 3° habituellement, chaq
médullaires ; 3° habituellement, chaque nerf tire ses origines d'un noyau prin- cipal et des noyaux accessoires ; le noya
lement, chaque nerf tire ses origines d'un noyau prin- cipal et des noyaux accessoires ; le noyau principal constitue une
ses origines d'un noyau prin- cipal et des noyaux accessoires ; le noyau principal constitue une masse bien circonscrite
bien circonscrite, excepté pour le médian et le cubital qui ont un noyau principal commun ; 4.° chaque nerf spinal lire se
athiques de l'homme est celui qui est représenté par des cellules à noyau excentrique, avec partie centrale de la cellule
vec des lésions en foyer siégeant soit dans l'écorce, soit dans les noyaux gris centraux. Ces lésions vont en décroissant
rogressivement dans la partie postéro-interne de ce cordon jusqu'au noyau de Goll à partir duquel elle cesse; b) sur les
veut bien lui accorder. ' Et d'ahord le corps cellulaire grâce au noyau qu'il contient exerce une action trophique sur
Marinesco. Sur des coupes sériées pratiquées sur toute l'étendue du noyau facial, l'auteur a constaté qu'au point de vue
facial, l'auteur a constaté qu'au point de vue de leur structure le noyau externe et le noyau médian se ressemblent, c'est-
onstaté qu'au point de vue de leur structure le noyau externe et le noyau médian se ressemblent, c'est-à-dire qu'ils sont
és de cellules multipolaires grandes, analogues à celles des autres noyaux moteurs et que, par contre, le noyau interne es
analogues à celles des autres noyaux moteurs et que, par contre, le noyau interne est composé de petites cellules polymor
le noyau interne est composé de petites cellules polymorphes. Le noyau facial, tout au moins dans sa partie moyenne, est
Le noyau facial, tout au moins dans sa partie moyenne, est donc un noyau complexe, contenant plusieurs types cellulaires.
constate une réaction très manifeste dans l'extrémité inférieure du noyau du facial, réaction diminuant à mesure qu'on se r
du facial supérieur, tout au moins chez le chien, se trouve dans le noyau commun du facial. De plus, le noyau du moteur o
z le chien, se trouve dans le noyau commun du facial. De plus, le noyau du moteur oculaire externe reste intact : donc il
ur, les phénomènes de réaction se passent dans le groupe externe du noyau facial. Les différents noyaux secondaires qui c
se passent dans le groupe externe du noyau facial. Les différents noyaux secondaires qui constituent le noyau commun du
noyau facial. Les différents noyaux secondaires qui constituent le noyau commun du facial sont donc affectés à l'innerva
ce. L'auteur, dans un prochain travail, étudiera les fonctions du noyau à cellules polymorphes du facial. (Revue neurolog
clusivement de la masse grise située entre l'olive supérieure et le noyau d'origine de la partie motrice du pneumogastrique
s musculaires net- tement déterminés : ZD 1° Le groupe interne du noyau du facial serait formé de deux parties : une pa
supérieur; 3° Le groupe médian et le groupe externe représentent le noyau d'origine des fibres du facial innervant tous l
cial innervant tous les autres muscles. Toute la partie ventrale du noyau du facial représente donc l'origine du facial i
igine du facial inférieur, tandis que la partie dorsale seule de ce noyau est l'origine du facial supérieur. Ces dernière
upérieur. Ces dernières conclusions ne s'appliquent cependant qu'au noyau d'origine du nerf facial chez le lapin; elles n
escence des fibres de la région du faisceau pyramidal, qui vont aux noyaux prolubérantiels, de ces fibres qui s'épanouissant
x noyaux prolubérantiels, de ces fibres qui s'épanouissant dans les noyaux en question où, de concert avec les cellules de
omatiques s'étaient peu ou pas colorées. Intégrité des bords et des noyaux de la cellule très rarement vacuolisée. 2° In
res et les cloisons intervacuolaires persistant. - C. Altération du noyau . Le noyau, qui normalement reste clair et non col
cloisons intervacuolaires persistant. - C. Altération du noyau. Le noyau , qui normalement reste clair et non colorable,
gnent la substance grise du bulbe par le cordon postérieur jusqu'au noyau de Goll. De là de nouveaux neurones établissant
la base d'un reste du prolongement du sommet, se trouve comprimé un noyau atrophié. Ces cellules sont fréquemment réunies
mogène, comme si les détails de la structure avaient été lavés ; le noyau est fréquemment tordu, comptimé contre la paroi
rpuscules de Nissl sont disposés sous forme de tourbillons ayant le noyau pour centre. Quelques cellules présentent une c
disparition complète des corpuscules de Nissl en même temps que les noyaux paraissent élargis. Dans un dernier cas, où le
issl, et ont subi la trans- formation vitreuse en même temps que le noyau est repoussé vers le cylindre-axe : le malade é
oelle. Fibres centripètes. Les fibres du ruban de Reil, issus des noyaux des cordons postérieurs vont à ces deux organes.
les quadrijumeaux va cette partie du ruban de Reil qui provient des noyaux du faisceau cunéiforme. Une partie des fibres du
our du bord externe de la substance grise, après avoir contourné le noyau principal del'oculo- moteur commun de dehors en
culo- moteur commun de dehors en dedans, elles forment, entre les noyaux rouges, l'entre-croisement fontaniforme de Meyner
ordons antérieurs. Il envoie dans son parcours des ramifications au noyau rouge des deux côtés, et au noyau du pathétique
son parcours des ramifications au noyau rouge des deux côtés, et au noyau du pathétique et de l'oculo-moteur externe du c
dans le cervelet, dans le territoire de l'olive cérébelleuse, et du noyau du toit. Dans le vermis cérébelleux supérieur se
cotement des cellules névrogliques à la paroi des capil- laires. Le noyau d'une des cellules présente un abondant réseau de
1. - électrique, par Bo- nardi, 404. Cociill vires. Relations des noyaux centl anx, - et vestibulaires," par Sabjjj, 3
22 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ramide ;-E, entrecroisement sensitif; - F S, fibres sen- sitnes; 0, noyau jaune olivaire; Z, Stratum zonale. 8 AXATOMIE.
régressives de la myéline en même temps que la multiplication des noyaux à l'intérieur de la gaine de Schwann, notant d'
iveau desquelles on distingue un nombre quelquefois considérable de noyaux colo- rés en rouge ou en rose. On peut rencon
t en voie de destruction, le protoplasma du segment a végété, les noyaux ont proliféré; quant au cylindre d'axe, il est
noir par l'acide osmique, et renfermant parfois un grand nombre de noyaux , sont reliées entre elles par le tractus rosé (
omplètement ; il n'en existe plus de vestiges qu'autour de quelques noyaux , 2 18 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. en B, B, et la
moins volumineux que dans la figure précédente, accompagné par des noyaux nombreux entourés d'un peu de protoplasma, lequ
er survivant des divers éléments du segment interannulaire, car les noyaux et les amas de myéline granuleuse peuvent dispa
e gaine est moniliforme, déprimée de dis- tance en distance par des noyaux B, B, irrégulièrement alternants, et autour de
x B, B, irrégulièrement alternants, et autour de quelques-uns deces noyaux , ena et par exemple, sont groupées quelques gra
t plus régulière, elle n'est dé- primée que de loin en loin par des noyaux plus rares et aussi moins volumineux. Bientôt u
OGIQUE. minces ainsi délimités sont souvent pourvus de nom- breux noyaux , mais il n'est pas rare d'en rencontrer aussi d
titution est parfaitement régulière et présentant par conséquent un noyau unique, ou tout au plus deux noyaux renfermés d
et présentant par conséquent un noyau unique, ou tout au plus deux noyaux renfermés dans une même masse de protoplasma si
une gaine de myéline variqueuse, s'engager en A au milieu d'amas de noyaux mélangés à des granulations colorées en noir, e
éfaut, con- siste dans la présence à son niveau d'un ou plusieurs noyaux situés sous la gaine de Schwann, noyaux qui peu
on niveau d'un ou plusieurs noyaux situés sous la gaine de Schwann, noyaux qui peuvent être comme en a, (figure 15), entou
uefois des gouttes de myéline, et le plus habituellement un ou deux noyaux . En même temps, dans l'épaisseur de cette gaine
ne continue assez nette, déprimée de distance en distance par des noyaux entourés de protoplasma. Ces deux parties de la
e du gonflement du protoplasma et d'une multiplication insolite des noyaux à l'intérieur de la gaine de Schwann, deux circ
x extrémités et une portion moyenne caractérisée par la présence du noyau normal, nous devons nous demander tout d'abord
re de la façon la plus nette. En prenant pour point de repère les noyaux A et B qui occupent ainsi qu'on le sait la partie
déprimée par le gonflement du protoplasma et la multiplication des noyaux , a perdu sa régularité et se réduit en gouttele
phase de dégénération. Quant à l'aspect de la fibre au voisinage du noyau B, c'est-à- dire à sa partie moyenne, il est en
ue c'est précisément au niveau des segments les moins longs que les noyaux se montrent plus abondants, ce qui semble indiq
ocs volumineux dans l'in- tervalle desquels se montrent des amas de noyaux ; ailleurs, la fibre n'est plus représentée que
ntée que par la gaine de Schwann, distendue de loin en loin par des noyaux entourés de gouttes de myéline. Toutefois, et l
e, ses cellules sont gonflées, quelques- unes contiennent plusieurs noyaux , et dans un bon nombre d'entre elles on observe
GMENTAIRE PÉRI-AXILE. 33 perdre dans la masse de tissu conjonctif à noyaux qui les enveloppe. Certes, on pourrait ici, et
ont été figurés dans leur entier possèdent à leur partie moyenne un noyau unique. Sommes- nous en présence d'un fait de r
ique e,t au.imilieu, desquelles on distingue un certain, nombre, de noyaux colorés 'en rouges. C, D, extrémités des deux s
yéline réduite1 en goutelettes renfermant un assez, grand nombre de noyaux colorés en rouge et représentant les vestiges d
r JB,' B, amas' de myéline granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en rouge. : , -. · , Fig. 6. Segment in
xe à nu dans la gaine deSchwann, et accompagné d'un grand nombre de noyaux . - En B, B, ces noyaux sont entourés de granula
eSchwann, et accompagné d'un grand nombre de noyaux. - En B, B, ces noyaux sont entourés de granulations colorées en noir pa
parle cylindre d'axe. - A, enveloppé par la gaine de Schwann. - B, noyaux et goutelettes graisseuses situés sous la gaine
auration. A, A, gaine de myéline mince de formation nouvelle. B, B, noyaux situés sous la gaine de Schwann et entourés en et
lacé par une série de segments minces et courts. - A, A, pourvus de noyaux assez nombreux, B, B, et séparés par des étrang
du côté de C, les segments interannulaires sont plus courts et les noyaux plus abondants que du côté de D. PLAXCUE Il.
articularités des lésions segmentaires circonscrites. - Fig. 13. A, noyau normal d'un segment interannulaire terminé en b
- B qui a seule dégénéré est séparée de la gaine de Schwann par des noyaux entourés de protoplasma. A, partie profonde de
ranglements D, C, G. - a, b, F, portions minces restaurées. - A, B, noyaux médians des'segments. E, extrémité du segment B
très fort grossissement. A, cylindre d'axe. B, gaine de myéline. c, noyau . Fig 18. - La fibre nerveuse constituée par des
as de névrite traumatique. R, R, étranglement interannulaire. N, N, noyau du segment interan- nulaire. ' ' Fig. 19. 'Né
elui d'une noix ; on trouve, de plus, une quinzaine d'autres petits noyaux disséminées sur les deux faces du rein et non s
nostic, confirmé par l'autopsie, avait été : Tubercule au niveau du noyau de la sixième paire. Cette observation cliniq
ire. Expérimentalement; I. Que, c'est dans le bulbe, au niveau du noyau d'origine de la sixième paire, que les mouvemen
iels; 2° Leur origine embryonnaire vient de la même masse que les noyaux sensitifs du trijumeau; 3° Le faisceau en rappo
tie la plus profonde des colonnes de Turck et se terminent dans les noyaux des nerfs cervicaux. Ils président aux impressi
lle avait été déformée en la dépouillant de ses mé- ninges ; 2° les noyaux des cellules volumineuses ont une forme ovalair
que celles du renflement brachial ; on remarque en outre que leurs noyaux sont plus gros, et leurs masses protoplas- miqu
La première observation est un cas de ramollissement embo- lique du noyau caudé, du noyau lenticulaire, de la partie anté-
rvation est un cas de ramollissement embo- lique du noyau caudé, du noyau lenticulaire, de la partie anté- rieure de la c
ie gauche sans perte de la sensibilité. Dans l'observation II, le noyau caudé gauche était détruit par une hémorrhagie, a
fibres antérieures de la capsule interne et de la partie externe du noyau lenticulaire ; il y eut hémiplégie droite avec
alors que, dans l'intervalle des blocs proto- plasmiques chargés de noyaux au niveau desquels il est rétréci, le cylindre
t dévié de sa direction par des amas nom- breux et considérables de noyaux , et, cependant, la dégénération wallérienne ne
pas d'exemple. On peut compter (PI. I, fg. 5) jusqu'à dix et quinze noyaux contenus dans une même masse cohérente de proto
s'il est possible d'y rencontrer quelques petites accumulations de noyaux indiquant un processus irritatif. Ajoutons qu
l Üitt]a di's'pitVioI;\iè' ]d; ;]b'tdcé)fgranuÎèuSîr'Ÿ61siil([ du noyau de ces cellules. Une seule lésion's'est présentée
ft )P.;H t'l' 11rn, rW f : ;·rl ,1 \... ? v , ,1 1 - - r tomique du noyau . M. Meynert a signale, dans les foyers Il. l, '
munies , '0*UjJjJR')' ,-l ? sa ? f· . 1 ' mv I. · ! a 'n de deux noyaux . Le fait tut conteste ; M. Mierzejewsky le 'è n
llules pathologiques dont nous parlons, appar- tiennent bien à deux noyaux différents, et parfois très ' I ..J, J , I i ^
nous ·, ! ')) -. J4 - ' . , ' avons constaté l'existence de deux' noyaux , ne peut pas être mise en doute. D'abord, les é
il ')I...iJ ! IOJ)jlllllll 1 ¡ "JB{I¡ilXIr'hl'" pourtour,'de leurs noyaux , . t vljAv ? JI hUq."III'i 1J t'L' ' ! Jlhl ,.¡
érable des - U,.>\..j(jb r 1,( , l lu 1 -. ,ir· p.'1. · J 1 .. noyaux et le développement énorme du système capil- r
- . il 1 rJ' til1-1,1 9 Il 1 f()r rosé, très délicat et parsemé de noyaux recouvrant ça - 1", ? l 't il j HI j"" (' Il "
prend immédiatement, c'est le nombre tout à fait extraordinaire des noyaux dissémi- DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 247 .M ''
/ 1 : ,....,t. C)1111 '1J ¡t" t"'4' ? }1 , pu nous assurer que ces noyaux sont au moins deux ."Il ., 1,(.(,. " M.1 ' |,&l
r Arrr, -)<-))).)f a ? 1 f, , Ces éléments, qu'on appelle a tort noyaux de la'ne- iir P ? U'Jj ' . 11) '... ' I 1 a.'V
1,' ? ? ( i 1 r. ('1 "f 1 , , ,. . ces éléments araignées avec les noyaux de la névroglie. - "il" l" w ? '1 \ 1 1 \ , U
m - - T T, rt·n(1fT rlll nf)rJiHll'll1 ! otlhl..lJ1 \.)1.1) ? d - noyaux ,' et même, sur certains points, il n'ya plus ? le
certains points, il n'ya plus ? leT' ? r,), .tttC, Gb.111 l ? \' R. noyaux ,'il-n y a plus que des .çél uléscarainées ? Rien
16r'iJ; j' c. 1 1 mv z guées se' forment aux dépens, des prétendus, noyaux , m 1'" '[li'1 ! i p,ql11l1',) 1 î'll 'iJ...,p w
t '.1 ? fil.;... , , Ii M O - >' elles( renferment deux ou trois noyaux , .quelquefois \, l' ? c,my, I ? ) t,fIl j'U "1
'n r 1 n f'* l" f, fi. ? J -1 t .. b' ! , 1 " renferment qu un seul noyau , ^enveloppe, par, un pro- , 1 toplasmàllieàuëoü
s qui ren-, ' ferment côte - côte* des cellules araignées et des, noyaux en nombre parfois'égal, on a peine à distin;. D
I ,... ? 1 Il c \ gu'er"cesrtoüfes'Ipetites cellules araignées des noyaux . 'ln1 ...(1' 11 ,1 11.· ? r , 1\ '' . , ' . /
l 111 Il ii" 'ii'1, j" " ... une 1 filiatIOn" la' transformation du noyau , en ? cellules.- , > ,1" . ,ri . ? >>
? n )11 n .... \ Iq 1) V ,1 r ... l araignées 'à" un "où plusieurs noyaux ...il,, existe, des 1 3 -... ? t ,V'«1 ) .'1 ?
ellules araignées , elles- , mêmes, 'mais qui ne renferment pas, de noyaux .» La coloration est aussi exactement identique,
dentique,, elle, est d'un rose pâle, uniforme. De cette absence, de noyaux ? nr r' ' 'T, '"1 1 ? 1111'U . H'M1" ' " " M.
ous voulons parler 'des cellules araignées qui sont pour- vues'de noyaux .'Ensuite le nombre, de ces, corps ra- mifiés es
x, peuvent être sectionnés de telle sorte que ' j.J°'1 t'f l' le - noyau ne, soit pas compris, dans la préparation ? ' U
et que leurs^ramifications elles-mêmes renferment quelquefois .des, noyaux . ,De cela, 1\1. Mierzejewsky a,induit que ces n
lquefois .des, noyaux. ,De cela, 1\1. Mierzejewsky a,induit que ces noyaux étaient simplement lengbbesj dans,les condensat
is il nous semble que les; coupes suffisent à démontrer que, le . noyau 1 fait bien, partie intégrante de ces, éléments,
e à l'ap- pui de,.cette opinion dans l'existence de ces séries de noyaux englobés dans des masses protoplasmiques »de pl
e plus en plus abondantes; si bien qu'à un moment donné, au lieu de noyaux on ne voit plus, sur certains points de la' cou
upe, que les seules cellules araignées. De plus, s'il s'agissait de noyaux simples, absorbés au hazard par les ramificatio
tution Il 11 ,11 rfArT.'ll t'iMl i'- . j,rif, 'ri 1 ' 1 , ,%. des noyaux . Leurs 'dimensions* se1 sont ? presque tou- jou
multiplication notable des . - ' -)) ? 1 - . tif 1. 1 fil *1 ) 1 noyaux des parois capillaires ainsi que des hemorrha-
etits vaisseauxrdes' foyers- d'encéphalite.tOn-voit' alors' leurs noyaux saillir, soit à l'extérieur, soit à l'intérieur,
u- laire. Fig. 6 et 7. - Vaisseaux dont les parois renferment des noyaux qui proéminent tantôt en dedans, tantôt en deho
t en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. - Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé. L'explication des Planches VI, VI
wann) seule persistantLet présentant, de distance en. distance, des noyaux ) comme cela,se rencontre- dans de stade ultime
ut-elle pas s'expliquer paires lésions intéressant partiellement Je noyau d'origine très étèna, d la troisième paire. En
par une large ouverture ; cet orifice per- mettait d'apercevoir le noyau caudé du corps strié, la couche optique, et une
é : déprimés sur ses parois, on distinguait la couche optique et le noyau caudé. Sur l'hémisphère cérébral gauche, on ne
ulaires sont dif- fluentes, sans qu'il y ait eu d'hydrocéphalie. Le noyau intra- ventriculaire du corps strié à droite es
tement défaut et qu'il existe à peine dans chacune d'elles un petit noyau purulent gros comme une tête de ca- mion. La ba
t être auparavant la subs- tance grise. Dans ce tissu scléreux, les noyaux ne sont pas beaucoup plus abondants qu'à l'état
, passant en avant du corps restiforme, va aboutir, en partie, à un noyau diffus à grosses cellules et, en partie, au cor
que ces racines proviennent de quatre sources distinc- tes : 1° du noyau moteur; 2° du raphé; 3° du noyau sensitif et 4°
uatre sources distinc- tes : 1° du noyau moteur; 2° du raphé; 3° du noyau sensitif et 4° de la bandelette solitaire. B.
es corps striés. Foyers de ramollissement à la partie inférieure du noyau intraventriculairo gauche et à la partie extern
rieure du noyau intraventriculairo gauche et à la partie externe du noyau droit. Rien dans les autres organes, sauf dans
convolutions frontales. L'oeil était intact. On trouvait encore des noyaux mélaniques dans le coeur. C. T. LV. Du SPASME
xtrême dans le corps rhom- boïdal mesurant environ le diamètre d'un noyau de prune ; il a à peu près la dureté du cartila
a', l'avant-mur, ouclaustrum,^,; la capsule externe, Cx, en haut le noyau lenticulaire assez épais, NI, la capsule 516 6
rébrales ; le troisième enfin, une nJéQsplrgq mation, située sur le noyau caudé du,côté,droit,,et où - uu'iavfi e.nfao ,0
)liriQ H I "il * ? - ! ) .O01<V«rl ! la base du cerveau en trois noyaux : ]4e'nov.'al)u'cbjajuid'é'É,L' , ..... -"» i-
l)u'cbjajuid'é'É,L' , ..... -"» i- Fr ao-nBjyn 0 ' -Iloti 11,2 le noyau lenticulaire, la couche, optique. Il convient ,
te pas sur Me 1 i-' r 'l a;/ , - - Pj i+;TTm ? ., 1 'r c>7f"ic noyau lenticulaire. La tête du noyau caudé n est sépa-
, - - Pj i+;TTm ? ., 1 'r c>7f"ic noyau lenticulaire. La tête du noyau caudé n est sépa- z rée de 1 S a , nR o. , par
e par, . ifT9îvrtoo, Il m.'trfn J31 9'ABt,UOl)0'»l Ufi/Gï', 91 le noyau lenticulaire : a droite, cette séparation a subi
te du -nn°Of. fjj a'iofl9h (Kl ..97lilfi0jli ? l 0R/O-I 9l, aiJVR noyau caude. La hauteur de la capsule mesure de 23 a
UiuJfMu 9u0 .1p lat'l^Uia ? ' . , calleux la section empiète sur le noyau lenticulaire et anon" ! en-rr-n 1 1 1,1 r ? li.
us. 3-Uit-vil ili'li') tu'. 0 ? J ' "roi ,* : >< 1 Comme le noyau lenticulaire, est relativement^ con- 3Br 'iki;
\ q')6(; ? , 1(t., - , -t,- ? tatee .dans la première section ou le noyau lenti- - «1 £ 1- pql l'TRV[lI8 .V'.l'^W fc0 ? l
, q fir 1 (TOI RI 1, ? «'.1( ! P ? ) ? ' <; . -4 : , 1 rieure du noyau caudé, qui s'offre ici sous la forme d une band
i';+ m .'0 le, t ? .o ? p.r^,roT2 vi'i"^) 1 (1' Il', -" , ,avec, le noyau lenticulaire. En dehors,, ce, même seg- B J-S o
ont combles par des'traînées'de t ? ujjjt.t'ju qui mettent les deux noyaux en coin- substance grise qui mettent les deux n
ttent les deux noyaux en coin- substance grise qui mettent les deux noyaux en com- ai» oi.'Ui.».JJJFaiJ01 ? f.lrt ! 8 ? )
-,Iij) Ibli 'Ili,, A "3ïër, P-nrrf)q séparent complètement les deux noyaux ; le segment supérieur est à peu près le même qu
""H'' ep 0RW.r rj, 1.< ? riai» 7,'rt, .1 extrémité supérieure du noyau caudé très réduit F-Ju- »oou;tOj i/jiii ? r; ma
.)1),U. 'ti '> 'si) ni, f fl Ir et avec les lames médullaires du noyau lenticulaire : Ce ' llill . Jim. 9TT«IOtACTR1 r
llill . Jim. 9TT«IOtACTR1 rro 4 £ 3f-,Fs, t îtt=>'> l-rH^n ? noyau est plus volumineux que dans la coupe prece- ? 'i
11, rnv C), (ici ckmmr%-% ,.jtf ? semble avoir grossi aux dépens du noyau caude, grâce DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COU
un.'iy ul) oïsniR na p^r^crî'V.to^'.o™* , ,en dehors et en, bas, du noyau caude, et.de la couche bi.,ji : nj jlii9.'01 9'
1-j ); /laifasb 91 ai0 : iiC'> : : u] ? fr. ,blanc sus-jacent au noyau de Luys.tres oblique en J<U ? < r.\nS M"j
lll ! Ell lr af'jt(< ? t ' ..libres, fines procède également du noyau rouge de ? P'-1 ? 0S-ava0 .'39 a j ^-UBlirai.» t&
- ? ? , tj .e.BYj smVu les rapports de lai capsule interne avec les noyaux , 1 - i r ». - 1 P.u..v4 ,w^ii,jij t ? j ? iU-.
sparition du cylindraxe; en même temps multiplication graduelle des noyaux et des matières protoplasmiques. Ces phénomènes
es proviennent, selon lui, dû protoplasma qui remplit la gaîne, les noyaux , eux, disparaissant graduelle- ment ; quant à l
iennes. Cette période est enfin caractérisée par la disparition des noyaux de la gaîne qui subissent la simple transformat
nt ni ne se régé- nèrent jamais complètement. La multiplication des noyaux , quelles qu'en soient l'abondance et la dissémi
e osmique et au milieu desquelles on distingue un certain nombre de noyaux colorés en rouges. C, D, extrémités des deux se
myéline réduite en goutelettes renfermant un assez grand nombre de noyaux colorés en rouge et représentant les vestiges d
ent. B, B, amas de myéline granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en rouge. Fig. 6. Segment interannulair
e à nu dans la gaine de Schwann, et accompagné d'un grand nombre de noyaux . En B, B, ces noyaux sont entourés de granulati
de Schwann, et accompagné d'un grand nombre de noyaux. En B, B, ces noyaux sont entourés de granulations colorées en noir pa
p(l) le, cylindre d'axe. "A, enveloppé par la gaine de Schwann. B, noyaux et goutelettes graisseuses situés sous la gaine
auration. A, A, gaine de myéline mince de formation nouvelle. B, B, noyaux situés sous la gaine de Schwann et entourés en A
mplacé par une série de segments minces et courts. A, A, pourvus de noyaux assez nombreux, B, B, et séparés par des étrang
du côté de C, les segments interannulaircs sont plus courts et les noyaux plus abondants que du côté de D. EXPLICATION DE
particularités des lésions segmental1'es circonscrites. Fig. 13. A, noyau normal d'un segment interannulaire terminé en b
B, qui a seule dégénéré, est séparée de la gaine de Schwann par des noyaux entourés de protoplasma. .1, partie profonde de
étranglements D, C, G. a, b, F, portions minces restaurées. - A, B, noyaux médians des segments. E, extrémité du segment B
rès fort grossissement. A, cylindre d'axe. B, gaine de" myéline. c, noyau . Fig. 18. La fibre nerveuse constituée par des
de névrite lraumatique. - lt, ? étranglement interannulaire. N, N, noyau du segment interan- nulairc. Fig. 19. Névrite
rcu- laire. Fig. 6 et 7. Vaisseaux dont les parois renferment des noyaux qui proéminent tantôt en dedans, tantôt en deho
tôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé. EXPLICATION DES PLANCHES. 673 P
convolutions, pénétrant dans le ventricule latéral. C S, surface du noyau caudé. P C, pmciiiieiis (ou lobe quadrilatère,
t du chiasma des nerfs optiques. (C'est la face postérieure). NC, noyau caudé. 0, avant-mur (claustrum). C e, corps c
ui pénètre dans le ventricule latéral, et arrive directement sur le noyau caudé. la, substance grise de la portion antéri
de la portion antérieure de l'insula, déprimée, et arrivant sur le noyau caudé. D, Coupe transversale du lobe frontal de
a capsule interne. , une partie de la commissure antérieure. N C, noyau caudé. - N L, noyau lenticulaire. - T o, couche o
, une partie de la commissure antérieure. N C, noyau caudé. - N L, noyau lenticulaire. - T o, couche optique, (thalamus
ce posté- rieure.) T o, couche optique (thalamus ojdicus). - N L, noyau lenticulaire. 682 EXPLICATION DES PLANCHES. '
ème circonvolution frontale. F S, ligne fornicato-sylvienne. N c, noyau caudé. S S, scissure de Sylvius. 684 EXPLICAT
an t-Ill lIl' , C c, capsule externe. C i, capsule interne. Ne, noyau caudé. N t, noyau lenticlllairl', EXPLICATION
c, capsule externe. C i, capsule interne. Ne, noyau caudé. N t, noyau lenticlllairl', EXPLICATION DES PLANCHES. 680
ato-sylvienne. F V, fasciculus uncinatus 1, insula de Reil. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticulaire. a cl, anse cau
V, fasciculus uncinatus 1, insula de Reil. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticulaire. a cl, anse caudo-lenticulaire.
ne. C oy, couche optique. Fs, ligne forilicitc-sylvieillie. Ne, noyau caudé. N L, noyau lenticulaire. R 1, racine i
ptique. Fs, ligne forilicitc-sylvieillie. Ne, noyau caudé. N L, noyau lenticulaire. R 1, racine inférieure delà couch
7 PLANCHE XIX C i, capsule interne. C op, couche optique. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticulaire. R P, ruban par
i, capsule interne. C op, couche optique. Ne, noyau caudé. NI, noyau lenticulaire. R P, ruban paracentral. /{ V, r
1, faisceau de lleynert. F v, fibres d'association veltlcale. Ne, noyau caudé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noy
ert. F v, fibres d'association veltlcale. Ne, noyau caudé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noyau rouge de Stilling
veltlcale. Ne, noyau caudé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noyau rouge de Stilling, Lut. S, locus niger de Soemm
23 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
veau de la base, elle subit une semi-décussation : une partie va au noyau du droit interne du même côté; l'autre franchit
terne du même côté; l'autre franchit la ligne médiane pour aller au noyau du droit externe opposé. Il fait remarquer à
u cerveau, qu'une * gangue de tissu-conjonctif épaisse, couverte de noyaux , entoure les tubes nerveux. Ceux-ci sont pour l
lement le centre médian, elle ne gagne que la partie postérieure du noyau latéral; quelques fibres s'épanouissent directe
ieur à celui des autres (78°). P. KERAVAL. IV. DE l'organisation DU noyau principal DE l'oculomoteur COMMUN et DE la POSI
s tue dans les neuf à quatorze jours suivants. On fixe la légion du noyau de l'oculomoleur commun par l'alcool à 96°, on
i qu'il a vidé la cavité oculaire, toutes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au type moteur ont dégé
fibres radiculaires provenant de la partie la plus postérieure du noyau s'en vont à l'a;il du côté opposé après s'être en
e-croisées dans le repli. On trouve même dans les autres régions du noyau servant à J'inervation de l'organe du même côté
t des fibres à l'oculomoteur du côté opposé. Les divers segments du noyau qui nous occupe ne sont d'ailleurs point absolu
r des limites tranchées. On doit reconnaître dans l'organisation du noyau de l'oculomoteur commun une portion reculée (su
une zone pauvre en cellules. Dans la pre- mière on rencontrerait le noyau postérieur (dorsal) de Gudden. Dans la seconde,
agnant la ligne médiane, il faudrait placer la partie antérieure du noyau antérieur (ventral antérieur) de Gudden. Ceci d
9 lomotcur commun, que le droit supérieur qui soit innervé par le noyau du coté opposé. Les fibres radiculaires qui lui s
nnent de la moitié postérieure du segment reculé (postérieur) de ce noyau . Ce serait presque le noyau dorsale (postérieur)
re du segment reculé (postérieur) de ce noyau. Ce serait presque le noyau dorsale (postérieur) de de Gudden. ' 2° La mo
droit inférieur tire ses fibres du segment rapproché (antérieur) du noyau du même côté ; à cette zone appartiennent encore
'y rendent proviennent des cellules disséminées sur tout le côté du noyau homolatéral qui occupe le faisceau longitudinal
cellules situées entre le segment reculé et le segment rapproché du noyau en question ; peut-être aussi la moi- tié des c
ieur, constituent la pointe la plus externe du segment rapproché du noyau . C'est là tout ce qu'il y a de certain. L'auteu
vation du globe de l'oeil ont leur centre dans le segment reculé du noyau des deux côtés. b). Il y a mélange intime des c
oit interne, dans la pointe la plus externe du segment rapproché du noyau ; on pourrait, à juste titre, désigner ce point
de déterminer la place de la racine spinale du trijumeau et de sou noyau , dont voici provisoirement les résultats quant
de la coupe transverse de la racine. Go Les parties postérieures du noyau et la corne dorsale de la demi-lune radiculaire
n arrière du territoire radiculaire qui vient d'être décrit dans le noyau de Burdach et aux envrions on rencontre une zon
l'iris. Si on la lèse seule, sans atteindre les parties voisines du noyau , la pupille se rélrécit au maximum. 8° en même
tances qui contiennent de la nucléine; elles sont éliminées par les noyaux des cellules, pendant la fonte des tissus du co
prolongements demeuraient indemnes constamment : ' 4° intégrité eu noyau et du nucléole; 5° quelle que fût l'intensité d
former un réseau intra-eellu- laire. Au centre de la cellule est le noyau avec son nucléole ; autour du noyau, se trouve
Au centre de la cellule est le noyau avec son nucléole ; autour du noyau , se trouve une couche concentrique d'éléments c
au voisinage du cylindre-axe ; puis cette chromatoylse s'étend, le noyau se place excentriquement ; enfin la striation d
- tion de la substance achromatique, soit du protoplasma, soit du noyau . Cette altération consiste, tantôt en une désinté
aso-dilatatrices seules du grand sympa- thique cervical ou de leurs noyaux d'origine. La turgescence des artères thyroïdie
du côté droit, des petits foyers de ramollissement' rouge dans les noyaux lenticulaire et coudé du côté droit, et dans la
du sommet du lobe temporal, un anévrisme oblong de la grandeur d'un noyau de citron dans la partie basilaire de l'artère
ès bien les cellules nerveuses (comme par la méthode de Nissl), les noyaux musculaires des vaisseaux, les cellules névro-
intéressent les prolongements protoplasmiques, le citoplasme et le noyau des cellules nerveuses. Elles représentent le s
rès légère échancrure jusqu'à l'état où la cellule est réduite à un noyau entouré d'un maigre reliquat de cytoplasme, sans
par cesdenteluresàlaposition prise par la cellule envahissante. Le noyau n'est jamais envahi, et alors même qu'il survit
erveau ne se colorent généralement pas dans leur totalité ; seul le noyau en est visible, entouré de gra- nulations proto
imaux inférieurs à l'homme. La même méthode rend très distincts les noyaux de la névro- glie. Les cylindraxes épais présen
eau, avec dégénérescence des cordons postérieurs, une altération du noyau de l'hypoglosse, l'altération du faisceau de Co
rchi et de Pal, et ont ainsi relevé l'existence de lésions dans les noyaux du moteur oculaire commun, du moteur oculaire e
e antérieure cervicale, ainsi que dans les nerfs qui émanent de ces noyaux . Les lésions des cellules des centres nerveux c
Etant donné le type très variable des altérations des cellules des noyaux protubérantiels, il s'agit sans doute d'une altér
s; le corps cellulaire avait une teinte uniforme nébuleuse certains noyaux étaient tuméfiés, se colorant mal ou pas du tou
al ou pas du tout; il en était de même du nucléole. Par places, ces noyaux au lieu d'être centraux, étaient refoulés à la
it que le tissu normal de la glande est détruit et remplacé par des noyaux de nouvelle formation et par des masses caséeus
s raréfiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux lobes. Noyau rouge droit légèrement plus petit que le gauche
che beaucoup plus petite que la droite. Atrophie scléreuse des deux noyaux dentelés à la partie postéreure seulement. Moel
idéré comme un petit organisme. Scloifer, Strümpell, voient dans le noyau cellulaire le facteur trophique de la cellule, pu
ur, et présentant un aspect réticulé. Dans les grosses cellules, le noyau est presque toujours environné d'un espace clai
De même encore au cône d'origine du prolongement nerveux. Autour du noyau , enfin, existe une petite zone homogène, claire
réussir à poursuivre cette striation jusqu'au cône d'origine. Le noyau se distingue, avant tout, par la grosseur considé
seur considérable de son nucléole, toujours unique chez l'homme. Le noyau a, en moyenne de 16 à 20 p.; le diamètre du nuc
nd Neivenkr., XXIX, 345. 380 REVUE CRITIQUE. un tiers de celui du noyau : il possède le plus souvent 6 ta. Com- parés a
i du noyau : il possède le plus souvent 6 ta. Com- parés aux autpes noyaux , ceux des cellules des ganglions spinaux sont d
es il passe, durant son long pat cours des racines postérieures aux noyaux des cordons postérieurs. Le pro- longement nerv
t de la racine inférieure du trijumeau. Les cellules ner- veuses du noyau d'origne du nerf pathétique sont bien des cellule
tuméfaction hyaline du protoplasma et quelquefois la destruction du noyau . Le même phénomène se manifeste dans les cellules
agrégation granuleuse et raréfaction graduelle du protoplasma et du noyau dans toutes les cellules nerveuses et névrogliq
thélium de revêtement du canal central; les cellules épithéliales, noyau et protoplasma, se colorent mal. Dans les termina
aitement efficace dans les scolioses. R. C. LXII. Ramollissement DU noyau lenticulaire ET DE la capsule interne ; Anosmie
l'hôpital, on a trouvé un ramollissement céré- bral intéressant le noyau lenticulaire et la capsule interne ; l'écorce é
raît venir du lobe pariétal (pli courbe); de là les fibres vont aux noyaux qui constituent l'ancienne origine réelle du ne
t aux noyaux qui constituent l'ancienne origine réelle du nerf. Ces noyaux , peut-être aussi nombreux que les nerfs termina
est là que siège le chiasma de l'oculo-moteur commun; de cer- tains noyaux , notamment de celui de l'élévateur de la paupière
, partent des filets radiculaires qui s'entre-croisent; et d'autres noyaux , notamment de celui du droit interne, parlent d
au géniculé, s'entrecroisent là sur la ligne médiane et abordent le noyau d'origine situésousle plancher du quatrième ven
noyau d'origine situésousle plancher du quatrième ventricule. De ce noyau partent les fibres radiculaires qui vont tout s
bres du pédoncule cérébelleux supérieur ne se terminent pas dans le noyau rouge, mais le traversent seulement. En résumé,
ur les autres l'avantage de teinter seulement les cellules et leurs noyaux , indépendamment du fond de la préparation qui r
des cornes antérieures étaient formées principalement d'un grand noyau , entouré d'un réseau achromatique tantôt étroit,
s pathologique est localisé autour des ventricules et intéresse les noyaux des nerfs crâniens (Il[, IV, VI, X, etc.). Sur
lésion du pédoncule cérébral gauche avec participation probable du noyau rouge. L'auteur a eu l'occasion d'observer un
SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 1 gauche du cervelet avec dégénération du noyau rouge droit, du corps restiforme gauche, de la
s cérébelleux supérieurs sert de connexion entre le cervelet et les noyaux de la tige cérébrale (couche optique et noyau l
e le cervelet et les noyaux de la tige cérébrale (couche optique et noyau lenticulaire), l'auteur considère les mou- veme
les couches optiques et le cervelet. La soustraction du système du noyau rouge dans le cas de Bonhoëffer a également don
rcés compliqués : hémichorée, athétose; -destruction du système des noyaux rouges qui relient les noyaux de la base avec l
athétose; -destruction du système des noyaux rouges qui relient les noyaux de la base avec le cervelet (Bonhoëffer, l'aute
niveau de la douzième dorsale, par exemple), on trouve une nappe de noyaux , très inégaux, assez vigoureusement teintés par
, très inégaux, assez vigoureusement teintés par les colorants; ces noyaux fcnt partie de cellules dont le proto- plasma d
s fragile et peu abondant, car il est impossible d'isoler autour du noyau un contour cellulaire précis, et, de plus, ces
oler autour du noyau un contour cellulaire précis, et, de plus, ces noyaux sont très abondants et très pressés; ils plongent
cellule. Par points, il semble qu'on pourrait penser que plusieurs noyaux appartiennent à la même cellule, parce qu'ils se
ire n'est nulle part normal; à sa place est une nappe de cellules à noyau vigoureusement coloré; cette nappe devient moin
oelle, il n'y a pas de différence morphologique, les caractères des noyaux sont identiques, leur léaction aux colo- rants
à tourbillon. Les cellules n'ont pas modifié les caractères de leur noyau ni ceux de leur protoplasma fragile, grêle, pei
quant de contour. A la périphérie des lobules les cellules et leurs noyaux UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 44S surtout so
tains lobules, les plus étendus en général, paraissent dépourvus de noyaux et de cellules et ne plus être constitués que par
ubstance granuleuse dans laquelle partout ailleurs sont plongés les noyaux . Nous n'avons pas retrouvé cet aspect du néoplasm
re dorsale viendraient de plus haut, du bulbe pour la plupart, d'un noyau voisin du noyau constric- teur, près de l'aqued
raient de plus haut, du bulbe pour la plupart, d'un noyau voisin du noyau constric- teur, près de l'aqueduc de Sylvius po
terpréter ces grains semés sur les racines, autrement que comme des noyaux métastaliques répandus à diverses hauteurs dans
HOLOGIE MENTALE. répétons, on trouve toutes les transitions sur des noyaux différents et même sur un seul noyau; on voit d
outes les transitions sur des noyaux différents et même sur un seul noyau ; on voit des lobules partie cellulaires et tout
à la tumeur primitive, partie fibrillaires ; de même dans un seul noyau tel lobule est exclusivement fibrillaire, tel aut
Comment interpréter cette fibrillation qui apparaît dans certains noyaux métastaliques de la tumeur ? Quelle peut être l
s. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL (moteur commun, mot
de nouveau-nés, l'auteur admet que le moteur commun possède quatre noyaux , deux principaux, un pair, l'autre impair, et d
de quatre noyaux, deux principaux, un pair, l'autre impair, et deux noyaux pairs accessoires. Le plus gros est situé au-dess
ne médiane, et renferme des cellules moyennes multipolaires. A ce noyau viennent s'appliquer directement les fibres de la
e longitudinale postérieure parait traverser la partie externe du noyau . En même temps, les deux noyaux se touchent et se
arait traverser la partie externe du noyau. En même temps, les deux noyaux se touchent et se pénè- 480 REVUE D'ANATOMIE ET
u moins par leur bord interne. Au niveau du liers anté- rieur de ce noyau , on aperçoit un noyau médian à grosses cellules;
interne. Au niveau du liers anté- rieur de ce noyau, on aperçoit un noyau médian à grosses cellules; - sa partie externe
ie antérieure. La plus grande parties des fibres qui partent de ces noyaux se dirigent en avant et en dehors. Un petit nom
en dehors. Un petit nombre, provenant de la partie pos- térieure du noyau principal, s'entrecroisent et constituent les fib
partie de la bandelette longitudinale postérieure se perd dans le noyau du moteur commun. Le reste, à partir du segment a
noyau du moteur commun. Le reste, à partir du segment antérieur du noyau principal, s'éloigne peu à peu de la substance gr
éloigne peu à peu de la substance grise centrale et pénètre dans un noyau qui appartient à la commissure poslé- térieure
issure poslé- térieure et que Daikscliewitscli considérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le noyau du moteu
witscli considérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le noyau du moteur commun reçoit, en outre, les fibres p
s à son sujet. L'em- bryologie permet de placer son origine dans un noyau situé dans la bandelette longitudinale postérie
uivre sur le cerveau du foetus les racines du pathétique jusqu'à ce noyau . Le dévelop- pement montre égalemeul l'entrecro
égalemeul l'entrecroisement total du pathétique. Pour ce qui est du noyau du moteur externe, l'embryologie permet d'affir
n'existe pas. Bien des obscurités subsistent sur les connexions des noyaux des moteurs externe et commun. Duval et Laborde
t attiré l'attention sur l'existence des fibres qui se dirigent, du noyau du moteur externe, sous le plancher du quatrièm
du moteur externe, sous le plancher du quatrième ventricule vers le noyau du moteur com- mun opposé. Mais ces recherches
s racines du moteur commun, certains auteurs ont pensé que ces deux noyaux étaient directement reliés par des fibres qui t
ersaient la bande- lette longitudinale postérieure. En tout cas, du noyau du moteur externe parlent un assez grand nombre
la bandelette du côté opposé. Sans doute, ces fibres relient les noyaux du moteur externe et du moteur commun du côté opp
s noyaux du moteur externe et du moteur commun du côté opposé. Du noyau du pathétique se détachent des fibres qui vont da
président aux mouvements associés des pupilles. Enfin, entre les noyaux du moteur commun, on trouve un système défibres d
tion et modifications morphologiques des éléments cbromatopbiles; noyau et nucléole petits; aspect ovalaire du noyau; pro
éments cbromatopbiles; noyau et nucléole petits; aspect ovalaire du noyau ; prolongements protoplasmiques plus visibles qu
UE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. corps cellulaire, du noyau et du nucléole, mais pas de véritables lésions.
e la chromatolyse, un'état foncé de la substance achroma- tique, un noyau à contour vague et d'un volume réduit; un nu- c
e cylindraxe est difficile à reconnaître, mais netteté du corps, du noyau , du nu- cléole, du pigment. Dans le corps de la
rmant un réseau à mailles dont le treillis est plus dense autour du noyau ; d'aucuns ont même l'air de traverser com- z p
du noyau ; d'aucuns ont même l'air de traverser com- z plètement le noyau tandis que quelques-uns ne franchissent pas le
rayons du miel et de l'éponge. La périphérie du pigment opposée au noyau semble recouverte d'une espèce de calotte d'un
te d'une espèce de calotte d'un bleu intense; de même, tout près du noyau , autre calotte foncée. Le noyau, bleu pâle, ave
bleu intense; de même, tout près du noyau, autre calotte foncée. Le noyau , bleu pâle, avec ses nucléoles, bleu foncé, où
che toujours sur le reste de la cellule. Dans quelques cellules, le noyau est franchement séparé du corps de la cellule p
énérescence des fibres des racines motrices et sensitives jusqu'aux noyaux correspondants; b) La dégénérescence descen- da
érescence descen- dante des racines spinales (Obersteiner), dont le noyau originel forme la substance gélatineuse de Rola
lesquelles elles quittent le cerveau; quelques-unes entrent dans le noyau moteur et se distribuent aux cellules de ce der
ux cellules de ce dernier. 4° La lésion du cer- velet tout près des noyaux du trijumeau ne permet pas de suivre le trajet
ur la ligne médiane du côté opposé, vont des deux côtés du raphé au noyau moteur. Ce sont peut-être les fibres des pédonc
fibres des pédoncules cérébraux décrites par Meynert qui relient le noyau du trijumeau à l'écorce (voie centrale). P. 111
ES. 493 absolu. L'alun liématox3-lique colore irréprochablement les noyaux . La coloration des cylindraxes peut se faire da
es centres d'association dans toute leur étendue s'unissent avec le noyau médian de la couche optique, par quelques fibres
limitations des sphères seusorio-corticales, tant que le rapport du noyau médian de la couche optique avec les conducteurs
'y a pas d'autopsie. Il faudrait constaterl'atrophie congénitale du noyau du facial, ou la lésion primitive des muscles,
aire, limitée, sur une coupe transverse par l'olive supérieure, le noyau du facial, les racines émergentes du facial et
érées montent vers le cerveau dans la même situa- tion vis-à-vis du noyau latéral du ruban de Iteil. Le ruban de ltell la
uban de Reil latéral se divise en deux trousseaux qui embrassent le noyau du tubercule quadrijumeau. Nous renvoyons pour
dons laté- raux, gagnerait la substance réticulaire et, côtoyant le noyau des pyramides, l'olive accessoire, les olives s
ne, .f9s. Notes. Utilité des - mensuelles, par Hospital, 340. Noyau lenticulaire. Ramollisse- ment du - et de la ca
ez une dégénérée hystérique, par A. Vigoureux,331. OCULOMOTEUn. Noyau de l'- com- mun, par Schwabe, 48. Noyaux des
goureux,331. OCULOMOTEUn. Noyau de l'- com- mun, par Schwabe, 48. Noyaux des nerfs, par de Bechterew, 479. Olives infé
24 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
u'une apparence indistincte, où il est im- possible de retrouver le noyau et les granulations protoplasmiques. La loca- l
contrastant avec une légère chromatolyse de certaines cellules. Les noyaux bulbaires présentent en effet quelques cellules
nts cellulaires, des héma- ties, des myélocytes ordinaires, avec un noyau arrondi, gonflé, et de dom- breuses gouttelette
ent répartie (fig. 2), constituée par des éléments fibreux dont les noyaux sont ronds, ovalaires ou fusiformes et sou- ven
entriques ; les cellules conjonctives qui le composent montrent des noyaux en assez grand nombre et à la périphérie du manch
constituent sont allongées dans le sens des fibres nerveuses, leurs noyaux , ovalaires ou fusiformes, sont de dimensions vari
s représentées que par des boyaux de tissu conjonctif contenant des noyaux arrondis ou allongés. Le tissu conjonctif inter
l reste des espaces vides très larges occupés par un tissu riche en noyaux . Les nerfs contiennent encore des fibres qui ont
entre les fibres ; ce névrilème hyperplasique contient beaucoup de noyaux ainsi que la gaine de Schwann. Ces lésions se r
contenant pas de fibre nerveuse mais un point rose qui est soit un noyau , soit un cylindre-axe. Les lésions des nerfs vont
isfaisante, l'étude des éléments cellulaires de la corticalité, des noyaux gris centraux, ainsi que des masses grises de la
festement atrophiées, avec une forme globuleuse dans la plupart. Le noyau n'est pas visible, elles manquent de prolongement
de sclérose ou d'infiltration embryonnaire ou de multiplication des noyaux . Les vaisseaux ne paraissent pas malades. Noy
ltiplication des noyaux. Les vaisseaux ne paraissent pas malades. Noyaux centraux. - Le noyau dentelé ne paraît pas avoir
x. Les vaisseaux ne paraissent pas malades. Noyaux centraux. - Le noyau dentelé ne paraît pas avoir subi une atrophie :
e pas dire qu'il existe à ce niveau une raréfaction des fibres. Les noyaux accessoires de l'olive,le bouchon et le noyau sph
tion des fibres. Les noyaux accessoires de l'olive,le bouchon et le noyau sphérique ont pu être étudiés sur les coupes sé
sent être bien développés et contenir de nom- breuses cellules. Les noyaux du toit sont bien visibles et paraissent aussi
n développés el contenir des cellules aussi nombreuses que dans les noyaux du toit des coupes normales témoins. Dans l'intér
noyaux du toit des coupes normales témoins. Dans l'intérieur de ces noyaux il existe un réseau myélinique dense, et on peu
ussi les nombreu- ses fibres qui vont constituer, en arrière de ces noyaux , l'entrecroisement des noyaux du toit. Substa
ui vont constituer, en arrière de ces noyaux, l'entrecroisement des noyaux du toit. Substance blanche centrale des hémisph
phères ; elle n'est pas décolorée, ne présente ni multiplication de noyaux , ni prolifération du tissu interstitiel, ni 76
le cervelet. C'est ainsi que nous pouvons nous borner à dire que les noyaux de Deiters nous ont paru bien riches en cellule
s contiennent de très nom- breuses cellules, bien conservées. Les noyaux juxta-olivaires, interne et externe, sont aussi n
ficielles antérieures sont aussi abondantes qu'à l'état normal. Les noyaux arqués sont très gros, et riches en cellules ; le
ormal. Les noyaux arqués sont très gros, et riches en cellules ; le noyau latéral du bulbe est nettement apparent. Rien
l du bulbe est nettement apparent. Rien à noter non plus dans les noyaux des cordons postérieurs. Le corps restiforme, d
milieu des lamelles. La substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux ne montrent aucun fait de dégénér
e atrophie secondaire d'origine péri- phérique, due à la lésion des noyaux d'origine des voies afférentes au cervelet, ain
aucun point, en effet, nous n'avons constaté une multiplication des noyaux ni prolifération de tissu interstitiel, ni format
ystématisée inté- ressant les voies afférentes cérébelleuses, leurs noyaux et l'écorce. Notre cas, tout en entrant dans le
se limite presque exclusivement à la substance grise de l'écorce, le noyau du pont, les olives bulbaires et leurs voies af
s de Purkinje, à des altérations de la substance chromatique et des noyaux des cellules de Purkinje restantes et des cellu
t des noyaux des cellules de Purkinje restantes et des cellules des noyaux centraux du cervelet. Contrairement au cas de T
éral qu'une localisation de la sclérose latérale amyotrophique, les noyaux oculo-moteurs ne sont pas intéressés. On a surtou
ant,car l'ophtalmo- plégie paraît avoir débuté : l'envahissement du noyau masticateur avant- celui du facial se conçoit f
asticateur avant- celui du facial se conçoit facilement, puisque ce noyau est plus voisin de ceux de la 3e paire que le n
ent, puisque ce noyau est plus voisin de ceux de la 3e paire que le noyau de la 7e. HOSPICE DE BLC1 : TRG LABORATOIRE D
circonvolution frontale aboutit en avant etau-dessous de la tête du noyau caudé sans toucher en rien celle-ci, et que le no
de la tête du noyau caudé sans toucher en rien celle-ci, et que le noyau ventricu- laire,le thalamus,ainsi qne la capsul
où on note, à l'hématoxyline-éosine, une légère multiplication des noyaux névrogliques. Au milieu de ce tissu on aperçoit,
res- que toutes fortement atrophiées, rondes, sans prolongements ni noyaux ; ici et là on rencontre quelques vestiges des
fait « qu'en général lorsque les foyers siègent dans le domaine des noyaux du bulbe, les troubles de la circulation et de
iode aiguë, observe des lésions inflammatoires et dégénératives des noyaux des VII", ,VI",XlIe paires dans un cas, de la X
oelle allongée, de l'infiltration péri-vasculaire avec atrophie des noyaux des Ve, Xe, XIe (1) Huent, Revue neurologique,
s allongées parallèlement à la surface de la peau ; on y trouve des noyaux en assez grand nombre ; 3° Une couche de tiss
es corps genouillés externes et internes et la partie supérieure du noyau rouge, on voit un foyer de ramollissement qui o
peut-être les fihres les plus internes adja- centes à la capsule du noyau rouge et le bras du tubercule quadrijumeau anté
la substance réticulée de la calotte et pénètre en dedans entre le noyau rouge et le corps de Luys pour s'arrêter à la l
s précédentes, mais qu'en plus le prolongement qui pénètre entre le noyau rouge et le corps de Luys tend à augmenter d'éten
vient sectionner les fibres de la partie antérieure de la capsule du noyau rouge et effleurer à ce niveau la partie tout i
gure précédente, les fibres de la portion antérieure de la capsule du noyau rouge. Elle effleure même à ce niveau la partie
yau rouge. Elle effleure même à ce niveau la partie adjacente de ce noyau . A partir de la coupe représentée figure 6, sur
eil médian, le locus niger et la partie antérieure de la capsule du noyau rouge vient sectionner en outre le groupe externe
lée déjà calotte. En plus il pousse une pointe qui pénètre entre le noyau rouge et le corps de Luys et qui s'arrête à la pa
alotte que dans le pied du pédoncule. Dans la calotte, au niveau du noyau rouge, elle occupe toujours avec prédilec- tion
s, elle pousse une pointe qui pénètre dans le locus niger, entre le noyau rouge et le pied du pédoncule, sectionnant à ce
d du pédoncule, sectionnant à ce niveau les fibres de la capsule du noyau rouge et même sur une petite hauteur, la partie
yau rouge et même sur une petite hauteur, la partie adjacente de ce noyau lui-même. A ce niveau le foyer vient enfin sect
n de Reil médian, soit dans la partie antéro-externe de la capsule du noyau rouge, soit enfin dans le locus niger où elles
paraissent plus espacées et moins nombreuses qu'à l'état normal. Les noyaux médian et externe du thalamus ne semblent pas a
de la capsule interne, à partir de la disparition du 26 segment du noyau lenticulaire, elle n'est plus appréciable. 3° A
es coupes sériées de la partie inférieure du bulbe, passant par les noyaux des cordons postérieurs et intéressant l'entrecro
ostérieurs et intéressant l'entrecroisement sensitif,on voit que le noyau de Goll, et surtout ceux de Burdach et de Monakow
droit sont le siège de lésions atrophiques très nettes. En effet, ces noyaux sont, sur toute la série des coupes du bulbe, m
une atrophie de leurs cellules. En relation avec les lésions de ces noyaux , en relation aussi avec la dégénération rétrogr
la calotte. En dedans, il pousse une pointe qui s'insinue entre le noyau rouge et le pied du pédoncule, en plein locus n
n, que l'on suit dans la protubéi dans le bulbe jusqu'au niveau des noyaux des cordons postérieurs. * . .. Le cas que
eil médian (dont seules les fibres les plus internes, adjacentes au noyau rouge étaient conservées) et une destruction d'un
térieur de la capsule interne. CL. Corps de Luys. CNR. Capsule du noyau rouge. F. Foyer primitif. Fli. - Faisceau lon
fir. Fibres arciformes interréticulées. Ln. - Locus niger. NB. - Noyau de Burdach. NG. - Noyau de Goll. 1. NL. Noyau
terréticulées. Ln. - Locus niger. NB. - Noyau de Burdach. NG. - Noyau de Goll. 1. NL. Noyau lenticulaire. NR. Noyau
ocus niger. NB. - Noyau de Burdach. NG. - Noyau de Goll. 1. NL. Noyau lenticulaire. NR. Noyau rouge. P. - Pied du p
de Burdach. NG. - Noyau de Goll. 1. NL. Noyau lenticulaire. NR. Noyau rouge. P. - Pied du pédoncule. Pcs. - Pédoncu
quantité de cellules éparses, ovalaires plutôt que rondes, avec un noyau rond, quelquefois en forme de croissant, souvent
fois en forme de croissant, souvent unique. Il y a quelquefois deux noyaux . Le protoplasma de ces cellules se colore assez
altérations suivantes : elles tendent à devenir globuleuses; leurs noyaux sont pâles et quelquefois invisibles, souvent r
cytes. Dans toute la subs- tance grise on constate en abondance des noyaux névrogliques, des leuco- cytes, et ça et là des
Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont troubles, leurs noyaux sont pâles ou invisibles ou rejetés vers la pér
es ; leur protoplasma présente des granulations très pâles et leurs noyaux se colorent (1)(,matéine-éositie) très nettemen
ogique : Cerveau. La pie-mère est légèrement épaissie, infiltrée de noyaux cellulaires, contenant des vaisseaux très congest
sont déformées, globuleuses, à protoplasma se colorant en masse, à noyau excentrique. 242 VIGOUROUX ET DELMAS Au Weige
titués. Les cellules ont leur protoplasma bien différencié et leurs noyaux granuleux bien colorés. Corps thyroïde. - Les v
canalicule sont situées des cellules épithéliales cubi- ques à gros noyaux rangés sur une ou deux couches. Ces cellules épit
lule de la lignée séminale : spermatogonie, spermatocyte, etc., les noyaux sont sphériques,mais pas en voie de segmentation.
que sont ceux que produit une lésion organique siégeant soit sur le noyau irido-cons- tricteur du moteur oculaire commun,
évidemment l'existence d'une lésion bulbaire droite qui atteint le noyau de la branche interne du spinal et le noyau de
e droite qui atteint le noyau de la branche interne du spinal et le noyau de l'hypoglosse. Il n'existe aucun trouble dans l
liomaleux remontant assez haut pour atteindre les fibres émanées du noyau du pathétique gauche. Quant à l'aiiestitésie li
caractères de cette anesthésie, il ne peut s'agir d'une atteinte du noyau ou des racines du trijumeau droit, mais d'une l
la voie sensitive centrale, c'est-à-dire des fibres qui émanées.du noyau du triju- meau traversent la ligne médiane pour
es, les hémorragies et les fibres variqueuses décrites ailleurs. Le noyau denté droit est très fortement atrophié, le corps
r- tout un épais tissu fibreux dense, criant sous le bistouri, sans noyaux dis- tincts ; sur la face antérieure et sur la
e de Bordeaux, numéro du 7 avril 1907. - ANGLAI>E et FOUI12ÇIAL, Noyau de sclérose cérébrale chez une persécutée sénil
existe, est représentée par une fibre ram- pante et quelques rares noyaux ; autour des cellules de Purkinje, les corbeill
ordinairement au niveau des carrefours et, très souvent, auteur du noyau dentelé. Ce n'est cependant en aucun de ces point
re 2 de la planche LXII a été prise. Bien mieux, elle provient d'un noyau de sclérose qui n'est pas caractéristique d'une
nt au fond des sillons, souvent dans la substance blanche autour du noyau dentelé. Ce sont les zones de prédilection, mais
nales ; les cellules de Purkinje sont absentes, on voit beaucoup de noyaux et peu de fibrilles (voir pl. LXII, fig. 2) ; l
es deviennent de plus en plus petites, et n'intéres- sent aucun des noyaux d'origine des nerfs bulbaires. (Ces deux coupes s
minées dans la substance blan- che des deux hémisphères et dans les noyaux gris centraux. Plus nombreuses et plus volumine
aisceau longitu- dinal supérieur et de l'occipito-frontal. Dans les noyaux gris centraux, elles siè- gent dans la substanc
es noyaux gris centraux, elles siè- gent dans la substance grise du noyau lenticulaire et du thalamus, respectant complèt
quelconque du trajet des fibres qui, de l'opercule, se rendent aux noyaux bulbo-protubérantiels. Dans le bulbe, au contrair
e indique simplement l'existence de lé- sions situées au-dessus des noyaux bulbaires. Ces lésions, habituellement cérébral
sont arrondies, pigmentées, sans chromatophiles, quelques-unes sans noyau . A la moelle lombaire, la substance grise est n
'existe aucun proces- sus syringomyélique ne sont pas normales, les noyaux sont petits, le pigment est abondant, les prolo
sains dans le jambier antérieur, on constate une prolifération des noyaux du sarcolemme associée à l'atrophie de quelques
pe, les fibres apparaissent di- minuées de nombre et de volume, les noyaux du sarcolemme ont activement proliféré, ainsi q
che, qui, par l'acide acétique, montre une assez grande quantité de noyaux . Ce tissu est traversé par des conduits excréte
ncule cérébral, le pont et le bulbe du côté gauche, une aplasie des noyaux bul- baires de Goll et de Burdach à droite, une
les paupières d'un seul côté. Cinq ou six mois après l'ablation le noyau du facial était intact, tandis que le noyau de
ois après l'ablation le noyau du facial était intact, tandis que le noyau de l'oculomoteur du même côté et plus spécialemen
e le facial su- périeur tire son origine des parties inférieures du noyau de l'oculo-mo- teur du même côté et qu'il va da
les lapins, ne put voir l'o- rigine du facial (branche oculaire) au noyau de l'oculomoteur. M Bach (12) trouva intact le
e oculaire) au noyau de l'oculomoteur. M Bach (12) trouva intact le noyau de l'oculomoteur chez les lapins et chez les ch
5-20 jours les animaux et il trouva ensuite absolu- 'ment intact le noyau de l'oculomoteur.. Aussi bien les recherches de
ndel. Selon 141141. Marinesco, vau Gehuchten et Kotelewski, dans le noyau endopontique de la Vlle paire on peut distin- g
guer quatre colonnes cellulaires, dont la postérieure représente le noyau d'origine du facial dit supérieur. MM. Parhon e
de leur côté ont conclu que, dans le groupe dorsal des cellules du noyau de la sep- tième paire, on doit rechercher selo
e l'oculo- moleur commun aurait vu la dégénération de la plupart du noyau de la troisième paire, pendant que l'extrémité
au de la troisième paire, pendant que l'extrémité postérieure de ce noyau restait intacte. Aussi bien M. Spilsha (18) tro
iale on voit que les auteurs ne parlent pas de la partie dorsale du noyau de la IIIe paire. Dans le cas publié par M. Par
taté bilatéralement la par- faite intégrité de l'entière colonne du noyau principal de la IV paire jus- qu'à l'extrémité
du noyau principal de la IV paire jus- qu'à l'extrémité dystale du noyau de la IIIe, soit du groupe cellulaire, soit de
llulaire, soit de la couronne de libres.que dorsalemeiil Ilmite- le noyau .; les altérations 514 ik POLIMANTI cellulaire
oyau.; les altérations 514 ik POLIMANTI cellulaires concernant le noyau homolatéral de la VIIe et une petite par- tie d
oncernant le noyau homolatéral de la VIIe et une petite par- tie du noyau du côté opposé. M. Michel (23), qui eut trois c
ing et Baedeker (24) ont localisé le centre de la IVe paire dans le noyau conlenu dans le sein du faisceau longitudinal pos
postérieur, considérant, cependant, la partie plus proximale de ce noyau comme étant en rapport étroit avec l'oculomoteu
on avec celle de Mendel, en admettant que dans la partie dystale du noyau de la IIIe paire, située dans le sinus du faiscea
ire, située dans le sinus du faisceau longi- tudinal postérieur, le noyau du facial supérieur et celui de l'élévateur de
ud et Marie, Vineles, etc...). M. Panegrossi (25) croit que dans le noyau de la IV° paire (toute la chaîne cellulaire com
érieure (IIIe paire). Cependant l'hypothèse de placer aussi dans ce noyau le centre du facial supérieur ne semble pas sou
t que l'altération se rapporte à la portion postérieure, dystale du noyau de la III. paire, et non pas si elle se trouve ou
du sourcil du côté droit, constata des deux côtés l'état normal des noyaux des XH", VIIe et V Ipaires, y compris le noyau
s l'état normal des noyaux des XH", VIIe et V Ipaires, y compris le noyau accessoire de Pacetti et la formation cellulair
de Bôttiger. Au contraire, il existait une atrophie bien marquée du noyau placé dans une excavation dorsale du faisceau lon
ient et qui semblaient se jeter dans le faisceau longitudinal. Ce noyau qui pour Kôlliker est le noyau d'origine de la IV
er dans le faisceau longitudinal. Ce noyau qui pour Kôlliker est le noyau d'origine de la IV° paire, est considéré par d'
tation de Giannelli va donc confirmer les idées deMendel pourqui ce noyau préside simultanément au fonctionnement de l'él
orer l'idée du même auteur, qui croit que les fibres qui partent du noyau dont nous avons parlé descendent dans le faisce
ION ET PAPInIAN - 1. Contribution à l'étude des localisations dans le noyau du facial (Roumanie médicale, 1900). 2. Indag
25 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SOCIÉTÉS SAVANTES. 57, niveau de la partie antérieure et externe du noyau lenticulaire. La circonvolution de Broca et les
e ramollissement périphérique ; la lésion était centrale, située au noyau lenticulaire. Il existait en plus de l'artérite
et examiné sous le microscope montre, à côté de l'hypertrophie des noyaux , l'hypertrophie des fibres musculaires. Le fr
umière, ne nous occuperont pas; ils se passent entièrement dans les noyaux gris de la base; l'écorce n'y a aucune part.
ression s'est propagée par les nerfs optiques, les bandelettes, les noyaux gris centraux, les radia- tions optiques jusqu'
centrifuges, mêlées aux radiations optiques centripètes, jusqu'aux noyaux gris centraux, où par l'intermédiaire des oculo
- vements ne sont pas le résultat de réflexes se passant dans les noyaux de la base ; car ils ne se produisent plus lorsqu
rifuges émanées du centre visuel cortical que celui-ci agit sur les noyaux oculo-mofeurs car ces mouvements se produisent
t allé exciter les fibres sous-jacentes allant du centre visuel aux noyaux gris centraux. Luciani et Tamburini avaient d
cembre 1898). 2 Ceci pour répondre aux auteurs qui placent dans les noyaux gris de la base le centre réflexe de ces mouvem
voquerà d'abord un clignement purement réflexe se passant dans les noyaux de la base; puis, en même temps qu'une sen- sat
ultiple : périphérique (lésions du labyrinthe), bulbaire (lésion du noyau de Deiter), cérébelleuse (Thomas), protubéranti
clignement produit par la sécrétion lacrymale) se passant dans les noyaux gris de la base, et des mouve- ments dits volon
oilea « foyer de ramollissement occupant tout le segment externe du noyau lenticulaire, la capsule externe, et res- pecta
e en somme suivant un trajet rectiligne la face externe de tous les noyaux gris ». A gauche, ramollissement occupant le se
aux gris ». A gauche, ramollissement occupant le segment externe du noyau lenticulaire, et plus en avant la partie supéro
us objecte pas que ce cli- gnement réflexe avait son siège dans les noyaux de la base : nous'avons vu que ce clignement ré
e. Le territoire - hémorragique serait situé sur le côté externe du noyau strié '1'Jz.JJ'a-ventriculairc, entre ce gangli
plexie progressive, avec hémor- ragie située sur la face externe du noyau ventriculaire et venant ainsi à l'appui des idé
, entre le premier et la partie antérieure de la surface externe du noyau lenticulaire ; mais l'hémorragie est séparée du
ce externe du noyau lenticulaire ; mais l'hémorragie est séparée du noyau lenticulaire par une bande de substance blanche
nsula. Elle se continue en arrière le long de la surface externe du noyau lenticulaire par un prolongement qui reste sépa
iculaire par un prolongement qui reste séparé de la surface même du noyau par une bande de substance blanche et va en s'e
cendante. A ce niveau, l'hémorragie est surtout marquée en avant du noyau lenticulaire en pleine couronne rayonnante. Ell
THOLOGIE NERVEUSE. lement à la partie moyenne du segment externe du noyau lenti- culaire une infiltration hémorragique..
montrent l'existence d'un vaste foyer hémorragique ayant rejeté les noyaux gris en dedans, ayant détruit la capsule extern
s, ayant détruit la capsule externe et l'avant-mur et une partie du noyau lenticulaire et s'ouvrant à travers la couronne
yer hémorragique ancien) sur la surface externe (partie moyenne) du noyau lenticulaire, au niveau de la pédiculo-frontalé.
le externe, dans les fibres qui séparent celle-ci de l'insula. Le noyau ventriculaire paraît détruit au premier abord,
en avant jusque dans le ventricule, dépasse un peu en arrière le noyau lenticulaire et forme ub foyer à la partie la plu
était limitée au bord tout à fait postérieur de la face externe du noyau lenticulaire et avait envahi, à travers la caps
. I) l'hémorragie former un foyer énorme situé entre l'insula et le noyau lenticulaire en partie détruit, ne dépassant pa
ance blanche qui l'a- voisine ; elle n'atteint la substance même du noyau lenticu- laire que tout il fait à la partie pos
fibres de celte dernière ne se dirigent pas perpendiculairement du noyau exlravenlriculaire vers les circonvolutions de
au niveau de l'artère de Charcot, c'est-à-dire à la face externe du noyau lenticulaire, les fibres de la capsule externe
la capsule externe se sépàrent très facilement, sans résistance, du noyau lenticulaire et offrent, par suite, un chemin f
toute la substance qui sépare le DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE. 215 noyau lenticulaire de l'insula et une grande quantité d
e ne se fait que par- tiellement au niveau de la surface externe du noyau ventri- culaire, et le foyer le plus volumineux
ns l'observation V de Broadbent, l'hémorragie aflleure à peine le noyau lenticulaire et se fait, on peut dire tout entièr
noyau lenticulaire et se fait, on peut dire tout entière, entre ce noyau et la corne occipitale du ventricule ; c'est sa
avons vu que l'hémorragie ne se faisait pas à la surface externe du noyau extravenlriculaire, mais bien dans la couronne
s l'avant-mur, laissant toute la capsule externe en contact avec le noyau lenticulaire. En somme, dans-l'apoplexie progre
trouve pas strictement son origine au niveau de la face externe du noyau lenticulaire, mais peut se produire dans un poi
avail. De même, la dégénérescence et la disparition des cellules du noyau dorsal du nerf vague dans le bulbe, après la sect
e sont encore pas d'accord sur la nature motrice ou sensitive de ce noyau dorsal du vague. M. Marinesco tend actuellement
des tendances à la vacuolisation - des modifica- tions de formes du noyau repou,ssé à la périphérie ou isolé au milieu d'
toplasma d'un bleu diffus laisse voir un fin réseau bleu sombre; le noyau bleu pâle occupe le milieu de l'élé- ment anato
foncé limi- tent des chambres décoloréss, et au milieu est un petit noyau à boi : ds irréguliers à protoplasma foncé. En
rtaines cellules sont réduites à des ombres au milieu desquelles le noyau disparait presque à l'état de silhouette dans l
stance chroma- tophile finement grenue, parfois accumulée autour du noyau normal, rarement marginal. Puis les cellules so
t de la substance chroma- tique des granulations de Nissl autour du noyau . Les vaisseaux sanguins, les artères surtout, o
de vingt-huit heures, les granulations se pressent encore autour du noyau , quelques cellules sont divisées en compartimen
que est complètement atrophiée, la cellule est tuméfiée quoique son noyau soit conservé, les vais- seaux de la substance
une encéphalite hémorra- tique, localisée dans l'écorce et dans les noyaux du nerf moteur oculaire commun. Les troubles de
diri- geant à travers la partie externe du corps restiforme vers lé noyau du cordon latéral du même côté et en partie à t
s; 50 Il existe un système descendant reliant le cervelet avec le noyau de Bechterew et celui de Deiters, avec le noyau a
le cervelet avec le noyau de Bechterew et celui de Deiters, avec le noyau accessoire du nerf acoustiquedu même côté (par
tés; 6° Les fibres du pédoncule moyen descendent en partie vers les noyaux de la protubérance des deux côtés, en partie so
e d'un faisceau vertical qui remonte le long du raphé et rejoint le noyau réticulaire du tégument du côté opposé; 7° Les
) du côté opposé; quelques-unes s'interrompent dans les cellules du noyau rouge, mais la plupart se dirigent vers le corp
t se dirigent vers le corps optique, où elles se terminent dans les noyaux internes et externes. Au delà du noyau rouge on
elles se terminent dans les noyaux internes et externes. Au delà du noyau rouge on ne rencontre pas de fibres non entrecr
ngitudinal postérieur s'éta- blit la connexion du cervelet avec les noyaux de la 7°, 6°, 5°, et 4° paire crânienne, princi
chent du pédoncule antérieur servent à le mettre en rapport avec le noyau du nerf moteur oculaire du même côté, mais prin
es nerfs cra- niens ; 9° Il existe une connexion croisée avec les noyaux de Bechterew et de Deiters principalement par l
iters principalement par l'intermédiaire des fibres se détachant du noyau « tecti globosi »; 10° Le « faisceau en crochet
cellules sans prolongements ou avec des prolongements lacérés, sans noyaux ou aux noyaux déformés et déplacés ; on y obser
prolongements ou avec des prolongements lacérés, sans noyaux ou aux noyaux déformés et déplacés ; on y observe également d
lement cervical, on constate souvent des vacuoles. Les cellules des noyaux bulbaires ont subi de graves altérations. Chez
. Chez l'un des deux malades, on a trouvé une hémor- ragie dans les noyaux du nerf pneumogastrique. Des altérations analog
Des altérations analogues ont été constatées dans les cellules des noyaux de la protubérance, des corps quadrijumeaux et
antes : Hémorragie cérébrale ayant détruit le tiers postérieur au noyau lenticulaire et de la couche optique et les d
ré- brale, au niveau de la zone rolandique, en con- tournant le noyau caudé en dehors. l'our nous rendre compte de
permettent de constater la destruction, immédiatement au-dessus des noyaux centraux, au niveau du pied de la couronne rayo
le : le pied de la cou- ronne rayonnante de Reil; `3° Au niveau des noyaux cen- traux : le quart postérieur du noyau lenti
Reil; `3° Au niveau des noyaux cen- traux : le quart postérieur du noyau lenticulaire et de la couche optique, les deux
ie, nous ferons remarquer que la partie posté- rieure et externe du noyau lenticulaire a disparu, qu'il en est de même de
ù existe la lésion, les parties essentielles (partie postérieure du noyau lenticulaire et de la capsule interne) sont dét
° hémorragie ayant détruit essentiellement la partie postérieure du noyau lenticulaire et le tiers postérieur du segment
s allaient de la tuméfaction légère du cytoplasma avec migration du noyau jusqu'à l'atrophie de la cellule. Parmi les cel
s, augmentées de vo- lume, surtout dans le sens d'un diamètre, avec noyau plus ou moins central et chromatolyse plutôt ce
ion, très développé ici, et carac- térisé par une richesse nette de noyaux . Nombreuses cellules du genre des cellules gran
de gros grains rouge vif (mélange de fuchsine et vert d'iode); leur noyau , plus ou moins arrondi, présente de fines gra-
hsine), bleues par la thionine, rouge vif par le rouge neutre. Leur noyau est tout à fait semblable à celui des cellules
nt les cordons postérieurs étaient normaux. Rien non plus dans le noyau ni le nucléole. Il semblait cependant y avoir dav
Les cellules de l'écorce céré- bi aie, des grands ganglions et des noyaux des nerfs crâniens sont le moins atteintes ;
ait au laboratoire d'histologie générale. 356 CLINIQUE NERVEUSE. ( noyaux de l'hypoglosse et du vague) et les circonvolutio
longements, au milieu duquel on ne reconnaît que diffici- lement le noyau . Des vacuoles plus ou moins larges, allongées o
s cellulaire et de ses prolongements, les déplacements apparents du noyau , les ruptures des prolongements protoplas- miqu
s n'avons examiné du bulbe que la partie inférieure, comprenant les noyaux de l'hypoglosse et du vague, notre malade n'aya
vie de symptôme net dans le domaine des autres nerfs crâniens. Le noyau de l'hypoglosse est le plus altéré. Un grand nomb
ibuertimais il est permis de remarquer 1t ce propos que de tous les noyaux bul- baires, celui de l'hypoglosse possède les
ent à peu près complètement disparu au niveau du tiers supérieur du noyau , particularité rencontrée aussi par plusieurs o
igine de l'hypoglosse après section ou arrachement de ce nerf. Le noyau dorsal du pneumogastrique formé de cellules beauc
oins altéré. Les lésions sont en tout cas plus nettes que celles du noyau ambigu qui en présente qu'un très petit nombre
u vacuo- laires. Quant aux autres groupes cellulaires de la région ( noyau grêle, cunéiforme, olives et parolives), leur a
les cellules qui sont dissémi- nées sous le plancher en dehors des noyaux , sensitifs des vagues, en trouver quelques-unes
congestionnés. L'épithélium des tubuli contorti est trouble, ses noyaux se colorent peu ou pas. On remarque dans les cavi
r ainsi dire grossières : vacuoles, état hyalin, modifications du noyau , perte de l'affinité ordinaire pour les colorants
ificielles des dendrites ou du cylindre- axe. Les déplacements du noyau , tiennent une grande place dans les description
un fixateur insuffisant. 11 est d'abord facile de remarquer que les noyaux les plus excentriques s'observent dans des cell
re du dendrite, le corps cellulaire prend une forme irrégulière, le noyau est ainsi plus ou moins éloigné de la position
c une désorganisation beaucoup plus profonde du proto- plasma et du noyau . Les amas de pigment jaune brun qu'on peut obse
n très utiles à l'explication des phénomènes'de pseudo-migration du noyau . Comme lui ils représentent des points consista
ent quelquefois des reliefs nets, comparables à ceux que dessine le noyau dans des circons- tances analogues. Ces deux ph
à déterminer ; ce sont des phénomènes mécaniques, dans lesquels le noyau ne prend pas une part plus active que les amas
llulaire et allant même jusqu'à 364 CLINIQUE NERVEUSE. masquer le noyau . Suivant les différentes modifications dont le
I défaut d'autre argument, de réfléchir qu'au niveau du bulbe les noyaux gris sont plus ou moins séparés les uns des autre
DES CORNES ANTÉRIEURES. 369 cornes antérieures de la moelle et des noyaux moteurs bulbaires, sans adjonction d'aucune aut
ifs, présenterait une marche plus rapide, une extension précoce aux noyaux bulbaires. Notre cas serait un des types les pl
fibres. Il comprend d'abord des fibres ascendantes réunissant les noyaux des cordons de Goll et de Burdach à la couche opt
on sait en particulier que le ruban de Reil médian s'arrête dans le noyau externe et le centre médian de la couche optiqu
es à considérer comme pathologiques. La substance chromatique et le noyau sont normaux ; même dans les cas de tabes absol
s absolu avec dégénérescence extrême des racines posté- rieures. Ce noyau forme, comme dans les préparations normales, un
ée d'une claire lisière sans mottes. Il est extrêmement rare que le noyau soit recoquillé ou présente une i 404 REVUE D'A
périeure du vermis ; le reste contourne la face antérieure des gros noyaux médians du cervelet, s'entrecroise sur la ligne
croise sur la ligne médiane et se perd peut-être en partie dans ces noyaux , en partie également dans l'écorce inférieure d
en rameaux touffus se détache de la zone en question à l'état de noyau beaucoup plus foncé. En réalité ce sont des fibre
cale, mais on a réussi à suivre de ces fibres jusqu'aux cellules du noyau externe de la couche optique ; -elles subissent
erne, la partie inférieure du pulvinar, les parties postérieures du noyau antérieur de la couche optique, notre faisceau ét
nt par un halo ; on y voit un proto- plasma finement grenu, avec un noyau central entouré d'une zone plus claire. Ce sont
tif, les dents auditives de Iluschke, entre lesquelles existent des noyaux clairs à noyau franchement circonscrit. La lame s
uditives de Iluschke, entre lesquelles existent des noyaux clairs à noyau franchement circonscrit. La lame spi- rale memb
tion de l'espace pé- ricellulaire, des échancrures et dentelures du noyau , par chroma- tolyse du protoplasma qui se vacuo
noyau, par chroma- tolyse du protoplasma qui se vacuolise autour du noyau . Celui-ci se recroqueville ou la membrane du no
uolise autour du noyau. Celui-ci se recroqueville ou la membrane du noyau se détache, ce qui peut arriver au nucléole éga
dans un gros amas, bien limité, de cellules placées sur le côté du noyau du pathétique, que l'on appelle ganglion de l'i
rtie supérieure du corps genouillé thalamique, ainsi qu'à un étroit noyau de cellules assez grosses qui s'intercale entre
un étroit noyau de cellules assez grosses qui s'intercale entre le noyau rond thalamique et le pôle antérieur du corps ge-
ntrale du nerf op- tique (lobe optique, corps genouillé thalamique, noyau à grosses cellules). D'autre part, l'écorce d
longitudinal latéral, et se dirige en bas ; parvenu à la hauteur du noyau du pathétique, il oblique en arrière et sur la
es du nerf optique, elles reçoivent encore des fibres centrales des noyaux terminaux sensitifs et moteurs. Le ganglion de
perdu leurs stries transversales, ainsi qu'une multiplication des noyaux du sarcolemme. Le massage et l'exercice, si salut
énérés et oblitérés; le tissu nerveux est hypérémiée ou infiltré de noyaux ou de cellules au sein du périnerf et de l'endo
mplie d'un liquide et de grosses cellules à petites granulations, à noyau périphérique, ordonnées en séries. Au lieu de n
la corne postérieure et dans la substance grise située en avant des noyaux de Goll et de Burdach. Cette situation, très par-
nstante, fait que la lésion coupe les fibres sensitives émanées des noyaux , et produit une dégénération plus ou moins comp
26 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es parties dégénérées, un grand nombre de corps amyloïdes. d) Les noyaux de névroglie y sont aussi fort abondants. e) Su
nombreuses. Le corps de ces cellules est très dé- veloppé et leurs noyaux des plus nets ; elles ont beaucoup de prolongem
leur forme irrégulière, à leurs prolongements nom- breux, à leur noyau volumineux. Ces cellules, ouïe sait, existent,
is et sa gaîne péri-vasculaire sont infiltrées d'un grand nombre de noyaux et de leucocytes, ce qui dénote un état d'irrit
a moelle il la région cervi- cale inférieure. a, Artère. Nombreux noyaux dans la paroi de l'artère et dans la gaine lymp
é pleurale, on trouve une petite masse crétacée de la grosseur d'un noyau de cerise. Pas d'ecchymoses sous-pleurales. - L
i entoure la cavité du troisième ventricule et se diligent vers les noyaux du moteur oculaire commun et de làavec le tronc
que dans la moitié correspondante de la substance centrale, dans le noyau et le tronc du nerf moteur ocu- laire commun du
de, selon toute probabilité, dans les fibres commissurales des deux noyaux du nerf moteur oculaire commun. (Le 6 6 manque
lon Adamuc, mais se localisent, selon toute vraisemblance, dans les noyaux du nerf moteur oculaire. 8° Dans le plancher du
lontaires du globe de l'oeil doivent se trouver dans le domaine des noyaux des nerfs oculaires moteurs, parce que la destr
noyaux des nerfs oculaires moteurs, parce que la destruction de ces noyaux ou des racines qui en sortent ont suivi des cha
mmodation sur le plancher du quatrième ventri- cule .séparément des noyaux du nerf moteur oculaire. REVUE D'ANATOMIE HT n
du réflexe lumi- neux sur sa voie, il partir du chiasma et jusqu'au noyau du nerf moteur oculaire. l3ouvor.r. III. DE L
s dans le maxillaire supérieur. P. K. VI. Contribution A l'étude DU noyau externe DE l'acoustique ET DU corps RI : STIFOR
Six mois plus tard les altérations rencontrées montrent : 1° que le noyau externe de l'acoustique (noyau de Deiters) dépe
s rencontrées montrent : 1° que le noyau externe de l'acoustique ( noyau de Deiters) dépend des fibres de la moelle et qu'
du cerveau. Quant à l'influence de la résection du bulbe, sur (les noyaux de l'oculo-moteur signalée dans l'espèce, il est
chez le lapin nouveau-né, s'opposer au développement ultérieur des noyaux des ganglions infracorticaux, c'est-à-dire des
ieur des noyaux des ganglions infracorticaux, c'est-à-dire des cinq noyaux ou tubercules (antérieur, moyen, externe, posté
ueillie par M. Oulmont). - Paralysie glosso-labiée. Lésion des deux noyaux lenticulaires et des capsules externes. (Résumé
-centimètre de largeur. Ce foyer est situé sur la limite externe du noyau lenticulaire du corps strié, dont il occupe de
. En somme, il a disséqué dans toute son étendue, en la séparant du noyau lenticulaire, la circonvolu- ttbzz de l'insula,
un centimètre et demi de hauteur, situé dans la deuxième portion du noyau lenticulaire. La capsule interne n'est touchée
tres environ de hauteur, presque linéaire, à la limite externe du noyau lenticulaire et s'étendant en avant jizsqu'à un c
<a/e. Deuxième foyer ocreux, transformant la deuxième portion du noyau lenticulaire en une sorte de toile d'araignée.
ulmont). - Paralysie glosso-labiée. Foyers ocreux dans la queue des noyaux extra- venlriculaÙ'es des corps striés. (Résumé
s la substance cérébrale amènent à l'extrémité postérieure des deux noyaux extra- ventriculaires des corps striés (extrémi
ux extra- ventriculaires des corps striés (extrémité de la queue du noyau lenticulaire). On trouve, à droite et à gauche,
es- pondante de la capsule interne est grise. Le tieis externe du noyau lenticulaire, 1°avant-nncr, la capsule externe et
is, mais non colorés; le ramollissement augmente en arrière dans le noyau lenticulaire, où il est entouré d'une membrane
sont mal formées à droite; mais le calamus est symétrique; les deux noyaux de l'hypoglosse à leur partie centrale présente
foyer de ramollissement ancien ayant détruit le segment externe du noyau lenticulaire. Hémisphère droit. Ramollissement
Sur la coupe de Flechsig, la lésion atteint le segment extenw du noyau lenticulaire, qui présente un aspect celluleux da
sso-labiée à forme pseudo- bulbaire. - Lésions symétriques des deux noyaux lenticulaires et des capsules externes. A...
2. - FOjel's ocreux symétriques. 16 PATHOLOGIE KKKYEUM. .terne du noyau lenticulaire et sectionnant le pied de la fruntai
ancs, sous-jacents : à gauche, ramollissement du segment externe du noyau lenticulaire, à droite ramollissement des deux
cine de la troisième frontale, s'étendant. en pro- fondeur jusqu'au noyau lenticulaire dont la moitié ex- , terne est dét
teur sur un demi-centimètre de, largeur à ,1a. limite. externe du noyau lenticulaireldu' corps^ slriéj. dont il, occupe l
ulo-' : 1 frontale) ? Deuxième foyer dans la, deuxième portion ,1 d noyau lenticulaire.' ? , , , 1 /' "\1 A gauche, premi
. PATHOLOGIE NERVEUSE. timètres de hauteur, à la limite externe du noyau len- ticulaire et s'étendant en avant jusqu'à u
icu)o-fronta)e. Deuxième foyer ocreux dans la deuxième portion du noyau lenticulaire. Il est parlé dans le deuxième cas
s de « foyers ocreux symétriques à l'extrémité postérieure des deux noyaux extra-ventriculaires du corps strié ». La local
oyer intéresse la substance blanche et occupe le segment externe du noyau lenticulaire de l'avant-mur, de'la capsule exte
er hémor- rhagique, occupant symétriquement le segment externe du noyau lenticulaire, la capsule externe, l'avant-mur e
foyers de ramollissement ou d'hémorrhagie intéressant le segment du noyau lenticll- DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 169 l
ralysie bulbaire progressive. A l'autopsie, pas de lésions dans les noyaux bulbaires; mais plaques de sclérose dans les co
ion des réflexes. Parésie générale. A l'AUTOPSIE, kyste dans chaque noyau len- ticulaire Pas de lésions de la capsule int
du réflexe patellaire, trépidation spi- nale. A l'AUTOPSIE, deux noyaux kystiques dans la partie anté- rieure du noyau
A l'AUTOPSIE, deux noyaux kystiques dans la partie anté- rieure du noyau lenticulaire gauche (2e et 3e segments), l'un d
u de la capsule interne. Petite cavité dans la partie antérieure du noyau lenticulaire droit, n'empiétant pas sur la caps
s le pont, les fibres dégénérées sont situées près du raphé médian. Noyaux bulbaires sains. '1 i 5° Cas de Ross. (Mémoire
lexes pha- ryngiens. A l'AUTOPSIE, petite cavité kystique dans le noyau lenticu- laire gauche, entre le genou gauche de
ric Jolly, la lésion trouvée à l'autopsie siégeait toujours dans le noyau lenticulaire du corps strié, . le plus souvent
té de la mâchoire inférieure sont impossibles, ce qui prouve que le noyau moteur du trijumeau est atteint également. Les
r l'un et l'autre côté de l'organe et lèsent simultanément les deux noyaux originels, droit et gauche, des nerfs de la dou
s démontrent qu'au niveau du bulbe la lésion intéresse à la fois le noyau originel de l'hypoglosse et ceux des moteurs oc
'. 1. Il est, dès lors, tout naturel d'admettre que la lésion des noyaux bulbaires est secondaire, comme celle des corne
résentent le système postérieur de la moelle. C'est qu'en effet les noyaux du bulbe (noyaux du facial, moteur du trijumeau
ème postérieur de la moelle. C'est qu'en effet les noyaux du bulbe ( noyaux du facial, moteur du trijumeau, des 3', 4° et 6
céphalie, la pa- pille étranglée. Le voisinage de la tumeur avec le noyau du facial, son contact avec les racines supérie
er célébrai circonscrit (hémorrhagie), immédiatement au-dessous du noyau de l'oculo-moteur externe gauche, dépassant un
if) de l'entrecroisement inférieur ne pré- sente pas de lésions. Le noyau du nerf hypoglosse est seulement altéré, les au
ne le sont pas. Ce dernier qui se compose d'après Meynert, de deux noyaux , l'un (d'après M. Duval) classique, l'autre acc
é de la manière suivante : Sclérose beaucoup plus prononcée dans le noyau médian (classique) et beaucoup plus faible dans
d'une portion des fibres du, fais- ceau géniculé qui se rendent au noyau du facial, se comporte comme celles qui sont dé
visible en deux segments : le segment antérieur com- pris entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire du corps strié e
egments : le segment antérieur com- pris entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire du corps strié et le segment posté
iculaire du corps strié et le segment postérieur compris entre le noyau lenticulaire et la couche optique, tous deux ve-
verticales, très rapprochées l'une de l'autre, on découvre, dans le noyau intra-ventriculaire du corps strié, un petit fo
transversales. L'examen du bulbe fait reconnaître l'inté- grité des noyaux de l'hypoglosse. Pas de dégénérescence secon- d
ulbe DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 305 fait reconnaître que les noyaux de l'hypoglosse ne sont pas altérés. Dans la
plancher du quatrième ventricule pour se mettre en rapport avec les noyaux bulbaires. RECUEIL DE FAITS CAS D'ENGORGEMENT
iers temps, les gousses des fruits, même des cerises, ainsi que les noyaux des rai- sins et des groseilles,, remontaient r
de ramollissement dans le lobe occipital droit. Petit foyer dans le noyau lenticulaire gauche du corps strié. La lésion a
la motilité du côté droit sont en rapport avec le ramollissement du noyau lenticulaire. Observation III. Céphalalgie. Vom
laires correspondants (deux cas de Gowers et Blizzard) et celle des noyaux de ces nerfs; la lésion spinale est une dégénér
sie générale (exsudat visqueux de Rokitansky;- hyper- génese parles noyaux de Magnan hyperplasie et hypertrophie des cellu
es, dans la démence terminale. Toutes les méthodes de coloration de noyaux excellent pour faire ressortir les petites cell
s, plus épaisses, moins transparentes. Pendant le premier stade, le noyau , manifestement plus dur, tombe par son propre p
ules gan- glionnaires ont un protoplasma plus mou, tuméfié, dont le noyau va adhérer à la paroi ; d'autres, au contraire,
ur les irradiations de la capsule externe dans l'article externe du noyau lenticulaire. De très nombreuses pré- paralio :
ule externe passe directement dans SOCIETES SAVANTES. 375 tout le noyau lenticulaire. 11 est vrai que les trousseaux de f
blanche de la capsule externe et pénétrer dans l'article externe du noyau lenticulaire. Quant à l'importance du noyau len
ns l'article externe du noyau lenticulaire. Quant à l'importance du noyau lenticulaire, M. Meynert tend à croire qu'il co
rieure qu'à l'extré- mité inférieure. Lagrosseurrespective des deux noyaux , lenticulaire et caudé, ne suit du reste aucune
i utilisent surtout les extrémités su- périeures pour la marche, le noyau lenticulaire est presque nul par rapport au noy
our la marche, le noyau lenticulaire est presque nul par rapport au noyau caudé, tandis que les animaux qui se servent de
membres supérieurs pour d'autres fonctions (chauves-souris) ont un noyau lenticulaire aussi volumineux que le noyau caudé.
