que les nerfs des extrémités supérieures soient comprimés tantôt au niveau des trous de conjugaison, tantôt à leur passage

ouverte dans l'espace épidural : le foyer tuberculeux remplit à ce niveau la moitié antérieure du canal rachidien d'une m

pas d'adhérences avec les méninges molles. La moelle est atteinte, au niveau de la compression, de myélomalacie complète ave

du rachis sont difficiles et douloureux ; douleur à la pression au niveau des apophyses épineuses de la région dorso-lomb

région dorso-lombaire, surtout XIIe dorsale et Ire lombaire ; à ce niveau , bande d'hyperesthésie cutanée en ceinture, haute

on ramollie, englobant les racines de la 7e à la 10e dorsale et, au niveau des 8e et 9e comprimant la moelle d'avant en ar

au des 8e et 9e comprimant la moelle d'avant en arrière, avec, à ce niveau , quelques adhérences entre la dure-mère et les

est rempli de matière caséeuse. La dure-mère est très épaissie à ce niveau et recouverte de pus caséeux. Le nerf sciatique d

ut. A l'autopsie, carie tuberculeuse de la 2a vertèbre dorsale ; au niveau des 28, 3e et 4a l'espaceépidural est occupé par

Vlle cervicales. Début d'abcès par congestion périverté- bral, à ce niveau : d'autre part, le pus caséeux se propage à la pa

quand la compression remonte jusqu'aux racines de l'hypoglosse, au niveau du trou occipital, il en peut résulter une atroph

, hypoesthésie remontant jusqu'au-dessous des seins et limitée à ce niveau par une ligne horizontale ; la sensibilité tactil

exes ; les contractions élec- triques sont normales, si ce n'est au niveau des muscles spinaux très dimi- nués vis-à-vis d

ver- saire. Fig. 4. Colonne lombaire. Tubéro- sités osseuses au niveau des disques. Nouvelle Iconographie DE la 3ALPÈT

pt à peine la direction générale de la courbe rachidienne ; au même niveau il y a une très légère déviation transversale et

;v LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 41 ne peut plus reconnaître si à ce niveau il y a eu des fractures ou des déchirures ligam

t atticulaire, l'allongement de la cavité cotyloide osseuse au même niveau , le tissu uniformément spon- gieux. - FIG. 2.

sage du ligament rond conservé, la partie fémorale se continue à ce niveau , plus forte à droite qu'à gauche, mais des deux c

maux des liga- ments antérieurs, ilio-fémoraux. Rien d'anormal au niveau du genou droit. , Cette nouvelle autopsie nous

tion du bourrelet cotyloïdien. Il y avait assurément des lésions au niveau des surfaces cartilagineuses, mais qui étaient

pourtour de la tête du fémur ; or il n'existe pas normalement à ce niveau de bourrelet fibro- cartilagineux, il n'existe

très marquée au niveau de la région dorsale moyenne,avec maximum au niveau des 7e et 8° vertèbres; la' ° colonne dorsale s

avec l'inférieure. La presque totalité des lésions portent au même niveau ,entre la 6"et la 12e ver- tèbres dorsales; elle

nte des deux côtés, encadre et arrondit la face, et vient mourir au niveau de l'arête du maxillaire, qu'elle efface. Les sei

ses taches plus claires, rouge vif. La température de l'oedème au niveau du dos dn pied est seulement de ? c'est-à-dire,

leur contenu, ce qui semble indiquer qu'il a. existé autrefois à leur niveau un oedème chronique aujourd'hui disparu. ' Le

imite, une sorte d'arête... Ces arêtes sont surtout accen- tuées au niveau des troisième circonvolution temporale, troisième

ur abandonne un grand nombre de fibres. Dans le lobe temporal et au niveau du segment rétro-lenticulaire de la capsule inter

- vre en dehors. Le faisceau longitudinal commence à se dessiner au niveau du noyau amygdalien et de la circonvolution du

nce corticipète qui se poursuit jusque dans le lobe occipital. Au niveau du carrefour ventriculaire les radiations optique

nous démontre que la nature de. ses fibres varie sensiblement d'un niveau à l'autre. En avant il contient des fibres qui

lui, la partie dorsale ou supé- rieure de ce faisceau renferme, au niveau des ganglions de la base, des fibres de project

s la circonvolution de l'hippocampe, même dans la corne d'Ammon. Au niveau du pôle temporal d'autres fibres s'irradient da

longitudinal dans la partie supérieure de son segment vertical (au niveau des ganglions de la base) proviennent, selon St

e les dix premières dorsales et le sommet de la courbe se trouve au niveau delà cinquième. Il existe en même temps une cyp

apulum est à 4, 5 centimètres delà ligne des apophyses épineuses au niveau de la racine de l'épine, à 7 centimètres au nivea

rieure et la région lombaire. Le rachis est extrêmement cambré à ce niveau ; il y a une lordose évidente. La flèche de la s

st excavé, et le triangle brachio- thoracique droit très élargi. Au niveau du thorax, il est peu de chose à noter. Il n'y

vant. La musculature gé- nérale est bien développée, plutôt trop au niveau des fesses, qui sont très proéminentes, et au n

plutôt trop au niveau des fesses, qui sont très proéminentes, et au niveau des cuisses et des jambes, où les reliefs muscu-

u s'accuse par un arrêt de développement en volume, même visible au niveau du pied ; une coxalgie s'accompagne d'une dimin

des pieds présentent un arrêt de dévelop- pement surtout marqué au niveau des dernières phalanges. Mais ces der- nières e

r- mal aussi bien rouge que blanc. , Il n'existe pas de toril) au niveau des vaisseaux du cou. L'auscultation pul- monai

vaisseaux du cou. L'auscultation pul- monaire révèle l'existence au niveau du sommet droit d'une bacillose à la phase de d

du nanisme ; son système pileux, il est vrai, est peu développé au niveau du pubis et des aisselles ; ses os sont assez g

musculaire est d'ailleurs peu développé. * A part des douleurs au niveau des jambes, douleurs assez vives mais diffuses,

ance, mais il en est tout autrement dans le lobe temporal, surtout au niveau de sa partie moyenne où l'on aborde le segment

ouche sagit- tale externe du lobe occipital. Plus loin encore, à un niveau antérieur au corps genouillé externe, la couche

sagittale ex- terne varie continuellement dans sa constitution d'un niveau à l'autre et que, prise dans son ensemble, elle

ue central. Fv : faisceau de Vialet. Fic. 2. - Coupe verticale au niveau du carrefour ventriculaire. Cg : cingulum. Fo

deux tiers postérieurs de la première circonvolution temporale ; à ce niveau la lésion respecte la corticalité mais atteint

puis se cantonne à l'insula de Reil sur Fio. 3. - Coupe frontale au niveau du corps genouillé externe. FA : faisceau arqué

ommissure antérieure grandement dégénérée se dessine net- tement au niveau du noyau lenticulaire. La partie antérieure du lo

multiples prolongements s'étendent jusqu'à l'épendyme et enfin, au niveau du carrefour ventriculaire et immédiatement en

e au superlatif. Il n'existe pas de lésion du lobule fusiforme à ce niveau et la décoloration des circonvolutions inférieure

erne, mais ce noyau est très peu touché. D'autres foyers siègent au niveau du corps du noyau caudé et du pied de la couron

III, 1,2,3). Dans l'hémisphère gauche il existe un foyer profond du niveau du pli courbe : Nous commencerons par décrire l

le externe de cette région) est en grande partie normal, excepté au niveau du pli courbe où il est directe- ment touché pa

; elle ne dépend pas de lésions sur place, mais du foyer profond au niveau du pli courbe et des lésions corticales du lobu

inférieure du lobule lingual). Plus en avant (Planche XXVIII, 2) au niveau du carrefour ventriculaire, la lésion de la fac

lésion. Cela tient à ce que ces fibres sont lésées directement à un niveau antérieur à celui-ci. Les radiations thalamiques

bord supérieur du corps genouillé externe est atteint ; c'est à ce niveau que siège le maximum de la lésion de ce noyau.

couche sagittale externe de lobe tem- poral. Malheureusement, à des niveaux postérieurs, cette dégénérescence se confond av

(La partie inférieure de cette circonvolution est encore lésée à ce niveau et ne redevient normale qu'en avant du corps geno

XXXII, 17, 18). La figure 4 représente une coupe frontale prise au niveau du pôle occipital, les lésions sont anciennes e

ie interne de ce faisceau a disparu avec les autres fibres situées au niveau de la scissure calcarine, parce que cette régio

retrouve pas cette dégénérescence de la couche sagittale externe au niveau du carrefour ventriculaire. c) Enfin les lésions

e des régions antérieures. C'est donc qu'il existe autre chose à un niveau antérieur quelconque. Nous verrons, en effet, q

aire occupe le segment horizontal de la couche sagittale externe au niveau même de la terminaison antérieure du ramollisse

rieure cette couche contient un bon nombre de fibres saines. A un niveau plus antérieur (Planche XXXII, 18), un nouveau fo

endante, il n'existe aucune lésion corticale ou sous-corticale à ce niveau . Une strie dé- générée traverse le champ de Wer

sagittale externe. En avant, aucun nouveau foyer ne se présente au niveau du lobe temporal. La décoloration de la substan

arrière du carrefour ventriculaire (Planche XXRIII,49),on aborde le niveau du maximum de la lésion. Cette coupe intéresse

a déter- miné une pâleur appréciable de la substance profonde. Au niveau du carrefour ventriculaire (Planche XXXIII,20),no

est dégénérée, car ces fibres sont directement inter- rompues à des niveaux antérieurs ; cette zone renferme donc un certain

qui proviennent surtout de la deuxième circonvolution temporale. Au niveau du gyrus supramarginalis, la dégénérescence occ

eur, ont été intéressées par le ramollissement. Nous avons vu qu'au niveau du pli courbe, la lésion s'étend dans la profon

rs postérieurs de la troisième circonvolution temporale. Excepté au niveau du corps genouillé externe où un prolongement s'é

ns la région du carrefour ventriculaire, qui n'augmente guère qu'au niveau du pul- vinar et disparaît presque aussitôt.

lement gêné par la coexistence de foyers surajoutés. En avant, au niveau du corps genouillé externe, un prolongement a int

) qui proviennent des circonvolutions inférieures et externes. Au niveau du carrefour ventriculaire (Planche XXX, 8) la lé

-dessous du ventricule. La coupe suivante (Planche XXX, 9)'passe au niveau du pulvinar et du seg- ment rétro-lenticulaire

lité. La couche sagittale interne est entièrement dégénérée, car à ce niveau les radiations thalamiques occipitales ont déjà

y a là rien d'étonnant puisque le ramollissement s'étend jusqu'à un niveau antérieur au corps genouillé externe et que c'e

appréciable du segment horizontal de la couche sagittale externe au niveau du pôle temporal, car ce segment ne renferme pl

du splénium. Un petit foyer de désinté- gration lacunaire siège au niveau du pulvinar et atteint légèrement le corps geno

- ment intéressant. La première coupe (Planche XXXI, 10) prise au niveau du pulvinar, in- xix 13 194 LASALLE-ARCHAMBAU

iennent de la deuxième temporale, elle -même totalement détruite à un niveau légèrement postérieur.La couche sagittale inter

la première tem- porale à former l'énorme zone dégénérée qui, à ce niveau , passe dans le pulvinar de la couche optique. O

ccipital ne renferme que des fibres géniculo-calcariniennes. Or, au niveau que nous étudions, ces dernières fibres forment

vue pratique, il n'est pas inutile d'établir cette délimitation au niveau des couches sagittale voisines. Nous avons dit

le segment horizontal de la couche externe est peu considérable au niveau du pulvinar, et que, par contre, le cingulum est

naissent de la partie postérieure du corps genouillé externe. A ce niveau les fibres de ce faisceau occupent le segment hor

XXXI,12) intéresse à peu près les mêmes circonvolutions et passe au niveau du corps quadrijumeau antérieur et des corps ge

externe que présente la première coupe que nous avons étudiée. Au niveau du pôle temporal, tout rentre dans l'ordre et l'o

bres corticifuges et que sa constitution se modifie sensiblement au niveau du lobe temporal ; c'est-à- dire qu'elle contie

ons occipitales, nous n'avons jamais observé de dégénéres- cence au niveau du pied du pédoncule cérébral ; par contre nous a

considéré propre à ce dernier lobe ; nous croyons même que c'est au niveau du carrefour ventriculaire, en plein lobe tempo

ans le cerveau normal ; il forme une bonne partie du tapetum, et au niveau du lobe fronto-pariétal, il est représenté par

t de cette énorme lésion, on constate, à un point intermédiaire, au niveau du corps ge- nouillé externe, que le faisceau l

partie dans la couche sagittale interne, elles s'enchevêtrent à ce niveau avec les fibres du faisceau de Türck et avec les

la- miques des régions occipitale, pariétale et temporale qui, à ce niveau , passent dans le pulvinar de la couche optique.

yonnante, ne reconnaît aucune disposition nettement déterminable au niveau des ganglions de la base ; il est en effet dissoc

obe temporal et voyons quelle disposition il affecte aux différents niveaux . Sur des coupes vertico-transversales, ce faiscea

de fibres de nature essentiellement différente (fig. 1 et 6). Au niveau du carrefour ventriculaire, de cette partie du lo

nous nous entretenons. Dans la partie moyenne du lobe temporal, au niveau du pulvinar, une grande partie des fibres du fa

rétro-lenticulaire de la capsule interne.. On pourrait dire qu'à ce niveau les fibres du faisceau optique central se divis

n nombre d'erreurs devenues classiques. En décrivant ce faisceau au niveau du carrefour ventriculaire, nous avons dit que se

la région temporale postérieure, puisque les fibres affectent à ce niveau une direction antéro-postérieure, cet entrecroi

sent mainte- nant au-dessus du corps genouillé externe. Enfin, au niveau du bord antérieur de ce noyau, c'est le faisceau

fibres dont parle Dejerine, fibres qui s'infléchissent en dedans au niveau des première et deuxième circonvolutions temporal

d'exposer sur l'entrecroisement des fibres sagitta- les, surtout au niveau du segment rétro-lenticulaire de la capsule inter

d'as- sociation de la région. En parlant de ce faisceau optique au niveau du lobe occi- pital, nous avons insisté sur la

nce toutefois qu'en raison de la configuration de l'hémisphère à ce niveau , le problème déjà difficile dans le lobe occipi

e vérifier ces relations du cingulum. Or, la même chose se passe au niveau du lobe occipital,' le faisceau transverse de S

ro-postérieure comme celles du faisceau optique central ; mais à ce niveau , en raison de l'interposition des glanglions de l

ngulum. (fig. 2 et 7). La figure 2 représente une coupe frontale au niveau du carrefour ventricu- laire. Il s'agit d'un ra

ieure de la frontale ascendante. Sur cette coupe frontale, prise au niveau du genou du corps calleux, on constate également

la largeur de la partie supérieure de l'hémisphère, . et cela à des niveaux où le cerveau atteint son maximum de développemen

istons sur leur indé- pendance dans le lobe temporo-occipital. Au niveau du corps genouillé externe, les fibres du faiscea

es compacts le long de la paroi ventriculaire externe, et enfin, au niveau du globus pallidus du noyau lenticulaire, elles

au-dessous du ventricule ; ces fibres d'association constituent, au niveau du passage de la commissure anté- rieure sur la

ise entre le pôle occipital et les ganglions de la base ; enfin, au niveau du carrefour ventriculaire, les ra- diations th

aire lombaire et trois coupes d'un nerf normal pratiquées aux mêmes niveaux . En a, on voit' que le nerf radiculaire présente

pas d'autres lésions nerveuses, visibles par la méthode de Pal, au niveau de la Ire sacrée,qu'une sclérose des faisceaux py

serait intéressant de savoir comment se comportent les fibrilles au niveau de ces gonflements, mais mes préparations ne se s

s plus discrète et limitée nettement à la portion qui est située au niveau et au- dessous du nerf radiculaire. Au-dessus d

es nerveuses. Parmi ces trois modes d'origine, celui qui se fait au niveau du glomérule paraît être le plus fréquent; la n

ncert, il arrive parfois que chacune d'elles porte des boules à des niveaux qui se correspondent. ( Enfin il faut mentionne

s établissent. La présence, dans les ra- cines antérieures, au même niveau , d'une régénération de fibres à myé- FiG. 2. -

a ra- cine antérieure elle ne se rencontre, au débuldu tabes, qu'au niveau et au- dessous du foyer inflammatoire de la név

héma, Pl. XXXV, fig. 1. a', b', c', coupes du même , nerf aux mêmes niveaux dans le cas III (tabes incipiens). - Méthode de W

cumulation des massues de croissance au pôle supé- rieur ; a, b, c, niveaux des coupes représentées, Pl. XXXIV, fig. 1 (figur

on sacré. L'une d'elles termine une fibre dont on voit l'origine au niveau du glomérule d'une cellule. Noyaux des capsules d

anormal, sauf un durillon banal au gros orteil gauche. Il existe au niveau du frein du prépuce une cicatrice blanchâtre dont

ntimètres de circonférence, le gauche 34 centimètres seulement ; au niveau du plateau du tibia, à droite 36 centimètres, à g

une chute et tombe sur 284 KLIPPEL ET MAILLARD le bras droit ; au niveau du point contusionné se développe rapidement t

par les traces de l'ancien noevus pigmentaire auquel fait suite au niveau du pli du coude un noevus pilaire,et recouverts

petite noisette et disséminées sur le reste du corps, sur- tout au niveau du dos. Des troubles de la pigmentation : troub

ndemnes, il faudrait admettre que la lésion décrite par Nageotte au niveau du nerf radiculaire ne joue dans la production

- poser le détail de nos expériences et des constatations faites au niveau des différentes portions du système nerveux.

es fibres des deux variétés sur les coupes des deux cordons, il des niveaux correspondants. Le cordon sympathique droit (cô

lit nombre des fibres dégénérées. Faudrait-il donc admettre qu'à ce niveau , les fibres d'origine médullaire sont en majorité

rité de fibres normales. Ces fibres altérées se voyaient surtout au niveau du pôle médullaire, et on pouvait reconnaître qu'

s fibres intactes à cause de leur finesse, de leur rareté (surtout au niveau des dernières racines sacrées),et de ce fait au

uver dans la partie de la racine com- prise entre le ganglion et le niveau de la section. Il faudrait admettre que les fib

ntact (Thomas et Hauser) (2), quoique Stroebe et Chiari aient vu à ce niveau des fibres dégénérées rares, mais certaines, da

ntourent jamais de gaîne de myéline, et ne semblent pas dépasser le niveau du nerf radiculaire. En un mot, si nous compa

ces mêmes cordons dans le tabes. Il faut ajouter cependant qu'au niveau des plexus viscéraux, la lésion des nerfs sympa

n périphé- rique, c'est-à-dire, puisqu'il s'agit du sympathique, au niveau des plexus viscé- raux. Il semble donc exister

Peu importe en l'espèce que ces lésions méningées se localisent au niveau du nerf radiculaire transverse (Nageotte) (3),

cordons, mais nous ignorons si l'expéri- mentation reproduirait, au niveau des plexus viscéraux, les lésions qui s'y voien

trait une zone en trapèze dont le côté le plus large se trouvait au niveau du bord de la coupe, comprenant environ le sixièm

he. Il a été impossible de trouver des figures de dégénérescence au niveau du pôle périphérique du ganglion, où les fibres

ques et du cordon sympathique thoracique au-dessous et au-dessus du niveau opéré. Malheureusement, le cordon sympathique gau

péré. Malheureusement, le cordon sympathique gauche au-dessus de ce niveau avait été rendu inutilisable par un accident de t

chées par l'acte opératoire. Les cordons thoraciques, au-dessous du niveau opéré, ont été examinés par le même procédé. Le

ordon était sensiblement plus petit que du côté droit. Au-dessus du niveau opéré, nous n'avons pu examiner que le cordon'du

ation, mais un traumatisme involontaire de la moelle au- dessous du niveau d'origine dès racines sectionnées, a provoqué che

érescences dans la portion extradurale des filets ra- diculaires au niveau où sont accolés dans une gaîne commune les filets

sie. A l'examen anatomo-pa,tliologique on trouva : moelle petite au niveau de la partie supérieure et moyenne, épaississem

e, des membres supé- rieurs et du tronc ; elle est très émoussée au niveau des cuisses et disparaît totalement au niveau d

est très émoussée au niveau des cuisses et disparaît totalement au niveau des genoux. Même constatation pour la sensibilité

résente une desquamation par larges squames épaisses et cornées. Au niveau du talon gauche il y a une petite excoriation. L'

Tremblement intentionnel progres- sif. Difficulté des mouvements au niveau des membres supérieurs. Diminution de la sensib

es. Région olivaire inférieure du bulbe au-dessous de l'olive. A ce niveau toute la section transverse du bulbe est transf

ombre normal lorsqu'on compare ces coupes à d'autres faites au même niveau sur un bulbe normal. On peut dire la même chose

ntérieurs et postérieurs du bulbe et des noyaux de la XlIe paire.Au niveau de l'entrecroisement moteur n'existe pas une se

disparaître. Moelle au niveau de la 8° racine dorsale. - Jusqu'à ce niveau la moelle ne présente aucune gaine myélinique c

colorable par la méthode de Weigert et Weigert-Pal. A partir de ce niveau il n'y a plus que quelques fibres dans la parti

gment plus bas les rapports sont complètement invertis (fig. 8). Au niveau des 4° el 5" racines lombaires, les cordons antér

fois décrits dans la sclérose en plaque n'y sont pas évidents. Au niveau des plaques de sclérose il n'existe presque plus

mais, d'un autre côté, nous ne saurions assez insister sur ce qu'au niveau des plaques sclé- reuses l'identité est absolue

rvicale sans trouver la moindre trace d'une lésion quelconque. A ce niveau on constate une très légère raréfaction des fibre

it état de tissu sain dans la zone radiculaire interne (fig. 4). Au niveau des li'etl2° racines dorsales on observe seulem

périphérique des cordons antéro-latéraux (fig. 5). Au-dessous de ce niveau la moelle se présente absolument normale. Il su

peu plus épaisse qu'à l'état normal, surtout postérieurement et au niveau des foyers scléreux de la moelle sous-jacente.

partant des segments scléreux comme, par exem- ple, c'est le cas au niveau du segment de la 6e dorsale (fig. 5), présentent

ssement méningé surtout dans la partie postérieure de la moelle et au niveau des zones scléreuses. Plaques de sclérose dissé

eure. Le ruban de Reil est intéressé par l'hémorrhagie à droite. Au niveau supérieur de l'émergence du trijumeau, le tiers

s environ au-dessus de l'émergence du trijumeau. Son maximum est au niveau des fibres supérieures de ce nerf. Enfin, sur l

t une sorte de plateau saillant. Le maximum siège habituellement au niveau des articulations phalango-pha- langiniennes, p

culations des doigts. La lésion ne s'accompagne d'aucune douleur au niveau des jointures ; parfois il a existé quelques do

ur des extrémités ; épais- sissemenls péri-articulaires, surtout au niveau des articulations phalango- phalanginiennes et

tions phalango- phalanginiennes et phalangino-phalan; ettiennes. Au niveau des bords des phalanges (notamment au bord inte

et dans les diaphyses ; il parait y avoir raré- faction osseuses au niveau des épiphyses; et peut-être dans les diaphyses

ment de flexion ou de nodosités d'Heberden ; 2° Le maximum siège au niveau des phalanges, puis des phalangines, tandis que

sur la phalan- gette ; 3° Sur l'absence constante de douleurs au niveau même des articula- tions des doigts, qu'au cont

vre inférieure proéminente, le nez gros, large, légèrement épaté au niveau des narines, mais il ne présentait ni la macroglo

t la mort, dans une crise d'urémie. Cet acromégalique présentait au niveau du thorax la cyphose cervico- dorsale qu'il est

le de petit calibre tirée à 1.600 mètres'. Pas d'explosion d'os. Au niveau des orifices d'entrée et de sortie du pro- ject

Entrée au niveau de l'éminence pariétale gauche. Sortie à droite au niveau de la protubérance occipitale. Large incision

par la première. Le tissu embryonnaire, qui fait son apparition au niveau de la section s'accroît de plus en plus de tous l

lombaire et l'animal a été sacrifié 20 jours après l'opération. Au niveau de la section, on reconnaît une espèce de kyste

le et que nous retrouvons déjà à une certaine distance au-dessus du niveau de la section. Ces massues terminales se ren- c

ontrent aussi bien à l'extrémité des fibres du faiscean latéral qu'au niveau des cordons postérieurs, leur direction est tan

t serré. Ce réseau est très apparent dans les fibres épaisses et au niveau des plaquettes qui existent aux points de bifur

au niveau de sa partie moyenne là où pénètre le tissu graisseux au niveau d'une extrémité. Il rentre dans la cicatrice de

La partie moyenne de la cicatrice est excavée en entonnoir et à ce niveau on trouve quelques rares fibres à court trajet,

n peloton avant d'arriver la boule. Le contour de la cicatrice à ce niveau est excavé, sinueux, l'excavation pénètre l'extré

trémité du bout inférieur de la moelle, mais le tissu nerveux, à ce niveau , est altéré,assez souvent aréolaire ou cavitair

velles et surtout d'un nombre considérable de massues terminales au niveau ou tout près delà section, elles sont volumineuse

première vertèbre lombaire avec déplacement du corps de celle-ci, au niveau Fic.. 5. Coupe longitudinale de la racine posté

périeur et le bout supérieur tuméfiés. Les racines com- prises à ce niveau sont la cinquième lombaire et la première sacrée.

En effet, l'artériole dessinée ici présente une espèce de coude au niveau C et change de direction. Les fibres changent éga

La cicatrice intermédiaire de 1 cent. 1/2 environ qui s'est formée au niveau de la compression de la moelle a une constituti

ertains de ces cordons cellulaires dont nous venons de parler, Au niveau du bout supérieur de la moelle, là où il y a des

'autres fois, au contraire, réunies par deux ou trois, divergent au niveau du noyau qu'elles embrassent. Parfois les unes

isceaux sous-aponévrotiques est beaucoup moins dégénérée, mais à ce niveau , les fibres musculaires ne présentent plus l'as

e est un peu faible. A cause des progrès des troubles trophiques au niveau des mains, cet homme a dû quitter son travail d

ez bien conservée dans les différents segments des membres, sauf au niveau des mains qui sont le siège d'une atrophie très

veau des mains qui sont le siège d'une atrophie très marquée, et au niveau du pied droit. Amyotrophie. Aux membres supérie

on de la force musculaire dans le pied droit. Aucune amyotrophie au niveau du tronc ou de la face. Sensibilité. - il n'y a

et le pli de l'aine de chaque côté; l'anesthé- sie n'existe pas au niveau des bourses et, sur le tronc ou la face, on la

es bourses et, sur le tronc ou la face, on la constate seulement au niveau des plaques que nous décrirons tout à l'heure.

rosée sur la peau voisine, surtout après exposition à l'air, et au niveau desquels on observe la chute des poils et la di

yélie sont muets sur ce point. D'autre part, l'aspect de la peau au niveau des parties dé- pourvues de poils et anesthésiq

ostic, il faudrait dans les coupes d'un fragment de peau prélevé au niveau d'une des plaques d'anesthésie, rechercher le b

matoxylinique et dégé- nérées en partie. Il existe d'ailleurs, à ce niveau , une sclérose névroglique que nous avons pu met

Nulle sur les pieds et les jambes, elle commence à réapparaître au niveau des genoux, . à ce niveau la sensibilité tactil

s jambes, elle commence à réapparaître au niveau des genoux, . à ce niveau la sensibilité tactile est encore très diminuée,

de l'autre. Il exsste également un léger degré de leptoméningite au niveau des cordons postérieurs : la dure-mère ne prése

u des blocs de substance muscu- laire : la fibre prend parfois à ce niveau une coloration uniformément violette. Les fibre

rents que prend la racine antérieure suivant qu'on l'envisage à des niveaux plus ou moins éloignés de la moelle, la plus gr

tages ; des coupes longitudinales ont été également faites à divers niveaux . Elles ont été colorées par la méthode de Weigè

et le diamètre antéro- postérieur des cordons antéro-latéraux à ce niveau est augmenté ; en tout cas les fibres des racin

scence est plus marquée vers la ligne médiane ; il ne persiste à ce niveau qu'une très mince bande de fibres le long du sept

existe entre le cordon de Goll et le cordon de Burdach que dans les niveaux sous-jacents de NÉVRITE INTERSTITIELLE HYPERTRO

embres inférieurs. Sensibilité tactile abolie complètement jusqu'au niveau du tiers supérieur de chaque jambe ; réapparaît p

a face dorsale jusqu'au niveau de l'articulation tibio-tarsienne.A ce niveau elle commence à réapparaître un peu et augmente

plantaire et dorsale des pieds, avec retard de 2 h 3 secondes à ce niveau et hyperesthésie consécutive, elle réapparaît p

maire des mains, diminuant de bas en haut et ne disparaissent qu'au niveau des épaules. A cet égard le père du malade me d

dinaire, le calibre du canal rachidien est normal ou même élargi au niveau du foyer osseux. Il en est de même des trous de c

, en avant, au niveau de la lésion osseuse, soit, sur les côtés, au niveau des racines, et la tuberculose ou l'inflammatio

uement on trouve, dans la première et la dernière éventua- lité, au niveau du foyer épidural, les mêmes lésions de la moelle

dans la région centrale des cordons latéraux et postérieurs. A leur niveau , la névroglie apparaît épaissie, comme tuméfiée

euvent présenter les méninges molles, elles contractent parfois, au niveau du maximum des lésions épidurales, quelques adhé-

, il s'agit d'un oedème mécanique. L'oblitération des vaisseaux, au niveau et autour des lésions tuberculeuses de l'espace é

e de fongosités, présentant leur maximum d'épaisseur (1 cm. 1/2) au niveau des 2° et 3° lombaires, et englobant plusieurs

molles : la partie antérieure de la moelle est légèrement aplatie au niveau des lor et 2e segments lombaires, juste au poin

mpreinte nette de l'éperon osseux. Histologiquement on trouve, à ce niveau , le foyer épidural, formé de tuber- cules rares

lement observées à la suite de lésions des- tructives siégeant à ce niveau . Cas. III (n° 874). Après des douleurs rachidie

ce foyer est entièrement extra-dural ; la moelle ne présente à son niveau qu'un léger épaississement de la névroglie, dans

des, au-dessous d'une bande d'hyperesthésie passant, en arrière, au niveau des reins et descendant obliquement vers l'hypoga

ns la région dorso-lombaire qui est douloureuse an palper,surtoutau niveau des Xlle dorsale et Ire lombaire légèrement saill

niveau des Xlle dorsale et Ire lombaire légèrement saillantes. A ce niveau , ceinture d'hypoesthésie cutanée large de 5 a 6 c