(chauves-souris) ont un noyau lenticulaire aussi volumineux que le noyau caudé. Chez le singe et l'homme, le développeme
x que le noyau caudé. Chez le singe et l'homme, le développement du noyau lenticulaire pré lomine. Les destructions du no
développement du noyau lenticulaire pré lomine. Les destructions du noyau lenticulaire sont très fréquem- ment liées à l'
eynert pense que les hémiplégies consé- cutives à la destruction du noyau len tll'U lai l'e sont caraclérisées pal' une p
rait d'oedèmes et de troubles de la nu- trition dans le pourtour du noyau lenticulaire. M. Mendel. Contribution (t.4.(t&l
ventricule et, suivant de grandes probabilités, en même temps du noyau lenticulaire; après avoir reçu les fibres issues
lles qui, rayonnant transversalement, proviennent de la ré- gion du noyau de l'oculomoteur commun. Un noyau gris spécial
nt, proviennent de la ré- gion du noyau de l'oculomoteur commun. Un noyau gris spécial comprenant de grosses cellules ner
rveux. M. MENDEL voit dans le foyer du ruban de Reil de Ruller le noyau de substance grise décrit par lui ; les cellules
res un peu recoquillées, plus ou moins pigmentées, munies d'un gros noyau tuméfié et de rares prolongements, ne témoignen
ille. TABLE DES MATIÈRES Académie de médecine, 381. Acoustique ( noyau externe de l'), par Monakow. 124. Aliénation
la moelle à la région cervi- cale inférieure. a, Artère. Nombreux noyaux dans la paroi de l'artère et dans la gaine lymp
27 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pre- mier relai au niveau de la partie postérieure et inférieure du noyau externe du thalamus. De là partiraient des fibr
. capsulaires empiétant plus ou moins sur la couche, optique et les noyaux du corps strié, les troubles du sens musculaire
st envahie par une prolifération de petites cellules rondes a large noyau , disposées sous forme de no- dules, formant ain
ganglions spinaux, purement et simplement. En ce qui concerne le noyau et le nucléole, des auteurs il résulte que la b
nucléole n'est que relative. Tandis que la vraie basichromatine des noyaux du tissu cellulaire ambiant fixe le vert de mét
es lésions du centre du trijumeau et de l'hypoglosse. Au niveau des noyaux de chaque nerf, de même que de la pyra- mide dé
ui concerne la lésion du centre du facial, suivies tout près de son noyau ; il n'en est pas de même pour la lésion du cen
isement des libres des pyramides dégénérées dans toute retendue des noyaux de ce nerf; mais on n'en rencontre plus au-dess
due des noyaux de ce nerf; mais on n'en rencontre plus au-dessus du noyau . Les fibres pyramidales dégénérées qui vont au
au-dessus du noyau. Les fibres pyramidales dégénérées qui vont au noyau du facial accomplissent leur entre-croisement d
cial accomplissent leur entre-croisement dans toute l'étendue des noyaux de ce nerf et même au-dessus de ces noyaux dans l
dans toute l'étendue des noyaux de ce nerf et même au-dessus de ces noyaux dans le ter- ritoire des olives supérieures.
ritoire des olives supérieures. Les fibres pyramidales qui vont au noyau du trijumeau s'entre- croisent surtout, bien au
e- croisent surtout, bien au-dessus de l'extrémité supérieure des noyaux de ce nerf, dans le segment éloigné des tubercule
quadri- jumeaux inférieurs. Au niveau de l'extrémité inférieure des noyaux REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
tre-croisement ; on voit simplement des fibres dans le voisinage du noyau . La lésion des centres corticaux du trijumeau e
l'existence, en outre, de fibres pyramidales dégénérées qui vont au noyau du côté opposé; il existe des fibres de ce genr
noyau du côté opposé; il existe des fibres de ce genre qui vont au noyau du même côté. Quand les expériences et les coup
fibres dégénérées, on rencontre toujours, au-dessous du niveau des noyaux du nerf examiné, des fibres dégénérées que, quo
des fibres dégénérées qui, assurément, n'ont aucun rapport avec les noyaux du nerf examiné. Nous ne possé- dons donc aucun
du Canada. Les granulations des cellules, celles du nucléole, les noyaux '( de la névroglie sont violets (durcissement à
st servi du terme de chromophilie au sens de Nissl. La charpente du noyau n'est pas acidophile puis- qu'elle se colore au
énétrer dans le territoire des faisceaux latéro-cérébel- leux ; des noyaux du cordon de Goll, du même côté, quelques libre
re, il émet, en bas, des fibres infléchies au corps restiforme; des noyaux des cordons de Goll partent encore des fibres d
st contigu au côté externe du ruban de Reil médian. A la hauteur du noyau latéral de l'étage supérieur des pédoncules céréb
seau dans les . deux segments qui constituent le globus pallidus du noyau lenticulaire. Les libres de ce trousseau arrive
e Soemmering; 3° dans le globus pallidus (ou segments internes du noyau lenticulaire). Le faisceau latéro-cérébelleux a
l non-entre-croisées passent sans subir d'interruption niveau eu du noyau de ce dernier, dans le corps restiforme, dans l
ce- 156 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment du noyau qui quitte le centre de la cellule et se rapproch
e de réparation. Le protoplasma cel- lulaire augmente de volume, le noyau reprend sa place normale, la cellule devient py
ont le protoplasma umforme, plutôt transparent qu'opaque, montre un noyau fortement atrophié ainsi que son contenu; les p
es; il y a atrophie du corps et des prolongements de la cellule, le noyau n'est pas atrophié au même degré que le proto-
oncule cérébrale droit, un foyer de ra- mollissement qui détruit le noyau rouge, les fibres de l'oculo- moteur commun et
rait pour cela une lésion trop élec- tive des artères destinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la moelle. Il faut plutô
nt., fasc. I, 1899.) XXXVIII. Sur les altérations des cellules du noyau d'origine à la suite de la section ou de l'exti
es lapins et les cochons d'Inde la branche oculaire du facial a son noyau original dans le noyau de l'oculomoteur commun
s d'Inde la branche oculaire du facial a son noyau original dans le noyau de l'oculomoteur commun (Mendel). La clinique e
n conclut que la cellule, cette partie du neurone qui contient le noyau , n'est pas absolument nécessaire à la manifestati
ve; le protoplasma en est l'agent, tandis que le protoplasma et son noyau ne participent point aux fonc- tions purement n
es des ondes excitatrices, sans que le protoplasma cellulaire et le noyau les influencent. C'est possible, mais non prouv
cellules nerveuses semblables à celles des cornes postérieures, des noyaux névrogliques, quelques fibres à myéline, des vais
liniques soient brun clair, les points myéliniques, l'écorce et les noyaux encore plus sombres. Portez ensuite dans beaucoup
A ce monnnt, les fibres sont bleu foncé, l'écorce et les foyers de noyaux franche- ment brun clair, les endroits amyélini
un clair, les endroits amyéliniques jaune clair. Les con- tours des noyaux et leurs foyers dans les gros ganglions sont bien
pal fournit-elle les principaux trousseaux chargés de gagner par le noyau lenticu- laire la couronne rayonnante ? Et ces
ne rayonnante ? Et ces trousseaux proviennent-ils exclusivement des noyaux des cordons postérieurs ? Figures. Chez un chat
' intermédiaire des olives, qui ne contient que peu de fibres du noyau de Burdach latéral, va jusqu'au corps trapézoïde
du corps trapézoïde, et la partie qui continue donne des fibres au noyau latéral supérieur 324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de Flechsig ( noyau parabigéminé). Au niveau du bord supérieur de l
res, surtout transversalement; entre elles il existe en ce point un noyau rond qui doit être l'extrémité supérieure du no
e en ce point un noyau rond qui doit être l'extrémité supérieure du noyau réticulaire de la protubérance de Bechterew. Au
noyau réticulaire de la protubérance de Bechterew. Au-dessus de ce noyau , on retrouve un ruban de Reil riche en fibres p
in que cette partie du ruban, pas plus que les autres s'unisse au noyau rouge. Le faisceau moyen, composé de fibres très
entre médian de la couche optique et dans les parties mitoyennes du noyau latéral où il se termine. Notons que, le pulvin
ent des cellules constituant chez le rat et la souris un assez gros noyau presque sphérique, un peu au-dessous du hile en
l'état de trousseaux lâches se rendre au ruban de Reil et même à ce noyau qu'elles traversent ; ces trousseaux proviennen
proviennent de la région du faisceau longitudinal postérieur et du noyau rouge. Les trois faisceaux du ruban de Reil parai
araissent échanger des fibres. Celles des fibres qui proviennent du noyau rouge s'en vont jusque dans la partie postérieu
nt du ruban de Reil principal latéral aux deux segments internes du noyau lenticulaire ou globus pallidus, d'où part un e
déjà aux faisceaux du ruban de Reil les premiers parus qui vont au noyau de Luys se mélange-t-il des fibres des pédoncul
ibué au ruban.de Reil. Tout près de la substance noire se trouve le noyau subthalamique de Luys qui, chez le chien, le rat,
ques fibres myéliniques ainsi que dans la partie la plus externe du noyau (fibres en anses). On voit ensuite les fibres s
férieur et moyens. Toutes les fibres forment un trousseau qui va au noyau lenticulaire. Elles constituent une lame de sub
partie interne du second segment. Toutes ces fibres ne vont pas au noyau lenticulaire même ; d'au- cunes s'en vont direc
nt, pour la plupart, à la moitié postérieure du deuxième segment du noyau lenticulaire qu'elles traversent pour gagner la
e s'éloignent pas beaucoup du bord interne. Dans le même segment du noyau lenticulaire existent aussi beaucoup de fibres
se dirigeant vers la couronne rayonnante, et un faisceau qui va du noyau lenticulaire à la capsule interne en se dirigea
ibres inconnues des auteurs (cinquième zone des fibres spéciales du noyau lenticulaire de Flechsig). Le corps de Luys e
ent que lorsque depuis longtemps est organisé le faisceau qui va au noyau lenticulaire et à l'écorce; il en est de même pou
la souris et le rat ne permet cependant point de les voir sortir du noyau lenticulaire pour continuer leur route, de les
articulièrement la chromatolyse périnucléaire et l'excentricité des noyaux . A. M. XIV. La pathogénie de la syringomyélie b
illaires sont intacts) démontre la prise des troi- sième et sixième noyaux ; la faiblesse bilatérale des muscles de la mast
ième et dixième nerfs dont les fibres motrices partent en commun du noyau ambigu, lequel est une continuation de la colon
tout le système nerveux central (écorce cérébrale et cérébelleuse, noyaux bulbaires, cellu- les de la moelle). Le mauva
va de l'isthme dans le cerveau antérieur. On le voit, au niveau du noyau du pathétique, sous la forme d'un cercle (secti
substance grise encéphalomédullaire. Au point le plus rapproché du noyau du pathétique et du ganglion de l'isthme, ces f
s les parties antérieures contiguës du segment le plus rapproché du noyau lenticulaire. On se rappelle que Tschermak a, c
ppelle que Tschermak a, chez le chat, trouvé des fibres communes au noyau du cordon postérieur et au noyau lenticulaire.
t, trouvé des fibres communes au noyau du cordon postérieur et au noyau lenticulaire. Il y a donc, chez le pigeon, un sys
st constituée par une trame névroglique très dense, par de nombreux noyaux névrogliques, par des vaisseaux très altérés da
, surtout fréquentes dans les masses blanches, cellules arrondies à noyaux souvent multiples, à proto- plasma homogène et
éponge sont situées les granulations chroma- tophiles. En outre les noyaux de la gaine de Schwan sont entourés d'une petit
ps que dans une hyperplasie exagérée du protoplasme qui entoure les noyaux de la gaine de Schwan, par suite d'une nutritio
se divisent ensuite en une série de tronçons très courts. 5) Les noyaux de la gaine de Schwan, ce produit probable du m
e de la fibre ner- veuse que la gaine de Schwan, vide avec nombreux noyaux dont une partie plus tard disparait peut-être é
é de parties constitutives de la fibre normale et pathologique, les noyaux de Schwan, le protoplasma qui les en- toure, le
on : M. Weidenhamer fait remarquer que la question de l'orifice des noyaux de la gaine de Schwan du méso ou de l'ecto- der
presque insignifiante au niveau de son extrémité effilée. Quant au noyau , situé à peu près exactement au centre des cell
n nombre de cellules l'aspect est différent, et on trouve autour du noyau coloré en bleu, une zone blanchâtre circulaire li
Dans d'autres cellules au contraire, c'est immédiatement autour du noyau que se trouve la substance chro- matique, le re
nous en voyons un assez grand nombre en voie de désintégration : le noyau gonflé occupe une grande partie du corps cellul
grisâtre, finement granuleux, nous le voyons disparaitre autour du noyau ,. et former alors à ce dernier une véritable cou-
le cou- ronne qui devient poussiéreuse et finit par disparaître, le noyau profondément altéré, se trouvant en quelque sor
attentivement les préparations, on retrouve un grand nombre de ces noyaux tranchant par leur pâleur sur les autres élémen
abondance de petites cellules rondes, ou pour mieux dire de petits noyaux assez régulièrement arrondis, bien colorés en b
ement pénétrés par les petites cellules, ces dernières entourant le noyau altéré de la cellule nerveuse et sem- blant ach
léaire, migration du nucléole à la périphérie, altéiation double du noyau , raréfaction protoplasmique périnucléaire et fi
ndes ? quel serait leur rôle ? Elles apparaissent presque comme des noyaux libres, avons- nous dit, leur protoplasme est e
s dit, leur protoplasme est en effet réduit à très peu de chose. Le noyau arrondi contient un réseau de chromatine bien mar
romatine bien marqué; jamais on ne trouve d'élément qui présente le noyau en bissac des leucocytes polynucléaires. Si ces
gliques. Sur des préparations colorées par la méthode de Rosin. les noyaux se colorent en vert comme ceux des cellules névro
eut constatera l'aide d'un fort grossissement qu'autour de quelques noyaux existe un petit liséré de protoplasme qui for-
interstitielle et péricellulaiie de petites cellules rondes à gros noyau , à protoplasme souvent imperceptible, dans tout
AH. (Neurolog. Centralbl., XVII, 1898.) Chez le chat on détruit les noyaux médullaires des cordons pos- térieurs ; les gai
édoncule cérébral et fournissent des collatérales au corps de Luys ( noyau hypothalamique). Un petit REVUE D'ANATOMIE ET D
ncule et la bandelette, dans les deux segments les plus internes du noyau lenticulaire (globus pallidus) de l'autre côté,
la couche optique et traversent le pédoncule cérébral, arrivent au noyau lenticulaire du même côté, soit en longeant la
re au putamen et à l'écorce de l'insula, abandonnent à leur tour le noyau lenticulaire et se perdent en arrière dans la cou
ronne rayonnante en sui- vant principalement la face postérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux du cordon
alement la face postérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux du cordon postérieur envoient donc des fibres d
un système de fibres croisées qui vont de l'écorce du cerveau au noyau du cordon postérieur, et passent par la masse de
et passent par la masse de la couche optique, et, en partie, par le noyau lenticulaire. Ce système entre en rapport avec
ar des rameaux latéraux. Il est surtout formé des fibres longues du noyau du cordon postérieur qui se terminent dans la c
cléaire de la couche optique. C'est le système thalamique croisé du noyau du cordon postérieur. Quelle partie de l'écorce
as uniquement de ses con- nexions médullaires, mais qu'au-dessus du noyau segmentaire des muscles de la jambe, du pied, d
SCO. (Presse médicale, 16 août' 1899.) On peut distinguer dans le noyau du facial, chez presque tous les animaux, trois
tous les animaux, trois groupes de cellules : un groupe interne ou noyau secondaire interne,-un groupe moyen, formé lui-
hes du facial établit que le facial supérieur a son origine dans le noyau commun de ce nerf. Ainsi se trouve détruite l'o
admise, d'après laquelle le facial supérieur a son origine dans un noyau différent et peut-être dans le noyau du moteur
upérieur a son origine dans un noyau différent et peut-être dans le noyau du moteur oculaire externe. Les recherches expé
ans les cons- tatations recueillies chez ces divers animaux, que le noyau du facial supérieur est situé à la partie posté
e le noyau du facial supérieur est situé à la partie postérieure du noyau moyen du facial. Le groupe interne du noyau p
partie postérieure du noyau moyen du facial. Le groupe interne du noyau primitif est constitué par deux espèces de cell
anches, à chacune des- quelles correspond, d'après M. Marinesco, un noyau principal. Ce sont : 1° la branche auriculaire,
entrale du groupe moyen. Chez l'homme, la configuration générale du noyau du facial et de ses groupes parait différente,
ses groupes parait différente, au premier examen, de celle du même noyau chez les animaux qui ont servi aux recherches pré
ette division, d'une simplicité schématique, en trois groupes ou en noyaux secondaires à grand axe antéro-postérieur, ne cor
os- térieure et médiane ou médiane externe qu'il faut chercher le noyau du facial supérieur. Ces constatations histologiq
rmation dans divers faits cliniques : cas de lésions alrophiques du noyau du facial avec participation des muscles orbicu
A l'autopsie de ce malade qui succomba dans le coma on trouva un noyau tuberculeux développé dans la partie supérieure e
pédon- 534 BIOGRAPHIE. cule cérébral gauche et ayant détruit les noyaux de la troisième paire gauche. Ils insistent sur
Bérillon et Maguin, 175. Hypoglosse. Altérations cellulaires du noyau d'origine après section de , par Foa, 308. Hy
28 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'auteur, il s'agirait d'une lésion des neurones coordinateurs des noyaux gris sous-cor- licaux, lésion intéressant les f
1903). E. B. VIII. Contribution à l'étude des localisations dans le noyau de l'hy- poglosse ; par M. et 11m PAR liON (de
lingual inférieur étaient épar- gnés. Les auteurs, ayant étudié le noyau de l'hypoglosse chez ce malade, décrivent, dans
protoplasme est clair, translucide ou très légèrement granuleux; le noyau , souvent double, est très petit, arrondi. Ces c
avoir été la manifestation grave et unique de la com- pression des noyaux du pneumogastrique. (Revue neurologique, novemb
dont l'intérêt n'est pas d'ordre médical. XX. Lésion ancienne du noyau rouge. Dégénérations secondaires, par Pierre Ma
inges, mais une lésion pédon- culaire intéressant nettement tout le noyau rouge du coté droit, «véritable destruction exp
rait de supposer que l'hémiplégie infantile résulte de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calotte. R. C.
cture histologique comprend : des cellules polymor- phes avec grand noyau et protoplasma clair, serrées les unes contre l
plus grande que les leucocytes ordinaires, possède un ou plusieurs noyaux et un protoplasma creusé de vacuoles dans l'int
ersistance de l'antipéristaltisme et ce dernier par l'irritation du noyau des pneumogastriques comprimés dans le plancher
'du clonus de l'articulation coxo-fémorale. P. Keraval. l\I11. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la région
rEnw. (Ncvr'olog, Centrcclbl, XXI, 1902.) On connaît jusqu'ici le noyau du cordon antérieur ou respi- ratoire de ulissl
le noyau du cordon antérieur ou respi- ratoire de ulisslawsl;y, le noyau central inférieur de Rolier,. le noyau réticula
ratoire de ulisslawsl;y, le noyau central inférieur de Rolier,. le noyau réticulaire du tegmentum pontis de Hechterew, le
Rolier,. le noyau réticulaire du tegmentum pontis de Hechterew, le noyau central supérieur ou médian de ]3eclitei-ev, le
Hechterew, le noyau central supérieur ou médian de ]3eclitei-ev, le noyau inomiaé de Hechterew, le noyau du faisceau pédo
érieur ou médian de ]3eclitei-ev, le noyau inomiaé de Hechterew, le noyau du faisceau pédonculaire- transverse de Becll-
elle. 11 occupe les mêmes portions de la formation réticulée que le noyau central inférieur, c'est-à-dire celles qui représ
essentiels du cordon latéral de la moelle. Aussi peut-on le nommer noyau centrai supérieur latéral, ou tout court, noyau
i peut-on le nommer noyau centrai supérieur latéral, ou tout court, noyau central supérieur, média), ou mieux médian. On
antérieurs du trapèze se sont contractés. La position anatomique du noyau du pectoral indique la localisation de ce réflexe
us, le segment postérieur de la capsule interne et empiétant sur le noyau lenticulaire. Dans le cerveau droit un foyer de
ndis, les prolongements plus grêles, le protoplasma gra- nuleux, le noyau excentriquement déplacé, etc. Il semble donc que,
a destruction de l'élément et de son remplace- ment par des amas de noyaux ou tout au moins par une dégéné- rescence granu
ssède en général dans la corne antérieure de la moelle épinière, un noyau principal et des noyaux accessoires; le noyau p
a corne antérieure de la moelle épinière, un noyau principal et des noyaux accessoires; le noyau principal constitue une m
a moelle épinière, un noyau principal et des noyaux accessoires; le noyau principal constitue une masse bien circonscrite
pour le médian et le cubital, 236 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. qui ont un noyau principal commun ; chaque nerf spinal tire ses
plusieurs segments médullaires, deux, trois, et même davantage ; le noyau médian a des fonctions motrices étroitement lié
n particulier. Knape prétend qu'il n'existe pas dans la moelle, des noyaux nettement circonscrits, d'où les nerfs des memb
ts groupes à fonctions différentes, la flexion serait localisée aux noyaux latéraux, l'extension aux noyaux centraux. Da
s, la flexion serait localisée aux noyaux latéraux, l'extension aux noyaux centraux. Dans une seconde période, on a enle
furent plus précis ; on découvrit à chaque muscle dans la moelle un noyau d'innervation déterminé (Parhon, Goldstein, San
la métamérie spinale. L'étude des rapports topo- graphiques de ces noyaux entre eux dans la moelle fut faite. Ces multipl
du système musculaire trouve son image dans la différenciation des noyaux médullaires; à chaque muscle répond un noyau, à
a différenciation des noyaux médullaires; à chaque muscle répond un noyau , à chaque groupement fonctionnel muscu- laire r
chaque groupement fonctionnel muscu- laire répond un groupement de noyaux , au segment d'un membre correspond, dans la moe
t d'un membre correspond, dans la moelle, une zone qui comprend les noyaux fonctionnels précédents. Le renflement cervical
acun de ces groupements, on peut, enfin, reconnaître l'existence de noyaux musculaires individuels, répondant chacun à un mu
en, le quadriceps fémoral, etc., on peut trouver dans la moelle des noyaux répondant à chacun des grands faisceaux du musc
sceaux du muscle. Il est remarquable de voir que la disposition des noyaux dans la moelle reproduit la topographie des mus
uit la topographie des muscles dans les membres; c'est ainsi que le noyau du deltoïde entoure le noyau du biceps dans sa
s dans les membres; c'est ainsi que le noyau du deltoïde entoure le noyau du biceps dans sa partie supérieure, comme le m
ême enveloppe la partie supérieure du muscle biceps ; de même, le noyau des adducteurs se trouve en dedans et en arrière
ême, le noyau des adducteurs se trouve en dedans et en arrière du noyau du quadriceps fémoral, comme les muscles adducteu
e de donner avec certitude, chez l'homme, la fonction de chacun des noyaux . Ce que l'on sait, c'est que les noyaux cellula
la fonction de chacun des noyaux. Ce que l'on sait, c'est que les noyaux cellulaires sont infiniment plus nombreux que c
éio-interne et postéro-externes décrits par Waldeyer, et que chaque noyau , loin d'être constitué par une colonne de cellu
es dont la lésion produit trois types de troubles périphériques. Le noyau , ou origine réelle du nerf, représente le centr
ou origine réelle du nerf, représente le centre radiculaire. Les noyaux qui fragmentent la colonne principale du IIIe ven
TES. 239 à D. A la partie externe de la base des C A reste un petit noyau de cellules fusiformes semblables aux cellules
noyau de cellules fusiformes semblables aux cellules de la C L. Ce noyau , à G, ne contient, par coupe, que trois cellule
s sont presque complètement détruites, en neuronophagie intense, le noyau homo- logue D contient au contraire dix cellule
s trophiques dans la corne latérale de la moelle dorsale et dans un noyau latéro-exteme de la corne antérieure de la moelle
de la corne antérieure de la moelle cervicale inférieure ; 1° Ce noyau laléro-externe de la base de la corne antérieure
base de la corne antérieure de la moelle cervicale est distinct du noyau postél'O-exte1'ne de la corne antérieure, dont
blant les parois de l'aqueduc de Sylvius, notamment au niveau des noyaux de la 3° paire, les tubercules quadrijumeaux, la
érie du corps cellulaire : excen- . BIBLIOGRAPHIE. 283 tricité du noyau , déformation du nucléole, qui se rapetisse et don
la substance blanche, brun jaune. L'alizarine colore proto- plasma, noyaux , fibres nerveuses, névroglie.La structure du noya
proto- plasma, noyaux, fibres nerveuses, névroglie.La structure du noyau et les grains de Nissl de la cellule sont très
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 321 jaune à l'orange; les noyaux sont bruns ou violet brun. Les par- ties dégéné
Les tuniques adventices ne sont pas le sièg; de proliférations des noyaux ; pas de prolifération névro- glique. Fibres des
Marchi, et, par la méthode de Nissl, du territoire qui contient le noyau de l'ôculomoteur externe ainsi que la portion sup
noyau de l'ôculomoteur externe ainsi que la portion supérieure du noyau du facial. Dégénérescence : des branches du facia
les. 1. Celle des racines du facial peut être suivie jusque dans le noyau du côté correspondant à la lésion; il existe un
la racine du facial qui correspond au côté lésé. 2. Les cellules du noyau du facial lésé présentent l'altération secondai
'altération secondaire de Nissl et Marinesco. Aucune altération des noyaux moteurs voisins du trijumeau et de l'oculomoteu
es altérations se voient dans les cellules des portions médiales du noyau du facial du côté opposé. 4. L'altération secon
acial du côté opposé. 4. L'altération secondaire occupe en outre un noyau autonome non encore décrit. Ce noyau existe au
secondaire occupe en outre un noyau autonome non encore décrit. Ce noyau existe au niveau du noyau réticulaire de la pro
e un noyau autonome non encore décrit. Ce noyau existe au niveau du noyau réticulaire de la protubérance et des zones int
au du noyau réticulaire de la protubérance et des zones internes du noyau du facial; il est situé en dehors et en avant d
internes du noyau du facial; il est situé en dehors et en avant du noyau de l'oculomoteur externe et en dedans de la rac
ette racine, traçant un arc de cercle à convexité externe autour du noyau de l'oculomoteur externe, quitte le cerveau en
cerveau en décrivant une courbe convexe en arrière et en dehors. Ce noyau se compose de cellules motrices tout à fait sem
se compose de cellules motrices tout à fait semblables à celles du noyau classique du facial. Il me paraît, dit l'auteur
r, hors de doute qu'il appartienne au facial. Pour le distinguer du noyau principal ou inférieur au facial, depuis longte
nférieur au facial, depuis longtemps connu, on pourrait l'appeler : noyau accessoire ou supérieur du facial. II. Connex
ntrées dans le cerveau, les fibres du nerf cochléaire se rendent au noyau antérieur, au tubercule acoustique, contournent e
ors et en arrière le corps restiforme, et envoient des fibrilles au noyau de Deiters ainsi qu'à la racine descendante de
a dans le corps trapézoïde où on peut les suivre jusqu'au niveau du noyau principal ou inférieur du facial et de l'olive
celui-ci et la racine descendante du trijumeau, elles arrivent au noyau de Deiters et à.celui de Bechterew, pour pénétrer
u de Deiters et à.celui de Bechterew, pour pénétrer, de là, dans le noyau interne ou postérieur de l'auditif, où les unes s
passe le raphé sous le plancher du quatrième ventricule el serenduu noyau interne ou postérieur de l'auditif du côté opposé
THOLOGIQUES. cL L grosse partie de ce trousseau parvient ensuite au noyau de Bechterew, le reste au noyau de Deiters. 3.
de ce trousseau parvient ensuite au noyau de Bechterew, le reste au noyau de Deiters. 3. La grosse olive du côté opposé à
même côté que la lésion, ainsi qu'à la substance réticulaire et aux noyaux médians des fais- ceaux de Burdach des deux côt
ns des fais- ceaux de Burdach des deux côtés symétriquement. De ces noyaux une partie des fibres se rendent au ruban de Re
s fibres arciformes externes. Au point le plus éloigné de l'axe des noyaux qui appartiennent aux faisceaux de Goll et de B
ce que l'on voit. Au niveau des portions les plus près de l'axe du noyau réticulaire de la protubérance, les fibres de l
quadri- jumeaux postérieurs la plus voisine de l'axe, au niveau du noyau central supérieur de Bechterew, le nombre des f
lumineux de chaque côté. Les fibres de ce dernier montent jusqu'aux noyaux des tubercules quadrijumeaux postérieurs et s'e
essus de l'aqueduc de Sylvius. Un peu plus en dedans, au niveau des noyaux des tubercules quadrijumeaux postérieurs, il se
'est le trousseau commis- sural de Bechterew qui unit entre eux les noyaux vestibulaires. A cette hauteur, le ruban de Rei
au territoire du ruban de Reil latéral ou inférieur, ainsi qu'aux noyaux des tubercules quadrijumeaux postérieurs, symétri
étriquement des deux côtés. 6. En dedans des parties supérieures du noyau réticulaire de la protubérance, au niveau préci
it dans le domaine des tubercules quadrijumeaux antérieurs, dans le noyau accessoire de l'oculoinoteur commun de Bechtere
rt, Wallenberg. Ce dernier auteur croit avoir trouvé que la pile de noyaux du faisceau solitaire reçoit par devant les fib
t souvent suivre les fibrilles de la portion de cellule vectrice du noyau à travers le cône originel jusque dans l'axone;
substance colorée. Partout des fibres formant une touffe autour du noyau ; les unes vont d'un prolongement à l'autre du m
ement parallèle au bord de la cellule, dont la convexité regarde le noyau ; les autres vont d'un pôle à l'autre en'entouran
arde le noyau ; les autres vont d'un pôle à l'autre en'entourant le noyau qu'elles regardent par leur concavité. Ces raies
vation naturelle du sang reprirent leur empire, et les cellules des noyaux du nerf se remirent à fonctionner normalement.
de certains filets des nerfs ciliaires courts ou longs, ou de leurs noyaux . VU. L'inégale mobilité de certains segments de
ons pathologiques des filets pupillaires correspondants ou de leurs noyaux (atrophie des cellules nerveuses correspondantes)
du corps restiforme droit. A un fort grossisse- ment, le raphé, les noyaux olivaires, les fibres arciformes se dessi- nent
ent fortement. Le faisceau latéral du cervelet du côté gauche et le noyau gauche de la dixième paire pa- raissent aussi p
rtie postérieure de la couche optique, toute la capsule interne, le noyau lenticulaire et une partie de la capsule externe.
s contractions moins vives que celle de la couche optique. Celle du noyau caudé et du cervelet est demeurée sans résultat.
la scissure de Sylvius qui plonge et occupe la tête et le corps du noyau caudé, le segment antérieur et le genou de la c
oelle. L'atrophie de la couche optique porte principalement sur son noyau externe, ou postéro-externe ; elle tient à l'in
e temporale; c) celle des ascendantes ; d) celle du bord externe du noyau len- ticulaire. Des détails de la description i
ban de Reil projette un faisceau rayonnant qui s'épa- nouit dans le noyau amygdalien ou la corne d'Amlllon, dans les part
ical, ganglions cervicaux inférieur et supérieur). Pas de lésion du noyau bulbaire du spinal. Atrophie très marquée de la
marquée de la corne antérieure de la moelle cervicale supérieure. ( Noyau u cervical du spinal). " MM. Gallavardin et S
corne antérieure de la moelle cervicale supérieure c'est-à-dire du noyau d'origine du spinal cer- vical ; 4° que la sign
r un processus de névrite ascendante retentir dans le bulbe sur les noyaux d'origine de la Vile paire. L'hémispasme facial
stence de lacunes de désintégration, siégeant, en général, dans les noyaux gris cet- traux, de préférence dans les noyaux
en général, dans les noyaux gris cet- traux, de préférence dans les noyaux lenticulaires; parfois dans les cas d'ictus, on
gère atrophie cellulaire ; atro- phie, dislocation et gonflement du noyau , plissement de la mem- brane nucléaire; endo-nu
alysie générale. Dégénérescences secondaires. Voir Cervelet. Voir Noyau rouge. Des stigmates anatomiques, phy- siolog
181. HYPOGLOSSE. Contribution à l'étude des localisations dans le noyau de l ? par Parhon, 63. Hystérie. Du cas d'- à
et hypertro- phie osseuse, par Guillain et Courtellemont, 161. Noyau rouge. Lésion ancienne du . Dégénérations secon
essi s méningés. Voir Liquide céphato1'Clchidien Protubérance. Un noyau spécial de la formation réticulée dans la rég
29 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
es frontaux, vaisseaux scléreux, foyer de ramollisse- ment des deux noyaux lenticulaires, cirrhose hépatique, tuméfac- tio
c agrandissement des espaces péri-vascu- laires. - Augmentation des noyaux le long des petits vaisseaux. z Dégénérescence
réflexes patellaires. M. S. KIRILTSEFF. Contribution ci l'étude des noyaux d'origine et du trajet central du nerf acoustiq
tie le tubercule acoustique, soit enfin lésé simultanément avec le noyau antérieur de l'acoustique. Coloration au carmin p
nière, le rappor- teur est arrivé aux conclusions suivantes : 40 le noyau interne et SOCIÉTÉS SAVANTES. 63 celui de Dei
nerf acoustique; 2° les fibres de cette racine se terminent dans le noyau antérieur, le tubercule acous- tique, les deux
umeau su- périeur également du même côté. La petite section part du noyau antérieur et, après avoir, comme la grande sect
s postérieures (direction caudale) de cette section passent dans le noyau du nerf facial situé de leur côté. La marche an
ézoïdal passent les fibres du ruban de Reil qui se dirigent vers le noyau antérieur opposé et unissent ce dernior au quad
pport, per- mettent de le supposer, se dirige partiellement vers le noyau de W. M. Bekhtéref (noyau principal n. vestibul
supposer, se dirige partiellement vers le noyau de W. M. Bekhtéref ( noyau principal n. vestibularis) et s'abaisse en part
, 322, 450); Traitement de l'Idiotie (1859, p. 161, 199, 225, 241); Noyau d'abricot introduit dans le larynx (1859, p. 64
percevoir en arrière, à gauche de la scissure postérieure, un petit noyau , complètement isolé, de tissu néopla- sique dif
érescence qui les rend méconnaissables. Les cellules contiennent un noyau plus volumineux que les cellules névrogliques n
n noyau plus volumineux que les cellules névrogliques normales ; ce noyau est arrondi ou irrégulier; sou- vent il est all
ac. Sur les coupes colorées à l'héma- toxyline, on constate que les noyaux sont disposés en nappes ou en bandes, d'orienta
avation où le tissu est presque pure- ment fibrillaire. Souvent les noyaux se disposent par files de quatre ou cinq, toute
s volumineux, à contour arrondi ou ovoïde; ces blocs contiennent un noyau volumineux ou n'en contiennent plus; ils peuven
s (fig. 8 et 11). Ces petits nerfs possèdent un névrilemme riche en noyaux allongés. Ce qui permet d'affirmer que ce sont
ns la région lombaire en arrière, où elle est infiltrée de nombreux noyaux arrondis. Je dois ajouter que j'ai recherché sa
e \.1 on voit que le cordon grêle a déjà presque dis- paru dans son noyau , d'où partent en avant les fibres du ruban de R
e dégénérée se réduit donc ici a une très mince bande en arrière du noyau grêle. Un peu plus haut toute trace de dégénére
ne disparait complètement qu'un peu au-dessus du bec du calamus. Du noyau du faisceau cunéiforme partent également, en av
t, à bords très nets, situé à égale distance de la périphérie et du noyau . Enfin, ainsi qu'on peut le voir sur les figure
tiennent quelques fibres en voie d'atrophie, avec prolifération des noyaux , ces fibres sont d'ailleurs assez rares et tout
? y ôf,tlae,sazal ço ? °d : ; Lôndrés ? 138c,J), on , voit que les noyaux des muscles de la' main sont les plus., bas i s
e ascendante, l'avant-mur, la capsule externe, l'article externe du noyau lenticulaire. Ramollissement adroite et à gauche
les espaces périvasculaires de tout l'encéphale, hyper-1 plasie des noyaux des tuniques adventices, musculeuses et internes
cellliles accumulées;et souvent magmateux, dépourvues d'ailleurs de noyaux , forment des dessins uniformes' ou arrondis' co
nt' 'obscurs. Il 'a lieu'de e penser à un arrêt de développement du noyau du facial du côté gauche, peut-être ne s'agit-i
re ne s'agit-il aussi que d'un trouble dans le'déve- loppement d'un noyau isolé de ce nerf le centre en étant demeuré int
oupe de Flecbsig, la tumeur pénètre en arrière et en dehors dans le noyau blanc du lobe frontal, sans atteindre le corps
e grosse comme une noisette. A part une broncho-pneumonie double, à noyaux disséminés avec congestion étendue à la base et
fragments de la Fig. 16. - Éléments de la tumeur dissociés. 1, 1" noyaux neuroblastiques; 2, 2', 2" ncuroblastes arrondis,
, 1" noyaux neuroblastiques; 2, 2', 2" ncuroblastes arrondis, avec un noyau excen- trique et un protaplasma trouble; 3 neur
loppé; 4 cellule nerveuse adulte du type multipolaire, avec vn gros noyau nucléole et des prolongements brisés pres de le
ramidal ; 7 cellule fusiforme ; 8 cellule araignée avec deux petits noyaux ; 9 neuroblaste avec un noyau muriformc; 10 neurob
; 8 cellule araignée avec deux petits noyaux; 9 neuroblaste avec un noyau muriformc; 10 neuroblaste avec un noyau divisé
yaux; 9 neuroblaste avec un noyau muriformc; 10 neuroblaste avec un noyau divisé eu une multitude de petites boules arrondi
ec un noyau divisé eu une multitude de petites boules arrondies; Il noyau semblable dont les fragments moléaires s'éparpi
pillent dans le protoplasma : 13 à 15 cellules de formes diverses à noyaux multiples ou divisés. Picro-carmin et hématoxylin
glique, plus translucide, plus mou, présente à considérer : -1° des noyaux ovoïdes ou arrondis, de 3 à 5 IL de dia- mètre
s purement embryonnaires des neuroblastes ; 2° des cellules avec un noyau semblable, ou quelquefois deux ou plusieurs noy
cellules avec un noyau semblable, ou quelquefois deux ou plusieurs noyaux , qui sont très finement granuleuses, et émetten
e leur évolution et des fibres amyéli- niques. On y trouve : 1° des noyaux isolés semblables à ceux qui ont été décrits pl
x isolés semblables à ceux qui ont été décrits plus haut ; - 2° des noyaux analogues, entourés d'uue couche assez épaisse
E NERVEUSE. longements nombreux, à leur protoplasma trouble, à leur noyau volumineux, finement- réticulé, munis d'un nucl
fig. 16) ; elles sont moins nom- breuses que les précédentes. Les noyaux des cellules n'ont pas tous le même aspect ; ceux
lionnaires à type médullaire ont pour la plupart les caractères des noyaux normaux; ils sont volumineux, arrondis, formés
nglion- naires à type cortical au contraire ont plus volontiers des noyaux qui se rapprochent de l'état embryonnaire; ils
eur autre que la liqueur de Muller, mais les différents aspects des noyaux semblent indiquer que leur- multiplication se f
a prolifération est active, sur les bords de la tumeur, beaucoup de noyaux sont allongés ou étranglés en bissac; d'autre p
rrondies, à protoplasma trouble qui contiennent jusqu'à huit ou dix noyaux (14, fig. 16); il est probable que ces cellules
if de l'évolution. , . A côté de ces cellules, où la division des noyaux parait s'effectuer. ' 11'1 .Il.... ,,1. 'i : o
{(''1q d'une façon régulière,, on en trouve beaucoup d'autres où le noyau subit une ? a{¡me ! WftiRn.j ! '1'¡]gul,ièl'c q
? H¡ ? figure 16. D'ailleurs les éléments qui portent de semblables noyaux gardent presque toujours une' forme irrégulièrë
, les éléments commencent à entrer en proliféra- tion ; on voit les noyaux des cellules de la névroglie éparses dans l'éco
dans l'espace péricellulaire de ces éléments, vers leur base, un noyau petit, arrondi, fortement coloré par les réactifs
au petit, arrondi, fortement coloré par les réactifs nucléaires; ce noyau a été considéré, avec beaucoup de vraisemblance,
dans l'espace clair qui l'entoure, un nombre assez considérable de noyaux en' état 'de prolifération évident (fig. : 21).
rable de noyaux en' état 'de prolifération évident (fig. : 21). Ces noyaux , dont quelques- uns sont entourés déjà d'une co
d'une couche de protoplasma visible, déri- vent évidemment du petit noyau de remplacement de la cellule nerveuse. En desc
un court prolongement, à protoplasma» trouble et avide de carmin, à noyau volumineux, reproduisaient exacte- ment les for
iés et sclérosés ; -3, fas ciculus teres; - 4, corps restirorme; 6, noyau commun du facial et de l'oculo- moteur externe;
irorme; 6, noyau commun du facial et de l'oculo- moteur externe; 7, noyau propre du fascial; 8,8', olives supérieures intac
3ti. Coupe du bulbe à la partie moyenne des olives. 1,2, raphé; 3, noyau de l'hypoglosse; - 4, noyau du pneumogastrique; 5
rtie moyenne des olives. 1,2, raphé; 3, noyau de l'hypoglosse; - 4, noyau du pneumogastrique; 5, tronc de l'hypoglosse; 6
N SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 359 peut constater aussi l'intégrité du noyau d'origine de l'oculo-moteur externe. En V se re
ives, en 5 et 10 les nerfs hypoglosse et pneumogastrique avec leurs noyaux en 3 et 4. Nous avons deux particularités à sig
rticularités à signaler dans cette coupe du bulbe : l'intégrité des noyaux du plancher du 4e ventricule et la dégénérescen
a-bulbaire de l'hypoglosse depuis son origine apparente jusqu'à son noyau ventriculaire dont la figure 38 montre l'intégr
'une simple contiguïté. Les rapports de l'olive supérieure avec les noyaux d'origine de l'auditf et de l'oculo-moteur exte
ce n'était pas non plus la parole qu'on observe dans l'atrophie du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les affections du c
a fait un examen microscopique de la protubérance et du bulbe; les noyaux du plancher du 4e ventricule, hypoglosse compri
ité Archives, t. XXVI. 24 370 ANATOMIE PATHOLOGIQUE absolue des noyaux et des racines de l'hypoglosse, ensuite dans le
trousseau est limité en haut par le corps calleux, en bas par le noyau caudé, en dehors par la couronne rayonnante (dégé
at., XXIII, 3.) Blépharoptose à gauche ; dégénérescence centrale du noyau de l'oculo-moteur commun correspondant. P. K.
formation de ses lames blanches et s'épuisant complètement dans son noyau même. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
us venons de décrire. P. KERAVAL. XXXVI. Des altérations dans les noyaux des nerfs crâniens chez LES DÉMENTS PARALYTIQUE
uatre observations. Dans tous ces cas excepté un (mort précoce) les noyaux en question étaient altérés. L'altération était l
stion étaient altérés. L'altération était la moins avancée dans les noyaux principaux de l'auditif et du trijumeau. Ces ob
erme est la destruction de la cellule. Il semble aussi que tous les noyaux ne soient pas simultanément affectés, que ceux pa
ple du facial et de l'hypoglosse subissent des altérations avant le noyau de l'auditif, plus résistant. Plus la maladie d
dure longtemps, plus sont nettes les altérations dégénératives des noyaux des nerfs 404 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGI
'adulte. A un fort grossissement, on voit que ces éléments sont des noyaux du tissu conjonctif, soit libres, soit entourés
pillaires sanguins sont en plus grand nombre que chez l'adulte; les noyaux de tissu conjonctif ronds ou ovales ont de 4 à 10
à peu avec la couche sous-jacente : elle se compose tout d'abord de noyaux de coloration foncée, pour la plupart dépourvus
mentaires, dont certaines affectent mieux une forme pyramidale; les noyaux de ces cellules rudimentaires sont comparativem
ffisante pour y déterminer plusieurs couches. On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellules nerveuses
if; 2° des cellules nerveuses à forme pyramidale constituées par un noyau entouré d'une couche de protoplasma légèrement
ierstade du développement des cellules géantes ; 3° quelques larges noyaux irrégulièrement ovales, formés probablement de
da la structure de celle écorce con- siste dans la prédominance des noyaux , soit des cellules nerveuses, soit des cellules
Lewis au sujet des altérations des cellules nerveuses et de leurs noyaux dans l'épilepsie. R. M.-C. XLII. Tumeur cérébra
que l'anatomie patholo- gique lui montraitune lésion unilatérale du noyau moteur du triju- meau. On a toujours vu dans le
sont paralysés, dans les cas de foyers unilatéraux que lorsque les noyaux ou les fibres radiculaires sont lésés, mais non
fluence, s'est produite une atrophie simple, non'inflamma- toire du noyau qui a alors déterminé la dégénérescence descen-
nce descen- date,du' bout central, entre le ganglion géniculé et le noyau du 7t ' I . I ? t ·1· ... I ' ? -.f I ', , t i
cule cérébelleux supérieur, pour se diriger en haut et en dedans au noyau sphérique, au bouchon, à l'écorce du vermis; au
strique, participé' à là* forma- lion de la commissure au-dessus du noyau du toit et' passé' ainsi" du'côté "oppose où se
'est-a-'dire que' les' fibres dû neéf vestibulaire vont'non pascaux noyaux centraux du cervelet,' mais' infra au' lobule d
le du côrps,resti- forme, qui contient surtout des fibres issues'du noyau de Deiters du jt côté homonyme et du côté : opp
au pédoncule 'du lobule 'dti 'pneumogastrique ? va'1 ' avecMûi aux noyaux accessoires de'l'olive cérébelleuse, mais 'sa "
rop haut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau sensoriel du' nerf GLOSSO'-PLI
s.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau sensoriel du' nerf GLOSSO'-PLIA- · ItYNGIPN; pa
peu près au niveau de l'extrémité inférieure du tiers supérieur du noyau de l'hypoglosse, existe un groupe de cellules n
e de cellules nerveuses situé en dehors etf uiîc peu u au-dessus du noyau ide, 1'liypo -1 ose,, 11, est., dirigé, obliqueme
Seliutz) ;, 1 ? Lre,vient duliiiC[Iic groupe, s'inilécidt autour du noyau de l'hypoglosse, de dehors en dedans, et d'avan
des fibres (lui, ti-avet-saiit 1 - eiio3 rà'du iiét-f'vagtielvoiit*au noyau ^interne de l'acoustique; = 3° üës'fib`resuadia
9 * ? , Lm, r. u ? U . u - » . i Au' niveau du tiers inférieur,du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé), en
- » . i Au' niveau du tiers inférieur,du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé), en .arrière de celui-ci. Au
situé), en .arrière de celui-ci. Au .niveau de la partie moyenne du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé entre
ui-ci. Au .niveau de la partie moyenne du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé entre le noyau de l'hypoglosse
oyenne du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé entre le noyau de l'hypoglosse et le faisceau longitudino-dorsal
'de 'l'hypoglosse,1 par exemple à, la base du tiers supérieur de ce noyau . Au-dessus; le noyau de l'hypoglosse diminue et l
ar exemple à, la base du tiers supérieur de ce noyau. Au-dessus; le noyau de l'hypoglosse diminue et le noyau dorsal s'ac
ur de ce noyau. Au-dessus; le noyau de l'hypoglosse diminue et le noyau dorsal s'accroît, prenant la place du premier au
niveaulde l'extrémité supérieure' du noyau'de" l'h 1pd ? ioie;' le noyau dorsal touche au noyau -interne de l'acoustique
supérieure' du noyau'de" l'h 1pd ? ioie;' le noyau dorsal touche au noyau -interne de l'acoustique alors," il diminue à son
iè'du' quatrième'ventriculé ; ,mais il ne se. confond pas 'avec ce' noyau .' Dans la protubérance et au-dessus, nous savon
ons rien w de lui. '" " ' , ? 5 "' " i. En réalité, ce n'est pas un noyau d'origine des nerfs crâniens.' Il se rattache a
n'est pas un noyau d'origine des nerfs crâniens.' Il se rattache au noyau interne de L'acoustique dont 'on ! ignore )à ph
el, Onufrowicz, Baginsky et Bochterew en rejettent le rôle auditif. Noyau sensoriel du glosso-phâéyigién.'Idées à'peu de
, excessive, etq l'on ' constatait' une lénorme'multiplication· des noyaux ; . le. bourgeon cmusculkirei n'avait' plus rsa'lg
rmale, celle-ci. était remplacée par quatre à ! cinq~gro'upes 'de'1 noyaux 'fusi- formes Il entourant ri le tfaisceaut6ute
ait devenu très, petit, ilsouventi aussi petitrquei te'diamètre' dû" noyau et,"par places, on. voyait entrel ellési quelqu
trophie considérable des muscles, atrophie avec multiplication- de3 noyaux ; abondance de noyaux fusiformes et quelques cel
des muscles, atrophie avec multiplication- de3 noyaux; abondance de noyaux fusiformes et quelques cellules vésiculeuses, a
scentes et épaissies; kystes hémorrhagiques anciens dans. les .deux noyaux lenticulaires; - sclérose des cordons postérieu
TABLE DES MATIÈRES ,1) ACOUSTIQUE, contI ibulion fi, l'étude des noyaux d'origine et du trajet contrai du nerf-, par Ki
, par A. Robertson; 239. ( Déments, des ' altérations dans, les noyaux des nerfs crâniens chez les . paralytiques, par
, par Ôppenheim, 492. ' l GLOSSO-PIIARY\GICV, noyam dorsal et ' noyau sensoriel du nerf -, par lllucliin, 488. 4 Go
30 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e altération. La couche optique gauche et le bord antéro-interne du noyau lenticulaire de ce côté sont indurés et présent
é antérieure du lobule paracentral a gauche ; 2° sur une portion de noyau lenticulaire et sur la couche optique du même h
issement cérébral : 1" vaste foyer central à droite (corps calleux, noyau caudé, anse 7-ola71111qzie); lésion dégénérative
u'à la membrane épendymaire, et la moitié supérieure de la queue du noyau caudé. Une deuxième coupe verticale de l'hémisp
pédoncutaire. Le trigone cérébral est intact. La couche optique, le noyau lenticulaire du corps strié, la région capsulai
e rôle des fibres qui ont leur origine ou leur terminaison dans les noyaux ganglionnaires delà base du cerveau (couche optiq
otre deuxième observation, la lésion destructive d'une portion du noyau caudé ainsi que celle delà substance blanche sous
e l'étage inférieur (ou pied) du pédoncule se rendent les unes au noyau lenticulaire, les autres au noyau caudé. Il est
pédoncule se rendent les unes au noyau lenticulaire, les autres au noyau caudé. Il est encore intéressant, avec cette al
alleux, la circonvolution qui le surmonte, lit partie supérieure du noyau caudé \' C n, et une grande portion de la subst
ablement épaissies ; elles présentent une abondante hypergénèse des noyaux qui se prolonge dans le tissu conjonctif ambian
té delasubs- tance grise et des nerfs périphériques. Intégrité -des noyaux bulbaires, y compris les fibres intra-bulbaires
; on peut suivre les altérations des vaisseaux jusqu'au niveau des noyaux du facial. P. K. IV. DE L1 myopathie atuophiq
c le faisceau de Meynert,qui unit le ganglion del'habe- nula (petit noyau grissuperficiel de lacouche optique situéen avant
nt de l'irradia- tion des excitations à l'intérieur du corps strié ( noyau caudé ou lenticulaire). Quant à ceux qui s'arrê
a cou- ronne rayonnante par les capsules externe et interne dans le noyau lenticulaire. On sait, comme le montrent les pr
qui, en descendant, forment les parties constitutives de l'anse du noyau lenticulaire. Une autre, partie de ce système se
de la capsule interne, du système de fibres de l'article externe du noyau lenticulaire, du trajet de l'anse du même noyau d
'article externe du noyau lenticulaire, du trajet de l'anse du même noyau démontre ce qui suit. L'article externe du noya
de l'anse du même noyau démontre ce qui suit. L'article externe du noyau lenticulaire reçoit aussi, par la couronnerayon
fibres égal à celui de ses irradiations dans l'article externe du noyau lenticulaire. Chez les animaux inférieurs, par ex
exhiba une rare préparation. Ce fait que déjà l'article externe du noyau lenticulaire reçoit des irradiations du système
isément que la masse des fibres qui en sortent passe dans l'anse du noyau lenticulaire et commencent non pas à la lame médu
a lame médullaire externe, mais dès la base de l'article externe du noyau lenticu- laire. M. Meynert montre en outre, sur
que, ainsi que celles qui partent du lobe frontal pour ga- gner les noyaux lenticulaire et caudé. M. Konrad est reçu membr
rs comme de l'eau, dont la paroi élastique est couverte de nombreux noyaux ; on y cons- tate un contenu quasi-liquide, ou d
robablement-dans la substance intermédiaire aux mêmes fibrilles. Le noyau de la cellule est tantôt obscur, tantôt netteme
nt des rosettes souvent très coquettes. En embrassant d'ensemble un noyau et les organites qu'il con- tient, on voit tel
fondeur, formant ainsi mille dessins changeant à divers endroits du noyau ; ces mouvements sont, quant à leur rapidité, co
lule entraine la disparition très prompte de tous les organites, le noyau devenant finement granuleux, s'entou- rant d'un
droit et du faisceau cunéiforme du même côté à la hauteur de leurs noyaux : ablation complète de ces faisceaux, presque c
aux : ablation complète de ces faisceaux, presque complète de leurs noyaux ; 2° rat tué le cinquante- deuxième jour après
opposée, d'un trousseau de fibres qui doit être en rapport avec le noyau du cordon latéral (atrophie de ce noyau). Où se
oit être en rapport avec le noyau du cordon latéral (atrophie de ce noyau ). Où se termine le corps restiforme dans le cerve
du pédoncule cérébelleux inférieur. Proviendrait principalement du noyau du faisceau cunéiforme. 11 est en tous cas prob
de l'opinion de Meynert, car chez le rat, on a respecté les petits noyaux du lobe central du cervelet qui occupent le toi
des fibres du pédon- cule cérébelleux inférieur jusqu'à ces petits noyaux et à l'entre-croiseinent médian. Il est possibl
médian. Il est possible que sou entrecroisement atteigne les petits noyaux du côté opposé; mais jusqu'ici toute affirmation
ime avec. 236 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. l'altération du noyau rouge de la calotte (de Stilling) du côté opposé,
du noyau rouge de la calotte (de Stilling) du côté opposé, mais ce noyau ne s'atrophie simultanément que partiellement.-d.
pour la plus grande part (Forel), soit toutes (von Gudden) dansles noyaux rouges. Plusieurs de ces fibres vont-elles plus
plus loin, ou les fibres, entrées en connexion avec les cellules du noyau rouge, ont-elles d'autres connexions indirectes
he intermédiaire des olives s'atrophient, et après l'extirpation du noyau du faisceau grêle et après l'extirpation de l'éco
ipe pas à la formation du corps restiforme. La partie supérieure du noyau de ce faisceau donne naissance à la partie inte
le cérébelleux inférieur. Les rapports du faisceau cunéiforme et du noyau de Dehors (externe de l'a- coustique) sont dout
coustique) sont douteux : il y aurait plutôt lieu d'admettre que ce noyau est en relation avec le cordon latéral. il est
possible de rien dire quant aux relations de ces dernières avec le noyau du faisceau en question : nous tendrions à REVU
dont émanent les troisième et quatrième paires sacrées y compris le noyau sacré de Stilling qui est placé là. P. K. fï^
simplement, sous forme dubitative, une faible multi- plication des noyaux de l'écorce. Quant à la pneumonie dite alimenta
de foyeis que chez le premier malade ; à la hauteur des olives, le noyau cruciforme, doublé de volume, , est le point de
on qui, pénétrant dans les pyramides, en a ravagé partiellement les noyaux . Dans les quatre cas, atro- phie du nerf optiqu
travail est encore sur le chantier. Jusqu'ici il a constaté que les noyaux eu question sont en connexion avec le cervelet,
cerveau par l'intermédiaire de la substance réticulée qui gagne les noyaux du côté opposé, et même du côté homonyme ( ? )
semaine delà vie, con- tient des fibres myéliniques. La plupart des noyaux des nerfs crâniens, sinon tous, reçoivent d'aut
suivi en avant, sur les côtés du troisième ventricule, que jusqu'au noyau de l'oculomoteur commun ou jus- qu'à son extrém
l'oculomoteur commun ou jus- qu'à son extrémité la plus antérieure. Noyaux de l'oculo-moteur commun et du pathétique. Le p
tes fibres au nerf en ques- tion. Au-dessus et au-dessous de chaque noyau de l'oculomoteur, sur la ligne médiane par rapp
chaque noyau de l'oculomoteur, sur la ligne médiane par rapport au noyau principal, existe un petit noyau de cellules fu
ur la ligne médiane par rapport au noyau principal, existe un petit noyau de cellules fusiformes dont les relations avec le
mes dont les relations avec le nerf ne sont pas certaines. Là où le noyau de l'oculo-moteur apparaît dans toute sa vigueu
igueur on trouve, sur la ligne médiane, c'est-à-dire entre les deux noyaux , un noyau médian qui, de chaque côté, envoie de
rouve, sur la ligne médiane, c'est-à-dire entre les deux noyaux, un noyau médian qui, de chaque côté, envoie des fibres a
un noyau médian qui, de chaque côté, envoie des fibres au nerf. Le noyau ou les noyaux des oculomo- teurs communs sont e
ian qui, de chaque côté, envoie des fibres au nerf. Le noyau ou les noyaux des oculomo- teurs communs sont en connexion av
ède encore aucune certi- tude relativement à leurs rapports avec le noyau de l'oculomoteur commun. Vers la partie antérie
de l'oculomoteur commun. Vers la partie antérieure et au-dessus du noyau prin- cipal, existe, au-dessous des tubercules
nerveuses qu'il n'est pas toujours facile de séparer franchement du noyau de l'oculomoteur commun; dans ces cellules arri
blanche profonde des tubercules quadrijumeaux; la situation de ce noyau est celle du noyau dorsal de l'oeulo-motetti, com
des tubercules quadrijumeaux; la situation de ce noyau est celle du noyau dorsal de l'oeulo-motetti, commun de Gnd- dot,
égé- nérescence des cornes antérieures de la moelle ainsi que des noyaux du bulbe. Au microscope, comme à l'oeil nu, intég
e bout in- férieur d'un nerf sectionné. A la période initiale, le noyau des segments interannulaires se tuméfie et se m
ns un protoplasma granuleux auquel s'ajoute un nombre variable de noyaux . Puis les débris de myéline sont éliminés. Le c
ite à la gaîne de Schwann que distendent de loin en loin quelques noyaux ovoïdes. Ces lésions essentiellement carac- tér
nt, au milieu duquel on rencontre un nombre parfois considérable de noyaux . La myéline 340 PATHOLOGIE NERVEUSE. ainsi dé
on n'en trouve aucune trace dans l'intérieur du tube nerveux; les noyaux persistent au contraire, et parsèment encore la
ocs volumineux ou en boules inégales entre lesquels s'insinuent des noyaux et un protoplasma granuleux. Le cylindre-axe es
n des amas for- més par des gouttelettes ou des grains noirs et des noyaux ; de là un aspect moniliforme. Ailleurs enfin, l
et se teinte légèrement en rose pâle sur lequel tranchent quelques noyaux ovoïdes plus colorés ; tantôt elle conserve enc
morphe, homogène, d'un jaune ambré dans laquelle sont enchâssés des noyaux ovoïdes ou arrondis. Les tubes ainsi atrophiés
es existe une matière protoplasmique grenue, teinte en jaune et des noyaux en nombre variable. Malgré l'examen le plus att
prend sa structure normale ou à peu près normale, car sou- vent les noyaux des segments contigus aux foyers d'altération s
les qui ont été décrites, une petite quantité de protoplasma et des noyaux plus ou moins nombreux (fig. 4). Entre ces renf
uleur DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 349 ambrée où se rencontrent des noyaux ovoïdes. Dans ce cas également, les recherches
teinté en rosepâle sur laquelle se détache une succession de petits noyaux ovoïdes (fig. 5); ou bien elle n'est pas complè
contenir encore une matière homogène, d'un jaune ambré et aussi des noyaux disposés en série linéaire (fig. 6, PI. II). Le
normal; de distance en distance celle-ci est dé- primée par de gros noyaux ovoïdes (fig. 8 et 9). Il s'agit évi- demment l
demnes ou ne présentent d'autre particularité qu'une tuméfaction du noyau des segments, avec végétation appréciable du pr
ormales par ailleurs, montrent également une tuméfaction notable du noyau des segments avec abondance insolite du protopl
eviennent de véritables corps étrangers et déterminent, du côté des noyaux et du protoplosma des modifications inflammatoi
sées par la disparition des prolonge- ments cellulaires, parfois du noyau et des nucléoles. t Déjerine. Recherches sur le
assez bien délimités, qui contiennent souvent à leur centre un gros noyau et ne sont pas sans offrir quelque similitude a
pressés, tantôt épars dans une matière protoplasmique parsemée de noyaux . Les masses granuleuses dispa- raissent progres
alors à la gaine de Schwann entourant encore un nombre variable de noyaux ovoïdes. Mais, fait im- portant, il est impossi
es grosses ou fines, séparées par un protoplasma granuleux et des noyaux . La multiplication de ces derniers est, il est
ments qui ne s'éloignent de l'état normal que par la tuméfaction du noyau et la plus grande abondance du protoplasma péri
es, grises, ambrées et au milieu desquelles on rencontre souvent un noyau . Entre les sphères, la gaine de Schwann affaiss
. Fig, 5. Segment atrophié. a, gaine de Schwann vide, plissée. b, noyaux ; aucune trace de cylindre-axe; s, segments normau
lissée semble contenir une matière homogène d'un jaune ambré et des noyaux ovoïdes. Fig. 7. Portion de segment présentant
de cellules ganglionnaires fortement pigmentées notamment dans les noyaux de l'hypoglosse et du pneumo- gastrique et les
périeure des circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. Les noyaux gris centraux paraissent intacts. A la coupe pé
calleux, la circonvolution qui le surmonte, la partie supérieure du noyau caudé NCa, et une grande portion de la substanc
es, grises, ambrées et au milieu desquelles on rencontre souvent un noyau . Entre les sphères, la gaine de Sehwann affaiss
. 1%ig. 5. - Segment atrophié.a.gainedeSchwannvide.plissée. &, noyaux ;aucunettacedec\tindre-axe ? s, segments normaux.
lissée semble contenir une matière homogène d'un jaune ambré et des noyaux ovoïdes. Fig. 7. Portion de segment présentant
31 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et des parois vasculaires par de très nombreuses cellules dont les noyaux arrondis sont avides de matières colorantes. Ce
gré. Cette lésion est constituée par une accumulation de cellules à noyaux arrondis dans la paroi et la gaine lymphatique,
la gaine lymphatique seule pour les capillaires gros ou petits; les noyaux longitudinaux de l'endothélium se voient partou
ium se voient partout intacts et la lumière est libre ; de même les noyaux transversaux des vaisseaux de calibre, qui appa
u mésodermique ; ce sont des cellules fixes, qui n'ont nullement le noyau des leucocytes ; elles sont réparties par petit
ontal. Lésions , des vaisseaux, dont les parois sont surchargées de noyaux ; légère hémorrhagie dans la gaine des deux vais
ont pas non plus souffert d'une façon appréciable ; peut-être leurs noyaux se colorent-ils un peu mieux qu'à l'état sain,
ltération, encore peu avancée, caractérisée par l'accumula- tion de noyaux arrondis dans la gaine adventive ; les noyaux all
r l'accumula- tion de noyaux arrondis dans la gaine adventive ; les noyaux allongés de l'endothélium sont sains; les petit
les noyaux allongés de l'endothélium sont sains; les petits amas de noyaux situés à côté du capillaire appartiennent à d'a
illaire appartiennent à d'autres capillaires coupés en travers; les noyaux des cellules de la névroglie sont plus volumineux
tant il n'y a aucune lésion des éléments nerveux : les cellules des noyaux gris et les fibres des divers faisceaux sont co
s et les fibres des divers faisceaux sont complètement intacts. Les noyaux multiples des nerfs moteurs oculaires communs o
ar le procédé de Weigert-Pal ; les altérations rencontrées dans ces noyaux sont exclusivement vasculaires ; elles sont exa
Méninge et racine antérieure (5e cervicale). Accumulation énorme de noyaux dans la pie-mère, où ils forment de larges taches
réagi ; c'est à peine si l'on observe une légère multiplication des noyaux du sarcolemme dans ceux qui dépendent du moteur
ue l'endolhélium ; dans l'infiltration on distingue encore quelques noyaux allongés qui appartiennent à des fibres lisses
hépatiques, dans des territoires très larges, sont troubles et leur noyau ne se colo- rent plus; les territoires ainsi lé
cellulaire se caractérise par l'état granuleux et par l'absence de noyau visible; elle est identique à celle du foie. Cett
ulbe, on voit la dégénérescence de cordon de Goll s'épuiser dans le noyau grêle et celle du faisceau de Bur- dach former
s le noyau grêle et celle du faisceau de Bur- dach former autour du noyau cunéiforme un croissant qui finit 1,'ig. J3. Mo
de corps granuleux. Sur les coupes colorées à 1'liématoxylitie les noyaux sont très abondants dans ce tissu : les vaisseaux
couverts; sur les coupes bien transversales ou voit que parmi ces noyaux arrondis, les uns appartiennent aux corps granule
ieure du bulbe; sclérose du cordon de Goll, qui, ici, aboutit à son noyau ; sclérose en forme de croissant dans le faiscea
ervicale; lésions vasculaires dans les faisceaux posté- rieurs (les noyaux des cellules sont seuls visibles, de sorte que la
ses que dans la zone saine; de plus on sait qu'à l'é,tat normal les noyaux des cellules ganglionnaires se colorent d'une f
zone malade, comme d'ailleurs toujours chez les paralytiques, les noyaux des cellules ganglionnaires se colorent très bien
ntes du protoplasma qui les entoure. L'aug- mentation du nombre des noyaux de la'névroglie'*est également beaucoup plus fr
t plus accentuées que dans la région motrice à la superficie. Les noyaux des cellules de la névroglie sont très abondants
globules. Dans ce liquide flottent des'éléments'caractéristiques à noyaux étrangement contournés et dont la masse protopl
clature nosologique. Quant aux formations- fusiformes et' à leurs noyaux vitreux, il convient'de les désigner respecti-
e et' disséminés *. dans toute l'épaisseur deda couche reposent des noyaux tantôt z rares, tantôtnombréûx;.privés,en`appar
\9,d). On'peut voir aussi ? sur certaines préparations, ! un beau noyau sphérique,'1 oblong ou : claviforme; très ! foncé
g. 11, n). Il importe toutefois de ne pas confondre' avec un pareil noyau d'autres éléments nucléiformes'dont la position
ons qui constituent l'appareil de soutènement se disposent de rares noyaux appar- tenant manifestement à des plaques endot
t appliqué contre la paroi,' l'absence constante' de cellules ou de noyaux libres à côté'deTespaee videj'ennn'ie fait que'
rpuscules chromatiques que l'on prendrait au premier abord pour des noyaux , mais qui sont en réalité des coupes de cylindr
avec l'aspect ordinaire des blocs hyalins, ni avec la présence des noyaux , des cellules ou des vacuoles remplissant évent
dule mésoneuritique dont la masse cen- trale est formée par un gros noyau entouré d'une zone vitreuse. En b, le reticulum
(a) fortement nucléé. ' Fig. 11. 1/200. Un nodule mésoneuritique à noyau claviforme cen- tral (n) enveloppé d'une couche
certain degré d'atrophie, et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyaux . ? - T t .7.1 > . « -<, z Fig.16.- 1/500.
r-là d'alvéoles (b)entièrement vides et renfermant d'assez nombreux noyaux . En c, de petits groupes superficiels de fibres
/400. Un nodule isolé contenant deux cellules (c, c) et beaucoup de noyaux (M, î) plus ou moins aplatis pour la plupart dans
t concentrique. Pas de vacuoles, mais seulement des cellules et des noyaux . Le centre du nodule est occupé par un bloc hya
les grosses cellules endothéliales font complètement défaut et 'les noyaux eux-mêmes sont amincis et rares. ? 1 -.14,1. lé
tn,moyau en croissant appliqué contre la paroi de cette cavité. n', noyau libre, 1 -nun -)"b <- ! 9·r,c;3 Fig. 28. 1/4
28. 1/400. Un dépôt hyalin creusé d'alvéoles réguliers; bordé ( de noyaux aplatis et constituant presque à lui seul la tota
parois foi,temeiit, épaissies,, s léveuses; ces parois portent des noyaux , beaucoup plus nombreux, qu'à l'état normal; mais
des noyaux, beaucoup plus nombreux, qu'à l'état normal; mais les noyaux ; arrondis sont rares, et presque toutes les cellu
cellule ganglionnaire, mais ils contiennent ordinairement plusieurs noyaux arrondis. `A mesure que l'on se rapproche davanta
orme plus ou moins 'arrondie i- et se foncent beaucoup; puis' leurs noyaux semblent s'isoler'dans Jle corpsi de la cellule
f on voit les corps cellulaires s'écliancrer sur leurs bo'rds'et les noyaux paraissent en sortir, enveloppés d'une couche d
naires ; comme sur les coupes transversales, on voit très- bien les noyaux ,multiples s'isoler, de cette masse, puis sortirav
protoplas- miqué très développé dont quelques-unes présentent deux noyaux . Carmin ! (Obj. a immersion 1/12,oc. 1 Véricl :
mble que les cellules de la névroglie se gonflent pendant que leurs noyaux se multiplient, prennent un corps cellulaire tr
ais'dans un aspect "tout parlicul ier -du 'corps de la cellule,1 le noyau restant intact ou -non;' le protoplasma est cla
après s'être hypertrophiées semblent dégé- nérer et expulser leurs noyaux , entourés d'une mince couche de pro- toplasma c
toutes les régions, portent dans leur adventice'de très'nombreux'" noyaux arrondis'qui leur donnent l'aspect de grappes; ce
ombreux'" noyaux arrondis'qui leur donnent l'aspect de grappes; ces noyaux n'appartiennent nullement à des leucocytes ;' i
ans les grandes cellules des cornes antérieures, multiplication des noyaux dans la paroi du canal central de la moelle. P.
t perdu le corps cellulaire ? , ? Légèré çoyèstion dës tliâlâiriitLés noyaux de la' septième paire montrent'411elq"ues ? èel
`J1'Lli 3 i ? )l.Tl9J ? b JfB9lâB mp ftl8îf 'Ji' 9ffv1t(L Dans les noyaux ,0 de tilîa' i",n neiivieme, dixièmé* et, ônzième
ontre que l'hypertrophie* des,fibres et mêmela mul- tiplication des noyaux sont un processus primitif. Il montre aussi que
même. dystophie'(fibres arrondies), vacuolisées, avec divisions des noyaux quelques fibres hypertro- phiées ? h ? ) il int
'oeil droit, au- dessus de l'horizontale.. Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo- moteurs communs, dans la région des
nce des colonnes de Clarté ; 3° l'arrêt de développement d'un des noyaux rouges de la calotte ; 4° des altérations patholo
uelques-uns des résultats obtenus ? Jb'b 3'I95Jq 3Pi> 911J i° Le noyau interne et le noyau de Deiters ne sont pas les po
ltats obtenus ? Jb'b 3'I95Jq 3Pi> 911J i° Le noyau interne et le noyau de Deiters ne sont pas les postes terminaux des
ans, la tête de la, corne postérieure ; 2° les fibres provenant du, noyau sensitif du même côté ; -3° les fibres du noyau
ibres provenant du, noyau sensitif du même côté ; -3° les fibres du noyau sensitif.du.côté opposé. Il est- plus que douteux
°w~,- . .. Les racines motrices se composent de : 11, les fibres du noyau mo- teur dü mêmè c8té; ` 2° les fibres du noyau
: 11, les fibres du noyau mo- teur dü mêmè c8té; ` 2° les fibres du noyau moteur du côté opposé; " 3°'1'uâcinë déscendânt
. 4. et ) dans , 'lesquels-, on trouva : multiplication énorme, des noyaux du.) tissu*' conjonctif interstitiel, stase . s
sensitif du trijumeâuêst'ari'ôngâaé'qui correspond '"surtout ! air noyau interne de Burdach : =-'8° Lès fibres du trijum
ch : =-'8° Lès fibres du trijumeau lpren'aiil" léur origine dans ce noyau , vont, de concert avec les libres'du noyaud'origi
de moyenne intensité. Bulbe : dégénérescence de presque tous les noyaux (excepté de l'acoustique) et des pyramides. Dans
e faisceau d'émer- gence du facial et du trijumeau; il a détruit le noyau de ce dernier nerf eta a empiété sur le'faiscea
eta a empiété sur le'faisceau pyramidal, tandis qu'il â`épar=nP le noyau du facial.. Lésions isolées dulnoyati de.l'oculo-
r -i«p .t81'v93JB'1 ja'jq' , « La plupart des fibres' provenant des noyaux dès' cordons posté- - rieurs, qui se réunissent
artie fon- damentale du ruban de Reil, se divisent; à la hauteur du noyau rouge (de Stillinn) en deux, trousseaux : un'tr
erne. Là, à l'extrémité la plus postérieure du segment externe, du. noyau lenticulaire, ils s'en vont, avec les fibres de
erne let trijumeau, il y a des fibres de ce nerf,qui,,issues de son noyau sensitif, s'en vont, après entre-croisement, ga
ses fibres au pulvinar et au corps genouillé externe, contourne le noyau rouge de Stilling et plonge en arrière et en bas
le noyau rouge de Stilling et plonge en arrière et en bas dans les noyaux du cordon postérieur du côté opposé. En somme, da
cher ayant détruit le facial. Dégénérescence de ce nerf jusqu'à son noyau , sans qu'il y ait eu de signes,.d'inflammation
; amn" a . de^ces trois régions, 1 avantmur, le putamen, la tête du noyau caudé, les fibres blanches provenant des deux a
l'écorce à à la couche optique et les cellules nerveuses des divers noyaux de la couche optique et' de la région sous-thal
le microscope ne décèle pas traces de dégénérescence. Intégrité des noyaux , et des racines des nerfs** crâniens y compris
n postérieur du, côté opposé et·notamment;de,la partie mé- diane du noyau de Burdach; 2° les cellules4dejija .partie posté-
u noyau de Burdach; 2° les cellules4dejija .partie posté- rieure du noyau rouge de Stilling envoient leurs cylindraxes en
t en étroit rapport âve cëTCÔrps; pa filitéi·médiàiredè l'anse «'du noyau lenticulaire;^0 le'corps de Luys n'a,rienà voir'a
es du corps decluys sont des par- ties constitutives de l'anse..du; noyau .lenticulaire; 7° la commis- sure de Meynert n'e
pas le lieu.d'entrecroisement,,durubande Reil; elle n'unit point le noyau lenticulaire avec le.. corps de Luys du côté op
s de Luys du côté opposé; 8° l'intégrité complète'et bilatérale des noyaux bulbaires et prolubérahtiels 'des 'nerss1 crâni
ons' directes' avec lés1 ascendantes du côté opposé; 9°' les divers noyaux de la'couche'optique ne'sont pas des orgues ind
chaque'^ région, corticale entraîne unei destruction de tel ou tel; noyau de la couche optique, les autres restant normau
r rapport à l'ééôre·é, côlriâie'lé coi·ps ieiiouillé ztèrile et les noyaux de la couche, optique. Il y a longtemps que de Gu
rétracte, le corps strié demeurant intact.' LaTrelâtio"n'dè chaque noyau de la optiquecouche avec telle ou telle région
si, "'dans/laf tête'de'cette corhe ? ' 2° Des ! fibres provenant du noyau =sensitif·'dû mêtüe.é8té ? ? 3°IDesfibres'dui no
s ont le trajet de'Flechsig et de Turck. Les fibres qui-viennent du noyau d'origine des'cordons postérieurs et qui passen
· Il' doit y avoir union entre les ascendants du, côté gauche^et le noyau sensitif du triju- mèau-dû c0tédroitrpàr,il'int
i représente le trajet titral de certaines fibres de trijumeau. ,Le noyau sensitif, du trijumeau est un organe qui corres
oyau sensitif, du trijumeau est un organe qui correspond surtout au noyau interne de Burdàch. Les fibres du trijumeau pre
t, leur origine dans ce, .noyau vont, de concert avec les fibres du noyau d'origine des cordons^ postérieurs, dans le rub
existe, une voie de ' locus coeruleus, formée' aussi des fibres au noyau sënsitifetau faisceau cérébelleux. Les racines
érébelleux. Les racines motrices se composent* : 1 1° des fibres du noyau moteur. du même côté; 2° des fibres du noyau mo
* : 1 1° des fibres du noyau moteur. du même côté; 2° des fibres du noyau moteur du côté opposé; 3°, de la racine ascenda
ndymaires ou des dépressions profondes dans la substance grise du noyau caudé ou de la couche optique, il y aura avantage
liquide. Dans la corne gauche, quelques petites granulations et un noyau 'gros comme; un pois.... w| urt nc-ifh ? . La
arcome sur les;couches. optiques; à'-la superficie' desquelles ,Ies, noyaux s'étaientdévelôppés : rNous'n'âvon's'troûvé ni'rs
es du nerf optique tel que les fibres du nerf optique droit vont au noyau droit et gauche de l'oeuloio- teur c6mtnun"et u
ce-péri-cellulaire), ou bien'à l'intérieur deleur protoplasma, 'des noyaux .ronds qui appartiennent.manifestement à des leu
s, insula et piédde >i'3, partie moyenne, du segment externe''du noyau lenticulaire; l'observation' de M., Boixq (tris
des, ]éSions,,iiiflam-. matoires et de.sclérose (multiplication des noyaux ^ des vaisseaux, hypertrophie et prolifération d
omme entre chaque couche.de'noduiesihy a la substance» incolore. Le noyau lui-même possède- une; fine; membrane (sous laf
grise dont nous connaissons la-fonction. Ce sont' par exemple' les - noyaux moteurs des'nerfs et 'quelques- uns des centres
up,de réactifs sur ies} autres. , Elles possèdent généralement : un noyau cellulaireptout-à-s fait différent de celui des
dule mésoneuritique dont la masse cen- trale est formée par un gros noyau entouré d'une zone vitreuse. En b, le reticulum
éé. -" ' ? K Iw*-» ' ? " Fig. 11. 1/200. Un nodule mésoneuritique à noyau claviforme cen- tral (n) enveloppé d'une couche
su fibreux condensé ; le corps même du foyer ne renferme que peu de noyaux , mais la zone périphérique, surtout à gauche (n
n certain degré d'atrophie et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyaux . Fig.l6.- 1/500. Grossissement de la zone B del
-là d'alvéoles (6) entièrement vides et renfermant d'assez nombreux noyaux . En c, de petits groupes superficiels de fibres
/400. Un nodule isolé contenant deux cellules (c, c) et beaucoup de noyaux (at, ! t) plus ou moins aplatis pour la plupart d
concentrique. Pas de vacuoles, mais seulement des cellules et des1" noyaux ." Le centre du nodule est occupé par un bloc hy
les grosses cellules endothéliales font complètement défaut et les noyaux eux-mêmes 'sont amincis et rares.- -. 7-· r . -
dule mésoneuritique. c, cellule centrale, logée dans une cavité, n, noyau en croissant appliqué contre la paroi de cette
n, noyau en croissant appliqué contre la paroi de cette cavité. ? ? noyau libre. ? "' ' ' Fig. 28. 1/'f00 : Un dépôt hyal
28. 1/'f00 : Un dépôt hyalin creusé d'alvéoles réguliers, bordé de noyaux aplatis et constituant presque à lui, seul la tot
32 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ne. Des trois suivantes, la dernière passe par le bord externe du noyau caudé ou du ventricule latéral. Or, comme ce bo
la capsule. D'autre part, l'homogénéité de la substance grise des noyaux lenticulaire et caudé, en bas et en avant, ne p
rincipale- ment avec l'inférieur. Le locus niger de Soemmering le noyau de Luys, le noyau rouge de Stilling lui en- voi
avec l'inférieur. Le locus niger de Soemmering le noyau de Luys, le noyau rouge de Stilling lui en- voient des fibres ; o
voient des fibres ; on ne voit que la partie externe de la coque du noyau rouge. Si la coupe avait porté un peu plus en d
e du noyau rouge. Si la coupe avait porté un peu plus en dedans, le noyau lui-même aurait été intéressé. Les fibres fines
dans la capsule interne, procèdent en grande partie de la coque du noyau rouge, ainsi que nous l'avons vu déjà dans les
LE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 3 avant et en bas les deux noyaux , caudé et lenticulaire. Comme dans la coupe pré
e la ligne médiane, la coupe tombe sur le trajet du bord externe du noyau caudé, par conséquent sur ce qu'on est convenu
s longues, et par conséquent les plus élevées, dépassent un peu les noyaux , et se dirigent comme les premières vers les ci
es. Ces derniers faisceaux consti- t ANATOMIE. tuent au-dessus du noyau caudé une sorte de trajet médullaire, perpendic
capsule interne, témoins les rapports de contiguïté simple entre le noyau lenticulaire et la capsule externe. C. Etude
tales. La hauteur de la capsule interne n'est autre que celle des noyaux eux-mêmes. Elle mesure environ 3 centimètres. P
déclives, le troisième sur le milieu de façon à diviser capsule et noyaux dans leur plus grande longueur, le quatrième à
ction passe au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et par le milieu des noyaux rouges de Stilling. (l. V.) Je ne signalerai su
ssent l'étude de la capsule interne : a) Le cône de fibres que le noyau rouge de Shilling fournit dans ce sens au pied
la base n'est pas traversée par les fibres capsulaires. Les deux noyaux ne sont pas distincts; ils ne forment qu'une ma
e par la subs- tance blanche comprise entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la queue réfléchie du noyau caudé
e le bord postérieur du noyau lenticulaire et la queue réfléchie du noyau caudé. Cette substance blanche est formée princ
remarquer qu'en ne tenant compte que de leurs rap- ports avec les noyaux , ces deux catégories de faisceaux n'offrent qu'
d'où les stries nombreuses qui font communiquer les deux prétendus noyaux , c'est- à-dire les parties indemnes de perforat
ur, c'est-à-dire de la portion comprise entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la queue du noyau caudé. Quan
ise entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la queue du noyau caudé. Quant aux trois-quarts antérieurs de ce
d'une capsule dont le creux regardant en dedans embrasse la tête du noyau caudé et dont le fond répond au centre ovale.
e sorte de cornet dont le creux, re- gardant en dehors, embrasse le noyau lenticulaire. Le sommet de ce cornet ou genou d
endue, mais dans une partie de son épaisseur seulement, la queue du noyau caudé. Ici la capsule interne et externe sont a
e du ventricule latéral et la partie la plus reculée de la queue du noyau caudé. Au point de vue de ses rapports avec les
es dont on constate la présence sur le le trajet du bord externe du noyau caudé. Nous avons déjà dit que nos recherches n
aisceaux moteurs ne subissent ni interruption ni réduction dans les noyaux de la base. Toutes les fibres de la couronne ra
ses des ganglions. Or, c'est le contraire qu'on observe. La tête du noyau caudé et le putamen de Burdach ou segment exter
tête du noyau caudé et le putamen de Burdach ou segment externe du noyau lenticulaire sont privés de faisceaux et ne son
très déliés auxquels leur circonférence reste étrangère. La tête du noyau caudé est, pour ainsi dire, perdue sous forme d
e sous forme de hernie dans le ventricule, et le segment externe du noyau lenticulaire, segment qui pourrait également, à
de son volume, porter le nom de tête ou partie la plus forte de ce noyau , re- pousse la capsule externe, se loge dans la
A COURONNE RAYONNANTE. 15 voie dans toute son étendue des fibres au noyau caudé, et on tient pour vraisemblable que, eu é
semblable que, eu égard au plus grand développemnt de la tête de ce noyau , la partie qui provient du lobe frontal offre u
Huguenin, loc. cit., p. 106,107. 16 ANATOMIE. du bord externe du noyau caudé il existe un véritable mélange entre cert
eure du cerveau, perforent la masse ganglionnaire et la divisent en noyau caudé et noyau lenticulaire. Les externes, conf
, perforent la masse ganglionnaire et la divisent en noyau caudé et noyau lenticulaire. Les externes, confondues dans le
part, les coupes frontales intéres- sant les parties antérieures du noyau lenticulaire nous ont démontré en fait l'indépe
en fait l'indépendance d'origine des faisceaux capsulaires et de ce noyau . Ici, il est évi- dent que le noyau lenticulair
faisceaux capsulaires et de ce noyau. Ici, il est évi- dent que le noyau lenticulaire ne reçoit aucune ter- minaison des
r ainsi dire, un système à part compris entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la 18 ANATOMIE. partie réfléc
les moyennes et la coupe frontale passant par le bord postérieur du noyau lenticulaire. (Face postérieure de la 5e zone m
dé- rable qui existe normalement dans cette région entre les deux noyaux lenticulaire et nucléaire. Mais la plus grande
n arrière d'un plan transver- sal passant par le bord postérieur du noyau lenticu- laire et la commissure cérébrale posté
en haut. Dans cette région, la capsule externe constitue aux deux noyaux une véritable anse caudo-lenticulaire. Cela rev
de la capsule interne. L. M. S., locus niger de Soennnering. A', noyau de Luys. ? c., noyau caudé. N, L, noyau lenticu
e. L. M. S., locus niger de Soennnering. A', noyau de Luys. ? c., noyau caudé. N, L, noyau lenticulaire. l'L1\CtIE
niger de Soennnering. A', noyau de Luys. ? c., noyau caudé. N, L, noyau lenticulaire. l'L1\CtIE C. i., capsule intern
erne. C. op., couche optique. F. op., fibres optiques. , N. c., noyau caudé. N. I., noyau lenticulaire. 30 ANATOMIE
optique. F. op., fibres optiques. , N. c., noyau caudé. N. I., noyau lenticulaire. 30 ANATOMIE. PLANCHE III C. c
C. i. y. M. i., capsule interne; faisceaux moyens internes. N, c, noyau caudé. V. l., noyau lenticulaire. P, c. oy.,
ule interne; faisceaux moyens internes. N, c, noyau caudé. V. l., noyau lenticulaire. P, c. oy., Pulvinar de la couche
terne. F. U., fasciculus uncinatus. /, insula de Reil. i,. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule cérébral.
i., capsule interne ? op. Gr., fibres optiques de Gratiolet. N. L., noyau de Luys; pulvinar de la couche optique. N. c.,
olet. N. L., noyau de Luys; pulvinar de la couche optique. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noyau rouge de Stilling. P
s; pulvinar de la couche optique. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noyau rouge de Stilling. P. c. f. s., pédoncule céréb
xterne. 1. s. i., faisceau longitudinal supérieur interne. N, c., noyau caudé. viii il ` .. f C ? tiLres tlc Grutio
e Wrisberg naît d'un amas gris, mal délimité, situé au voisinage du noyau acoustique supérieur, sur le pro- longement de
ments ; pas de cellules tripolaires. Dans les cel- lules rondes, le noyau était souvent excentrique, entouré d'une zone d
istique de cette circonvolution dans la série animale, et formée de noyaux ou petites cellules rondes étroitement serrées
- nue dans l'artère sylvienne ayant déterminé des lésions dans le noyau lenticulaire, le pédoncule cérébral et les portio
e un foyer'de ramollissement ancien dans la capsule externe et le noyau lenticulaire du côté droit auquel M. Kirchhoff at
stique pour ui un garan 1 wlm ... h ill·. W i. 1 1 (voisinage des noyaux de l'auditif, du centre respiratoire, du centre
ou de la capsule interne. L. n. S., locus niger de Scemmering. N, noyau de Luys. N. c., noyau caudé. N. I., noyau len
. L. n. S., locus niger de Scemmering. N, noyau de Luys. N. c., noyau caudé. N. I., noyau lenticulaire. 21 4 32 :
ger de Scemmering. N, noyau de Luys. N. c., noyau caudé. N. I., noyau lenticulaire. 21 4 32 : EXPLICATION DES PLANC
iques.' ? ' ' A', c, noyaû'caudé. ' ' " ' ` -J' ' '' ? j · N. I., noyau lenticulaire.' ? ' . '' >[ >- , Mil J 'U
m. i., capsule interne; faisceaux moyens intemeg.'1., , ^ . N. c., noyau caudé. N, I., noyau lenticulaire. P. c. op.,
e; faisceaux moyens intemeg.'1., , ^ . N. c., noyau caudé. N, I., noyau lenticulaire. P. c. op., Pulvinar de la couche
(.9t1 si, , s L, insula de Reil. - Flb.su3 sb nsarsm i N. r. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule cérébral.
f. op. Gr., fibres optiques de Gratiolet. r v , , ,. ,, J N. L. , noyau de Ltiys. 1, 1 , , , . 1, , , N c., noyau caudé
r v , , ,. ,, J N. L. , noyau de Ltiys. 1, 1 , , , . 1, , , N c., noyau caudé. " 1111- h t , N. ·. It., noyau rouge de
. 1, 1 , , , . 1, , , N c., noyau caudé. " 1111- h t , N. ·. It., noyau rouge de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule c
rne. /. /. s. i., faisceau longitudinal supérieur interne. N. c., noyau caudé. li11'LIC ? l'lU\ lll : i l'i..1\( llli.