ébordant sur les côtés et englobant les racines correspondantes. Au niveau des 8e et 9e racines, la moelle est légèrement

ette : la pie-mère présente sur la face antérieure de la moelle, au niveau du foyer épidural, quelques amas embryonnaires. L

ure (obs. V),l'étranglant latéralement (obs. VI). Les racines, au niveau du foyer, étaient atteintes de sclérose dans les

profondeur,c'est à peine si les ménin- ges molles présentent, à son niveau , quelques adhérences avec la dure- mère ; il en

dégénéra- tives des cordons postérieurs présentant leur maximum au niveau des 2e et3* paires sacrées et remontant jusqu'à

ion cervicale moyenne, jusqu'au le, segment dorsal, c'est-à-dire au niveau du foyer épidural. Celui-ci a la structure d'un t

fuse de la pie-mère et de la névroglie, celle-ci surtout marquée au niveau des cordons de Goll ; pas de gaînes dilatées ni

petits foyers de carie superficielle (pl. LXXVIII, fig. 1) ; à leur niveau , l'espace épidural renferme des masses de fongo

rences avec la dure-mère, décollables la plus légère traction. Au niveau des 5° et 6° segments cervicaux, la moelle est lé

e ; la substance grise est déjetée à droite. Elude histologique. Au niveau des 5e et 6e segments cervicaux, la moelle apla

gulièrement épaissie. Au-dessous de la compression (7° segment), au niveau du cordon antéro-latéral droit, la super- ficie

ngosités rouges s'étalent sur la face antérieure de la dure-mère au niveau des deux premières paires dorsales, qui sont étro

ns, macroscopiquement et histologi- quement. Histologiquement, au niveau du foyer, et jusque dans le VIIe segment cer- v

lombaire. Les racines postérieures du côté gauche présentent, au niveau du foyer épi- dural, un certain degré d'épaissi

estesau- dessus et au-dessous dupointde compression,plut8tqu'ci son niveau même ; elles font totalement défaut dans les ob

es lésions épi- durales et médullo-radiculaires est presque au même niveau . IV. Cas complexes. Nous mettons à part quatr

éninges postérieures, avec sclérose notable des leptomé- ninges, au niveau des nerfs radiculaires, particulièrement de la 1"

du 4e corps dorsal, lésions des 2 voisins, gibbosité angulaire. Au niveau des 6e-7e paires cervicales (pl. LXXVII, fig. 1),

es culs-de-sac méningés des racines englobées par la sclérose. Au niveau du foyer tuberculeux, dilatation irrégulière des

s adhérences légères unissent les méninges molles à la dure-mère au niveau des 60 racines dorsales (maximum du foyer épidura

le foyer épidural a la structure d'un tubercule en activité ; à son niveau ( ? 7° dorsales), la moelle est atteinte de sclér

ons postérieurs. Dans la région cervicale supérieure, on trouve, au niveau des cordons pos- térieurs, deux zones dégénérée

ns l'observation XIII. Dans ces cas, trois les lésions observées au niveau du foyer épidural ne diffèrent pas notablement

yer de myélomalacie étendu sur une hauteur de plusieurs segments au niveau des cordons postérieurs à la région dorsale moy

iatement au-dessus et au-dessous de la compression, plutôt qu'à son niveau . Dans l'observation V, les gaînes de myéline ét

érences filamenteuses entre la dure-mère et les méninges molles, au niveau du maximum des lésions épidurales. Deux fois,

rs cas, ils étaient notablement di- latés. Il est évident que, au niveau des lésions tuberculeuses de l'espace épi- dura

- sions de celle-ci d'une part, et les oblitérations vasculaires au niveau du tubercule épidural, d'autre part. Une seule

t la couche transversale moyenne de l'étage antérieur du pont. A ce niveau , il n'existe autour des nappes sangui- nes que

la substance grise on trouve de petites hémorragies périvasales. Au niveau du huitième segment cer- vical, à gauche du can

ularité de la distribution n'est pas seulement à considérer pour le niveau , mais aussi pour son extension à chaque groupe d'

ns maintenu le caractère purement corticipète de cette couche qu'au niveau du lobe occipital. Surtout n'avons-nous pas eu

rte à la constitution de la couche sagittale externe, l'arrivée, au niveau du carre- four ventriculaire, des fibres du fai

gination nous le représente assez menu), s'épuisent certainement au niveau des lobes pariétal et temporal. Nous n'en avons

que l'on n'établit pas les confins du territoire qu'elle occupe au niveau du lobe occipital. Ainsi, l'on abandonnerait l'

à l'épendyme du plancher de la corne occipitale et sectionnant à ce niveau , les couches sagittales (en particulier, le faisc

opographie des lésions. On note que le foyer ancien sectionne, au niveau du bourrelet du corps cal- leux, le faisceau lo

e limitée, cette plaque jaune ancienne peut facilement atteindre un niveau nettement antérieur à celui-ci, en se dirigeant

partie à l'interruption des fibres dont elles sont constituées, à un niveau incon- testablement antérieur à celui que nous

'étendue de la lésion calcarine et la profondeur qu'elle atteint au niveau de la paroi ventriculaire inférieure, nous devons

ant l'extrémité postérieure de la couche optique, elle sectionne à ce niveau l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe e

t est occipital ou il ne l'est pas ». Quand l'on songe que c'est au niveau du pulvinar que le faisceau génicuto- calcarini

le fusiforme, sans participation, excepté sur une courte étendue au niveau du cçrps genouillé externe, des couches sagittale

inférieure de la capsule externe. « Nous savons, eu effet, qu'à ce niveau temporal les fibres de projection et d'associat

tre cas Roll ? le ramollisement ne s'étend dans la profondeur qu'au niveau des ganglions de la base, où il atteint la couche

ur l'avenir du neurone. Que savons-nous des échanges nu- tritifs au niveau du prolongement cylindraxile ? ' Dans les deux

reconnaît l'extrême variabilité de leur disposition réciproque d'un niveau à l'autre, qu'on leur accorde un complément d'ass

ade en tant que phénomène particulier. Les réactions de ce genre au niveau du tronc encéphalique sont bien connues, et aya

e remarquer que le trajet de la voie motrice et du ruban de Reil au niveau du pédoncule et du bulbe représente le chapitre l

s gaînes myéliniques, mais il est peu facile de se rendre compte au niveau de l'hémisphère de l'état réel du prolongement cy

e ne comparer le faisceau longitudinal avec la couche externe qu'au niveau du lobe occipital ce que nous avons établi tex-

on ne voudrait supposer. On ne niera pas que les lois en vigueur au niveau du tronc encéphalique sont également applicable

ère, mais de son secteur occipital qui est également (pour nous) à ce niveau , le faisceau longitudinal inférieur (pris dans

raison de la disparité morphologique qui s'observe entre les divers niveaux correspondants que traversent ces faisceaux, no

sse en avant le plan postérieur du corps genouillé externe ; entre ce niveau et le noyau amygdalien, les fibres qui occupent

s et légèrement en haut ; son analogue a le même point de dé- part ( niveau du corps genouillé externe) et se porte plus dire

22, p. 1058-1059 ; Nouvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 205-208). A ce niveau le fais- ceau optique central se dispose en fas

l est-il séparé de- l'épendyme ventriculaire par l'épais tapétum au niveau du 'carrefour du ventricule latéral. Au-dessous d

s faits dont il faut tenir compte. On rencontre des variations à ce niveau comme on en rencontre ailleurs. Les modifications

ses libres se rendent directement au pulvinar sans interruption au niveau de relais ganglionnaires ; ne pourrait-on pas, pa

u pédonculaire. Ces fibres quadrigéminales abordent donc les divers niveaux dans le même ordre que la voie motrice : rétine

ressions par con- tact (à la façon pyramidale) n'est possible qu'au niveau du corps genouillé ex- terne. Le tronc du cor

ue possède certainement son contingent com- missural, mais c'est au niveau du « centre terminal du neurone physiologi- que

de dé- part d'un faisceau corticipète, qui présente aux différents niveaux de son tra- jet, absolument la disposition fasc

pyramide bulbaire. Avant de reprendre l'étude de cette analogie au niveau du lobe occipital, il reste un détail digne d'ê

, les fibres de la bandelette optique s'enche- vêtrent tellement au niveau des ganglions de la base qu'il est impossible de

ceaux. sont étalés sur une étendue beaucoup plus considérable qu'au niveau des ré- gions inférieures du névraxe, et partan

sensitive du trijumeau, a, comme premier échelon dans la gamme des niveaux , le sillon bulbo-protu- bérantiel ou la partie

aisceau visuel central ressemble beaucoup à la voie pyramidale d'un niveau à l'autre, mais naturellement qu'en parlant d'u

ramène il la considération du trajet du faisceau optique central au niveau du lobe occipital ; il reste en effet quelques pa

de la base ou des noyaux du tronc encéphali- que. Elle se sépare au niveau du pédoncule, des fibres corticales destinées aux

gine corticale, conserve son individualité à travers les différents niveaux du tronc encéphalique ; que la pyramide bulbair

mporo-occipilal sans souffrir d'atteinte a son intégrité. Il est au niveau du lobe occipital ce qu'il est dans la partie moy

ne, surtout dans sa lèvre inférieure. Nous avons dit que c'est à ce niveau qu'existe la pyramide optique, nous pouvons presq

me s'épuise rapidement, grâce au territoire plus vaste qu'occupe au niveau du pôle occipital, la scissure calcarine. Ces p

tions du trajet médullaire de la voie pyramidale : disparition à un niveau variable (le plus souvent dor- sal supérieur) d

oteur. Il importe d'insister sur ce fait, que la configuration d'un niveau ou d'une région y est pour beaucoup dans l'expl

avoir démontré suffisamment que le faisceau optique central est au niveau de l'hémisphère ce qu'est la voie pyramidale dans

motrice est nettement démontrée et au niveau de l'hémisphère et au niveau du tronc encéphalique; la voie sensitive' se cant

mieux isolé que l'est soit la voie motrice, soit la voie sensitive au niveau du tronc encéphalique. Au segment intra-céréb

ro-inférieure) et se retrouvent encore parmi les fibres sagittales au niveau du globus pallidus lenticulaire ? Nous savons c

emporal ne détermine que la dégénérescence de la couche externe, au niveau du lobe occipital. M. et Mme Dejerine terminent

nom de faisceau pyramidal, depuis les pyramides du bulbe, jusqu'au niveau du noyau appelé aujourd'hui noyau lenticulaire

t de la tète. Les deux lambeaux sont rejetés l'un en avant jusqu'au niveau du bord orbitaire, et l'autre en arrière jusqu'au

t jusqu'au niveau du bord orbitaire, et l'autre en arrière jusqu'au niveau de la protubérance occipitale externe. La calotte

acher la calotte, après avoir incisé la dure-mère circulairement au niveau du trait de scie. Chez le nouveau-né et à plus

la dernière vertèbre lombaire et on sectionne transversalement à ce niveau la partie supérieure de la vertèbre. Puis, passan

echerche du premier nerf dorsal, dans le creux sus-claviculaire, au niveau du point où il entre dans la constitution du pl

tronc encéphalique, depuis la partie inférieure du bulbe, jusqu'au niveau du pied de la couronne rayonnante. Mais ici se pr

mieux l'étudier au point de vue des dégénérescences, de même, qu'au niveau de la base, la coupe ne doit pas passer par l'esp

us ou moins grande de son étendue, et que la section de l'organe au niveau des parties malades, compromet gravement le dur

oulet de la 2G' heure de l'incubation, passant à peu près au même niveau que la coupe b de la fig. 10, c'est-à-dire au niv

u près au même niveau que la coupe b de la fig. 10, c'est-à-dire au niveau de la fosse cardiaque. (D'après Mathias Duval.)

ie de l'ectoderme adjacente aux bords de la fente; l'ectoderme à ce niveau se trouve peu à peu entraîné et transporté des

ionnaires primaires (crête latérale, fais- ceau optique direct). Au niveau du pédicule oculaire, la crête basilaire est sé

n'est justifiée qu'au niveau de la voûte; elle est insignifiante au niveau du plancher et des parois latérales, où les deu

lancher du quatrième ventricule et l'aqueduc de Sylvius, forment au niveau du cerveau intermédiaire le sillon de Monro, et s

u du cerveau intermédiaire le sillon de Monro, et se ter- minent au niveau du trou de même nom. Ils séparent, dans leur long

s'étend jusqu'à la surface de la moelle légèrement déprimée à ce niveau . Cette dépression corres- pond au sillon médian

apparaissent, vers la quatrième semaine de la vie embryonnaire, au niveau du plancher du ca- nal neural, qu'ils entourent

EMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 85 git, les parois latérales s'étirent au niveau des plis de flexion en forme d'auricules, dans

llon de même nom de l'aqueduc de Sylvius. Il délimite, comme au niveau de la moelle, la lame fondamentale située en de

uée en dedans, de la lame alaire située en dehors. Peu profond au niveau de la partie bulbaire, le sillon latéral s'él

rnes du bulbe et - de la protubérance, - qui s'entrecroisent au niveau du raphé, et qui constituent l'homologue de l

-hypo- glosse, ces fibres forment, après en- . trecroisement au niveau duraphe,un petit cordon blanc, longitudinal, le

ers le quatrième mois de la vie intra-utérine, qu'appa- raissent au niveau du bulbe et de la protubérance, les fibres longit

e vermis infe- rior. Le cervelet s'épaissit de bonne heu- re au niveau du vermis, qui présente déjà vers le troisième

respond à la partie postérieure des hémisphères et des vermis. Au niveau des hémisphères cérébelleux, la première région d

nfin, le petit lobule clu puetcozo-cc.strirl2te ou (lacclllus, Au niveau des vermis, la première région fournit : la lingu

r le corps du trigone et la toile choroïdienne. Etroite en avant au niveau du trou de Monro et du tubercule antérieur du tha

e antérieure ou prépinéale de la voûte, s'étend en avant jus- qu'au niveau du trou de Monro, où elle se continue avec la lam

laire, est séparé dans sa partie supérieure de la couche optique au niveau du trou de Monro, par le sillon o<o ? 7'e. Le

be temporal qui l'entraînera en arrière, puis en bas, au-dessous du niveau de la fosse sylvienne. Vers la fin du deuxième

primitivement partie du sillon semi-lunaire (fig. 52 à 63, ssl), au niveau duquel la surface extérieure du cerveau intermé

mité antérieure de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. A ce niveau elle se recourbe légèrement en arrière, et se r

pyramide antérieure du bulbe, et s'en- trecroise incomplètement au niveau du collet du bulbe avec les fibres du côté oppo

le quatrième mois, au niveau de la zone choroïdienne de His, et au niveau du pli marginal de Schmidt. Ce dernier pli, compr

extrémité antérieure du lobe temporal jusqu'au trou de Monro ; à ce niveau il se continue avec la zone choroïdienne de His (

rs postérieurs du trigone, et d'autre part, à la couche optique, au niveau du sillon choroïdien. Les plexus choroïdes des

les radiations du corps calleux. Celles du genou font irruption au niveau des bords supérieur et antérieur de la zone cho

elle s'étend, en arrière du genou, depuis le trou de Monro jusqu'au niveau de la glande pinéale. A ce niveau, le tronc du

depuis le trou de Monro jusqu'au niveau de la glande pinéale. A ce niveau , le tronc du corps calleux se termine en pointe

ue le cheval, l'âne, etc. Le ven- tricule latéral, donne alors à ce niveau un petit diverticule, connu sous le nom de vent

la circonvolution godronnée foetale, du lobe limbique de Broca : au niveau du sinus du corps calleux, il sépare le txnia t

nerea du gyrus fornicatus , ou première circonvolution limbique; au niveau du sillon de l'hippocampe, il sépare la circonv

r le fasciola cinerea; puis elle s'effile, s'étire et se réduit, au niveau du tronc et du genou du corps calleux, à une tr

ornicatus et sur la « racine » olfactive interne et s'y perdent, au niveau du carrefour olfactif de Broca; tantôt les nerf

sure de Sylvius, et recouvre le lobule de l'insula développé au niveau de la fosse syl- vienne. L'insula est encore

ipitale, se continue avec la circonvolution pariétale inférieure au niveau du gyrus angulaire. La troisième circonvolution o

me à elle seule le plan- cher et la voûte de la moelle épinière, au niveau desquels il ne naît aucun neuroblaste. (His.)

cervicale supérieure se maintient dans le bulbe rachidien jusqu'au niveau du bord inférieur de la protubérance; au groupe

entre eux, ni avec les prolongements voisins, et se terminent au niveau de la couche sous-pie-mérienne, soit d'après Ret-

eront au niveau de la moelle la commissure blanche antérieure et au niveau du bulbe les fibres transversales du raphé. Les

substance grise dans laquelle ils pénètrent quelquefois jus- qu'au niveau du canal central (fig. 90 et 93). Dans la couch

ramidales de l'écorce (1894), on trouve ces grains de préférence au niveau des points de ramification des dendrites et au

préférence au niveau des points de ramification des dendrites et au niveau du point d'origine des collatérales du cylindre

latérales de Golgi, qui se détachent à angle droit du cylindre-axe au niveau d'un étranglement annulaire de Ranvier, et prés

r un point de son trajet pas trop éloigné du centre (par exemple au niveau du trou stylo-mastoïdien pour le facial). L'atr

elles se fu- sionnent bientôt et for- ment au cylindre-axe, au niveau du petit seg- ment intercalaire, un manchon c

le canal central de l'épendyme, s'élargit, s'étale et s'entr'ouvre au niveau du bulbe pour former le quatrième ventricule, p

sé au-dessus du sillon de Monro pour former la commissure molle. Au niveau des ventricules latéraux, la substance grise se r

une très mince couche, qui ne présente une certaine épaisseur qu'au niveau de l'angle latéral du ventricule, ainsi qu'au niv

paisseur qu'au niveau de l'angle latéral du ventricule, ainsi qu'au niveau des extrémités antérieure et postérieure de ses

Elles forment avec cette dernière l'él)encly2îîe ventriculaire. Au niveau du troisième ventricule et en particu- lier au

avec la couche névro- plique sous-pie-mérienne se fait, non pas au niveau d'un étranglement annulaire de mais au niveau d

re nerveuse ne se divise en T (fig. 121). Cette division s'opère au niveau d'un étranglement annulaire; l'une des branches d

ment inter-annulaire, et la gaine de myéline est interrompue à leur niveau . La capsule des cellules bipolaires ne présente,

'ADULTE. 207 par des extrémités libres légèrement renflées, soit au niveau d'une fibre musculaire lisse, soit au niveau d'

ment renflées, soit au niveau d'une fibre musculaire lisse, soit au niveau d'une cellule glandulaire (Cajal). On trouve en

sociation dans le pi- cro-carmin. Interruption de la myéline au niveau des étranglement*. Imprégnation des nerfs p

, qui constituent les étranglements annulaires du même auteur. Au niveau des étranglements annulaires, la gaine de Schwa

rborisa- tion périphérique, aussi s'imprègne-t-il facile- ment au niveau des étranglements annulaires par les réactifs c

'effectue, d'après Ranvier, les échanges nutritifs, et c'est à leur niveau que s'observent les bifurcations des fibres.

d'un certain temps, la portion du cylindre-axe, qui fait saillie au niveau du point où le tube nerveux a été sectionné, se

vertes par Ranvier, montrent bien que la myéline est interrompue au niveau des étranglements annulaires. Cette démonstrati

nd rôle dans les échanges nutri- tifs, et qui ne font pas défaut au niveau des points de bifurcation des fibres nerveuses

un nucléole et logé dans une échancrure de la myéline déprimée à ce niveau . Il est entouré d'une couche mince de protoplas

En traitant les nerfs par le nitrate d argent, Segall a imprégné au niveau de l'emboîtement de deux segments cylindro-coni

lieu d'un segment cylindro-conique, la gaine de myéline coupée à ce niveau apparaîtra sous forme d'un anneau simple; si au c

'un anneau simple; si au contraire le tube nerveux est sectionné au niveau d'une incisure, la gaine de myéline Incisures d

t nitrate d'argent) à l'étude des nerfs périphériques, décrivent au niveau des incisures un système de filaments enroulés en

'autre externe, la gaine médullaire (Mark- scheide), interrompue au niveau des étranglements annulaires de Ranvier. Bien d

brane de Schwann dans toute l'étendue du segment, puis se replie au niveau des étranglements annulaires et recouvre le cylin

l'éther, les gouttes de myéline qui s'écoulent d'un tube nerveux au niveau mème de sa section. 3. Cylindre-axe. - Quant

oil auquel elle est destinée. Le nerf perd sa gaine de myéline au niveau de la paroi conjonctive du follicule» puis se

rizontales, qui embras- sent le follicule légèrement rétréci à ce niveau et l'en- tourent d'un anneau plus ou .moins c

e nerveuse à myéline ou bien reste indivise, ou bien se divise au niveau d'un étranglement an- nulaire en deux, voire mê

es, pourvues de leur gaine de Schwann et de leur gaine de Henle. Au niveau de l'éminence terminale, la gaine de Henle se

st recouvert de sa gai- ne de myéline, et donne naissance, au niveau d'un étran- glement annulaire, à une branche

in, répond au lobe sphéno- occipital (GT, ! 0) et déborde en bas le niveau du lobe frontal ; elle s'en- fonce en avant dan

térieure delà grande scissure inter-hémisphérique, et se continue au niveau du lobe occipital et sous un angle très ouvert,

l'écorce. A la l'ace interne, les circonvolutions s'arrêtent au niveau du seuil de 111t : mi- sphère et à la face

iveau du seuil de 111t : mi- sphère et à la face inférieure, au niveau de l'espace perforé antérieur. 240 ANATOMIE

eur de la branche postérieure de la scissure de Sylvius présente au niveau du lobe pariétal une, deux, voire même trois inci

ig. 153, 161, 173). On trouve quelquefois une incisure semblable au niveau du lobe frontal, en avant de l'opercule rolandi

s de passage qui relient le lobe tempo- ral au lobe pariétal an niveau de l'extré- mité postérieure de la scissure d

;\), qui se dirigent d'arrière en avant, et se recourbent en bas au niveau du bord antérieur du lobe frontal pour former l

ière la lèvre antérieure de la vallée de Sylvius, et se termine, au niveau de la substance perforée antérieure, par un bord

externe se continue avec le cap (F [c]), et envoie en général à ce niveau , à la deuxième circonvolution frontale, un pli

sure de Rolando (R), dont elle suit l'obliquité et les sinuosités. Au niveau de son genou supérieur et de son genou inférieu

tion courbe du sillon interpariétal, et se termine quel- quefois au niveau du deuxième sillon occipital ou sillon occipital

angle droit, forme avec lui un sillon étoile et se prolonge jusqu'au niveau de la pointe du lobe occipital (fig. 1164, 171)

n avant et à la face inférieure de l'hémisphère, elle pré- sente au niveau du pôle temporal une origine commune avec la prem

est très nette chez les animaux dits osmatiques par Broca. C'est au niveau du pli falciforme que le tronc de la scissure d

ses deux extrémités, au niveau de l'espace perforé antérieur et au niveau du sillon marginal supérieur ; ces deux segment

sur la convexité de l'insula, et se terminent par une large base au niveau du sillon marginal supérieur. La base de la cir

'étale, devient triangulaire et apparaît à la surface du cerveau au niveau du bord hémisphérique qu'il concourt à limiter,

le plus ou moins profondément la circonvolution du lobe limbique au niveau de l'isthme aratccalcarinien. (L [i]), mais n'att

porte en arrière jusqu'à la partie posté- rieure de ce tronc. A ce niveau , elle se coude à angle obtus, se dirige en haut

t dans la face interne du lobe frontal. L'une d'elles se détache au niveau du genou du corps calleux, se porte en avant, e

lon paracen- tral de Meynert (parc) (fig. 151, 177, 180, 182). Au niveau du coude postérieur de la scissure calloso-margin

(ot), généralement constante et profonde, com- mence en arrière au niveau du pôle occipital, plus près de son bord externe

nstitution de la face inférieure du pôle sphénoïdal, et s'unit à ce niveau avec la deuxième et avec la première cir- convo

ière et qu'elle contourne le genou et le tronc du corps calleux. Au niveau du gc- 1/01l du corps calleux elle présente en

iito- of'< ? f</ (K+po); elle s'amincit considérablement à ce niveau pour for- · mer ]'<'.s7/< ? du lobe limbi

e la corne d'Ammon, le sillon de ? <6'cae présente en général à ce niveau , deux à trois ou quatre inci- sures qui forment

ière l'aspect bosselé particulier qui lui a valu son nom. Arrivé au niveau du bourrelet du corps calleux, le sillon de l'hip

illies ou bosselures. La circonvolution godronmee naît en avant, au niveau du vélum ter- minale d'Aeby (vl) (fig. 177), so

ent sous le nom de bandelette de Giacomini (B('). De son origine au niveau du bord interne du vélum terminale, la bandelet

on de l'hippocampe (h). La circonvolution godronnée s'épaissit à ce niveau , cesse d'être lisse et unie, et présente des bo

godronnée (Cg) suit le pilier postérieur du trigone (Tgp) jusqu'au niveau du bourrelet du corps calleux; à ce niveau, le pi

u trigone (Tgp) jusqu'au niveau du bourrelet du corps calleux; à ce niveau , le pilier se porte en avant, et passe au-desso

u'elle contourne. Elle s'épaissit et change en outre d'aspect à ce. niveau , devient lisse et unie, de godronnée qu'elle r'

t porte le nom de fasciola cinerea (Fc) (fig. 182, 149). Arrivée au niveau de la face supérieure du bourrelet du corps calle

lamelle de substance grise, qui se soude à celle du côté opposé au niveau du raphé du corps calleux, et qui recouvre à la

ourbent en bas, entourent son genou (Cc[g]), et s'épaississent à ce niveau pour former la circonvolution géniculée de Zuck

irconvolution géniculée de Zuckerkandl (Cgn) (fig. 178). Arrivés au niveau du bec du corps calleux (Cc[rJ), ils se comporten

ceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl, et se terminer au niveau du bord anté- rieur ou adhérent de la circonvol

ub- stance grise. En arrière, le pédoncule olfactif s'épaissit au niveau du bord postérieur du lobe frontal en une petit

ent masqué par un pli de passage, mais on con- state toujours à son niveau une légère dépression constante, destinée à log

corce et il la couche réticulée d'Arnold. Leur origine apparente au niveau du bec du corps calleux est variable suivant les

transversale, qui sépare le cerveau de l'isthme de l'encéphale, au niveau du bord supérieur de la protubérance (fig. 183)

e la partie avoisinant le chiasma des nerfs optiques. Toutefois, au niveau de son trajet pédonculaire, chaque bandelette est

et s'élargissent, et mesurent 18 il 20 mil- limètres de largeur, au niveau du point où ils se perdent sous la bande- lette

en faisceau externe est en général assez nette; elle est établie au niveau du bord hémisphérique du pédoncule, par le poin

du cerveau moyen, au voisinage des tubercules quadrijumeaux, ou au niveau des pédoncules cérébelleux supérieurs. Parmi ce

r de la protubérance. Il apparaît, ainsi que l'a indiqué Gudden, au niveau du tiers moyen du bord supérieur du tubercule q

. Il apparaît à la surface du pédoncule cérébelleux supérieur ou au niveau du sillon qui sépare ce pédoncule du pédoncule

externe de l'isthme de l'encéphale; en dedans, elle s'adosse, au niveau du raphé, à celle du côté opposé, dans la plu

rave de Bichat. ALBARRAN. Sur la structure d'un renflement situé au niveau du bord libre des plexus choroïdes des ventricu

t une coupe verlico-transversale du cerveau, passant par exemple au niveau des tubercules mamillaires (Tm) (fig. 19(i). On

e ou le grand soleil de Reil, dont la base, légèrement étranglée au niveau du noyau caudé, est connue sous le nom de pied

alfecte la forme d'une bordure sinueuse, et n'est interrompue qu'au niveau du corps calleux, lequel apparaît comme une vas

ivantes), se continue directeemnt avec le sillon de l'hippocampe au niveau du bourrelet; il fait du reste partie du sillon

leux. De chaque côté de la face supérieure (fig. 199), on trouve au niveau du sinus du corps calleux, le t<7'nia tecta

ps calleux. - Cing, fibres du cingulum sectionnées parallèlement au niveau de la face. supérieure du corps calleux. - Cinq',

es à mesure que l'on s'approche des extrémités du corps calleux. Au niveau du genou, la direction des stries est horizontale

ntale; au-dessous elle devient oblique, pour redevenir verticale au niveau du bec. Une disposition analogue s'observe au n

r verticale au niveau du bec. Une disposition analogue s'observe au niveau du bourrelet, où le corps calleux s'enroule en

n arc, forment avec la couche optique (Th),légè.rement excavée à ce niveau , un petit orifice ovalaire, le trou de Monro (T

ord inférieur du septum et se jette dans la veine du corps strié au niveau des piliers antérieurs du trigone. 4° Ventricul

- minent à 15 ou 20 millimètres en arrière du pôle temporal (T). Au niveau du point où le ventricule latéral change de dir

ans la corne frontale ; la queue se recourbe en bas et en avant, au niveau du carrefour ventriculaire, et prend part à la co

corps strié et de la tète du noyau caudé, quitte la lame cornée au niveau du tubercule antérieur de la couche optique (Na),

iveau du tubercule antérieur de la couche optique (Na), reçoit à ce niveau la veine du septum lucidum, puis pénètre dans les

ulaire, la queue du noyau caudé s'en sépare en avant, et s'unit, au niveau du noyau amygdalien, au troisième segment du noya

; ils sont plus larges (Jans la corne sphénoïdale, et présentent au niveau du carrefour ventriculaire un rendement fusi- f

pomes, angiosarcomes, psammômes, et il n'est pas rare de trouver au niveau du glomérule choroïdien des frères Wenzel des k

téral et de ses prolongements ; mais elle devient très appréciable au niveau de ses bords et extrémités. C'est ainsi qu'elle

es du troisième ventricule (fig. 213); ils sont minces en avant, au niveau du . . MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 367 sommet de l

fet intimement unis par de nombreux ponts de substance grise; et au niveau de l'extrémité antérieure du corps strié, ils for

ueur mesure de 65 à 70 millimètres. La longueur de la tête jusqu'au niveau du trou de Monro est de 20 à 25 millimètres; son

grande largeur 20 millimètres, le tronc me- suré 10 millimètres au niveau du trou de Monro, il diminue ensuite rapide- me

pendiculairement à son grand diamètre. Cette face est supérieure au niveau du tronc du noyau caudé, et répond à la face in

les radiations du genou et du bec du corps calleux (fig. 213). Au niveau du carrefour ventriculaire, la queue du noyau cau

des con- nexions intimes entre ces deux segments du corps strié. Au niveau du Ses dimensions. Sa face libre ou intra-v