33 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
rtes de tissus. Premièrement des foyers des grandes cellules à gros noyaux vésiculeux sans substance inter- cellulaire. Ce
lulaire. Ces foyers sont entourés des faisceaux de tissu conjouctif à noyaux fusiformes. Par place, le tissu conjonctif pénè
e considérable des vaisseaux sanguins et par la quantité notable de noyaux . Les parois vasculaires sont par place épaissie
postérieurs. L'augmentation du nombre des vaisseaux sanguins et des noyaux se voit dans tous les segments comprimés par le
axe avec les restes de corpuscules de Nissl décolorés. L'examen des noyaux vus sous l'im- mersion démontre, qu'il s'agit n
aux vus sous l'im- mersion démontre, qu'il s'agit non seulement des noyaux de névroglie mais aussi des cellules qui sont e
encore les corpus- cules de Nissl mais à l'état de chromaltoyse. Le noyau n'a pas de limites bien tranchées ; le nucléole
on. Les parois vasculaires et les tissus ambiants contiennent des noyaux plus nombreux que normalement. Beaucoup de co
au sanguin infiltré. 152 `I FLATAU , de voir une agglomération de noyaux autour des vaisseaux. Par places se voient de p
ngements. La chromatolyse est complète. Dans certaines cellules, le noyau est excentrique. Au-dessous de cette région, par
érie. Ces cor- puscules sont ronds, très fortement colorés, avec un noyau plus foncé. Dans les foyers mêmes nous observon
avec un noyau plus foncé. Dans les foyers mêmes nous observons les noyaux de la névroglie. Dans un endroit seulement,dans
llules, quelquefois même la cellule prend la forme de poire avec le noyau excentrique et un petit nombre de prolongements.
de poires, présentèrent la cliromatolyse et dans quelques-unes les noyaux furent excentriques. Les cellules étaient en gran
nd nombre mais de forme ordinaire, sans déplacement excentrique des noyaux . ' En résumé, dans ce cas il s'agit d'une jeune
ragies dans l'isthme de l'encéphale et l'augmentation du nombre des noyaux dans la région de l'a- queduc de Sylvius. Oppen
ns inflammatoires. Rarement dans les parois vasculaires on voit des noyaux augmentés de nombre. Les espaces péri- .vascula
lvius de gau- che, ainsi qu'un gros ramollissement qui affectait le noyau lenticulaire, la capsule externe et la région p
des racines des nerfs spinaux; des foyers de ramollissement dans le noyau lenticulaire et dans le pont de Varole. Outre
on, mais défectueuse. On diagnostiqua un ramollissement probable du noyau lenticulaire et de la capsule interne droite, à
us de cellules nerveuses normales. Partout sur la coupe, il y a des noyaux en nombre augmenté. Partout des hémorragies réc
sont infiltrées surtout dans les cordons postéro-latéraux (Ilots de noyaux nombreux). Des hémorragies existent même dans l
endroits lésés il y a des vaisseaux dilatés, mais non épaissis. Les noyaux sont augmentés en nombre, mais il n'existe nulle
line. Ça et là se trou- vent les cellules géantes avec des nombreux noyaux . En outre, on voit des foyers plus ou moins gra
ail, formés par la prolifération du tissu conjonctif. Le nombre des noyaux y est moins considérable, ils sont allongés et
e elles sont très pâ- les, mais d'une configuration habituelle. Les noyaux occupent leur position normale. Les corpuscules
ellules de Betz consti- tuent l'origine des fibres qui excitent les noyaux radiculaires des muscles striés des globes ocul
MOUVEMENTS VOLONTAIRES 375 Betz. corps cellulaire = 81 8 8 X 41 . ; noyau = 21 8 X 18 z. 8 ; nucléole = 6 2 2 X 6 1,, 2.
erne nous avons pour le corps cellulaire 57 p 2 X 28 z. 6 ; pour le noyau 13 6 6 X 13 S 8 et pour le nucléole 5 . X 5 .
r une embolie vasculaire qui avait détruit la capsule in- terne, le noyau lenticulaire et la couche optique, les réactions
lequel ils ont trouvé une destruction de la capsule interne et des noyaux de la base qui datait de 18 mois, les lésions c
15 jours. ' Examen macroscopique. Grand foyer hémorragique dans les noyaux (1) G. Jnrrsssres. Untersuchung der Hirnrinde e
ARINESCO de la base détruisant la couche optique, les deux tiers du noyau lenticu.aire et les capsules interne et externe
s interne et externe du côté droit. Quelques petites lacunes dans e noyau lenticulaire gauche. . Examen microscopique. Da
nsécutif à une embolie, due à une en- docardite végétante, dans les noyaux de la base. Examen microscopique. Les cellules
sions sont incipientes et consistent surtout dans le déplacement du noyau . Elles sont plus accusées dans les pyramides géan
die 2 mois. Examen macroscopique. - Tumeur cérébrale détruisant les noyaux de la base du côté droit. Examen microscopiqu
que dans la capsule externe gauche intéressant la partie externe du noyau lenticulaire. Un autre foyer plus petit, se tro
and foyer détruisant le segment antérieur de la capsule interne, le noyau lenticulaire, la tête du noyau caudé, la capsul
antérieur de la capsule interne, le noyau lenticulaire, la tête du noyau caudé, la capsule externe et l'avant-mur du côté
Le corps cellulaire est tuméfié, globuleux, en chro- matolyse et le noyau est excentrique. Beaucoup de pyramides géantes so
oyer de ramollissement ayant détruit la capsule interne et tous les noyaux de la base du côté droit. Examen microscopique.
4 mois. Examen macroscopique. Foyer hémorragique ayant détruit les noyaux lenticulaire et caudé du côté gauche ainsi que la
gauche ainsi que la por- tion de la capsule interne qui sépare ces noyaux . Examen microscopique. Réaction et disparition
Examen macroscopique. Grand foyer hé- morragique détruisant tout le noyau lenticulaire droit ainsi que la capsule externe
maladie, 5 mois. Examen macroscopique. Foyers hémorragiques dans le noyau lenticu- laire gauche et dans la lête du noyau
émorragiques dans le noyau lenticu- laire gauche et dans la lête du noyau caudé. Examen microscopique. Dans le lobule par
oscopique. Petit foyer hémorragique dans la partie posté- rieure du noyau lenticulaire droit. Examen microscopique. Lésio
aladie, 8 mois. Examen macroscopique. Foyer kystique qui détruit le noyau caudé, tout le segment antérieur de la capsule in
le noyau caudé, tout le segment antérieur de la capsule interne, le noyau lenticulaire et la capsule externe. Examen micr
NTAIRES 38 ? Examen macroscopique. Foyer de ramollissement dans les noyaux de la base du côté droit. Examen microscopiqu
rragique à l'intérieur d'une tumeur cérébrale qui avait détruit les noyaux de la 'base du côté droit. - Examen microscopiq
die, 18 mois. Examen macroscopique. Foyer dû à une embolie dans les noyaux de la base ayant détruit une portion de la caps
ie 4 ans. Examen macroscopique. Foyer kystique qui avait détruit le noyau lenti- culaire, les capsules interne et externe
men macroscopique. Foyer hémorragique dans la partie postérieure du noyau lenticulaire gauche, détruisant une portiou de la
ue. Ancien foyer hémorragique ayant détruit la moitié antérieure du noyau lenticulaire droit. Examen microscopique.-Dansl
voit un petit foyer détruisant la capsule externe et une portion du noyau lenticulaire ; dans l'hé- misphère droit.un foy
ramollissement dans la région temporale ; de petits foyers dans le noyau lenti- culaire et dans le segment antérieur de
la capsule interne. Dans l'hémisphère droit un foyer qui détruit le noyau lenticulaire et une portion de la capsule inter
itus en mai 1899. Examen macroscopique. - Les segments externes des noyaux lenticulaires 390 MARINESCO sont le siège de
tits foyers de ramollissement ; un autre foyer dé- truit la tête du noyau caudé gauche ; la couche optique droite est détru
ue. - Petits foyers hémorragiques multiples des deux côtés dans les noyaux delà base, un peu plus nombreux et plus grands da
peu plus nombreux et plus grands dans la couche optique et dans le noyau lenticulaire gauche. Des foyers hémorragi- ques
diques. Elle peut marcher à petits pas. Examen macroscopique. Les noyaux lenticulaires des deux côtés présen- tent, dans
ileptoïdes des deux côtés. Examen macroscopique. - Un foyer dans le noyau lenticulaire droit ; plu- sieurs autres petits
noyau lenticulaire droit ; plu- sieurs autres petits foyers dans le noyau lenticulaire et dans la capsule externe du côté
yant le volume' d'un pois et qui siègent dans la partie externe des noyaux lenticulaires et dans les capsules externes. Pl
es différentes parties de la substance blanche du cerveau, dans les noyaux striés, dans le cervelet et dans la protubéranc
r de ramollis- sement, grand comme un haricot, a détruit la tête du noyau caudé et une partie du segment antérieur de la
capsule interne ; deux petits foyers occupent la partie externe du noyau lenticulaire ; un autre foyer est situé dans la c
l'avant-mur. Dans l'hémisphère gauche on remarque un état criblé du noyau lenticulaire : des petits foyers de la grandeur d
e la grandeur d'un grain de millet occupent tous les segments de ce noyau . Examen microscopique. Avec la méthode de Weige
foyers destruc- tifs dans la-plupart de mes cas siégeaient dans les noyaux lenticulaires, ce qui peut faire supposer que l
rieures des frontales ascendantes passent, en partie, à travers ces noyaux . , Dans la sclérose latérale amyotrophique les
alement plus atteints, il est naturel que les centres cérébraux des noyaux bulbaires et des noyaux DES CELLULES DE BETZ ET
l est naturel que les centres cérébraux des noyaux bulbaires et des noyaux DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAI
érinée et des membres infé- rieurs (suivant la disposition de leurs noyaux dans les différents étages de la moelle), par l
les localisations cérébrales et bulbaires, en particu- lier sur le Noyau du facial, en collaboration avec Malhias Duval, s
secteur moyen de l'hémisphère, ce faisceau est situé au- dessus du noyau caudé, à l'angle supéro-externe du ventricule et
ailleurs que son faisceau s'identifie en partie avec le faisceau du noyau caudé de Sachs. (1) Muratoff, Secundüre Degener
à ce que Meynert a décrit sous le nom de « couronne rayon- nante du noyau caudé », et à ce que Wernicke a appelé le « faisc
gle ex- terne du ventricule latéral et se trouve situé au-dessus du noyau caudé, en dedans de la couronne rayonnante, au-
ntriculaire. Nettement délimité au niveau de la tête et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en partie dissocié au ni
r Vogt, une partie du faisceau fronto-occipital n'accompagne pas le noyau caudé dans son trajet temporo-sphénoïdal pour f
eur anatomique aussi funeste qu'inutile. 1 Il décrit le faisceau du noyau caudé de Sachs et la zone réticulée de la couro
nterne, qui se dirigent d'abord horizontalement en avant le long du noyau caudé puis se recourbent en haut pour s'irradier
l'hémisphère. Les fibres ni de la zone réticulée ni du faisceau du noyau caudé ne peuvent être suivies dans le tapétum.
suivies dans le tapétum. Sur des coupes horizontales on voit que le noyau caudé est séparé du pied de la couronne rayonna
leux, bien que Sachs en veuille faire une partie de son faisceau du noyau caudé. Ce qu'est en réa- lité le faisceau du no
son faisceau du noyau caudé. Ce qu'est en réa- lité le faisceau du noyau caudé, demeure un problème assez difficile à ré
jections à cette hypothèse : 1° l'intime relation de ce faisceau au noyau caudé qu'il accompagne de la corne frontale à l
chent un bon nombre de fibres qui peuvent être suivies en dedans du noyau caudé et au-dessous du noyau lenticulaire jusque
qui peuvent être suivies en dedans du noyau caudé et au-dessous du noyau lenticulaire jusque dans la capsule ex- terne.
- trice.. Les avis sont loin d'être unanimes sur les rapports des noyaux de l'o- culo-moteur commun et des ganglions cil
e à rappeler les principales opinions en cours sur les rapports des noyaux de la IIIe paire avec les nerfs ciliaires. Dans
rit au chapitre des ori- gines réelles de l'oculo-moteur commun des noyaux distincts pour les ÉTUDES SUR LES NERFS CIL111L
ÉTUDES SUR LES NERFS CIL111LtES 563 divers muscles de l'oeil. Ces noyaux sont distribués de chaque côté sous le plancher
de chaque côté sous le plancher de l'aqueduc de Sylvius : les deux noyaux les plus antérieurs sont considérés comme les c
fs ciliaires proviennent directement de l'extrémité anté- rieure du noyau de la Ille paire. Ayant pratiqué récemment l'au
res prennent leur origine dans le ganglion ciliaire et non dans les noyaux mésencéphaliques de la IIIe paire, sinon ils sera
erfs ciliaires, il n'y a qu'un très petit fascicule dans lequel les noyaux soient un peu plus nombreux, et quelques fibres a
e métacarpiens dans cette forme particulière d'achondroplasie où le noyau osseux reste très longtemps engainé dans l'épip
étend jusqu'à un plan qui passerait par l'extrémité postérieure des noyaux gris. En bas la sclérose se continue également
tricule il existe quelques petites plaques, notamment au-dessous du noyau lenticulaire, correspondant à peu près à la parti
on voit que le tissu est riche en grosses cellules névrogliques, à noyau rond et clair, ayant parfois un corps cellulaire
l n'existe, dans la plaque même, que très peu de petites cellules à noyau rond et foncé : lymphocytes ou petites cel- lul
nt les unes aux .autres, rectilignes ou légère- ment sinueuses. Les noyaux névrogliques au milieu de ces fibres apparaissent
ation névroglique et multiplication de cellules névrogliques à gros noyaux . Par endroits se sont produites des proliférati
nt tassées et denses, parsemées d'assez nombreuses cellules dont le noyau est du même type que ceux de l'épithélium. Il y
u cérébral est infiltré à ce niveau de très non- breuses cellules à noyau ronds et sombres, tassées les unes contre les aut
lques- uns à la marge du tissu myélinisé : ils présentent de petits noyaux denses et paraissent être vraisemblablement d'o
e périventriculaire, des lésions du centre ovale et des plaques des noyaux gris centraux. C'est à ces dernières lésions qu
unes contre les autres, rectili- gnes ou légèrement sinueuses. Les noyaux qu'on y rencontre sont ovoïdes, allongés dans l
es foncées dans l'adventice et des amas bien circonscrits de petits noyaux dans le voisinage des vaisseaux, dans le tissu
xterne complètement oblitérées et engainées dans d'abondants petits noyaux foncés (fig. 3 el fig, 4). La tunique interne p
. On nota, en plus, un foyer hémorragique assez récent au niveau du noyau lenticulaire droit. Après avoir été durci penda
de la capsule interne, une fente apparaît au-dessus et en dedans du noyau caudé et sert à indiquer l'emplacement du ventric
érieure et inférieure de la corne frontale, en sorte que la tête du noyau caudé se trouve accolée à la substance blanche
orme d'une cavité étroite à direction oblique qui sépare la tête du noyau caudé des circonvolutions de la face médiane. Ell
ur la lumière du ventricule et finit par s'étaler sur la surface du noyau caudé dont elle n'est séparée que par la paroi
ssous de celle-ci, se perdent dans le feutrage du globe pallié, don noyau lenticulaire; les fascicules inférieurs se dirige
complètement oblitéré et se réduit à un simple trou situé entre le noyau caudé et le pied de la couronne rayon- nante. L
yon- nante. Le trigone adhère sur toute sa longueur à la surface du noyau caudé dont il n'est séparé que par une ligne fi
onstitution de la paroi interne du ventricule, se trouve accolée au noyau caudé et sa face interne, normalement dirigée ver
ombe presque dans le même plan horizontal que le corps de Luys. Les noyaux caudé et lenticulaire semblent plus volumineux qu
cicules proviennent en grande partie du tuber- cule antérieur et du noyau dorsal de la couche optique. Dans le lobe tempo
s qu'une cavité étroite transversalement dirigée, comprise entre le noyau caudé et le corps du trigone. Plus en arrière,
région a été le siège. On trouve, en effet, dans le voi- sinage du noyau caudé, du noyau dorsal de la couche optique et le
siège. On trouve, en effet, dans le voi- sinage du noyau caudé, du noyau dorsal de la couche optique et le long de la fa
l et est en grande partie profondément enclavé dans la substance du noyau médian de la couche optique. Ses rapports avec
ouillé externe. Un petit foyer de ramollissement siège au niveau du noyau médian de la couche optique et a probablement d
e in- terne ou s'y rendent,en traversant l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire. Elle transmet toujours il la zone
égulièrement épaissi et noduleux ; en divers endroits, au niveau du noyau caudé en particu- lier, l'épendyme est hypertro
s grêles fascicules qui passent en dedans de la partie recourbée du noyau caudé. La circonvolution de l'hippocampe s'unit l
ondes du lobe temporal. On voit très distinctement qu'en arrière du noyau lenticulaire, les fibres constituantes de la co
recouvre au-dessous et en arrière le prolon- gement sphénoïda ! du noyau caudé. D'ailleurs, le tapétum prend à cet endroit
lativement récente, détruit la majeure partie du segment externe du noyau lenticulaire et empiète légèrement sur la commi
emière circonvolution temporale et traversent l'angle postérieur du noyau lenticulaire et la partie correspondante de la ca
e recourbent en arrière et se confondent avec la capsule médiane du noyau rouge, d'autres enfin, contournent le pied du péd
ssus de la commissure anté- rieure, une fente apparaît en dedans du noyau caudé et représente la corne frontale du ventri
mant une espèce de cloison fibreuse légèrement arquée qui sépare le noyau caudé de la substance profonde du lobe frontal.
troisième ventricule s'est trouvée notablement réduite. La tête du noyau caudé (PI. LXXVI) est en grande partie dépouillée
peu- vent être suivies jusque dans la pointe du lobe frontal. Le noyau caudé accompagné de la strie cornée se dirige hor
que de l'hémisphère cérébral ; on re- trouve la même disposition de noyaux et de faisceaux qu'à l'état normal. A coup sûr,
les fibres de la commissure antérieure jusque dans le voisinage du noyau caudé sphénoïdal et nous sommes porté à croire
. Le cinquième orteil du pied gauche apparemment normal, possède un noyau osseux supplémentaire. Ce noyau, de forme génér
uche apparemment normal, possède un noyau osseux supplémentaire. Ce noyau , de forme générale ovale et transparent comme u
n haut avec la tête métatarsienne, à peine modifiée, en bas avec le noyau d'ossification complémentaire phalangien qu'il éc
34 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ana- tomiques arrondis, qu'on prendrait au premier abord pour des noyaux libres, mais qui sont en réalité de petites cel
d'autre part à la limite externe de la couche optique (contre le noyau caudé du corps strié) ; en c est la circonvolut
se rattacher à la limite externe de la couche optique, contre le noyau caudé du corps strié (figuré comme une coupe tr
bulbe rachidien au moyen de plusieurs racines, et de plu- sieurs noyaux d'origine. Pour ce qui est de ces derniers, quo
s des auteurs à ce sujet. Huguenm ' reconnaît au nerf auditif trois noyaux d'origine : un antérieur, un interne et un exte
ois noyaux d'origine : un antérieur, un interne et un externe. Le noyau antérieur siège dans les couches superfi- ciell
érance, que prend naissance le nerf intermé- diaire de Wrisberg. Le noyau interne occupe toute la largeur du plancher du
ncher du quatrième ventricule, au niveau des stries acoustiques. Le noyau externe se place en 1 G. Huguenin. /iHyet)tCt')
connaît au nerf auditif quatre racines, et pour chacune d'elles, un noyau d'origine. Le noyau latéral des racines postéri
f quatre racines, et pour chacune d'elles, un noyau d'origine. Le noyau latéral des racines postérieures se trouve, d'a
de ces racines, immédiatement à leur issue du corps resti forme. Le noyau médian des racines postérieures occupe le planc
r du quatrième ventri- , cule, au niveau des stries médullaires. Le noyau nzé- diandesracines antérieures se place dans l
place dans la partie interne du corps restiforme, et finalement, le noyau latéral des racines antérieures se localise dan
droit où en émergent les racines nerveuses. C'est précisément de ce noyau que tire son origine, d'après Krause, la portio
ès Krause, la portion intermédiaire de Wrisberg. C'est ainsi que le noyau latéral des racines postérieures, et le noyau l
C'est ainsi que le noyau latéral des racines postérieures, et le noyau latéral des racines antérieures de Krause, corr
e noyau latéral des racines antérieures de Krause, correspondent au noyau antérieur de Huguenin. Le noyau médian des raci
eures de Krause, correspondent au noyau antérieur de Huguenin. Le noyau médian des racines postérieures correspond au n
Huguenin. Le noyau médian des racines postérieures correspond au noyau interne de Huguenin, et le noyau médian des rac
racines postérieures correspond au noyau interne de Huguenin, et le noyau médian des racines antérieures au noyau externe
interne de Huguenin, et le noyau médian des racines antérieures au noyau externe de Huguenin. Henle 2 désigne sous le no
ieures au noyau externe de Huguenin. Henle 2 désigne sous le nom de noyau supérieur du nerf auditif, celui que Krause app
le nom de noyau supérieur du nerf auditif, celui que Krause appelle noyau médian des racines postérieures noyau interne d
tif, celui que Krause appelle noyau médian des racines postérieures noyau interne de Huguenin. Le noyau inférieur de Henl
yau médian des racines postérieures noyau interne de Huguenin. Le noyau inférieur de Henle correspond à ce que Krause d
nférieur de Henle correspond à ce que Krause désigne sous le nom de noyaux latéraux des 1 '\NI. Krause. Allgemeine und nzi
nsch- 1879. 38 ANATOMIE. racines postérieures et antérieures le noyau anté- rieur de Huguenin. Le noyau latéral de He
es postérieures et antérieures le noyau anté- rieur de Huguenin. Le noyau latéral de Henle équivaut, en partie, au noyau
ieur de Huguenin. Le noyau latéral de Henle équivaut, en partie, au noyau médian des racines antérieures de Krause, et au
en partie, au noyau médian des racines antérieures de Krause, et au noyau externe de Huguenin. Schwalbe ' de son côté dis
u noyau externe de Huguenin. Schwalbe ' de son côté distingue trois noyaux d'ori- gine au nerf auditif : son noyau central
e son côté distingue trois noyaux d'ori- gine au nerf auditif : son noyau central correspond au noyau médian des racines
aux d'ori- gine au nerf auditif : son noyau central correspond au noyau médian des racines postérieures de Krause; son
orrespond au noyau médian des racines postérieures de Krause; son noyau latéral au noyau médian des racines anté- rieur
yau médian des racines postérieures de Krause; son noyau latéral au noyau médian des racines anté- rieures de Krause; son
au latéral au noyau médian des racines anté- rieures de Krause; son noyau accessoire au noyau latéral des racines antérie
médian des racines anté- rieures de Krause; son noyau accessoire au noyau latéral des racines antérieures de Krause. Schw
tif contenait également un petitnombre de cel- lules étoilées et de noyaux . Des fibres nerveuses fraîches, prises en cet e
tubes nerveux sont assez unifor- mes (PL. V, fig. 2), possèdent des noyaux granuleux 1 A. Eitzky. Progrès médical, nez 39,
elles se présentent éparses aussi bien que sous forme d'amas. Les noyaux du tissu conjonctif abondent également. Pour ce
es. On ne saurait découvrir sur le parcours de ces fibres, ni des noyaux de la gaine deSchwann,ni des étrangle- ments, m
e du tissu est couverte de cellules ganglionnaires et de nombreux noyaux . Les cellules ganglionnaires, à protoplasma gra-
ules ganglionnaires, à protoplasma gra- nuleux, contiennent de gros noyaux de forme globu- laire ou ovalaire, renfermant d
il est facile de s'assurer que ces cellules servent de ganglions ou noyaux , à des branches nerveuses très fines, qui se dé
< i i' ' '' En se basant sur ces faits, il nous semble qu'aux noyaux connus du nerf intermédiaire de Wrisberg, le no
semble qu'aux noyaux connus du nerf intermédiaire de Wrisberg, le noyau latéral des'racines antérieures du nerf auditif
noyau latéral des'racines antérieures du nerf auditif (Braule), le noyau antérieur de Huguenin, et le noyau accessoire d
res du nerf auditif (Braule), le noyau antérieur de Huguenin, et le noyau accessoire de Schwalbe, on pourrait encore ajou
eau, que les cellules ganglionnaires, c'est-à-dire les ganglions ou noyaux respectifs qu'on trouve sur le parcours des fil
n Q, 177, p. 103.) 4 . 50 ANATOMIE. ment en reconnaissant pour noyau du nerf intermé- diaire de Wrisberg (nerf qui s
g (nerf qui sert de connexion entre l'auditif et le facial), un des noyaux localisés dans le bulbe, rachidien et appartena
t beaucoup de renflements de diverse forme. On ne reconnaît pas les noyaux de la gaine de Schwann et des étranglements.
ne propre autour des cellules, protoplasma finement grenu, un grand noyau ovale avec un nucléole et des prolongements pro
; gaines vides ou remplies d'une matière grenue (multiplication des noyaux ); le processus était complet sur une fibre de c
t gonflées et,comme i;énipliés déliquide : ,r, dans,quelques-uns le noyau [était peu distinct. D'autres fois le- noyau, é
dans,quelques-uns le noyau [était peu distinct. D'autres fois le- noyau , était tout à fait libre;ou', à peine entouré des
ndante et non purulente. Le parenchyme est farci d'une multitude de noyaux caséeux dont le volume varie de celui d'un mil
bronches. Le lobe inférieur renferme de plus, en outre de quelques noyaux de gangrène analogues au précédent, mais plus p
ettement ; il n'y a rien d'anor- mal, tant à la surface que dansles noyaux gris centraux (Fig 9). Hémisphère droit. A trav
réduit dans son volume, n'existe plus que sous forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La couche optique
sur son passage une partie de la couronne rayonnante de Reil et des noyaux gris cen- traux. D'autre part, il est facile de
hères cérébraux, des macules d'hypérémie et des ecchymoses dans les noyaux lenticulaires et les couches optiques; tout le
rf optique à l'oculo-moteur, c'est-à-dire qui est intermédiaire aux noyaux de chacun de ces nerfs (Erb, Hempel), tandis qu
é de la pupille dépend de l'interruption des voies qui unissent les noyaux du nerf optique et de l'oculo-moteuiv M. REMA
ntre l'intégrité des centres nerveux; les fibres, les cellules, les noyaux même de l'oculo-moteur sont demeurés intacts. L
t bien à une dis- tance de quelques millimètres une accumulation de noyaux se colorant facilement, mais elle est purement
, on devrait rencontrer quelquefois la paralysie des nerfs dont les noyaux d'origine sont près de la dizième et de la onzièm
doigt ; elle intéresse moins l'autre fesse. A son niveau on sent un noyau d'induration. Application de compresses d'eau de
, 1880. Arch. f. Psychiatrie.) Les deux corps quadrijumeauxsont des noyaux du nerf optique, celui-ci, aux termes de ces re
ie les vues de Meynert et, suivant le trajet de ces fibres dans les noyaux du 4° ventricule, il conclut en disant que le f
uestion représente un trajet direct entre la base du cerveau et les noyaux du plancher du ventricule cité ; qu'il constitu
i- nal. H.D'O. VII. STRUCTURE DU PIED DU PÉDONCULE cérébral ET DU noyau lentiforme ; par J. PASTËRNATZKY, 1881. Les r
les tractus blancs antéro-postérieurs qui séparent les segments du noyau lenticulaire du corps strié; 3° d'autres se jet
la partie interne du pied du pédoncule. D'autres fibres partent du noyau rouge pour se diriger aussi vers la partie inte
le est constituée par des fibres venues de la capsule interne et du noyau lenticulaire du corps strié. Tous les faisceaux
ssent du tegmentum dans le pes du pédoncule s'entrecroisent dans le noyau lentiforme (noyau de Luys), qui reçoit des fibr
dans le pes du pédoncule s'entrecroisent dans le noyau lentiforme ( noyau de Luys), qui reçoit des fibres venant : 1° du
au lentiforme (noyau de Luys), qui reçoit des fibres venant : 1° du noyau rouge, 2° de la substance de Soemmering, 3° du
faisceau de Türck est tout à fait libre de toute connexion avec ce noyau ; il est tou- jours situé en dehors. D'après
ehors. D'après l'examen de ces préparations, l'orateur dit que le noyau lenticulaire du corps strié est divisé en quatre
nous sommes assuré qu'en effet, à ce niveau, le segment interne du noyau lenticulaire est divisé par un tractus blan- ch
ation avec la dilatation de la pu- pille gaucho, l'auteur admet des noyaux celluloïdes, présidant au plaisir d'un côté du
petites de volume, irrégulières de contour, à contenu granuleux, à noyaux ou nucléoles peu ou point apparents, à prolonge
es sur le), 358. Pédoncule cérébral (structure du pied du et du noyau leuti- lonne), par Pasternatzky, 316. Pied bo
nt beaucoup de rendements de diverse forme. On ne reconnaît pas les noyaux de la gaine de Sclmanu et des étranglements.
ne propre autour des cellules, protoplasma finement grenu, un grand noyau ovale avec un nucléole et des prolongements pro
35 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
imètres du pôle frontal- et qui traversent la partie postérieure du noyau lenticulaire : La corne d'Ammon est détruite pr
on est détruite presque complètement par le ramollissement. Dans le noyau lenticulaire on remarque des petites lacunes, qui
1 le foyer primordial de la maladie ne doit être recherché dans les noyau : bulbaires eux-mêmes, mais très près de ceux-c
rne, de l'hypoglosse, ou du vague ; l'au- topsie a démontré que les noyaux de ces nerfs étaient affectés. Ensuite il faut
n d'un cas de Roger, dans lequel la poliomyélite s'é- tendit sur le noyau du trijumeau et d'un autre cas de Drexler, qui co
a présenté dans son cours le même cas comme une poliomyé- lite des noyaux bulbaires, cependant ce diagnostic n'est pas acce
manque d'atrophie et de réaction de dégénérescence prouve, que les noyaux des nerfs crâniens n'étaient pas atteints. Le fai
manentes sur- tout dans le voisinage des éléments blancs autour des noyaux du bulbe. ()) Kcep/tah'<t ! t ? t Vot/tttae
tire-bouchon ; la coloration au bleu de méthylène est dif- fuse, le noyau a perdu sa forme ovale ou ronde. Très fortement c
et fortement teinté (Pl. I). Il existe une légère prolifération des noyaux névrogliques et on trouve ceux- ci souvent tumé
es ; les prolongements sont pâles, mais on peut les distinguer ; le noyau est tuméfié, sphérique et peu coloré. En résumé
ons particulières, signalons des kystes disséminés, au ni- veau des noyaux gris centraux, dans l'hémisphère droit, tant dans
raux, dans l'hémisphère droit, tant dans le putamen qu'au niveau du noyau caudé et de la couche optique. Il en existe trois
dégénéré gros comme une noisette ; . 13° Au niveau de la tête du noyau caudé petit kyste dégénéré, de la gros- Fig. 3.
fusion complète de la moelle épinière avec la moelle allongée. Des noyaux des cordons postérieurs doivent partir les fibr
bres sensitives. Sur le plancher du 4° ventri- cule sont placés les noyaux du nerf acoustique. Mais l'intérêt principal ne
s, au niveau des olives inférieures, on tombe déjà sur la coupe des noyaux dentelés. Cela s'explique : dans notre cas, à c
, la moelle allongée -s'éloigne du cervelet et se place en bas. Les noyaux dentelés se trouvent plus haut ; ils n'ont pas
défaut; il est représenté par une tige fibreuse renfermant quelques noyaux osseux. L'autre cas a été publié par Pagenstech
erait composé que d'un seul os, au-dessus duquel se trouve uu autre noyau osseux considéré par Pagenste- cher comme un ru
angiomateuses dont les parois enkystées renferment quelques rares noyaux . En- bas, fentes vascu- laires contenant des hé
ce en chromatolyse périphérique. Gonfle- ment et vacuolisation du noyau . Un leucocyte intra-protoplasmiqne. (Obj. imm
(Obj. immers i/12; oc. i, Zeiss.) Fig. 6. Cellule nerveuse dont le noyau , refoulé à une extrémité, est encore entouré
7. Cellule nerveuse de l'écorce, en- vahie par le heuronophage. Le noyau , à peine visible, ne contient plus de nucléos
de l'écorce dont le protoplasma, en partie détruit, ren- ferme un noyau contenant un leuco- cyte. (Obj. immers 1/12; oc
12; oc. 4 Zeiss.) Fis. 11. Cellule nerveuse de l'écorce dont le noyau est à peine indiqué par une zone plus claire et
lésions (état fissuraire, éclatement, gonflement et excentricité du noyau , chromatolyse, etc.).De plus, nous avons observ
elle est mince, constituée par des cellules plates, allon- gées, à noyau petit, prenant facilement la coloration. Elle n'a
sont des cellules allongées, assez volumineuses et fusiformes. Leur noyau ,situé au centre,est de grande dimension et possèd
: elles sont ici détachées, leur forme rappelle un croissant, et le noyau est moins visible. La caractéristique de ce pre
ent et sont difficiles à percevoir. Elles renferment quelques rares noyaux plus petits que ceux des cellules de la tu- meu
ts en relief : l'existence de cellules longues, fusiformes, avec un noyau unique et volumineux occupant la partie médiane
us le nom de corps fibro-plastiques des éléments allongés, ayant un noyau volumineux au centre du protoplasma. Ces corps pe
rotoplasma. Ces corps peuvent dans certains cas présenter plusieurs noyaux à leur intérieur ; ce sont alors les cellules m
pe commune, de plusieurs de ces couches. On ne trouve nulle part de noyaux cellulaires, et l'on peut conclure que ces corps
e la dégénérescence graisseuse, il est toute une série de cas où le noyau présente des vacuoles, tandis que le prolo- pla
ltat de rendre les cellules homo- gènes et de faire disparaître les noyaux . Des vaisseaux de nouvelle for- mation partent
g, entourée par des cellules déjà compactes, mais ayant encore leur noyau (Période de coloration par l'hématoxyline). Un
bstance hyaline, puis les rejettent au dehors, en même temps que le noyau disparaît (période de coloration par l'héma- to
ules sont ratatinées, aplaties, les prolongements invisibles, et le noyau très atrophié se colore à peine. Les coupes son
ents sont à peine accusés. Beau- coup de ces cellules n'ont plus de noyau et elles ont l'aspect d'une masse amorphe, irré
de ces éléments très altérés il en est d'autres moins atteints. Le noyau est seulement gonflé, rejeté il la périphérie,
le nucléole seul reste bien visible. Le déplacement excentrique du noyau est appréciable sur presque toutes les cellules
gures différentes, liées au déplacement plus ou moins accen- tué du noyau ; si ce dernier, tout en n'étant plus central, es
, qui contraste avec une zone centrale plus foncée; au contraire le noyau est-il tangent à une extrémité ou à un bord de
ns se retrouvent à un degré moin- dre. H y a moins de cellules sans noyau , toutefois la zone de décoloration péri- phériq
ri- phérique, l'absence de grains chromatiques normaux, le rejet du noyau vers un bord ainsi que son gonflement se retrou
chromatophiles, et teinte diffuse du protoplasma ; 3° excentricité du noyau , et quelquefois sa disparition ; 4° présence en
s entrelacés, laissant certains endroits des espaces comblés par un noyau volumineux, très fortement coloré, appartenant il
nt le siège de lésions atteignant à la fois et le protoplasma et le noyau et les prolongements. Les altérations duproto
ussière qui se teinte encore énergiquement et cons- titue autour du noyau une zone plus foncée. Plus en dehors, on trouve
es : d'un côté des grains chromatiques toujours petits encadrant-le noyau rejeté dans un coin de la cellule, de l'autre l
fissures et être complètement dé- truite par une de ses parties, le noyau de son côté a complètement disparu. La lésion r
lors celles qu'ont décrites Nageotte et Eltlinger (2). L'absence du noyau ne se note que sur quelques cellules seulement.
gonflé. Mais dans d'autres cas, son nucléole n'existe plus, tout le noyau se teinte de la même manière et de- vient ainsi
te théorie, c'est qu'il existe des cellules encore gonflées dont le noyau est en train de disparaître ; d'autre part, rarem
s qui se retrouvent dans le protoplasma, allant même jusque dans le noyau . Lorsque les cellules sont très atteintes, l'en-
Napoli, Vol. VIII, 1894. Sur le rôle joué par les leucocytes et les noyaux de névroglie dans la destruction des cellules ner
aussi celle de Nissl (1) qui rapporte à la névroglie la présence de noyaux entourant les cellules nerveuses dans des cas de
éné- raux. Après coloration au bleu polychrome, ils distinguent les noyaux de névroglie par leur réseau de chromatine péri
capables de s'introduire dans le corps cellulaire et d'atteindre le noyau dont on peut voir la résorption partielle. Le d
t du même groupe nucléaire (moteur oculaire commun) et même de deux noyaux contigus de ce groupe. La pathogénie générale d
ient de la rétraction des neurones de l'écorce en relation avec les noyaux sus-indiqués. On conçoit d'ailleurs que cette con
cordons postérieurs de la moelle épinière ne se terminent dans les noyaux , la partie antérieure de la moelle reste sans m
aréfiée, grâce à l'accumulation de masses grises, correspondant aux noyaux des cordons postérieurs. En avant des fibres my
ibres myéliniques, correspondant aux cordons postérieurs et à leurs noyaux au bord de la moelle, se trouve la racine spina
anal central se réunissent des fibres myéliniques, commen- çant aux noyaux des cordons postérieurs et s'entrecroisant sur la
autre. D'un côté du canal central qui est déjà ouvert on trouve les noyaux de Goll et de Burdach, entourés à l'extérieur d
une direction horizontale, mais bientôt ils se termi- nent dans les noyaux , alors disparaît l'asymétrie de la moelle. Une fi
l'ap- parition de la couche des fibres sensitives, qui portent des noyaux des cor- dons postérieurs et se placent entre l
ôtés de la ligne médiane à l'ex- trémité de la moelle, limitant les noyaux de Goll et de Burdach, placés en avant d'eux. D
paru. Dans la partie postérieure de la moelle nous rencontrons les noyaux de Goll et de Burdach, en dehors la substance g
cas apparaît dans la coupe seulement au niveau où disparaissent les noyaux des olives inférieures 262 SOLOVTZOFF La diff
leur direction. Au lieu d'aller dans la direction verticale jusqu'aux noyaux des cordons postérieurs,- ils doivent prendre l
ntde la moelle épinière et placées dans l'isthme,finissent dans les noyaux des cordons postérieurs et disparaissent ; sur le
. Pourtant, là comme dans la moelle normale, doivent se trouver les noyaux dentelés du cervelet.Toutes ces difformités s'e
leur absolue ; nous ignorons encore la date d'apparition exacte des noyaux d'ossification chez le foetus. On peut donc suppo
son existence, puisse créer des lésions rachitiques localisées aux noyaux cartilagineux, symétriques, et évoluant très rapi
les faisceaux fibreux, on distingue des cellules allongées dont les noyaux ne pren- nent pas l'hématoxyline,èt quelques pl
comme forme, seulement, leurs prolongements sont peu abondants, le noyau est normal, l'amas pigmentaire peu considérable,
e de faisceaux de cellules fusiformes à protoplasma peu abondant, à noyau volumineux, disposées concentriquement autour des
certain degré de dégénérescence. En effet, en certains points, les noyaux cellulaires ne se colorent plus et les faisceaux
nt cellulaire avec chro- 11lotalyse périphérique et excentricité du noyau . IV. -Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales
bulbe au-dessus de l'entre- croisement du faisceau pyramidal. Le noyau du faisceau de Goll et le faisceau cérébelleux
OII. Dli LA. SALPÊ'l'IIIÈIIE, HÉRÉDO-ATAX ! E CÉRÉBELLEUSE 379 le noyau n'en est pas visible. Les colonnes de Clarke sont
tate sur les coupes du bulbe une dégénérescence des fibres dans les noyaux des cordons de Goll. Le nombre des cellules est d
e dégénérescence. Le reste du bulbe ne présente pas de lésions. Les noyaux olivaires sont petits, comme du reste tout le bul
égénérescence grais- seuse. Dans le bulbe existait une atrophie des noyaux des cordons de Goll, de Burdach et des noyaux d
tait une atrophie des noyaux des cordons de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons latéraux, atrophie du faisceau céré
raux, atrophie du faisceau cérébelleux, des nerfs hypoglosse et des noyaux moteurs du trijumeau. La protubérance à la haut
et était atrophié, ses lames étroites et mollasses. Les cellules du noyau dentelé étaient en partie ratatinées. La couche d
é. On ne peut plus orienter la coupe d'après leur direction. Pas de noyau visible. En somme, atrophie et diminution de no
nous trouvons des lésions des faisceaux cérébelleux di- rects, des noyaux des faisceaux de Goll ; dans le cas de Menzel, en
desnoyaux de sfaisceaux de Burdach, des cordons latéraux, celle des noyaux des nerfs glossopharyngiens et de la partie mot
intées assez vivement, mais toujours la coloration est uniforme. Le noyau se détache mal sur le fond de la cellule. Sa posi
inte absolument uniforme sur toute sa surface. On voit ainsi que le noyau est tantôt central, tantôt tout à fait périphér
nombre de deux ou trois. Ces cellules sont réunies sous forme de deux noyaux symétriques ; il semble qu'il s'agisse ici des
). Les cellules, à part quelques rares exceptions, ne présentent ni noyau , ni nucléole, elles sont recroquevillées sur el
VASCUIDE ET VURPAS quelques fines granulations à leur intérieur. Le noyau est plus ou moins teinté, le plus souvent il a
eule description. Les cellules sont considérablement atrophiées, le noyau ne se distingue pas du reste du corps cellulair
forme. Le nucléole qui le plus souvent indique seul la position du noyau montre que ce dernier est très fréquemment péri
veux qui se détachaient très mal sur le reste de la préparation. Le noyau ne pouvait pas être distingué. Fréquemment rien n
B. Entrecroisement des fibres sensitives. C. Ruban de Reil. D. Noyau moteur. E. Fibres motrices émergentes. 392 Va
ulons parler des formations qui constituent l'olive inférieure, les noyaux accessoires de l'olive ou parolives, les corps re
cervelet. Il n'en est plus de même de l'olive infé- rieure, ni des noyaux accessoires de l'olive ou parolive. L'absence com
blent présenter des troubles à des degrés divers. Chez certaines le noyau prend la couleur, et la cellule est teintée d'une
éduites à une fine poussière qui infiltre le corps cellulaire et le noyau . Ce dernier se détache alors mal sur le fond cell
rt des cellules. Quelques rares présentent de l'excentri- . cité du noyau , mais cette disposition est peu fréquente. Les
constaté au niveau des tubercules quadrijumeaux la présence de deux noyaux symétriques et composés de cellules motrices. E
1F etlVpaires, ne pourrait- on pas penser ici à une localisation du noyau du facial supérieur ? VI. - Dans la moelle nous
vrir dans la glande quelques nodules quel'obsession trans- forme en noyaux cancéreux. Tous les chirurgiens connaissent ces c
sont assez bien conservés, les cellules ne sont pas déformées et le noyau se colore bien. Seule la membrane est un peu épai
et graisseux. De larges bandes de tissu fibreux, parsemées de rares noyaux , et creusées de volumineux sinus sanguins, par-
ux de la subs- tance corticale, formés de cellules normales, à gros noyaux , présentant fort peu de granulations graisseuse
les prolongements, la substance fondamentale légèrement bleuie, le noyau central. Certaines pré- sentent une pigmentatio
siéreux des cbromatophyles, d'autres enfin ont subi la migration du noyau . Mais nous n'avons trouvé ni cellules gonflées,
36 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s, mais seulement un tissu conjonctif avec une certaine quantité de noyaux , et ça et des amas sans forme précise, d'une su
nerf moteur de l'appareil olfactif, c'est dans le voisinage de son noyau d'origine, eu dehors de ce noyau que doit se tr
, c'est dans le voisinage de son noyau d'origine, eu dehors de ce noyau que doit se trouver cette ori- gine réelle « mé
de l'e21ceztia teres. Là, il m'a semblé se diriger en dehors de ce noyau . Je l'ai perdu à ce niveau. La disposition an
ne de l'arc médullaire étant très probablement situé en dehors du noyau du nerf moteur, c'est-à-dire dans la situation
dehors du noyau du nerf moteur, c'est-à-dire dans la situation des noyaux moteurs par rapport aux noyaux sensitifs. Le
, c'est-à-dire dans la situation des noyaux moteurs par rapport aux noyaux sensitifs. Le faisceau, après avoir traversé
r, un espace olfactif. Quoique je ne puisse affirmer l'existence du noyau d'origine du faisceau médullaire de l'appareil
Foville, à propos de la « struc- ture de la partie fondamentale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule cérébr
r (le faisceau sphénoïdal), séparé de ces faisceaux par la queue du noyau caudé qui s'étend beaucoup plus loin que ne le
oir dépassé le corps genouillé externe, il se peut-être ? au second noyau de Luys. Avant d'atteindre le tubercule quadrij
e. Foville fait partir le taenia de l'espace perforé, et Luys, du noyau amygdalien. Cruveilhier suit l'origine du taenia
dit plus haut, de l'ori- gine du ruban péri-optique par la queue du noyau caudé. Il est placé, par conséquent, en dehors
ses fascicules s'entre-mêlent même avec ceux du ruban par-dessus le noyau caudé. Un peu plus en arrière, au niveau de l'h
à suivre cet enroulement. Les rapports qu'ils établissent entre un noyau cortical et un noyau inter- médiaire, leurs con
ment. Les rapports qu'ils établissent entre un noyau cortical et un noyau inter- médiaire, leurs connexions avec des élém
qui descend dans la paroi du septum lucidum s'étale sur la tète du noyau caudé, et entre en communication avec le noyau
ale sur la tète du noyau caudé, et entre en communication avec le noyau lenticulaire, la capsule interne et l'avant-mur.
t autour des piliers et remonte quelquefois jusqu'au pourtour des noyaux antérieurs. Elle reçoit la racine grise olfactive
et du mouvement ce que sont ces centres aux thalamus opticus et aux noyaux du corps strié, et ce que sont les ganglions de
lle de l'écorce cérébrale. L'excitation mécanique ou faradique du noyau caudé et du noyau lenticulaire, des couches optiq
cérébrale. L'excitation mécanique ou faradique du noyau caudé et du noyau lenticulaire, des couches optiques et des tuber
e dans le cerveau et le bulbe, combinée à une lésion symétrique des noyaux des nerfs spinaux, cervicaux et lombaires (musc
côté, qui a guéri complète- ment en peu de temps. P. K. VIII. Des noyaux ARC1PORfES; par G. JELGERsMA. (Centralbl. f. Ne
S; par G. JELGERsMA. (Centralbl. f. Nervenheilk, 1889.) Etude des noyaux arciformes et de leurs connexions avec d'au- tr
e, l'histologie, l'anatomie pathologique D'après ces documents, les noyaux de la protubérance sont les homologues des noya
es documents, les noyaux de la protubérance sont les homologues des noyaux arciformes des pyra- mides, ou, plus exactement
ues des noyaux arciformes des pyra- mides, ou, plus exactement, les noyaux de la protubérance sont les générateurs des noy
exactement, les noyaux de la protubérance sont les générateurs des noyaux arciformes, ou encore, les noyaux arci- formes
ubérance sont les générateurs des noyaux arciformes, ou encore, les noyaux arci- formes sont les stations éloignées des no
ou encore, les noyaux arci- formes sont les stations éloignées des noyaux de la protubérance. La protubérance, en somme,
veau et des hémisphères cérébelleux. Inversement, chez l'homme, les noyaux arciformes représentent les noyaux de la protub
Inversement, chez l'homme, les noyaux arciformes représentent les noyaux de la protubérance projetés et développés à une c
cèdent à l'excitation de la région corticale motrice antérieure. Le noyau lenticulaire n'est pas acces- sible à une excit
trices a lieu, non par les tubercules quadrijumeaux, mais par les noyaux de la calotte ou les corps genouillés. Les tractu
e, tremblements, crampes musculaires. Intégrité de la moelle et des noyaux des nerfs crâniens, dégéné- rescence caractéris
iphériques, lésions inflammatoires, hémorrhagiques et scléreuses du noyau postérieur du pneumo-gastrique et du noyau d'or
agiques et scléreuses du noyau postérieur du pneumo-gastrique et du noyau d'origine de l'oculomoteur com- mun. P. KOE'\y,
uteurs concluent que les cinq sixièmes au moins des fibres qui, des noyaux d'origine des cordons postérieurs gagnent, en tra
nnes du cervelet (notamment le vermis supé- rieur) sont reliées aux noyaux des cordons latéraux qui reçoivent d'en bas une
cellules, d'ou, par l'intermédiaire du raphé, ces fibres gagnent le noyau réticulaire de Bechterew (voy. Archives de Neur
oisines de la formation réticulaire. Puis, le faisceau unissant les noyaux du toit cérébelleux avec les olives supé- rieur
différents trousseaux ; trois d'entre eux viennent de la région du noyau rouge de Stilling qui, de son côté, envoie des fi
illing qui, de son côté, envoie des fibres il la couche optique, au noyau lenticulaire, à l'écorce du cerveau. P. K. XXVI
ine permet de supposer que cette enveloppe se développe, non pas du noyau de la gaine de Schwann, comme le pense Rauvier,
bre de deux, sont absolument directes et vont sans intermédiaire au noyau cérébral ou à ses pro- longements ; b, l'autre
mp olfactif. Quelques anatomistes mènent la racine externe à un noyau qui serait situé au-dessous de l'extrémité anté-
ne suis pas bien édifié, pour ma part, sur l'existence propre de ce noyau amygda- lin «isolé en apparence, mais qui se tr
lobe inférieur près du quadrilatère perforé » d'après P. Berger. Ce noyau me paraît devoir être rattaché au crochet de l'
er absolument l'immer7ence de la racine ex- terne olfactive dans le noyau , puisque quelques auteurs l'ont constatée, je d
s. Si, par cas, la fin de la racine externe 206 ANATOMIE. dans le noyau amygdalin était démontrée dans l'ave- nir, il y
s l'ave- nir, il y aurait lieu de rechercher les connexités de ce noyau avec certaine partie de la substance grise de l
inuité entre la partie interne du carrefour et les prolongements du noyau cortical olfactif. b. Communications directes
urs, c'est-à-dire par des conducteurs qui n'ont pas à passer par le noyau de la couche optique. L'intermédiaire est le se
a corne d'Ammon. Luys mène la racine olfactive jusqu'à un ganglion ( noyau amygdalien) qui serait situé à l'origine de la
couche optique, part une voie de conduction reliant le tubercule au noyau cortical. Cette voie de conduction est constitu
chiasma). C'est l'arc cérébral. La formation godronnée constitue le noyau cortical de l'olfaction. Ce centre est mis en c
ra-ventriculaire du corps strié; avec les parties extérieures et le noyau gris de la tubé- rosité temporale, c'est-à-dire
s cellules de l'intellect à la perfection de l'olfaction, dont le noyau brutal serait exclusivement constitué par la fo
is, une grande distance; et les circonvolutions qui accompagnent le noyau cortical sont évidemment là pour idéaliser la p
ntaire du protoplasma des cellules (surtout les petites) et de leur noyau . M. Pierret demande la parole. Il explique que,
unes à côté des autres à la façon des épithéliomas, se touchent au noyau et par leur partie supérieure, série de prolong
érescence des groupes de cellules décrits par Westphal au niveau du noyau de l'oculo-moteur commun. Séance du 10 décemb
l'atrophie du groupe entier était complète en un cas d'atrophie du noyau de l'oculomoteur commun, les deux autres noyaux a
un cas d'atrophie du noyau de l'oculomoteur commun, les deux autres noyaux ayant été épargnés. , M. SIEMERLING, - Un cas
tie supérieure de la moelle dorsale, atrophie des cellules dans les noyaux moteurs du bulbe, mais avec conservation parfaite
rogressive des muscles des yeux, on trouve une hypérémie notable du noyau atrophié du moteur oculaire commun et de nombre
xaminé le pathétique, mais on a rencontré les mêmes lésions dans le noyau de l'oculo- moteur externe. Chez un autre malad
sculaires, affectés d'atrophie des fibres avec multi- plication des noyaux du tissu conjonctif interstitiel. Prolifération
stérieures, en relation avec le limaçon, occupe le bulbe ; c'est le noyau antérieur de l'auditif etle tubercule latéral (
antérieur de l'auditif etle tubercule latéral (lapin et chat) ; le noyau acoustique externe et le noyau acous- tique int
bercule latéral (lapin et chat) ; le noyau acoustique externe et le noyau acous- tique interne n'ont aucune relation avec
qu'ils ont rencontrés sur les capillaires des segments internes du noyau lenticulaire. M. Wollenberg a pu examiner les c
Sous le microscope, on examina à l'état frais tous les éléments du noyau lenticulaire, avec ou sans addition d'acétate d
la stratifi- cation eu couches concentriques. Le segment externe du noyau lenticulaire n'en contenait qu'un très petit no
seulement dans la chorée. M. POLLEN- BKRG. En tout cas pas dans le noyau lenticulaire normal. \l. SIE- MERUNG. A coup sû
t en dehors. Puisqu'il n'est pas survenu d'atrophie musculaire, les noyaux d'origine des nerfs sont probablement intacts,
NISSL. Des altérations, chez le lapin, des cellules originelles du noyau du facial à la suite de l'arrachement des nerfs.
ngt-quatre heuresqui suivent par l'alté- ration des cellules de son noyau . Déjà les éléments chromatiques des cellules gr
gènes; en plusieurs points, les contours semblent déchi- quetés. Le noyau présente également de légères altérations. Le s
lles colorées. Il est impossible de percevoir les prolongements. Le noyau a changé de place; on le voit occuper la périph
des masses irrégulières, pâles, légè- rement granulées, privées de noyaux , privées de prolonge- ments. Ces altérations
ments. Ces altérations ne portent point sur toutes les cellules du noyau d'origine du nerf en même temps; elles se dissé
rrégulière- ment. Elles atteignent d'abord les parties latérales du noyau d'ori- gine à trois branches. A partir du douzi
ers le dix-huitième jour à peu près, presque toutes les cellules du noyau sont affectées. M. KtOEusEft. - Un cas de poren
es atrophiques, l'auteur admet ici une hémorragie dans la région du noyau gauche du nerf triju- meau. On peut bien ne p
uniquer le corps restiforme avec les débris du cordon postérieur ou noyau de Burdach (figures à l'appui). Le contingent d
action faite des fibres arciformes postéro-externes qui viennent du noyau du faisceau de Goll, il reçoit des fibres émané
nnent du noyau du faisceau de Goll, il reçoit des fibres émanées du noyau du faisceau de Burdach. Voici des coupes du bul
yant succombé à une paralysie bulbaire. (P. Kronthal.) Au milieu du noyau d'origine de l'hypoglosse ressorlent deux faisc
est traversé par les premièresfibresd'entre-croisemeut du raphé. Le noyau deThypo- 400 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
cellules occupe l'épaisseur de ce cordon, leur place correspond au noyau central inférieur quoiqu'il soit pour cela un p
re-croisent en cet endroit avec les trous- seaux de fibres issus du noyau rouge de la calotte de l'autre côté (entre-croi
cérébelleux supérieur gauche est diminué d'un tiers, de même que le noyau rouge de la calotte du côté opposé; atrophie ég
l existe une connexion entre le pédoncule cérébelleux supérieur, le noyau rouge de la calotte du côté opposé, le pulvinar d
côté gauche. De là : atrophie du cordon latéral du même côté et du noyau d'origine de ce cordon. Disparition notable du
es arciformes internes à droite ou à gauche. Atrophie partielle des noyaux d'ori- gine des cordons postérieurs des deux cô
gine des cordons postérieurs des deux côtés. Atrophie excessive du noyau d'origine du faisceau grêle du côté opposé; atrop
. Par conséquent, le corps restiforme joint le cordon latéral et le noyau d'origine du cordon latéral du même côté; il est
rigine du cordon latéral du même côté; il est en connexion avec les noyaux d'origine (homonyme et croisé) du cordon postér
ernes, couche intermédiaire des olives, fibres arciformes internes, noyau du cordon grêle) il est en relation avec la gro
ines du auditif, par Baginsky, 273; altérations des cellules du noyau du facial chez le lapin à la suite de l'arrache
1. Neurasthénie tardive avec idées obsédantes, par Séglas, 266. Noyaux arciformes, par Jelgersma, ' 126. OCULO-teTBU
37 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s une production secondaire, formant un nodule dur, rosé, séparé du noyau principal par la zone ramollie qui fait le tour
sement englobe complètement le néoplasme. En haut et en dedans du noyau principal on voit le noyau secondaire que nous av
nt le néoplasme. En haut et en dedans du noyau principal on voit le noyau secondaire que nous avons déjà signalé et dont
l'inspection de la face convexe du cerveau gauche, elle refoule le noyau secondaire en haut et en dedans. Elle présente à
gagne la partie inférieure et se dégage de la partie supérieure, le noyau secondaire a disparu. Quant au noyau principal
ge de la partie supérieure, le noyau secondaire a disparu. Quant au noyau principal il présente les mêmes caractères macr
du pied de la cicronvolution de Broca. En un point elle présentait noyau secondaire qui n'avait pas encore acquis un grand
de fibres conjonctives. La plupart de ces cellules pré- sentent des noyaux volumineux de forme très irrégulière, vivement
une transfor- mation colloïde; il devient réfringent, et refoule le noyau à la péri- phérie. Les cellules ainsi modifiées
se fusionner et donnent naissance parfois à des cellules géantes à noyaux mul- tiples. Dans les parties où cette dégénéra
ements de Ranvier; 4° Les gaines de Schwann des nouveau-nés ont des noyaux très volumineux surtout si on les compare à la
s volumineux surtout si on les compare à la largeur des fibres. Ces noyaux sont fréquemment entourés de masses protoplasmi
u tissu interstitiel du nerf de l'adulte par une grande richesse de noyaux ; 7° A partir de la naissance la structure des f
nt un diamètre moyen de 7 p : une partie d'entre elles possèdent un noyau collé contre la paroi ou un noyau central : des
partie d'entre elles possèdent un noyau collé contre la paroi ou un noyau central : des nerfs et des vaisseaux REVUE D'AN
rer. La caractéristique du muscle infantile est dans sa richesse en noyaux et dans leur disposition. Très nombreux dans le
très considérable, et le tissu interstitiel est aussi très riche en noyaux . En conséquence : La bien moindre largeur des f
l'absence d'étranglements des fibres nerveuses, la richesse en gros noyaux du parenchyme et du tissu interstitiel, l'allur
mergent les racines de l'acoustique. Pas de dégénérescence dans les noyaux des cordons grêles et cunéiformes. La moelle pr
echerches expérimentales. L'auteur en déduit ce qui suit : 1. Ni le noyau interne de l'acoustique, ni le noyau de Deiters n
déduit ce qui suit : 1. Ni le noyau interne de l'acoustique, ni le noyau de Deiters ne sont les lieux de terminaison de
ent 142 REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. dans le noyau antérieur, dans le tubercule acoustique, dans les
uadriju- meau inférieur du même côté. B. Le petit faisceau vient du noyau antérieur. Il commence, comme le gros, à contou
ïde. Quelques-unes de ses fibres, plus inférieures, passent dans le noyau du facial du même côté. Le trajet et les connex
- zoïde passent les fibres du ruban de Reil inférieur qui vont au noyau antérieur et unissent ce noyau avec le tubercule
ruban de Reil inférieur qui vont au noyau antérieur et unissent ce noyau avec le tubercule quadriju- meau inférieur du c
rapport d'ailleurs infruc- tueuses) passe en bas en partie dans le noyau de Bechterew, en partie dans la racine ascendan
mouvement volontaire par action réflexe, par suite du voisinage des noyaux moteurs du trijumeau et de l'oculo- moteur. C'e
ens musculaire). L'orientation exige l'intégrité des conducteurs et noyaux des nerfs ampullaires, le sens des attitudes dé
tudes dépend de celle des cordons pos- térieurs de la moelle et des noyaux correspondants. Suivant que l'un ou l'autre ou
et demi. A l'autopsie, dégénération des cellules ganglionnaires du noyau de l'hypoglosse, du noyau ambi- guis (noyau mot
génération des cellules ganglionnaires du noyau de l'hypoglosse, du noyau ambi- guis (noyau moteur du nerf vague et du -l
lules ganglionnaires du noyau de l'hypoglosse, du noyau ambi- guis ( noyau moteur du nerf vague et du -losso-pharyn-ien), du
bi- guis (noyau moteur du nerf vague et du -losso-pharyn-ien), du noyau facial, et des cornes antérieures de la moelle da
ons pyramidaux croi- sés. Les conclusions de ce travail sont que le noyau principal de l'hypoglosse est la seule source d
seule source des racines du nerf hypoglosse. Les fibres propres du noyau proviennent pour une grande part des pyramides.
es viennent de la formation réticulaire. Le nucléus ambiguus est le noyau d'origine des fibres motrices du glosso-pharyng
o- aryténoïdiens et probablement aussi des muscles du pharynx. Le noyau postérieur du glosso-pharyngien est le noyau term
muscles du pharynx. Le noyau postérieur du glosso-pharyngien est le noyau terminal des REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
longitudinal postérieur du côté opposé, qui vient probablement du noyau du moteur oculaire commun. Le groupe de cellules
rveuses, l'augmentation des éléments lymphatiques et la présence de noyaux adventices sur les vaisseaux sanguins. Ces altéra
rement épaissie. Dans les substances blanche et grise on trouve les noyaux de névroglie multipliés. On observe régulièreme
érieures et postérieures, que leur péri et endonèvre est parsemé de noyaux et de leucocytes. Dans les faisceaux latéraux o
sans doute aussi un tubercule. Sur toute la surface des coupes, les noyaux et les leucocytes augmentent beaucoup plus que
es. La dure-mère présente seulement à la surface interne quelques noyaux qui se sont multipliés. III. Dans les coupes pr
. . La surface entière de la moelle est riche en leucocytes et en noyaux . Les vaisseaux autour du canal central oblitéré s
corne postérieure gauche, sont parsemées d'un plus grand nombre de noyaux et de leucocytes qui peuvent se grouper, dans q
s cette partie une 192 CLINIQUE NERVEUSE. légère augmentation des noyaux et des leucocytes de la pie-mère ainsi que de l
met en branle dans le bulbe, ou accessoirement dans la moelle, les noyaux qui président à la maladie de Basedow, et, seco
s de la névroglie; ces derniers présentaient un état de division du noyau . Les vaisseaux étaient peu altérés à part ici e
aisseaux étaient peu altérés à part ici et là de la karyokinèse des noyaux de l'adventice et de la tunique interne. L'auteur
ranuleux nulle part. Les capillaires sont forte- ment surchargés de noyaux arrondis en beaucoup de points; on trouve aussi
s la région dor- sale de préférence, on voit des amas de cellules à noyaux aplatis, bien colorés, tous orientés parallèlem
t éosine. formes; ces logettes sont remplies chacune par un ou deux noyaux Fig. 9. ÉTUDE SUR LA MÉNINGO-MYÉLITE. · 279 9
MÉNINGO-MYÉLITE. · 279 9 extrêmement pâles; sur quelques veines ces noyaux se colorent encore un peu et l'on voit très net
ainsi qu'on peut voir Fig. 10. , 280 CLINIQUE NERVEUSE. 3, 4, 5 noyaux colorés sur une coupe de veine, mais souvent il n
s sur une coupe de veine, mais souvent il n'y en a pas du tout. Les noyaux de l'endolhélium eux-mêmes ne se colorent plus
ctives 10ngitudinales',I'enlre lesquelles on aperçoit des traces de noyaux . Leur tunique interne est tantôt mince, tantôt
a lésion la plus remarquable est l'absence presque complète de tout noyau coloré dans l'épaisseur des trois tuniques. La
s c'est à peine si de loin en loin on entrevoit encore vaguement un noyau en bâtonnet. Le calibre de ces vaisseaux est parf
re un épaississement considérable et une infiltration très dense de noyaux arrondis, serrés les uns contre les autres, qui
vement assez minimes, les tubes nerveux sont intacts, ainsi que les noyaux d'origine. Quelques-uns des gros vaisseaux qui
toute son étendue, même sur les lobes occipitaux, est infiltrée de noyaux ronds. La lésion est iufiniment plus intense su
bulbe on observe une double zone de dégénérescence, l'une autour du noyau de Goll, comprenant tout le faisceau grêle, l'a
out le faisceau grêle, l'autre en croissant autour et à distance du noyau cunéiforme. Les racines postérieures sont forte
Entre ces faisceaux on aperçoit une infiltration très régulière de noyaux ronds; ces noyaux, qui forment tantôt des lignes,
ux on aperçoit une infiltration très régulière de noyaux ronds; ces noyaux , qui forment tantôt des lignes, tantôt des amas
lus ou moins atteintes. Tantôt elles ont leurs parois infilttées de noyaux ronds qui se dis- posent en une couronne réguli
plètement violette à un faible grossissement (fig. 11). Tantôt, les noyaux s'accumulent en un ou deux points, laissant le
te de même nature que celle de la moelle; la pie-mère est farcie de noyaux ronds, disséminés enlre les faisceaux conjoncti
rêmement malades; la paroi de certaines d'entre elles, infiltrée de noyaux arrondis, offre une épaisseur considérable. Dan
aine épaissie et infiltrée, mais sans autre lésion appréciable. Les noyaux d'origine de ces différents nerfs sont absolume
complètement atrophiées et réduites à l'état d'une gaine remplie de noyaux . Quelques fibres isolées sont hypertrophiées et
ississement des fibres con- jonctives, la même infiltration par des noyaux arrondis; néan- moins les fibres conjonctives s
l'espace perforé postérieur. On voit leurs tuniques parse- mées de noyaux arrondis qui s'éparpillent en outre dans les espa
d'une méninge enflammée, mais ne sont pas autre- ment altérés. Les noyaux d'origine de tous ces nerfs sont sains. La prot
ondes ne saurait être confondue avec l'infiltration de leucocytes à noyau lobulé que l'on observe dans les méningites con
'après passage dans les deux segments internes (globus pallidus) du noyau lenticulaire qui, par suite, interrompent son t
de Reilthala- mique). ' P. Tli. - - z XXVIII. De la situation du noyau du nerf pathétique; par W. KAuscH. (Neztrolog.
ique), des tractus présidant à la réaction des pupilles ou de leurs noyaux , des fibres de transmis- sion motrices, des fai
gements tombent et la voilà à l'état de cellule nue. Puis c'est le noyau qui se liquéfie au sein du corps protoplasmique (
corps strié gauche, la protubérance et la moelle (10,8 p. 100), le noyau lenticulaire et le cervelet (6,3 p. 100), le ce
e la portion inférieure fournissent à l'avant-bras et à la main. Le noyau qui fournit aux extenseurs est en dehors et au-
répandent une coloration homogène dans tout le corps cellulaire, le noyau se colore ensuite. A un stade plus avancé, la c
stade plus avancé, la coloration du corps cellulaire disparait, îe noyau , toujours coloré, devient irrégulier dans ses con
vient lui-même irrégulier et se désagrège. A la dernière période le noyau , complètement décoloré, ne se distingue plus du
OLOGIQUES. n'est qu'indiqué. Le noyau' coloré atteint le volume des noyaux ordinaires des leucocytes, exemple ceux que l'o
des leucocytes, exemple ceux que l'on rencontre dans la couche des noyaux du cervelet : Type CI. , Cellules de la couche
couche nucléaire, presque au niveau des cellules de Purkinje. y. Noyaux du bulbe olfactif (renflement olfactif). b. Cel
enflement olfactif). b. Cellules nerveuses kàryochromes. - Cellules noyaux . Le corps cellulaire n'est qu'indiqué. Le noyau
cellulaire n'est qu'indiqué. Le noyau'coloré atteint le volume des noyaux des cellules nerveuses, volume toujours supérieur
oyaux des cellules nerveuses, volume toujours supérieur à celui des noyaux de la névroglie, exemple les cellules de la subst
à corps cellulaire. Le corps de la cellule entoure complètement le noyau de la cellule et possède un contour net. a. A
llules des ganglions spinaux : mais nous savons que les cellules du noyau de la racine descendante du trijumeau ont la mê
des modifications dans la répartition de la ' matière colorante. Le noyau et les nucléoles traités par le bleu de méthylè
; il renferme deux foyers de dégénéres- cence : l'un, gros comme un noyau de prune, dans la substance blan- che ; l'autre
faisceaux du pont. Un des foyers de ramollissement s'étend jusqu'au noyau de l'oculo-moteur commun. L'auteur pense que le
r par la rupture des voies d'associa- tion entre le cervelet et les noyaux des muscles des yeux. M. VERNICâE, est d'avis d
e ren- contrent à l'état normal, on voyait les parties entourant le noyau présenter un aspect terne. Dans les stades plus
ésion, au lieu de se limiter à la partie de la cellule entourant le noyau , s'étendait aux régions périphériques, et certa
se présentaient sous la forme de corps polygonaux ou arrondis. Le noyau n'avait plus sa situation centrale, mais avait ga
le. Les lésions maxima siègent au niveau de la partie antérieure du noyau de l'oculo-moteur com- mun. Des foyers hémorrag
moteur oculaire commun droit. Des coupes en série de la région des noyaux du pathétique et du nerf moteur oculaire montrè
et du nerf moteur oculaire montrèrent l'intégrité des fibres et du noyau du pathétique et la dégénérescence des noyaux,
ité des fibres et du noyau du pathétique et la dégénérescence des noyaux , des nerfs de la troisième paire, plus accentuée
a troisième paire, plus accentuée au niveau 492 BIBLIOGRAPHIE. du noyau du côté droit. Les fibres émanées de ce dernier s
res émanées de ce dernier sont t complètement atrophiées; celles du noyau gauche sont saines. L'examen de la moelle a rév
s idiots, par Bourneville et Boyer, 108. Pathétique. Situation du noyau du nerf -, par Kaush, 385. Pathologie. Fragme
38 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u1 'longitudinal' postérieur f'seraitfen'i rapport évident avec les noyaux de l'hypoglosse, du facial, «de l'oculo-moteur
ne postérieure; , , 1 Il .41 , .1 J . 1`itI Il ? 3° Les cellules du noyau de Slilling ou colonne de Clarke sont -munies;
1('¡ ? ¡ j;.n 1-1d"I'C)11'1¡' 11/'1.' .'1 .¡ ? 1. ,.j abondante des noyaux du sarcolemne et de la substance contractile, c
Beil' (HoUor) '; intégrité' du faisceau pyramidal ! Destruction du noyau du facial et de l'oculo-mô- ' leur externe, des
. hitégritéile l'oculo-dioteur commun : ' La partie supérieure' du' noyau - dé'la cinquième' paire a."disparu; ses racine
,é,flexé., Ces, dérniers,ont des rapports "éj ? Jcqn ! 1us'[lvee le noyau » deTabducens,1 par le faisceau trâns- yerse' 4u
stic porté : fut : tumeur, de'la, moelle allongée;» destruction [du noyau de l'abducens gauchelet de son'anastomose avec
trouve une(tumeur delà' grosseur' d'unernoi- setté' eirf avaÍlt dû' noyau de l'abducens, parmi les fibres verti- cales 1
s, fibres verkicalés,sous-épendymaires,'et3leurrfaisait gagner ? le noyau même de la' troisième )paire, Ces fibresohlique
ure ;Mesa muscles infiltrés,de granulations c,,raisseuses 1 et4 dei noyaux deb hypergenèsel La' sÙbstanee 'fp,'ise r desJé
7\g ? TL'f ? d'nf'/f' l ? J,a cylindres-axes qui en émanent, sur le noyau d origine du facial, et'dans n"1"'fi'res"'d""1"
professeur Meynert. De nouvelles manières, de- voir, ont refusé au noyau ^lenticulaire toute,(.i)11portance1,jmmédiate pou
i >'1' » SOCIÉTÉS SAVANTES. 147 seaux' de fibres, qui issus du noyau lenticulaire, vont se confondre avec la capsule
lésion de la capsule, interne, ne détruise à jamais des éléments du noyau lenti- 'culaire. Le, noyau lenticulaire command
ne, ne détruise à jamais des éléments du noyau lenti- 'culaire. Le, noyau lenticulaire commande par,là aux mouvements du
pparence normale, possédant dans chaque segment interannulaire un noyau no -- hypertrophié et traversées par des incisure
nies en faisceaux serrés, légèrement ondulés, de couleur sépia. Les noyaux , assez nombreux, sont peu colorés. Les racine
tte myéline est irrégulière, bossuée, fragmentée en gros blocs. Les noyaux des segments sont en général volumineux. Çà et
des isolées ou réunies en minces faisceaux, pàles et renfermant des noyaux nombreux assez fortement colorés par le carmin.
ées sont peu nombreuses et présentent des varicosités remplies de noyaux proliférés et de masses de protoplasma finement
tait les éléments suivants : cellules et fibres nerveuses ; fibres, noyaux et cellules de la névroglie ; vaisseaux, cristaux
ur de quatre-vingt-dix à cent micro millimètres. Dans ces cas, le noyau et le nucléole conservaient leur forme et leur po
frent pas de trace de pigmentation normale du protoplasma; quant au noyau et au nucléole, ils conservent encore leurs car
d'hypertrophie ci-dessus mentionné et, au contraire, on voit que le noyau prend également part à la tuméfaction généralis
périphérique se colorant d'une façon homogène par les réactifs. Le noyau ainsi hypertrophié présente alors de trenlc à t
uivis que sur quarante à quarante-six micro-millimètres au plus. Le noyau , dans ces cellules ainsi hypertrophiées, conser
s le verre, on peut constater facilement la position excentrique du noyau et l'aspect vitreux de la cellule. La dernière
rites par nous [Phosphore, 1880), et par Popoff [Arsenic, 1882). Le noyau des cellules ainsi vacuolisées ou bien était re
igine des prolongements, soixante à soixante-six micro-millimètres; noyau , de dix-huit à trente-six micro-mil- limètres.
. Hémisphère gauche, même région ; corps, quarante à quarante-cinq; noyau , six à neuf. On voit donc que la diffé- rence e
ce qui touche leurs parois, sont les suivantes : tumé- faction des noyaux au point de fermer la lumière du capillaire ' d
umière du capillaire ' dans certaines parties; prolifération de ces noyaux , que nous avons pu parfaitement constater sur d
te altération des parois se présente sous forme de gonfle- ment des noyaux longitudinaux et transversaux des tuniques. On
constant. Certains vais- seaux ne présentent qu'une tuméfaction des noyaux , sans alté- ration visible de leur lumière; d'a
r lumière; d'autres, au contraire, présentent une prolifération des noyaux très abondante (de sorte que les parois paraiss
es granulations qui paraissaient consister dans l'agglomération des noyaux de la gaine lymphatique. Ces granulations se re
sies, ou qui sont atteints de tuméfaction et de prolifération des noyaux des tuniques. Ces espaces ne contenaient que des
ntenaient que des glo- bules rouges et des leucocytes. En outre des noyaux de la né- vroglie, qu'on pouvait reconnaître à
titielle très prononcée, mais sans prolifération ni tuméfaction des noyaux de leurs tuniques. Les cylindres-axes présentai
es au même grossissement, nous avons pu cons- tater la présence des noyaux de la névroglie, plus nom- breux au voisinage d
des vaisseaux de calibre et des capillaires (PL. III, fig. 4). Ces noyaux , disposés par groupes suivant la di- rection de
ononcées. Ainsi, souvent, une cellule vacuolisée et ayant perdu son noyau et ses prolonge- ments, présentait une véritabl
véritable ceinture formée par un capil- laire avec tuméfaction des noyaux de sa paroi, tandis qu'au' contraire les cellul
ient alors qu'une tuméfaction trouble, avec ou sans conservation du noyau et du nucléole'. Nous avons aussi pu voir, qu'a
e ca- libre, ne présentent qu'une tuméfaction peu appréciable des noyaux des parois, sans prolifération' ou division.' Les
e trouvent les altérations des parois vasculaires, avec présence de noyaux libres dans la trame de la névroglie ' ')' 1
ondément altérés dans la structure de leurs parois (tuméfaction des noyaux des tuniques, leur proli- fération, présence de
faction des noyaux des tuniques, leur proli- fération, présence des noyaux libres des parois de la gaîne lymphatique dans
ction de la cellule, avec altéra- tions atrophiques consécutives du noyau et du protoplasma. Considérant la ressemblance
ltiple Herdsclerose der Centralnerven Systems), il s'agit de petits noyaux d'endurcissement trouvés sur les circonvolutions
n'y constate pas la présence de cellules nerveuses, tandis que les noyaux de la névroglie s'y montrent en grand nombre. C
is que les noyaux de la névroglie s'y montrent en grand nombre. Ces noyaux se trouvent aussi abondamment autour des vaisse
damment autour des vaisseaux qui contiennent une grande quantité de noyaux ronds dans les espaces lymphatiques périvascula
onsidérablement hypertrophiés (cinquante-six miçro-millimètres avec noyaux de cinq à six micro-millimètres) qu'il nomme :
axes hypertrophiés, avec leur division consécutive et formation des noyaux et nucléoles dans ces parties hyper- trophiées.
- qués par cet auteur; en outre, la présence de deux ou plusieurs noyaux dans une cellule nerveuse des centres, dans cer-
ent, ils ont trouvé des corps analogues aux cellules avec plusieurs noyaux , hypertrophie des cylindres-axes, avec formatio
usieurs noyaux, hypertrophie des cylindres-axes, avec formation des noyaux dans leur inté- rieur et formations d'étranglem
nglements et vascularisation très abondante avec multiplication des noyaux des tuniques. En admettant avec Klebs (loc. cit
ion de la lésion. Tuméfaction du corps au début, sans altération du noyau et du nucléole. (Verick. 317.) Fig. 2. Cellul
g. 2. Cellule de la même région, tuméfaction plus prononcée, in- le noyau et le nucléole, et se propageant sur les prolonge
on d'une cellule pyramidale prise du fond du sillon, Déplacement du noyau à la périphérie, atrophie des prolongements forte
min. Tuméfaction des cellules à divers degrés avec conservation des noyaux dans leur protoplasma. Les noyaux sont particuliè
vers degrés avec conservation des noyaux dans leur protoplasma. Les noyaux sont particulièrement nom- breux au voisinage d
résentent pas d'altérations ni du corps ni des prolongements, ni du noyau . Coloration par le carmin. (Verick, 3/7.) Fig
méfaction des cellules à divers degrés, avec ou sans déplacement du noyau . Le centre est occupé par une grande cel- lule
même temps avec atrophie ries prolonge- ments. Les vaisseaux et les noyaux libres de la névroglie sont peu nom- breux. (Ve
es cellules parenchymateuses ont presque entièrement disparu. Les noyaux moins résistants se composent d'un réticulum lâch
de l'artérite de Heubner, de la dégénérescence sléalopigmentaire du noyau de l'oculo-moteur commun, de la dégénérescence de
tié postérieure de la capsule interne entre la couche optique et le noyau lenticulaire ; en divisant la moitié postérieur
n centimètre et demi plus haut que la précédente et tra- versant le noyau caudé. Les corps granuleux qui ne se trou- vaie
une région voisine de la partie postérieure de la limite externe du noyau caudé, vis-à-vis des circonvolutions centrales.
ains endroits on pouvait remarquer une aug- mentation du nombre des noyaux musculaires; dans d'autres fibres le sarcolemme
autres fibres le sarcolemme était rempli d'une grande quantité de noyaux , sans trace de substance contractile. Partout d'a
, et semblaient privées de prolongements; dans quelques autres le noyau n'était pas visible, ou ne l'était qu'à peine ; e
était de même tout à fait indemne ; les cellules qui constituent le noyau du nerf hypo- glosse semblaient elles-mêmes êtr
côté et le deuxième et en partie le troisième (externe) segment du noyau lenticulaire de l'autre. En mon- tant, ils tour
ent du noyau lenticulaire de l'autre. En mon- tant, ils tournent le noyau caudé dans son tiers postérieur; puis, divergea
vius. lits., Insula de Ileil. V. 1., Ventricule latéral. N. c.. Noyau caudé. N. I., Noyau lenticulaire. C. opt., Co
de Ileil. V. 1., Ventricule latéral. N. c.. Noyau caudé. N. I., Noyau lenticulaire. C. opt., Couche optique. Sp. c.
orizontal de la scissure de Sylvius. C. c., Corps calleux. N. c., Noyau caudé. X, Place où ont été trouvés les corps gr
Insula de Reil. L. t., Lobe temporal. A. m., Avant-mur. N. 1., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt.,
optique. C. in., Capsule interne. C. c., Corps calleux. N. c., Noyau caudé. X, Direction des faisceaux pyramidaux in
gue au suc cancéreux et présentent de grosses cellules avec de gros noyaux à nucléocles comme les cellules cancéreuses. On
onctive. Dans les tumeurs des reins, on trouve un grand nombre de noyaux conjonctifs en général peu difformes. Les canalic
rées de graisse. La tumeur du foie est constituée surtout par des noyaux conjonc- tifs peu altérés dans leur forme et ré
tiques (contribution à l'étude des), par Pitres et Vaillard, 180. Noyau lenticulaire, 146. Olfactif (tractus), 96. Op
on do la lésion. Tuméfaction du corps au début, sans altération rlu noyau et du nucléole. (Vericlc. 3/7.) Fig. 2. Cellu
ule de la même région, tuméfaction plus prononcée, in- téressant le noyau et le nucléole, et se propageant sur les prolonge
on d'une cellule pyramidale prise du fond du sillon, Déplacement du noyau à la périphérie, atrophie des prolongements forte
min. Tuméfaction des cellules à divers degrés avec conservation des noyaux dans leur protoplasma. Les noyaux sont particuliè
vers degrés avec conservation des noyaux dans leur protoplasma. Les noyaux sont particulièrement nom- breux au voisinage d
résentent pas d'altérations ni du corps ni des prolongements, ni du noyau . Coloration par le carmin. (Verick, 3/7.) Fig
méfaction des cellules à divers degrés, avec ou sans déplacement du noyau . Le centre est occupé par une grande cel- lule
même temps avec atrophie des prolonge- ments. Les vaisseaux et les noyaux libres (le la névroglie sont peu nom- breux. (V
ius. Ins., lusula de Ileil. ' V. l., Ventricule latéral. N. c., Noyau caudé. N. t., Noyau lenticulaire. C. opt., Co
Ileil. ' V. l., Ventricule latéral. N. c., Noyau caudé. N. t., Noyau lenticulaire. C. opt., Couche optique. Sp. c.
orizontal de la scissure de Sylvius. C. c., Corps calleux. N. c., Noyau caudé. X, Place où ont été trouvés les corps gr
de Ileil. L. t., Lobe temporal. A. 1/t., Avant-mur. , . N. I., Noyau lenticulaire. C. A., Corne d'Ammon. C. opt.,
tique. C. in., Capsule interne. ( : . c., Corps calleux. N. c., Noyau caudé. X, Direction des laisceaux pyramidaux in
39 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ormation en corps opaques finement granuleux avec con- servation du noyau , mais modification des réactions colo- rantes,
air, plus réfringent, moins granuleux, tuméfaction oedémateuse du noyau qui prend un aspect bosselé. Dans les faits de ce
sociée au tabès, les altéra- tions cérébrales pouvant s'étendre aux noyaux encéphaliques et bulbaires correspondants. (Bri
calleux, la partie postérieure du tha- lamus opticus et la queue du noyau caudé. La convexité du lobe occipital et du lob
é- rieur droit dans les pyramides; un foyer ancien, gros comme un noyau de cerise, dans la capsule interne droite; une dé
ouvements volontaires de la face et à la mimique. D'autre part, les noyaux cérébraux sous-corti- .eaux sont le foyer de ce
pyramidale ou triangulaire et possédant '112 CLINIQUE MENTALE. un noyau à contours nets; elles ont des formes rondes ou
s autres, de gros volume; elles entourent souvent complètement le noyau , d'autres fois elles laissent libre un espace com
égénérescence hyaline avec perte des granulations chromatiques. Les noyaux sont eux-mêmes atro- phiés, à bords irréguliers
t la leptoméningite spinale. Sharkey observa la prolifération des noyaux des cellules dans la substance grise en général
eau de Goll. Les fibres dégénérées pénètrent à toutes directions le noyau du {uniculus cyzracilis. - Au même niveau les f
dégénérées se rencontrent dans le fzczziculzcs cuneatus et dans son noyau et bien moins dans d'autres systèmes conducteur
plus souvent sont, par ordre de fréquence : le segment extérieur du noyau lenticulaire, les deux autres segments de ce mê
xtérieur du noyau lenticulaire, les deux autres segments de ce même noyau , puis le noyau caudé, et enfin la couche op- ti
au lenticulaire, les deux autres segments de ce même noyau, puis le noyau caudé, et enfin la couche op- tique. Les ventri
vieux aliénés ; il est commun aussi de trouver une augmentation des noyaux péri- cellulaires et des noyaux de la névroglie
ssi de trouver une augmentation des noyaux péri- cellulaires et des noyaux de la névroglie; mais l'altération la plus frap
stituent le vaisseau se fondent, prennent un aspect homogène et les noyaux cellulaires disparaissent; le cordon vasculaire
s DE la protubérance et DU pédoncule cérébral, ET EN particulier DU noyau DE L'OCULO-110- TEUR commun ; par S. SHIMAMURA.