OGIE CÉRÉBRALE. 3T3 épendymaire (Sge) particulièrement épaisse à ce niveau (fig. 241 et suiv.) et du faisceau d'associatio

infào-inte1'7 ! c de la couche optique (PiTh) (fig. 244 à 246). Au niveau du colliculus du noyau caudé (CNC), la face infér

s convergent en avant et en arrière et s'unissent l'un à l'autre au niveau des extrémités antérieure et postérieure, ainsi

ui seul l'extrémité postérieure effilée du noyau lenticulaire. A ce niveau , il est dissocié en un certain nombre de travée

ou moins volumineux suivant les sujets, très développé en avant au niveau du tubercule antérieur, qu'il contribue à former,

loyer en un vaste éventail. D'abord amassées en un gros faisceau au niveau du pédoncule cérébral, les fibres se dé- ploien

à noter par suite de la grande intrication des fibres nerveuses il ce niveau . On y reconnaît cependant les faisceaux suivant

le (0,). Le segment vertical du sillon paml- lnle (t,') l'incise au niveau du pli courbe (Pc), mais elle est en outre incisé

entricule par la substance grise sous-épendymaire (Sge), réduite au niveau du tronc du corps cal- leux (Ce) à une très min

ire qui coiffe le carrefour ventriculaire (fig. 220) et forme il ce niveau , ainsi que le prouvent les cas de malformation du

couronne rayonnante (pCR) se confond insensiblement en arrière, au niveau du corps cal- leux, avec la masse des fibres d'

te. On constate toujours la façon identique dont s'arrête l'écorce au niveau du corps calleux (Ce), en entourant le fond du

couche optique. T, ! gsna;, circonvolution temporale supérieure au niveau du pli marginal supérieur. - < ? branche verti

llIn (Tap), recouvert par la couche sagittale du lobe occipital. Au niveau de la corne frontale, on trouve comme précédemmen

om de ruban de Vicq (4 : ? /)' (V) ou de Gennari, très apparente au niveau du fond de la scissure calcarine, et que l'on p

rine, et que l'on peut suivre, très atténuée, il est vrai, jusqu'au niveau de la pointe occipitale et sur la face externe du

r la grande extension du ruban de 1-le(j d'Azyr (V).1'rès marqué au niveau des deux lèvres de la scissure calcarine (K) et s

rigone (1'ga), La corne occipitale (Voc) est large à son origine au niveau du carrefour ventriculaire ; dans les cas patho

avant. La paroi interne de la corne occipitale (Voc) est limitée au niveau du carre- four ventriculaire par la saillie de

duquel on trouve le faisceau postérieur du cingulum (Cing [p]). Au niveau du fond de la scissure calcarine (K), on trouve

segments du noyau len- ticulaire, le segment interne comprend à ce niveau deux segments, ,, ? - 0" Os, première et deuxiè

même dusegment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Au niveau du bord externe du pztlvizzar, les radiations opt

mais plus large que dans les coupes précédentes, est sec- tionné au niveau du pôle de l'insula; il est divisé en deux région

ns sa partie antérieure, au contraire, la bandelette s'étale jusqu'au niveau du chiasma, ses faces deviennent inférieure et

iculier à noter dans les extrémités frontale et occipitale, mais au niveau du dernier vestige de l'insula (I), on trouve l

ar la vallée de ,Sr/loius(G ? e=lbfntler orbitaire est intéressé au niveau du gyrus rectus (mF,) et de la partie orbitaire d

festonnée, la laminllinvolutll (Li). Cette dernière se continue au niveau du sillon de l'hippocampe (h) avec la substance

237) passe en avant du genou du corps calleux, les cinq suivantes au niveau de ce genou (Cc[g]). Les coupes nOS 37 à 46 (li

ses frontales; la face interne est réunie à celle du côté opposé au niveau du genou du corps calleux (Cc[g]), et en est sépa

parue interne, ou gyrus reclus (oF, [Gr]); celui-ci se continue au niveau du bord hémisphérique, avec la face interne de

stance grise sous-éperrd ? taire (Sge) qui double la corne à ce niveau . Les coupes nos 37 à 46 (fig. ? 39-°3 r3) intér

que la tête de ce noyau gran- dit, et disparaît complète- ment au niveau du bec du corps calleux (Ce'), c'est-à- dire

vant du genou du corps calleux (Ce [g]), le cingulum est intéressé au niveau du point où ses libres s'incurvent, et sur la c

avant de l'espace perforé antérieur; la coupe n° 60 (lit. 21n), au niveau de l'espace perforé antérieur (Spa) et de la part

e de la commissure antérieure (coa) ; la coupe n° 63 (fig. 245), au niveau du chiasma des ol)ti(liies (11), de l'extrémité

corps calleux, le cerveau ne présentera plus trois faces^ comme au niveau du lobe frontal, mais deux faces seulement. La

ce. -· A la face externe de cette série de coupes, nous trouvons au niveau du lobe frontal, les deux premières circonvolutio

e temporal par le sillon, marginal inférieur ou postérieur (mp). Au niveau du lobe temporal, nous trouvons les trois circonv

244), il se fusionne avec la circonvolution de l'hippocampe (H) au niveau du pli 1(,,iiipol-o-liiiibiqte (7 : [1). (Voy fib

179, 182, etc.) A la face interne de l'hémisphère nous trouvons, au niveau du lobe frontal, la face interne de la première

e temporal se trouvent ainsi adossées sur cette coupe, qui passe au niveau du seuil de l'insula. Sur les coupes qui passent

e. l'épaisseur du segment antérieur de la capsule interne (Cia). Au niveau du bord externe du ventricule latéral (VI), le

he antérieure est intéressée en effet dans sa partie antérieure, au niveau du large coude qu'elle forme avant de pénétrer da

érieure du lobe temporal. Coupe n° 63 (fig. 245). La coupe passe au niveau du chiasma des nerfs optiques (II) et de l'extr

ticales des lanzes médullaires du noyau lenticulaire (lmi, lme). Au niveau de la face inférieure du noyau lenticulaire, elle

Ce) pénètre dans la masse blanche des hémisphères, et se confond au niveau du centre ovale (CO), avec le pied de la couronne

Cavités ventriculaires. - Le ventricule latéral (VI) est intéressé au niveau de son étage supérieur et au niveau de la corne

lus large que l'on se rapproche davan- tage du noyau amygdalien. Au niveau du carre four ventriculaire, la couche optique

noïdale en avant et en dehors, le sillon opto-strié, très étroit au niveau du carrefour ventriculaire, s'élargit considéra

n'intéressent en effet que la partie postérieure de son tronc (NC) au niveau de l'étage supérieur du ventricule latéral (VI)

ieur (Fli). Ce dernier nette- ment délimité en bas et en dehors, au niveau du lobule fusiforme (Fus), ainsi que des deuxiè

Spl]) et la partie correspondante du sillon de l'hippocampe (h), au niveau du point où il se continue avec le sinus du cor

5 (fig. 258) le fond du sillon de l'hippocampe, elle se renfle à ce niveau , et donne naissance au fasciola cincrea (Fc) sect

ulvinar (Pul), une seconde fois dans la corne sphénoïdale (Vsph) au niveau du pilier postérieur du trigone (Tgp). La coupe

Vsph). La coupe n° 93 (fig. 257) intéresse le ventricule latéral au niveau du point où il se recourbe pour se porter dans

recourbe pour se porter dans la corne sphénoïdale , c'est-à-dire au niveau du carrefour ventriculaire; cette coupe présent

occi- pito-frnutal (coupes nos 92, 93, 95, fig. 256, 257, 258). Au niveau du carrefour ventriculaire et en arrière de la

tte corticale représente le tænia tecta (tec), qui se re- courbe au niveau du sinus du corps calleux (sec) pour se continuer

a coupe n° 105 (iig. 261) immédiatement en arrière du bourrelet, au niveau du forceps FiG. ;2ü : i, -Coupe vertico-transve

coupes microscopiques colorées il l'hématoxyline ou au carmin.' Au niveau de l'angle supérieur du ventricule, les couches d

s, le bulbe est resté en dedans de la coupe, et la section passe au niveau du bord inférieur et latéral de la protubérance

l'hémisphère cérébelleux dans sa moitié inférieure. On reconnaît au niveau du vermis : la lingala (Lig), le lobule central

le central (Le), le culmen (VCu) et le declivum (VDc) du vermis; au niveau des hémi- sphères : le lobe postera-inférieur (

u corps calleux (sec) et le tænia tecta (tec) sont intéressés il ce niveau . A la place de la première circonvolution limbiqu

même aspect que dans la ligure précédente, s'élargit en arrière au niveau du carrefour ventriculaire. Noyaux opto-striés.

uée entre le sillon de l'hippocampe et le corps du trigone (Tg), au niveau du point où il se continue avec le pilier postéri

. Letciugulum a disparu, il est resté en dedans de la coupe sauf au niveau de la circonvolution de l'hippocampe (H). Le bour

rhomboïdal ou de l'olive cérébelleuse (Oc) et la masse blanche, au niveau du point où elle donne naissance au pédoncule c

dans toute sa longueur, jusqu'au point de réflexion de sa queue au niveau du carrefour ventriculaire (TbVI). Elle passe e

u crochet (U) se recourbe en haut et en avant, pour se continuer au niveau du seuil de Yinsula avec la partie orbitaire de

sphère pour former le lobule lingual (Lg). Ce dernier se confond au niveau du pli réiro-limbiquc (1trl) avec la circonvolu

très bien compte de la manière dont est formée la corne 64.HM)M« au niveau du ventricule sphénoklal (Vsph). Elle représente

née (Cg) est donc sectionnée deux fois sur cette coupe, une fois au niveau du pilier postérieur du trigone (Tgp), une seco

oupe passe en dehors de l'étage supérieur du ventricule latéral, au niveau du seuil de l'insula, de la bandelette optique (I

pédoncule antérieur de la couche optique qui aborde le thalamus au niveau du genou de la capsule interne. La significatio

r une lame de substance blanche, l'alvéu.s (Alv) qui se continue au niveau des parties latérales de la fente céré- 1)J'ale

postérieur du trigone (Tgp) et d'autre part, au sillon opto-si21.au niveau de la lame cornée (le).' Toute la face inférieure

sommet inférieur. Le bord supé- rieur de l'éventail se continue au niveau du pied de la couronne rayonnante (pCR), avec u

ses (Cc) doublées de la couche des radiations thalamiques (RTh). Au niveau du fond et de la paroi inférieure de la corne o

rli- tudinal inférieur (Fli). Très accentuées et très distinctes au niveau du fond de la corne occipitale, ces trois couch

correspondant à la ligne 33 de la figure 267. Cette coupe passe au niveau du ventricule sphénoïdal (Vsph), et de l'avant-

courbe extrêmement prononcée, un anneau ouvert en bas et en avant, au niveau 33 P,(Gsm), partie inférieure de la deuxième

rieur (ms), est le plus long, il est interrompu sur cette coupe, au niveau du point où les circonvolutions antérieures et po

ère. La deuxième circon- volution pariétale (P.,) est intéressée au niveau du gyrus supra-marginalis (P2fGsm]) et au nivea

est intéressée au niveau du gyrus supra-marginalis (P2fGsm]) et au niveau du pli courbe (Pc). La troisième circonvolution o

rale (T.,); le sillon occipital antérieur (oa) la limite en avant. Au niveau de l'extrémité antérieure du lobe temporal, la

couronne rayonnante, soit au-dessus du ventricule latéral, soit au niveau des cornes frontale, occipitale ou sphénoïdale;

i doublent la corne frontale en avant (Ce) et le cingulum (Cizg) au niveau du pointoù il se recourbe en avant du corps cal

on de la coupe actuelle intéresse en effet les fibres calleuses, au niveau du point où elles se réfléchissent en avant de la

irement il leur axe, qui forment un faisceau volumineux et allongé au niveau de la partie orbitaire de la troisième circonvo

première circonvolution, frontale (oF,), se coude brusquement à ce niveau , puis se porte transversalement en dedans jusqu

ion frontale. Les libres sont sectionnées transversalement jusqu'au niveau du coude qui correspond à la première circonvol

lons, soit dans celle qui recouvre la crête des circonvolutions. Au niveau du fond des sillons, elles s'entre-croisent ave

pas continue comme sur la coupe précédente, elle est interrompue au niveau du genou du corps calleux (Ce), où elle se réfléc

au-dessous du genou le toenia teelri (tec). Les fibres calleuses au niveau du genou sont sectionnées pour la plupart parallè

) et de la substance grise sous-épendymaire (Sge) très épaisse à ce niveau . Les libres inférieures se portent également en d

at avec la substance grise sous-épendymaire (Sge), assez épaisse au niveau des parois externe, supérieure et inférieure de

tion- nées perpendiculairement à leur axe, mais déjà on observe, au niveau du gyrus reclus, une obliquité de fibres et une

nnées très obliquement, presque perpendi- culairement à leur axe au niveau du ténia tecta (tec). Au niveau du sommet du tr

perpendi- culairement à leur axe au niveau du ténia tecta (tec). Au niveau du sommet du triangle, la section des fibres es

I (lig. 281). Ce sont des libres sectionnées très obliquement sauf au niveau du bord supérieur du corps strié, où elles le s

'entre-croisent avec les fibres calleuses et présentent un coude au niveau du pied de chacune des circonvolutions frontales.

er le t<l'nill tecta (tec) et l'iudrzseurrr, ! /l'iseu1lt (ig). Au niveau du tsenia tect/1, les fibres tangentielles (ft)

men (NL3), sous forme d'une lame étroite et brisée qui se dédouble au niveau de sa partie supérieure et se perd au voisinage

e partie du globus pallidus sous forme d'un feutrage très dense. Au niveau du sommet de ce noyau, elles se groupent en fasci

le interne. (Cia). Sectionnées presque parallèlement il leur axe au niveau du bord supérieur du corps strié, ces fibres so

putamen (I1 ? ) où elles dissocient l'avant-mur (AM), reçoivent au niveau de la partie inférieure de l'insula (I) quelques

ssociation ou des faisceaux de projection non encore différenciés. Au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula (mp),

roisième ventricule. Ces fibres changent en effet de direction à ce niveau et l'examen des coupes sériées, en particulier de

dessous de l'extrémité antérieure de la couche optique qu'il borde au niveau de sa face interne. Au-dessous de l'anse du noy

lè- lement leur direction et qui se portent en bas et en dedans. Au niveau du noyau 536 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.

e (Cia) est traversé par les fibres du système lenliculu- caudé. Au niveau du segment interne du globus pallidus (NL,), le s

J01'al ne présente rien de particulier à noter; on y trouve, comme au niveau des circonvolutions rolandiques, une intricatio

sule interne (Cip). La queue du noyau caudé (NC') est sectionnée au niveau du point où elle s'unit aux derniers vestiges d

ronne rayonnante (pCR) et affectent un trajet presque horizontal au niveau de la partie supérieure de la capsule interne. Le

res de projection tha- /amt'Me ? il en est d'autres qui côtoient au niveau du pied de la couronne rayon- liante (pCR) la f

n presque parallèle. Ces fascicules sont particulièrement serrés au niveau de la partie inféro-interne du noyau rouge, où il

pénétration des fibres radiaircs est toutefois ici plus accusée. Au niveau de la surface 1',rtm-velltl'iculaÎl'e de la couch

u niveau de la face inférieure de la tête du noyau caudé (NC) et au niveau du putamen (nul.,). La région, thala- mique de

s'approche du carrefour ventriculaire et de la corne occipitale. Au niveau des parois inféro-externe de la corne sphénoïdale

s radiations optiques de Graliolel (RTh) et sont sectionnées ici au niveau du point où elles se recourbent pour pénétrer dan

ionnées en travers et cette direction est particulièrement nelle au niveau du coude que présente le faisceau longitu- dual

bourrelet du corps calleux (Ce), la circonvolution godronnée (Cg) au niveau du point où elle se confond avec la fasciola ci

jection du lobe occipilal. Le ventricule latéral (VI), sectionné au niveau du carrefour ventriculaire, est large en haut,

e grise de la circonvolution godronnée (Cg); celle-ci s'épaissit ce niveau , forme la fasciola cinerea (Fc), puisse continue

: c'est le fais- ceau longitudinal inférieur (Fli) qui présente au niveau du lobule fusiforme (Fus) un coude très accentu

précédents, le diverticule du subiculum, mais il est constitué à ce niveau , comme au niveau de la paroi inférieure du carr

nt avec le faisceau postérieur du cingulum. Nettement déli- mité au niveau du lobule fusiforme (Fus), le faisceau longitudin

efois le grand développement des fibres tangentielles (ft) (Lms) au niveau du sinus du corps calleux (sec) et du subiculum d

également il la paroi interne quoiqu'elles soient très minces il ce niveau . Immédiatement en dehors de Y épendyme et de la s

ent de haut en bas et sont sectionnées parallèlement à leur axe, au niveau des parois interne et externe de la corne occi-.

t inférieure de la corne ocicpitule, cette couche est très mince au niveau du fond des scissures pariéto-occipitale (po) et

e la couche du tapetum est formée de fibres il direction verticale au niveau de la paroi externe, il s'agit ici de fibres se

la paroi inféro-externe de la corne sphénoïdale et se bifurquent au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula, en deu

nférieur suit l'angle inféro-externe de la corne sphénoïdale jusqu'au niveau de son extrémité antérieure et relie les circon

de libres blanches, cette couche de fibres en U existe cependant à ce niveau , où elle forme le stratum calcarinum (voy. [str

o 135 (fig. 265). - - Cette coupe intéresse la pointe occipitale au niveau du premier pli anastomotique cunéo-lingual (1tC

ouve la couche des radiations thalamiques ([luth) , plus épaisse au niveau de la paroi externe et de la paroi inférieure et

oter. Quant au faisceau longitudinal inférieur (Fli), très mince au niveau des parois interne et supéro-externe du ventricul

ule lingual (Lg), l'ergot de Morand et la scissure calcarine (K) au niveau du diverticule de la corne occipitale. Elle passe

deux lèvres de la scissure calcarine (K). On le voit apparaître au niveau du pli cunéo-limbique (-cl) et il est extrêmement

niveau du pli cunéo-limbique (-cl) et il est extrêmement accusé au niveau du lobule lingual(Lg), du cunéus (C) et de la poi

on, qu'au niveau de la première circonvolution temporale (1\) et au niveau du lobe limbique (L,). Le carrefour ventriculai

s est ici, en effet très grand. Dans le lobe limbique seulement, au niveau du corps calleux (Ce), le cingulum (Cing) se reco

e. La direction des fibres calleuses devient bientôt oblique, et au niveau du tronc du corps calleux (Ce), elles sont disp

aisceaux à direction transversale. Le trigone (Tg) est intéressé ou niveau de son corps et au niveau de l'origine du pilie

irconvolution frontale (mF,). D'autres fibres, enfin, traversent au niveau de la tête du noyau caudé (NC), le pied de la cou

psule exlel'l1e (Ce). En arrière, la capsule externe (Ce) reçoit au niveau du putamen (NL3) un contingent assez important

un faisceau unique, qui se dédouble en avant du sillon olfactif au niveau des der- niers vestiges de la substance grise s

natus (Fu). Le fais- ceau longitudinal inférieur (Fli) intéressé au niveau du plancher de la corne splté- noïdale (Vsph),

- che de fibres lâches et peu colorées, particulièrement épaisse au niveau du subi- culum (H[L=]) et de l'extrémité postér

volution de l'hippocampe (H[L=]) s'épaississent considérablement au niveau du subiculum, où elles forment la couche réticu

um, où elles forment la couche réticulée d'Arnold (Lms). Arrivée au niveau du fond du sillon de l'hippo- campe (h), elles

enne des radiations du corps calleux, il existe un espace clair, au niveau duquel les fibres calleuses moyennes s'inflé- c

l'angle externe du ventricule latéral, avant de s'entre-croiser au niveau du pied de la. couronne rayonnante avec les fibre

(Iiip (1,,) présente au - COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 581 ' niveau de sa partie moyenne un aspect un peu particulier

s du corps calleux, le cingulum s'épaissit en avant et en arrière, au niveau du point où il contourne les parties antérieure

es antérieure et postérieure du sinus du corps calleux (scc) ; à ce niveau il se confond avec les fibres enchevêtrées de la

ffilé à ses extrémités, nettement délimité du cingulum en dedans au niveau de sa partie moyenne, et de l'enchevêtrement des

e grise de la première circonvolution limbique (L,) se réfléchit au niveau du sinus du corps calleux (sec), puis s'amincit e

paroi interne du ventricule latéral (VI), et il est recouvert à ce niveau par une mince couche épendymaire. Il est consti

deux fois; une fois au niveau de sa lèlr. (NC), une seconde fois au niveau de sa queue (NC'). En avant et en arrière, au niv

econde fois au niveau de sa queue (NC'). En avant et en arrière, au niveau des angles du ventricule latéral (VI), la tète

nt, faiblement colorées par l'hématoxyline et qui abondent surtout au niveau du bord externe de la tête du noyau caudé (NC).

nce grise sous-epcndymairc. Sgé, substance grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle postro-caternc du ventricule latéral

ceau pyramidal. Dès la première apparition de la capsule interne au niveau des zones de tran- sition (fig. 303 et 304), on

gris lenliculo-caudés. Elles s'entre-croisent et s'enchevêtrent il ce niveau avec des libres à direction verticale, pour for

x (Ce) est formé presque exclusivement de libres transversales : au niveau du septum luci- dum (SI), ces fibres s'entre-cr

e de substance grise sous-épendymaire (Sge), qui donne insertion au niveau du trigone, aux plexus choroïdes du ventricule la

et que nous allons rencontrer sur les coupes plus inférieures. A ce niveau elle est formée par des fibres à direction antéro

ble les circonvolutions de l'insula est peu épaisse, si ce n'est au niveau des crêtes des circonvolutions. Ces fibres s'entr

cour- bures la ligne des circonvolutions insulaires et se renfle au niveau des crêtes des circonvolutions. Sur cette coupe

airement à leur axe. Dans ce segment postérieur, et principalement au niveau de sa paroi antérieure, on rencontre quelques r

L) il la couche optique (Th). Ces fibres sont surtout nombreuses au niveau du genou de la capsule (Ci[g]), de sorte que le

ICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 595 parallèlement -,Il leur axe, comme au niveau des extrémités antérieures et posté- rieures de

au caudé, ainsi que la veine du corps strié et s'arrête en avant au niveau du stratum zonale (strz) de la couche optique.

tance grise, si nombreux sur la coupe précédente ne 6 (lig. 305) au niveau du genou de la capside interne (Ci[ ? ]), ont d

réticulée (Zr) qui a aug- menté d'épaisseur, surtout en arrière, au niveau du champ de Wernicke l',\V), et par la lame méd

eau de l'extrémité postérieure de la couche optique, c'est-il-dire au niveau de la zone de Wernicke, ainsi qu'au niveau de s

rs sectionné en avant, au niveau de la tète (NC), et en arrière, au niveau de la queue (NC'). Sur cette coupe la capsule i

e du noyau rouge; sa terminaison inférieure est encore inconnue. Au niveau du segment interne du globus pallidus (NLJ, les f

upes plus inférieures, et atteint son plus grand déve- loppement au niveau du pédoncule cérébral. Le segment postérieur de l

la région sous-optique ; il atteint son plus grand développement au niveau de la partie supérieure du noyau rouge (NR), puis

fibres parallèles, disposées en faisceaux serrés. Elle se coude au niveau des fibres qui constituent les derniers vestiges

du faisceau longitudinal inférieur (Fli) se rendent en effet il ce niveau , dans la capsule externe (Ce) et dans la première

r (VA), puis la substance grise du troisième ventricule (V.,). Au niveau du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la comm

RVEUX. faisceau longitudinal inférieur (Fli), c'est-à-dire jusqu'au niveau du coude, que ce faisceau forme à la base de la

du pédoncule cérébral (P) n'est adhérent à la base du cerveau qu'au niveau de son tiers interne. Sur cette coupe, l'extrém

; très épais en arrière il se rétrécit en avant, et il est formé au niveau du corps de Luys [par des fibres faiblement col

i-i.].iiit( ? au 1)osléi-ieiii (GQp). Cette coupe passe, en effet, au niveau du sillon transversal qui sépare le tubercule q

laire, la circonvolution du crochet (U) et le pédoncule cérébral au niveau du tubercule quadrijumeau postérieur Qp). noyau

gitudinal inférieur (Fli). Ce dernier faisceau présente un coude au niveau de la base de chacune des circonvolutions qui le

le a disparu, ces fibres s'arrêtent en général assez brusquement au niveau du bord externe du noyau amygdalien (NA). Sur l

voy. 6'N'c( ! uo< ? i( ? ? 'onKe< ? p. 301), et se termine au niveau du vélum terminale (1 ? Ieby. L'avant-mur (AM)

v.rlra-ucrriricu- faire de la couche optique (Sexv), recouverte au niveau du pulvinar par un stratum zonale (strz). La la

le segment postérieur de la capsule intln.i'ne(Cip), se coudent au niveau du genou, en formant un angle obtus d'environ 1

. La lame médullaire externe du thalamus (Lme) s'épaissit, surtout au niveau COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. G37 du pu

Forel par sa parti.e-.antèroex.terne. Elles s'enlre-croisent il ce niveau avec les fibres du fais- ceau thalamique de For

dans, traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) au niveau U44 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de sa par

ptique (Th), le corps genouillé interne (Cgi) du pulvinar (Pul). Au niveau du pulvinar, ces fibres s'entre-croisent avec la

ge du sillon d'émergence de la troisième paire (III), les autres au niveau du bord postérieur du locus niger. Le locus niger

ou externe est encore adhérent il la base du cerveau, et reçoit au niveau du iroi- sième segment du noyau lenticulaire (p

; elle sectionne en effet le trigone ou tubercule olfactif (Toi) au niveau du point où se détachent les racines olfactives i

ilôts morcelés de 1 avant-mur apparaissent nettement détachés. A ce niveau apparait un faisceau volumineux, fortement coloré

lé externe (Cge) est très augmenté de volume; il donne naissance au niveau de sa partie postérieure, aux libres de la zone d

our s'entre-croiser à angle très aigu avec celles du côté opposé au niveau de la partie antérieure du raphé. Les fibres de l

ses fibres radiculaires appartenant il la troisième paire (III). Au niveau du raphé nous trouvons, d'arrière en avant, les f

e par ses faisceaux radiculaires les plus externes, qui émergent au niveau du sillon de Voculo-moleur. Les entre-croisemen

e totale du pédoncule par lésion corticale ou centrale. Arrivées au niveau du bord supérieur de la protubérance, ces libre

protubérance de Henle. Ce faisceau se coude ensuite brusquement au niveau du bord postérieur du pédoncule cérébral, pour

ig. 329, 339, A). - Cette zone a une épaisseur de 0 ? 25 environ au niveau des crêtes des circonvolutions, mais peut attei

le émergent soit à angle droit, soit à angle plus ou moins aigu, au niveau des renflements de la tige et se termineut libr

s, particulièrement serré au STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 677 niveau de la partie moyenne de la couche des grandes cel

es fibres d'association intm-corticales de Meynert, qui occupent au niveau du fond des sillons la couche des cellules polymo

les ^gi (Tuczek, Vulpius, Kaes). UN Kaes a montré en outre, qu'au niveau des faces interne et inférieure de . l'hémisphè

e lar- geur, strie qui est plus accentuée au fond des sillons qu'au niveau des crêtes des circonvolutions. D'après Kaes, c

corticales. Elle est par conséquent, particulièrement développée au niveau du lobe occipital, du lobe temporal, des circonvo

capsule interne au sillon de liolando, traînée qui se bifurque à ce niveau pour se rendre aux circonvolutions frontale et

une même région. Les premières fibres tangentielles apparaissent au niveau du réseau d'Exner et de la couche des cellules

ontre déjà, à l'oeil nu, que la structure de l'écorce présente à ce niveau des particularités spéciales. Meynert distinguait

collatérales qui se détachent à angle droit, puis descend jusqu'au niveau du tiers inférieur de l'écorce, sans atteindre ce

rps calleux; elle tapisse le sinus du corps calleux, se réduit à ce niveau il 1 millimètre d'épaisseur, et parait à l'oeil n

limètre d'épaisseur, et parait à l'oeil nu s'arrêter brusquement au niveau des fibres transversales du corps calleux. En réa

deuxième et la quatrième couches se confondent l'une avec l'autre au niveau du corps calleux. Stratum radiatum de la pl

de la face qui regarde le sillon de l'hippo- campe, c'est-à-dire au niveau du subiculum ou du lit de la corne d'Ammon, app

pectives de la circonvolution 1 godronnée et de la corne d'Ammon au niveau du sillon de l'hippocampe ; 2° par la superposi

nètre dans le hile de la circonvolution godronnée et il existe à ce niveau deux écorces cérébrales superposées. La ligne poi

ts) sont, ainsi que bchafter t'a a indique, hérissés d'épines, au niveau desquel- les s'effectuent les contacts nervos

Gia- cozzzini; la circonvolution godronnée est en effet lisse à ce niveau , où elle s'applique à plat sur l'écorce de la c

ielles de la couche moléculaire. 1° Couche moléculaire adossée au niveau du sillon de l'hippocampe à la couche mo- ...