2° aux pédoncules cérébelleux supérieurs, et, transversalement, aux noyaux rouges de la calotte ; 3° à la région du faisce
otte ; 3° à la région du faisceau longitudinal posté- rieur ; 4° au noyau de l'oculomoteur commun. Chaque hémisphère, dro
r ; de plus, tous les vaisseaux qui finalement se résolvent dans ce noyau en rameaux terminaux, montent presque perpendic
a base en arrière et ces vaisseaux sont des artères terminales ; le noyau de l'oculo-moteur commun ne reçoit donc son san
isseaux. Voilà trois conditions défavorables expliquant pourquoi le noyau de l'oculo-moteur commun est si fréquemment le
umeau et se dirigent en dedans pour gagner directement la région du noyau de l'oculo- moteur commun. Chez les chiens, il
ur quelques formes de cellules, de phénomènes spécifiques dans le noyau de la cellule ; c'est ce qu'on constate quand on
eux énormes caillots sansuins. Ils surnagent et ne renferment aucun noyau d'induration. Etat de congestion intense du f
capsule externe, les pédoncules, la protubérance sont normaux. Le noyau de la douzième paire est très altéré à droite; il
ième paire est très altéré à droite; il l'est très peu à gauche. Le noyau de la dixième paire (nerf vague accessoire) est
st très peu atteint, un peu plus toutefois à droite qu'à gauche. Le noyau de la neuvième paire, à droite, n'est que très lé
lètement dégénère à droite, tandis que, à gauche, dans la région du noyau de l'hypo- glosse, il n'est malade que dans ses
dernières paires. - Historiquement : dégénérescence très accusée du noyau de l'hypoglosse adroite, dégénérescence légère
accusée du noyau de l'hypoglosse adroite, dégénérescence légère des noyaux adjacents, ' dégénérescence complète du faiscea
VEUSE. 267 auteurs sont loin d'être d'accord sur la physiologie des noyaux dont il s'agit. L'auteur après une intéressante
est amené à formuler les conclusions suivantes : 10 La région du noyau de l'hypoglosse donne naissance aux fibres nerv
ets moteurs aux muscles du pharynx. Ces derniers filets naissent du noyau de l'hypoglosse, et montent le long du faisceau
l'hypoglosse, et montent le long du faisceau respiratoire jusqu'au noyau propre, d'où ils émergent avec le losso-pharynr
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. : Q81> les centres corticaux et les noyaux de la substance grise, jusqu'aux faisceaux isol
éro-interne des cellules de la corne anté- rieure ; g). Atrophie du noyau de la douzième paire. Après une discussion inté
s le bulbe on est frappé par le riche développement des cellules de noyaux arci- formes des deux côtés. Dans la moelle épi
cellules nerveuses que dans la colonne correspon- dante droite. Les noyaux cellulaires sont difficiles à distinguer; les p
; son endothélium est très gonflé; quelques cellules ont perdu leur noyau . Dans la tunique moyenne et dans l'adventice on
me de diarrhée chez les tabétiques, la rattache à une irritation du noyau du nerf vague dans la moelle, et Bevan Lewis attr
uence : elle est produite par une propagation de l'irri- tation des noyaux médullaires, donnant lieu à une inflammation et
mmunique avec les ventricules latéraux. Ependymite aiguë gagnant le noyau caudé. Myocardite parenchymateuse. OEdème pulmo
e l'ocu- lomoteur droit qui a détruit les cellules et les fibres du noyau de 374 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
la capsule, viennent dans le lobe frontal, et les faisceaux que le noyau lenticulaire jette dans la calotte du pédoncule
en effet, les deux systèmes de fibres suivent l'arc d'inflexion du noyau caudé. La couche interne s'étend dans la corne
ieur. La région placée directement au-dessous de l'arc de cercle du noyau caudé est le point de concours de toutes les fi
oral et occipital ; de là elles se dirigent en commun en arrière du noyau caudé. Le plus fort trousseau commun se trouve
les côtes, la couche des fibres s'étale en s'amm- cissant jusqu'au noyau caudé; il en est de même, au milieu, jus- qu'au
lveus). On constate aussi, le long de la face dorsale et médiane du noyau caudé, l'existence d'une mince bordure de fibre
une mince bordure de fibres qui fournissent continuellement dans le noyau même des éléments, plus épais et plus sombres q
système d'association unissant entre elles les diverses régions du noyau caudé. Le faisceau subcalleux entoure la tête d
s régions du noyau caudé. Le faisceau subcalleux entoure la tête du noyau caudé à la base duquel il se termine gra- duell
suivre des fibres de conjonction à la pointe du lobe tem- poral, au noyau amygdalien, au pédoncule antérieur de la glande
concerne l'oeil, liés à la sensation même. Ne connaît-on pas les noyaux spéciaux qui commandent à l'accommodation et aux
us engendrerez des mouvements du pavillon de l'oreille. De même les noyaux mo- teurs de la moelle sont disposés non suivan
nts de celles-ci dans les cordons postérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux nerveux du nerf optique sont
dans les cordons postérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux nerveux du nerf optique sont comparables au noy
noyau grêle. Les noyaux nerveux du nerf optique sont comparables au noyau grêle, ou encore aux cellules de la moelle auto
de la moelle sont l'homologue des nerfs optique et acuus- tique. Le noyau grêle et les cellules nerveuses de la base de la
d'une tumeur dans la région protubérantielle qui donne naissance au noyau du facial et de l'oculomoteur externe. Autopsie
ueduc de Sylvius le calames sCI'ipto1'ius et totalement détruit les noyaux du pneumogastrique et du ¡ : ! Iosso-pharyngiell,
nt détruit les mêmes organes à droite, et s'étant infiltré dans des noyaux gauches de l'hypoglosse et de l'acoustique ains
zones basales de la couche optique notamment le globule pallidus du noyau lenticulaire. P. K. L. La SUCCESSION DES éche
ans le lobule pariétal intérieur (supramarginal) ; un kyste dans le noyau lenticulaire ; enfin un foyer de ramollissement
de ramollissement, en strie de uucen- timèlre de Ions au milieu du noyau caudé. 11. Kaiser attribue à cette dernière lés
ser attribue à cette dernière lésion le trouble vaso-moteur, et, au noyau caudé la fonction vaso-motrice croisée. P. K.
omatiques d'affections labyrinthiques, surtout nucléaires. Tous les noyaux oculomoteurs peuvent ainsi se trouver pris par
btenir de bonnes coupes à la celloïdine et le microscope montre des noyaux bien colorés. Voici au sur- plus la technique.
tement décoloré. Les cellules nerveuses sont très distinctes, leurs noyaux sont très nets. P. K. LXVII. Structure normale
ues ; ayant une paroi à double contour qui contient deux espèces de noyaux , ronds et ovales, et se compose d'une tunique i
x ont un diamètre de 1 p. 4. A la tunique interne appartiennent les noyaux elliptiques; à la tunique externe les noyaux ro
erne appartiennent les noyaux elliptiques; à la tunique externe les noyaux ronds. Sur une distance de 120 de ces capil- la
s. Sur une distance de 120 de ces capil- laires on compte un à deux noyaux longs et un noyau rond; si le capillaire a un d
de 120 de ces capil- laires on compte un à deux noyaux longs et un noyau rond; si le capillaire a un diamètre de 4 à 5 ?
e a un diamètre de 4 à 5 ? on compte, pour la même longueur, quatre noyaux longs, deux noyaux ronds. Suit une revue des lé
4 à 5 ? on compte, pour la même longueur, quatre noyaux longs, deux noyaux ronds. Suit une revue des lésions pathologiques
1892 que les fibres du Ilaciiit ? rt : : veii ' connexion avec les noyaux interne, externe et accessoire du nerf auditif
faisceau de Stcherbak ne serait pas flocculaire, mais viendrait du noyau du toit. Le flocculus serait donc un important an
u noyau du toit. Le flocculus serait donc un important annexe des noyaux des racines vestibulaires, cochléaires et accesso
roit. On constata que les cellules pla- cées sur le prolongement du noyau de la troisième paire étaient intactes, tandis
u noyau de la troisième paire étaient intactes, tandis que les deux noyaux des nerfs oculomoteurs étaient dégénérés dans l
ur les détails de sa struc- ture en parlant de ses lésions) et d'un noyau . La forme, l'as- pect, les différences relative
résenter des lésions, celle qui constitue le centre cellulaire, son noyau et un tronçon du prolongement neural aussi bien
e la moelle; quelquefois il remonte jusqu'au au bulbe au niveau des noyaux des cordons de Coll et de Burdach. Toutes ces c
nne de Clarke, des différentes zones de la corne postérieure, des noyaux bulbaires. De ces points d'autres neurones condui
l'extrémité périphérique, c'est-à-dire au niveau du bulbe dans les noyaux grêles, cunéiformes, etc., dans les neurones de
ème moteur. Supposons d'abord la lésion primitive d'un neurone du noyau bulbaire des cordons postérieurs. Ce neurone qui
J'ai démontré l'union du tubercule quadrijumeau postérieur avec mon noyau réticulaire de la calotte protubérantielle au moy
éral descen- dent en arrière du ruban de Reil proprement dit. Or ce noyau est en étroite relation, par un trousseau verti
les fibres de la racine postérieure de l'acoustique se terminent au noyau acoustique antérieur, au tubercule acoustique, au
elles ^touchent les cellules originelles des systèmes descendants ( noyaux des nerfs de l'oeil, cordons antérieurs de la i
s du corps trapézoïde, part un gros trousseau de fibres qui vont au noyau de l'oculomoteur externe du côté opposé. Monako
fines granulations, suivie d'une atrophie homogène progressive du noyau . Quelquefois il y a tuméfaction uniforme des cell
ntérieur ou ventral du pédoncule cérébral et est antérieure au gros noyau pédonculaire. L'homologue de la commissure de M
ure,se terminent dans une grosse nodosité grise située en dehors du noyau du pathétique; cette nodo- sité reçoit aussi de
du noyau du pathétique; cette nodo- sité reçoit aussi des fibres du noyau du pathétique voisin, ainsi que du faisceau lon
bulbe duquel, d'autre part, beaucoup de fibres vont passer dans les noyaux des nerfs moteurs de ici ! . Il se pourrait que
fibres du corps resti- forme. Peut-être même celui-ci donne-t-il au noyau du cordon latéral ? Il est impossible de se pro
a portion latérale du corps res- tiforme, se rendent à la région du noyau du cordon latéral. Et la section du corps resti
es moyennes. Les premières passent tout à fait en arrière, sous les noyaux gris du ventricule et entrent dans le faisceau
amidal), les courants électriques de force moyenne appliqués sur le noyau caudé ne produisent plus d'effet moteur, alors
40 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ent dans le cours d'une poliomyélite antérieure, dé- notent que les noyaux gris bulbaires ou protubérantiels ont été envahis
e époque de leur formation embryonnaire, nommément dans l'époque de noyaux . La mem- brane qui couvre en arrière les corps
racine descen- dante du nerf trijumeau n'est pas encore marquée. Le noyau du faisceau de Goll et celui de Burdach sont ma
supérieure ; les libres arciformes externes et antérieures avec le noyau arciforme ne sont pas développées, ainsi que les
re externe du facial, de l'autre les racines du nerf acoustique, le noyau accessoire et lenoyau de Deiters. La racine spina
très élargi et à la partie latérale du toit le reste très petit des noyaux dentelés (Pt.VHI, L). Quanta l'axe cérébro-spinal
n ; il est ici très élargi et déformé. En dehors nous observons les noyaux des éminences antérieures des tubercules quadri
faisceau longitu- dinal postérieur qui viennent en contact avec les noyaux du nerf de la 3° paire et les fibres radiculair
e et les fibres radiculaires du nerf oculo-moteur commun. Quant aux noyaux rouges, ils ne sont presque pas développés ; en d
tives. Plus haut, au niveau du 3e ventricule,' nous voyons tous les noyaux de la couche optique et le noyau lenticulaire pre
ventricule,' nous voyons tous les noyaux de la couche optique et le noyau lenticulaire pres- que non développés. Nous.
glions cérébraux centraux (le pulvinar, les corps genouillés et les noyaux de la couche optique man- quent de même que les
illés et les noyaux de la couche optique man- quent de même que les noyaux lenticulaires) ; 4° l'absence de voies pyramida
ceau de Gowers, des fibres arciformes externes et antérieures et du noyau arciforme, de même que des libres arciformes ex
ncules cérébelleux supérieurs ne sont pas développés, ainsi que les noyaux rouges. L'absence des voies pyramidales s'expli
érieure, les stries arciformes de fibres myéliniques rappellent les noyaux du faisceau de Goll et du faisceau de Burdach.
dition située au-dessus et s'élargissent par la périphérie comme le noyau de Burdach. Si nous montons encore plus haut, a
parfaitement normale. Dans la partie postérieure, nous trouvons le noyau de Goll duquel s'écartent les fibres entrecrois
riphérie de la formation sup- plémentaire passe maintenant dans les noyaux de Goll et de Bur- dach ; nous trouvons encore
ntaire. La partie antérieure de la moelle n'a pas changé. Au-dessus noyaux de Goll et de Burdach, entre- croisement du rnb
re et l'absence du système qui s'y termine immédiatement,avec leurs noyaux . Par exemple, le manque des hémisphères et des co
nce des pyramides et de la couche du ruban de Reil qui provient des noyaux du cordon postérieur et se termine dans les couch
stitués par des cylindres-axes descendants et ascendants avec leurs noyaux . Ainsi manquent les fibres arciformes exter- L'
er- L'UYDROCÈPUALIE ET l'hydromyélie 47 nes et antérieures et les noyaux arciformes, les fibres arcifurmes internes et l
r et moyen ainsi que les pédoncules cérébelleux inférieurs avec les noyaux rouges. La cause de toutes les difformités que
nes ; justement la tunique externe est épaissie, la quantité de ses noyaux est augmentée, la tunique interne est aussi épa
lésions de chroma- tolyse partielle ou totale englobant parfois le noyau ; d'autres, en assez grand nombre, sont manifest
e nécrose de coagulation. Dans ces segments de fibre musculaire les noyaux du sarcoplasme se sont multipliés. Autour de ces
e myéline réduite en boules inégales; elles sont parcourues par des noyaux de multiplication du protoplasma sous-jacent à
ne grande utilité. Les altérations de prolongements cellulaires, du noyau , la dégéné- rescence se voient parfaitement bie
, les cellules motrices paraissent absolument normales quant à leur noyau , leurs pro- longements et leurs affinités color
ons trouvé de lésions ni dans leurs faisceaux blancs, ni dans leurs noyaux gris. il) Le cerveau, enfin, ne montre que des
f. C'est le nerf cochléaire, aboutissant dans la protubérance à des noyaux primaires (noyau antérieur, tubercule acousti-
ochléaire, aboutissant dans la protubérance à des noyaux primaires ( noyau antérieur, tubercule acousti- 136 PIERRE BONNIE
ongements de la tète des cornes postérieu- res de la moelle. De ces noyaux partent les impressions qui, soit directe- ment
écoce, aboutissant, sous le plancher du quatrième ventricule, à des noyaux (n. interne ou triangulaire, n. de BechtIJre1V, e
sont les prolongements de la base des cornes postérieures . De ces noyaux partent les impressions qui vont d'une part ver
yrinthiques bulbo-protubél';1l1ticls des fibres unissant cer- tains noyaux labyrinthiques primaires, prolongeant les cornes
oelle. LE TABES LABYRINTHIQUE 137 Certaines de ces fibres vont au noyau du facial. Certaines autres s'élèvent du noyau
e ces fibres vont au noyau du facial. Certaines autres s'élèvent du noyau interne et du noyau de Deiters vers le noyau de l
noyau du facial. Certaines autres s'élèvent du noyau interne et du noyau de Deiters vers le noyau de la sixième paire du
es autres s'élèvent du noyau interne et du noyau de Deiters vers le noyau de la sixième paire du même côté (noyau oculo-m
du noyau de Deiters vers le noyau de la sixième paire du même côté ( noyau oculo-moteur externe) et vers les noyaux de la tr
sixième paire du même côté (noyau oculo-moteur externe) et vers les noyaux de la troi- sième paire du côté opposé. Il est
e remarque dont il im- porte ici de tenir le plus grand compte. Les noyaux primaires de la protu- bérance et du bulbe auxq
la plupart des faisceaux du nerf vestibulaire au voisinage des gros noyaux postérieurs. Ces faisceaux étaient transformés en
urs. Ces faisceaux étaient transformés en tissu conjonctif riche en noyaux . La sclérose y était donc apparente dans les ra
s pouvons reconnaître que,depuis la périphérie papillaire jusqu'aux noyaux bulbo-protubérantiels, tous les points du proto
e considérer comme la réaction propre de certaines parties du vaste noyau interne, et toujours le vertige résulte d'une i
oyau interne, et toujours le vertige résulte d'une irritation de ce noyau , qu'elle provienne d'une excitation périphériqu
ion internucléaire partant de tout autre point de l'or- ganisme. Ce noyau peut et doit toujours être mis en cause dans tout
ertige ne peut s'expliquer sans lui, pas plus que la nausée sans le noyau glossopharyngien, l'anxiété, la palpitation, l'
glossopharyngien, l'anxiété, la palpitation, l'asthme, etc. sans le noyau pneumogastrique. Je n'y insisterai pas da- vant
isterai pas da- vantage. Si l'on applique les lois de Pflü3er aux noyaux gris de la moelle allon- 154 PIERRE BONNIER g
central pourra, par irradiation, éveiller des symp- tômes dans des noyaux voisins, unis aux noyaux de la 8e paire par des
diation, éveiller des symp- tômes dans des noyaux voisins, unis aux noyaux de la 8e paire par des faisceaux commissuraux,
aux noyaux de la 8e paire par des faisceaux commissuraux, comme les noyaux oculomoteurs, ou simplement mis avec eux en rap
s avec eux en rapport de contiguïté et môme de continuité comme les noyaux glossopharyngien et pneumogastrique étendus le lo
noyaux glossopharyngien et pneumogastrique étendus le long du vaste noyau interne. Nous comprenons ainsi que le vertige,
interne. Nous comprenons ainsi que le vertige, dû à l'irritation du noyau interne, s'accompagne de troubles visuels et oc
, dans le domaine de n'importe quel appareil, peut irradier vers le noyau interne et associer levertige à sa symptomatolo
, dans un domaine nerveux donné, pourra cheminer comme une aura, de noyau à noyau, sans éveil- ler le moindre symptôme da
n domaine nerveux donné, pourra cheminer comme une aura, de noyau à noyau , sans éveil- ler le moindre symptôme dans les u
uns, faisant au contraire éclater la réac- tion propre à tel autre noyau particulièrement susceptible. Le noyau même pri
éac- tion propre à tel autre noyau particulièrement susceptible. Le noyau même primitivement intéressé peut rester silenc
parle naïade, et même (Dieulafoy) d'une colique hépatique dont les noyaux sensitifs du pneu- mogastrique n'auront rien' d
ment, c'est-à-dire par un réflexe oculomoteur irradié à son tour des noyaux du vertige. Chez l'enfant ne voyons-nous pas le
ou tronc vesti- bulaire, des fibres intrabulbaires de ce tronc, des noyaux étalés sous le plancher du quatrième ventricule
c, des noyaux étalés sous le plancher du quatrième ventricule ; ces noyaux peuvent être irrités primi- tivement, soit par
re est toujours due aux lésions de l'appareil ampullaire, ou de ses noyaux et conducteurs ; car ce signe apparaît presque co
s les plus attendues. Mais, c'est surtout par ses rapports avec les noyaux oculomoteurs que l'appareil labyrinthique revêt
ité des cas, aux affections labyrinthiques, tabétiques ou non. Le noyau oculomoteur le plus directement en rapport avec l
eil labyrinthique est celui de la sixième paire. La paralysie de ce noyau et la diplopie qui en résulte, ne sont pas bien
u nucléaire peut dépasser 1'.il)ducens et aller fondre sur d'autres noyaux plus haut placés, enjambant certains d'entre eu
à un trouble de l'ac- commodation et résultera de l'irritation des noyaux les plus élevés de la LE TABES LABYRINTHIQUE 16
oyons donc une irritation labyrinthique, sans symptômes du côté des noyaux ampullaires eux-mêmes, sans trouble de la sixième
e, ni de la quatrième, enjamber, dans son irradiation, la série des noyaux de la troisième paire et épuiser tout son effor
troisième paire et épuiser tout son effort sur le plus élevé de ces noyaux , celui de l'accommodation à la distance, et le
e petite.lésion, artérite ou gomme, avait pu touchera la fois et le noyau du releveur palpébral droit (ptosis) et le rame
difficile d'admettre une lésion artérielle intéressant à la fois le noyau palpébral, le filet anastomotique de l'adducteur
, le filet anastomotique de l'adducteur à l'abducteur opposé et les noyaux ampullaires sans toucher aux noyaux des muscles o
eur à l'abducteur opposé et les noyaux ampullaires sans toucher aux noyaux des muscles obliques, des droits supérieur et i
assez fré- quemment dans la syphilis des centres, et irradiant dès noyaux du nerf ampullaire vers l'abducteur du même côt
iques d'affec- tions labyrinthiques, surtout nucléaires. Tous les noyaux oculomoteurs, à l'exception peut-être de ceux des
eur est de 15 millimètres. Il siège dans la zone la plus externe du noyau lenticulaire, au niveau de l'extrémité supérieure
s et quelques-uns de ceux-ci sont changés de forme et de volume. Le noyau et le nucléole sont beaucoup moins atteints. Da
progressive de la substance chromatique du proloplas- ma. Quant au noyau et au nucléole, ilsiont atrophiés dans ces cellul
s se co- lorent bien par les réactifs, sont de volume normal ; leur noyau , leur nu- cléole sont bien visibles ; ce sont e
t formant des amas jaunâtres, tantôt déposés en croissant autour du noyau , tantôt l'entourant d'un cercle, tantôt réunis
fibres musculaires est conservée, il n'y a pas d'altéra- tions des noyaux . Muscles de l'éminence thénar. Les lésions sont
ration du tissu cellulaire avec augmen- tation notable du nombre de noyaux entre chaque fihre avec inliltration de quelque
artout la striation est conservée. Cette augmentation du nombre des noyaux du tissu conjonctif est des plus nettes. Musc
rent encore bien parles réactifs. Il existe un très grand nombre de noyaux entourant ces fibres en voie d'atrophie. Les va
et quelques-uns d'entre eux sont modifiés de forme et de volume. Le noyau et le nucléole de la cellule sont relativement in
lente et progressive de la substance chromatique du protoplasma. Le noyau et le nucléole sont absents. Les cellules des
réduite en boule ; 2° des fibres atro- phiées contenant beaucoup de noyaux et semblant garder encore leur cylindre-axe ; 3
ctif qui se traduit par une augmentation considérable du nombre des noyaux périfasciculaires. 2" A une seconde période le
persiste que quelques cor- puscules à la périphérie. Tendance du noyau à devenir périphérique, dans bon nombre de cellul
pathologie ; assez fréquem- ment la lésion s'étend aux cellules des noyaux antérieurs et inférieurs du bulbe, et la maladi
o-laryné (observations I, V). Parfois les lésions débutent dans ces noyaux du bulbe, restent localisées et constituent la pa
t-mur, la capsule externe sont détruits et le segment avoisinant du noyau lenticulaire est intéressé par la lésion. Dans
le s'étale un peu, et surtout en bas, elle en affleure l'écorce. Le noyau lenticulaire n'est in- téressé qu'au niveau de
de la lésion, étroit foyer qui s'éteint à l'angle inféro-externe du noyau lenticulaire. Comme nous l'avons remarqué, cett
. i. Sillon interpariétal. -- Pt. Circonvolution de passage. Put. - Noyau lenticulaire. - Q. Lobe carré. R. Scissure de lto
41 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
DE LA MOELLE CERVICALE - ATTEINTE BILATÉRALE ET SYMÉTRIQUE DES NOYAUX BULBAIRES ET MÉDULLAIRES DE LA Xi- PAIRE AVEC I
ons affaire avec une lésion parfaitement symétrique qui s'étend des noyaux bulbaires du spinal jusqu'aux derniers segments
gnostic de polyomyélite antérieure, parce que à part l'atteinte des noyaux spino- bulbaires de la XI' paire, tous les autr
a XIe paire, il est bien évident qu'en raison de la topographie des noyaux moteurs de la moelle cervicale et des noyaux mé
de la topographie des noyaux moteurs de la moelle cervicale et des noyaux médullaires du nerf spinal, le diagnostic du sièg
sa le dia- gnostic d'embolie des petits vaisseaux aux pourtours des noyaux de la XIe et de la XIIe paire. Etant donné la
avons vu qu'il existait tous les signes d'une lésion bilatérale des noyaux de la XIe paire et la malade présentait des troub
uses,un certain degré de chromatolyse,parfois l'aspect mûriforme du noyau , parfois, également, une tendance à la dégénéresc
antérieure de l'a- queduc de Sylvius, où sont situés en rangées les noyaux des nerfs oculo- moteurs communs, en empiétant
ccupent l'étage inférieur des neurones, l'étage basilaire, avec les noyaux opto- striés, la couche optique, la capsule int
tique, la capsule interne. D'autres enfin, se retrou- vent dans les noyaux moteurs de la mimique faciale, en plein bulbe. Il
que des centres nerveux. Lorsque la lésion siège uniquement sur les noyaux bulbaires, elle se manifeste, ainsi que l'a dit
tion organique produite entre les centres d'arrêt du cerveau et les noyaux des nerfs bulbaires ; or, on sait bien maintenant
e la motilité volontaire des muscles de la face; l'exci- tation des noyaux moteurs bulbaires devient alors déréglée. ils son
s. On le trouve avec des destructions étendues de la capsule et des noyaux optoto-striés (4) ; s'étendant parfois au thala
ique du rire et pleurer spasmo- tique et sur la fonction motrice du noyau lenticulaire, Revista di pathologia nervesa e m
s. Les jumeaux très dévelop- pés donnent au toucher la sensation de noyaux irréguliers, les uns très durs, les autres ramo
un anévrysme extra-thoracique de l'aorte. L'apparition de ces deux noyaux cancéreux métastatiques dans le cerveau a été t
t envahissant les ventricules latéraux qui sont comblés par de gros noyaux néoplasiques. Les parois inférieures, latérales
es phénomènes d'asphyxie et de collapsus cardiaque. Autopsie. Des noyaux cancéreux infiltrent, à gauche, le tissu cellulai
tion néo- plasique a le volume d'une petite pomme. Le centre de ces noyaux cancéreux est jaunâtre, un peu ramolli ; il est
de tissu néoplasique. La plèvre gauche épaissie, indurée, parsemée de noyaux cancéreux faisant saillie à sa surface, contien
correspondante. Le poumon droit est parsemé sur toute sa hauteur de noyaux cancéreux gros comme des petits grains de raisi
ofondeur des nodules cancéreux gros comme des grains de raisin. Les noyaux cancéreux sont très apparents sur la' portion pér
La capsule surrénale droite est volumineuse, indurée, infiltrée de noyaux cancéreux. Il existe, à gauche, deux capsules s
rarement observé. Centres nerveux. - On trouve sur la dure-mère un noyau cancéreux, ayant le diamètre d'une pièce de cin
de partie de la tumeur est en avant de la scissure de Ro- lando. Ce noyau cancéreux correspond donc au centre cortical du m
aucune autre lésion- des centres nerveux. Examen microscopique. Ce noyau métaslatique cérébral est nettement constitué p
rface et non en profondeur et conte- nant, pour la plupart, un seul noyau bien coloré. Les cellules cancéreuses sont sout
s ; on distingue seulement une masse granuleuse présentant quelques noyaux en partie détruits. Dans la zone d'extension du
s à colorer, constitués par une masse granuleuse contenant quelques noyaux morcelés et comme nécrosés. 1 On ne retrouve pa
riable ; quel- ques cellules contiennent deux, trois et même quatre noyaux . Sur certains points, on voit des cellules cyli
n raquette, à proto- plasma granuleux, contenant en général un seul noyau qui ne montre qu'exceptionnellement des figures
n occipitale sont fortement érodés et détruits partiellement par le noyau cancéreux. La couche optique est saine. En deda
partent des tractus scléreux qui s'enfoncent dans la profondeur de ce noyau cancéreux. Les contours de cette tumeur sont do
ont l'apparence de cellules sarcomateuses, d'apparence classique, à noyau bien coloré et protoplasma prenant franchement
Puis, cette tumeur se prolonge directement en haut, atteignant les noyaux gros centraux et surtout les couches optiques,
gauche. Le ventricule latéral gauche est comblé par de volumi- neux noyaux néoplasiques en choux-fleurs dont l'un a le volum
nviron. Les plexus cho- roïdes coiffent la partie supérieure de ces noyaux néoplasiques intra-ventri- culaires. A droite,
tes optiques et du chiasma, on voit l'envahissement néoplasique des noyaux gris centraux, surtout des couches optiques, les
liques, entrecroisées en tous sens, avec une quantité restreinte de noyaux cellulaires colorables. Cependant, la proportio
rolonge- ments protoplasmiques et cylindraxiles ; 3° tuméfaction du noyau qui de- vient très excentrique et fait parfois
en reste, la substance basophile présente un aspect pulvérulent; le noyau de ces cellu- les est toujours excentrique, éga
e et rien qu'à ce niveau, l'existence de ces cpllules dans certains noyaux des cornes antérieures, à côté de cellules tout à
Un second point qui retiendra notre attention est la disposition des noyaux : tout d'abord ces noyaux sont en nombre beauco
ra notre attention est la disposition des noyaux : tout d'abord ces noyaux sont en nombre beaucoup plus grand que dans un
al ; d'autre part on peut à première vue distinguer deux espèces de noyaux : les uns sont petits, arrondis, assez fortement
rf a a été le siège au début de l'affection. Les seconds sont les noyaux provenant des anciennes gaînes de Schwann (c. s
ce à de jeunes cylindraxes, le second formant par prolifération des noyaux des gaînes de Schwann, les bandes cellulaires d
ment de la striation longitudinale. Multiplication considérable des noyaux musculaires et des noyaux interstitiels. Enfi
tudinale. Multiplication considérable des noyaux musculaires et des noyaux interstitiels. Enfin ces muscles traités par la
des striations transversale puis longitudinale, multiplication des noyaux , proliféra- tion du tissu conjonctif, toutes lé
ons inflammatoires, la disposition générale du tissu conjonctif des noyaux , etc. ; 2° une coloration à l'acide osmique par
s trois points en détail. L'existence dans le tronc du sciatique de noyaux d'inflammation ne peut être rattachée à un trou
iomyélite légitime et certaine peut quelquefois atteindre aussi les noyaux des nerfs crâniens. Medin établit une distincti
i sont la conséquence de l'affection des nerfs crâniens ou de leurs noyaux , , Par conséquent, quand une de ces maladies se
onvolutions rolandiques,sur les pédoncu- les cérébraux au niveau du noyau de la lue paire, sur des coupes de la protu- bé
e la lue paire, sur des coupes de la protu- bérance intéressant les noyaux du facial et du moteur oculaire externe et sur
moteur oculaire externe et sur des coupes du bulbe pour l'étude des noyaux des quatre dernières paires de nerfs crâniens.
atre dernières paires de nerfs crâniens. Les cellules de tous ces noyaux nous ont paru absolument normales, tant en ce q
olorées à l'hématoxyline-éosine, on constate une augmen- tation des noyaux interstitiels. De plus, sur quelques préparations
sont formés pour leur plus grande partie de cellules rondes dont le noyau fortement coloré occupe presque tout le corps,
relativement considérable de fibres présentent une augmentation des noyaux du sarcolemme qui dans certains cas sont allongés
eux ou trois fois leur diamètre, offrent une prolifération de leurs noyaux qui forment à l'in- térieur de la fibre un véri
vu quelques fibres, présentant toujours une prolifération de leurs noyaux , donner naissance à trois ou quatre fibres plus p
ux, donner naissance à trois ou quatre fibres plus petites dont les noyaux étaient également prolifères. Cette division se f
rès limitée, ne dépassant pas deux ou trois fois leur diamètre, les noyaux du sarcolemme sont proliférés et occupent l'épa
s et même répandues à une certaine distance du corps cellulaire. Le noyau de ces cellules est arrondi, coloré en bleu de
e qui existe entre les fibres, allongées en grain de blé, avec leur noyau situé à une de leurs extrémités. Sur les coupes
a- tion cellulaire. Leur striation est bien visible ; le nombre des noyaux n'est pas augmenté. En revanclie, aux points
longitudinale avec disparition de la striation transversale ; leurs noyaux sont prolifères : cela est très visible sur les
surface de sec- tion de certaines fibres occupée uniquement par des noyaux , et sur des coupes longitudinales où l'on const
ts toujours très limités pour une même fibre, une prolifération des noyaux du sarcolemme avec disparition de toute striati
d'une ou plus souvent de plusieurs rangées de cellules cubiques, à noyau bien coloré. Les gouttes sarcodiques ne diffère
cellules). Les espaces péri-cellulaires sont élargis. Le nombre de noyaux qu'on y trouve d'habitude est augmenté. La subs
de cellules en araignée et un nombre plus grand que normalement de noyaux névrogliques. L'examen microscopique montre que
que la dure-mère épaissie est formée par du tissu fibreux pauvre en noyaux et très riche en fibres élastiques. Elle renfer
istinction entre les troubles de la respiration dus à une lésion du noyau du dia- phragme et des muscles intercostaux et
gme et des muscles intercostaux et ceux qui sont dus à la lésion du noyau du pneumogastrique (il est probablement plus exac
nt plus exact de parler du centre bulbaire de la respiration que du noyau du pneumogastrique). Il rapporte des observatio
pédoncules du cervelet avec l'axe cérébro-spinal d'une part et les noyaux cérébelleux d'autre part. - De ces affections
plus saisissant. Elle est la démonstration de l'ori- gine dans les noyaux du pont des pédoncules cérébelleux moyens et dans
avec l'intégrité des pédoncules cérébel- leux supérieurs et de ses noyaux d'origine, les corps dentelés, qu'on observe da
tion totale de ces pédoncules et des corps dentelés, tandis que les noyaux du pont et les pédoncules cérébelleux moyens sont
xxii 40 606 LEJONNE El' LHERWTTE bien leur origine exclusive des noyaux dentelés, ceux-ci étant aussi com- plètement dé
nt aussi com- plètement dégénérés que ces pédoncules, alors que les noyaux rouges sont t intacts, et d'autre part que la m
t petites ; certaines ont perdu leurs prolongements, certaines leur noyau ; d'autres ont un noyau et un protoplasma prena
t perdu leurs prolongements, certaines leur noyau ; d'autres ont un noyau et un protoplasma prenant malles colorants. Les
ormée en un tissu réticulé formé de fibrilles névrogliques avec des noyaux épars ; ces fibrilles parfaitement distinctes,
tre part avec le feutrage de la substance blanche de la moelle. Les noyaux sont d'habitude situés aux points d'intersection
éral la direction du vaisseau et formant un feutrage assez dense. Noyaux centraux. Les noyaux du toit à l'oeil nu ne parai
u vaisseau et formant un feutrage assez dense. Noyaux centraux. Les noyaux du toit à l'oeil nu ne paraissent pas sen- sibl
ille inégale, très pigmentées, arrondies, sans prolongements, avec un noyau difficilement décelable. 608 LEJONNE ET LHERM
fération névroglique assez intense, particulièrement abon- dante en noyaux . Noyaux dentelés accessoires. Les deux bouchons
évroglique assez intense, particulièrement abon- dante en noyaux. Noyaux dentelés accessoires. Les deux bouchons paraissen
; les fibres myéli- niques sout bien conservées, mieux que dans les noyaux du toit ; il y a peu de réaction névroglique. -
tant au point de vue des cellules que des fibres myéliniques. Les noyaux dentelés à l'oeil nu sont extrêmement petits, la
rilles uévrogliques qui s'entrecroisent en tous sens, avec quelques noyaux . Sur les confins du foyer, la névroglie a pro-
rage excessivement dense de fibrilles névrogliques avec de nombreux noyaux , colorés en rose vif Nouvelle Iconographie DE l
u du foyer les vaisseaux ne paraissent pas malades. Les fibres du noyau dentelé semblent à l'aeil nu avoir complètement d
nu avoir complètement disparu au niveau de la partie médiane de ce noyau . Celles qui persistent, sur coupe horizontale,
sité qu'elle prend dans la partie interne. A la région dorsale du noyau dentelé droit, il existe un petit foyer de démyé-
érable. 1° Segment intm-cérébelleux. - Dans la moitié inférieure du noyau dentelé, les fibres intra-ciliaires sont, nous
uivre quelques- unes formant un faisceau grêle à la face interne du noyau dentelé. Ce faisceau est en dehors des fibres v
e du noyau dentelé. Ce faisceau est en dehors des fibres venues des noyaux de Deiters et de Bechterew et allant au vermis,
bien conservées. Sur les coupes intéressant la partie supérieure du noyau dentelé, les pédon- cules cérébelleux supérieur
ut, après l'entrecroisement, les pédoncules cérébelleux supérieurs ( noyaux blancs de Stilling) sont encore très réduits, mai
n plus notable des fibres commissurables par le foyer ancien. Les noyaux rouges ont des dimensions normales ; les fibres n
; certai- nes d'entre elles sont un peu atrophiées et entourées de noyaux névrogliques abondantes ; d'ailleurs la névrogl
ée. On n'observe toujours pas de lésions vasculaires. La capsule du noyau rouge paraît à peu près normale du côté droit ;
mais très malades, ratatinées, globuleuses, sans prolongements, le noyau et le nucléole sont cependant conservés. . Le
SI 611 elles forment un réseau dans lequel on rencontre de nombreux noyaux et des cellules araignées. Les parolives inte
s et externes présentent les mêmes altérations que les olives. Le noyau m'ci/m'me est bien conservé du côté droit et donn
ane pour se recourber et aboutir au corps restiforme. A gauche le noyau arciforme est plus réduit; malgré cela on peut su
bien conservées. Natu- rellement, les grandes cellules formant les noyaux de Deiters et de Bechterew ne présentent aucune
s et de Bechterew ne présentent aucune altération appréciable. Le noyau latéral du bulbe, le faisceau latéral du bulbe so
développées et se colorent au Pal d'une manière satisfaisante. Les noyaux d'origine de ces pédoncules, aussi bien pré que
tion parallèle du corps restiforme, sans altération des nerfs ou des noyaux bulbaires. 2o Atrophie globale du cervelet, c
ntrale avec raréfaction des fibres myé- liniques. 3° Atrophie des noyaux dentelés et disparition presque complète des pé-
resque complète des pé- doatcttles cérébelleux supérieurs jusqu'aux noyaux rouges, dont les lésions sont à peine appréciab
nt les lésions sont à peine appréciables. Conservation des autres noyaux centraux du cervelet, noyaux du toit, èmboles e
appréciables. Conservation des autres noyaux centraux du cervelet, noyaux du toit, èmboles et globules; 614 si LEJONNE
iculée montre les détails histologiques du tissu néoplasique. Les noyaux névrogliques ne sont pas extrêmement nombreux ; i
rtain que le début du processus gliomateux se fit au voisi- nage du noyau de la VIe paire gauche. De là le gliome progresse
atteignant la XIe paire et bientôt amenant la paralysie de tous les noyaux bulbaires et la mort. L'évolution clinique pouv
i par là on voit des cellules à deux 634 . MARINESCO ET GOLDSTEIN noyaux . L'aspect du protoplasme des cellules acidophiles
e les cellules sont tellement nombreuses que la superpo- sition des noyaux ne permet plus de voir leur protoplasma. Les cell
les grandes sont relativement rares, mais non exceptionnelles. Leur noyau est tantôt central, tantôt périphérique. Cer- t
tapisse est régulière. On voit également des spermatocytes à grand noyau , quelquefois en forme de peloton, et situés ent
que deux espèces de cellu- les : des cellules rondes avec un grand noyau , contenant un nucléole, et des cellules sertoli
cture de la cellule, de sorte qu'on n'aperçoit plus aucune trace de noyau ou de nucléole. Le corps thyroïde montre égalem
é des follicules est en voie d'involution. L'ovule est dégénéré, le noyau est quelquefois en karyolyse, d'autres fois, il e
it plus naturel de désigner comme une forme spéciale les cas où les noyaux du bulbe ou de la protubérance sont atteints. S
e sépa- rer des autres, ce sont les cas où la maladie a atteint les noyaux du bulbe ou de la protubérance. ' Tous les au
mple depuis les segments in- férieurs de la région sacrée jusqu'aux noyaux du bulbe sans aucune inter- ruption, ne peut êt
voie d'accroissement la formation de cellules, l'organisation d'un noyau , son expulsion, le développement d'une nouvelle c
29. Bulbaires (Poliomyélite antérieure chrotzi- que. Atteinte des noyaux - el médullaires de la Xle paire avec intégrité
. Nerfs crâniens (Poliomyélite antérieure chronique. Atteinte des noyaux bulbaires ci médullaires de la XI' paire avec r
et EnnEXBERG, 372, 546, 661. antérieure chronique. Atteinte des noyaux bulbaires el médullaires de la Xle paire avec i
nique de la moelle cervicale. Atteinte bilatérale et symétrique des noyaux bulbaires et médullaires de la XIe paire avec
42 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
t à gauche dans la base des deux cornes ; elles forment là un petit noyau gliomateux. , Ce noyau gliomateux est très marq
es deux cornes ; elles forment là un petit noyau gliomateux. , Ce noyau gliomateux est très marqué du côté gauche au nive
ICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE. DÉGÉNÉRATIONS SECONDAIRES. PAR PIERR
us avons observé, au cours d'une autopsie, une lésion ancienne d'un noyau rouge ayant déterminé la dégénération secondaire
onographie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XVII LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE Dégénérations secondaires. (Pierre. Mar
p; CI-, Editeurs 1'l,oratN.Pie llen1umJ, P1Js. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 81 A gauche pupille de dimension ordinair
pes microscopiques nous avons rencontré une lésion siégeant dans le noyau rouge du côté droit. Il s'agit soit d'un ancien t
al (Plan- che XVII), la lésion est bien localisée dans la région du noyau rouge. Ce- lui-ci et sa capsule ont été complèt
a lésion a disparu,elle est donc nettement localisée à la région du noyau rouge du côté droit. C'est, pourrait-on dire, une
-on dire, une véritable des- truction expérimentale de la région du noyau rouge. Sur les coupes colorées avec la méthode
Goll. Nous avons reproduit (Planche XX) les coupes de la région du noyau dentelé du cervelet. Ainsi qu'on le voit sur le
du cervelet. Ainsi qu'on le voit sur les photographies, le bile du noyau dentelé gauche est très atrophié. Cette atrophie
s secondaires. (Pierre Marie et G. Guillrrin). LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 83 Cette observation est intéressante, au
elte hémiplégie infantile est-elle sous la dépendance de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calotte ? Le
es les coupes. L'hématoxyline de Delafield, colore parfaitement les noyaux des cellules jeunes ; certaines figures vascula
ut le placard est formé par la masse compacte des cellules jeunes à noyau fortement teinté par l'hématoxyline, formant un c
en longues séries perpendiculaires à la surface de l'encéphale. Les noyaux très apparents suivent la gaine des vaisseaux o
su infiltré, la ligne parfois très précise, formée par les premiers noyaux , qui sont tassés à ce niveau et dessinent une z
n des deux tissus. Au-dessus d'elle, on retrouve la disposition des noyaux en colonnettes étroites, composées de noyaux ap
uve la disposition des noyaux en colonnettes étroites, composées de noyaux aplatis suivant la longueur et donnant en certa
arfaite. En allant vers la surface, toute disposition régulière des noyaux disparaît ; ceux-ci sont Nouvelle Iconographie
la région des méninges, qui ne sont plus elles-mêmes qu'un amas de noyaux vivement colorés. Dans cette zone se distinguen
ement amorphes, d'aspect vitreux, montrant à la périphérie quelques noyaux mal colorés, puis le manchon serré des cellules
ment de la lumière vasculaire, persistance mo- mentanée de quelques noyaux de la tunique moyenne, persistance plus durable
entourée de tissu homogène ou légèrement fibrillaire et de quelques noyaux allongés tangentiellement, puis d'une auréole de
de quelques noyaux allongés tangentiellement, puis d'une auréole de noyaux étroitement tassés,en continuité avec le tissu
e de la lamelle des amas nodulaires, d'apparence gommeuse, dont les noyaux se différencient peu à première vue de ceux des p
n cervelet. Les parois de cette dernière sont couvertes de nombreux noyaux ; en pénétrant de la cavité dans le tissu céréb
t à une (ente transversale, sans épilleélium tet, mais encombrée de noyaux . Ses vaisseaux satellites comme ceux du reste d
ent seulement dilatés, sans modifica- tion sensible des parois. Les noyaux isolés peu nombreux se montrent dans la région
ion de l'espace sous-arachnoidien par les cellules rondes, dont les noyaux forment un feutrage serré, tranchant par sa cou
s infiltrée. Les faisceaux sont intacts ; c'est à peine si quelques noyaux pénètrent entre les faisceaux les plus superfic
la surface de la moelle. La pie-mère y est très épaissie ; quelques noyaux allongés se montrent il la limite indécise de l
llules jeunes qui composent cet exsudat épais, consistant, ont leur noyau vivement coloré et renferment à côté de néo- va
isolées, les faisceaux pie- mériens disparaissent dans la masse des noyaux infiltrés, les vaisseaux sont plus ou moins lés
é; aucune trace de changements régressifs, aucune de ces cellules à noyaux graisseux, situés dans les amas, et rattachées
ssu de sclé- rose contenant de nombreux foyersde ramollissement.Les noyaux névrogliques sont très abondants et forment des
le, l'en- céphalite est très accusée ; la diapédèse est active, les noyaux de névroglie beaucoup plus abondants que partou
eloppement des masses musculaires, la radio- graphie nous montre un noyau osseux interposé à l'os iliaque et au tibia et
nos radiographies, on ne trouve, en dehors du tibia, la trace d'un noyau osseux. Pieds. Dans le squelette du pied, les m
cône terminal. Ces ganglions présentent des neurones typiques, avec noyau central et nucléole très net; il n'y pas de chrom
peu riches en protoplasma, elles sont surtout remarquables par leur noyau , très chromatophile,qui les remplit presque compl
presque complètement. On trouve dans quelques cellules 2 et même 3 noyaux ; dans ces cas il y a une plus grande quantité
toute vitalité; les cellules ne sont plus apparentes que par leurs noyaux très faiblement colorés, irréguliers, anguleux,
tapissé d'un épithélium très haut, dont les cellules possèdent des noyaux très chromatiques, et des prolongements névrogl
es, par une couche endothéliale formée de cellules gonflées, à gros noyau , et revêtue extérieurement d'une couche de cellul
lindriques pressées les unes contre les autres, et présentant leurs noyaux à diverses hauteurs. Les vaisseaux ne présentent
ferment dans leurs parois quelques granulations pigmentaires. Les noyaux des cellules hépatiques sont inégaux ; quelques-u
lo-graisseux, avec un certain nombre de grains pigmentaires ; leurs noyaux ne sont pas visibles. Dans cette substance cort
icale on trouve des alvéoles remplies de cellules du type cubique à noyau bien coloré, à protoplasma assez large ; certaine
ntours nets, une forme en raquette et renferment deux et même trois noyaux . Quelques alvéoles de ce genre se trouvent dans
nulo-pigmentaire ; elles ont une forme en raquette et renferment un noyau ovalaire volumineux ; quelques- unes renferment
ovalaire volumineux ; quelques- unes renferment deux et même trois noyaux . Les capillaires dilatés contiennent un peu de
philes. Quelques éléments par leur irrégularité et surtout par leur noyau pâle rappellent les cellules sidérophiles (s).
idérophiles (2). Les éléments éosinoplules sont caractérisés par un noyau de 4 environ, régulièrement arrondi, riche en c
les éléments éosinophiles (1) des cellules à 2, 3, 4, et jusqu'à 7 noyaux . Ces noyaux sont toujours ronds, petits, riches
s éosinophiles (1) des cellules à 2, 3, 4, et jusqu'à 7 noyaux. Ces noyaux sont toujours ronds, petits, riches en chromati
chromatine. Mais dans le voisinage on trouve des éléments dont les noyaux étranglés peuvent être absolument considérés co
nous venons d'étudier, on trouve çà et là quelques cellules à gros noyau vésiculeux, clair, qui sont vraisembla- blement
âle par l'éosine, en jaune-brun-rouge par le picro-carmirit ;, leur noyau arrondi, occupant le tiers ou le quart du corps c
examinés et qui répondent aux types suivants : t a. Cellules à deux noyaux isolés ou accolés en sablier (en petit nombre).
es, larges, à protoplasma se colorant mal, réticulé, gra- nuleux, à noyau plus ou moins excentrique, déformé, mal coloré. C
représentent des éléments en dégénérescence colloïde. c. Cellules à noyau en caryolyse (assez rares). d. Cellules à noyau
de. c. Cellules à noyau en caryolyse (assez rares). d. Cellules à noyau géant, paraissant occuper la totalité ou les 3/4
es cellules sidérophiles atypiques, probablement. e. Cellules à 3 noyaux (rares). Les cellules libres dans quelques vais
en dégénérescence colloïde, avec disparition ou mise en liberté du noyau . Quant à la partie colloïde elle- même, elle n'
ossification correspond donc à celui d'un âge plus avancé. Ainsi le noyau d'ossification de l'épiphyse des os métacarpiens
es de volume et le protoplasma se présente granu- leux : parfois le noyau est très gonflé et occupe presque tout l'espace c
a couleur (PI. LIV, A). On trouve une abon- dante prolifération des noyaux et une infiltration des parois des artérioles,
trées dans le lobe frontal droit et une abondante prolifération des noyaux et des foyers de pigmentation hématique. Ce qui
mportantes du tube ner- veux : le protoplasma, le cylindraxe et les noyaux . Nous ne saurions trop nous élever contre les a
nt à employer, à côté de l'hématoxyline et du picro-carmin pour les noyaux , les seuls colorants myéliniques. De tous les é
ans inconvénient essentiel) ; 2° du protoplasma non différencié et du noyau , dont dépendent les échanges physiologiques, la
x capillaires. Dans ces travées, on observe parfois des traînées de noyaux petits et ovoïdes dont on ne peut distinguer nett
ux d'aspect fibreux beaucoup plus lar- ges que hauts, et chargés de noyaux ovoïdes assez également disposés. Ces noyaux pa
e hauts, et chargés de noyaux ovoïdes assez également disposés. Ces noyaux paraissent répondre, surtout dans le centre des f
devoir être interprété non pas comme un cylin- draxe, mais comme le noyau de celle fibre coupé transversalement. 3° Pédic
ls occupent. Signalons,enfin, une fibre dans laquelle existait un noyau caractéristique au centre même du cylindraxe re
ent à peine le quart du diamètre des précédentes et possédaient des noyaux beaucoup plus rapprochés et une myéline plus prot
niques existaient des fibres dépour- vues de myéline et chargées de noyaux nombreux se colorant fortement. Ces fibres, du
e vacuole adipeuse est, du reste, en rap- port avec un ou plusieurs noyaux et leur ensemble donne à la fibre ainsi modifié
dipeux. Chacun de ces renflements est en rapport avec un ou plusieurs noyaux . FiG. M. Même point que la fig. L mais à un plu
sclérose est monoalvéolaire; les vésicules sont très déformées; les noyaux du tissu conjonctif sont très nombreux, allongé
ans les cellules qui infiltrent le tissu conjonctif, la plupart des noyaux se sont colorés en masse sans qu'on voie le résea
les cellules sont libres, on voit des éléments thyroïdiens dont les noyaux irréguliers se colorent en masse; on y trouve a
grandes cellules à protoplasma granuleux nettement limitées dont le noyau ratatiné se colore peu ou point. Ce serait mani
régénération autogène (3 pl. en photocollogr.) par DURANTE, 322. Noyau rouge, lésion ancienne du noyau rouge ; dégénér
photocollogr.) par DURANTE, 322. Noyau rouge, lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secondaires (4 pl. en p
l. en photocoil ? 406. Guillain et P. Marie. Lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secondaires (4 pl. en pho
col.l), 302. Marie Pierre et GEORGES Guillain. Lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secondaires (4 pl. en pho
BOT), XXIII. Névrome adipeux du médian (DunANTE), LXII à LXIV. Noyau rouge (Lésions anciennes, dégéné- rations secon
43 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
es cornes antérieures. Celles-ci présentent un proto- plasme à gros noyau dans un premier degré d'altération, puis on les
E ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) Dans sa derni
du troi- sième ventricule. Cette colonne est formée d'une série de noyaux éche- lonnés, distincts les uns des autres, ain
r chez l'homme, quelle est la disposition réciproque des différents noyaux . Il en existe deux : l'un antérieur, plus petit
yaux. Il en existe deux : l'un antérieur, plus petit, comprend deux noyaux médians et deux noyaux latéraux (Darkschewitsch
: l'un antérieur, plus petit, comprend deux noyaux médians et deux noyaux latéraux (Darkschewitsch); l'autre postérieur,
onstitue le groupe principal. Il est composé de chaque côté de deux noyaux dorsaux (antérieur et postérieur, Gudden) et de d
deux noyaux dorsaux (antérieur et postérieur, Gudden) et de deux noyaux ventraux (antérieur et postérieur); plus en avant
eur et postérieur); plus en avant se trouve à droite et à gauche le noyau d'Edinger-Westphal, qui contourne les pré- céde
s pré- cédents ; enfin la ligne médiane est occupée par un 'dernier noyau dit central. - -l Ainsi que le fait remarquer
le fait remarquer Perlia, la valeur physiologique des diffé- rents noyaux n'est pas élucidée. On s'accorde depuis les reche
lobe de l'oeil; mais on discute encore sur le rôle des diffé- rents noyaux du groupe postérieur. Hensen et Woelkers avaien
ucléaire, on ne peut s'expliquer, en admettant cette succession des noyaux , comment il se fait que les deux premiers noyaux
tte succession des noyaux, comment il se fait que les deux premiers noyaux soient libres, le troisième et le quatrième par
emne. Aussi Mauthner admet-il comme plus exacte la nomenclature des noyaux indiquée par Pick et Kahler, à savoir : 1. mu
es faisceaux cortico-nucléaires, ou encore des faisceaux allant des noyaux au tronc nerveux basai; rnais une telle ophthal
aire supérieure avec ébauche de paralysie bulbaire inférieure. - Le noyau du moteur oculaire commun représente la partie
r analogie d'appeler poliencéphalite l'affection correspondante des noyaux sous-jacents au plancher du quatrième ventricul
comme limite de séparation une ligne trans- versale passant par les noyaux de l'abducens et du facial. L'analogie est évid
; elle s'impose en face des cas complexes intéressant à la fois les noyaux moteurs de la moelle et ceux de la région bulbo
érieure. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs, les noyaux sensitifs étant respec- tés
ux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs, les noyaux sensitifs étant respec- tés, tout comme lorsqu'
c'est-à-dire l'expression d'une altération systématique limitée aux noyaux moteurs de l'une ou de l'autre région. Les observ
Les observations que nous rapportons prouvent clairement que si les noyaux oculo-moteurs peuvent seuls être atteints, dans
ont modifié la nomen- clature de Hensen et Voelkers et ont placé le noyau commandant ce muscle en avant de tous les autre
ine. La plupart sont dépourvues de prolongements, et ont perdu leur noyau ou bien ce noyau se colore mal. Le réseau fib
ont dépourvues de prolongements, et ont perdu leur noyau ou bien ce noyau se colore mal. Le réseau fibrillaire est diminu
Ce tissu est fibrillaire com- pact, etcontient relativement peu de noyaux . Les fibres ontconservé leur striation. Pour
ormal soit extrêmement faible; les cellules ont presque toutes leur noyau et leurs prolongements. Il en est quelques-unes
du tissu fibreux : il est compact, homogène et parsemé de quelques noyaux ; sur d'autres points, il a l'aspect et la struc
et sans trace de striation, qui présentent une grande abondance de noyaux . Ces fibres sont très pâles, et vis-à-vis des réa
ifs colorants, elles se comportent comme le tissu conjonctif. Leurs noyaux eux- mêmes sont très riches en chromatine et se
en ses éléments primitifs par de grandes cellules mononucléaires à noyau ovale, à protoplasma grenu, qui pénètrent entre
nt atrophiées, et ne sont plus représentées que par quelques petits noyaux granuleux. PAUL BLOCQ, G. Marinesco, . Chef d
le droit externe de l'oeil droit pour les déplacements laté- raux ( noyau de la G° paire) est le siège d'un excès d'innerva
rotubérance. S'agit-il là d'une lésion nucléaire, por- tant sur les noyaux d'origine ? Cette hypothèse ne parait pas vraisem
parait pas vraisem- blable. On sait en effet que la destruction du noyau de l'abducens s'accompagne généralement, outre
mentale. M. Duval a trouvé en effet chez le singe et le chat que le noyau de l'ab- ducens d'un côté est relié au noyau de
inge et le chat que le noyau de l'ab- ducens d'un côté est relié au noyau de l'oculo-moteur commun, de l'autre côté par d
e trajet intra-protubé- rantiel des fibres de ces nerfs, entre leur noyau d'origine et leur point d'émergence. Quelle e
ME ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite 1) L
envahissantes. Progressant en sens inverse, elles gagnent l'une les noyaux moteurs du bulbe, l'autre les noyaux de la prot
verse, elles gagnent l'une les noyaux moteurs du bulbe, l'autre les noyaux de la protubérance, de manière à se combiner ré
d dans sa marche progressive, s'attaque successivement à chacun des noyaux ; elle descend par degré, si bien qu'au début la
puisque d'après cer- tains auteurs ce nerf prend naissance dans le noyau de l'abducens et non dans celui du facial : or,
nlève l'orbiculaire des paupières, il en résulte des lésions non du noyau du facial au bulbe, non plus que de l'abdu- cen
'abdu- cens, mais exclusivement limitées à la partie postérieure du noyau de l'oculo-moteur commun; ce serait donc de ce
postérieure du noyau de l'oculo-moteur commun; ce serait donc de ce noyau que le facial supé- rieur tirerait son origine;
deux observations d'ophthalmoplégie progressive avec atteinte des noyaux bulbo-protubérantiels. Dans la première, qui appa
lésion saute des centres photo-moteur et irien du côté droit sur le noyau de la 6e paire gauche. Six mois plus tard, les
-moteur, jusqu'alors indemnes, sont pris à leur tour, ainsi que les noyaux du trijumeau et du facial gauche. Cette marche
issement quelquefois régulier, le plus souvent erratique des divers noyaux et sur la lenteur avec laquelle la maladie évolue
aire doit être formulé. A mesure que la lésion descend et gagne les noyaux bulbaires le péril s'accroit; il est menaçant lor
néoplasme siégeant à la base du crâne. Klebs ne trouva rien. Les noyaux oculo-moteurs ne furent pas examinés au microscop
ation demeura normale. Dresgen rapporte la maladie à une lésion des noyaux bulbaires et rapproche son observation des cas
cendante et peut, comme cette der- nière, intéresser les différents noyaux de la protubérance et du bulbe. Les exemples en
zone dangereuse du pneumogastrique. Laissant donc pour l'instant le noyau de la 10e paire,, la lésion monte les échelons
as exceptionnels par envahir la région de l'oculo-moteur. Parmi les noyaux nerveux étages dans la moitié supérieure du 4e
res inférieures du facial et à la portion motrice du trijumeau. Les noyaux situés latéralement et plus en avant sont plus
ière inférieure était para- lysée. Le facial supérieur provenant du noyau de l'abducens suivant les uns, du noyau oculo-m
cial supérieur provenant du noyau de l'abducens suivant les uns, du noyau oculo-moteur suivant les autres, nous voilà bien
crâniens les mêmes lésions de dégénérescence inflammatoire dans les noyaux mo- teurs des yeux que dans ceux des 90e, 11, 1
s deux cas il s'agit d'une même affection systématique frappant les noyaux moteurs du quatrième ventricule. On peut en dir
et dans celles qui suivent impliquent forcément une altération des noyaux moteurs du bulbe supérieur et des cellules des
44 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
s comme agent thérapeutique. La fiente de pigeons, écrasée avec des noyaux de pêches, employée en cataplasme guérissait la
be, il existe une dégénération du cordon laté- ral et l'atrophie du noyau correspondant (1). Evidemment, Messieurs, ces l
ion dégénérative, pâles, avec des chromatophiles peu abondants ; un noyau petit, très faiblement teinté par le bleu polychr
ution considérable des fibres nerveuses partout (sauf au niveau des noyaux dentelés ; ceux-ci ainsi que la région adjacente
thme de l'encéphale, certaines modifications sont assez nettes. Les noyaux du pont, ainsi que les fibres qui en émanent sont
ormes intertrigéminales et le feutrage interolivaire. Plus bas, les noyaux de Goll et de Burdach sont tout à fait démyélinis
et la pâleur du faisceau solitaire et les lésions dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E. Moelle. a) Cordons post
t par « une atrophie systématique de l'é- corce cérébelleuse et des noyaux d'origine de ses principales voies affé- rentes
vaisseaux ; les alvéoles occupées par des cellules allongées à gros noyaux . Sarcome. Néoplasme de consistance dure à surface
ales FS, fosse de Sylvius. CH, circonvolutions de l'hippocampe. NA, noyau amygdaiien. Ti, T, T3, circonvolutions temporal
itaire des circonvol. frontales. - Gr, gyrus rectus. I, insula. Ne, noyau caudé. - NI3, noyau lenticulaire. OF, sillon oc
. frontales. - Gr, gyrus rectus. I, insula. Ne, noyau caudé. - NI3, noyau lenticulaire. OF, sillon occipito-frontal. Tl
jambage latéral ascendant. Le microscope démontre que : 1° Les noyaux névrogliques ne sont pas augmentés notablement.
riche en tissu conjonctif, très bien vascularisé ; cellules à gros noyaux allongés, très serrés ; leur arrangement ressembl
spaces entourés de fibres ner- veuses plus denses et d'un anneau de noyaux névrogliques où par ci par là on 148 WEBER ET P
sp, es- pace péri-vasculaire. - F, fibres ner- veuses denses.- N, noyaux névrogl.- T, tissu conjonctif. - V, vaisseau.
Fic. 5 et 5 a. V, vaisseau. Va, vacuoles. F, fibres blanches. .V, noyaux névrogliques. Esp, espace péri-vasculaire. AL
es parties Fis 6. Cl, corps deLuys. Coa, commissure antérieure. Nr, noyau rouge. ATc, noyau caudé. - Tro, tractus optique
Cl, corps deLuys. Coa, commissure antérieure. Nr, noyau rouge. ATc, noyau caudé. - Tro, tractus optique. Tum, tumeur. X F
eu de détruit. Les pyramides sont repoussées en dehors (fig. 7), le noyau IIIe à gauche se voit bien et l'on suit facilemen
facilement les fibres qui en naissent. A droite par contre le même noyau ne dispose que d'un espace minime, il n'en sort
xemple la paralysie du nerf IIP à droite par destruction directe du noyau et des fibres. D'autres sont sans doute des effet
orps genouillé interne. Fld, faisceau longitudinal dorsal. N III, noyau III* paire. Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur.
ngitudinal dorsal. Gp, tu- bercule quadrijumeau postérieur. - N IV, noyau de la IV. paire. RL, ruban de Reil. Rm, ruban m
ricule. V, trijumeau. VI, oculom. externe. VU, VII n, facial et son noyau , VIII c, acous tique (cochlearis). 151 WEBER
nce, car la tumeur n'intéresse la Ille paire que dans la région des noyaux et des racines. L'hypertension musculaire est d
-dessus du genou du facial, dans cette région qui s'étend entre les noyaux de la IIIe et delà VIe paire. Or nous avons eu
IIe ventricule et descendait en bas dans la protubérance en aval du noyau de la IVe paire qui était intéressé (fis. et 3).
u trijumeau des deux côtés. On ne voit pas de trace des cellules du noyau de la IIIe paire ni à droite ni à gauche. Du côté
à peu près intact. Les fibres radi- culaires intrapédonculaires des noyaux oculo-moteurs ne sont pas totalement dégénérées
sceau longitu- dinal postérieur, se portent en avant, traversent le noyau rouge et vont au sil- lon interpédonculaire. Le
aux cen- traux de la calotte sont épargnés des deux côtés, les deux noyaux du pathéti- que sont pris, on ne voit pas de tr
plus nombreux. ' Dans une coupe inférieure on voit apparaître les noyaux moteurs et sensitifs du trijumeau qui sont bien
ale au niveau de l'enainentia teres on voit nettement apparaître le noyau de la VIe paire, ses éléments cellulaires sont tr
riangulaire, on peut voir l'entrecroisement des fibres au dedans du noyau ; le genou du facial et les fibres radiculaires de
lésion nucléaire, ayant frappé des deux côtés une grande partie des noyaux de la IIIe et de la IVe paire, avec intégrité des
partie des noyaux de la IIIe et de la IVe paire, avec intégrité des noyaux de la VIe paire. Or il se peut qu'une hémiplé
onjugués des yeux, se- raient placés dans la protubérance entre les noyaux de la IIP et de la VIe paire. A l'appui de so
qu'une lésion soit placée dans la calotte protubérantielle, entre les noyaux de la 1111, et de la IVe paire, pour détruire l
t de la IVe paire, pour détruire les fibres d'association entre ces noyaux , qui montent par le faisceau longitudinal postéri
fit d'un pro- cessus même relativement peu envahissant pour que les noyaux gris de l'aqueduc et les fibres des racines qui
e des tubercules quadri- jumeaux, mais plutôt à l'envahissement des noyaux sous-jacents. Tel est l'état actuel de la quest
iégeait en effet dans la calotte pédonculaire sur l'emplacement des noyaux de la lile paire et il était côtoyé à sa gauche
le, c'était la destruc- tion complète de toute la colonne grise des noyaux moteurs de l'aqueduc depuis le plancher du troi
l'expliquer, un entrecroisement partiel des fibres radiculaires du noyau du droit interne entre elles (Stieda, 1869) ; 'qu
'aide d'expériences physiologiques,crurent pouvoir démontrer que du noyau de la sixième paire émanent des fibres motrices
ur contient des fibres ascendantes, mais la communication entre les noyaux de la VIe paire et les nerfs de la 1118 paire n
es nerfs de la 1118 paire n'est pas directe ; les fibres partent du noyau externe, parcourent (1) DUVAL ET LABORDE, De l'
LOTTI ' le faisceau longitudinal postérieur et aboutissent dans les noyaux de la Ille paire, mais non pas dans les nerfs.
qui unissent la VIe à la Ille paire, leur point de départ serait le noyau du nerf VIe, leur lieu d'arrivée serait le noyau
e départ serait le noyau du nerf VIe, leur lieu d'arrivée serait le noyau du droit in- terne ; nous ne croyons pas en eff
mes forcé d'admettre l'existence d'une rela- tion directe entre les noyaux de la VIe paire et les muscles droits inter- ne
pourrait très bien admettre l'existence de fibres directes entre le noyau de l'abducens et les racines de l'oculo-moteur co
s racines de l'oculo-moteur commun, et de fibres de relai entre les noyaux de la VIe et de la IIIe paire. « N'est-ce pas en
aymond, Cestan,etc. Il est donc prouvé qu'une lésion portant sur le noyau de la VIe paire ou sur ses fibres ascendantes qui
ements conjugués^ ? ' un simple entrecroisement de fibres entre les noyaux oculo-moteurs. Si l'on songe en effet à la loi
avoir qu'une lésion placée dans cet endroit, petit retentir sur les noyaux moteurs de la IIIe paire tout en épargnant les fi
out en épargnant les fibres radi- culaires anastomotiques issues du noyau de l'oculo-moteur externe. Enfin une chose est
et c'est, dans notre cas,la disparition com- plète des cellules des noyaux de la III° paire. Le tubercule était ainsi placé
ainsi placé qu'il épargnait le faisceau longitudinal postérieur, le noyau rouge et les racines émanées de la Ille paire ;
tionnelle des muscles masticateurs, sans lésions sur nos coupes des noyaux de la Ve paire. On peut croire ce trouble consécu
ordination motrice, l'asy- nergie musculaire, sans lésion aucune du noyau rouge ou des pédoncules cérébelleux supérieurs
qui attirent immédiatement le regard ; elles contiennent un ou deux noyaux fortement colorés ; d'autres cellules, beaucoup
cellules, beaucoup plus petites et plus où moins cylindriques, sont à noyau pâle. L'hématoxyline au fer d'Heidenhain les
lité sur l'amas des cellules épithélia- les néoformées, cellules à noyau pâle, sidérophiles, cellules volumineu- i ses
sclé- reuses qui ont isolé un certain nombre de glomérules dont les noyaux cellu- laires sont fortement colorés. La glom
e encore dans la substance corticale de petits amas cellulaires à noyaux très fortement colorés. La médullaire paraît
e prolifération épithéliale certaine ; les petites accumulations de noyaux , que l'on voit en quelques rares points, ne par
ace,apparaissentsous forme de belles cellules plates à cinq pans, à noyau bien coloré. Dans les pédicules des houppes, le
e d'une ligne oblique en dehors et en avant, part du tiers moyen du noyau lenticulaire, passe en arrière du genou de la c
a capsule interne et se termine à la partie postérieure de la tête du noyau caudé ; l'autre, moins long, mais plus large, o
éline dégénérées ; les travées interfas- ciculaires contiennent des noyaux qui semblent un peu augmentés de nombre. Sympat
ucléaires et qui sont le résultat d'une prolifération abondante des noyaux . Autour de ces grains est du pigment jaune. Entre
es de graisse dans la substance contractile,une pro- lifération des noyaux du sarcolemme et une augmentation du diamètre t
dans les muscles un épaississement léger du tissu conjonctif ; les noyaux musculaires étaient proliférés. Nous avons dans
la face antérieure, au niveau de la sixième dorsale. ' Poumons. - Noyaux de pneumonie caséeuse. Foie. 1,500 grammes. R
roi de ses vaisseaux. Le Nissl montre l'altération des cellules des noyaux de la Xe et de la IXe pai- res ; ces cellules s
oloré d'une façon uniforme; les grains chromatiques ont disparu; le noyau est peine visible. Au Weigert, on voit que la p
les sont peu déformées, mais un très petit nombre ont conservé leur noyau et leurs grains chromatiques ; la plupart sont
utre (pi. XXXIII, fig. 3). Au Nissl, les cellules ont conservé leur noyau , mais elles sont en chroma- tolyse et présenten
ntent (méthode de Nissl) des altérations nettes : forme globuleuse, noyau périphérique. Les cor- dons antéro-Iatéraux son
arois de quelques vaisseaux sont épaissies et entourées de nombreux noyaux . Quelques cellules des cornes antérieures sont pi
tée aux cordons posté- rieurs. Seules quelques fibres confinant aux noyaux de Burdach et de Goll sont respectées. 5°' Ce
lonne de Clarke sont altérées , beaucoup sont déformées, privées de noyau , et en dégénérescence globuleuse. Dans un côté,
nerveuses sont fortement colorées. Beaucoup sont défor- mées : leur noyau est à peine visible. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULL
es cellules nerveuses ont pour la plupart conservé leur forme et leur noyau . Les grains chromatiques sont nets. Certaines c
ns son ensemble. Les pyramides sont normales. Quelques cellules des noyaux de l'hypoglosse sont globuleuses. A la partie i
més ; gra- nulations épendymaires très nombreuses. Les cellules des noyaux de l'hypo- glosse et du pneumogastrique sont no
ne antérieure les cellules sont globuleuses, en chroma- tolyse avec noyau périphérique ; la colonne de Clarke est détruite
es nerveuses en état picnomorphe sont souvent déformées, privées de noyau et en voie de désintégration ou munies d'un noyau
rmées, privées de noyau et en voie de désintégration ou munies d'un noyau périphéri- que, chargées de pigment, et contena
lupart des cellules nerveuses sont normales. Quelques-unes ont leur noyau excentrique. Les plus altérées sont les cellules
granulations épendymaires. Périartérite discrète. Les cellules des noyaux des X8 et XIIe paires sont normales. Pas de lésio
tolyse, caryolyse, déformation globuleuse, migration excentrique du noyau , achroma- tose totale ou partielle. C'est de la
ules embryonnaires. Au fond des sillons, la pie-mère est bourrée de noyaux prenant avec avidité les matières co- lorantes.
oformation vasculaire. Les cellules nerveuses sont atrophiées ; les noyaux sont très gros relativement aux corps cellulair
les granulations chromophiles ne sont plus apparentes qu'autour du noyau . La névroglie est hy- perplasiée par places dan
ont atteints des deux côtés d'une légère sclérose. Les cellules des noyaux moteurs présentent peu de prolongement ; les gra-
ts de périartérite et les espaces inter-cellulaires sont bourrés de noyaux embryonnaires, surtout à la périphérie des gang
oviennent des pédoncules cérébelleux moyens, on altère toujours les noyaux prépyramidaux et les fibres plus profondes des
ion, ni d'indices de réaction inflammatoire : la multiplication des noyaux est insignifiante. Le tissu interstitiel est le
séparé du sternum par un espace libre correspondant probablement au noyau cartilagineux d'ossification secondaire de la c
utre part, pense que la clavi- cule, os mixte, présente autour d'un noyau primitif dermique deux noyaux secondaires carti
- cule, os mixte, présente autour d'un noyau primitif dermique deux noyaux secondaires cartilagineux et Kôlliker que c'est
ésentent aucune trace de dégénérescence granulo-pigmen- taire, leur noyau n'est pas excentrique, mais accuse, quoique à un
rées, le bleu de méthylène met en évidence les grains de Nissl ; le noyau n'est pas excentrique ; il n'existe aucune zone d
plus volontiers l'hématéine et la fuchsine picriquée de Van Gieson ( noyaux violets, cellules et fibres rouges, myélinejaune,
lèles,presque uni- formément teintés avec les points noirs de leurs noyaux . A l'immersion la différenciation est des plus
plus nettes. , La limite des tubes est bien marquée. On y voit les noyaux avec plus ou moins de détails. Il faut alors ch
de soutien, les tubes nerveux serrés les uns contre les autres, les noyaux et les cellules ner- veuses. L'examen à un fo
netteté suivant l'intensité de la coloration, les détails de leurs noyaux (réseau chromatophile, nucléole, grains chromat
nt bleu foncé. Ces fibrilles convergent en certains points vers des noyaux , y for- ment des plexus, et se portent ensuite
STÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans substance blanche on distingue, les noyaux et les cy- lindraxes coupés dans toutes les dir
d'admettre que l'hémispasme est dû dans ce cas à une irritation du noyau du facial ou du nerf dans son trajet bulbaire.
rement pour cause une perturbation directe du nerf facial ou de son noyau , ou bien ne peut-il pas avoir une autre origine ?
le reçoivent des fibres sensitives du trijumeau qui transmettent au noyau de ce nerf les impressions reçues ; celui-ci les
nerf les impressions reçues ; celui-ci les communique à son tour au noyau de la VII" paire, qui envoie la décharge aux musc
pas non plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au-dessus du noyau du facial, telle qu'une lésion corticale, puisse
engendré que par une perturbation directe du nerf facial ou de son noyau d'origine. Il serait alors rationnel d'applique
les de leur ossification. Les fontanelles se ferment tard, mais les noyaux osseux des os courts et des épiphyses apparaiss
eure du tibia). a) cartilage indifférent. b) adénome cartilagineux, noyau nettement limité de cellules cartilagineuses hy
acte fait elle-même défaut et est remplacée par des la- melles, des noyaux osseux tapissés d'ostéoblastes et d'ostéoclastes.
non-sy- nostose des os de la base du crâne, apparition tardive des noyaux des épiphy- (ses, retard général de l'ossificat
nt ; en tout 588 CATOLA cas elles sont bien moins colorables. Les noyaux réticulé et inférieur, la substance grise centr
arciformes internes, l'entrecroisement moteur et le piriforme, les noyaux de Goll et de Burdacli, le cordon postérieur sont
dans ses dimensions est tout entourée d'une zone assez claire. Les noyaux de Deiters, du Facial,de Mo- nakow se présenten
e repère S 5 le pédoncule cérébelleux in- férieur et supérieur, les noyaux masticateurs et de la VIII° paire, la racine des-
coupes de la série. Sur la coupe sagittale S 6, qui tombe en plein noyau moteur du trijumeau, toutes les parties de la p
ée ; l'entrecroisement antérieur du vermis et l'entrecroisement des noyaux du toit ne sont plus re- connaissables. Coupe
absolument intact. Sur une coupe passant par le corps de Luys et le noyau rouge, il n'y a pas la plus petite lésion. Cort
ullaires, mais aussi pour l'augmentation du tissu néoplasique ; les noyaux de glia y sont très nombreux et y constituent une
le gauche : à sa place, un petit paquet qui paraît vasculaire et un noyau épididy- maire. Il n'a pas l'air de s'en douter
ative d'ossification ; il est probable môme qu'elles suppriment les noyaux déjà constitués s'ils sont en- core peu dévelop
es d'une façon diffuse en violet par le réactif colorant. Le ou les noyaux des éléments cellulaires ont perdu la netteté de
ellules formatrices qui ressemblent à des fibroblastes avec de gros noyaux , lesquels se dispo- sent l'un à côté de l'autre
tte infection va en diminuant vers le Fig. 3. Coupe de la région du noyau rouge. Infiltration péri ventriculaire. Infiltra-
énomènes de compression mar- qués même dans les masses grises et le noyau de la 30 paire par exemple est criblé de vacuol
l'affection relève d'un arrêt de développe- ment, d'une aplasie des noyaux moteurs de l'oeil. A ne s'en tenir qu'aux argum
45 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mémoire, troubles de la parole, amblyopie; pftt'ttpte spasmodique ; noyaux disséminés de sclérose sur les ventricules céré
trouve a1 gauche, sur le tiers postérieur environ de la queue du noyau intra-ventriculaire du corps strié, une tache d'u
cule latéral on trouve, immé- diatement en arrière de la virgule du noyau caudé, une première tache, irrégulièrement quad
s de la moelle, il est encore possible de.reconnaître isolément les noyaux d'induration, au sur et iv mesure que l'on desc
aissables, un stroma fibrillaire à mailles très serrées, parsemé de noyaux . On a ainsi la preuve la plus manifeste d'une p
Cl. Bernard (Senator) ; la seconde émanant peut-être de lésions des noyaux du glosso-pharyngien et des branches du nerf va
nsibles. Le nouveau centre aurait no- tamment sous sa dépendance le noyau externe de la couche optique droite, puisque ce
dépendance le noyau externe de la couche optique droite, puisque ce noyau ne s'atrophie ni après l'énu- cléation du globe
t à l'extirpation de la zone visuelle devrait être considérée comme noyau purement optique. Les faisceaux de la couronne
pposée de Forel) peut-être bien constitué par la couche latérale du noyau externe de la couche optique, l'indé- pendance
l'opinion qui considère la couche optique comme formée de plusieurs noyaux (Burdach, Luys, Ganser), ses études venant de d
Luys, Ganser), ses études venant de démontrer jusqu'à l'évidence un noyau externe, expérimentalement relié au pulvinar ch
, bien qu'ayant une importance physiologique toute différente, un noyau postérieur, un noyau moyen. Il ne serait au reste
importance physiologique toute différente, un noyau postérieur, un noyau moyen. Il ne serait au reste pas impossible, aj
u moyen. Il ne serait au reste pas impossible, ajoute-t-il, que tel noyau quiparait unique se prêtât à la segmentation au
Généralisation d'un cancer médullaire à grandes cellules avec gros noyaux siégeant à gauche au milieu du sillon de Roland
tives du tri- jumeau et les fibres radiculaires, peut-être aussi le noyau du nerf vague se trouvent voisins, et à une cer
locales affiliées à la grande Association et qui en deviendront le noyau . Le bureau définitif est ensuite constitué ; sont
ique, qu'elle n'intéresse que le cordon nerveux ou tout au moins un noyau qui lui est exclusivement affecté. Dès lors, le
dans son trajet intra-cérébral, fréquem- ment elle atteint soit les noyaux d'origine groupés au niveau de la protubérance,
groupés au niveau de la protubérance, soit les expansions de ces noyaux dans les autres parties de l'encéphale. Les par
lésion siégeant au ni- veau de l'eminentia teres, et intéressant le noyau de la 6° paire. Puis les recherches de MM. Duva
Laborde et Graux ont établi qu'il existe un filet nerveux qui, du noyau de la sixième paire, va se joindre aux racines
a signalé un nouveau filet nerveux, qui 148 CLINIQUE NERVEUSE. du noyau de la sixième paire va se rendre au pathétique
thétique du même côté, en subissant un double entrecroisement. Le noyau , dit de la sixième paire, donne donc en réalité
as considérer chacun de ces nerfs comme ayant son origine dans un noyau qui lui est exclusivement affecté. Un même nerf
ficulté au fond est la même : ces mouvements suppo- sent, entre les noyaux de la troisième paire qui intervient surtout da
res par les expériences de Hensen et Welkers, d'après lesquelles le noyau volu- mineux de la troisième paire, étendu du t
cule en longeant l'aqueduc de Sylvius, serait en réalité composé de noyaux distincts en rap- port avec les différents musc
t admis que l'on connaisse les rapports qui unissent les différents noyaux d'origine des nerfs mo- teurs des yeux et que l
exe ou volontaire, ils supposent donc de nouvelles connexions des noyaux avec les nerfs optiques et les centres cor- tic
à l'amblyopie de la première enfance, est causé par une lésion des noyaux de substance grise préposés aux mouvements asso
un seul oeil, elle pourrait s'expliquer par une lésion partielle du noyau de la troisième paire, intéressant tous les mus
t Welkers, cette lésion devrait siéger à la partie pos- térieure du noyau , vers l'angle supérieur du quatrième ventricule
PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 161 par le filet que le noyau de la sixième paire envoie à ce muscle, et nous
me ven- tricule et à l'aqueduc de Sylvius où elle intéressait les noyaux d'origine de la troisième paire. Ce malade a of
e il faudra donc faire entrer en ligne de compte la lésion des deux noyaux de la sixième paire, mais je ne crois pas que c
artement, ne s'accorde guère avec l'existence d'une lésion des deux noyaux de la sixième paire, lésion qui devrait rester
tionnés. Dans les deux cas, on observe au début le gon- flement du noyau des fibres nerveuses et la segmen- tation de la
ouleur plus foncée ou plus claire que celle du reste du bloc. Les noyaux des segments tubulaires sont gonflés, et plus n
lasma a végété, etse montre partout plus apparent; c'est .autour du noyau du segment qu'il semble s'amplifier d'abord, et
. PATHOLOGIE NERVEUSE.' pas occupés par les boules myéliniques. Les noyaux sont manifestement multipliés. Le cylindre axil
proto- plasma abondant, au milieu duquel on trouve de deux à cinq noyaux . Quelques-unes . de ces dilatations ne contienn
spect gélatineux, jaune cendré et dans lequel semblent figés 5 ou 6 noyaux à peine colorés. Les parties rétrécies corres
s granulations peuvent se disposer en stries longitudinales, et des noyaux ovoïdes allongés dans le sens de l'axe. D'autre
absolument vides et sont réduits à un filament pâle sur lequel les noyaux font encore une légère saillie. Nulle part sur
on ne trouve plus alors dans la gaine de Schwann ratatinée que des noyaux ovoïdes peu colorés, et surtout, au milieu d'un
pres- que incolore, à peine calibrée, ne renfermant plus que des noyaux et se présentant comme un filament ondulé de 2
n outre, ils sont comme bosselés de loin en loin par la présence de noyaux pâles, allongés, dépourvus d'auréole protoplasm
es, allongés, dépourvus d'auréole protoplasmique appréciable. Ces noyaux sont bien nettement contenus dans l'intérieur d
tion jaune sale ou sépia sur laquelle se détachent en rose pâle les noyaux propres à chaque tube ; ce sera l'atrophie comp
fois, ils présentent une teinte rosée ou rouge brun, tandis que les noyaux ont pris une teinte plus vive. Cette apparence
être augmentés de nombre, ils étaient gonflés, arrondis, munis d'un noyau volumi- neux, et leur protoplasma était infiltr
s clair ou bien au jaune ombré. Dans la paroi des capillaires les noyaux ont semblé plus nombreux; le protoplasma qui le
émisphère, où ils détruisent presque complète- ment l'avant-mur, le noyau lenticulaire, la capsule interne et même le noy
t l'avant-mur, le noyau lenticulaire, la capsule interne et même le noyau caudé dont le tiers moyen présente sur le ven-
on profonde, jaunâtre et ramollie. La couche optique est saine. Les noyaux striés et la capsule sont détruits sur les coup
ulbe, entre l'olive et le corps restiforme gauches, existe un petit noyau hémorrhagique de la grosseur d'un grain de blé.
rès rapprochés, conte- 212 PATHOLOGIE NERVEUSE. nant parfois deux noyaux ovoïdes colorés en rose. Ces der- nières représ
t présente les lésions d'une pneumonie lobaire; au sommet existe un noyau d'hépatisation grise, tandis que les lobes moye
cloisons secondaires également hypertrophiées, infiltrées de petits noyaux rouges et formant un réseau très apparent dont
e myéline jaunâtre, amorphe, au milieu duquel on peut rencontrer un noyau irrégulier et vivement coloré par le carmin.
limité par la gaîne de Schwann, dans laquelle on trouve parfois un noyau accolé à la paroi ou quelques fines granulation
tée en gouttelettes ou en granulations entourant parfois un ou deux noyaux . Quelques- unes présentent une large section, c
résence de granulations brunes formant une petite auréole autour du noyau . Dans la paroi des capillaires, on dis- tingue
oi des capillaires, on dis- tingue également une grande quantité de noyaux et aussi des granulations brunâtres qui paraiss
dérablement hypertrophiées se sont transformées en cubes pourvus de noyaux gros et ronds; on peut admettre aussi une multi
thélial des tractus arachnoïdiens : grosses cellules rondes, à gros noyaux ronds, conglomérées parfois en petits groupes. Ce
à cette réaction qui s'effectue pour un très petit nombre dans leur noyau , pour un nombre un peu plus élevé dans leur nuc
our un nombre un peu plus élevé dans leur nucléole. Généralement le noyau résiste au suc gastrique qui lui donne un aspec
evenir plus claires ou même se tuméfier nettement, surtout quand le noyau a acquis une plus grande réfringence ; alors au
rébelleuse, sans toutefois se montrer constants. D'autres éléments ( noyaux du cerveau, cellules de la corne antérieure de
d'liypoxanthinc ? ) se rencontre tantôt dans le nécléole ou dans le noyau , tantôt de préférence dans le protoplasma. Il e
t conjonctifs, on trouve exclusivement ou presque exclusivement des noyaux fortement chargés de nucléine; c'est donc d'eux
uite, conformément aux expériences de Kossel, la nucléine (comme le noyau ) est en relation étroite avec la formation de l
'rt'w -j.<.) ,ia,, - . que des granulations ambrées parsemées de noyaux (type le). (PL.'II ? ? "' 'r ? (hj ? j ? )/')()
ations miliaires. En outre, au sommet du poumon gauche existe un- noyau induré de pneumonie fibreuse au contre duquel la
arla gaine dc'Schvvann,' coritériant-dé' loin en loin, .autour des, noyaux ,; quelques, granulations am-) brees'(tvpé'4) !
? H."lli-ir t . .'tn<' ff .. nmges,. prédominant au niveau, des noyaux ,d origine de cer- ..gaines fibres nerveuses ou
e myélite, à'savoir : 1° l'hypertrophie; 2° la mul- tiplication des noyaux intracellulaires ; 3° l'état vacuolaire ; 4° l'
qu'à l'état nor- mal. Les prolongements sont conservés ainsi que le noyau , qui a lui-même augmenté de volume. A en juger
moins considérable de liquide. Tout au contraire, l'hypertrophie du noyau serait bien réelle; il se colore vivement par le
ssède parfois deux nucléoles. 3° Multiplication intracellulaire des noyaux . L'auteur confirme à cet égard les observations
yélite aiguë diffuse, il a observé le phéno- mène de la division du noyau ; mais cette division est un fait rare. Ce qu'il
t beaucoup plus commun de constater, c'est la présence dans le même noyau de deux ou trois nucléoles, avec tendance à la
oyau de deux ou trois nucléoles, avec tendance à la segmentation du noyau (noyaux en bissac). 3° Altération vacuolaire. C
deux ou trois nucléoles, avec tendance à la segmentation du noyau ( noyaux en bissac). 3° Altération vacuolaire. C'est le
blancs ; donc ce ne sont ni des particules protoplasmiqu(s, ni des noyaux jeunes ou vieux-, car, dans ce cas, ils seraien
nscrite, induration des parois artérielles, points ossifiés, petits noyaux hémorrhagiques, etc., qui troubleraient momenta
46 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e composé de fins filaments entrelacés et disposés tantôt autour du noyau , tantôt en dehors de lui. Une particularité sur
les localisations motrices spinales, par l'étude du radial dont le noyau est composé de deux groupes : un premier, plus co
i qui, au niveau de la 7e et de la 8° racine, est représenté par le noyau intermédiaire, duquel le triceps tire sa source
ésections nerveuses et aux désarticulations semble démontrer que le noyau de certains nerfs périphériques qui desservent
ue sur des coupes transversales, on voit assez sou- vent non pas un noyau unique en réaction, mais deux noyaux. Ces ramif
voit assez sou- vent non pas un noyau unique en réaction, mais deux noyaux . Ces ramifications secondaires correspondent ha
constituée dans la moelle par un seul groupe cellulaire, formant un noyau bien circonscrit, le groupe externe. Alors que
f circonflexe a son origine appa- rente commune avec le radial, son noyau d'origine se trouve tout à fait indépendant de
interstitielle et péricellulaire de petites cellules rondes, à gros noyau , à protoplasma souvent impercep- tible, dans to
ubérance épargnant d'une part la voie pyramidale, d'autre part, les noyaux de la 3° et 4e paires. Les auteurs ne croient pas
cellulaire, souvent de toute une moitié d'un fuseau cellulaire. Le noyau , seul, peut rester fort longtemps comme dernier
qui sont pris ' Sans qu'il soit possible d'affirmer l'existence de noyaux distincts' dans toutes les moelles, noyaux parm
'affirmer l'existence de noyaux distincts' dans toutes les moelles, noyaux parmi lesquels on soit en mesure de se repérer,
éosine ou du picro-carmm. peu chargées en corpuscules de Ni,sl; les noyaux sont petits, faiblement teintés après action du b
xyline à l'alun que nous nous sommes adressé pour la coloration des noyaux , au mélange de Van Gieson pour celle du tissu c
es in terfascicu 1 aires (1 jSg. 1) sont particulièrement riches en noyaux : ceux-ci appartiennent pour la plupart des cel-
apille, le nombre de ces éléments augmente; au très grand nombre de noyaux qui sem- blent nés sur place, viennent sejoindr
nt nés sur place, viennent sejoindre en 2 (fig. 18) par e\emple des noyaux conjonctifs provenant de la partie interne de la
lques libi-illes conjoncti- ves néoformées noyées dans la masse des noyaux conjonctifs et névrogliques. Ce sont là en somm
tion d'espaces lacunaires assez étendus comme en 4 par exemple. Les noyaux conjonctifs et névrogliques y sont peu abondant
, mais la plu- part contiennent ou bien des cellules de névroglie à noyau volumi- neux demeurées là après la destruction
la cellule nerveuse, ou quelques débris de la cellule disparue : un noyau sans nucléole, gonflé et incolore, ou bien enco
e, gonflé et incolore, ou bien encore comme en 3 par exemple deux noyaux accolés, encore nucléoles faiblement colorés semb
;i0 li. a quelques- uns de ses éléments plus ou moins désagrégés à noyau gonflé et incolore; ils prédominent dans la par
onnaissables en Il mais le plus souvent fortement désagrégées, leur noyau libre, leurs granulations dispersées comme en 1
buléues; les unes sont en état de chru- matolyse, d'autres ont leur noyau très excentrique, d'autres enfin n'ont plus de
utres ont leur noyau très excentrique, d'autres enfin n'ont plus de noyau et sont en voie de dégénérescence. Les reins so
Les cellules épithétiales des tubes contournés sont abrasées; les noyaux se colorent cependant bien ; un certain nombre de
l n'y a pas de sclérose, et les cellules hépatiques ainsi que leurs noyaux se colorent bien. En résumé, chez un brightique
lexe rotulien et douleurs fulgu- rantes. Serait-ce une lésion des noyaux d'origine ou des racines de la 3° paire ? Le ma
tapes nettement différenciées : gonflement du protoplasma, rejet du noyau vers la périphérie de la cellule, disparition d
La moralité des nourriciers est bonne. Cette section constitue le noyau le plus ancien de la colonie, puisque c'est autou
quilibre leucocytaire combiné à la pré-, sence de globules rouges à noyau . Un second groupe de paralysies générales compr
s'opère. Diapédèse et réaction névroglique par division directe des noyaux sont deux faits con- temporains. Par contre-cou
tale de l'élément. Dans cette couche ainsi altérée apparaissent des noyaux plus ou moins nombreux (éléments normaux du cor
avec des cellules de neuroglie hypertrophiées renfermant un ou deux noyaux vésiculeux et pourvues de nom- breux prolongeme
générescence complète toutes les fibres du bout central depuis leur noyau d'ori- gine réelle jusqu'à leur sortie de l'axe
oculo-moteur commun. Les fibres radiculaires proviennent toutes du noyau classique ; les plus proximales sont toutes des
tes et croisées; les premières proviennent de la partie ventrale du noyau corres- pondant, tandis que les fibres croisées
t, tandis que les fibres croisées sortent de la moitié dor- sale du noyau du côté opposé. Aucune fibre ne provient ni des
eurs (contra Majano), ni par le faisceau longitudinal postérieur du noyau d'origine du nerf VI (con- tra Duval et Laborde
uval et Laborde). Nerf pathétique. Toutes les fibres proviennent du noyau clas- sique. Le plus grand nombre d'entre elles
du noyau clas- sique. Le plus grand nombre d'entre elles sortent du noyau du côté opposé et s'entrecroisent dans la valvu
directes. Elles proviennent de deux masses grises distinctes : un noyau dorsal ou le noyau classique et un noyau ventral
roviennent de deux masses grises distinctes : un noyau dorsal ou le noyau classique et un noyau ventral ou noyau accessoi
ses grises distinctes : un noyau dorsal ou le noyau classique et un noyau ventral ou noyau accessoire situé dans la forma
ctes : un noyau dorsal ou le noyau classique et un noyau ventral ou noyau accessoire situé dans la formation réticulaire,
ticulaire, conformément à nos recherches expérimentales de 1898. Ce noyau ventral, décrit par nous en 1893 et désigné par
nous en 1893 et désigné par Koplan et Finkelnburg, sous le nom de « noyau de Van Gehuchten », appartient donc réellement au
es, mais de fibres centrales ayant leurs cellules d'origine dans le noyau de Deiters, pour devenir, après entrecroisement
gastrique sont toutes des fibres directes. Les unes proviennent du noyau dorsal ou noyau à petites cellules, les autres du
toutes des fibres directes. Les unes proviennent du noyau dorsal ou noyau à petites cellules, les autres du noyau ventral
viennent du noyau dorsal ou noyau à petites cellules, les autres du noyau ventral, noyau à grosses cellules ou noyau ambi
au dorsal ou noyau à petites cellules, les autres du noyau ventral, noyau à grosses cellules ou noyau ambigu, conformément
cellules, les autres du noyau ventral, noyau à grosses cellules ou noyau ambigu, conformément à nos observations, publié
orne grise. Nerf hypoglosse. Les libres radiculaires proviennent du noyau classique. Ce sont toutes des fibres directes.
viennent du noyau classique. Ce sont toutes des fibres directes. Le noyau accessoire de Roller ne donne pas origine à des
ces mêmes terminaisons à bout épaissi existent également dans les noyaux gris à la base du cerveau, dans le cervelet et le
r si chaque segment interannulaire est formé aux dé- pens d'un seul noyau , ou si deux noyaux interviennent dans son dével
t interannulaire est formé aux dé- pens d'un seul noyau, ou si deux noyaux interviennent dans son développement, l'un cons
dans son développement, l'un conservant son rôle purement nutritif ( noyau de Schwann), l'autre se modifiant pour constitu
amkiewicz, Kupffer, Ziegler, G. Durante ont, en effet, constaté des noyaux dans l'épaisseur du cylindraxe adulte ou en évo
'ap- porter des entraves aux progrès de la neurologie. Le rôle du noyau dans la régression musculaire. MM. DE BucE et D
expérimental et anatomo-pathologique que dans cette régression, le noyau , qui est le centre trophique du myocyle, joue u
ue à la régression du myoplasme, qui s'ir- radie toujours autour du noyau comme centre trophique, et cette sarcolyse, aid
d'azitoseléiose, dans lequel un rôle actif important est dévolu au noyau . Les auteurs rapprochent ce phénomène de sarcol
e te- nant aucun compte du nucléoplasme. La grande variabilité du noyau musculaire n'a pas permis jusqu'ici de saisir les
érations nucléaires allant jusqu'à la transformation vésiculeuse du noyau . Neuronophages. Pas de lésions très marquées de
ont interrompues dans leur voie vers le centre par des cellules des noyaux de la couche optique; de même les fibrilles du
les du nerf acoustique,ont une discon- tinuité par les cellules des noyaux du corps genouillé interne et ceux du corps str
mbreuses communications anato- miques entre les cellules des divers noyaux nommés, il arrivera que, en voyant un objet et
lté de se rappeler repose sur la communica- tion mutuelle entre les noyaux qui discontinuent les fibrilles des divers orga
apillaire locale; jusqu'ici la même chose qui a eu lieu dans un des noyaux de la couche optique; mais ensuite nous tâtons
ues-unes des leurs au faisceau longitudinal postérieur ainsi qu'aux noyaux de l'oculomoteur commun, s'entrecroisent en ava
'entrecroisent en arrière des tubercules mamillaires et en avant du noyau rouge de Stilling : elles se collent, à l'intér
e rudimentaire portait tous les nerfs crâniens habituels avec leurs noyaux jusqu'au trlju- mi-au. f.e pathétique n'était r
usqu'au trlju- mi-au. f.e pathétique n'était représenté que par ses noyaux : aucune trace de l'oculomoteur commun. Les hém
ssinée, a subi les altérations propres a la macération. La zone des noyaux ovales est très nette : ceux-ci sont un peu plu
ette : ceux-ci sont un peu plus massifs que d'ordinaire. Celle îles noyaux ronds n'offre pas d'anomalies; en arrivant au t
en arrivant au tissu conjonctif, elle est arrêtée par une couche de noyaux couchés ovoïdes. On ne voit nulle fibre nerveus
terminales. Souvent aussi la coloration du brun au noir s'étend aux noyaux des cellules, aux hématies, aux noyaux, aux fib
du brun au noir s'étend aux noyaux des cellules, aux hématies, aux noyaux , aux fibres et aux cellules de la névroglie.
a portion motrice. Le centre réflexe réside problablement dans le noyau moteur de la cinquième paire. il est curieux de
upposables quand on voit une hémorrhagie de la calotte au niveau du noyau du facial et de l'oculomoteur externe s'accompa
n d'hé- inori-liagie de la base ayant attemt la capsule externe, le noyau lenticulaire, la partie postérieure de la capsu
rieur n'aient pas considérablement souffert. De plus. tandis que le noyau médian de la couche optique est intact, le noya
s. tandis que le noyau médian de la couche optique est intact, le noyau latéral contient un assez grand nombre de fibres
rées, non-seulement près de la capsule interne, mais dans tout le noyau . C'est inexplicable. L'élude du pédoncule cérébra
jet.Les manchons de myéline sont jaunes, les cylindraxes bruns, les noyaux rouge-brun, le tissu scléreux et la névroglie r
ue l'on trouve une striauon longitudi- nale parfois très nette. Les noyaux du sarcolemme, par places augmentés de nombre.
Les altérations éventuelles consistent soit dans le déplacement du noyau , soit dans la cbromatolyse centrale avec pulvér
és par des cellules rondes, petites, à proloplasma presque nul, à noyau unique, volumineux et fortement coloré par l'héma
ers leurs masses, des zones moins bien colorées dans lesquelles les noyaux pâlissent, sont granuleux et paraissent subir u
ents, avec des chromatophiles poussiéreux et peu abondants, avec un noyau souvent refoulé à la périphérie et présentant u
ombre, des nodules inflammatoires de petites cellules rondes à gros noyau , et des vaisseaux altérés de diverses façons. L
rtère dure-mérienne antérieure à la hauteur du 7e segment dorsal et noyaux cancéreux intra-médullaires dans le 8° segment
os nucleos de los segmentos niedulai-es del hombre (Topographie des noyaux gris des segments médul- laires de l'homme), av
méthode de Nissl. On voit ainsi très exactement toute l'étendue des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs du tronc et des m
s noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs du tronc et des membres. Ces noyaux sont échelonnés dans toute la hauteur de la moe
gment lom- baire jusqu'au premier segment dorsal et au bulbe par le noyau in- terne de Burdach; la colonne réticulaire, d
nts coxy- ' giens jusqu'au bulbe, où elle se continue avec le grand noyau cellulaire de la formation réticulaire deKoe)Ii
imite supérieure du quatrième cervical. où elle se continue avec le noyau du nerf spinal; la colonne interne 538 NÉCROLOG
suite sans interruption jusqu'au bulbe, où elle se continue avec le noyau de l'hypoglosse. Pierre Roy. NÉCROLOGIE Les l
éorie de neurone, par Du- rante, 313. Régression musculaire. Voir Noyau . Roentgen. L'examen, d l'aide des rayons de .
47 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
artie inférieure du bulbe, à l'état de fibres arci- formes, dans le noyau des cordons de Goll du côté opposé, ainsi que d
cordons de Goll du côté opposé, ainsi que dans le segment médian du noyau opposé des faisceaux de Burdach et s'unissent a
t dans les masses grises du même coté. Les plus externes gagnent le noyau anté- rieur de l'acoustique (ganglion acoustiqu
ganglion acoustique); les moyens et une partie des internes vont au noyau interne (à grandes et petites cellules) de l'ac
le restedesracines internes passe, par in- iloxion directe, dans le noyau externe (segment interne du pédon- cule cérébel
, on voit : 1° des faisceaux qui joignent le ganglion acoustique au noyau interne; 2" des fais- ceaux arqués qui unissent
ustique au noyau interne; 2" des fais- ceaux arqués qui unissent le noyau interne à l'entrecroisement des noyaux du toit
ceaux arqués qui unissent le noyau interne à l'entrecroisement des noyaux du toit du quatrième ventricule; 3° des faisceaux
du toit du quatrième ventricule; 3° des faisceaux qui, par- tis du noyau interne, dépassent le raphé en s'enchevêtrant ave
tis du noyau interne, dépassent le raphé en s'enchevêtrant avec le noyau commun au facial et à l'auditif ; ainsi qu'avec l
postérieur (faisceaux arqués); 4° des fibres arci- formes allant du noyau externe aux plans profonds ; 50 des fais- ceaux
roisement supérieur des pyramides en rapport de continuité avec les noyaux des cordons postérieurs : peut- être y a-t-il d
tus sensitifs de la moelle épinière. L'angle inférieur et médian du noyau interne de l'acoustique du mêmecôté lui apporte
ehors de la corne antérieure et dont le bulbe occupe par rapport au noyau de l'hypoglosse vers lequel elle se prolonge ex
ieur des olives ou à la région dans laquelle se met à apparaître le noyau postérieur du nerf vague; on la suit en bas jus
ne de l'accessoire, après avoir quitté la colonne qui constitue son noyau , décrit toujours une concavité qui regarde en b
dehors. La onzième paire n'af- fecte donc aucun rapport ni avec le noyau antérieur, ni avec le noyau postérieur du pneum
- fecte donc aucun rapport ni avec le noyau antérieur, ni avec le noyau postérieur du pneumogastrique, pas plus qu'avec l
ec la formation réticulaire : mais, dans le bulbe, à la hauteur des noyaux des cordons postérieurs, le fais- ceau de Burda
'oculo- moteur externe. Dans la zone externe, on rencontre : 1° les noyaux du cordon latéral du bulbe ; 2° les olives supé
ns le territoire de la calotte du pédoncule cérébral, en arrière du noyau rouge, en dedans du ruban de Reil (découvert pa
de Reil (découvert par Bechterew). La zone interne renferme : 1° le noyau central de Roller très développé, au niveau de
oppé, au niveau de l'extrémité supérieure des grosses olives; 2° le noyau réticulé tegmenti ponlis, situé dans le segment
eux et, en parti- culier, du pédoncule cérébelleux moyen) ' ; 3° le noyau central supérieur, au niveau du tiers supérieur
partie postérieure du faisceau radiculaire' du cordon latéral), au noyau central de Roller (fibres du reste du faisceau
cordon latéral et du faisceau radiculaire du cordon antérieur), au noyau réticulaire (les deux espèces de faisceaux radi
faisceaux radiculaires mais surtout celui du cordon antérieur), au noyau central supérieur (faisceau radiculaire du cordon
). Le système latéral des débris du cordon latéral se rendent à son noyau . Quantau système dorsolatéral (aire externe de
réticulaire), il contient des fibres qui servent de liens entre les noyaux de la formation réticulaire et les grosses oliv
moelle allongée (trijumeau) glosso-pliaryngien, pneumo-gastrique ? noyau du cordon latéral ? ), qui gagnent, avec l'épan
veau antérieur (tractus sensitif ? ). II. Fibres par lesquelles les noyaux de la formation réticulaire entrent en relation
organes situés plus haut. Ce sont en particulier les connexions du noyau réticulaire teg- menti pontis qui sont envisagé
du noyau réticulaire teg- menti pontis qui sont envisagées ici ; ce noyau reçoit des fibres qui le mettent en communicati
l'oculo-moteur commun. Le groupe des petites cellules en question ( noyau supérieur de l'ocu- lo-moteur commun ? ) demeur
) demeure en relation par plusieurs trousseaux fibreux avec le réel noyau de l'oculo-moteur commun, avec les faisceaux lo
fé- rieure ; d'autres fibres passent, sur les côtés, dans l'anse du noyau lenticulaire ou dans le corps de Luys. Il est i
ion inférieure; M. Bechlerew appelle à cet égard l'attention sur le noyau réticu- laire tegmenti pontis de Flechsig ; les
upe de petites cellules nerveuses placées en arrière etau-dessus du noyau de Deiters et peut-être aussi dans ce noyau; il m
arrière etau-dessus du noyau de Deiters et peut-être aussi dans ce noyau ; il monte en côtoyant la paroi externe du quatr
supérieur, mi-partie au-dessus de celle-ci pour se perdre entre le noyau globuleux (Kuge Il;ern) et le bouchon (Pfropf)
Pfropf) du même côté; quelques trous- seaux pénètrent le groupe des noyaux situés dans le toit du quatrième ventricule (lo
du même côté et peut-être du côté opposé, ainsi que de la région du noyau de Deiters, en un mot du bulbe, et forme au-des
ion du noyau de Deiters, en un mot du bulbe, et forme au-dessus des noyaux du toit du quatrième ventricule, auxquels se re
qui occupe la paroi latérale du quatrième ventricule (au-dessus du noyau de Deiters) et, en partie, dans le bulbe, en su
r. La racine du nerf cochléaire se termine principalement dans le noyau antérieur de l'acoustique (Meynert) ou noyau acce
principalement dans le noyau antérieur de l'acoustique (Meynert) ou noyau accessoire de l'acoustique (Schwalbe), duquel é
isement supérieur des pyramides de Meynert, et, finalement, dans le noyau des cordons grêles du côté opposé. Donc le lobe
rales du ruban de Reil, se rattache aux fibres circulaires et au noyau des cordons grêles du côté opposé. Spitzka, de Ne
descendante. La dégénéres- cence s'étendait dans l'espèce jusqu'au noyau opposé des faisceaux grêles; seulement, les alt
stes que chez les chats mutilés, la destruction atteignait-elle le' noyau des faisceaux de Burdach. Chez les animaux en exp
'intégrité d'autres départements nerveux, de penser à une lésion de noyaux du facial. M. BERNHAItDT a publié, dans le Zeit
térieure centrale ou périphérique. Maïs la pa- ralysie partielle du noyau du nerf vago-accessoire, acceptable dans certai
ns leurs branches musculaires. Multiplication extrêmement nette des noyaux des fibrilles mus- culaires (droit antérieur de
ie faciale émane de l'atrophie musculaire et non d'une lésion des noyaux des nerfs bulbaires, car elle est unilatérale, s'
ophié au niveau de la partie supérieure de la moelle cervicale, des noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, du bulbe. Il exist
minution de volume manifeste indubitable, de la capsule interne, du noyau lenticulaire, et des deux ascen- dantes du côté
presque ronde, cylindrique; intégrité du tissu conjonctif et de ses noyaux , mais multiplication considérable des noyaux du
u conjonctif et de ses noyaux, mais multiplication considérable des noyaux du sarcolemme; la stria- tion transversale para
protubérance, le long de l'oculomoteur externe droit. Intégrité des noyaux des nerfs crâ- Iliens et en particulier des noy
t. Intégrité des noyaux des nerfs crâ- Iliens et en particulier des noyaux de l'oculomoteur commun, de l'oculo-moteur exte
ts de névrite parenchymateuse ou interstitielle (multiplication des noyaux du névrilemme, hémorrhagies le long des filets,
. Ce syndrôme se rattache comme on sait à une lésion unilatérale du noyau de l'ocumoloteur externe'. Nouvelle- observatio
ssrnr, 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. rieur du plancher et les noyaux des Vla et VU" paires droites; on constate en o
ires droites; on constate en outre une infiltration lymphoïde des noyaux de la VIII, paire droite des VIe et VIle paires g
s VIe et VIle paires gauches, ainsi qu'un simple ramollissement des noyaux des IX, X, XI, XII" paires. Intégrité des porti
rme le plus vieux foyer ; ra- mollissement hrun-gris, gros comme un noyau de cerise; dégénérescence (cellules granuleuses
tractiles dans les muscles sus-mentionnés avec multiplica- tion des noyaux . Après l'étude analytique et critique des obser-
naire; il y a souvent des corpuscules pigmen- taires et beaucoup de noyaux . Les parties périphériques de l'écorce sont par
orce sont par place, surtout autour des vaisseaux, très riches en noyaux . Les espaces périvasculaires lymphatiques sont so
ntes : à un premier degré, tuméfaction trouble et boursouflement du noyau , dont le contenu finement granu- leux disparalt
u noyau, dont le contenu finement granu- leux disparalt, finalement noyau homogène, brillant, clair, subis- sant difficil
, d'après son nouveau procédé. L'examen des cellules nerveuses, des noyaux du tissu conjonctif, des parois vasculaires exi
n y rencontre l'hypertrophie des fibres, la multiplication de leurs noyaux . Il en est de même pour les mêmes organes d'un
ues-unes semblant fendues dans leur longueur), de l'hypergénèse des noyaux du tissu con- jonctif, multiplication des noyau
l'hypergénèse des noyaux du tissu con- jonctif, multiplication des noyaux des fibres musculaires; le sous-épineux présent
onale, était devenue ar- rondie, on n'en constatait pas toujours le noyau et le mucléole les ramuscules nerveux étaient a
ntées (couleur jaune- brun), souvent on n'en pouvait reconnaitre le noyau qu'avec peine ; au degré le plus extrême de la
res; les chapitres les plus inté- ressants sont ceux concernant les noyaux gris centraux et la cap- sule interne; toute ob
48 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ôté de ces formes cellulaires on voit des cellules grandes, avec un noyau qui présente peu de granulations basophiles, et
e les faisceaux de Goll et de Burdach existent, .on reconnaît leurs noyaux . Le système pyramidal lui aussi est intact. Seu
faits sont à remarquer : d'abord la présence de petites cellules à noyau rond et sombre et à protoplasma à peine visible
évidence certaines particularités de structure du cytoplasma ou du noyau . Ce genre d'études sur la cellule nerveuse qu'on
u moins grande partie. Dans les cellules lumineuses, la membrane du noyau est toujours invisible et la place de celui-ci
spinaux. Tout d'ahord, nous constatons que le cytoplasma, comme le noyau , jouit d'un certain degré Une compression légèr
a cellule s'allonge, prend une forme plus ou moins ovoïde et que le noyau s'adapte également à cetle modification en prenan
de la colline de l'axone qui est finement granuleux et diaphane. Le noyau de certaines petites cellules peut être lumineux
n en voit d'autres gris acier dans lesquelles le contraste entre le noyau elle cyto- plasma est très accusé. Ce n'est que
INESCO ' moins lumineux, a un aspect granuleux. Dans l'intérieur du noyau qui présente différents degrés de luminosité, o
és de luminosité, on constate la précipitation des granulations, le noyau se déplace, et la région péri nucléaire change d'
un vide périnucléaire. On remarque parfois la migration passive du noyau de quelques cellules le long des fentes qui se
que dans ces conditions on distingue deux régions, l'une, celle du noyau qui change de forme, la seconde, une auréole vi
oyau qui change de forme, la seconde, une auréole vide entourant le noyau rétracté, que l'on trouve parfois à la périphér
résente quelquefois un contour un peu plus lumineux que le reste du noyau . ' r L'acétate de plomb augmente la luminosité
te un degré de luminosité plus accusé que dans l'acide acétique. Le noyau est bien conservé dans sa forme, demi-luminosité
s parce qu'elles ne produisent pas cette rétraction considérable du noyau . Les phénomènes de précipitation des granulatio
-être d'expliquer lesphéno- mènes de précipitation à l'intérieur du noyau . En effet, la chromaline a des propriétés acido
s intenses, non seulement du côté du cytoplasma, mais aussi dans le noyau , qu'il rétracte. Il ne faut pas ou- hlierd'autr
isparu et à sa place on voit une luminosité in- tense,le contour du noyau est brillant et son intérieur on voit une agglo-
a membrane nucléaire. Les granulations précipitées à l'intérieur du noyau sont de grandeur différente et en faisant usage d
e de calcium, mais la coagulation à l'intérieur du cytoplasma et du noyau est moins accusée. En effet,à l'in- térieur du
toplasma et du noyau est moins accusée. En effet,à l'in- térieur du noyau , on voit des granulations fines, mais la masse pr
es sont remplacées .par une tonalité 214 MARINESCO gris acier. Le noyau est lumineux et contraste par sa luminosité avec
olume. Lorsque la luminosité est plus augmentée, le vide optique du noyau est légèrement atténué. En prolongeant l'examen
nal communiquant avec le vide périiiueléaire et à travers lequel le noyau se fraie un chemin pour se mettre entièrement en
re entièrement en liberté. La résistance opposée par la membrane du noyau qui nage dans l'eau distillée est considérable.
elle avance est suivie de la dislocation de plus en plus accusée du noyau qui peut être chassé de la cellule comme par un
ments browniens. Il y a des cellules résistantes dans lesquelles le noyau n'est pas dislo- qué, ce sont des cellules plus
es des granulations lumineuses. Par suite du vide produit autour du noyau , celui-ci se disloque et est mis immédiatement en
e nucléole, mais des arcs lu- mineux symétriques sur la membrane du noyau . L'axone des cellules qui persistent est gonflé
rement granuleux. Un grand nombre de cellu- les se délruisent et le noyau est mis en liberté, cependant il en reste quel-
éduites en une espèce d'ombre à cause de leur diaphanité et si leur noyau n'était pas visible, on ne saurait pas si l'on a
ntre la granutosité du nu- cléole est très apparente, le contour du noyau est exagéré, parfois il offre deux arcs lumineu
ellule nerveuse, il n'y a pas de vide périnucléaire. La membrane du noyau n'offre pas les arcs bien connus et le nucléole r
des granulations plus grosses et plus lumineuses. A l'intérieur du noyau on peut voir parfois un nucléole gra- nuleux.
e la dissolution périnucléaire est beaucoup moins in- tense, que le noyau ne se déplacepas, que la membrane nucléaire reste
rtaines cel- lules plus ou moins altérées est finement déchirée. Le noyau est vide et sans nucléole, l'axone à son tour e
e polasse produit la dissolution du cytoplasma aussi bien autour du noyau qu'à la périphérie, mais cette dissolution est su
219 défaut dans les dernières, celles-ci peuvent montrer en plus un noyau lumineux dû à la présence de granulations et le
lumineux dû à la présence de granulations et le contraste entre le noyau lumineux et le cytoplasma est d'autant plus fra
rappant que ce dernier est plus diaphane. Dans certaines cellules à noyau vide, le nucléole est gra- nuleux. Les mêmes mo
out notre attention, c'est le précipité lumineux qui a lieu dans le noyau autour du nucléole. La masse précipitée affecte
raction progressera zone vide qui se forme entre la face interne du noyau et la masse rétractée devient plus large. En ce
cette étude nous avons pu nous rendre compte de l'état physique du noyau et des neurofibrilles et nous avons pu donner u
ent en même temps que la cellule devient plus petite. Le contenu du noyau est invisible et le nucléole inactif. FiG. 2. -
ressemblant à ceux de Nissl (N, N', N"). Rétraction considérable de noyau réduit à une petite sphère lumineuse et visible
sissement. On voit bien la constitution grossièrement granuleuse du noyau , le vide relatif péri- nucléaire et la présence
Il n'y a que la cellule de droite en haut qui en soit dépourvue. Le noyau lumineux contient un nucléole visible avec cont
leux et même gonflé, occupe, dans la cellule 1, une bonne partie du noyau , son contour est parfois de- formé. Le contour
dans l'eau distillée, et examinées immédiatement. On voit autour du noyau une zone périnu- 222 MAfiINESCO cléaire plus
quelques grosses granu- lations lu.nineuses clairsemées. Contour du noyau lumineux. Nucléole invisible. B. Cellule complè
ètement homogène deux arcs lumineux, symétriques à la périphérie du noyau . Fig. 11. Chien, sérum animal, eau distillée, e
contour est ir- 1 éguher, voire même en cytolyse (C). Le contour du noyau lumineux et à l'intérieur des trois cellules le
mètres. Pour Gegenbauer,la clavicule est un os mixte provenant d'un noyau central conjonctif et de deux nodules latéraux ca
les plexus choroïdes attenant DU 'le ventricule, les vaisseaux, les noyaux de la substance glise, ni dans les faisceaux de l
térations partielles : une surcharge pigmentaire, le déplacement du noyau vers la périphérie, des granulations chromatopb
par effacement des angles, parfois une diminution de volume avec un noyau moins visible. Ces modifications cellulaires n'
concentrique, formé de lames conjonctives imbriquées, contenant des noyaux ovoïdes ou fusiformes. Ce sont ces aspects hypert
nctives à long trajet, dirigées en tous sens, entrelacées, avec des noyaux ovoïdes ou fusiformes, parfois très allongés. C
- ment groupées, sans autre anomalie qu'une légère augmentation des noyaux du sarcolenime et une striation moins régulière
tantôt diminué; des espaces clairs se forment à leur intérieur; les noyaux du sarcolemme se multiplient, s'agrandissent et
ès atrophiées, au milieu d'une gangue de tissu conjonctif rempli de noyaux souvent agglomérés en pelotons. Le tissu conj
cordons postérieurs seuls étaient dégénérés, avec un tissu riche en noyaux et en fibrilles entrelacées. Les racines rachidie
ne épaisseur anor- male au milieu d'une gangue conjonctive riche en noyaux , surtout dans les (1) Il y a lieu cependant de
une infil- tration interstitielle par du tissu conjonctif riche en noyaux : les gaines de Schwann, dit Friedreich, sont n
clérosés (fibres nerveuses incluses dans une substance granuleuse à noyaux multiples), les cordons anléro-latératix et la su
d'un tissu conjonc- tif abondant où l'ammoniaque révèle beaucoup de noyaux . Les racines posté- rieures lombaires sont moin
s, ont un névrilème épais et un tissu conjonctif abondant, riche en noyaux , autour de fibres nerveuses plus ou moins altér
cide osmique el le carmin), mais seulement un point rose qui est un noyau ou un cylindraxe. » Le second cas de Dubreuilh
ellulaire partielle dans les cornes antérieures de la moelle, et le noyau de l'hypoglosse ; diminution des fibres dans les
RESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297 motrices raréfiées, petites, avec un noyau mal coloré, et des prolongements moins visibles
ation du tissu conjonctif du périnèvre ; par- fois augmentation des noyaux des gaines de Schwann qui contiennent des fibres
intramusculaires. Dans les muscles : état lardacé, augmentation des noyaux du sarcolemme, tissu conjonctif augmenté, scléros
ire, raréfaction des granulations clrromatophiles, dépla- cement du noyau , vacuolisation) ; intégrité des racines antérieur
ans le sens centripète ; diminution des fibres sans prolifération des noyaux (1) Un cas d'atrophie musculaire type Charcot-M
; hyperplasie du périnèvre et de l'endonèvre avec augmentation des noyaux . Dans les muscles, états variés de régression all
des cellules des cornes anté- rieures, des colonnes de Clarke et du noyau de l'hypoglosse ; foyer cicatriciel de poliomyé
es colonnes de Clarke. Dans le bulbe, di- minution des cellules des noyaux du facial, du spinal et de l'hypoglosse. Dans l
égulièrement répartie avec perte de la striation, prolifération des noyaux , transformation graisseuse, quelques fibres hyper
rition de la stria- tion, résorption du myolemme, prolifération des noyaux du sarcolemme, on trouve des lésions d'un autre
ulaires pas plus que dans les couches de la tumeur, on ne trouve de noyaux témoignant d'un processus actif. ' C) Au nive
entation et vacuolisation du protoplasma, ten- 1 dance à l'exode du noyau ) sont peu marquées par rapport à celles de la 1
feutrage de fibres névrogliques,dans les intersticesdesquelles les noyaux son tassez rares, si ce n'est en quelques endro
uestion d'un processus néoplasique. Le sarcolemme contient de rares noyaux . On trouve les fibres musculaires dans la cavit
es, comme ridées, souvent dépourvues de cylindraxes, gonflées, avec noyau excentrique également déformé. Beaucoup de maille
hases. Rien de particulier à la coupe. Le corps thyroïde offre un noyau goitreux dans les deux lobes, le lobe mé- dian
ns les deux lobes, le lobe mé- dian est aussi le siège d'un nouveau noyau des dimensions d'une petite prune, et pendant à
mensions d'une petite prune, et pendant à l'entrée du médiastin. Ce noyau médian est hémorragique. Le thymus n'est pas re
s. Dans d'autres on trouve la disposition en couches. Seulement les noyaux DE L'OBÉSITÉ DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX <t6\)
à la nécropsie duquel on trouva un nodule adénomateuxgros comme un noyau de cerise dans une capsule surrénale, nodule d'or
49 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
uf une congestion assez vive au niveau de la partie^ postérieure du noyau lenti- culaire et de la partie correspondante d
parois sont épaissies. Sous l'influence de l'atrophie cérébrale les noyaux de la substance blanche paraissent plus abondan
inutes dans une so-' lution aqueuse de safran à 1 0/0 (colorai, des noyaux ). / 3° Lavage à l'eau ; immixtion dans une solu
s le protoplasma très abondant prend mal la couleur, tandis que les noyaux agrandis dans les couches profondes la fixent dav
Pl. V). On y voit aussi, quoique peu nettement, les altérations des noyaux signalées plus bas. Je ferai observer l'abondan
regarde comme caractéristiques de la maladie. La partie centrale du noyau fixe forte- ment la couleur ; mais la périphéri
ne dégénération transparente de la périphérie, une péridiaphanie du noyau , ainsi que la nomme le Dr Echeverria. La portio
du noyau, ainsi que la nomme le Dr Echeverria. La portion saine du noyau est, à de rares exceptions près, centrale. Dans
aire périphérique n'est pas produite par une simple rétrac- tion du noyau , car, en dehors d'elle, on peut voir un espace in
'elle, on peut voir un espace incolore compris entre les limites du noyau et le protoplasma. Dans ces cas, le 52 NOUVELLE
asma. Dans ces cas, le 52 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE noyau entier est situé excentriquement dans cet espace
cet espace incolore qu'entoure le protoplasma cellulaire. Quand le noyau est ainsi rétracté on peut voir nettement sa zo
s bénins ; mais la zone claire n'est pas aussi large, le nombre des noyaux atteints est moindre, et les lé- sions sont lim
le faisceau pyramidal, pour arriver après son entrecroisement à son noyau sous le plancher du 4n venlricule, et de là éme
as, ce signe est en général peu prononcé ; il est transitoire et, les noyaux étant intacts, la paralysie ne s'accompagne pas
ho de la langue. Cette atrophie indiquait que la lésion siégeait au noyau ou au-dessous, par conséquent, dans, la région
le. La substance blanche est pâle et légèrement oedématiée. Dans le noyau len- ticulaire gauche il sa partie inférieure s
ngitudinale est par places encore visible, mais très peu nette. Les noyaux ne se voient pas distinctement. On trouve seu-
lème des petits amas de pigment qui indiquent encore les restes des noyaux . Le proloplasma est forte- lI1entgranllleux Les
r le milieu des olives, donne le trajet des hypoglosses depuis leur noyau au sillon latéral. L'esamenmi- croscopique démo
si que des origines de l'hypoglosse gauche, depuis et y compris des noyaux jusqu'à l'olive, tandis que la région représentée
laire. Les cellules névrogliqucs sont relativement grandes et ont un noyau très distinct ; quelques-unes ont même deux noy
grandes et ont un noyau très distinct ; quelques-unes ont même deux noyaux ; leur protoplasma est par-ci Fig. 50 , 186 N
le cérébral droits passant un peu en dehors de la ligne médiane. 8, noyau du moteur oculaire externe du côté gauche (émin
au du moteur oculaire externe du côté gauche (éminentia terres). 9, noyau du pathétique du côté droit. 10, noyau externe
auche (éminentia terres). 9, noyau du pathétique du côté droit. 10, noyau externe se rendant après entrecroisement avec son
et droit supérieur, droit inférieur, petit oblique. Enfin vient le noyau du nerf pathétique. Le schéma de Perlia(Fig. 54
ion des différents groupes de cellules nerveuses qui constituent le noyau d'origine du nerf oculo-moteur commun (d'après Pe
erlia). III. Nerf oculo-moteur commun. IV. Nerf pathétique avec son noyau d'origine -n. c, noyau central, e. ? noyau d'Ed
-moteur commun. IV. Nerf pathétique avec son noyau d'origine -n. c, noyau central, e. ? noyau d'Edinger Westphal n. v. a, n
Nerf pathétique avec son noyau d'origine -n. c, noyau central, e. ? noyau d'Edinger Westphal n. v. a, noyau ventral antérie
rigine -n. c, noyau central, e. ? noyau d'Edinger Westphal n. v. a, noyau ventral antérieur ou supérieur,-n. v. p, noyau
er Westphal n. v. a, noyau ventral antérieur ou supérieur,-n. v. p, noyau ventral postérieur ou inférieur, - n. d. a, noyau
supérieur,-n. v. p, noyau ventral postérieur ou inférieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur ou supérieur, n.d.p, noyau dor
u inférieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur ou supérieur, n.d.p, noyau dorsal postérieur ou inférieur, - n. a. m, noyau
ou supérieur, n.d.p, noyau dorsal postérieur ou inférieur, - n. a. m, noyau antérieur médian, n. a. 1, noyau antérieur laté
ostérieur ou inférieur, - n. a. m, noyau antérieur médian, n. a. 1, noyau antérieur latéral. 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
ielle et situé au-dessous de l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les fibres du faisceau pyramidal gauche.
llarité infectieuse ? Ce sont évidemment ceux qui vont irriguer les noyaux situés au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, c'est-
ors de l'aqueduc de Syl- vius. Elles fournissent par conséquent aux noyaux des nerfs pathétiques Fic.. 56. Les artères méd
donnera lieu à des altérations du faisceau pyramidal gauche et des noyaux situés au-dessous de l'aqueduc et réalisera le
ciliaires sont-ils respectés ? Parce que les centres antérieurs des noyaux de la troisième paire, qui occupent le troisièm
ROITE 275 laire commun. Il semble donc que ces deux parties du long noyau de la troisième paire sont chacune sous un régi
heider et de Siemerling ne laissent aucun doute à cet égard. Or les noyaux des nerfs moteurs bulbaires'et protubérantiels
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE on trouva la colonne médullaire grise et les noyaux bulbaires absolument intacts. On découvrit, par
ets. Il existe un oedème consi- dérable des deux côtés, mais pas de noyau d'hépatisation. Lecceur est petit, mais sain. L
issent traverser par de nombreux leucocytes, reconnaissables à leur noyau irrégulier. On suit toutes les phases de cette
se borne pourtant pas exclusivement à la dia= pédèse de globules à noyaux lobulés, en bien des points on voit que leurs p
ormaux, mais qu'il existe également une infiltra- tion discrète de' noyaux plus petits arrondis, de volume très égal, qui
res, est loin d'être caractéristique ; les éléments diapé- désés, à noyaux irréguliers, que l'on ne voit pas dans les lésion
protoplasma est trouble et homogène, ou au contraire tacheté ; leur noyau est intact ou légèrement déformé. Les racines a
rence réside clans la nature des cellules infiltrantes; au lieu des noyaux ronds, petits, réguliers, entourés d'une couche à
ilitique, nous avons ici des cellules à protoplasma très visible, à noyaux irrégu- liers ou même bourgeonnants, tantôt bie
our la plupart une infiltration discrète de; leurs tuniques par des noyaux petits, égaux et ar- rondis, mais leur lùmiËire
ation, parfois énorme, des parois par des cellules embryonnaires il noyaux régulièrement arrondis. L'endothélium et la tun
quement clans la tunique adventice. Dans la scissure antérieure les noyaux arrondis, serrés autour des vais- seaux, formen
e tissu conjonctif avoisi- nant. Parmi ces cellules embryonnaires à noyaux arrondis on ne voit pour ainsi dire pas de leuc
voit pour ainsi dire pas de leucocytes polynucléaires ; partout les noyaux sont petits, de calibre égal, parfaitement arro
e légèrement allongée, mais il est extrêmement rare d'apercevoir un noyau bourgeonnant. Notons l'absence de toute cellule é
ect craquelé sur les coupes, et ne contiennent plus que fort peu de noyaux colorables ; leurs vaisseaux sont vides de sang e
raire, transformées en une masse arrondie, munie de un ou plusieurs noyaux (I'L. LU). Dans la substance grise les cellules
s ; leur protoplasma est homogène ou, au contraire, granuleux; leur noyau est tantôt intact, tantôt allongé, tantôt muni d'
llongé, tantôt muni d'un nucléole énorme ; enfin on en voit dont le noyau est en train de se disper- ser dans le protopla
, mais surtout une infiltration embryonnaire très nette ; les mêmes noyaux ronds dont il a été question plus haut, se glis
nt leur gaîne pie-mérienne assez fortement épaissie et infiltrée de noyaux ronds. Les racines du glosso-pharyngien sont le
x qui cheminent dans leur épaisseur sont accompagnés de traînées de noyaux arrondis ou légèrement fusifor- mes. On aperçoi
ubérance ou les pé- doncules cérébraux qu'après leur émergence. Les noyaux d'origine sont complètement sains. Les vaisse
346 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE , / lion de cellules noyau , arrondi chez la deuxième. Que les cellules embry
oyau, arrondi chez la deuxième. Que les cellules embryon- naires, à noyau petit, arrondi, à protoplasma tellement mince qu'
pas moins vrai /qu'elles diffèrent essentiellement des leucocytes à noyau multilobé, ou simplement irrégulier, à protoplasm
50 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de P. Marie au Congrès de médecine de 1900. On les observe dans les noyaux centraux, surtout dans le noyau len- ticulaire,
e de 1900. On les observe dans les noyaux centraux, surtout dans le noyau len- ticulaire, et elles apparaissent nettement
OGIE CLINIQUE NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde 'du noyau rouge. Contribution à l'étude des fonctions du
hélioïde 'du noyau rouge. Contribution à l'étude des fonctions du noyau rouge ; - PAR i M. le Professeur RAYMOND
es aux lésions de la voie pyramidale, il en est une qui attribue au noyau rouge un rôle important, rôle producteur d'aprè
urologie du 15 mai 1902, qui z concerne une destruction complète du noyau rouge gauche accompagnée cependant d'exagératio
d'exagération du tonus musculaire. > Certes, les destructions du noyau rouge, bien que rares, ne . sont pas exceptionn
et nous indiquer la fonction précise de l'une ou l'autre partie, noyau rouge ou faisceau pyramidal. A ce point de vue,
il consiste en un papillome primitif épithélioïde, qui a détruit le noyau rouge mais respecté entièrement les fibres pyra
e la parole. Hypoesthésie du côté droit. Néoplasme ayant détruit le noyau rouge gauche et une grande partie du noyau roug
oplasme ayant détruit le noyau rouge gauche et une grande partie du noyau rouge droit. T..., cinquante-sept ans, charbonn
couche optique, son extrémité supérieure se trouve à la hauteur du noyau d'origine de la quatrième paire ; son axe génér
érieur à celui d'une pièce de cinquante centimes, est au niveau des noyaux des troisièmes paires où sa circonférence antér
passer à 3 millimètres sous l'aqueduc de Sylvius et au-dessus du noyau de la troisième paire gauche, redescendre ensuite
e gauche, redescendre ensuite en inté- ressant la partie interne du noyau de la troisième paire droite, - --suivre la dir
des fibres de cette troisième paire, sectionner dans son milieu le noyau rouge droit; enfin venir , aboutir de nouveau a
ur : A, à gauche : 1° en totalité, ? le trajet de la troisième paire ( noyau et fibres) ; 2° en totalité, le noyau rouge ; 3
trajet de la troisième paire (noyau et fibres) ; 2° en totalité, le noyau rouge ; 3° la moitié interne du faisceau sensitif
interne du faisceau sensitif. B, à droite : 11 la partie interne du noyau et des libres de la troisième paire ; 2° la par
noyau et des libres de la troisième paire ; 2° la partie interne du noyau rouge. Sont au contraire tout à fait épargnés,
ma bien colore, sms vacuoles, sans granulations; elles possèdent un noyau volurtr·pûx ovalaire, riche en substance chroma
nt un noyau volurtr·pûx ovalaire, riche en substance chromatine; ce noyau est placé'-t,6 jours à la même distance de la b
isibles par la méthode de Mar- chi, dont on peut encore colorer les noyaux . Ainsi, nous pouvons affirmer, après avoir empl
naires. Ii J. 9. 92 1) CLINIQUE NERVEUSE. ' , Au surplus, ce noyau cancéreux secondaire serait unique en tant que
e. Enfin, l'étude attentive des éléments néoplasiques montre que le noyau très allongé est toujours placé au centre de la
suite les régions du pédoncule détruites, à gauche, la totalité du noyau rouge et de la troisième paire, à droite, la mo
oyau rouge et de la troisième paire, à droite, la moitié interne du noyau rouge et de la troisième paire. Nous avons indi
ce d'un faisceau rubro-spinal qui établirait des relations entre le noyau rouge et les divers étages médullaires. Nous av
structif du néoplasme est à signaler; nous pouvons dire que tout le noyau rouge gauche a disparu dans l'intervalle de trois
ité de la troi- sième paire aussi bien dans son trajet à travers le noyau rouge qu'au niveau de son noyau, à droite la pa
i bien dans son trajet à travers le noyau rouge qu'au niveau de son noyau , à droite la partie interne du trajet de la tro
ade, dès le début, ont apparu des troubles d'in- coordination et le noyau rouge gauche a été détruit, car sa place est oc
place est occupée par le centre du néoplasme. 1 La fonction de ce noyau rouge est encore inconnue. Nous discuterons plu
e dégénérescence dans le pédoncule cérébelleux droit, au-dessous du noyau rouge gauche. Quoi qu'il en soit, le noyau roug
x droit, au-dessous du noyau rouge gauche. Quoi qu'il en soit, le noyau rouge est en connexion intime avec le pédoncule c
à régulariser les mouvements volontaires. C'est donc à la lésion du noyau rouge gauche et par suite du pédoncule cérébell
pédoncules cérébelleux supérieurs, de telle sorte qu'une lésion du noyau rouge gauche agit en réalité sur le pédon- cule
, nous pouvons conclure de l'étude de notre malade qu'une-lésion du noyau rouge, du pédoncule cérébelleux supérieur au ni
univoque, la lésion du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau du noyau rouge. Un dernier point reste à analyser, l'é
ans 100 CLINIQUE NERVEUSE. le mésocéphale, en particulier dans le noyau rouge et par- viendrait à la moelle par la voie
des centres d'excitation du tonus musculaire, en parti- culier du noyau rouge, doit déterminer au contraire une /n/)0&l
plus ou moins marquée. Or, notre malade présente une destruction du noyau rouge sans altération de la voie pyramidale, ré
ale cependant. On ne peut dire par suite que, chez notre malade, le noyau rouge était le centre producteur du tonus. Au s
e la pie-mère pédonculaire et ayant détruit à gauche la totalité du noyau rouge, à droite la moitié interne de ce même no
e la totalité du noyau rouge, à droite la moitié interne de ce même noyau , ayant au contraire res- pecté entièrement le p
ébelleuse supérieure, inter- rompue dans le cas actuel au niveau du noyau rouge. PATHOLOGIE NERVEUSE Tremblements infan
tonner si l'on songe que c'est là précisément que se trou- vent les noyaux d'origine du moteur oculaire commun et du moteu
volition qui est atteint ; dans le nystag- mus médullaire, c'est le noyau où se rend l'excitation venue de la périphérie
ONGÉNITAUX 119 de l'écorce grise, altérations cellulaires fines des noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'oeil, défaut d
lules sont de deux variétés : les unes sont de forme irrégulière, à noyau relativement volumineux; leur protoplasma se co
es gliomateuses. Les autres, moins nombreuses, sont arrondies, leur noyau est plus petit des trois quarts que le noyau de
, sont arrondies, leur noyau est plus petit des trois quarts que le noyau des précédentes, et se colore mal et peu distin
SE. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophie chronique des noyaux moteurs de la protubérance et du bulbe) ; par F.
adie, sur la symétrie par- faite des altérations fonctionnelles des noyaux bulbaires et pro- tubérantiels, et enfin sur l'
, chromophiles, le cylindraxe ne peut plus être perceptible. ; Le noyau présente le plus souvent le phénomène connu sous
d'être régulièrement circulaire, et même parfois d'être visible; le noyau est rarement excentrique. Le nucléole peut se
t excentrique. Le nucléole peut se déplacer et quitter le centre du noyau , dans les cas les plus graves, il se résout en
pas du tout ; quelques-unes sont déformées, d'autres n'ont plus de noyau , d'autres enfin sont envahies par une ou deux c
araissent, on voit s'isoler une couche de cellules ovales, pâles, à noyau formé de chromatine peu dense il 1-2 nucléoles
rmé de chromatine peu dense il 1-2 nucléoles fortement colorés. Les noyaux , beaucoup plus volu- mineux que les grains, for
tive. ' Les éléments essentiels sont toujours des cellules à petits noyaux ovalaires ou arrondis, entourés d'un protoplasm
aintes fois, nous avons rencontré de ces grands éléments arrondis à noyaux clairs, à prolongements souvent énormes, réunis
tiples envahissant tout le système nerveux central sous la forme de noyaux isolés, plus ou moins volumineux (méninges cérébr
rs multiples du système nerveux central, et toujours, dans tous les noyaux , nous avons pu constater une structure nettement
x périphérique (plexus brachial, nerfs cubital, médian, etc.) des noyaux également sarcomateux, quoique de structure un pe
que le terme nous paraît bien mettre en lumière et l'existence des noyaux sarcomateux dans tout le système nerveux, centr
rachidiennes qui se montrent défor- mées et moniliformes. Quant aux noyaux des nerfs périphériques, dans nos deux cas, ils
tiples est intéressante à étudier, parce que la petitesse de chaque noyau per- met aisément de suivre toutes les phases d
e son développement. Or, en examinant à ce point de vue spécial les noyaux de la moelle, des méninges, des racines rachidi
habituels de la compression cérébrale. 11 est à remar- quer que les noyaux de la moelle, des racines et des nerfs périphé-
trophiques qui vraisemblablement doivent survenir à la suite de ces noyaux sarcomateux. Pour terminer, nous voulons appeler
deux affections, le système nerveux périphérique est envahi par des noyaux néopla- siques. Dansies deux affections, le sys
entres nerveux. Histologiquement, la structure et l'histogenèse des noyaux néoplasiques dans les deux affections sont à rapp
à rapprocher sur bien des points; dans la fibromatose multiple, ces noyaux rappellent plutôt du tissu conjonctif adulte, t
dans les couches des grandes et pelites cellules, excentricité des noyaux , zone de dégé- nérescence pigmen taire. Ces d
s Archives de Neurologie, prouve nettement que la destruction des noyaux rouges n'abolit pas les réflexes tendineux. 'SI
leurs grains chromophiles diminués de volume et comme effrités. Le noyau est un peu coloré, les prolongements pâles, les
hyperplasie locale ou diffuse du sarcoplasma avec prolifération des noyaux . Localisée, elle forme des taches claires ou gr
, des amas protoplas- miques, des bourgeons superficiels chargés de noyaux qui peuvent s'isoler dans le tissu conjonctif v
plus grêles, produites par voie de division, s'étranglent entre les noyaux ou se séparent de même en une chaîne de cellule
e explique l'augmentation apparente du tissu interstitiel et de ses noyaux indépendamment de toute sclérose; la métamorphose
et des méninges, léger épaississement des vaisseaux de l'hexagone. Noyau dur siégeant au point d'origine de la cérébrale
éclaircissement du centre de la cellule; migration périphérique du noyau . Cette altération est absolument généralisée da
oll et de Burdach, après avoil été interrompue par les cellules des noyaux correspondants ? se porte au cervelet, sans pre
es des colonnes de Clarke, comme elles le sont par'les cellules des noyaux des cordons de Goll et de Burdach dans la pre-
dent malade, par liesse, 426. d'angoisse, par Hartemberg, 530. Noyau rouge. Sur un cas de papil- lome épithélioïdedu
erg, 530. Noyau rouge. Sur un cas de papil- lome épithélioïdedu noyau longe. Contribution à l'étude des fonc- tions
hypertro- pliique. Voir ? zévi,ile. Papillome ÉPITIIÉLI01DE. Voir noyau - rouge. Paralysie faciale périphérique. Voir
51 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des racines, correspondrait à l'arrière de la pointe supérieure du noyau lenticulaire, se dirigeant t du côté de sa queu
fibres des corps calleux; 6° les éléments de la capsule externe. Le noyau caudé, le noyau lenticulaire, la capsule intern
calleux; 6° les éléments de la capsule externe. Le noyau caudé, le noyau lenticulaire, la capsule interne sont demeurés
t, de cause inconnue : l'auteur aban- donne l'idée de la lésion des noyaux de l'hypoglosse. P. KERAVAL. IX. LES phénomènes
e comme une noisette dans la substance blanche à la face externe du noyau lenticulaire. F. B. XXX. Contribution A l'étude
l'homme ou des animaux, ont une disposition concentrique autour du noyau , et dans les prolonge- ments des mêmes éléments
même couleur. Les fines granu- lations préfèrent la coloration des noyaux de la cellule, aussi pour les voir nettement de
ettement devra-t-on employer les couleurs qui colorent vivement les noyaux , c'est-à-dire qui dans les noyaux font appa- ra
ouleurs qui colorent vivement les noyaux, c'est-à-dire qui dans les noyaux font appa- raître la nuclénie (matières coloran
nucléole de la cellule rouge-ponceau, les fines granulations et le noyau surtout violets. Les granulations contiennent d
chsine et vert à l'iode, sur les granulations cellulaires et sur le noyau de la cellule. C'est lui qui rend si distinct l
s et noeuds des cellules en voie de prolifération divisionnaire des noyaux , or ces dessins sont des modifications morpholo
ocessus d'éclatement des granulations commence généralement près du noyau , il peut pro- gresser concentriquement de dedan
rcissement sphérique d'une partie du protoplasma. En même temps des noyaux indenines, ou plus vivement colorés que d'ordin
de la vitrification cellulaire qui se traduit par la disposition du noyau et du nucléole, les prolonge- ments sont bien c
que dans la partie centrale de la cellule nerveuse qui environne le noyau . Golgi a rappelé que la structure fibrillaire d
s condi- tions d'une transmission directe des régions centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quant aux organes périphé
oute la substance grise centrale, moelle épinière, moelle allongée, noyaux gris encéphaliques, écorce du cerveau et du cer
visée par une couche de fibres venant de la capsule interne en deux noyaux prin- cipaux qui se subdivisent à leur tour. Le
s nette et on peut voir qu'elle est formée par des fibres venant du noyau lenti- culaire. Ces noyaux se distinguent les u
'elle est formée par des fibres venant du noyau lenti- culaire. Ces noyaux se distinguent les uns des autres par la forme
périeur et sa couche principale se dissocient et pénètrent dans les noyaux de la couche optique; de nouvelles fibres, prove-
la couche optique; de nouvelles fibres, prove- nant du voisinage du noyau rouge de la calotte, viennent alors les renforc
dorsale, couche latérale, couche inférieure et couche antérieure du noyau rouge, d'après leurs rapports avec ce noyau. L'
et couche antérieure du noyau rouge, d'après leurs rapports avec ce noyau . L'anse du noyau len- ticulaire se compose de t
ure du noyau rouge, d'après leurs rapports avec ce noyau. L'anse du noyau len- ticulaire se compose de trois parties : 1°
lui fournissant une enveloppe, sur le corps de Luys et se rend aux noyaux optiques antérieurs et inférieurs ; 2° Le faisc
rieur (anse pédonculaire des auteurs) naît de toutes les parties du noyau lenticulaire, contourne le pédoncule antérieur
lenticulaire, contourne le pédoncule antérieur et pénètre dans les noyaux antérieurs de la couche optique en se confondan
émisphère tout entier, on observe : une dégénérescence complète des noyaux de la couche optique, y com- pris la couche gri
ise superficielle des tubercules quadrijumeaux antérieurs, dans les noyaux des cordons postérieurs et dans le noyau de la
eaux antérieurs, dans les noyaux des cordons postérieurs et dans le noyau de la couche réticulaire de la moelle cervicale
he réticulaire de la moelle cervicale ; une atrophie simple dans le noyau rouge de la calotte, dans les tubercules quadriju
verses c dépendances du cerveau ». Dans la couche optique, chaque noyau possède comme chez les animaux un centre trophi
ouve dans une région déter- minée de l'écorce cérébrale. Les autres noyaux gris de la calotte de la protubérance, etc., et
cal une dégénérescence incomplète, n'intéressant qu'une par- tie du noyau atteint; le trait horizontal signifie absence de
présente à la fois une station terminale pour les fibres venant des noyaux gris situés en arrière et un lieu d'origine pour
t un lieu d'origine pour les fibres se dirigeant vers l'écorce. Les noyaux optiques ne seraient que des stations intermédi
termédiaires par où passe le courant nerveux centripète. Les autres noyaux gris joueraient le même rôle ; mais le plus sou
jours médiate. La fibre centripète se termine dans une cellule du noyau auquel elle aboutit, de là une autre cellule tr
à une fibre centrifuge, elle se communique d'abord à une cellule du noyau d'un nerf moteur; une cellule intercalaire la t
t jusqu'à la région située immédiatement en dehors et en arrière du noyau amygdalien, pour, de là, s'in- fléchir en haut
e optique, elles entrent en contact avec les segments inférieurs du noyau latéral, c'est-à-dire avec le tubercule squamif
du pulvinar, dans la couche des fibres arciformes pour atteindre Je noyau principal. Là elles s'épanouissent en un fort t
segment situé en avant du milieu de la couche optique, côtoient le noyau caudé, viennent en partie en avant jusqu'au gen
soient dégé- nérés ; on enpeutsuivreladégénérescencejusquedans les noyaux cor- respondants du bulbe. Celles des fibres dé
autres vont, sans interruption, par les faisceaux de Goll, dans les noyaux de ces derniers où elles se termi- nent, c'est-
ion directe des fibres sensitives des racines de la moelle avec les noyaux des faisceaux de Goll. Les racines postérieures
e; celles-ci sont donc, au point de vue anatomique, adé- quates aux noyaux des faisceaux de Goll. Les noyaux des fais- cea
e vue anatomique, adé- quates aux noyaux des faisceaux de Goll. Les noyaux des fais- ceaux de Goll sont le trait d'union e
ntiels latéraux du ruban de Reil médian apparaissent au' niveau des noyaux sensitifs de la pro- tubérance, surtout au nive
eau des noyaux sensitifs de la pro- tubérance, surtout au niveau du noyau sensitif du trijumeau et grossissent à mesure q
s dû au mécanisme de l'accouche- ment, mais à des modifications des noyaux d'ossification durant la vie foetale et à des s
umeur se trouvaient trois kystes, de la grosseur d'une noix et d'un noyau de cerise, contenant un liquide jaune, limpide.
s de la grosseur d'une lentille (gyrus angulaire, couche optique, noyau lenticulaire, centre ovale). Il s'agit, dans ce c
tout le protoplasma et non pas seulement un segment au voisinage du noyau . Le noyau lui-même est fort grêle et souvent so
otoplasma et non pas seulement un segment au voisinage du noyau. Le noyau lui-même est fort grêle et souvent soit simplem
s les unes contre les autres au point que tout le protoplasma, sans noyau visible, était trans- formé en corps granuleux.
ives marquées. Le bulbe rachidien offrait des lésions au niveau des noyaux grêles. Les cellules ganglionnaires y étaient a
. Les cellules ganglionnaires y étaient atrophiées surtout dans les noyaux des nerfs moteurs, ce qui est en dehors du suje
gnité fonctionnelle plus élevée de la cellule, car les cellules des noyaux moteurs possèdent des granules plus gros et plu
tion de gra- nules à la périphérie du cytoplasma laissant autour du noyau une zone claire qui s'étend jusque dans les pro
alement varier d'une façon notable pendant la contraction. Quant au noyau de la cellule nerveuse, il se modifie lui aussi
le colore en bleu uni- quement les fibres de la névroglie, avec les noyaux de toutes les cellules, y compris ceux des cell
, pour les Lang- strahler, fibres déjà différenciées à proximité du noyau et du proto- plasma de ces cellules, dont elles
eu abondante, écrit Wei- gert (p. 12ç», qu'où peut bien dire que le noyau caudé et le noyau lenticulaire montrent par leu
t Wei- gert (p. 12ç», qu'où peut bien dire que le noyau caudé et le noyau lenticulaire montrent par leurs rapports avec l
portance bien inférieure, tels que ceux des olives bulbaires ou des noyaux rouges de Stilling. Au cours de ses études sur
es dans la moelle, la protubérance (sur- tout sous l'épendyme), les noyaux de l'acoustique, du trijumeau sensitif. On trou
ement sur le plancher du quatrième ventricule, surtout au niveau du noyau du pneumogastrique. Elles avaient déterminé la
ouent aucun rôle, d'après l'auteur, dans la vision. L'intégrité des noyaux des IIIe, IVe et Vie paires ne doit pas étonner
, l'auteur constate une atrophie de la quatrième couche (couche des noyaux ) dans la circonvolution calcarine et une diminu
es et particulièrement dans la circonvolution calcarine (couche des noyaux ). Ln-OFF. XXVIII. Lésion du plexus brachial; pa
générale, ces cellules sont augmentées de volume, tuméfiées : leur noyau est rejeté à la périphérie. Les élé- ments chro
qu'une couche mince qui borde le contour de la cellule nerveuse. Le noyau n'est presque jamais rond; il est aplati, prése
ellipsoïde plus ou moins régulier. D'une manière générale, plus le noyau est excen- trique, moins la cellule est riche e
s, les cellules de la colonne de Clarke présentent fré- quemment un noyau rejeté à la périphérie, en même temps que les é
t non colorée des cellules motrices des cornes antérieures et des noyaux des nerfs crâniens, des altérations des corpuscul
é, des matériaux sont utilisés,- tandis que le corps cellulaire, le noyau , le nucléole augmentent de volume ; la fatigue
gmentent de volume ; la fatigue produit une diminution de volume du noyau , du corps cellulaire et, dans le noyau, il se f
une diminution de volume du noyau, du corps cellulaire et, dans le noyau , il se forme une substance qui prend la couleur.
tophile. La répa- ration de la lésion n'est possible que losrque le noyau de la cellule n'a pas été altéré ; 4° il est a
e paralysie ascendante aiguë, causant la mort par envahissement des noyaux bulbaires, sans altération accusée de la sensib
ant au niveau des pédoncules cérébraux et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine ou des fibres du nerf moteur oculaire
ar la suite, elle se localise aux groupes musculaires dépendant des noyaux cellulaires intéressés. Si, après deux semaines
substance homogène ou granuleuse, avec une quantité considérable de noyaux . L'axe des fibres se partage en fibrilles très
couche inférieure pénètre une substance homogène de fibres avec ses noyaux . La couche moyenne est composée d'une couche tr
52 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hique des sensations visuelles, dont le siège serait situé dans les noyaux gris du mésencé- phale, dans les tubercules qua
entrées dans la protubé- rance la plupart des fibres s'arrêtent au noyau moteur; quelques- unes cependant, sous la forme
t probable cepen- dant que cette racine-là est en relations avec le noyau moteur du côté opposé. Le trijumeau n'a pas de
. M. Benda croit que cet anneau est du plasma musculaire avec ses noyaux , ainsi qu'on l'observe sur les queues de larves d
e- nouilles en état de dégénérescence. M. Westphal n'a pu voir de noyaux . M. 13Fnn. D'un nouveau procédé de durcissement
ibres convergent sur un triangle de substance blanche, en dedans du noyau lenticulaire, pour de ce rendez-vous gagner ens
z clair-semées. D'autre part, les cellules interstitielles à petits noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans
s altérations scléreuses ayant déterminé l'atrophie des cellules du noyau de l'hypoglosse, du facial, et des groupes inte
l'hypoglosse, du facial, et des groupes intermédiaires ; mais le noyau de f'oculo-moteur commun qui prend naissance au-d
système mixte) également des deux côtés; intégrité, par contre, des noyaux du nerf vague et de l'accessoire. Atrophie des fa
e superficielle de névroglie a son épaisseur normale, peut-être les noyaux des cellules sont-ils un peu plus abondants que
plus nettes. Les cellules sont diminuées de nombre; en revanche les noyaux petits et sphé- riques qui révèlent les cellule
accumu- lation considérable de granules jaune d'ambre autour des noyaux ; puis restant toujours hyalines, elles sont beau
ge- ments distincts. Enfin, à un troisième état, on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un- petit amas de granules réfrin
dans la subs- tance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux des cellules interstitielles. Il n'y a qu'un pe
pyramidaux. A la limite de la substance blanche, l'accumulation des noyaux petits et sphériques des cellules interstitielles
xiste un certain nombre de foyers plus opaques, plus abon- dants en noyaux , dans la première et la seconde couche. Sur que
t voir ça et là quelques rares cel- lules à contour peu distinct, à noyaux multiples. La paroi des vaisseaux parait sur ce
de vaisseaux des taches opaques formées d'amas de cellules dont les noyaux sont très gros et dont les corps cellulaires ne
mière couche est très réduite, composée d'un réticulum fin où les ^ noyaux de cellules sont rares. Entre cette couche et la
tissu névroglique plus serré, à trame plus fine, qu'au-dessus, les noyaux cellulaires petits et fixant éner- giquement le
uvres en cellules, jusqu'au contact de la substance blanche, où les noyaux sont abondants. Il existe des corps granuleux s
ste là une bande diffuse intermédiaire aux deux couches et riche en noyaux . Mais elle est beaucoup moins marquée que dans
e que prend le réseau névroglique, le plus grand nombre de petits noyaux et la disparition des éléments parenchymateux n
se présente le plus souvent, ce sont les taches opaques, riches en noyaux sur le pourtour des vaisseaux. Nous avons fait de
ne des vaisseaux, chacun est entouré d'un cordon de cellules à gros noyaux , fortement colorés en vert, on voit autour de q
couche de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux . La troi- sième couche, celle des grandes cellu
es cellules, ne présente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans ordre apparent dans une
quées, surtout du côté gauche. Diminution comparative du volume des noyaux . Du même côté, dans la moelle cemicalu, les cor
le plus marqué. Les trois couches ainsi envahies sont parsemées de noyaux petits. très nombreux : la première, la plus su
e se présentent que sous forme de taches plus opaques, parsemées de noyaux plus abondants, rompant l'ordonnance des séries
e générale. La substance blanche est infiltrée d'un grand nombre de noyaux . Dans ces deux cas, nous relevons l'absence d'a
ées. La substance blanche offre une quantité considérable de petits noyaux sphériques appartenant 3S2 ANATOMIE PATHOLOGIQU
ène, formée de faisceaux parallèles de fibres fines, avec de pelits noyaux sphériques très peu abondants, s'amincit aux po
che est compo- sée surtout de cellules rondes assez volumineuses, à noyau sphé- rique, dont la plupart sont remplies de g
fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et contenant des cellules à noyaux ronds ou allon- gés, dont quelques-unes sont en
u très fin d'une dentelle de fibrilles grêle, avec des cellules à noyaux sphériques, à corps cellulaires ramifiés aux poin
arisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globu- leuses, leur noyau volumineux, clair, nucléole, remplit presque to
de plus que dans les couches précédentes, un assez grand nombre de noyaux de cellules interstitielles, petits, sphériques e
gra- nulations. Elles portent sur la névroglie qui est épaissie à noyaux multipliés, opacifiée, puis fibrillaire, puis e
blanche, il est facile de voir son atrophie; la multiplication des noyaux des petites cellules, l'abondance des corps gra
it aujourd'hui que les paralysies motrices dues aux hémorrhagies du noyau lenticulaire ou du noyau caudé résultent simple
ralysies motrices dues aux hémorrhagies du noyau lenticulaire ou du noyau caudé résultent simplement d'une action à dista
Bourneville, Bramwell, James Ross. Fùrstner, ont souvent trouvé le noyau lenticulaire et le noyau caudé complètement dét
ames Ross. Fùrstner, ont souvent trouvé le noyau lenticulaire et le noyau caudé complètement détruits et transformés en k
Nothnagel, de Carville et Duret, ont même trouvé inexcitables les noyaux lenticulaires et caudés. 1 C'est à ces idées qu
es pénètrent bien de la subs- tance blanche du centre ovale dans le noyau leiitieu- 1 Pour Lussana et Lemoigne, les couch
owers). Même incertitude sur les rapports anatomiques de la tête du noyau caudé avec diverses régions de l'écorce. Tout c
imentale de Baginsky et de Lehmann, sur la Fonction du corps strié [ noyau caudé), seraient en partie favo- rables aux vue
la se- maine qui suit l'opération, ne peut-être effectuée ni par le noyau caudé ni par le noyau lenticulaire, « car l'h)
l'opération, ne peut-être effectuée ni par le noyau caudé ni par le noyau lenticulaire, « car l'h) perfonction ne saurait a
e ni anesthésie véritables, consécutifs aux lésions destructives du noyau caudé, sont tout à fait de même nature que les
oire, tous ces troubles d'inner- vation motrice, dus aux lésions du noyau caudé, fini- raient par s'amender, comme ceux q
siologie expéri- mentale constate aujourd'hui dans les lésions du noyau caudé. Tous les phénomènes traditionnels dé- cr
lésions qui avaient intéressé en même temps la capsule interne, le noyau lenticulaire, la couche op- tique. Il n'y aurai
, qui ont attribué à un petit kyste hémorrhagique, trouvé dans le noyau caudé gauche, des phénomènes d'hyperthermie uni
Mais Baginsky et Lehmann, en enfonçant une aiguille dans la tète du noyau caudé, mis à découvert par l'ouver- ture des ve
', sans que les ventricules latéraux aient été ouverts, ni que le noyau caudé ait par conséquent à intervenir, peut- êt
sycho- motrices, pour atteindre les faisceaux en rapport avec les noyaux gris moteurs de la moelle épinière. Ces régions
uva dans le bulbe un foyer hémorrhagique qui avait .détruit : 1° le noyau accessoire et le noyau principal du facial .gau
yer hémorrhagique qui avait .détruit : 1° le noyau accessoire et le noyau principal du facial .gauche ; 2° les deux noyau
au accessoire et le noyau principal du facial .gauche ; 2° les deux noyaux d'origine de la 6° paire. Les troubles fonction
s en organisation. Le ganglion de la base, lui-même bien construit ( noyau sphérique) est nettement formé et franchement s
celui des autres vertébrés, on y distingue alors deux parties : le noyau caudé et le pulamen. Celle progression n'est d'
t à exciter, aprèsavoir réséqué les hémisphères, le corps strié, le noyau lenticulaire, la couche optique, les tuber- cul
transfixions. En voici les résultats : 1° L'excitation mécanique du noyau caudé et du noyau lenticu- laire demeure sans e
oici les résultats : 1° L'excitation mécanique du noyau caudé et du noyau lenticu- laire demeure sans effet. Il n'existe
d'action. Si l'on transperce le ganglion de la base au milieu du noyau caudé, on a de la peine à obtenir des réactions q
de l'a- coustique prend son origine dans le tubercule auditif et le noyau antérieur de ce nerf; mais ces deux ganglions s
tation de renforcement. La région qn'occupe la couche inférieure du noyau de Deilers (iéseau de fibres avec un terri- toi
rvelet. Le lien d'origine du bulbe est le territoire sous-jacent au noyau de Deiters, celui du cervelet est le vermis (le
sseaux qu'on voit entourés de masses opaques, contenant beaucoup de noyaux constituant le premier degré d'une tache de dés
53 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s mouvements du membre supérieur (V), du membre inférieur (y Y), le noyau cortical com- 17zuîz au grand hypoglosse, au fa
ze ans, présentant les symptômes caractéris- tiques delà lésion des noyaux du moteur oculaire externe, du trijumeau, du fa
ntrale, siégeant, dans la substance grise du bulbe, à la hauteur du noyau du facial ; elle n'atteint d'ordinaire pas les
la hauteur du noyau du facial ; elle n'atteint d'ordinaire pas les noyaux des nerfs crâniens; dans ce cas par- ticulier,
du corps strié et de la capsule interne du côté droit, ainsi que du noyau caudé : sclérose de la colonne latérale gauche de
les aux altérations de la poliomyélite. Pas d'atrophie certaine des noyaux de l'acoustique, mais bien atrophie partielle e
de vacuoles sur un certain nombre d'entre elles; multiplication des noyaux du sarcolemme et du périmysium interne, nombreux
ation des noyaux du sarcolemme et du périmysium interne, nombreux noyaux centraux ; prolifération du tissu conjonctif faib
veau antérieur se compose uniquement du corps strié qui contient un noyau en forme de calotte sphérique. Ce noyau fournit
corps strié qui contient un noyau en forme de calotte sphérique. Ce noyau fournit, chez les reptiles, les matériaux de dé
Les vieux arguments anatomo- pathologiques de cellules à plusieurs noyaux , transformation finement granuleuse, de la subs
couche de substance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux . La troisième couche, celle des grandes cellules,
cellules, ne pré- sente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans ordre apparent dans une
quées, surtout du côté gauche. Diminution comparative du volume des noyaux . Du même côté, dans la moelle cervicale, les co
sont de deux ordres et vont : 1° les unes, du pied du pédoncule aux noyaux du corps strié en suivant l'étage inférieur; à
optique, en suivant l'étage supérieur; 2° les autres, de chacun des noyaux gris centraux à l'écorce cérébrale (libres cortic
droit et gauche par conséquent, s'entre-croisent et atteignent les noyaux gris bulbaires. Des noyaux bul- baires, qui pou
uent, s'entre-croisent et atteignent les noyaux gris bulbaires. Des noyaux bul- baires, qui pour le grand hypoglosse sont
iles blanches internes du plancher du quatrième ventricule2, de ces noyaux , les fibres de l'hypoglosse se portent en avant
olive de la pyramide antérieure (origine apparente). Ainsi donc les noyaux gris du bulbe, d'après ces nouvelles données d'
au, qui n'auraient plus dès lors, une origine réelle bulbaire à ces noyaux , mais bien une origine corticale, au pied de la
Artaud. Arch. de i\'eur., VII, p. 300 et suiv. ' On décrit aussi un noyau accessoire de l'hypoglosse, a la partie in- ter
aussi un noyau accessoire de l'hypoglosse, a la partie in- terne du noyau antéro-latéral ; ce noyau accessoire' parait être
de l'hypoglosse, a la partie in- terne du noyau antéro-latéral ; ce noyau accessoire' parait être une dépendance de la su
yau accessoire' parait être une dépendance de la substance grise du noyau antéro-latéral. Il présente ordinairement des l
téral. Il présente ordinairement des lésions identiques à celles du noyau principal dans la paralysie labio-glasso-laryng
trois groupes de fibres, qui, après avoir évidemment traversé leurs noyaux gris bul- baires, vont respectivement émerger,
fuges entre-croisées se mettent en l'apport avec les cellules des noyaux d'origine des nerfs moteurs du bulbe dont les fib
'hémianesthésie : la capsule interne sectionnée en avant « entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire », ' Il est démo
la capsule interne sectionnée en avant « entre le noyau caudé et le noyau lenticulaire », ' Il est démontré par la marche
la section portant plus en arrière « entre la couche optique et le noyau lenticulaire » c'est de l'hémianesthésie que l'
se terminant dans une masse grise située en avant et au-dessous du noyau rouge de Stilling. De telle sorte que, dans le
aux, après avoir traversé directement la capsule sans s'arrêter aux noyaux gris centraux ou fibres pédonculaires ou direct
segment lenticiilo-strié sur la coupe horizontale de Flechsig). 13; noyau lenticulaire. Fig. z Coupe frontale. - 1 ; cire
postérieure). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (genou). 12; noyau lenticulaire. -13; cipsule externe. lt; avant-m
r de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; estr. postérieure du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ; couche op
extrémité antérieure, 3 ; estr. postérieure du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ; couche optique 5 ; capsule ex-
es des pédon- cules cérébelleux supérieurs (étage supérieur). 5, 5; noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs.
d'un aspect trouble, dans lequel il est impossible de distinguer le noyau ; leur forme est arrondie; elles sont complèteme
e- ment granuleux, se colorant faiblement par le carmin, par leur noyau qui est conservé et se présente avec des contours
avec l'imprégnation alcoolique. l'autopsie décèle l'altération des noyaux d'origine des nerfs crâniens correspondants, dans
er du quatrième ventricule qui, principalement sur le territoire du noyau de l'oeulo-inoteur commun,' est atteint d'hy- p
mais avec hyperplasie vasculaire considé- rable dans le domaine des noyaux mêmes de l'oculo-moteur externe, de l'oculo-mot
xterne, de l'oculo-moteur commun, du pathétique, de l'hypo. grosse, noyaux des plus dégénérés. p. Ici. Vil. UN CAS DE GOMM
dégénérescence graisseuse peu accusée du myocarde au microscope, le noyau bulbaire du nerf pneumogastrique et de l'access
vités dans différents endroits de la moelle al- longée (l'olive, le noyau de l'hypoglosse, etc.). La sub- stance blanche
it plus prononcée sur le corps rhomboïdal réduit à la grosseur d'un noyau de prune et d'une dureté cartilagineuse. Nous
e côté, qu'on a observé chez le chien, après l'ablation complète du noyau caudé, un mouvement de manège fort particulier
ent postérieur de la capsule interne (entre la couche optique et le noyau lenticulaire) ; somme toute, ces endroits seraien
es oculo-moteurs communs (troncs, fibres radiculaires, cellules des noyaux réels) ; à côté de cela, on trouve à cheval au-
noyaux réels) ; à côté de cela, on trouve à cheval au-dessus de ces noyaux ordi- naires, deux nouveaux groupes de cellules
que ne le sont celles de ces derniers. Atrophie des racines et des noyaux des oculo-moteurs externes. Région d'origine do
urs rameaux musculai- res. Hypoglosse gauche atrophié ainsi que son noyau . Nerfs optiques; légère altération interstitiel
veuses ; elles sont finement grenues et possèdent chacune plusieurs noyaux irrégulièrement répartis. Observation IL Nombre
postérieures, des colonnes de Clarhe, de la substance blanche, des noyaux et des racines des nerfs, dégéné- rescences mus
usculaires considérables (régression des fibres pro- tiféfation des noyaux ). Faible atrophie des nerfs périphériques; dégé
en haut, la première racine de la première paire cervicale jusqu'au noyau de l'oculo-t-noLeur externe. Les organes atteints
corne postérieure, les racines de l'accessoiré de \1'illis, - le noyau postérieur du pneumo-gastrique, le faisceau solit
e noyau postérieur du pneumo-gastrique, le faisceau solitaire, le noyau antérieur-moteur du nerf vague, le noyau du gloss
le faisceau solitaire, le noyau antérieur-moteur du nerf vague, le noyau du glosso- pharyngien, une partie de la racine
- pharyngien, une partie de la racine ascendante du trijumeau, le noyau des cordons latéraux, dans le domaine de l'acous-
ns le domaine de l'acous- tique, une partie du corps restiforme, du noyau interne de l'acoustique, quelques-unes des fibr
es-unes des fibres qui joignent le cervelet à ce nerf. Intégrité du noyau de Iloller, des noyaux de l'hypoglosse, du faci
joignent le cervelet à ce nerf. Intégrité du noyau de Iloller, des noyaux de l'hypoglosse, du facial, du noyau moteur et
rité du noyau de Iloller, des noyaux de l'hypoglosse, du facial, du noyau moteur et de la racine descendante du triju- me
ultés intellectuelles, les mêmes idées forment dans le complexus un noyau manifeste, il est probable, presque certain mêm
cocytes; sclérose sous-épeudymaire allant jusque dans la région des noyaux gris sur le plancher du quatrième ventricule et
culaires sont gorgés de globules blancs. Les cellules rondes et les noyaux prédominent par rapport aux cellules pyramidale
oins par les couleurs d'aniline que dans les cerveaux normaux; leur noyau est moins nettement limité, le nucléole moins b
(de l'aphémie, b). 9 ; faisc. orbitaire. 10; corps calleux. 11 ; noyau caudé (grosse extrémité, antérieure). 12 ; capsul
segment lenticulo-strié sur la coupe horizontale de Flechsig). 13 ; noyau lenticulaire. FIG. 4. - Coupe frontale. 1 ; cir
l'hypoglosse, etc. e). 7 ; faisc. sphénoïdal. 8 , corps calleux. 9; noyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure)
postérieure). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (genou). 12; noyau lenticulaire. -13; capsule externe. H; avant-mu
r de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; CXLR. postérieure du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ; couche opt
1 ; extrémité antérieure, 3 ; CXLR. postérieure du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ; couche optique 5 ; capsule ex
s des pédon- cules cérébelleux supérieurs (étage supérieur). 5, 5 ; noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs.
54 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
utes ces courbes restent, dans tout leur parcours, intrinsèques aux noyaux de la base. Quelques-unes, les plus longues et
Quelques-unes, les plus longues et les plus élevées, débordent les noyaux , leur deviennent extrinsèques, et longent la pa
ieur, le pied de la couronne rayonnante ré- pond au bord externe du noyau caudé. Ce prétendu pied, formé par une série de
qu'ici où elles font, pour ainsi dire, bande à part, en dehors des noyaux de la base. Dans ce travail, notre but est d'
scendantes du corps calleux. Le commencement de l'avant-mur et du noyau lenticulaire y ont disséqué le fasciculus-un- c
M. Dieulafoy, dans laquelle la lésion, au lieu d'être adjacente au noyau caudé, siégeait sur un point diamétralement opp
ncts. Sur les trente millimètres de l'épaisseur comprise entre le noyau caudé et l'écorce de la troisième frontale, les
vons-nous dit, que les cinq millimètres internes confinés à côté du noyau caudé et se recourbant vers la base. Il y a don
ité de l'abcès, mais seulement par le pus qui s'est formé à côté du noyau caudé. Dans les faits de Gintrac et de M. Dieul
e en dehors par la pie-mère. A l'union de l'extrémité antérieure du noyau ventriculaire du corps strié avec la substance
iminution de consistance dans la substance médullaire, adjacente au noyau caudé, ne pouvait pas avoir de signification, c
gère diminution de consistance de la substance médullaire à côté du noyau caudé, et néanmoins, le microscope lui fait déc
a consé- quence de la lésion légère située sur le bord externe du noyau caudé. Les cliniciens conviennent, d'ailleurs,
ventricule latéral. 2. Section transversale de ce faisceau. 3, Noyau caudé. PLANCHE II Coupe anléro-poslérieure ii
la deuxième scissure frontale. F S, Ligne fornicato-sylvienne. c, Noyau caudé. il, Dentelures formées par l'extrémité i
erne. C op. Couche optique. F S, Ligne fornicato-sylvienue. Ne, Noyau caudé. N 4, Noyau lenticulaire. fi. 1, Racine
optique. F S, Ligne fornicato-sylvienue. Ne, Noyau caudé. N 4, Noyau lenticulaire. fi. 1, Racine inférieure de la co
font souvent défaut ou sont très courts, il y a quelque- fois deux noyaux . Les cellules des colonnesde Clarhe et du tractus
ution expérimentale LA CONNAISSANCE du Colti'S IIFSTI- l'Ulruh., DU NOYAU EXTERNE DE L'.1COUS1'IQUH : , El' DE LEURS H11'YO
surface de coupe de l'acoustique, entre le coi psrebti- forme et le noyau interne de ce nerf, sur les côtés du segment in-
ultipolaires, de gros calibre, que Clarke a désignée sous le nom de noyau externe de l'acoustique. Presque tous les auteu
mit l'analyse plus facile du corps restiforme, des prolongements du noyau considéré etdelaterminaisond'unepartteducorpsre
he avec lui, trouve une fin provisoire dans les grandes cellules du noyau externe de l'acoustique. Peut-être le faisceau
nit-il encore au cervelet, mais ce doit être bien peu. Au-dessus du noyau externe de l'acoustique, de nouveaux tractus de
es fibres arciformes issues de la formation réticulaire. Quant au noyau externe de l'acoustique, il n'affecte aucun rappo
ue ; il dépend bien plus de la moelle et doit être regardé comme un noyau du faisceau cunéiforme. Le segment in- terne du
iforme. Le segment in- terne du pédoncule cérébelleux touche peu au noyau envisagé ici. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
couche optique et sa région moyenne, la partie inféro-antérieuredu noyau caudé, la partie inférieure de l'insula et les
ncher du quatrième ventricule près du « locits coeruleus », dans le noyau moteur du nerf trijumeau (cellules soi-disant t
Pierret, où les faisceaux cunéiformes en relation immédiate avec le noyau du pneumogastrique étaient altérés, l'auteur av
l'opinion que les crises gastriques dé- pendent d'une irritation du noyau du pneumogastrique. Etant donnée cette localisa
ne tuméfaction des cellules de la névroglie avec multiplication des noyaux et finalement état vacuolaire et destruc- tion
isième frontale, lésion du faisceau pédiculo- frontal inférieur, du noyau lenticulaire et de la partie antérieure de la c
ffet, dans l'observation de M. Déjerine, la lésion n'embrasse ni le noyau caudé, ni les irradiations capsu- - ]aires extr
bre. Sous les cireoizvo- lutions de l'insula droit et en dehors' du noyau extna-ventriculaire du corps strié, se trouve u
hérome de la cérébrale antérieure chargée d'artérialiser la tête du noyau caudé et la partie de la substance médullaire a
paient la place d'un vaisseau oblitéré et remplacé par une masse de noyaux ayant proliféré. Id. 11f. C. XXV. Le réflexe
a, jusqu'à ce jour, point observé d'atrophie centripète gagnant les noyaux nerveux. Donc, il regarderait comme fort probab
rke se garde, 5 bon droit, d'admettre l'hypothèse trop libérale des noyaux libres, parce que le système nerveux central po
érales; plus haut,, il est rejeté un peu en dehors et en arrière du noyau de l'hypoglosse, se re- polie graduellement ver
s extrêmes et postérieures, ,et parvient ensuite au bord externe du noyau du pneumogastrique. C'est ici que, sur des coup
verticales et transversales, on , voit à l'extrémité antérieure du noyau du pneumogastrique île faisceau s'amincir extrê
c tle.cei-cle,légè- rement convexe en avant, dans la masse grise du noyau duiglos- sopltarygien. Aucune pince ne démontre
tasma (les prolongements semblent partir et même partent parfois du noyau ); les autres sont munies d'un corps cellulaire
s d'un corps cellulaire dans lequel on n'aperçoit fréquemment aucun noyau . Les pre- mières fournissent des prolongements
a pénétré dans la substance de l'encéphale, et se rendent alors aux noyaux de l'oculo-moteur commun correspondant. P. K.
imique, de la neuro- kératine bien plus que du tissu élastique. Les noyaux qui occupent la substance même de ce réseau app
strowitz, Kuhne, Boll (Arch. f. Psych. III, IV); il n'existe pas de noyaux libres; la charpente conjonctive n'est pas contin
rsales, état cireux, absence de bien des fibres, multiplication des noyaux , hyperplasie conjonctive, aug- mentation du tis
mais venant occu- per la gauche, du bulbe et envahir la région des noyaux gris. Hyper- plasie des cellules de la névrogli
- mier stade de tuméfaction trouble du protoplasme, qui masque le noyau , est suivi de rétraction du contenu cellulaire; p
uivi de rétraction du contenu cellulaire; pendant cette période, le noyau devient fortement réfringent, tandis que le cor
on- nexion avec ses prolongements qui s'atrophient. Plus tard, le noyau n'a plus de limites tranchées, et disparait total
est loin d'être directe, elle n'a lieu que par l'intermédiaire d'un noyau à grandes cellules dit nucleus ma- gnocellulari
mé- dian de l'hémisphère gauche. A ce lobule est appendu un petit noyau gros comme un noyau de cerise, qui se trouve sépa
sphère gauche. A ce lobule est appendu un petit noyau gros comme un noyau de cerise, qui se trouve séparé du premier par
r l'altération ne commençait qu'à l'extrémité la plus inférieure du noyau de l'oculomoteur externe et l'oculomoteur exter
nse que les fibres de l'oculomoteur externe et quelques portions du noyau de ce nerf étaient atteintes, peut-être la duré
s la protubérance et la moelle allongée; il est probable qu'ici les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil étaient intéressés.
s. Pas de lésions dans les hémisphères, ni dans les ventricules. Le noyau lenticu- laire gauche seul est le siège d'un fo
ccidentelles. Le foyer de ramollissement jiémorrhagique sis dans le noyau lenticulaire gauche explique et la genèse et l'
que notre longue analyse met suffisamment, selon nous, en relief le noyau du livre de M. Arndt. Est-ce à dire qu'il ne soit
se d'un aliéné, par Hcester- mann, 95. Acétal, 383. Acoustique ( noyau externe de ! '), 9. Admission des aliénés dan
ventricule latéral. 2, Section transversale de ce faisceau. 3, Noyau caudé. hâves de Neurologie . ' T. VIII . PI . I
la deuxième scissure frontale. F S, Ligne fornicato-sylvienne. c, Noyau caudé. d, Dentelures formées par l'extrémité in
' C op, Couche optique. F S, Ligne fornicato-sylvienne. Ne, c, Noyau caudé. N 4, Noyau lenticulaire. i. l, Racine
tique. F S, Ligne fornicato-sylvienne. Ne, c, Noyau caudé. N 4, Noyau lenticulaire. i. l, Racine inférieure de la cou
55 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
de tout aspect onduleux, la gaîne présente une formation exagérée de noyaux analogues à ceux de la névro-glie, sphériques ou
ortement par le carmin et par la fuchsine, beaucoup plus que d'autres noyaux plus volumineux, plus nettement ovoïdes, qu'on ob
sous-jacentes. 11 est fréquent de constater des étranglements de ces noyaux , ce qui indiquerait qu'ils se multiplient par s
plus fréquent, peut consister exclusivement en une multiplication des noyaux conjonctifs, sans épaisissement et sans aspect fa
spect fascicule de la membrane. L'activité de la prolifération de ces noyaux peut leur ôter toute leur régularité dans leur di
(tunique propre de M. Robin) consiste en une multiplication des gros noyaux ovoïdes longitudinaux de cette membrane. Cette mu
nt défaut. Elle semble aussi se faire par voie de segmentation et les noyaux de nouvelle formation ont leur grand axe dans des
'une seule membrane à la surface de laquelle on peut voir de nombreux noyaux , ou, plus souvent, des corpuscules fusiformes de
ique qui a détruit la couche optique gauche, la partie postérieure du noyau intraventriculaire du corps strié gauche et l'éta
t sanguin clans leur épaisseur. Foyer d'hérnorrhagie récente clans le noyau extra-ventriculaire du corps strié droit. Plusieu
hémorrhagique qui a détruit la couche optique gauche et intéressé le noyau extraventriculaire du corps strié. On a rencontré
érébrale présentent au microscope une multiplication très notable des noyaux de la gaine lymphatique avec grains d'hématoïdine
émisphère droit, sous les circonvolutions de l'insula et en dehors du noyau extraventri-culaire du corps strié, un épancherne
un épanchernent sanguin, dont le point de départ semble avoir été le noyau tœniforme. — Dans la partie correspondante de l'h
7 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer récent dans la partie postérieure du noyau blanc de l'hémisphère cérébral gauche. Ancien foy
ril 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer d'hémorrhagie récente dans le noyau blanc de l'hémisphère cérébral droit, à la partie
On constate à Yautopsie un foyer ocreux brunâtre,linéaire,clans le noyau intra-ventriculaire du corps strié du côté droit.
partie correspondante à l'hémisphère gauche. La plus grande partie du noyau extraventriculaire du corps strié du côté gauche
le pouvoir être rapporté à une ancienne hémorrhagie, et qui occupe le noyau intraventriculaire du corps strié de l'hémisphère
ocreux d'hémorrhagie ancienne dans l'hémisphère gauche, l'un dans le noyau intraventriculaire du corps strié, l'autre dans l
topsie, on trouve deux petits foyers ocreux en dehors et au-dessus du noyau extraventriculaire du corps strié droit. Plusieur
optique du côté droit. Autre ancien foyer à la partie postérieure du noyau blanc du lobe occipital du même côté. — Anévrysme
n. M.., 76 ans. Morte, le 11 mai 1867, d'un ramollissement rouge du noyau blanc de l'hémisphère gauche, en dehors du corps
, cicatrice cellulo-membraneuse à l'union de la tète avec la queue du noyau caudé du corps strié gauche. Dans le foyer, on tr
à parois contiguës, des dimensions d'une grosse amande, en dehors du noyau extra ventrieulaire du corps strié droit. On tr
e, on trouve un foyer ocreux, à contenu liquide, jaunâtre occupant le noyau intraventriculaire et la couche optique de l'hémi
s néo-membranes de la dure-mère; un foyer ocreux peu volumineuxdansle noyau extra-intraventri- ). Observation communiquée p
renseignement sur les symptômes observés pendant la vie. Autopsie : Noyaux d'hépatisation rouge clans les lobes inférieurs d
eumonie lo-baire le 25 octobre 1866. A Vautopsie, on trouve dans le noyau interne du corps strié un ancien foyer légèrement
aux. — Nombreux anévrysmes des petites artères (couches corticales et noyaux blancs des hémisphères, corps striés, protubéranc
. R, 41°. Obs. XIII. Marazin, 71 ans. — Foyer hémorrhagique dans le noyau gris tœniforme droit. Début le 28 octobre 1866.
r. TR. 41°, 8. Obs. XXIV. Fraisier, 03 ans. — Ramollissement blanc, noyau extra-ventriculaire du corps strié. — Début subit
ie, rappelle que dans les hémorragies cérébrales dont le siège est le noyau lenticulaire du corps strié, l'hémiplégie est due
ent; il y a, profondément, une couche caractérisée par la présence de noyaux larges, elliptiques, à grand axe dirigé suivant l
ement, cette couche est recouverte par une autre couche contenant des noyaux très allongés et très étroits, dirigés dans le mê
dans le même sens que les précédents. Nous avons cependant trouvé des noyaux transversaux intermédiaires aux deux couches pr
s rarement, si ce n'est dans les vaisseaux assez larges, la tunique à noyaux transversaux, ou tunique musculaire, était contin
ées, ondu-leuses. Outre ces faisceaux filamenteux, il y a de nombreux noyaux , d'un diamètre large, elliptiques, disséminés au
bstance granuleuse. Quand on dilacere la préparation, on voit que ces noyaux , pour la plupart, appartiennent à des éléments fu
as de matière noire. Il fait seulement apparaître plus clairement les noyaux embryo-plastiques, et il fait pâlir les faisceaux
elle s'organise de plus en plus. On y trouve du tissu connectif, des noyaux , des corps fusiformes, des vaisseaux. Plus tard,
r, le ramollissement s'étendait dans la direction du corps strié : le noyau extra-ventriculaire du corps strié tout entier et
strié : le noyau extra-ventriculaire du corps strié tout entier et le noyau intra-ventriculaire dans sa moitié postérieure se
es, dites flbro-plas-tiques, renfermant toutes un, deux ou même trois noyaux . Il y a aussi des noyaux libres; ceux-ci, comme l
es, renfermant toutes un, deux ou même trois noyaux. Il y a aussi des noyaux libres; ceux-ci, comme les noyaux renfermés dans
même trois noyaux. Il y a aussi des noyaux libres; ceux-ci, comme les noyaux renfermés dans les cellules, portent des nucléole
rnière substance, colorées à l'aide du carmin, ont paru présenter des noyaux de la névroglie en plus grand nombre que dans l'é
ion ammoniacale de carmin et portés sous le microscope. A droite, les noyaux de tissu conjonctif sont, comme dans l'état norma
acale de carmin, et portés ensuite sous le microscope, montraient des noyaux beaucoup plus abondants et plus rapprochés les un
succombe le 8 décembre à une heure du matin. Autopsie. — Plusieurs noyaux d'hépatisation grise au sommet du poumon droit. D
u niveau d'un point où le calibre de l'artère est rétréci déjà par un noyau athéromateux. Sur l'hémisphère gauche il existe u
elettes graisseuses isolées. — Dans l'intervalle existent de nombreux noyaux , disséminés dans une gangue amorphe, qui se color
du côté droit, ont un contour arrondi, comme dans l'état normal. Les noyaux clu sarcolemme paraissent dans les intervalles de
l'acide acétique, on voit se former en leur place deux ou même trois noyaux irréguliers et comme ratatinés. Dans le liquide i
n et le cervelet ne présentent aucune lésion appréciable. De petits noyaux cancéreux se voient sur la face convexe du foie.
s sont portés sous le microscope et comparés entre eux. A gauche, les noyaux sont très nombreux et rapprochés les uns des autr
re qui a pris l'apparence fibroïde. C, Gaîne lymphatique chargée de noyaux . D, Noyaux de cette gaîne notablement multiplié
l'apparence fibroïde. C, Gaîne lymphatique chargée de noyaux. D, Noyaux de cette gaîne notablement multipliés. Fig. 2.