, dans des régions riches en vaisseaux et en névroglie, et c'est au niveau des épines que s'effectuent les contacts nervos

he de la circonvolution godronnée, ces cylindres-axes pénètrent, au niveau du hile de cette circonvolution, dans la région

représente une écorce cérébrale pro- fondément modifiée, surtout au niveau du bulbe olfactif. Celui-ci, véritable organe t

libre, clans l'intérieur du glomérule olfactif. Elles entrent à ce niveau en connexion avec les arborisations centrales des

urt. - J, collatérales îles cylindres-axes des cellules mitrales au niveau du bulbe olfactif. - 11, collatérales de ces mê

ites ramifiées dans la zone moléculaire, très réduite en général au niveau des îlots. Leur fin cylindre-axe traverse la co

lules n'estpas encore élucidé. Cette couche grise est plus épaisse au niveau de la partie inférieure du septum lucidum qu'au

ance blanche des hémisphères, qui atteint sa plus grande étendue au niveau du centre ovale de Vieussens, est essentiellement

toute l'épaisseur de la masse blanche des hémisphères; arrivées au niveau du corps calleux, un grand nombre de fibres de pr

isations libres et variqueuses (fig. 372, c), situées en général au niveau des cellules pyramidales. Pendant leur trajet a

grand axe du sillon qu'elles tapissent. Ces fibres en U forment au niveau du fond des sillons une couche assez épaisse; e

simple au niveau de la circonvolution de l'hippocampe, dédoublé au niveau du corps calleux. Il désignait le trigone céréb

limbique (LJ. Par sa base il re- pose sur le corps calleux (Ce), au niveau du point où celui-ci pénètre dans la masse blan

ans les méthodes de Pal et de Weigert, et existe à l'état compacte au niveau du seuil de l'insula. Sur les. coupes vertico-t

ée antérieure et la face inférieure du putamen, s'entre-croisent au niveau du sillon olfactif avec les libres du genou du

tre-erois ! 1 - meut avec le faisceau longitudinal inférieur au niveau du sillon marginal postérieur dct'iusuta. T

circonvolutions temporales (T,, '1'2); elles s'entre- croisent à ce niveau avec le faisceau longitudinal supérieur (Arc).

effet per- pendiculaires à la direction des fibres rayonnantes. Au niveau du gyrus supra-marginalis, le faisceau arqué se

oisième circonvo- lution frontale (Fg) ; il s'entre-croiserait à ce niveau avec les fibres de la couronne rayonnante, puis

artie antérieure du corps calleux, traverserait la ligne médiane au niveau du genou du corps calleux, pour se terminer dan

ns l'hémisphère nor- mal ce faisceau occipito-frontal, qui forme au niveau du carrefour ventri- culaire le tapetum des anc

FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ÍI)3 calleuses. Arrivé au niveau du carrefour ventriculaire ce faisceau se recou

o-externe de ce lobe; il est probable qu'elles s'entre- croisent au niveau du carrefour ventriculaire et en particulier au n

Burdach est un faisceau à direc- tion antéro-postérieure, situé au niveau du bord inféro-externe du lobe sphéno-occipital

re de la gouttière se réfléchit en haut et en dedans, et tapisse au niveau de l'ergot de Morand le stratum calcarinum (fig.

mme les circonvolutions du lobe occipito-temporal ; peu marquées au niveau du pli courbe et de la deuxième circonvolution pa

nvolution pariétale, ces crêtes sont particulièrement accentuées au niveau des trois circonvolu- tions temporales ('C,T2,T

o-interne du faisceau longitudinal inférieur, renforce en avant, au niveau du pli rétro-11mbique, le faisceau postérieur du

l inférieur est mal déli- mité en haut; il se confond en effet - au niveau du segment rétro-lenti- culaire de la capsule i

fecte dans le lobe temporal la formc d'une gouttière. ' Arrivé au niveau du lobe temporal, le faisceau longitudinal inféri

la paroi externe du ventricule, puis s'infléchissent en dedans, au niveau de la queue du noyau caudé, pour s'irradier dans

r qu'il tapisse; ses libres se réflé- chissent une première fois au niveau du diverticule du lobule lingual et du faisceau

de la base de Henle et s'entre-croise avec celui du côté opposé, au niveau du bec du corps calleux. - Ces fibres n'affecte

bres calleuses se can- tonne dans le forceps major et intéresse, au niveau du pli cunéo-lim- bique, le forceps minor. Aprè

s en jaune paille. L'écorce cérébrale est ratatinée et sclérosée au niveau des foyers primitif (Ram), qui occupent les deux

onc du corps calleux, mais elle est en outre extrêmement accusée au niveau du bourrelet du corps calleux, en parti- culier

èce, par la méthode des coupes microscopiques sériées, montre qu'au niveau du pli courbe, la lésion pri- mitive a atteint

ramollissement récent (Rr) du pli courbe. Elle intéresse en outre au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (

ormer le faisceau inférieur du forceps et s'enchevêtrer intimement au niveau lnc. 398. Coupe vertico-transversale de la part

de coupes vertico- transversales ou horizontales sériées, jusqu'au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula (lig.

nstituent vraisemblablement de véritables fibres commissurales ; au niveau des parties latérales, les fibres subissent une

que l'articulation des pre- mières phalanges se fait à peu près au niveau pour les quatre derniers doigts. Extrémités inf

oir très facilement en regardant les cuisses de notre géant qui, au niveau du droit interne, au lieu d'être un peu saillante

mesurent 29 centimètres en longueur et 12 centimètres en largeur au niveau du pli de flexion des orteils. La voûte plantai

es cartilages épiphysaires sont parfaitement ossifiés ; seulement, au niveau du cartilage de conjugaison du radius on peut v

ps dont ils dépendent. Les membres supérieurs descendent à peine au niveau des grands trochanters : les doigts louchent à

apophyses coracoïdes est 30 centimètres. La périmètre thoracique au niveau des aisselles 77 centimètres, au niveau de l'ap

les que les droits. Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale au niveau des vertèbres dor- sales inférieures ou lombair

te et des douleurs en ceinture. La colonne vertébrale est arquée au niveau des vertèbres dorsales moyennes et inférieures. L

s de juillet les pieds ont enflé. La colonne vertébrale, surtout au niveau des lie-IVe vertèbres, est toujours très douloure

comprimât du Côté droit les racines sacrées supérieures, qui à, ce niveau partent de la moelle vers la queue de cheval. P

La sensibilité est intacte (aux membres inférieurs aussi bien qu'au niveau du sa- crum et du périnée). Le réflexe patellai

ni tuberculose ni syphilis. Le diagnostic de la tumeur médullaire au niveau des VIlle-IX" segments dorsaux nous a paru le p

) dépendant des compressions exercées par les ostéomes à différents niveaux . La dégénérescence secondaire des voies pyramid

baire et sacrée, tandis que la voie directe devient normale déjà au niveau des segments cervi- caux inférieurs. Les coupes

vre chaumière de bergers dans nos Alpes, à 1700 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il était nécessaire, ce petit préamb

tée à l'union du tiers inférieur avec le tiers moyen. En effet à ce niveau , comme on peut le voir dans la photographie, il

est tombé dans un fossé et a présenté à la suite de cet accident au niveau des articulations des poignets et des cous-de-p

ête et fut atteint de deux plaies du cuir chevelu situées l'une, au niveau du lobe frontal droit, l'autre à la région pari

entatives de suicide. A table, il essaie de se couper les veines au niveau du poignet. Dans cour du quartier, il cherche à

ive de suicide que la veille ; M. A. tente de s'ouvrir une veine au niveau du bras : il se fait même une plaie superficielle

les suivants : la sensibilité tactile et douloureuse est intacte au niveau des membres parésiés ; le sens sté- réognostiqu

a peau conserve son aspect luisant ; quelques rides apparaissent au niveau des articulations. 27 février. M. A. ne présent

e des troubles sensitifs, paralytiques, convulsifs et trophiques au niveau du bras droit permet de conclure à une lésion l

montra dans le quart supérieur du sternum une tumeur plate. Au même niveau , sur la face postérieure du sternum, on voyait

sériées démontrent que la tumeur apparaît pour la première fois au niveau du III° segment dorsal. Elle est placée en dehors

tion latérale et dorsale, et atteint son maxi- 'de développement au niveau du IVe segment dorsal (le diamètre sagittal 12

région qui correspond à la tumeur extravertébrale, c'est-à-dire au niveau des IVe et V" segments dor- saux.Dans le IVe se

tion de Weigert, Marchi, v. Gieson, d'hématoxyliue, de Nissl). Au niveau du Ille segment cervical, sur les coupes colorées

les des cornes antérieures (dans le voisinage du foyer de lésion au niveau du IV, segment cervical). Les cellules sont arron

e noyau est excentrique. Au-dessous de cette région, par exemple au niveau du Vle segment cervical, les lésions cellulaires

nt cervical, les lésions cellulaires sont moins pronon- cées, et au niveau du VIIe segment cervical ils ne sont presque plus

erve des lésions analogues dans les segments dorsaux inférieurs. Au niveau du XIIe segment dorsal déjà la lésion en foyer pr

en arrière l'angle situé entre les côtes et les corps vertébraux au niveau des IXe-XIe vertèbres dorsales. - Evidemment

a moelle était partout normale. Pourtant les coupes de la moelle au niveau des segments correspondant à la localisation de l

s, de ce côté, dans le membre supérieur et sur le tronc, surtout au niveau des dernières côtes gauches. Quelques jours apr

ticipation des méninges molles dans le processus morbide se voit au niveau du Il. segment cervical. Les masses néo- plasiq

ion et de dégénération des racines postérieures gauches (surtout au niveau du segment cervical inférieur). Il reste à ex

t de défécation. Quelquefois la colonne vertébrale est à un certain niveau douloureuse. La mort frappe vite (après quelques

anal rachidien et compriment la moelle, nous pouvons constater à un niveau correspondant des masses néoplasiques entourant l

ffuses. Les foyers de dégénérescence apparaissent dans la moelle au niveau des masses néoplasiques et dans leur voisinage

es sont quelquefois élargis. Outre ces lésions on peut constater au niveau des masses néoplasiques qui compriment la moell

veux que dans les méninges). Dans quelques cas rares on trouvait au niveau des masses néoplasiques ou dans leur voisinage

en en soulevant un fût le 17 août 1905, ressent une vive douleur au niveau de la paroi abdominale. A partir de ce moment i

phalangien, est rapprochée de la longueur apparente, déterminée parle niveau du pli interdigital dorsal. 238 S C H EVALU

de l'en- fance ; à 12 ans, dans une chute, il se fit une lésion au niveau du pariétal gau- che, qui guérit en huit jours

péroné est, elle aussi, déformée ; sa pointe atteint à peu près le niveau de la ligne articulaire. La rotule ne présente

on condyle interne. Le péroné parvient avec sa pointe supérieure au niveau de la ligne articulaire. L'extrémité supérieure

bécules osseuses qui courent le long de la tubérosité de cet os, au niveau des processus médians et latéraux, présentent c

aire. La boîte crânienne est très grosse, remarquablement bombée au niveau des os pariétaux, proéminente au niveau du fron

, remarquablement bombée au niveau des os pariétaux, proéminente au niveau du front où elle surplombe les os de la face. L

ne présentent au- cune déformation soit dans leur diaphyse,soit au niveau des extrémités épiphy- saires. Leur surface est

es douleurs tantôt légères, tantôt violentes, localisées surtout au niveau des os pariétaux et de l'os frontal. Aucune aut

ssit pas à étendre complètement l'avant-bras. Il élève le bras à un niveau qui n'est pas de beaucoup supérieur à l'horizonta

ns le canal rachidien, dont le diamètre antéro-postérieur est, à ce niveau , de 2 centimètres. En regard de la lésion osseuse

L'étude histologique de la moelle, ne nous a montré ni sclérose au niveau du sillon transversal marqué par l'os, ni dégénér

ns nerveuses (dégénérations et léger oedème des cordons latéraux au niveau des lésions tuberculeuses) semblent dues au foyer

la dure- mère) était plus mince au niveau de la VIIe vertèbre qu'au niveau des VIIIe et TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET D

les et leurs cloi- sons médullaires sont infiltrées. Ce n'est qu'au niveau des segments dorsaux supérieurs que la figure d

ations pathologiques des méninges molles sont in- signifiantes à ce niveau (la région postérieure). En descendant (du nive

signifiantes à ce niveau (la région postérieure). En descendant (du niveau de la tumeur), on voit des modifications notab'es

nt telles que pas une seule cellule nerveuse normale ne persista au niveau de la tumeur et à une grande distance au-dessous

faux névromes en témoignent. Toutes ces lésions sont localisées au niveau même de la tumeur aussi bien qu'au-dessous et a

rmales, mais déplus on constate dans cette région, très éloignée du niveau du néoplasme, des foyers surtout dans les cordons

sur la loi de Scherrington-I3runs nous avons localisé la tumeur au niveau des Ve et VIe segments dorsaux. A l'opération on

NNE VERTÉBRALE 321 démontre dans la suite que la tumeur occupait un niveau à 2-3 millimètres au-dessous de l'endroit opéré

t pas s'asseoir sans aide ; elle ne peut non plus rester assise. Au niveau des vertèbres dorsales inférieures. on voit une

vertèbres dorsales et l'on incisa la dure-mère même au-dessus de ce niveau . La méninge ne présentait pas de pulsations. La

oit. 6. Tumeur. 7. Racine postérieure. xxiii 22 330 FLATAU ' Au niveau du pôle inférieur de la tumeur, la moelle devient

érieure. En descendant le long de la moelle on con- state encore au niveau des segments dorsaux inférieu rs des masses dégén

dégénérées dans le faisceau pyramidal gauche latéral. Tandis qu'au niveau des segments lombaires inférieurs et sacrés les

petit nombre de cellules nerveuses ; celles-ci se trouvent aussi au niveau où la tumeur a atteint son maximum d'épaisseur.

l'endroit où il y avait une cellule. Au-dessous et au-dessus de ce niveau le groupement des cellules nerveuses redevient

te. Elles frappent tous les segments examinés microscopiquement. Au niveau du Ve segment dorsal, les coupes démontrent des

presque immédiatement au-dessous et au-dessus de la tumeur. Même au niveau du pôle inférieur et supérieur de la tumeur, la s

escend la VII° racine verticale bien amincie. La moelle épinière au niveau de la tumeur est comprimée, refoulée à droite et

niveau de la tumeur est comprimée, refoulée à droite et ramollie. Au niveau de la VIIe racine cervicale, la moelle a pris l

de la VIIe racine cervicale, la moelle a pris la forme d'un ruban. Au niveau des Y- et VI' racines cervicales postérieures l

tion interne commencent à disparaître. En remontant on voit déjà au niveau du pôle supérieur de la tumeur, c'est-à-dire au n

voit déjà au niveau du pôle supérieur de la tumeur, c'est-à-dire au niveau du VIe segment cervical (la ligne 5, fig. 18),

moitié droite de la moelle épinière a 7 millimètres de largeur à ce niveau , la moitié gauche 4 millimètres 334 FLATAU

ux dilatés. Par places les espaces périvasculaires sont élargis. Au niveau du Ve segment cervical (au-dessous de la ligne

'on descend un peu plus bas,ces lésions disparaissent vite. Déjà au niveau du 1er segment dorsal on voit uniquement la dégén

légère dégénéres- cence secondaire dans les deux cordons de Goll au niveau du IIe segment cep' vical. Il est étrange que c

es- sous et au-dessus de la tumeur. Tandis que les coupes faites au niveau du maximum de la compression montrent des lésio

mpression montrent des lésions très prononcées, celles , situées au niveau des deux pôles de la tumeur présentent la configu

han- ches). La colonne vertébrale est douloureuse à la pression au niveau du IXO segment dorsal. Une escarre grande comme

es troubles sensitifs sont les mêmes. Le maximum de douleurs est au niveau des Ve et VIe vertèbres dorsales (surtout la Ve

e la tumeur n'adhère pas à la dure-mère. La moelle semble être à ce niveau un peu dilatée. En haut la ligne de séparatio

nstate que son pôle supérieur sous forme d'une languette atteint le niveau où la IXe racine dorsale quitte la dure-mère. A

eur, dans une grande étendue est adhérente à la méninge molle. A ce niveau on voit une racine postérieure dégénérée englob

e en se colorant intensivement (fuchsine). , Plus haut encore, au niveau des segments correspondant à peu près au X-3 se

rescence de la voie cérébelleuse gauche. xx III 23 346 FLATAU niveau de la partie supérieure du Xe segment dorsal (fig

péra- tion. L'autopsie montra une tumeur longue de 3 cent. 1/2 au niveau des Xc, Xh et XIIe segments dorsaux en partie a

, sur la face postérieure, des petites tumeurs situées à différents niveaux . Après l'incision de la dure-mère on constata que

rencontré un grand nombre de corpuscules amyloïdes. Sur d'autres niveaux de la moelle on voit des modifications analogues,

ont relativement peu modifiées. Dans quelques endroits seulement,au niveau du premier segment dorsal par exemple, on voit

ère et de gommes partant de sa face interne. Ainsi, par exemple, au niveau du V° segment lombaire les méninges molles n'on

ne modification notable de la con- figuration de la moelle. Même au niveau des gommes assez grandes, la moelle conservait

servait sur la coupe sa forme ronde et sa configuration normale. Au niveau du VIe segment dorsal la gomme a pénétré dans la

res types 4 et 5. 5. Disposition des cellules de l3ctz a différents niveaux de la frontale ascendante. MASSOO & Cie, éd

l dépendent dans une certaine mesure de l'âge du sujet ainsi que du niveau où la mensuration a été pratiquée. Rarement cette

En effet, le volume des pyramides géantes varie dans les différents niveaux de la zone motrice, en diminuant au sur et mesu

s-granulaires de la pariétale ascendante ont disparu également à ce niveau . Les lésions cellulaires sont un peu moins accu-

égie flasque consécutive à une fracture de la colonne vertébrale au niveau des segments X et XI dorsaux. Durée de la survi

ture de la colonne vertébrale qui sectionnait la moelle épinière au niveau du second segment lombaire. Durée de la maladie :

maladie 68 jours. Examen macroscopique.- Destruction de la molle au niveau du VI" segment cervical. Examen microscopique.

paraplégie, 6 mois. Examen macroscopique. Compression de moelle au niveau du IXe segment dorsal. Examen microscopique. Da

-Kyste hydatique qui avait fortement comprimé la moelle épinière au niveau du X" segment dorsal. Durée de la paraplégie, 8 m

d'un oeuf de 394 MARINESCO pigeon qui avait comprimé la moelle au niveau du premier segment lombaire. A droite la moelle

Examen macroscopique Gibbosité com- primant légèrement la moelle au niveau du VIe segment dorsal. Examen microscopique. Le

croscopique. Kyste ayant fortement comprimé et déformé la moelle au niveau du VU' segment dorsal. - Examen microscopique.

dehors jusqu'à la ligne mamillaire. De cette masse se détache, au niveau du 2° espace intercostal, et sur le prolongemen

e la zone du sein, allant en s'amincissant progressivement jusqu'au niveau du bord interne du deltoïde, s'infléchissant en

forme d'une bande fortement pigmentée pour s'étaler en éventail, au niveau du creux poplité, en lignes analogues aux vibic

, le premier des rameaux récurrents du petit sciatique qui, émis au niveau du bord inférieur du grand fessier, apportent l

upe donc en avant la région antérieure du 3e espace intercostal, du niveau de la 3 côte jusqu'à celui du 4° intercostal, la

itique des 88, 9e et 10" nerfs intercostaux, dispositions qui, à ce niveau , se recouvrent à peu près; mais en avant, la ba

nerf intercos- tal gauche, depuis la ligue vertéhrale,jnsl[n' : l11 niveau de l'ombilic ; s'arrêtant en arrière comme en a

, com- plètement de celle du type névritique, très descendante à ce niveau ; et elle se rapproche étrangement de celle d'u

. Hallopeau, s'accumule leur action. Et ce sont également celles au niveau desquelles, pendant le développement embryologi

colent deux territoiies cutanés en voie de formation, il se fait au niveau du cho- rion correspondant à la surface épiderm

r le front, on n'observe aucune différence entre les deux côtés. Au niveau des faciaux inférieurs, on note que le facial d

est à peu près segmentaire et s'arrête d'une façon assez précise au niveau du coude : mais il est surtout développé sur le b

ale supérieure. L'allas et l'axis sont soudés en une seule masse,au niveau du corps,de l'apo- physe odontoïde (sauf à gauc

se odontoïde ; il est oblique ovalaire à gros bout antéro-droit, au niveau de l'atlas ; antéro-gaucbe au niveau de l'axis ;

.La colonne a été rompue (au cours de l'enlèvement de la moelle) au niveau des corps C 5,C 6 corps affaissés et soudés, somm

ostérieur est ici très fermé, là très ouvert, suivant la côte et le niveau considérés. Le sternum est court, large ; ses t

raréfiante et sa face supéro-externe est en partie détruite : à ce niveau existait avant la mort une zone cutanée, livide

um des lésions osseuses (modifications de l'ombre) paraît siéger au niveau du métacarpien le plus court. Un examen direct

existent avec des exostoses multiples dévelop- pés exclusivement au niveau des cartilages de conjugaison ; les diaphyses s

de a de la fièvre, la température atteint 40°6 (38° et 39° était le niveau ordinaire). En même temps survient de la cystit

ntourant la moelle du côté des cordons anté- rieurs et latéraux. Au niveau du VIIIe segment cervical, l'aspect de la moelle

que saine autour des cordons autéro-latéraux est plus large. . Au niveau du VIle segment cervical cette zone périphérique

t dans le premier segment cervical. 1. Un descendant ou voit : au niveau du 1 segment dorsal une perte complète de la st

'on trouve aussi dans la région de la corne antérieure droite. Au niveau du VIle segment dorsal.on voit le reste de cette

la fente syringomyélique dans la partie centrale de la coupe. Au niveau du Xe segment dorsal on voit seulement la fente s

Dans un cas décrit par Ilamson Thompson (un sarcome extra-dural au niveau des VIlle-IXe racines dorsales), le ma- lade re

exemple dans VIe cas précité d'Oppenheim, elles siégeaient même au niveau de la nuque et de l'occiput. Dans notre XXIE obse

Nonne). Les traits caractéristiques des différents cas dépendent du niveau où se trouve la tumeur. Lorsqu'elle est située

i, des atrophies musculaires dans un cas où la tu- meur siégeait au niveau des VIIIe-IXe racines dorsales antérieures). Si

meur. La configuration interne de la moelle devient normale déjà au niveau du pôle supérieur et inférieur de la tumeur, Mi

come de la région cervicale inférieure et dorsale) on constatait au niveau du 1111, segment cervical un foyer alvéolaire dan

le inférieure) on pouvait constater la dégénérescence ascendante au niveau du Ile segment cervical, tandis qu'au niveau du

rescence ascendante au niveau du Ile segment cervical, tandis qu'au niveau du IVe elle était absente. Dans le XIX" cas (tume

uses et l'absence de dégénérescences secondaires. En effet, même au niveau du maximum de compression exercée par la tumeur

ctères du tissu adipeux et des amas de la même nature existaient au niveau des plexus choroïdiens du ventricule latéral. L

nt dilatés dans leur tota- lité, mais un degré moindre cependant au niveau des cornes occipitales. Le tapétum des cornes t

ions asymétriques. Les connexions les plus symé- triques se font au niveau des lobes frontaux. A la suite de lésions corti-

es de la couronne rayonnante et par les fibres calleuses. Arrivé au niveau du car- refour ventriculaire, ce faisceau se re

ro-externe de ce lobe ; il est probable qu'elles s'entrecroisent au niveau du carrefour ventriculaire et en particulier au n

ieure sont intègres. Le corps du trigone fait totalement défaut. Au niveau du lobe occipital, aucune des scissures typiques,

l est intimement uni, diminue rapidement de volume et disparaît, au niveau du pulvinar, sous l'écorce de la circonvo- luti

ssous de la capsule externe. Au sur et à mesure que l'on aborde les niveaux plus postérieurs, ces fascicules s'infléchissen

ngerle donne le nom de faisceau d'association fronto-temporal. Au niveau du lobe occipital, le tapétum est formé, selon l'

d un développement exagéré lorsque le corps calleux fait défaut. Au niveau du lobe pariétal, le faisceau fronto-occipital es

eur du corps calleux ; en d'autres termes, elles cons- tituent à ce niveau le tapétum. Contrairement à l'opinion de Oscar Vo

faisceau autonome, le faisceau d'asso- ciation fronto-temporal. Au niveau du lobe occipital gauche, un certain nombre des

ais plus en arrière il s'enfonce dans la profondeur de celui-ci. Au niveau du lobe frontal, le trigone est renforcé par un g

llement développé, mais le splénium manque totalement. En avant, au niveau du lobe frontal, il existe au-dessus du corps c

rement les dessins de Dejerine, dans lesquels on ne retrouve pas au niveau du tapétum, la couche pour- tant bien caractéri

-dessous du noyau lenticulaire jusque dans la capsule ex- terne. Au niveau du carrefour ventriculaire,le faisceau calleux lo

ssure calleuse et des fibres de pas- sage se retrouvent ai tous les niveaux entre le corps du trigone et le fais- ceau call

côté, le pôle frontal de l'hémi- sphère. Sur une coupe pratiquée au niveau du rudiment du corps calleux, on voit que celui

e égale- ment un grand nombre de foyers hémorragiques minuscules au niveau de l'écorce et au niveau de la substance blanch

le trigone et le corps calleux, un espace assez considé- rable, au niveau duquel les ventricules latéraux se trouvent à com

sentent une microgyrie généralisée mais particuliè- rement nette au niveau du lobe frontal et du lobe occipital. Le cervelet

ites. Il n'existe nulle part, soit au niveau de la méninge, soit au niveau du revêtement épendymaire, la moindre trace d'inf

rares fibres saines. Il en est de môme du tronc de la IIIe paire au niveau du sinus caverneux (PI. LXIV, B) ; en outre, su

ment dégénéré (PI. LXV, G). La racine motrice est très dégénérée au niveau du cul-de-sac dure-mérien (PI. LXV, II) : les f

à la limite habituelle des deux cou- rants, externe et interne, au niveau du quatrième métacarpien, que siège en général

e est extrêmement rare durant la première. A-t-elle été observée au niveau des métacarpiens (l).Bardenheuer (2) l'admet. Mai

0/0. Il est à noter que ces opérations furent exécutées à tous les niveaux . même dans la région des premières vertèbres ce

ÉBRALE GOL t ManFAN.- Tubercule solitaire de la moelle, siégeant au niveau des 11-111 paires sacrées. Semaine méd., 1897,

aques. Elles le sont d'autant plus que la substance cérébrale, à ce niveau est dense et forte- ment colorée ; de plus le t

t forte- ment colorée ; de plus le tissu cérébral est infiltré à ce niveau de très non- breuses cellules à noyau ronds et

re exagérée de la scissure cal- carine, laquelle atteint presque le niveau des tubercules quadrijumeaux. La commissure ant

mitable en raison de l'absence du sillon et du bulbe olfaclifs. Au niveau de la face interne du lobe frontal,les circonvo

prononcées. On nota, en plus, un foyer hémorragique assez récent au niveau du noyau lenticulaire droit. Après avoir été du

me saillie à la surface orbitaire. Nous en reprendrons l'étude à ce niveau . , Dans la partie postérieure du lobe frontal (

er l'emplacement du ventricule latéral si profondément atteint à ce niveau . Sur les plans antérieurs à celui- ci, il y a f

rs fibres étant trop considérable. On distingue très nettement à ce niveau les deux couches sagittales de la couronne rayo

couronne rayonnante voisine, au sur et à mesure que l'on aborde les niveaux plus postérieurs, un nombre toujours croissant

e l'écorce limbique et la face dorsale de la couche optique. A ce niveau , l'ensemble des fibres situées en dedans et au-de

ions de la face interne de l'hémisphère qui n'attei- gnent pas à ce niveau la ligne médiane. Le long du bord inférieur de la

corps genouillé externe. Un petit foyer de ramollissement siège au niveau du noyau médian de la couche optique et a proba

édian. De même, la couronne rayonnante temporale n'offre guère à ce niveau de modifications importantes. On doit toutefois s

du corps calleux normal telle qu'elle a été décrite par Anton. A ce niveau , le cin- gulum semble occuper un champ ovalaire

ontour irrégulièrement épaissi et noduleux ; en divers endroits, au niveau du noyau caudé en particu- lier, l'épendyme est

de l'écorce limbique. Le faisceau sagittal médian s'étend donc à ce niveau au-delà de la voûte du ventricule pour descendr

ande verticale régulièrement striée. Nous nous trouvons donc à ce niveau en présence de ce fait très intéressant, à savo

est encore bieu défini mais on ne retrouve plus très nettement à ce niveau le cin- gulum pariétal. Lobe occipital. Dans

tement appuyée aujourd'hui par ce fait que l'on ne retrouve pas au niveau actuellement à l'étude, la moindre trace du fai

tre, le faisceau de Vialet est particulièrement bien différencié au niveau du lobule lingual à travers toute l'étendue du lo

rieur que dans son segment inférieur. On commence à distinguer à ce niveau , le faisceau transverse du cunéus de Sachs. Qua

er en même temps toutes les particularités qui s'observent à chaque niveau , que de décrire chaque lobe isolément. Sur le

nce grise hétérotopique analogues à ceux que nous avons observés au niveau du lobe frontal gauche. Ce qui plaide en faveur

n arrière le segment temporal de la paroi ventriculaire externe. Au niveau du lobe occipital et des circonvolutions de la

ttre l'existence probable d'un certain contingent de fibres calles au niveau de la paroi ventriculaire interne. La fimbria e

et représente la corne frontale du ventricule latéral qui est il ce niveau presque complètement obli. téré ; les parois ve

oisine. Cette membrane, recouverte par la pie-mère, est formée à ce niveau de deux feuillets ; l'un postérieur qui adhère

limbique, et contribue à la formation du plexus choroïdien situé au niveau du trou de Monro. Les altérations vasculaires si

et la cir- convolution de l'hippocampe atteint en avant presque le niveau de la commis- sure molle. Un peu plus haut, la

insi à former une cavité étroite dirigée d'avant en arrière. ' Au niveau delà paroi interne de la corne temporo-sphénoïdal

faisceau sagittal médian (Ballcenlangsbündel de Probst) forme à ce niveau la plus interne des couches sagittales médianes d

amment intéressantes pour que nous nous y arrêtions davantage. A ce niveau , le trigone est situé luc. 5. 652 ARCHAMBAULT

s que subissent leurs rapports. Au sur et à mesure qu'on aborde les niveaux plus élevés, on voit que de pair avec le dévelo

isceau sagittal médiau qui s'élargit de plus en plus constitue à ce niveau le seul fais- ceau de la région interne de l'hé

rien de celui que l'on observe sur une coupe normale prise au même niveau . Que le faisceau sagittal médian n'est autre qu

ipital en côtoyant l'angle supéro-interne du ventricule latéral. Au niveau du carrefour venlricu- AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEU

soudure conserve toute son importance à condition qu'elle siège au niveau des cornes frontales. L'em- bryologie nous dit

ut sur la ligne médiane alors qu'elle se retrouve très nettement au niveau du corps strié dans l'un et l'autre hémisphère. V

se souviendra, en-effet, que le tapétum fait complètement défaut au niveau du lobe occi- pital et de la paroi interne de l

recherches du même ordre. z Quant à la réaction qui s'observe au niveau du tapétum dans les cas de lésion du corps call

e, et nous avons constaté que le corps du trigone reçoit à tous les niveaux des libres qui lui viennent de la première cir-

poro-sphénoïdal. 660 AItCIlAnI l3AULT La structure de l'écorce au niveau des régions atteintes de microgyrie ne nous a p

n par leur psychisme des individus nor- maux du même âge et du même niveau social. Von Hansemann a déjà ex- primé, à propo

est pas arriéré psychiquement, mais est avancé pour son àge, et son niveau intellectuel est comparable à celui d'un adoles

intercondylienne. Mais ayant placé sa rotule beaucoup trop bas, au niveau ou même un peu au-dessous du niveau de l'interl

sa rotule beaucoup trop bas, au niveau ou même un peu au-dessous du niveau de l'interligne articulaire, il a dû creuser un

es mouve-' ments de la tête et des yeux, centre qui serait situé au niveau du pli courbe, Ces derniers auteurs admettent m

actlopatlaie. Il semble que l'ongle soit le premier atteint ; à son niveau apparaissent des douleurs ; il s'incurve et pouss

nfin, chose importante, au-dessus du tuberculum sellae justement au niveau du chiasma, on aperçoit l'existence d'une masse o

s furent successivement les pieds, le nez et les coudes. C'est au niveau des pieds que nous avons observé les lésions les

iquée, à gauche, de petites phlyctènes avec lymphangite secondaire au niveau du 3e orteil (et ceci explique l'aspect un peu

ous les orteils ; ces alté- rations étaient un peu plus marquées au niveau des deuxième et quatrième orteils où la teinte