où Ton voit disparaître les libres musculaires, en même temps que les noyaux de l'adventice se multiplient et que le vaisseau
56 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Le bulbe ne présente d'autre altération que les suivantes : dans le noyau du facial gauche : atrophie simple de nombreuses
cellules, quelques-unes ayant conservé leur aspect normal. Dans le noyau de la VI" paire gauche, même atrophie do nombreus
e atrophie do nombreuses cellules, la partie centrale et externe du noyau étant seule com- plètement respectée. ' Nous
ublié en 1S ! )S. (Archives de Neurologie, t. IX, 1900, p. 421). Le noyau terminal de la portion sensible du trijumeau es
qui mettent en communication le centre cor- tical extirpé avec les noyaux des nerfs moteurs des muscles ocu- laires ou av
ncule est l'émanation de libres dégénérées dans la direction de ces noyaux . Après avoir franchi la substance de Soemmering
ring, elles affectent un trajet postéro-interne en con- tournant le noyau rouge en dehors et en dedans. Outre ces libres
noyau rouge en dehors et en dedans. Outre ces libres destinées aux noyaux de l'oculomoteur commun du même côté, il en est
ôté, il en est qui gagnent le raphé, pour probablement aboutir au noyau de ce nerf du côté opposé. Mais il a été impossib
i- sir le point de jonction direct des fibres dégénérées avec les noyaux . Par contre, des deux côtés dans la partie postér
ercule quadrijumeau antérieur décèlent, à peu près à la hauteur des noyaux du pathétique, de longues libres dégénérées qui
de Govvers. Il doit naître au niveau de la capsule externe et du noyau lenticulaire. .1. S. Iï. Iiussel en décrit un a
dans la moelle dorsale inférieure : on remonte ainsi jusqu'à leurs noyaux bulbaires. La substance grise, celle surtout des
ptique qui reçoit les fibres centripètes de l'écorce. Intégrité des noyaux rouyes. Altération de la portion médiane et ? l
op- per (mottes de myéline et cellules granuleuses). Intégrité du noyau lenticulaire, de la commissure antérieure, 'du co
lcs circonvolutions, des sillons. Volume, du cerveau normal. . Le noyau dentelé du cervelet, la substance blanche cérébel
côté droit de la protubérance, et, par suite, du ruban de Reil, des noyaux des nerfs crâniens ; une hémorl'ilagic inlnt-Cl
Plus affecté, II' no) au sensitif du trijumeau ; l'intégrité de son noyau moteur trace la limite supérieure du foyer. L
ment; le nerf cocliléairc nLaiL 1(·s(·. Au nerf veslibulaire, ou au noyau veslibulaire, ou encore au pédoncule cérébelleu
ocié (i-émulant de muscles synergiques. Il émane de l'excitation du noyau du fa- cial oculaire qui irradie par le faiscea
u sphincter irien. M, Schullze pense qu'il s'agit d'une lésion du noyau de l'oculomoteur commun, probablement d'une hl'll
automatique. Les couches optiques, en particulier, contiennent des noyaux qui président à la vaso-motricité, aux mouvemen
l'écorce. Les cel- lules de la couche grenue, petites, ont un gros noyau ainsi que trois à quatre prolongements prolopla
couleurs basiques doivent cette particularité à la dissolution des noyaux , c'esL-à-<lil'e il la cl1l'oll1hLine nUcll'a
teux et. inflammatoire. P. Keraval. XXIV. Lésions microscopiques du noyau du pneumogas- trique dans un cas de carcinome d
1904.) Chromatolyse des cellules nerveuses occupant la partie du noyau dorsal qui borne le bord supérieur et interne de
cellules dans le groupe le plus inférieur de la portion moyenne du noyau ambigu (figure). P. KERAYAL. XXV. Des centres d
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 131 ticaux de ces muscles siégeant dans les noyaux des nerfs corres- pondants constituent, par sui
on bilatérale des centres frontaux des mouvements des yeux avec les noyaux des nerfs abducteurs. En outre de ce mécanisme
desyeuxjouant le rôle de centre réflexe, en relation avec les mêmes noyaux des nerfs abducteurs parle moyen, chez l'animal
convergence qui régissent les muscles interne des eux occupent les noyaux des oculo-mo leurs. S'il n'y a pas un centre sp
hères cérébraux doivent en même temps se porter sur l'un el l'autre noyau qui meut l'oeil en dedans. En réalité, quand on
elle s'est résorbée lentement. S'il y avait eu hémorrhagie dans le noyau même du nerf, le facial eût été simultanément att
iculière dans les pa- ralysies centrales à foyer placé au-dessus du noyau du facial ; il témoigne de t'atteinte concomita
nt dépourvue de libres, s'est rapprochée de la pointe inférieure du noyau caudé (\. C.) qu'elle touche presque. Entre les
dégénérée supérieure, passant en dessus de la pointe inférieure du noyau caudé aborde le corps genouillé externe par sa
n- sidérable de la substance chromatique, des lésions diverses du noyau , de la déformation protoplasmique; les cellules n
sions peuvent exister aussi bien dans le cortex que dans les divers noyaux gris de l'en- céphale (lfaUl'c et Laignel-La\as
ent diminué. P. 11ER.1VAL. LI. La voie tectospinale descendante, le noyau intra- trigéminal et les points de repère d'ori
antérieur de la moelle du côté opposé. En ef- fet, de la région du noyau du trijumeau partent des libres qui s'appliquen
iste des cel- Iules à structure motrice qui sont en plein milieu du noyau mé- scncéphalique du lrijumeau (territoire du t
ju- meau antérieur) et qu'on a par suite désignées sous le nom de noyau spinal du toit, noyau intrat¡'igc ! ¡1Ú¡wl, Ell b
et qu'on a par suite désignées sous le nom de noyau spinal du toit, noyau intrat¡'igc ! ¡1Ú¡wl, Ell bien ! les fibres qui
au longitudinal postérieur contiennent-elles celles qui viennent du noyau intratrigéminal quel est leur Ira- jeu ultérieu
r dans la moelle ? '1 De ses recherches, l'auteur conclut : 1" Le noyau inlratrigéminal est le seul noyau qui fournisse
herches, l'auteur conclut : 1" Le noyau inlratrigéminal est le seul noyau qui fournisse des fibres spinales dans le terri
nantes excitomolrices des mouvements oculaires dans la sphère du noyau sensitif du trijumeau. Ainsi peut s'orienter la r
ijumeau. Ainsi peut s'orienter la rétine.- 4° La pointe ventrale du noyau (frontal) spinal du frijumeau donne naissance à
stiques, actes impulsifs. Bonnier localise ce syndrome au niveau du noyau de Deiters, or- gane qui est en rapport avec le
st en rapport avec les pédoncules cérébelleux inférieurs et par les noyaux des moteurs oculaires commun et externe avec le
vec les libres du ruban de Reil et la voie sensitive centrale. Ce noyau est en rapport avec le ¡. ! 1oso-pharyngien, le g
du trijumeau et les libres de la racine cochléairc de l'auditif. Ce noyau Üe Darters a une grande importance, car il repr
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 291 LV1). -Du rôle du noyau caudé ; par W. E. ST;EDA.(0&o)'e)t;<; ps
T;EDA.(0&o)'e)t;<; psichiatrii, VU, 1902.) De la fonction du noyau caudé ; par le même, (Neumlogisclt. Centralblll
res expériences confirment que nous ne savons rien des fonctions du noyau caudé. Les procédés d'irri- talion physiologiqu
qu'ultérieurement en le divisant en deux por- tions distinctes, le noyau caudé et le novau lenticulaire, pour s'enracine
ges synoptiques. P. Keraval. Ll\. Recherches psychologiques sur le noyau lenti- culaire ; par M. SCHAIKEWITSCH. (Oboreni
xamens confirmatifs à la méthode de \Iarclii-Busch. L'excitation du noyau après ablation couche par couche de l'hémisphèr
la tête ducutéopposé eL cri. L'excitation du segment interne et du noyau caudé fournil les mêmes résultats. llenforcc-L-
une modification du pouls. L'excifalionunilalérale ou bilatérale du noyau lenticulaire par la scissure de Sylvius, après su
raduelle de la tempe- rature. Cinq expériences où, chez le lapin,le noyau lenticulaire fut piqué à l'aide d'une aiguille,
région des tubercules quadrijumeaux (sans, d'ailleurs, envahir les noyaux des nerfs oculaires), allant en bas presque jusqu
émontré que 54 ans après l'amputation de la cuisse, les cellules du noyau delà jambe et de celui du pied étaient conser-
de localisation (hémispasme facial). A l'autopsie : destruction du noyau caudé par tumeur du volume d'une noix ; atrophi
volume d'une noix ; atrophies croisées du cervelet par rapport au noyau caude, du bulbe et delà moelle par rapport au cer
s a été attribué à une localisation spéciale des lésions nerveuses ( noyau caude. capsule interne, 312 REVUE DE PATHOLOGIE
(noyau caude. capsule interne, 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. noyau lenticulaire. Parhon). Les ailleurs pensent que s
du genou du facial, mais les fibres semblent déjà épuisées vers le noyau très volumineux de ce nerf, de sorte qu'au dess
rises. A partir du 3s mois, l'excitation dp la couche optique et du noyau caudé produit des phénomènes cardiovasculaires
respiratoires ; les dernières recherches expli- quent les effets du noyau coudé par la fusée du courant de la cou- che op
du noyau coudé par la fusée du courant de la cou- che optique à ce noyau . Quand on excite les tubercules quadriju- meaux
tie antérieure : les libres arcifurmes externes et antérieures, les noyaux arciformes,le noyaux rétro- pyramidaux et juLa-
libres arcifurmes externes et antérieures, les noyaux arciformes,le noyaux rétro- pyramidaux et juLa-olivaires; le ruban d
ItESTnr·.mr. De l'avènement du en Russie, par Oslanlcow, 152. . Noyau du pneumogastrique. Voir Carcinome. intratngé-
r,ii,. Voir Syringomyélie. La voie lectospinale des- cendante, le noyau intratrigé- minal et les points de repère d'o
57 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
afflue donc au cerveau et en dilate les capillaires. P. K. V. Du noyau externe du faisceau cunéiforme dans LE bulbe ; pa
forme dans LE bulbe ; par L. 13LUfENAU. - QUELQUES REMARQUES SUR LE noyau EXTERNE du faisceau cunéiforme; par le même. (N
te, d'un nouveau-né et de plusieurs embryons de différents âges. Le noyau externe en question appa- raît d'abord à la rég
en cette région, plus profondément, on trouve, notamment contre le noyau interne, quelques cellules ressemblant, par leu
cellules ressemblant, par leur grandeur et leur forme, à celles du noyau externe. Ce sont ces cellules périphériques du
e, à celles du noyau externe. Ce sont ces cellules périphériques du noyau interne qui en se groupant forment ou plutôt renf
du noyau interne qui en se groupant forment ou plutôt renforcent le noyau externe bientôt supérieur en volume au noyau inte
u plutôt renforcent le noyau externe bientôt supérieur en volume au noyau interne. Plus haut, au-dessus des premiers trou
usseaux de la racine interne du pédoncule cérébelleux inférieur, le noyau interne disparaît peu à peu, mais totalement, t
ît peu à peu, mais totalement, tandis que l'extrémité supérieure du noyau externe peut être suivie jusqu'au plan inférieu
nférieur de l'émergence de l'auditif. Les cellules multipolaires du noyau externe ontun volume considérable (50 à 80 ); e
elations des cordons postérieurs avec le corps restiforme, c'est le noyau externe du cordon cunéiforme qui les établit av
lleux du même côté; il y a donc une analogie physiologique entre le noyau externe et les colonnes de Clarke. Le premier s
PATHOLOGIQUES. 107 latéro-cérébelleux. Il est même probable que les noyaux du faisceau cunéiforme sont en communication av
t la direction de leurs prolongements. La plupart des cellules du noyau externe appartiennent au pre- mier des deux typ
e gauche avait disparu, celle du côté droit était rudimentaire. Les noyaux internes du faisceau cunéi- forme étaient bien
internes du faisceau cunéi- forme étaient bien développés; mais les noyaux externes des deux côtés étaient atrophiés. P. K
(sclé- rose), le reste de la cellule demeurant sain. 2" C'est le noyau qui résiste le plus, et surtout le nucléole ; ces
sceau des fibres lon- gitudinales qui couvre comme d'une calotte le noyau de l'hypo- glosse, pour longer plus tard les cô
eumogastrique, est un faisceau dorso-longitudinal ; à la hauleur du noyau de l'auditif il s'étale en une bande étroite so
pent la substance grise centrale des cavités, se terminent dans les noyaux des couches optiques, dans le ganglion de l'hab
ganglion optique du la base, dans le corps de Luys, dans l'anse du noyau lenticulaire ; 3° Le faisceau dorso-longiludina
avant, une raie étroite de dégé- nérescence qui, le long du bord du noyau lenticulaire, peut être suivie jusque près duge
ce mémoire. La racine motrice du trijumeau prend naissance dans le noyau moteur du même côté; la racine descendante, dan
S fibres dans la substance grise ET des PRO- CESSUS DE division DES noyaux dans la moelle SOUS DES INFLUENCES pathologique
ement des cylindraxes. Dans les travées de subs- tance conjonctive, noyaux à contenu granuleux qui appartiennent aux cellu
partiennent aux cellules de la névroglie augmentées de volume ; ces noyaux aug- mentent, mais sans se multiplier; on ne co
ne dégénérescence secon- daire bilatérale. Ici, il y à division des noyaux dans les cellules con jonctives de la substance
segmentation inJil'ected'Al'I1old, caractérisée par la division du noyau suivant l'équateur ou le long de seg- ments éga
e la fragmentation nucléaire indirecte, c'est-à-dire la division du noyau en une place quelconque, formant des segments i
es cas de chorée simple ou de chorée avec délire, on trouve dans le noyau lenticulaire ou plutôt dans le globus pallidus
uve dans le noyau lenticulaire ou plutôt dans le globus pallidus du noyau lenticulaire de nombreux organites sphé- riques
nt 12 à 50 , dans lesquelles il est parfois permis de distinguer un noyau central et une écorce périphérique, mais jamais
leu. On les trouve dans la moelle et le bulbe, disséminés parmi les noyaux , dans la couche corticale au sein des gaines des
nérescence amyloïde commune. Ils résultent de la transformation des noyaux de la névroglie. Leur fréquence coïn- cide avec
tout le trajet depuis l'en- trée dans les centres nerveux, jusqu'au noyau beaucoup de masses noires caractéristiques pour
s pour les fibres ayant leur gaine de myéline atteinte; l'examen du noyau du facial (picro-carminé) démontre une atrophie
n du nerf. A l'examen on constate autant dans la racine que dans le noyau du facial les mêmes lésions, l'atrophie des cel
ne gliomatose, montée vers la moelle .allongée et ayant atteint les noyaux des hypo- glosses. Discussion : M. le Dr RosS
pense qu'il est plus probable d'admettre une hé- morrhagie dans le noyau du nerf hypoglosse, car il a eu une observation
ze et M. le pro- fesseur KOJEVNIKOFF croient plutôt à une lésion du noyau de l'hy- poglosse. M. le Dr IiORNILOFP pense
ANTES. sième ventricule) et les fibres pupillaires de Bechterev (au noyau du nerf moteur oculaire commun) n'existent pas;
sceau de fibres optiques qui réunissent la rétine de l'oeil avec le noyau du nerf moteur ocu- laire commun. Les observati
es deux centres, un troisième situé entre la substantia nigra et le noyau rouge, au niveau de l'oculo-moteur, dans le «tegm
art, la névrite est caractérisée par la prolifération nucléaire des noyaux de la plaque (Pl. VU, fig. 6). L'exécution des
acuole, on a l'impression qu'on se trouve en présence de cellules à noyaux . Tout d'abord nous nous sommes demandés s'il ne
y en a de petites (6 à 8 p.) qui ressemblent à des leucocytes, sans noyaux évidents; leur évolution indique quelle est leu
rmales en leurs diverses parties : myéline, cylindre- axe, gaine et noyaux . Au contraire, les vaisseaux sont presque tous
des corps chromatiques, qu'on prendrait, au premier abord pour des noyaux , mais qui rappellent aussi une coupe de cylindr
pour former des fibres grêles, et se fusionnent. La divi- sion des noyaux à l'intérieur des fibres jeunes produit la crois-
ié des éléments cellulaires. Les fibres étant devenues adultes, les noyaux des cellules passeraient à l'état de cellules i
ls sont abondants aux aisselles. Les testicules sont du volume d'un noyau de pêche; la verge est hien développée. Il se m
es intra-médullaires. Dans l'analyse minutieuse des altérations des noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, nous relevons ce q
rnier. Il n'est pas encore possible dans la colonne des cellules du noyau de l'ocuio- moteur commun d'attribuer à tel ou
et des mouvements de l'iris réside dans le segment antérieur de ce noyau , tandis que son segment latéral préside à la fo
xposé de Perlia est parfait : il y a lieu de distinguer en effet un noyau ventral postérieur (inféra-postérieur), - un noya
guer en effet un noyau ventral postérieur (inféra-postérieur), - un noyau ventral antérieur, (inféro-autérieur), un noyau
a-postérieur), - un noyau ventral antérieur, (inféro-autérieur), un noyau dorsal (supérieur), - des groupes de cellules m
e ces groupes continue jusque dans le 3° ventricule, sous le nom de noyau mé- dian antérieur, - enfin un noyau impair sag
3° ventricule, sous le nom de noyau mé- dian antérieur, - enfin un noyau impair sagittal ou central avec ses REVUE DE pa
s petits foyers de ramollissement dans la couche optique droite, le noyau lenticulaire du même côté, lamoitié droite et p
pie-mère. Anémie cérébrale. Vacuolisation des cellules nerveuses du noyau du facial et des deux trijumeaux. Inté- grité d
ent coaguler la lymphe; des cellules lymphatiques, par division des noyaux , se forment des cellules géantes dont proviennent
tées de volume; le protoplasma y était plus abondant, ainsi que les noyaux (on en trouvait deux et plus); elles émettaient
es : cellules rondes, ovales, anguleuses, contenant de un à quatre' noyaux contre la paroi des éléments, avec un protoplasma
ente des coupes de bulbe empruntées à un idiot, dans lesquelles, le noyau arciforme occupe le plan corres- pondant au bor
modifications allant jusqu'au centre, mais encore une altération du noyau lui-même. Pour prouver cette thèse, les rapport
près l'au- topsie a démontré des modifications destructives dans le noyau correspondant. Considérant comme prouvées les
rigine psvcltu- motrice, par Fuerstner, 277. Faisceau cunéiforme, noyau externe du -, par Blumenau, 106. Foi qui guér
danô l ? par Bannister, 454. Katatonie, par Percy Smith, 381 ; Noyau , 403. Logorrhée, par Klinke, S9. Manie, post
58 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
e y a fait reconnaître une multiplication plus ou moins accentuée des noyaux des gaines de Schwann ou de (•eux du névrilème, e
à la longue, M. Vulpian a noté depuis longtemps la. prolifération des noyaux du sarcolemme et quelques autres indires d'un pro
ain point ce qu'on trouve dans la cirrhose, et une multiplication des noyaux dusarcolemme. En même temps que ces altérations s
nerveuses, beaucoup de tissu conjoncttf fibrillaire avec de nombreux noyaux ovalaires, faiblement grenus. Les fibres nerveuse
une réduction de volume très prononcée et, d plus, ils renferment des noyaux en grand nombre. La striation transversale est co
mêmes diminués de volume, présentant une multiplication évi-dente des noyaux du sarcolemme, mais ayant conservé la striation t
ux avec persistance de la striation transversale et prolifération des noyaux du sarcolemme, ont été également observées par M,
dégénération granulo-graisseuse. Par contre, de très bonne heure, les noyaux du sarcolemme se multiplient et se groupent sous
-mière semaine, des éléments cellulaires arrondis, présentant un seul noyau , s'y montrent accumulés en grand nombre. A une pé
(3), ces lésions sont remarquables surtout par la proliféra-tion des noyaux du sarcolemme. En somme, elles portent la marque
à la région lombaire. — G, corne anté-rieure gauche, saine, avec son noyau ganglionnaire sain. — D, corne anté-rieure droite
au ganglionnaire sain. — D, corne anté-rieure droite, malade, sans le noyau ganglionnaire médian dont les cellules sont détru
eaux isolés, les marques d'une prolifération plus ou moins active des noyaux du sarcolemme, telies sont les alté-rations quel'
nt les cor-dons postérieurs et consistaient en une multiplication des noyaux de la névroglie avec épaississement des mailles d
euse, vestige d'un foyer d'hémor-rhagie cérébrale, situé-en dehors du noyau extra-vcntriculaire du corps strié. Dans la plupa
des éléments épithéliaux qui tapissent l'épen-dyme; prolifération des noyaux qui entourent l'épcndyme ; — pigmentation des cel
e parler, ne sont pas superficielles; elles constituent de véritables noyaux ou foyers qui pénètrent dans la profondeur des ti
s, les corps restiformes et la région posté-rieure où sont étages les noyaux d'origine des nerfs bulbaires. Pour ce qui a trai
rvent leur aspect ordinaire. Ainsi les cel-lules ganglionnaires, leur noyau , leur nucléole et aussi les pro-longements de ces
le carmin que ne le sont les parties avoisinantes. Ces corps sont des noyaux , à contour net, finement grenus, dépour-vus de nu
moitié ;on les connaît sous le nom àemyélocites (Ch. Robin) (1) ou de noyaux de la névroglie (Virchow) (2). Une mince couche d
sma, sans apparence cellulaire distincte, entoure le plus souvent ces noyaux (myélocites, variété noyau) qui, d'autres fois, a
re distincte, entoure le plus souvent ces noyaux (myélocites, variété noyau ) qui, d'autres fois, au contraire, sont renfer-mé
ciable ; dans le cas où la forme cel-lulaire n'est pas distincte, les noyaux , nus ou recouverts seule-ment d'une mince couche
es i ndépendamment des connexions qu'elles peuventavoir soit avec les noyaux , soit avec les cellules qui occupent les nœuds du
,8, et même plus. Au niveau de cet entrecroisement, il y a souvent un noyau rond ou ovalaire, muni de petits nucléoles, aplat
onnaître dans la zone granuleuse,une lame de protoplasma qui, avec le noyau , constitue une petite cellule plate de tissu conj
rossissements, que les parties saines, en apparence, qui confinent au noyau scléreux, présentent, dans un rayon d'une certain
iamètre double de ce qu'il est dans l'état normal. En même temps, les noyaux qui occupent les nœuds du réticulum sont devenus
pointillé très fin. Elles tendent, 1. Parfois, quelques-uns de ecs noyaux présentent vers leur partie moyenne un étrangleme
e rencontre plus ni trabécules ni formes cellulaires distinctes ; les noyaux sont moins nombreux, moins volumineux qu'il ne l'
tée par dilacération. Au centre vaisseau capillaire portant plusieurs noyaux . A droite et à gauche, cylindres d'axe, les uns v
ajet ; 3° parce qu'elles ne se colorent pas parle carmin. — Çà et là, noyaux disséminés. Quelques-uns paraissent en connexion
doivent rem-placer bientôt, en partie aux dépens des cellules et des noyaux delà névrogiie? Naissent-elles, au contraire, com
ibrilles nous ont semblé parfois prendre racine dans la substance des noyaux ou des cellules, et que ce fait, s'il était confi
ires, se montrent plus épaisses et renferment un plus grand nombre de noyaux qu'à l'état normal. Plus près du centre de la pla
e de noyaux qu'à l'état normal. Plus près du centre de la plaque, les noyaux se sont multipliés encore et, déplus, la tunique
es agrégats cohérents, autrement dit des corps granuleux dépourvus de noyau et de membrane enveloppant (1). Des molécules pro
trouver, dans les plaques de sclérose, des .corps granuleux ayant un noyau qui se colore par le carmin et une membranne d'en
dans les mêmes circonstances pour les cellules conjonc-tives dont les noyaux se multiplient habituellement, et c'est même là u
d'être vive-ment colorées par le carmin comme dans l'état normal ; le noyau et le nucléole paraissentformés d'une substance d
te altération se constitue. Incontestablement la multiplication des noyaux et l'hyper-plasie concomitante des fibres réticul
par conséquent leur continuité. Une coupe permit de découvrir que le noyau du grand hypoglosse était remplacé par un îlot de
ait envahi le plancher du quatrième ventricule, où elle englobait les noyaux d'origine de la plupart des nerfs bulbaires (1).
ez sur cette coupe, immédiatement en dehors des ventricules moyens le noyau caudé (noyau intra-ventriculaire du corps strié),
coupe, immédiatement en dehors des ventricules moyens le noyau caudé ( noyau intra-ventriculaire du corps strié), qui, danscet
Coupe transversale du cerveau. — a, couche optique: — b, corps strié, noyau lenticulaire: — r, corps strié, noyau caudé; — f,
uche optique: — b, corps strié, noyau lenticulaire: — r, corps strié, noyau caudé; — f, indication de la couronne rayonnante
le noyait extra-ventriculaire du corps strié où l'on distingue trois noyaux secondaires désignés par les numéros 1, 2, 3 : le
is la partie supérieure et externe de la couche optique, le troisième noyau de la partie extra-ventriculaire du corps strié ,
re, l'altération n'était pas limitée au thala-mus; elle s'étendait au noyau extra-ventriculaire du corps strié : il s'en suit
mais l'altération avait envahi le corps strié (vraisem-blablement le noyau extra-ventriculaire) . En résumé, on peut concl
lutôt que la capsule interne, le centre ovale, ou encore le troisième noyau du corps strié. Quant à présent l'anesthôsie de
foyer semblable intéresse la partie externe de la troisième partie du noyau lenticulaire. Il commence à peu près à Je suis
ait la plus grande longueur du côté interne de la troisième partie du noyau lenticulaire et une partie de la capsule interne.
ence à quatre lignes et demie en arrière de l'extrémité antérieure du noyau lenticulaire ; elle commence à deux lignes en arr
Couche optique, saine. Peut-être un petit fragment de la 3e partie du noyau lenticulaire a-t-il été touché. Le foyer avait dé
nes du pied de la couronne radiée. — Moelle ; légère agglomération de noyaux dans la partie la plus postérieure du cordon laté
al, une partie delà capsule interne et peut-être aussi une portion du noyau lenticulaire. — Moelle: accumulation de corps gra
térieure de la capsule interne comprise entre la couche optique et le noyau lenticulaire: la portion correspon-dante de la su
ricules latéraux- c, Plaques de sclérose dans la substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié droit. (Elles s
59 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
Hépatisation de tout le lobe supérieur du poumon droit; quelques noyaux de broncho-pneumonie au niveau du lobe inférieu
reins, on constate l'existence de tumeurs multiples sous forme de noyaux arrondis, de volumes différents. Elles occupent l
cule latéral n'est pas dilaté; sur le corps strié, on trouve quatre noyaux irréguliers, disposés sous forme de bandes tran
es ; les 2 premières siè- gent à la partie inférieure de la tête du noyau intra-ventri- culaire. Sur les deux hémisphèr
ns sont peu apparents, en raison du tasse- ment que déterminent les noyaux de sclérose. - La coupe de ces derniers, permet
face ; à ce niveau, la capsule est très adhérente. D'autres petits noyaux , de même aspect, se voient vers l'extrémité sup
deux couches du parenchyme, qui se montre anémié. Le 14 IDIOTIE. noyau principal présente à la coupe un tissu diffluent
e et troi- sième temporo-sphénoidales est englobée dans un îlot ; noyau volumineux sur la face convexe du lobe occipital;
disposés transversalement de façon à recouvrir toute la largeur du noyau caudé et le sillon qui le sépare de la couche o
rontale; sur les deux tiers postérieurs de la 1 rye frontale, vaste noyau , presque plan, assez régulièrement arrondi et d
du sillon de Rolando qu'elle envahit ; sur le lobule du pli courbe, noyau plan, arrondi, de 2 à 3 centi- mètres de diamèt
: - un dernier sur la corne occipitale. b) Face interne : un petit noyau sur lapartie moyenne de la 1 r. frontale; un à
. Le ventricule latéral n'est pas dilaté; on aperçoit cinq ou six noyaux allongés, d'aspect grossièrement godronné sur l
six noyaux allongés, d'aspect grossièrement godronné sur la tête du noyau caudé. Il n'en existe ni sur la queue de ce noy
sur la tête du noyau caudé. Il n'en existe ni sur la queue de ce noyau , ni sur la couche optique. Réflexions. Cette ob
ourd'hui la nature histologique de cette néo- plasie cérébrale. Les noyaux tubéreux ne sont autre chose que le résultat d'
doigt; elle intéresse moins l'autre fesse. A son niveau,on sent un noyau d'induration. Appli- cation de compresses d'eau
En ce point, outre la prolifération conjonctive, on rencontre des noyaux d'un volume variable entre celui d'une noisette
ante et non purulente. Le paren- chyme est farci d'une multitude de noyaux caséeux dont le volume varie de celui d'un grai
bronches. Le lobe inférieur renferme de plus, en outre de quelques noyaux de gangrène analogues au précédent, mais plus p
nettement; il n'y a rien d'anormal, tant à la surface que dans les noyaux gris cen- traux. (Fig. 2.) Hémisphère droit.
réduit dans son volume, n'existe plus que sous forme de deux petits noyaux du volume d'un gros haricot. La couche optique
r son passage une partie de la couronne rayonnante de Reil et des noyaux gris centraux. D'autre part, il est facile de s
ité pleurale. Du côté droit, on trouve dans le lobe supé- rieur des noyaux tuberculeux ramollis et en voie d'élimi- nation
ragmatiques. La lé- sion affecte la forme mamelonnée. Au niveau des noyaux de broncho-pneumonie, le tissu pulmonaire laiss
rbutique. Autopsie. - Broncho-pneumonie lobaire [du poumon droit. Noyaux de broncho-pneumonie du poumon gauche. - Ecchym
, sur le bord inférieur du lobe moyen, on constate l'existence d'un noyau rougeâtre, dont la coupe donne issue à de la sé
ord inférieur etsa face correspondante, il offre également quelques noyaux de bronchio-pneumonie. Le poumon gauche, au niv
affaissé. On y voit quelques nodules de tissu emphysémateux, et un noyau de bron- chio-pneumonie au niveau du lobe infér
te quelques ecchymoses sous-pleurales interlohaires. On trouve un noyau d'hépatisation rouge sur le lobe inférieur. Tou
» Dans ce cas cependant, nous avons rencontré à l'autop- sie des noyaux de bronchopneumonie, en hépatisation rouge. Mai
épatisée. Poumon gauche. On trouve au niveau du lobe inférieur un noyau de broncho-pneumonie, peu volumineux (hépa- tis
ronchiques, à droite, a le volume d'une amande. Une coupe montre un noyau caséeux présentant la consistance etla couleur
existait bien, il est vrai, des lésions de broncho-pneu- monie, un noyau d'hépatisation rouge, mais les altéra- tions in
60 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
- Le ventricule latéral n'est pas dilaté, sa surface est lisse; les noyaux paraissent normaux. 2° Hémisphère gatcche. -a
z clairsemées. D'autre part, les cellules interstitielles il petits noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans
e superficielle de névroglie a son épaisseur normale, peut-être les noyaux des cellules sont-ils un peu plus abondants que
us nettes. Les cellules sont t diminuées de nombre; en revanche les noyaux petits et sphé- riques qui révèlent les cellule
accumu- lation considérable de granules jaune d'ambre autour des noyaux ; puis restant toujours hyalines, elles sont beau
ge- ments distincts. Enfin, à un troisième état, on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un petit amas de granules réfring
dans la subs- tance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux des cellules interstitielles. Il n'y a qu'un pe
pyramidaux. A la limite de la substance blanche, l'accumulation des noyaux petits et sphériques des cellules interstitielles
xiste un certain nombre de foyers plus opaques, plus abon- dants en noyaux , dans la première et la seconde couche. Sur que
t voir çà et là quelques rares cel- lules à contour peu distinct, à noyaux multiples. La paroi des vaisseaux parait sur ce
de vaisseaux des taches opaques formées d'amas de cellules dont les noyaux sont très gros et dont les corps cellulaires ne
mière couche est très réduite, composée d'un réticulum fin où les noyaux de cellules sont rares. Entre cette couche et la
tissu névroglique plus serré, à trame plus fine, qu'au-dessus, les noyaux cellulaires petits et fixant éner- giquement le
uvres en cellules, jusqu'au contact de la substance blanche, où les noyaux sont abondants. Il existe des corps granuleux s
ste là une bande diffuse intermédiaire aux deux couches et riche en noyaux . Mais elle est beaucoup moins marquée que dans
e que prend le réseau névroglique, le plus grand nombre de petits noyaux et la disparition des éléments parenchymateux n
se présente le plus souvent, ce sont les taches opaques, riches eu noyaux sur le pourtour des vaisseaux. Nous avons fait de
ne des vaisseaux, chacun est entouré d'un cordon de cellules à gros noyaux , fortement colorés en vert, on voit autour de q
couche de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux . La troi- sième couche, celle des grandes cellu
es cellules, ne présente que des séries de cellules petites, à fins noyaux sphériques, noyés sans ordre apparent dans une
quées, surtout du côté gauche. Diminution comparative du volume des noyaux . Du même côté, dans la moelle cervicale, les co
le plus marqué. Les trois couches ainsi envahies sont parsemées de noyaux petits, très nombreux : la première, la plus su
e se présentent que sous forme de taches plus opaques, parsemées de noyaux plus abondants, rompant l'ordonnance des séries
e générale. La substance blanche est infiltrée d'un grand nombre de noyaux . Dans ces deux cas, nous relevons l'absence d'a
ées. La subslance blanche offre une quantité considérable de petits noyaux sphériques appartenant LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE
ène, formée de faisceaux parallèles de fibres fines, avec de petits noyaux sphériques très peu abondants, s'amincit aux po
che est compo- sée surtout de cellules rondes assez volumineuses, à noyau sphé- rique, dont la plupart sont remplies de g
fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et contenant des cellules à noyaux ronds ou allon- gés, dont quelques-unes sont en
u très fin d'une dentelle de fibrilles grêle, avec des cellules à noyaux sphériques, corps cellulaires ramifiés aux points
arisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globu- leuses, leur noyau volumineux, clair, nucléole, remplit presque to
de plus que dans les couches précédentes, un assez grand nombre de noyaux de cellules interstitielles, petits, sphériques e
gra- nulations. Elles portent sur la névroglie qui est épaissie à noyaux multipliés, opacifiée, puis fibrillaire, puis e
blanche, il est facile de voir son atrophie; la multiplication des noyaux des petites cellules, l'abondance des corps gra
sseaux qu'on voit entourés de masses opaques, contenant beaucoup de noyaux constituant le premier degré d'une tache de dés
61 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
t en moyenne de 0, 16 (x (Hen-le) àO, 18 p- (Koïlliker), possèdent un noyau arrondi ayant un diamètre de 9 h- et pourvu d'un
yant un diamètre de 9 h- et pourvu d'un nucléole. 11 y a souvent deux noyaux . Certains foies même se distinguent par la prédom
ns foies même se distinguent par la prédomi-nance des cellules à deux noyaux (Henle). Chez les jeunes su-jets, on rencontre fr
x (Henle). Chez les jeunes su-jets, on rencontre fréquemment de 3 à 5 noyaux (Henle) sans qu'on observe, dans ces cas, la moin
r remarqué, en outre, que la coloration, surtout prononcée au-tour du noyau , s'étend à tout le protoplasma, s'accentuant tout
tend à tout le protoplasma, s'accentuant toutefois à la périphérie du noyau . La coloration affecte une disposition réticulée,
que les bords angu-leux qui les circonscrivent se sont arrondis. Les noyaux pa-raissent aussi très volumineux. Klebs (1) et R
er sur un des côtés de la cellule le protoplasma en même temps que le noyau , rappelant ainsi une dispositionbienconnue pour l
t par l'exemple de la lipomatose physiologique — le protoplasma et le noyau pourraient reprendre leur place, en même temps qu
iliaires remplis par des sels biliaires. B, B, Globules graisseux. C, Noyaux en-core apparents des cellules hépati-ques. Û, va
aces. Ceux de la grenouille sont détruits, à l'exception toutefois du noyau . A la place du globule rouge, on voit se former,
proprement dits. Ceux-ci sont com-posés, pour la majeure partie, d'un noyau central formé prin-cipalement de matière colorant
u centre de plusieurs calculs de la vésicule biliaire, on trouvait un noyau pulpeux qui, lavé, se présentait sous la forme de
posés et qui sont, en somme, les plus communs, une partie centrale ou noyau et une écorce. Ainsi, on trouve dans la, grande m
insi, on trouve dans la, grande majorité des calculs biliaires: 1° un noyau central; 2° une zone moyenne, en général constitu
s par les pyramidales rayon-nantes; 3o une écorce lamelleuse. a) Le noyau présente le plus souvent une coloration d'un brun
u biliru-bine) avec la chaux dont il sera question ultérieurement. Le noyau est tantôt plein, tantôt fendillé par dessication
er, la disposition des géodes. Quelquefois onrencontre encore, dansle noyau , du mucus concret (Ch. Robin, Frerichs), des cell
logique. 11 s'agissait d'un ascaride lombricoïde desséché, formant le noyau d'un calcul. On trouva, chez le même sujet, trent
ut mention-ner encore comme exemple de corps étrangers constituant le noyau d'un calcul biliaire: 1° Le cas de Nauche : une
e de la grosseur d'une noix ; 2° le cas de M. Bouisson : le centre du noyau était com-posé d'une petite concrétion sanguine ;
sanguine ; 3° un autre cas du même auteur, observé chez le bœuf : le noyau était formé par un distome hépatique ; 4° En dern
ous rappellerai que M. Thudicum a trouvé, en soumettant au lavage, le noyau d'un certain nombre de calculs biliaires provenan
l dont nous venons de tracer la description. L'absence simul-tanée du noyau et de l'écorce, celle de l'écorce seule, celle du
imul-tanée du noyau et de l'écorce, celle de l'écorce seule, celle du noyau seul, tels sont les principaux motifs des distinc
r, cuivre, mercure). — Mucus et epithelium: ils peuvent constituer le noyau d'un calcul. Des modifications chimiques subies
e noix, logé dans cette vésicule, était composé ainsi qu'il suit : un noyau semblant constitué prin-cipalement par de la mati
-cèle bien cette particularité (Ch. Robin). Il y a des calculs sans noyau et sans écorce qui sont, pour ainsi dire, exclusi
olestérine cristalline constitue la zone radiée moyenne. Il existe un noyau et une écorce, com- posée par de la matière pig
are qu'elle en forme la plus grande partie. En général, c'est dans le noyau et dans l'écorce qu'on la trouve en quantité asse
à la présence du pig-ment biliaire, est particulière à l'écorce et au noyau des calculs. E. Je ne dirai rien des acides gra
vait été soumis à l'usage des frictions mercurielles. Parla fusion du noyau d'un calcul, on obtint un globule de mercure. b
biliaires. Il n'est pas exceptionnel, par exemple, de trouver dans le noyau , après la séparation des matières so-lubles, des
haux et de pigment sont peu solu-bles et elles pourront constituer le noyau d'une concrétion, surtout s'il y a des plaques ep
de centre d'attraction. La Cholesterine se déposera ensuite autour du noyau de matière pigmentaire. Les dépôts de Cholesterin
et ne laissent dans la cavité du tube qu'une lumière étroite ; leurs noyaux sont peu apparents ; en outre, elles sont normale
d'ammoniaque, puis par l'hématoxyline: les bâtonnets, de même que les noyaux , sont alors colorés en bleu et mis ainsi en relie
orti, on voit, du côté de la lumière, le protoplasma et une partie du noyau , et du côté de la membrane fondamentale, les bâto
t, un épithélium clair et pavimen-teux, renflé seulement au niveau du noyau et tout à fait analogue à celui que présentent le
it sur des coupes, soit après dilacération, on voit que le nombre des noyaux des cellules conjonctives, dans les mailles des c
s épithéliales, et dans celles-ci, à l'exclusion du proto-plasme, les noyaux et les bâtonnets : la cavité des tubes n'est null
usque dans les cellules épithéliales de ces tubes, où ils occupent le noyau , mais jamais on n'en rencontre dans les capsules
, . lms ou dans leur intérieur, des leucocytes, des hématies, des noyaux de cellules, ou même des cellules épithéliales pl
ment à une préparation que j'ai en ma possession et qui provient d'un noyau leucémique du rein. Dans le fait actuel, comme da
capillaires, l'altération se présente avec les mêmes caractères ; les noyaux se fondent et disparaissent au sein de la substan
asma est remplacé par une matière vitreuse, opalescente, qui cache le noyau . Il arrive souvent alors que les cellules altérée
vitreuse, dans ce dernier cas, occupe le protoplasma au voisinage du noyau et refoule la matière grasse. c) Les membranes
eur rapporte à l'inflamma-tion aiguë (épaississemenf, au voisinage du noyau , du proto-plasma de la cellule, lequel fait en ce
, cuivre, mercure). — Mucus et epithelium : ils peuvent constituer le noyau d'un calcul. Des modifications chimiques subies
62 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ngée et à Vatrophie mus-culaire progressive ; lésion systématique des noyaux moteurs {polioencèphalomyèlite), publié dans la N
du globe. Quant à ces derniers eux-mêmes, ils reconnaissent autant de noyaux d'origine distincts qu'il y a de muscles. Voici
cts qu'il y a de muscles. Voici quelle serait la disposition de ces noyaux le long de l'aqueduc. Il existe : a) des noyaux l
la disposition de ces noyaux le long de l'aqueduc. Il existe : a) des noyaux latéraux qui sont, d'avant en arrière ou de haut
paupière supérieure, du droit supérieur, et du petit oblique ; b) des noyaux médians pour le droit interne et le droit externe
lésion porto sur le groupe cellulaire postérieur composé des amas de noyaux que nous venons dépasser en revue. Le noyau ant
ur composé des amas de noyaux que nous venons dépasser en revue. Le noyau antérieur, destiné aux nerfs des muscles ciliaire
ce caractère n'est pas absolu, car on comprend que, par voisinage, le noyau antérieur puisse, lui aussi, être affecté à un ce
-moplégie externe est synonyme de paralysie nucléaire ; c'est sur les noyaux d'origine des nerfs que porte la lésion et non su
rigine des nerfs que porte la lésion et non sur les nerfs émanant des noyaux . On comprend cependant l'existence de lésions p
istence de lésions portant sur les nerfs périphériques et non sur les noyaux capables de déterminer la dissociation. Un coup d
voulons poursuivre l'étude; aussi les laisserons-nous de côté. 3° Les noyaux moteurs sont primitivement et systématiquement af
te façon que sont envahis, dans la paralysie bulbaire inférieure, les noyaux moteurs de l'hypoglosse, du facial inférieur, etc
et durables, l'autopsie n'a permis de constater aucune altération des noyaux bulbaires ni des nerfs périphériques (obs. d'Eise
ophthalmoplégie externe-névrose; de plus, dans un cas, la lésion des noyaux étant absente, les nerfs périphériques bulbaires
nférieure. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs, les noyaux sensitifs étant respectés, to
deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs, les noyaux sensitifs étant respectés, tout comme lorsqu'il s
t publié. Dans le cas de paralysie bulbaire inférieure, ce sont les noyaux de l'hypoglosse, situés au niveau du bec du calam
, alors que dans le cas de paralysie bulbaire supérieure, ce sont les noyaux de l'oculo-moteur situés au niveau de l'aqueduc d
lésion porte aussi sur Yabducens, fort éloigné topographiquement des noyaux de l'oculo-moteur et qui appartient au bulbe infé
plus ou moins rapidement, de symptômes qui relèvent de la lésion des noyaux moteurs du bulbe correspondant aux cornes antérie
lésion s'étend en pareil cas, en quelque sorte systématiquement, des noyaux moteurs du bulbe supérieur à ceux du bulbe inféri
s cas qu'on a constaté plusieurs fois les altérations anatomiques des noyaux (Gowers, Westphal, Ross). Il existe alors une lés
dans le tabès, qu'elle soit bulbaire ou spinale, sur l'altération des noyaux gris quand il s'agit du bulbe, et, quand il s'agi
almoplégie externe, c'est-à-dire porteurs d'une lésion atrophique des noyaux moteurs, on rencontre en même temps, en diverses
tendance descendante, et que, rencontrant dans le bulbe inférieur le noyau du pneumogastrique, elles précipitent parfois la
autopsies de Jean, Démange et autres l'ont démontré, d'une lésion des noyaux bulbaires. 3° Le troisième groupe qu'il nous re
t de la polioencéphalite, qui met en relief l'atteinte symétrique des noyaux moteurs spinaux et des noyaux moteurs bulbaires.
met en relief l'atteinte symétrique des noyaux moteurs spinaux et des noyaux moteurs bulbaires. Il s'agit là d'une lésion syst
sphincters. Tout concorde donc à nous faire penser à une lésion des noyaux bulbaires et des noyaux des cornes antérieures. O
rde donc à nous faire penser à une lésion des noyaux bulbaires et des noyaux des cornes antérieures. On ne peut pas dire que l
ion anatomique consiste dans une altération des cellules motrices des noyaux spinaux aussi bien que des noyaux bulbaires. Co
ltération des cellules motrices des noyaux spinaux aussi bien que des noyaux bulbaires. Considérons maintenant le second cas
aires qui l'accompagnent relèvent de la lésion également subaiguë des noyaux oculo-moteurs. * Il ne nous reste plus qu'à d
rée en tant qu'expression symptomatique de la lésion systématique des noyaux moteurs du bulbe protubérantiel, peut se combiner
ngée et à l'atrophie musculaire progressive ; lésion systématique des noyaux moteurs ; polioencéphalomyélite). Ce sont celles
t. En ce qui concerne la paralysie bulbaire supérieure, aucun autre noyau ne paraît avoir été envahi. Les mouvements de la
lbaire supérieure, se propageant à la moelle, a atteint au passage le noyau du facial. Nous avons cité chemin faisant des exe
ralysies partielles, considérer, d'une part, le groupement des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du moteur oculai
art, le trajet intrapédonculaire des fibres qui émanent de ces divers noyaux . Les noyaux d'origine, échelonnés d'avant en ar
intrapédonculaire des fibres qui émanent de ces divers noyaux. Les noyaux d'origine, échelonnés d'avant en arrière sous le
ette hebd., 24 octobre 1856. prennent leur origine réelle dans deux noyaux presque confondus et situés sous le plancher du q
e que le droit externe de l'œil droit pour les déplacements latéraux ( noyau de la 6e paire), est le siège d'un excès d'innerv
la protubérance. S'agit-il là d'une lésion nucléaire, portant sur les noyaux d'origine ? Cette hypothèse ne paraît pas-vraisem
e ne paraît pas-vraisemblable. On sait en effet que la destruction du noyau de l'abducens s'accompagne généralement, outre la
rimentale. M. Duval a trouvé en effet chez le singe et le chat que le noyau de l'abducens d'un côté est relié au noyau de l'o
le singe et le chat que le noyau de l'abducens d'un côté est relié au noyau de l'oculo-moteur commun de l'autre côté par des
ur le trajet intra-protubérantiel des fibres do ces nerfs, entre leur noyau d'origine et leur point d'émergence. Quelle est
80. Nez : lésions du — dans la syphilis héréditaire tardive, 381. Noyaux bulbaires des muscles des yeux, 193. Nutrition
63 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
se présentaient sous la forme de deux traînées étendues entre le noyau lenticulaire et la couche optique. Quoique tout à
la partie de la capsule in- terne comprise entre l'angle interne du noyau lenticulaire 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. (coude d
une forme ovalaire à grand axe dirigé de la couche optique vers le noyau lenticulaire ; l'autre (la postérieure), moins
eul groupe de forme à peu près arrondie, situé dans le voisinage du noyau lenticulaire dans un point corres- pondant à l'
iers postérieur avec les deux tiers anté- rieurs du bord interne du noyau lenticulaire (compris entre l'an- gle interne e
ne de ces corpuscules. Dans la couche optique, non plus que dans le noyau lenticu- laire on ne trouve de corps granuleux,
t alors le groupe antéro-externe qui est le mieux conservé. - Les noyaux sont augmentés de nombre tant dans les parois d
ens de la largeur, ils occupent presque tout l'espace qui sépare le noyau lenticulaire de la couche optique; de plus, non
nuleux sembleraient dus à la dégéné- ration de fibres se portant du noyau lenticulaire à la couche optique. Quant à la
ions graisseuses dans certains points, l'augmentation du nombre des noyaux n'est pas con- sidérable ; pas d'augmentation n
rtie disparu : granulations graisseuses, augmentation du nombre des noyaux . Le long supinateur, le jambier antérieur, le b
ervations les altérations classiques des faisceaux pyramidaux et du noyau de l'hypoglosse. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMY
des cellules ner- 32 PATHOLOGIE NERVEUSE. veuses, le corps et le noyau de celles-ci apparaîtront très nettement coloré
rs prolongements semblaient moins anguleux; cependant, ni dans leur noyau , ni dans leur corps il ne nous a été donner de
tendance de cette myélite à se propager à toute la moelle jusqu'aux noyaux bulbaires. Mayser P ? 1 Comptes rendus delà Soc
ouvelle formation. On voit sur le même dessin une prolifération des noyaux de là gaîne de Schwann. Le lapin dont provient
alement dans les cornes postérieures ; 3° De la prolifération des noyaux de la névroglie; ALTÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINI
à la main. La myéline est en voie de résorption. Prolifération des noyaux de la gaine de Schwann. Tubes nerveux de format
4.) Les tractus que l'on voit émerger à la base et à la pointe du noyau lenticulaire, appartiennent au moins à deux systè
ystème de l'irradiation de la calotte (Flechsig) ; 2° le système du noyau caudé et du segment externe du noyau lenticulai
(Flechsig) ; 2° le système du noyau caudé et du segment externe du noyau lenticulaire (putamen). Le système de l'irradia
p plus tard (après la naissance) qu'on en trouve dans le système du noyau caudé et du segment externe du noyau lenticulai
n en trouve dans le système du noyau caudé et du segment externe du noyau lenticulaire (putamen). Dans la capsule interne
s premières des fibres à myéline. Elles entrent, en partie, dans le noyau rouge et dans le corps de Luys. D'autres sortent
tement de la capsule interne pour gagner le bord supéro- interne du noyau lenticulaire, et pénétrer dans sa masse grise.
re, et pénétrer dans sa masse grise. Les fibres qui entrent dans le noyau lenticulaire prennent alors une double directio
eurs s'infléchissant en dedans, parviennent à la pointe interne du - noyau lenticulaire, en sillonnant la capsule interne
ion subthalamique ; d'autres, sans entrer en rapport direct avec le noyau lenticulaire, passent entre ses articles pour s
où, après s'être infléchies en dedans, elles constituent l'anse du noyau lenticu- laire. Cette anse située au-dessus du
de cette anse parait cependant remonter en dedans pour atteindre le noyau rouge. Bien plus difficiles à trouver sont les
à trouver sont les rapports des fibres issues du segment externe du noyau lenti- culaire et du noyau caudé parce que, à l
des fibres issues du segment externe du noyau lenti- culaire et du noyau caudé parce que, à l'époque où ils reçoivent de
ues- tion sortent du putamen, entre les deux articles internes du noyau , et de là, avec les fibres suhrà, atteignent les
is elles s'infléchissent entre le premier et le deuxième article du noyau lenticulaire jusqu'à l'anse décrite. Il parait
nse décrite. Il parait aussi exister un système de fibres issues du noyau caudé, mais M. Edinger n'a pas de pré- paration
tion de la transparence de la cellule, tuméfaction trouble de son noyau , résistance du protoplasma à l'action colorante d
.aspect tout spécial, vitreux, amorphe du protoplasma; saillie du noyau à contours fortement réfringents, disparition, at
perte de substance de l'élément (sinuosités, va- cuoles) ; enfin le noyau devient indistinct, perd ses limites, dis- para
stance blanche du cerveau ou de la moelle; elle est raréfiée et ses noyaux ont diminué de nombre. Les nerfs périphériques
triques et laryngées ne décela à l'autopsie aucune alté- ration des noyaux bulbaires de ce nerf. Voici un autre patient qu
on inter- musculaire, pas de multiplication ni de prolifération des noyaux , la striation transverse paraît un peu moins ne
avait mangé vingt cerises, mais il n'avait re- cueilli que dix-neuf noyaux ; il cherche le vingtième de tout côté. Ne le dé
il recommence, avec plus d'ardeur encore; la recherche du vingtième noyau qu'il finit par trouver le soir seulement, aprè
ersent horizontalement la capsule interne et semblent se diriger du noyau lenti- culaire à la couche optique. Enfin, co
sule interne, Observation II, côté gauche.; A, couche optique. - B, noyau lenticulaire. C, corps granuleux occupant les i
côté on trouve une petite tumeur papillomateuse de la grosseur d'un noyau de cerise; tache pigmen- taire de la largeur d'
eux, est quelquefois jaunâtre surtout chez les vieilles gens ; leur noyau est ellipsoïde. Dans la paralysie générale à év
ce plus ferme, con- tours tortueux, disparition des éléments; 4° le noyau offre les mêmes modifications dans son contenu,
tuation par rapport à l'élément cellulaire; il existe aussi de gros noyaux ; au dernier degré de l'altération, ils font dé
ntégrité des cellules des gros ganglions, de la protu- bérance, des noyaux , qui commandent aux muscles de l'oeil. Seuls le
érance, des noyaux, qui commandent aux muscles de l'oeil. Seuls les noyaux de l'hypoglosse semblent, dans les cas de très
cellules épargnées prennent mal les réactifs colorants 1 et leurs- noyaux sont indistincts. Quand l'atrophie existait depui
a sclérose et de l'atrophie des cellules ? 4° des altéra- tions des noyaux identiques à celles du protoplasma. Discussion
-elle à la 'méthode ' ? ' Au premier stade, c'est principalement le noyau qu'il faut considérer ; les altérations sont ce
ë. Les celllules sont lésées par groupes. Dans les cellules jeunes, noyau et pigment sont en raison inverse; des cellules
n âge, normalement pigmentées, permettent la. distinction exacte du noyau , celles chez lesquelles il existe une pigmentat
de distin- ; r c. "\ ' " ' ''ci )' n .1 .n .) guer nettement leur noyau . 1 \1' f . \q ,. '\ 11 d ,\ .. \ ' \ \ M. von
ralytiques généraux, elle se traduit par : diminution de l'éclat du noyau , diminution de la netteté du fil des contours d
'éclat du noyau, diminution de la netteté du fil des contours de ce noyau , - recoyuillcment du protoplasina devenu moins
n, trouble; hypertrophie, gonflement de la cellule, hypertrophie du noyau arrondi et parfois divisé en deux, il est rare
l'essence de girofle, recoquillement des cellules, conservation des noyaux . Dans les premiers stades, les vaisseaux, rarem
nes ? Dégénérescence hyaline de la névroglie, du protoplasma de ses noyaux (organites de formes variables). Pas de multipl
à la main. La myéline est en voie de résorption. Prolifération des noyaux de la gaine de Schwann. Tubes nerveux de format
Capsule interne, Observation II, côté gauche. A, couche optique. B, noyau lenticulaire. C, corps granuleux occupant les i
64 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
émise : 1500 grammes par jour). Le le, février 1898, ouverture d'un noyau tuberculeux de l'épi- didyme. A cette date, on
sur un fond gris. La prostate et l'épididyme droit contiennent des noyaux tuberculeux. Différents nerfs des membres infér
cependant de rares cellules, mais atrophiées, mal colorées, avec un noyau effacé. Le canal central est dilaté et occupé p
g et dont la paroi est épaissie. La moelle présente une quantité de noyaux plus considérable qu'à l'état normal, mais ces
e quantité de noyaux plus considérable qu'à l'état normal, mais ces noyaux sont assez uniformément répartis; ils sont à pe
are : la polioencé- phalite supérieure chronique, lésion isolée des noyaux des troisième et septième paires n'étant pas en
ctions permanentes dans le voisinage des éléments blancs autour des noyaux du bulbe ». R. C. LU. Un cas de ladrerie cérébr
à la diffusion de la vérité scientifique. - Simon. VIII. Sur les noyaux moteurs médullaires innervant les muscles ; par
été adressées à sa théorie de l'existence pour chaque muscle, d'un noyau d'innervation distinct. Il soutient que le muscle
fs musculaires fournissent les premières excitations tonifiantes au noyau moteur, assurent la coordination des fais- ceau
phie des granulations de l'iissl, de la vacuolisation, le rejet du noyau sur le boid de l'élément, altérations qui décrois
ment cellulaire avec chromatolyse périphérique et excentricité du noyau . 4° Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales,
xtérieure de la couche des grains, formée par des cellules dont les noyaux seuls REVUE D'ANATOMIE ET DE ^PHYSIOLOGIE PATHO
E ^PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 147 Î sont bien visibles. Ce sont des noyaux ovales, tous à grand axe orienté vers la surfac
grand axe orienté vers la surface de la lamelle cérébelleuse. Ces noyaux , au bleu d'Unna, apparaissent formés d'une chro-
re; celui-ci apparaît bien serti, comme encapsulé. Le volume de ces noyaux est variable; les plus petits ont au moins le d
oyaux est variable; les plus petits ont au moins le double d'un des noyaux des grains, et les plus volumineux, qui sont pl
qui sont plus rares, atteignent trois et quatre fois le volume d'un noyau de grain. Ce volume, cet aspect du noyau ne per
atre fois le volume d'un noyau de grain. Ce volume, cet aspect du noyau ne permettent pas de penser qu'il s'agisse de c
mbrane limitante, nulle trace de protoplasma. Ces cellules sont des noyaux , pourvues d'une substance filamenteuse et réti-
tique, d'une substance uniforme indifférenciée. Quelques-uns de ces noyaux , plus volumineux, plus pâles, per- dent leur ré
hromatique, devient un gros nucléole distinct. Ainsi se forment des noyaux bien plus gros que les autres, à paroi nu- cléa
colore constituant la plus grande partie de leur masse. Ce sont des noyaux principaux ou primitifs. Les autres noyaux, noy
leur masse. Ce sont des noyaux principaux ou primitifs. Les autres noyaux , noyaux secondaires, se développent plus len- t
sse. Ce sont des noyaux principaux ou primitifs. Les autres noyaux, noyaux secondaires, se développent plus len- tement. B
autour REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 d'un noyau primitif. En ce cas, ils le circonscrivent d'asse
tinctes, tantôt elles se touchent, se confondent. Graduellement les noyaux secondaires s'allongent, s'amincissent, se reco
n cercles, embrassant de leur bord concave la périphérie convexe du noyau primitif. Tous ne s'allongent pourtant pas égal
t pourtant pas également ni simulta- nément ; il demeure parfois un noyau sphérique parmi les élé- ments déjà collés au q
ois un noyau sphérique parmi les élé- ments déjà collés au quart du noyau primitif. A ce moment, le noyau primitif est en
lé- ments déjà collés au quart du noyau primitif. A ce moment, le noyau primitif est entouré d'un anneau plus ou moins
au plus ou moins complet de segments différents, dont chacun est un noyau secondaire allongé. Dans chacun des noyaux seco
rents, dont chacun est un noyau secondaire allongé. Dans chacun des noyaux secondaires, la subs- tance chromatique se rass
ge eu frag- ments isolés les uns des autres. Il s'effectue dans les noyaux secon- daires une concentration du réseau chrom
aires une concentration du réseau chromatique semblable à celle des noyaux primitifs : les mottes chromophiles ou granulatio
les mottes chromophiles ou granulations de Nissl se forment. Les noyaux secondaires se sont désistés de leur individualit
aux secondaires se sont désistés de leur individualité en faveur du noyau primitif auquel ils ont fabriqué un protoplasma.
faveur du noyau primitif auquel ils ont fabriqué un protoplasma. Le noyau primitif, très brillant, ovoïde ou sphéroïde, pou
substance chro- matique, et d'un léger réseau, est alors devenu le noyau d'une cel- lule nerveuse ; les noyaux secondair
er réseau, est alors devenu le noyau d'une cel- lule nerveuse ; les noyaux secondaires ont fourni des parties de protoplas
dérées, les unes comme des dérivées des membranes anté- rieures des noyaux , les autres comme des restes du réticulum nuclé
L'écorce du cerveau présente un développement très analogue. Les noyaux secondaires s'appliquent aux noyaux primitifs, ma
éveloppement très analogue. Les noyaux secondaires s'appliquent aux noyaux primitifs, mais tout l'effort du façonnement de
ont moins nombreux et plus volumineux : ils ressemblent presque aux noyaux primitifs du bulbe et de la protubérance, tandi
s que les éléments des deux autres couches sont plus semblables aux noyaux secondaires. On trouve cependant aussi dans la
x secondaires. On trouve cependant aussi dans la couche moyenne des noyaux secon- daires qui s'appliquent également aux no
che moyenne des noyaux secon- daires qui s'appliquent également aux noyaux primitifs, mais sou- vent d'un seul côté de ceu
fibres, dont chacune pénètre dans les couches profondes, atteint un noyau primitif, et se partage en deux dans son voisin
un fuseau : si non, les deux moitiés de la fibre qui ont enclavé le noyau divergent et déterminent par là la forme de la ce
u prolongement du sommet, elles semblent provenir des membranes des noyaux . La part prise par les noyaux secondaires au dé
s semblent provenir des membranes des noyaux. La part prise par les noyaux secondaires au développement des cel- lules pyr
ue le produit de la fusion de la substance chromatique de plusieurs noyaux de cellules qui concourent à la formation du pro-
comme gonflée, un peu agrandie. C'est une cellule fantôme; mais son noyau et son nucléole ne présentent pas de modification
présentent pas de modifications dis- tinctes, parfois seulement le noyau semble légèrement déplacé vers la périphérie. ·
longs- prolongements des racines postérieures se terminent dans les noyaux des cordons postérieurs, dont les axones, abstr
adventice (surtout dans la, substance blanche). Prolifération des noyaux de la substance névroglique dans les couches co
ent, d'après Nissl, de la chromatolyse centrale, avec diminution du noyau et granu- lation dense; dans les préparations f
le procédé de van Pieson, on trouve un dépôt de pigment autour des noyaux des cellules ganglionnaires. Raréfaction très p
La névralgie trouvera encore une utilisation allégorique et sera le noyau des illusions. , Un léger désordre ne causera q
Bousch, et par le procédé de formol-méthylène. Conclusions : 1° Les noyaux de la gaine de Schwann montrent avec le temps u
s fibres des muscles en rapport avec une prolifération anormale des noyaux du sarcolemme pendant l'époque du développement
cellules, on trouve de la chromatolysc avec déplacement latéral du noyau ; dans quelques-unes, le protoplasma est dans un
uis si longtemps ne se sont pas propagées brus- quement du côté des noyaux du pneumo-spinal, par un mécanisme analogue à c
es, parfois ramassés et disposés d'une façon concentrique autour du noyau , sont fortement colorés. Ces élé- ments ainsi d
nts, plus ou moins oblongs, disposés en plusieurs couches autour du noyau . En dehors de cette zone centrale, pignomorphe,
imples postes de relais, quelque chose d'analogue à ce que sont les noyaux de Burdach et de Goll, par rapport aux fibres s
t, de pédoncule Fig. 26. Ci, capsule interne. - Vu, pulvinar. - Ne, noyau caudé. - Ily, hypocampe. -Ta, tapetum. - RO, ra
ésidence DE M. GOM13AULT. Sur un cas d'endothéliome épilhélioïde du noyau rouge. MM. RAYMOND et CESTAN présentent les pré
t atteint assez légèrement le ruban de Reil, détruit entièrement le noyau rouge gauche, entamé le noyau rouge droit et fa
ruban de Reil, détruit entièrement le noyau rouge gauche, entamé le noyau rouge droit et fait disparaitre le noyau et le
rouge gauche, entamé le noyau rouge droit et fait disparaitre le noyau et le tronc d'origine de la troisième paire. La s
ki. Le seul faisceau nettement dégénéré était le faisceau allant du noyau rouge à l'olive cérébelleuse. Les signes dominant
uement et cliniquement les relations d'association physiologique du noyau rouge et du cervelet. Elle infirme par contre l
Nietzsche. Elude de pathologie men- tale, par \V. Ireland, 238. Noyaux , moteurs médullaires Inner- vant les muscles, p
oyaux, moteurs médullaires Inner- vant les muscles, par Sano, 133 Noyau rouge. Endothéhome du -, par Haymond et Cestan.
65 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
e est atrophiée et remplacée par un tissu scléreux et déprimé. Le noyau caudé du corps strié semble normal. - Le ventri
convolu- tions occipitales, nettement séparés. - Corps calleux et noyaux gris centraux, rien de particulier. - Corne d'Am-
()l-trque fac'rlément; cqpsnie surrénale1 lira [peu grosse ? pas ? de noyau )c tuberculeux ? Rein droit. un peu p,qf)gstiqf1lj
de la pre- mière circonvolution temporale droite ; de ce côté, les noyaux gris centraux paraissent plus petits. Ainsi,
es sillons sont notablement effacés. Le pédoncule cérébral et les noyaux gris centraux ont été fortement déprimés et atr
une loge distincte de la corne frontale et séparée d'elle par les noyaux gris. La membrane qui recouvre le ventricule est
les parois ne sont pas minces et translucides comme à droite et les noyaux gris centraux, bien que fort déprimés, ont cons
es situés iL la partie supérieure du scrotum, du volume d'un gros noyau de cerise. Région anale saine. Le caractère de
ns de l'hippocampe, et temporo-occipitales, le £ corps calleux, les noyaux gris n'ont rien d'anormal au point de vue morph
s supérieur, complètement isolé en bas par une incisure, forme deux noyaux , un inférieur; isolé, un supérieur communiquant
-limbique. Il en est de môme du corps calleux, des ventricules, des noyaux gris et du pédoncule cérébral. Sur les deux hém
C. du lobe temporo-occipital, de l'hippocampe, des ventricules, des noyaux gris, du pédoncule, etc. Le cuve let, la prot
coin, de la circonvolution du corps calleux et de ce der- nier. Les noyaux gris centraux sont aussi déprimés et la cauité
ittente; - bronchite, dyspnée, 'mort. - ? - AUTOPSIE : - Nombreux noyaux de sclérose tubéreuse sur les deux faces des hé
limbique, puis il deux centimètres de la corne frontale où est un noyau d'un centimètre carré ; quelques millimètres en
ntimètre carré ; quelques millimètres en arrière se trouve un autre noyau de 2 cm. 5 qui continue le noyau de la face ext
es en arrière se trouve un autre noyau de 2 cm. 5 qui continue le noyau de la face externe. D'autres loyers de sclérose
phère sont semblables il celles du coté oppusé. Face externe - Cinq noyaux de sclérose hypertrophique su rie 10befJ'onlalq
su rie 10befJ'onlalqui transforment son aspect ordinaire : 1° Un noyau triangulaire dont la base est formée par la sciss
environ et dont le sommet est situé vers le 14 antérieur de F3; le noyau est di- visé par des sillons en trois segments
sillons en trois segments et à 3 cm. 1/2 de hau- teur. 2° Un second noyau existe un peu au-dessous de l'oper- cule fronta
ais n'a guère plus d'un centimètre de dimension. 3° et 4° Deux gros noyaux arrondis existent sur le trajet de F2 ou plus e
rieur est le siège de sclérose tubéreuse hypertrophique, le gros noyau scléreux, qui a 4 cm. 1/2 d'avant en arrière sur
de la corne occipitale et ce foyer, qui semble la continuation du noyau pariétal, occupe la moitié postérieure du lobe oc
é postérieure du lobe occipital. Sclérose tubéreuse. 193 Un autre noyau assez petit, d'un centimètre environ, existe il
l. · Le lobe temporal présente vers la corne sphénoïdale un' gros noyau comprenant l'origine des trois circonvolutions
ntral. Le lobule quadrilatère présente à sa partie moyenne un petit noyau assez nettement limité de 1 cm. sur 5 millimètr
u de son extrémité antérieure, au-dessus du pli fronto-limbique, un noyau sclérosé de l cm. environ et un autre de 2 cent
pli pariéto-limbique. Rien à noter d'apparent au corps calleux, aux noyaux gris, ni aux tubercules quadrijuineuux et aux p
ui sépare la couche optique du corps strié, une trai- née de petits noyaux de sclérose, formant une saillie assez notable.
min ammoniacal de Ranvier et l'liémaloxyline alunéc (protoplasma et noyaux cellulaires, névroglie, tissu conjonctif et vai
eloppement excessif des fibrilles, sont représentés surtout par des noyaux , arron- dis ou ovalaires, disséminés il travers
en arrive il tout masquer ; mais il est fort possible que certains noyaux soient de nature nerveuse. Les vais- seaux ne p
use. Là, les éléments cellulaires névrogliques sont très nombreux : noyaux volumineux, le plus souvent arron- dis, à chrom
ts granulés quelconques, au moins sur les coupes ainsi traitées. Le noyau , volumi- neux, occupe le centre ou la périphéri
66 (1911) La pratique neurologique
dispa- 1 ig. 59. Schéma- des voies opliques. N, nerf optique ; R, noyaux réflexes du mésocéphale ; GO, ganglion ophtal-
elà du mésencéphale vers l'écorce, mais s'arrête en partie dans les noyaux du mésucéphale; elle trouve là une voie de reto
lexe complet avec une voie centripète (le nerf optique), un centre ( noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (les nerfs
nerfs moteurs de l'oeil). ' Coupez les voies optiques en avant des noyaux du mésocéphale et vous [FOULARD.] as. TROUBLE
des réflexes pupillaires. Coupez les voies optiques en arrière des noyaux du mésocéphale et vous aurez une cécité complèt
signifie : lésion cérébrale, sur les voies optiques, en arrière des noyaux du mésocéphale, entre ceux-ci et l'écorce occip
e parlé ou écrit, mais ne peut parler. Elle résulte d'une lésion du noyau lenticulaire. C'est une aphasie par défaut d'ex
est le nerf optique, la voie centrifuge le M. 0. C. siège dans les noyaux du mésocéphale (tub. quad. antér.) (fig. 59). S
phale (tub. quad. antér.) (fig. 59). Si la lésion siège au delà des noyaux du mésocépliaie, entre ceux-ci et l'écorce, l'e
ome comme résultant d'une lésion du pédoncule cérébral au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence des fibres nerveuses.
laires ont une origine bulbaire. 5° Paralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo- protubérantiels. Paralysies dissoc
des noyaux pédonculo- protubérantiels. Paralysies dissociées. Les noyaux d'origine des nerfs oculo- moteurs, bien qu'ass
utres, offrent néanmoins une certaine indépendance. Les .différents noyaux du M. 0. C. sont eux- mêmes anatomiquement, phy
chacun des muscles, en arrière du côté du cerveau, pour gagner les noyaux d'origine. Les paralysies totales du M. 0. C. s
, 2, 5, 4 4 des voies optiques réflexes, sur les fibres reliant les noyaux réflexes aux noyaux d'origine des nerfs oculomo
s optiques réflexes, sur les fibres reliant les noyaux réflexes aux noyaux d'origine des nerfs oculomoteurs (lib. 59). , O
alogue- à la poliomyélite, une altération des cellules motrices des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs des yeux. L'allur
aire. Le droit externe peut être paralysé par suite d'une lésion du noyau du M. 0. E'. à l'emi-- nentia teres, ou par-
e de la protubérance il sa partie inférieure. A, lésion touchant le noyau du M. 0. E. et le facial (paralysie nucléaire)
commun; P, nerf pathétique; MOE, Nerf moteur oculaire externe; non, noyaux d'origine du mot; ? noyau d'origine du nerf pathé
MOE, Nerf moteur oculaire externe; non, noyaux d'origine du mot; ? noyau d'origine du nerf pathétique; 1\", noyau d'orig
noyaux d'origine du mot; ? noyau d'origine du nerf pathétique; 1\", noyau d'origine du nerf MOE; A, centre mesencephalique
es autres dans l'écorce cérébrale. Ils sont réunis entre eux et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'oeil par des t
ance a lieu l'entrecroisement des oculogyres, avant de se rendre au noyau mésocéphaliquc du côté opposé. Il se fait dans la
yndromes Foville) . ' Il existe certainement dans le mésocéphale un noyau , un centre d'asso- ciation réflexe des mouvemen
Certains auteurs le placent au niveau de l'eminentia teres, dans le noyau d'origine du M. 0. E.; mais cette localisation es
ysies associées. Troubles moteurs oculaires associés. Au-dessus des noyaux bulbo-protubérantiels, origine réelle des nerfs
, la convergence sont sans action. Cependant, si la lésion siège au noyau du sphincter, la pupille, dit-on, peut réagir ave
serait due, d'après Cestan, a une lésion bulbaire dans la région du noyau du pneumogastrique et de la colonne solitaire,
s et hlcuro-hulrrm- naires. L'irritation du M, 0. C. (branches ou noyaux ) provoque le myosis, un myosis spasmodique. L
voie centripète, la rétine, le nerf optique, pour centre réflexe les noyaux dumésocéphale, pourvoie centrifuge le M. 0. C.
ineuse provocatrice du réflexe pupillaire ne soit pas transmise aux noyaux mésencéphatiques. Il suffit, en effet, de la con-
ion des voies optiques située au delà de l'arc réflexe, au delà des noyaux du mesoce-J ! pliafe, entre ceux-ci et l'éeorce
moigne de ]'intl\., grité de l'arc réflexe sensoriel (nerf optique, noyaux mésencépfialiques. M. 0. C). L'examen des réf
ion, certains auteurs (Coppez, l3aas) ad- mettent une altération du noyau photomoteur et du neurone central pré- ganglion
é- ganglionnaire : , mais l'intégrité du neurone périphérique. Le noyau d'accommodation-convergence, nullement altéré, tr
ent, chaque centre réflexe envoyant des filets centrifuges aux deux noyaux photo-moteurs droit et gauche. La distribution
nerveux agit la syphilis dans ces paralysies. Probablement sur les noyaux d'origine. Cette hypothèse permet d'expliquer l
e syndrome de Webcr p. 70), jamais de ptosis isolé. La lésion des noyaux protubérantiels , origine du M. 0. G" peut, com
alysies périphériques du facial dues à une lésion siégeant entre le noyau hulbaire et la périphérie. ' Cependant, dans le
cochlée; mais au niveau du bulbe il redevient distinct et gagne le noyau vestibulaire (noyau de Deiters, noyau dorsal in
veau du bulbe il redevient distinct et gagne le noyau vestibulaire ( noyau de Deiters, noyau dorsal interne et noyau de Bc
edevient distinct et gagne le noyau vestibulaire (noyau de Deiters, noyau dorsal interne et noyau de Bcchterew). De ta se
ne le noyau vestibulaire (noyau de Deiters, noyau dorsal interne et noyau de Bcchterew). De ta ses fibres ascendantes, en
cérébelleux inférieur et finalement, après un nouveau relai dans le noyau rouge de Stilling, arrivent à l'écorce pariétal
nouveau et pénètre au niveau de la fossette latérale pour gagner le noyau ventral et le tuber- cule latéral. De ces noyau
rale pour gagner le noyau ventral et le tuber- cule latéral. De ces noyaux les libres suivent un trajet assez compliqué :
es libres suivent un trajet assez compliqué : celles qui partent du noyau ventral contournent l'olive supérieure en lui a
ulaires. B, limaçon. C, bulbe rachidien. D, cervelet avec D', ses noyaux cen- traux. E, noyaux des nerfs moteurs bulbo
, bulbe rachidien. D, cervelet avec D', ses noyaux cen- traux. E, noyaux des nerfs moteurs bulboprotubérantiels. F, F',
F, F', tuber- cules quadrijumeaux antérieurs et pos- térieurs. G, noyau rouge. - H, cerveau. 4. nerf vestibulaire ave
eau. 4. nerf vestibulaire avec 1', ganglion de Scarpa. 2, 2', 2", noyaux bulbaires des fibres vestibulaires. 5, fibres
bulbaires des fibres vestibulaires. 5, fibres courtes allant aux noyaux des nerfs bulbo-protubérantiels. 4, fibres lon-
l'écorce. 5, fibres cérébelleuses se rendant suc- cessivement aux noyaux centraux du cervelet, à l'écorce cérébelleuse,
ent aux noyaux centraux du cervelet, à l'écorce cérébelleuse, aux noyaux rouges,, puis par la capsule in- terne à la zon
cerveau. a, nerf cochléaire avec a', ganglion de Corti. b, b', noyau antérieur et tubercule acoustique. c, noyau tra
lion de Corti. b, b', noyau antérieur et tubercule acoustique. c, noyau tra- pézoïde et corps trapézoïde. d, fais- ce
ubercules quadri- jumeaux et, par l'intermédiaire de ceux-ci, aux noyaux des nerfs bulbo- protubérantiels. - f, fibres l
a même décrit des plaques Imlbo-protuhéran- tielles intéressant les noyaux acoustiques et le nerf auditif lui-même (Hess).
it des lésions de l'acoustique, soit du nerf lui- même, soit de ses noyaux d'origine : les recherches inspirées par les tr
compagner de surdité isolée : la lésion a porté dans ces cas sur le noyau antérieur et le tubercule acoustique, origines
troubles de l'équi- libre et du vertige et traduisent l'atteinte du noyau vestibulaire (noyau de Deiters et de Bechterew)
libre et du vertige et traduisent l'atteinte du noyau vestibulaire ( noyau de Deiters et de Bechterew) : on les désigne so
: on les désigne sous le nom de syndrome de Bonnier ou syndrome du noyau de Deiters. Ce syndrome est constitué essentiel
IS.] Coupe à la limite du bulbe et de la protubérance, montrant les noyaux de terminaison du nerf vestibulaire, et leurs r
Testut.) Schéma emprunté à P. Bobinier, montrant les connexions du noyau de Deiters avec les noyaux moteurs et sensitifs
é à P. Bobinier, montrant les connexions du noyau de Deiters avec les noyaux moteurs et sensitifs des nerfs mesocephaliques,
gion temporale (D,iéulafoy), qui s'expliquent par les connexions du noyau de Deiters avec les collatérales de. la racine se
on pourra voir s'y ajouter des signes indiquant la participation du noyau du pneumogastrique (an- goisse, ralentissement
hèse de Chèze. 5". Dans ses centres cérébraux. Nous avons vu que le noyau vesti- lmlaire entrait en relation avec le verm
ibre. Le nerf cochléaire a ses connexions, après son relais dans le noyau an- térieur et le tubercule acoustique, avec l'
isparu, il ne pouvait plus y avoir de transmission d'excitations au noyau de Deiters et par lui aux. noyaux moteurs ocula
r de transmission d'excitations au noyau de Deiters et par lui aux. noyaux moteurs oculaires et aux tubercules quadrijumeaux
prit est qu'il s'agit d'un phénomène réflexe par l'intermédiaire du noyau de Deiters et par le mécanisme que nous avons i
re des centres bulbo-protubérantiefs, particulière- ment des vastes noyaux étalés sous le plancher dru}" ventricule », qui s
nner lieu au vertige par elles-mêmes, sans irritation du nerf ou du noyau vestibulaire (Lannois). On comprend aussi que l
des cas du syndrome décrit par Bonifier sous le nom de syndrome du noyau de Deiters. Il est constitué par : 1° du vertige
et considérable du thermomètre se voit surtout dans les lésions des noyaux de la base et de la protubérance. Supposons maint
atéral, se trouvent l'in- sula, les capsules externe et interne, le noyau lenticulaire, les grands faisceaux d'associatio
des cornes postérieures, les plus lon- gues autour des cellules des noyaux des cordons postérieurs (noyaux de; Goll et de
s lon- gues autour des cellules des noyaux des cordons postérieurs ( noyaux de; Goll et de Burdach), constituant- ainsi le
ensitifs, le premier neurone vient se terminer directement dans les noyaux du plan- cher du quatrième ventricule. ' Le t
entricule. ' Le trajet des voies sensitives centrales, à partir des noyaux de Goll et de Burdach jusqu'à leur terminaison,
dans le bulbe (entre-croisement piniforme), va se terminer dans les noyaux externe et médian de In couche optique (Dejerin
dans la protu- bérance (commissure de Wernekink) et gagner, par le noyau rouge, la couche optique. Neurone thalamo-cor
postérieure de la couche optique qu'elle détruit, et intéressant le noyau externe du thala- mus dans son tiers postérieur
oyau externe du thala- mus dans son tiers postérieur, une partie du noyau interne, du centre l'ig. 16. - Ilémianestlisie
tation des éléments cellulaires mêmes qui constituent l'organe lésé ( noyaux gris centraux, Goldschcider) ; 2" ils ne sont q
e tronc du nerf, soit sur les racines, soit peut-être aussi sur les noyaux d'origine au niveau des centres. Les plaies des
ux em- pruntent une autre voie : c'est la voie des libres venues du noyau rouge, c'est-à-dire des fibres d'origine inésen
e gâtisme. Ce gâtisme est dû le plus souvent à des lacunes dans les noyaux gris centraux ou dans le domaine de l'artère cé
ressent les ventricules dans une certaine étendue. p) Lésions des noyaux gris centraux. - Quand les lésions sont slrie-
e- tement limitées, ce qui d'ailleurs n'est pas la règle, aux seuls noyaux gris, l'hémiplégie est peu intense et généralem
iplégie est peu intense et généralement transitoire. Quand c'est le noyau lenticulaire qui est atteint, on constate la dimi
s certains cas (surtout pour les lacunaires chez qui les lésions du noyau lenticulaire sont volontiers bilatérales) aller j
iplégie des membres du côté opposé, intéresse en même temps soit le noyau , soit la racine de tel ou tel nerf crânien situ
radiculaires ; les racines antérieures de la moelle proviennent de noyaux étagés les uns au-dessus des autres dans toute la
s des autres dans toute la hauteur de l'axe gris médullaire, chaque noyau ne fournissant de fibres qu'à la racine corresp
même tronc définitif des filets nerveux qui naissent des différents noyaux moteurs superposés, et des racines qui leur cor
le périphérique. Souvent on constate l'atteinte simultanée d'autres noyaux bulbaires. Parfois existe une hémiplégie alterne.
e de l'accélérai ion respiratoire. C58 TROUBLES DU LARYNX. w au noyau postérieur du pneumogastrique, lés autres fibres
pneumogastrique, lés autres fibres motrices de ce nerf provenant du noyau ambigu dont la partie inférieure constitue le n
rf provenant du noyau ambigu dont la partie inférieure constitue le noyau bulbaire du spinal : or nous allons voir la part
admise par tous les anatomistes et que Yan Gehuchten attribue le noyau ambigu exclusivement au pneu- mogastrique, le
n attribue le noyau ambigu exclusivement au pneu- mogastrique, le noyau de l'aile grise étant au contraire com- mun a
: l'autopsie ultérieure démontra l'existence d'un ramollissement du noyau bulbaire. Dans un autre cas de Grabower on trou
t mieux connues, bien que l'origine réelle du vago- spinal dans les noyaux bulbaires continue à donner lieu à de vives dis
paralysie complète d'une corde, et Eisenlohr a vu la destruction du noyau du vago- spinal entraîner une paralysie récurre
montra qu'il s'agissait d'une sclérose du cervelet sans lésions des noyaux de l'hypoglosse et du pneumogastrique. J'ai exami
[LANNOIS.] 646 MALADIES DU LARYNX. mal que ce soient surtout les noyaux des dilatateurs qui sont lésés sinon par cette
des dilatateurs qui sont lésés sinon par cette considération que le noyau respiratoire bulbaire l'emporte de C beaucoup e
respiratoire bulbaire l'emporte de C beaucoup en importance sur le noyau phonatoire et doit par suite être beaucoup plus
s bon nombre de cas le spasme constitue une phase de l'atteinte des noyaux bulbaires qui précède la paralysie. Aussi ret
s tabétiques est déterminé par des lésions irritatives directes des noyaux bulbaires ou s'il s'agit d'une inhibition bulba
avec rétraction inspiratoire de l'abdomen), soit il l'atteinte des noyaux bulbaires (paralysie tabio-gtosso-taryngée). Ce
divisions longitudinales (Durante), sans prolifération intense des noyaux . - 1. FAUI1E-BEAULOEU cl LEWAnowsKV. Soc. de Ne
s'atténuent, les fibres se remplissent de vacuoles, et surtout les noyaux prolifèrent abondamment. C'est aux dépens- du s
ndamment. C'est aux dépens- du sarcoplasma ainsi accru et pourvu de noyaux multiples .que s'individualiseront des'cellules m
e début, avec un gonflement en masse, une intense prolifération des noyaux ; le sarcoplasme, protoplasme non différencié, p
non différenciées qui se fait aux dépens du sarcoplasma autour des noyaux prolifères, dans la maladie de Thomsen la persist
rsistance dans l'intérieur des fibres d'un sarcoplasma abondant, il noyaux multiples mais indivis (plasrnode). Or c'est pr
sions longitudinales, l'existence d'une abondante prolifération des noyaux (Krau, Talma, Durante, etc.)(1). Il semble donc
de Thomsen : augmentation du sarco- plasma et multiplication de ses noyaux , mais le sarcoplasma reste indivis, en plasmode
u près seul Auerbach a noté qu'il n'y avait pas de multiplication des noyaux : son cas est aussi le seul qui se soit terminé
péciale d'incoordination ; anatomiqucmcnt les relations intimes des noyaux de l'acoustique avec le cervelet commencent à ê
es relations avec les voies sensitives générales au voisi- nage des noyaux de Goll et de Hurdach. Le syndrome de l'ataxie
formations grises con- tinuant à ce niveau les cornes médullaires : noyaux moteurs de l'hypo- glosse, du spinal et du pneu
et du pneumogastrique, du glosso-pharyngien et du facial en partie, noyaux sensitifs ou sensoriels de l'intermédiaire de,
une série de cas où le trouble bulbaire porte exclusivement sur les noyaux d'origine des nerfs bulbaires et sur leurs fais
paralysie de Landry et dans la rage. Syndrome labyrinthique ou du noyau de Deiters. Nous appellerons syndrome labyrnlhi
rre Bonnier. Cet auteur le tient pour symptomatiflue des lésions du noyau do Deiters, dont on connait les rapports anasto
iters, dont on connait les rapports anastomotiques étroits avec les noyaux bulbo-protubérantiels adjacents. Ce syndrome, n
au supérieur du trapèze droit, un complexus analogue au syndrome du noyau de Deiters, des vertiges, des vomissements, de
essant soit le cortex, soit d'ordinaire la substance blanche et les noyaux centraux, et cela dans les deux hémisphères à la
rs sem- blaient plutôt rattacher l'athétose double à une lésion des noyaux gris centraux, tandis que Kaliler et Pick la ra
n peut constater des lésions évidentes de névrite,' de myosite, des noyaux fibreux intra-musculaires (Roskan), des artérit
te dissociation; dans les lésions bulbaires, c'est l'inhibition des noyaux pneumogastriques qui permet d'expliquer cet état
rigine centrale : telles sont celles qui sont dues à des lésions du noyau bulbaire, celle du tabès, celle des hémorragies
tance, et l'abondance de la polyurie indiqueraient une atteinte des noyaux du bulbe. Signalée dans la sclérose en plaques,
le pré- sence des lacunes de désintégration (Pierre Marie) dans les noyaux gris centraux et peut-être aussi dans quelques
colo- ration, les globules rouges seront teintés en vert clair, les noyaux des globules blancs apparaîtront en bleu foncé.
oplasma des globules blancs sont colorés en rouge par l'éosine, les noyaux des globules blancs sont colorés en bleu par l'hé
driques, en raquette, isolées, sou- dées ou agminées, pourvues d'un noyau oval souvent marginal et riche en nucléoles; le
ent, sans doute il cause de leur dilfusibililé nulle ou minime, les noyaux du plancher de la fosse rhomboïdale. .. ÉPENDYM
passent dans les gaines périvasculaires et arrivent au contact, des noyaux nerveux. (Leur progression descendante explique
s, et plus encore par l'existence d'alté- rations considérables des noyaux bulbaires constatées dans certaines épendymites
appareils, faradiques par l'aimantation et la désaimanta- lion d'un noyau de fer doux compris dans l'axe de la bobine induc
ou moins ce cylindre; les courants sont d'autant plus forts que le noyau de fer doux est plus découvert. On diminue, au
s cellules des neu- rones moteurs (cornes antérieures de la moelle, noyaux du bulbe et de l'isthme de l'encéphale), ou les
iens, même dans des cas d'hémorragie ou de ramollis- sement, si les noyaux moteurs de ces nerfs ou les fibres radiculaires q
e la lésion centrale. La DR se rencontre aussi dans les lésions des noyaux bulbaires qui donnent lieu à la paralysie lal)i
e FIcchsig, se pratiquant de dehors en dedans, passe par la tête du noyau caudé et par la partie moyenne de la couche opt
TOPSIE DES CENTRES NERVEUX. 15113 passe par le milieu de la tète du noyau caudé et par le point de réunion du tiers supér
extrêmement accentué et la coupe intéresse les trois segments du « noyau lenticulaire. Cette coupe, qui doit être pratiqué
la « couche optique. On n'intéresse alors que deux des segments du noyau .< lenticulaire, le genou de la capsule inte
, les cellules nerveuses ont leur protoplasma coloré en rouge, leur noyau est moins foncé. Les plaques de sclérose névrogli
anuleux) : en outre les cellules et les « capsules cellulaires, les noyaux sont bien colorés, le pigment est géné- « ralem
n peut, après avoir employé la méthode de Bielschowsky, colorer les noyaux et les fibres névrogliques en passant les coupes
de force et de poids, 298. Nourrissons. Voy. Spasme de la glotte. Noyau de (Jèiter. (Syndrome du -), ), vertiges, 171,
(Jèiter. (Syndrome du -), ), vertiges, 171, 804. - Yoy. Bonnier. Noyaux bulbo-prolubéranliels, lésions. Paralysies de l
pédonculo-protubé- rantielle, 70. Paralysie par lésion isolée des noyaux pédonculo-protuhéran- tiels, 75. - Paralysie pa
67 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s fibres ascendantes du cordon postérieur qui s'arborisent dans les noyaux de la moelle allongés, noyaux d'où part, après
postérieur qui s'arborisent dans les noyaux de la moelle allongés, noyaux d'où part, après entre-croisement, un nouveau fai
ntra que l'angiome s'étendait à partir du bulbe juste au-dessus des noyaux du pneumogastrique jusque dans le pédoncule cér
. montrent une limitation de la lésion et comme une dissection de noyaux bien difficile à expliquer par une lésion radicul
grosses cellules claires, parfois rétraction, homo- généisation du noyau avec conservation du volume ou atrophie du nucl
es colonnes de Clarke présentent certaines altérations : ectopie du noyau , chromatolyse du cytoplasma, etc. Toutefois, co
l le plus grand nombre des cellules des colonnes de Clarke ont leur noyau dans cette position excentrique, à la périphéri
it le cytoplasma atrophié, le protoplasma pigmenté et vacuolisé, le noyau déformé et anor- malement coloré, ainsi que les
ré, ainsi que les nucléoles, finalement une dispari- tion totale du noyau et de toute la cellule. Outre une dilatation de
rophie, pigmentation, vacuolisation du protoplasma, dégénération du noyau et du nucléole, disparition totale et destruction
non seulement quant à leur substance chromatique, mais quant à leur noyau . Schaffer a bien trouvé, quoique « très raremen
, quoique « très rarement », une atrophie et une figure anormale du noyau . L'aspect de la distribution des blocs chromati
en rien de celui des cellules normales des ganglions spinaux. Ni le noyau ni le nucléole ne trahissaient aucune altération
cervical (augmentation du tissu névroglique avec prolifération des noyaux , disparition des cellules et des fibres ner- ve
entouré d'une zone plus pâle, non striée et à bords mal délimités ( noyau ). La cellule est très élastique et - résiste à
urs central et volumineux, entouré d'une zone pâle et mal limitée '( noyau ). - Généralement il y a très peu de pigment. La
aux et pariétaux ; gliose sous-pie- mérienne de Dleuler. Cellules à noyaux pauvres en chromatine entourés d'une faible qua
ne façon diffuse et faiblement, on y trouve des fibres pâles et des noyaux colorés ou bien des noyaux tout à fait incolores
ent, on y trouve des fibres pâles et des noyaux colorés ou bien des noyaux tout à fait incolores avec débris de noyaux, ou
aux colorés ou bien des noyaux tout à fait incolores avec débris de noyaux , ouenlin, une masse incolore, grenue, sans forme
formés de la matière pâle incolore, grenue, renfermant ça et là des noyaux bien conservés. Les parties pâles et les kystes n
tout de phénomènes inflam- matoires. - La faible tingibilité des noyaux , leur destruction en morceaux et en fragments,
e la cellule sont, par suite, caractérisés par la non-coloration du noyau cellulaire et l'imperceptibilité du protoplasma
'imperceptibilité du protoplasma ambiant par rapport au pourtour du noyau ; 4° Plus tard le squelette ovale du corps de la
e névroses. On peut tendre à croire que les cylindraxes émanent des noyaux des cellules, des corpuscules embryonnaires pri
Toutes les parties de l'écorce du cerveau de ces animaux, tous les noyaux sous-corticaux ainsi que la moelle allongée des
céréGro-spirzade; par Dagron. SOCIÉTÉS SAVANTES. 171 Lésions des Noyaux du Pneumogastrique dans la Sclérose latérale Am
(de Paris). Les auteurs ont pu étudier par la méthode de Nissl les noyaux du pneumogastrique chez deux malades qui avaien
e diminution de nombre dans les amas cellulaires (nucleus ambiguus, noyau dor- sal) ; mais ces altérations étaient sensib
soutenu, contrairement àla doctrine classique, la nature motrice du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les auteurs pens
un tubercule de la partie supérieure de la protubérance entre les noyaux de la 111° paire et de la VIe paire. Ils présente
s décrites par l'armaud. Il s'agit dans de tels cas de relations de noyau à noyau et non de lésions à distance. SOCIÉTÉ
es par l'armaud. Il s'agit dans de tels cas de relations de noyau à noyau et non de lésions à distance. SOCIÉTÉS SAVANT
llaire siégeant dans la région supérieure. Note sur la structure du noyau et la division amilosique des cellules nerveuse
des coupes fines d'encéphale de cobaye adulte, que la structure du noyau est beaucoup plus complexe que ne le font sup-
en dehors de toute cause pathologique se diviser par amitose. 1° Noyau des cellules nerveuses. Ce noyau présente dans un
logique se diviser par amitose. 1° Noyau des cellules nerveuses. Ce noyau présente dans un nucléoplasma incolore et homog
océdés plus ou moins complexes que nous avons étudiés en détail. Le noyau se divise lui-même amitosique- ment, soit par é
nt, soit par étranglement, soit par fissuration. 'Cette division du noyau est elle-même suivie de la plasmodicrèse de la ce
es cornes antérieures de la moelle cer- vico-dorsale intéressant le noyau segmentaire des muscles de la main et quelque p
le noyau segmentaire des muscles de la main et quelque peu aussi le noyau segmentaire des muscles de l'avant-bras. G. D.
pyramidal ainsi que la région tegmentale et les fibres qui sont au noyau du facial droit ; elle s'était également étendu
ait également étendue jusqu'au pédoncule gauche, et avait envahi le noyau du moteur oculaire. A la seconde visite, le tab
sez bas pour com- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 9S7 7 prendre les noyaux situés dans le renflement lombaire, ou du moins
le renflement lombaire, ou du moins les voies qui aboutissent à ces noyaux , et en même temps les trac- tus au moyen desque
ligne médiane, un peu au-dessus et le long des nerfs optiques, deux noyaux durs, irréguliers, dont l'ensemble équivaut à u
s. Elles sont arrondies, sans prolongements prolo- plasmiques, leur noyau est riche en chroinutine, ce sont plutôt des ne
ont légèrement congestionnés aux deux bases sans qu'on trouve aucun noyau d'infarctus. Des mucosités épaisses remplissent
phénomène sur la surface de section de la substance blanche. Les noyaux opto-slriés. un peu ramollis, sont gorgés de sang
eu ramollis, sont gorgés de sang et les coupes failesali niveau des noyaux , donnent abondamment du sang. Mêmes particulari
Faible- ment colorés, quelques-uns d'entre eux paraissent avoir un noyau pâle, entouré d'un cercle fortement coloré, leq
st lui-même entouré d'un cercle plus large de la même teinte que le noyau central. Ils ne se colorent ni avec l'hématoxyl
, comme le montrait l'acide osmique; elles avaient ordinairement un noyau unique, arrondi ou légèrement allongé. Elles fo
x cérébelleux avec agénésie accentuée de l'écorce du cervelet, du noyau de Goll et des fibres du pédoncule cérébelleux.
es et surtout méningées, l'inté- 344 SOCIÉTÉS SAVANTES. grité des noyaux était complète. Du côté de la moelle au contraire
au cours d'un can- cer de l'estomac une paralysie faciale due à un noyau cancéreux comprimant le nerf dans l'aqueduc de
erver qu'ici les lésions des vaisseaux avec leurs gaines gorgées de noyaux sont beaucoup plus intenses que dans la paralys
conséquence éloignée d'une maladie de la troisième paire ou de son noyau , et elle peut être la seule preuve clinique app
toujours une dégénérescence nerveuse centrale, intéressant soit le noyau du moteur oculaire, soit ses rameaux afférents.
e cas de Siemer- ling dans lequel on constata une dégénérescence du noyau sphinc- terien et des nerfs moteurs oculaires.
logique. Les altérations des vaisseaux en occupent les parois : les noyaux sont augmentés de nombre, la tunique interne et
polyédrique, avec la cellule épithéliale; 3° l'hyperchromatose des noyaux ; et 4° la forme anormale des noyaux. Contre le
liale; 3° l'hyperchromatose des noyaux; et 4° la forme anormale des noyaux . Contre le carcinome, il y a : 1° le caractère
régions supé- rieures de la moelle, en même temps qu'une lésion des noyaux des nerfs moteurs qui n'est pas celle d'une pai
urs qui n'est pas celle d'une paialysie bulbaire progres- sive. Les noyaux du nerf facial et sui tout du nerl hypoglosse n'.
uffert, de môme que le nerf spinal. Sont notable- ment atteints les noyaux des nerfs oculomoteurs, à l'exclusion de ceux q
re. L'ophtalmoplégie est certainement d'origine nucléaire, tous les noyaux sont, atteints au même degré d'intensité, et le
hénomènes pupillaires sont évidemment d'origine non nu- cléaire. Le noyau du sphincter pupillaire est évidemment intact;
éaire ou par une interruption des conducteurs dans le voisinage des noyaux correspondants. L'intérêt du cas pré- sent rési
oie qui communique les impulsions motrices des images visuelles aux noyaux des nerfs oculomoteurs, reste intact. Il est po
Evolution des - de l'écorce, par BecUterew , 1 49. Structure du noyau des -, par Perrin de la Touche et Dide, 183. Hi
musculaire progressive, par Ray- mond et Rickhn, 73. Lésion des noyaux du pneumogastrique dans la , par Philippe et Ma
68 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
, et reliée à sa cavité par un faisceau ligamenteux, se trouve un noyau dur, arrondi, de la grosseur d'un pois, que la
damen- tale du néoplasme est formée de petites cellules rondes avec noyau volu- mineux ; ce sont des cellules sarcomateus
ormé de petites cellules rondes, chacune de ces cellules possède un noyau relativement volumineux et une mince cou- che d
et du bras a son importance au point de vue de la localisation des noyaux muscu- laires dans la moelle. Je reviendrai sur
er de ramollisse- ment. Il n'existe pas d'hémorrhagie au niveau des noyaux gris centraux. Le cervelet n'est porteur d'aucu
orte. Il existe une nécrose cellulaire avec perte de coloration des noyaux un peu diffuse, mais par territoires assez limi
un processus régressif de dégénéres- cence granulo-graisseuse ; le noyau est déplacé vers le prolongement cylin- dre-axi
Les cellules de Purkinje du cervelet et les cel- lules motrices des noyaux bulbaires sont particulièrement sensibles à l'ac-
les cellules nerveuses qui s'atrophient, deviennent vacuolaires, le noyau étant repoussé à la pé- riphérie et se transfor
s den- ses.'changés de forme et de volume, sont accumulés autour du noyau qui se colore d'une façon très vive. Nous avo
thode initiale de Nissl et parce qu'elle permet de mieux étudier le noyau . Préconisée par van Lenhossek, elle vient d'ê-
aderno 1°. Fig. 1. 158 J. SABRAZÈS ET C. CABANNES triquement au noyau , font absolument défaut dans le cylindre-axe ; il
t à des différenciations morphologiques in- discutables. Quant au noyau , il occupe le centre de la cellule; la chroma til
immédiat avec la memhrane cel- lulaire et limitant entre elle et le noyau un espace purement achromati- que, tantôt au co
développés, d'aspect triangulaire ou semi-lunaire, situés autour du noyau , constituant une sorte d'éperon en face de la z
'émission des expansions protoplasmi- ques principales (1). Dans le noyau de ces dernières cellules, la chroma- tine est
oles, qui représentent la plus grande partie de la chromatine de ce noyau , sont au nombre de deux ou trois ; îls peuvent
es de prolongements, de granulations chromatophiles, mais encore de noyau . Le corps cellulaire n'est plus qu'un globe anh
Fin. 3. A. - Cellule nerveuse dépourvue de prolongements et dont le noyau est reporté vers la périphérie (partie posté- r
omatolysc périphérique et centrale (corne antérieure). Disparition du noyau . D Cellule nerveuse au début de l'altération.
EUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE RIUMAINE 161 ses prolongements ; le noyau est parfois reporté vers la périphérie (Fig. 4
g. 5) ; tantôt la chromatolyse s'exerce dans l'espace qui sépare le noyau de la membrane (Fig. 6) et la substance chromop
ES petissée, mesurant de 18 à 24 sur 15 {1- est ou non munie de son noyau . Le protoplasma est parsemé d'une fine poussièr
t les résidus de la chromatolyse mais encore le spongioplasma et le noyau ont disparu. Le nucléole se fragmente et se réd
s éléments mortifiés excède 15 à 20 par préparation. Au début, le noyau apparaît légèrement tuméfié, le nucléole mesure 4
mière vue l'impression des bactéries filamenteuses incluses dans le noyau (Fig. 19, 20, 21,22,23). On ne rencontre jama
mbrane nucléaire, le réseau de linine, le nucléole ont disparu ; au noyau primitif s'est substitué un véritable pe- loton
ériphérie de la cellule (Fig. ? 4. et 25). En dehors de cet état du noyau bien digne de fixer l'altention, on ne relève d
au centre et correspond il un changement profond dans la texture du noyau , dont le nucléole se rapetisse, dont la chromatin
lasma'perd ses granulations chromophiles et dégénère, tandis que le noyau témoigne de phénomènes réactionnels dans le sens
s, source d'énergie, mais encore dans son spongioplasma et dans son noyau . En tenant compte des données les plus récentes
ule par le virus rabique se traduit aussi par un changement dans le noyau qui tend sans y aboutir vers la karyokinèse. On
ules nerveuses, maison est obligé'd'admettre,avec cet auteur,que le noyau de ces cellules ne reste pas absolument inerte
antérieu- res en particulier, la concentration de la chromatine du noyau en un seul nucléole, associée à une différencia
du protoplasma, implique l'absence de fonctions reproductrices. Le noyau aurait perdu ses qualités d'organe reproducteur
rposée à elle' la couche opti- que. On a ainsi une projection de ce noyau géométrique sur la face externe du cerveau.. '
lle épinière, au niveau du renflement cervical, paraît contenir les noyaux de tous les muscles sous la dépendance de la ra
sy- ringomyélie. En effet, si nous supposons, par exemple, que les noyaux des petits muscles de la main, qui pour la plup
nseurs qui a sa signification au point de vue de la topographie des noyaux musculaires dans la moelle a été ob- servée au
e de cinq cas de syrin- gomyélie, je crois pouvoir conclure que les noyaux des muscles extenseurs 'sont situés au-dessus d
re que les noyaux des muscles extenseurs 'sont situés au-dessus des noyaux des muscles fléchisseurs. En effet, dans ce 'qu
n cervico-dorsale vers la région cervicale supérieure. Les premiers noyaux atteints seront ceux qui sont situés au niveau
i se dirige dans le sens ver- tical et touche en première ligne les noyaux les plus rapprochés du canal épendymaire, acqui
ion dans le sens transversal, mais laisse plus ou moins intacts les noyaux situés tout à fait en avant et en dehors de la
en vertu duquel ils abandonnent leur position primitive et un autre noyau vient prendre leur place ? CONCLUSIONS Après
e section, pratiquée à ce niveau, doit intéresser les fibres qui du noyau respiratoire du nerf vague se ren- dent au phré
Fig. 2), dont le corps cellulaire est représenté par une cellule du noyau de Burdach B, ou du noyau de Goll G. Un neurone
lulaire est représenté par une cellule du noyau de Burdach B, ou du noyau de Goll G. Un neurone périphérique 1\1 p, don
Soit qu'elle remonte jusque dans le bulbe, pour se terminer dans le noyau de Burdach B ou dans le noyau de Goll G, sous l'o
ns le bulbe, pour se terminer dans le noyau de Burdach B ou dans le noyau de Goll G, sous l'orme d'une arbori- sation ter
omatique, et, en outre, par l'endroit de la cellule où se trouve le noyau . En examinant diverses préparations on peut voi
nce chromatique a envahi la partie centrale du corps cellulaire, le noyau oc- cupe une position excentrique ; il apparaît
stance chromatique dans le centre de la cellule est grande, plus le noyau s'avance vers la périphérie; il forme quelquefo
ologie pathologique nE la polynévrite 351 se rencontre rarement, le noyau de la cellule reste dans la partie cen- trale d
ntrale de la substance chromatique avec la position périphérique du noyau . Dans les nerfs périphériques, traités par l'ac
entrale de la substance chromatique, accompagnée de l'émigration du noyau du centre de la cel- lule vers la périphérie ?
ntrale de la substance chromatique avec le déplacement simultané du noyau du centre vers la périphérie dans la polynévrit
dissolution centrale de la substance chromatique, le déplacement du noyau du centre du corps cellulaire vers sa périphéri
que les modifications observées dans les cellules nerveuses, où le noyau se trouve sur la périphérie du corps cellulaire
chromatolyse périphérique ou partielle, sans déplacement visible du noyau vers la périphérie du corps cellulaire. Ces modif
69 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
grande partie du « myélocyte conscient » est-elle occupée par un noyau ; or, « tout ce que nous savons en anatomie géné
ut ce que nous savons en anatomie générale autorise à penser què ce noyau , quoique né- cessaire peut-être au maintien de
diations optiques de la région occipito-angu- aire qui émergent des noyaux primaires à ce niveau environ (voir Fys la h Ph
e de 1\Ienert - fs, scissure de S1% itis. - ne, lIoau coudé. -'711, noyau lenticulaire. - or, 1 ddi.J.lions optiques (Giati
du genou de celle-ci. Il en et de même des fibres qui descendent du noyau caudé. Archives, t. XXI. 8 114 REVUE DE PATHO
avre d'un enfant mort de diphthérite scarlalineuse. La division des noyaux des éléments du liquide coagulé peut aboutir à
doute à cet égard chez les vertébrés inférieurs, jusqu'aux derniers noyaux du bulbe. 11 est probable qu'elles descendent d
détournent existe un ganglion, le ganglion profond du mésocéphale, noyau du ruban de Reil. Une seconde partie de fibres,
veau du quart supérieur de la capsule. Ils proviennent en partie du noyau lenticulaire, en partie de certains territoires
u lobe frontal; en revanche on y trouverait des fibres provenant du noyau lenticulaire, et des fibres originaires de l'in
bérance ; c'est là qu'elles se terminent provisoirement dans les noyaux qu'on y rencontre. Il y existe aussi des fibres q
branches musculaires du cubital. N'est-il pas vraisemblable que les noyaux médullaires auxquels le noyau cubital emprunte
N'est-il pas vraisemblable que les noyaux médullaires auxquels le noyau cubital emprunte ses fibres radiculaires, ont été
bstance médullaire de son extrémité inférieure se con- fond avec le noyau médullaire duquel naissent les racines externes
ra-ventriculaire du corps strié, avec les parties extérieures et le noyau gris de la tubérosité temporale, c'est-à-dire a
ce ascendante dans une certaine mesure au moins, aussi loin que les noyaux graciles ou noyaux post-pyramidaux de la moelle
une certaine mesure au moins, aussi loin que les noyaux graciles ou noyaux post-pyramidaux de la moelle allongée. Les colo
et provenir des cellules de la colonne de Clarke. Il monte jusqu'au noyau latéral qui est en haut la continuation de la c
oins développés, constitués par des amas de cellules rondes avec un noyau très développé. Ces cellules, un peu plus volum
ie postérieure du tronc; dégénérescence des muscles sans lésion des noyaux , des racines, des nerfs périphériques. L'Observ
de l'extrémité supérieure de l'entrecroise- ment des pyramides, le noyau du spinal témoigne d'un parfait déve- loppement
e des cornes antérieures représentée par les cel- lules et celle du noyau de l'hypoglosse, de sorte qu'on est en droit d'
du côté lésé, la disparition de toutes les cellules ner- veuses du noyau supérieur (dorsal) et inférieur (ventral) commun
nsidérablement diminué. Nous enregistrons les conclusions : 1° Le noyau supérieur ou dorsal vagoglossopharyngien (plan su
le pneumogastrique se réunissent dans la cavité thoracique.- 3° Ce noyau ne donne naissance ni à des fibres gustatives ni
ensitives du pneumogastrique ; sans quoi l'on eût, dans le corps du noyau , retrouvé intactes les cellules qui correspondent
er- médiaire de Wrisberg n'en provient pas non plus. En réalité, le noyau sus- désigné est vaso-constricteur. - 5° Le noy
s. En réalité, le noyau sus- désigné est vaso-constricteur. - 5° Le noyau inférieur ou ventral, qui occupe la formation r
u ventral, qui occupe la formation réticulaire, entie l'olive et le noyau originaire du cordon latéral, innerve les muscl
moins du monde à l'entre-croisement d'aucune des fibres émanées des noyaux du pneumogastrique. - 8° Les cellulesdes faisceau
des leucocytes; les premières prolifèrent par caryo- kinèse de leur noyau . P. K. XXXIII. Examen HISTOLOGIQUE D'UN cas DE
s fibres variqueuses contiennent, au niveau des points dilatés, des noyaux en grand nombre qui proviennent de l'hyperplasi
d'une part, avec le tubercule acoustique et d'autre, part avec le noyau auditif antérieur, se développent les uns après l
rapézoïde. - L'olive supérieure contient des fibres issues des deux noyaux du nerf cochléaire, et s'unit au ruban de Reil
. Chez le foetus humain, on voit nettement le trousseau qui va du noyau acoustique antérieur au corps trapézoïde. Chez le
Il est probable qu'il est aussi en relation avec le cerveau par le noyau interne de l'acoustique, à l'aide des fibres ar
quant à leurs connexions centrales. P. K. XXXVI. Altérations des noyaux D'ORIGINE DES NERFS crâniens SUR LE plancher DU
s de la région; elles acquièrent leur plus haute intensité dans les noyaux originaires des nerfs crâniens. Ce sont les noy
tensité dans les noyaux originaires des nerfs crâniens. Ce sont les noyaux des nerfs moteurs qui paraissent le plus éprouv
ature conjonctive. En tout cas, jamais il ne se fait de scission du noyau dans les cellules nerveuses arrivées à leur par-
d'ensemble ; 4° de la safranine qui montre le mieux la division du noyau (on l'associe à l'eau d'aniline). P. IiÉHavaL.
t entre les divers points de la surface, la continuité, occupent le noyau du solide envisagé. Or, quand un solide s'accroît
et - le cordon postérieur qui se termine dans la substance grise du noyau postérieur d'origine des faisceaux pyramidaux,
tance grise du noyau postérieur d'origine des faisceaux pyramidaux, noyau relié lui-même au cervelet. Les impressions von
sies partielles, considérer, d'une part, le groupe- ment des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du moteur ocul
SE. trajet intrapédonculaire des fibres qui émanent de ces divers noyaux . Les noyaux d'origine, échelonnés d'avant en ar
ntrapédonculaire des fibres qui émanent de ces divers noyaux. Les noyaux d'origine, échelonnés d'avant en arrière / sous
ons. L'abducens et le facial prennent leur origine réelle dans deux noyaux presque confondus et situés sous le plancher du
elle, subissent la décussation dans les nucléi graciles et dans les noyaux de la couche intéro livaire et de là dans la form
ln,\sm 1. - Il, nerf optique. T, lobe temporal. - U. crochet. - Am, noyau am) gdahcn. - Spa, substaner penforée antérieure.
olfactif. - mp, pédoncule moyen du cervelet. - na, amygdales. - ne, noyau caudé. - ni, n 0 %.au lenticulaire. - P, tractus
u caudé. - ni, n 0 %.au lenticulaire. - P, tractus pyramidal. - rn, noyau rouge. - ral, racines du nerf olfactf. - rs, régi
temporo-sphénoidal droit était le siège d'une tumeur comprenant le noyau de l'amyg- dale et les fibres médullaires. L'od
par Broadbent, par les fibres commissurales réunissant ensemble les noyaux bulbaires et spinaux. Quoiqu'une excitation mod
11, non mentionnée dans 5, atteinte dans 3. Dans l'un de ces cas un noyau sanguin de l'insula de Reil confirmait les circ
27 418 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les régions frontales avec les noyaux moteurs de la moelle. Les dégénérescences dans
la folie héréditaire survenus Ii la suite d'une hémorrhagie dans le noyau lenticulaire. M. SAURY donne lecture d'une obse
put réprimer. A l'autopsie on tronva un foyer hémorrhagique dans le noyau lenticulaire qui n'avait donné lieu à aucun tro
zi, 45G. Citez les aliéiiés, par .NrlFS crâniens ( altération des noyaux des -1 dans un cas de rage canine, 28G. Nerve
t Kronthal, Oppenheim, Seelig- mann, Bernhardt et krontha1,453. Noyau lenticulaire, syndrome épi- sodique de la folie
70 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
uses uni- tés, qui se présentent sous une forme arrondie, munies de noyau et de ? 6pharopfasLo,non ! 'iageUces au commencem
cents, rarement dans les anciens. Dans le cortex cérébral, dans les noyaux centraux, dans la protubérance, dans le bulbe,
ulaires sont presque ab- sents ; par place seulement on aperçoit un noyau allongé accolé à une fibre.En certains points l
an Gieson révèle une infiltration cellulaire considérable formée de noyaux ronds s'insinuant en- tre des mailles conjoncti
de la pie-mère fortement irritée ; Cio, couche interolivaire ; XII. noyau de l'hypoglosse. FACULTÉ DE MÉDECINE D'ALBANY,
truit complètement les deux tiers postérieurs du segment externe du noyau lenticulaire, et intéresse également la partie
'implique pas du tout que celte aphasie relève de la destruction du noyau lenticulaire lui-même, puisqu'il y également lé
re comme dans le cas de lésion de l'hypoglosse avec atrophie de son noyau d'origine publiée par Laignel-Lavastine (Soc. a
ier médical, 1904). 3° Reste la localisation BULBAIRE, la lésion du noyau d'origine de l'hypoglosse, cause la*plus fréque
ie lin- guale. Koch et Marie nient même^celte association, les deux noyaux du facial et de l'hypoglosse étant assez éloign
il nous reste à établir la nature de la lésion bulbaire occupant le noyau de l'hypoglosse et causant l'hémiatrophie lingu
omentanées qui à leur tour se répercu- . lent sur les fonctions des noyaux bulbaires. Cela a été observé du reste dans cer
ue partie du manteau de la gaine médullaire (fig. 5). . Quant aux noyaux de la gaine de Schwann, la plupart des noyaux o
(fig. 5). . Quant aux noyaux de la gaine de Schwann, la plupart des noyaux oblongs ont la membrane nettement dessinée et s
ane nettement dessinée et sans prolongement. En ce qui concerne les noyaux ronds, on peut les trouver entourés de réseaux
tillées colorées en rose (fig. 6, 7, 8). Par endroits on trouve des noyaux dont naissent des fibres du même calibre que ce
STA Nous n'avons pas constaté un rapport intime entre le réseau des noyaux de la gaine de Schwann et notre réseau intraméd
Schwann, et ressemblant à celui que nous avons constaté autour des noyaux de Schwann, essaie de démontrer que ce réseau pro
van Gieson permet, il est vrai, de colorer le cytoplasme autour des noyaux des cellu- les arachnoïdes aussi bien que les c
la différence qui existe entre les cellules névrogliques avec leurs noyaux ronds de volume remarquable et les formations ste
aux.éléments fibrillaires ou s'il ne s'agit pas ici de cellules ou de noyaux névrogliques ratatinés, tels que nous en rencon
e blanche de la moelle épinière. Gieson. Réseau névroglique avec un noyau . Fio. Il. - Même cas. Ecorce cérébrale. Eisath
leurpigmentation quelques signes de picnomorphie et d'altération du noyau . De même la grande cellule py- ramidale présent
sauf une pigmentation avancée, d'altérations remarquables dans les noyaux des nerfs crâniens. En ce qui concerne les cell
ôt cubi- que, tantôt cylindrique. La coloration peu foncée de leurs noyaux permet de bien distinguer la structure de ces d
pau- vreté en cytoplasme elles donnent l'impression d'une rangée de noyaux fortement colorés. La plupart des follicules se
ent dans la pigmentation, la picnomorphie, dans les altérations des noyaux , dans la raréfaction du cytoplasme et même dans
losse et puis des pyramides, de même que du vague et en général des noyaux des IXe-Xe paires, donnait l'explica- tion, non
ais éclairait même la cause de la succession spéciale, parce que le noyau de l'hypo- glosse, par sa position dorsale, a é
par nécessité persister encore sur le vermis cérébelleux et sur le noyau de l'hy- poglosse, respectivement, l'un au-dess
Nous n'envisagerons pas l'hypothèse d'une poliomyélite localisée au noyau du long extenseur, d'une hematomyélie, etc.; l'ex
riche en fibrilles collogènes et parsemé de cellules conjonctives à noyaux allon- gés. L'examen par les méthodes électives
isses de cette tunique paraissaient se multiplier activement, leurs noyaux se divisant par amitose ; les cellules ainsi néof
région intermédiaire au gyrus supramarginalis et au pli courbe. Le noyau amygdalien a été respecté, mais la circonvolution
ous-corticales occupent la substance blanche de l'hémisphère et les noyaux gris centraux. La substance blanche de l'hémisp
tance blanche sous-jacente. Ganglions centraux. - La destruction du Noyau lenticulaire comprend le 3e segment, sauf son e
partie du 2e seg- ment, et l'extrémité supérieure du premier. Du noyau caudé, il ne reste que la tête, partiellement end
rsemées et faihlement colorées. Dans cette atrophie sont compris le noyau externe, le noyau interne, le noyau antérieur, et
ent colorées. Dans cette atrophie sont compris le noyau externe, le noyau interne, le noyau antérieur, et le pulvinar. Il
cette atrophie sont compris le noyau externe, le noyau interne, le noyau antérieur, et le pulvinar. Il faut tenir compte
halamiques, dans les plans correspondant à la destruction totale du noyau lenticulaire. - Tout le reste de la couche opti
ement à la dégénérescence et à l'atrophie de la capsule interne. Le noyau de Luys parait plus petit que normalement. Dé
dans les plans inférieurs ; plus haut il a subi le même sort que le noyau lenticulaire et le noyau caudé qui l'encadrent.
; plus haut il a subi le même sort que le noyau lenticulaire et le noyau caudé qui l'encadrent. Le segment rétroienticui
n est expliquée à ce niveau par l'inté- grité du segment interne du noyau lenticulaire. Sur les coupes perpendiculaires d
ond même de la cavité. 2° Sur les coupes passant par l'insula et le noyau lenticulaire, la cavité s'arrête dans la profon
ticulaire, la cavité s'arrête dans la profondeur au bord externe du noyau lenticulaire. Tout l'in- sula a été détruit, sa
(PI. L, B). Au niveau'du tiers supérieur de la couche optique et du noyau lenticulaire, le faisceau longitudinal inférieu
cence dans ces deux parties et dans la partie postéro-supérieure du noyau externe du tha- lamus (PI. L, A). Dans toute
supérieure. 31 Sur les coupes passant par l'extrémité supérieure du noyau caudé et la couronne rayonnante (PI. L, C et D)
ntérieurs, et s'arrête au bord externe de l'extrémité supérieure du noyau caudé. Le tiers postérieur de la couronne rayon
t dans la substance blanche du lobe pariéto-temporal. Les fibres du noyau externe du thalamus sont moins nombreuses dans
tance blanche et de l'insula, et s'est arrêtée très brusquement aux noyaux gris centraux et à la paroi du ventricule latér
e par les fibres qui relient le centre cortical droit de la face au noyau bulbaire du facial homolatéral. Ce fait démon
1-'io. D. - Coupe horizontale passant par l'extrémité supérieure du noyau caudé et par la couronne rayonnante, en même te
té supérieure des ganglions centraux. Vaste lésion ayant détruit le noyau lenticulaire, l'insula, la capsule externe et l'a
masse arrondie du volume d'une grosse noisette, assez régulière. Le noyau caudé et le corps strié sont normaux (Voir PI.
zlieimer, nu. PI. LXII, 1). Leurs corps renferment deux, trois gros noyaux clairs, tantôt placés l'un à côté de l'autre co
. Par places leur protoplasma est envahi par des leucocytes (petits noyaux ronds, obscurs). Les cellules névrogliques, qui
avons devant nous des cellules névrogliques géantes ci plu- sieurs noyaux ayant encore conservé, grâce : 1 leurs prolongeme
es dont nous avons parlé plus haut, fai- sant un avec elles; 2° les noyaux de ses cellules ont une forme ovoïde, sont asse
439 9 bien prononcée et présentent des contours nets ; 3° quelques noyaux ont beaucoup d'endoplasme ; 4° les fibrilles oc
remplies de leucocytes, et de toutes petites, plus petites que les noyaux de leucocytes. La membrana tenninalis est aussi
ium des individus morts du choléra asiatique, nous avons vu que les noyaux des cellules névrogliques étaient amassés dans ce
71 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mon gauche est noir, congestionné au sommet; on n'y trouve pas de noyaux tuberculeux. 11 existe de nombreux tubercules m
ticchochromes, telles que les cel- lules radiculaires, cellules des noyaux crâniens, cellules de Betz,, etc. Il est consti
ure. De ces constatations MM. Irimesco et Parhon concluent que le noyau des muscles du périnée occupe un groupe place e
trices ordinaires. Au groupe intermedio-latéral corres- pondrait le noyau des muscles lisses du rectum et peut-être de la
osé un lames parallèles, entre lesquelles se trouvent de nom- breux noyaux du type conjonctif, soit allongés et recourbés, s
urbés, soit arrondis, tous en train de proliférer.Par endroits, ces noyaux sont réunis en amas, par dizaines au plus. Un l
iste encore quelques cellules nerveuses arrondies, ayant gardé leur noyau et un ou deux prolonge- ments. Partout ailleu
s formées par une névroglie à lions ramilles, contenant du nombreux noyaux . Ajoutons qu'on ne trouve ni corps granuleux, n
a substance blanche est également moins volumineuse à droite, les noyaux gris sont moins développés. La coupe delà protu
'en aller le long du raphé en arrière et s'entrecroiser en avant du noyau de la Xlte paire. En avant de la racine spinale
sique symptomatique d'une affection cérébrale dans le territoire du noyau lenticu- laire ; part. de 13ECHTEr..EW. [Neurol
ement dans le faisceau de Burdach. C'est au milieu des cellules des noyaux de Goll et de Curllach que se ter- minent les l
ormes. Mais toutes les libres de ces deux faisceaux ne vont pas aux noyaux correspondants ; une partie assez considérable d'
es cordons postérieurs, pour se terminer avec ces derniers dans les noyaux des faisceaux de Goll et de Burdaclt. Une partie
gulaire subissent le processus atrophique compris le déplacement du noyau et la chromato- lyse. Cependant dès le 80° jour
pées, existe un tissu intermédiaire tantôt remarquablement riche en noyaux , tantôt d'une pâleur anormale ; ça et là tractu
i on pratique les coupes de Flechsig, on observe de, l'atrophie des noyaux gris centraux avec des saillies anormales des ais
oyaux gris centraux avec des saillies anormales des aisseaux de ces noyaux : c'est l'état prélacunaire : les lacunes miliair
a ec disparition de la striation trans- versable, augmentation des noyaux , hypertrophie du tissu con- jonctif. Pas de lés
agit 154 SOCIÉTÉS savantes. probablement d'un ramollissement du noyau externe de la cou- che optique, IIJl111spasme
s'agissait d'un tubercule siégeant en effet dans la calotte sur les noyaux de la 3e paire et côtoyé à sa gauche par une zone
temps il y avait destruction complète de toute la colonne grise des noyaux moteurs de l'aqueduc depuis le plancher du 3° v
d'autre part la destruction complète, histologiquementcontrôlée, du noyau oculo-moteur commun, et l'intégrité du faisceau
nce du faisceau anftSL0111(11111U1' décrit par lluval et Labordo lu noyau de l'abducens et les faisceaux radiculaires du
e et pratique. SELLAS. XLVI. Note sur les calices de Held dans le noyau du corps trapézoïde, par Arrs.vLONE; (A nnali d
e entre les deux formes classiques de terminaisons décrites dans le noyau du corps trallé- zoïde et dans l'acoustique] an
stomoses, n'infirment pas la théorie du neurone. Ce serait ainsi un noyau spécial non encore décrit dont. la fonction ser
caractéristiques. On observerait dans les cellules une tendance du noyau il se rétracter avec augmentation des gra- 20
tous sens. Le tissupérifas- ciculaire n'oll'ro rien de spécial. Les noyaux de sarcolemmu sont normaux comme nombre, forme,
ux sanguins avoisinant les tendons rencontrent une augmentation des noyaux , la tunique moyenne a un aspect hya- lin. Que
cellules de Purkinje auxquelles s s'étaient substitués des amas de noyaux ou des réseaux névro- gliques plus ou moins épa
se la plus admissible, c'est une action vasomotrice exercée sur les noyaux puisque les muscles sont contractiles, et les f
complète au début, mais que les lésions sans doute légères des deux noyaux antérieurs de l'iris et de l'accommodation ont
t et un tubercule de la protubérance, qui intéressait à la lois les noyaux du facial gauche, de l'acoustique et des deux ocu
ulomoteurs, de- puis l'écorce jusqu'à leur entrecroisement et leurs noyaux de di- vision inférieure. Ils concluent ainsi :
côté opposé. » (Revue neurologique, janvier 1905.) E. B. Lit. Le noyau mésocéphalique des oculogyres, par A. GAUSSEL.
SEL. Dans cette étude, lI. Gaussel entreprend de démontrer que le noyau mésocéphalique des oculogyres doit être placé dan
a région protubérantielle, que les anatomistes considèrent comme le noyau , l'origine du mo- leur oculaire externe. Il s'a
, détermine un strabisme convergent ; toute lésion qui porte sur le noyau dit de la1'1 paire détermine une déviation conj
atomie patholo- gique (Bruce) ont montré que des fibres quittent le noyau de la \'le paire, pour aller se 'mettre en rela
ieapermis,dans un cas, de constater que la lésion avait détruit les noyaux de la lit, et IVe paires de chaque côté en lais
oyaux de la lit, et IVe paires de chaque côté en laissant intact le noyau de la VIe paire. Le noyau mésocéphalique de l'o
ires de chaque côté en laissant intact le noyau de la VIe paire. Le noyau mésocéphalique de l'oculogyrie ainsi démontré,
é- nérescence de son protoplasma, la destruction progres- sive du noyau et du nucléole ; l'infiltration leucocytaire ac
ate récente.fût d'abord limité en dedans par une cou- che pauvre en noyaux ,colorée en jaune rouge par le Van Gieson, couch
se montre sous l'aspect d'un fin réseau chromatique, tandis que le noyau est volumineux et ovale. En outre, il existe de
l les colorants, ils contiennent à peine de-ci de-là quelques rares noyaux épars. Cette couche ne con- tient pas de vaisse
lymphocy- tes, à protoplasma mal coloré ; souvent il n'y a pas de noyau , parfois un noyau mal coloré. Ce sont des cellule
protoplasma mal coloré ; souvent il n'y a pas de noyau, parfois un noyau mal coloré. Ce sont des cellules nerveuses en n
GIQUE DE L'ABCÈS CEREBRAL. 457 Iules fusiformes, allongées, avec un noyau assez volumi- neux, ovalaire ou allongé, cellul
s blocs hyalins, prenant malles colorants, extrê- mement pauvres en noyau . La seconde couche de cette zone est caractéris
moins abondantes ; elles sont, par contre, plus volumineuses ; leur noyau unique est plus volumi- neux,. régulier, et ent
des zones précédentes. Les cellu- les nerveuses sont normales. Leur noyau reste central, fortement coloré et pourvu de so
librillaire, qui se colore faiblement par le carmin, mais dont les noyaux volumineux se colorent intensivement par le car
n précisent les caractères cliniques : la Une lésion intéressant le noyau externe du thalamus dans sa partie postéro-exte
nt le noyau externe du thalamus dans sa partie postéro-externe, les noyaux interne et médian, et le frag- ment corresponda
Voir Fibrilles colorées. Calices. Note sur les - de Held dans le noyau du corps trapc- zoïde, par Ansalon, 204. Calo
e, par Déjerine et Norrro, 225. hypertrophique, pnr Marie. 503. Noyau mésocéphalique. Le des oculogyres, pnr Causse),
halique. Le des oculogyres, pnr Causse), 41fi. Oculogyres. Voir Noyau mésocé- phalique., &#x152;dèmes. Les circ
S. ptomatique d'une affection cé- rébrale dans le territoire du noyau lenticulaire, par de Bech- terew, 124. Pseudo
72 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ès petites dimensions, est placé à l'extrémité supéro-antérieure du noyau caudé ; il atteint au passage quelques faisceaux
ue. A la suite de ce tassement des parties centrales du cerveau, le noyau lenticulaire est déformé et la capsule interne
in- terne et leur amincissement progressif d'arrière en avant. Le noyau externe du thalamus est pourvu dans toute son éte
part une hémiatrophie croisée du cervelet (diminution de volume du noyau dentelé et de l'hémisphère cérébelleux gauches)
insula est détruite, que les autres sont repoussées en avant, que les noyaux gris et la capsule interne sont intacts. Dans l
; elles sont en chromatolyse, avec, presque partout, disparition du noyau , mais sans pigmentation. Dans la substance blanch
Les racines sacrées inférieures et coccygiennes gauches adhèrent au noyau fibreux principal long de 2 centimètres. ' Ce
n Gieson la sclérose apparaît très marquée, fi- breuse, parsemée de noyaux , les uns ronds et noirs, les autres ovales et cla
droite montre des cellules ner- veuses déformées, globuleuses, avec noyau périphérique et déformé et grosse vésicule grai
tance achromatique colorée elle aussi en bleuâtre. Le contour des noyaux se confond assez souvent avec le protoplasma ambi
t normal. Dans beaucoup des cellules complètement chromatolysées le noyau se trouve déplacé à la périphérie. Un nombre
i en occupent presque complètement le corps, avec perte complète du noyau . De cellules complètement normales il n'y en a,
ellules de la colonne de Clarke présentent chromatolyse centrale et noyau à limites indistinctes. Leurs nucléo- les appar
tance chromatophile déjà au début de sa désagrégation. Beaucoup des noyaux ont perdu la netteté du contour ; les nucléoles o
nes de toute lésion appréciable. On peut seulement noter que certains noyaux de névroglie, aussi bien dans la substance blan
épaississement du feutre névroglique et augmentation en nombre des noyaux de la névro- glie. De cet exposé résulte que
uable de cellules granuleuses (Kôrnchenzellen), rondes ou ovales, à noyau ordinai- rement excentrique et protoplasma d'as
coup d'entreelles conservent leur aspect strié caractéristique. Les noyaux du tissu interstitiel ne sont pas augmentés en
titiel ne sont pas augmentés en nombre. Le nombre extraordinaire de noyaux (fig.), qu'on trouve au niveau de n'importe que
rtout à l'extrême minceur de fibre et par conséquence au fait que les noyaux des différents fibres se trouvent notablement r
A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 145 augmentation des noyaux au niveau de la musculaire, rétrécissement de la
cornes antérieures, outre la chromatolyse totale, présentent leurs noyaux déplacés, repoussés à la périphérie, ce qui con
ux profondes altérations des nerfs périphériques. Le déplacement du noyau ne fait par conséquent que donner la preuve que l
15 mars 1901. 154 NOICA motrice qui prend son origine dans les noyaux intramédullaires de tous les muscles précédents
ntion au moins de deux racines sensitives (Sherringthon) et que les noyaux médullaires correspondent d'habitude à plus d'un
avons vu que dans les 3e et 4" seg- ments lombaires se trouvent les noyaux d'origine de ces muscles, repré- sentés : en ha
muscles, repré- sentés : en haut dans le 3e segment lombaire par un noyau commun ; en bas, dans le 4° segment lombaire, p
par un noyau commun ; en bas, dans le 4° segment lombaire, par deux noyaux séparés, l'un pour les muscles adducteurs et l'
ur les muscles adducteurs et l'autre pour le muscle quadriceps ; le noyau isolé du muscle couturier n'est pas indiqué.
e que les mêmes causes anatomiques, c'est-à-dire le voi- sinage des noyaux d'origine, doivent exister pour expliquer la prop
la contrac- tion du muscle triceps, c'est-à-dire un muscle dont le noyau est peut-être situé immédiatement au-dessus de
de les cornes antérieures de la moelle dans toute leur étendue, les noyaux du facial, du spinal et surtout des nerfs moteurs
passagère constatée à l'entrée du malade à l'hôpital. Par contre le noyau de l'hypoglosse fut respecté. Peut-être la lési
fant de trois ans. Rien de notable également en ce qui concerne les noyaux gris centraux. Le corps calleux existe, mais so
nvolutions. Il est formé d'une seule assise, de cellules cubiques à noyaux arrondis ou ovalaires au niveau desquelles on t
ar les couleurs basiques et a un aspect alvéolaire (PI. XLIX). Le noyau n'est plus ovalaire, mais piriforme ou pyramidal,
SARBO, Colucci, LUGARO, Mariniîsco sous le nom d'homogénéisation du noyau avec atro- phie. D'après IYIAIiINESCO (1), cett
présente deux phases : « celle (1) Marinesco, l ! eclterches sur le noyau et le nucléole de la cellule nerveuse à l'état
où le volume est normal ou légèrement augmenté, et une autre où'le noyau est alors atrophié à différents degrés ». Dans
atrophié à différents degrés ». Dans la première phase, la forme du noyau est variable, il peut être rond, long, ovoïde, el
poire. Ce qui à ce moment là caractérise principalement l'aspect du noyau , c'est d'une part la colorabilité intense de son
, et ensuite son uniformité. On ne peut distinguer à l'intérieur du noyau l'élégant réticulum acidophile ou les blocs éga
élimite mal ou même on ne 'l'aperçoit plus du tout. Le contenu du noyau se colore d'une manière intensive aussi'bien avec
ble d'en étudier la structure. Dans la seconde phase, le contenu du noyau n'est pas si coloré, mais la vésicule nucléaire
er des cellules pyramidales environnées d'un nombre considérable de noyaux névrogliques multipliés (PI. XLIX). Hémisphèr
e les lésions de chromatolyse,devacuolisation, d'homogénéisation du noyau avec atrophie 268 HAUSHALTER ET COLLIN observ
. Aspect alvéolaire du cytoplasma. Chromatolyse. Homogénéisation du noyau avec atrophie. Vacuole nucléolaire. En E, une cel
cal. F. Cellule pyramidale en chromatolyse, avec homogénéisation du noyau , en- tourée de nombreux noyaux névrogliques.
chromatolyse, avec homogénéisation du noyau, en- tourée de nombreux noyaux névrogliques. Fio. G. Coupe transversale du pie
pied de F3 g. Chromatolyse du corps cellulaire. Homogénéisation du noyau avec atrophie. Comparer cette figure à la figur
bo-cervico-spinale (Rosenthal et Mendelssohn) et les autres dans le noyau rouge (van Gehuchten), ou dans les ganglions op
coupe de l'hémisphère droit des altérations caractéristiques : des noyaux gonflés, des masses sans structure. Tout cela p
ui envahit les couches superficielles du thnl..m opt. et surtout du noyau caudé, la face inférieure du corps calleux ; le n
e était apparu dans le centre ovale de l'hémisphère droit un second noyau de tissu pathologique. 11 est relié 2 celui qui
s'est étendue dans le lobe frontal gauche. Elle n'y a pas formé de noyau net, mais on en rencontre des éléments sur une pr
aduisit par une diminution de volume du néoplasme ; en tous cas les noyaux colloïdes, grâce à leur plasticité, prirent le
t certaines parties sont déjà presque dépourvues de structure et de noyaux ; de nombreux vaisseaux y ont leur paroi d'une
1907). Pourtant les parois des vaisseaux sont épaissies, riches en noyaux . Les espaces périvasculaires dilatés contiennen
ructure générale de l'écorce, même la forme de la cellule et de son noyau sont bien conservées, alors que la substance blan
ÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 371 satellites et des amas disséminés de noyaux névrogliques. Les fibres ner- veuses tangentiel
rte, et je cile de mémoire, qu'un jour, en mangeant des cerises, un noyau s'enchâssa quelques instants dans le pha- rynx
ons adéquates au geste, parcourt le nerf optique pour atteindre son noyau d'origine, sons forme d'oscillations spécifique
vant et en dessus de l'extrémité inférieure de l'humérus on voit un noyau osseux ovalaire, peu épais, qui semble représente
ettent qu'il existe dans les centres ner- veux de chez l'embryon un noyau spécial présidant au développement du système r
rent sur les os, leurs vaisseaux et leurs nerfs. L'agénésie de,. ce noyau en- traînerait l'agénésie du système correspond
73 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s par l'tiématoxyhne alunée et par Li, vésuvine, un grand nombre de noyaux et un aspect très légèrement granuleux. La pa
ou polygonales, légèrement granuleuses, possé- dant un ou plusieurs noyaux . Elles apparaissent particulièrement nettes dan
en rose ou en jaune, d'aspect vitreux et dépour- vues la plupart de noyaux (voir fig. 9). Archives t. XX. 4 Fig. 9. - Ma
une teinte jaunâtre --un éclat vitreux ; dans un certain nombre, le noyau n'est plus ap- parent. La plupart ont gardé pou
rolongements sont raréfiés, dont le protoplasme est granuleux et le noyau indis- tinct. En dessous du foyer principal,
re, elles sont simplement atrophiées; la plupart sont dépourvues de noyau . Sauf quelques extravasations sanguines, les mé
tées par l'héma- toxyline alunée); quelques-unes sont dépourvues de noyau ; la plupart ont conservé leur'forme générale (v
ur, une atrophie dégénéralive des fibres et cellules nerveuses, des noyaux , des oculomoteurs com- muns, des oculomoteurs e
bservation. Il s'agit d'une ophtalmopiégie nucléaire par lésion des noyaux nerveux du tronc ducerveau et en particulier de
s et les faces des faisceaux, corpuscules cellulaires rappelant les noyaux du sarcolemme. P. K. XXIII. UN cas DE thrombose
dans le corps calleux des deux côtés, louchant le corps strié et le noyau lenticulaire. la couche optique du même côté, g
observation suivante : Le corps trapézoïde émane essentiellement du noyau antérieur de l'acoustique et représente la voie
granuleuses ou granulées d'Ehrlich, cellules irrégu- lières à gros noyaux , dont le protoplasma est formé de grosses granu
ervicale. Conclusions. Le nerf accessoire prend son origine dans le noyau dit de l'accessoire. Ce noyau se compose d'un g
accessoire prend son origine dans le noyau dit de l'accessoire. Ce noyau se compose d'un groupe de grandes cellules mult
ystème ventral renferme les fibres qui vont de la glande pinéale au noyau supérieur de l'ocu- lomoteur commun et au faisc
ES rapports DU CORPS HESTIFORME avec LE CORDON POSTÉRIEUR ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR ; EN OUTRE, REMARQUES SUR
s délicat. D'après ces pièces, le corps l'eslifo1'Tlie au niveau du noyau inférieur de l'acoustique se composerait d'une ma
istoréniede la myéline. Enfin il insiste sur le schéma géné- ral du noyau du cordon postérieur avec les systèmes de fibres
du cordon postérieur avec les systèmes de fibres qui en partent. Le noyau du cordon postérieur d'un côté est en rapport a
é opposé. Nous avons, disent les auteurs, surtout eu en vue le gros noyau deBurdach dont le développement précède celui du
ue le gros noyau deBurdach dont le développement précède celui du noyau de Goll, nous croyons que les fibres du noyau de
ment précède celui du noyau de Goll, nous croyons que les fibres du noyau de Goll qui se développent plus tard se comport
éveloppent plus tard se comportent d'une façon analogue à celles du noyau de Burdach : car on doit considérer ces deux no
ue à celles du noyau de Burdach : car on doit considérer ces deux noyaux comme des formations analogues, le noyau de Rurda
doit considérer ces deux noyaux comme des formations analogues, le noyau de Rurdach étant réservé à l'extrémité supérieu
c leurs fibres correspondantes. Une subs- tance grise plus externe ( noyau du cordon postérieur) est indubi- tablement un
plus externe (noyau du cordon postérieur) est indubi- tablement un noyau senoilif destiné aux nerfs des extrémités; les
enoilif destiné aux nerfs des extrémités; les trois autres sont des noyaux qui donnent naissance à des portions homologues
particulière part la racine ascendante commune du système vague du noyau de Deiters part la racine ascendante de l'acous-
fibres longitudinales qui, par les fibres arciformes, viennent des noyaux de la zone ou champ externe du côté opposé; dan
diaire des olives proprement dites, le systèmearcué inférieur l' du noyau du cordon postérieur, à la partie la plus inférie
re du champ interne ; le syslème arcué moyen et supérieur du même noyau occupe la partie moyenne de ce champ ; les fibres
rtie moyenne de ce champ ; les fibres émanées de l'acoustique et le noyau du nerf vague dans le champ externe du bulbe fo
DE CHARBON 223 augmentation des masses protoplasmiques autour des noyaux , en un mot, névrite parenchymateuse au dé- but
, fragmentation de la myéline ; dans les muscles, prolifération des noyaux et du sarco- lemme. Aussi l'auteur a-t-il tenda
sule interne et des corps striés, de dimension variable allant d'un noyau de cerise à un oeuf de pigeon. Nous-même, en av
a grosseur d'un oeuf de pigeon; à gauche, dans le corps strié, un noyau de ramollissement récent, datant de l'as- phyxi
La blépharoptose congénitale tient à un développement défectueux du noyau de l'oculomoteur commun, surtout dans ceux des
lules qui, dans le voisinage de l'aqueduc de Sylvius, surmontent le noyau de l'oculomoteur, le trijumeau vient donc tout
les cellules nerveuses, x les cylindraxes, le tissu conjonctif, les noyaux . II. Saturez 5 centimètres cubes de la solution
aciles à colorer (Upson), convient pour saisir les vais- seaux, les noyaux des nerfs et les fibres nerveuses (Krauss). Les
ontracte dans tout son parcours aucun rapport de contact avec aucun noyau nerveux, avec aucune racine, il se distingue nett
Arc direct, comprenant un rattache- ment du carrefour avec : a, le noyau cortical ; b, l'arc cérébral. Le schéma ci-join
ntinuation des fibres des nerfs olfactifs ; quelques-uns émanent du noyau de Soemmering. Les deux arcs ainsi constitués
intégrité du sphincter irien et du muscle ciliaire indique que les noyaux centraux des nerfs en question sont lésés. S'il
esque complète de la couche profonde et des couches supérieures des noyaux centraux dupont de Varole. P. K. 432 REVUE D'AN
a- niennes au niveau du bulbe. Il en est résulté une atrophie des noyaux de l'accessoire, du noyau supérieur et inférieur
ulbe. Il en est résulté une atrophie des noyaux de l'accessoire, du noyau supérieur et inférieur du pneu- mogastrique et
rieur et inférieur du pneu- mogastrique et du glosso-pharyngien, du noyau de l'hypoglosse, du faisceau solitaire. P. K.
fusionnent dans un triangle de substance blanche situé en dedans du noyau lenticu- laire. Le noyau lenticulaire n'est pas
le de substance blanche situé en dedans du noyau lenticu- laire. Le noyau lenticulaire n'est pas en relation avec les irrad
74 (1913) Exposé des travaux scientifiques
cette gaine on voit : c. Les petites fibres musculaires; nombre de noyaux que ces dernières. Ces peti- tes fibres muscu
usculaires, il existe toute une couche protoplasmique par- semée de noyaux qui sépare du sarcolemme la substance striée ; ce
est une disposition inverse qui s'observe : le protoplasma avec ses noyaux en occupe le centre, et la substance striée, plus
'état sain la portion trophique et non différenciée (sarcoplasme et noyaux ) est subordonnée à la partie fonctionnelle ou mus
triée est très abondante, les champs de Cohnheim peu apparents, les noyaux rélé- gués à la périphérie sous le sarcolemme.
e, les champs de Cohnheim très apparents et il existe beau- coup de noyaux à la partie centrale des fibres. Ainsi, le long s
le reçoivent des fibres sensitives du trijumeau qui transmettent au noyau de ce nerf les impressions reçues ; celui-ci les
nerf les impressions reçues ; celui-ci les communique à son tour au noyau de la VIle paire qui envoie la décharge au musc
pas non plus qu'une lésion du système nerveux sié- geantau-dessusdu noyau du facial, telle qu'une lésion corticale, puisse
ngendré que par une per- turbation directe du nerf facial ou de son noyau d'origine. 11 serait alors rationnel d'applique
e du nerf facial, sur un point quelconque de son trajet, depuis son noyau d'origine jusqu'à sa terminaison. » IV. - AFFEC
- a. Cylindre-a\e. ce. Cellules qui entourent le cylindre-axe. d. Noyau de ces cellules. e. Protoplasma de ces cellul
es accolées les unes aux autres ; ces cellules présentent un gros noyau avec nucléole et leur protoplasma est rempli de
ments de myéline. Au premier abord ces gouttelettes ressemblent aux noyaux , mais, pour peu qu'on y prête attention, on voi
ntion, on voit que la couleur n'est pas la même, que le contour des noyaux est plus régulier, enfin que ceux-ci présentent
intensité tient pour une part à ce que le nerf vestibulaire ou les noyaux auxquels il se rend sont intéressés. Sans doute
ner- gie la jambe droite dans un cas d'endothéliome épithélioïde du noyau rouge, à gauche. Selon eux, c'est sans doute
se de l'entrecroisement du pédoncule cérébel- leux au-dessous de ce noyau que les troubles de la motilité siégeaient du côt
Foyers de ramollissement. - In. Nerf intermédiaire de \Vri.lxrg. NC. Noyau cunéiforme du bulbe ND. Noyau de Deiters. NG. N
Nerf intermédiaire de \Vri.lxrg. NC. Noyau cunéiforme du bulbe ND. Noyau de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau d
\Vri.lxrg. NC. Noyau cunéiforme du bulbe ND. Noyau de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau de la 5' paire NXH. N
néiforme du bulbe ND. Noyau de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau de la 5' paire NXH. Noyau de la 12e paire. OG F
de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau de la 5' paire NXH. Noyau de la 12e paire. OG Fibres olivo-cérébelleuses. p
b) le faisceau cérébelleux descendant qui proviendrait en partie du noyau de Deiters, en partie du cervelet ; s'il existe u
artie du cervelet ; s'il existe une voie ascendante de la moelle au noyau de Deiters (Probst), cette voie est également s
interolivaire, région où siègent les fibres nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutissent les fibres longues des
foyers, on aperçoit des fibres dégénérées qui remon- tent jusqu'au noyau de Deiters; ce sont probablement des fibres du
e. Nous avons vu les lésions du ruban de Reil se terminer dans le noyau externe et dans le noyau médian de la couche opti
sions du ruban de Reil se terminer dans le noyau externe et dans le noyau médian de la couche optique. Enfin, et c'est là
75 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
NKOw. - Pseu- domélie paresthésique symptomatique d'une lésion du noyau lenticulaire, par W. M. BECHTEREW. (<3o : )VM
térieure du ventricule latéral et englobe la plus grande portion du noyau lenticulaire il. l'exclusion d'une fraction insig
onfigure est atteinte. Intégrité de la couche optique entière et du noyau coudé. Atrophie de la cornée antérieure gauche
nesthésie du sens musculaire par lésion rigoureu- sement limitée du noyau lenticulaire et de la partie contiguë de substa
On voit en outre des fibres nerveuses à myéline (bleu-noir), les noyaux des cellules de la né\ roglie et les vaisseaux de
. Sont aussi distincts : les cellules du canal central avec leurs noyaux basaux ; les noyaux du périnerf et' de l'endonerf
ncts : les cellules du canal central avec leurs noyaux basaux ; les noyaux du périnerf et' de l'endonerf, tant dans les ra
ion pédon- culo-prolubérantielle (artérite ou gomme) atteignant les noyaux 111 et IV coupant le faisceau facial au-dessus
du poumon'droit, au niveau de la gouttière vertébrale, il existe un noyau <le4-5cm. de diamètre de contenu blanc-jaunâ
u blanc-jaunâtre, de consistance du mastic de vitrier. Autour de ce noyau , zone d'inflammation particulièrement in- Lense
s esquilles os- seuses. (t) L'examen histologique a montré que le noyau ca8éil'orll1e esl un inl'ardn8 ancien, elles tr
comme étoul1'és par la sclérose ;dans un point où d'existé un petit noyau d'aspect caséeux les tubercules sont absolument c
ctsépaivcspar des fibres parfaitement saines : la prolifération des noyaux du sarcolemme est également évidente, ainsi que
essier, par du tissu con- jonctif net avec un assez grand nombre de noyaux . Certaines fibres présentent des divisions long
es présentent entre les fibrilles du tissu conjonctif avec nombreux noyaux . La substance contractile ne semble pas offrir
ongitudinale sur un grand nombre de fibres avec proliféra- tion des noyaux du sarcolemme et augmentation du sarcoplasme. D
e plus ce sont des lymphocytes, éléments plus ou moins gros, à gros noyau sombre qui fréquemment se dé- tache nettement d
éaires. Ce qu'on y voit plus rarement ce sont des gros leucocytes à noyaux lobés, excentriques. Il est excep- lionneld'y r
tuée chez t'épitcptiqueque chez le paralytique. Les cellules à gros noyau lobé se rencontrent de préférence chez le paral
e cas la face externe du cou- ne-objetbrille comme un miroir. Les noyaux de la névroglie sont d'un violet-bleuâtre; ceux d
olet sur lequel tran- che en noir la structure du protoplasma et du noyau . Le nucléole apparaît entouré d'un canal incolo
uscules sans parois. Tous ces branchements gagnent la périphérie du noyau et s'incrustent dans le proto- plasma.En pénétr
es des vaisseaux ; un moyen degré de leptoméningite chro- nique. Le noyau de l'oculomoteur commun n'a pas été examiné. P.
rique ; en second lieu, une altéra- tion du ganglion ciliaire ou du noyau de l'oculo-moteur commun. Peut-être aussi dans
lle finit par succomber. Les petits vaisseaux et les capillaires du noyau dentelé du cerve- let et des ganglions centraux
e latente accompagnée de phénomènes myotoniques. P. 11RRAVAL. Des noyaux arciformes et des olives accessoires surnumérai
ravail accompagné de belles figures dont l'auteur conclut. 1. - Les noyaux arciformes du bulbe dépassent parfois la ré- gi
eindre le voisinage de la 5" racine spinale. La dénomination de « noyau ventral des pyramides», choisie par par Kellike
ans le cordon la- téral cluhulbe on rencontre, à la périphérie, des noyaux qu'il ne faut pas confondre avec le noyau latér
re, à la périphérie, des noyaux qu'il ne faut pas confondre avec le noyau latéral. Ils appartiennent aux noyaux arciforme
e faut pas confondre avec le noyau latéral. Ils appartiennent aux noyaux arciformes à raison de leurs relations avec les f
r- ciformes externes antérieures. 3. Les organitesqui relcventdes noyaux arciformes ont pour caractère l'existence d'une s
mentale d'un bleu clair (méthode de \issl). 4. Si la gros- seur des noyaux arciformes varie, c'est peut-être parco qu'ils se
arco qu'ils se forment presque exclusivement chez l'homme. - 5. Les noyaux arciformes ne font pas toujours leur jonction a
. Les noyaux arciformes ne font pas toujours leur jonction avec les noyaux de la protubérance. Il est douteux que ces orga
rganes soient homo- logues. 6. L'excès de développement anormal des noyaux ar- ciformes s'accompagne fréquemment d'autres
tique. Nouvelle contribution à l'étude des localisations dans les noyaux des nerfs craniens et rachidiens, chez l'homme
groupe central des deux premiers myélato- mes cervicaux. Dans le noyau de l'hypoglosse, le groupe externe innerve les
e ; le groupe antérieur innerve le muscle génio-hyoïdien. Dans le noyau du facial, le second groupe neural sert à l'in-
en, stylo -glosse et du ventre postérieur du digastrique. Dans le noyau du trijumeau, la branche mylo-hyoïdienne tire s
oïdienne tire son origine réelle de la partie la plus inférieure du noyau et un peu plus haut de la partie interne de cel
plus haut de la partie interne de celui-ci. Le groupe postérieur du noyau de la cinquième paire innerve le muscle tempora
nquième paire innerve le muscle temporal. Ce qui reste encore de ce noyau donne les fibres motrices au masséter et aux mu
la cellule elle-même, au protoplasme trop clair, réticulé, et au noyau déformé qui tend à devenir excentrique. Sur des
montré l'importance en indiquant ses rapports anatomiques avec les noyaux moteurs de 'l'hypoglosse et les cellules d'orig
f il ce sujet. Chaque muscle, dit-il, dans ses conclu- sions, a son noyau d'innervation distinct » (1). On a même donné l
s de la vie hiérarchiquement au-dessus. des phénomènes spinaux. Les noyaux du bulbe sont isolés ; cet organe est donc insu
ophiées, quelques-unes sont en voie de division longitudinale ; les noyaux en sont partout multipliés. L'atrophie semble b
hémis- phère montrent un piqueté hémorrhagique assez prononcé des noyaux du corps strié et du centre oval. Hémisphère dr
c prolongements disparus ou peu nets : dans beaucoup de cellules le noyau a disparu, et la cel- lule a alors un aspect ho
onaire. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE. lÙ'Il/ncn histologique : Le gros noyau central qui se trouve dans ]au)'e-Mtf'')'eestun
rolongements proloplas- lI11qIll's sont ordinairement peu nets : le noyau est central ou périphérique, dans quelques cell
l n'y avait, aucune tracé de forma- tion de colloïde, mais quelques noyaux décolorés ; ils étaient de couleur vitreuse. Le
. Un trouva à l'au- topsie, au niveau de la frontale ascendante, un noyau cancéreux d'aspect bleuâtre et adhérent à la pi
du côté malade que du côté sain ; les cellules ganglion- naires des noyaux n'offraient cependant aucune différence entre l
. Variot. -7. Volumineux sarcome encéphaloï,je du rein gauche, avec noyaux secondaires du l'oie, chez une fillette de 8 an
sculaire. Bromure. Voir Epilepsie. Bulbe. Voir Pseudomélie. Des noyaux arciformes et des olives accessoires surnumé-
nitzki, p. 113. Noircissures artificielles. Voir 201[(1 chi. i. Noyau lenticulaire. Voir 7'seM- clolnélie. - arciform
t inférieur du bulbe, par Ustanknw, p. 43. - - symp- tomatique du noyau ]enticu- laire, par Becbterevv, p. 43. 1'.EUD
76 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
La tumeur est essentiellement constituée par des cellules dont les noyaux bien visibles sont arrondis ; ces cellules sont s
otoplasma est clair, non granuleux et présente à son centre un gros noyau fortement coloré par l'héma- toxyline. ' Nous
ns strictement limitées à la substance grise d'un certain nombre de noyaux bulbaires sans la moindre trace de sclérose des
phénomène est dû à l'existence soit de fihres allant directement du noyau de la 3° paire à l'oeil du côté opposé, soit de f
ire à l'oeil du côté opposé, soit de fibres d'association entre les noyaux des deux nerfs moteurs oculaires communs. Un
es; atrophie avancée des fibres musculaires avec multiplication des noyaux et prolifération du tissu con- jonclif intcrîih
seaux de la pie-mère; 7° un petit foyer de ramol- lissement dans le noyau caudé ; 8° unepachyméningite céré- brale chroni
erne sont détruits et il ne reste plus qu'une lamelle très mince du noyau intra-ventri- culaire du corps strié. Cette lam
tance blanche du lobe préfrontal n'atteignant ni l'écorce ni les noyaux gris. 3° Homme trente-six ans, constipation, to
terne du même lobe du côté opposé, mais n'atteint pas la région des noyaux , tout le reste de l'encéphale indemne. 5° Homme
es, l'une qui descend dans le nerf, l'autre qui va à la moelle. Son noyau est formé d'un réseau de chromatine et renfermé
térées. L'un des premierschangements observés est une diminution du noyau ; parfois les nucléoles dimi- nuent etdavienuen
mensions et leur position. Leurs granulations se groupent autour du noyau et s'ag- glomèrent parfois en masses. Les espac
antérieure; enfin, un dernier groupe (fibres longues) va jusqu'aux noyaux sensitifs ou postérieurs du bulbe (noyau grêle,
res longues) va jusqu'aux noyaux sensitifs ou postérieurs du bulbe ( noyau grêle, noyau cunéiforme). De plus, puisque ces
va jusqu'aux noyaux sensitifs ou postérieurs du bulbe (noyau grêle, noyau cunéiforme). De plus, puisque ces fibres radicu
ient sans doute à la fragilité extrême de la gaine. Par contre, les noyaux interannulaires ' Arche. de médecine expériment
ptique interne postérieure, l'artère pédiculo- géminée); -puis, les noyaux et racines de l'oculomoteur commun (artère du n
e); -puis, les noyaux et racines de l'oculomoteur commun (artère du noyau de l'oculomoteur, artère pédonculaire interne).
'artère basilaire alimen- tent le centre optique du pulvinar et les noyaux , ainsi que les racines, de l'oculomoteur commun
nditions de nutrition sont les mêmes pour les' segments externes du noyau de l'oculomoteur commun et les trousseaux radicul
nditions se trouve la nutrition des segments internes et médians du noyau et des libres radiculaires. - 3° Les artères :
s libres radiculaires. - 3° Les artères : pédonculaire interne ; du noyau de l'oculomoteur commun ; optique interne posté
ns les trousseaux radicu- laires - b' La distribution de chacun des noyaux de la troisième paire concorde presque tout à f
avec le schéma de Saluer et Pics ; la seule différence est. que le noyau qui commande à l'élévateur de la paupière doit
commande à l'élévateur de la paupière doit être un peu en dedans du noyau du droit supérieur,' quoique immé- diatement à
re. - 7° Les fibres qui unissent le droit interne d'un côté avec le noyau du droit externe de l'autre côté, paraissent oc
éro-antérieures du faisceau longitudinal postérieur, sur le côté du noyau de l'oculomoteur commun ; elles ne passent de l
ulomoteur commun ; elles ne passent de l'autre côté qu'au niveau du noyau de l'oculomoteur externe. P. KERAVAL. XVII. C
n de petites cellules rondes, presque uniquement constituées par un noyau volumineux que l'on voit déjà dans la zone des
et mentaux s'expliquent bien par l'irritation des neurones, par les noyaux ayant rempli les espaces péri-cellulaires. Sans
cellulaires. Sans se prononcer catégoriquement sur l'origine de ces noyaux , les auteurs ont de la tendance à les considére
1° La partie principales des fihres se disperse dans la région du noyau central de la couche optique; 2° une petite quant
stème des fibres, décrit par M. Ilüsel, et sert de voie centrale du noyau sensitif du triju- meau. · En outre, on a tro
e des fibres musculaires jusqu'à 1G0-170 p.), une prolifération des noyaux (jusqu'à six dans chaque fibre), une déformation
ule interne et vers la capsule externe gauche; la partie médiane du noyau caudé et le noyau lenticulaire ne sont que légè
s la capsule externe gauche; la partie médiane du noyau caudé et le noyau lenticulaire ne sont que légèrement attaqués. C
Varole et des pyramides. En outre, la lésion envahit le domaine du noyau de l'hypoglosse et de ses racines, les parties
est prêt à admettre comme cause une hémor- ragie dans la région du noyau du nerf facial et de la région voisine. D'apr
cupant quelquefois la plus grande partie de la cellule, et alors le noyau est repoussé vers la périphé- rie ; les prolong
provenant proba- blement des cellules des colonnes de Clarke et des noyaux bulbaires homologues, qui se ramifient dans la
es s'ar- borisent en plexus grimpants, provenant des cellules des noyaux du pont de Yarole, qui, une fois arrivées à la
n le sait, des collatérales qui s'arborisent entre les cellules des noyaux protubérantiels : les prolongements nerveux de
uolaires, la fragmentation du corps cellulaire, la dispari- tion du noyau . Cette chromatolyse partielle initiale ne nous a
du corps cellulaire, mais plus géné- ralement, soit au pourtour du noyau , soit à l'un des pôles de la cellule, à la base
lules ainsi lésées ont subi un certain degré de tuméfaction ; leurs noyaux paraissent intacts et gardent, en général, leur p
rs prolongements, vers la forme globuleuse. Dans quelques-uns, le noyau non altéré avait subi un déplacement notable ou s
432 SOCIÉTÉS SAVANTES. de Nissl, l'ectopie plus ou moins avancée du noyau pour un certain nombre de cellules. Tels sont
es d'aniline. Ces éléments sont disposés concentriquement autour du noyau et affectent la forme polygonale. A mesure qu'o
ellule nerveuse, mais, une chose essentielle à noter, c'est, que le noyau qui, à l'état normal, occupe le centre de la ce
llule, émigré à ce moment vers la péri- phérie. Cette émigration du noyau est-elle un phénomène actif ou s'agit-il d'un d
réseau achromatique s'insèrent d'une part au centre sur la paroi du noyau . Aux points d'intersection des travées du résea
part à cette discussion. Cela tient vraisemblablement à . ce que le noyau de ces éléments est considéré comme n'ayant plus
altération protoplasmique -correspond néanmoins une modification du noyau qu'il importe d'étudier. Or, cette étude du noy
e modification du noyau qu'il importe d'étudier. Or, cette étude du noyau des cellules nerveuses, à l'état normal comme à
e nous avons figurées existent des modi- fications intéressantes du noyau : il est souvent projeté à la péri- phérie, tur
n que la cellule ait fait effort auparavant, par l'intermédiaire du noyau (qui tend sans y aboutir à la karyokinèse), pou
r et pour se reproduire. Il n'est donc pas indifférent d'étudier le noyau cellulaire qui commande la nutrition normale et
orticale, intégrité des fibres corlico-pédonculaires, intégrité des noyaux de ,1'oculo-moteur, intégrité du nerf lui-même. O
tération occupe la partie du facial située entre' ce ganglion et le noyau du facial. Mais l'ouïe est troublée, ce troub
ervation de muscles dont les fibres viennent, à n'en pas douter, du noyau du facial exclusivement : tels ceux du menton,
les cavités médianes. La formation cavitaire ne s'étend pas sur les noyaux , ni sur les tractus intrabulbaires des quatre p
77 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
oubles circulatoires et reconnaîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs moteurs de l'œil, car, ajoute
er du quatrième ventricule une région très limitée (emimentia, teres, noyau de la sixième paire) dont les altérations patholo
l. Ce symptôme permet d'affirmer de la façon la plus précise que le noyau de la sixième paire est intéressé, car la paralys
l sain (Parinaud) (1). Ces faits s'interprètent en supposant que le noyau d'origine de la sixième paire ne fournit pas seul
liniques ainsi caractérisés correspondaient, en effet, des lésions du noyau du moteur oculaire externe. Toutefois, la démonst
e. Toutefois, la démonstration anatomique de l'anastomose supposée du noyau du moteur oculaire externe d'un côté avec le noya
tomose supposée du noyau du moteur oculaire externe d'un côté avec le noyau du moteur oculaire interne de (1) Parinaud. — S
ls ont pu faire l'autopsie de leur malade et ont trouvé une lésion du noyau de la sixième paire. Il s'agit dans ce cas d'une
e ramollissement et, d'autre part, dans la protubérance, au niveau du noyau d'origine de la sixième paire, un second foyer de
es de l'étage inférieur du lobe droit de la protubérance englobant le noyau de la sixième paire. Le nommé Noir..., Paul, âg
On aperçoit, uni au premier nodule que nous venons de citer, un autre noyau qui lui est tangent. L'un et l'autre sont constit
tre dont le centre est plus ou moins analogue à du mastic et forme un noyau central à bords irréguliers. Le nodule le plus su
le volume d'une noisette, le second est plus petit, et gros comme un noyau de cerise. Ils paraissent dépourvus de membrane d
dine et l'alcool. Fig. 11. Fig. 12. }. Olives. 1. Tubercule. 2. Noyau du facial. 3. Noyau du moteur oculaire externe
g. 11. Fig. 12. }. Olives. 1. Tubercule. 2. Noyau du facial. 3. Noyau du moteur oculaire externe . 4. Pyramide. 5.
externe 1. Début du tubercule supérieur. gauche. 1. Tubercule. 3. Noyau du facial. 4. Noyau du moteur oculaire externe
bercule supérieur. gauche. 1. Tubercule. 3. Noyau du facial. 4. Noyau du moteur oculaire externe droit. Le tubercule
ur de la protubérance (Fig. 12), elle se montre sous forme d'un petit noyau à droite du raphé, et à quelques millimètres de l
triangle isocèle dont les deux autres points seraient indiqués par le noyau du facial en avant, et le noyau du moteur oculair
utres points seraient indiqués par le noyau du facial en avant, et le noyau du moteur oculaire externe, en arrière. Sur la pr
stingue très bien le trajet des fibres du facial qui, parties de leur noyau originel, vont contourner le noyau du moteur ocul
res du facial qui, parties de leur noyau originel, vont contourner le noyau du moteur oculaire externe et disparaissent après
le (Fig. 13), 1 centimètre à peu près ; il empiète à ce niveau sur le noyau du moteur oculaire externe droit, dont on disting
d'un centimètre et un millimètre, et englobe la plus grande partie du noyau du moteur oculaire externe : à ce niveau, le tube
mais, en raison de sa forme circonféren-tielle, il n'intéresse pas le noyau du moteur oculaire externe gauche. En avant le tu
er ayant lui-même un diamètre de Ie™ 25, et englobant complètement le noyau du moteur oculaire externe droit, dont il n'exist
oculaire externe droit, dont il n'existe plus de trace. La région du noyau gauche correspondant n'est pas encore affectée, e
e principal, on retrouve quelques cellules nerveuses appartenant au noyau du moteur oculaire externe droit. Il en est qui p
antes et servent de centre à des agglomérations encore plus denses de noyaux . On observe enfin une quantité considérable de pe
e temps avant la mort. De même que le siège du tubercule au niveau du noyau d'origine de la sixième paire droite rend compte
squ'à la dépasser dans un tiers de sa surface propre, explique que le noyau de la sixième paire gauche ait été tardivement in
nt, en raison de sa forme circulaire, le tubercule n'a pas détruit ce noyau gauche, comme il l'avait fait pour le droit, mais
éter à ce dernier auteur. Il pense que la différence de structure des noyaux et des nerfs peut seule expliquer ces divers degr
exister une différence de structure assez grande entre les parties du noyau relevant de l'un et l'autre nerf, pour qu'elles p
uffisait à rendre compte de l'intégrité de la septième paire. Dans le noyau commun, la partie dévolue au moteur oculaire sera
cial. Sur Tune de nos préparations, on voit d'une façon très nette un noyau d'origine du facial, ainsi que les fibres qui en
qui en émanent; celles-ci entourent d'une boucle ouverte en avant le noyau commun, et c'est à la partie postérieure de ce no
erte en avant le noyau commun, et c'est à la partie postérieure de ce noyau qu'elles semblent se rendre, de là elles se coude
c le néoplasme, qui épargne même à ce niveau la plus grande partie du noyau . Nous pensons donc que si dans notre cas il n'a
ie faciale, cela tient à ce que les filets intraprotubérantiels et le noyau principal de ce nerf sont complètement indemnes,
ètement indemnes, et que, de plus, les parties postéro-inférieures du noyau commun n'ont pas été envahies. Les vertiges don
our ainsi dire remplacée par un manchon leucocytique. Certains de ces noyaux montraient du reste, dans leur masse, des gouttel
ine évolution, il s'est développé, dans)le muscle triceps, trois gros noyaux de pseudo-hypertro Fig. 20. — Pseudo-hypertroph
ssin ci-contre, que je dois à l'obligeance de M. le Dr P. Richer. Ces noyaux contrastent vivement avec l'atrophie de tout le r
J'ajoute que j'ai pour ainsi dire vu se développer sous mes yeux ces noyaux de pseudo-hypertrophie, qui n'existaient pas à l'
438. Moteur oculaire externe (nerf) : paralysie conjuguée du —, 349 ; Noyau du — , 350; Paralysie périphérique du — , 350.
78 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
ÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite') Un
s'est faite non plus par le bulbe supérieur mais par la moelle. Les noyaux commandant aux muscles des membres, les premiers
e. En tous cas, il s'agit d'un processus qui a peu à peu envahi les noyaux de la colonne grise antérieure de la moelle et
au troisième ventricule; de telle sorte que, il y a quatre ans, les noyaux commandant aux muscles des membres ont été les
té pris depuis trois ans, et qu'en dernier lieu ont été touchés les noyaux bulbaires du facial, de la première paire motri
a petite malade présente sur les bras une éruption formée de petits noyaux durs isolés, ressemblant à des piqûres de cousins
ÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite') 1)
a démonstration de ce fait qu'une lésion symétrique (en partie) des noyaux des nerfs moteurs du cerveau et de la moelle al
eure et inférieure) peut se combiner avec une lésion symétrique des noyaux siégeant dans le renflement cervical et lombair
e progressive. Le processus morbide s'est manifestement propagé des noyaux des nerfs crâniens vers les cornes antérieures de
baire supérieure, se propageant à la moelle a atteint au passage le noyau du facial. Nous avons cité chemin faisant des e
20 août. 71 l'autopsie, pas de lésion centrale ni périphérique. Les noyaux oculo-motcurs, les racines et tous les nerfs bu
8crt, coupes 1'01 tant sur le bulbe, la protubérance, la région des noyaux des muscles oculaires. Les faisceaux radiculair
Les faisceaux radiculaires, les groupes cellulaires des différents noyaux , les autres éléments enfin ne s'écartaient en r
n rien de l'état normal. Vaisseaux dilatés dans le terl'ltoirc-11cs noyaux de l'abducens; quelques héniorrliagies de date ré
n- tricule sont telles que « les grandes cellules multipolaires des noyaux d'origine de l'oculomoteur sont pour la plupart
sparents, contiennent très peu de faisceaux sains, mais beaucoup de noyaux de tissu conjonctif; leurs racines poursuivies da
oit à peine un tube nerveux; les grandes cellules multipolaires des noyaux d'origine sont pour la plupart détruites; on en
reste aucune trace et l'on ne peut le détacher de la pie-mère; ses noyaux sont complètement dégé- nérés. Les moteurs ocul
nt de tissu conjonctif et de débris de tubes nerveux atrophiés ; le noyau situé dans la protubérance est dégénéré, il sa pl
bérance est dégénéré, il sa place se trouvent des granulations, des noyaux et de petites cellules anguleuses. Sous le plan
es des faisceaux postérieurs, l'existence de lésions manifestes des noyaux d'origine des nerfs oculomoteurs. Sclérose marqué
ance grise. Examen de la protubérance et du bulbe : Intégrité des noyaux occupant la partie inférieure du plancher du 4° v
araît être une sclérose vasculaire; secondairement se sont pris les noyaux du nerf abducteur, qui sont détruits ainsi que se
e a gagné la couche de substance blanche qui recouvre la surface du noyau cunéiforme et qui est le prolongement su- périe
su- périeur du cordon de Goll, ainsi que celle qui est contiguë au noyau triangu- laire et qui représente la continuatio
ue atrophiées. Des coupes des pédoncules cérébraux montrent que les noyaux des 3° et 4° paires sont malades; la substance gr
239 des lésions nucléaires et signala dans la partie supérieure du noyau oculomoteur deux amas de cellules ganglionnaire
phase de début de la maladie, il savoir : l'hyperhémie colossale du noyau oculomoteur avec une grande quantité de petits
asats sanguins; l'atrophie des cellules ganglionnaires composant ce noyau et celui de l'abducens. Ons. XXXIX. Tabès ave
culomoteurs. Atrophie très prononcée des cellules ganglionnaires du noyau de l'ocnlo- moteur commun; la substance fondame
tance fondamentale paraissait intacte. Dans la partie supérieure du noyau de l'oculomoteur commun existaient deux amas de c
ient coudoyés par ces fibrilles à direction horizontale. Les deux noyaux pathétiques avaient leurs cellules ganglionnaires
hie très prononcée des racines des oculomoteurs communs et de leurs noyaux , du nerf hypoglosse et de son noyau, à gauche.
ulomoteurs communs et de leurs noyaux, du nerf hypoglosse et de son noyau , à gauche. Dans le nerf optique, les fibres ner
. Le processus dégénératif est plus ou moins accusé dans les divers noyaux . Il est au minimum dans le noyau du facial et d
s ou moins accusé dans les divers noyaux. Il est au minimum dans le noyau du facial et de l'abducens du côté gauche, où l
ui en parlent sont colorés d'une façon claire. Il en est de même du noyau de l'hypoglosse, dont les cellules manquent tou
anquent tout 11 fait par places ou sont ratatinées et privées de leur noyau . 1. Hoelli¡;cI', Beilrag zut- Lettre von den ch
1., p. 513). 242 Gaz) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le noyau du trocliléaire est plus altéré que celui du mote
ocliléaire est plus altéré que celui du moteur oculaire commun. Les noyaux du trochléaire dits postérieurs, à petites cellul
hléaire dits postérieurs, à petites cellules, ne se voient plus; le noyau principal est seulement indiqué il droite, et à g
res de chaque côté est relativement considérable de chaque côté. Le noyau oculomoteur est très atrophié dans toule son ét
lules fortement revenues sur elles-mêmes, anguleuses, dépourvues de noyau ou de prolongements, enfin vacuolisées. L'étal
erveau. En somme, le processus dégénératif a frappé tout d'abord le noyau du trochléaire droit, puis celui du côté gauche
rs le côlé droit le premier. Le réseau fascicule est altéré dans le noyau oculomoteur tout entier; les racines intra- méd
teint. L'hypérémie est considérable dans toute la région. Enfin les noyaux de Westphal présentent peu d'altérations. La ra
re, on bien d'une atrophie des cellules ganglionnaires composant le noyau de la cinquième paire ou bien d'une complication
t des cellules granuleuses. Tous les tissus sous-jacents (fibres et noyaux oculaires notamment) étaient sains. Des' deux a
tes. En effet, il existait une dégénération portant surtout sur les noyaux du moteur oculaire externe et de l'hypoglosse,
radiculaires du pneumogastrique et la dégéné- rescence profonde du noyau de ce nerf. Kojewnikoff a signalé des altératio
cke et Thomsen : cette fois les hémorrhagies s'arrêtaient en bas au noyau du moteur oculaire externe et étaient entourées
ÉE ET A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite et fin
ostérieure, le tissu ne présentait rien d'anormal, de sorte que les noyaux des nerfs de la sixième et de la septième paire
s; hémorrhagies capillaires au niveau de la région correspondant au noyau de l'oculo-moteur commun de la protubérance et
ues de prolongements, ré- duites en nombre au point que, lorsque le noyau est atrophié au maximum, certaines coupes n'en
it par se scléroser (Ross); enfin les tubes nerveux qui sortent des noyaux ainsi altérés sont plus ou moins atro- phiés. -
so-laryngée; expression d'une alté- ration systématique limitée des noyaux moteurs, elle mérite bien le 270 NOUVELLE ICONO
79 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au rose pâle et parsemées 6 CLINIQUE NERVEUSE. de quelques rares noyaux . Ces flaques s'observent surtout dans la portio
Elle et envahie par des éléments cellulaires jeunes, arrondis, à noyaux fortement colorés. Cette invasion embryonnaire es
e d'un sujet mort d'une hémorragie céré- brale qui avait détruit le noyau lenticulaire et une grande partie du bras posté
chromatique ; 3° le volume du corps de la cellule et celui de son noyau ne changent généralement pas pendant qu'agit la c
git la cellule; le nucléole augmente de volume ; 4° la situation du noyau par rapport au corps de la cellule reste la mêm
oins épais vers le dôme de la cellule. Ils laissent généralement le noyau de la cellule libre, et préfèrent la couche exter
dilatés et gorgés, sclérose sur certains territoires englobant les noyaux de la 10° paire ; hémor- rhagies capillaires so
résente en outre une paralysie bulbaire par lésion de la région des noyaux c'est-à-dire une paralysie glossolabiopharyngée
générescence, au contraire, très franche des faisceaux de l'anse du noyau lenticu- laire qui traversent transversalement
tégrité de l'anse du pédoncule cérébral, c'est-à-dire des fibres du noyau lenticulaire qui passent au-dessous du pédoncul
alleux, dans la capsule interne, dans la lame médullaire interne du noyau lenticulaire et enfin dans le stratum intermedi
pes passant par le tubercule qua- drijumeau antérieur, au niveau du noyau du moteur oculaire commun, on voit des fibres d
fibres dégénérées se dirigeant du pied du pédoncule vers ce dernier noyau . Après avoir traversé la substance de Soemmerin
s prennent une direction dorso-médiane en passant de chaque côté du noyau rouge. Cette dégénérescence ne se laissait pas
stérieur des deux côtés. En dehors de ces fibres, qui se rendent au noyau du moteur oculaire du même côté, j'en ai trouvé d
paraissaient se diriger vers le raphé, probablement pour gagner le noyau du moteur oculaire commun du côté opposé. Après
capsule interne du côté opposé, dans la couche optique (autour des noyaux antérieur et externe), dans une partie de la co
uche optique, située au-dessus du faisceau de Vicq d'Azyr, dans les noyaux de la IIIe paire (la dégénérescence du noyau co
Vicq d'Azyr, dans les noyaux de la IIIe paire (la dégénérescence du noyau correspondant était plus marquée que celle-là d
érescence du noyau correspondant était plus marquée que celle-là du noyau opposé), dans le faisceau longitu- dinal postér
quadrijumeau des deux côtés, une dégénérescence dans la région des noyaux dans la IV paire des deux côtés, dans la pyrami
s la racine ascendante de la Ve paire, enfin une dégénérescence des noyaux de la VIe paire (la dégénérescence du côté oppo
neurone; 2° atrophie simple; 3° ectopie du nucléole; 4° ectopie du noyau ; 5° déformations -diverses, varicosités.; 6° tu
difications appréciables à l'aide de la méthode de Golgi. Seuls les noyaux gris de la base et la moelle allongée sont profon
autres ; cellules globuleuses, gonflées, d'apparence homogène, ou à noyau aplati, refoulé à la périphérie). Les désordres
es qu'avait présentés la malade; c'est ainsi que l'alté- ration des noyaux et la dégénérescence des nerfs de la troisième
e paire, la dégénérescence des nerfs optiques, la destruction des noyaux rouges et celle des pédoncules cérébelleux supéri
s, avec peu d'apophyses, lesquelles étaient petites, rabougries. Le noyau était ordinairement au centre de la cellule et
Dr Andriezen, aussi bien que Bevan-Lewis, a remarqué la vacuité des noyaux des cellules corticales dans un pareil cas, enc
emières sont les plus fréquentes. Elles varient des dimensions d'un noyau de cerise à celles du poing fermé ; la . plus g
eu- rones périphériques dont les cellules d'origine sont dans les noyaux bulbaires, et les neurones centraux, ou cortico-b
ablement tuberculeuse, siégeant dans la protubérance, en dehors des noyaux moteurs des yeux, vers le ruban de Reil, probab
en largeur, qui intéres- sait le ruban.de Heil, qui respectait les noyaux moteurs des yeux, mais qui avait détruit les fi
e à la sixième paire, et celles qui sont censées unir entre eux les noyaux de la troisième et de la sixième paire. C'est v
- bérantiel et dans la moelle (faisceaux pyramidaux croisés). Les noyaux des nerfs craniens sont sains (même avec la métho
présentation du cervelet, .de la subs- tance noircide Sümmeriug, du noyau rouge, de maintes- régions des couches optiques
ès la repré- 412 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. sentation des noyaux intracorticaux (les contingents cérébraux, Gi,o
plet des lobe droit et lobe moyen du cervelet, avec destruction des noyaux centraux de ces lobes ; par SwiTALsm (de Lemler
atations isolées périvasculaires siégeant à la partie inférieure du noyau lenticulaire; 4° Etat « fromage de gruyère » co
ntaux : forme globuleuse de la cellule, migration périphé- rique du noyau , décoloration centrale de la cellule. Ce qui nous
- tophiles ou aspect poussiéreux de ces grains. 3° Déplacement du noyau vers la périphérie de la cellule et par- fois d
rs la périphérie de la cellule et par- fois disparition complète du noyau . 4° Absence des prolongements dans les cellules
gements dans les cellules ainsi lésées. : )0 Augmentation inusitée de noyaux névrogliques. Contribution ci l'étude de la fré
es cas : forme globuleuse de la cellule, "migration périphérique du noyau , décoloration centrale de la cellule. ' Si do
endineux et ses recherches nouvelles qui le portent à considérer le noyau rouge comme un centre réflexe important. Il montr
et qui peut être suivie dans les fibres arciformes internes et les noyaux des cordons de (;011 et de Burdach du côté croi
du bulbe, dans les libres arciformes internes croisées et dans les noyaux des cordons de Goll et de Burdach. Elle n'exist
ctement et sans l'eltti ganglionnaire la corlicalité rolandique aux noyaux des cordons de Goll et de Burdach. Quant à la d
ns centrales (six hémorragies de la capsule externe, des lésions du noyau lenticu- de la couche optique, etc.) intéressai
ont parfois attribuées aux dégénérescences rétrogrades à partir des noyaux des cordons. Ces lésions sont dues probablement
'sentie dans la région sacrée, et cesse complètement au niveau des noyaux des cordons. La sclérose présente un développem
e du rameau frontal du trijumeau tirerait ses fibres des groupes de noyaux les plus éloignés du centre. Puis, viendraient
à la branche maxillaire inférieure, et, tout près de celles-ci, les noyaux destinés à la branche maxillaire supérieure, au
e de l'oculomoteur commun du côté droit. L'étude microscopique du noyau de ce nerf montre que le noyau central de Perlia
côté droit. L'étude microscopique du noyau de ce nerf montre que le noyau central de Perlia y a particulièrement souffert
quelques cellules tout à fait normales. L'atrophie de la partie du noyau de l'oculomoteur éloignée du centre est surtout
xiste encore une atrophie presque complète des cellules externes du noyau qui sont disséminées dans l'épaisseur et en ava
hérique, une atrophie avec prolifération interstitielle. Les autres noyaux des autres nerfs craniens, notamment le noyau du
titielle. Les autres noyaux des autres nerfs craniens, notamment le noyau du pathé- lique, sont normaux. Ce serait, dan
partielle circonscrite. Pourquoi l'intégrité d'une grosse partie du noyau ? Parce que l'agent nocif inconnu a exercé une
80 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ncéphalite antérieure sous forme de lésion des- cendante partie des noyaux oculomoteurs, du troisième ventri- cule, de l'a
tion subaiguë, avec tendance à la propagation . des lésions sur les noyaux du quatrième ventricule et sur les cornes grise
l'encéphale. Au microscope, je trouvai dans le troisième article du noyau lenticulaire la dégénérescence hyaline de Flechsi
usieurs années, M. Meynert a appelé l'attention sur les rapports du noyau lenticulaire avec la chorée. Il existerait donc
tablement la substance blanche sous-jacente. Aucune lésion daus les noyaux gris de la base ni dans les ventricules. 236 '
e vue qui nous occupe. A. Dans la substance grise. - 1° Atrophie du noyau principal de 260 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOL
vation) de la racine du nerf en question; - 2° atro- phie légère du noyau postérieur du pneumo-gastrique; 3° atro- phie,
hie, soit évidente (1 observation), soit faible (2 observations) du noyau du facial (indemne, dans la troisième observation
hie partielle, le genou du facial, et les fibres qui environnent le noyau de l'oculomoteur externe étaient atteints d'atr
erne étaient atteints d'atrophie complète ; - 40 atrophie faible du noyau moteur du trijumeau (1 observation), intégrité da
trijumeau (1 observation), intégrité dans les trois observations du noyau du glosso-pharygien, de l'oculomoteur externe,
is extrêmement nette dans le cas où il y avait atrophie complète du noyau de l'hypo- glosse, ce qui prouve un consensus p
glosse, ce qui prouve un consensus parfait avec les altérations des noyaux ; 3° dégénérescence du faisceau fondamental du co
méthyle syst. Kronthal, méthode de Nissl.) Ce n'est qu'après que le noyau et les prolongements meurent et se résolvent; e
on DES dégénérescences des nerfs PÉRIPHÉRIQUES A la destruction DES noyaux D'ORIGINE, pour faire SUITE A UN cas de paralys
esque totale des racines antérieures. Dans le cerveau, atrophie des noyaux de l'hypoglosse, du pneumogastrique, du glossop
ral. Ainsi donc : lésions des nerfs crâniens périphériques dont les noyaux sont Usés; mais intégrité des nerfs spinaux pér
des nerfs crâniens périphériques, consécutive à la lésion de leurs noyaux d'origine. Peut-être, en ce qui concerne les ne
fois plus grosses que les plus grosses des cornes antérieures, à noyau excentrique, pourvu d'un nucléole, elles sont fré
avers le cerveau moyen, jusqu'à l'arrière du cerveau où il gagne un noyau relativement volumineux situé sur les côtés du
où il gagne un noyau relativement volumineux situé sur les côtés du noyau du pathé- tique. P. K. XIII. DES systèmes DE
composent d'une partie des fibres anté- rieures (côté cérébral) du noyau rouge de la calotte, se dirigent en bas, s'entr
doncule et la bandelette optique pour atteindre la partie basale du noyau lenticulaire. La commissure de Meynert com- pre
prend deux systèmes : l'un se compose des fibres qui unissent le noyau lenticulaire au corps de Luys du côté opposé; l'a
troisième ventricule, vont, du côté opposé, au corps de Luys et au noyau lenticulaire. Cetle commissure n'a aucun rapport
i unissent, par entre-croisement, les corps genouillés internes aux noyaux lenticulaires. P. KERAVAL. XIV. DE l'innervatio
tions, le trouble de la motilité doive être rattaché à une lésion du noyau lenticulaire. XX. UN cas d'atrophie musculair
d'atrophie musculaire spinale PROGRESSIVE COMPLIQUÉE DE LÉSION DES NOYAUX BULBAIRES ET DE L'ÉCORCE; par A. ÂLZHEIMER. (Ar
trième ventricule, dégénérescence des cellules nerveuses dans les noyaux des cordons postérieurs, du pneumogastrique, de l
rtie antérieure de la branche postérieure de la capsule interne, le noyau leuticulaire, la tête du noyau caudé, une grande
ostérieure de la capsule interne, le noyau leuticulaire, la tête du noyau caudé, une grande partie de la substance blanch
faisceaux primitifs; la substance inter- médiaire a proliféré, les noyaux se sont multipliés. Conclusion. Amyotrophie et
ur externe, du facial, du pneumo- gastrique, de l'hypoglosse et des noyaux moteurs de l'axe spinal. Intégrité complète des
rise du cerveau et de la moelle (cellules des cornes an- térieures, noyaux du bulbe et du cerveau moyen); combinaison, par
est très rare, c'est la symétrie et la bilatéralité des lésions des noyaux nerveux homologues, avec une telle précision. ~
èle une névrite interstitielle ; le tissu conjonctif prolifaré, les noyaux se sont multipliés, cette hypergenèse affecte l
u de méthyle et à l'hématoxyline alunée pour étudier le corps et le noyau de la cellule. Intoxication des lapins par le p
ccessible aux agents colorants ou peu colorable (achromatique) ; le noyau lui-même est peu coloré arroadi. La cel- lule d
protoplasma s'était liquéfié et des lacunes se montrent. Tout à la noyau se recoquille et apparaît comme mangé dans ses
érique étroite, peu coloriée, également distincte du corps même des noyaux qui paraît bien plusépaisetcomme groupé autour
érer comme la membrane nucléaire finit par disparaître. Le corps du noyau qui à l'état sain se compose d'une charpente re
qui pourraient bien représenter le suc nucléaire. Puis le corps du noyau se résorbe, sociétés savantes. 495 devient di
orée on assiste aux mêmes altérations dans les cellules et dans les noyaux , mais elles sont moins accusées dans les noyaux
ellules et dans les noyaux, mais elles sont moins accusées dans les noyaux . Dans l'intoxication, saturnine les altérations
, plus colorés que dans l'intoxication arsenicale et phosphorée. Le noyau s'altère très rapidement parle même procédé que
ences des nerfs périphériques cL l'altération dégénérative de leurs noyaux d'origine, avec démonstration. (Mémoire publié
celle d'une partie de la racine ascendante du triju- meau, celle du noyau et des fibres émergentes du pathétique et de l'
entes du pathétique et de l'oculo-moteur externe. Dans la région du noyau de l'oculo-moteur commun, l'atrophie portait su
Siemetiling. Le groupe de cellules que Westphal qualifia d'abord de noyau postérieur du pathétique n'a rien à voir avec c
e nerf. D'après les recherches de Schuetz, il faut le rattacher aux noyaux de la substance grise centrale. En ce qui concern
aux noyaux de la substance grise centrale. En ce qui concerne le noyau de l'oculo-moteur commun, le mieux est de le sépa
on postérieure. La région antérieure serait la limite antérieure du noyau au niveau 500 SOCIÉTÉS SAVANTES. du troisième
rtainement, mais il n'est pas certain qu'il soit en rapport avec le noyau de l'oculo-moteur commun. · . Quant aux rapport
avec le noyau de l'oculo-moteur commun. · . Quant aux rapports du noyau du pathétique et du noyau de l'o- culo-moteur c
-moteur commun. · . Quant aux rapports du noyau du pathétique et du noyau de l'o- culo-moteur ccmmun, ce dernier n'est po
mmun, ce dernier n'est point du tout la continuation du premier. Le noyau de l'oculo-moteur commun commence, au niveau de
de l'oculo-moteur commun commence, au niveau de la constitution, du noyau du pathétique par un groupe nucléaire placé dan
né les pièces de malades atteints de poliomyélite chez lesquels les noyaux des nerfs oculo-moteur externe, pneumo- gastriq
s resliformes étaient intacts, il y avait des hémorrhagies dans les noyaux du pneumogastrique et de l'hypo- glosse ; le gr
par Brasch, 264. NÉVROSES traumatiques, par Oppen- hein, 498. Noyau lenticulaire, lésions en foyer du , par Kébold,
81 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y. Il. Nouvelle contribution à l'étude des localisations dans les noyaux des nerfs craniens chez l'homme et chez le chie
ce sont ces deux myélotomes qui innervent le sternomastoïdien. Le noyau de l'hypoglosse était également le siège d'altéra
, au niveau du groupe cellulaire externe de la partie supérieure du noyau , ce qui est en rapport avec le dé- but de la tu
ec le dé- but de la tumeur par la base de la langue. Au niveau du noyau du facial, les lésions siégeaient surtout dans
il existait enfin quelques altérations à la partie inférieure du noyau du trijumeau, qui étaient la conséquence de la de
travail se termine par la description des altérations trou- vées du noyau au niveau du trijumeau chez deux chiens ayant s
central, forme globuleuse de la cellule, migration périphérique du noyau ) correspondant il une lésion cellulaire ré- par
stologique du bulbe pratiqué par JI. Paviol montra les cellules des noyaux olivaies atteintes de chromatolyse surtout diff
guère en étendue que la moitié ou le tiers du pédoncule gauche. Le noyau rouge droit est difficile à distinguer il l'oei
69 beaucoup moins développé que le gauche. Dans le cer- velet, le noyau denté (droit) est normal ; le vermis se montre
ompu ; on voit en dedans de lui le plancher du 4, ventricule ; n d, noyau denté. Les hémisphères cérébraux (fig. 8 à 13
? ) et dont l'ablation permet de voir la face interne de la tête du noyau caudé. La commissure blanche antérieure (c.o.a,
ue, la postérieure à l'amyg- dale ». Outre l'atrophie secondaire du noyau rouge et de l'olive bulbaire du côté opposé, il
cent au bord médian de l'hémisphère gauche ; l'autre, gros comme un noyau de cerise, était séparé du précédent par un pro-
térieur et des pédoncules cérébraux, dénota de plus l'atrophie (les noyaux et des racines de plusieurs nerfs crâniens, aco
x et des racines de plusieurs nerfs crâniens, acoustique et surtout noyaux du pneumogastrique droit et de l'accessoire. C'
du côté gauche présentait ses connexions normales, soit avec les noyaux du nerf vestibulaire (Stscherbach) et de l'abdu
f vestibulaire (Stscherbach) et de l'abducens (Bruce), soit avec le noyau dentelé (Thomas, p. 150) du côté opposé : son p
e bulbaire du côté op- posé (droit), et le faible développement des noyaux gris de la moitié droite de la protubérance dan
différence entre les deux côtés du pont est due à l'agénésie des noyaux gris du côté droit intercalés aux fibres trans-
e que celle de l'olive et de la protubérance, l'atrophie croisée du noyau rouge se présentait avec ses caractères ordinai
phie même légère des régions corticales eu rap- port direct avec le noyau rouge. Le poids de chacun des hémisphères céréb
ter de la pupille (Déjerine), ce qui s'explique par ce fait que les noyaux sont très rapprochés. A ces signes s'ajoutent q
ou, ordinairement, dur et sclérosé. La couronne rayonnante et les noyaux centraux parti- cipent à l'atrophie. D'une faço
ut relative et résulte de la diminution des éléments nerveux. Les noyaux qui entourent certaines cellules nerveuses en v
s et névrogliques, peuvent être observées dans l'écorce et dans les noyaux gris centraux. 3° Vaisseaux. Les lésions arté
laire avec effacement des figures arthrocytaires. disparition des noyaux . La plaque de sclérose est mûre ; elle va s'effri
aire, on observe la formation d'un prolongement fibrillaire dont le noyau devient rond, plus clair et brillant ; le corps
orrespondant aux deux pôles s'allonge et forme comme un capuchon au noyau . Les autres parties du corps cellulaire et lasu
ui est le début de la structure fibrillaire de la fibre adulte. Les noyaux des chaînes cellulaires se transforment vraisem
yaux des chaînes cellulaires se transforment vraisemblablement en noyaux de Schwann ; 8° Les ganglions spinaux et céphal
ncipalement pour la moelle épinière, le bulbe, la protubérance, les noyaux gris du cervelet et les ganglions. C, Colorat
xa- men amène à considérer trois portions : une dorso-latérale au noyau delà XIIe paire (fibres de la formation intercala
otte chez le lapin ;-20 AVan Gehuchten. Connexions ren- 1 l'ale" du noyau de ])eileI's et des masses grises voisines (Faisc
t conduzione nervosa extra- cellulari ; 2° Dr Nicolas Alfeuskw. Les noyaux sensibles et moteur du nerf vague chez le lapin
ment dans le centre ovale du côté gauche. Il existait, en outre, un noyau secondaire au niveau des circonvolutions pa- ri
ssez considérables (chroma- tolyse, déplacement et vacuolisation du noyau , etc.). 11 résulte de ces constatations que les
cée sur le trajet de l'arc réflexe : voie centripète trigémellaire, noyau central,voies et fibres centrifuges de la 7e pa
n doit invoquer un réflexe partant de l'oreille et agissant sur les noyaux des nerfs oculaires par l'intermédiaire du noya
agissant sur les noyaux des nerfs oculaires par l'intermédiaire du noyau de Deiers. De ces consi- dérations pathogéniquo
e, de faire surgir, avec le concours de la Direction de l'Asile, un noyau d'association capable d'éten- dre son action da
s le cytoplasma. Ces corpuscules ne se rencontrent ja- mais dans le noyau ; ils sont localisés exclusivement dans le 38
THOLOGIQUES. lette longitudinale postérieure entre le facial et les noyaux ocu- lo-moteurs. CH. 130NNH, Llll-- Ein Fall
ment. Dans le bulbe, la lésion prédomine dansles olives et dans les noyaux moteurs des V, N'Il, X, XI, NI[ paires, respect
ans les noyaux moteurs des V, N'Il, X, XI, NI[ paires, respecte les noyaux oculomoteurs.Dans Il moelle, notam- ment au niv
parois étaient épaissies et renfermaient un plus grand nombre de noyaux qu'à l'état normal. Autour des vaisseaux il exist
ndrome parkinsonnien. sans doute en rapport avec une irritation des noyaux sous-thalamiques, pourrait bien être provoqué a
erfs. Nouvelle contribution à l'étude des. localisations dans les noyaux des - crâniens chez l'homme et chez le chien,
82 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
gros MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LA\UUUG1'-Ui : Jl : ltl\l;. 19 noyaux do pseudo-ltypertropllie, du volume d'une grosse
contre, que je dois l'obligeance de M. le Dr P. Richer (us. 1). Ces noyaux contrastent vivement avec l'atrophie de tout le
'ajoute que j'ai pour ainsi dire vu se développer sous mes yeux ces noyaux de pseudo- lypertropllie qui n'existaient pas à
de parfaitement d'une part avec le groupement anatomique des divers noyaux qui constituent l'o- rigine réelle du moteur oc
c le trajet intra-pédonculaire des fibres qui émanent de ces divers noyaux (1). Nous renvoyons à la même leçon du savant p
entre deux renflements qui donnent au toucher la sensation de deux noyaux durs ; le noyau cen- tral ou supérieur est le m
ements qui donnent au toucher la sensation de deux noyaux durs ; le noyau cen- tral ou supérieur est le moins volumineux.
s de cette néoformation sont de petites cellules rondes munies d'un noyau volumineux qui occupe presque tout le corps de la
terre de Sienne que lui communique le picro-carmin. A ce niveau les noyaux qui partout ail- leurs ont une affinité si vive
ts sont transformés en blocs granuleux où l'on ne voit même plus de noyaux . Au sein DE LA biÉNINGO-11YÉLITE SYPIIILITIQUE
du foyer de nécrose, avec un fort grossissement on aperçoit quelques noyaux mal colorés, épars au milieu d'un amas de fines
tes arrondies, sans prolongements et remplies de granulations. Leur noyau est visible cependant à un fort grossissement,
al oblitéré par une production abondante de petites cellules à gros noyau . On aperçoit enlin sur les coupes dans la subst
s infiltrations colloïdes, de véritables corps granuleux pourvus d'un noyau : on les voit bien surtout dans les préparation
qui leur donne une fausse apparence de corps granuleux muni de son noyau . Quelques cylindre-axes ont subi une hypertrophie
. 3). Une quantité considérable d'éléments embryonnaires vivaces, à noyau fortement teinté par l'hématoxyline est accumul
PHILITIQUE 101 malade, il est certain que l'irrigation sanguine des noyaux bulbaires devait être très défectueuse dans ces
s les diverses parties de l'en- céphale (base du crâne, pédoncules, noyaux protubérantiels, centres sus- nucléaires et cen
onsidéré à part. Bien que doué de motricité réflexe, à cause de son noyau protubéranliel, ce muscle (1) Raymond et Koenig
le processus morbide généralisé dans la moelle épinière envahit les noyaux d'origine des nerfs crâniens et surtout des pne
ies) sont liés à des lésions situées dans le bulbe, au voisinage du noyau d'origine du pneumogastrique » (Ilermann Eichorsl
filtration abon- dante de petites cellules rondes, munies d'un gros noyau qui occupe pres- que tout le corps cellulaire e
: le parenchyme est ferme sur la coupe, et il présente çà et là des noyaux grisâtres, mais sans foyer purulent. Le coeU/'
ellules endothéliales des formes les plus bizarres, renfermant 3, 4 noyaux et davantage. Les veines de calibre qui chemine
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. laires. Sur la plupart cependant, noyau reste visible ainsi que son nucléole. .Mêmes lé
alors elles sont méconnaissables ; le ratatinement est complet, le noyau finit par disparaître ; la cellule est remplacé
nsidérable : parmi ces éléments, les uns sont petits, ronds, à gros noyau vivement coloré ; les autres, ovoïdes, plus volum
ros noyau vivement coloré ; les autres, ovoïdes, plus volumineux, à noyau relative- ment moins important et teinté plus f
disparu. Tout a tait au centre, les cellules se colorent rnal : leurs noyaux prennent une teinte blafarde par l'hématoxylinc
tractus conjonctifs servant de support à des vaisseaux couverls de noyaux nombreux, traversaient ce cordon sclérosé. Au m
d'un changement d'innervation dans les centres situés au-dessus des noyaux sous-corticaux. Le caractère même de l'affaibliss
e fait démontre que l'éléva- teur de la paupière, indépendamment du noyau de l'oculo-moteur, tire son innervation d'une a
n- jonctif fibrillaire, moins compact, où l'hématoxyline colore des noyaux nom- breux, au pourtour des petits vaisseaux pr
elle cervicale). 210 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des noyaux peu nombreux relativement à l'épaisseur des paroi
hémorrhagio récente et de peu d'impor- tance, n'intéressant pas les noyaux sous-jacents. Les noyaux d'origine des nerfs ln
peu d'impor- tance, n'intéressant pas les noyaux sous-jacents. Les noyaux d'origine des nerfs lnllho-protubéranticls ne p
uche do toute la région, les cellules nerveuses qui com- posent ces noyaux paraissent peu nombreuses et diminuées de volume
opposé, bien que toutes celles qui sont présentes aient con- servé noyau et nucléole bien apparents. Le contraste entre le
r toutes les coupes à peu près. Ceci s'appli- que en particulier au noyau de l'hypoglosse, au noyau moteur central (antéro-
près. Ceci s'appli- que en particulier au noyau de l'hypoglosse, au noyau moteur central (antéro- latéral, accessoire de
noyau moteur central (antéro- latéral, accessoire de l'hypoglosse, noyau inférieur du facial). Les vaisseaux présentent
veloppe du nerf, formée d'un amas de petites cellules rondes à gros noyau . Toute la région périphérique du nerf est dégén
83 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aussi la capsule interne ; ils passent dans le seg- ment interne du noyau lenticulaire ou dans son voisinage immédiat, et
es troubles du facial inférieur viennent combattre la conception du noyau du facial supérieur isolé au pli courbe (Exner,
e externe, la capsule interne et la partie externe et inférieure du noyau caudé comme cause d'une hémiplégie avec paralys
e Flechsig nous voyons la lésion suivante : la partie antérieure du noyau lenticulaire est transformée en un kyste à paro
de cet homme, décédé dans son service. 22 CLINIQUE NERVEUSE. le noyau lenticulaire montre dans son segment moyen, em-
ance grise, particulièrement des cellules des cornes anté- rieures ( noyau moins net et déplacé, parfois même disparu; nuc
déplacé, parfois même disparu; nucléole refoulé à la périphérie du noyau ; cliromatolyse plus ou moins accentuée ; dispar
uivantes : les particules chromophiles des corps cellulaires et des noyaux sont inégalement répartis; leur disparition par e
eu, jusqu'à ce que la destruction de la substance soit complète. Le noyau , qui reste le plus souvent dans le corps cellulai
e vacuolise très nettement et disparait. Tantôt, au contraire, le noyau quitte le centre de la cellule, vient s'adosser c
e-ci est dé- truite, le corps cellulaire ne garde plus sa forme; le noyau ne peut se maintenir à sa place. La cellule est
peut se maintenir à sa place. La cellule est frappée à mort, si le noyau disparaît complètement. Elle se régénère peut-êtr
e et ses prolongements présentent une couleur générale uniforme; le noyau est diminué, de forme ovale ou triangulaire, ho
ogène, ni granuleux, mais finement et in- distinctement tacheté. Le noyau est soit élargi, soit de dimensions normales; i
ance noire, où elles se terminent tout en filant en partie jusqu'au noyau lenticu- laire ; 2° un autre trousseau, plus ta
nt dans le raphé ; les autres point, mais elles arrivent toutes aux noyaux moteurs de la cinquième paire, du facial, et de
u raphé que dans la région de l'olive supérieure pour se rendre aux noyaux moteurs des nerfs. 6) Il peut gagner la surface
à diverses époques. Le globus pallidus est un système unitaire. Le noyau du ruban de Reil, tout petit, reçoit beaucoup d
PATHOLOGIQUES. diée en détail par M. Marinesco sur les cellules du noyau de l'hy- poglosse de lapins, sacrifiés, au bout
de granulations chromatiques, sié- geant le plus souvent autour du noyau , que celui-ci soit central ou excentrique. Les
a même façon que les neurones moteurs (chromatolyse, migration du noyau , tuméfaction du corps cellulaire). Mais, tandis q
ion et déformation plus ou moins mar- quées des corps cellulaires ; noyau peu visible, se déplaçant vers la périphérie, c
mple dissolution de quelques granulations cliromalophiles autour du noyau , jusqu'à la chromatolyse complète. Il n'existait
t été obser- vées des lésions (déformation cellulaire, migration du noyau , chromatolyse) de la plupart des cellules des c
e s'est pas montrée altérée. Les cellules bulbaires, au niveau du noyau des nerfs mixtes, ne laissaient apercevoir aucu
itive conductrice forme un réseau mais n'a aucune connexion avec le noyau . (American jour, ol' iizsu ? 21ly, j juillet 1898
nce peut se montrer aussi dans le prolonge- ment cylindraxile. Le noyau est très coloré, diminué de grosseur, et souvent
elquefois élargi, souvent de forme ovale et déporté vers le bord du noyau . A côté de cette altération cellulaire spéciale
e le centre de la cellule est très faiblement coloré en bleu, et le noyau se détachant peu distinctement sur ce fond bleu à
insi qu'à celle d'une lésion concomitante au moins fonctionnelle du noyau central ventriculaire de la troisième paire. A.