'environ trois travers de doigt. ' Rien d'analogue à ce moment au niveau des deux mains ou des doigts, des genoux, des o

étaient accompagnées d'une hypothermie locale, surtout décelable au niveau des orteils, mais on ne notait aucun trouble év

pisode asphyxique, la malade a présenté des phénomènes analogues au niveau des deux yeux. Cette fois la rougeur locale a d

sions siégeaient en elfet, par ordre d'importance et de gravité, au niveau des orteils, du nez et des coudes. Le second ac

he. De ce côté, le groupe bien limité de grains noirs qui occupe au niveau du segment C,, la zone du faisceau de Gowers (f

- Segm. CI 68 LONG passage du faisceau pyramidal croisé qui, à ce niveau , s'étale jusqu'à la surface de la moelle.- On

s noyaux correspondants; celles des faisceaux de Burdach, lésées au niveau du renflement cervical et refoulées par l'arriv

jours qui suivent ce deuxième examen, l'anesthésie monte jus- qu'au niveau des mamelons, et même un peu au-dessus (sa limite

sur une faible hauteur, est légèrement déviée vers la droite. A ce niveau on peut apercevoir, en découvrant les racines gau

ne savait que cette augmentation de la névroglie peut s'observer au niveau du cordon postérieur de l'adulte indépendamment

et d'autre du sillon médian postérieur est à peu près intacte. Au niveau des cordons de Burdach qui sont presque normaux,

atteintes pour la plupart d'al- tération nette. 6e dorsale. A ce niveau l'état histologique de la moelle change assez b

e de Clarke restent plus volumineuses à droite qu'à gauche jusqu'au niveau des derniers segments dorsaux ; quelques faisceau

cheval, dont nous avons fait des cou- pes transversales à plusieurs niveaux , nous ont paru normales. 3° Moelle ET racines a

s. 3° Moelle ET racines au-dessus DE la COMPRESSION. Au-dessus du niveau de la compression, la moelle présente quelques al

ant sur la substance grise et sur le faisceau antérieur à partir du niveau de la compression jusqu'aux dernières dorsales.

aucun compte de cette limite pour fixer dans ce cas particulier le niveau inférieur de la compression. DYSTROPHIES GIGANT

paraît peu développé ; à peine trouve-t-ou quelques poils rasés au niveau du pubis. Le fonctionnement des appareils respira

extré- mités phalangiennes paraissent un peu- érodées ; surtout au niveau des trois derniers orteils qui ont échappé à la

cupe, la dystrophie du type gigantique est inégalement répartie au niveau d'une même région. S'agit-il d'une syphilis h

gauche ; paresthésies dans les jambes avec douleurs musculaires au niveau des mollets; parésie des fléchisseurs des cuisses

teurs. Chez F..., la motilité volontaire est complètement abolie au niveau des orteils et du cou-de-pied. Elle est au cont

normales. Chez S..., la motiiité volontaire est également abolie au niveau des orteils et du cou-de-pied. Au niveau du gen

re est également abolie au niveau des orteils et du cou-de-pied. Au niveau du genou, les mouvements de flexion et d'extens

'abduction du bras. Chez S...', la force musculaire est diminuée au niveau des mus- clea du bras, très diminuée au niveau

aire est diminuée au niveau des mus- clea du bras, très diminuée au niveau des muscles de Pavant-bras, bien que les mouvem

te raison, ce contraste, dis-je, se retrouve encore plus frappantau niveau des membres supérieurs. Avec des mains extrêmem

gomyélique. Chez lui aussi l'impotence fonctionnelle est absolue au niveau des mains. Je signale, en passant, chez F... l'

tats intéressants. Chez F..., les réflexes tendineux sont abolis au niveau du tendon d'Achille; conservés partout ailleurs

nées les alté- rations des nerfs périphériques, notables surtout au niveau des rameaux musculaires, voir là, avec Hoffmann

l'occasion d'observer des réactions dégé- nératives très nettes au niveau du noyau rouge. Il s'agissait, tantôt de dégéné

celle-ci le point d'origine de la réaction dégénérative observée au niveau du noyau rouge. Dans le second cas (cas Leudo

le pour expliquer les phénomènes dégénéra tifs qu'il a constatés au niveau du noyau rouge ? A cet égard, il est intéressan

ertaines de ses ob- servations, des phénomènes de dégénérescence au niveau du noyau rouge. Les quelques cas dans lesquels

ta- lité de l'hémisphère tout en étant de beaucoup moins accusée au niveau des circonvolutions frontales. La réaction du n

en soit, cet auteur n'a pas constaté de phénomènes dégénératifs au niveau des cellu- les nerveuses, et ne décrit aucune a

ne et 0, à 03) ; dans deux enfin, les lésions siégeaient surtout au niveau du lobe temporal (Fi à F3 et région occipito-te

ions manifestes (réduction de volume, dégénérescence secondaire) au niveau du no5au rouge. Les lésions, dans trois de ces

fs, occupaient le lobe fron- tal ; dans quatre, elles siégeaient au niveau des circonvolutions centrales et de la région o

ule rolandique, on observa également une réaction très manifesie au niveau du noyau rouge mais à topographie net- tement d

yau, dont le volume était réduit d'un quart au moins, présentait au niveau de son tiers moyen une atrophie très marquée, laq

ticale absolument dis- tinctes et indépendantes : l'une siégeant au niveau du lobe préfrontal, l'autre au niveau de la rég

a presque totalité d'un hémisphère cérébral, on observe toujours au niveau du noyau rouge une atrophie et une dégénérescen

que et la zone capsulaire frontale du noyau rouge, elle s'épuise au niveau du tiers antérieur de ce noyau dont elle intéress

ine dans la moitié antérieure de ce noyau. Les fibres s'épuisent au niveau - des zones grises médiane et dorso-médiane du

atteintes par les lésions frontales, la réaction que l'on observe au niveau du noyau rouge est de beaucoup plus intense que

agittale externe que sur une très faible étendue (1 cm. environ) au niveau d'un plan ver- tical passant par le corps genou

au rouge près de son an- gle postéro-exlerne et qu'elle s'épuise au niveau des zones sous-capsulaires postérieure et posté

cune autre lésion, soit au niveau de l'hémisphère cérébral, soit au niveau du tronc encéphalique. Dès cette constatation,

i- quées. Par contre, lorsque le ramollissement siégeait surtout au niveau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROU

de l'hippocampe ; dans deux, il se localise presque entièrement au niveau du lobe occipital ; dans un, le foyer se limite

l n'en est que trois qui se caractérisent par une réaction nette au niveau du noyau rouge ; ce sont les lésions : a) de la

lobule lingual ainsi que la moitié interne du lobule fusiforme. Au niveau du plein développement du carrefour ventriculaire

ventriculaires. La lésion de l'hippocampe s'étend en avant jusqu'au niveau d'un plan vertical passant par la commissure post

lle passe par la partie moyenne du noyau rouge, on ne voit plus, au niveau du champ juxta rubrique latéral, l'interrup- ti

t guère changé. La dernière coupa de cette série (Fig. 4), prise au niveau du pôle antérieur Fic. 4. 204 LA SALLE ARCHAM

auche. Le foyer s'étend du pôle postérieur de l'hémisphère jusqu'au niveau d'un plan vertical passant immédiatement en avant

et l'extrémité postérieure de la circonvolution de l'hippocampe. Au niveau du carrefour ventriculaire, la lésion occupe la p

les coupes intéressant l'extrémité antérieure du noyau rouge. A ce niveau , la lésion s'étend dans un sens vertical oblique,

es situées plus en arrière, la dégénérescence s'épuise en partie au niveau du corps quadrijumeau anté- rieur et du pulvina

u trigone résulte de l'atteinte directe de son pilier postérieur au niveau du carrefour venlriculaire. Sur une coupe (PI.

e du noyau rouge. Cette dégénérescence linéaire est très visible au niveau du champ juxta-ruhri- que latéral dont elle for

de du lobe pariétal. Il existe quelques petits foyers lacunaires nu niveau de la partie supéro-interne de la couche optique,

parfaitement incolore. La coupe suivante (PI. XXXV-C) est prise au niveau du maximum de la lésion centrale et passe par l

mblablement d'une atrophie, dite indirecte ou de second ordre. A ce niveau , le corps du trigone est non seulement totalement

n arrière près de la pointe occipitale et s'étend en avant jusqu'au niveau d'un plan vertical passant par le bord antérieur

eint. Le petit foyer de la couronne rayonnante pariétale offre à ce niveau son maximum d'intensité et n'est nullementrespon-

vons réussi à obtenir des coupes très fortement colorées excepté au niveau du lobe pariétal, il s'en suit également que le

ule cérébral. On dirait que la dégénérescence s'épuise en partie au niveau , du locus niger, lequel renferme, immédiatement

rtie médiane du champ juxta-rubrique latéral, mais c'est surtout au niveau du noyau rouge lui-même que la dégénérescence s'i

latéral ainsi que du troisième ventricule. La réaction observée au niveau du noyau rouge n'intéresse que ses deux tiers an-

nce profonde de la convexité pariétale-et de la capsule externe. Au niveau de la couche optique, on remarque une atrophie no

oration intense observée sur les coupes précédentes. Par contre, an niveau du noyau rouge lui-même, la dégénérescence pers

epen- dant renferme quelques lacunes. Sur les coupes prises à des niveaux plus antérieurs, on constate une dégé- nérescen

mais la couche optique reprend un aspect relative- ment normal. Au niveau du bord inféra-interne du corps genouillé externe

sous-corticale du pied de la troisième circonvolution frontale. Au niveau du carrefour ventriculaire, ce ramollissement d

tro-latérale. On constate également une interruption gros- sière au niveau du champ de fibres qui recouvre le bord externe d

lus ou moins généralisée mais nettement plus accentuée toutefois au niveau des zones marginales grises dorsale et dorso-médi

mement marquée des deux tiers supérieurs de la capsule interne. Au niveau de la couche optique, on remarque encore une at

la zone ventro-latérale. Il existe encore une certaine raréfaction au niveau du champ de fibres situé en dehors du noyau rou

convexité temporale ne déterminent des phénomènes dégénératifs au niveau du noyau rouge que lorsqu'elles impliquent les co

r reconnaître qu'elles ne produisent aucune réaction appréciable au niveau du noyau 218 LA SALLE ARCHAMBAULT rouge. Nous

rconvolution limbique, et, dans ce cas, la réaction dégénérative au niveau du noyau rouge est des plus nettes. On se souvi

tié posté- rieure du noyau rouge mais elle est surtout accentuée au niveau du tiers postérieur ; elle atteint tout particu

le et dorso-médiane de ce noyau. Ici encore on constate, surtout au niveau du tiers moyen du noyau rouge, que la zone gris

traux et au pied du pédoncule cérébral. Ces lésions entraînent, au niveau de la couche optique, la dégénérescence surlout

u noyau rouge pour s'irradier ensuite à l'intérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénére

et les zones marginales grises dorso- latérale et dorso-médiane. Au niveau du tiers moyen, la dégénérescence porte encore

u noyau rouge, mais surtout sur le tiers postérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur, la dégéné- rescence porte

ale el sur les zones marginales grises dorsale et dorso médiane; au niveau du tiers moyen, elle atteint surtout les zones

iétal retentissent sur les deux tiers antérieurs du noyau rouge. Au niveau du tiers anté- rieur de ce noyau, la dégénéresc

et ies zones marginales grises dorso-médiane et dorso-lalérale; au niveau du tiers moyen, elle intéresse la capsule latér

urs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers moyen de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénéresc

ur les zones marginales grises dorso-médiane et dorso-latérale ; au niveau du tiers moyen, elle intéresse surtout les zone

actères histologiques de la dégénérescence secondaire ob- servée au niveau du noyau rouge, nous avons essayé de nous en rend

ifs si bien décrits déjà par von Monakow. On constate, en effet, au niveau des zones dégénérées du noyau rouge, la dispari

à des lésions siégeant dans le voisinage du noyau lenticulaire, au niveau du bord externe de la moi- tié postérieure de l

'une autre voie, laquelle évidemment ne sera pas la même à tous les niveaux . Du reste, il faut bien le dire, ces divers troub

capsule interne et par le champ de Wernicke. Elles s'épuisent au niveau du segment postérieur du noyau rouge et affectent

l y a quatre ans. Les arcades orhitaires sont très en relief et, au niveau des sinus frontaux, on sent encore mieux qu'on ne

s par l'écar- tement très notable des incisives et des canines à ce niveau ; de plus, la peite des rapports normaux des os

s de l'acromégalie, des signes traduisant un trouble fonctionnel au niveau des organes hémato- poiétiques, du fait d'une s

243 l'acide nitrique sur la paroi du tube à une faible distance du niveau du liquide, nous ayons considéré le précipité q

atiquées alternativement sur le côté droit et sur le côté gauche au niveau des régions temporales. Le malade a reçu en tou

vésicules aberrantes. Elle siège de haut eu bas (PL XLII). 1° Au niveau du bras, sur le bord postéro interne jusqu'à une

logie, le 7 mai 1914. ' 252 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUÉJOUL 2° Au niveau du coude, elle siège sur la moitié externe de la

dans les deux tiers infé- rieurs toute la face postérieure. 4° Au niveau du poignet, l'éruption occupe toute la face posté

e que de la droite. Ces douleurs légères, ces troubles moteurs au niveau des deux épaules sont antérieurs au zona et rem

ntué sur tout le territoire du zona. 1 Sensibilité objective : Au niveau du membre supérieur gauche, la sensa- tion de c

du côté opposé. La douleur est nor- malemeut perçue partout sauf au niveau du membre supérieur gauche. A ce niveau, il n'y

meut perçue partout sauf au niveau du membre supérieur gauche. A ce niveau , il n'y a pas d'analgésie véritable mais une zone

ège de l'hypoalgésie. Le sens des attitudes est également altéré au niveau des derniers doigts. Ce sens paraît à peu près

anges sur les seg- ments correspondants, flexion surtout marquée au niveau des troisième et quatrième doigts. Le cinquième

bras, on constate une atrophie très accentuée et surtout marquée au niveau Je la région postérieure; encore faut-il remarque

TUÉJOUL Le bras est extrêmement atrophié, il faut encore noter à ce niveau une adipose sous-cutanée importante; la flexion

nt flasques, mobiles, sans rétraction tendineuse ni contracture. Au niveau du cou et de la nuque, tous les mouvements actifs

noter enfin que l'on ne voit pas de secousses fibrillaires, même au niveau des membres supérieurs où elles existent peut-ê

intermittences. Elles siégeaient et siègent encore actuellement au niveau du genou, du cou-de- pied et des mains; elles a

avec une certaine force. Encore celle-ci est-elle très diminuée. Au niveau du poignet gauche, seule la flexion se fait, très

onation sont impossibles. L'amyotrophie est il peu près complète au niveau du bras. L'extension, la flexion de l'avant-bras

, l'avant-bras sont exactement comparables à droite et à gauche. Au niveau du bras droit, il ne faut signaler qu'une conserv

nte. La sensibilité superficielle semble à peu près normale sauf au niveau des membres inférieurs où l'on constate une zone

pour les trois modes : contact, douleur, sensibilité thermique. Au niveau des jambes et des cuisses, les troubles de la s

plus profondément altérée. La baresthésie est à peu près abolie au niveau des pieds ; elle est diminuée partout ailleurs

des pieds ; elle est diminuée partout ailleurs et en particulier au niveau des mains. Les vibrations du.dia- pason sont à

eau des mains. Les vibrations du.dia- pason sont à peine perçues au niveau des membres inférieurs et du membre supérieur g

vasomoteurs, il faut signaler une sensation subjective de froid au niveau des mains et non des pieds ; cette sensation n'es

t la dure-mère sur sa face dorsale, on se heurte à un obstacle à ce niveau , les méninges y faisant corps avec la moelle. P

sait donc d'une tumeur ayant exercé une compression de la moelle au niveau des 9e et 10e vertèbres dorsales, du côté gauche,

ensibilité profonde (pression, sens des attitudes), sauf cependant au niveau des néoformations cutanées. Les réflexes tend

une plus grande sur l'épaule gauche, une, très étendue médiane, au niveau de la XII° vertèbre lombaire. Sous le mamelou

; elle est pseudo-fluctuante, mollasse. Une autre masse, située au niveau du canal inguinal droit, répond au testi- cule

nt soudés, liés l'un à l'autre par une sorte de bride grisâtre » au niveau des phalangettes, tan- dis qu'ils sont normaux

enne peu extensible avait finalement refoulé devant lui la paroi au niveau d'une suture non encore consolidée détermi- nan

et non avec celle du pé- roné et que, inversement, la cicatrice au niveau du péroné devrait coïncider avec l'absence du p

e débarrasser des toxines. Le sang se débarrasse de' ces toxines au niveau des reins, des poumons et de la peau, plus tard

ns la tête, de sorte que le médecin doit pratiquer des incisions au niveau des lésions. La nuit, il « bat la campagne », pre

moite et en toutes régions liyperestliésiée une pression légère au niveau des membres ou du thorax provoque des dou- leur

ue, sa densité et son épaisseur varient non seule- ment suivant les niveaux , mais encore au même niveau suivant les cas. La

ur varient non seule- ment suivant les niveaux, mais encore au même niveau suivant les cas. La zone qui est atteinte dans

rons, celte zone varie beaucoup d'éten- due et de forme suivant les niveaux ; elle répond à la zone radiculaire moyenne de

tudierons la topographie de la dégénérescence secon- daire à chaque niveau en allant de bas en haut, à l'aide de coupes colo

e la corne postérieure sont intactes. Il en sera de même à tous les niveaux , jusqu'à la 3° lombaire ; aussi je ne reviendrai

lume ; il forme maintenant un tout petit faisceau linéaire situé au niveau du I/o moyen du septum et envoie de là jusqu'à

ticu- lum fin de la corne postérieure ne changent pas d'aspect à ce niveau . Les fibres conservées de la zone cornu-radicul

En avant les fibres radiculaires recouvrent le bord de la corne an niveau de la colonne de Clarke qui apparaît à ce nivea

ord de la corne an niveau de la colonne de Clarke qui apparaît à ce niveau . Le réticulum myélaniqrce de cette colonne para

e bordure très pâle de fibres conservées. 4e Lombaire. C'est à ce niveau que l'on constate le dernier vestige du triangl

fibres fines deviennent plus rares. . 10e Dorsale. On assiste, à ce niveau , à l'envahissement de la zone com- missurale pa

flexes sont presque absolument détruites ainsi qu'à tous les autres niveaux de la moelle. Ont également disparu les faisceaux

de partout ses limites clairement tracées. Il est manifeste qu'à ce niveau , comme dans tout le reste de l'étendue de la moel

e le nom de centre ovale de Flechsig. 5° Lombaire. - Tandis qu'à ce niveau le triangle sacré médian commence à diminuer d'

oetale. Le prolongement antérieur de la zone sclérosée devient à ce niveau de plus en plus épais ; le prolongement postéro-

plus effilé ; l'angle postéro-interne s'arrondit. 4" Lombaire. A ce niveau le centre ovale de Flechsig est complètement dé

ps postéro-externes pour pénétrer dans le faisceau cunéiforme. A ce niveau on voit très nettement que la zone cornu-commis

ici l'aspect d'un quadrilatère, ses limites sont plus floues qu'au niveau des racines situées au-dessous. Par son petit c

plus que la partie externe de la figure précédente, qui prend à ce niveau la forme d'un triangle très mince, obliquement di

ation I, sur toute la hauteur du renflement lombaire, aussi bien au niveau des racines malades qu'au niveau des racines sa

renflement lombaire, aussi bien au niveau des racines malades qu'au niveau des racines saines, la zone de Lissauer ne diffèr

l'autre de cette zone de démarcation, et cela d'autant plus qu'à ce niveau les fibres radiculaires sont coupées obliquemen

marginale dans l'observa- tion I ne dépassent jamais en arrière le niveau de la partie antérieure de la substance gélatin

ndis,ver- ticaux, formés de fibres grosses, qui semblent à certains niveaux décapiter la corne à moitié ou aux deux tiers,

e du réticulum myélinique de la colonne de Clarke à son origine, au niveau de la 2" lombaire, dans l'observation I. Ce fait

constitué exclu- sivement par les racines qui abordent la moelle au niveau même où se trouvent les colonnes de Clarke, c'e

orsale.sur les variations de forme du cordon de Goll aux différents niveaux de la région cervicale, sur l'encoche que ce co

faitement symétrique est bien celle de la bandelette elle-même à ce niveau . Il y a lieu d'ailleurs de supposer qu'il s'agit

disposition normale ; en effet, la bandelette est figurée, au même niveau . avec une forme analogue dans une observation d

diane au contraire est relativement res- pectée. On constate dès ce niveau quelques traces de sclérose du cordon latéral.

ement sclérosée. Seule la partie ventrale du cordon est respectée. Au niveau du cordon latéral, on constate un triangle de s

; il a pu poursui- vre la dégénérescence du cordon de Goll jusqu'au niveau des noyaux. La lésion des faisceaux cérébelleux

x direct, elles occu- pent non seulement la bordure de la moelle au niveau du faisceau céré- belleux direct, mais encore e

xamen histologique. Des coupes microscopiques ont été pratiquées au niveau de chacune des racines de la moelle. Elles ont ét

été traitées par la méthode de Marchi. 1" cervicale. On constate au niveau des cordons postérieurs une zone de sclérose af

érieur et latéral de la moelle ; elle l'est, à un moindre degré, au niveau du cordon an- térieur. Il n'existe pas de lésio

don latéral. 7e cervicale. - Lésions à peu près semblables, sauf au niveau du cordon postérieur où la sclérose est plus la

à droite et à gauche en arrière de la com- missure postérieure. Au niveau des cordons latéraux, la sclérose est toujours

n postérieur affecte la même forme dans sa partie médiane ; mais au niveau des angles postérieurs du triangle, la sclérose

Les cel- lules de la colonne de Clarke apparaissent nettement à ce niveau . Dans le cor- don latéral la sclérose est inten

érieure et latérale très marquée. La sclérose est très accentuée eu niveau de l'angle du cordon postérieur en dedans de la z

te ne présente pas d'altération. Nerfs. Les nerfs médian gauche (au niveau du poignet), cubital gauche (au niveau de l'ais

'aisselle), radial droit et gauche (à l'aisselle), médian droit (au niveau du poignet) ne présentent aucune altération. Il

erfs tibiaux postérieurs gauche et droit. Le nerf cubital droit (au niveau du bras) présente une légère sclérose ; au nive

cubital droit (au niveau du bras) présente une légère sclérose ; au niveau du coude, il est sensiblement normal. Le nerf cub

i faire ce diagnostic. 60 CROUZON A l'autopsie, on a constaté, au niveau du cerveau, l'existence d'un foyer ancien du cô

mais un peu plus petites que normalement. La sclérose se confine au niveau du cordon de Goll, dans les coupes situées au-des

au niveau du cordon de Goll, dans les coupes situées au-dessus. Au niveau du cordon latéral, la sclérose est encore plus ac

moelle lombaire, le cordon postérieur est complètement sclérosé; au niveau du cordon latéral, la sclérose revêt le môme type

entes. Le cordon posté- rieur est sclérosé presque en totalité ; au niveau du cordon latéral, la sclérose occupe la même d

a de nouveau un volume normal, la sclérose est moins étendue et au niveau du cordon latéral, la sclérose est surtout marg

a com- missure postérieure. Ce triangle prend le cordon de Goll. Au niveau du cordon latéral, même forme triangulaire de l

ordon de Goll est dégénéré seulement dans sa partie postérieure. Au niveau du cordon latéral, la sclérose affecte toujours

tion des pyramides. Les faisceaux pyrami- daux étaient dégénérés au niveau du bulbe. Enfin les pédoncules et les hémisphèr

ure ; il n'existe pas d'épaississement de la méninge lom- baire. Au niveau du sillon postérieur existe une crête qui donne à

pro- longeant peu en avant, le cordon latéral est moins large à ce niveau . 7e et 8- Cervicales. La sclérose est plus éten

elet ne présente pas de lésions. ' , L'écorce cérébrale coupée au niveau des circonvolutions frontales droites et coloré

ation par le myographe est encore ici néces- saire, elle se fera au niveau du tenseur du fascia lata, facilement acces- si

le décrit une courbe de sens inverse pour revenir insensiblement au niveau primitif du style. Le graphique a la forme géné

n sommet plus ou moins aigu et une ligne d'ascension qui rejoint le niveau primitif dustyle parunecourbe plus oumoins arrond

sion révèle une légère hypéresthésie rachidienne ; c'est surtout au niveau des apophyses épineuses des 8° et 98 vertèbres do

orsales qu'il existe un peu de douleur provoquée ; c'est aussi à ce niveau que la cyphose est maxima. Partout ailleurs, la

ènes spasmodiques, on incline à admettre qu'il y a eu hémorragie au niveau des origines du sciatique, sinon hématomyélie t

colioses sciatiques. Dans le cas prescrit,je crois qu'une lésion au niveau des origines du scia- tique (névrite apoplectif

lésions vertébrales s'accusant encore par des points douloureux au niveau des vertèbres dorsales moyennes. A la vérité la

ter une phrase. Se plaint de douleurs occipitales et de douleurs au niveau des lombes. (3) L'observation régulière et déta

mes à gauche. A la palpation on sent dans le lobe frontal droit, au niveau du sillon de Ro- lando, un noyau dur complèteme

ses éléments, mais la corne an- xvu 8 Fig. 7. - Coupe du bulbe au niveau du tiers inférieur de l'olive : atrophie marquée

reins ont été fixés au formol. Bulbe. - Sur une coupe passant au niveau des noyaux de la Xe et de la XIIe paire, on con

lérose des pyramides antérieures, mais un peu moins accentuée qu'au niveau du bulbe. On constate également une sclérose in

ers est intact. Le noyau de la XIIe paire est toujours sclérosé. Au niveau du renflement cervical, les méninges sont légèrem

a commissure, il existe une petite bande relativement saine. A ce niveau également : sclérose complète des faisceaux pyram

clérosées. De même les racines postérieures que l'on peut voir à ce niveau , sont considéra- blement lésées ; si dans leur

me que l'atrophie des zones postérieures. On voit égale- ment il ce niveau une légère sclérose des colonnes de Clarke. A l

ion des cellules. En résumé, l'examen histologique nous a montré au niveau du bulbe une sclérose légère des pyramides exté

les lésions des pyrami- des antérieures que nous avons observées au niveau du bulbe et qui ne descendent pas au-dessous de

urvation à concavité externe en « parenthèse », et c'est surtout au niveau du genou que se produit l'incurvation. Cette di

is à quatre semaines après cet examen, est apparu du côté gauche au niveau de la main et du pied un oedème blanc, non doulou

ement un godet, c'est un oedème un peu violacé et surtout marqué au niveau du dos du pied et de la cheville ; il est à pei

la peau avec une pointé mousse : il s'est produit immédiatement au niveau des points comprimés un' oedème ortié, anémique

on du soldat sans armes, on voit que la paume des mains se place au niveau du grand trochanter. De plus, on constate une dis

meurs en série le long des bran- ches nerveuses sous-cutanées ni au niveau des gros troncs nerveux : pas de névromes plexi

e du ganglion. L'atrophie des racines pos- térieures est la même au niveau du nerf radiculaire, tandis qu'elle diminue très

atrophie est plus prononcée dans le pôle central du ganglion et au niveau du nerf radicu- laire que dans le trajet sous-a

et intra-ganglionnaire du bout central de la racine postérieure, au niveau du nerf radiculaire et dans son trajet sous- ar

rapprochant du ganglion, elle était au contraire plus accentuée au niveau du nerf radi- culaire et dans le pôle central d

des cellules, par comparaison avec un ganglion normal pris au même niveau , il suffit par conséquent d'un faible grossisseme

par la partie antérieure des 3" côtes. Au-dessous, c'est-à-dire au niveau des membres et du reste du torse, la sensi- bil

ro-latéral gauche est déchiré et sanglant. FIG. i. Coupe passant au niveau du corps de la 6 vertèbre cervicale, à travers

des cordons postérieurs. ' HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245 rieur au niveau des IV" et Va segments, paraît résulter d'une rup

e quelques cellules rondes autour de l'artère spinale antérieure au niveau du II° segment, sont nettement visibles dans le

du Vle segment. La réaction inflammatoire paraît évidente aussi au niveau du canal épendy- maire, qui, perméable mais non

canal épendy- maire, qui, perméable mais non envahi par le sang au niveau et au-dessous du foyer de la fracture, est comp

a malléole interne gauche. De même, exostoses nettes, saillantes au niveau des articulations métacarpo- phalangiennes des

de la face interne du plateau tibial gauche est unciforme, qu'à son niveau le cylindre d'os compact manque, et que tout le p

ée par endroits. Alors que l'existence d'exostoses syphilitiques au niveau du tibia et de la malléole sont habituelles, la

Il présente en effet sur la face postérieure des deux coudes et au niveau des poignets, deux ou trois petites cicatrices ga

dénite inguinale gauche suppurée. Examen du malade. - I. Bras. - Au niveau des bras nous ne constatons au- cune altération

Le médius est raccourci ; son extrémité unguéale reste située sur un niveau notablement supérieur à celui des deux doigts v

lette. » Ici, les déformations sont terminales, elles s'arrêtent au niveau du coude ou immédiatement au- dessus de lui. Le

ans la région lombaire et les fesses. Troubles de la sensibilité au niveau des membres inférieurs, réactions pupillaires b

e diminution d'intensité de la dégénération continue de façon qu'au niveau de Ci le faisceau de Gowers montre seulement dans

musculaires s'est seulement un peu pro- noncé, particulièrement au niveau des muscles de la jambe. L'état géné- ral, qui

st donc plus prononcée à la racine des membres qu'à l'extrémité, au niveau des muscles de la ceinture pelvienne ou scapula

au niveau des muscles de la ceinture pelvienne ou scapulaire qu'au niveau des muscles du bras et de la cuisse. Examen h

ur, l'extenseur commun, le pédieux, l'adducteur du gros orteil ; au niveau du tronc, les chefs claviculaire etsternal du g

en général de dimensions considérables et dispersées sans ordre au niveau d'un tissu formé d'une part d'éléments scléreux

ins deux ou trois fois plus volumineuses qu'un globule rouge ; à ce niveau -là, les noyaux se colorent très mal ou même ne so

qu'au point de vue topographique l'atrophie semble bien débuter au niveau de l'insertion tendineuse de la libre musculaire

uscle, ainsi que Roth l'a le premier soutenu. En tout cas, c'est au niveau des insertions tendineuses que les lésions muscul

omment sont réparties ces lésions dans les différents muscles. Au niveau du tronc, l'atrophie et les lésions scléro-adipeu

rs beaucoup plus évidentes au ni- veau des membres inférieurs qu'au niveau des membres supérieurs ; d'autre part, il sembl

le. De plus, les constatations anatomiques que nous avons fartes au niveau des muscles, nous paraissent expliquer les cara

et étaient particulièrement infiltrés de tissu adipeux. Ainsi au niveau du bras, tandis que le biceps était très scléreux

t, en aucun point, on ne trouve de figure pouvant faire supposer au niveau des fibres musculaires une ré- gression aboutis

nt touchés par le processus lé- sionnel, dans le long supinateur au niveau des membres supérieurs, dans le grand pectoral

es membres supérieurs, dans le grand pectoral et le grand dorsal au niveau du tronc, dans le droit an- térieur, le biceps,

ronc, dans le droit an- térieur, le biceps, le jambier antérieur au niveau des membres inférieurs, on peut se demander si

émorragique sus-mentionné, ne décelaient aucune lésion grossière au niveau des noyaux centraux. Seuls les noyaux lenticula

pant les pièces au microtome, on s'aperçut que le couteau criait au niveau du globus pallidusde deux côtés, qui, d'ailleurs,

es pièces durcies dans le liquide de Mutter, mettent en évidence an niveau du globus pallidus des concrétions calcaires av

formation d'inscrustations et de dépôts calcaires. En outre, si au niveau des capillaires on a décrit dans des cas d'artéri

; le chiasma baigne dans l'espace sous-arachnoïdien qui forme à ce niveau l'un des grands lacs de la base de l'encéphale (D

seaux accolés à sa face profonde ; 3 6A lé ri l'arachnoïde a à ce niveau tout et fait l'aspect de la méninge spinale posté

la sclérose. - A droite il existe encore de nombreuses fibres ; à ce niveau les vais- seaux sont nombreux et encore largeme

. - Dans le bas, à gauche, les fibres sont moins nombreuses ; à' ce niveau les travées ont en partie disparu et les vaisseau

gauche et au milieu enfin il n'y a pres- que plus de fibres ; à ce niveau les travées intervasculaires ont presque complète

n- férieure du bulbe et d'autant plus développée qu'on envisage des niveaux plus élevés de la moelle. Cette lésion se limit

le diamètre transversal. Voici d'après l'étude des coupes de chaque niveau , son aspect dans les prin- cipales régions :

D, XeD), ainsi que les défor- mations de la moelle à ces différents niveaux . Noter la dégénérescence des faisceaux pyramida

eures elle est en grande partie respectée et on retrouve a tous les niveaux des grandes cellules mo - trices. Ces détails

lésion, démontre que la destruc- tion de la corne postérieure à un niveau donné n'affecte en rien la transmis- sion des i

ce tissu conjonctivo-vasculaire qui, pour constituer à de certains niveaux tonte la lésion, n'en existe pas moins à peu pr

l'origne exclusivement vasculaire des formations. C'est ainsi qu'au niveau du 106 seg- ment dorsal on voit la bande conjon

de névroglie. La névroglie réagit donc vivement (au moins à certains niveaux ), et donne lieu à un manchon épais, riche en no

et bizarres, à ce bouleversement que nous avons signalé, à certains niveaux ; c'est grâce à ce phénomène encore que des éléme

les divers aspects morphologi- ques que revêt le processus à divers niveaux . C'est ainsi que en des points où il paraît en

ain nombre de foyers hémorrhagiques récents disséminés à différents niveaux témoignent d'une fragilité particulière des vaiss

sorte de la paroi ; nous les avons rencontrés à peu près à tous les niveaux . Ils sont de dimensions très variables, se réduis

e partie des cornes antérieures. Cette cavité est arrondie, mais au niveau de la base l'une des cornes postérieures se pours

ême nature se montre à la partie moyenne des cordons postérieurs au niveau du sillon médian postérieur. Cette fente dirigé

t surtout en un épaississement de leur adventice. On peut à certain niveau déceler la communication de cette cavité avec l

névroglique, déterminant ainsi une myélite lente et progressive. Au niveau du premier segment dorsal il exis- tait en outr

la plus étendue frappait la première cir- convolution temporale au niveau du siège de la mémoire auditive ver- bale. Je

tication, les cou- ches les plus profondes de la substance grise au niveau même de certaines localisations. C'est à cette

elle nous avons trouvé à des foyers multiples, localisés surtout au niveau des rendements cer- vical et lombaire, et parai

s coupes ont été faites au niveau de presque toutes les racines et au niveau du bulbe : cependant la portion de moelle compr

antérieure est encore un peu aplatie et qu'il y a une dépression au niveau des zones ra- diculaires antérieures ; à ce niv

ne dépression au niveau des zones ra- diculaires antérieures ; à ce niveau aussi la zone périphérique est moins colorée. L

cornes antérieures, qui sont normalement beaucoup plus minces à ce niveau , sont peut-être un peu plus effilées que normalem

avons dessiné une coupe de moelle normale prise à peu près au même niveau , sauf peut-être quelque erreur possible d'un de

açon-frappante : 1° La diminution de volume de la moelle à tous les niveaux , due surtout à la diminution de volume de sa mo

ée des racines antérieures, dépression' si nette à presque tous les niveaux . z 3° La diminution de volume des cornes antéri

es cornes antérieures diminutions considéra- ble à presque tous les niveaux , même très loin des hauteurs où l'on constate u

t, la plus grande partie des deux cornes antérieures, d'une part au niveau du ren- flement cervical, d'autre part au nivea

res, d'une part au niveau du ren- flement cervical, d'autre part au niveau du renflement lombaire. Dans ces deux régions,

près proportionnellement à la lésion des cornes antérieures au même niveau . Les zones radiculaires antérieures étaient aminc

ies ainsi que les cornes et le pourtour de la moelle déprimé à leur niveau . Il exis- tait donc une poliomyélite antérieure

t les différents groupes cellulaires, mais les frappant à tous les niveaux . Le point de départ des lésions en foyers nous

re jusqu'au deuxième segment sacré,destruction surtout accentuée au niveau des renflements cervical et lombaire : il existai

es et des petits muscles des extrémités. Les dou- leurs du début au niveau des genoux ont eu un caractère fulgurant qui .n

nois et Porot) présentait une véritable sangle très persistante au niveau du mollet dès qu'il essayait de faire un mouvem

GÉNÉVII1EII ques grandes comme le creux de la main ; la peau, à ce niveau , devenait très pâle, puis se recolorait vivemen

ous avons souvent noté l'existence de gangrènes super- ficielles au niveau des orteils. Chez les deux malades qui font l'o

stait depuis longtemps un pseudo-oedème manifeste avec bourrelet au niveau des orteils et cyanose intense. A cet oedème so

d'empreinte pendant quelques secon- des. La pression profonde à ce niveau est très douloureuse, car malgré son état de st

eur d'une pièce de 0,20 centimes. e Stade (Bulles pemphigoïdes). Au niveau du sacrum, immédiatement au-dessus des vertèbre

plus haut,la surface épidermique est violette, très foncée, sauf au niveau des orteils où elle est pâle et anémique. Les ext

e du dos du pied. Alopécie du crâne, exfolia- tion de l'épiderme au niveau du cuir chevelu. 4 avril. - Est complètement in

e, elle a la grosseur d'une pièce de 2 francs. Il s'est formé à son niveau une croûte épaisse et blanchâtre. Ces observati

torze rochers gauches (23,3° 0), le plancher et la crête sont au même niveau ; enfin que dans huit rochers droits et cinq roch

pour cent et 8,3 pour cent des cas, le plancher descend au-dessous du niveau de la crête sus-mastoïdienne. Celle-ci ne peut

llèle à la base du cerveau. Ainsi, sur un crâne donné, il mesure au niveau du plan frontal passant par la ligne a la distanc

surations de Korner. Sur les temporaux pneumatiques on rencontre à ce niveau le groupe cellulaire limitrophe supérieur du cond

t plus aisée, par suite de l'adhérence du périoste, plus grande à son niveau que sur le reste de la face externe. Cette scissu

e courbe demi-circulaire supérieure de l'occipital. On remarque à son niveau le groupe des veines émissaires mastoïdiennes, qu

partie inférieure du tiers supérieur. Nous l'avons rencontré soit au niveau du bord postérieur, soit sur une ligne prolongean

ubérance occipitale externe. Il l'a trouvé : A droite A gaucho Au niveau ou tout près de cette ligne......................

et confine en avant à la corticale prémastoïdienne. Il comprend à ce niveau les cellules limitrophes postérieures du conduit,

mineuses qui forment le groupe cellulaire apical. Nous savons qu'à ce niveau la corticale digastrique peut être extrêmement mi

ère, nous incisâmes les parties molles œdémateuses et découvrîmes, au niveau du groupe sinuso-digastrique, un point d'ostéite

i du siège de la perforation digastrique, qui peut se trouver soit au niveau même de la pointe de l'apophyse, soit au fond de

postérieur du muscle digastrique. Zone de l'antrotomie. — G'est'au niveau du triangle antral que doit mordre la gouge dans

... Distance entre le sillon transverse et le planum mastoideum, an niveau de l'épaisseur minima..........................

passés les germes venus de la caisse. Y a-t-il, en effet, fistule au niveau du promontoire ou une lésion de la fenêtre ronde?

? Le limaçon sera seul contaminé. La voie d'accès se trouve-t-elle au niveau du canal demi-circulaire externe? le vestibule et

la suite d'une nécrose des canaux demi-circulaires, siégeant, soit au niveau du sommet du canal supérieur, soit au carrefour d

des vaisseaux. A la base du cerveau, dans la région du chiasma et au niveau du pont de Varole, on trouve du pus jaunâtre. En

n verticale du canal carotidien. Un peu en dehors d'elle, toujours au niveau du trou stylo-mastoïdien, nait une troisième scis

ique alors avec la caisse ou bien avec la fosse cérébelleuse, soit au niveau du sillon sigmoïde large et procident, soit plus

d. XXIX, S. 234). — Enfant de 5 ans. On aperçoit par transparence, au niveau du quadrant postéro-inférieur du tympan droit, un

nt séreux de la cavité tympanique droite. Incision de la membrane, au niveau du segment postéro-inférieur. Hémorragie de 3oo g

xième jour, on retire le tamponnement : l'incision est cicatrisée. Au niveau du segment postéro-inférieur et aussi un peu sur

te d'un mouvement du malade, l'aiguille du galvano-cautère pénètre au niveau du pôle inférieur du tympan. Abondante hémorragie

est enlevé au cinquième jour. Incision de la paracentèse, guérie. Au niveau du segment inférieur on aperçoit par transparence

plancher de la caisse et la paroi inférieure du conduit sont au même niveau , on en peut déduire que le sinus est procident.

par inflammation primitive de la capsule labyrinthique. On la fait au niveau du quadrant postéro-inférieur ou de l'antéro-infé

une lame qui fait suite à la corticale prémastoï-dienne, et qui, à ce niveau , se déprime et s'épaissit un peu pour loger et pr

endante, à l'union des tiers moyen et supérieur de l'aire faciale, au niveau du genou du sillon de Rolando, en arrière et un p

l pour se rendre aux muscles du voile du palais sans interruption, au niveau du ganglion de Maekel ou sphéno-palatin. « Cette

ccède à une infection labyrinthique. Un abcès du cervelet, situé au niveau du pédoncule cérébelleux moyen, pourra encore ent

e la fermeture du courant, il put constater une petite contraction au niveau des muscles grand et petit zygoma tiques. Quelque

a greffé spino-faciale, le résultat esthétique est presque parfait au niveau du facial inférieur. L'ouverture palpébrale est e

e anastomotique de Labbé ; e) Les veines diploïques occipitales. Au niveau du coude du si nus latéral : f) Le sinus pétreu

m) La veine condylien ne postérieure, ou émissaire condylienne. Au niveau du golfe : n) La veine de l'aqueduc du limaçon.

upérieures, sinuso-cérébrales. Elle se jette dans le sinus latéral au niveau du coude, ou plutôt immédiatement au-dessous. Cet

trou déchiré postérieur. Il existe encore, d'après le même auteur, au niveau du coude sinusal, une petite veine qui passe par

ois obliquement l'étage postérieur du crâne. On observe parfois, au niveau du coude ou de la portion descendante du sinus, d

oints du canal sinuso-jugulaire, superposée au foyer d'ostéite : au niveau du sinus sigmoïde, ce qui est le cas le plus fréq

attaquera la zone sinusale de l'apophyse, creusant d'abord en haut au niveau du groupe cellulaire si-nuso-cérébral, car c'est

sions existantes ; le curettage est très malaisé, particulièrement au niveau du coude sinuso-jugulaire si souvent malade. Et c

nerfs et vaisseaux. Son adhérence à l'os est variable. Très solide au niveau du bord postérieur de la pyramide, elle est faibl

un de ces trois segments. Disons tout de suite que la localisation au niveau du tronc encéphalique est exceptionnelle. § i.

ramidales; 4° La zone des corpuscules polymorphes. Chez l'homme, au niveau du lobe temporal, on constate, dans la troisième

et la radiatio acustica pour aboutir à l'écorce du lobe temporal, au niveau des circonvolutions profondes ou transverses de H

gistes ont démontré expérimentalement que le centre gustatif siège au niveau du pôle temporal. Déjerine et d'autres n'admett

tique, qui vient se terminer sur la face interne du lobe occipital au niveau du territoire de la scissure calcarine, dans le c

h) Le faisceau occipito-frontai, qui forme le tapetum (Déjerine) au niveau du prolongement occipito-sphénoïdal du ventricule

misurées par des fibres qui traversent la commissure antérieure. Au niveau du recessus occipito-sphénoïdal du ventricule lat

sibilité cutanée indiquait un siège très reculé, très probablement au niveau du lobe occipital. Les troubles moteurs étaient v

igne médiane, on aperçoit l'olive cérébelleuse ou corps dentelé. Au niveau du vermis, la substance blanche forme la commissu

par les axones des cellules de la colonne de Clarke du même côté, au niveau desquelles s'épanouissent les ramifications termi

es fibres qui se rendent directement au cervelet, ou bien relaient au niveau des noyaux de Goll et de Burdach. Les fibres qui

eur de Loewenthal, sulco-marginal de Marie. — Il prend son origine au niveau du verrais supérieur (Teljatnik), du noyau dentel

hes ascendantes semblent aussi se terminer, du moins chez l'homme, au niveau des cellules des noyaux de Deiters et de Bechtere

tif à une carie de la pyramide pétreuse, siégeant presque toujours au niveau du carrefour des canaux demi-circulaires verticau

e. La mort survint par ouverture dans le IVe ventricule, peut-être au niveau du recessus lateralis. La symptomatologie de l'

arésie de la jambe droite avec perte de la parole. Une trépanation au niveau du lobe temporal gauche resta négative : il s'agi

on ouvrira la fosse cérébrale moyenne. Si l'on trouve une fistule au niveau du promontoire, du canal demi-circulaire externe,

lique offrait des troubles de la parole, on devra le craniotomiser au niveau du plan frontal mastoïdien. Chez les hémianopsi

anopsiques, on reportera la brèche osseuse encore plus en arrière, au niveau du plan frontal passant par l'astérion, qui marqu

même avec des symptômes précis de localisation, il faudra trépaner au niveau du centre de Broca (cas clePicqué), du pli courbe

astoïdien près de son extrémité inférieure, et le canal de Fallope au niveau du coude de l'aditus. L'apophyse mastoïde est du

ien tout à fait à son extrémité inférieure, et le canal de Fallope au niveau du coude de l'aditus. L'apophyse mastoïde est du

de la coupe n'est pas reproduit. On a ouvert le canal de Fallope au niveau des portions tympanique et tympano-mastoïdienne,

ure-mère intacte. Celle-ci se montre aplatie sur la ligne médiane, au niveau du vermis inférieur. Le sinus longitudinal supéri

sworth (indiqué sur la planche sous le nom de veine mastoïdienne). Au niveau du coude sinusal, on trouve un tractus fibreux (c

porale ; 2" le centre des images visuelles des mots, qui se trouve au niveau du pli courbe ; 3° le centre des images motrices

es, à la tente du cervelet. La suture squamo-pariétale se trouve au niveau du sillon parallèle. L'écaillé est donc en rappor

llèle. Segment antérieur d'une coupe frontale passant, à droite, au niveau du coude du sinus latéral, cl, à gauche, à quelqu

fond duquel on aperçoit la face an-téro-inférieure du cervelet. A ce niveau se développent les abcès pétro-cérébelleux conséc

rps, les mains sont ouvertes et les doigts étendus ; la peau à leur niveau est blanche et lisse ; il existe un léger degré

on seulement sur les membres inférieurs et le tronc, mais encore au niveau des membres supé- rieurs dans leur partie inter

(fig. 6). La fusion complète des trois mé- ninges ne se fait qu'au niveau du 4e segment cervical (fig. 7). En somme il ne

racines malades. Les lésions radiculaires n'existent du reste qu'au niveau où la fusion des trois méninges est complète.

nt sur les cou pes colorées au Pal (fig. 5) par une bande claire au niveau du cordon de Burdach ; la zone radicu- laire ex

exclusivement dans les cordons de Burdach. Ceci est surtout net au niveau de CI-CI. Cette dégénérescence s'atténue du reste

I-CI. Cette dégénérescence s'atténue du reste rapidement et déjà au niveau du 3e segment les grains ont en partie disparu.

gères portant sur une très faible hauteur ; on constate en effet au niveau des 4e et 5e segments cervicaux (fit. et 6) une

ble des zones radiculaires externes dans les cordons postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïde ; CB. fa

. * Fig. 8. Exubérance des méninges qui englobent une gomme G. à ce niveau la partie antérieure de la moelle est fortement

n, et ne semble pas dépasser en haut une ligne horizontale prise au niveau du bord supérieur du corps genouillé externe. E

rd postérieur de la couche optique. Elle respecte entièrement, à ce niveau , les couches sagittales profondes, et se canton

laire au niveau de la paupière supé- rieure. Pas de tremblements au niveau des lèvres ni de la face. Pas de trou- bles sen

du dos au niveau'des vertèbres 6, 7, 8, 9 et à un degré moindre au niveau des vertèbres 10 et il. Les douleurs au début n'a

fréquemment sous forme de tiraillement douloureux, en ceinture, au niveau des vertèbres 6, 7, 8, 9, 10 du thorax. Parfo

est complètement annihilée depuis la zone supérieure démarcative au niveau de la ligne xyphoïde (schéma de Ed. Flatau), ju

prit son état normal, la limite supérieure de l'anesthésie tomba du niveau de la ligne xyphoïde (5e segment dorsal) jusqu'à

la première fois, en no- vembre 1910 une douleur au côté droit, au niveau du passage des côtes 8, 9, 10, 11. Dès lors la

ement douloureux entoure la partie basse de la cage thora- cique au niveau des vertèbres 8,9,10,11; la douleur cependant est

nt ou au repos, douleurs sur les côtés de la colonne vertébrale, au niveau des vertèbres lombaires ; constipation ; incontin

du mamelon gauche, près de l'omoplate gauche, dans les reins et au niveau des vertèbres lombaires. Les symptômes douloure

été mise à nu ; écoulement du liquide céphalo-rachidien minime ; au niveau des vertèbres dorsales 7-8 opacité des méninges

des réflexes et de la sensibité sous loules ses formes, à partir du niveau indiqué dans la description de l'étatactuel, doit

aiblissement de ces deux formes de la sensibilité sur le ventre, au niveau du sacrum et des fesses, avec ligne supérieure

myxoedéma- teuse. VIII. Phénomènes sudoraux. Il transpire peu au niveau des aisselles et des régions plantaires. Il fau

litude va en décroissant progressivement jusqu'à ce que la ligne de niveau soit définitivement atteinte ; quelquefois ces

ée des réflexes rotuliens, une sensation douloureuse persistante-au niveau de la glabelle frontale avec paroxysme au momen

Hyper- esthésie des globes oculaires, le moindre attouchement à ce niveau provoque des cris, mais non le réveil. A 11 h

(Gieson, après extraction de la myéline par alcool et éther, à des niveaux différents). Fig. 1 et 8. Même cas (Immersion ;

des niveaux différents). Fig. 1 et 8. Même cas (Immersion ; a et b niveaux différents). DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYS

écentral (Formol. Celloïdine. Thionine. Immersion). « et 6 à divers niveaux . Fic. 22. La cellule « z3 du premier cas de par

owsyy), ' » la cellule du second cas (Cajal). a et à à un différent niveau . DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA. PARALYSIE AGITANTE

e est mise en évidence par le fait que les doigts n'arrivent pas au niveau du grand trochanter, qui à son tour est plus ba

de rester au-dessous de l'articulation du genou, s'avance jusqu'au niveau de celle-ci. Cet os a une forme régulière. La mal

ent. L'extrémité inférieure de la main n'arrive du côté droit qu'au niveau du pli inguinal. Du côté gauche elle reste même

angle obtus qui proémine en avant. Le thorax est comme enfoncé à ce niveau et présente de chaque côté une excavation. La d

is : 11 centimètres. L'extrémité inférieure de cet organe arrive au niveau des genoux. Les testicules semblent normaux. Le

s qui sont inégales, sales et mobiles. La circonférence du cou au niveau du cartilage cricoïde : 17 centimètres. Le corp

re caractéristique. La circonférence'du thorax : 82 centimètres, au niveau des mamelons. La musculature est forte. La circ

mamelons. La musculature est forte. La circonférence abdominale au niveau de l'ombilic : 73 centimètres. La longueur du t

ins en trident pst à peine ébauchée. Les doigts n'atteignent que le niveau du pubis. La micromélie est surtout rhizomélique.

u ptérygoïdien iut erne. Sur le maxillaire normal on n'observe à ce niveau qu'une surface rugueuse. Sur la face antérieure

ent courts, épais. On remarque la largeur, des attaches, surtout au niveau des petites articula- tions. Les extrémités des

rémité supérieure de cet os semble s'écraser contre le bassin. Au niveau du crâne, on note un élargissement très net de la

de la selle turcique et nous autorise à supposer qu'il existe à ce niveau une lésion dont la nature nous échappe, mais qu

'esl-à-dire, en avant la clavicule, en arrière l'omoplate, jusqu'au niveau des pavillons. De même nous sommes accoutumés à

à l'endroit du tiers moyen mesure 23 cent. 5, et la droite au même niveau 24 cent. 5. 8. Au courant faradique, les muscle

rieurs, à tous ses modes, objectivement et subjectivement, même au niveau du pouce. Motilité : est intacte à la face, a

de se plaint d'une sensation de froid fréquente aux, extrémités et au niveau des genoux. \ La palpation du corps thyroïde

entive montre des som- mets absolument sains. Pas de ganglions au niveau des carrefours. Aucun signe d'hérédo-syphilis a

à Campulung, station climatérique située à 600 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il est à remarquer que dans, cette rég

la convergence des yeux est limi- tée, la sensibilité est obtuse au niveau des plaques sclérodermiques. Le pouls, de 100-1

e et l'absence de sueurs, qui en effet est un phénomène fréquent au niveau des plaques de sclérodermie. Mais c'est Thirial

pla- ques, qui sont complètement indolentes, et la pression à leur niveau n'est nul- lement douloureuse. Les mains sont

ni pincer, ni soulever en plis. Sur la face dorsale des doigts, au niveau des articulations interphalangiennes, il y a de

e induration qui englobe tous les tendons des muscles extenseurs au niveau du poignet. Les éminences thénar et hypothénar

pièce de 5 francs et elles sont douloureuses à la palpation. A leur niveau l'on sent que le tissu cutané est adhérent à la

il y a encore des plaques disséminées au talon et sous la plante au niveau des orteils ; elles sont recouvertes de croûtes b

est encore altérée par une cyanose intense qui la rend violacée. Au niveau des orteils on observe une diminution très nota

DE SCLÉRODERMIE 297 ques-unes des croûtes recouvrant les nodules au niveau des coudes, des genoux et des mains. L'analyse

bonates), mêlés à de la substance cornée. Examen électrique. - Au niveau des muscles intrinsèques des mains, des muscles

acité aux rayons X. Avant-bras (position latérale côté cubital).-Au niveau de la région dorsale du poignet et encore tout

aphie met en évidence de véritables troubles trophiques, surtout au niveau des dernières phalanges, qui sont complètement

des phalanges sont troubles. Les altérations osseuses s'arrêtent au niveau des métatarsiens. Crâne (position latérale). La

el des tissus sous-jacents, présentant leur maximum d'intensité au niveau des quatre extrémités. L'acrocyanose et la sclé

nel se rapporte à l'exagération des ! phé- nomènes de diaphorèse au niveau des mains. En général, c'est le phé- nomène inv

core, chez notre malade, une légère diminution de la sensibilité au niveau des extrémités. Les auteurs sur ce point s'ac-

lope el Ambroise Paré ont signalé la présence des pétrifications au niveau des athéromes et des kystes sébacés; Hichting e

leur siège dans toute la surface du corps, mais particulièrement au niveau des grandes articulations et qui évoluent lenteme

l'auteur constata, en plus de l'existence de concrétions calcaires au niveau des doigts, du poignet, des genoux, les traces

tractent encore. A l'examen objectif, on perçoit une tuméfaction au niveau du sciatique, et celui-ci manifeste une sensibi

t dans le tissu conjonctif entou- rant le névrome et dessinant à ce niveau des trajets, sinueux et compliqués. La terminai

currents des fibres nerveuses et de ieurs terminaisons à différents niveaux . D'une façon générale, les fibres se terminent

il y a de plus intéressant à étudier, c'est la réaction nerveuse au niveau de la cicatrice. A la suite de la seconde opéra

nt de très près des appareils terminaux tels qu'on les ob- serve au niveau des muscles striés notamment. Ces appareils ne re

e,pratiquée après quelques jours de durcissement dans le formol, au niveau de la face supérieure du corps calleux, on découv

la région operculaire sont en grande partie détruites, davantage au niveau de l'opercule de la pariétale ascendante et de la

utions rolandiques et de la 3e circonvolution frontale, aussi bien au niveau du pied, qu'au niveau du cap et de la région or

la 3e circonvolution frontale, aussi bien au niveau du pied, qu'au niveau du cap et de la région orbitaire (PI. LI, d). Les

blanc de la dégéuération et dont la conservation est expliquée à ce niveau par l'inté- grité du segment interne du noyau l

de la couche sagittale qui peut être poursuivie en arrière jusqu'au niveau de la scissure calcarine. Le faisceau uncinatus

a substance blanche dans le lobe frontal, dans le lobe pariétal, au niveau du gyrus supra marginalisât enfin dans la lre cir

de la scissure calcarine. - Le faisceau uncinatus a été coupé au niveau du pôle antérieur du lobe temporal, la dégénére

série de foyers distribués sur la zone du langage, non seulement au niveau delà circonvolution de Broca, mais encore au nive

on seulement au niveau delà circonvolution de Broca, mais encore au niveau des centres des représentations auditives (circ

sions s'arrêtent assez exactement dans la substance blanche au même niveau que sur l'écorce ; on ne trouve dans le voisina

ou moins tassés et recroque- villés, qui semblent indiquer qu'à ce niveau , la substance blanche a été plus éprouvée que l

semble-t-il, spontanément ; il se mord alors le dessus des mains au niveau de la racine des premières phalanges (durillons

ectrothérapiques furent interrompues, des massages furents faits au niveau du côté gauche de la face, mais comme l'état sp

s au côté gauche de la face. Elles siègent plus particulièrement au niveau des zygomati- ques, des élévateurs de la lèvre

de névromes de régénération situés sur le trajet du nerf facial au niveau du ganglion géniculé dans deux cas d'hémispasme

t plus horizontal mais nette- ment oblique en haut et à gauche ; au niveau du menton, se dessine, mais seulement du côté g

es traits se corrige très notablement ; cela se remarque surtout au niveau du menton qui se replace en position médiane et

gues sur les autres parties de l'hémiface gauche, eu particulier au niveau du frontal ou du sourcilier; Rien de semblable

cilier; Rien de semblable ne s'observe dans l'hémiface droite ni au niveau du peaucier droit. La langue, le voile du pal

u différents suivant le point où on les observe (voy. fig. 2). Au niveau du point 1, les secousses siègent dans la partie

hysiologique, dont elle paraît être une exagération localisée. Au niveau du point 2, la secousse est moins apparente, moin

petite contraction déplaçant vivement la peau sans la froncer. Au niveau du point 3, les secousses sont aussi constantes q

endroit par les secousses du point 1 avec une petite exagération au niveau du point marqué 3 ; il n'existe pas à proprement

et la ligne supérieure d'implantation des moustaches : ce sont à ce niveau des secousses vives, appa- raissant et disparai

le qui est attirée chaque fois en haut et en dehors. Ailleurs, au niveau du menton, au-devant de l'oreille, il n'existe pa

e pas de secousses musculaires analogues. Pas plus d'ailleurs qu'au niveau du peaucier du même côté. Toutes ces secousse

Ils apparaissent de préférence sur la ligne oculo-men- tonnière, au niveau des muscles zygomatiques, élévateur de la narine

a région inférieure et externe des joues; ils sont exceptionnels au niveau du sourcil el. du front. Ils ne se localisent p

cavernes. Dans l'abdomen on retrouve la même éruption granulique au niveau du péritoine et de l'intestin. Il n'y a pas d'a

eut-être aurions-nous été plus heureux. 404 RAUZIER ET BAUMEL . niveau fut comprimée et corrodée, et que la substance mé

s siégeant au voisinage de l'écorce dans la frontale ascendante, au niveau des centres droits du membre supérieur TUBERCUL

res c'étaient des lésions rouges prurigineuses et non suintantes ; au niveau des plis interfessiers et du scrotum la rougeur

système adi peux en certains points du corps (fesses et ventre). Au niveau des mem- bres les masses musculaires sont peu s

xiste des bour- relets graisseux derrière l'angle des mâchoires, au niveau du menton et près des ailes du nez. La peau* du

ucher. La cloison du nez est légèrement déviée vers la gau- che. Au niveau des paupières on remarque des traces d'eczéma chr

as anormalement saillants. Les dents sont absentes, et il existe au niveau des maxillaires une résorption des arcades dentai

sont bien plantés, il existe des poussées fréquent tes d'eczéma au niveau du cuir chevelu, les cils et les sourcils sont bi

glabres ; le malade dit n'avoir jamais eu de poils sur la face. Au niveau du cou on ne sent pas les lobes du NOUVEL ! Ico