Le syndrome pseudo-bulbaire est dM le plus souvent aux lésions du noyau lenticulaire et de la capsule interne : parmi les
tolyse insulaire ou diffuse, périphérique et périnucléaire; leur noyau est déplacé vers la périphérie et dépourvu de sa
trois grands caractères : déformation des cellules, déplacement du noyau vers la périphérie, déplacement qui peut aller
ène et la malade succomba. Les pneumo-gastriques, ou du moins leurs noyaux d'origine, avaient été atteints. SOCIÉTÉS SAV
PATHOLOGIQUES.' XL. Contribution à l'étude des localisations des noyaux moteurs dans la moelle lombo-sacrée et de la va
IQUES. pour faire de nouvelles recherches sur les localisations des noyaux moteurs dans la moelle lombo-sacrée. Les fait
la moelle lombo-sacrée, deux groupements de cel- lules nerveuses ou noyaux qui sont en rapport avec l'innervation motrice
pport avec l'innervation motrice de la jambe et du pied, un premier noyau postéro-latéral allant depuis la partie supérie
t lombaire à la partie inférieure du 3" segment sacré et. un second noyau , posté- rieur au premier, allant de la partie s
cherches : 1° que les libres motrices du nerf vague présentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau
s motrices du nerf vague présentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau moteur à grandes cellules
ue présentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau moteur à grandes cellules, constituant le noyau
u moteur ventral ou noyau moteur à grandes cellules, constituant le noyau ambigu. Ce noyau appartient en propre aux libre
ou noyau moteur à grandes cellules, constituant le noyau ambigu. Ce noyau appartient en propre aux libres de ce nerf. b
mbigu. Ce noyau appartient en propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules.
ent en propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules. Ce noyau~appartient
b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules. Ce noyau ~appartient à la fois aux fibres du vague et aux l
substance grise gélati- neuse voisine. Celle-ci représente donc le noyau terminal des fibres du faisceau solitaire ainsi
onc le noyau terminal des fibres du faisceau solitaire ainsi que le noyau sensitif du nerf de la dixième paire. G. D. X
ompu et entouré de boules réfrin- gentes. Pas de multiplication des noyaux . En résumé, la polynévrite n'est pas douteuse e
gauche montre un piqueté rouge considérable et une forte hyperémie. Noyaux gris centraux nor- maux. Liquide abondant dans
nuleux. Un, quelquefois deux grains plus volumineux représentent le noyau . Ces éléments entourent les cellules pyra- mida
blessure de la -, par Urriola, 350. Etude des localisa- tions des noyaux moteurs de la lombo-sacrée par Van Gehucliten
84 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
che du ruban de Reil et se prolonge dans la portion inférieure du noyau réticulaire (de Bechterew) au niveau du plan infé
cipal, doit être proba- blement mise sur le compte de l'atrophie du noyau originaire du cordon cunéiforme du côté opposé.
médian du ruban de Reil prend racine dans les ganglions de la base ( noyau lenticu- laire2),.le segment externe de ce ruba
laire2),.le segment externe de ce ruban vient du giobuspaliidus du noyau lenticulaire ; rien ne prouve leur origine dans l
action des causti- ques). D'après ces recherches; l'hypergénese des noyaux ne serait pas démontrée dans les cellules nerve
la substance grise du cerveau, ce sont les cellules fondes dont les noyaux se multiplient. Dès le troisième jour qui suit
arges mailles, qui prend un ton de plus en plus clair ; la trame du noyau participe à l'altération. Tel est le rajeunisse
nissement ou retour à l'état embryonnaire des cellules. Pour que le noyau se divise, il faut que les cellules nerveuses se
assez étendu, ayant détruit, dans l'hémisphère droit, une partie du noyau caudé, la partie antérieure du noyau lenticulaire
émisphère droit, une partie du noyau caudé, la partie antérieure du noyau lenticulaire, et la portion intermédiaire de la
tion concerne un foyer apoplectique dans la partie posté- rieure du noyau lenticulaire gauche; il en partait deux raies d'u
en partait deux raies d'un brun rouillé allant jusqu'à la queue du noyau caudé et traversant 1 3' SOCIÉTÉS SAVANTES. t
vident qu'elles la trouvent simultanément dans le bulbe, dans les noyaux de faisceaux grêles. PATHOLOGIE NERVEUSE CONT
qu'un débris protoplasmique ; -, ce n'est qu'en dernier lieu que le noyau change déforme. Les fibres nerveuses subissent
s du vague, arrivées dans le bulbe, entrent pour la plupart dans le noyau classique, mais toutes ne s'y terminent pas; le
mais toutes ne s'y terminent pas; les unes, contournant en avant le noyau de l'hypoglosse, traversent le raphé et se term
fibres venant du faisceau cérébelleux direct ; 2" fibres venant du noyau du faisceau de Burdach du même côté; 30 fibres
de fibres : 10 des fibres du faisceau cérébelleux; 2° des fibres du noyau du faisceau cunéiforme;' 3° des fibres du faisc
logue ; il relie les masses grises de l'aqueduc de Sylvius et les noyaux des nerfs moteurs. Ses fibres s'entourent de myél
et; 2° des fibres commis- surales à long trajet, qui réunissent les noyaux moteurs des yeux-, et dégénèrent de bas en haut
et le faisceau longitudinal postérieur, pour-, se terminer dans le noyau de la troisième paire. ; Dégénérescence de la c
corne postérieure, quelques-unes seule- ment se prolongent jusqu'au noyau latéral de la corne anté- rieure ; les autres v
ue la plupart des troncs nerveux qui s'y rendent provien- nent d'un noyau bulbaire situé en arrière du noyau de l'acous-
i s'y rendent provien- nent d'un noyau bulbaire situé en arrière du noyau de l'acous- tique. Ces tubercules servent spéci
scussion soulevée par MM. Forel et Fleclisig, à propos des nerfs et noyaux et de la priorité, ou de l'excellence de leurs
gement du nerf vestibulaire). L'une de ces branches pénètre dans le noyau anté- rieur de l'acoustidue (noyau antérieur de
de ces branches pénètre dans le noyau anté- rieur de l'acoustidue ( noyau antérieur deMeynert),en connexion par des fibre
et du côté opposé. L'autre branche (interné) d'abord côtoyée par le noyau antérieur, le dépasse en arrière, embrasse les
supérieur de la formation réticulaire; ici cette branche devient un noyau supéro-dorsal, au voisinage du raphé; mais ses
oisinage du raphé; mais ses fibres ne sont point en rapport avec le noyau interne ou supérieur du même côté (tfente, Sclm
rieure de l'acoustique, après avoir atteint la partie supérieure du noyau de Deiters, gagne le noyau situé en arrière, en
ès avoir atteint la partie supérieure du noyau de Deiters, gagne le noyau situé en arrière, en dehors, au-dessus de celui
gagne le noyau situé en arrière, en dehors, au-dessus de celui-ci ( noyau angulaire de Bechterew; noyau principal du nerf
re, en dehors, au-dessus de celui-ci (noyau angulaire de Bechterew; noyau principal du nerf vestibulaire de Flechsig); un
éjà pourvues de myéline, bien avant que le cervelet en ait. Mais le noyau principal du nerf ves- tibulaire est en connexi
qui traverse le segment interne du pédoncule cérébelleux, avec les noyaux cen- traux du cervelet. Et la racine ascendante
orce cérébrale. Capsula interne. Couche optique. Capsule interne. Noyau rouge. Pied du pédoncule cérébral, Raphé. Protu
Raphé. Protubérance Olive. Pédoncule cérébral. Raphé. liapllé. Noyau dentelé. Pédoncule moyen. Corps restiforme. Cer
, pneumogastrique, hypo-, glosse). Ce centre pourrait bien être- le noyau lenticulaire. En même temps, anesthésie d'un au
terne (lésions siégeant entre les tuber- cules quadrijumeaux et les noyaux bulbaires), simple altération fonctionnelle d'a
du toit ' qui sont pourvues de prolongements auostomotiques et d'un noyau apparent. La racine postérieure participe à la
. Plus ra- rement, les cellules se colorent mal par le carmin, leur noyau est intact, leur protoplasma homogène ; quelque
ns un même espace péricellu- laire et l'existence fréquente de deux noyaux dans une même cellule prouve la division possib
es des cellules sclérosées. La cellule devient petite et perd son noyau . Une autre lésion est la vacuolisation : le proto
. Platonoff d'une lésion des cornes antérieures de la moelle et des noyaux mo- teurs du bulbe, les centres moteurs des mus
ulaire. i\i. Lévine n'a pas pu déterminer le mode de disparition du noyau . La vacuolisation est souvent assez prononcée p
ent tuméfiés, opaques ; le corps cellulaire se désagrège, puis le noyau disparait. La transfusion du sang des animaux cac
85 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
défibres des cornes postérieurs; les cordons de Goll s'unissent aux noyaux des cordons grêles. Les zones foetales contienn
bles circulatoires et reconnaîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs moteurs de l'oeil, car, ajo
n com- mun avec M. FUERSTNER, sur les phénomènes de la division des noyaux dans la moelle des chiens et des lapins à la su
IÉTÉS savantes. ont un diamètre de 33 à 66 jjL et contiennent 2 à 6 noyaux , celles du deltoïde ont un diamètre moyen de 60
ux, celles du deltoïde ont un diamètre moyen de 60 à 100 et. 5 à 12 noyaux ; ie tissu conjonctif de ce dernier un peu plus
ier un peu plus abondant que norma- =lement, contient aussi plus de noyaux que d'ordinaire. Quelques fibres du deltoïde pr
es du deltoïde présentent aussi des vacuoles. La multiplication des noyaux du muscle gigantesque n'est qu'apparente, car, si
ou des proportions correspondantes, on voit qu'il n'y a pas plus de noyaux dans le muscle normal que dans le muscle géant;
en foyer de ramollissement occupant la partie la plus supérieure du noyau externe de la couche optique gauche; il s'était
de Forel. La commissure de Gudden consiste en fibres réunissant les noyaux lenticulaires avec les corps géniculés internes
a). Des fibres du ruban de Reil médians, qui se dirigent vers le noyau de Luys et vers le noyau lenticulaire du côté opp
n de Reil médians, qui se dirigent vers le noyau de Luys et vers le noyau lenticulaire du côté opposé; b). De fibres reli
ers le noyau lenticulaire du côté opposé; b). De fibres reliant les noyaux de Luys avec les noyaux lenticulaires des côtés
e du côté opposé; b). De fibres reliant les noyaux de Luys avec les noyaux lenticulaires des côtés opposés, , . L'entre-
osés, , . L'entre-croisemenl de Forel consiste en fibres reliant le noyau rouge du legmentum avec le noyau lenticulaire d
orel consiste en fibres reliant le noyau rouge du legmentum avec le noyau lenticulaire du côté opposé. Séance du 12 avril
escence granuleuse des faisceaux musculaires avec prolifération des noyaux . ' L'auteur suppose que les altérations muscula
lair qui peuvent aussi tirer sur le jaune. Cette paroi contient des noyaux nombreux, bien que l'on ne puisse à cet égard d
des angles que forme une branche avec le tronc, il y a toujours un noyau , mais il en existe aussi sur la conduite princi
s un noyau, mais il en existe aussi sur la conduite principale. Les noyaux sont ronds ou ovoïdes; les premiers ont pour di
que celle du conduit secondaire; elle est en moyenne de 2 [Jt; les noyaux de la paroi étant de deux à cinq fois plus gros q
eau, il faut que la paroi subisse une expansion capable de loger le noyau sans diminuer le calibre intérieur du conduit; c'
fet ce qui a lieu; aux endroits où l'on constate une dichotomie, le noyau se loge en dedans de l'ouverture et paraît souder
eaux, dont les parois sont épaissies ou affectées d'hypergénèse des noyaux ; au degré le plus avancé, le 396 REVUE D'ANATO
re, dépourvu de struc- ture, ou dont la paroi épaisse est farcie de noyaux . P. IERAVAL. IV. DES accidents QUI SUCCÈDENT A
st la suivante : Tandis que le carmin ammoniacal colore normalement noyaux et corps des cellules de l'écorce, l'hématoxyli
de leurs prolongements, tandis qu'elle en colore très nettement le noyau et le nucléole. 11 en est de même de la nigrosine
ésions sont : une dégénérescence vas- culaire par prolifération des noyaux et cellules de la paroi, - une altération consé
rne. Compression céré- brale. On y trouve : les cellules pauvres en noyaux de la subs- tance fondamentale (Gierke) ou des
du pédoncule ne contient ni les fibres du lobe frontal ni celles du noyau lenticu- laire, mais l'on y trouve celles de la
mais l'on y trouve celles de la région de l'insula ou de la base du noyau lenticulaire qui vont se terminer dans la couche
yonnante dans ses rapports avec le corps calleux les frontales - le noyau caudé - le noyau lenticulaire la capsule extern
rapports avec le corps calleux les frontales - le noyau caudé - le noyau lenticulaire la capsule externe. Voici comment
e de cette masse grise uniforme est justifiée. Elle se compose d'un noyau caudé et d'un article externe ou troisième arti
se d'un noyau caudé et d'un article externe ou troisième article du noyau lenticulaire, dont l'aspect strié est dû à la dis
a capsule interne. Il est rationnel de conserver les expressions de noyau caudé et de noyau lenticulaire pour les deux part
Il est rationnel de conserver les expressions de noyau caudé et de noyau lenticulaire pour les deux parties du corps strié
rne, mais il faut introduire cette restriction que : sous le nom de noyau lenticulaire, il faut ne comprendre que l'ar- t
ne ou putamen, c'est-à-dire la coque du ganglion appelé jus- qu'ici noyau lenticulaire; on réservera une place à part aux d
s d'atrophie musculaire spinale progressive compliqué de lésion des noyaux bulbaires et de l'écorce. 11 s'agit d'un négoci
laires, de l'atrophie musculaire progressive, puis une lésion des noyaux du bulbe, enfin une atrophie étendue des cellules
ie étendue des cellules ner- veuses de l'écorce. Dans le bulbe, les noyaux moteurs sont épar- gnés ; la destruction porte
us-jacents au plancher du quatrième ventricule, c'est-à-dire sur le noyau postérieur du pneumogastrique, les noyaux exter
icule, c'est-à-dire sur le noyau postérieur du pneumogastrique, les noyaux externes, internes et antérieurs du nerf auditi
86 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
naire; il y a souvent des corpuscules pigmen- taires et beaucoup de noyaux . Les parties périphériques de l'écorce sont par
orce sont par place, surtout autour des vaisseaux, très riches en noyaux . Les espaces périvasculaires lymphatiques sont so
elures : l°à sa partie supérieure un renflement de la grosseur d'un noyau de cerise ; 2° à sa partie inférieure, près de
e est plus égale, sauf à sa partie inférieure où l'on remarque deux noyaux saillants, gros comme des petits pois, très rap
autres dans la profondeur (fit. 16). Un d'eux. de la dimension d'un noyau de cerise,occupe le centre même Fig. 16. - Rédu
de plus en plus claires. On remarque encore profondément deux gros noyaux à gauche, un moins volumineux vers la ligne méd
tre elles on ne peut plus suivre de prolongements ni retrouver de noyaux ; celles-ci présentent nettement la nécrose de co
ment adhérent au sommet, mais sur- tout en arrière. Là on trouve un noyau , en. partie crétacé, mesurant 7 à 8 mm. de diam
des coupes dans le poumon. Le lobe inférieur offre plusieurs petits noyaux caséeux récents. Poids, 140 gram- mes. Dans le
aissant alors une cavernule. II existe un certain nombre d'autres noyaux sous-pleuraux plus petits; un peu de congestion,
s la rate, les lésions sont semblables, mais il y a beaucoupplus de noyaux formés de follicules agglomérés et caséeux.- En
maux. Poumons. Le gauche pèse 205 gr. et offre de l'oedème et des noyaux disséminés de broncha-pneumonie; les bronches n
superficielle de né- vroglie a son épaisseur normale, peut-être les noyaux des cel- lules sont-ils un peu plus abondants q
us nettes. Les cellules sont diminuées de nombre ; en revanche, les noyaux petits et sphériques qui révèlent les cellules
ne accu- mulation considérable de granules jaune ambré autour des noyaux ; puis restant toujours hyalines, elles sont beauc
longements distincts. Enfin, à un troisième état, on ne voit qu'un noyau sphérique, avec un petit amas de granules ré- f
dans la substance blanche, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux des cellules interstitielles. Il n'y a qu'un peti
ramidaux. A la limite de la substance blanche, l'accu- mulation des noyaux petits et sphériques des cellules intersti- tie
de granulations dans le poumon, mais une congestion intense et des noyaux de broncho- pneumonie dans la partie inférieure
clair-semées. D'autre part, les cellules interstitielles à petits noyaux sphériques ne paraissent pas multipliées dans la
. La substance blanche offre une quantité 'considérable de petits noyaux sphériques appartenant aux cellules interstitiell
ène, formée de faisceaux parallèles de fibres fines, avec de petits noyaux sphériques très peu abondants, s'amincit aux po
couche est composée surtout de cellules rondes assez volumineuses à noyau sphérique, dont la plupart sont remplies de gra
fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et contenant des cellules à noyaux ronds ou allongés, dont quelques-rues sont enco
eau très fin d'une dentelle de fibrilles grêles avec des cellules à noyaux sphériques, à corps cellulaires ramifiés aux po
ularisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globuleuses, leur noyau volumineux, clair, nucléolé, remplit presque to
t de plus que dans les couches précédentes un assez grand nombre de noyaux de cellules interstitielles, petits, sphériques
ure; on y trouve du reste, en avant et un peu en dehors, un petit noyau cartilagineux qui rappelle la rotule. Examen hi
Autopsie : Congestion du poumon droit) splénisation de la base. - Noyaux de broncho-pheumonie à la base du pou- mon gauc
surtout marquées à la base. Le poumon gauche (375 gr.) présente des noyaux de broncho-pneumonie mieux dessinés. Aux sommet
87 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons ordinaires des éléments du système nerveux : le gonflement du noyau et du protoplasme cellulaire semble être la lésio
réolaire. Quand les lésions du protoplasme ont atteint ce degré, le noyau est à la périphérie de la cellule, fait le plus
souvent hernie et son nucléole est accolé à sa paroi ; bientôt, le noyau qui, jusque-là, se colorait bien par l'alun à l
rtaine longueur le même aspect; puis le protoplasme disparait et le noyau lui-même irré- gulier de contour, complètement
s- tence d'un certain nombre de neuronophages, petites cellules à noyau rond, à protoplasme rare, présentant un ou plusie
sont très altérées, lion nombre (['entre elles sont réduites a leur noyau n, nombreux neuronophages d. les libres nerveuses
s de névroglie. Ce sont pour la plupart des cellules conjonctives à noyau allongé, à masse protoplasmique très effilée. E
s envahi que l'autre par le tissu con- jonctif ; elles possèdent un noyau volumineux, ovalaire, contenant quelques granul
ple, elles constituent de véritables amas interfasciculaires. Leurs noyaux , bien colorés par l'alun à l'bématoxyline, sont
oloration LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. 15 du noyau . Alors que, au niveau de la papille, les éléments
par exemple des amas considérables d'éléments pourvus de volumineux noyaux ovalaires entourés d'un protoplasme peu abondan
sont, comme celles que nous avons décrites plus haut, pourvues d'un noyau de 8 environ, d'un protoplasme abondant et de p
nombrables cellules de névroglie de volume et de forme variables, à noyau volumineux, le plus souvent arrondi, mesurant d
ogliques ; sur des coupes colorées par l'alun à l'hexatoxyline, les noyaux de ces éléments sont bien mis en évidence ; arr
des pupilles se heurtent au fait indéniable de l'union centrale des noyaux sphinc- tériens et de l'entre-croisement partie
isement partiel et à la terminaison des fibres pupillaires dans les noyaux sphinctériens, un ne peut trouver d'explication
que gise la lésion dans le trajet centripète, que les branches d'un noyau ou des deux soient affectées, que l'affection s
nime le sphincter prendrait, pour lui, naissance aussi bien dans le noyau sphinctérien que dans le noyau accom- modateur
ur lui, naissance aussi bien dans le noyau sphinctérien que dans le noyau accom- modateur ; or, les fibres sphinctérienne
desservent qu'indirectement les muscles en question. Donc, quand le noyau de l'accommodation est innervé, les fibres qui
port avec l'accommodation, on est bien obligé de s'imaginer que le noyau sphinctérien se compose de deux groupes différent
éside à l'immobilité pupillaire réflexe comprend donc une partie du noyau sphinctérien lui-même. L'iné- galité et l'inéga
des cellules sphinctériennes malades voisines. L'union centrale des noyaux sphinctériens ne nuit pas à l'inégale contracti
action des pupilles ; si l'excitant se distribue également aux deux noyaux , l'effet des cellules motrices se règle d'après l
osséderait donc une influence élective sur une partie déterminée du noyau de l'oculo-moteur commun ; l'atteinte, avec ce
llaynaud, oedème angionevrotiquede la peau, sont constitués par un noyau de troubles vasomoteurs autour du- quel se grou
e. Elle diffère de ces deux affections par l'absence de lésions des noyaux bulbaires, par ses rémissions et par un pronost
itifs. Les lésions nucléaires bulbaires ont donc intéressé tous les noyaux du bulbe et de la moelle situés au-dessous de l
éments nerveux ; les fibres névro- gliques se multiplient, mais les noyaux , peu. On ne voit que peu de cellules granuleuse
ncontre encore de grosses cellules épi- thehoïdes à un ou plusieurs noyaux , des cellules mésodermiques du système vasculai
n réseau fort ou fin de libres de la névroglie, modérément riche en noyaux , rappelant la disposition des libres nerveuses,
ue un hémisphère massif, épais; feutrage de névroglie avec nombreux noyaux , cellules étoilées assez grosses. Un cas de ce
dal et Marinesco, il y avait des alté- rations chromatolytiques des noyaux des nerfs crâniens, et, dans une observation de
et, dans une observation de Sossedofi et Glochner, les cellules du noyau dorsal du pneumogastrique présentaient aussi de
fibres pyramidales dans leur trajet protubérantiel et bulbaire. Les noyaux des nerfs crâniens moteurs sont sains. Enfin,
uteur et 3 en largeur, intéressant le ruban de Reil, respectant les noyaux mo- teurs des yeux, mais ayant détruit les fibr
l'écorce à la VI, paire et celles que l'on croit unir entre eux les noyaux de la 111° et de la VIe paires. Dans le secon
ans ces cas un élément de dia- gnostic ou de pronostic. Lésion du noyau rouge. M. Guilmain montre les pièces et les pré
tre les pièces et les préparations d'une lésion ancienne limitée au noyau rouge, à la suite de laquelle la dégé- nérescen
de la calotte irait donc bien de la capsule périolivaire à celle du noyau rouge. A noter aussi dans ce cas l'atrophie du
NÉCROLOGIE. pas du tout de réseau endocellulaire. Dans la région du noyau cellulaire le réseau se raréfie ; il ne semble
e le réseau se raréfie ; il ne semble pas avoir de relation avec le noyau ; l'aspect du réseau dépend de la forme du corps
labio-glosso- laryngée. Due à l'altération des neurones moteurs des noyaux d'origine des septième, neuvième, dixième, onzi
hez le premier chien, les cellules du groupe- ment intermédiaire du noyau du sciatique étaient en réaction, taudis que ce
taient en réaction, taudis que celles du groupement central du même noyau étaient intactes. Au contraire, chez le second
nférieure du même groupement. Il résulte de ces recherches que le noyau du biceps crural est représenté par le groupeme
enu antérieurement les auteurs. Ce groupement central représente le noyau du demi- membraneux et du demi-tendineux. Un po
paraît s'imposer, à savoir que le corps strié et surtout la tète du noyau caudé contient des centres vaso-moteurs. (Revue
t 458 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. avoir son noyau d'innervation distinct dans la corne antérieure,'
oire de Bicêtre. Le siège le plus habituel des lacunes est dans les noyaux gris du cerveau, par ordre de fréquence : noyau
cunes est dans les noyaux gris du cerveau, par ordre de fréquence : noyau lenticulaire, couche optique, noyau caudé, caps
rveau, par ordre de fréquence : noyau lenticulaire, couche optique, noyau caudé, capsule interne, c'est-à- dire dans le d
tion attribuée, d'après l'auteur, à une atrophie ou une aplasie des noyaux bulbaires et prébulbaires, aplasie qui remonte
ns la région des fibres arciformes internes, avoisinant l'olive, le noyau ambigu, le faisceau de Gowers et la racine ascen-
88 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
ellules transparentes avec de fines granulations et un ou plusieurs noyaux ayant la grosseur des cellules granuleuses situ
une substance assez étendue et granuleuse, privée de cellules et de noyaux à peu près analogue à la granular désintégratio
Dans les troncules nerveux, couches d'un tissu formé par de grands noyaux fusiformes à longs prolongements, comparables à d
t indemnes, tandis que l'autopsie révèle une complète atrophie du noyau ventriculaire du facial. Or, si chez des lapins e
iale périphérique de J'oeil), on provoque des lésions, non dans les noyaux du facial, non dans ceux de l'oculo-moteur exte
rne, ni dans les troncs périphériques du facial, mais bien dans- le noyau de l'oculo-moteur commun. Labranche oculaire du
o- teur commun, ou, plus exactement, par la partie postérieure du noyau de celui-ci. P. KERAVAL. VIII LYMPHANGIOME DELA
alibre de certaines fibres ainsi qu'une abondante prolifération des noyaux ; on trouvait çà et là des cellules à noyaux.
nte prolifération des noyaux; on trouvait çà et là des cellules à noyaux . A une demande de M. Jolly, M. BUCIIHOLZ répliq
'hématoxyline alunée, on observe une accumulation très abondante de noyaux . Les vaisseaux sanguins renfermés dans les paro
erait que dans cette partie centrale de la cellule qui environne le noyau . Les prolongements de la cellule nerveuse sont
s conditions d'une transmission directe des régions centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quant aux organes péri- p
midales, globuleuses on fusi- formes, varient de 20 à 50 , et leurs noyaux de 5 à ' V. Ial'chi" Nota pl'eventiva sulla fin
deuxième type qui prévalent dans les corps striés, surtout dans le noyau caudé. Dans les couches optiques, où coexistent
striés permet de supposer que les LES FONCTIONS DU CERVEAU. 201 1 noyaux caudés et lenticulaires appartiennent à la sphè
ine, atrophie et disparition du cylindre-axe, avec hypergènesse des noyaux , de sorte que nombre de fibres sont réduites à le
mation granuleuse de la substance musculaire, la multiplication des noyaux . L'examen post mortem a révélé de l'atrophie de
r, atrophie très avancée accompagnée de multiplication exagérée des noyaux et de vacuoles centrales. Affection d'ailleurs
de la disparition de toutes les fibrilles musculaires; en outre les noyaux multiplient à l'infini au centre et dans le péri-
s lesquelles les fibres de la névroglie sont colorées en bleu ; les noyaux , en rouge ; les cellules, en rougeâtre; les cylin
u ventricule latéral. Atrophie secondaire de la pyramide gauche, du noyau moyen de la couche optique et du tubercule quad
é électro-faradique et élec- tro-galvanique. 11 est probable que le noyau moteur de ce nerf est atrophié et qu'il existe
ides antérieures ne présentent aucune lésion. Il en est de même des noyaux des nerfs bul- baires. Dans la région supérie
a région cervicale constituée par une grande quantité de cellules a noyaux pigmentés. La moelle épinière est plus mince ;
et les cylindres-axes sont plus ténus. Il en est de même pour les noyaux qui des fibres et des pédon- cules. En approc
IE DE FRIEDREICH. 357 Nulle part on n'observe de multiplication des noyaux de la gaine myéliuique. La seule altération d
usivement de tissu fibrillaire, contient relativement très peu de noyaux , et se colore bien par les couleurs d'aniline.
r la méthode de Wei- gert et au carmin, a, cellules atrophiées sans noyau et sans prolongement b, tissu conjonctif rempla
s prolongement b, tissu conjonctif remplaçant les fibres fines ; e, noyaux fortement co- lorés ; d, libres fines restantes
ous de l'opercule, de la circonvolution postérieure de.l'insula. Le noyau gauche de l'hypo- glosse dans le bulbe'était at
auche de l'hypo- glosse dans le bulbe'était atrophié. Intégrité des noyaux du facial. du pneumogastrique, du spinal et des
s en de petits faisceaux que l'on peut suivre jusqu'au voisinage du noyau . Une disposition parfois révélée par les cellul
es prolongements cellu- laires se groupent en tractus embrassant le noyau et forment ainsi dans le corps même de l'élémen
nglion étoilé des seiches en fournit un remarquable exemple. . Le noyau possède une membrane qui fait corps en maints e
que sur beaucoup de cellules des cornes antérieures. L'intérieur du noyau est occupé par un stroma consistant et un strom
u nucléaire. Ce dernier réseau est en connexion avec la membrane du noyau aussi bien qu'avec le nucléole ; les fibrilles
embrane nucléaire. Généralement, il n'existe qu'un nucléole dans le noyau ; on constate cependant de temps à autre dans l
ons soi-disant libres du protoplasme et du SOCIÉTÉS savantes. 409 noyau des cellules nerveuses ou autres étaient reliées
r la méthode de Wei- gert et au carmin; a, cellules atrophiées sans noyau et sans prolongement b, tissu conjonctif rempla
s prolongement b, tissu conjonctif remplaçant les fibres fines ; c, noyaux fortement co- lorés ; d, fibres fines restantes
89 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tritive, biochimique des cellules motrices des circonvolutions, des noyaux gris ou des 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
. Duclos. MAII,11l (A.). Recherches sur la structure analo7nigue du noyau rouge' et ses connexions avec le pédoncule céré
tte modification gagne les prolongements protoplasmiques. Quant aux noyaux , à peu d'exceptions près, ils sont le terrain d
ptions près, ils sont le terrain du processus de raréfac- tion ; le noyau est un peu tuméfié, sa charpente et son nucléole
tions des trabécules constitutives se dissocient. Alors, ou bien le noyau s'atrophie, ou bien il se désagrège en même temps
s cellulaires, habituellement dans l'ombre. Karyokinèse de quelques noyaux de la névroglie. Dans les vaisseaux remplis de
inucléaires. impos- sible de dire qu'il y ait eu multiplication des noyaux non cellulaires autour des cellules nerveuses.
générale, Buiswanges a attribué la multi- plication indubitable des noyaux non cellulaires à la destruction de la substanc
tance nerveuse non spécifique, il en résulte un rappro- chement des noyaux de la névroglie; en outre les cellules lym- pho
prement dit, et segment rétro-lenticulaire. Ce dernier déborde le noyau lenticulaire en arrière, et se distingue du premi
car une autre partie du tractus passe par l'olive supérieure et le noyau latéral du ruban de Reil pour fusionner ensuite
normalement; par la méthode de coloration de Gaule, on obtient des noyaux rouge framboise irréguliers, à con- tours tranc
des lacunes arrondies, blanchâtres, même dans les cellules dont les noyaux à contours normaux sont normalement colorés. Fi
de la plupart des cellules (carmin) arrondies, sans prolongements ; noyau difficile à voir, nucléole ; vaisseaux gonflés
ent et cela d'une façon permanente. M. Kausch. De la situation du noyau du nerf pathétique. Le noyau de la quatrième pa
nente. M. Kausch. De la situation du noyau du nerf pathétique. Le noyau de la quatrième paire ou noyau IV comprendrait d'
tion du noyau du nerf pathétique. Le noyau de la quatrième paire ou noyau IV comprendrait d'après les auteurs trois group
comprendrait d'après les auteurs trois groupes de cellules : 1° le noyau IV à petites cellules, postérieur, de Westphal
en 1887, qu'en 1891 il ne rattache plus à la quatrième paire; 2° le noyau ventral postérieur de l'oculomoteur commun, qui
ui occupe une dépression du faisceau longitudinal postérieur; 3° le noyau prin- cipal du pathétique de Westphal, situé en
muscles des yeux, MM. Westphal et Siemerling considèrent ce dernier noyau comme étant le seul noyau de la quatrième paire
phal et Siemerling considèrent ce dernier noyau comme étant le seul noyau de la quatrième paire (noyau IV),'parce que c'e
ce dernier noyau comme étant le seul noyau de la quatrième paire ( noyau IV),'parce que c'est dans ce noyau que se termine
eul noyau de la quatrième paire (noyau IV),'parce que c'est dans ce noyau que se terminent les fibres de celle-ci, tandis
ans ce noyau que se terminent les fibres de celle-ci, tandis que le noyau ventral postérieur serait un noyau de l'oculomo
ibres de celle-ci, tandis que le noyau ventral postérieur serait un noyau de l'oculomoteur commun. Eh bien ce noyau princip
tral postérieur serait un noyau de l'oculomoteur commun. Eh bien ce noyau principal du pathétique'de Westphal n'est pas l
. Eh bien ce noyau principal du pathétique'de Westphal n'est pas le noyau de la quatrième paire. Le noyau ventral postéri
pathétique'de Westphal n'est pas le noyau de la quatrième paire. Le noyau ventral postérieur est seul le noyau de la quatri
oyau de la quatrième paire. Le noyau ventral postérieur est seul le noyau de la quatrième paire, pour les motifs'suivants
oyau de la quatrième paire, pour les motifs'suivants : '' 1° Tout noyau d'un nerf moteur possède un réseau très fourni de
rès fourni de fibres fines ou fortes entre les cellules. Or le faux noyau de \Vest'- phal-seràil seul dépourvu de cette q
de fibres; 2° les fibres de la quatrième paire se terminent dans le noyau ventral posté- rieur, il n'y en a pas une seule
entral posté- rieur, il n'y en a pas une seule qui se rende dans le noyau de Westphal ; 3° les cellules du noyau de Westp
e seule qui se rende dans le noyau de Westphal ; 3° les cellules du noyau de Westphal ne sont pas motri- .SOCIÉTÉS SAVANT
laires; elles ne sont pas, non plus plus volumineuses que celles du noyau ventral postérieur; 4° les cas pathologiques mo
nérescence des netfs de la troi- sième et de la quatrième paire, le noyau ventral postérieur et ce qui reste du noyau de
la quatrième paire, le noyau ventral postérieur et ce qui reste du noyau de la troisième paire sont atrophiés, le noyau
r et ce qui reste du noyau de la troisième paire sont atrophiés, le noyau de Westphal reste normal. , . ` Discussion. M
ries qui peuvent dénier avec certitude l'origine du pathétique au noyau principal de Westphal. C'est à l'expérimentation
'est-ce' donc rien ? Or, il est établi qu'alors que tous les autres noyaux qui com- mandent aux muscles sont lésés, seul l
les autres noyaux qui com- mandent aux muscles sont lésés, seul le noyau principal du pathé- ' tique reste intact et qu'
intra-inéduliaires et péri- phériques de ce nerf sont altérées. Le noyau principal à petites cellules de Westphal n'a ri
les cas pathologiques n'excluent pas jusqu'ici les relations de ce noyau avec le pathétique. M. Kraske présente deux mal
roglie' présente divers degrés de réaction. Prenons par exemple les noyaux de la couche optique dont les cellules s'altère
, il y a une telle prolifération qu'on voit à l'oeil nu quel est le noyau qui dépend de telle région corticale. Quant à d
firment l'exacti- tude des descriptions qu'il a faites sur bien des noyaux de la couche optique. Voici une autre série qui
te les altérations régres- sives des cellules nerveuses motrices du noyau du facial à leurs dif- férents stades. Une troi
cence très accusé et très avancé, avec des cellules étoilées et des noyaux en état de prolifération autour des vaisseaux e
er et Beedecker, 138 ; et stupeur, par Popoir, 395. Pathétique, noyau du nerf -, par Kausch, 318. Pensée, retentiss
90 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns cas, une partie des fibres des cordons postérieurs passe par les noyaux de ces cordons, s'engage directement dans le ruba
-être due à un anévrysme concomitant de l'aorte, ou à une lésion du noyau spinal du XI ou du noyau ambigu du X (Wallen- b
concomitant de l'aorte, ou à une lésion du noyau spinal du XI ou du noyau ambigu du X (Wallen- berg). Localisation prob
ie de V,VI et XI ; ne dépasse pas en haut l'extrémité supérieure du noyau sensitif du V et du noyau du VI : intégrité de
sse pas en haut l'extrémité supérieure du noyau sensitif du V et du noyau du VI : intégrité de III,IV et V moteur ; -- s'
teur ; -- s'étend en bas jusqu'à un niveau impossible à préciser du noyau moteur du X ; sectionne les fibres olivo-cerébe
; sectionne les fibres olivo-cerébelleuses (de l'olive bulbaire au noyau denté) qui cheminent au voisinage immédiat de l
propos de ceux-ci, le trajet central des fibres de la corde : leur noyau serait dans le voisinage immédiat du noyau sens
ibres de la corde : leur noyau serait dans le voisinage immédiat du noyau sensible du V et,par conséquent dis- tinct de c
le ma- lade : excitation des nerfs vestibulaire ou cochléaire ou du noyau de Deiters. Il rapporte ensuite, mais très briè
ique et physiologique ayant vraisemblablement son origine dans un noyau spécial. le noyau radial; le non-développement de
gique ayant vraisemblablement son origine dans un noyau spécial. le noyau radial; le non-développement de ce noyau produi
dans un noyau spécial. le noyau radial; le non-développement de ce noyau produit l'agénésie du système embryologique cor
lésions que dans les agénésies ordinaires. Les régions conservées : noyaux de la base, isthme de l'encéphale, bulbe et moe
ur à la diffé- renciation des neuroblastes, des neuroblastes à deux noyaux ; mais elle est niée par plusieurs auteurs réce
ux, temporaux, parié- taux et occipitaux, circonvolutions motrices, noyaux du corps strié (Klippel et Lhermitte). Il faut
raves de l'écorce, particulièrement dans les couches profondes. Les noyaux des cellules semblaient gonflés à un haut degré
ruction. Dans la névroglie, il y avait une augmentation modérée des noyaux , mais en revanche une néoformation pathologique
le de l'écorce. L'écorce se trouvait ainsi infiltrée de très gros noyaux de névroglie, d'une coloration pâle particulière;
gros noyaux de névroglie, d'une coloration pâle particulière; ces noyaux se trouvaient en grand nombre auprès des cellul
re, mais par le mécanisme étudié par P. Bournier (Rapports entre le noyau de l'O. M. E., du pathéti- que, de l'O. M. C. d
Boedeker, qui démontrèrent, en outre, que l'extrémité supérieure du noyau du IV est en rapport étroit avec le III ; ils c
en rapport étroit avec le III ; ils constatèrent la lésion des deux noyaux du IV dans des cas de paralysie unilatérale du
croisement to- tal proviennent surtout de l'extrémité inférieure du noyau du IV ; que l'extrémité supérieure a «des rappo
supérieure a «des rapports étroits et faciles à cons- tater avec le noyau du III ; enfin, que de chaque noyau du IV nais-
t faciles à cons- tater avec le noyau du III ; enfin, que de chaque noyau du IV nais- sent des fibres qui se dirigent d'a
e Bedeu- tung der Edinger-Westphal'schen Kerne Que deviennent les noyaux moteurs après lésion des n. pér., et sur le rôle
ent les noyaux moteurs après lésion des n. pér., et sur le rôle des noyaux d'E. W. ; par L. BACH, de Marburg, (C-M. f. Ner
rique d'un nerf moteur peut n'avoir aucun effet sur les cellules du noyau de ce nerf ; que, chez l'homme, après énucléati
après énucléation d'un oeil, il constata lui- même l'intégrité des noyaux du III et notamment des noyaux d'Edinger-Westph
l constata lui- même l'intégrité des noyaux du III et notamment des noyaux d'Edinger-Westphal que l'on a rattachés, à tort
eaucoup plus longue : sept mois au lieu de 90 jours : Intégrité des noyaux d'E. W. ; dans la partie supérieure du noyau, d
jours : Intégrité des noyaux d'E. W. ; dans la partie supérieure du noyau , disparition presque complète des cellu- les du
partie inférieure, lésion plus accusée dans le territoire dorsal du noyau du côté opposé. B. fait ensuite une critique lo
et minutieuse des récents tra- vaux des auteurs qui voient dans les noyaux d'E. W. le centre du sphincter de la pupille (K
re, travaux d'où il tire les argu- ments suivants : Intégrité des noyaux d'E. W. après énucléation, chez toutes les espè
cellules qui ne réalisent pas le type mo- teur. Intégrité de ces noyaux dans des cas de paralysie durable du sphincter
n, simultanément, ophthalmoplégie extérieure et lésion des au- tres noyaux oculomoteuis. B. conclut que les centres des sp
illaires sont repré- sentés par les cellules du segment proximal du noyau du III les plus voisines de la ligne médiane ;
mal du noyau du III les plus voisines de la ligne médiane ; que les noyaux d'E. W. ne font très probablement pas partie du
ne ; que les noyaux d'E. W. ne font très probablement pas partie du noyau du III, conformément à l'opinion de Koelliker,
localisations : dans un faisceau allant de la bandelette optique au noyau de M. 0. C ? dans ce noyau lui même, dans le noya
sceau allant de la bandelette optique au noyau de M. 0. C ? dans ce noyau lui même, dans le noyau d'Edinger-Westphall, -
lette optique au noyau de M. 0. C ? dans ce noyau lui même, dans le noyau d'Edinger-Westphall, - dans le faisceau radicul
illots dans les ventricules latéraux et médians, de la sclérose des noyaux gris,ce qui indiquait une lésion ancienne. L. W
teint : infiltration surtout circumvasculaire de petites cellules à noyau volumineux et fortement basophile. siégeant surto
musculaires ; celles-ci ne présentent ni multiplication de leurs noyaux ni aucune modification de leur volume, de leur st
- dique, des circonvolutions motrices, de la zone de Wermcke, des noyaux gris centraux. Mais c'est aussi pour réfuter avec
112t1 : . 11 t création du système, toujours sans modification du « noyau de la personnalité ». ' Deux formes connexes
la fa- tiguc, le repos et le sommeil, par Bevan Lewis, p. 365. Noyaux moteurs. Que devien- nent les après lésion des
91 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
e fibre nerveuse (d'après Ecker). à. Cellule multipolaire. á. Son noyau . c. Son nucléole. d. Rayon de cette cellule q
deuxième est caché au fond de la scissure perpendiculaire externe. NOYAU DE L'ENCÉPHALE PRÉPARÉ PAR ÉNUCLÉATION ET REPRÉSE
TÉ SOUS DIFFÉRENTES FACES. Fig. 4. Face inférieure ou ventrale du noyau . La bandelette optique a été enlevée du coté droi
ouronne de Red coupé à sa racine. h. Corps strié externe formant le noyau centrai d'enroulement du cornet pédonculaire. I
evant des corps genouillés du même côté. Fig. 2. Face supérieure du noyau (d'après la préparation). Le corps calleux et l'o
Fig. 5. Face supérieure du corps calleux énu-cléé avec l'ensemble du noyau cérébral, dans l'homme (d'après M. Foviiie). a.
6". Dilatation en forme de cupule de ce prolongement qui embrasse le noyau de la couche optique. c. Fibres qui de l'étage
e de ses fibres la rêne droite des habense de la glande pinéale. g. Noyau gris central de la couche optique. k. Pilier droi
%. 6, mais dans une autre attitude de ses parties. Le pédoncule et le noyau terminal ont été soulevés, et la commissure antér
la figure par la lettre q. hh\ Fibres qui se portent directement du noyau de l'axe dans l'hémisphère. i. Enveloppe fibreu
de fibres qui revêt extérieurement le corps strié. h. Portion du noyau blanc de l'hémisphère, mise à découvert par la
du pédoncule. m\ Ses relations avec l'anse du pédoncule. n. Petit noyau gris qui se confond avec le corps strié externe
s du cervelet moyen. On le voit se contourner autour d'une sorte de noyau désigné en c'. F. Terminaison du corps restiforme
92 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e lésion pédonculaire. La lésion a-t-elle atteint direc- tement les noyaux , ou bien les pédoncules cérébraux, par- ticuliè
l'on décrivait la destruction du corps de Nissl, le déplacement du noyau , etc. Dans son traité des maladies du système n
ues telles que la destruction du corps de Nissl, les altérations du noyau (diminu- tion de volume etimprégnation diffuse
les plus différentes, y compris les globes mats de Popow, mais sans noyau (surtout chez l'homme). 2. Une couche de petites
ibuent la transmission de l'excitation lumineuse du nerf optique au noyau de l'oculomoteur commun. La question des relati
ansmet par ses collaté- rales les excitations lumineuses à tous les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, des troisième, qua
nent les vives excitations lumineuses inopinées. D'autre part, le noyau rouge est, en partie, l'aboutissant des pédoncu
partie a la conscience mais surtout, à l'insu de la conscience, au noyau rouge : cette impression est de là, à l'insu de
ubérance et du bulbe, jus- qu'au territoire intermédiaire entre les noyaux de l'auditif et de l'hypoglosse. '. Le faisce
Ainsi ce pédoncule se bifurque en deux branches l'une monte dans le noyau rouge ; l'autre descend. La bifurcation a lieu
mes exogènes possède le caractère ascendant; elle se suit jusqu'aux noyaux de ces cor- dons, après quoi elle diminue rapid
aisceau supplémentaire du ruban de Reil, qui apporte les fibres des noyaux moteurs du bulbe; on la suit, enfin, à travers
; e) tous les segments du pédoncule cérébelleux anté- rieur ; f) le noyau rouge; c)le faisceau qui pénètre dans la couche
iaires, par la lésion unilatérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Deiters avec la moelle par l'interruption de l
plus ou moins complète du proto- plasma avec persistance ou non du noyau , etc. De leurs expé- riences MM. Brissaud et Ba
Les grandes cellules pyrami- dales sont rondes, globuleuses avec un noyau excentrique, de la chromatolyse et une excessiv
lair par l'hématéine, et c'est à peine si l'on peut différeucier le noyau du protoplasma. L'autopsie fit constater l'exis
évélés par la méthode de Nissl, le gonflement et la chromatolyse du noyau dans les cel1nlacr des cornes antérieures et du
mais est plus accusé du côté percuté. Arc réflexe : tri- jumeau et noyau sensitif de la 5° paire, noyau de la branche su
ercuté. Arc réflexe : tri- jumeau et noyau sensitif de la 5° paire, noyau de la branche supérieure du facial des deux côt
er. Arc réflexe : branche maxillaire supérieure du trijumeau et son noyau sensitif, noyau moteur de la branche inférieure
: branche maxillaire supérieure du trijumeau et son noyau sensitif, noyau moteur de la branche inférieure du facial. Réfl
nférieur remon- ter. Arc réflexe : branche inférieure du trijumeau, noyau sensitif de celui-ci, noyau moteur du trijumeau
lexe : branche inférieure du trijumeau, noyau sensitif de celui-ci, noyau moteur du trijumeau. Il est exagéré dans la par
e la cavité nasale. Arc réflexe : branche moyenne du trijumeau, son noyau sensitif, noyau du facial. Réflexe surtout unil
le. Arc réflexe : branche moyenne du trijumeau, son noyau sensitif, noyau du facial. Réflexe surtout unilatéral, disparai
Pareillement, la région trochantérienne est extrêmement , sensible ( noyau néoplasique secondaire) et manifestement hypert
à la périphérie. A droite les lésions sont moindres, plusieurs gros noyaux enserrent les grosses bronches, et, la base de
la gaine lamelleuse et du perinèvre, partout une multiplication des noyaux interstitiels. A peine trouve-l-on de-ci, de-là
le voit enserré le plus souvent dans un tissu scléreux, entouré de noyaux conjonctifs, les cylindraxes sont tuméfiés et v
à des lésions périphériques sont évidents dans un certain nombre de noyaux cellulaires des cornes antérieures de la moelle
e avec état vésiculeux du protoplasma cellulaire et excentricité du noyau , que la méthode de colo- ration de Nissl met pa
a région comprise entre l'olive qui est entamée par places et les noyaux du plancher du 4C ventricule. Au point de vue t
r, depuis le tiers ou le quart postéro-externe de l'olive jusqu'aux noyaux gris du plancher exclusivement. Dans le ramolli
aires, une partie de l'olive, le faisceau central de la calotte, le noyau ambigu et les libres des racines des IXc et Xe
r la signification de la chromatolyse centrale avec dépla cement du noyau dans les cellules du système nerveux central de
altérations sont beaucoup plus prononcées que dans la première, le noyau étant plus ou moins atteint. La conclusion de
blables tous les cas de chromatolyse cen- trale avec déplacement du noyau . Il peut y avoir là deux causes, et peut-être m
ant. Le faisceau longitudinal inférieur gauche était altéré; 2" Les noyaux caudé et lenticulaire étaient sains; 3- La couche
ouche optique gauche était atrophiée, et l'atrophie intéressait les noyaux latéral médian et ventral (surtout ce dernier),
oyaux latéral médian et ventral (surtout ce dernier), tandis que le noyau antérieur était indemne. Le corps génicuié inte
cun rapport ; comme l'auteur a pu le constater dans des éléments du noyau du corps trapézoide, où les ramifications fibri
eau de la partie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 397 antérieure des noyaux , saillante dans le ventricule latéral gauche, c
stein, qui admet- tent l'existence de centres vaso-moteurs dans les noyaux gris cen- traux et de fibres vaso-motrices dans
est celle qui est la plus éloignée du corps de la cellule et de son noyau , c'est-à-dire les arborisa- tions terminales; c
le tableau de la dégénérescence de Waller; 3° La multiplication des noyaux survient plus tard; elle est peu sigificative;
signification de la chroma- z tolyse centrale avec déplacement du noyau dans les de l'homme, par Turner, 378. A propos
93 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rties postérieures, elle n'offre aucun carac- tère particulier. Les noyaux gris ne présentent aucune hypertro- phie, et so
portent accolés à leurs parois de distance en distance de très gros noyaux . Les capillaires de moyen calibre sont signalés d
sont envahies par des granulations graisseuses, mais dans toutes le noyau est intact et visible. Enfin, on trouve à l'éta
é par des myélocites très abondants, se présentant sous l'aspect de noyaux foncés, entourés ou non d'une zone claire, de d
les dans la préparation. On ne trouve sur leurs parois que de rares noyaux . Enfin, on ren- contre, principalement aux conf
s; à mesure que cette couche augmente suprà, le taux des fibres des noyaux des cordons postérieurs diminue; il en est peu pa
urs qui passent dans le bulbe entrent toutes en rela- tion avec les noyaux des faisceaux grêles (de Goll) et cunéiformes d
x des faisceaux grêles (de Goll) et cunéiformes de Burdach). De ces noyaux émanent une série de tractus ascen- dants : 1°
h). De ces noyaux émanent une série de tractus ascen- dants : 1° le noyau des faisceaux cunéiformes (Burdach) fournit des
s l'avoir traversée,, et se terminent dans le ruban de Reil ; 2o le noyau des faisceaux grêles (Goll) donne un trousseau
proviennent de l'eutrecroissement supérieur des pyra- mides ou des noyaux des faisceaux grêles et cunéiformes. Les cordon
eurs (destri ction du nerf acoustique chez le lapin nouveau-né), le noyau interne del'acoustique de Clarke etlleynert (no
nouveau-né), le noyau interne del'acoustique de Clarke etlleynert ( noyau principal de Schwalbe), le noyau externe de l'a
l'acoustique de Clarke etlleynert (noyau principal de Schwalbe), le noyau externe de l'acoustique ou noyau à grandes cellul
(noyau principal de Schwalbe), le noyau externe de l'acoustique ou noyau à grandes cellules de Deiters(Laura et Monakow)
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. a la racine postérieure du nerf, et le noyau antérieur de l'acous- tique de Meynert (noyau l
rieure du nerf, et le noyau antérieur de l'acous- tique de Meynert ( noyau latéral de la racine antérieure de Krause, acou
latéral et inférieur de Henle, segment infé- rieur et supérieur du noyau antérieur d'Huguenin, noyau accessoire de l'aco
le, segment infé- rieur et supérieur du noyau antérieur d'Huguenin, noyau accessoire de l'acoustique de Schwalbe) constit
acoustique de Schwalbe) constituent les centres du nerf auditif; le noyau antérieur en représente un ganglionspmal. P. K.
r l'intermédiaire de la portion latérale du pédoncule cérébral ; le noyau latéral de la couche optique est en connexion a
el- leux supérieur (entrelacement) et finirait à la face dorsale du noyau rouge dont ilaiderait à former la capsule blanc
en bas et en avant entre le plancher du troisième ventricule et le noyau rouge, à peu de distance du plancher. Il s'agit d
sur le plan médian montrent que le cervelet, les grosses olives, le noyau lenticulaire forment un appareil continu ; dans
ment défaut, le cordon central de la calotte manque absolument, les noyaux lenticulaires sont atrophiés. P. K. VIII. L'inn
ts que les nerfs pathétiques s'entre-croisent complètement, tout le noyau manquant du côté opposé à l'abla- tion, et non
de fibres; le centre auditif propre est le tubercule acoustique. Le noyau à grosses cellules de Deiters n'a a rien direct
re, et cependant ils sont eux-mêmes intacts. Intacts aussi sont les noyaux des nerfs moteurs, qu'il soit question du lapin
intact le ruban de Reil, les fibresarciformes correspondantes, les noyaux des cordons grêles et cunéiformes, tandis que, lo
les organes énumérés disparaître, du moins pour la plupart. 50 Les noyaux de la couche optique sont en partie indépendant
ide de ce que j'appelle la commissure inférieure 2. Certains de ces noyaux ne dépendent-ils pas'du lobe frontal ? La chose
ion gagne les racines ascendantes des triju- meaux sans toucher aux noyaux des cordons en question. Névrite parenchymateus
tout son ensemble mais surtout au niveau de la couche optique et du noyau extra- ventriculaire. Poumons. Excavations au
iatique et du radial, des nerfs intramusculaires. Prolifération des noyaux du ti,su interstitiel des muscles triceps de la
l des muscles triceps de la cuisse et péroniers, mais intégrité des noyaux des muscles et des fibres. L'auteur admet une d
péresthésie musculaire tiendrait peut-être à la prolifération des noyaux du tissu interstitiel des muscles. P. K. RV111.
ires de la corne postérieure; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du cordon postérieur (zones radiculaires de Str
94 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
aviculaires. - Au milieu de ces psettdo-lilonxes, on sent de petits noyaux de la grosseur d'un petit pois. Au-dessous de l
culièrement nauséeuse, s'exhale du parenchyme pulmonaire ; aucun noyau gangreneux. Coeu)' ; péricarde, rien. Gros cail
ligne médiane, un peu au-dessus et le long des nerfs optiques, deux noyaux durs, irréguliers, dont l'ensemble équivaut à u
s. Elles sont arrondies, sans prolongements proto- plasmiques, leur noyau est riche en chromatine, ce sont plutôt des neu
es parois des vaisseaux, on trouve une augmentation du nombre des noyaux ; il y.a, semble-t-il, une infiltration leucocytai
s le centre ovale, sans constituer de vraies bandes scléreuses. Les noyaux névrogliques sont arrondis, Examens H ! f;TOLO(
nt arrondies, sans prolongements, il protoplasma très peu coloré, à noyau riche en chromatine. L'adhérence et sissement d
les fines, avec un protoplasma sans granulations chro- matiques, un noyau allongé ou ovalaire rempli d'un réseau de chrom
A leur périphérie, la névroglie devient plus lâche, moins riche en noyaux ; clic ne tarde pas il céder en divcrs points et
ent égales; arrondies, pauvres en gra- nulations chromatiques, avec noyau petit, à contours assez nets. elles tendent sou
es-araignées, le type cellulaire le plus Fréquent est l'astrocyte à noyau arrondi, petit, avec une mul- titude de prolong
ississement des tuniques moyenne et interne, avec prolifération des noyaux . Au niveau de la symphyse méningée existe une u
araissent des amas de cellules rondes peu riches en protoplasma, il noyau très coloré par l'hématoxyline ; ces amas entou
, causé surtout par l'atrophie considérable du corps calleux et des noyaux gris centraux. Examen histologique. Les lésions
aucune fibre myéliniques, mais possédant des fibres névrotiques, à noyaux allongés, disposées en couches parallèles. Si
ns cas, c'est la cellule ronde à protoplasma peu abondant ou nul, à noyau fortement coloré par l'hématoxyline. Ces cellul
en faisceaux et en tourbillons; cellules le plus souvent petites, à noyau arrondi et pourvues de fins prolongements. On t
e sclérose assez marquée du centre ovale des circonvolutions et des noyaux gris centraux. XI. Thymus et glande thyroïde
ans la moelle que dans l'écorce, n'est nulle part hyperplasiée, les noyaux sont peu abondants et les fibrilles en sont ext
95 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onnant au contenu de la cellule l'aspect d'une toile d'araignée. Le noyau et GO SOCIÉTÉS SAVANTES. le nucléole sont à l
u et GO SOCIÉTÉS SAVANTES. le nucléole sont à leur place mais, le noyau est gonflé et coloré, ses limites disparaissent
erminée parle virus rabique, par la multiplication directe de leurs noyaux . Mais d'après ]3ucl et Demoor, ce phénomène a é
mal de la division directe incomplète, c'est-à-dire la formation de noyaux géants, processus analogue à celui de la format
ions suivantes : 1° La chromatolyse des ganglions plexdbrmes et des noyaux bulbaires du vague est un phénomène constant ap
désagrégation et la fonte des blocs chromatiques et par la fonte du noyau ; 3° La turgescence n'est nullement un phénomèn
e jour et chez le chat au 147° jour après la résection du vague, le noyau dorsal pathologique de la 10" paire ne présente
hes de M. Marinesco mettent en outre en valeurla par- ticipation du noyau et du nucléole de la cellule nerveuse aux pro-
s de la cellule, car lorsque le corps cellulaire s'hypertrophie, le noyau et le nucléole subissent les mêmes phéno- mènes
granules colorés en rouge vineux comme la substance chromatique du noyau . Dans certaines conditions qu'il n'a pu détermi
(supérieures); indiquant un trouble fonctionnel ' dans le troisième noyau ou l'un de ses éléments constituants, *-se renc
oits externes : alté- ration de la sixième paire ou d'une partie du noyau . 7° Spasme de la face : asymétrie des muscles f
ymétrie des muscles frontaux, indiquant des altérations du septième noyau . 8° Hallucinations et délusions de l'ouïe : le pl
sont directes c'est-à-dire non croi- sées et se terminent dans les noyaux des cordons postérieurs, autrement dit les noya
erminent dans les noyaux des cordons postérieurs, autrement dit les noyaux grêles et cunéiformes. D'autre part, les impres
lotte pédonculaire et se terminait entre l'aqueduc de Sylvius et le noyau rouge, sectionnant dans. l'inté- rieur du pédon
a- tion de la substance cérébrale (écorce, faisceaux blancs, même noyaux opto-striés) ; encéphalite ordinairement limitée
d petites avec chromatolyse et même achromatose, homogénéisation du noyau et perte des prolongements ; plus tard, destruc
oyers de ramollis- sement siégeant dans la partie antéro-externe du noyau et intéressant le bras antérieur de la capsule
que la cavité de l'un des foyers traverse, en passant de la tête du noyau caudé à celle du noyau lenticulaire. Présence m
es foyers traverse, en passant de la tête du noyau caudé à celle du noyau lenticulaire. Présence multiple et bilatérale de
u'on le sait. dans la chromatolyse périnucléaire avec émigration du noyau . Les nerfs périphériques des membres inférieurs
arquée du corps cellulaire, cbromatol3·se, perte et déplacement des noyaux , atrophie et absence d'un certain nombre de deu
nce grise dans différentes régions des hémisphères céré- braux. Les noyaux centraux peuvent être frappés de la même . ré'é
étage serait formé par les masses grises du mésocéphale (cervelet, noyau rouge, masses grises du pont, noyaux centraux),
rises du mésocéphale (cervelet, noyau rouge, masses grises du pont, noyaux centraux), dont nous connaissons et des voies c
mentaux : forme globuleuse de la cellule, migration périphérique du noyau , décoloration centiale de la cellule. Ce qui nous
euse de la cellule, la chromatulyse et la migration périphérique du noyau . Des projections successives des prépara- tions
ar l'auteur, à des foyers lacunaires siégeant de préférence sur les noyaux gris et très souvent conco- mitants de lésions
t qui sont constituées par un corps cellulaire de forme typique, un noyau et plusieurs prolongements, lesquels REVUE D'AN
o- nistes ne soit éveillée. G. D. LXXI. Cellules nerveuses à deux noyaux ; par Sano. (Journ. de Nets- rologie, 1901, n° 2
se rallie à la nouvelle théorie de van Gehuchten, qui fait jouer au noyau rouge le rôle excitateur qui, dans la théorie d
s seconds d'origine sous-cor- ticale, probablement mésencéphalique ( noyau rouge). L'auteur admet en outre que dans le réf
escence partielle du corps restiformé, par l'intégrité relative des noyaux gris centraux ; c'est une atrophie primitive dé
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Étude sur l'action du gelsemium sur les noyaux des nerfs cérébraux moteurs; par R.-H. \1'mTemn
semium déterminent la chromatolyse des cellules qui constituent les noyaux des nerfs moteurs cérébraux; 2° les altéra- tio
- des ganglions sen- sitifs, par Luzaro, 23 ? ner- veuses à deux noyaux , par Sano, 525. Cépiulées et intoxications, p
l.er, 531. Gelsemium, Action du sur les 550 TABLE DES MATIÈRES. noyaux des nerfs moteurs, par Whitehead, 529. Gliome
96 (1934) Oeuvre scientifique
e lésion périphérique de celle qui est causée par une altération du noyau d'origine de ce nerf; dans celle-ci, en effet,
d vers le côté de la paralysie, ce qui tient sans doute à ce que le noyau de la sixième paire fournit des fibres nerveuse
e de surré- flectivité a été souvent notée C) et où les lésions des noyaux gris centraux sont assez communes. Mais, dans l
; il est fort possible qu'elle soit causée par une altéra- tion des noyaux gris centraux sans participation du système pyram
e dans l'autre. Le centre de cette activité a pour siège unique les noyaux spinaux, en ce qui concerne les fléchisseurs; l'a
NSE 1,51 appareil réflexe dont le centre occupe le mésocéphale, les noyaux para- cérébelleux probablement (centre des réfl
ion occupant une des parties de l'arc réflexe ayant pour centre les noyaux paracérébelleux détermine une paraplégie spasmo
paralysie faciale dite périphérique, dépendant d'une altération du noyau du nerf facial ou du tronc qui émane. Si donc cet
terait pas à admettre, pour les motifs précédemment énoncés, que le noyau , ou la portion intra-bulbaire du nerf facial es
l diagnostic. N'y aurait-il pas lieu de supposer par exemple que le noyau ainsi que le ÉLECTROLOGIE n3 nerf facial à so
ais il est peut être plus simple de penser que la lésion atteint le noyau lui-même ou le nerf à son origine, mais qu'en r
assique, sont, selon toute pro- babilité, liés à une altération des noyaux gris centraux, et il y a tout lieu d'admettre q
tend à admettre, comme on le sait, que cette lésion siège dans les noyaux gris centraux. IV DE LA DÉGÉNÉRATION ET DE
lleux inférieur et les voies vestibulo-cérébelleuses pour gagner le noyau dentelé. La limite supérieure de ce foyer répon
mergence du trijumeau ; sa limite inférieure se trouve au niveau du noyau para-olivaire interne. Cette lésion présente, dan
x inférieur du même côté; 2° Interruption des fibres provenant du noyau de von Monakow, contingent bulbaire du même péd
xta- olivaire gauches ; 4° Destruction de l'olive bulbaire et des noyaux juxta-olivaires dont les fibres constituent la
aire, ainsi que des fibres qui éta- blissent une connexion entre le noyau de Deiters et le vermis. Il n'y a pas de foyer
es formations olivaire et justa-olivaire droites et des lésions des noyaux du pont à droite. La pureté et l'intensité de
rect, qui passe très tôt en arrière, paraît lui avoir échappé ; les noyaux situés dans le faisceau latéral du bulbe sont n
la partie inférieure du noyeau externe, au-dessous et en dehors du noyau médian, dans lequel elles pénètrent en grand no
e jusqu'à quelques milli- mètres au-dessus du point où disparaît le noyau médian, puis toute dégénérescence cesse, et nou
F. Foyers de ramollissement. Il Nerf intermédiaire de Wrisberg. NC. Noyau cunéiforme du bulbe. ND. Noyau de Deiters. NG.
Nerf intermédiaire de Wrisberg. NC. Noyau cunéiforme du bulbe. ND. Noyau de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau d
Wrisberg. NC. Noyau cunéiforme du bulbe. ND. Noyau de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau de la 5° paire. NXII. N
forme du bulbe. ND. Noyau de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau de la 5° paire. NXII. Noyau de la 12' paire. OG
de Deiters. NG. Noyau grêle du bulbe. NV. Noyau de la 5° paire. NXII. Noyau de la 12' paire. OG. Fibres olivo-cérébellcuses
astrique. de suivre les fibres dans leur entre-croisement jusqu'aux noyaux d'origine (Goll, Burdach, trijumeau). Le ruba
ivant les auteurs, proviendrait en partie du cervelet, en partie du noyau de Deiters. Au-dessus des foyers on trouve à la
ion postérieure de cette substance réticulée, pour pénétrer dans le noyau de Deiters où elles s'arrêtent. Nous supposons qu
e dégé- nérescence centripète du faisceau descendant, originaire du noyau de Deiters, plutôt que de fibres ascendantes ve
tôt que de fibres ascendantes venant de la moelle et destinées à ce noyau . Il existe, en outre, d'autres fibres dégénérée
jusqu'à l'extrémité supérieure du faisceau, sur la face interne du noyau rouge. Enfin nous arrivons à la dégénérescence
yer sous la forme d'une fente un peu pigmentée à la face externe du noyau lenticulaire. On a noté de plus l'existence de
laires y sont presque absents; par place seule- ment on aperçoit un noyau allongé accolé à une fibre. En certains points le
an Gieson révèle une infiltration cellulaire considérable formée de noyaux ronds s'insinuant entre des mailles conjonctives
e de la pie-mère fortement irritée; Cio, couche interolivaire; XII. noyau de l'hypoglosse. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 31g
é- rescence hyaline. Les cellules sont vacuolisées et pourvues d'un noyau volumineux. » Le 1) Géraudel estime qu'il s'agi
la lésion pyramidale. D'autre part, lorsque l'on se rappelle que le noyau du jambier antérieur se trouve au niveau du qua
d'admettre que l'hémispasme est dû dans ce cas à une irritation du noyau du facial ou du nerf dans son trajet bulbaire.
rement pour cause une perturbation directe du nerf facial ou de son noyau , ou bien ne peut-il pas avoir une autre origine C
le reçoivent des fibres sensitives du trijumeau qui transmettent au noyau de ce nerf les impressions reçues ; celui-ci les
nerf les impressions reçues ; celui-ci les communique à son tour au noyau de la VII" paire, qui envoie la décharge aux musc
adies nerveuses, r8g5, p. 200. 442 AFFECTIONS DES NERFS dessus du noyau facial, telle qu'une lésion corticale, puisse pro
engendré que par une perturbation directe du nerf facial ou de son noyau d'origine. Il serait alors rationnel d'applique
dans chaque fibre, les champs de Cohnheim sont peu apparents et les noyaux situés, dans la plupart des fibres, à la périph
abondante, les champs de Cohnheim sont bien plus apparents ('), les noyaux plus nombreux et ils occupent dans beaucoup de
97 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tuméfié. d, Tubes nerveux vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau ; à prolongements multiples. c, Substance vaguem
î, Verick. Ocul. 2 Nachet). La plupart de ces cellules sont sans noyau ; elles sont nombreuses, disséminées; situées au
cervicale de la moelle, de la substance noire du pédoncule et du noyau rouge de la calotte (de Stilling) ; atrophie de l
des olives. Intégrité du faisceau longitudinal postérieur et des noyaux des nerfs crâniens. 2° Le second chapitre, inti
recherches sur la réaction liislocliimique des cellules et de leurs noyaux Dia pièces provenant d'encéphales mutilés (vivi
de destruction granuleuse, plus loin des cellules privées de leurs noyaux , plus loin encore, en de» endroits qui paraissent
n de» endroits qui paraissent normaux, des cellules munies de leurs noyaux , mais solubles com- plètement et facilement dan
ion étendue du cerveau, interrompant les tractus qui se rendent aux noyaux bulbaires. (Voy. le fait de Jolly par sclé- ros
u voisi- nage des vaisseaux. On trowa encore un petit foyer près du noyau du facial. Intégrité complète des noyaux de t'h
core un petit foyer près du noyau du facial. Intégrité complète des noyaux de t'hypogtosse, du nerf pneuuto-gastriquc,du g
re rattachés à un foyer prolubérantiel (altération unilaté- rale du noyau de la pyramide ; myélite parenchymateuse de la
ssif, très lent, agissant par poussées, et siégeant au voisinage du noyau de l'oculo-moteur commun. 11 semble, dans les t
onc du cerveau. La région optcco-nucléo-lenticulaire et celle des noyaux lenticulaires et caudés sont elles-mêmes sectionn
lions car- diaques et l'atrophie avec dégénérescence pigmentairedes noyaux bulbaires du vague et des noyaux vaso-moteurs.
avec dégénérescence pigmentairedes noyaux bulbaires du vague et des noyaux vaso-moteurs. Dans le traitement, l'auteur reco
la protubérance. Un foyer ancien d'itemorrhanie situé en dehors du noyau lenti- culaire, coupe le carrefour sensitif en
fiers postérieurs de la capsule interne et la portion attenante du noyau lenticulaire ont une teinte jaune brun(F ? 3).
ous de laquelle se remarque quelques petites cloisons la reliant au noyau extra-ventriculaire (la capsule externe et l'av
ls, se rend à Anvers. La zone entière dont Gheel est le pivot, le noyau , comprend z10,000 habitants catholiques, trouva
La commune totale de Gheel est divisée en trois sections dont le noyau est Gheel. Deux sections au nord sont séparées l'
à l'existence, dans l'espèce, d'un état d'excitation chronique des noyaux moteurs des cornes antérieures grises. Présen
e doigts du côté droit sont le siège de vésicules grosses comme des noyaux de cerise, qui crèvent et laissent derrière elles
rémie corticale très prononcée; le tissu interstitiel est rempli de noyaux qui, pour 1 Voy. Archives de Neurologie Revues
en relation avec les vaisseaux néoplasie vasculaire hypergenèse de noyaux ). Une troisième série comprend les cas rares à
ellules araignées nombreuses et très développées, prolifération des noyaux , hyperplasie vascu- laire) ; en un mot, il y a
méfié. , d, Tubes nerveux vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau , à prolongements multiples. c, Substance vaguem
7, Verick. Ocul. 2 Nachet). La plupart de ces cellules sont sans noyau ; elles sont nombreuses, disséminées; situées au
C, cops calleux. V,vrntricu)elaté- ral. C 0, couche optique. N l', noyau intra-ventriculaire du corps strié. CI, capsule
noyau intra-ventriculaire du corps strié. CI, capsule interne. NE, noyau extra-ventriculaire du corps strié. L7, lobule
corps calleux. - C C, corps calleux. V L, ventricule latéral. -N V, noyau intra-ventriculaire du corps strié. - C 0, couc
oyau intra-ventriculaire du corps strié. - C 0, couche optique. NE, noyau extra ventriculaire du corps strié. CI, capsule
98 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
, isolés ; ils offrent une grande mobilité. Ils-ne constituent pas de noyaux et ne possèdent pas de noyaux ; leur nombre est a
nde mobilité. Ils-ne constituent pas de noyaux et ne possèdent pas de noyaux ; leur nombre est au moins égal, et souvent supér
précédents, renferment en outre, de distance en distance, des amas de noyaux du sarcolemme. On rencontre, enfin, çà et là un t
alion : çà et là quelques gaines du sarcolemme renferment des amas de noyaux . Ces faisceaux primitifs atrophiés sont séparés l
ogiques de la myélite aiguë avec multiplication des myélocyles et des noyaux des gaines vasculaires, telle, en un mot, qu'elle
nt normaux ; on distinguait le cylindre-axe entouré de myéline et les noyaux delà gaine de Schwann. Sur des coupes horizonta
à l'état normal. Ces tractus étaient renflés çà et là par des amas de noyaux ; ils se coloraient vivement par le carmin. Ce fai
coupe, sont composées de phosphate, aussi elles sont molles, mais le noyau est très-dense et est formé d'urate. Mon but, e
dégénérescence diffuse et plate du péritoine. A part quelques petits noyaux dans le foie, tous les viscères étaient sains, ca
ivaires. Le protoplasma est également refoulé à la périphérie avec le noyau , et toute la cellule se trouve convertie en une v
es capsules de cartilage arrondies, contenant clans leur intérieur un noyau très-fortement coloré par le carmin. — Absence co
espacées et le processus irritatif est peu marqué; très-peu ont leur noyau en voie de prolifération. Dans d'autres îlots les
st tellement abondante, que quelques capsules contiennent cinq ou six noyaux et même plus. Vers la périphérie de tous ces no
figurés. Les parois tubulaires épaissies offrent en grand nombre des noyaux allongés. Entre les tubes séparés par une étendue
nctif en voie de prolifé-ration et représenté par une accumulation de noyaux . En certains points, les altérations ont déjà pas
a substance envahie se présente, à la coupe, sous l'as-pect de petits noyaux , irrégulièrement sphériques, de la grosseur d'un
ès-grêle à d'autres cellules ou à des corps sphé-riques présentant un noyau en voie de scission Ces corps sphériques sont t
rolongements multiples et leur aspect irrégulier; elles présentent un noyau très-épais sans nucléole: cellules à prolongement
artie arrondie : cellules en massue. Ces dernières présentent un beau noyau dans leur intérieur ; leurs prolonge-ments arrête
s cas, il fut impossible de découvrir paries réactifs colorants aucun noyau dans ces masses d'aspect épithélial. Ne serait-
fait que nous avait enseigné M. Charcot, à savoir qu'il y avait deux noyaux d'origine du nerf facial, l'un supérieur, et l'au
qu'on observe dans les autres paralysies faciales. C'est donc bien le noyau supérieur du facial, voisin du noyau d'origine du
ies faciales. C'est donc bien le noyau supérieur du facial, voisin du noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe, qui a
asses blanchâtres ou jaunâtres, de volume variable, depuis celui d'un noyau de cerise jusqu'à celui d'une petite noix. On y v
esurent environ neuf à douze millimètres de diamètre et renferment un noyau ovoïde muni d'un nucléole. « En résumé, cette t
ersalement, séparées par quelques rares fibres élastiques. Autour des noyaux des fibres musculaires on remarquait quelquefoi
ent aux parois et présentant, à un grossissement convenable, quelques noyaux , quelques corps fusi-formes, traces d'un commence
en général peti-tes, dentelées sur leurs bords ; elles contiennent un noyau , avec un nucléole brillant, parfois vésiculeux et
s embryonnaires ; 3° une couche périphérique formée principalement de noyaux et de cellules embryo-plastiques entre-mêlés de c
99 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
acentral est impossi- ble à découvrir même a l'état de vestige. Les noyaux gris sont bien développés mais il existe un pet
pés mais il existe un petit foyer destructif à la partie moyenne du noyau lenticulaire, paraissant inté- resser la capsul
us la forme d'un petit bourgeon seléreux, gros comme un pois. Les noyaux gris n'ont rien de particulier. En somme la scl
fiées, rondes, vésicu- leuses et possédant presque toutes plusieurs noyaux : c'est de la pzetwzonic épi.tl7éliale. - Sur d
ée et grisâtre où l'hé- matoxyline colore a peine çà et là quelques noyaux . Ce sont ces foyers de nécrobiose, situés autou
emière couche de Deiters est étroite, elle offre beau- coup plus de noyaux colorés qu'a l'état normal, ainsi que la cou- c
plus leur ordination caractéristique; on ne voit due de nombreux noyaux sphériques, appartenant à de petites cellules. La
oit une quantité beaucoup plus consi- dérable qu'à l'état normal de noyaux très petits, sphériques, répondant à des cellul
aissant un assez grand espace entre elles ct la névroglie, dont les noyaux sont peu abondants. Dans la région des grandes
du péritoine pariétal, il y a un petit ganglion de la grosseur d'un noyau de cerise. Tous les ganglions rétro-sternaux sont
nombreuses, variant de la grosseur d'un grain de mil, à celle d'un noyau de cerise. A la coupe, la rate est très congest
frontale. Sur cette partie de la circonvolution existent plusieurs noyaux blan- châtres, contigus, formant une masse d'un
essus du foyer que nous venons de décrire, on trouve un autre petit noyau de 2 à 3 millimètres de diamètre faisant sailli
le, sur la première circonvolution frontale, se voit un autre petit noyau d'une forme blanchâtre de deux mil. de diamètre
bercules. Les circonvolutions sont fermes, sans sclérose ; rien aux noyaux gris. Plusieurs coupes pratiquées sur les deux
A la péri- phérie, dans la substance corticale, se voient d'autres noyaux tuberculeux, les uns absolument caséifiés, les
e son maximum d'intensité. La substance corticale était parsemée de noyaux tuberculeux et le reste du rein était transform
100 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Carpenter) n'autorise à y localiser les centres de perception. Les noyaux qu'on y a minu- tieusement décrits existent peu
optique avant de gagner la couronne rayonnante. 11 semble que ce noyau gris soit pour' ces fibres une sorte de centre de
détache du pédoncule cérébral, derrière l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire, pour se diriger aussitôt après en
cée pour rappeler, à s'y méprendre, celle de la substance grise des noyaux centraux ou des circonvolutions, si bien que au
ompression du faisceau par une lésion de voisinage (couche optique, noyau lenticulaire), et, comme une compression quel-
ans le cas de M. Pierret (Soc. auat., 1874) la lésion occu- pait le noyau extra-ventriculaire du corps strié. La capsule ex
qu'elle était dans' celui de M. Pierret, c'est-à-dire intéresserle noyau lenticulaire et les fibres les plus externes de
cellules. Les cellules nouvelle- ment formées contenaient un grand noyau et un protoplasma 90 revue de pathologie nerveu
ns les cellullcs nerveuses de la moelle allongée et surtout dans le noyau du pneumogastrique et du spinal. Parfois il a e
sie faite plus tard fit voir un foyer hémorrhagique situé dans le noyau lenticulaire droit et dont une des parois attenai
juillet 1880), serait pathognomonique d'une lésion liomolatérale du noyau de l'oculo-moteur externe dans le pont de Varole.
cles de 1'oeil ne signifie pas nécessairement qu'il y ait lésion du noyau de l'oculo-moteur externe; un foyer peut existe
yer peut exister dans la protubé- rance, à cette place, sans que le noyau du nerf en question soit directement atteint.
ture de l'étage inférieur du pédoncule cérébral et de la lamelle du noyau lenticulaire. (Analyse, t. lit, p. 346.) La que
tiléiiaj'et ? 1 ? 1 n Il ,'h li 1411, il, Il 1-1 In, ,- ? riches en noyaux , parcouru de grands et nombreux vaisseaux 5 en-
iam'ents qui 'c'ouraient'paraHelement à la surface de la coupe, les noyaux paraissaient plus rares'parce qu'ils étaient di
plet paraissaient plus nombreux, faute d'é perspec- live ? Tous ces noyaux étaient arrondis, légèrement 'ovalairb's et'res1
ions du côté sain avec leurs cellules multipolaires radiés et leurs noyaux ronds pour la plupart. Sur la figure 9 les gang
que celui des fibres transformées de la substance grise et dont les noyaux ont, sans exception, la forme ovalaire. f La pl
pe- lotons entremêlés (coloration au violet de gentiane). Fig. 5. Noyau de consistance osseuse constitué par des concréti
divisé les artères nourricières en artères médianes ou artères des noyaux bulbaires, et en artères radiculaires. Les premiè
ns le bulbe en suivant les racines : elles arrivent ainsi jusqu'aux noyaux . Il en est de même pour les artères nourricière
et du cerveau, des circonvolutions et des sillons non moins que des noyaux gris centraux. Par des mensurations nombreuses
pe- lotons entremêlés (coloration au violet de gentiane). Fig. 5. Noyau de consistance osseuse constitué par des concréti
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