Les mains sont un peu allongées et peu musclées, un peu grasses au niveau des paumes et des premières pha- langes digital

tte ni du rachis, le pannicule adipeux e,t normalement développé au niveau des seins, le mamelon et l'aréole sont à peine

iveau des seins, le mamelon et l'aréole sont à peine indiqués. Au niveau des membres inférieurs on remarque simplement la

entation anormale, il n'existe pas non plus de taches pigmentées au niveau des muqueuses. Disséminées sur le thorax, les b

l'éten- due du pli interfessier, la peau est rouge et enflammée, au niveau des plis in- guinaux-cruraux il existe une zone

ne révèle rien d'anormal à la papille. L'examen viscéral révèle au niveau des poumons des lésions certaines de bacillose

quelques années auparavant en se tirant deux balles de revolver au niveau du temporal droit. Peu de temps après le malade

elui de la fosse cérébrale postérieure se trouve à peu près au même niveau que celle-ci. Elles révèlent en outre sur l'occ

lité. L'examen de la sensibilité a été difficile à faire à cause du niveau mental du petit nègre, habitant de l'intérieur du

cutanée, aucun trouble trophique soit au niveau de la peau soit au niveau des articulations. Les différents appa1'eils -

nte : elle consistait en une énorme saillie de la base émergeant au niveau du sphénoïde etde la portion basilaire de l'occ

ne sur sa face interne ou surtout sur sa face externe, notamment au niveau de certains os (PI. LXVI et LXVII) : ainsi l'ap

la base du crâne participent au rétrécissement : il en est ainsi au niveau des trous déchirés, antérieur et postérieur, qui

inéaires, subdivisés par des lamelles osseuses ; il en est ainsi au niveau des trous condyliens antérieur et postérieur, c

es (crânes 3, 5, 6 et 7) complètement oblitéré ; il en est ainsi au niveau des trous grand rond, ovale et petit rond, ces

eur, parce que les crânes n'ont pas été coupés exacte- ment au même niveau : on pourra pourtant juger approximativement des

s. Ces déformations existent au niveau de la base du crâne comme au niveau des membres, ainsi que l'a justement fait obser-

en résultait que le système nerveuxparaissait presque étranglé à ce niveau , le trou occipital, vu par l'intérieur du crâne

d postérieur du trou occipital, la ligne aboutit à l'état normal au niveau du tiers inférieur des choanes, presque de la voû

e pa- latine ; dans tous nos cas de Paget, la même ligne aboutit au niveau du tiers supérieur des choanes, tout prés du sp

dont la hauteur est antéro-postérieure, dont la petite base est au niveau du plan vertical passant par la base de l'apoph

par la base de l'apophyse crisla galli, dont la grande base est au niveau du plan vertical passant par le plus grand diam

région qui subit l'enfoncement absolu ou . relatif, c'est-à-dire au niveau du pourtour du trou occipital : toutes les part

dehors, en haut et en avant, face en avant et en bas. Ici comme au niveau des membres, on peut dire que jusqu'à un cer- t

au- né la hauteur du crâne est relativement beaucoup plus grande au niveau du trou occipital que chez l'adulte et que le m

ypertrophie et en une déformation par ramollissement, tout comme au niveau des os longs. L'hypertrophie épaissit et élargi

tendance vertico- basique ; de plus la hauteur relative du crâne au niveau du trou occipital est beau- coup plus grande qu

uscles de la région antéro-externe de la jambe : il n'existe à leur niveau aucune réaction de dégénérescence. Assez différ

rticulaires, mais bien de phénomènes de paralysie qui, localisés au niveau des muscles de la région antéro-externe de la j

mois'de mai, on a pratiqué une série de 5 ponctions à diffé- rents niveaux entre la VIe et la XIe vertèbres dorsales sans po

s sommes expliqué ce résultat toujours négatif en admettant qu'à ce niveau les méninges spinales sont soudées de telle sorte

les fausses côtes. L'anesthésie haresthésique s'étend jusqu'au même niveau . La sensibilité articulaire des orteils, du cou

ris entre les VI" et XIe racines dorsales. La moelle présente à ces niveaux des dimensions exagérées, de sorte que les méning

La motilité active des membres inférieurs est complètement abolie au niveau de toutes les articulations. Passivement, on pe

gré de steppage. 25 mai. - La sensibilité vibratoire est reparue au niveau des os des pieds. 25 septembre. Le malade est

le premier, les résultats obtenus parla ponction faite à différents niveaux , chez le xxvi 32 ' 494 MARINESCO ET RADOVICI

e. - Le cas de Tedeschi concerne une symphyse méningo-médullaire au, niveau du cône terminal (extrémité inférieure de la Ir

noix, située sur la face dorsale de la moelle.qu'elle comprimait au niveau des VIl", VIIIe et IXe seg- ment dorsaux. Il s'

ès avoir regardé de plus près les procès morbides qui se passent au niveau de l'endothélium sous-arachnoïdien, à tenter une

sé sur ces signes, il a pu dingnos- tiquer une tumeur médullaire au niveau des V* et VI segments pliinchener med. Woch, :

observe des troubles viscéraux qui varient éI' cc le siège, avec le niveau plus ou moins élevé de l'hémisection, à savoir :

ez un animal auquel on pratique une hémisection delà moelle, ai dès niveaux variables. Celle expérience est devenue d'exécuti

ondante du thorax, jusqu'au niveau de la 3e côte en avant, jusqu'au niveau des cicatrices en arrière. Cette anesthésie intér

veloppe de l'autre et les deux épaules ne sont plus situées au même niveau . Ces variétés dans la forme, ces changements d'as

s conséquences dé cette déformation du thorax est une différence de niveau dans la hauteur des épaules. L'épaule est abais

même côté est élevée; l'autre épaule est, au contraire, située à un niveau plus élevé, soulevée pour ainsi dire par l'ampl

ons ont été faites sur un très grand nombre de coupes, prises à des niveaux homologues ; les deux moelles avaient été traitée

'amèle (largeur : z 0 mm. 4 ; épaisseur : + 0 mm. 35), tandis qu'au niveau du renflement lombaire, les dimensions de la moel

lume de l'axe gris, la comparaison des deux moelles nous a donné au niveau des deux renflements, mais non au niveau de la

ux moelles nous a donné au niveau des deux renflements, mais non au niveau de la moelle dorsale, des chiffres plus faibles

n un espace large d'un centimètre carré. Les coupes pratiquées à ce niveau mon- trent la dure-mère saine passant au-dessus

s occupées par les espaces interosseux. Elle fait presque défaut au niveau des deux derniers métacarpiens. La saillie des te

ar suite de l'adipose de la paroi antérieure thoracique, surtout au niveau du mamelon, ce qui donne l'apparence d'une atro

t concours de M. Londe, on s'aperçoit que le cubitus présente il ce niveau un aspect tout spécial (PI. XII). Tout d'abord,

cial (PI. XII). Tout d'abord, on voit sur la continuité de l'os, au niveau de la tumeur, un changement de densité de la subs

sion d'une ancienne fracture consolidée. L'os est comme étiré ;i ce niveau et les deux bouts sont séparés par la substance o

nsparence un réseau veineux peu apparent ; la tuméfaction s'arrête au niveau du pli du poignet. Il n'y a pas d'empreinte man

es excavations et les vides qui existent normalement. Elle élève le niveau du pli postérieur du poignet et efface la saill

mouvement. La peau est lisse et luisante, et comme collée à l'os au niveau de la dernière phalange. Les plis articulaires so

e la main ; il s'ensuit une diminution du diamètre transverse il ce niveau . La face dorsale de la main (PI. XI), surtout d

pressions intertendineuses, répondent au trajet même des tendons au niveau des articulations métacarpo-phalangiennes. La f

es contusions, en particulier deux petites plaies, situées l'une au niveau du coude, l'autre au-dessous de l'omoplate gauc

osse sus-épineuse correspondante. Le malade se plaint d'éprouver au niveau et au-dessus de cette région cicatricielle une

leur étendue et leur mouve- ment. Du côté gauche c'est surtout au niveau du coude que porte la déformation, L'avant-bras

sale maxima (10 cm.) alors du ? gauche le fémur ne mesure à ce même niveau que 7 centimètres. Le genou droit est très élar

ès élargi du fait de l'hypertrophie des condyles, prédo- minante au niveau du condyle interne. La rotule droite est augmen

e craquements. Les tibias ne sont pas le siège de déformation. Au niveau des péronés, c'est à gauche qu'existent hypertrop

si que la bosse frontale droite. Ou ne note aucune particularité au niveau des maxillaires, des os malaires, des apophyses

t le corps. La peau est ridée, avec tendance à l'escharification au niveau du sacrum. On constate encore des traces d'oerJ

Il existe un épaississement chronique de la plèvre. On constate au niveau des parenchymes une tuberculose disséminée sous

tres. La valvule mitrale est épaissie, rétractée, avec rugosités au niveau du bord libre. Épaississement léger des piliers

1("nle est parsemée de granulations tuberculeuses, prédominantes au niveau du mésentère et des épiploons. La trompe et l'ova

2 centimètres de circonférence, gauche 9 cm. 1/2), et de 4 cm. 1/2 au niveau de l'extrémité inférieure (27 centimètres il dr

e mesure 13 centimètres de circonférence à droite, 9 centimètres au niveau du radius sain. Les clavicules, les omuplates e

iège de foyer de ramollisse- ment. Il n'existe pas d'hémorrhagie au niveau des noyaux gris centraux. Le cervelet n'est por

n étendue. Examen histologiques. - Des coupes ont été pratiquées au niveau des viscè- res : foie, rate, rein, corps thyroï

ées au niveau des viscè- res : foie, rate, rein, corps thyroïde, au niveau d'une artère moyenne d'un mem- bre, d'un muscle

ominance très nette. Par places, des hémorrhagies se sont faites au niveau du parenchyme. Ce qui est particu- lièrement ma

un faible grossissement, on reconnaît des lésions prédominantes au niveau des cordons postérieurs et des faisceaux latéra

éraux. D'une façon générale, qu'il s'agisse de coupes pratiquées au niveau do la région cervicale, dorsale ou lombaire, la

bstance grise, les cellules des cornes antérieures sont intactes au niveau des rendements cervical et lombaire. Les colonnes

région cervicale, les lésions sont diffuses, à peine accentuées au niveau du cordon antérieur (sauf dans la zone limitante)

isceau pyramidal direct n'est pas atteint. Elles sont accentuées au niveau des cordons de Golf. La lésion plus étroite contr

ressée. Dans les cordons latéraux, la lésion est prédominante au niveau des faisceaux pyramidaux, surtout d'un côté, ma

aississement de la pie-mère et en particulier de celle qui pénètre au niveau du sillon antérieur et postérieur. Tout le tiss

tour des vais- seaux qu'elle débute, restant parfois localisée à ce niveau ; d'autres fois la sclé- rose à point de départ

sceau cérébelleux direct. Les cylindres-axes ne sont pas altérés au niveau des parties envahies par la sclérose. La scléro

ttement le point de départ de la sclérose. Parfois localisée à leur niveau , la sclérose a toujours son maximum autour des

ptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis les douleurs localisées au niveau des os atteints) chez les malades de MM. Gilles

distance du foyer, par compression radicu- laire, et de douleurs au niveau du foyer, par progression du foyer tuber- culeu

lade. Croyant que leur cause était la cause banale des douleurs au niveau des foyers pottiques, c'est-à-dire une position

igts, en constatant leur extrême sen- sibilité, et l'absence à leur niveau de lésion tuberculeuse appréciable. Pensant dès

exacerbée par le palper, palper qui démontre qu'elle a son siège au niveau d'une ou plusieurs des apophyses correspondant à

, portant presque toute son action sur ses parties postérieures, au niveau des jJ1'emiè- res paires lombaires. II. Appli

s laquelle passe une corde de traction reliée à une moufle fixée au niveau du bord libre. Le patient s'assied bien d'aplom

ions protoplasmiques (Fig. 1 empruntée à D. S. Ra- mon y Cajal). Au niveau des points où ces expansions se bifurquent, la

difficile à résoudre même avec les objectifs les plus puissants. Au niveau du point d'origine du cylindre-axe, les grumeaux

1, 22, 23. I'c. 24, 25. 164 J. SABBAZÈS ET C. CABANNES tions au niveau des prolongements protoplasmiques. Cette désorgan

xten- sion variable, suivant que la moelle se trouvera entamée à un niveau plus ou moins élevé. En outre, quand l'hémisect

plus ou moins élevé. En outre, quand l'hémisection siège à certains niveaux , des manifestations surajoutées troubles des fo

le hiérarchique, en partant de ceux où la moelle était entamée à un niveau très bas, pour passer successivement à ceux où

bas, pour passer successivement à ceux où l'hémisection occupait un niveau de plus en plus élevé. A. Dans un premier group

j'ai pu prendre connaissance, c'est celui où la lésion occupait le niveau le plus bas. Le fait concerne un homme qui avai

jà ancienne de Viguès (2) l'hémisection de la moelle, siégeait à un niveau un peu plus élevé. Le sujet de cette obser- vat

Les faits du précédent groupe nous avaient fait remonter jusqu'à un niveau compris entre les 10e et 98 dorsales. Cette fois

l'unique but de vous montrer que lors- que la moelle est entamée au niveau susdit, les troubles de la sensibilité envahiss

par une étroite bande d'anesthésie. A gauche, et remontant au même niveau que l'hyperesthésie du côté droit, il existait

nomènes suivants : Troubles sensitivo-moteurs, remontant jusqu'au niveau du lie espace in- tercostal et représentés, adr

j'aurai à revenir, ]'lié- misection de la moelle siégeait à ce même niveau . L'expression clinique différait du syndrome de

lez que chez ce der- nier également la lame tranchante a pénétré au niveau des -1 re et 2° dor- sales. Je passe très rap

t exactement à la ligne médiane du corps, et qui remontait jusqu'au niveau du mamelon. Au début, le patient a eu égale- me

Elles montrent qu'une lésion traumatique qui intéresse la moelle au niveau des deux dernières vertèbres cervicales peut oc

l, qui nous montre qu'une hémisection de la moelle siégeant au même niveau (6e vertèbre cervicale, à gauche), peut occasio

t à droite. C. Un troisième groupe comprend les cas, où, du fait du niveau auquel la moelle se trouve entamée, l'envahisse

e. Il en est ainsi chaque fois que l'hémisection siège au-dessus du niveau de la 6° cervicale. Les observations qu'il me r

ez pas croire qu'une hémisection de la moelle, lorsqu'elle siège au niveau indiqué ou plus haut, se traduira forcément par d

près, malgré que t'instrument tranchant eut atteint la moelle à un niveau (1) BECK. Ueber Verlelzungen der Wirbelsàule un

pas non plus d'inégalités ou de produc- tions ostéophytiques à leur niveau . La flexion permanente des doigts sur la paume

nfoncé sur une main de cadavre trois aiguilles, une profondément au niveau du premier espace interosseux dorsal, la second

premier espace interosseux dorsal, la seconde superficiellement au niveau du 2e espace interosseux dorsal, la troisième s

du 2e espace interosseux dorsal, la troisième superficiellement au niveau du 3e espace interosseux palmaire. La main étai

physe infé- rieure présente elle aussi des cavités nombreuses. A ce niveau le tissu spongieux est extrêmement poreux. Au n

avait posé en principe que chaque segment de la moelle épinière, au niveau du renflement cervical, paraît contenir les noyau

existe des cas où celle-ci suit une marche inverse. Elle débute au niveau de l'épaule et envahit progressivement les segm

rieure. Les premiers noyaux atteints seront ceux qui sont situés au niveau du premier segment dorsal et représentent les m

'amaigris- sement de ses mains. Elle remarqua qu'il existait à leur niveau , surtout à l'éminence thénar, des secousses ass

hie musculaire. Or comme dans la syringomyélie, la lésion débute au niveau de la 8e racine cervicale et de la 1° dorsale e

Or, ce père n'a rien perdu de ses aptitudes sexuelles, il est d'un niveau intellectuel très supérieur à la moyenne. Son f

tale. Enfin une dernière localisation siège sur l'épaule droite, au niveau du trapèze, et arrive vers l'acromion. En som

et se termine en avant par deux petites taches isolées siégeant au niveau du menton, entre la commissure labiale et la li

olent deux territoires cutanés en voie de formation, il se fait, au niveau du chorion correspondant à la surface épidermiq

iège électif de ces manifestations anormales. Mais ces régions au niveau desquelles se rencontrent, pendant le déve- lop

nscvi, et en particulier mes huit cas personnels, ne siègent pas au niveau des lignes de Voigt. Ces hypothèses n'ont donc

n forme d'aile de papillon de chaque côté de la colonne vertébrale, niveau où sa hauteur atteint son minimum, ces deux ail

eux nerfs symétriques correspondant à un étage périphérique du même niveau ; mais, au cours du développement, lors de l'as

l'ascension relative de la moelle, il s'établit une discordance de niveau entre le neurotome et le territoire périphériqu

de douleurs spontanées. Adipose très marquée le long du trapèze, au niveau du grand pectoral, de la région deltoïdienne, s'é

spasmodique datant de 1893, aphasie. Atrophie musculaire marquée au niveau du deltoïde, adipose locale. Demi-ankylose de l'a

uche, 23. La malade dit, spontanément, avoir ressenti des douleurs au niveau de l'articulation scapulo-humérale droite; cell

ras, le long du tiers supérieur du radius, masquant l'atrophie à ce niveau . Méplats très accentués au niveau du tiers supé

radius, masquant l'atrophie à ce niveau. Méplats très accentués au niveau du tiers supérieur de l'avant-bras. Atrophie en m

s la neurofibromatose; on en voit au voisinage des ailes du nez, au niveau du bord de la mâchoire inférieure. Celles qui exi

lle, chez l'homme. Vous avez acquis cette convic- tion qu'à quelque niveau que soit entamée la moelle, presque toujours, q

es inférieurs : c'est ce qui se voit quand la moelle est entamée au niveau des vertèbres dorsales inférieures, en deçà de

c'est ce qui se voit quand l'hémisectiol1 intéresse la moelle à un niveau qui correspond aux vertèbres dorsales moyennes et

tte éventualité se trouve réalisée quand la moelle est entamée à un niveau situé au-dessus de la 6e vertèbre. En ce cas on

l respiratoire à la paralysie; en effet une section, pratiquée à ce niveau , doit intéresser les fibres qui du noyau respir

e conclusion : Quand une hémisection n'intéresse pas la moelle à un niveau voisin de son extrémité supérieure, elle met rare

ctime comme vouée à une mort certaine. Tenez compte, avant tout, du niveau plus ou moins élevé de l'hémisection : Si la lé

nerfs était diminuée. · A gauche, il y avait de l'hyperesthésie au niveau du membre inférieur et de la moitié corresponda

cylindraxile, représenté par une fibre pyramidale, s'entrecroise au niveau du bulbe, pour se terminer dans la corne anté

ELLE 315 Soit qu'elle pénètre dans la substance grise, à tout autre niveau compris entre ces points extrêmes. N'allez pa

dès lors que la voie sensitive doive subir un entrecroisement à un niveau très peu élevé, au-dessus de celui où elle pénè

essant le segment cervical, on pratique une deuxième hémisection au niveau du segment dorsal, l'hémianesthésie consécutive à

e de l'entrecroisement de la voie sensitive un peu au-dessus de son niveau de pénétration dans la moelle, il serait facile

cupations quand, à la fin d'avril 189G, les douleurs re- vinrent au niveau des reins. Il fut de nouveau hospitalisé chez M.

la jambe gauche légèrement fléchie a son talon à 20 centimètres du niveau du sol. Vu de dos, il présente une scoliose à c

rteil est en flexion foncée, passe sous la plante et s'étend jusqu'au niveau du 4e orteil. Il existe une flexion très pronon

ts involontaires, dys- chrones, souvent exagérés, qui se passent au niveau des différents doigts de la main droite, en par

tose, mais seulement de contractions fibrillaires se produisant* au niveau de divers groupes musculaires et en traînant de

onzée, excepté les taches constatées peu de temps après l'entrée au niveau des apophyses épineuses dorso-lombaires. Le poi

ité des doigts, masquant l'atrophie. Circonférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 32 centimètres ; bras gauche, 30 ;

uée des muscles de la ceinture scapu- laire, surtout du deltoïde au niveau duquel il existe de l'adipose. Circonférence au

ées. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire très marquée au niveau du deltoïde. Circonférence : bras droit au niveau

centi- mètres ; bras gauche 27 cent. 1/2 ; adipose très marquée au niveau du deltoïde. Arthrite radio-carpienne; ankylose

s muscles de la ceinture scapulaire, portant sur le deltoïde ; à ce niveau adipose très marquée envahissant aussi les régi

amyotrophie de la fesse et de la cuisse particulièrement marquée au niveau du triceps : circonférence, 15 centimètres au-d

r des fibres dégénérées. Le processus morbide dans les racines à ce niveau est moins marqué que dans les régions infé- rie

en rapport par leur localisation avec la lésion nerveuse. Enfin le niveau de la lésion médul- laire pas plus que sa natur

très secon- daires, telles que des sensations anormales perçues au niveau des muscles spasmodiques ; il n'y a rien d'éton

e massage, car le malade se plaignait de douleurs assez intenses au niveau des insertions de ses muscles spasmodiques. Les e

ge brunâtre, tirant sur le bistre, ou parfois sur le violet. A leur niveau , les poils tombent ordinairement. Le nombre et

sion, les deux dernières en flexion forcée. Le médius est amputé au niveau de la 2e phalange. On ne voit ni l'index ni le po

t de la main droite sur un chevalet. La jambe droite est amputée au niveau de la cheville. La figure est maladive, mais sa

rier légèrement la hauteur du support mobile, élever ou abaisser le niveau de l'oeil et com- penser ainsi les différences

us la paupière en ptosis. On note le degré de l'arc périmétrique au niveau duquel l'index cesse d'être perçu. C'est le deg

eur. Au contraire, une lésion, destructive située en L2 pu en AB au niveau des éléments rétiniens, amènera la perte de la vi

es que nous allons retrouver dans les lésions des voies optiques au niveau et en arrière du chiasma. - Lacunes périphériqu

est un trouble visuel résultant de la lésion des voies optiques au niveau ou au delà de leur entre-croisement, c'est-à-dire

mptôme (fig. 59). - Les fibres du nerf optique droit se divisent au niveau du chiasma en deux portions. L'une provenant de

autre portion vient de la rétine nasale, croise la ligne médiane au niveau du chiasma, passe dans la bandelette gauche, dans

e de la même façon une hémianopsie droite. Que la lésion siège au niveau du chiasma, au point d'entre-croisement - [FOUL

er de troubles bilatéraux du champ visuel, que si elle siège au niveau ou au delà du chiasma. II n'y a donc pas, à p

entation dans les deux hémisphères, l'en- tre-croisement se fait au niveau du chiasma (opinion classique) ou au niveau du

e-croisement se fait au niveau du chiasma (opinion classique) ou au niveau du corps calleux (J. Roux, P. Marie). Hémianops

bi- temporale ne peut être réalisée que par une lésion siégeant au niveau du chiasma, seul point où elle puisse couper du

psie bitemporale, est toujours produite par une lésion, siégeant au niveau ou en avant du chiasma; les hémianopsies vérita

dans le terri- toire de la cérébrale postérieure le plus souvent au niveau du lobule lingual. Elle coupe les fibres visuel

jection rétinienne que dans les voies optiques extra-cérébrales. Au niveau du corps gcnouillé externe, il y aurait diffusi

ins nerfs de la base du crâne. On conçoit qu'une lésion siégeant au niveau du chiasma, dans le point où se donnent rendez-

ce syndrome comme résultant d'une lésion du pédoncule cérébral au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence des fibres n

es fibres postérieures accompagnent les radiations optiques. ' Au niveau du pédoncule, on ne peut actuellement distinguer

ns du système ner- veux, en avant du ganglion ophtalmique ou il son niveau . méningites. Abcès du cerveau. Amènent quelquef

. Ces fibres sécrétoires se détachent du facial, dans le rocher, au niveau du ganglion géniculé. De là elles passent dans

(fig. 63). Dans ces conditions, une lésion périphérique siégeant au niveau du trou stylo-mastoïdien n'intéressera pas les

rébrales. Atrophie optique. Elle peut résulter d'une compression au niveau du chiasma ou il l'origine des nerfs optiques (

nglion de Scarpa et s'unit au rameau auditif de la cochlée; mais au niveau du bulbe il redevient distinct et gagne le noya

l'organe de Corti : les petits plexus nerveux qui se forment il leur niveau rencontrent le ganglion de Corti dans le canal

us avons dit que le nerf auditif subissait une semi- déeussation au niveau du bulbe. Les lésions unilatérales du cerveau ne

n somme comme les autres nerfs : la fermeture du couraut négatif au niveau du tragus ou du PILITIQUE e : nor.. U [LANNOI

ilement appré- ciables, en raison de la semi-décussation du nerf au niveau du bulbe. Il faudrait, pour faire apparaître la

cription de ces nerfs. Les troubles de la fonction, respiratoire au niveau des fosses nasales sont ordinairement d'ordre i

et supérieur et surtout sur la face supérieure de celui-ci; qu'à ce niveau on trouve des cellules sensorielles d'aspect sp

faire à travers des déhis- cences qui existent dans quelques cas au niveau des sinus ou des cellules ethmoïdales, plus sou

ou d'un paranoïaque, d'indi- vidus d âge, de sexe, d'éducation, de niveau intellectuel différents ? Sans doute, pour cert

es, au gonflement des joues, ', à l'absence de glande thyroïde au niveau du cou, à l'infiltra- tion myxoedémateuse du th

nvisageant que la sensibilité gène- raie, on peut dire que c'est au niveau du tégument cutané que les ori- gines nerveuses

res de réception corticaux. La topographie de la zone sensitive, au niveau du cortex, comme du reste celle de la zone motric

par d'autres (Rossi et Roussy). 2° La zone sensitive est limitée au niveau du-cortcx, en arrière dit sillon de Rolando, co

ormal varient, suivant les régions, de 1 à 65 millimètres; c'est au niveau des régions les plus mobiles, où l'innervation

s : bouche, narines, conjonctive. Elle est toujours plus marquée au niveau des extrémités des membres qu'à leur racine, pl

que le foyer de destruction corticale s'étende en arrière jusqu'au niveau du pli courbe, et sectionne les voies visuelles

nesthésie siège presque toujours au même endroit, c'est-à-dire au niveau de la partie postérieure et inférieure de la co

pendant les premiers jours. A gauche, -anesthésie très nette jusqu'au niveau de l'aine, zone d'hypoesthésie au-dessus, surmo

uelle hauteur de la moelle siège la compression, et parlant, à quel niveau de la colonne vertébrale Fig. 2 Lis. Schéma de

la limite supérieure de l'anes- thésie correspond à peu près au niveau de la région compri- mée, dans les régions

D'après Chipault, pour avoir le numéro des racines qui naissent au niveau d'une apophyse épineuse, il faut ajouter au numér

us forme de bandes transversales d'anesthé- sie sur le thorax (au niveau des seins), et sur le dos (au milieu des épaule

ntier, les régions périnéales et génitales, et s'arrête en avant au niveau du pli génito-cural, et en arrière, suivant une

ession d'une lésion de la moelle (cône. terminal qui se trouve à ce niveau ); aussi les troubles moteurs sont habituels et

s de la moelle elle-même; il faut alors que la compression siège au niveau du segment médullaire duquel sort la ï1'1' racine

ers segments lombaires. « - ' . .a) Dans -les lésions siégeant au niveau des 5c; 4c et 5e racines sacrées ou des segment

lombaire inclusivement (ou si la compression de la moelle siège au niveau du ;le segment lombaire), l'anesthésie occupe,

opographie radiculaire scnsitivo-mutrice une lésion de la moelle au niveau de la .1 le vertèbre dorsale. En résumé, nous v

ractères particuliers au cours des névrites : ils sont fréquents au niveau dcs membres, très rares sur le tronc ; plus mar

peut envahir le pied, la jambe, etc., et s'arrêter brusque- ment au niveau du tronc ou des membres suivant une ligne franche

lle va en diminuant dans le sens proximal; elle est plus marquée au niveau des membres (membre supérieur surtout) que sur la

er sur les téguments un tube d'eau tiède. Les réflexes cutanés à ce niveau sont exagérés. Ces zones d'hyperesthésie clans

que celle des douleurs réfléchies dont nous venons de parler. Au niveau du cou, de la face et du crâne, il existe égaleme

s sont superficielles ou pro- fondes, généralisées ou localisées au niveau d'un membre, du tronc, de la tête, d'un viscère

ions de la température locale, etc. Lorsque les douleurs siègent au niveau des membres, elles peuvent déterminer une vérit

nt diffuse, généralisée à toute la tête avec maximum d'intensité au niveau du front, des tempes ou de l'occiput; exception

i.. 24 i-fc [ROUSSY.] 570 SENSIBILITÉ. Douleurs des membres. Au niveau des membres, les dou- leurs sont reportées ordi

: ). Files précèdent donc les phénomènes paralytiques et siègent au niveau des articulations, des muscles, des tendons et pl

eau des articulations, des muscles, des tendons et plus rarement au niveau des nerfs. Les douleurs post-hémiplégiques sont

elles sont aussi exaspérées par les mouvements, par la pression au niveau des articulations, et calmées par le repos. On

ient dans toute la longueur des segments des membres, aussi bien au niveau des doigts et des orteils qu'à leur racine. On

thnagel observe des douleurs dans les lésions du pont, Bechterew au niveau du pli courbe. Goldscheider remarque que les lési

es de la région ne sont pas douloureux. . Internes. Localisées au niveau des viscères, elles sont plus difficiles il dia

lles sont plus difficiles il diagnostiquer. Elles peuvent siéger au niveau des organes génitaux de 1. liea. nrurol., n° J

localisées en un point, en placards, tantôt diffuses, et siègent au niveau du tronc, de la tête et des membres, surtout à

t sur les racines, soit peut-être aussi sur les noyaux d'origine au niveau des centres. Les plaies des nerfs sensitifs ou

raient comprimer des rameaux nerveux et des racines rachidiennes au niveau des trous de la base du crâne ou des trous de con

plexus brachial. Durant l'accès on trouve des points douloureux au niveau du trou moutonnier, du trou sous- orbitaire et

paupière, le point nasal au-dessous de l'angle interne de l'oeil au niveau où la branche externe du nerf nasal sort de l'o

t fréquente chez les paludéens, elle se traduit par des douleurs au niveau du front, de la paupière supérieure, de la raci

rgence du nerf sous-orbitaire, le point malaire sur la pommette, au niveau où le filet tcmporo-malaire du nerf orbitaire t

aire inférieur : névralgie d n nel'r denta ire inférieur (douleurs au niveau des dénis du maxillaire inférieur, de la lèvre,

provoquée aussi par la pression dans la fossette de la nuque et au niveau du point d'émergence des nerfs occipitaux. Cett

u entre le trapèze et le sterno-mastoïdien; le point apophysaire au niveau des deux premières vertèbres cervicales. ' .

la névralgie du nerf circonflexe on constate un point douloureux au niveau du passage de ce nerf entre les muscles grand ron

la névralgie du cubital existe un point douloureux epitroctitecn au niveau du passage du nerf dans la gouttière épitrochléen

achée à la lésion d'un nerf déterminé, c'est une algie qui siège au niveau de l'épicondyle, mais dont la cause précise est i

rtie inférieure du cou, derrière le sternum, à la base du thorax au niveau des insertions diaphragmatiques. Les accès paro

e du bord postérieur du sterno-rnastoïdien, le point sle1'1wl C) au niveau des 2" et 5e articulations chondro-sternales, l

ations chondro-sternales, les points costaux ou diaphragmatiques au niveau des insertions du diaphragme sur les 7e, 8e, ne

phragme sur les 7e, 8e, ne et 10e côtes, le point apo- physail'e au niveau des 3" et 4e vertèbres cervicales. NÉVRALGIE IN

sur les névralgies intercostales hllate- rales siégeant surtout au niveau des 8*'et 9e espaces que l'on observe dans la d

ans la névralgie iteo-scrotatc on constate des points douloureux au niveau des trous de conjugaison [points lombaires), sur

cuisse jusqu'au genou. Le toucher vaginal et la pression du nerf au niveau du canal obturateur, les mouvements de rotation

évralgie de Morton se caractérise par des -dou- leurs très vives au niveau des articulations métatarso-phalangiennes, prin

Lannois, dans les cas de névralgie sciatique, conseille de faire au niveau de chacun des points douloureux une injection de

lques tâtonnements sont la règle. Une douleur plus ou moins vive au niveau du pied, des orteils, de la jambe, douleur ress

conisé l'injection par la voie buccale des branches du trijumeau au niveau des trous de la base du crâne. F. Lévy et A. Ba

ètres de longueur et de 7 à 8 dixièmes de millimètre de diamètre au niveau des trous du premier et du troisième groupe. Le

upe faite immédiatement en arrière des apo- physes ptérygoïdes au niveau du trou ovale A. L'aiguille T a pénétré en av

palais. En règle très générale l'aiguille est du reste arrêtée 1 ce niveau par la partie fibro-cartilagineusc inférieure d

ts du corps où il existe un tendon accessible a la per- cussion, au niveau des membres inférieurs comme au niveau des memb

ssible a la per- cussion, au niveau des membres inférieurs comme au niveau des membres supérieurs. Nous examinerons les ré

l percussion, car le mouvement réflexe est bien moins intense qu'au niveau du tendon rotulien et la percussion doit être p

uisent rapidement et on peut constater en général ce phéno- mène au niveau des deux tendons achilléens (Babinski) ('). Nous

tion des réflexes qui quelquefois est incomplète ne s'observe qu'au niveau des muscles paralysés. Enfin, dans la syringo

ans l'acromégalie d'une façon disséminée, mais plus spécialement au niveau des réflexes patellaires. Enfin on observe l'ab

n stade plus avancé de la maladie, il y a abolition des réflexes au niveau des muscles atrophiés et l'exagération des réflex

muscles atrophiés et l'exagération des réflexes n'existe plus qu'au niveau des membres inférieurs. L'atrophie des membres

ie générale : ; suivant quelques ailleurs, elle est plus marquée au niveau des membres supérieurs, souvent le réflexe mass

Babinski n'est pas limitée la plante du pied, mais s'étend jusqu'au niveau du tendon d'Achille. Réflexe crémastérien. Le r

a pointe d'un marteau la partie médiane de la lèvre inté- rieure au niveau des incisives, la bouche devant être légèrement e

périoste (réflexe périostique) dans certaines régions, notamment au niveau du poignet. Dans ces points, en effet, il ne pe

bien qu'il se produit soit un léger tressaille- ment des muscles au niveau du point piqué, soit même un léger mouve- ment

ctères particuliers, c'est que la lésion du faisceau pyramidal à ce niveau s'accompagne de la lésion d'autres organes situ

de la plante du pied en dedans ; en même temps, on voit saillir au niveau du cou-de- pied la corde du tendon du jambier a

erve pas seulcment aux membres inférieurs, Il le décrit lui-même au niveau des fléchisseurs de l'articulation du PHATIQUE

périeurs dans, les méningites, c'est surtout au signe de Kernig, au niveau des fléchisseurs des membres inférieurs, que l'on

atrophies musculaires et des troubles des réactions électriques au niveau des muscles atteints. On complétera cet examen

emblent inépuisables et déterminent des mouvements non seulement au niveau des articulations tibio-tarsiennes, mais encore

iculations tibio-tarsiennes, mais encore dans les cas prononcés, au niveau des fémoro-tibiatcs et des coxo-f'émorates. Le ph

et les phénomènes morbides demeurent en général plus accusés à leur niveau . Paraplégies sensitives. Les paraplégies sensit

re l'ancienne formule. « Il y a suppression des réflexes centrés au niveau de la lésion, exagération de ceux qui s'organisen

u prorata de l'atrophie. Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau niveau des mains; les doigts sont un peu fléchis. L'év

légies spasmodiques avec exagération des réflexes et contracture au niveau des membres suj>érieui,s. Tétraplégies. La d

n degré notable, mais la force musculaire est atteinte seulement au niveau des 1'accou1'cissew's des membres inférieurs, p

eurs, parfois aussi du tronc et du cou, elle est presque intacte au niveau des extenseurs (Pierre Marie). Les réflexes son

déjà, chez les paraplégiques de Erb, l'exagération des réflexes au niveau du membre supérieur est loin d'être exceptionne

dans la poliomyélite, mais tout muscle qui la laisse déceler à son niveau n'est point fatalement destiné à dis- paraître.

troubles vaso-moteurs intenses; dans le second cas, il n'existe an niveau du membre aucune anomalie de la circulation loc

us avec les centres lombaires. Si la lésion médullaire remonte à ce niveau , le foetus pourra peut-être pénétrer dans le vagi

e compression médullaire ou d'une lésion en foyer, de déterminer le niveau de la compression ou du foyer de sclérose ou de

, chez l'adulte, « pour avoir le numéro des racines qui naissent au niveau d'une apophyse épineuse, il faut ajouter au num

périeure du sacrum avec anesthésie tout particulièrement intense au niveau du périnée et des organes génitaux, permettent

ur l'omoplate au-dessus de la cavité glénoïde en se confondant à ce niveau avec le bourrelet glenoï- dien ; ce tendon d'or

nsère en haut sur l'épitrochlée en se confondant plus ou moins à ce niveau avec les muscles superficiels, sur le bord inte

maire où ils donnent insertion aux muscles tombrieaux. perforent au niveau des doigts les tendons correspondants du fléchiss

de lésion du cubital, la déformation en griffe est moins marquée au niveau du médius et de l'index, quoique existant toute

pas s'abaisser, tandis que chez un sujet normal elle reste au même niveau que l'épine iliaque du côté qui porte. Muscle

n haut sur la face posté- rieure de l'ischion en se confondant à cc niveau avec la longue portion du biceps. En bas son te

n metatarso-phalangienne des trois ou quatre derniers - orteils. Au niveau du gros orteil, le faisceau oblique se porte sur

du trèfle aponévrotique, leur insertion terminale est complexe : au niveau du carré des lombes ils se terminent sur une ar

ieur de l'apophyse transverse de la deuxième vertèbre lombaire ; au niveau du psoas les fibres du diaphragme se ter- minen

bre lombaire à la base de l'apophyse transverse de la première ; au niveau de la colonne vertébrale les fibres du diaphrag

son bord externe des tendons aux côtes, celles-ci lui envoient, au niveau de son bord interne, des faisceaux de renforcem

du sacrum à la deuxième vertèbre cervicale : il est assez grêle au niveau du sacrum, acquiert un grand développement aux

ertèbres dorsales inférieures, mais font presque toujours défaut au niveau des vertèbres dorsales supérieures. Les intertran

interne de la ligne oblique du maxillaire en s'entre-croisant à ce niveau avec les faisceaux d'origine du triangulaire de

ie latérale de l'aponévrose épicru- nienne, eiie-mone peu mobile ce niveau à cause de ses adhérences avec les tissus profo

grosses molaires, sur le bord alvéolaire du maxillaire inférieur au niveau également des grosses molaires, sur le crochet

uité n'est qu'apparente, les libres du buccinateur se terminent, au niveau des commissures, sur la face profonde de la muque

près les auteurs classiques, la zone corticale motrice siégerait au niveau des circonvolutions rolandiques (frontale et pari

lier chez les singes, des terri- toires moteurs très spécialisés au niveau du cortex. Depuis quelques années l'aire cortic

eMarchi, ont suivi la dégé- nération du faisceau pyramidal jusqu'au niveau du cortex; de leurs recherches anatomo-patholog

y, 1889, p. 551.) Pour chaque nerf rachidien la lettre h indique le niveau le plus élevé de l'émer- gence des fibres les p

de l'émer- gence des fibres les plus supérieures et la lettre b le niveau le plus inférieur de l'émer- gence des fibres l

tude des signes oculo-pupillaires indiquant que la lésion existe au niveau ou immédiatement en dehors des trous de conjuga

les transvérses, par la pression dans le creux sus-claviculaire au niveau du point de Erb, par la pression des troncs ner

ue montrant que les lésions maxima en cas de traumatisme se font au niveau des racines hautes, on s'explique ainsi que les

Los lésions corticales localisées an centre du membre supérieur, au niveau de. la région rolandique, peuvent amener une mono

e la sensibilité, la cypllo-scoliosc, l'exagération des réflexes au niveau des membres inférieurs. La monoplégie brachiale

e de la paralysie de l'aile du nez. Le goût est diminué ou aboli au niveau des deux tiers antérieurs de la langue du côté

muscles peauciers de la face. Lorsque la lésion siège plus haut, au niveau du point d'ori- gine de la corde du tympan on c

nstate en outre des troubles de la gus- tation. Si la lésion est au niveau du muselé de l'étrier, on observerait de l'hype

n observerait de l'hyperacousie douloureuse. Une lésion siégeant au niveau du ganglion géniculé déterminerait, d'après cer

f. On n'a pas précisé chez l'homme la symptomatologie résultant, au niveau du poumon et du tube digestif, de la paralysie

mouvement., on ne sent plus alors le corps musculaire contracté au niveau du bord externe de l'avant-bras. Lorsque la lés

vaste interne et l'aucune sont paralysés. Quand la lésion siège au niveau du coude, les muscles supina- teurs sont respec

vrites infectieuses ou toxiques. Lorsque le nerf médian est lésé au niveau du bras, tous les muscles innervés, par lui son

s du pouce, à l'exception du mouvement d'adduction, sont abolis. Au niveau des doigts la flexion des premières phalanges s

us allons les retrouver à propos de la pathologie humaine. - ' Au niveau du bulbe, la représentation du larynx se trouve d

Les divergences ont pour point de dé- part la fusion qui s'opère au niveau du ganglion plexiforme entre le pneu- mogastriq

atoires. Il y a une sensation de picotement ou de chatouillement au niveau du larynx,- des secousses de toux spasmodique,

s souvent il y a eu ou il y a encore des phénomènes d'irritation au niveau du larynx, de la trachée ou de l'amygdale lingu

le larynx se ferme énergiquenient et en totalité non seu- lement au niveau des cordes, mais dans toute sa partie supérieure

sur en effet que la mensuration soit bien faite strictement au même niveau des deux côtés, et pour cela mesurer la circonfér

trophies spinales progressives, mais on la trouve assez souvent au niveau des muscles atrophiés à la suite d'une paralysi

les réflexes ne conservaient parfois une assez grande intensité au niveau des muscles qui sont déjà manifestement très at

CULAIRES. montée par places, ou violacée et froide, cela surtout au niveau des membres les plus atrophiés ; la peau ressem

ors à celle de certains hémiplégiques ou paralytiques infantiles au niveau des membres para- lysés et atrophiés. L'érythém

? <7()-/n ? r ? c; la lseudo-llypertrohhie est très accentuée au niveau des mollets, elle l'est moins ailleurs (couturier

ouvée dans les cas d'atrophie Charcot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau des muscles dont le degré d'atrophie était favora

fer, Raymond et Philippe (au, Collins (4)]. L'état de la méninge au niveau du passage des racines antérieures n'est peut-ê

uite régressive et localisée. L'atrophie se montre exclusivement au niveau des groupes musculaires restés paralysés, très so

au niveau des groupes musculaires restés paralysés, très souvent au niveau des muscles de presque tout un membre ou de plu

ara- lysie cérébrale infantile. L'atrophie est sur- tout nette au niveau des membres supérieurs. ATROPHIES CONSÉCUTIVES

ette douleur, due peut-être au choc du liquide céphalo-rachidien au niveau des culs-de-sac sous- arachnoïdiens qui entoure

connaître la même origine et que la lésion primitive peut siéger au niveau du point où les racines traversent la méninge. Le

rd'hui bien démontré que quand un neurone est primitivement lésé au niveau ou près de la cellule, la dégénérescence ne progr

S MUSCULAIRES. 751 galvanique peu intense, presque exclusivement au niveau des muscles atrophiés, et à la condition que l'

ARIÉTÉS CLINIQUES L'hypertrophie musculaire vraie est aussi rare au niveau des muscles de la vie de relation, au niveau de

raie est aussi rare au niveau des muscles de la vie de relation, au niveau des muscles des membres et du tronc, que l'atro

l'atrophie musculaire y est fréquente. Il en est tout autrement au niveau des muscles de la vie organique, et les hypertrop

nie des hypertrophies fonctionnelles que nous aurons il signaler au niveau des muscles des membres ou du tronc qui. pour u

sont pas limités aux membres et au tronc ; on les observe aussi au niveau des petits muscles de la face où l'hypertrophie

nettement (orbiculaire des paupières, des lèvres, etc.), parfois au niveau des muscles mastica- teurs, des muscles de la l

ue, des muscles oculo-moteurs, etc. ; on ne e les ohserve jamais au niveau des muscles de la vie organique. Les troubles d

les lettres sont an- guleuses, inégales, séparées, placées à des niveaux différents, elles ne sont pas tremblées cependa

onté, au commandement, arrêts sur le doigt de l'éducateur posé à un niveau quel- conque du tibia, arrêts en divers points

gouttières, l'une pour la cuisse, l'autre pour la jambe, réunies au niveau du genou par une articulation qui ne permet pas

ires que l'on observc le plus généralement. Symptômes bulbaires. Au niveau du bulbe se rencontrent les faisceaux moteurs d

n y trouve un certain nombre de formations grises con- tinuant à ce niveau les cornes médullaires : noyaux moteurs de l'hypo

sses librillaircs; la réaction de dégé- nérescence s'observe à leur niveau . Les troubles respiratoires et car- diaques ent

peu- vent être intéressés les premiers. -On peut même rencontrer au niveau des membres les premières manifestations asthén

es bras et d'écarter les doigts : c'est l'altitude du serment. Au niveau des membres inférieurs, il faut demander au malad

lents, réguliers, de petite amplitude, illogiques et caractérisés au niveau des mains et des doigts par des mouvements succ

remble- ments S('gll1l'nlail'cs : en général, il est plus marqué au niveau des membres supérieurs, mais il est également t

es dès que le malade commence il vouloir parler : on voit alors, au niveau des muscles qui entourent l'orifice buccal, de

t pas un tremblement proprement dit : c'est plutôt une agitation au niveau des bras, des jambes, de la langue, dans tout le

s, des jambes, de la langue, dans tout le corps, sauf à la tête. Au niveau des mains, ce sont de petits mouvements du pouc

ous avons déjà vu les cas de Pelerson où le tremblement siégeait au niveau de la tète. Collet a signalé d'autres cas où le t

ieurs et aux membres inférieurs, de même au niveau de la face et au niveau de la tète. La contraction se produit dans les

assent à la l'ois dans la flexion et dans l'extension ; de même, au niveau du coude et de la face, il existe des mouvement

s mouvements sont plus accentués aux extré- mités; c'est surtout au niveau des doigts qu ils existent et c'est pour ces mo

s mouvements autour des autres articulations sont moins étendus, au niveau des membres inférieurs c'est encore aux extré-

à cuisse. 2. Rigidité musculaire. La rigidité apparaît surtout au niveau des membres, plus particulièrement au niveau de

té apparaît surtout au niveau des membres, plus particulièrement au niveau des membres inférieurs, c'est la contracture de

al, puisque nous avons déjà dit les troubles qu'ils provoquaient au niveau des membres supérieurs et des membres inférieur

niveau des membres supérieurs et des membres inférieurs : c'est, au niveau des membres supérieurs les mouvements qu'on a c

res supérieurs les mouvements qu'on a comparés à ceux du poulpe, au niveau des membres inférieurs ce sont également des mo

es excessives, qui se produisent chez les tiqueurs non seulement au niveau des muscles atteints de tic, mais au niveau de

'autres cas, il y a des troubles vaso-moteurs plus ou moins nets au niveau des membres atteints de. crampe (Brissaud, llal

ied. L'hypotonie des membres supé- rieurs est surtout évidente au niveau de la main : les doigts peuvent se placer en

u avec état lisse, aspect de vernis luisant. Ce trouble apparaît au niveau des extrémités, tout d'abord à la face dorsale de

gles sont craquelés, . l'riahles; enfin, il existe assez souvent au niveau des régions atteintes des sensations subjective

sséminer en taches plus ou moins isolées,' plus ou moins vastes. Au niveau des lésions étendues, la peau est dure et fibreus

plus claire que les téguments à l'entour. Cela est net surtout au' niveau des petites plaques isolées (morphée) bordées d'u

rites, dans la syringomyélie, le tabes, et tout particulièrement au niveau du tronc dans nombre d'affections méningées ou

bromalose généralisée avec nombreuses petites tumeurs, notamment au niveau de l'hypocondre droit, et najvi pigmentaires asse

bserve souvent un oedème extrêmement dur, pseudo-éléphantiasique au niveau des arthropathies lalueliques. En dehors des oe

n ne peut imprimer de godet. Un trouble analogue peut s'observer au niveau du pied. La main succulente n'est point d'aille

légère hypothermie. Il existe rarement des phénomènes subjectifs au niveau de la plaque; ces phénomènes consistent, le cas é

ques ou non. Il n'existe pas de troubles de la sensibi- lité au niveau des ré- gions adipeuses. En revanche, les tro

d'un tronc paralysé. C'est ainsi que peut se gangrener la peau au niveau des apophyses épineuses, des crêtes iliaques, d

ans les myélites aiguës (Voir Paraplégie). L'escarre est typique au niveau du sacrum, qu'elle soit médiane (affections méd

gnalé l'hypertrichose du côté de la face atteint de prosopalgie, au niveau des plaques d'oedème chronique qu'il est parfois

PHIQUES. aire d'atrophie cutaneo-osseusc, cantonnée généralement au niveau d'un trou d'émergence du trijumeau, le sous-orb

jet de l'artère radiale, on applique un doigt de la main gauche, au niveau du poignet pour éviter la récurrence de l'arcade

, le nerf sympathique et le nerf pneumogastrique ont leur centre au niveau [0. CROUZON.] 943 ) BRADYCARDIE. du bulbe d

ccompagne d'une douleur et surtout d'une sensation de brll- ture au niveau du cordon, des testicules. Ailleurs des phénomène

maxil- laire supérieur. 11 s'agit de maux perforants tabétiques, au niveau des- quels existent des troubles de la sensibil

nt des mêmes causes que les paresthésies. Il se localise parfois au niveau des arcs maxillaires des douleurs atroces, fonc

apide. Il existe une atrophie musculaire précoce et considérable au niveau des quatre membres, de la contracture avec exag

en ce) : ) aux troubles d'origine corticale ou sous-corticale. Au niveau du bulbe, les novaux de l'hypoglosse peuvent être

au niveau de la première phalange, s'écartent les uns des autres au niveau des deux dernières; cette disposition s'applique

ion s'atténue à partir du poignet; elle est peu marquée ou nulle au niveau des avant-bras et des bras. Quelquefois, surtou

eure; Le métacarpe est peu déformé,, sauf un léger élargissement au niveau des têtes des fjg. 3. Gigantisme. PeuL-nh'0 ncr

aire, on le trouverait aussi dans nombre d'affections provoquant au niveau du doigt un trouble de la circulation, d'origin

de la première avec la seconde phalange et par- fois aussi au niveau de l'arti- culation de la seconde phalange avec

physe, il l'inverse de la plupart des ostéites tuberculeuses; il ce niveau le doigt est gonflé. fusiforme, comme soufflé,

l'niel'). déter- mine un gonflement uniquement pé¡'Ùll'tÙ'ulim'e au niveau d'une ou plu- "' DIFFORMITÉS ACQUISES. 1027

pseudo-éléphantiasique ; la limite se fait nettement en bourrelet, au niveau du poignet en bracelet. - D) Dans LES affecti

es, douloureuses, puis de petites ulcérations se forment parfois au niveau des articulations, elles guérissent après un ce

s ou progressives, on peut constater des sclérodermies localisés au niveau d'un ou plusieurs doigts (sclérodermie annulair

ion sur Pavant-bras et les doigts en flexion plus ou moins forte au niveau des phalangines et des phalangettes, les phalange

rsienne est parfois ankyloséc, le pied est gros, court, saillant au niveau du tarse. Les orteils sont déviés vers le bord ex

ter- lignes articulaires et l'existence de taches blanches au niveau des os. Dans le rachitis- me, la saillie des

saillie des malléoles détermine une nouure caracté- ristique au niveau du cou-de-pied; le « dopple joint » qui en

ractères sont : une tumé- faction du dos du pied surtout marquée au niveau des articulations tarso- métatarsiennes ; un af

on distincte. La gangrène sénile est au contraire plus fréquente au niveau des orteils que des doigts. C'est une gangrène

ons du pied très analogues à celles qu'elles déterminent parfois au niveau des mains. [A. LÉRL] 1048 SÉ)11 : 101,OG11 DU

e, la moindre délicatesse des mouvements que l'on peut constater au niveau des pieds. Dans la paralysie agitante on ne voi

ales, considérable chez les hydrocéphales. Enfin il peut être à des niveaux très différents. En général placé sur les parié

érieur, on détache l'autre de la glahelle, et on la relève jusqu'au niveau du métopion ou point intermédiaire aux deux bos

ve facilement la dimension d'un segment donné en retranchant de son niveau supérieur, la hauteur à sa limite la plus basse

immédiatement au-dessus des crêtes iliaques) ; . de la hanche (au niveau des Irochanlers) ; . du bras en son milieu (là

homme. Indice thoracique. C'est le rapport du D. transverse pris au niveau du D. antéro-postérieur à ce 11='100. De l'extr

ie a vu, chez un infantile de sexe masculin, l'aorte se rétrécir au niveau des artères spermatiques. On a rencontré parfois

u membre inférieur ; P. Ma- rie a montré que le péroné remonte au niveau de l'articulation du genou. Ajoutons que, par s

u donné diffère de la moyenne des individus de même race et de même niveau social, dans des conditions générales de milieu

olis congénitaux ou du moins précoces. Tête. Il faut examiner à. ce niveau , les anomalies de la forme et du volume, l'état

surtout à la région cervicale postérieure, au niveau de l'aine, au niveau des aisselles que l'on consta- tera l'existence

muqueuse de. la langue, la muqueuse delà face interne des joues au niveau des points de contact dentaire, quelquefois forma

et qui sont caractérisés par l'aspecl fripé et irrité de la peau au niveau des commissures et du menton, aspect produit pa

direction oblique convergente. Cette malformation dentaire siège au niveau des incisives médianes supérieures de seconde d

être distinguée de la percussion. Elle suffit parfois, notamment au niveau du rachis, à déceler une zone, une apo- physe d

fosse cérébrale moyenne. La percussion s'emploie principalement au niveau du crâne. Nous pos- sédons à ce sujet quelques

ucoup moins mat que chez l'adulte, et la sonorité est plus forte au niveau des frontaux et pariétaux qu'au niveau de l'oc-

uide céphalo- rachidien. En effet, la zone sonore n'est de règle au niveau des parié- taux qu'a partir de deux ans : à ce

ncontre parfois au-dessus dune trépanation, le bruit de pot fêlé au niveau d'une fracture, de sutures disjointes par de l'

tons que certains auteurs ont conseillé d appuyer un stéthoscope au niveau du bregma et de pratiquer ainsi, afin de mieux

e résultats chez l'enfant. En appuyant légèrement le stéthoscope au niveau des fontanelles, on peut entendre un souffle do

La ponction lombaire est une ponction des méninges rachidiennes au niveau de la région lombaire, dont le but est l'extracti

igt de la main gauche marquera l'interstice sous-jacent. C'est à ce niveau que t sera pratiquée la ponction. 4" Asepsie

ussera légèrement le fil en avant, de façon à lui faire dépasser le niveau de l'aiguille et à libérer ainsi l'orifice des dé

lo-rachidien. D) Le malade pourra se plaindre d'une douleur vive au niveau du pied, d'une crampe violente au niveau de la

re de variétés résultant de la localisation des lésions causales au niveau des ventricules cérébraux, de l'aqueduc de Sylv

catrice enfoncée dans sa genouillère conduira vers le projectile au niveau duquel sa pointe s'arrêtera. La simplicité de l

avec ces affections. Il pourra s'agir de la détermination locale au niveau d'un traumatisme ancien d'une maladie générale,

ro- cessus de résorption et de raréfaction osseuses, remarquable au niveau des mains du sujet. Dans un cas de psoriasis al

tique, B) d'un Par/étique. RADIODIAGNOSTIC. 1179 sont agrandis au niveau du carpe, du métacarpe et des phalanges. Brissa

droplasie vraie. La radiographie montre chez les rachitiques : au niveau du crâne une mauvaise ossification ; au niveau

s rachitiques : au niveau du crâne une mauvaise ossification ; au niveau du bassin un aplatissement antéro- postérieur

on ; au niveau du bassin un aplatissement antéro- postérieur ; au niveau des membres des os grêles, fréquemment fracturé

s élargis à leurs extrémités et parfois extrêmement dé- formés au niveau des épiphyses. Au point de vue de la dispositio

s avons cités. Cet aspect, due l'on peut retrouver sur le vivant au niveau d'os quelquefois peu atteints, d'autres fois tr

es, il semble que la couche compacte disparaisse brusquement à leur niveau et on ne trouve plus à leur centre que des traces

ine erreur dans la mesure de la différence de potentiel existant au niveau des électrodes appliquées sur le corps; mais, com

possible; néanmoins l'évalua- tion de la différence de potentiel au niveau des électrodes serait toujours entachée d'une c

du courant qui traverse le corps, et la différence de potentiel au niveau des électrodes. La loi d'Ohm permet de connaître

par des points où la conductibilité est meilleure, c'est-à-dire au niveau des ori- lices glandulaires, la densité du cour

sont plus complexes. A l'action des bases ou des acides, formés au niveau des électrodes, s'ajoute ou se substitue l'acti

rothérapiques, on utilise les effets caustiques ainsi développés au niveau des métaux inattaquables, ou les effets dus aux

rés et sur l'introduction de sub- 1. Les effets de l'électrolyse au niveau des électrodes produisent des phénomènes que l'

ques dont nous venons de parler sont ceux qui se passent surtout au niveau des électrodes, à l'entrée et à la sortie du co

risation interne; celle-ci, de même que la polarisation externe, au niveau des électrodes, développe une force électro-mot

dant le passage du courant, l'excitabilité du nerf est augmentée au niveau du pôle négatif et dans son voisinage ; elle est

négatif et dans son voisinage ; elle est diminuée au con- traire au niveau du pôle positif. On a appelé ces effets catélectr

électrode. En localisant l'exploration de l'excitabilité du nerf au niveau même de l'électrode élec- trotonisante de maniè

courant, pendant son passage continu, non seulement provoque au niveau des points d'applica- tion des électrodes des s

ation du courant, dont il a été déjà question, nous ayons établi au niveau des électrodes appliquées sur le corps une diff

intensité en rapport avec la dillérence de poten- tiel existant au niveau des électrodes et avec la résistance opposée par

nt, autrement dit encore suivant que l'excita- tion est produite au niveau du pôle négatif ou au niveau du pote positif. I

ant que l'excita- tion est produite au niveau du pôle négatif ou au niveau du pote positif. Il est très important, aussi b

it être placée en des points déterminés, dits points d'élection, au niveau desquels l'excitabilité du nerf ou du 1. L'élec

a- mètre. Il est très important que l'électrode soit bien placée au niveau des points d'élec- tion, un faible éloignement

employée aussi pour la faradisation. Au lieu de laisser en place au niveau du point d'élection l'électrode excitatrice, on l

ont placées assez près l'une de l'autre sur le nerf ou le muscle au niveau des points d'élection, et l'on fait passer le c

conservé son excitabilité tandis qu'il a perdu sa conductibilité au niveau des parties lésées. Dans certains cas, cependan

on ne place plus, comme précédem- ment, l'électrode exploratrice au niveau des points d'élection, mais on la place loin de

normal, et que souvent elle prédomine sur l'excitation produite au niveau du point moteur; de plus, elle se montre aussi al

ur produire PFC, c'est la \F du pèle virtuel qui agit en réalité au niveau du nerf ou au niveau du muscle. On évite cette er

t la \F du pèle virtuel qui agit en réalité au niveau du nerf ou au niveau du muscle. On évite cette erreur en poursuivant

bonne heure, en même temps que les altérations de l'excitabilité au niveau des points d'élection, et il se prolonge pendant

itabilité galvanique des muscles reprend ses caractères normaux, au niveau du point d'élection, l'excitabilité longitu- di

er genre de paralysies, cependant, si la DR fait toujours défaut au niveau des membres, elle peut exister sur le territoir

ourant galvanique, suffisamment intense, on perçoit normalement, au niveau des points d'application des électrodes, une se

tive, désagréable et bientôt douloureuse. Si l'excitation porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau nerveux, la sensation

. Ils consistent à évaluer d'une part la différence de potentiel au niveau des électrodes, à laide d'un voltmètre en dériv

parti- culièrement sur les neurones moteurs périphériques, soit au niveau des cellules de ces neurones dans le bulbe et d

es auteurs, on place les deux électrodes de chaque côté du crâne au niveau des apophyses mastoïdes; ou encore l'une des él

u niveau des apophyses mastoïdes; ou encore l'une des électrodes au niveau d'une apophyse mas- toïde et l'autre sur la têt